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‘You are the real terrorists’: Belgian MP confronts Israeli ambassador
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Eva Kaili est en garde à vue selon les médias belges et l'AFP
Eva Kaili est en garde à vue selon les médias belges et l’AFP
DERNIÈRE MISE À JOUR : 10/12/2022 – 00:01 Lors de l’enquête sur la corruption de députés européens d’un État du Golfe, l’un des 14 vice-présidents du Parlement européen a été arrêté pour interrogatoire, note l’agence de presse belge. C’est ce que rapportent le magazine Knack et le journal Le Soir et que confirme le parquet fédéral. Selon les deux médias, il s’agit de l’eurodéputée grecque Eva…
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Ce Député belge DÉMOLIT l'ambassadrice d'Israël en direct
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🔴 Gaza : Un Député Belge Frappe Fort Contre Israël en Direct !
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Ce Député belge DÉMOLIT l'ambassadrice d'Israël en direct
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Le cri de Raoul Hedebouw ! Israël : pourquoi un tel silence face à l'impunité ?
Raoul Hedebouw, président du Parti du Travail de Belgique (PTB) et député à la Chambre, interpelle fermement les autorités belges et européennes sur l’absence de sanctions à l’encontre d’Israël, malgré les crimes commis contre les Palestiniens et les Libanais. Cette intervention suscite une profonde réflexion sur l’injustice et l’indifférence internationale qui entoure le conflit…
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Hugo Victor - Histoire d'un crime (tome 2)
Hugo Victor - Histoire d'un crime (tome 2), Cahier complémentaire et lien vers Napoléon le petit : Le premier volume d’Histoire d’un crime était consacré aux deux premières journées du coup d’État de Louis-Napoléon (1 et 2 décembre 1851). Hugo y racontait Paris assiégé, la constitution bafouée, les députés de la gauche menés en prison, la résistance organisée dans l’urgence. Le second volume, plus poignant encore, témoigne des terribles journées des 3, 4 et 5 décembre qui consomment la défaite de la gauche et cimentent la prise de pouvoir du futur Napoléon III. Hugo, traqué par la police, est constamment obligé de changer d’asile, au péril de sa vie. Comme ses compagnons de lutte, il ne dort que quelques heures, mange à peine et ne peut rentrer chez lui, au risque d’être appréhendé. Mais jamais sa détermination ni son courage ne vacilleront, même lorsque le bruit court que sa tête est mise à prix. Porté par sa mission sacrée de représentant du peuple et aiguillonné par l’urgence d’une situation qui se détériore d’heure en heure, il sillonne de long en large un Paris préhaussmannien qui prend sous sa plume des allures d’inquiétant labyrinthe. Passant de barricades en réunions clandestines, il rédige des communiqués, signe des proclamations, engage les soldats à ne pas user de leurs armes contre leurs frères et exhorte le peuple à se soulever (Laurent 241 & ss.). En vain. Les faubourgs populaires, durement réprimés en juin 1848, ne font plus confiance à la gauche ; ils tergiversent ou refusent tout bonnement de se joindre à l’insurrection. La fusillade effroyable du 4 décembre, décrite comme une hallucinante descente en enfer, tue toute velléité de révolte et scelle la victoire de l’autoritarisme. Le 11 décembre 1851, devant son arrestation imminente, le poète, déguisé en ouvrier et muni d’un faux passeport, prend le train pour Bruxelles. Il y entamera un exil de 19 ans qui le mènera à Jersey puis à Guernesey et ne s’achèvera qu’en 1870. Dès son arrivée dans la capitale belge, Hugo se jette à corps perdu dans la rédaction de ce qu’il appelle encore son Histoire du Deux-Décembre, mais il réalise vite qu’il a besoin d’autres témoignages que le sien pour mener à bien son projet. En été 1852, il écarte provisoirement l’œuvre en chantier pour rédiger d’un jet un pamphlet incendiaire contre Louis-Napoléon. Intitulé Napoléon-le-Petit, ce coup de gueule contre celui qu’il accuse d’être un criminel sanguinaire et un traitre à la patrie est une façon pour Hugo de rappeler à « l’usurpateur » que sa plume demeure une arme redoutable. Redoutable et ô combien fertile ! puisque l’exil décuplera son inspiration et mènera Hugo à l’apogée de son art, comme en témoignent Les Châtiments (1853), Les Contemplations (1856) et Les Misérables (1864). Histoire d’un crime ne sera toutefois parachevée que très lentement, par des ajouts progressifs qui s’appuient sur des documents bouleversants que Hugo reçoit en exil de ses anciens compagnons de lutte et que l’on pourra lire dans les très riches annexes de ce deuxième volume. Cette gestation de longue haleine est aussi une stratégie éditoriale, car le poète attend le moment propice pour publier son livre. En juin 1877, l’imminence d’un nouveau coup d’État ourdi par le président Mac-Mahon contre la Troisième République lui en offre l’occasion. Le premier tome d’Histoire d’un crime paraît le 1er octobre 1877 ; le second sort le 15 mars 1878, complétant un témoignage sur des événements qui remontent à plus de vingt-cinq ans, mais qui ont désormais valeur de prophétie. Le succès de l’ouvrage fut retentissant. « La critique salua avec une chaleureuse reconnaissance l’apparition de l’Histoire d’un crime ; elle n���admira pas seulement la merveilleuse ordonnance du récit, la peinture si lumineuse des faits, la vigueur et la sobriété du style ; elle loua Victor Hugo d’avoir rendu un nouveau service à la démocratie à l’heure où les libertés publiques étaient menacées par un retour offensif du pouvoir personnel. C’est un hommage unanime et éclatant rendu à celui qui se donna modestement comme un témoin, qui fut en réalité un des instigateurs les plus énergiques de la résistance et plus tard un juge. » (Notes éditoriales, vol. II.) Téléchargements (Histoire d’un crime, tome 2) : ePUB - PDF - HTML - DOC/ODT (Téléchargements de Napoléon le petit, édition Ebooks libres et gratuits et, pour l'ePub, édition Bibliothèque numérique romande sur la base de la numérisation des ELG : ePUB - PDF - DOC/ODT ) Read the full article
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Le chant des sirènes de la N-VA
D’apparence, la situation politique en Belgique s’est stabilisée. Mais que les francophones candidats au pouvoir n’oublient pas que le candidat au poste de Premier ministre, Bart De Wever, souhaite une Belgique réduite comme peau de chagrin !
Ainsi donc, la Belgique, celle dont on parlait partout dans le monde pour sa crise de 541 jours, serait devenue un modèle de stabilité politique. Les électrices et électeurs se sont prononcés, au nord et au sud, et ont mis fin au morcellement politique qui nous a tant compliqué la vie. Les Flamands ont voté N-VA plutôt que Vlaams Belang, les Wallons MR et Engagés. Les Bruxellois ont un peu brouillé les cartes en votant pour un peu tout le monde, mais ça va s'arranger, n'est-ce pas ?
Dans son discours du 21 juillet, au lieu de jouer les arbitres d'un Clasico fatigant entre francophones et Flamands, le Roi n'a pu que constater, au grand dam des perdants, les convergences entre les partis, les Régions, une « opportunité à saisir ». Au fédéral, on cherche à marier cinq partis seulement, et non plus six ou sept. En Wallonie, il n'y en a plus que deux, et les gouvernements sont déjà formés.
Dans l'interview qu'il nous accorde, Theo Francken, oui oui, Theo Francken, est tout miel tout sucre, les droits des francophones seront respectés, les traités internationaux aussi, ayez confiance. Il dit aussi qu'il y a toujours deux démocraties, mais un peu moins qu'avant, puisque les Wallons ont voté à droite. De l'autre côté de Quiévrain, la France, ce modèle de stabilité avec son régime majoritaire tant loué ici quand nous étions dans la mouise, se débat dans une crise institutionnelle qui n'a rien à envier à nos pugilats passés. Chez nous ça va, merci. Partons en vacances, le pays est en de bonnes mains.
Vraiment ? Rappelons quand même, si l'on peut se permettre, quelques fondamentaux.
Bart De Wever, qui brigue le poste de Premier ministre, est le président d'un parti dont les statuts (inchangés) prévoient l'indépendance de la «République de Flandre, Etat membre de l'Union européenne démocratique ». Le « sherpa » du formateur sur les questions communautaires en vue de la formation du gouvernement fédéral, Sander Loones, rappelait ses visées juste avant les élections : un Etat confédéral s'occupant de la Défense, de la grande criminalité et de la liquidation progressive de la dette, et c'est à peu près tout. Avec un Parlement composé de 50 députés régionaux, sans élections fédérales et Bruxelles sous tutelle. Et les premières fuites des notes remises par Bart De Wever à ses « partenaires gouvernementaux » contiennent déjà leur lot de transferts larvés de compétences fédérales vers la Flandre et des mesures, en matière sociale et migratoire notamment, qu'aucun parti francophone n'a jamais défendues.
Espérons que l'image idyllique vendue depuis le 9 juin de partis politiques pacifiés, responsables et soucieux de trouver des compromis astucieux dans l'intérêt de tous les citoyens et citoyennes de ce pays deviendra réalité. Mais on ne saurait trop conseiller au MR - Mouvement Réformateur et aux Les Engagés - Mouvement participatif de pratiquer le doute méthodique. De ne pas laisser l'appétit de pouvoir prendre le pas sur les droits et les valeurs fondamentales des francophones. De garder une capacité à dire non. Et, dans leur volonté « de mettre fin à l'Etat PS », de garder quand même un oeil sur l'Etat belge...
Bernard Demonty dans Le Soir du 27-07-2024
« La question n’est plus de savoir si le MR - Mouvement Réformateur et Les Engagés - Mouvement participatif vont vendre les #francophones, mais à quel prix ». « Face à une N-VA préparée, habile, et qui voudra détruire l’Etat fédéral de l’intérieur, ils sont comme des oisillons pour le chat, ou plutôt pour le lion. » François De Smet Dans Le Soir du 12/08/2024
-- Un confédéralisme caché...
Depuis de longues années, nous assistons à un lent détricotage de l'Etat fédéral. Les compétences de l'Etat fédéral sont réduites à néant. Celui-ci sera bientôt une coquille vide.
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Une affaire de principe réalisé par Antoine Raimbault, coécrit avec Marc Syrigas, avec Bouli Lanners, Thomas VDB, Céleste Brunnquell - musique Grégoire Auger 😍
Riche idée que de faire un film de cette affaire Dalli en 2012 que le député écologiste José Bové et son assistant parlementaire ont déclenchée. A l’heure où nous allons devoir élire nos députés européens, elle montre combien le contrôle de la Commission et de l’OLAF par le Parlement européen est essentiel, tant y sont grandes l’influence des lobbys et la propension de leurs dirigeants à s’affranchir des règles de contrôle démocratique.
Le meilleur exemple actuel étant donné par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, candidate à sa reconduction, qui refuse obstinément de rendre des comptes sur le marché qu’elle a passé avec Pfizer pour les vaccins contre le Covid-19. Pour la première fois en avril, le quotidien Le Monde faisait allusion à ce « Pfizergate » dans un article portant sur les embûches à sa réélection, mot qui n’apparaît toutefois ni dans le titre, ni dans le sous-titre, ni en intertitre.
Avec environ 730 journalistes accrédités (correspondants de l'UE), basés en permanence dans la capitale belge, on serait en droit d’en entendre beaucoup plus parler, puisque les médias sont le 4e pouvoir, n’est-ce pas ?
#cinéma#antoine raimbault#Marc Syrigas#avec Bouli Lanners#thomas vdb#céleste brunnquell#affaire dalli#pfizergate#commission européenne#olaf#ursula von der leyen#José Manuel Barroso#giovanni kessler#michel petite#grégoire auger
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“LE MASSACRE DES PALESTINIENS NE SERAIT PAS POSSIBLE SANS LA COMPLICITÉ ...
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Rétrospective 2023: ce qui a fait l’actu cette année ? Notre résumé en vidéo. A l'aube de 2024, Kafunel.com jette un coup d'œil dans le rétroviseur pour retracer les grandes actualités qui ont marqué l'année 2023. Tu peux découvrir notre rétrospective 2023 en vidéo ci-dessous de l'article. Et toi, qu'est-ce qui t'a marqué dans cette année 2023 ? Rétrospective 2023 : ce qui a fait l’actu cette année ? Notre résumé en vidéo Rétrospectives: ce qui a marqué janvier 2023 Le 8 janvier, Brasilia, la capitale du Brésil, est plongée dans le chaos, après l’invasion du palais présidentiel, de la Cour suprême et du Congrès par des partisans de l’ex-président d’extrême droite Jair Bolsonaro. Le 10 janvier, le cinéaste américain Steven Spielberg reçoit le Golden Globe du meilleur réalisateur pour son très intime « The Fabelmans », qui remporte également le prix du meilleur film dramatique. Le 25 janvier, Simon Mignolet, le gardien du FC Bruges, remporte le Soulier d’Or pour la première fois de sa carrière. Le Diable rouge devance Casper Nielsen et Mike Trésor. Les Red Lions sont battus par les Allemands en finale de Coupe de monde de Hockey, qu’ils terminent donc avec une médaille d’argent, le 29 janvier. Rétrospectives 2023 sur Kafunel : ce qui a marqué février 2023 Rétrospectives ce qui a marqué janvier 2023 Deux violents séismes frappent le sud-est de la Turquie et la Syrie, le 6 février, faisant plusieurs dizaines de milliers de victimes et d’importants dégâts. Le 24 février, deux Belges sont mis à l’honneur lors de la 48e cérémonie des César, la grande soirée du cinéma français. Virginie Efira est sacrée meilleure actrice et Bouli Lanners, meilleur second rôle. Rétrospectives: ce qui a marqué mars 2023 Rétrospectives ce qui a marqué février 2023 séisme Nafissatou Thiam conserve son titre de championne d’Europe d’athlétisme en salle, le 3 mars. Et elle en profite pour battre, au passage, le record du monde. Deux jours plus tard, le 5 mars, c’était au tour des Belgian Tornados de décrocher l’or en finale du relais 4X400m. Le 17 mars, la Cour pénale internationale émet un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine pour sa responsabilité dans des crimes de guerre perpétrés en Ukraine depuis l’invasion russe. Rétrospectives: ce qui a marqué avril 2023 Rétrospectives ce qui a marqué février 2023 Nafissatou Thiam Le 4 avril, la Finlande devient le 31e membre de l’OTAN, l’alliance internationale militaire et politique dont la Belgique fait partie, et dont l’expansion déplait à la Russie. Le 14 avril, la sonde spatiale européenne Juice décolle à destination de Jupiter et de ses lunes glacées pour y chercher des environnements propices à des formes de vie extra-terrestre. Quelques jours plus tard, le 20 avril, la fusée Starship, développée par SpaceX, explose en vol peu après son décollage. La rétro de année 2023 en images →A lire aussi Moussa Dadis Camara retrouvé, deux versions avancées par ses proches Le 14 avril, toujours, malgré les manifestations, l’âge légal de départ à la retraite est reculé à 64 ans en France. Depuis le 27 avril, le covid19 est considéré comme une infection respiratoire presque comme les autres. Les médecins généralistes sont invités à l’aborder comme une grippe et la période d’isolement est levée. Rétrospectives: ce qui a marqué mai 2023 âge légal de départ à la retraite est reculé à 64 ans en France Le Belge Luca Brecel devient le nouveau champion du monde de snooker le 1er mai. Le roi Charles III est couronné, le 6 mai, huit mois après le décès de sa mère, la reine Elizabeth II. Le 22 mai, l’ancien député-bourgmestre de Neufchâteau, Dimitri Fourny, est condamné à 12 mois de prison avec sursis et 10 ans d’inéligibilité dans l’affaire des fausses procurations. Après 455 jours de détention en Iran et une condamnation à 40 ans de prison pour espionnage, l’humanitaire Olivier Vandecasteel est libéré le 26 mai. Le même jour, après 115 jours passés dans le centre fermé de Holsbeek,
Divine N’Sunda est libérée et peut retrouver la Petite École de Gentinnes où elle travaillait depuis 12 ans avant de voir sa demande d’asile refusée. Rétrospectives: ce qui a marqué juin 2023 Le baryton sud-coréen Taehan Kim remporte le concours musical Reine Elisabeth dédié au chant, le 3 juin. Le 4 juin, au bout de 14 semaines de concours, c’est Hugo qui remporte le concours culinaire Top Chef. Le même jour, le club de l’Antwerp remporte le championnat de Belgique grâce à un but de Toby Adlerweireld à la 94e minute du dernier match de la saison. Le 9 juin, quatre enfants, âgés de 1 à 13 ans, sont retrouvés sains et saufs après avoir passé quarante jours dans la jungle colombienne, suite à un crash d’avion. Un véritable miracle. Le 12 juin, la Belgique est officiellement déclarée en vague de chaleur. L’été 2023 sera le plus chaud jamais enregistré. Un sous-marin du nom de Titan disparait des radars le 18 juin alors qu’il était parti pour explorer l’épave du Titanic, avec cinq personnes à son bord. Selon l’enquête, il aurait implosé. Les Belgian Cats remportent la finale de l’Euro de basket féminin le 25 juin. Rétrospectives: ce qui a marqué juillet 2023 9 juin, quatre enfants, âgés de 1 à 13 ans La Belge Kirsten Flipkens joue sa dernière balle en tant que joueuse de tennis professionnelle le 10 juillet lors du tournoi de Wimbledon où elle a été battue au 3e tour du double féminin. Le roi Philippe a célébré ses dix ans de règne lors de la Fête nationale le 21 juillet. La cycliste belge Lotte Kopecky s’est adjugé la deuxième place du Tour de France, remporté par la Néerlandaise Demi Vollering, le 30 juillet. Rétrospectives: ce qui a marqué août 2023 Les Belgian Cats remportent la finale de l’Euro de basket féminin le 25 juin. Le cycliste belge Remco Evenepoel remporte le titre de champion du monde de contre la montre en Écosse le 11 août. De son côté, Lotte Kopecky remporte trois titres pendant ces mêmes championnats. Elle est devenue championne du monde de la course en ligne, de l’élimination et de la course aux points. Une fusée indienne se pose avec succès sur le pôle sud de la Lune, un lieu méconnu, le 23 août. Un rover fonctionnant à l’énergie solaire a ensuite exploré la surface de la Lune pendant deux semaines. Le même jour, le Russe Evguéni Prigojine, chef du groupe paramilitaire Wagner, qui était à l’origine d’une rébellion avortée contre Vladimir Poutine décède dans le crash d’un avion privé. Sa mort pose beaucoup de questions. Rétrospectives: ce qui a marqué septembre 2023 cycliste belge Lotte Kopecky Le ministre de la Justice Vincent Quickenborne se présente à la Chambre des représentants, le 7 septembre, pour donner sa version des faits sur le « Pipigate ». Il assure qu’il ne savait pas que des invités à sa fête d’anniversaire avaient uriné sur un combi de la police au mois d’août. Le parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles adopte, le 7 septembre, le décret organisant les modalités des animations EVRAS (éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle). Une décision qui entraîne des actes de vandalisme dans plusieurs écoles. Le Maroc est frappé par un violent séisme qui provoque d’énormes dégâts, au sud-est de Marrakech, le 8 septembre. Plus de 3000 personnes sont décédées et plus de 5500 personnes ont été blessées. Michael Gambon, le Britannique de 82 ans, qui était mondialement connu pour avoir incarné le professeur Dumbledore dans la plupart des films « Harry Potter », décède le 28 septembre. Rétrospectives: ce qui a marqué octobre 2023 Russe Evguéni Prigojine, Le 6 octobre, le prix Nobel de la Paix 2023 est décerné à la militante iranienne Narges Mohammadi, emprisonnée en Iran après avoir pris part au soulèvement « Femme, Vie, Liberté ». Le 7 octobre, le Hamas lance des attaques d’une grande violence sur plusieurs villes et lieux de vie d’Israël. L’armée israélienne riposte. Entre les deux peuples, la guerre a repris. Le 10 octobre, l’ancien capitaine des Diables rouges
Eden Hazard annonce mettre officiellement un terme à sa carrière après 16 ans chez les professionnels. →A lire aussi Rétro 2023 Kafunel : une année économique et sociale difficile au Sénégal Le 16 octobre, un attentat est commis à Bruxelles, en marge d’un match de foot où la Suède affrontait la Belgique. Deux personnes sont mortes. L’auteur présumé de l’attentat, qui visait des Suédois, a été abattu. Rétrospectives: ce qui a marqué novembre 2023 Michael Gambon, le Britannique de 82 ans, Le 2 novembre, la Belgique est touchée par la tempête Ciarán. Les vents atteignent 125km/h à la Côte. On dénombre deux morts et plusieurs blessés. Une émission télé révèle une pollution de l’eau aux PFAS dans plusieurs communes du Hainaut connue des autorités mais tue au public. Lee Diables rouges finissent les qualifications pour l’Euro 2024 en beauté. Romelu Lukaku a marqué quatre des cinq buts belges dans le dernier match des qualifications, le 19 novembre. Les Diables joueront dans le groupe E avec la Slovaquie, la Roumanie, et un barragiste parmi Israël, l’Islande, l’Ukraine ou la Bosnie-Herzégovine. La Belgique débutera son tournoi face à la Slovaquie le 17 juin à Francfort. Quatre jours de trêve sont décrétés dans la bande de Gaza entre le 23 et le 26 novembre. Pour la première fois depuis le début de l’intervention militaire israélienne à Gaza, un accord a pu être trouvé entre les deux belligérants afin de mettre en place une « trêve humanitaire » Rétrospectives: ce qui a marqué décembre 2023 7 octobre, le Hamas lance des attaques La chanteuse Taylor Swift est désignée personnalité de l’année 2023 du magazine américain Time. La pandémie de coronavirus a eu des effets négatifs sur les compétences des élèves belges francophones en mathématiques, en sciences et en lecture. La COP28 s’est terminée ce mercredi 13 décembre 2023 avec un accord où, pour la première fois, une sortie progressive des énergies fossiles est formulée.
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🔴 En Direct : Ce Député Belge Explose l’Ambassadrice d’Israël sur Gaza !
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À la Une de la Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel : l’Union européenne est orpheline. « Le père de l’Europe » est mort, écrit Le Soir : Jacques Delors s’est éteint mercredi 27 décembre, chez lui à Paris, à l’âge de 98 ans. Et ce jeudi matin, tous les journaux européens rendent hommage à celui qui est, pour certains, « l’architecte » de l’Europe, pour d’autres son « bâtisseur » – dans tous les cas, celui qui a construit de ses idées le projet européen. Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel Un homme discret, pour qui « le glamour n’a jamais été important » se souvient la Sueddeutsche Zeitung. Un homme qui se distinguait par son « élan » autant que sa « modestie » estime Le Soir, « sans chichis » ajoute encore El Pais. Quelques pages plus loin, le journal espagnol affirme sans ambages qu’« aucune personnalité n’est autant associée que la sienne à la présidence de la Commission » qu’il a emmenée pendant dix ans. Un héritage imposant En fait, sans « ce petit homme presque discret, l’euro n’existerait pas aujourd’hui », assène le Sueddeutsche Zeitung, « et peut-être même pas le marché intérieur ». Car malgré sa modestie, Jacques Delors était animé, « désireux de changer le cours des choses », croit savoir Le Temps. De tout son parcours – employé de la Banque de France, député européen, ministre de l’Économie et des Finances –, c'est bien son « long mandat » auprès de la Commission européenne qui marque le plus les esprits. →A lire aussi 🔴 En direct Guerre Israël-Hamas : 500 morts dans le bombardement d’un hôpital à Gaza Une décennie parmi « les plus fertiles de l’Europe » salue Le Soir, ponctuée par « le temps du marché unique, du traité de Maastricht, de l’Union économique et monétaire, de la charte sociale, du programme Erasmus ». Et comme si cela ne suffisait pas, c’est aussi, ajoute le journal belge, « le temps de l’élargissement » (Portugal, Espagne, Autriche, Finlande, Suède). Et puis, « le temps de la réunification allemande » ; le temps, enfin, « des prémices de l’euro ». Un personnage ne faisant pas l’unanimité Et particulièrement pas en Grande-Bretagne où, se souvient le Guardian, « Delors s’est régulièrement pris le bec avec la Première ministre d’alors, Margaret Thatcher ». Au point de devenir « le croquemitaine en chef des eurosceptiques britanniques », jusqu’à ce coup d’éclat du Sun, dont se souvient le journal britannique : « Ce sont ces relations qui ont conduit le tabloïd à titrer en Une, en 1990, "Delors, va te faire voir". » →A lire aussi Décès de Moumy et la sortie de son album ce vendredi : Wally Seck a pris sa décision Rétrospectivement, estime le Guardian, c’était « un avant-goût de ce qui se produirait 25 ans plus tard durant la campagne pour le Brexit ». En France non plus, Jacques Delors ne faisait pas l’unanimité : « Vous n’êtes pas assez à gauche pour le Parti socialiste », lui aurait dit l’ancien président François Mitterrand, rappelle ainsi Libération. Jacques Delors a, en effet, « perdu de nombreux amis à gauche » avec ses politiques d’austérité au début des années 1980. Mais tout est affaire de points de vue, puisque Le Figaro considère au contraire que Delors était un « géant de la gauche française ». En France, l’histoire d’une succession de loupés D’abord, Jacques Delors n’a jamais été Premier ministre. Il y a eu aussi ces bras de fer fréquents avec son propre camp, lui qui, selon Le Temps, « incarne sans états d’âme la rigueur ». Et surtout, il y a ce que le journal suisse, mais aussi Le Soir, qualifient de « rendez-vous manqué » : son renoncement à la présidentielle de 1995. À l’époque, se souvient Libé, il rentre en France, « auréolé de son bilan à Bruxelles » et « est vu comme le seul, à gauche, à avoir une stature d’homme d’État ». En ce 11 décembre 1994, raconte Le Soir, « le pays entier est suspendu à la télévision », dans l’attente de l’évidence : l’officialisation de la candidature de Jacques Delors.
Et pourtant : « C’est la douche froide. Le candidat pressenti renonce. Et c’est irrévocable. » Car en réalité, croit savoir le journal belge, « de [la] gauche, il sait pertinemment qu’il n’est que le candidat par défaut, lui dont le programme n’est pas alors franchement celui défendu par les socialistes ». revue-de-presse-internationale →A lire aussi Construction de l’Usine de Mbakhana : 2 Européens et des Africains à l’ouvrage Car Jacques Delors voulait apurer les finances publiques, brutalement s’il le fallait. Et puis, peut-être, interprète Le Temps, Jacques Delors était-il « l’homme qui craignait de se salir les mains ». C’est à partir de ce moment-là que, à l’aube de ses 70 ans, il se retire peu à peu dans l’ombre, collabore avec l’Unesco, crée son think tank. Avec le temps, reconnaît le Sueddeutsche Zeitung, « son influence a diminué ». Cela n’interdit pas au journal allemand de rendre ce dernier hommage : « Merci, monsieur Euro. » Par : La Rédaction Kafunel
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À la Une de la Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel : l’Union européenne est orpheline. « Le père de l’Europe » est mort, écrit Le Soir : Jacques Delors s’est éteint mercredi 27 décembre, chez lui à Paris, à l’âge de 98 ans. Et ce jeudi matin, tous les journaux européens rendent hommage à celui qui est, pour certains, « l’architecte » de l’Europe, pour d’autres son « bâtisseur » – dans tous les cas, celui qui a construit de ses idées le projet européen. Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel Un homme discret, pour qui « le glamour n’a jamais été important » se souvient la Sueddeutsche Zeitung. Un homme qui se distinguait par son « élan » autant que sa « modestie » estime Le Soir, « sans chichis » ajoute encore El Pais. Quelques pages plus loin, le journal espagnol affirme sans ambages qu’« aucune personnalité n’est autant associée que la sienne à la présidence de la Commission » qu’il a emmenée pendant dix ans. Un héritage imposant En fait, sans « ce petit homme presque discret, l’euro n’existerait pas aujourd’hui », assène le Sueddeutsche Zeitung, « et peut-être même pas le marché intérieur ». Car malgré sa modestie, Jacques Delors était animé, « désireux de changer le cours des choses », croit savoir Le Temps. De tout son parcours – employé de la Banque de France, député européen, ministre de l’Économie et des Finances –, c'est bien son « long mandat » auprès de la Commission européenne qui marque le plus les esprits. →A lire aussi 🔴 En direct Guerre Israël-Hamas : 500 morts dans le bombardement d’un hôpital à Gaza Une décennie parmi « les plus fertiles de l’Europe » salue Le Soir, ponctuée par « le temps du marché unique, du traité de Maastricht, de l’Union économique et monétaire, de la charte sociale, du programme Erasmus ». Et comme si cela ne suffisait pas, c’est aussi, ajoute le journal belge, « le temps de l’élargissement » (Portugal, Espagne, Autriche, Finlande, Suède). Et puis, « le temps de la réunification allemande » ; le temps, enfin, « des prémices de l’euro ». Un personnage ne faisant pas l’unanimité Et particulièrement pas en Grande-Bretagne où, se souvient le Guardian, « Delors s’est régulièrement pris le bec avec la Première ministre d’alors, Margaret Thatcher ». Au point de devenir « le croquemitaine en chef des eurosceptiques britanniques », jusqu’à ce coup d’éclat du Sun, dont se souvient le journal britannique : « Ce sont ces relations qui ont conduit le tabloïd à titrer en Une, en 1990, "Delors, va te faire voir". » →A lire aussi Décès de Moumy et la sortie de son album ce vendredi : Wally Seck a pris sa décision Rétrospectivement, estime le Guardian, c’était « un avant-goût de ce qui se produirait 25 ans plus tard durant la campagne pour le Brexit ». En France non plus, Jacques Delors ne faisait pas l’unanimité : « Vous n’êtes pas assez à gauche pour le Parti socialiste », lui aurait dit l’ancien président François Mitterrand, rappelle ainsi Libération. Jacques Delors a, en effet, « perdu de nombreux amis à gauche » avec ses politiques d’austérité au début des années 1980. Mais tout est affaire de points de vue, puisque Le Figaro considère au contraire que Delors était un « géant de la gauche française ». En France, l’histoire d’une succession de loupés D’abord, Jacques Delors n’a jamais été Premier ministre. Il y a eu aussi ces bras de fer fréquents avec son propre camp, lui qui, selon Le Temps, « incarne sans états d’âme la rigueur ». Et surtout, il y a ce que le journal suisse, mais aussi Le Soir, qualifient de « rendez-vous manqué » : son renoncement à la présidentielle de 1995. À l’époque, se souvient Libé, il rentre en France, « auréolé de son bilan à Bruxelles » et « est vu comme le seul, à gauche, à avoir une stature d’homme d’État ». En ce 11 décembre 1994, raconte Le Soir, « le pays entier est suspendu à la télévision », dans l’attente de l’évidence : l’officialisation de la candidature de Jacques Delors.
Et pourtant : « C’est la douche froide. Le candidat pressenti renonce. Et c’est irrévocable. » Car en réalité, croit savoir le journal belge, « de [la] gauche, il sait pertinemment qu’il n’est que le candidat par défaut, lui dont le programme n’est pas alors franchement celui défendu par les socialistes ». revue-de-presse-internationale →A lire aussi Construction de l’Usine de Mbakhana : 2 Européens et des Africains à l’ouvrage Car Jacques Delors voulait apurer les finances publiques, brutalement s’il le fallait. Et puis, peut-être, interprète Le Temps, Jacques Delors était-il « l’homme qui craignait de se salir les mains ». C’est à partir de ce moment-là que, à l’aube de ses 70 ans, il se retire peu à peu dans l’ombre, collabore avec l’Unesco, crée son think tank. Avec le temps, reconnaît le Sueddeutsche Zeitung, « son influence a diminué ». Cela n’interdit pas au journal allemand de rendre ce dernier hommage : « Merci, monsieur Euro. » Par : La Rédaction Kafunel
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À la Une de la Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel : l’Union européenne est orpheline. « Le père de l’Europe » est mort, écrit Le Soir : Jacques Delors s’est éteint mercredi 27 décembre, chez lui à Paris, à l’âge de 98 ans. Et ce jeudi matin, tous les journaux européens rendent hommage à celui qui est, pour certains, « l’architecte » de l’Europe, pour d’autres son « bâtisseur » – dans tous les cas, celui qui a construit de ses idées le projet européen. Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel Un homme discret, pour qui « le glamour n’a jamais été important » se souvient la Sueddeutsche Zeitung. Un homme qui se distinguait par son « élan » autant que sa « modestie » estime Le Soir, « sans chichis » ajoute encore El Pais. Quelques pages plus loin, le journal espagnol affirme sans ambages qu’« aucune personnalité n’est autant associée que la sienne à la présidence de la Commission » qu’il a emmenée pendant dix ans. Un héritage imposant En fait, sans « ce petit homme presque discret, l’euro n’existerait pas aujourd’hui », assène le Sueddeutsche Zeitung, « et peut-être même pas le marché intérieur ». Car malgré sa modestie, Jacques Delors était animé, « désireux de changer le cours des choses », croit savoir Le Temps. De tout son parcours – employé de la Banque de France, député européen, ministre de l’Économie et des Finances –, c'est bien son « long mandat » auprès de la Commission européenne qui marque le plus les esprits. →A lire aussi 🔴 En direct Guerre Israël-Hamas : 500 morts dans le bombardement d’un hôpital à Gaza Une décennie parmi « les plus fertiles de l’Europe » salue Le Soir, ponctuée par « le temps du marché unique, du traité de Maastricht, de l’Union économique et monétaire, de la charte sociale, du programme Erasmus ». Et comme si cela ne suffisait pas, c’est aussi, ajoute le journal belge, « le temps de l’élargissement » (Portugal, Espagne, Autriche, Finlande, Suède). Et puis, « le temps de la réunification allemande » ; le temps, enfin, « des prémices de l’euro ». Un personnage ne faisant pas l’unanimité Et particulièrement pas en Grande-Bretagne où, se souvient le Guardian, « Delors s’est régulièrement pris le bec avec la Première ministre d’alors, Margaret Thatcher ». Au point de devenir « le croquemitaine en chef des eurosceptiques britanniques », jusqu’à ce coup d’éclat du Sun, dont se souvient le journal britannique : « Ce sont ces relations qui ont conduit le tabloïd à titrer en Une, en 1990, "Delors, va te faire voir". » →A lire aussi Décès de Moumy et la sortie de son album ce vendredi : Wally Seck a pris sa décision Rétrospectivement, estime le Guardian, c’était « un avant-goût de ce qui se produirait 25 ans plus tard durant la campagne pour le Brexit ». En France non plus, Jacques Delors ne faisait pas l’unanimité : « Vous n’êtes pas assez à gauche pour le Parti socialiste », lui aurait dit l’ancien président François Mitterrand, rappelle ainsi Libération. Jacques Delors a, en effet, « perdu de nombreux amis à gauche » avec ses politiques d’austérité au début des années 1980. Mais tout est affaire de points de vue, puisque Le Figaro considère au contraire que Delors était un « géant de la gauche française ». En France, l’histoire d’une succession de loupés D’abord, Jacques Delors n’a jamais été Premier ministre. Il y a eu aussi ces bras de fer fréquents avec son propre camp, lui qui, selon Le Temps, « incarne sans états d’âme la rigueur ». Et surtout, il y a ce que le journal suisse, mais aussi Le Soir, qualifient de « rendez-vous manqué » : son renoncement à la présidentielle de 1995. À l’époque, se souvient Libé, il rentre en France, « auréolé de son bilan à Bruxelles » et « est vu comme le seul, à gauche, à avoir une stature d’homme d’État ». En ce 11 décembre 1994, raconte Le Soir, « le pays entier est suspendu à la télévision », dans l’attente de l’évidence : l’officialisation de la candidature de Jacques Delors.
Et pourtant : « C’est la douche froide. Le candidat pressenti renonce. Et c’est irrévocable. » Car en réalité, croit savoir le journal belge, « de [la] gauche, il sait pertinemment qu’il n’est que le candidat par défaut, lui dont le programme n’est pas alors franchement celui défendu par les socialistes ». revue-de-presse-internationale →A lire aussi Construction de l’Usine de Mbakhana : 2 Européens et des Africains à l’ouvrage Car Jacques Delors voulait apurer les finances publiques, brutalement s’il le fallait. Et puis, peut-être, interprète Le Temps, Jacques Delors était-il « l’homme qui craignait de se salir les mains ». C’est à partir de ce moment-là que, à l’aube de ses 70 ans, il se retire peu à peu dans l’ombre, collabore avec l’Unesco, crée son think tank. Avec le temps, reconnaît le Sueddeutsche Zeitung, « son influence a diminué ». Cela n’interdit pas au journal allemand de rendre ce dernier hommage : « Merci, monsieur Euro. » Par : La Rédaction Kafunel
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