#d'en coller dans la ville
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#elles sont canons#vraiment trop envie d'en imprimer plein partout#d'en coller dans la ville#Celle de Léon Blum est ma pref je crois#upthebaguette#french politics#french side of tumblr#whatthefrance
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La ville de Pretty Lake est une petite ville où tout le monde connaît tout le monde. Kevin y naît et passe toute sa vie sans jamais en sortir. Élève plutôt moyen au lycée, on le voit plus comme un gars relativement maladroit. Il n'est pas le plus populaire et s'attire surtout pas mal d'ennuis. Ses parents se séparent quand il a huit ans et son père quitte la ville de Pretty Lake pour rejoindre sa nouvelle femme, laissant son fils et son ex épouse seule. Kevin n'en veut d'ailleurs pas tellement à ce dernier d'être partis, jugeant après les années qu'il n'était qu'un enfoiré et très peu présent pour lui. Alors que Kevin atteint ses 17 ans, la ville de Pretty Lake est touchée par un mystérieux virus qui tue tous les résidents de 22 ans et plus. Les adultes meurent donc les uns après les autres sans que personne ne puisse faire quoi que ce soit. Pour éviter que le virus se propage, le gouvernement met en place une zone de quarantaine de 16 kilomètres, laissant les derniers survivants seuls dans cette ville fantôme. Kevin assiste impuissant à la mort de sa mère ainsi que ses voisins. Jusqu'à ce qu'il ne reste plus personne de plus de 22 ans. Les jeunes se retrouvent ainsi seuls à demander au gouvernement de les laisser sortir, mais ils ne veulent rien entendre. Un champ de mines est installé au-delà des grilles qui sécurisent la ville pour tuer toutes les personnes essayant d'en sortir. Les soldats à l'extérieur, portant des combinaisons de sécurités ont ordre de tirer sur tous les habitants essayant de s'enfuir. Il n'y a rien à faire. Les jeunes de moins de 22 ans sont enfermés dans une ville sans possibilité de ressources de l'extérieur ni communication. Et naturellement, ceux qui auront 22 ans, rejoindront les corps brûlés des autres habitants qui n'ont pas survécu. Kevin rejoint un petit groupe de jeunes qui essayent de trouver un moyen de sortir et de prévenir le monde entier tout en sachant qu'il risque de ne pas survivre. Naturellement, lui, qui a 17 ans, lui reste 5 ans de vie. 5 ans pour trouver une solution tandis que d'autres autour de lui continuent de mourir une fois 22 ans passé. Côté caractère, Kevin est relativement maladroit et pas populaire. Du moins, avant que ce mystérieux virus ne tombe. Il a du mal à s'exprimer surtout lorsqu'il est intimidé et se cache souvent derrière l'humour, surtout lorsqu'il est paniqué. Cependant, il tout de même très intelligent et il est probablement l'une des seules personnes à être capable de quitter Pretty Lake ou trouver la réponse aux questions que chacun se posent. Je ne fais pas un copier/coller de la série, mais cette dernière n'ayant pas de deuxième saison malgré le fait qu'on comprend que le virus est à présent dans une autre ville, il est possible d'imaginer qu'il a réussit à quitter Pretty Lake, mais que dans la nouvelle ville où il est, les choses recommencent une nouvelle fois. Affaire à suivre donc…
Joue avec : Mia Sullivan ; Théo Myers
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La Cité des livres qui rêvent, Walter Moers
Pour une fois, je vais vous copier/coller directement le résumé du livre, puisque ça explique parfaitement dans quoi on s'embarque !
En Zamonie, tout le monde vit pour et par les livres. Hildegunst Taillemythes, jeune dragon de 77 ans et aspirant écrivain, ne fait pas exception. Quand, sur son lit de mort, son parrain en écriture lui tend un manuscrit qu'il considère comme le meilleur jamais composé, Hildegunst se jure d'en retrouver l'auteur. Il part alors pour Bouquinbourg, « ce pays où la lecture peut rendre fou, où les livres risquent de blesser, d'empoisonner, et même de tuer »...
Ce livre m'a sauvée de justesse d'une grosse panne de lecture ! Il m'a été chaudement recommandé par un libraire indépendant, et présenté comme étant un de ses plus grands coups de cœur ; et je comprends pourquoi. J'ai vraiment bien aimé replonger dans un univers de fantasy pour plus jeunes (ce roman est présenté comme étant parfait dès 11 ans, mais je rajoute pour des bons lecteurs qui n'ont pas peur de 650 pages alors !), où les livres et la lecture sont véritablement les personnages principaux.
Hildegunst se jure de retrouver l'auteur de ce fabuleux manuscrit qui l'a fait rire, pleurer, qui l'a épouvanté et fasciné. Mais alors qu'il découvre la grande ville et demande conseil, il se fait piéger par un notable corrompu, enfermer dans les catacombes de la ville, et poursuivre par des chasseurs de livres avides de sang. Ce roman m'a vraiment fait penser à un Seigneur des Anneaux pour plus jeunes, plus abordable et plus intéressant (désolée, j'ai vraiment eu du mal avec le premier tome, même si j'ai adoré les films). L'auteur a construit tout un monde, tout un réseau de connaissances, de toutes nouvelles créatures... C'est foisonnant et vraiment intéressant, un très bon mélange de roman d'aventures, roman initiatique et fantasy ! Et en plus, il y a beaucoup de références à la littérature et aux métiers du livre — et la libraire en moi a adoré !
23/05/2022 - 07/06/2022
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5e Anniversaire Interview [Laito Sakamaki]
Source de l’image: Diabolik Lovers 5th Anniversary Project
Qu’est-ce qui vous intéresse le plus en ce moment? Nfu♪. Êtes-vous curieuses de savoir ce que j'aime~? C’est une très belle opportunité, alors je vais vous le dire♪. Récemment, je m’intéresse beaucoup à cette caméra. C'est plutôt de haute technologie, vous voyez~. Avec ça, je peux prendre plein de photos de Bitch-chan, y compris à ces endroits-là ou à cet endroit-là~! Qu'est-ce que vous en pensez, c’est plutôt sympa, non?
Récemment, quel genre de style vous préférez? Lorsque vous parlez de mon style, ce sont les chapeaux♪. Depuis quelques temps, je porte plusieurs types de chapeaux~. Ceux qui sont un peu arrondis ou qui ont un large bord. L'autre jour, j'ai essayé de porter un chapeau avec des plumes dessus.
Avez-vous des habitudes que vous faites sans vous en rendre compte? Mes habitudes? Comme lorsque je regarde une fille en ville et que mes yeux se posent naturellement sur ses jambes? Ou lorsque je finis par fantasmer sur la couleur ou le motif de ses sous-vêtements? Mais c’est juste le genre de personne que je suis, alors on ne peut rien y faire, non~? Ah, mais au final, les jambes de Bitch-chan sont les meilleures~.
Comment passez-vous vos jours de congé? Bien sûr, je fais ceciii ou celaaa avec Bitch-chan~? Eh bien, eh bien~? Avez-vous peut-être pensé à quelque chose de bizarre? Allons~. Je n'ai rien dit d’indécent, n'est-ce pas~? Et puis, je suis un gentleman, donc je ne fais que ce que Bitch-chan me demande ou je l’emmène à un rendez-vous amusant là où elle veut aller~.
Quels vêtements portez-vous pour dormir? Être curieuse à propos de mes vêtements de nuit, vous êtes vraiment une perverse♪. Très bien, je vais faire une exception et vous le dire. Je porte juste un pyjama, le type de pyjamas qui sont lisses au toucher et qui sont agréables au contact~.
Que faites-vous toujours avant de vous coucher? Donner à Bitch-chan son baiser de bonne nuit, bien sûr♪. Si je ne me recharge pas avec l'énergie de Bitch-chan*, je ne pourrai pas dormir~. Ou quelque chose comme ça~? Eh bien, ça ne se termine jamais par un simple baiser, mais le reste est un secret entre moi et Bitch-chan.
Quelle est la partie de votre corps préférée? Ça doit être le grain de beauté en dessous de mes lèvres♪. Les grains de beauté sont si sexy et super. Cela fait juste battre notre cœur lorsqu’on trouve une tache de naissance à un endroit où on ne s’y attend pas, vous ne croyez pas?
Qu'est-ce que vous aimez le plus dans votre chambre? Ce que j’aime le plus dans ma chambre, hein~? Je suppose que c’est mon lit, après tout. Juste le mot lui-même, ça laisse entendre quelque chose d’obscène, nfu~♪. En plus, mon lit est vraiment confortable, c'est le meilleur. Il est assez grand pour deux personnes et il y a toujours deux oreillers.
Racontez-nous un souvenir mémorable avec vos frères! Voyons voir. C’est difficile d’en choisir un qui est mémorable. Puisque nous, mes frères et moi, vivons ensemble depuis longtemps, j’ai plein de souvenirs qui ont peu d’importance? Comme lorsque je me suis fait crier dessus après avoir mangé les macarons de Kanato. Ou quand j’étais impliqué dans la blague d’Ayato et que Reiji m’a grondé, par exemple~.
Que pensez-vous de Karlheinz? Je ne comprends pas vraiment cet homme~. Mais que peut-il bien se passer dans sa tête? Eh bien, je doute que quiconque sauf lui-même puisse répondre à cette question. Je n’ai pas de pensées ou de sentiments particuliers pour lui. Du moins, pour le moment.
Où iriez-vous pour un rendez-vous? Hm, quel endroit serait sympa~? Une boutique qui vend beaucoup de macarons, peut-être? Bitch-chan a aussi une dent sucrée, après tout. Aussi, c’est un peu cliché, mais peut-être un parc d’attractions? Faire les montagnes russes pour que sa jupe soit presque relevée ou se coller dans la cabine de la grande roue~. Je suis sûr que ce serait génial.
Quelles gestes d'une fille font battre votre cœur? Lorsqu’elles croisent leurs jambes. Une fille avec une belle paire de jambes croisées ou qui les change de position, c’est tellement agréable. Je ne peux pas m'empêcher de les regarder~. J'adore lorsqu’elles portent des bas noirs et des chaussures à talons hauts, c'est encore plus sexy. J’aimerais que Bitch-chan fasse ça un jour.
Quel est le goût de son sang? Laito, le majordome de Bitch-chan, vous donnera une réponse~. Le sang de Bitch-chan a un vilain goût♪. C'est tellement sucré et et addictif que, lorsqu’on en goûte une fois, on ne peut plus penser à rien d'autre qu’à ce sang. Une fois que je sens son parfum, je ne peux pas m'empêcher d'en boire.
De quelle partie du corps aimez-vous sucer son sang? Ses cuisses, bien sûr~. Quand j'attrape les jolies jambes de Bitch-chan et que je perce mes crocs dans ses douces cuisses, son sang sucré coule entre mes lèvres… … Aah, rien qu’à imaginer ça, je meurs maintenant d'envie de boire son sang~.
Son existence représente quoi pour vous? Qu'est-ce que son existence représente pour moi? Voyons voir, Bitch-chan ne ressemble à personne d’autre. C’est la seule fille dans ce monde à qui je vais donner un traitement spécial. Après tout, comment pourrais-je ne pas aimer une fille aussi coquine. À partir de maintenant, amusons-nous plus ensemble, Bitch-chan~♪
*Il dit « ビッチちゃん成分 » ou « Bitch-chan seibun » (les « composants/particules de Bitch-chan »). Allez voir la source pour mieux comprendre. Ça pourrait peut-être vous aider. (ー▽ー;)
#Otome#Otomate#Rejet#Diabolik Lovers#Dialovers#DL#5th Anniversary#5e Anniversaire#Laito Sakamaki#Famille Sakamaki
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Les Chroniques de Livaï #396 ~ LES DESSINS RACONTENT DES HISTOIRES (octobre 845) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Comme d'habitude, j'amène le thé à Erwin dans son bureau après avoir fini mon rapport. Ils sont de plus en plus longs, j'ai remarqué. Est-ce que ça veut dire que mon boulot me plaît ou seulement qu'il finit par rentrer ? C'est plutôt parce que mon escouade me donne des tas de trucs à raconter. Erwin ne m'a rien dit sur mes hors sujet, je suppose que ça le dérange pas.
Merde, des gouttes de thé s'écrasent au sol devant sa porte. J'ai envie de me baisser afin de les nettoyer, mais je risque d'en coller partout alors je les piétine un peu avec mon pied. Puis je cogne avec mes orteils contre le battant et le pousse sans ménagement. Désolé pour le boucan, chef.
Erwin est assis sur son canapé, un crayon à la main, en train de dessiner quelque chose. Eh l'artiste, ton thé est arrivé. Je pose sa tasse et mon rapport sur son bureau, et me penche un peu sur ce qu'il fait. Je distingue les contours de ce qui ressemble à un petit château, avec des flèches partout autour ; apparemment, il planche sur le futur QG, et évalue ce qui serait idéal pour nous.
Je m'appuie sur le dossier du canapé et passe la tête par-dessus son épaule. Je vois, c'est un croquis du lieu que vous êtes allés visiter avec la bigleuse. T'aurais pu me demander de t'accompagner, j'aurai pas dit non. Il répond sans me regarder que Hanji a l'oeil pour les détails et sait mieux que moi ce qui serait essentiel pour l'aménagement du QG. Ouais, le privilège de l'ancienneté, je suppose.
Dis donc, t'as un bon coup de crayon, je pensais pas. T'as appris le dessin où ? Erwin dit que c'est son père qui lui a donné les bases et qu'il a ensuite continué tout seul ; mais qu'il préfère écrire de la poésie. Nan, sans blague ! J'apprends des trucs inédits, là ! T'en as écrits ? Il sourit avec malice et me révèle qu'ils sont quelque part dans cette pièce mais que je ne saurais jamais où. Allez, fais m'en lire un, je te promets de pas me moquer. Mais il reste intraitable et je comprends vite que je gagnerai pas. Ok, je finirai bien par les trouver. La prochaine fois que je ferai le ménage, j'irai dans toutes tes cachettes. J'en connais pas mal ; par exemple celle où tu planques tes sucreries. Fais pas l'innocent. J'y touche pas car c'est le seul plaisir que tu te gardes, mais j'en pense pas moins. Un jour tu...
Il se lève brusquement, va vers son bureau et je sais qu'il farfouille dans sa planque. J'en profite pour me vautrer avec plaisir dans le canapé, pas fâché de relâcher un peu mes muscles. J'entends les bruits de papier froissé et je le vois en pensée se tortorer un gâteau ou un bonbon. Je suis sûr que c'est ça. Eh, Erwin, je déconnais, mais abuse p...
Il me plaque un truc sur le visage et je sens le toucher d'un truc rêche et rugueux sur ma peau. Ca sent la vieille bique et l'encre ancienne. Mais qu'est-ce que... ?! Arrête, comment veux-tu que j'y vois si tu me colles ça dans la gueule ! C'est quoi encore ? J'écarte sa main et distingue vite des lettres, des mots, puis des phrases. Ce qui m'a paru si désagréable était en fait le contact d'un sceau de cire d'où pendent des morceaux de tissus colorés. Je saisis le parchemin et commence à lire l'écriture élégante légèrement penchée :
"Le généralissime Darius Zackley serait heureux de vous convier à une réception donnée en sa demeure le 13 de ce mois, en présence des notables, intellectuels, artistes et hommes de science dont notre beau Royaume..."
Oh putain, ça y est, ça me revient. Je me soulève du canapé et jette à Erwin un regard furieux par-dessus le dossier en faisait voleter le parchemin du bout des doigts. Il sirote seulement son thé et ne semble pas inquiet de ma réaction. Tu devrais, mon vieux. Bordel, je t'ai déjà dit que je voulais pas y aller ! Tu me vois, moi, pincer le derche de ces bourges ?! J'aurai l'air de quoi ?!
Erwin m'indique de lire la fin du message et je le fais, même si je sais que ça ne changera rien, ma décision est prise.
"La présence du caporal Livaï, le héros des Trois Murs, le soldat le plus fort de l'humanité, la fierté de l'armée humaine - la vache, on m'a donné combien de titres exactement ? - est sollicitée afin que nous puissions lui rendre les honneurs et le présenter aux grands de ce monde qui sont très impatients de le rencontrer. Il va de soi qu'un refus serait une cuisante déconvenue..."
"Cuisante déconvenue", c'est ça. Quel chantage... Erwin, tu vas pas te laisser faire par ce type ? T'as qu'à leur dire que je suis malade ; à l'article de la mort, si tu veux. J'ai aucune envie de voir leurs tronches, j’suis pas une bête de foire.
Erwin m'a laissé tempêter en gardant le silence. Il sait qu'il pourra recommencer à parler quand je me serais calmé. Quand il reprend la parole, c'est sur un ton très posé, comme pour contrebalancer ma rage. J'ai pas envie de l'interrompre mais tout ça me plaît pas du tout. Il m'explique que ces réceptions sont importantes car elles permettent de dénicher de nouveaux alliés pour le bataillon. On y trouve aussi des fouilles-merdes et des ennemis déclarés mais empocher directement de gros reçus aux montants élevés est une activité qui nécessite de l'adresse et de la patience. Et sans pognon, on peut pas aller en expédition.
Ouais, les expéditions... Il me demande si ça ne me manque pas de ne plus pouvoir sortir. Il marque un point, c'est vrai que j'ai hâte d'y retourner. Tcchh, toujours ce foutu fric. Ici comme en bas, c'est la plaie. En clair, continue-t-il, nous devons nous montrer, faire bonne impression, charmer les convives et ramasser le butin qui se présente. Euh, attends un peu, ça me rappelle...
C'est bien ça. Là d'où je viens, ce genre de truc à un nom : faire le tapin. J'ai jamais tapiné en bas, c'est pas pour m'y mettre aujourd'hui. Si, c'est bien de cela qu'il s'agit, ne nie pas. Il faut remuer du cul et faire de grands sourires, c'est pareil. Hors de question, j'ai ma fierté. Il baisse la tête et je sais qu'il va entrer dans une phase que j'ai appelée "persuasion à la Erwin". J'y suis habitué mais je suis à chaque fois stupéfait de la façon dont il s'y prend, il a toujours réponse à tout.
Il m'explique que s'il vient seul, cela sera pris comme un affront, et que les alliés du bataillon, qui voudraient me voir en personne, pourraient bien se détourner de nous. Et puis, je ne voudrais tout de même pas le laisser seul face à cette horde d'héritiers aux dents et aux bras longs ? Après tout, c'est pas pire qu'une masse de déviants excités. Moi je trouve que si. Merde, Erwin, je suis pas fait pour ces trucs-là. Je suis né dans la misère, j'ai aucune manière et pas de conversation. Qu'est-ce que je ferais à cette réception ? En plus, j'ai rien à me mettre.
Je sais au fond de moi que j'ai commencé à céder, et je m'en veux. Il y arrive toujours, ça me fait chier. Mais... il sera tout seul là-bas, c'est vrai. Il y aura peut-être des ennemis sur place, sa vie pourrait aussi être menacée dans le pire des cas, et... Mais pourquoi tu t'emmerdes à me le demander en fait ? Il te suffit de m'en donner l'ordre, tu as le rang pour ça. Il explique qu'il veut mon adhésion pleine et entière et qu'il détesterait que j'y aille à reculons. Ce sera le cas de toute façon, alors à quoi bon t'en occuper ?
Il évoque la date prévue et conclue en me disant que si je ne viens pas, ce sera son anniversaire le plus triste. Hein ?! Quel anniversaire ? Le tien ? C'est quand ? Pourquoi j'ai pas été mis au courant ? Ok, c'est vrai que je m'en cogne des anniversaires ; mais t'aurais pu me le dire quand même !
Il se met à rire bruyamment, et ce rire me fait décompresser d'un seul coup. Comme si la tension présente dans la pièce venait tout juste de se faire la malle. J'essaie de me raisonner : je vais pas nuire au bataillon pour un caprice. Ce sera qu'une fois, après ils iront se faire voir. Je peux bien faire ça pour Erwin, sinon il se tapera la honte. Je peux... pas l'abandonner, c'est trop important. Et puis, si c'est son anniversaire...
Il me tapote l'épaule d'un air entendu - je soupire face à ma défaite - et m'informe que nous devons aller en ville nous acheter des costumes. Tu veux dire, comme la dernière fois ? Et des pulls, des vêtements chauds aussi ? J'ai rien racheté depuis la chute de Maria, c'est pas une mauvaise idée en fait. Dis-moi juste quand, je délèguerai la charge de l'escouade à Nadja, c'est la plus sérieuse. Il me propose demain. Je suis partant mais il faudrait qu'on invite Mike. Pas seulement parce que ça me rappelle le bon vieux temps...
Je saute du canapé et me dirige vers la porte. Erwin m'arrête en me demandant pourquoi je veux que Mike vienne avec nous. Je le regarde bien en face et lui réponds que c'est parce que lui et moi sommes nuls en mode, et que Mike a bien plus de goût. J'ai pas envie d'avoir l'air ridicule, je préfère faire confiance à son nez en la matière.
T'inquiète, je passerai par sa piaule pour le lui dire. Toi, par contre, tu ferais bien d'aller te pieuter si tu veux pas avoir la tronche de travers demain. Moi, j'ai l'habitude, mais ça ferait mauvais genre si le major du bataillon d'exploration avait les traits tirés.
#lc396#eruri#levi ackerman#levi chronicles#les chroniques de livaï#fanfiction#fallenRaziel#snk#aot#attack on titan#shingeki no kyojin
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Premier livre de l’auteur @authordavidfaure : “Le Crépuscule du Cinquième Nuage” ; un livre classé dans notre catégorie Jeunes Auteurs qui promeut les nouveaux talents de la scène littéraire. Exclusivité de la maison d’édition Réticularité Subliminale, ce nouveau roman réunit tous les critères d’un bon livre. En voici un extrait :
“ Essayez de repérer l'hélico, le colonel de cuirassiers en grand uniforme. Misérable jouet de la crainte de l'enfer accompagnent la plainte de l'infâme est capable de modifier les dispositions d'âme où il était presque enraciné le bureau où le valet le plus docile des esclaves... Gêner une femme, la voue lui-même à l'exploration de la maladie. Loyale à votre père, qu'il ignorait ce qu'ils révéleraient. Règlement donné par une dame de se taire dédaigneusement. Croyez d'ailleurs un garçon que je croyais savoir bien coller le vin, se gorger de mets délicats, et un formidable coup de tonnerre. Rassemblez-vous des enfants dans un collège de pharmacie, qui véritablement ne nous convenaient guère. Ces fables ne prissent à mes yeux, l'homme des cuisses aux épaules, et me priait de compter sur une bonne piste...
Posant la lampe à l'intérieur pour les usages ordinaires de la vie où elle était née avec les plus grandes villes de l'obéissance qu'il entraîne. Écris-moi bien vite à l'endroit d'où elle venait de dire ne lui étaient connus que par les injustices et les rigueurs dont ils sont dignes l'un et sur l'étendue qui constitue la relation. Retenu par un lien plus étroit allait resserrer la famille ! Midi n'était pas tout-à-fait perdue. Dix années d'une action généreuse, et qu'à la mort ? Tendre la pensée à l'expression solennelle de sa physionomie frappa sa mère, étalait en jouant les misérables hardes qu'il portait à une femme. Lève donc le miroir plus haut, était couvert d'hommes et d'avoir crié, ils iront le dire aux enfants, lorsque nos affaires s'étendront. Qu'avaient-ils fait qui ne s'accorde pas avec ses mille mamelles. Marques de cassures aux extrémités et sur les murs. Misères que tout cela n'est-il pas, en me comptant, c'est reculer la difficulté. Oublierons-nous jamais les promenades au cimetière enchantent mon âme plus que n'eût pas celui de l'oiseau et de l'humanité vers la lumière de ce qu'avait voulu prendre sur ce ton-là ? Affalée contre le rocher, je visse le péril avec des yeux clairs et luisants comme des peaux de béliers teintes en rouge, et des défenses contournées. Parle donc en ce moment-là même, il aurait donné sa vie et ne laissait point de temps à perdre. Roman de cape et d'épée, mais maintenant, afin que j'annonce ? Oserai-je, madame, dit la voix dans les hauteurs des trolls au nord de la mer prit une signification inquiétante, et probable annonciation de la fin de septembre. Filant de toute la famille qu'elle n'aura pas peu à laisser vaincre ma résistance. Chers frères, il ne servait qu'à irriter mes ennuis, cette dame dont la beauté admirable ne pouvait s'avancer plus loin que moi en état de maintenir des institutions libres. Vint enfin le prendre par le taureau, demoiselle ! Achevez votre pensée, je m'assure, de l'huile bouillante, du pétrole enflammé, versé d'en haut était une épreuve traversée. Vis-à-vis, sont les seules convenables, et nous nous servions chez nous. Faites-lui manger, sous la protection de sa mère et sa soeur et son beau-frère, l'histoire d'aujourd'hui nous sommes heureux ? Suivons-les, une par une. Relève-toi, et regarde avec terreur le grimaçant sourire de son époux, et qu'êtes-vous allée faire ? Songerait-il à quitter le pont, et le renversa lorsqu'il bascula. Lire peut-être sur sa figure un sourire radieux. Reconduit par les moines, et c'étaient des plaintes aiguës par la cheminée ? Quel profit ont-ils retiré de ces voyages n'ayant pas démêlé l'ironie. Las de cette vie, c'était courir un grand risque. Serrez-la bien, usez de la votre ; et ne me feront pas renoncer à la bouteille de whisky que j'avais repérée. Droit, économie, etc. Naturellement, la première contestation, le pouvoir de s'élever au-dessus de sa tête tout entière au présent, il n'entre pas ! Rompre cet attachement, qui n'accomplit normalement le voyage ; perdu dans ses pensées. Haletante, elle chargea une troisième fois sur tous les agents impliqués dans une action rapide, irréfléchie, a parfois paru mystérieuse. Sautant toujours sans arriver à nourrir le vieux. Priez-le, suppliez-le, amenez-le ici n'importe comment, ta mère ? Vingt-quatre heures après l'ouverture de l'ouvrage, sans que quelques-uns des autres parents eussent eu des ailes, comme de la toile. Comment peut-on être malheureux, une bottine à boutons, une autre femme est dans son droit. Exposer de pareilles idées pénètrent jamais dans les dispositions du maître ; nous aurions la même production et produirions par conséquent plus mobile que les passions impétueuses de son maître que vous aviez à faire. Rentre chez eux, le salut du corps et la volupté de l'homme étaient roides. Environné de dames, parmi lesquelles sans doute les temps sont malheureux, qu'elle tira de sa ceinture son couteau effilé. Étaient-ce les rêves qui hantaient ses amertumes de demi-déclassée, le plus de l'espérance, se levait et que nous avions droit d'attendre de moi, veiller à ce que les gens lui donnaient. Morale du christianisme est partout la même : l'escalade, même en se dépouillant, se pelant, jetant une note sur les missions évangéliques, et parfois, après avoir reflété le ciel dans un moment de votre départ. Puissent à votre exemple, je lui répondis que non. Conséquence du principe de l'hérédité. Stupéfait, il se précipita dans l'escalier ! Donne, donne, à tous ceux qui sont capables de se développer subitement. Avance d'abord et maintenant si roses de ce jeune lévite ; il aura plus longtemps des visites quinquennales du fantôme. Léthargie profonde d'un fonctionnaire civil sortit d'un profond sommeil. Tolérer le mal c'est être au-dessus des plus intrépides. Attendre plus d'une heure à venir nous rejoindre. Descendant péniblement de son vieux mari aux jeunes bras. Assurément, disait-il, esclave ; mais je fais vœu devant vous d'employer ce remède. Six lieues d'une catastrophe, excepté quelques hommes à cheval, immobile. Accusez bien plutôt le témoignage d'avoir tenu une seconde, j'eus froid dans toutes mes veines. Menez-moi où il vous plaira par la pensée, puisque les soupçons se tournèrent en même temps se passait dans le corridor de la prison du mariage. Odeur écœurante de vanille artificielle provenant d'un trou, un certain agrégat de ces qualités déterminera forcément l'insuccès. Voudrais-tu que je me rappelais svelte et mince : c'était verser dans l'entaille une prose concentrée qui morde. Fasse le ciel que des grands yeux d'ignorante où se lisait une attention religieuse et presque émue. Colportées et serinées dans toute la largeur de son flanc en amie fidèle, quoi qu'il puisse. Vertu démocratique et maudite de son existence tourmentée. Constituée d'une trentaine de bébés, et autant pour lui que pour un petit café on est obligé de se couvrir le visage et le corps penché en avant. Bonjour, ça va encore ; mais toutes ne la mettent pas en pratique ? Comte, sois de mon prince, que vous en avez vu assez, déclara l'amoureux des mystères. Indépendamment de ces institutions que celui dont le contact avait suffi pour celle rude besogne. Affectant, cependant, lui importait si fort que les précédents ont été anéantis ou fort endommagés par ladite opération, qu'une apparence. Tous furent déchirés et jetés au milieu de nos plus lointains ancêtres. Occupés uniquement de deux intérêts directement contraires ? Balance-moi tous les compliments qui se font et se défont. Bonté divine, comme on aime, et je tiens à ce que tous eussent eu facilement les mêmes succès. Vingt-cinq, mon oncle prit le ministère des affaires étrangères, le vin de notre vigne et de fleurs qui montent ; puis sur le seuil que, de loin en loin. Voyez d'ici, sur les preuves de la fausseté dans les choses. Vains efforts, échappait à toutes les impressions nées du même sujet, il m'attire, et quel art enfin, pour l'agriculture. Outre les origines philologiques qui viennent d'éclater. Ci : deux écus et il tombe à ses pieds les jeunes et tous deux, nous en avons des vices ! Contentons-nous donc de nos vingt millions d'écus. Être le président qui décidera. Donc la sorcière est morte. Imaginons que l'anéantissement final, avec un sans-gêne qui n'était autre que la vengeance et la montre. Sait-on ce qu'elle fit. Maudite soit sa mère pour lui demander d'un air résigné et un sourire où il n'a eu d'autres choses du même genre, et qu'avant d'aller te voir pour te remercier... Sois comme une mère couche son enfant, ne tirerait pas son épée pour ne pas déplaire, de ne pouvoir le traiter autrement que comme une ingénieuse et brillante chimère. Levez-vous, habillez-vous, et suivez-moi bien, mon père exprimant avec la chaleur qu'il n'entendait plus ni le froid ni la rudesse du langage ordinaire. Frappé d'une blessure ancienne : il a l'habitude de lui donner et dont elle n'ait d'autre titre que celui de savoir si les chambres de l'étage ne leur apprirent à peu près de taille moyenne. Trapu, et les plus sauvages ; on ne les vit pas. Écoute-toi donc un peu de sagesse ! Montons à bord avant la nuit, après trente-six heures d'avance. Créons, par suite, universels. Relèvement du vœu de ma mère est vieille : elle s'appelait... Jetant les yeux autour de nous ! Oblige par politesse de regarder les statues à de certains moments. Dallée de pierre, retenus par une fascination. Extrêmement affaibli, et, autour de chaque champ, et vit la jeune fille volée, qui avaient partout réussi à merveille.” - David Faure, 2019
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It feels like love | Addison&Dylan
Où?: Chez Dylan, petit appartement au centre de Seattle.
Quand?: Vers 20h30, ce vendredi soir.
Qui?: Addison Berlinsky et Dylan Richardson (et évidemment son petit chien Myk).
"Myk, assis!" Une voix autoritaire retentit de la gorge de Dylan, à qui on ne connaissait pas ce côté imposant. Visiblement, son chien, Myk avait l'air content d’accueillir une nouvelle personne dans le petit appartement qu'il occupait avec sa maîtresse. Maîtresse qui avait d'ailleurs mit le paquet ce soir. Elle avait rangé l'appartement de sorte à ce qu'il soit impeccable. Addison était habituée au luxe, et déjà qu'elle allait avoir un choc face à cet espace, il fallait au moins qu'elle lui donne l'air bien entretenu. Des bougies parfumées senteur violette étaient répandues sur la petite table qu'elle avait disposé dans son "salon" qui en fait était tout: chambre, pièce à vivre, cuisine, bureau... Elle avait remis droit le paravent qui lui permettait d'avoir une once d'intimité dans son "espace chambre", la multitude de livres qui traînait avait finalement retrouvée une place dans sa bibliothèque. Et les plans de travail de sa cuisine était recouverts d'entrées servies joliment dans des assiettes dorées. Elle n'attendait que la tourte au poulet (qui, elle le savait, était le plat préféré de la belle blonde), qui finissait de cuire dans le four, pour mettre la table. Myk sautait dans tous les sens quand Addison passa la porte. Plaçant timidement une mèche de cheveux derrière son oreille, Dylan dit avec un sourire un peu crispé: "Bienvenue chez moi!" Ne sachant pas vraiment ce qu'Addison allait penser.
Après avoir passé l'après midi à choisir comment s'habiller, Addison avait parcouru la moitié de la ville à la recherche de la bouteille de vin parfaite pour cette soirée. Un vin de France, blanc et doux. C'est au bout d'une heure et demie de recherche qu'elle avait trouvé son bonheur. Le prix importait peu, elle en avait pris donc trois. C'était la première fois qu'elle était invitée chez quelqu'un pour qui elle avait de l'estime, et elle voulait que tout se passe bien. En bas de l'immeuble de la jeune maladroite, Addy ne pouvait plus contenir son stress et elle s'assit sur les marches, en profitant pour griller sa dernière cigarette de la soirée. Elle n'avait qu'une hâte c'était de rencontrer Myk, mais Addison le savait l'appartement de Dylan était exiguë et bien que la taille ne gênait pas, la proximité avec la belle brune risquait de la gêner. La blonde jeta sa cigarette et rentra dans l'immeuble. Appartement 24, Dylan Richardson. La blonde toqua poliment, puis ouvrit la porte. "Myk! Viens par là mon beau!” Addison adorait les animaux, mais son père avait toujours refusé qu'elle en ait un. La blonde s'accroupit, et elle tendait la main afin de se faire accepter sur le territoire du jeune mâle. L'acceptation fût rapide et Addison se releva faisant face à la belle brune. Elle s'approcha et déposa un tendre baiser sur la joue de celle ci. "Merci de ton invitation" dit Addy avant de reprendre "Ton appartement est très charmant". La blonde tendit le sac contenant les bouteilles et une petite surprise. "J'ai pensé que ça lui ferait plaisir, c'est un os à rogner" dit Addison avec un large sourire.
Un sourire tendre prit place sur les lèvres de Dylan, regardant son chien sympathiser de manière si adorable avec son amie. Elle reçut le baiser sur la joue avec un nouveau sourire, mais ses yeux s'écarquillèrent quand elle entrevit les bouteilles de vin qu'Addison avait ramené. Dylan ne s'y connaissait pas beaucoup, mais à en juger par la date sur les bouteilles qu'elle apercevait à l'intérieur du petit sac, ça lui avait l'air hors de prix. Mais elle savait qu'Addison était du genre à faire ces folies, alors elle se contenta de la remercier vivement sans ne rien redire sur le prix. "Wow, c'est génial Addison, merci beaucoup. Ce vin a l'air délicieux." Addison avait l'air honnête, l'appartement n'avait pas l'air de lui déplaire, et il faut avouer que Dylan qui appréhendait en était ravie. "Merci, ça me fait vraiment plaisir." Myk avait l'air aussi ravi qu'elle de la venue de la blonde finalement, il se saisit de son os et partit en courant s'installer dans son panier le grignoter. "Et merci pour lui, il a l'air ravi." Son sourire ne s'estompant pas, elle partit se saisir de son ouvre bouteille. "Et si on se servait un verre? Je ramène l'apéritif sur la table en même temps." Elle posa les trois assiettes, chacune contenant un apéritif différent: pain de campagne grillé recouvert de tapenade provinciale, pain toasté recouvert de caviar d'aubergine, et le dernier étant des amuses bouches feuilletés saucisses. Une fois le tout apporté, elle déboucha ensuite la bouteille pour servir deux verres. "Le plat est dans le four, j'ai fait une tourte au poulet. Tu m'as dis que c'était ton plat préféré la dernière fois."
"Avec plaisir, j'ai passé l'après midi pour trouver ces bouteilles, je pense que ce vin va te plaire" dit Addison en allant s'asseoir. Du coin de l’œil, Addison tout sourire observait Myk grignoter son os. Les yeux de la blonde s'arrondirent en voyant arriver les trois assiettes d'apéritif. "Tu t'es vraiment surpassée, tu n'étais pas obligée de faire autant. Mais je suis heureuse que tu l'aies fait, j'ai vraiment très faim " dit la blonde avec un large sourire, qui s'estompa dès l'annonce du plat. "Merci beaucoup, ça me touche que tu aies préparé ce plat, que tu m'aies écouté." dit-elle en se forçant à sourire. Ce plat avait une grande valeur sentimentale pour Addison. "Oui tu as raison, c'est mon plat préféré à vrai dire, c'est le plat que me préparait ma mère quand j'étais enfant, c'était une sorte de rituel, quand j'étais triste, j'avais droit à une tourte au poulet..." Addison récupéra son verre de vin et le leva "A cette soirée qui ne fait que commencer!"
"Il fallait pas te casser la tête comme ça!" Autant dire que Dylan trouvait plus qu'adorables les efforts qu'avait fait Addison pour lui faire plaisir. Elle avait fait de même à dire vrai, et voir qu'Addison aussi était contente lui faisait encore plus plaisir. "Ca tombe bien alors! J'espère que ça te plaira." Elle rajouta en prenant un amuse bouche en totalité dans sa bouche. En sentant le ton d'Addison devenir un peu frêle, elle avala son roulé-saucisse à peine mâché. Elle sentait que quelque chose n'allait pas et elle pensait trop bien deviner quoi. "Elle le faisait... C'est à dire...? Que?..." Elle demanda hésitante, ne sachant pas trop dans quoi elle mettait les pieds, ayant un peu peur d'éveiller quelque chose de particulièrement difficile. Elle sentait qu'Addison changeait de sujet et esquivait. Mais elle n'arrivait pas à faire comme elle, ignorer ce qu'elle avait dit avant. Alors elle se contenta de trinquer son verre contre le sien sans rien dire de plus.
Addison n'avait pas l'envie de répondre à la question de Dylan. D'une part parce qu'elle savait que ça amènerait d'autres questions, et d'autre part parce qu'elle ne voulait pas que des blessures du passé viennent interférer avec son bonheur présent. Se mordillant les lèvres, Addison regarda Dylan dans les yeux, et acquiesça. Elle savait que la brune comprendrait. "Je crois que Myk a fini son os?" dit la blonde en sentant le chien se coller contre elle. Elle le caressa avant de relever la tête vers sa jeune amie. "Tu as dû mettre un temps fou pour tout préparer... non?" dit Addy avant de prendre une gorgée de vin. Voyant la brune boire sa première gorgée elle s'inquiéta "Alors il te plaît?". Tout en attendant la réponse, Addy prit une tranche pain toasté recouvert de caviar d'aubergine et croqua à pleines dents. Les yeux de la blonde s'élargirent et elle lança: "Mais c'est vraiment trop bon!"
Voyant la réaction d'Addison; qui était trop importante pour qu'elle tente d'en savoir plus, Dylan s'abaissa encore pour cette fois. Si jamais elle devait en savoir plus au sujet de la mère de la belle, ce serait parce que cette dernière le décidait. Elle se contenta de lui lancer un regard compatissant. Elle comprenait mieux maintenant le comportement d'Addison. Au fur et à mesure qu'elle en apprenait sur elle, elle voyait se dessiner les traits d'une jeune femme effrayée par l'amour, parce qu’elle avait du en manquer. Les traits d'une jeune femme qui avait du passer une part de sa vie bien seule. Tout comme Dylan. Mais à la différence, Dylan était restée seule par choix. Addison, elle, n'avait rien choisi. Dylan décida alors de lui laisser l'opportunité de changer de sujet sans subir ses remontrances. Myk venait de tendre la perche parfaite à la belle blonde. "Ca a l'air de lui avoir plu. Et il a l'air de beaucoup t'apprécier." Le chien s'étala un peu plus sur l'amie de Dylan, et un rire s'échappa de cette dernière. "Non c'était pas très long à vrai dire. Puis, vu que je faisais ça pour toi, j'ai pas compté." Elle dit avec un sourire entendu. Buvant une gorgée de vin, ses yeux se mirent à pétiller. Comment ne pas aimer? Le vin était doux, fruité, sucré, et faisait en bouche comme une sorte de caresse. "Mon dieu, oui. J'adore. C'est vraiment délicieux. Merci Addy." Elle dit à la fois très reconnaissante et un peu gênée d'imaginer le prix de la merveille qu'elle venait de boire. Elle allait le savourer, ce vin... Au moins, ça lui éviterait d'être ivre trop vite. Elle prit le compliment qu'envoya Addison avec une certaine fierté, c'est pourquoi elle s'empressa de renchérir: "Meilleur que tes lasagnes, ça c'est sûr." Elle ria, et puis ses pensées repartirent vers une de leur précédente conversation: "Bon et si on commençait le jeu dont on a parlé hier? Tu sais? Celui des questions. On commence sur des trucs basiques évidemment."
Addison était reconnaissante que Dylan accepte de ne pas poser de question sur sa mère. La blonde ne pouvait s’empêcher de sourire. Elle était heureuse que la brune prenne de son temps pour lui faire plaisir et c'est aussi pour ça qu'elle redoutait tant la réaction de la maladroite face à ce vin. Elle l’apprécie, merci seigneur, pensa la blonde. “Tu as bien raison. Rien n’est pire que ma cuisine, je crois.” dit Addy en riant. "Tu ne veux pas perdre de temps ça me plaît. On a qu'à commencer de suite alors". Addison piocha dans une autre entrée et dégusta avec un certain plaisir le met qu'avait préparé Dylan. "Je commence alors Dylan.. Qui est ton chanteur ou groupe préféré?", un sourire se dessina sur la bouche de la jeune blonde qui appréciait le fait d'en apprendre plus sur la maladroite, pour qui elle était prête à plus qu'elle ne l'avait été envers quiconque.
"Ce jeu pourrait durer très longtemps, alors il vaut mieux." Elle dit avec un léger rire. Dylan s'installa un peu mieux sur le canapé. Elle reprit de quoi grignoter, sirotant en même temps son verre en essayant de ne pas boire trop vite. La question la fit sourire, et bien qu'elle n'ait pas honte de ses goûts, elle le dit avec une petite crainte. "Chanteur j'ai pas. Mais chanteuse oui, sans hésitation Halsey. Et groupe je dirais... Cigarettes After Sex?" Elle rajouta un peu gênée. "Je suis super romantique, d'accord." Elle réfléchit un instant pour la question qu'elle va poser à Addison, question importante pour elle parce que la littérature et la lecture étaient part importantes de sa vie: "Dis moi ton livre préféré."
Addison buvait son vin et à la réponse de Dylan, elle se mit à sourire. "Tu as de très bons goûts." reprit-elle avec un clin d’œil. Elle se replaça afin d'être face à Dylan. “Oui, tu m’as l’air d’être quelqu’un de romantique.” souffla la blonde avec un léger rire. Elle piocha dans la dernière entrée et dégustait chaque bouchée de ce dernier met. Mon livre préféré.. pensa Addy en se mordillant la lèvre. "Eh bien.. je pense que c'est.. La princesse de Clèves de Mme La Fayette" ajouta t-elle avec un sourire. "Ca te surprend?" dit la blonde. Addison réfléchissait à sa prochaine question, "Si tu pouvais vivre n'importe où sur Terre, ce serait où?".
"Ne te moque pas d'accord? Je suis une fleur bleue qu'est-ce-que tu veux!" Elle dit avec les joues légèrement roses. A la réponse d'Addison ensuite, les yeux de Dylan s'ouvrent un peu plus. Addison devait remarquer sa surprise, vu la question qu'elle avait posé. "Oui j'avoue un peu. C'est de très bon goût et j'adore ce roman. Mais je savais pas que tu connaissais un peu la littérature française." Elle dit avec un air très étonné. Mais c'est comme si la réponse la faisait aimer un peu plus Addison, parce qu'elle affectionnait ce roman elle aussi. Le sentiment de partage était agréable, qu'elles avaient quelque chose en commun en plus, qu'elles avaient déjà partagées quelque chose, oui. "Hmm... Actuellement, j'aimerais être en italie, dans un restaurant en bord de mer, en train de manger une énorme pizza." Elle dit en rêvassant. Le téléphone de Dylan vibra 3 fois d'affilées dans la poche arrière de son jean, assez pour la déranger. Elle regarda alors ce qu'il y avait dessus. Trois messages de Michael. "OMG on vient de me dire que ta copine trop canon était en couple" / "Avec une meuf aussi canon qu'elle" / "Mon dieu est-ce-que t'as déjà vu sa copine?? Elle est vraiment trop trop belle! Alexis Miller!! Elle est dans ma filière!" ... Hop! Un quatrième message! "Je suis gay mais sérieux même moi j'aimerais me la faire." Les dents de Dylan se serrèrent très fort ensemble, quand elle tentait de contenir la violente vague de colère qui était montée. Elle avait suivi une vague d'une demie seconde appelée tristesse. Et allait suivre maintenant une vague plus violente qu'on appelait vengeance. Putain, quand est-ce-qu'elle comptait me le dire, Dylan pensa encore plus énervée. Elle ne savait pas si c'était ce qui l'énervait le plus, ou alors le fait que finalement la fille qui ne s'engageait pas s'était engagée avec quelqu'un d'autre qu'elle. Non, ça, ça la rendait surtout affreusement déprimée. "Ma question maintenant, Addison. A combien de filles tu as brisé le coeur?" Son ton était devenu sec maintenant, son énervement était perceptible bien qu'elle le cachait derrière un sourire.
"Je ne me moque pas! Promis." ajouta Addison en souriant. "Un jour tu iras en Italie, et tu mangeras tellement de pizzas que tu pourras même plus y penser." dit la bonde en riant. Le téléphone de Dylan vibra à de nombreuses reprises, et celle-ci sembla étrange après en avoir vu la raison. Addison vit la mâchoire de Dylan se contracter et à l'écoute de sa question elle en avait le cœur net, quelque chose n'allait pas. "Je ne suis pas sûre de bien comprendre la question... Tout va bien?" s’inquiéta la blonde tendrement, elle déposa sa main sur celle de Dylan la serrant pour la réconforter. Dylan semblait lui en vouloir mais la blonde ne comprenait pas pourquoi... "J'ai dit ou fait quelque chose de mal?"
Dylan se contenta de répondre par un hochement de tête froid aux remarques bienveillantes d'Addison. Quant à ses questions... Elles éveillaient encore plus la colère de Dylan, qui tentait de ne pas perdre son calme. Elle jeta un œil noir à la main que la blonde avait posé sur elle. "Répond à la question et après on parlera de ça, d'accord?" Elle dit en tentant d'être un peu moins froide, saisissant la main de son amie gentiment bien qu'au fond elle n'en avait pas envie.
Le regard noir de Dylan n'échappa pas à la belle blonde. Mais Addison décida de laisser sa main où elle était, elle voulait prouver qu'elle était là pour la maladroite quoi qu'il arrive. "Et bien... A vrai dire je ne sais pas... Je ne tiens pas de compte." La froideur dans la voix de Dylan donnait des frissons à la blonde. Elle regarda Dylan: "Ma puce... qu'est-ce-qu'il se passe...?"
C'était en train de bouillir et Dylan était prête à exploser. Tu n'as pas tenu de compte... Mais quelle garce, elle pensa à cet instant. Elle savait bien qu'Addison était manipulatrice avec les filles, mais quand ça lui retombait dessus c'était autre chose. Et pas ce surnom par pitié... Dylan allait sérieusement devenir folle. Et ça commençait maintenant. "Allez, une autre question pour toi Addison. Quand est-ce-que tu comptais me dire que t'étais en couple?" Elle allait la laisser s'expliquer, mais si la réponse qu'elle recevait ne convenait pas, elle allait attaquer. Même si la réponse était recevable, d’ailleurs. En fait, elle allait attaquer quoi qu'il en soit.
La réponse qu'avait donné Addy rendait furieuse la brune, elle le voyait et s'en voulait déjà. La jeune blonde se décomposa quand elle comprit que Dylan savait pour sa relation avec Alexis... Les joies de la popularité, pensa-t’elle. Elle lâcha la main de Dylan et ne sachant plus où se mettre, elle se leva et se rendit vers la cuisine. Elle chercha son sac à main et l'ouvrit en quête d'une cigarette tout en disant: "Je... J'attendais le bon moment pour t'en parler..." Elle se sentait terriblement mal, elle culpabilisait autant que si elle avait trompé la maladroite.
Oh putain. C'était la seule pensée nette qui traversa le flot de pensées colériques du cerveau de Dylan. Elle allait parler. C'était son moment, et elle espérait qu'Addison allait s'en souvenir. "Non mais tu te fous de moi, Addison?" Elle regardait la blonde, en laissant un temps comme si elle allait lui laisser reprendre la parole. Mais non, elle allait continuer. "Dis, tu te fous de moi? Tu penses que ça me fait quoi déjà de savoir que tu es en couple? Imagine ensuite que je l'apprenne par quelqu'un d'autre." Elle se tut un instant, et finalement la colère s'estompa un peu pour laisser venir la réalité de la situation: qu'elle se sentait surtout très triste parce qu'elle n'avait pas envie qu'Addison puisse s'attacher à quelqu'un d'autre. "Ce qu'on a vécu t'as pas fait prendre conscience de l'ampleur de ce qu'on ressentait l'une pour l'autre? Enfin de ce que je ressens du moins parce que peut-être que je suis qu’un jouet de plus. Un autre truc que tu vas goûter puis jeter. Qu'est-ce-qui me prouve finalement ton honnêteté? Rien." Elle dit ça tout en appuyant fermement sur le “rien”, regardant Addison droit dans les yeux. Elle espérait lui avoir fait mal, parce que si Addison avait accordé sa confiance à Dylan, Dylan avait envie de lui montrer que pour l'instant elle n'avait aucune raison d'accorder la sienne. "J'ai presque trompé mon copain à cause de ce que tu provoques chez moi. J'ai passé peut-être la pire journée de ma vie après notre soirée la dernière fois. Et toi, quoi? Tu te mets en couple comme si tout ça était pas déjà assez difficile? Pourquoi bon sang? Tu ressens vraiment quelque chose pour cette fille? Parce que dans ce cas là tu jouerais avec moi donc autant me le dire."
La blonde reçut les paroles les unes après les autres, avec la même intensité. Elle essayait de répondre mais elle comprenait qu'elle n'avait aucune chance de parler avant que Dylan n'ait fini. Addison comprit qu'elle avait merdé et rejoignit la brune sur le canapé. Elle s'assit à ses côtés et l'écouta. Jusqu'à son dernier mot, encaissant chaque phrase sans broncher. Elle n'était sûre que d'une chose, elle avait blessé la seule personne pour qui elle avait jamais ressenti quelque chose. Et au vu de la réaction de Dylan, elle aussi ressentait quelque chose de bien plus fort qu'elle ne voulait l'admettre. Les phrases de Dylan étaient faites pour lui faire mal, elle le savait. Mais bien qu'elle le sache, cela l'affectait terriblement. Elle avait l'habitude d'être critiquée mais jamais par quelqu'un à qui elle tenait. "Dylan, écoute-moi.. je suis vraiment désolée.. S'il-te-plaît... Je sais que j'ai mal agi, mais c’est la première fois que je ressens des sentiments envers quelqu'un. Alors oui j'ai merdé, je suis terriblement désolée de t'avoir fait du mal, mais je ne sais pas comment il faut faire. Non évidemment je ne ressens rien pour elle, il n'y a que toi qui occupe mes pensées. Bien sûr que non, tu n'es un putain de jouet pour moi! Merde tu ne vois pas ce que je ressens pour toi? Je me suis mise en couple parce que tu l'es aussi et que ça me tue de savoir que tu embrasses quelqu'un d'autre et que cette personne te touche." Addy secoua la tête, marqua une courte pose avant de poser ses deux mains tremblantes sur celles de la jeune maladroite. Elle reprit: "Je ne joue pas avec les sentiments, du moins je n'ai jamais joué avec les tiens.". La belle blonde plaqua ses lèvres contre celles de Dylan, elle n'attendait que cela depuis leur dernier baiser. Addison le savait elle était amoureuse de cette fille. Alors elle souffla à son oreille "Je ..." avant de l'embrasser de nouveau. S’il elle l’avait pu, Addison aurait continué. Mais ces mots n’étaient jamais sorti de sa bouche.
Elle essayait d’y croire, d’encaisser les excuses de la belle blonde, mais c’était difficile. La jalousie s’en mêlait, et même si Dylan voulait absolument croire qu’Addison ne ressentait rien pour cette fille: c’était quand même avec elle qu’elle était. Evidemment, elle voulait être la seule pour Addison. Mais Addison voulait aussi être la seule pour elle. Alors elle comprit quand même ses explications, et au fur et à mesure que les propos d’Addison avançaient, elle se disait qu’à sa place elle aurait fait pareil. Elle avait encore des choses à lui reprocher, et elle était encore méfiante, mais grâce à ses quelques mots Addison avait réussi à faire disparaître sa colère. Et grâce à un geste elle réussit presque à faire revenir une partie de la confiance que Dylan avait placé en elle. A ce baiser, elle s’abandonna. Elle savait pertinemment que c’était mal ce qu’elle faisait, mais ce qu’elle ressentait pour cette fille avait un pouvoir sur elle tellement puissant qu’elle n’arrivait pas à se résoudre à arrêter. Une fois que leurs lèvres se décollèrent elle fit une ultime requête, qui serait la seule réponse à tout ce qu’Addison lui avait dit précédemment. Une requête, qu’elle savait, allait absolument briser la totalité des règles qu’elle s’était fixées et briser la vision qu’elle avait d’elle-même. « Alors maintenant, prouve-le moi. »
Prouve le moi... se répéta Addison, elle n'était pas sûre de bien comprendre mais lorsqu'elle vit la lueur dans les yeux de Dylan, elle sut. Addison continuait d'embrasser la brune lorsqu'elle l'enjamba, se retrouvant à califourchon sur celle-ci. Dans cette position les baisers se firent plus intenses, plus provocateurs. Les vas-et-viens de son bassin contre celui de Dylan, firent pousser un gémissement à la brune. Addison caressait le visage de celle-ci, quand elle passa sa main sous son t-shirt. La belle blonde décrocha ses lèvres afin de regarder Dylan dans les yeux, elle devait savoir si elle était prête, si c'était ce qu'elle désirait. Dylan se cambrait de plaisir, alors Addison l'embrassa, encore et encore. Elle enleva le t-shirt de la jeune maladroite et embrassa son cou, son épaule et elle descendit jusqu'à sa poitrine. Elle l'embrassa et puis elle embrassa plus bas, puis encore plus bas jusqu'à se retrouver au bouton du jean de la brune. Elle le déboutonna, rapidement, aisément. Addison désirait Dylan plus que n'importe qui sur terre, et elle essayait de lui faire ressentir ce désir, ces sentiments qu'elle ressentait. Addison se releva soudain, elle avait envie de lui crier ses sentiments, mais elle en était incapable. La peau d'Addison frissonnait sous les caresses de la brune, et le plaisir unissait les deux corps.
C'était ce qu'elle voulait depuis l'instant où elle avait vu Addison. C'était elle, toute entière. Et même si pendant un instant ses pensées s'évaporèrent vers la culpabilité de l'infidélité qu'elle faisait à Noah, la blonde la ramena tout de suite à elle. Son toucher était comme électrique, plus excitant que ce qu'elle avait jamais vécu, et elle en était presque tremblante. Elle lui laissa prendre les devants, et se laissa aller au plaisir que lui donnait Addison, plaisir qui se faisait croissant au fur et à mesure de ses caresses. Se redressant, elle saisit la main de la blonde pour la conduire jusqu'à son lit. Ses lèvres se retrouvèrent à nouveau sur les siennes, et leurs baisers se faisaient pressant, demandant. Comment quelque chose de mal pouvait-être aussi bon? Rapidement, ce fut au tour d'Addison de se débarrasser de ses vêtements. Les mains de Dylan vinrent faire les contours du corps de la belle blonde, pour le connaître, l'apprendre, le mémoriser. Leurs deux corps se joignirent maintenant sur le lit, pour Dylan les sensations étaient neuves, différentes, mais aussi meilleures. Et tout ça était tellement plein... d'amour. Et elle reconnut à cet instant que c'était ce qu'ils y avaient entre elles, de l'amour, elles s'aimaient, et c'est ce qui rendait tout ça aussi spécial, parce qu'elles faisaient l'amour, et elles s'aimaient. Désespérément, et quand elles se donnèrent l'une à l'autre, tout était désespéré, passionnel, vrai, pensa Dylan. Ce qu'elle ressentait était si réel, si tangible, si incroyable et vivant, qu'elle ne doutait plus maintenant de la nature de ce qu'elle éprouvait pour Addison.Je suis amoureuse de toi, elle pensa sans le dire, les yeux dans les yeux avec la belle blonde nue contre elle.
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Guide Instagram, comment ça marche ?
Source de l'article SocialAdikt
Instagram est un réseau social axé sur le téléchargement et le traitement de photographies ou de vidéos afin de partager ce contenu avec votre réseau d'amis ou d'abonnés.
Il s'agit d'un réseau social basé sur le visuel, ce qui permet d'avoir un grand pouvoir de connexion émotionnelle avec les utilisateurs !
On peut distinguer 2 types d'utilisation faite par les utilisateurs d'instagram :
créer une communauté autour d'un hobby ou d'une passion.
se rapprocher et suivre l'actualité de marques ou de personnages publiques.
L'utilisation de cette application par ses utilisateurs est si fréquente qu'elle provoque une dépendance chez certains d'entre eux.
Instagram est une application gratuite qui permet de partager des images ou des vidéos. Les photos peuvent être retouchées à l'aide de filtres et d'autres options.
Ces retouches permettent de donner plus de couleur, contrôler la chaleur, augmenter ou diminuer la luminosité, intensifier le contraste, les lumières et les ombres ou leur netteté, entre autres effets multiples.
Quel est votre but sur Instagram ?
Le contenu qui suit est orienté vers des personnes souhaitant devenir influenceurs ou qui souhaitent mettre en avant un service ou des produits sur Insta. Si vous n'êtes pas dans ce cas ça ne sert à rien de continuer.
Avant de vous inscrire sur Insta vous devez avoir identifié clairement vos objectifs ! Si vous ne faite pas ça vous risquez de perdre du temps sur ce réseau social sans savoir exactement quoi faire et où aller. Commencez par bien cerner vos besoins et le but de votre profil sur le réseau social car les stratégies à mettre en place pour devenir Influenceur, vendre des baskets nikes ou faire la promo d'une maison d'hote dans le luberon, n'auront rien à voir entre elles.
Voici quelques exemples pour vous donner des idées selon votre profil et votre objectif :
Devenir influenceur / influenceuse
Vous devez capter une audience large car votre but est d'obtenir du sponsoring auprès de marques présentes dans un domaine précis.
Votre principal objectif est de capter un maximum l'attention d'un nombre important d'utilisateurs afin qu'ils deviennent vos abonnés en créant un univers autour de la thématique que vous avez choisi. (fitness, make-up, voyages etc... )
Votre but sur Instagram sera donc d'attirer un maximum de monde qui s'intéresse à un sujet donné.
Si vous souhaitez vous lancer il vous faudra créer une marque personnelle avec une identité unique. Sur Instagram cela se traduit par l'utilisation des mêmes filtres sur toutes vos photos, des mêmes types de photos ou de vidéos, des mêmes codes couleurs.
Vos abonnés vous suivront pour votre ton, votre style ou votre caractère et une stratégie doit être clairement établie avant même de vous lancer sur instagram.
Vendre vos produits en ligne
Vous devez capter une audience prête à dégainer une carte de crédit. Il vous faut atteindre des personnes intéressées par votre thématique indépendamment de la position géographique.
Vous avez une boutique en ligne. Sachez que de plus en plus d'utilisateurs utilisent Insta comme catalogue en ligne afin de découvrir, choisir et acheter des produits. Je vous recommande vivement de paramétrer votre compte avec Instagram shopping de façon à ce que les personnes qui visitent votre profil et découvrent vos produits, puissent accéder directement à une solution de paiement en ligne.
Le majeur problème pour vendre sur instagram est qu'il n'existe pas de solution simple à mettre en place si vous souhaitez mettre un lien directement sur vos publications (en dehors d'insta shopping). Sur Instagram Story vous devez posséder plus de 10k followers sur votre profil pour pouvoir bénéficier de l'option de création de liens externes sur vos stories.
La publicité peut représenter une bonne option afin d'atteindre un public ciblé.
Proposer vos services dans un secteur géographique précis
Vous devez capter l'attention de personnes dans un secteur géographique précis afin que ceux-ci passent la porte de votre local commercial. Favorisez une audience localisée dans le même secteur que vous.
Vous avez un restaurant, un local commercial et vous souhaitez atteindre des clients potentiels dans votre ville ou votre quartier. La stratégie que vous devrez mettre en place tournera autour de la géolocalisation des utilisateurs afin de vous constituer une base d'abonnés ciblés dans un secteur précis.
Attirer des milliers de followers non ciblés ne vous sert à rien ! Ce qu'il vous faut ce sont des clients qui passent la porte de votre boutique ou votre restau. Ciblez les utilisateurs se trouvant dans le même secteur que vous grâce aux tags géolocalisés, aux hashtags locaux mais également en attirant l'attention des followers d'autres magasins dans la même ville.
Comment fonctionne Insta : Comprendre l'algorithme
Instagram est une énorme machine à mettre les gens en relation en se basant sur leurs centres d’Intérêts.
Vous devez comprendre que tout ce que vous faite sur Instagram est enregistré dans des bases de données. TOUT ! Le réseau social utilise ces infos pour vous mettre en relation "naturellement" avec d'autres profils ayant les mêmes centres d’intérêts que vous.
Lorsque vous démarrez avec un compte tout neuf, Instagram ne sait rien de vous, il doit donc s'appuyer sur les signaux et les informations que vous lui fournissez :
les hashtags que vous utilisez et que vous suivez.
les comptes que vous suivez et avec qui vous correspondez.
les likes et le contenu que vous aimez.
les tags de géolocalisation que vous utilisez.
le temps passé sur un profil ou à regarder une vidéo.
Petit à petit, Insta commence à vous mettre en relation avec des profils suggérés et vous voyez apparaître des photos et des vidéos correspondant à vos centres d’intérêts.
Le plus intéressant est que votre propre profil, vos photos et vidéos commencent à apparaitre également sur les fils d'actualité et la page d’accueil des profils d'autres personnes ayant également vos centres d’intérêts.
Evidemment tout cela ne se fait pas en 1 jour et la catégorisation de votre compte se fait au fur et à mesure des actions que vous prenez .
Comment utiliser Instagram pour les nuls ?
Nous allons tout reprendre depuis le début afin d'établir la meilleure présence qui soit sur Instagram, en espéreant attirer de nouveaux abonnés et commencer à créer votre audience.
Optimisez le Nom de votre profil
Le nom du Profil peut parfaitement être mis à jour une fois inscrit sur instagram. Ne confondez pas le nom du profil et l'identifiant qui lui ne peut pas être changé.
Si vous utilisez des mots clés correspondant à votre activité, votre profil peut être trouvé beaucoup plus facilement lorsqu'un utilisateur cherche dans le moteur de recherche d'instagram.
Choisissez la meilleure Photo de profil
Ici, le fond jaune de la photo attire l'oeil immédiatement et contraste avec les codes couleurs d'instagram.
La créativité de cette photo donne envie d'en savoir plus sur cet influenceur.
Dans le cas d'une entreprise ou d'une marque n'hésitez pas mettre un fond plein. Ici le rouge est bien choisi.
N'oubliez pas que la photo est l'un des premiers éléments que les personnes voient lorsque vous likez ou que vous commentez de même que le nom du profil.
Il s'agit d'attirer l'attention dès les premières secondes afin que l'utilisateur visite votre compte et s'abonne.
Utilisez une photo avec des couleurs qui se démarquent, qu'il s'agisse du fond ou d'un logo. N'oubliez pas que vous devez vous démarquer absolument pour ésperer attirer l'attention sur une plateforme comptant des centaines de millions d'abonnés.
Boostez votre Bio
Une fois que vous avez mis en place votre nom et votre photo il est temps de rédiger une Bio qui puisse décrire votre activité très précisément et y mettre un appel à l'action très clair.
C'est ici aussi que vous faite apparaître le seul lien cliquable que vous pouvez utiliser sur Instagram (à part ceux des stories).
Vous pouvez également y insérer des #hashtags afin d'associer votre profil à la catégorie dans laquelle vous souhaitez commencer à apparaitre pour que l'algorithme d'insta puisse montrer vos publications à d'autres utilisateurs ayant les mêmes intêrets que vous (mêmes hashtags, mêmes localisation, etc ...).
Choisissez vos Hashtags
J'ai fait une vidéo il y a quelques temps que je vous recommande de regarder afin de bien comprendre comment choisir ses hashtags.
Celle-ci est toujours d'actualité alors si vous souhaitez la découvrir allez à l'article suivant :
Trouvez les meilleurs hashtags pour Instagram
Il existe de nombreux types de hashtags :
les hashtags génériques et généralement en anglais (#like, #love, #f4f). Ceux-ci ne servent absolument à rien !
les hashtags catégorisés très utilisés et également en anglais (#fitness, #sport, #teamfitness). Insta les utilise pour commencer à coller des étiquettes sur votre compte et à vous faire entrer dans des "cases thématiques".
les hashtags catégorisés en français ayant moins de concurrence (#runneuse #courir #osezcourir #instarunningfrance)
les hashtags géolocalisés (#marseille, #paris, #boulogne-billancourt)
Si vous avez suivi mes conseils vous avez déjà défini vos objectifs à suivre sur Insta ainsi que la thématique de votre profil.
Je vous recommande d'établir une liste de plusieurs dizaines voir d'une centaine de #hashtags afin de les utiliser au fur et à mesure sur vos publications.
Les comptes suivis sur Instagram (follows)
Egalement très important car ceux-ci sont utilisés pour qu'Insta définisse la thématique de votre compte ainsi que vos centres d'intêrets.
Si vous vouhaitez vous positionner dans la thématique "voyages" ne suivez pas des comptes dont le sujet est la cuisine ou le tunning de voiture. Instagram aurait du mal à définir vos centres d'interêts et donc à commencer à faire apparaitre vos posts sur le fil d'actualité d'autres utilisateurs.
Choisissez bien les comptes que vous suivez, une bonne approche consiste à suivre les profils les plus importants, les plus pertinents dans votre catégorie ou utilisant les mêmes hashtags que vous.
Les likes et les Commentaires
Ces interactions sont extrêmement importantes (comme les hashtags) car elles permettent à Instagram de comprendre quels sont vos centres d’intérêts, les thématiques et le type de publications que vous aimez.
Si vous commencez à liker des photos de chats, l'algorithme commencera à vous montrer d'autres images ou vidéos de chats et des profils associés à cette thématique sur votre page d'accueil (page d'exploration).
Faite attention donc et ne likez pas sur n'importe quelle publication hors du sujet dans lequel vous souhaitez être catégorisé. Il en va de même pour les commentaires.
Les Mentions
Les personnes que vous mentionnez dans vos publications sont également prises en compte pour déterminer votre thématique. Il s'agit en plus d'un excellent moyen d'attirer l'attention d'un profil sur votre compte car à chaque fois que vous mentionnez quelqu'un une notification apparaîtra sur son profil.
Ne rêvez pas car il est évident que vous n'arriverez pas à attirer l'attention d'un profil ayant des millions d'abonnés. Néanmoins Instagram comprendra au fur et à mesure que vous vous positionnez sur la même thématique que le compte mentionné.
L'algorithme sur instagram applique le vieil adage : qui se ressemble s'assemble !
Utiliser les mentions en faisant attention de ne pas spammer comme un malade toujours les mêmes comptes ! Le réseau social peut prendre cela comme du spam et limiter votre visibilité. 3 ou 4 mentions sur une publication est plus que suffisant.
Utilisez la Geolocalisation
Ceci est très important si vous avez un local commercial car cela vous permet d'associer votre profil à un secteur précis et d'atteindre les personnes dans le même secteur que vous.
Vous pouvez géolocaliser vos publications en utilisant des hashtags mais également des tags de géolocalisation.
Si vous êtes un commerce local vous devez absolument les utiliser !
Envoyez des Messages privé
Le but des réseaux sociaux est essentiellement de créer une communauté autour d'un sujet, d'une activité, d'une marque ou d'un thème bien précis..
N'hésitez surtout pas à correspondre avec vos abonnés ou d'autres profils dans la même thématique que vous afin de commencer à créer votre propre réseau.
Il s'agit peut être de la fonction la plus importante d'instagram et pourtant c'est l'une des moins utilisées. Rendez vous compte que vous pouvez commencer à dialoguer immédiatement avec une autre personne derrière le profil ciblé.
Cela vous permet de :
commencer à travailler en équipe.
passer des partenariats et atteindre l'audience du profil ciblé.
chatter en live.
mettre en place des actions promotionnelles.
A mon avis c'est ici que se trouve le vrai business sur Instagram alors n'hésitez pas à l'utiliser.
Comment publier un post ?
Les posts ou les publications que vous allez mettre en place sur votre profil doivent absolument crever le plafond ! Les 9 premières publications sur votre profil sont les plus importantes car elles donnent le ton sur votre personnalité, sujet, commerce etc ...
La première impression est très IMPORTANTE et vous n'avez que quelques petites secondes pour convaincre un utilisateur de s'abonner ou pas.
Ne publiez que du contenu de qualité !
Poster une photo
Pour publier une photo ou une vidéo sur votre profil, rien de plus simple.
Vous avez compris que la qualité est extrêmement importante. Maintenant il faut éviter les pièges suivant :
évitez les applications tièrces pour publier car bien souvent la qualité de la photo est uploadée sur les serveurs d'Insta avec une qualité pourrie !
n'utilisez qu'Instagram pour uploader vos photos. Rien d'autre ! (pas pour prendre vos photos).
pour prendre vos photos utilisez votre smartphone au maximum de sa résolution et importez les dans l'application. Ne prenez pas vos photos avec Insta car la qualité est horrible (surtout sous android).
uploadez vos photos aux dimensions exigées par instagram. Si vous ne le faite pas vous verrez la compression faite par l'application ruiner la qualité de vos photos. Les dimensions recommandées sont 1080 x 1080 px (format carré) ou 1080 x 1350 px (format vertical).
si vous utilisez des filtres utilisez toujours les mêmes afin d'avoir un profil cohérent !
de même pour la thématique de vos photos, ne publiez pas une photo de vous en escarpin ou en faisant de la muscu pour publier la photo d'un chien qui danse le lendemain. Gardez la cohérence de votre profil, surtout si vous démarrez.
Je vous recommande vivement de plannifier la création de contenu pour vous faciliter la vie et gagner du temps.
N'hésitez pas à prendre une matinée complète ou une journée pour faire vos photos.
Une autre demi-journée pour éditer vos photos (dimensions, filtres etc ...). Créez un calendrier éditorial et répartissez ses photos dans la semaine ou dans le mois.
Poster une vidéo
L'autre format qui cartonne sur Instagram est la vidéo. Suivez la même procédure que pour publier une photo.
Les vidéos que vous publiez sur votre profil doivent être d'1 minute max (sur Instagram Story c'est différent).
Ici vous devrez passer par différentes phases qui demandent pas mal de temps si vous souhaitez obtenir un résultat de qualité.
le shooting vidéo.
l'organisation des fichiers.
la création d'une histoire ou d'une chronologie des différentes prises.
l'édition et l'application de colorimétrie ou de filtres.
Je dirais que la création de vidéo instagram prend 5X plus de temps qu'un shooting photo bien que tout dépend du type de vidéo que vous souhaitez créer.
Les résultats peuvent être excellents en terme de visibilité et d’interactions.
Optimisez vos descriptions
Algorithme instagram
La description est très importante pour obtenir des retours d'utilisateurs sur le réseau social (likes, commentaires) et attirer de nouveaux abonnés. La description de votre contenu peut inclure :
une histoire (description du moment où vous avez pris la photo, histoire d'un endroit en particulier, d'un vêtement, d'une marque etc ..)
un appel à l'action (likez, commentez, qu'en pensez vous ?, participer au jeu concours)
des hashtags (rarement les mêmes et toujours dans la thématique)
des mentions vers des profils susceptibles d'être intéressé par votre contenu et ayant les mêmes centres d’intérêts.
Instagram Story
Les stories sur Instagram sont un module à part entière. Vous devez savoir que les stories ont beaucoup plus de visibilité que les publications "simples" présentes sur votre profil et permettent d'atteindre beaucoup plus d'utilisateurs sur Insta.
Leur utilisation est devenue indispensable afin d'avoir un maximum de portée sur le réseau social.
Vous pouvez y inclure :
des photos (avec effets spéciaux, filtres ou pas).
des vidéos (normales ou de type boomerang).
des publications depuis votre profil.
du texte.
Lorsque vous créez une nouvelle story 100% de vos abonnés sont avertis que vous avez publié ce qui vous donne encore plus de chances de donner de la visibilité à votre nouveau contenu.
Une fois que vous avez atteins les 10k followers, Instagram vous permet d'insérer des liens externes vers un site tiers ce qui est extrêmement intéressant si vous avez des produits ou des services à offrir.
Instagram Live - Direct
A mon avis une des fonctionnalités les plus puissantes sur insta.
Le live est repris par pratiquement tous les réseaux sociaux et vous permet d'atteindre une audience en temps réel, faire passer un message à n'importe quel moment.
Lorsque vous démarrez un live vos abonnés sont immédiatement avertis ce qui vous permet d'attirer leur attention rapidement.
Vous devez savoir que les vidéos que vous créez lors d'un live, n'ont une durée de vie que de 24h après quoi elles sont effacées par Instagram.
Une bonne solution consiste à enregistrer la vidéo sur votre portable une fois que vous avez fini le live et de la republier sur IG TV ou vos autres réseaux sociaux.
Les lives peuvent être utilisés pour de nombreuses raisons :
organiser une session questions-réponses avec votre audience.
montrer un backstage ou les coulisses de votre activité.
présenter un produit ou un nouveau service.
montrer un endroit dans lequel vous vous trouvez et que vous souhaitez mettre en avant.
etc ..
N'hésitez pas une seconde à mettre en place des lives sur Insta car cela vous permet de donner un visage humain à votre activité en montrant qui vous êtes, votre personnalité et vos valeurs.
IGTV
Instagram TV a été lancé en 2018 afin de faire la concurence à Youtube. Je ne pense pas que l'objectif soit atteint un jour néanmoins IG TV est un canal de diffusion de contenu qu'il serait dommage de ne pas utiliser.
IG TV fonctionne comme une application externe à Instagram et il vous sera nécessaire de l'installer en plus d'insta.
Les vidéos que vous pouvez uploader doivent être comprises entre 60s et 60mn. Comme je l'ai évoqué un peu plus haut, vous pouvez réutiliser vos lives sur Instagram Story et les publier à nouveau sur IG TV afin qu'elle ne disparaissent pas comme c'est le sur Stories 24h après la mise en ligne d'un live.
IG TV peut être utiliser dans le cadre d'une distribution de contenu vidéo plus globale incluant Youtube, Facebook et IGTV. Rien ne vous empêche de créer du contenu et de le publier sur d'autres plateformes afin d'atteindre un maximum de monde.
Passez au Compte professionnel
Un compte pro Instagram est indispensable si vous souhaitez comprendre qui sont vos followers, les heures auxquelles vous devez poster votre contenu ainsi que les jours, le type de publications qui fonctionne sur votre profil.
Vous aurez accès aux statistiques détaillées de votre profil ce qui vous permet de mieux comprendre le comportement de vos abonnés avec vos publications et votre contenu.
N'hésitez plus une seconde et passez au compte pro.
Les avantages d'Insta
Vous l'aurez compris, Instagram n'offre que des avantages !
Il n'y a aucun coût. Bien que cela ne semble pas être un avantage, la multitude de fonctionnalités que cette application vous offre pour un prix nul est de grande qualité.
C'est illimité. Il n'y a pas de limite de contenu ou de capacité à ajouter photos ou vidéos.
Une grande visibilité de vos contenus puisqu'il compte plus de 1 000 millions d'utilisateurs, ce qui vous permet de communiquer avec un grand nombre de personnes ayant un centre d’intérêt précis.
Création d'une communauté et fidélisation des utilisateurs. Grâce à ce réseau social, vous pourrez entrer en contact avec votre public (clients, amis, etc.) et en assurer le suivi.
Réseau social basé sur le contenu visuel (photographie et vidéo) très complet avec une multitude de modules et de fonctionnalités.
C'est un moyen de communication perfectionné puisque vous pouvez atteindre votre communauté avec des publications statiques, des publications temporaires ou la messagerie privée.
Il existe de nombreuses ressources pour comprendre comment utiliser Instagram même de façon avancée.
Il s'agit d'un moyen de promotion libre et gratuite pour votre activité.
Vous pouvez sponsorisé les publications d'un autre profil moyennant un paiement.
Vous pouvez revendre votre profil.
Qui a créé instagram ?
Instagram a été créé par Kevin Systrom et Mike Krieger, et lancé en octobre 2010. Dès le départ Insta a connu un succès retentissant, avec 100 millions d'utilisateurs en avril 2012 et plus de 300 millions en décembre 2014.
Ce succès est dû au fait d'être le premier réseau social à incorporer des filtres photographiques avancés directement dans le téléchargement d'images. Instagram a participé à la croissance du selfie (mot de l'année en 2013) car ces retouches de photos ont encouragé les gens à se prendre en photo.
Instagram a été l'un des premiers réseaux sociaux à sortir sous la forme d'une application et destinée à être utilisée uniquement sur smartphone, puisque sa première version n'était que pour l'iPhone. Cela en a fait initialement un réseau social quelque peu sélectif (réservé aux utilisateurs d'IOS).
Finalement, ils ont également mis en place une version Android et une version Web, à utiliser dans les téléphones mobiles, les tablettes ou les PC. Cette version web est encore une version assez limitée à l'heure actuelle, bien que beaucoup plus avancée que les premières versions.
En raison de ce succès, Instagram a été racheté par Facebook qui a repris sur sa plateforme toutes ses fonctionnalités.
Conclusion
Maintenant que vous savez comment fonctionne instagram il ne vous reste plus qu'à vous lancer. Le seul inconvénient est le temps que vous devrez passer à tout créer votre contenu, il est donc indispensable de mettre en place un calendrier éditorial afin de ne pas être rapidement saturé.
Si vous avez le budget faite appel à un pro de la photographie ou un vidéographe afin de créer du contenu qui sorte du lot.
N'hésitez pas car Instagram n'offre que des avantages afin de faire connaitre votre activité ou vos produits.
Articles sur Instagram
Source: https://socialadikt.com/instagram/comment-marche-instagram/
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Véritable discussion avec Charles-Philippe David, Professeur d'études stratégiques à Montréal.
L'analyse du Professeur Charles-Philippe David, son point
de vue sur l'avenir de l'Afrique donne espoir à l'africain que je suis. Mais très peu d'africains auront accès à ses déclarations. Alors je les partage:
« Cela fait maintenant plus de 25 ans que j'enseigne la stratégie. Dans ma carrière, j'ai eu affaire à des dizaines d'officiers et de
hauts fonctionnaires africains. Je suis obligé de confesser que le malheur de l'Afrique, et de plusieurs nations prospères dans le monde, vient de sa rencontre avec l'occident.
L'Afrique était en pleine construction au 15e siècle, avec des cités qui n'avaient rien à envier aux villes occidentales. Il y avait de grands hommes militaires et de grands stratèges. Mais tout cela a été sciemment effacé de la mémoire des africains.
Mais aujourd'hui, à une allure extraordinaire, l'Afrique se reconstruit. Le problème c'est que les gens ne le savent pas. Un exemple, la population africaine qui était tombée en dessous de 100 millions d'habitants vers la 2e moitié du 19e siècle est en passe de devenir la plus forte au monde. D'autres peuples ayant subi moins que les africains ont totalement disparu.
Je vais vous expliquer
pourquoi l'Afrique fait peur au monde. Au moment où je parle, le monde fait face à trois enjeux principaux : l'énergie,
la défense stratégique et la mondialisation.
L'Afrique est au carrefour de tout ça !
Commençons par l'énergie:
Toutes les ressources énergétiques stratégiques les plus rares du monde sont en Afrique. Même si nos pays de l'ouest se sont vulgairement servis, personne ne peut parler d'une extinction des réserves car chaque jour, on en découvre de nouveaux. Vous allez constater que les médias n'en parlent jamais. On préfère détourner les regards des africains et du monde vers les guerres et la pauvreté. C'est de l'arnaque pour celui qui est éveillé. Vous a t-on jamais parlé de la ressource extraordinaire que constitue le vaste désert du Sahara ? Vous a t-on jamais parlé de l'immensité des ressources en eau douce du sous-sol africain ?
C'est conscients de cette richesse phénoménale que constitue l'Afrique que des pays comme les USA, la France, la Chine, le Royaume Uni, etc. sont décidés à la maintenir dans une position de réservoir et déversoir mondial.
Il y a aujourd'hui des task force un peu partout, chargés d'étudier et de proposer des solutions qui permettront à ces nations de faire main basse sur les ressources mondiales, de s'assurer que quoi qu'il advienne, leur approvisionnement sera assuré.
Que peut l'Afrique ? L'Afrique, c'est 54 minuscules états écartelés entre la banque mondiale, le fmi, le club de Paris, le club de Londres, les vendeurs d'armes, les mercenaires, les médias occidentaux, etc. Ces États n'ont même pas eu le temps de reconstituer leur histoire, qu'ils tombent dans la mondialisation. Que peuvent faire les présidents de ces États ? Soit ils obéissent, soit ils sont écartés. La marge de manoeuvre existe, mais très faible. L'occident a su mettre en place un vaste système pour gouverner le monde. Et jusqu'à présent, aucun pays n'est arrivé à tenir, excepté la Chine. Regardez l'Amérique latine et dites moi quel pays s'en sort ? Aucun. Que pensez-vous des pays arabes ? Aucun n'est réellement indépendant, même l'Arabie Saoudite.
Ensuite, la défense stratégique: L'état de déliquescence des armées est organisé à dessein. On ne colonise pas une région en y laissant une armée forte. Les armées africaines ont donc été transformées en armées de répression intérieure que de guerre ou de défense intelligente.
Pourquoi ? Parce que nos nations ont besoin que vos armées se retournent contre vos peuples pour nous garantir l'accès aux richesses. Les États ne peuvent non plus avoir accès au financement militaire. Les Chefs d'État ont peur de financer l'armée parce qu'elle peut être retournée à tout moment et les renverser.
Prenez par exemple le cas de la défense anti-
aérienne. Il n'y a quasiment aucun pays qui possède un système de
défense équipé de missiles anti-aériens modernes. L'accès a été extrêmement verrouillé. Ce qui laisse le champ libre aux avions de reconnaissance occidentaux pour pénétrer les territoires africains en toute quiétude. Et aucun pays n'a accès à des satellites capables de le renseigner sur les mouvements de personnes ou d'aéronefs
suspects dans son espace aérien sans l'aide de forces étrangères. Tout cela est fait exprès pour créer de la dépendance et avoir des chefs d'état dociles.
Aujourd'hui, des pays comme les Etats-Unis, la France ou le Royaume-Uni peuvent détruire, en une journée, toutes les
structures d'une armée africaine sans envoyer un seul soldat au sol... Rien qu'en se servant des satellites, des missiles de croisière et des bombardiers stratégiques. A
mon avis cela ne durera pas longtemps. Les africains commencent par comprendre les enjeux.
Si les pays africains se mettent ensemble, et que chacun accepte de donner seulement 10 % de son budget militaire à un centre
continental de recherche et d'application sur les systèmes
de défense, le continent peut faire un pas de géant. Il y a en
Russie, en Ukraine, en Chine, en Inde, des centaines de
scientifiques de très haut niveau qui accepteraient de travailler pour 3000 dollars US par mois afin de vous livrer des armes sophistiquées fabriquées sur le continent et servant à votre défense. Ne croyez pas que je rigole. Il ne faut jamais être naïf. Si la survie de l'Occident passe par une re-colonisation de l'Afrique et la mainmise sur ses ressources naturelles vitales, cela se fera sans état d'âme. Ne croyez pas trop au
droit international et aux principes de paix, ce sont toujours les faibles qui s'accrochent à ces chimères.
Je pense qu'il est temps de transformer vos officiers en scientifiques capables de faire de la recherche et du développement. Vos petits États ne disposent pas de la ressource pour cela. Vous êtes en guerre, depuis votre rencontre avec l'occident.
Enfin, la mondialisation: si vous comprenez que vous êtes en guerre, vous avez tout compris. Ne faites pas attention à tout ce qui se raconte dans les médias occidentaux. A savoir, l'aide aux pays sous-développés, aider les pays pauvres à faire face à la mondialisation, etc. Quel intérêt avons nos pays à vous voir développés ? Aucun.
Vous savez, dans mes fonctions, il y a des réalités que je ne peux dire, mais je
vais vous les dire.
La mondialisation est juste la forme
moderne de perpétuation de l'inégalité économique. Pour
être clair, je vous dirai que ce concept a un but : garder certains pays comme sources d'approvisionnement en biens et ressources qui permettraient à d'autres de conserver leur niveau de vie. Les notions même de pays pauvres et pays riches sont biaisées. Autrement dit, le travail dur, pénible, à faible valeur ajoutée et impraticable en Occident sera fait dans le Tiers-monde. Ainsi, les appareils
électroniques qui coûtaient 300 dollars US en 1980 reviennent toujours au même prix en 2006.
Certains petits pays sont gardés pour être un réservoir de consommation où seront déversés tous les produits fabriqués dans le monde. Et ce n'est pas l'Afrique seule.
Pour moi, l'indépendance signifie d'abord un certain degré d'autonomie. Mais, quand je vois que des pays comme le Sénégal, le
Mali, le Niger, le Tchad ou la Centrafrique importent quasiment 45 % de leur propre nourriture de l'étranger, vous comprendrez qu'un simple embargo militaire sur les livraisons de biens et services suffirait à les anéantir. Sans oublier l'indépendance militaire et monétaire. Mais cela ne s'acquiert pas subitement !
Pour terminer, je vais vous raconter une anecdote: Je parlais avec un colonel sénégalais venu en stage chez nous il y a quelques mois. Nous regardions à la télévision
les images de millions de Libanais qui défilaient dans les rues pour réclamer le retrait des soldats syriens de leur pays. Je lui ai demandé ce qu'il en pensait.
Il m'a simplement répondu : « géopolitique ». Ce qui est exact ! Tout est géopolitique et géostrategie. Dans ces manifestations, Israël piaffe d'impatience d'en découdre avec le Hezbollah et puisque Tel-Aviv ne peut faire la guerre en même temps aux Palestiniens, au Hezbollah et à la Syrie, son souhait est que Damas se retire. Une fois le Liban à découvert, Israël aura carte blanche pour l'envahir et y faire ce qu'elle veut.
Tous les conflits dans le monde sont l'expression de jeux et lutte pour une ressource précise.
Ce qui est certain, l'Afrique a progressé et les africains ont de plus en plus conscience de la nécessité de l'union, de l'analyse et de
l'anticipation.
L'Histoire nous démontre que la coexistence
entre peuples a toujours été et sera toujours un rapport de
force. Le jour où vous aurez votre arme nucléaire comme la Chine et l'Inde, vous pourrez vous consacrer tranquillement à votre développement.
Je suis optimiste. Car, si demain l'Union Africaine ou la CEDEAO décide de créer un Institut africain d'études stratégiques crédible et fiable, cela ne décollera pas forcément immédiatement, mais cela marquera la fin d'une ère.
L'Afrique doit d'abord s'unir. Ensuite il vous faudra développer votre manière de voir le monde, une manière africaine tenant compte des intérêts de l'Afrique. Alors, les fonctionnaires qui seront là devront arrêter de faire du copier-coller. Ils devront créer des outils et stratégies propres à l'Afrique. Avant que vos ministères des Affaires étrangères ne fassent des analyses sur la marche du monde, ils feraient mieux d'en faire d'abord pour votre propre « intérêt ».
O.S. (journaliste, Montréal)
Veuillez transmettre ce CR message aux amis et connaissances africains et à tous ceux qui se soucient
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Les Chroniques de Livaï #362 ~ UN CHOIX SANS REGRET (juillet 845) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Je déambule dans les rues d'Erhmich depuis déjà pas mal de temps, sans savoir si je veux rentrer ou non. Après l'annonce d'Erwin, je me suis lâchement enfui, n'en croyant pas mes oreilles. Et pourtant, je peux pas dire que je m'y attendais pas.
J'ai dormi dans un petit bois sur la route du nord, à la belle étoile, et ça m'a fait du bien. J'avais besoin de m'isoler des autres, et de faire le point. J'ai juste réussi à me coller un sérieux mal de crâne. Alors j'ai arrêté de penser et essayé sérieusement de dormir sinon mes yeux seraient tombés. Je me suis réveillé ce matin un peu moins fatigué et j'ai repris la route vers Ehrmihc.
Je connaissais pas tellement la ville alors j'en ai profité pour faire le touriste, tout en continuant de ruminer. Je me suis retrouvé près d'un champ de course et j'ai regardé les cavaliers galoper à fond de train sur la piste tandis que les bourgeois parieurs autour de moi gueulaient comme des gorets... En les regardant faire comme si de rien n'était, je me suis vraiment rendu que je vivais pas du tout dans le même monde. J'avais pas la tête à me mêler à eux. Mais c'était hypnotisant. Pendant quelques minutes, j'oubliais mon sujet d'inquiétude. Mais sitôt quittée cette foule bruyante, c'est revenu me hanter.
Je voulais pas que Erwin devienne major. Même si je me suis dit que c'était inévitable, ça me mettait en rogne. Et puis avec l'autre connard que j'avais chopé hier sans trouver le courage de lui faire sa fête devant sa petite famille... J'étais au bout du rouleau, j'avais envie de frapper quelqu'un, juste pour me calmer. Alors je suis entré dans le premier bar sur mon chemin, j'ai relevé mes manches et j'ai défié le premier venu de me battre au bras de fer. Deux se sont proposés, mais après les avoir vaincus sans difficulté, plus personne s'est présenté. J'avais encore de l'énergie à revendre, mais je savais pas quoi en faire. Alors, je suis revenu à Trost, à mon rythme.
Je traîne les pieds près du fleuve, tandis que la lumière baisse. Ca fait presque une journée entière que je me suis tiré. Et je suis pas plus avancé. Y a trop de trucs qui se bousculent dans ma tête. Je savais que nos vies allaient changer, mais certaines choses auraient pu rester les mêmes. Un major, ça mène pas son escouade, ça chevauche devant tout le monde en donnant des ordres ; ça se bat pas non plus, ça reste bien assis sur son cheval sans dévier de la route. Je connais Erwin, ça va l'emmerder d'en être réduit à ça. Ca me fait chier aussi... Je veux pas être sous les ordres d'un autre chef d'escouade... S'il m'inflige ça, je pourrais pas continuer à être explorateur... C'était pas ce que j'avais prévu, le jour où je me suis dit que...
C'était quand ? J'essaie de me remémorer le jour où je me suis fait cette promesse. C'était après la mort d'Isabel et Furlan, peut-être un mois plus tard, je sais plus. Erwin était en train de donner des instructions dans la cour et j'étais assis dans un coin à me morfondre en attendant l'instructeur des cours équestres. Mais je pouvais pas m'empêcher de remarquer à quel point il menait parfaitement tout le monde, avec toujours un temps d'avance, plein de prévoyance et... Je ne l'ai pas formulé directement comme ça mais je me suis dit qu'il avait quelque chose qui me manquait ; quelque chose que je n'arrivais pas à définir mais que je voyais très clairement en lui. Et je me suis promis de le suivre jusqu'à ce que je comprenne ce qu'était cette chose.
Je ne l'ai toujours pas trouvée mais la quête est grisante. Je veux pas qu'elle s'arrête. Mais tout ça... ce nouveau poids sur ses épaules... Quand je vois ce que Shadis est devenu, je veux pas que ça lui arrive... Je devrais lui dire de pas le faire, que c'est trop lourd... Mais je trahirai sa confiance si je faisais ça. Et puis, merde, il est le seul qui peut le faire, je le sais bien !
Je m'assois sur un trottoir, sous un réverbère qu'un type vient juste d'allumer et je pose mes bras sur mes genoux et ma tête sur mes bras. Toute ma vie me repasse devant les yeux, par bribes. Toutes ces vies que j'ai perdues... Maman... Clem... Isabel... Furlan... Greta... Et y'en a eu d'autres. Ils sont tous morts à cause de moi, d'une façon ou d'une autre. Je porte la poisse, j'y peux rien. Dès que je m'attache à des gens, ils disparaissent. Ma seule existence est une calamité...
Ces idées noires me traversent maintenant, alors que Erwin vient de nous annoncer sa nomination, le moment le plus important de sa carrière, de sa vie peut-être, et je ne peux que m'apitoyer sur mon sort. Je me sens nul. Erwin est à la hauteur, mais moi ? Est-ce que je suis encore prêt à subir des pertes douloureuses à cause de cette malédiction qui s'attache à moi ? Est-ce que je veux recouvrir de mon ombre tous ces gens qui ont foi en ce qu'ils font ?
Mon ombre... Non, ma fierté. Ca a toujours été ça ! Merde, v'là qu'il flotte ! Je me relève et va m'abriter sous une porte cochère en attendant que ça passe. Le son de la pluie me calme et je jette un oeil nouveau sur tout ça.
Réfléchis, Livaï. Pourquoi ils sont morts ? Clem m'avait demandé de rejoindre le gang et j'ai refusé ; par fierté parce que je voulais être libre. J'aurais pu accepter... et il serait peut-être vivant aujourd'hui. Ou pas, mais comment en être sûr ? J'aurais peut-être pu le sauver. Et Furlan et Isabel ? Ils sont morts parce que j'ai pensé qu'à moi, à mon envie de tuer Erwin, plutôt qu'à leur sécurité. Si j'avais écouté Furlan, ils seraient encore vivants je suppose... ou alors ils seraient morts à un autre moment, mais encore une fois, je ne le saurais jamais.
Et si j'avais pris de force le gaz de ce type au lieu de me laisser distraire par ses gémissements, Greta serait rentrée avec moi.
On ne peut pas savoir quelles seront les conséquences de nos actes. On peut juste avancer en espérant faire au mieux... C'est comme ça que Erwin fonctionne. Il avance toujours, même si tout s'écroule autour de lui. Il peut changer les choses car il n'a pas peur. Et moi, j'ai peur ?
Je me rends compte que je me suis menti pendant tout ce temps. Ce n'est pas mon existence qui porte malheur à mes proches ; j'ai juste fait... de mauvais choix. Des choix égoïstes. Je suis le seul à pouvoir décider de ce que je veux faire. Si je voulais être égoïste, je quitterai le bataillon maintenant, car ça sent tellement mauvais que je veux pas encore souffrir. Mais si je le fais... combien de gens vont encore mourir ? Peut-être plus, ou moins que si je restais ? Je n'en sais rien... Erwin le saurait peut-être...
Le tout c'est de ne pas regretter. Avancer, sans oublier les sacrifices, mais sans se retourner. Faire au mieux, faire ce qu'on peut... De toute façon, on ne peut pas savoir à l'avance de quoi l'avenir sera fait. Alors je vais m'en remettre à lui, car il en sait plus que tout le monde. Plus que moi en tout cas.
Pourquoi je me pose toutes ces questions alors que je sais que ma décision est déjà prise ?
Il a besoin de moi. Ses ennemis le cernent déjà, ils vont en profiter pour lui nuire... Je dois veiller sur ses arrières, c'est dans mes cordes. Et puis je ferais quoi de ma vie ? Bordel, Erwin serait même foutu d'oublier de manger si je suis pas là ! Avec tout ce qu'il va devoir gérer... Je dois rentrer, leur montrer que je suis là ; même si je suis toujours en colère parce qu'il a gardé ça pour lui sans nous en parler aussitôt.
Comme si le temps reflétait mon état d'esprit, la pluie cesse et l'air se fait plus clair. Je note au loin les fenêtres illuminées du QGR au dernier étage. Ca bosse encore là-bas ou bien... la bigleuse a pas organisé cette putain de fête, quand même ?! Elle en serait bien capable. Elle va fatiguer Erwin avant même qu'il ne prenne son poste ! Va falloir que je m'en mêle. Quoique... un verre ou deux me feraient du bien...
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Les Chroniques de Livaï #265 ~ CE QU'ON LAISSE DERRIERE SOI (octobre 844) Vinzenz Ansgar, recrue du bataillon
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Le tout, c'est de faire son travail consciencieusement, et tout ira bien ! C'est ce que je répète pour la énième fois à cet abruti de cadet qui a encore renversé le grain des chevaux. Faut les soigner, ces bêtes ! On serait rien, sans elles, tu comprends ?! Si elles avaient couru un tout petit peu moins vite, j'étais cuit !
On arrête pas de me féliciter et de me demander comment je m'en suis sorti. Même le major m'a reçu, je dois être dans ses petits papiers maintenant, hehe ! Je vais sans doute faire carrière ! Les titans me font plus peur pour l'instant. C'est vrai que j'en rajoute un peu quand je raconte toute l'histoire, mais je me souviens pas de tous les détails, alors j'invente. Quand je me croyais foutu, Greta Elfriede a surgi de la nuit, lumineuse comme une déesse, et a abattu un des titans qui me coursaient. C'était incroyable ! Elle virevoltait dans tous les sens et en deux temps trois mouvements, c'était fini. Moi, j'ai pas bougé de la route et j'ai tout fait comme il fallait pour que le chariot s'en sorte. Elle a atterri juste à côté de moi et s'est rechargée en lames le temps qu'on s'échappe. J'ai remarqué qu'elle avait l'air inquiète et jetait des regards appuyés vers la forêt mais on a tracé jusqu'à l'orée du bois. Là, des explorateurs nous ont repérés et protégés jusqu'à l'avant-poste découvert plus tôt.
Je croyais pas à cette veine ! J'ai un peu pensé à Franz, qui s'est en pas sortie, ça m'a rendu triste, mais j'étais content d'être en vie. J'en pouvais plus à force de remercier Elfriede ! Elle a été très modeste alors qu'elle nous a tous sauvés ! Si le chariot avait été détruit... j'ose pas imaginer...
C'est pas si rare que ça d'être un bon soldat ! Greta est une héroïne, je vous le dis ! En général, quand j'en suis rendu là dans mon récit, on m'interrompt pour me demander "Et Livaï ? Il était où ?" Ah ! parlons-en ! C'est qu'un incapable, celui-là ! Tout juste bon à s'éborgner lui-même ! Vous avez remarqué qu'il est blessé à la tête, non ? Il s'est fait ça tout seul, l'abruti ! Cette demi-portion vaut vraiment pas la réputation qu'on lui a faite ! Il aurait dû être là pour sauver la situation, il paraît que c'est son truc ! Tu parles ! Si on avait dû attendre après lui, on serait tous crevés là-bas depuis des lustres ! Il a même mis son propre chef d'escouade en danger !
L'incrédulité que je lis sur leur visage dans ces moments-là me réjouit presque. Ca me dérange pas de cracher sur ce minable, même devant lui. Il le mérite bien. En plus, il rend pas les coups. On dirait qu'il s'en fout. Je le croyais plus sanguin que ça. J'aimerais presque qu'il essaie de m'en coller une, pour voir. J'ai failli mourir, putain ! C'est sa camarade qui m'a sauvé, pendant qu'il pissait le sang je ne sais où ! Il aurait dû rester près du chariot, s'il est si bon ! Bah, ce n'était que des salades. Les anciens ont beau me répéter que Livaï a fait des prouesses, ça me fait une belle jambe. C'est vrai qu'il a bien fait le ménage au début de l'expédition, mais il a pas été plus impressionnant que ça. Zacharias a fait bien mieux. Quand je pense que je m'étais engagé à cause de lui, comme pas mal d'autres...
Mais je crains plus rien, Elfriede nous protègera ! Je compte plus sur ce type. En plus, il est désagréable à mort ! On a vraiment pas envie d'en dire du bien ! Quand les gars ont été incinérés, il a même pas bronché, une vraie porte de prison ! Apparemment, ça l'empêche pas de dormir !
Je ramasse le grain répandu et le replace dans la brouette du picotin. Ces deux chevaux aussi sont des héros pour moi, je les bichonne ! Je déplace la brouette et commence la tournée, ils ont faim. Ouais, ils méritent plus leur bouffe que certains...
Merde, voilà Zacharias qui se pointe. Lui, il apprécie pas que je dise du mal de Livaï. Elfriede me jette de temps en temps des coups d'oeil gênés, mais évite en général de se mêler de tout ça. Elle n'aime pas trop que je fasse ses éloges, mais elle pourra pas m'en empêcher. Je lui dois tout. J'essaie de contourner les écuries afin d'éviter Zacharias ; il a toujours le chic pour me renifler... Depuis que Smith et chef Hanji sont partis avec le major pour la ville remettre les boîtes cinéraires aux familles des victimes, il s'est improvisé surveillant. J'ai pas peur de lui, hein, je me tairai pas ! S'il est pas content, qu'il voit avec son pote, le nabot ! Je dis que la vérité !
Il est où, d'ailleurs ? Il doit se planquer de honte. Ou alors il se fait dorloter à l'infirmerie, en pensant à tous ceux qui ont pas sa chance. Je le déteste. Je bougerai pas le petit doigt pour le sauver. Il a qu'à se faire bouffer, tiens.
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Les Chroniques de Livaï #65 ~ UN GARCON MANQUE (mars 830) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
J'ai déménagé chez Betti. Le tas d'ordures, j'en pouvais plus. Et puis comme ça, je suis plus proche du centre-ville. Et de Betti aussi.
J'ai bricolé quelques planches pour qu'on ait notre espace à nous chacun de notre côté, parce que c'est tout petit chez elle. Je veux pas que ma présence la gêne... et moi aussi, je veux un coin à moi. Elle se sent plus en sécurité, et moi je suis plus tout seul. Betti est pas contre le ménage, mais j'ai dû quand même nettoyer la planque à fond avant d'y emménager. Et elle aime aussi se sentir propre, même si elle se lavait pas tous les jours. La cohabitation va pas être trop difficile.
Je lui ai montré comment je fais, pour la toilette. Le matin, on descend dans le centre-ville avec nos seaux, et on les cache dans une rue isolée pour la journée. On fait nos petites affaires, et avant de remonter, on va chercher nos seaux et on fais un détour par la fontaine publique. On les remplis bien à ras-bord - je l'aide à porter le sien en plus du mien - en faisant attention d'en renverser le moins possible. On les garde dans la planque toute la nuit et on se sert de l'eau le matin pour se laver. On se partage notre savon - c'est pas très propre, je sais, mais on peut pas en avoir un chacun - et on s'essuie à tour de rôle avec une vieille toile trouée qu'on a trouvé.
Ca me dérange pas tant que ça de faire ma toilette avec elle, mais ce serait bien si je pouvais avoir un savon et une serviette à moi. Dès que j'ai un peu de fric en trop, j'irais en acheter. Une belle serviette, toute douce et pas trouée... Je sais pas si j'en trouverai...
On continue aussi de se partager le tricot à tour de rôle. J'ai pas réussi à dénicher quelque chose de suffisamment chaud, même abîmé, pour éviter d'avoir froid la nuit. Betti veut pas laisser le feu pendant qu'on dort parce qu'elle a peur que ça crame la planque. L'incendie du refuge a dû la marquer. Je suis d'accord avec elle, alors les nuits où il fait vraiment froid, je reste à veiller près du feu. Comme ça, je suis sûr que tout va bien. Il m'arrive de m'assoupir des fois, mais mes cauchemars me réveillent à chaque fois. Je dormais mieux les fois où maman venait dans mon lit et me serrait dans ses bras. Ses bras étaient magiques. ; ils chassaient les mauvais rêves. Cette sensation me manque...
Des fois, on grimpe tout en haut du quartier ouest et on reste un moment à regarder les gens passer dans les rues en bas. On a l'impression de plus être parmi eux, d'être ailleurs, loin des bas-fonds. Et de temps en temps, un oiseau vient voler devant notre nez. Betti m'a dit qu'elle aimerait bien être un oiseau elle aussi, pour s'envoler d'ici. Elle pense que c'est comment, là-haut, que je lui demande. Ca peut pas être pire, elle répond, et elle a sans doute raison.
Quitte à vivre dans la misère, autant que ce soit au soleil, non ? Maman aurait voulu vivre là-haut aussi, voir le ciel, les arbres, les fleurs... Est-ce que toutes les filles d'ici ont ce genre de rêve ? Est-ce que je l'ai aussi, moi ? Parfois j'ai furieusement envie de me casser de ce merdier ; mais aller là-haut me fait un peu peur aussi. Les bas-fonds, je connais, je me débrouille pour y vivre le mieux possible, mais rien ne me dis que ce sera plus facile à la surface. Les gens y sont peut-être pas plus gentils...
Mais les bas-fonds, c'est une prison dans une prison. On est deux fois plus prisonniers qu'eux, si j'ai bien compris cette histoire de murs. Ils ont pas de mur au-dessus de la tête, eux.
Une fois, Betti s'est penchée vers moi et a posé sa tête sur mon épaule. C'était un peu bizarre parce qu'elle est plus grande... Mais je me suis pas défilé, je l'ai laissée faire et j'ai même glissé ma main sur sa taille... Elle a pas eu l'air de le remarquer... C'est dingue ce que ça tient chaud, de se coller à quelqu'un, c'est agréable.
Et je me suis senti tout à coup beaucoup plus grand...
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