Tumgik
#de cendres et de fer
eyestoheaven-rpg · 4 months
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Sur Nos Cendres se réinvente pour devenir Eyes to Heaven. Plutôt city sombre aux mille possibilités que forum gangs, le contexte lui aussi se réinvente légèrement pour accueillir chacune de vos idées, qu'elle soit plus light ou sombre. Le forum se base sur le destin mais aussi sur les rêves, trop de fois abandonnés. Vous trouverez le lien du discord plus bas si vous souhaitez nous rejoindre ! Sur ce dernier, vous pouvez d'ores et déjà réserver un avatar, parler de vos idées.
Entre les murs couleur rouge d’une ville qui n’ose plus fermer les paupières, rêves aux pouvoirs mystiques, sont encore capables de glisser brin d’espoir dans ruelles assombris de la douce Birmingham. Ils ont tant rêvé, un peu trop sans doute, avant de devenir prisonniers du néant, de ce vide qui n’appartient qu’à ceux qui ne songent plus. Adieu les rêves décimés, adieu l’envie fugace de construire quelque chose sur la durée. Alors que certains naissent sous une bonne étoile, d'autres luttent pour chaque once de chance qui pourrait changer le cours misérable existence. Le destin comme force implacable se joue des béats, trône de fer sur ces âmes égarées, presque piégées, entre ses bras, ils ne partiront pas. On ne quitte plus Birmingham, on y meurt, on y renaît, mais on y reste à jamais, marqués par l’emprise. Poignée de gamin s’épuisent à courir après ce soupçon d’adrénaline, cherchant à défier leur destinée en quête de ces fragments éperdus. D’autres l'acceptent avec triste résignation. Chanceux ou malchanceux, chacun est maître de son dessein aux mille enjeux. Mécréants, avares, insipides, le dessein n’est plus en leur faveur, il suffit de leur porter un regard : se meurent déjà les espoirs avant même de quitter les caboches. Ils ne peuvent échapper à ce qui leur est prédestiné, pas sans brin de chance, porteur d’un espoir mort-né. Pourtant, phénix renaissent, parent leurs pelages de plumes osées, reconstruisent leurs rêves à la force de quelques larmes. Ainsi s’épuisent les insomnies, les rêves ne sont jamais loin pour ceux qui laissent le sort décider de leurs destins.
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alexar60 · 1 year
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Le musicien fantôme
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L’averse me réveilla subitement. Karen ne semblait pas dormir non plus. Ses yeux mi-clos laissèrent plutôt à penser qu’elle somnolait. Soudain, je réalisai une chose importante. Elle leva la tête en même temps que moi.
Merde, le coffre !
Aussitôt, je me levai et sortis de la tente suivi par ma compagne. Effectivement, j’avais oublié la bâche de la petite carriole attachée à mon vélo. Elle servait pour mettre nos affaires pendant notre voyage. C’était l’idée de Karen que de faire un road-trip entre Prague et Paris…à bicyclette. C’était aussi son idée du camping sauvage. Surtout que nous étions perdus en pleine campagne autrichienne.
Bien qu’elle fut déjà rempli et nos affaires trempées, je m’acharnai à recouvrir la carriole. Karen récupéra son sac fourre-tout pour en sortir une lampe qui m’aida à y voir mieux. Tout-à-coup un éclair illumina le ciel. Je vis la foudre tomber sur un arbre qui prit feu instantanément. En dessous, notre tente n’échappa à l’incendie, s’enflammant aussi rapidement que l’éclair suivant, qui était déjà à plusieurs kilomètres.
Pétrifiés par cet accident naturel, trempés, fatigués, nous restâmes à regarder la tente se réduire en cendre. Cependant, la pluie continuait de tomber. Ma copine regarda son téléphone, il n’y avait pas de réseau. Le mien était resté à côté de mon sac de couchage…dans la tente, avec mes papiers, mon portefeuille… Bref, je me retrouvai perdu dans un pays étranger sans papier.
Il y avait un mur ! Je me souviens qu’il y avait un mur plus loin quand nous sommes arrivés, dit Karen.
Hé ?
Qui dit mur, dit maison. Ajouta-t-elle en haussant les épaules. C’est évident !
Nous partîmes éclairés par les lampes de nos vélos. La charrette que je tirai parut lourde à cause de l’eau. Aussi, je me retrouvai à aller moins vite que mon amie. Après quelques kilomètres, nous aperçûmes le fameux mur. Il nous a suffi de le longer pour trouver son entrée. La chance fut de notre côté car la grille n’était pas fermée.
Dès lors, nous pénétrâmes dans l’enceinte. Curieusement, des lampadaires éclairaient la route amenant à un grand manoir. Avec ses tours sur le côté, il aurait eu sa place parmi les châteaux de la Loire. Nous descendîmes et posâmes nos vélos contre un muret, avant de grimper un escalier. La porte principale était grande ouverte. Le hall éclairé par un lustre semblait vide si ce n’est cet étrange personnage habillé d’un costume de domestique. Il restait debout, les jambes raides, le dos droit tel un mannequin de devanture.
Karen expliqua nos déboires dans un allemand imparfait. Mais, l’homme sourit et répondit en français. Je trouvais que sa barbiche n’allait pas avec sa tenue de maitre d’hôtel.
Soyez les bienvenus, le concert va bientôt commencer.
Il nous pria de le suivre. Aussitôt nous entrâmes dans une grande salle aux plafonds profonds. Une vingtaine de personnes attendaient silencieusement, assis sur des chaises aux pieds de fer. Nous étions en plein contraste avec eux. Nous étions trempés, les cheveux dégoulinant d’eau. Je portais un bermuda et un sweet-shirt à capuche, Karen était habillée d’un short et d’un pull marin. Tandis que les vêtements des spectateurs semblaient sortir des plus grands magasins de vêtements de luxe de Paris ou de Vienne.
Je me retournai pour demander une serviette, mais notre hôte était déjà parti. Alors, nous avançâmes sous les regards curieux. Ils semblaient blafards, le teint d’une pâleur extrême. Tout leur corps parut voilé. De même, un léger bourdonnement agaça mon esprit. Nous marchâmes dans un silence glacial. Hélas, les deux seules places disponibles étaient devant. Elles n’attendaient que nous.
A ton avis, c’est quel genre de spectacle, murmura ma chérie.
Le bal des vampires, répondis-je.
Elle pouffa de rire, mais fut réprimandée par un « chut » qui imposa de nouveau le silence. C’est à ce moment qu’une porte, au fond de la salle, s’ouvrit. Un homme de taille moyenne, le visage jeune, les cheveux bruns coiffés en arrière, le regard d’un bleu profond, entra. Il avait aussi le visage blanc, et une sorte de voile se déplaça en même temps que lui. Je remarquai la présence d’un piano.
Cependant, le musicien tenait un violon. Il posa son instrument sur son épaule, et à l’aide son archet, il commença à jouer. Dès les premières notes, je fus subjugué par la musique. Elle m’envahissait, me prenait les tripes. Il jouait merveilleusement bien. Il impressionnait si bien que je ne pus retenir une larme, je sentis un frisson parcourir les poils de mes bras. J’écoutais dieu qui jouait du violon.
Il joua de tout, Chopin, Haendel, Brahms, Vivaldi, Tchaïkovski…Chaque mouvement était juste et touchait le cœur. Chaque note reflétait sur le mur, se transformait en personnage et dansait au rythme de la musique. Elle racontait une histoire. Mon amie posa sa tête sur mon épaule tout en serrant mon bras. Elle était fascinée par cette harmonie. Jamais nous n’aurions pensé écouter pareil concerto et jamais, nous n’aurions pensé ressentir autant d’émotion en écoutant un artiste jouer. Etonnamment, peut-être par respect, personne n’applaudissait entre les morceaux.
Je ne peux dire combien de temps cela dura exactement. Il finit son concert par le canon de Pachelbel. Encore une fois, sa musique toucha les âmes. Il glissait avec son archet sur les cordes de son violon. Je ne réalisai pas que personne ne jouait au piano. Il était seul et pourtant, j’entendais aussi le piano jouer.
Puis, il s’arrêta subitement. Il écarta les bras en croix avant de baisser la tête en signe de remerciement et de salut. Je me mis à applaudir, accompagné par Karen. Surpris de ne pas entendre les autres, faire de même, je tournai la tête et fus stupéfait de ne voir personne. Il ne restait que des chaises vides.
Où sont-ils passés ? demanda ma compagne.
Et lui ? demandai-je aussi en pointant le doigt vers la petite estrade.
Le violoniste avait aussi disparu. Je ne m’étais pas non plus rendu compte que les bourdonnements venaient de cesser. Nous restâmes abasourdis et seuls dans la salle qui devint  tout-à-coup immense.
Soudain, trois gros coups résonnèrent, puis un rire…un rire glacial…un rire qu’on n’oublie pas. Karen se colla à moi. Nous regardâmes les portes mais personne n’entra. Nous restâmes un long moment dans le silence à attendre sans savoir quoi faire. Nous entendîmes un oiseau piailler. Dès lors, nous comprîmes que le jour se levait. Nous profitâmes de cet instant pour quitter la salle. Mon amie constata les énormes toiles d’araignées un peu partout dans la salle et le hall. Je découvris la porte à moitié abimée, Nous quittâmes le lieu qui paraissait abandonnée. D’ailleurs la majeure partie des fenêtres n’avait plus de carreau intact. Cependant, j’aperçus un rideau s’écarter mais aucune silhouette visible.
La pluie ayant cessé, nous pûmes regagner un village proche. On nous dirigea vers un poste de police, car j’avais besoin de déclarer la perte de mes papiers suite à l’incendie de la tente. Je racontai en anglais notre nuit. Le policier demanda à mon amie, ensuite à un traducteur leur version. Il semblait horriblement embêté. Il se leva discuta avec un collègue, prit ma déposition, au moins pour l’assurance, et nous conseilla un bon hôtel restaurant.
Après une douche, un peu de repos, nous descendîmes nous restaurer. La patronne, qui parlait français, nous interpela tout en nous installant à une table.
Donc, vous avez passé la nuit au Rotes Herrenhaus? Tout le monde a peur d’aller là-bas. Il parait qu’il est hanté.
Mais, il est bien habité ? Questionna mon amie.
Ah non ! Plus depuis au moins la guerre.
Nous restâmes muets tout en la dévisageant. Nous ne savions pas si elle se moquait de nous, si elle avait discuté avec les policiers, les seuls qui étaient au courant de notre nuit. Mais elle interrompit notre silence :
Il parait que le dernier propriétaire était si bon musicien qu’un jour, le diable serait venu lui proposer un défi musical. S’il gagnait, il obtiendrait ce qu’il voudrait. Mais s’il perdait, son âme et son don appartiendrait au diable. Il aurait gagné, mais le diable, mauvais perdant, lui vola tout, le poussant au suicide. Ce qui l’envoya en enfer. Le diable, se sentant coupable d’avoir obtenu une âme aussi facilement, accepta qu’il revienne dans son château chaque nuit d’orage pour jouer.
Et il y a eu un orage cette nuit. Ajouta-t-elle avec un petit sourire.
Je remerciais la dame pour ses explications, ajoutant que c’était une belle histoire. Je préférais laisser cette histoire aux légendes du coin. D’ailleurs, Karen était d’accord : Confirmer une histoire de fantôme pouvait nous être nuisible ainsi qu’au fantôme. Dès lors, je pris le menu et commandai une escalope viennoise. Elle était succulente.
Alex@r60 – août 2023
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aurevoirmonty · 2 months
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"Jours de loups solitaires. De cœurs à la dérive, de soleils froids et de vents terrifiants. Jours d'obscurité, où les héros s'accrochent à la boue de la dévastation pour ne pas sombrer. Jours de fer, du matin au crépuscule, mais l'aube est à nous avec ses mystères. Jours de petites meutes, d'arbres brûlés par les cendres rouges des nouvelles batailles. Jour après jour, accrochés par les chevilles au sombre sentier de ce cycle final."
Juan Pablo Vitali
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quote-tournament · 1 year
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Hi! I have to recite 6-8 lines of poetry for my drama class, but I don’t have any ideas. I know this blog has reblogged some poetry and people have sent asks with poetry, so could you or anyone who sees this suggest some good poetry? It has to be something you can say with full commitment and passion.
Ho for sure! Once I had to do a similar thing for a class, by giving a "gift" and my gift was Wendy Cope's The Orange, since it is one of my favourites.
Others of my favourites include Victor Hugo's Melancholia, Laura Gilpin's The Two Headed Calf, Stephen Crane's In The Desert, Meggie Royer's The Morning After I Killed Myself (poems under the cut)
If you want some more I recommend you check out @poetrysmackdown @apoemaday @havingapoemwithyou
The Orange by Wendy Cope
At lunchtime I bought a huge orange - The size of it made us all laugh. I peeled it and shared it with Robert and Dave - They got quarters and I got a half. And that orange, it made me so happy, As ordinary things often do Just lately. The shopping. A walk in the park. This is peace and contentment. It's new. The rest of the day was quite easy. I did all the jobs on my list And enjoyed them and had some time over. I love you. I'm glad I exist.
Melancholia by Victor Hugo (extract)
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ? Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d’une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer. Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l’enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu’a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait — c’est là son fruit le plus certain ! - D’Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d’un enfant ainsi que d’un outil ! Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? » Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme, Une âme à la machine et la retire à l’homme ! Que ce travail, haï des mères, soit maudit ! Maudit comme le vice où l’on s’abâtardit, Maudit comme l’opprobre et comme le blasphème ! O Dieu ! qu’il soit maudit au nom du travail même, Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux, Qui fait le peuple libre et qui rend l’homme heureux !
English translation by Geoffrey Barto
[Where do these children go for whom nobody laughs?
These sweet, pensive beings wasted away by fever?
These eight-year-old girls you see walking alone?
They go to work — fifteen hours in the mill;
They go from dawn to dusk, eternally repeating
The same motions in the same prison.
Stooped beneath the teeth of a somber machine,
A hideous monster that chews who-knows-what in the shadows,
Innocents on the chain gang, angels in some hell,
They work. Everything is bronze, all is iron.
Never do they stop and never do they play.
And what paleness! Ash upon their cheeks.
Barely it is dawn, already they are tired.
They understand nothing of their fate, alas!
They seem to say to God: “Little as we are,
Our Father, look what the men do to us!”
O infamous servitude imposed upon the child!
Stunting! work whose stifling breath
Undoes what God has made; that kills, senseless work,
The beauty of their faces, the thought in their heads,
And which would make — here’s its most certain fruit! -
A hunchback of Apollo, a cretin of Voltaire!
Evil work that takes tender youth in its grasp,
That produces wealth by creating misery,
That uses a child like one more tool!
Progress of which we ask: “Where are you going? What do you want?”
That breaks youth in bloom! that gives, in sum,
A soul to a machine and yanks it from a man!
That this work, hated by mothers, be cursed!
Cursed as a degenerative vice!
Cursed as damnable, cursed as blasphemy!
O God! be it cursed even in the name of work,
In the name of true work, healthy, fecund, generous,
That makes the people free and makes man happy!]
The Two-headed Calf by Laura Gilpin
Tomorrow when the farm boys find this freak of nature, they will wrap his body in newspaper and carry him to the museum. But tonight he is alive and in the north field with his mother. It is a perfect summer evening: the moon rising over the orchard, the wind in the grass. And as he stares into the sky, there are twice as many stars as usual.
In The Desert by Stephen Crane
In the desert I saw a creature, naked, bestial, Who, squatting upon the ground, Held his heart in his hands, And ate of it. I said, “Is it good, friend?” “It is bitter—bitter,” he answered; “But I like it “Because it is bitter, “And because it is my heart.”
The Morning After I Killed Myself by Meggie Royer
The morning after I killed myself, I woke up. I made myself breakfast in bed. I added salt and pepper to my eggs and used my toast for a cheese and bacon sandwich. I squeezed a grapefruit into a juice glass. I scraped the ashes from the frying pan and rinsed the butter off the counter. I washed the dishes and folded the towels. The morning after I killed myself, I fell in love. Not with the boy down the street or the middle school principal. Not with the everyday jogger or the grocer who always left the avocados out of the bag. I fell in love with my mother and the way she sat on the floor of my room holding each rock from my collection in her palms until they grew dark with sweat. I fell in love with my father down at the river as he placed my note into a bottle and sent it into the current. With my brother who once believed in unicorns but who now sat in his desk at school trying desperately to believe I still existed. The morning after I killed myself, I walked the dog. I watched the way her tail twitched when a bird flew by or how her pace quickened at the sight of a cat. I saw the empty space in her eyes when she reached a stick and turned around to greet me so we could play catch but saw nothing but sky in my place. I stood by as strangers stroked her muzzle and she wilted beneath their touch like she did once for mine. The morning after I killed myself, I went back to the neighbors’ yard where I left my footprints in concrete as a two year old and examined how they were already fading. I picked a few daylilies and pulled a few weeds and watched the elderly woman through her window as she read the paper with the news of my death. I saw her husband spit tobacco into the kitchen sink and bring her her daily medication. The morning after I killed myself, I watched the sun come up. Each orange tree opened like a hand and the kid down the street pointed out a single red cloud to his mother. The morning after I killed myself, I went back to that body in the morgue and tried to talk some sense into her. I told her about the avocados and the stepping stones, the river and her parents. I told her about the sunsets and the dog and the beach. The morning after I killed myself, I tried to unkill myself, but couldn’t finish what I started.
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Quote
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs, que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous les meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain , tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre Père, voyez ce que nous font les hommes ! » Ô servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, oeuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les coeurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain !- D'Apollon un bossu, de Voltaire un Crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on se demande «Où va-t-il? que veut-il?» Qui brise la jeunesse en fleur ! Qui donne, en somme, Une âme à la machine et la retire à l'homme !
Les Contemplations, Victor Hugo (1858)
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claudehenrion · 1 year
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La fin des grands empires et des civilisations
  “Nous autres, civilisations, savons que nous  sommes mortelles”, écrivait Paul Valéry au lendemain de la Grande Guerre… Perse, égyptien, inca, aztèque, maya, grec, romain, moghol ou, plus tard, européens puis américain… les   empires se sont effondrés un à un, avec les civilisations qui les avaient portés, le plus souvent non dans la guerre, mais parce qu'ils ont “pourri” de l'intérieur. Et il semble qu'il y ait comme un plafond de verre : très peu d'Empires ont dépassé  les 250 ans de notre “paradigme” européen. L’Histoire pourrait-elle nous convoquer devant son tribunal ?
La naissance et la fin des Empires a toujours exercé une forme de fascination, que montre le nombre de livres sur “The rise and fall of the XYZ Empire”, –Vie et mort de tel Empire. Depuis la nuit des temps, certains peuples ont imposé leur domination, pour une cause identifiable : le fer, l'or, la foi ou l'esprit –mais jamais le hasard. Plus tard, ils ont tous disparu (“Tout empire        périra”, dit un adage jamais démenti), pour des raisons multiples : crises de croissance, allongement sans fin des lignes de contrôle, non-assimilation des populations conquises, épuisement de “la source” (généralement : une ville, un roi guerrier), paupérisation économique, affaissement du modèle, faiblesse militaire ou apparition et renforcement de rivaux intérieurs et extérieurs. L’ambition ou le rêve d’être universel et éternel finit toujours par se heurter à la résistance de plus  fort que soi, et le temps-qui-passe multiplie les opportunités de voir se dresser des “challengers’‘ qui rêvent de contester ce qui est, au nom de leur propre ’'être” ou du refus de leur “avoir été” soumis ou vaincus.
“La fin des empires” (Editions Perrin), sous  la direction des historiens Patrice Gueniffey et Thierry Lentz,  raconte, explique et analyse la naissance, le déclin et la chute  des plus grands empires, depuis le génie militaire  d'Alexandre le Grand… jusqu'au soi-disant soft power économico-politique de Washington (le plus brutal et le plus impitoyable n'étant pas forcément celui qu'on croit !), en passant par le modèle romain dit “classique” et son héritier byzantin, par les empires des steppes (Attila, Gengis-Khan, Tamerlan), l'Empire ottoman, les  empires amérindiens et le binôme latino-continental espagnol, précédant le XX ème siècle des idéologies (1914-1991) qui a vu tour à tour s'effondrer l'empire des Habsbourg, le IIIe Reich, le Japon militariste, puis, après la guerre froide, le communisme soviétique, héritier inhumain et épouvantable de l'impérialisme séculaire de la dynastie des Romanov.
Brisés dans leur histoire par les deux guerres mondiales, par la faillite des totalitarismes et par le déclin de l'Europe qui avait peu ou prou dominé le monde depuis le XVIe siècle, les empires ont pu sembler condamnés avec “La Fin de l'histoire” (F. Fukuyama –1992). Mais si les empires  existants disparaissent, tout se passe, en fin de compte, comme s'il existait une cause cachée, de nature humaine, que mon maître André Siegfried désignait par “L'Ame des peuples” (une anecdote “perso” : dans les années ‘55, j'empruntais les “cartes” de mes amis pour aller suivre ses  cours à Sciences Po, avant de le retrouver, plus tard et plus officiellement, au Collège de France où j’ai eu la chance de mieux le connaître)
Car l'impérialisme, même mort, semble renaître sans cesse de ses cendres : les avatars de la Chine, l'éternel retour de la Russie, les rêves “ottomaniaques” d'Erdoğan, le poids sans cesse renouvelé des Etats-Unis, et même “l'Umma” arabo-musulmane, ce rêve de la “renaissance” d'un califat fantasmé… tout, dans l'Histoire, exprime la nostalgie de temps “heureux”, même inventés, comme le rêve islamiste (cf. “La gestion de la Barbarie”–2004). A l'opposé de ce programme ravageur, “La fin des empires” est essentiel pour connaître hier,      comprendre aujourd'hui, et prévoir demain. C’est, plus qu'un livre d'histoire, une étude sur l'Histoire, car… quels points communs peut-on trouver, intuitivement, entre la Grèce antique, les empires mongol puis moghol, le IIIe Reich allemand, les empires coloniaux français ou portugais et l’empire aztèque, par  exemple ?
Et pourtant, il ne se peut pas qu'il n'y en ait pas : depuis 5000 ans, des organisations politiques ont rassemblé des peuples, des langues et des religions sous la férule d’un empereur “en armes” prétendant peu ou prou à une vocation ou à un destin universels. Résultat : un “Empire” ne se définit pas par son      étendue (l’empire napoléonien “fait’'8,6 millions km² en 1811, et l’empire des steppes fondé par Gengis Khan, 33 millions km² à son apogée, du Pacifique à la Turquie actuelle)… ni par la durée (mille ans pour l’Empire byzantin, sept ans pour le IIIe Reich)… ni par une religion (il existait 30 000 dieux, vernaculaires ou importés, dans la Rome Impériale… d'où sans doute la célèbre expression : ’'Ils sont fous, ces romains’’ !)… et encore moins par le mode de gouvernement qui va d'une large autonomie aux peuples soumis (Athènes, Rome) à une centralisation paranoïde (la Sublime Porte, la Grande Russie, ou la tentation de  l'ogre  dit ‘’européen’’ actuel).
Les raisons de la création d'un Empire sont peu nombreuses et bien connues : il faut et il suffit d'un homme qui en rêve, d'un dieu qui le soutient, et de quelques critères de nature militaire : les armes de cuivre des hittites ne pouvaient que se rompre devant les épées de fer des égyptiens, les flèches des Incas  devant les tromblons des Conquistadores, la flotte vénitienne devant le ’'feu grégeois” et l'Europe de 1800 devant l'idée de  Napoléon de faire se déplacer les unités de la Grande Armée plus vite que tous ses ennemis, “d'Espagne en Autriche” (cf le célèbre monologue de Flambeau). Mais aussi notre belle infanterie devant la ruée des Panzers de Gudérian, en mai 40, et notre armée conçue pour l'Europe devant les mille ruses des “Bộ đội” fanatisés  de Ho Chi Minh… L'idée motrice, finalement, serait une tentative d'arrêter l'histoire (en la figeant dans une structure dont la taille assurerait une forme d'éternité) même si cette tentation a toujours été vouée à l’échec… ce qui n'empêche pas la vraie fascination qu'elle continue d'exercer.
En revanche, les causes de leur effondrement sont multiples : l’ambition  d’universalité se heurte aux résistances… le temps qui multiplie les opportunités … l'administration de territoires immenses… les mécanismes de succession (cas de l’empire carolingien et de l’empire mongol, qui éclatent en autant de royaumes que d’héritiers)… la désagrégation interne (pour l’empire soviétique)… la faiblesse ou la folie (Hitler et Staline, ces frères ennemis)… le coût du maintien d'un un appareil militaire suffisant (la principale menace pour les États-Unis)… les intrigues pernicieuses de la Cour ou du Harem (la Sublime Porte)… et le recours aux troupes mercenaires (Rome, et dynastie Qing, en      Chine)… l'inconscience des menaces et la trahison (Byzance)… l’inutilité de la super-structure du Saint Empire romain germanique…. Les causes sont nombreuses : presque autant que les Empires !
Que nous réserve la suite ? En fin de compte, se pencher sur la fin des empires, c’est s’interroger sur leur retour, favorisé par le déclin de l'Europe : la chute de l’Union  Soviétique semble avoir été le dernier épisode de la notion      classique d'Empire… (en pire… si j'ose !), même si l'évolution de la construction bruxelloise nous fait régresser vers l’époque médiévale du Saint Empire romain germanique –qui avait réussi à coiffer des duchés et des cités dans un ensemble à peine moins inconsistant que l’actuelle Union Européenne, en      tentant –c'est patent dans le second cas–  de contrer l'Etat-Nation, en le décrétant, contre toute évidence, populiste, réactionnaire, démagogue ou europhobe, voire “illibéral” – ce qui ne veut rien dire. Mais rien ne les arrête : ils se croient à l’abri et osent tout et n'importe quoi
Ce concept d'Etat-Nation, qui a “fait” l'Europe, est né au XIII ème siècle en France quand Philippe Auguste a décrété : “Le Roi est Empereur en son royaume”, illustration d'une volonté de renforcer l'institution royale et d'assurer sa suprématie sur toute autre puissance. L’État-Nation  connaît ses débuts réels à la Renaissance et devient la forme normale d’organisation politique dans la seconde moitié du XIXe siècle. Paradoxalement, c’est en Europe et par l'Europe-institution qu’il semble se déliter maintenant, dans un  pas de deux entre les “modèles” d'Empire et d'Etat-Nation.. Que nous réserve la suite ? L’avenir semble hésiter entre  des empires économiques (USA), théocratiques (l'islam) ou iso-messianiques (Chine), la pérennité d’États-Nations, l’Europe-institution déjà ratée, d’autres formats à créer…
H-Cl.
PS. : Dans mes recherches pour cet éditorial, je suis tombé sur la liste des dix  plus grands empires de l'Histoire, ce qui pourrait intéresser certains d’entre vous, Amis lecteurs. ‘‘Sic transit gloria mundi‘’ : voilà comment disparaît la gloire  du monde… Cette liste, recopiée ‘’in texto’’, raconte une autre vision de l’Histoire du monde : une nette domination des pays ‘’du Croissant d’or’’ jusque vers l’an mil de notre ère, puis l’Asie jusqu’au XIIIè siècle… et l’Europe  ensuite (l’Empire Américain qui en est le pseudopode n’est pas mentionné dans cette étude : il est trop flou dans ses limites mais nous savons qui est le chef, aujourd’hui). Et demain ? Qui ? Où ?
          1 - Empire britannique (35 500 000 km2 en 1920)           2 - Empire Mongol  (33 200 000 km2 en 1279)           3 - Empire russe (22 800 000 km2 en 1895)           4 - Empire espagnol (22 000 000 km2 en 1810)           5 - Dynastie Qing (14 700 000 km2 en 1790)           6 - Empire colonial français (13 500 000 km2 en 1939)           7 - Califat abbasside (11 100 000 km2 en 750)           8 - Califat omeyyade (11 000 000 km2 en 720)           9 - Dynastie Yuan (11 000 000 km2 en 1310)           10- Empire colonial portugais (10 400 000 km2 en 1820)
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recapqsmp · 1 year
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Vendredi 28/07 - N'est pas Michael Scofield qui veut
Pac & Mike sont emprisonnés chacun dans une cellule se faisant face. Cucurucho leur a fourni un livre contenant les raisons pour lesquelles ils sont emprisonnés.
Ils ont pu apercevoir le planning des prisonniers. Ils ont reçu le manuel du prisonnier. Ils ont aussi croisé WalterBob, qui "vit ici depuis des années", ainsi que des gardes.
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Après avoir pris un repas, ils ont été forcé de travailler. Leur premier boulot : construire une petite maison. Ils ont récupéré 2 points en faisant une petite maison en bois. Ils ont évidement essayé de crafter une épée et un bateau pour s'échapper, mais les gardes ont fait des fouilles pour être sûr qu'ils n'aient rien dans leur cellule.
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Walter et Tazercraft ont discuté un peu (Walter les croit quand ils disent n'avoir rien fait) et il leur a révélé que les gardes vérifient les cellules toutes les 2h. Walter, la nuit, a donné les codes des cellules à Tazercraft (qui ont pu voir la cellule triste de WalterBob).
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En se baladant dans la prison, Pac&Mike ont trouvé une cellule avec des panneaux marquant "TO BE TRANSFERED SOON", et "SHHH". Au réveil, après déjeuner, ils ont eu a "construire quelque chose de beau", avec pour ressource de la cobblestone et des minerais. Ils ont eu l'idée de cacher des outils de contrebande dans la poubelle de leur inventaire. Après avoir crafté un bloc de diamant / or / fer, ils ont obtenus 3 points supplémentaires. Walter bob a précisé qu'il avait réussi a garder une pioche en fer sur lui.
Le plan pour la nuit : aller à la cuisine pour ouvrir une porte là bas. WalterBob leur a dit qu'il y avait quelque chose au 2eme étage, mais qu'il n'aimait pas y aller et qu'il n'irait pas.
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Après le dîner, il furent convoqués pour un interrogatoire. Tout d'abord, le policier lui a demandé ce qu'il faisait avant d'être emprisonné. Ensuite, il lui a demandé s'il avait des infos sur Mr Mustard (Pac a répondu qu'il ne l'avait quasiment jamais vu). Puis, Pac fut questionné à propos d'objets créatifs volés à la fédération. Il a répondu qu'il n'était pas au courant que ça appartenait à la fédération. Lorsque l'agent s'est retourné pour aller voir le chien des gardes (nommé Poncho), Pac en a profité pour voler les clés qui trainaient dans son sac. Enfin, l'agent lui a demandé s'il avait un casier judiciaire, Pac a répondu qu'effectivement, ils ont déjà été en prison à Alcatraz, mais il a servi sa peine. Il a précisé qu'il était avec Cellbit à ce moment là.
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Pendant la nuit, Walter les a emmené vers la cellule avec les panneaux et les lumières clignotantes. Les panneaux se sont mis a écrire "How are you ?", "Do you want to escape ?" puis "Go to the music room" et "Go to the library".
Lors de la nouvelle journée de travail, ils ont du construire une école, ce qui leur a rapporté 2 points supplémentaires.
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De son côté, Fit a reçu sa première mission de Cucurucho : Nettoyer la salle des derniers moments du cimetière, et poser des caisses de patates, oignon, carotte, tomates et choux. Dans un coffre caché sous la cendre, il a trouvé un livre disant que les données des joueurs ont du être bougées, à cause d'un risque de sécurité. Il faut visiter [redacted] pour retrouver, soumettre ou éditer les données. En nettoyant, il a aussi trouvé une plaque de téléportation, qui l'a emmené... A la cuisine de la prison !
Pac&Mike ont eu l'autorisation, avec Walter, d'aller dans la salle de musique et la bibliothèque. Dans la bibliothèque, ils ont trouvé un livre sur le système de sonar.
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Fit a trouvé un nouveau livre dans la cuisine, parlant d'un compte Minecraft [redacted]. Finalement, lui et Tazercraft ont fini par rentrer en contact. Pac lui a expliqué que c'était une prison, et qu'ils étaient piégés ici. En fouillant un peu, Fit a trouvé un livre (30/?). Néanmoins, il a été vu par Cucurucho, qui lui a mis un coup de poêle, et l'a téléporté à nouveau dans le cimetière.
Pac&Mike ont supposé devoir jouer de la musique pour pouvoir ouvrir une porte via le système de sonar. Dans la bibliothèque, ils ont trouvé une porte vers une salle ressemblant à un jeu d'echec. Ils ont trouvé une grille avec l'emplacement des pièces du jeu. En résolvant l'énigme du jeu d'echec, Walter Pac a trouvé un plan de la prison.
Fit a fait sa livraison de caisses de nourriture à la prison. Ramon a précisé à Fit qu'il ne devait pas parler de ce qu'il avait vu, car ils ne savent pas à qui/quoi ils ont à faire, et ça pourrait mettre Tazercraft et eux même dans une merde beaucoup plus grosse que ce qu'ils peuvent imaginer.
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Via le plan de la prison, ils ont fini par trouver une salle secrète menant à une ventilation éteinte. Ils ont fini par réussir a ouvrir la porte de la cuisine, mais la warp plate n'était plus là. Ils sont de retour en prison. WalterBob ayant été pris en même temps qu'eux, il s'est fait punir pour ses crimes à coup de poêle et de tazer.
Après avoir trouvé miraculeusement de la redstone et de l'andésite, dernière pièce manquante pour faire marcher la ventilation, ils ont retrouvé WalterBob, triste dans sa cellule, pour lui donner du pain et l'encourager à s'enfuir avec eux. En créant un arbre de rotation, ils ont réussi a ouvrir une porte vers la salle de musique.
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En voulant s'enfuir, ils se sont fait intercepter par un garde, qu'ils ont tués. Ils ont récupéré une carte d'accès sur lui, mais la carte ne marchait pas. Ils ont finalement trouvé une autre sortie, qui les a emmené vers une Waystone ! Walterbob (et Tazercraft) sont sauvés !
Tazercraft ont offert la maison Barbie à WalterBob ! ... Néanmoins, un agent de sécurité est arrivé, et a enlevé WalterBob sous les yeux de Pac et Mike. L'agent de sécurité a laissé un message à Tazercraft, disant qu'ils ne reverront jamais WalterBob par vengeance de son collègue tué.
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Foolish est vu comme un traitre auprès de ses pairs. Forever lui a crié dessus, Fit a donné l'autorisation à Ramon de le tuer.
Fit a reçu une visite de Cucurucho, il a décroché le job d'agent d'entretien de la fédération !
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Cucurucho a rendu une visite à BBH suite à son appel, néanmoins, il n'a pas joué de son avec sa soundboard, et lui a donné un livre entièrement en minuscule, contrairement à son habitude. Il est parti sans rien dire. BBH et Foolish se demandent si le code pourrait avoir un moyen de se déguiser en Cucurucho aussi.
Foolish a commencé un rituel avec Jaiden et Leonarda pour faire réapparaître Mr. Mustard. Cucurucho les ont interrompus… Foolish lui a demandé s'il savait où était Mr. Mustard (vu qu'il a emprisonné Tazercraft pour ça), Cucurucho a répondu "peut-être". Puis, après plusieurs minutes d'absence, il a proposé à Foolish de l'accompagner (seul ou à plusieurs, Foolish a proposé a Jaiden et Leo de venir).
Ils ont été envoyé à la prison. Malgré le déni de Cucurucho, ils ont bien compris que ce n'était pas que des bureaux, mais bien un pénitencier. Cucurucho lui a offert l'opportunité d'être l'enquêteur officiel de la fédération sur la disparition de Mr.Mustard. On lui a remis le dossier d'enquête, et après avoir accepté le boulot, Foolish a reçu son badge !
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mangacultes80 · 2 years
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Hellboy Animated I Blood And Iron (01 Set)
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Noms: Hellboy Animated I Blood And Iron
Type du Set: Film Animation
NB De Fichiers: 01 Fichiers
Taille du Fichiers : 32 Mo
NB Images: 611 Imgs
Taille des Images: 1280x768
Date de Publication : 11.10.2022
Genres: Aventure - surnaturel - monstre
Pour public averti : +16 (Violence) Oui
Liens des Téléchargement du Set Images : Hellboy Animated I Blood And Iron
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En 1939, montré dans une série de flashbacks joués dans l’ordre chronologique inverse, le professeur Trevor Bruttenholm enquête sur une série de meurtres en Europe de l’Est. Erzebet Ondrushko, un vampire qui s’est baigné dans le sang d’innocents pour rester jeune, était responsable. Elle avait vendu son âme à la reine des sorcières, la déesse Hécate, et plus récemment kidnappé la fiancée de l’un des citadins. Lorsque le groupe de recherche, y compris le prêtre local, le père Lupescu, affronte Erzebet dans son château, tous les membres du parti sont horriblement tués, et Bruttenholm doit faire face au vampire seul. Il la trompe dans la lumière du soleil, la détruisant effectivement, mais ses cendres tourbillonnent dans le château pour trouver refuge dans sa jeune fille de fer.
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tastatast · 1 month
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Adéu, Monsieur Guérard. 
És un moment enormement trist per a la gastronomia, en Michel Guérard s'ha mort.
Amb la teva mort, Monsieur Guérard:
Sento tristesa perquè es tanca una època daurada, incomparable i irrepetible.
Sento preocupació per les noves generacions que no podran menjar la teva cuina i pels nous referents que aquests tindran.
Sento incertesa pel que ens depara el futur sense un públic que hagi pogut conèixer què és l’excel·lència, una paraula que darrerament utilitzem en va, com si a cada cantonada hi hagués un restaurant que l’oferís.
Sento que la teva mort simbolitza la fi d’una gran cuina, d’una alta restauració, d’una alta artesania, d’una educació i unes bones maneres que actualment no trobo. Avui, em sento una mica més desemparada. Avui, els aficionats a la gastronomia quedem una mica orfes d’aquest verdader savoir faire que només en cuiners com tu he trobat.
Sento molta pena.
Però em vull resignar a pensar que tot plegat s'ha acabat i que s'ha quedat en una cuina d'autrefois perquè amb la teva mort, monsieur Guérard:
També sento melancolia i enyorança dels grans àpats passats a Les Prés d’Eugénie.
Sento agraïment per l’educació gustativa i estètica que ens vas oferir.
Sento l’olor de la Rissole feuilletée de tendre pigeonneau au foie gras grillé et farce fine, com si es tractés d'una interpretació dels cèl·lebres pâtés chauds del passat, amb aquell exquisit acompanyament en servei de plata, l'embeurrée de chou à la truffe.
Sovint penso en aquella bola tan delicada, bella i apetitosa, el Zéphyr de truffe "Surprise Exquise" comme un nuage sur une délicate vichyssoise. Va ser talment així, una sorpresa exquisida, com un núvol màgic, com estar al cel.
Em vénen al cap les textures de l’Oeuf poule à la coque, au caviar Grand Cru Cristal Kaviari affiné 180 jous servit amb el chaud-froid de pomme de terre sous la cendre.
Vull intentar no oblidar la sedosa cremositat de l’Oreiller moelleux de mousserons et de morilles aux asperges de pays
Vull intentar recordar eternament el teu Demi-hommard rôti, légèrement fumé à la cheminée oignon confit au four.
Sempre més somiaré amb la Bécasse au fumet de Pomerol.
I pel que fa a les postres… El 1958 ja vas ser MOF de pastisseria! M’esforçaré a no oblidar mai el Soufflé céleste à la poire, sorbet passion, per saber com ha de ser un suflé. I el Gâteau mollet du Marquis de Béchemel et la glace fondue à la rhubarbe, oh, mon dieu! Un compromís sensual entre un soufflé i una crème renversée, una mena de beixamel dolça.
Un maître de l’estètica del gust i del bon gust estètic.
Tot plegat m’ha fet pensar en les hispàniques, que venien a “fer dieta” o, més aviat, a beure whisky i Champagne al teu hotelàs d’Eugénie-les-Bains.
M’ha fet pensar amb en Ferran Adrià i en Fermí Puig practicant les teves receptes quan estaven a la mili i en com se les enginyaven per reproduir receptes com l’Hure de saumon.
Avui també he pensat en les tan exteses campanes de fum (que ara associem a El Celler de Can Roca, qui les va portar de la brasa a la taula) i en el teu l’Hommard fumée a la cloche.
Penso en tots els amics (de qui no revelaré els noms per intimitat seva) amb qui he pogut recordar els grans plats que menjàvem a casa teva, sentint-nos afortunats i sentint complicitat per coincidir en gustos i opinió vers la teva extraordinària singularitat.
L’última vegada que et vaig veure era el maig del 2017, quan celebraves 40 anys de les 3 estrelles i, tot i tenir 84 anys, se’t veia viu, àgil, despert, amb una mirada plena d’il·lusió (fins i tot un punt naïf), plena d’energia i vitalitat. Ja no cuinaves, però trobo que avui no és el moment de treure els draps bruts. El teu acolliment seguia sent excepcional, elegant i exquisit com la teva cuina. Ens feies sentir a gust, feliços i, tot i l’ull de la cara que valia el teu restaurant, ens feies sentir satisfets. Eres proper i divertit, alegre i positiu, brillaves.
Per poc coneixedors que siguem molts dels teus clients, és impossible no ser conscient de la teva fabulosament sublim cuina i sentir una profunda admiració per tot el que vas aportar.
Un dels pares de la Nouvelle Cuisine, una cuina que 50 anys després encara està a l’ordre del dia.
Un pioner, un precursor visionari que ja imaginaves les nostres aspiracions de benestar amb la teva cuisine minceur que ja oferies el 1975.
Aquesta tarda he anat a la meva humil biblioteca gastronòmica i he obert els teus llibres de Robert Laffont que tant em van costar aconseguir!
Aquesta tarda he mirat fotografies del que vaig menjar a la teva meravellosa Ferme aux Grives. 
Aquesta tarda t’he recordat presentant el teu programa de televisió La Grande Cocotte, concretament d’un capítol que he mirat diverses vegades, amb en Roger Verger cuinant la Soupe au pistou.
Sent alumne de llegendes culinàries com en Fernand Point i en Jean Delaveyne, el teu llegat és incalculable.
Només mencionant alguns dels teus deixebles o cuiners que van passar per casa teva, es pot intuir la magnitud de la teva influència: Michel Troisgros, Alain Ducasse, Jacques Chibois, Arnaud Donckele, Alexandre Couillon, Max Alajmo, Daniel Boulud i, fins i tot, en Martín Berasategui i en Paco Pérez, entre tants i tants altres.
Caram, que tot un Pierre Gagnaire es considera el teu fill espiritual!
Merci beaucoup, Monsieur Guérard.
Descansi en pau.
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Traducción automática del artículo en castellano
Automatic translation of the article into English
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childrenofmoonlight · 1 month
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Witches
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Aussi appelées sorcières, les Witches sont des êtres très semblables aux Humains, avec cependant une particularité non négligeable : elles sont capables d'utiliser la magie. On les connaît surtout dans Mag Síorghlas comme les défenseuses de la Nature et des créatures magiques, avec qui elles ont depuis longtemps formé diverses alliances. Cependant, ce que l’on dit moins à propos des Witches est qu’elles peuvent se montrer très agressives et belliqueuses lorsque l’on s’en prend à la Nature. Ainsi, elles ne sont ni entièrement bonnes ni entièrement mauvaises et représentent l’équilibre qu’elles défendent au quotidien. 
Comme dit, l’une des principales caractéristiques des Witches est d’être capable de manipuler la magie et cela se traduit par plusieurs choses. Tout d’abord, chaque Witch est liée à un élément naturel avec lequel elle a beaucoup d’affinité et qu’elle peut contrôler selon ses désirs. Elles ont également la capacité de voler à l’aide de bois enchanté, chaque Witch étant liée à un type d’arbre en particulier. Pour les accompagner, les Witches ont la capacité de se lier à un familier, qui devient alors le réceptacle de la magie de la Witch et la renforce et lui offre plus de pouvoirs. Elles sont bien plus à l’aise dans la nature que dans les villes et ont souvent une capacité d’empathie supérieure aux autres peuples. Leur longévité est cependant légèrement moins élevée que celle des Humains, vivant aux alentours de 80 ans dans des conditions normales.
Les Witches sont très sensibles à tout ce qui n’est pas naturel, notamment beaucoup de préparations des Warlocks. Blesser une Witch n’est pas difficile, en effet, elles sont physiquement plus faibles que les Humains et se servent de leurs pouvoirs pour compenser cette faiblesse. Particulièrement sensibles au fer et aux divers métaux forgés par les Humains, elles peuvent être mortellement empoisonnées par une blessure faite par une arme en métal. 
Habitant dans le Mirkwood, une terre située au nord de Mag Síorghlas, les Witches vivent dans un grand coven où elles ont toutes les mêmes droits et devoirs. Au sein de la forêt, elles ont bâti des petits villages ou habitent dans les arbres, avec d’autres peuples magiques des environs. Moins nombreuses que les Humains, leur pouvoir de nuisance est cependant bien plus grand grâce à leur emprise sur la magie et il est devenu presque impossible pour les Humains de traverser Mirkwood. 
La plupart des Witches parlent le Diadha, langue antique et magique qui est également parlée par les peuples et créatures magiques. Cependant, avec l’expansion des Humains, beaucoup d’entre elles ont non seulement appris la langue commune mais également appris à se camoufler parmi les Humains. Beaucoup de Witches ont donc une part active dans le monde, s’infiltrant partout pour protéger la Nature et l’équilibre ailleurs que dans leur forêt. 
A l’origine, les Witches ont été engendrées par Danu, déesse de la magie et de la nature. Les contes et légendes de Mag Síorghlas font référence aux Witches sous l’appellation “the Daughters of the Witch” (les filles de la sorcière) car les premiers enfants de Danu étaient 5 filles. Désormais connues uniquement sous le nom de Witches, on retrouve tous les genres au sein du coven et aucune différence entre hommes, femmes ou autres genres. 
L’organisation du coven est faite selon des lignées avec plus ou moins d’importance, les lignée des fondatrices du coven étant les plus importantes. Bien entendu, on retrouve aussi des Witches n’appartenant à aucune lignée, orphelines ou bâtardes qui grandissent dans le coven, élevées par tout le monde. On compte 5 lignées majeures au sein du Coven : 
Les Nightshade possèdent des pouvoirs liés aux cendres, à la fumée et aux ténèbres et sont les descendantes de l’aînée des filles de Danu
Les Foxglove possèdent des pouvoirs liés au feu, à la foudre et au soleil et sont connus pour être très belliqueuses
Les Primroses possèdent des pouvoirs en lien avec les plantes, la terre et les odeurs et sont les descendantes de la benjamine des filles de Danu
Les Moonwort possèdent des pouvoirs liés à l'eau, à la glace et à la lune et sont parmi les plus inconstantes
Les Meadowsweet possèdent des pouvoirs en lien avec l'air, les vents et l'éther et sont connus pour être très protectrices
NB : tous les genres sont acceptés chez les Witches bien que le nom soit genré au féminin - tous les pouvoirs seront décrits plus en détail dans l'annexe concernant la magie
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ondessiderales · 2 months
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Train d'enfer
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ATTENTION, les images et paroles qui vont suivre peuvent être choquantes (génocide, immoralité, monstruosité). Son contenu s'adresse à un public averti.
An de grâce 20XX, le train se remet en marche, fumant Freaky and flip out (monstrueux et pétant les plombs) I'm a seeker (je suis un traqueur) Te contant un mystère profond
Jouant des touches blanches (du piano) au paradis, je suis là ! Git up (bouge-toi et monte) La fumée blanche s'épaissit (Smoke moke)
Butcher's train (le train du boucher) Nous vous remercions d'être monté à bord Du charbon et de la peau, bien cuit s'il vous plaît Un groove noir qui reste collé au fond de la cheminée Et qui profane tes oreilles
TOP to the HAM to the HAT-KYO
Gentleman Silk hat (Haut-de-forme) Sampling Swing Tel est le nom que j'emprunte modestement et avec lequel je m'amuse Un nom qui me désigne Un nom qui se superpose aux cadavres bleus* Comme une marque de café Frais moulu et libérant son arôme (JAC IN)
Tchou-tchou ! Nature verdoyante qui nous surplombe, pardonne-nous Sur ton noble sentier le chemin (l'amas) de fer semble sans fin, perçant l'air Entends-tu leurs plaintes ? Lawd ave mercy (Seigneur aie pitié de nous)
TOP to the HAM to the HAT-KYO
Vroum vroum, aussi vite que mes roues me le permettent Sha la la la, je vais à mon rythme (my pace) Rempli d'êtres vivants de toutes les tailles et de toutes les formes Si tu veux accélérer je t'en prie, fais comme chez toi
Plutôt que les hurlements et les râles Fais (laisse) sonner le sifflet du train ON & ON
M'arrêter alors que les wagons sont encore accrochés ? NO ! Même à la queue du train On aperçoit leurs corps chauds Des cendres scintillant comme des étoiles filantes Rongeant leur énergie pour avancer My name is
TOP to the HAM to the HAT-KYO
On commence à se connaître maintenant Alors écoute-moi bien, ne m'ignore pas Même si c'est une leçon (un sermon) glauque Même si ce n'est qu'une blague
N'en fais pas qu'à ta tête Ne fais pas la sourde oreille Le jugement suit une logique implacable Il n'y en a pas deux comme lui
Le chemin de rails ne dévie pas Si tu essaie de le tordre ou de le corriger (de lui taper dessus) Même s'il semble tomber en morceaux Comme par enchantement
Spurt ! (Rejaillit !) Scoobie do be TRAIN* A l'humeur comme à la vapeur Il se met en rogne
Un hybride d'élite (d'avant-garde) et de folie
Let me hear say ! (A vous !) TOP to the HAM to the HAT-KYO
One more time ! (Encore une fois !) My name is TOP to the HAM to the HAT-KYO
* HAM signifie jambon, en lien avec l'ancien métier du chanteur (boucher) Le pseudonyme est aussi une allusion à Sir Topham Hatt, dit "The Fat Controller" dans la série Thomas le Petit Train et ses Amis
* Scooby doo désigne familièrement un indice, la clé d'une énigme
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omagazineparis · 4 months
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Les meilleures huiles pour prendre soin des cheveux
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Les cheveux sont plus ou moins fragiles et ont besoin d’une protection adaptée pour préserver leur santé. En s’exposant au vent, au froid, au soleil, au sèche-cheveux et au produit de coloration, ils ont tendance à se ternir et à se dessécher. Nous avons sélectionné pour vous les 5 meilleures huiles végétales pour avoir de beaux cheveux brillants. L’huile de coco C’est la plus connue et la plus utilisée pour prendre soin des cheveux. Elle renferme des acides gras saturés qui nourrissent les cheveux, les rendent plus souples et les protègent en profondeur. L’huile de coco contient également de la vitamine E et K ainsi que du fer. Ces éléments fortifient les cheveux. L’huile de coco s’utilise en masque avant shampoing ou en bain d’huile. Si vous cherchez de l’huile de coco de qualité, préférez celle extraite par pression à froid. Cette technique permet en effet à l’huile de conserver les graisses de bonne qualité. Huiles pour cheveux : L’huile de ricin Ces dernières années, l’huile de ricin gagne de la place parmi les différents produits de soins capillaires. Elle renferme d’acides gras oméga 6 et 9, qui sont des alliés de taille pour stimuler la pousse des cheveux. Les éléments nutritifs contenus dans l’huile de ricin maintiennent aussi la santé du cuir chevelu. Il existe deux types d’huile de ricin. L’huile pressée à froid est plus pure et est très riche en nutriments. La black castor qu'elle contient renferme en effet des cendres qui ont un effet nettoyage sur le cuir chevelu. Vous pouvez également utiliser l’huile de ricin en masque pour lutter contre la chute et pour fortifier la fibre capillaire. Ne manquez pas : Les coiffures pour les cheveux courts les plus élégantes : comment être chic avec peu de cheveux L’huile pour cheveux de jojoba L’huile de jojoba possède des propriétés régénératrices qui en font l'une des meilleures huiles pour cheveux. C’est pourquoi, elle est particulièrement recommandée pour réparer et entretenir les cheveux secs, ternes et cassants. L’huile de jojoba est aussi riche en acide gras. Elle est très efficace pour revitaliser les longueurs et les pointes ainsi que pour apporter de la brillance aux cheveux. Il existe différentes manières d’utiliser l’huile de jojoba : - Soin régulier à la sortie de la douche pour avoir des cheveux souples et brillants, - Huile pour cheveux crépus afin de sublimer les bouches, - Masque pour réparer les cheveux cassants et secs, - Produit de soins pour masser le cuir chevelu et lutter contre les cheveux gras. L’huile de chanvre est la plus étonnante de cette liste L’huile de chanvre figure dans la liste des produits capillaires miraculeux. Riche en acide gras, elle fortifie les cheveux fragilisés, favorise la cohésion des écailles et apporte de la brillance aux cheveux. Les huiles pour cheveux à base chanvre contient également une grande quantité de vitamine B et de vitamine E, réputées pour leur propriété anti-oxydante. Elle s’utilise en bain d’huile, avant le shampoing ou encore en addition avec la crème capillaire. A lire également : Masques naturels pour les cheveux Dernière des huiles pour cheveux de notre liste : l’huile d’argan L’huile d’argan ou huile marocaine nourrit les cheveux et régénère en profondeur la fibre capillaire. C’est un produit de soin idéal pour cheveux secs et cassants. Elle répare ainsi la fibre capillaire et protège les cheveux des agressions extérieures. L’huile d’argan limite aussi la prolifération des fourches, stimule la microcirculation sanguine au niveau du cuir chevelu, freine la chute et stimule la pousse des cheveux. Si vous avez des cheveux colorés, l’huile d’argan vous permettra de conserver leur éclat le plus longtemps possible. Vous n’avez rien à craindre, car elle n'altère pas la couleur. Vous pouvez donc l’utiliser en masque, en après-shampoing ou comme produit coiffant. L’huile d’argan nourrit et protège ainsi vos cheveux tout au long de la journée.   Read the full article
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christophe76460 · 5 months
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Jérémie, 6:24 - Au bruit de leur approche, Nos mains s`affaiblissent, L`angoisse nous saisit, Comme la douleur d`une femme qui accouche.
Jérémie, 6:25 - Ne sortez pas dans les champs, N`allez pas sur les chemins; Car là est le glaive de l`ennemi, Et l`épouvante règne à l`entour!
Jérémie, 6:26 - Fille de mon peuple, couvre-toi d`un sac et roule-toi dans la cendre, Prends le deuil comme pour un fils unique, Verse des larmes, des larmes amères! Car le dévastateur vient sur nous à l`improviste.
Jérémie, 6:27 - Je t`avais établi en observation parmi mon peuple, Comme une forteresse, Pour que tu connusses et sondasses leur voie.
Jérémie, 6:28 - Ils sont tous des rebelles, des calomniateurs, De l`airain et du fer; Ils sont tous corrompus.
Jérémie, 6:29 - Le soufflet est brûlant, Le plomb est consumé par le feu; C`est en vain qu`on épure, Les scories ne se détachent pas.
Jérémie, 6:30 - On les appelle de l`argent méprisable, Car l`Éternel les a rejetés.
Jérémie, 7:1 - La parole qui fut adressée à Jérémie de la part de l`Éternel, en ces mots:
Jérémie, 7:2 - Place-toi à la porte de la maison de l`Éternel, Et là publie cette parole, Et dis: Écoutez la parole de l`Éternel, Vous tous, hommes de Juda, qui entrez par ces portes, Pour vous prosterner devant l`Éternel!
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mysteriis-moon666 · 5 months
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DEMANDE À LA POUSSIÈRE – Kintsugi
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"Le Kintsugi, l’art du beau dans l’imperfection, sublimer les blessures et renaître de ses cendres. Nous sommes imparfaits, nous avons fauté, nous avons failli, mais nous avançons en pétrissant la matière noire de notre être pour affronter un futur que nous devons embrasser - ou accepter notre sort et périr." Dixit Demande à la Poussière
Créé en 2017 par des membres de The Great Old Ones, Spectrale, Omrade et Würm, sort un premier album éponyme via Argonauta Records en 2018, enchaine avec « Quiétude Hostile » en 2021 via My Kingdom Music. Simon Perrin (Chant, Guitare) le nouveau chanteur vient poindre la corrosion de Vincent Baglin (Batterie), Neil Leveugle (Basse) et d’Edgard Chevallier (Guitare, Arrangements) pour ce 3ème album enregistré au Lower Tones Place Studio (Nature Morte, Ecr.linf, Korsakov, etc.).
Le kintsugi (金継ぎ, « jointure en or ») est une méthode japonaise de réparation des porcelaines ou céramiques brisées au moyen de laque saupoudrée de poudre d'or. Ici métaphore de la reconstruction de soi.
Dans une langue qui châtie la soude et le fer dans des pensées au fouet intense, la musique suit la corde raide en 11 titres pour 51 min 34. L’album ne se dérobe pas, n’enjambe rien, il va frotter les cicatrices pour saigner et rouvrir les plaies, guérir c’est aller dans ses ténèbres où le Blackened Sludge de DALP contamine chaque pulsion, pensée, d’une masse musicale protéiforme qui attaque, consume, érode, ronge, en une soif de désespoir, colère, amertume avec laquelle la violence est unanime. Sortir du cadre pour sortir de soi ce pue sanguinolent à la recherche d’une vérité tant musicale que puissante pour trouver la force de se relever.
À l’intérieur, notre autre côté, l’intime, le lieu le plus proche de l’âme, ce que l’on garde dans le noir, dans le silence mais qui plus que tout fait un bruit très fort. Savoir entrer à l'intérieur est un art et se sentir à l'intérieur est inimaginable. C’est la clé d’une seule serrure, la bonne.
« Le chemin vers le paradis commence en enfer. » selon Dante Alighieri ‘’ la Divine Comédie,’’ Demande à la Poussière a gravé son diamant dans l’or pur de sa fureur sonique.
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lepartidelamort · 8 months
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« Comme le pouvoir royal, militaire et économique, confiait à l’Église les domaines complémentaires du spirituel et de l’idée, le pouvoir bourgeois a donc aussi son clergé, chargé d’appliquer lui aussi, avec plus ou moins de bonheur, le cautère humaniste sur la botte de l’oppression économique dont chacun sait qu’elle est plus de fer que de bois. Une maçonnerie, élevée sur les cendres de l’ancien pouvoir de l’Église devenue, de fait, la nouvelle religion du pouvoir, le clergé de la République bourgeoise et, au plan international, le nouvel ordre des jésuites de la République mondiale. (…) Aujourd’hui, à l’heure du mondialisme, la maçonnerie française traditionnelle, à l’affairisme provincial et moyen-bourgeois, est sans doute en déclin, non pas quant aux nombres de ses initiés, mais quant à son influence sur la marche de la République. (…) Réseaux, lobbies, groupes de pression... Pour sortir du mensonge dominant, servi par la naïveté universitaire et la servilité des clercs, en République, non seulement il n’existe que des communautés, mais la seule officiellement admise : la communauté nationale, pour n’être qu’une pure abstraction, est la seule qui n’existe pas. (…) Instrumentalisation de l’humanisme helléno-chrétien, noyautage de la République par les réseaux, exacerbation des antagonismes de classes, manipulation de la démocratie d’opinion… Tout indique qu’un long processus, initié au XVIIe siècle par une oligarchie bancaire mue par l’hybris de la domination, approche de son épilogue. » Alain Soral, Comprendre l’Empire, 2011
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mysteresurterre · 9 months
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Ironsworn du Nouvel An
J'ai profité du Nouvel An pour jouer à Ironsworn à plusieurs. Jusqu'à présent je n'y avais joué qu'en solo et c'était une expérience géniale ! Avec quatre joueurs et joueuse en session guidée (moi en MJ), c'était une mine de rebondissements assez complexes à garder en tête... je vais essayer de retranscrire cette partie, parce qu'elle était elle aussi géniale (et pour en garder une trace). Je mettrai sous silence certaines péripéties pour éviter une surcharge. Aussi, le monde a été crée par tout le monde au travers des liens et vœux d'historique. Ce n'est pas un monde joli mais nous étions tous d'accord dès le début pour une ambiance un peu sale.
Les noms des PJs sont en gras pour bien comprendre qui fait quoi. Les autres personnages sont pour la plupart des liens mais pas tous !
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Tout débute lorsque Lisbeth se fait arrêter par la garde de la ville d'Asdendorf. Lisbeth mène plusieurs vies en parallèle, et ce n'est pas à cause de son emploi au bordel des tanneries qu'elle a été arrêtée. Non, Lisbeth est une sorcière du convent de Burrow et elle sera brûlée pour ça. Elle est retenue au poste de garde et Ferris Bloyn - capitaine de son état - laisse échapper son identité lors d'une conversation avec son beau-frère venu lui rendre visite. Le beau-frère en question est aussitôt intrigué par la soi-disant sorcière et il se rend dans les geôles.
Bernardt von Helbauer fait donc face à Lisbeth et lui propose un marché : il peut la libérer si elle lui prête en échange les pouvoirs de son "cercle" de sorcières. Y voyant là sa seule échappatoire, la prisonnière accepte. Il ne reste plus à Bernardt qu'à négocier avec Ferris... mais comme les deux hommes s'entendent comme larrons en foire, ils mettent en scène un Ferris assommé et Bernardt comme Lisbeth sont libres de partir.
Bien sûr l'absence de Lisbeth est remarquée d'une part au bordel et d'autre part au convent. Dans les tanneries, Mark, un habitué des lieux, est chargé de libérer Lisbeth. Il remonte la piste sans trop de mal. Pour le convent, c'est Sarah, une sorcière nouvellement arrivée qui est chargée de retrouver la disparue. Mark et Sarah arrivent devant le poste de garde alors que Bernardt en sort avec Lisbeth. Ils s'expliquent entre eux brièvement dans la rue, conviennent qu'il faut sortir de la ville au plus vite avant que l'alerte ne soit donnée et font route vers la forêt de Burrow non loin de là.
La cheffe des sorcières, dame Ilda, demande alors au groupe de sauver le convent et Sarah jure sur le fer de mener cette tâche à bien. Alors qu'elle empoigne l'insigne tendue par dame Ilda, un feu se manifeste depuis son épée et la brûle tout en instillant dans son esprit un sentiment de désapprobation. Malgré la douleur et le feu, Lucia lie sa promesse au fer : elle enquêtera.
De manière évidente, une personne a dénoncé les activités de Lisbeth et cela lui a valu une condamnation. Dans Asdendorf, le trio apprend vite qu'une chasseuse de monstre y est en ce moment. Les sources de chacun se recoupent : elle s'appelle Sola, loge au "Poney Doré", dort le jour, part la nuit, se drogue à outrance et use de potions à bases de cheveux, sang ou même cendres de sorcières ; tout ça pour traquer une créature au Nord d'Asdendorf... certainement pour le compte d'un des nobliaux de la ville haute. Bernardt suspecte qu'il s'agit du duc Eos pour essayer de remettre en exploitation une mine qu'il possède.
Un jour passe et le trio est rejoint par Lucia, sœur de la sorcière de Burrow Katja. Dès lors, le groupe se sent de confronter la chasseuse de monstre au "Poney Doré". Malheureusement rien ne se passe comme prévu. Deux personnes étranges se tiennent devant l'auberge, elles attendent dans le froid à l'extérieur alors qu'elles pourraient entrer. Elles portent toutes deux sous d'épaisses capes des broches argentées identiques. Intrigué mais prudent, le groupe préfère continuer son plan : à savoir enlever Sola. Passer par le toit de l'auberge, menotter la chasseuse puis ressortir de la ville et la confronter aux sorcières. Voilà le plan, sauf que Bernardt se fait assommer alors qu'il écoute à la porte de la chasseuse, seul dans le couloir de l'auberge. Il se réveille quelques minutes plus tard, secoué par Mark : Sola est morte égorgée et un insigne d'argent est posé sur son dos.
Une affaire qui n'aurait dû être qu'un simple sauvetage les a tous les quatre entrainés dans les rouages du jeu politique d'Asdendorf...
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