#damien witecka

[danbenzvi]

Our Feature Presentation: “Le Grand Mechant Renard Et Autres Contes”

Starring the voices of Guillaume Darnault, Damien Witecka, Kamel Abdessadok, Antoine Schoumsky, Celine Ronte, Violette Samama, Jules Bienvenu, Augustin Jahn Sani, Boris Rehlinger, Guillaume Bouchede, Magali Rosenzweig, Elise Noiraud, Jean-Loup Horwitz, Christophe Lemoine, Bernard Larmande, Michel Scotto Di Carlo, Yves Yan, Sylvie Genty, Thierry Jahn, Mathilde Nepveu, Camielle Nepveu, Christophe Groulx, Adam Groulx and Jean Sebastien Leblanc.

[tctmp]

Animation  Adventure  Comedy

[kabbal]

Monsieur Damien Witecka pourriez-vous éviter de parler de Spiderman : No Way Home en termes de "beaux jeunes hommes qui se tripotent"

[andyfliz]

The Big Bad Fox and Other Tales

The Big Bad Fox and Other Tales

The misadventures of a young clumsy Fox and a feisty little red Hen. The Fox, both a little stupid and naïve, tries daily to devour the little Hen, without success. Tired of the repeated humiliation, the Fox is persuaded to steal the Hen’s eggs to raise and then eat. This plan seems perfect, until the moment the chicks hatch…

[lalivrophile]

Shantaram, de Gregory David Roberts aux éditions Audiolib : Aventures, rencontres, événements qui mèneront le narrateur au bout de l'horreur. Livre excellemment interprété par Damien Witecka. #pinterest https://ift.tt/2J3xNp9 https://ift.tt/3dh8VrH https://ift.tt/2kj77HT

[ieatmovies]

SUPERHERO MOVIE (2008) Les SCARY MOVIE (2000-2013) et leur touche parodique ont eu leur lots de “suites” similaires, à l’instar de l’initiateur SPOOF MOVIE (1996) des frères Wayans, biens connus dans le milieu pour leurs films comiques plus ou moins réussis: SUPERHERO MOVIE parodie donc sans vergogne la trilogie SPIDER-MAN (2002-2007) de Sam Raimi pour sa ligne narrative, en passant bien sûr par les X-MEN (2000-2019) et autres références cinématographiques, de ROCKY 3 (1982) à Y A-T-IL UN PILOTE DANS L’AVION? (1980), ce vieux fou de Leslie Nielsen faisant partie du casting. On retrouve sans grande surprise Craig Maizin -scénariste de SCARY MOVIE 3 et 4- derrière la caméra de SUPERHERO MOVIE, qui s’avère être un produit bien débile dans la même veine que ses “ancêtres” du genre: et malgré qu’on soit loin d’un plaisir coupable à la EH MEC, ELLE EST OU MA CAISSE? (2000), le film se laisse regarder, faisant appel à notre pop-culture pour la détourner au maximum. Pas d’homme-araignée ici, mais un homme-libellule -DRAGONFLY en V.O.-, qui va combattre le crime de la pire des manières: niveau humour, c’est pipi-caca et délires outranciers placés dès que l’occasion se présente, les allergiques du choquant et graveleux passeront leur chemin. Evidemment, le visionnage de SUPERHERO MOVIE n’est PAS DU TOUT nécessaire dans le parcours de tout(e) cinéphile qui se respecte: pourtant, il est bon de constater que certaines scènes “abusées” -l’imitation d’un Stephen Hawking qui s’en prend plein la gueule, Leslie Nielsen qui négocie pour se taper un cadavre lors d’un enterrement, ou un faux Tom Cruise qui crève comme une merde-, autrefois la norme de ce type de comédie, choqueraient sans nul doute si le long-métrage sortait aujourd’hui en salles. Dix ans seulement nous séparent de SUPERHERO MOVIE, qui à des lieues des leçons ambigües de KICK-ASS (2010-2013), joue la carte de l’irrévérencieux en permanence: de très mauvais goût, mais quand même stupidement drôle, on réalise que ce truc surfant sur une vague -Pamela Anderson est sur l’affiche pour rameuter du teenager, au vu de ses deux secondes d’apparition à l’écran- idiote est bien plus appréciable que d’autres films récents, sérieux et souvent ratés. Petit bonus pour la VF, les doubleurs originaux de Peter Parker -Damien Witecka- et du Docteur Octopus -Gabriel Le Doze- de la trilogie de Sam Raimi rempilent, rendant cette parodie couillonne cohérente, créant une certaine illusion auditive assez amusante. On se le réserve pour l’éternelle soirée entre potes, où l’état second permet encore plus de supporter ce rigolo pastiche sans cerveau. N’imp’. DRAGONFLY /20