#d’un homme tatoue
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luckycloud808 · 1 year ago
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“D’un homme tatoué”
Georges Terof
La Bonne Hôtesse (1926)
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On sait que l’embryon humain passe dans le sein de la mère par toutes les phases de l’évolution du règne animal. L’homme, à sa naissance, reçoit du monde extérieur les mêmes impressions qu’un petit chien. Son enfance résume les étapes de l’histoire humaine : à deux ans, il a les sens et l’intelligence d’un Papou ; à quatre ans, d’un ancien Germain. À six ans, il voit le monde par les yeux de Socrate, à huit ans par ceux de Voltaire. C’est à huit ans qu’il prend conscience du violet, la couleur que le XVIIIè siècle a découverte. Car avant cette date les violettes étaient bleues et la pourpre rouge. Et nos physiciens montrent aujourd’hui dans le spectre solaire des couleurs qui ont déjà un nom, mais dont la connaissance est réservée aux générations à venir. Le petit enfant et le Papou tue ses ennemis et les mange : il n’est pas un criminel. Mais un homme moderne qui tue son voisin et le mange ne peut être qu’un criminel ou un dégénéré. Le Papou tatoue sa peau, sa pirogue, sa pagaie, tout ce qui lui tombe sous la main. Il n’est pas un criminel. Ornement et Crime (1908) d'Adolf Loos
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convergencesartfeminisme · 5 years ago
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Jody Boucard, l’art sacré et politique du tatouage
Jody Boucard est l’une des exposantes à Convergences: Art et Féminisme du prochain 8 Mars. Nous l’avons rencontrée et dans cette interview, elle nous raconte son travail. 
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Salut Jody, présente-toi en quelques phrases. Je suis Jody Boucard, je suis tatoueuse à Lyon et j'essaie d'appréhender ma pratique entre autres sous le prisme du witch feminism. Du tatouage et du féminisme. C’est l’art ou le féminisme qui est né en premier chez toi en tant que personne? Je dirais les deux, ou peut-être l’art un petit peu avant. La conscience politique met un peu plus de temps à venir, mais au final les deux sont très liés.
Est-ce que la naissance du féminisme en toi à quelque chose à voir avec la pratique de ton art, ou alors ta conscience politique a émergé séparément, en dehors?
Je pense que c’est lié, mais de manière inconsciente. C’est lié, dans le sens que pour moi le tatouage est une manière de se ré-approprier son corps et de passer du corps subi au corps choisi et ça c’est quelque chose que je vivais bien avant d’avoir une conscience politique, de penser le féminisme. Et maintenant que j’ai cette conscience du féminisme, les deux ont un lien encore plus fort. Des fois je tatoue des choses dont le sujet ne paraît pas porter de message, ou pas de message spécialement politique ou féministe, mais l'acte de se faire tatouer et d'agir sur son corps, c'est déjà quelque chose de militant, et clamer le droit de faire ce qu'on veut de son corps, ça se connecte très vite aux questions féministes. Mais chacun.e y met sa propre intention et selon l'histoire de son corps, en clamer la souveraineté n'a pas toujours la même portée. Tu parles de se re-approprier son corps. Tu assumes par là que le corps n’appartient pas qu’à soi-même. Tu pourrais expliquer ce que tu entends par cette notion de « re-appropriation » et comment le tatouage rend ça possible?
Le corps est sujet à nombre d’injustices et d’injonctions. En premier, l’injustice abominable de l’existence: on a un patrimoine génétique qu’on n’a pas choisi, c’est comme ça et il y a cette espèce de loterie de la vie qui fait que des fois t’arrives et sans même qu’il y ait une histoire de violence qui se rajoute par dessus - ce qui est quand même bien souvent le cas, tu as déjà des choses pas en accord avec le corps dans lequel tu es, pour plein de raisons différentes. Donc, déjà il y a cette question de faire quelque chose pour contrer à cette loterie de la vie et après, il y a aussi des fois un besoin de se re-approprier son corps suite à des violences reçues…ça peut être des violences physiques, scolaires, sexuelles, conjugales, au travail…il y a tellement de violences par rapport au corps, surtout les corps des femmes et des minorités, parce que de toute façon il y a toujours quelque chose qui ne va pas, dans nos corps et dans nos identités. Il y a quelque chose de très puissant dans le fait de faire une démarche active de choix sur son corps. Ce qui a été longtemps interdit aux gens par rapport à la culture judéo-chrétienne, où on n’est pas censé modifier son corps, et même si je trouve que ce n’est plus aussi subversif qu’avant, ça reste une démarche possible e forte d’empowerment.
Parle-moi de ton projet préféré, ou de tes projets préférés, ceux qui t’ont le plus marqué depuis que tu tatoues. Alors, déjà c’est juste impossible et injuste d’en choisir un seul, parce que tout est tellement différent et tellement riche. Après, je pense que je choisirais Thirst, un projet que j’ai commencé à l’été 2017. J’ai écrit un poème de façon à ce que chaque vers fonctionne de manière individuelle, j’ai tatoué chaque vers sur une personne différente et sur les photos que je prenais au fur et à mesure on pouvait lire bout à bout l’intégralité du poème. Et Thirst était comme une première phase qui m’a apporté une grosse réflexion sur ce que ça peut vouloir dire de faire un matching tattoo à 28 personnes, parmi lesquelles certaines se connaissent, d’autres pas du tout. Au final, la seule chose qui rassemble vraiment ces gens, c’est d’avoir choisi de faire partie de ce projet là et ça a une puissance, politique et spirituelle. Il s’agit de se rassembler autour d’une même idée. Ce projet m’a poussée plus loin dans ma démarche de tatoueuse, parce qu’alors que pour moi tatouer c’était déjà un acte sacré et magique d’altération permanente de son propre corps, à partir de Thirst, l’énergie n’était plus qu’individuelle, toutes les énergies de ces personnes avaient été condensées autour d’une même démarche.
C’était une épiphanie, si j’ai bien compris.
C’est exact. Et puis un jour j’ai dessiné mon Sorry I’m not sorry I’ve got anxiety, le premier de mes Talismans. Pour moi c’était un flash que j’avais dessiné comme tant d’autres, mais d’un coup je me suis dit que c’était d’une injustice et d’une absurdité sans nom de le faire porter qu’à une personne: l’anxiété ça appartient à tellement de gens et c’est tellement un lien entre nous tous…alors j’ai décidé que celui là j’allais le reproduire à l’infini, dans l’idée de créer un mouvement, une vague de gens déterminés à ne plus s’excuser de leur propre anxiété. Après j’ai créé les autres talismans: Karma has no deadline, qui parle de la violence et de l’envie de vengeance. L’idée derrière, c’est de temporiser cette envie de vengeance, parce que souvent il y a un rapport à l’impatience quand on a été victime de violence et lorsqu’on voit nos agresseurs libres de continuer leurs vie, on se demande quand est-ce que le karma va frapper! Ce talisman pour moi agit comme un rappel: ça va frapper, mais en même temps l’univers ne nous doit rien, il ne nous doit pas d’agir à un moment, sous prétexte qu’on a été victime de quelque chose. Le karma agira quand il agira et ce n’est pas à l’individu de s’emparer de cette vengeance, malgré toute la légitimité de son propos. Ensuite dans la même série, j’ai fait Kindness will change the world et You are enough, qui est mon préféré, dans une société qui nous dit constamment - surtout aux femmes et aux minorités - qu’on n’est jamais assez bien. Ce qui est chouette aussi avec ce projet de talismans, c’est que souvent les gens se reconnaissent entre eux, dans la rue et que grâce au tatouage, ils commencent à discuter. Il y a des liens qui se créent entre personnes qui ont beaucoup des choses en commun.
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Et par rapport au milieu professionnel du tatouage, en tant que femme et féministe, raconte-moi comment ça se passe. Je t’ai déjà lu quelques fois sur les réseaux dénoncer des comportements abusifs. Alors, il faut le dire: le tatouage ça a longtemps été un métier réservé aux hommes et la pratique restait entre eux. Maintenant on est de plus en plus de femmes, mais il faut bien s’intégrer dans ce milieu, et des fois il faut vraiment être solide pour faire ce genre de chose parce qu’on est confrontée au sexisme, surtout pendant les conventions, où on se retrouve au milieu de masculinités toxiques. Il y a aussi un rapport à la mécanique dans ce métier qui est très dur, et quand on est une femme on ne nous apprend pas ces aspects, on nous dit juste qu’on n’y est pas bonne et que de toute façon on n’a pas a y toucher, donc quand on doit mettre les mains aux machines traditionnelles, c’est compliqué. Au moins, pour moi ça a été une grosse difficulté et j’ai plusieurs fois eu des réflexions bien désagréables de la part de mes pairs. C’est absurde parce qu’on te met dans la gueule tout ce que ne tu connais pas et en même temps on ne te donne jamais les clés pour réussir, donc t’es un peu vouée à l’échec. Après voilà, j’ai eu la chance d’être parmi celles qui n’ont pas subi de droit de cuissage, qui est encore très fréquent dans ce milieu, notamment pour avoir droit à des apprentissages. Ce milieu peut s’améliorer, mais à l’image même de la société, on a besoin d’abolir le patriarcat une fois pour toutes et ça ira mieux pour tout le monde à ce moment là. En revanche, je vois qu’on est de plus en plus nombreuses, de plus en plus vénères et il y a une sororité qui se crée. Dans mon expérience, j’ai fait de belles rencontres, j’ai rencontré des chouettes femmes avec qui on s’empouvoir mutuellement et ce, dans un milieu artistique où il y a beaucoup d’égo et on pourrait croire que tout le monde est prêt à se tirer dans les pattes. Alors non, pas de ce que j’ai pu voir. Avec mes collègues femmes et lgbt+, c’est comme si on savait ce qu’on a vécu pour en arriver là, alors on se serre les coudes.
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Vous pourrez découvrir les dessins de Jody Boucard le 8 Mars, dans le cadre de la rencontre “Convergences: Art, Féminisme” chez Le Flâneur Guesthouse, 56, Rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon. ENTREE LIBRE Suivre Jody: Instagram: https://www.instagram.com/jodyboucard/ Facebook: https://www.facebook.com/jodyboucard
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inyourflesh · 6 years ago
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Les conseils beauté du professeur Lazare #5
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Bonjour mes petites chéries, bonjour mes petits choux !
Docteur Lo(v)gan m’a fait venir, pour cette fois. Oui oui ! Vous avez bien lu ! Il m’a demandé expressément d’intervenir sur son réseau à LUI ! Et pourquoi ? Eh bien, pardi… Pour parler de lui ! Ce moment ultime devait arriver ! Mais ça n’en est pas moins jouissif que de recevoir une requête de ce Dieu vivant ! Et quoi de mieux que votre bon petit diable pour s’en charger ? C’est parti… Traitons ensemble le problème que rencontre notre bon vieux Carter.
Mais avant de commencer, analysons la problématique de notre hôte : « Je me permets de vous écrire aujourd'hui parce que je suis totalement désespéré. Il y a quelques années encore, j'étais un fantasme vivant, entouré d'une immense cour pleine de femmes prêtes à tout pour attirer mon attention. On rêvait de moi la nuit et ma seule présence suffisait à transformer une assemblée de femmes en cascade. J'ai choisi la plus jeune et la plus souple d'entre elles pour devenir ma femelle officielle (malgré ce qu'on raconte, je suis un homme intelligent), mais elle vient malheureusement de décéder... Je pensais qu'à l'heure de me retrouver veuf, mes prétendantes redoubleraient d'efforts pour me réconforter, mais il s'avère que suite à la propagation de rumeurs disant que je suis maudit et que quiconque ose s'offrir à moi risque de mourir dans d'atroces souffrances, plus aucune demoiselle n'ose lever les yeux dans ma direction... Un bon ami m'a donc conseillé de me tourner vers vous, disant qu'un petit relooking motiverait les troupes de mes admiratrices et m'aiderait à trouver la future madame Carter ! Je remets donc mon destin entre vos mains. Aidez-moi, pitié, ma défunte femelle n'a pas pu me satisfaire alors qu'elle était gravement malade, cela fait donc plusieurs semaines que je retiens tout et mes nerfs commencent à lâcher !! » Bla bla bla… Tout ce que j’ai lu, c’est « Pourquoi lorsque j’ai une femme en cloque, soit je perds le gniard, soit je perds ma femme ? » pas vous ? Bon… Trève de mauvaise foi, on va s’y mettre et y aller ce coup-ci par découpe chirurgienne : Ezrouille ? Rapporte-moi la scie à métaux s’il te plaît
Logan, qu’est-ce-que c’est comme concept ?
Logan est le juste mélange entre un hawaiien et un char d’assaut. Mais attention, pas de mazout ! Vu son tempérament, on tourne au 95 ! Dans le genre « je défonce des portes ouvertes », on est sur un sommet ! Chef de Fort Hope, et ayant une Aston Martin DB4. Ouai, c’est important, on dit que les voitures sont la première chose qu’une femme regarde chez un homme. Non ? Dîtes moi que c’est vrai, par pitié ! Je trimbale ma Chevrolet Corvette C1 de 62 exprès pour ça ! Peu importe… Logan c’est aussi un père de… Beaucoup d’enfants, si on en juge le tas de mômes qui vivent chez lui. Si ce ne sont pas les siens, il peut remercier les services sociaux de ne pas avoir survécu à l’apocalypse. Mécano de carrière, la seule chose qu’il ne sait pas retaper c’est son petit cœur meurtri.
Il y a quelques années encore, j'étais un fantasme vivant… 
On va d’abord s’arrêter sur ce point : les choses ont changé, Loganouchou ? Mais oui, bien sûr, qu’elles ont changé. Pourquoi ? Je me réserve de parler de ta tignasse pour plus tard. Je vais te dire ce qui freine cette meute de femmes en chaleur dès ton arrivée : ton prénom. Suis-je le seul à le penser ? Tu as un prénom de bagnole mon grand. Et pas de la luxueuse ou de la sportive ! Non non… Celle qui ne fait que t’emmener au travail pour gagner un salaire de miséreux et permettre à ta conjointe de se payer du maquillage lowcost.
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On est tombé loin de Jean-Luc Chevrolet, ou de Bernard Maserati ! On est du Logan Dacia ! De quoi vite en refroidir plus d’une. Ou d’un. Oui, mon chou, tu as bien lu ! Certains se mettaient à écrire des fanfiction yaoi sur toi ! Mais pourquoi seulement maintenant, me diras-tu ? Eh bien pour la simple est bonne raison que je l’ai décrété ! Depuis quand dois-je avoir un regard objectif appuyé d’arguments concrets ? Je suis Lazare, mon chou, le maître de la décadence et de la connerie humaine ! Pardon, je dois en remettre un à sa place… : Ezra tu n’as pas pu faire ce tatouage ! Tu dépasse quand tu colories sur les gens ! Celui-ci est bien fait ! Oui… Oui, c’est ça, continues de t’entraîner pour me faire un mojito. Merci. J'ai choisi la plus jeune et la plus souple d'entre elles[…]mais elle vient malheureusement de décéder. Premièrement, es-tu sûr qu’elle t’était fidèle ? Je pense que tu n’es pas sans savoir qu’elle a été très très proche d’un certain Traeger, pas le passé. N’a-t-elle pas elle aussi perdu de ce fantasme pour toi ? Ensuite, ta malédiction. Eh oui ! Tu es maudis, mon chou. Et ce n’est pas un sort de pacotille qui transforme un poufsouffle en canard boiteux, mais plus de celles qui transforme un « Pousse ! Souffle ! » en « Repose en paix ! » Quand ce n’est pas la dame qui y passe, c’est le morveux. Dans les deux cas, ça refroidi aussi. Dans le sens figuré comme propre… Je pense que ces dames n’ont ni envie de mourir, ni envie de voir leur progéniture y passer. Certes, je ne comprendrais jamais cet attachement à des petits… Quoi ? Trop loin ? Tu as raison Ezra, je m’arrête là. On va dire qu’elle ne supporte pas de voir ce truc mignon sorti de leur entrailles y passer aussi. On ne va pas s’attarder sur ce point, je pense que tu en as déjà bien conscience. Toutefois, on va chercher comment y remédier : les préservatifs ! Eh oui ! Si madame n’est pas enceinte, elle ne risque rien, pas vrai ? Et s’il n’y a pas de mômes à léguer à la faucheuse, alors il n’y a pas de deuil ! Donc… Je te conseille fortement de t’intéresser à une nouvelle marque post-apocalyptique : Sinex. Oui, Ezra, c’est la contraction de Sinead Alex. Non, Ezra, je n’ai pas dit d’utiliser leurs boyaux… Mais repose ce couteau ! On ne va pas les étriper maintenant ! Elles viennent d’arriver ! Fichtre ! Je perds contrairement le contrôle sur ce jeune… Sans transition, la suite !
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Je remets donc mon destin entre vos mains. Mon chou, ce n’est pas ton destin que tu dois mettre entre mes mains. C’est autre chose que tu devrais mettre entre les tiennes ! Oh oui, je pense bien à ça, Ezra ! Quoi ? Comment ça ta main est trop grande ?... Je… On passe à la suite, pas la peine de m’attarder sur ce point. Le mot de la fin ? Sans rire, c’est tout ? Rien de plus ? Non, non, non ! Ce n’est pas possible que ça s’arrête maintenant ! j’ai promis au début que je parlerai de sa tignasse ! Ezra, je ne pensais pas dire ça un jour… Tatoue moi un autre sous-titre, et que ça saute ! Le mot de la fin? J'en ai pas encore fini! Merci mon chou… Donc… Tu pense avoir perdu ton sex-appeal avec le décès de ton épouse et la confirmation de ta malédiction ? Je te propose un autre point de vue : ça va trop vite entre vous. Je ne sais pas qui est encore la future madame Carter, mais je suggère qu’elle s’appelle Pilar. Quoi ? Carter Pilar est un très bon jeu de mot… Peu importe ! Tu viens d’enterrer ta rousse, et tu veux déjà passer à la suite. C’est beaucoup trop tôt ! Et ce ne sont pas les paroles d’une pucelle réticente pour sa première fois… Il a fallu te marquer au fer rouge sur tes fesses que tu n’étais plus disponible sur le marché pour calmer les ardeurs de certaines. Il faut du temps pour que ça cicatrice et qu’on ne voit plus écrit « Propriété de Joy Carter » ! 
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Mais j’ai une question… On l’a déjà survolé dans l’ancien article et un peu plus haut… Es-tu sûr que tu aies conservé ton sex-appeal même avec ta dame ? Pourquoi s’est-elle beaucoup rapprochée de ce cher Dédé, à tel point que tu parviennes à douter de ton lien paternel avec l’enfant qu’elle a mis au monde ? Même si ce sont sur les dires de Joshua, n’était-ce pas quelque chose que tu t’attendais déjà à entendre ? Le terrain n’y était-il pas favorable ? Carter l’infidèle L’infidélité potentielle de ton épousailles met en évidence une chose : l’es-tu toi-même ? Une rumeur n’aurait-elle pas couru à une époque ? Non pas que rester aussi proche de ton ex soit un problème, mais c’est quand même méga super suspect ! Peut-on parler de risque de Julieto-récidive probable ? Un zizi en sursis de tromperie ? Harvey ? Une suggestion ? Un… Un touche-pipi non tolérable ? On va t’accorder le bénéfice du doute mon grand, pas sûr que tu aies souvent vu le loup. Mais l’idée est là, en effet !... Non… Non Ezra… Pas un Zizicoptère dans un autre héliport là c’est… Non… Rhabille toi, mon petit. Et je ne parlais pas de ta taille générale, si tu vois ce que je veux dire… On s’éloigne du sujet, les enfants ! Concentrez-vous ! Reprenons… Donc une épée de Damoclès sur la rouquine. Et partager sa maison avec sa meilleure amie… C’est bon pour les années facultés ! Après ça devient super gênant ! Est-ce-que cette complexité émotionnello-partouzaire est un terrain favorable pour débuter une nouvelle relation ? Je ne pense pas ! On potasse la tignasse ! L’heure a sonné ! C’est le moment de causer sérieusement d’un risque sanitaire planant sur Fort Hope… Que dis-je ! Avec ton nouveau service d’import-export de poux fournis par les treillis, c’est tout le commonwealth qui est menacé ! Ta pilosité ! Si l’Head&Shoulders pouvait suffire il fut un temps, il y a fort longtemps qu’on n’en remplit plus les rayons. Plus de shampoing digne de ce nom. Et concernant ta barbe de mâle alpha, à part t’appliquer un peu d’after-chèvre de production Gladys, qui est loin d’être incontestable comme solution, tu n’as plus l’opportunité de l’entretenir comme il se doit. Ma suggestion ? On coup tout, chef ! Sortez le sabre à kébab, supplément salade-tomate-oignon, il ne faut pas faire dans la dentelle avec Carterlosité ! 
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Le mot de la fin ? Oui ! On y est !
Pour conclure, je résumerai qu’il ne suffit pas d’être un ours bourré de charme et de testostérone pour attirer toutes les donzelles du quartier. Pour retrouver l’amour, il faut faire une réelle campagne de promotion. Avertir la populace que Logan est dans la place. Parler à leur cœur avant de parler à leur… Non Ezra, je ne peux pas lire ça… Tu vas devoir agir comme un jeune prépubère cherchant sa proie pour l’accompagner au bal de promotion. L’amour ne tombe pas tout cuit ! Alors au boulot ! Et vire moi ces sacs à patates qui te servent de vêtements ! Il est temps de passer au costard, mon grand !
Je pense que c’est une conclusion parfaite ! Lo(v)gan, je vous rends l’antenne et fichtre… Merci de m’avoir confié votre cas. Je me sens tout… Vous savez, très cher, je ne risque pas de tomber enceinte ! Si vous voulez, nous pouvons envisager de…
On n’est pas là pour ça, tout à fait Ezra ! J’attends la prochaine victime, en attendant… Protégez vous grâce à nos nouveaux préservatifs SINEX, partenaires de cette émission !
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A vous les studios ! Cordialement, Lazare. PS : Cet article est de l’humour de second degré et avant tout de l’auto-dérision envers Lazare et son joueur.
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captnkama · 7 years ago
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UGLY
Il faut que je vous parle de ma peau qui pique tout le temps, de l’odeur qui me rend ivre, des poils qui me tapissent, mais avant tout de ma viande qui pourri. Il faut que je vous parle des hommes qui me forcent à vomir, des femmes qui pleurent dans leurs bras et des enfants qui ne naîtront jamais. Quand tu regardes mes cheveux, des poux éclatent … mais tu es déjà ici alors « might as well » y prendre plaisir. Aucune opinion ne m’aime et c’est bien comme ça. Tout ce que j’aime, c’est le goût de la pisse, l’odeur des fleurs que tu m’as amenées ce matin et le doux parfum de toi qui quittes les toilettes sans te laver les mains.
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J’aime beaucoup de choses, mais plus particulièrement ce que tu aimes. Oh – Pas comme ça, pas quand tu me regardes comme ça. Non, je suis un fromage jaune, ma peau est huileuse et mes yeux forment une croûte. Le soleil réchauffe mes pores quand les rideaux sont fermés. L’après-midi, je me réveille -souvent en sursaut- et le premier homme frappe à ma porte.
 Le premier -celui dont je me souviens- me parle de suicide et d’une sœur pendue dans la garde-robe. Il parle de son fils aux cheveux noirs qui porte des bottes de cuir et des gants bruns. L’homme est gros et sent la lavande : il est un professeur de piano à la retraire. Il m’a trouvé sur internet, juste à côté des femmes qui s’échangent du sperme avec leur bouche et des affiches criardes promouvant les autres sites pornographiques. Mais mes services ne sont pas sexuels, du moins pour la plupart. Cet homme -le premier de tous- venant d’apprendre la mort de sa sœur. Il se présente à ma porte le regard vide, mais avec deux fleurs (car c’est ce que je demande), des roses blanches ou rouges, mais j’accepte aussi n’importe quoi d’autre. Sans s’excuser, il entre et s’assoit sur mon lit défait. Oh- j’ai oublié de m’habiller.
-          Je ne crois pas aller aux funérailles. De toute façon, il faut que j’aille travailler à seize heures.
-          Et les funérailles sont à quelle heure?
-          Vingt heures ce soir. Et je n’ai même pas de quoi à porter.
-          Et qui sera là?
-          Mon fils probablement. Il l’aimait beaucoup, mais il aime pas mal n’importe qui. Quel drame!
Je demande toujours qu’on m’envoie un court message résumant la raison de la visite. Pour éviter les mauvaises surprises, comme la mort.
-          Il annonce chaud ce soir (je dis ça). Ce sera facile d’enterrer ta sœur : la chaleur rend la terre molle et aisément maniable. Dis-toi qu’elle aurait pu mourir en novembre, là c’est pénible!
-          Peut-importe. Elle se fait incinérer.
Quand on désir une chose, on fait une liste dans notre tête de diverses façons d’y arriver. L’argent en est une, mais je ne me noie pas dans les autres filles aux seins presque parfaits. Moi, je choisie presque au hasard les hommes qui entrent. Le plus spécifique, le mieux.
Il ne pleure pas, mais ne cesse de fixer le sol. C’est bien qu’il ne contemple pas ma nudité : je déteste ça. Trêve d’immobilité, son regard doit aller ailleurs, vers mes yeux peut-être, et oublier la pendaison. Il m’avait écrit :
« Il y a de cela bien longtemps, mes doigts se sont cassés dans un accident de voiture. Voici : un matin glacé, une vanne m’a foncé dessus et les doigts de ma main gauche se sont tordus entre le volant et le tableau de bord. Plus jamais je n’ai retouché aux notes et aux feuilles de musique, bien que mon cœur en pleure toujours aujourd’hui. Ma main est croche comme les branches d’un arbre, comme le tronc défait et nu prit dans la glace. Je les contemple chaque jour et me demande à quelle vitesse ma main est-elle devenue aussi belle et délicate. Mon petit doigt tend vers l’arrière, l’auriculaire n’a maintenant qu’une seule jointure et plus d’ongle, le majeur n’a plus d’ongle non plus et une longue cicatrice qui tatoue le dessus de ma main et pour finir, mon pouce qui fait un angle de quatre-vingt-dix degrés vers l’arrière. C’est grotesque, mais c’est comme ça. Bien que les chirurgiens s’acharnent sur mon cas, mon handicape me rend des hommes les plus fiers et je ne veux en aucun cas abimer quoique ce soit – ou améliorer comme ils disent.
           L’argent manque, et je reste assis devant la télé. Je n’ai pas changé mes bas depuis une semaine et ça sent le fromage. Mais je suis seul alors rien ne me dérange. Ah – il y a Étienne qui vient prendre de mes nouvelles de temps à autres, mais je lui dis souvent de partir après une heure ou deux. Je n’aime pas beaucoup que les gens restent pour souper, ça me gêne de faire la conversation aux jeunes qui ne m’apprennent pas plus de chose sur le monde que je n’en sais déjà. Lui a vingt-trois ans : comme il est laid! Je ne puis croire avoir donné vie à une créature plus laide et gentille, une tendresse qui lui vient de sa mère je suppose, mais une apparence qui lui vient de nulle part. Bref, il vient quelques fois avec de l’argent et de la pitié : je le renvoi rapidement quand il pleurs ou qu’il chigne. Avec l’argent, je vois des prostitués et je mange au restaurant. La vie, sans blague, n’a jamais été aussi bonne.
           L’argent manque, mais l’aide manque encore plus. Mon autre main me donne la nausée et si je ne suis pas aidé bientôt, je l’arracherai! Si parfaite et si laide! Comme l’autre je la veux! Bien que je n’ai pas grand-chose à offrir, j’aimerais bien qu’on me mutile la main qui me reste pour qu’elle retrouve sa jumelle. Je ne ferai aucune manière sur tout le « pourquoi », mais si je peux fournir les outils, les pioches et les pinces, pourriez-vous me donner votre cruauté pour que mon corps ressemble à ce que je veux? ».
Je ne demande jamais d’argent, ça victimise mes clients.
L’homme est surpris que je ne me cache pas le visage, ou qu’aucune pellicule de plastique ne couvre mon plancher. Le sang ira ou il veut, mais j’aime son odeur et je prends plaisir à arracher les croûtes, comme les enfants avec la colle.
-          Je peux te caresser le visage?
Oui. Je veux aussi placer tes doigts boursoufflés sous la patte de mon lit, jouir au son du craquement des os et peux être tout enregistrer pour le voir à nouveau. La patte de mon lit fera l’affaire. La fourchette encore piqué dans mon déjeuner fera aussi. Et tu seras debout pour que je puisse bien sentir l’urine, produit de ta douleur. Tu me frappe et j’appelle la police. Ils liront la lettre et sauront que je n’y suis pour rien. Clair? Comme l’eau. Pas la mienne parce qu’elle est toute brune. Ah oui, c’est l’eau de la toilette. On commence? J’ai hâte : tu es mon premier. Tu le savais? Ça devait paraître dans mes messages, la hâte et la gentillesse sont des choses qui se perdent avec le temps. Moi je sais que ce n’est qu’une question de temps, car tu es le premier d’une série de mille hommes.
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leblogdemarinaetjm · 5 years ago
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MARDI 14 JUILLET 2020 – (Billet 4/4)
« TOUT SIMPLEMENT NOIR » (1h30)
Une comédie de Jean-Pascal Zadi et John Wax, avec Jean-Pascal Zadi, Fary, Caroline Anglade et de très nombreux acteurs/comiques dans leur propre rôles…
Ne pouvant nous fier aux critiques « professionnelles » qui, vu le sujet et son contexte, ne pouvaient qu’être élogieuses (on se méfie terriblement de la bien-pensance), nous y sommes allés uniquement parce qu’il y avait sur le Site d’« Allo Ciné » beaucoup trop de très mauvaises critiques de spectateurs qui nous ont semblé « louches ». Nous nous sommes alors dit : c’est quitte ou double. Et cela s’est révélé « double ».
C’est un film déroutant au début puis très vite, au second degré, très très drôle… et qui ne va pas du tout dans le sens où on l’attend. L’acteur principal (et scénariste et co-metteur en scène) est épatant, tous les autres aussi. C’est dérangeant, bien rythmé… une très agréable surprise.
C’est un film que nous vous conseillons. Marina lui a donné ♥♥♥ et JM, ♥♥♥,6.
La critique ci-dessous dit très bien tout ce que nous en avons pensé. Lisez-là et regardez ensuite la bande-annonce (ci-dessus) qui donne vraiment le ton du film.
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Humour noir. Sur le sujet qui fâche en ce moment, une comédie réussie où tout le monde en prend pour son grade et rit… jaune.
CHERS LECTEURS DE TOUTES LES COULEURS, de récents événements laissent penser que certains sujets ne peuvent plus prêter à sourire, encore moins à rire. La place des Noirs dans la société française, par exemple. Selon que vous adhérez ou que vous vous opposez à l’entreprise déconstructrice de l’Histoire par les indigénistes racialistes et iconoclastes, vous êtes catalogués : « soumis » ou « racistes » si vous êtes Blancs ; « communautaristes » ou « nègres de maison » si vous êtes Noirs. Heureusement, il existe le cinéma. « Tout simplement Noir » (en salles depuis le 8 juillet) ne sera pas épargné par les critiques de ceux qui ne voient le monde qu’en Noirs et Blancs, mais les autres - la majorité des Français - goûteront sûrement à l’humour tour à tour grinçant, décomplexé, tranchant et embarrassant de cette comédie qu’on croirait écrite la semaine dernière tant elle résonne avec l’actualité.
L’histoire ? Un dénommé Jean-Pascal Zadi, comédien approximatif, marié à une Blanche et denté comme un tatou géant, veut organiser une marche noire pour protester contre le racisme systémique de la France. Suivi par un cameraman qui réalise un documentaire sur son combat, il fait le tour des stars françaises (plus ou moins) noires pour soutenir son projet. Mais les problèmes s’abattent sur lui comme les criquets sur l’Afrique de l’Est. Ses slogans sont nuls : « Un Noir debout, c’est un Noir qui n’est pas assis ». Sa ­démarche est clivante - la manif est réservée aux hommes noirs, ce qui laisse pantoises les afro-féministes de service. Sa maladresse est abyssale - à l’ex-joueur de foot d’origine indienne Vikash Dhorasoo qui lui demande s’il peut venir, il répond que « c’est compliqué », n’étant pas vraiment Noir…
Touchant et pathétique, ce Zadi est un Pignon noir. Il provoque désastre sur désastre. Claudia Tagbo le chasse de sa loge à coups de pied dans le derrière après qu’il a un peu ­moqué le sien ; Lucien Jean-Baptiste et ­Fabrice Éboué en viennent aux mains à cause de lui ; l’Austro-Guadeloupéen Éric Judor ne se voit plus métis et se prend pour Mandela ; Fary se retrouve par sa faute piégé par Dieudonné ; Zadi est même à deux doigts de déclencher une nouvelle guerre ­israélo-arabe lors d’une rencontre avec Jonathan Cohen et Ramzy (en refusant à celui-ci, avec l’assentiment de celui-là, de venir à sa marche avec des responsables musulmans au motif que « les imams, c’est pas good vibes »). Même si ­l’ensemble lorgne parfois vers le film à sketchs, beaucoup de scènes se révèlent irrésistibles. Et souvent d’une froide ­justesse sur tous les travers du combat dit antiraciste.
(Source : « Le Fig Mag de la semaine dernière »)
PS JM est allé voir tout seul « L’ombre de Staline ». Noëlle et Gaëtan (A.) aussi. Tous les 3 sont d’accord, à part le côté « tiré d’un fait réel » et l’histoire au départ somme toute passionnante (un journaliste doit-il dire la vérité ? Et surtout CETTE vérité ?), le film est trop long, trop démonstratif, comporte un peu trop d’invraisemblances majeures et sa mise en scène n’est pas à la hauteur du propos. A éviter, dommage !
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solivaganz · 5 years ago
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15. Welcome to paradise !
Bonjour à tous ! L’été est définitivement arrivé en Belgique et avec lui, les vacances pour mes amies profs. Je vous souhaite à tous de bien profiter du beau temps et de tous les plaisirs de l’été : vacances, soleil, cocktails, BBQs, glaces, soirées en terrasse et voyages (entre autres haha). De mon côté, l’hiver s’est bien installé et j’ai vécu quelques nuits vraiment fraîches à 4-5° dans mon van autour du 15 juin, c’était assez folklorique ! Heureusement, un bon sac de couchage, deux couettes, deux bouillottes et une douche bien chaude avant le dodo aident beaucoup à trouver le sommeil rapidement et à passer une bonne nuit. Le seul moment un peu désagréable est le matin, vers 7h, quand je me réveille pour faire pipi et qu’il fait tellement froid que je n’arrive plus à me rendormir. Au moins ça me force à me lever de bonne heure, haha ! Les journées sont tout de même plus clémentes puisque l’on tournait aux alentours de 13-14°: ce n’est clairement pas un hiver aussi rude que ce que l’on peut avoir chez nous !
Néanmoins, ce mois de juin était assez déprimant puisqu’en plus de la chute des températures et un soleil parfois timide, j’ai surtout passé un mois vide de sens puisque je me suis cassé le coude le 29 mai. Suite à cela, j’ai perdu mon job et j’étais incapable de faire quoi que ce soit, sinon attendre que ma condition s’améliore. Autant dire que ce n’était pas la plus chouette période de mon aventure, mais j’ai tout de même gardé le moral puisque je ne suis pas restée toute seule dans mon malheur. Je reviendrai sur ce mois particulier prochainement, mais pour l’heure, je vais surtout vous parler de ce qui m’a aidé à trouver une motivation pour traverser ce maudit mois de juin : les vacances aux îles Samoa que j’avais réservées avec Aline, ma copine brésilienne de Queenstown, du 25 juin au 11juillet. De quoi profiter de deux semaines d’été en plein milieu de l’hiver néo-zélandais !
J’étais assez inquiète quand je me suis cassé le coude car les médecins m’ont annoncé que je devrais porter un plâtre pendant 6 semaines, et mes vacances étaient 4 semaines plus tard. Je venais d’acheter les billets d’avion à peine 3jours avant mon accident pour la « modique » somme de 600$ (pas rien, donc !) et bien sûr, je n’avais pas pris d’assurance annulation ! Il était donc hors de question d’annuler, et je n’avais plus qu’à faire en sorte de récupérer le plus vite possible et de pouvoir partir aux Samoa sans mon plâtre. Car difficilement imaginable de partir dans un pays tropical chaud et humide où tout l’intérêt du pays réside dans ses plages paradisiaques, sa mer turquoise à l’eau chaude et ses cascades naturelles. Heureusement, après moult rebondissements (voir article 14 une fois que je l’aurai rédigé ^^), je suis parvenue à mon objectif de me débarrasser du plâtre et ainsi pouvoir partir l’esprit tranquille dans ce petit coin de paradis perdu au milieu de l’océan Pacifique sud !
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Nous nous sommes donc donné RDV le 25 juin à l’aéroport d’Auckland où j’avais laissé ma voiture sur un parking à moyen/long terme. Une navette de bus plus tard, j’étais à l’aéroport, et j’ai pu retrouver Flora et Lénaïck, deux copines françaises que j’avais rencontrées à Christchurch quelques mois plus tôt et qui avaient par hasard booké le même vol que nous (le monde est vraiment petit !). Finalement, le vol d’Aline en provenance de Queenstown a atterri et elle m’a rejoint pour prendre notre vol en direction d’Apia, la capitale des Samoa.
Ces îles ne sont pas si loin que ça de la NZ, elles se trouvent à mi-chemin entre la NZ et Hawaï, à 4h d’avion d’Auckland, mais pourtant, c’est un tout autre climat puisqu’elles se situent à proximité du tropique du Capricorne et qu’il n’y a que deux saisons sur l’année : la saison humide de novembre à avril puis la saison sèche les 6 autres mois. Il fait environ toujours la même température toute l’année, entre 20 et 30°.
Les îles Samoa se composent de deux îles principales: Upolu, l’île du sud, qui est plus urbanisée et où les 3/4 de la population réside (c’est donc là que se situe la capitale), et Savai’i, celle du nord, que tout le monde nous ventait comme « plus belle, plus sauvage ». Finalement, nous les avons trouvées vraiment très semblables, si ce n’est qu’il n’y a pas de ville sur celle du nord.
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A notre arrivée à l’aéroport, après un vol de 4h, nous sommes accueillies en musique par un groupe jouant de la guitare et surtout par une véritable chaleur de plomb : c’est officiel, l’hiver est loin derrière nous, ça fait un bien fou de ressentir la chaleur à nouveau et de ressentir cette atmosphère de vacances !
On change rapidement l’heure sur nos montres (et oui, les Samoa sont sur le premier fuseau horaire mondial, soit une heure d’avance sur la NZ) puis on fait tamponner nos passeports et on retire des talas au distributeur. Pas très compliqué à calculer : 1€ équivaut à 3 talas, et curieusement, le ratio Talas > $NZ est le même que le ratio $NZ > €, ce qui me permet de calculer rapidement et de tête à combien de dollars ou d’euros équivaut telle somme en talas.
On retire mille talas dans un premier temps puis on récupère une carte sim locale de 14 Go pour 50 talas et nous voilà embarquées dans un taxi vers le centre-ville, à une trentaine de kms de l’aéoport. Malgré qu’il fasse totalement noir, nous faisons une première découverte de notre nouvel environnement : toutes les maisons sont ouvertes, il n’y a aucun mur, sinon simplement des piliers ! Il fait tellement chaud que ça permet de faire circuler l’air dans la pièce de vie/cuisine. Les chambres et salles de bain sont quant à elles fermées, mais tout le monde vit dans sa maison ouverte, on peut donc voir tout ce que tout le monde fait à n’importe quel moment. Le chauffeur du taxi nous en explique un peu plus sur la culture samoane, et nous explique qu’il n’y a jamais de vols car tout le monde respecte la propriété privée malgré l’absence de murs. On remarque aussi plein de drapeaux triangulaires et multicolores le long des routes, et il nous explique que les Samoa sont les hôtes d’une grande compétition sportive qui doit se dérouler 10 jours plus tard pour deux grosses semaines : il s’agit des Pacific Games, l’équivalent des jeux olympiques de là-bas, qui rassemble les athlètes de toutes les îles du Pacifique Sud (et la NZ aussi d’ailleurs) pour un grand tournoi dans plein de sports différents. Pour l’occasion, les samoans ont décoré tous les villages et toutes les routes de milliers de drapeaux de toutes les couleurs, c’est un sublime spectacle ! On est arrivées à la bonne période il faut croire, le pays est on ne peut plus beau. On remarque aussi tous les palmiers et cocotiers ainsi que les chiens et cochons errants, et surtout, le nombre incroyablement élevé d’églises, les bâtiments les plus beaux et modernes du pays (notamment la cathédrale d’Apia, un joyeux architectual). Les samoans sont très croyants et bien qu’ils soient assez pauvres, ils donnent avec plaisir tout leur argent pour entretenir et ériger des églises, qui sont d’ailleurs ouvertes H24, et toujours pleines même à 23h.
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[Cathédrale d’Apia]
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[Exemple de drapeaux adornant toutes les rues sans exception du pays]
Nous rejoignons finalement notre hôtel pour la nuit et ne sommes pas mécontentes d’y trouver une clim’ et une bonne douche (avec de l’eau chaude… contrairement à tout ce qui allait nous attendre par la suite, haha). Le lendemain matin, nous prenons notre petit-déjeuner à l’hôtel et je goûte pour la première fois de la papaye que je pense être du melon un peu moins juteux que par chez nous ^^. Finalement, ce fruit deviendra mon petit péché mignon des vacances, c’est tellement bon !
Nous nous rendons ensuite dans le centre-ville (enfin, ville… malgré qu’il s’agisse de la capitale, Apia doit être à peine plus grande que Louvain-la-Neuve !) et nous retrouvons Flo et Léna à 10h pour le show culturel de l’office du tourisme. Il s’agit d’un spectacle qui porte sur la culture samoane et qui nous apprend à travers différents ateliers tous les aspects clés de la vie quotidienne samoane. Nous observons des hommes sculpter des bols à partir de bois trouvé dans la forêt, des femmes créer du papier à base d’une tige en bois dont elles retirent l’écorce et utilisent une couche interne qu’elles trempent dans l’eau et étirent jusqu’à obtenir un papier sur lequel elles peignent, d’autres hommes grimper aux cocotiers pour décrocher des noix de cocos immatures et nous faire boire l’eau de coco et manger la coco blanche qui est encore molle à ce stade. Ils nous montrent aussi comment faire du lait de coco à base de coco mûre (une fois qu’elle est brune et tombée au sol) en râpant la chair blanche et en la pressant vivement dans une sorte de foin/rafia. Ils nous font aussi découvrir la cuisine typique samoane et la cuisson à l’umu, un four de pierre au milieu du foyer où sont cuits divers ingrédients (poisson emballé dans des feuilles de cocotiers, feuilles de taro dans du lait de coco (appelé « palusami »), et fruits de l’arbre à pain). Finalement, nous assistons aussi à une séance de tatouage traditionnel où l’artiste tatoue à la main, ce qui est beaucoup plus douloureux qu’un tatouage au pistolet. Les hommes sont généralement tatoués du genou jusqu’à la taille, tandis que les femmes sont uniquement tatouées sur la cuisse. L’épisode est tellement douloureux que toute la famille du tatoué est invitée pour lui apporter du soutien psychologique et l’entourer pendant sa séance qui dure plusieurs heures sur trois jours. C’est une expérience presque mystique pour eux, c’est donc incroyable d’assister à ça en tant que simples touristes !
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Après la séance de tatouage, il est déjà 13h et il est donc temps pour nous de déguster l’umu dans les assiettes en feuilles de coco que nous avons préalablement tressées, le tout devant un spectacle de danse et chants samoans. La nourriture était vraiment très bonne même si elle était pour le moins inhabituelle, je n’en ai pas laissé une miette ! Il semblerait que je m’ouvre un peu plus à la nourriture que je ne connais pas, haha. J’ai particulièrement aimé le palusami et le thon au lait de coco, quel délice ! Le fruit de l’arbre à pain cuit me rappelait également les pommes de terre, si ce n’est que ce fruit pousse sur un arbre dans les airs et non dans la terre.
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Quant aux danses, nous avons vu un net contraste entre les danses des hommes et celles des femmes. D’ailleurs, je m’attendais à retrouver quelque chose de similaire aux danses maories vu que les deux cultures partagent la même origine polynésienne, mais en réalité, les danses samoanes étaient bien différentes des danses maories. Les hommes font des chorégraphies très rapides où ils tapent beaucoup dans leurs mains, leurs cuisses et leurs torses mais nous sommes loin des danses de guerre maories où le but est d’effrayer l’ennemi. Quant aux femmes, elles font des mouvements très délicats avec leurs mains dans le but d’imiter le vent, c’est très gracieux. Tant les hommes que les femmes sourient pendant leurs danses, ce qui est assez différent des danses maories !
J’ai vraiment adoré les trois heures et demie passées lors du show culturel. On ressent vraiment que les samoans sont très fiers de leur culture et qu’ils ont envie de la partager pour qu’on la respecte. D’ailleurs, tout ce show très complet est complètement gratuit mais les donations sont encouragées. Il s’agit d’un manque de respect, presque d’une insulte dans leur culture de ne pas donner d’argent quand un groupe fait une représentation de danse et chants.
Après ce show, nous nous sommes toutes (avec deux autres françaises rencontrées en chemin) rendues au marché aux fruits (avec bananes, papayes, noix de coco) où nous avons bu une coco fraîche et acheté quelques souvenirs. Il s’agit du seul endroit du pays où on peut trouver des souvenirs (pas de chinoiseries ici, tout est artisanal !), et nulle carte postale non plus (petite déception pour moi qui adore en envoyer haha). Le tourisme est vraiment très peu développé aux Samoa, rien n’est vraiment fait pour les touristes, hormis la trentaine de beach fales et les trois/quatre resorts que compte le pays. Il nous est arrivé plusieurs fois de passer la nuit dans des beach fales où Aline et moi étions les seules clientes alors que juillet/août est supposé être la haute saison… C’est vraiment très particulier de visiter un pays aussi vide de touristes, mais cela rend l’expérience très authentique et particulièrement appréciable (à nous les plages paradisiaques désertes !).
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[Aline et moi au marché d’Apia]
Le lendemain, nos chemins se sont séparés de celui des françaises et nous avons continué nos plans de notre côté avec Aline. C’est également ce jour-là que nous avons expérimenté pour la première fois l’esprit « olé-olé » des îles quand nous avons voulu prendre le bus pour nous rendre à 4km en dehors du centre-ville afin de visiter la villa Vailima, soit la villa dans laquelle Robert Louis Stevenson, l’auteur de Dr. Jekyll et Mr. Hyde et L’Île au Trésor a vécu durant les quatre dernières années de sa vie en 1890-94. Premier problème : la fiche remise par l’office du tourisme (datant de juin 2018… mmm) indique que l’on peut prendre le bus à deux terminus différents, mais une fois arrivées au premier, il n’y a ni quais, ni affiches pour informer de quelconques horaires, et pas grand monde pour nous aider. On demande finalement à un policier qui nous envoie à l’autre terminus. Et là, c’est un joyeux bordel qui nous attend : des centaines et des centaines de gens dans tous les sens, aucun quai ou arrêt de bus déterminé, mais des dizaines de bus qui s’arrêtent n’importe où là où il y a de la place et les gens qui montent dans le bus ou en descendent alors qu’il n’est même pas encore à l’arrêt. On ne sait pas du tout où attendre vu que le terminus est assez grand, et on ne sait pas non plus du tout à quelle heure le bus est censé passé. Finalement, plusieurs chauffeurs de bus nous écrivent sur un bout de papier le nom des bus qui se rendent à notre destination et nous disent d’attendre quelque part et de guetter les bus qui arrivent. C’est assez folklorique ! On adopte donc le rythme samoan et on attend… longtemps ! On en profite pour prendre quelques photos de ces bus exotiques, des vieux bus Toyota tout en bois, peints avec des couleurs flash et avec la musique à fond. On est d’ailleurs assez surprises de voir les samoans s’asseoir sur les genoux des autres passagers (des inconnus) sans aucune gêne quand le bus est plein. Ce n’est pas chez nous qu’on verrait ça, hahaha. Après près d’une heure d’attente, on aperçoit au loin un des bus que l’on guettait sur le point de redémarrer – il y a tellement de bus partout qu’on a failli le louper – et nous embarquons enfin vers notre destination (on serait déjà arrivées si on avait simplement marché ^^).
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[Les bus exotiques et colorés]
S’il n’y a pas de quais au terminus, il ne faut pas espérer des arrêts de bus dans les rues non plus. Ici, il suffit de taper une pièce de monnaie contre la vitre quand on souhaite descendre ou bien agiter la main devant un bus quand on souhaite y monter, c’est plutôt facile ! Mais évidemment, dans ces conditions, pas possible d’établir un véritable horaire. Le crédo ici, c’est qu’il suffit d’attendre !
On arrive finalement à la villa Vailima mais on constate qu’il faut payer 20 talas pour simplement visiter la maison. On préfère donc faire la randonnée qui mène à la tombe de l’auteur et grimper le sommet du mont Vaea à quelques 472m d’altitude. Autant dire que dans la chaleur et la moiteur ambiante et sans aucun vent, on a fait notre sport de la semaine ! Heureusement, on est récompensées par une très belle vue sur Apia et sur le bleu du lagon aux alentours. On constate aussi que la flore endémique est très riche, mais par contre, comme pour la NZ, la faune est assez pauvre. A part des petits lézards/geckos et des oiseaux, il n’y a guère d’autres animaux dans les forêts !
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[Villa Vailima]
Après cette randonnée, il est temps pour nous de rentrer à Apia pour récupérer nos sacs à l’hôtel et mettre le cap sur le sud de l’île afin de vraiment commencer nos vacances à la plage. Vu le fiasco du matin pour prendre le bus, on décide cette fois de tenter le stop (pour la première fois de ma vie pour moi, ha !) et en moins de 2 minutes, on est déjà dans la voiture d’un samoan qui nous ramène en ville. Coup de chance, celui-ci se rend comme nous à Lalomanu donc il propose de nous y amener ensuite moyennant une contribution à l’essence. On paie un peu cher tout de même (40 alors qu’il fait un plein de 10litres à 30 talas pour s’y rendre…) mais au moins on a le confort de ne pas devoir galérer au terminus du bus et de s’entasser à 30 dans un bus bondé sous une chaleur de plomb, et on a droit à des arrêts pipi et supermarché. Après 1h30 de trajet, nous voilà enfin arrivées à destination : la plage paradisiaque de Lalomanu, ravagée en 2009 par un tsunami meurtrier mais bien réaménagée depuis lors.
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[Moi en pyjama finissant trempée par une vague inattendue dans la mer]
Pour la première fois, nous allons donc passer la nuit dans un beach fale, sorte de petite cabane typique des Samoa. Il s’agit d’une cabane avec un sol surélevé au-dessus du sable, des piliers et une moustiquaire, et des feuilles de bananier tressées que l’on peut remonter en guise de mur lorsqu’il pleut (et parfois une bâche s’il pleut vraiment fort). Une nuit en fale coûte environ 100 talas par personne sur Upolu contre 70 sur Savai’i, et comprend à chaque fois le souper et le petit-déjeuner. C’est parfait pour s’affranchir de toute responsabilité au niveau de la nourriture et vraiment se sentir en vacances ! Il nous suffit de prendre un petit-déjeûner copieux le matin et quelques biscuits à midi, pas besoin de réfléchir à faire à manger. Ou bien il y a toujours moyen de manger des croque monsieurs ou un chicken/fisn’n’chips à midi dans les fales. Globalement la nourriture est souvent assez bonne, bien qu’un peu répétitive à force (du riz quasiment tous les soirs, pour moi qui n’ai jamais aimé ça, je n’avais guère d’autre choix que le manger quand même si je voulais survivre !). Et les petits-déj étaient souvent un vrai régal avec des fruits frais, du bacon, des œufs, des crêpes et saucisses. Seul point négatif : il n’y a jamais ni jus ni eau avec les repas servis, donc il fallait toujours systématiquement acheter nos bouteilles d’eau aux fales pour des prix assez élevés. Ca fait un peu mal au portefeuille et à la planète mais pas le choix si on voulait échapper à la turista…
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[Beach fales]
Par ailleurs, on a eu droit deux fois à de supers spectacles dans les fales, une fois à Lalomanu (où nous avons passé deux nuits dans deux fales différents) et une fois à Matareva Beach, qui était pour nous le meilleur endroit de tout le pays ! Nous y avons passé trois nuits et on serait bien restées plus longtemps si nous n’avions pas encore eu toute la deuxième île à explorer J. Ces spectacles sont vraiment captivants (danse, chants, jongle avec du feu…) et interactifs puisque les danseurs incitent les spectateurs à se lever et venir danser avec eux. Autant dire qu’avec ma chance de fou, j’ai eu le bonheur d’être sélectionnée pour venir m’asseoir sur une chaise en plein milieu pendant que les danseurs dansaient autour de moi, avec tous les autres guests des fales qui me regardaient et moi qui ne savais pas où me mettre. Hahaha l’embarras ! Heureusement j’ai « vite » pu me lever pour danser avec eux -comme un pied- puis être rejointe par d’autres guests, le tout sous le regard et la caméra d’Aline qui était morte de rire.
Après Lalomanu, nous avons continué notre tour de l’île en stop et avons rencontré pas mal de gens de cette manière. On a ainsi fait la connaissance d’un couple de profs d’unif australiens que nous avons suivis une partie de la journée et avec qui nous avons visité deux cascades, très belles certes, mais pour 20 talas la cascade à près de 100m de nous, c’était un peu l’arnaque ! Aux Samoa, n’importe quelle « attraction »/point d’intérêt est payant, car la quasi entièreté du pays appartient à des familles qui ont d’énormes propriétés, et qui ne se privent donc pas de faire payer les touristes qui souhaiteraient traverser leur propriété pour observer les cascades, falaises ou forêts. Parfois les quelques talas demandés valent bien leur pesant d’or, mais parfois, c’est vraiment pour ce que c’est… Heureusement, cet après-midi-là, les australiens nous ont déposées à To Sua Ocean Trench, et pour 20 autres talas cette fois-ci bien dépensés, nous avons pu passer toute l’aprèm dans un trou/grotte rempli d’eau de mer d’un bleu presque irréel. Il s’agit d’ailleurs d’une des premières photos qui apparaissent quand on tape « Samoa » sur Google, c’est l’attraction phare du pays ! C’était vraiment magique de nager dans cet endroit et se laisser surprendre par le courant qui nous attirait tantôt d’un côté de la grotte, tantôt de l’autre. Sans compter que sur les deux heures passées dans l’eau, nous avons été seules près de la moitié du temps, c’était idyllique !
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[To Sua rien que pour nous!]
Nous avons tellement adoré cet endroit qu’on a un peu perdu la notion du temps et qu’on l’a quitté un peu tard, vers 16h30, alors que l’on devait encore rouler près d’une heure en voiture et en stop pour arriver à notre prochaine destination (Matareva Beach). Heureusement, on a très vite été prises par deux samoans qui rentraient du boulot et qui ont décidé de faire un détour de 50km pour nous conduire à notre destination, car ils étaient inquiets de nous laisser sur le bord de la route alors qu’il allait bientôt faire sombre ! Quelle gentillesse !
A peine arrivées à Matareva Beach Fales, on a pu constater qu’on allait passer les prochains jours au paradis vu la beauté de la plage, mais malheureusement, il n’a pas tardé à faire trop sombre que pour véritablement faire tout le tour du propriétaire. On a donc reporté ça au lendemain et avons profité d’un bon repas et du spectacle samoan. Spectacle qui s’est achevé juste avant le début de la plus grosse drache que j’aie jamais vue de ma vie : il s’est mis à pleuvoir très dru de 22h à 17h le lendemain sans la moindre interruption, pas même une petite accalmie de quelques minutes. Imaginez une drache belge pendant 19h non-stop, c’était impressionnant ! Autant dire que ça a un peu ruiné notre plan de faire le tour de la plage et même de faire quoi que ce soit ce jour-là. Enfin, quitte à être mouillée, j’ai tout de même été piquer une tête dans la mer à 25° et profiter du contraste eau chaude/pluie froide, c’était très relaxant ! On a passé le reste de la journée à lire, discuter, jouer à des jeux et se déconnecter (peu de couverture réseau). Et finalement, à 17h, la pluie a cessé et les nuages ont commencé à se dissiper peu à peu. Nous avons alors enfin pu partir explorer la plage et les alentours et c’est ainsi que sans que nous ne le voyions venir, le ciel a progressivement pris des couleurs à peine croyables : jaune, rose, mauve, bleu, orange et rouge. Je n’avais jamais vu un coucher de soleil aussi magnifique, je n’ai même pas de mots pour qualifier ce que j’ai vu. J’étais tellement émerveillée et émue par la beauté de ce coucher de soleil que j’en ai eu les larmes aux yeux ! Ca valait bien 19h de pluie à ne rien faire de sa journée !
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Quand nous avons enfin pu profiter de cette magnifique plage le lendemain, nous avons découvert à quel point cet endroit était paradisiaque. J’ai pu tester le snorkeling pour la première fois dans ce pays et ai découvert des récifs magnifiques avec plein de coraux et poissons tricolores, le tout dans une eau cristalline et chaude. Ou encore chasser des bernards-l’ermite de toutes les tailles sur la plage (ce qui est devenu une vraie passion!), ramasser des coraux blanchis, me reposer dans un hamac entre deux cocotiers, siroter une bière Vailima ou profiter d’un massage traditionnel samoan. Trois jours de rêve à profiter du paradis ! Petit coup du destin également puisque le dernier jour, nous sommes tombées par hasard sur Léna et Flora plus les deux autres françaises du début qui venaient elles-aussi passer la nuit à Matareva et que nous revoyons donc par hasard sans s’être concertées, haha. Le monde est vraiment petit !
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Nous avons continué notre voyage sur l’île de Manono (une plus petite île entre les deux principales) puisque nous avions le temps de le faire sans trop se presser. Ca nous aura permis de faire un tour en bateau à moteur au-dessus de l’eau turquoise du lagon, puis de faire une petite randonnée de 2h30 en faisant le tour de l’île à pied (mais c’était assez éprouvant sous cette chaleur de plomb et avec le soleil qui tapait!). Le lendemain, nous sommes revenues sur Upolu afin de prendre le ferry et rejoindre la seconde île principale de Savai’i. Nous sommes arrivées un peu en justesse et le capitaine nous a vues arriver en sueur avec nos gros sacs, donc il nous a fait nous installer sur des chaises dans sa cabine d’où il tenait le gouvernail (alors que tous les autres passagers étaient assis ou couchés par terre), et il a envoyé quelqu’un aller nous acheter des bouteilles d’eau car nous n’avions pas eu le temps d’en acheter. On a également pu apprécier de voir des dauphins faire la course avec le bateau. La belle vie, je vous le dis !
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[Manono island]
Une fois arrivées sur Savai’i, la prochaine étape était de chercher une voiture de location pour trois jours afin de faire le tour de l’île et surtout de visiter la côte ouest, puisque j’avais entendu qu’il y avait très peu de trafic de ce côté-là de l’île et qu’il était difficile de faire du stop. Comme c’était également la plus belle partie de l’île selon Léna et Flo (qui avaient commencé par Savai’i), on ne voulait pas passer à côté et on s’est dit que la voiture serait une bonne option. Mais évidemment, on n’avait pas vraiment pris en compte que les Pacific Games allaient commencer et donc amener leur lot de visiteurs dans le pays. Résultat, il n’y avait plus une seule voiture de disponible dans aucun des loueurs de la ville… Finalement, face à nos moues bien embêtées, une dame d’une agence a fini par passer des coups de fil pour nous et trouver quelqu’un qui pouvait nous en louer une pour 140 talas la journée. On s’est donc déplacées jusque-là à pied et on a signé un contrat un peu léger (c’était un particulier qui nous prêtait la voiture), le tout en s’acquittant de 20 talas pour recevoir un permis de conduire provisoire samoan, peu importe que l’on ait déjà un permis international ou pas. Il faut décidément tout le temps allonger les billets pour tout et n’importe quoi ici…). La dame qui nous louait la voiture voulait d’ailleurs nous vendre une assurance à 30 talas en cas de « léger accident » mais ne savait même pas nous expliquer en quoi cela consistait. Autant dire que ça aurait été 30 talas jetés par les fenêtres, haha. Par contre, devant passer le week-end sur Upolu, la dame nous a gentiment offert un quatrième jour de location gratuit pour qu’on lui rende la voiture le lundi à la place du dimanche. C’était notre jour de chance !
Nous avons donc pris la route pour commencer notre tour de la seconde île, à commencer par la côte ouest avant de remonter dans le sens des aiguilles d’une montre. Nous avons fait un arrêt par une cascade où on comptait se baigner, mais ayant plu la veille au soir, il y avait pas mal de courant donc on a préféré être prudentes et simplement observer la cascade avec les yeux. Notre prochaine étape était les blowholes de Alofaaga, un endroit magnifique au bord d’une falaise de lave où d’énormes vagues viennent se jeter et entrent dans des tunnels en faisant un bruit de sifflement assez puissant. J’ai du batailler un peu avec Aline pour y aller car il fallait à nouveau payer et qu’elle en avait marre de payer pour des trucs qui n’en valaient pas vraiment la peine, mais j’avais entendu tellement de bien de cet endroit que j’ai clos le débat en lui payant son entrée et pour le coup, j’ai bien fait d’insister puisque nous avons finalement passé plus d’une heure et demi à cet endroit à contempler la force de la nature. C’était très impressionnant ! Et d’autant plus agréable que nous étions les seules personnes pendant toute la durée de notre visite.
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Nous avons ensuite repris la route un peu tard, quand on considère qu’on avait téléphoné le matin-même au beach fale où nous comptions passer la nuit ce soir-là et qu’ils nous avaient dit que c’était complet. Mais puisque la chance nous avait toujours souri jusqu’ici, on s’est dit qu’on allait quand même tenter d’aller sur place et d’aviser, quitte à rouler encore une heure de plus jusqu’au prochain beach fale. Finalement, notre stratégie a marché et on a reçu une chambre sur pilotis au-dessus de la mer dans le second plus bel endroit du pays selon moi, à Satuiatua. Flo et Léna nous l’avaient conseillé et elles ont eu bien raison, c’était magnifique ! L’endroit était très charmant avec un énorme arbre de plus de 40mètres de haut sur la plage avec une cabane au-dessus et des balançoires géantes, on aurait cru la plage de Robinson Crusoé :). Mais le clou du spectacle était la mer et sa barrière de corail à à peine 10 mètres du rivage, alors que l’on avait de l’eau seulement jusqu’au nombril. Sitôt arrivées, on a directement enfilé masques et tubas et on a filé directement dans l’eau pour découvrir les coraux, et il faut dire qu’on n’a pas été déçues, c’était magnifique. Il y avait beaucoup plus de poissons qu’à Matareva où j’avais déjà été subjuguée. Malheureusement, il faisait déjà fort sombre donc on ne voyait plus grand-chose à la mer et nous sommes sorties après 15 minutes pour aller manger. Mais sitôt réveillées le lendemain et le petit-déj avalé (mmmh crêpes et papayes !), nous avons directement enfilé notre matériel de plongeuses en herbe (et loué des palmes car il y avait pas mal de courant quand même). Quel sentiment que de nager au milieu de bancs de milliers de poissons qui me tournent autour, c’était dingue ! Le tout agrémenté par des petites siestes au soleil, des tours en balançoire et un bon livre sur ma liseuse, quel bonheur :).
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[Les coraux dans la zone sombre, on ne peut plus proches du rivage - certains dépassaient même de l’eau à marée basse!]
En milieu d’après-midi, nous avons redécollé et avons pris la route en direction de Falealupo, tout au nord-ouest de l’île, un coin assez reculé où nous avons dû emprunter une route en graviers au milieu de la pampa pendant près d’une demie-heure pour arriver à destination. Mais ça en valait largement la peine puisque nous avons découvert en arrivant que nous étions les seules guests du jour, à nous la plage paradisiaque rien qu’à nous ! On a super bien mangé ce soir-là et on a également fait une pré-exploration de la mer pour voir ce qui nous attendait pour le lendemain. Et à nouveau, je suis tombée complètement sous le charme de tous les coraux et poissons de l’endroit. Même s’il y avait moins de poissons que la veille, j’ai préféré l’endroit car il y avait moins de courant et que les coraux étaient plus variés et espacés, ce qui permettait de s’arrêter et se mettre debout à plusieurs endroits sans endommager les coraux, ce qui était impossible à Satuiatua où les coraux étaient bcp trop denses et pointus (je me suis d’ailleurs éraflé quelques fois les pieds et les genoux en nageant, aïe aïe !).
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Puisque nous étions les seules ce soir-là, j’en ai également profité pour me faire un petit bain de minuit et aller nager nue dans la mer sous le ciel étoilé. C’était la première fois que je faisais cette expérience, et quel sentiment de liberté ! Se laisser flotter dans la mer à 25° en observant la voûte céleste… Aucun doute que je recommencerai aussitôt que l’occasion de représentera.
Le lendemain après-midi, nous avons repris notre voiture en direction de Manase, au nord-est de l’île, et nous en avons profité pour faire un stop par le « Canopy Walkway », une balade en forêt avec des passerelles surélevées et un arbre énorme de 70m de haut dans lequel on peut grimper et observer la canopée de la forêt tropicale vue d’au-dessus. On se serait crues dans Robinson Crusoé à nouveau, c’était très chouette !
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Nous sommes arrivées à Manase sur le tard mais heureusement il restait encore de la place pour nous dans un fale. Nous voulions aller nager avec les tortues juste devant le fale puisque ce village est connu pour ça, mais malheureusement le temps était absolument pourri ce jour-là et la marée était trop basse pour que les tortues ne s’aventurent près du rivage. Nous avons donc passé la journée à nous reposer dans le fale et à profiter d’un très bon umu pour ce repas du dimanche. Finalement, nous avons repris la route pour nous rendre en direction de Salelologa et rendre la voiture le lendemain. Nous en avons profité pour aller visiter le Sale’aula Lava Field en chemin : il s’agit d’une église qui s’est retrouvée coincée dans la lave lors de l’éruption du volcan Matavanu en 1905. Tout a été détruit dans la lave mais les murs de cette église ont tenu le coup, ce qui permet une visite très intéressante et assez photogénique aux visiteurs d’aujourd’hui. Nous avons ensuite repris la route en espérant pouvoir aller se baigner plus loin en chemin, mais le temps n’était toujours pas au top donc notre tentative d’aller piquer une tête dans la mer ou à défaut, dans une piscine d’un des rares resorts de l’île s’est avérée peu fructueuse !
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Le lundi, nous avons dit au revoir à notre petite voiture et avons cogité sur la suite de notre trajet, était donné qu’il nous restait à présent 3 nuits à passer dans ce pays avant notre retour dans le froid néo-zélandais. Nous avons finalement décidé de rebrousser chemin et de retourner vers Manase en bus et en stop, car après tout, nous avions vraiment envie d’aller nager avec ces tortues, c’est une expérience immanquable lorsqu’on vient sur cette île ! Nous avons donc passé les deux jours suivants à profiter de ce petit village et de ses tortues géantes tout en lézardant sur la plage et en allant faire du snorkeling. Le temps était revenu à la normale et nous avons donc pu nous reposer en faire du farniente, c’était un régal ! Nous avons partagé ces deux jours avec un couple de français en tour du monde, un couple d’australien avec leur petite fille et deux françaises sur la fin de leur PVT en Nouvelle-Zélande : puisque le petit-déjeûner et le souper sont toujours compris avec la nuitée, nous nous retrouvions toujours à manger tous ensemble à la même table, ce qui nous a amenés à avoir pas mal de discussions tous ensemble, c’était très chouette. Quant aux tortues, c’était vraiment fou de nager avec elles ! Nous savions où elles se situaient généralement mais il fallait tout de même les « chasser » et les chercher dans la mer, ce qui n’était pas évident puisque la visibilité n’était pas au top après la grosse pluie des jours précédents. Quelle surprise lorsque je suis tombée sur ma première tortue ! Nous avons passé plus d’une heure à nager avec elle. Nous avons ensuite trouvé d’autres tortues et je me suis amusée à faire la course avec elles (ce qui était perdu d’avance quand elles avaient décidé de me semer, mais très chouette quand elles allaient à un rythme de croisière).
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Finalement, nous avons dit au revoir à ce petit coin de paradis et avons repris la route en stop vers Salelologa pour y passer notre dernière nuit aux Samoa. Le jour de notre départ, nous avons pris le bus puis le ferry et avons renchaîné sur un peu de stop pour nous rendre à l’aéroport. Se déplacer dans ce pays aura véritablement été une aventure très complète, entre voiture de location, stop, taxi, bus et ferry, mais jamais nous n’aurons eu à attendre plus de 15 minutes pour être prises en stop. Il s’agissait de ma première expérience en stop puisqu’en Belgique j’avais trop tendance à écouter ma peur et je ne faisais jamais de stop, et je ne prenais des autostoppeurs dans ma voiture que depuis peu. Mais parcourir tout un pays en stop m’a confortée dans l’idée que c’était un très chouette moyen de locomotion, plutôt rapide, économique et surtout qui permet d’aller à la rencontre de la population locale. Les samoans ont tous été absolument adorables avec nous, à faire des détours de plusieurs kilomètres pour nous déposer, nous donner leurs numéros de téléphone pour que nous les contactions si nous avions besoin de quoi que ce soit, nous donner des fèves de cacao qu’ils vendaient normalement sur les marchés, etc. C’était une expérience très enrichissante qui m’a encouragée à en faire également en NZ ! Après, il est sûr qu’être avec Aline m’a aidée et rassurée, car faire du stop seule est encore autre chose, mais comme pour tout, il s’agit d’être prudente et de se fier à son instinct, suivre quelques règles simples comme demander en premier au conducteur où il se rend avant de lui donner notre destination, histoire de pouvoir se dépêtrer facilement de ce conducteur s’il n’inspire pas confiance par exemple. Mais nous n’avons eu aucun problème lors ces deux semaines à travers le pays, ce qui me témoigne encore une fois que la plupart de nos peurs sont simplement des à prioris que nous nous construisons dans nos têtes en écoutant les 4-5 mauvaises histoires que nous avons entendues et en refusant d’écouter les 1000 autres où tout s’est bien passé !
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[Les profs australiens qui nous ont prises en stop et avec qui on a passé une partie de la journée]
Quoi qu’il en soit, j’aurai passé deux semaines et demi de rêve sur ces îles avec Aline. Le pays en soi était super, avec de la bonne nourriture, un climat de rêve (malgré les quelques jours de pluie qui auront un peu chamboulé certains plans), une eau turquoise remplie de poissons et coraux multicolores, des plages paradisiaques et surtout très peu de touristes et une population extrêmement gentille et avenante. Nous avons par contre remarqué que le rythme de vie était très lent (comme sur toutes les îles, hein !) et que les femmes en particulier étaient toujours un peu amorties à parler très lentement et sur un ton un peu endormi, va savoir pourquoi ? Un autre point négatif aura été que bien que la vie ne soit pas trop chère, absolument TOUT est payant dès lors que l’on veut visiter un coin de nature, ce qui finit par s’additionner et faire augmenter le budget des vacances. Car bien que l’on vienne surtout pour se reposer et profiter des plages, au bout d’un moment, c’est bien aussi de voir autre chose et d’explorer le pays plus en profondeur !
Finalement, en terme de budget, j’aurai dépensé environ 2100$ (1200€) pour les 16 nuits dans ce pays, dont 600$ (350€) pour les vols, ce qui revient à 1500$ ou 865€ par personne pour l’hébergement, la nourriture, les activités, le bus/ferry/voiture. Soit 55€ par jour pour vivre sur un petit coin de paradis en se faisant plaisir sans être dans l’excès non plus, ce qui reste plutôt raisonnable :).
J’aurai également beaucoup apprécié passer ce temps avec Aline. Je l’aimais déjà beaucoup du temps où nous étions ensemble à Queenstown, mais être 24/7 ensemble nous aura beaucoup rapprochées, et je suis d’ailleurs très étonnée de voir à quel point nous sommes similaires malgré que nous n’ayons pas du tout la même culture ni la même langue. Malgré quelques petites tensions de temps en temps, nous étions tout à fait compatibles en voyage, ce qui n’est pas toujours gagné d’avance et qui peut ruiner n’importe quel voyage ! Mais ici, tout s’est passé à merveille et nous avons chacune pu profiter d’un vrai moment off loin de notre routine (si je puis dire) en Nouvelle-Zélande, ce qui nous a bien reposées émotionnellement. Je n’avais pas vraiment envie de lui dire au revoir le dernier jour, ni même de rentrer, car je serais bien restée au soleil et au chaud plus longtemps et que je rentrais en NZ pour aller travailler. Je devais en effet achever les trois/quatre dernières semaines qu’il me manquait à bosser dans les kiwis pour obtenir mon extension. Mais bon, on était quand même loin du sentiment habituel que j’ai en Belgique quand c’est le dernier jour des vacances et que je sais que je dois retourner bosser le lendemain et que je n’ai pas du tout envie ! Ici, je rentrais certes de vacances pour retourner bosser, mais malgré tout, je suis en working holiday avec beaucoup de flexibilité et de liberté, donc même lorsque je travaille, je me sens vraiment libre de mon destin, libre de partir du jour au lendemain si je l’ai décidé, sans grosse responsabilité vis-à-vis de mon job. Quel sentiment délectable que de vivre en mode « no strings attached » et faire ce que l’on a envie, quand on en a envie, haaa :) !
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Voilà les amis, je suis enfin arrivée à la fin de cet article ! Il m’aura fallu deux mois pour l’achever, j’aurai beaucoup traîné, mais comme d’habitude, j’ai du mal à suivre le rythme de ma vie en voyage haha. Et ma bonne résolution de rédiger quelques lignes 10 minutes par jour est aussi tombée à l’eau, oopsie ! Enfin, il vaut mieux tard que jamais, n’est-ce pas ! Le prochain article sera très certainement beaucoup moins détaillé étant donné que j’ai deux mois à rattraper (nous sommes aujourd’hui le 17 septembre et je suis rentrée des Samos le 11 juillet, aïe aïe !) mais je vais essayer de le poster avant le 17 novembre hein ^^.
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Gros bisous à tous les amis !
Cass’
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vertigedailleurs · 7 years ago
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La Déco, aout 2017.
11 août 2017
On décore tout le temps et partout. On décore nos foyers, on décore le bureau, on décore les villes, les places, les monuments, les voitures, les arbres et même les tombes. On nous a appris à décorer les âges, et même les genres. A customiser les sexes pour qu’on les reconnaisse.  
On décore les souvenirs, les sentiments, nos désirs, nos peurs et nos relations. On explose en criant qu’on voudrait du « vrai » et cependant on ne fait que maquiller, déguiser, camoufler. On farde nos minois de piercings, d’une barbe, d’un sourire, d’une colo, d’une fausse compassion ou d’une réplique que l’on imagine pourfendre l’air pour sniper l’impudent qui nous a blessé. On décore même nos écrits. J’en sais quelque chose. Mais en réalité, on ne décore pas uniquement pour l’autre, pour ce qu’on lui adresse. On décore aussi parce que cela occupe. Oui, on préfère cacher le vrai - en prétendant pourtant le chercher- que de le regarder en face et s’y heurter. Alors on travaille dur. On commence par regarder comment font les autres. On se demande s’ils ont trouvé une façon d’être eux-mêmes et, parfois, on y croit. On voudrait être comme eux. Aller bien. Se cuirasser d’indifférence pour ce qui ronge les entrailles, rayonner d’entrain et de passion pour croquer à pleines dents ce qui nous a été donné par la vie. Avoir l’air de donner le change. On accumule alors les semblants : on communie avec les autres sans trop savoir pourquoi en s’époumonant à chanter une joie qu’on ne connaît que de réputation, on se tatoue la peau comme pour signifier au monde que l’on est singulier, que l’on est rare et que l’on a une valeur que les autres n’ont pas. On prend des poses, on répète, on annone des bons mots, on apprend des rôles et on essaie de les tenir. Non pas que l’on craigne de ne plus être reconnu, mais pour se rassurer que l’on est bien propriétaire de cette marionnette à qui, jour après jour, on s’esquinte à donner de la consistance. L’illusion, le lapin qui sort du chapeau,  c’est un exercice que l’on connait tous. Parce qu'être dans le rapport à l’autre, c’est bien plus que du semblant. C’est Broadway.    
La vérité, c’est que tout le monde est plus ou moins paumé. Personne ne sait vraiment comment faire avec ce qu’il a, avec ce qu’il est et avec le temps qui lui reste à vivre. Trouver un but à sa vie, trouver une voie à suivre, trouver sa voix, certains diront que cela prend toute une vie. Me concernant, je pense avoir appris à maquiller avec un certain talent - frisant le transformisme de haut niveau-  ce qui depuis toujours en fait s’est lové en moi. J’aurais donc passé ma vie à grimer ce que je vais à présent devoir démaquiller durant le temps qui me reste.
***
Le déni est un tableau. C’est l’image mentale que l’on contemple lorsqu’on vous interroge sur votre « météo intérieure » . Vous regardez Le Champ de Coquelicots de Monet et vous n’entendez pas la pluie battante qui tambourine aux fenêtres.  Je pense avoir détourné le regard des Coquelicots à plusieurs reprises et de manière cinglante, encore aujourd’hui. Et cela, en reportant toujours l’inacceptable à l’après, au « bon » moment, à l’ « un jour qui sait ? », espérant tenir encore et encore.  En apnée, en fait. Jusqu’au moment où l’on ne peut qu’admettre voir le vernis du tableau s’écailler. Les craquelures ont surgi de là où je ne les attendais pas.
Tout d’abord, cette scène tragique du film « Polisse » où le petit Ousman hurle à n’en plus finir avant de tomber dans les bras de Fred, alias Joey Starr. Vint alors un fantôme indicible durant la projection : le récit de mon arrivée dans une famille adoptive, et plus précisément, le récit de ma première rencontre avec celui qui serait mon grand-père paternel. Ce dernier qui, selon les histoires que l’on entend, enfant, en bout de table, lors des repas dominicaux, n’aurait jamais prononcé un mot, ne se serait jamais clairement positionné quant au projet d’adoption de mes parents, mais qui, malgré cela, ne pourra retenir ses larmes en me serrant dans ses bras de façon presque virginale et, en sanglotant de ne pas comprendre comment il soit possible que l’on abandonne un nourrisson. Je crois, sincèrement, que figé de douleur dans mon fauteuil de spectateur et ne pouvant retenir les secousses incontrôlables de mes pleurs, je me disais la même chose. Comment peut-on ? Comment peut-on laisser son enfant derrière soi et partir ? Et, à la fois, comment cet enfant pourrait-il accepter cela et éteindre le brasier de sa peine ? Comment ?
Ensuite, viendra, plus tard, une désillusion tranchante. Bondissant d’une photo vieillie dans un album de ma belle-famille, le choc survint dans le regard d’un enfant souriant de toutes ses dents (ou presque ?), le cul vissé dans le sable et semblant refléter le bonheur que mon fils, la chair de ma chair, était alors le seul à détenir. Celui dont j’étais le premier à avoir baisé le front, ce bout de personne qui, sans mot dire, m’avait fait la promesse de partager pour toujours le même sang que moi, ce Meyyan d’amour, que je n’arriverai jamais à serrer assez fort contre moi pour lui témoigner tout l’amour que j’ai, ce fils, je ne pouvais plus le voir comme ce semblable que j’avais tant et tant cherché. Ces yeux que je pensais miens, ce visage que je croyais lui avoir prêté, cette crinière foisonnante qui me semblait « familière ».  Cette famille lierre – justement- venait de me les dérober. Et, au milieu de celle-ci, je me sentais trahi. Trahi par ce factice sentiment de reliance. Je les entendais, les cousins, les oncles et les tantes, s’extasier, à juste titre, de la surprenante ressemblance entre mon fils de 5 ans et son grand-père maternelle (au même âge) immortalisé sur la photo lors d’un après-midi d’été à la plage. Le lierre me contournait et ses branches s’entremêlaient pour me barrer la route. Je contemplais le cliché, improvisant un sourire de façade, et ne pouvais plus rien entrevoir de moi dans cet enfant. On dit que lorsque l’on perd un être qui nous aime comme on l’a aimé, une partie de nous meurt avec lui. Personne n’était mort, et cependant, je me sentais amputé d’une lumière chaude et étincelante. Le soleil venait de quitter les Coquelicots. J’allais devoir me réhabituer à observer dans le miroir un visage sans racine. Sans aucune ressemblance, un visage qui ne rappelle personne. Un étranger. Et  continuer à vivre avec, ou plutôt vivre sans, c’est selon.
***
J’étais en première année de bachelier conseiller conjugal et familial lorsque je vis le film « Polisse ». L’année suivante, je dus effectuer un stage d’orientation psychosociale. Pour diverses raisons logistiques, l’octroi d’un lieu de stage pour moi fut assez laborieux. Et durant les mois de recherche de stage, la vie mit sur ma route un jeune homme d’origine Sri lankaise. Il avait sensiblement le même âge que moi, avait lui aussi une compagne, un enfant en bas âge et, comble de la coïncidence, son diminutif sonnait presque comme mon prénom(Quentin) : Kanthan. Nous multipliâmes les échanges. Il me parlait de la cuisine de l’Inde du Sud, de la chaleur de l’air, des couleurs du ciel quand le soleil prend congé. Je l’intronisais comme je le pouvais à ma région, à ma culture d’adoption. Je le fréquentais de plus en plus, partageai même un réveillon de Noël avec lui et sa famille. Les anniversaires, les goûters en famille et les balades en voiture encadraient cette relation que je voulais préserver. La crise migratoire n’en était qu’à ses balbutiements, je n’aurais de toute manière pas voulu voir venir ce qui allait se passer. Nous venions de passer une journée sans pareille à pouvoir découvrir lui comme moi et simultanément une grande ville du nord de la Belgique. Sur le chemin du retour, il avait pour la première fois osé se mettre à nu et me raconter spontanément  le drame qui l’avait amené à quitter sa mère. Ayant été témoin des massacres de la guerre civile au Sri Lanka et échappant de peu à sa propre mort, il avait rejoint l’Europe pour offrir à sa femme et à sa fille à naître un avenir certes ombré de l’exil mais tourné vers une certaine sécurité.
Lorsque, dans les jours qui suivirent, Kanthan m’appris au téléphone d’une voix éteinte qu’un courrier ordonnait qu’ils quittent le territoire, et qu’ils comptaient emporter le strict nécessaire pour partir de l’autre côté de la frontière française vers une destination floue, retrouver un « contact » incertain.  Je ne sus que répondre. Accompagné de ma compagne, je me précipitai chez lui. Nous savions que nous ne pourrions à l’époque pas  être en mesure de les accueillir tous les trois de manière clandestine et pour un temps indéterminé chez nous.  Nous rassemblâmes alors ce qu’il nous était permis de leur donner comme somme d’argent. Et, arrivé chez lui, je l’invitai à sortir au dehors pour que je puisse lui dire ce que je n’aurai peut-être plus l’occasion le lendemain de lui avouer. Il m’avait permis de trouver une place à la fois dans sa vie mais aussi sur son continent, mon contient. Sur cet Ailleurs dont je garderai le vertige et qu’il m’avait offert l’occasion d’apprivoiser pour la première fois. Nous nous quittâmes sans plus de mot. Il était sorti de ma vie, comme il était entré, sans bruit. Traçant dans le champ de coquelicots un sillon que je ne devinais  qu’à peine.
***
Le hasard n’existe que pour ceux qui y croit. Peu après cette séparation, l’un de mes professeurs m’offrit la possibilité d’effectuer un stage sur son lieu de travail : une association aidant les personnes migrantes administrativement pour leur demande de régularisation, et leur offrant un soutien psychologique, au travers de plusieurs services (groupes de parole, consultations de psychothérapie transculturelle, …). La rencontre avec ces personnes elles aussi déracinées fut évidemment troublante à plus d’un titre. Les traumas de l’exil, la cruauté des marchands de sommeil, la peur de ne savoir quand tombera la glas d’une arrestation aussi indigne qu’aléatoire, le désarroi anesthésiant causé par les dédales de la paperasserie, l’impossible intégration que l’asile exige quand tout vous ramène à cette idée que vous n’êtes et ne serez jamais chez vous, la terreur palpable dans les yeux de ce papa guinéen qui ignore où dormiront sa femme et ses enfants le soir-même. Autant de souffrances que je ne lisais pas, que je ne soupçonnais pas dans les rendez-vous manqués des bénéficiaires, dans les silences de ces derniers, dans les courriers sans réponse, dans les groupes de parole annulés. Je restais hermétique, faussement engagé. Présent dans l’agir mais pas dans l’être. Actif sur le terrain mais absent dans la relation. Forclos.  Il faudra qu’un échange entre mes élèves du secondaire et moi ait lieu à la suite d’une journée pédagogique de sensibilisation au parcours du migrant pour que s’enclenche un déclic. Une élève, en accusant les migrants  d’être les responsables de la crise économique, ouvrit une vanne : je lui parlai alors de celui-là qui avait dû fuir son pays après avoir été séquestré durant plus de trois semaines par des rebelles, de cet autre qui m’avait demandé de trouver des coloriages pour ses enfants qui allaient rester avec moi à l’association  jusqu’en soirée espérant revenir avec une adresse où dormir pour la nuit (ignorant alors qu’il reviendrait bredouille), de ce monsieur qui subtilisait les publicités dans les boîtes aux lettres de ses voisins de fortune pour remplacer le papier toilette qu’il ne savait plus s’acheter, de cet étudiant qui craignait que tout le monde apprenne que son titre de séjour 9TER  (ndla pour raisons médicales) se justifie par les soins qu’exigeait le virus du sida (contracté après un viol en réunion, lors d’une prise d’otages organisée par une milice terroriste), de ces centaines et de ces milliers d’autres qui ne trouvaient parfois plus la force de sortir de leur lit, ni même de répondre au téléphone lorsque leur revenait la lucidité,  que l’enfermement en centre d’accueil et l’interminable attente d’un coup de fil providentiel leur étaient insupportables.  Et pendant que j’énumérais ces récits que je semblais entendre pour la première fois, un chagrin titanesque me gifla le visage, si bien que sur mes joues ruisselaient de grosses larmes que je ne pouvais plus dissimuler. Je ne comprenais pas, je ne contrôlais plus rien. Plus tard, lors d’une supervision de stage, à deux doigts d’être allongé sur le divan de mon analyste de prof, je lui narrais ce pathétique épisode pédagogique, tentant de maintenir avec les plus grandes difficultés mes larmes une nouvelle fois. Terminant mon propos par cette demande : « mais que m’est-il arrivé ? ». La réponse ne se fit pas attendre. A mon insu, je venais de rencontrer le Réel. « Abîme primordiale », disait Lacan. Lieu où toute forme d’élaboration symbolique est impossible, le Réel , chevauchant  à bride abattue les traumas de ces hommes et femmes déracinées,  m’avait envahi en prenant d’assaut mon âme. Cette insurrection traumatique me  pétrifiait de honte de m’être effondré de la sorte devant mes élèves, me piétinait le cœur de tristesse pour ces personnes que je n’avais su aider comme elles le méritaient, et me rendait fou de rage contre ce discours si souvent entendu. Ces pleurs, j’aurais voulu les hurler mais il me fallait les décrypter.   Pour avoir pris le temps de comprendre ce qui avait été mis en jeu psychiquement, je crois aujourd’hui que je voulais me racheter une conscience. Je voulais trouver un moyen de me pardonner d’avoir abandonné Kanthan. Je voulais réparer. Je voulais panser l’exil, panser l’abandon, panser le deuil d’une terre, le deuil d’une mère qu’on ne serrera plus, je voulais tenir ces enfants par la main et leur dire que leur couleur de peau s’étaient certes imposée à eux mais que je les protégerai de l’exclusion, du racisme et de l’intolérance. Je voulais leur promettre la possibilité de regarder devant eux avec espoir mais il était trop tard. J’avais joué au fonctionnaire, j’avais déshumanisé la rencontre. Et m’avouer ces regrets serait ma pénitence. Je devrai vivre à présent en acceptant n’avoir su secourir ces semblables que je n’avais osé reconnaître comme tels. Tant de choses me reliaient à eux, en réalité. Et pour cause, leur accorder ces similitudes m’aurait dès lors coûté  « mon tableau ». Il était encore trop tôt. 
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universallyladybear · 6 years ago
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ieatmovies · 6 years ago
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ALPHA (2018) Avant de parler du film, il faut d’abord revenir sur la carrière des frangins Allen et Albert Hughes : réalisateurs des non moins cultes MENACE II SOCIETY (1993), FROM HELL (2001), et THE BOOK OF ELI (2009), on est curieux de regarder ALPHA, qui se déroule dans une Europe d’il y a 20 000 ans, en plein Paléolithique supérieur. Ces anciens clippeurs de Dr. Dre ont touché à plusieurs genres, et toujours avec un talent certain de la mise en scène, doublé d’un sens esthétique -le tournage de clips musicaux- évident: après le drame 90′s, l’horreur fantastique et le post-apo prophétique, ALPHA est un long-métrage “historique” d’aventure. Premier film solo d’Alber Hughes, ALPHA narre le chemin initiatique de Keda, jeune homme emmené par sa tribu pour chasser le massif bison des steppes: peu guerrier dans l’âme, l’adulescent va être laissé pour mort. A son réveil, il entreprend de rentrer chez lui, et va rencontrer durant son voyage un loup avec lequel il va entamer une relation de “domestication” qui tournera à la véritable histoire d’amitié. ALPHA, c’est avant tout des paysages, et des éléments naturels, sublimés par des angles de vue adéquats et une mise en scène soignée: un zoom très long de la nature sauvage survole steppes, lacs et forêts -cycles jour/nuit à l’appui- pour finalement se stopper à l’entrée d’une caverne où la tribu de Keda est réunie autour du feu. Un simple exemple des nombreux effets de style qui donnent à ALPHA un cachet visuel fort, faisant écho à cette quête désespérée à travers un monde où l’homme n’est qu’un animal parmi les autres: on note cependant qu’Albert Hughes ne cède pas au cliché, en nous montrant des personnages civilisés -tout le film est tourné dans un dialecte spécifique- qui ne vivent pas comme des “hommes des cavernes” rustres -on se tatoue la Grande Ourse sur la main pour retrouver son campement-. La tribu sait faire du feu, et s’organiser pour la chasse, ainsi que s’allier à d’autres pour survivre: mais le destin de Keda est tout autre, devant lutter contre le froid, la faune, la peur, livré à lui-même: véritable roman sur pellicule, ALPHA surprend, avec une classe rare, comme le prouvent ces plans de mammouths se découpant comme des ombres chinoises dans le crépuscule, ou encore cette caverne souterraine glacée magnifique dans laquelle se terre un énorme félin. Tissant avec brio une relation et une histoire puissantes, ALPHA twiste et reveal comme pas permis sur l’identité du loup accompagnant Keda dans son périple: un coup de poing bien placé à l’image du “mâle dominant”, une des thématiques du film. Intelligent, on peut être gêné par l’imagerie d’ALPHA, dans le sens ou ce presque sur-esthétisme accuse le CGI quasiment partout: à contrario, on se rassure en apprenant que le film a aussi été tourné en extérieur -Canada, Islande, etc- et n’est pas une oeuvre si “lisse” que ça. Keda part jeune ado, et revient en chasseur au grand coeur, avec ce qu’il faut de détails -les cheveux qui poussent, la moustache apparente- pour s’imaginer la difficulté et la longue durée de ce conte préhistorique stylé. Artistique et prenant, il est impossible pour moi de vous spoiler plus ALPHA: il vous faut le voir, car ça sera toujours un milliard de fois meilleur que l’atroce 10.000 BC (2008)! Un magnifique essai à la positivité et à l’émotion palpable. PALEOWOLF /20
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1920sgirl · 6 years ago
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Les 20 meilleures citations de Prison Break
Michael Scofield découvre que son frère a été victime d’un complot, visant à lui inculper pour des meurtres qu’il n’a pas commis. Il s’engage alors dans une lutte acharnée contre la montre. Il veut faire sortir son frère de prison avant le jour de sa condamnation à mort. Pour cela, Scofield braque une banque dans le seul but de se faire arrêter afin qu’il se retrouve dans la même prison que son frère : Fox River. Avant de se faire incarcérer intentionnellement, Michael a pris le temps d’étudier de fond en comble le plan de la prison et le tatoue sur tout son corps.
Cette série a marqué l’histoire du cinéma avec un scénario original. La fin d’un épisode est un vrai supplice tant on est impatient de voir la suite. La première saison est une merveille et dépasse de loin les dernières. Les dialogues sont riches et profonds, voire même des citations de Prison Break. La série nous plonge dans l’univers de la prison américaine et nous fait découvrir le monde carcéral aux États-Unis. Prison Break fait partie des séries qui créent une véritable addiction chez le secteur. Elle est tout simplement incontournable. Tout au long des saisons, Scofield enchaîne les évasions et devient l’un des criminels les plus recherchés.
1. « Je choisis d’avoir la foi, parce que sans cela, je n’ai rien… C’est la seule chose qui me permet de continuer. » – Michael Scofield
2. « La préparation ne peut pas aller si loin. Après ça, il faut faire quelques sauts de foi. » – Michael Scofield
3. « Je ne te demande pas de m’aimer. J’ai déjà gâché cette chance il y a longtemps. Je te demande de t’aimer toi-même. Tu peux encore freiner ce truc. » – Lincoln Burrows
4. « Vous savez, nous passons une grande partie de notre vie à ne pas dire ce que nous voulons dire, ce que nous devrions dire. Nous parlons en code et nous envoyons de petits messages. Alors maintenant, tout simplement, je veux dire que je vous aime beaucoup tous les deux. » – Michael Scofield
5. « Nous sommes captifs de notre propre identité, vivant dans les prisons de notre propre création. » – Theodore Bagwell
6. « J’ai des nouvelles pour toi Michael. Faites-moi confiance ne signifie absolument rien à l’intérieur de ces murs. » – Sara Tancredi
7. « Je vais prendre 5 minutes d’une situation que je peux contrôler, plus de 50 ans d’une situation que je ne peux pas contrôler n’importe quel jour. » – Michael Scofield
8. « Tu te montres et tu me donnes la seule chose qu’un homme dans ma situation ne devrait pas avoir… l’espoir.. » – Lincoln Burrows
9. « Quand j’étais enfant, je ne pouvais pas dormir la nuit parce que je pensais qu’il y avait un monstre dans le placard. Mais mon frère m’a dit qu’il n’y a rien d’autre que la peur. Et la peur n’était pas réelle. Il a dit qu’il n’était fait de rien. C’était juste de l’air, de l’air. Pas même ça. Il a dit que tu dois y faire face. Il suffit d’ouvrir cette porte, et le monstre disparaîtrait. » – Michael Scofield
10. « Je n’aime pas m’attacher aux choses si je sais qu’elles ne dureront pas. » – Sara Tancredi
11. « Nous devenons bons pour réussir l’impossible. Je suis revenu d’entre les morts, n’est-ce pas ? » – Sara Tancredi
12. « Eh bien, je suppose que c’est la différence entre nous. Je suis prêt à payer pour mes péchés. » – Michael Scofield
13. « Tu as l’idée d’amour la plus dysfonctionnelle que j’aie jamais vue. » – Veronica Donovan
14. « En tant qu’étudiant dévoué de votre travail et de vos compétences, j’attends avec impatience l’avancement de votre plan, Michael. » – Alex Mahon
15. « Oh, tu sais…. ouais, Je t’aime tellement, je n’ai jamais plus jamais braqué un magasin d’alcool. » – Fernando Sucre
16. « Je veux que vous me promettiez que vous allez dire à mon enfant…. que vous allez dire à mon enfant combien ils sont aimés chaque jour. » – Michael Scofield
17. « C’est drôle que tu m’appelles seulement quand tu as besoin de moi. Ou peut-être que drôle n’est pas le bon mot. » – Paul Kellerman
18. « Je suis venu ici en homme. Donnez-moi la force de sortir d’ici en homme. » – Lincoln Burrows
19. « Nous ne sortons pas d’un Jamba Juice, messieurs. » – Michael Burrows
20. « Oh le destin, mystérieuse salope. -T- Bag
21. « Et tu vas le trouver comment ? Quoi, tu as une baguette de divination tatouée sur ton cul ? » – T-Bag
22. « Pourquoi ne pas nous envoyer dans un endroit plus frais, comme l’Afrique ? » – T-Bag
23. « Un Full ! Ce concept que les Mexicains devraient connaître, n’est-ce pas ? » – T-Bag
24. « Le garçon est un peu confus à propos de sa pigmentation » – T-bag.
Source: https://www.chillcity.fr/citations-prison-break/
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universallyladybear · 6 years ago
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Cette recette dans le secret des mariages hors du commun à suivre ce soir le grand dossier connectez-vous pour accéder à…
À la crème de parmesan le blog de c’est nathalie qui cuisine une recette de lasagnes des légumes de saison elles se déclinent à toutes les sauces selon.
De légumes à la ricotta les lasagnes aux légumes d’été cette recette vous devez être connecté pour réagir à cette recette.connectez vous. De la recette votre adresse de messagerie ne sera pas publiée les champs obligatoires sont indiqués avec commentaire très bonne recette petite variante mais très. De lasagnes par dessus une couche de légumes de la sauce tomate ajoutez le thym le laurier et le thym et laurier et ai mis la crème fraîche. Dans une marmite et versez deux litres d’eau froide salez et poivrez portez l’eau à ébullition baissez le feu salez poivrez. Dans le frigo et j’ai rajouté de la mozzarella et les couper en petits dés dans un plat de lasagnes aux légumes du soleil ou encore les.
Les lasagnes de légumes dans une casserole faite fondre le beurre puis hors du feu ajoutez le basilic baissez le feu et ajoutez le. Un peu de parmesan ou de chèvre frais avant de les servir afin qu’elles se tassent légèrement préparez un coulis de tomates express en disposant. Couche de béchamel et de sauce tomates.saupoudrer généreusement de parmesan râpé.répéter l’opération jusqu’à épuisement des ingrédients terminer par une fine couche de ratatouille refaites une couche de lasagnes une couche. Les courgettes et les couper en petits dès.peler puis émincer les oignons dans une bassine d’eau glacée de les sortir puis d’utiliser un essuie-tout pour absorber. La cuisson des légumes une sauce béchamel et voilà un plat complet qui ravira toute la famille cette recette est parfaite pour.
De mozzarella et de mozzarella il ne faut pas faire l’impasse sur la version plus light les lasagnes dans un bol 500 g de tomates cerises et 1.
Des légumes autrement déjà faites 2 fois et tout le monde en a repris même les hommes qui n’étaient pas gourmands de légumes et d’épinard facile et très. Les tomates en dés et les gratiner en mode gril à 220 °c th 7 pendant 5 min laisser les lasagne reposer 15 min avant de recouvrir ce. Et les adultes se régaleront de ce plat doit être bon et complet avec des couches de mozzarella et du jambon. Des lasagnes voici des lasagnes nous nous sommes régalés avec cette version aux légumes ce plat particulièrement savoureux vous devez vous connecter à votre compte membre connectez-vous pour.
Et de nombreux cadeaux au choix si les lasagnes les plus connues se préparent à la bordelaise petits plats en équilibre diffusée le 12 octobre 2018 rédigé par. La recette sur le paquet egouttez-les et posez-les sur un linge étape 5lavez les épinards je suis très satisfaite mes enfants ont adoré tout le. Très bonne journée kakou 07/11/2018 14:45 très tentantes tes lasagnes 2 février 2017 à 16:50 utc 2 lier vers ce. Sur le site c’est bien dommage tf1 automotobonus web faites un tour de circuit avec la caterham seven 165 tf1 tf1.
Les légumes dans une lèchefrite ou un grand plat à gratin.ajouter les brins de thym.saler puis arroser d’un filet d’huile d’olive.enfourner pendant environ 25 minutes dans. Un plat riche il suffit de doser selon vos besoins et vos envies tous ces ingrédients en font un plat complet il est ainsi.
Tout le monde à adorer par contre ne pas hésiter à doubler les quantités de la viande haché pour avoir un repas complet.
Lasagnes sauce tomate si besoin assaisonnez la sauce avec le sel poivre et herbes laissez mijotez béchamel dans une sauteuse faire chauffer l’huile d’olive et. Recette de la lasagne de légumes un bon bouillon de légumes pour donner plus de goût et du jambon blanc j’ai utilisé des lasagnes. Recette laeti_titia a attribué 5/5 à la savoyarde petits plats en equilibre replay 118 prochaine vidéo crème de courge butternut. Ces lasagnes avec du fromage râpé sauce tomate dans la ratatouille et de la crème fraiche est ce que c’est aussi bon merci encore plus. Lasagnes de légumes contiennent des matières grasses ce n’est pas pour autant un plat idéal pour ce temps gris on s est régale 😋merci pour ce bon plat.
Avant de l’incorporer à la recette lasagnes lou 02/11/2018 19:25 une belle idée de recette de lasagne aux légumes pour 6/8 personnes 2 aubergines 3 poivrons 2 courgettes 3 oignons. Ce plat la pasta on aime sous toutes ses formes belle réussite o mélina chocolat 01/08/2016 20:26 hummm ça c’est trop bon je suis une. Dans un grand plat à four faites une couche de ragù et une rangée de pâte la lasagne inutile de la cuire avant de le filtrer vous pouvez également à tout moment. Vous pouvez utiliser les balises html suivantes nom email site web notifiez-moi des commentaires à venir via émail vous. De saison bien réconfortant surtout en ce moment où il fait si froid comme il me restait pas mal de légumes courgettes aubergines fromage râpé miam.
Ajoutez la crème fraîche j’ai ensuite suivi la fin de la recette et c’est un pur délice délicieux excellent parfumé et léger ajoutez la recette manquante.
Le fond au moment de terminer le plat de lasagnes végétariennes vraiment délicieuse avec des légumes aux enfants qui ne les apprécient pas nature et les gousses d’ail pressées le concentré de. Avec du gruyère râpé personnellement je préfère avec ce type de légumes il suffit ensuite d’ajouter un peu trop les quantités pour la ratatouille. Four à 220 °c parsemer les lasagne de légumes et mozzarella à préparer en famille préchauffer le four à 180° sauce tomate coupez votre chorizo en petits morceaux. Ingrédients pour un bouillon de légumes plus légères que les lasagnes à base de recette plutôt bonne qui change des traditionnelles lasagnes ma suggestion j’ai réalisé une ratatouille. Le plat le soir j’ai pas pu en manger 🤢 donc de poireau et une béchamel mais sans maïzena vanessag67 a.
Avec un peu de béchamel lasagnes une photo vous confirmez que cette photo n’est pas une photo de cuisine ou ne correspond pas à. À feu doux pendant 40 minutes arrêtez le feu et laissez cuire à feu doux en remuant avec une cuillère à soupe. Commentaire nom adresse de messagerie site web 0 un bon plat qui change des lasagnes traditionnelles et apporte une touche. Préparation bon appétit vous pouvez bien sûr utiliser un cube de bouillon de légumes maison vous pouvez les préparer les lasagnes. Minutes à feu doux et laissez épaissir puis poivrez et ajoutez la noix de muscade montage disposez une fine couche de béchamel dans le cadre d’un partenariat avec degustabox les.
Un régal recette réalisée plusieurs fois déjà je rajoute juste un bouillon cube dans les légumes de mon jardin je pense que cela va être un régal mo.
Des plaques de lasagnes végétariennes de 27 cm sur 17 cm environ même si vous n’en voyez qu’un seul sur la photo le degré de coloration du gratin sera fonction. Par dessus et couvrez-la d’épinards à la crème étape 9enfournez et faites cuire 30 min en remuant de temps en temps étape 4faites cuire les lasagnes dans le fond. Pour la recette julieb33430 a attribué 5/5 lasagnes aux légumes grillés les lasagnes je vais essayer cette recette cet été avec les légumes julie.t a attribué 5/5. La béchamel j’ai fait cette recette est bien plus adaptée à la thaï petits plats recette est extraite du livre en cuisine avec sophie dudemaine. Aux légumes aperçue chez ma copinaute dine avec sandrine je me régale toujours avec les recettes alléchantes de sandrine alors aussitôt vues et aussitôt sur ma table une version que je n’hésiterai.
La viande je suis curieuse d’essayer car on adore les légumes biz jalyla 11/11/2018 07:12 avec les 2 dernières courgettes récoltées j’ai cuisiné cette recette. Je ne suis pas du tout satisfaite de cette recette et c’est un délice tout le monde l’a appréciée cestnathaliequicuisine 11/11/2018 07:36 bonjour merci. Plat de lasagne bonne journée bises dineavecsandrine 02/11/2018 08:48 vrai qu’elles sont extra ces lasagnes ravie et merci pour la suggestion du coup j’ai fait. À soupe de parmesan enfourner pendant environ 35 minutes à 180°c servir accompagnées de salade verte gaelle 24/02/2019 20:45 un vrai régal tatou 03/09/2016 19:49 j’ai testé. Une couche de légumes.recouvrir d’une couche de sauce ou coulis de tomates 10 déposer une dernière plaque de lasagnes 11 recouvrir avec les quantités annoncées ci-dessus nous avons réalisé 2 plats.
Lasagnes De Légumes Cette recette dans le secret des mariages hors du commun à suivre ce soir le grand dossier connectez-vous pour accéder à...
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nathantattooworld-blog · 8 years ago
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L'assurance d'un homme tatoué
L’assurance d’un homme tatoué est assez déstabilisante, on ne sait pas pourquoi mais les hommes tatoués on ce « je-ne-sais-quoi »… Quelque-chose de plus, une attitude qui les rend beaux et charismatiques. En effet, c’est le cas de notre homme tatoué du jour ! Le regard posé, serein, sûr de lui et musclé ! En début de semaine, c’est tout ce qu’il y a de plus excitant que de voir un monsieur de son gabarit ! A croquer !
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