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#decembre 2018
canonming · 1 year
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DEATHLY_HALLOWS,les reliques de la mort ,un film de la saga Harry Pother.Sortie au cinéma le 12_06_2010Il est également sortie sur le petit écran le Jeudi 22 Decembre 2022 La célébre phrase de voltemor_j,ai tué tes parents tu n,as plus de famille_KINESIE à CHASSENEUIL DU POITOU par l'intermédiaire de la mise sous tension du magnétoscope et la TV à l,instant précis ou l,on entend dans l,un des films de Harry Pother_J,ai tué tes parents,tu n,as plus de famille.Un déréglemment de la programmation du magnétoscope pour mettre en évidence une suggestion particulière qui se rapport à un événement réel accomplit le 12_11_1996.Un acte de torturede nature psychologique ou une vantardise des pouvoir de (voltemort) notamment dans l'usage de la kinésie.Cette phrase tristement célèbre est donc audible dans un film de Harry Pother sur les petits écrans,en provenance de voltemort,un acteur du film avant 2010,date de déménagement ,de chasseneuil du poitou 86360.Par la suite il fut possible d'identifier d,autres phénomènes similaires notamment à Lacanau Ocean,fin juillet ou début Aout 2018,avec la grosse branche d,un (pins )qui s'écrase au sol avec fracas, à quelques mètres de Dominique ,qui pratique des étirements après son jogging.Quelques poignées de secondes auparavant,il entendait deux ou trois sifflements à proximité de ses oreilles des tirs.L,importance de la discrétion,fut indispensable pour développer le sentiment du doute. Cette spécificité dans l'application des pressions de nature psychologiques contribue à l'usage de la kinésie en toute quiétude. chasseneuil du poitou 86130 kinésie avec la mise sous tension du magnétoscope et la TV durant le film Harry Pother,_Jai tué tes parents tu n,a plus de famille_ Entre 1996 et 2O10.Lacanau Ocean fin Juillet ou début Aout 2018,Une grosse branche d,un(pins) s,écrase avec fracas,par absence de vent,à quelques mètres de Dominique .Pas de signe particulier pour cette branche. La question qui se pose aujourd'hui est la suivante_ Quel choix adopter entre le déni et une réalité qui ne peux que suscité l'effraye ?Evidemment la réponse est évidente un choix de confort et de raison et pourtant, il existe parfois des réalités qui dépassent la raison. Marquage avec un individu la trentaine,plutôt étranger, de type flûte environs 1,70 M (marocain). C,est à jaunay_marigny le Mercredi 02_08_2023 vers 8.50 H à la caisse d,épargne,durant une opération au guichet.Signe particulier fixation du regard avec une main dans la poche du blouson......
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stc30-superlife · 1 year
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LE STC30 DE SUPERLIFE
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LE STC30 DE SUPERLIFE
Le STC30 est un complément alimentaire diététique naturel a prendre par voie sublinguale, c'est-à-dire appliquée sous la langue (permettant à 95% de ses nutriments d'être immédiatement absorbé).
Fait a base de plantes ,c'est un produit en avance sur son temps qui utilise les cellules souches végétales pour prévenir ou traiter toutes sortes de problèmes de santé..
C'est le supplément de cellules souches le plus puissant disponible, vendu et distribué par le leader mondial SUPERLIFE WORLD et fabriqué par le groupe MIBELLE BIOCHEMISTRY (Suisse)
Le produit STC30 est mondialement certifié, approuvé par les organismes internationaux dans plus de 45 pays a travers le monde entier.
Le STC30 active naturellement vos propres cellules souches au niveau de la moelle osseuse, les régénère et fournit une immunité robuste.
Avec plus de 50 a 70 trillions de cellules dans nôtre corps, la santé cellulaire est cruciale pour notre bien être général et notre bonne santé.
Avec le STC30 vous pouvez vieillir en bonne santé.
Le STC30 maitrise plus de 135 pathologies incurables avec des témoignages vivants...
• DIABETE TYPE 1 & 2.
• INSUFFISANCE RÉNALE
• LES HEPATITES
• DRÉPANOCYTOSE
• DÉFICIENCE IMMUNITAIRE
• VIH
• CANCER TOUT TYPE
• RHUMATISME
• TUMEURS
• ARTHRITE
• ARTHROSE
• HYPERTENSION
• HYPOTENTION
• KYSTES
• DOULEURS LOMBAIRES
• DYSTROPHIE OVARIENNE
• FAIBLESSE SEXUELLE
• INFECTION URINAIRE
• CANCER DE LA PROSTATE
• MALADIE DE LA THYROÏDE
• MALADIES DE PEAU
• FIBROMES
• DOULEURS MUSCULAIRES
• PROBLÈMES CARDIAQUES
• HERNIE DISCALE
• AVC
• CATARACTE
• MALADIES DES NEURONES
• GOITRE
• GLAUCOME
• RHINITES
• CALVITIE
• DÉCHIRURES MUSCULAIRES
• PLAIES DE CHIRURGIE
• FRACTURE DES OS
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AIDEZ PARENTS, AMIS, COLLÈGUES, PATIENTS AVEC LE STC30
* NE TARDEZ PAS,
MIEUX VAUT TÔT QUE TARD !
PREUVES ET EFFICACITÉ DU STC30 *
*QUELQUES TÉMOIGNAGES*
Diabète, Insuffisance rénale
Insuffisance rénale sévère guérie
Diabète
Diabète et yeux
AVC
Mobilité retrouvée et vision restaurée
Tumeur au cerveau
Mobilité retrouvée
Autres guérisons
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Visionnez ici les preuves de l’efficacité du STC30
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affairesasuivre · 6 years
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Tu l’as voulu, tu l’as eu.
Un grand coup dans tes oreilles !
C’est la playlist de décembre 2018 d’Affaires à suivre.
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liifeiisajoke · 6 years
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Problème de lecteur
J’ai commencé trois livres en même temps.
Je les adore tous pour des raisons différentes.
Je ne sais plus lequel lire !
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nature-and-culture · 6 years
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Hello December 2018
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bonnissance · 7 years
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i’m okay w the passage of time until I’m really really not
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catherine-white · 4 years
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#4 Decembrance 2018
Famous By Naomi Shihab Nye The river is famous to the fish. The loud voice is famous to silence,   which knew it would inherit the earth   before anybody said so.   The cat sleeping on the fence is famous to the birds   watching him from the birdhouse.   The tear is famous, briefly, to the cheek.   The idea you carry close to your bosom   is famous to your bosom.   The boot is famous to the earth,   more famous than the dress shoe,   which is famous only to floors. The bent photograph is famous to the one who carries it   and not at all famous to the one who is pictured.   I want to be famous to shuffling men   who smile while crossing streets,   sticky children in grocery lines,   famous as the one who smiled back. I want to be famous in the way a pulley is famous,   or a buttonhole, not because it did anything spectacular,   but because it never forgot what it could do.
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tomub · 4 years
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En 2018 et 2019, l’humanité est passée à crédit dès le 29 juillet. Seule inversion de tendance depuis 50 ans, 2020, qui voit son "Jour Du Dépassement" retardé de trois semaines (22 août) suite à la crise sanitaire et l’arrêt de la majeure partie des activités sur le globe.
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floragerardinbaude · 4 years
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Celle qui s’en va
texte de Lucas d’après une série d’illustration de mon cru
Decembre 2018
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how long have you and bf been together?
Uhm lol We started talking in decembre 2017 and were texting everyday and sexting and love bombing each other
Then 6 months later I was like "look hoe I'm coming to France and you're gonna take my virginity and we'll be inseparable" and as soon as my plane landed we were fucking and having deep convos and dates 247 and travelling back and forth for each other
so idk when even is our anniversary lmao but for irl I first met him on May 21 2018. He was soaked in the rain coming to meet me on his motorbike and I was wearing the bizarre old lady dress of my middle aged airbnb landlord who was a sweet old woman lending me clothes bc the fucking asshole airlines lost my luggage
I let him into the place then I ran and hid behind a door while he sat at a table and he told me "you're beautiful please don't be shy and come out from there I want to talk to you, your eyes and skin and hair are beautiful" I almost fainted lmao so I sat down next to him and we had the most awkward yet wonderful first date on a rainy night in a cozy cottage and he soothed me thru my debilitating anxiety it was the best day of my life I'll never forget it
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babychatoon · 4 years
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“Je vais être maman.”
C’est tellement irréel, si incroyable de pouvoir l’annoncer au grand jour, après 3 mois dans le secret.
Un bébé pour 2020... j’ai a la fois les larmes qui montent et le sourire au levres parce que c’est une folle aventure qui commence pour Nico et moi. Mais avant de parler de tout ce chamboulement, commençons par le commencement. Mon histoire avec Nico
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“Je t’aime une fois, je t’aime deux fois, je t’aime plus que le riz et les petits pois.”
Nico, Nico.. par où commencer ? Il a débarqué dans ma vie, au moment où je m’y attendais le moins. J’étais jeune, j’avais 16 ans et completement pommée entre mes amis et les sorties beaucoup trop arrosées. J’étais en dernière année de BEP, je ne savais pas où j’allais, mais je savais qui je voulais être. J’ai jamais été attirée par “les coups d’un soir”, où les amourettes passagères. Je clamais haut et fort, a qui veux l’entendre, mon envie du prince charmant, j’imaginais trouver la personne qui souhaiterait vivre sa vie a mes côtés. J’ai toujours été en décalage avec les envies des jeunes de mon age. Quand certains rêvé de grandes carrières, d’études a l’étranger, moi je rêvais que d’acheter une maison qui accueillerai un jour la famille que j’aurais fondé avec l’homme de ma vie.Puis il est entré dans ma vie comme un ouragan avec son sourire charmeur et la même vision de vie que moi.
C’était simple mais en même temps c’était beau, une idylle naissante sans même s’en apercevoir, pourtant il était le soleil de mes jours, ses mots, ses phrases, ses sms habituels rendaient mon quotidien plus simple, plus beau. Il me réconfortait, m’aidait, y avait rien de mieux, rien de plus apaisant, j’étais la colère, il était la paix, la dose de bonheur qu’il manquait a mes journées. Au bout de deux mois, pour les vacances d’été, j’ai posé mes bagages chez sa mère et je savais déjà que je préférai ne plus avancer que d’avancer sans lui a mes côtés. Il etait devenu en si peu de temps, mon moteur. A la fin des vacances, il était impossible pour moi de ne plus sentir son odeur dans les draps. Nous avons donc décidés de faire une semaine chez lui, une semaine chez moi. Les années sont passées et nous nous sommes jamais quittés. En 2011 on sortait ensembles, en mars 2012 nous traversons notre premiere épreuve, mon hospitalisation pour mon operation. De longues semaines loin de lui qui ont scellé notre amour. En décembre 2012, je rentrais dans la vie active. Nico étudiais toujours. En 2014, nous emménageons dans notre premier appartement. Un 30 mètres carré qui payait pas de mines, mais on était tellement heureux. Nous acceuillons par la suite, notre premier amour, Guizmo. En 2018, après 3 déménagements, il signa son CDI. C’est completement idiot mais ça signifié tellement pour nous. Un second souffle. On commença les démarches pour être propriétaires en decembre 2018, et en mai 2019, nous posons nos bagages dans notre nouvelle maison. Cette maison que nous avions tellement imaginés... Beaucoup trop grande pour nous ! On commençait a parler bébés, mais c’est vrai que moi qui attendais ce moment avec impatience, j’avais soudainement changé d’avis. Je voulais des enfants oui, mais pas tout de suite. Nous venons d’enmenager et il y a tellement à faire dans notre cocon pour qu’il nous ressemble. Je le sentais déçu. Il se sentait prêt. Je le voyais dans ses yeux, et ses paroles n’étais plus les mêmes. Pendant tellement d’années, la question que nous avions entendu des millions de fois, “a quand le bébé ?” , sa réponse n’était plus “on a le temps”. Je vous passe les détails, je ne prenais pas de contraceptions, et nous avions décidés de ne plus trop faire attention. On voulait pas de prendre la tête. Ca arrivera quand ça arrivera. Puis c’est arrivé, et franchement, je ne pensais pas que ça irait aussi vite. Moi qui pensais que les femmes mettent entre 6 mois et 1 an a tomber enceinte, alors quand j’ai vu les deux barres s’afficher, j’étais sous le choc.
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“ Chéri tu vas être papa !”
On en parlait y’a même pas un mois de ça, et ce soir je m’apprête a dire a Nico que nos vies vont prendre un tournant a 360 degrès. Bon je vous l’accorde, c’était pas l’annonce auquel je m’attendais, lui non plu d’ailleurs. On rentrait d’anniversaire, c’était minuit passé. J’étais saoule... et dieu merci car je ne savais pas que ce serait la derniere bouteille de Tariquet que je partagerais avec mes copines pendant un loooooong moment.
Je ne sais pas comment l’expliquer mais je le savais. Je sais pas pourquoi, on est rentrés et j’ai décidé de faire ce fameux test. C’était vachement le bon moment ! Quand j’y repense, je me dis que tourne pas rond chez moi... Je fais ma petite affaire, j’attend deux minutes, sans grande conviction, et là... le choc ! J’essayais de me concentrer sur le test, d’ouvrir suffisamment les yeux pour y voir plus net, et non je ne rêve pas. Nico rentre dans la salle de bain, je lui temps le test avec une haleine d’alcool et je lui dis juste “je crois que je suis enceinte”. Il avait l’air content, moins sous le choc que moi. Mais déçu de l’annonce. C’est vrai, j’aurais pu attendre le lendemain et lui faire un jolie cadeau, mais j’étais tellement angoissée que je ne pouvais pas garder ce secret pour moi. On se couche, je ne ferme pas l’oeil de la nuit. Le lendemain, Nico file  a la pharmacie acheter un test plus fiable. C’est vrai que celui de la veille venait d’action, un cadeau offert par ma soeur dans une box surprise. Je n’étais pas sur qu’il soit très très fiable ! Je recommence une deuxième fois, et là, pas de doutes, je suis bien enceinte de 3 semaines. Quel angoisse ! C’est dingue ! J’ai attendu tellement d’année ce moment si extraordinaire dans la vie d’un couple et la, j’étais terrorisée. Ah c’est sur que je ne ressemblais pas a toutes les pubs de filles apprenant leur grossesse... Heureusement que Nico était là, il m’a beaucoup aidé. Je vous parlerez bientôt de mes 3 premiers mois de grossesse entre rires et larmes.
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C’est mon premier article. Je reviens après tant d’années sans écrire. Mais j’en ressentais le besoin, vidés mes émotions, crier mon bonheur a travers les mots.
J’en profite pour vous remerciez de tout vos messages de bienveillance et de félicitations. Et bien sur, remercier Nico, l’homme de ma vie, le futur père de mon enfant, sans qui je ne serais pas la femme que je suis aujourd’hui.
 A bientôt !
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LUNDI 30 DECEMBRE 2019 (Billet 1 / 4)
Nous vous avons écrit que nous étions partis 10 jours au Sénégal pour « buller » mais que nous voulions marcher (d’où le choix de l’emplacement de notre chambre dans le Village), nous baigner (l’océan et la plage sont de loin ce que nous avons vu de mieux en Europe/Afrique !), lézarder sur des transats au soleil (ou à l’ombre, 32-35° rn moyenne dans la journée – fallait bien se protéger…) ET LIRE (pour nous changer les idées… nous en avions bien besoin), d’où les 4 livres que nous avions emportés.
Marina avait à terminer « Avec toutes mes sympathie » d’Olivia de Lamberterie et s’est lancée ensuite dans « Les choses humaines » de Karine Tuil (Prix Interallié et Prix Goncourt des lycéens 2019), qu’elle a fini dans l’avion du retour Elle vous en parlera dans un prochain Billet.
JM, lui, en était à la moitié de « Gabriële » d’Anne et Claire Berest (lu auparavant par Marina… que nous avons tous les deux finalement énormément apprécié, nous vous en parlerons également plus tard…). Après l’avoir terminé, il s’est plongé dans « Changer l’eau des fleurs » de Valérie Perrin. Toujours recommandé par Marina qui l’avait beaucoup aimé. JM, juste un peu moins mais il a quand même passé un bon moment en compagnie de son héroïne, Violette, et de la vie assez compliquée qu’elle a eue. Un roman « feuilletonesque » que l’on verrait bien transposé en une série à la télévision…
Puis il a commencé « Avec toutes mes sympathie »… dont il ne lui reste plus à lire qu’une dizaine de pages. Ce n’est pas un roman, c’est un récit autobiographique, écrit avec une délicatesse infinie, beaucoup de pudeur et dans un style, quand on connait l’auteur (elle est critique littéraire à TéléMatin, entre autre), qui correspond tout à fait à son personnage : simple et élégant.
Vous trouverez ci-dessous un article sur ce livre que nous vous recommandons TRES chaleureusement. Nous irons même jusqu’à copier Bernard Pivot qui, un jour, dans son émission « Apostrophes », en conseillant la lecture d’un livre de William Boyd, a dit qu’il rembourserait son achat à tout téléspectateur qui ne l’aurait pas apprécié.
Et bien, nous vous disons la même chose au sujet de « Avec toutes mes sympathies". Chiche ?
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"AVEC TOUTES MES SYMPATHIES"
Un récit de Olivia de Lamberterie (Livre de Poche - 7,70€)
Sa première œuvre a été l’une des sensations de la rentrée littéraire 2018. « Avec toutes mes sympathies », le bouleversant essai d’Olivia de Lamberterie, est bien plus qu’un hommage à son frère disparu. C’est l’histoire d’un deuil impossible à faire, de tabous  impossibles à percer, et d’un livre impossible à lâcher une fois ouvert...
Responsable passionnée de la rubrique "Livre" du magazine ELLE, Olivia de Lamberterie n’avait jamais ressenti la nécessité de s’atteler à l’écriture d’une œuvre, jusqu’au décès de son frère. En 2015, Alex, « cadet éblouissant au cœur sombre », met fin à ses jours et aux envies de lectures d’Olivia.
En colère, profondément triste, et empêchée par un tabou du suicide qui ne lui permet pas de s’exprimer comme elle le voudrait, la critique littéraire finit par se confronter à la première page blanche. Elle rédige alors le magistral essai « Avec toutes mes sympathies », le récit d’un drame familial, et d’une famille qui ne sait souffrir qu’"avec un devoir de réserve". Elle raconte son frère adoré, et si attachant, son éducation dans une famille bourgeoise du 16ème arrondissement de Paris, mais aussi la mélancolie, qui semble s’être abattue sur ses proches comme une malédiction. Une auto-analyse tendre, délicate et souvent drôle sur sa vie, et celles de toutes les personnes confrontées au suicide d’un proche.
UNE CRITIQUE SALUÉE PAR SES PAIRS
À sa sortie, en 2018, « Avec toutes mes sympathies » est non seulement applaudi par la critique, mais il est aussi plébiscité par le public d’Olivia de Lamberterie, qui la connaît déjà ou la découvre à travers sa plume d’écrivaine. Top 10 des ventes en pleine rentrée littéraire, son œuvre remporte même le Prix Renaudot Essai en novembre 2018.
Si ce récit intimiste a remporté tant de succès, c’est grâce aux talents d’écriture d’Olivia de Lamberterie, mais aussi à son habileté à observer et à interpeller. Face aux questions existentielles qui entourent le mystère du suicide, et qui ne sauraient trouver de réponse, l’auteure ne recule pas, et ouvre une réflexion salvatrice sur un deuil à jamais marqué par la double peine. Un ouvrage nécessaire et solaire, qui sort aujourd’hui aux éditions Le Livre de Poche, et que l’on (re)découvre avec émotion.
(Source : « elle.fr »)
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Une vibrante ode à la vie. Nathalie Crom, Télérama.
Un grand premier livre, portrait posthume splendide et déchirant. Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine.
Bouleversant mais incroyablement riche et vivant, ce livre est une leçon de vie pour chacun. Lydia Bacrie, L’Express
Prix Renaudot de l’essai 2018
Coup de cœur des Libraires
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liifeiisajoke · 6 years
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Je sais que c’est le méchant mais je peux pas m’empêcher de l’aimer ! (non, je n’aime pas le détester, je l’aime tout court !)
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evilisk-played · 5 years
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And So I Begin Labyrinth of Touhou's Postgame
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Labyrinth of Touhou is a game I've been playing on and off for the past five / six years. I've had like three, four, retries total in that period, though I finally cleared the game with a run that began in late, late 2018, and ended mid way through 2019. The game itself is one of my favourite RPG's ever and it's become tradition for me to play it in December (though the tradition in previous years was specifically “oh man, I should attempt to clear the game before X year finished”).
This year is a bit different since I actually cleared the main game for the first time. But just because I’m done with the main game doesn’t mean that it’s all over: I’m aiming to clear the Postgame before I finally take a crack at Labyrinth of Touhou 2 next year. While I technically began my Postgame playthrough a while back; I opted to just sort of destroy any of the new bosses I could that didn't require any new grinding, and that got me past a few V2 Bosses and 2 of the Bloodstained Seal bosses.
That worked for a while, but I got stonewalled by a few bosses and stopped. Now that it’s properly Decembre, I’ll be giving this game a bit more focus in between working on that visual novel. First up though: prepping my party and (shudders) allocating growth points for everyone...
New blog post series, I dub thee: “Labyrinthine December”
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wsj50th · 6 years
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Sortie aujourd’hui du numéro double 6 et 7 du Weekly Shonen Jump.
Magazine marqué par de belles pages en couleur : One Piece, Yakusoku no Neverland, Dr. Stone et Ranpa Rendan !
A noter l’absence de Boruto !
Je souhaite à tout le monde mes meilleurs vœux pour cette année 2019 !
Voici le sommaire et les pages en couleurs :
One Piece 929 (pages en couleurs) Jujutsu Kaisen 42 Haikyuu!! 333 Kimetsu no Yaiba 141 Black Clover 188 Yakusoku no Neverland 118 (page en couleur) Chainsaw-man 5 ne0;lation 4 Choujo Kessen!! (One-shot, Jump G-1 Grand Prix 2019) Dr. Stone 89 (page en couleur) Act-Age 48 Bokutachi wa Benkyou ga Dekinai 94 Ranpa Rendan (page en couleur, One-shot de Ryuuhei Tamura) Gokutei Higuma 4 Boku no Hero Academia 212 Shishunki Renaissance! David-kun 17 Yuragi-sou no Yuuna-san 142 Hinomaru Zumou 224 Shokugeki no Souma 294 Jimoto ga Japan 17
Sortie du #WeeklyShonenJump 2019 06-07 avec une double page couleur pour #OnePiece (10ères pgs sur le blog), pages couleurs pour : #YakusokuNoNeverland, #DrStone #RanpaRendan. A noter l'absence de Boruto ! #週刊少年ジャンプ #shonen #manga Sortie aujourd'hui du numéro double 6 et 7 du Weekly Shonen Jump. Magazine marqué par de belles pages en couleur : …
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Témoignage — Il y a un an les choses bougeaient enfin
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Il y a un an les choses bougeaient enfin.
(Texte écrit en date du 4 juin)
J'aime ce genre de souvenirs là.
Ils me font moins mal au coeur que ceux des temps et de ma vie avant l'agression. (Honnêtement me revoir durant mon voyage dans l'Ouest en 2015 ça me fait pas feeler bien. Je vois l'innocence et le bonheur dans mes yeux et je me dis "oh shit ma girl, tu savais tellement pas ce qui t'attendais en revenant au Québec.")
À même date l'an passé, après tellement de larmes, d'incompréhension, de rage, de déceptions, de mises en action, d'efforts et de résilience; j'ai reçu le signe que le processus irait enfin de l'avant. C'était le début d'un énorme soulagement. La spirale de descente avait atteinte le fond... Je me suis redonné une swing vers le haut. J'ignorais que le combat serait aussi ardu et long.
J'ai l'impression d'être sur le pilote automatique depuis 2 ans, depuis le dépôt de ma plainte. La vie défile devant moi. Tout défile vite. Et pourtant des fois ça parrait long longtemps.
À partir de juin 2018 tout a déboulé: dépôt des accusations, arrestation, remise en liberté sous conditions,  les commentaires désobligeants sur les réseaux sociaux, le débat que ça créer dans mon ancienne ville d'adoption, moi qui ne peut m'empêcher de lire ce que les gens ont à dire sur moi ou de regarder qui like les commentaires de qui. (thanks en passant, j'ai pu faire un beau ménage facebook — if you are neutral in situations of injustice you have chosen the side of the oppressor.)
Après est venue l'enquête préliminaire en septembre, l'impression que tout ça n'était qu'une comédie ou que ce n'est pas pris au sérieux (sachez que l'enquête préliminaire c'est un mini procès où seulement la victime témoigne. Et c'est là qu'on se fait poser milles et une question les plus idiotes qui soit), la crainte pour la suite, la peur que ça soit encore la même chose au vrai procès. L'état de dissociation qui durent quelques semaines. L'attente revient en force. Les remises de cour s'étale sur plusieurs mois, l'attente d'une date, d'une idée de quand tout ça va finir. D'une date où je pourrai enfin prendre la parole et arrêter de me taire.
Vient ensuite la remise sur pied:  je me mets en mode action et je décide que j'ai le droit de prendre soin de moi pour de vrai et de préserver mon énergie de toutes les façons possibles. Je rentre dans le mode guerrière. Prête à affronter tout ce qui s'amène vers moi. La date du procès est fixée. Le dernier sprint est devant moi. Deux jours fixés dans le temps. Deux jours inscrit dans mon calendrier de cell. C'est pu juste du parler pour parler: it's coming for real.
Pour être franche je ne sais pas à quoi je m'attendais quand je pensais au procès, mais c'est clair que je n'avais pas fait tous scénarios possibles dans ma tête finalement. C'était extrêmement éprouvant et retraumatisant.  M'avancer et monter dans le box en avant alors qu'il est à environ 1 mètre et quelques de moi, encore à gauche et par derrière comme dans l'agression.
Rester là pendant des heures, sur deux jours, avec le sentiment d'être encore à sa merci, sans pouvoir me tourner pour savoir s'il me regarde ou ce qu'il fait. Des heures et des heures à me faire poser les mêmes questions. Les choses qui changent c'est les compléments avant les verbes ou les verbes avant les compléments ou bien l'ordre de mon nom de famille au début de chaque question. Changer la tournure des phrases ou un mot qui change le sens de la question. Des phrases longues comme mon bras pour me mêler, de longs silences dans les questions, me faire suggérer pleins d'affaires, utiliser d'anciennes conversations où j'étais consentante à des rapprochements pour tenter de démontrer que j'étais sûrement consentante lors de l'agression. Le sentiment que c'est moi qui a fait quelque chose de mal au final, l'impression qu'il connaît des détails que j'ignore. C'est facile de se dire "il faut pas que j'essaie de comprendre où il veut en venir", mais le faire c'est une autre chose.
Je tiens à vous dire que pour moi les figures d'autorité c'est gros, c'est épeurant. La cour ça se passe pas comme on voit dans les films. À la télé c'est souvent basé sur le système judiciaire américain. Où l'accusé est coupable jusqu'à preuve du contraire. Bin ici c'est le contraire. Il est innocent jusqu'à preuve du contraire. C'est la victime qui se sent coupable et qui porte le fardeau de la preuve. Ma parole contre la sienne. L'impression que c'est moi l'accusé, ma vie et mes paroles sont passées au peigne fin: à la recherche du moindre détails pour me faire perdre la face.
Quand j'ai mis ma main sur la bible et que j'ai juré "de dire la vérité juste la vérité, dites je le jure" bin je l'ai dite la vérité. Dans tous les détails possibles, de toutes les façons possibles. En me répétant à maintes et maintes reprises. J'ai maintenu ma position, j'ai fais part de toutes les émotions que j'ai pu ressentir. Je me suis tenue debout. Droite comme une barre. Je me suis peut-être laissé marcher dessus, mais je ne me suis pas écroulée. J'ai vidé le sac que je portais sur mes épaules depuis le 18 decembre 2015.
Ce qui me fâche c'est de réaliser que mon agresseur et son témoin avaient le beau jeu et ont pu dire n'importe quoi pour le sortir du pétrin. Ma psy m'a fait comprendre que tous les accusés font ça. Les hells angels accusés de meurtre ne vont certainement pas dire la vérité juste la vérité même s'ils ont mis leur main sur la bible. C'est fâchant. Ma colère est légitime. Quand il est venu témoigner en avant, il a changé plusieurs détails de l'agression. Il est venu invalider mon histoire. Ses versions changeaient d'une fois à l'autre. Son avocat et lui ont tentés de me faire perdre toute crédibilité.
L'entendre parler, le voir, être dans la même pièce que lui ça a réactivé mon traumatisme.  Mon corps au grand complet le perçoit comme une menace. J'avais des chaleurs intenses dans le corps et des douleurs vives dans le cou, là où il m'a mordu. Le fait de devoir me remémorer chaque détails et de les répéter en boucle a aussi reactivé la plaie. J'avais aucun contrôle sur les réactions de mon corps. C'est frustrant ça aussi.
Les trois premieres semaines qui ont suivi le procès j'ai été dans une forte dissociation. Je commence juste à réaliser que ce n'était pas un rêve mais bien la réalité. Ça été rough. Je pense que personne ne peut s'imaginer comment on se sent sauf les autres victimes et les personnes qui ont assistées dans la salle. Mon estime de moi en a pris une claque. J'ai eu l'impression de me faire réduire en une moins que rien. Je suis encore en train de déconstruire tout ça avec ma psy et je sens que ça va me prendre un moment pour y arriver. Je vaux crissement quelque chose. I will prove you wrong. 
À la fin de la deuxième journée j'avais envie de disparaître, de me faire du mal. Ma rage était tellement grande. La journée s'est terminée par le speech de son avocat. Un retour complet sur le dossier, selon sa vision. Une énumération de tous les points me discréditant. Il a utilisé toutes les choses que j'ai faite de biens dans ma vie, en commençant par mon diplôme en éducation spécialisée. Il a dit que mes études devaient m'avoir montées à la tête et que c'est pour ça que j'avais un sentiment de vengeance (wtf!). Il a dit que moi aussi j'avais commis un crime au fond. Qu'étant donné que j'ai dis et que je n'ai jamais caché que j'avais consommé un speed ce soir là bin que c'est moi qui est plus dans le tort faut croire🤨. J'en passe et j'en oublie sûrement et c'est vraiment mieux comme ça.
La troisième journée m'a redonnée espoir en l'humanité. Le speech du procureur de la couronne était vraiment empowering. Il a parlé du mouvement me too. Il a dit qu'il faut écouter le cri du coeur des survivantes. Qu'il faut qu'on se fasse prendre au sérieux. Que ce n'est pas pour un vol de sac de chips que je porte plainte mais bien parce que je me suis fais voler une partie de mon intégrité et de ma dignité. Que ce n'est pas banal. Que c'est grave. Le procureur a dit que c'est la notion de consentement qui est le sujet de débat du procès et que moi je dis qu'il ne l'avait pas et qu'il n'a pas écouté ma parole alors que mon agresseur dit clairement que le consentement ce n'est pas quelque chose de nécessaire, qu'il n'avait pas besoin de me demander la permission pour faire ce qu'il a fait, etc. Le procès s'est terminé sur ça. Le juge a demandé deux mois de délibéré avant de rendre son jugement.
Ce qui me ramène à aujourd'hui. Ça fait un peu plus d'un mois déjà. Dans la dernière semaine, la pression et l'adrénaline retombe. J'ai les deux pieds sur terre. Ma tête est revenue. Mon esprit est dans mon corps. Je réalise l'ampleur de l'épreuve que j'ai traversée. Je pleure souvent et je vide mon verre trop pleins. J'ai accumulé beaucoup d'émotions et de fatigue  dans les dernières années. J'ai mal aux muscles du cou, du dos et des bras. J'ai été tellement contractée, tellement en hypervigilence à cause de sa présence durant le procès. C'est fou ce que le stress fait au corps. J'ai ressenti tellement de choses en même temps que les brakers dans mon cerveau ont tiltés. Pour me protéger, je me déconnecte. J'ai pas rêvé. Tout ça, ça s'est bien passé.
Depuis mars 2017, je suis dans l'attente constante de quelque chose. Je vis sur un automatisme. J'ai mis du temps à identifier ce à quoi je m'attends au fond. J'ai fini par mettre le mot dessus. Je ne lui souhaite rien de mal. Je ne lui en ai jamais souhaité d'ailleurs. Malgré ce que bien des gens peuvent penser ou dire. Ce que je lui souhaite c'est une guérison pour lui aussi. Je lui souhaite de prendre conscience de certains comportements inacceptables et de changer ses mentalités. Ce que je désire c'est qu'il soit reconnu coupable des gestes qu'il a eu envers moi. Qu'il ait lui aussi à porter un fardeau toute sa vie. Je ne pourrai jamais claquer des doigts et oublier ce qui s'est passé. Ça va me suivre toute ma vie. Je vais apprendre à vivre avec le choc post-traumatique. Les symptômes vont s'atténuer avec le temps, mais ils vont se faire réactiver souvent. J'ai pleins de triggers. Je les contrôle pas. Son nom, le nom du bar, entendre parler trop longtemps ou souvent du nom de la ville où c'est arrivé, le maudit emoji de diable qui ressemble trop à sa face et à ses yeux durant l'agression, sortir dans des bars du même genre, être entourée de trop de gens en même temps, la musique trop forte dans les bars, les becs dans le cou du côté droit, le mois de décembre, la noirceur, la ptite neige qui tombe le soir, etc. Il est là partout, trop souvent à mon goût. Sa face m'apparaît dans des moments randoms et ça me paralyse (btw ça c'est la bonne façon d'employer le mot paralyser ;)). Je demande pas à ce qu'il apparaisse, mais il le fait quand même et c'est pas nice. J'imagine qu'en étant reconnu coupable, il devra souvent se le remémorer lui aussi. C'est ça qui me ferait du bien. Qui me donnerait un sentiment que c'est égal ce qu'on vit. Que je suis pas la seule à rusher le choix des actions qu'il a fait (parce que oui c'est un choix. Il savait très bien ce qu'il faisait. Il ne pensait pas que je me tiendrais debout et que je continuerais de refuser ses gestes du début à la fin).
Avant de faire le choix égoïste d'écouter tes propres pulsions avant la parole de la personne en face de toi, penses y comme il faut. "Un non ça sonne jamais comme un oui. Tiens-toi le pour dit!"
Avant de discréditer ou d'invalider le témoignage de quelqu'un, mets toi à sa place. Avant de venir dire n'importe quoi ou de mettre des mots dans la bouche d'une survivante d'agression sexuelle, penses y à deux fois. Ça prend tout le courage du monde pour aller de l'avant et dénoncer ce qui nous est arriver. Ne pensez pas que c'est une partie de plaisir de traverser toutes ces étapes du processus judiciaire, de vivre dans l'attente constante et dans la peur des représailles au quotidien. Enlevez-vous de la tête que quand quelqu'un dénonce "c'est juste une fausse histoire ou qu'elle prend la parole juste pour foutre le trouble."
Non! Quand quelqu'un dénonce c'est parce qu'ielle considère qu'on a dépassé les limites et c'est tout à fait légitime.
Personne n'a le droit de forcer une autre personne à des gestes non consentis.
Pas même ton chum, ta blonde, ton ami(e), ton ancien amant, ton boss, un membre de ta famille, ton voisin, un membre du gouvernement ou un inconnu. Okay?! Personne, compris?!
Le linge que tu portais, ton attitude, tes comportements passés, ton état d'ébriété, ton état de consommation, le temps que ça te prend pour en parler, le temps que ça te prend pour aller chercher de l'aide, que tu aies crier, que tu te sois débattu ou non: tout ça ne sont pas des raisons valables pour discréditer ton vécu ou des raisons pour excuser les gestes que tu as subis.
Fuck la culture du viol. Fuck la masculinité toxique. Fuck la violence sous toutes ses formes. Non au victim blaming. 📣
Oui à l'égalité des sexes, au féminisme, au respect, à l'écoute, à l'amour, à l'entraide, à la douceur et aux pouvoirs de nos voix. Oui à la culture du consentement !
Depuis un an les choses ont bougées. Je sais qu'elles bougeront encore à la fin du mois.
Patience, gratitude, repos, soulagement. La pression d'après procès retombe tranquillement. J'accueille et je célèbre ma renaissance. C'est le début de ma nouvelle vie. Je commence à me libérer de l'attente. J'ai hâte d'entendre les mots qui me libèreront enfin d'une autre partie du fardeau. Il n'y a pas de victimes parfaites et ça me fait du bien de réaliser que je n'ai pas besoin d'en être une non plus.🕊🦋
Rajout en date du 27 juin suite à la condammation de mon agresseur.
Le juge l'a reconnu coupable pour les deux chefs d'accusation retenus contre lui, soit agression sexuelle et voies de fait causant lésions. Une grande victoire et un énorme soulagement.
Je veux que les victimes d'agressions sexuelles sachent qu'il faut en parler rapidement quand ça arrive. Il faut évacuer le traumatisme.
Il faut s'entourer de gens de confiance qui nous croient et qui nous supportent. Il faut aller chercher de l'aide . Que ce soit d'appeller à la ligne ressources pour les victimes d'agressions sexuelles, les calacs, les cavac, aller à l'hôpital pour demander d'être vue en urgence par une t.s., en parler à des membres de sa famille pour se faire enligner là où il faut aller, à des amis etc. Que cest important de crever labces et de se faire valider dans nos emotions le plus vite possible. Que cest legitime de sentir qu'on a été à l'encontre de notre volonté et que c'est dans notre droit de se lever pour faire valoir nos droits. Je veux que chaque personne prenne conscience de l'impact qu'il ou elle peut avoir dans la vie des autres. Une personne en état de choc n'est pas en mesure de savoir quoi faire souvent. Et c'est aux gens autour de l'aider et de l'amener vers les ressources d'aides. Je veux aussi dire à la population que c'est dans notre droit d'exiger que quand on porte plainte pour agressions sexuelles il FAUT que ça passe par la voie criminelle. Pas par la voie sommaire. Cest un acte criminel et c'est grave. Et il n'y a personne qui a le droit de classer une agression comme étant moins grave qu'une autre. Dans la voie sommaire, c'est pour les delis classés moins graves qui encourent des peines moins grandes. Et dans cette voie, il existe un délai de prescription de 6 mois et c'est carrément insensé de mettre cette pression là sur les épaules des victimes. Ce n'est pas realiste comme délai. Ça prend souvent plusieurs semaines voir plusieurs mois ou années pour constater l'impact de l'agression dans nos vie, de sortir de la torpeur et de réaliser l'ampleur du choc et de la douleur émotionnelle, mentale et physique. Il faut qu'on soit davantage à se lever pour faire changer cette façon de faire. Une agression sexuelle est un crime qui vient à l'encontre de nos droits fondamentaux. On se fait prendre une partie de notre âme,  de notre dignité, c'est une grosse partie de botre intégrité qui est touchée. Ça vient détruire le sentiment de sécurité qu'on se construit depuis notre enfance. Ça enlève l'impression que le monde est bon et sécure. C'est important d'être cru et entouré pour nous permettre de retrouver ce sentiment de sécurité et le sentiment de contrôle sur notre vie et sur notre corps. C'est loin d'être banal et ça ne peut pas être classé comme quelque chose de moindre. J'encourage de tout coeur toutes les personnes qui ont subis des abus, des sevices, des attouchements, des agressions, des viols à prendre la place qui leur est destinée et à reprendre le pouvoir sur leur vie. Il faut en parler. Quand on en parle on réalise qu'il y a tellement de gens autour de nous à qui c'est arrivé aussi. La honte et la culpabilité appartiennent à l'agresseur et pas à la victime. Ça suffit d'avoir l'impression que c'est nous le coupable dans cette histoire. Le système de justice doit changer sa façon d'aider les victimes. Le fardeau de la preuve c'est lourd à porter et ça devrait être à l'accusé de devoir se défendre du crime qui lui est reproché. C'est la responssbilité de tous et chacun de faire renverser la mentalité des gens et de créer la culture du consentement.
Evelyne Babin-Rhéaume, indestructible.
Evelyne Babin-Rhéaume
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