#déf
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Le 30 août 2021, je me suis ouvert à nos amis et partenaires sur les luttes déchirantes auxquelles nous avons fait face dans la nation du Bénin. Beaucoup d'entre vous se souviennent peut-être des circonstances entourant la fermeture brutale de notre croisade, qui a entraîné d'importantes pertes financières et des troubles émotionnels. Sans plonger dans tous les détails douloureux, je peux partager que c'était une période incroyablement difficile pour moi personnellement - seul Dieu comprend vraiment le poids que j'ai porté. Il était difficile de voir l'aboutissement de nos efforts financiers et de notre travail acharné se dissiper en un instant, et c'est dans ces moments que j'ai été rappelé à quel point le ministère n'est pas pour les cœurs
Comme l'apôtre Paul l'a dit au roi Agrippa, « Je n'ai pas désobéi à la vision céleste. » Pourtant, l'obéissance à cette vision peut devenir particulièrement intimidante lorsque les résultats que nous connaissons ne correspondent pas à nos prières et nos espoirs. Il est difficile de maintenir la clarté de la vision lorsqu'on est englouti dans l'obscurité, l'impression que nous étions confrontés à la déf Dans ces moments-là, aucun effort ne semble changer la situation, et le désespoir peut s'infiltrer, menaçant d'obscurcir notre but et notre détermination.
Au cours d'une longue nuit de prière et d'intercession, assis seul dans un pavillon, j'ai commencé à sentir la lourdeur se lever alors que l'aube se levait à l'horizon. En ce moment sacré, j'ai entendu la voix du Seigneur me parler : « Fils, saisis cette occasion pour semer des semences dans cette nation, car le jour viendra où tu reviendras récolter sept fois la moisson des âmes. ” Cette promesse a résonné profondément en moi, offrant une lueur d'espoir dans le désespoir.
Je suis ravi de partager avec vous tous que ce moment est maintenant ! Dans un remarquable témoignage de la fidélité de Dieu, il nous a ouvert une porte pour revenir au Bénin en février pour une croisade entièrement financée. Notre directeur de croisade, Darcy, nous a contacté pour nous informer que le soutien financier a été assuré par le comité du Bénin, et les pasteurs du Bénin nous rappellent avec impatience au pays pour un temps de restitution. Tout ce que l'ennemi avait volé a été rendu, et maintenant c'est l'heure de la croisade de masse de quatre jours que nous avons attendu.
Le Seigneur m'a révélé que 2025 serait une année de Restitution ! Je n'oublierai jamais les paroles divines qui m'ont été prononcées dans ce pavillon il y a plus de trois ans : « Fils, saisis cette occasion pour semer des semences dans cette nation, car le jour viendra où tu reviendras récolter sept fois la moisson des âmes. » Je crois vraiment que pendant notre croisade de février, nous assisterons à une récolte sept fois plus grande que ce que nous avions prévu en 2021.
Ce voyage nous a appris des leçons inestimables sur la résilience, la foi et l'importance de tenir les promesses de Dieu, même face à l'incertitude. Il y a eu des moments où j'ai remis en question notre chemin, mais la fidélité de Dieu m'a rappelé constamment que ses projets sont bien plus grands que les nôtres Alors que nous nous préparons pour cette croisade à venir, nous sommes remplis d'anticipation et de gratitude.
merci , partenaires et amis, pour avoir été avec nous tout au long de cette aventure. Votre soutien a été une bouée de sauvetage, et ensemble, nous sommes prêts à vivre une saison puissante de restauration et de renouveau. C'est vraiment un moment de restitution - un temps pour récupérer ce qui a été perdu et pour embrasser les bénédictions abondantes qui nous attendent. Avançons dans la foi, prêts à assister au travail incroyable que Dieu fera au Bénin !
-Prophète Charlie Shamp
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Post N°9 Août 2024 Charadesing pour un déf de dessin en ligne de lacommunauté Digital Painting School Numérique
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500 MILLIARDS € : L'UNION EUROPÉENNE VA-T-ELLE NOUS ENDETTER POUR LA DÉF...
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Julien (partie 2)
J’ai fait Plateau-Longueuil en douze minutes, je crois. J’ai flyé, rien de moins. Je ne savais pas où était l’entrée de l’hôpital (elle est sur le côté, maintenant vous le saurez aussi), donc je me suis stationnée dans le parking du Dairy Queen et j’ai couru comme un enfant qui attend sa crème à’ glace à essayer de trouver la maudite entrée. Je répondais aux questions de Julien en même temps, sur mon cell. C’était une nuit de gestion.
Je rejoins ma mère, le père de Marc-André et Marc dans une chambre d’hôpital déprimante. À ce moment, on ne sait pas si ma sœur est vivante, si le bébé l’est aussi, on ne sait rien. On panique, en silence, en fixant la décoration inspirée de la plus belle prison d’Unité 9.
Je raconte tout ça à mon emotional support stranger qui vit beaucoup trop d’affaires en cette première conversation Hinge. Je sais divertir mon public. Ça, on ne peut pas le nier.
En ce moment je ne fais qu’un avec l’inquiétude. Comment va ma sœur? Rejette-t-elle les transfusions de sang? Et le bébé, lui? Il a survécu? Je déverse mes peurs à l’infirmière qui s’approchait de nous, alors qu’elle venait nous dire que…
Tout va bien. Les deux sont en bonne santé, on devrait voir ma sœur sous peu. On peut respirer.
Il est 4h du matin et Julien m’écrit encore. Il me dit finalement: « Bon moi je pass out bonne nuit ». Oh, ok. Ben oui, bien sûr bonne nuit. C’est juste un ton tellement différent des autres textos que j’ai reçu au cours de la nuit. En même temps, il est quatre heures du fucking matin. Gen, chill.
Pis, heille, ma sœur et son bébé ont survécu ce soir. Un texto de travers ne viendra pas gâcher ça.
5h30 du matin. Je pars de l’hôpital pour aller m’évanouir chez ma sœur. Je me réveille d’un coup à 6h30 pour m’occuper de mon neveu d’un an et demi, avec la mère de Marc-André. Je suis lessivée, torchée par la fatigue et la baisse monstrueuse d’adrénaline. C’est ça être parent? Oubliez-moi.
Je prends congé à la job, je vais faire des commissions pour ma sœur et je retourne chez moi, vers 13h, pour faire la sieste la plus réparatrice qui soit. Je me réveille, trois heures plus tard, pour retourner chez ma sœur. Elle a (DÉJÀ?!?) eu son congé de l’hôpital. Quand on dit qu’on manque de lits dans les hôpitaux, c’est pas des farces.
« C’est weird, me dit Soph, accoucher et ne pas avoir son bébé à la maison. » Le cœur me fend. Le petit nouveau-né tout frais est hospitalisé parce qu’il est prématuré. C’est moi, qui dois être un emotional support en ce moment. Je laisse mon cell (et Julien) de côté pour prendre soin de l’essentiel.
Ma sœur se couche et il n’y a plus de ménage ou de lavage ou de commissions à faire. Mon shift est terminé. C’est épuisant, œuvrer dans le milieu de la Santé.
J’embarque dans mon auto et je reçois ça: « Tu pourrais venir chez nous décompresser un peu », me texte Julien.
On ne me le dira pas deux fois. J’ai besoin d’une bière et d’une clope. C’est comme ça que je décompresse. J’accepte, je lui dis que je suis en route. Cette fois-ci, je ne ferai pas Rive-Sud-Montréal comme Charles Leclerc.
Je me regarde dans mon rétroviseur et je suis tellement cernée qu’on pourrait y creuser une piscine. J’ai des cernes privilégiés. Est-ce que je vais chez moi me doucher et me chixer? Non, pas le temps. Il me prendra comme ça. De toute façon, je ne suis pas dans le mood pour coucher avec quelqu’un.
MOI QUI ME DIS QUE JE NE SUIS PAS DANS LE MOOD POUR COUCHER AVEC QUELQU’UN Déf.: Se mentir à soi-même
Il me donne son adresse en me disant qu’il va faire le ménage de façon express. Pas de problème.
J’arrive chez lui 30 minutes plus tard. Il m’ouvre la porte et je remarque qu’il est plus petit que ce qu’il avait donné comme grandeur sur Hinge. Oops.
Il m’ouvre: « Voyons, t’es donc ben grande! », me dit-il. J’avais envie de dire: « Pis toi, t’es vraiment plus petit! », mais je me suis visiblement retenue. Je ne veux pas qu’il voit ça comme un turn off. C’est quand même une drôle de première interaction. Quoi qu’on a eu une drôle d’aventure jusqu’à présent, je vois ça comme étant la suite logique.
Son appartement est peu décoré, il me dit qu’il vient de déménager. C’est correct, dans ce cas. Il a un énorme chien aux yeux bruns clairs qui vient immédiatement se coller à moi. Oui, j’avais besoin de ça, mon chien-chien. Les animaux ont de l’instinct, hein.
On boit de la bière et la conversation coule semi. Il a l’air stressé. Moi, je suis trop fatiguée pour être stressée. Je suis complètement détendue, avec le chien collé sur moi.
« C’est rare qu’il se colle autant », me lance Julien, en parlant de chien-chien.
« C’est parce que je suis tellement adorable, il doit le sentir. », lui réponds-je, en train de soft launch un peu de flirt. Il rit. Il acquiesce.
Il a dit la phrase que j’aime le plus entendre: « on va-tu fumer une clope? »
OOOOOOOUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIII. Depuis le temps que j’attendais. Aussi, quelque chose que j’aime chez lui, c’est qu’il est sportif, mais il fume occasionnellement. Ça, c’est mon langage amoureux. Et il le parle très bien.
On prend place sur son balcon, je sens qu’il commence à se réchauffer tranquillement. On parle de nos passés, nos secondaires privés, pour se rendre compte qu’on a les mêmes référents. On ne connaît pas les mêmes personnes, mais c’est tout comme.
Il me dit qu’il a plusieurs amies de filles. Dans mon livre à moi, c’est un gros green flag. Ça veut dire qu’il est ouvert, qu’il a une sensibilité et qu’il est à l’écoute. On ne laisse pas des gros Alphas rentrer dans notre garde rapprochée, nous, les filles.
Je suis charmée. Là, la crème vient de fouetter. On jacasse de la vie, je découvre chez lui une hypersensibilité. Il se questionne, mais il se gère, qu’il me dit. Il fait des choses qui lui font du bien. Il aime l’art, le cinéma, la télé de notre époque. J’aime apprendre des choses sur lui.
Et il pose des questions. Wow. Comment est-ce possible? Avoir de si beaux yeux, une aussi belle moustache et poser des questions? Is this real life?
La tension commence à monter.
Qu’est-ce qui pourrait bien arriver, là?
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Déf : "Gauchisme"
Le néo-gauchisme appelé "gauchisme" n'est PAS la gauche. Je l'ai écrit de nombreuses fois...qu'est-que c'est donc ? 1. Base de gauche sociale (tentative de répartition des richesses, meilleures conditions de vie pour chacun, etc) 2. Immigrationnisme délirant Avec a. négation et masquage systémiques sauf lorsque inmasquables (attentats islamistes) de la violence terrifiante contre les blancs par des Arabes et des noirs, quasi exclusivement mâles b. attaque systémique absolument ignoble envers ceux qui osent dénoncer cette barbarie absolument permanente c. continuation des apports migratoires dits de "migrants" venus par bateaux ou autres moyens, dans le cadre d'une immigration incontrôlée ou à peu près 3. Propagande homosexuelle et transsexuelle Ce sont évidemment les points 2 et 3 qui créent la haine de la "gauche" par le reste de la population. La "gauche", soit totalement stupide soit totalement criminelle, fait comme si elle ne comprenait pas. Les noirs et les Arabes n'ont aucun rôle pour contrer cette merde. Nous sommes plusieurs à leur hurler d'aider depuis, pour moi, dix ans, dans le vide quasi absolu hormis par exemple notre amie Candace Owens, ou Malika Sorel, ou Fatiha Boudjahlat, malheureusement encore "pinaisée" (de Céline Pina). Malheureusement la solution sera trouvée sans eux, à moins de miracles créés par exemple par Candace. Lorsqu'ils n'attaquent pas les alerteurs, ils se taisent. C'est vraiment, vraiment pas joli joli, révolution gauchiste, Dieu qu'ça manque eu'de burnes. Basile Pesso, 27 juin 2 024 No One is Innocent, Revolution.com
P.S : le soralo-dieudonnisme attire des 10aines de millions d'Arabes et de noirs en Europe, possiblement beaucoup plus dans le monde entier. C'est lui qui a pu faire bouger une partie des Arabes et des noirs, malheureusement avec une optique fallacieuse contenant pourtant des bases véridiques et des axes de départ intéressants. Il y a une 20aine d'années, Alain Soral créait le concept de "front de la foi" christiano-islamique contre le "pouvoir juif" qui existe mais qui n'est pas tout, même en Occident. Il aura donc fallu ce dérivatif pour lever une certaine masse dite "racisée", alors que la simple observation de la criminalité délirante et des quartiers d'invasion eût suffi. Le lecteur et/ou l'auditeur soralien se branle sauf exception des invasions barbares sauf contre les Palestiniens. Le "front de la foi" est une énorme imposture, probablement uns stratégie, un wishful thinking. Le Musulman croyant hait le transsexualisme et l'homosexualité, souvent violemment, comme le veut la charia. Il est conscient des abus juifs dont l'israélien mais se contente avec une veulerie absolument atroce de la barbarie anti-blancs, parfois antisémite, vécue par ses hôtes.
P.S 2 : il y a un refus total, obstiné, chez le néo-gauchiste comme le soralien, de comprendre que je me base sur des faits criminels massifs, gravissimes, que je dissèque depuis 7 ans tous les jours ; et que j'en tire des conclusions évidentes ; et partant, que j'ai évidemment "raison" puisque je me base sur le REEL - et donc, qu'ils devraient en tirer les conclusions logiques : transformer leur ligne pour rejoindre l'union contre la violence sans chouinerie racialiste et sans lutte délirante contre des partis patriotes soi-disant "fascistes".
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Milieu indéfini et homogène (titre provisoire)
Déf. Provisoire : Qui a lieu, existe, se fait pour un temps relativement court et sera vraisemblablement remplacé
Déf. Bande dessinée, synon. de dessin animé*. P. ext. [Dans les albums, dans les journaux, etc.] Séquence d'images, avec ou sans texte, relatant une action au cours de laquelle les personnages types sont les héros d'une suite à épisodes (bande feuilleton)
Bientôt, dans un très bref espace de temps, ce sera le moment de reprendre cette histoire, songe mon correspondant.
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Entretien des cheveux crépus : 5 astuces pour un soin au quotidien
Entretenir des cheveux crépus peut se révéler être un véritable casse-tête pour certaines d’entre nous. Très secs et fragiles de nature, ils ont besoin de beaucoup plus d’attention qu’on ne le pense. Il existe pourtant des techniques simples et des soins spécifiquement adaptés pour ce type de cheveux. Découvrez sans plus attendre 5 astuces pour un entretien des cheveux crépus au quotidien. Astuce 1 : L’hydratation, l’élément clé pour des cheveux resplendissants Les cheveux crépus ont la particularité de produire très peu de sébum et donc d’avoir un aspect naturellement sec. Ils ont besoin d’une hydratation quotidienne, et surtout, qu'elle soit adaptée aux besoins de vos cheveux. Vous devez donc l’ajuster quand vous en ressentez le besoin. Attention à ne tout de même pas trop les hydrater au risque de les étouffer. Faites un diagnostic au préalable de vos cheveux auprès d’un spécialiste pour connaître votre type de cheveux (4 a, 4 b, 4 c…) et les soins qui leur seront bénéfiques. En ce qui concerne les types de produits à utiliser, préconisez des actifs naturels sans sulfate comme l’huile de coco. Le combo eau, huile (de votre choix) et gel d’aloe vera fera très bien l’affaire. Enfin, scellez l’hydratation de vos cheveux avec un beurre (karité) qui aura pour rôle de les nourrir en profondeur. Dernière chose, boire au minimum 1 litre d'eau par jour est également très bénéfique pour vos cheveux. Astuce 2 pour un entretien des cheveux crépus : Adoptez une routine avec des soins adaptés. Au minimum 1 fois par semaine, et ce, avant chaque shampoing, effectuez un bain d’huile maison avec de l’huile de coco, puisqu’elle pénètre et protège la fibre capillaire. Utilisez ensuite des shampoings doux et non agressifs pour les nettoyer en douceur. Préférez des shampoings neutres, dans lesquels vous pourrez y ajouter les actifs de votre choix (protéines de soie, huiles essentielles, etc.). Appliquez également un bon masque nutritif comme après-shampoing. Le must pour vos cheveux crépus est un soin à base de rhassoul que vous trouverez facilement dans des boutiques bio. Combiné avec l’huile végétale de votre choix (jojoba, olive, avocat, argan, etc.), il aura un effet beaucoup plus hydratant, adoucissant et efficace qu’un après-shampoing classique. En dehors de masques et de shampoings hebdomadaires, hydratez vos cheveux au minimum 1 fois par jour, avec un mélange eau et huile ou une crème coiffante. À lire aussi : Osez la couleur ! Les options en vogue pour la coloration des cheveux Astuce 3 : Entretien des cheveux crépus : ne pas zappez l’étape du démêlage. Le démêlage des cheveux afro et secs est l’étape à ne surtout pas négliger. Il permet de se débarrasser des nœuds et surtout de limiter une casse trop importante de vos cheveux. Vous devez le faire au minimum 1 fois par semaine après votre soin ou après-shampoing, par exemple. La bonne astuce pour un démêlage rapide et efficace est de sectionner vos cheveux en 4 parties et de les natter, pour ne pas les emmêler. Ceci doit s’effectuer au préalable sur cheveux mouillés pour détendre vos cheveux et faciliter le passage du peigne (à dents larges). Pour finir, procédez au démêlage en partant des pointes vers les racines, et ce, le plus délicatement possible. À lire : Réinventez votre look avec la coiffure Back Coiffe Astuce 4 : Dites stop aux produits décapants et agressifs. Il existe de nombreux produits (pommades, gels, etc.) soit-disant réputés pour leur efficacité, mais qui, en réalité, se révèlent être très nocifs. Evitez les gels coiffants à base de sulfate qui assèchent et étouffent le cheveu. Préférez plutôt du gel d’aloe vera qui est tout aussi efficace et naturel. Les produits défrisants sont à éviter coûte que coûte, car ils vont davantage les dénaturer et les abîmer. Par ailleurs, selon une étude américaine de 2012 publiée dans l'American Journal of Epidemiology, il s’avère qu’il existe une corrélation entre le défrisage et les fibromes utérins. Ces produits semblent y contenir certains actifs, dont des perturbateurs endocriniens très dangereux pour la santé. De plus, une mauvaise utilisation d’un défrisage peut être irréversible et endommager vos cheveux, voire même brûler votre cuir chevelu. Il conviendrait donc de l’utiliser avec précaution. Astuce 5 : Optez pour des coiffures protectrices simples. Coiffures protectrices ne veut pas dire tresses très serrées ou extensions qui arrachent vos cheveux. Vous pouvez prendre soin de vos cheveux quotidiennement avec des coiffures simples et qui nécessitent le moins de manipulation possible. Celles-ci peuvent être faites rapidement le soir au coucher ou en journée. Si vous avez la chance d’avoir des cheveux longs, un simple chignon haut suffira. Avoir des cheveux courts n’est néanmoins pas une fatalité. Optez pour un nappy ou faites-vous de beaux twists, et le tour est joué. Alors, prête à relever le défi ? N’hésitez pas à partager vos astuces et routines capillaires. Read the full article
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NOCTALI DÉFENSEUR/SOUTIEN
Pour Noctali, j'ai voulu une fois de plus jouer avec les mécaniques, mais surtout ses statistiques de Défense et Déf. Spé. de la série principale. L'apport de Défense et Déf. Spé. du Bandeau ainsi que de la Capuche de sauvetage sont ici très important. Couplé à l'effet de régénération du Bandeau et l'augmentation des soins de la Capuche de sauvetage pour vos alliés, cela fait de Noctali un véritable Défenseur/Soutien. On ajoute à ça la capacité Regard Noir qui peut à la fois empêcher un adversaire de fuir, ou de poursuivre un adversaire, ainsi que le bouclier offert par l'Égide résonante, et Noctali devient un énorme atout pour l'équipe. Une entrave, des soins et des bouclier.
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#CAN2023 : La Mauritanie craque face au Cap-Vert, victorieux (1-0) et qualifié pour les quarts de finale Pourtant longtemps hermétique en déf...
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Jean-Philippe (partie 3)
Je lâche tout.
Quoi? Un bébé?
Je ne comprends rien. Tout ce flirt hier, toutes ces limites castrantes aujourd’hui. Il ne sait pas sur quel pied danser. J’aurais bien aimé le guider.
Et je suis dans un dilemme moral extrême. Je continue ou je pars? On a vu des affaires bien plus insignifiantes en philosophie au cégep, j’aurais aimé me pratiquer en vue de cette situation fâcheuse.
Ma raison me dit de ne pas toucher à ça avec une pôle de 120 mètres. Ma raison a terriblement raison. Je ne devrais pas y aller. Il ne faut pas que j’aille là. Il est en train de fabriquer une autre vie humaine. Avec quelqu’un qu’il aime.
Mais ce diable, ce petit diablotin qui veut s’amuser me dit de continuer. Me dit que « hey, c’est pas ta réalité à toi. » Mon féminisme est mis à mal, je pense à la blonde. Je vais toujours penser aux blondes, même si c’est le couple le plus ouvert qu’il soit. Mais ma curiosité! Ma maudite curiosité me pousse à tenter l’exercice. Quitte à ce que je coule l’examen.
Bref. Faudrait que je réponde, hein.
Je dis que je comprends, même si je comprends fuck all, et que j’apprécie l’honnêteté. Ça, c’est vrai. Je lui dis que ce n’était pas ce que j’avais compris hier, parmi la horde de messages séduisants qu’on s’était envoyés.
Il me répond sur le champ.
« Je me sens poche de te dire ça ce matin. Je me suis laissé aller hier et honnêtement, j’hésite à refermer cette porte-là avec toi pour le moment parce que tu m’attires beaucoup (terriblement). »
My god, JP. Pour une fille insécure qui a envie de se laisser porter par ses pulsions, qui a envie de vivre des amourettes, qui a envie de goûter l’autre, de vivre nos passions communes, je suis conquise.
Fuck. Je suis conquise. Il m’a eu. Il m’écrit bien.
Je réponds qu’il est (terriblement) mon genre de personne et que je lui ferais passer des beaux moments. Ha. Tiens. Il veut entretenir quelque chose à un cellulaire de distance. Ça ne marche pas pour bibi, désolée. Geneviève doit se respecter et le réquisitionner en date. À chacun ses limites castrantes.
On se dit à plus tard si le p’tit Jésus le veut. Qu’on laisse une tite craque dans’ porte si jamais. Le « si jamais » a le dos large ce matin. Je n’aime pas cette fin. Moi, j’aime les bonnes histoires. Et il est un bon personnage.
Je suis laissée sur ma faim et j’ai une faim de loup. J’ai le goût de lui.
Ma journée de travail est un vrai pain in the ass. Désolée à mon employeur, mais j’ai beaucoup d’émotions à gérer en ce moment.
15h40
Je lui réécris. Fuck it. Je sacre beaucoup aujourd’hui.
« Je pense encore à toi, ça me gosse. Encore un peu ébranlée de ce qu’on s’est dit ce matin (j’t’une crisse de sensible). J’ai quand même le goût de toi. »
Dans la vie, je n’ai peur de rien. Encore moins de quelque chose d’aussi excitant.
« Fuck » « Je suis dans le même mood » « Ça joue dans la tête pareil hein »
On est sur la même longueur d’onde. On se comprend. On vit la même chose, chacun chez soi, épris de nos tourments passionnels respectifs.
Faut que j’aille au bout de ça. Pas le choix.
On se dit que nos cœurs battent, qu’on a les mains moites, qu’on est on the edge. Ça y est: on doit se voir. Je lui dit que j’ai envie de lui jaser ce soir.
JASER LE SOIR Déf.: Être sur le sofa, verre de vin à la main, pour jaser de nos vies respectives, jusqu’à temps que la tension soit si intense qu’on finisse par s’embrasser et peut-être… faire autres choses.
Il accepte. J’ai un souper et lui aussi, mais on conclut qu’on se soit tout de suite après.
Parfait. Je ne vais pas être capable de vivre jusqu’à ce moment, mais all good. Je vais me gérer.
Ma journée de « travail » se termine enfin. Je prends une douche et je m’en vais chez mes voisin·es pour mon fameux souper. Je leur déverse toutes mes pensées, mes ressentis, en mangeant des huîtres. Aphrodisiaque. Je n’ai même pas besoin de ça, je suis déjà chatte. Je suis dans le mood, rien ne peut m’arrêter.
Mes ami·es me disent de quitter le souper. Je les aime. Je ne peux pas les contredire, même si les huîtres étaient délicieuses. Mon amie me dit que je ne peux pas perdre le momentum. Maudit, elle a raison.
Je texte à Jean-Philippe: « Dans 15 chez nous ».
C’est faisable de son côté. Il va courir. Il me dit qu’il est motivé.
Ouf. La panique s’installe en traversant le parc.
J’arrive chez moi et les seuls mots qui sortent de ma bouche sont:
omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg.
Ça sonne à la porte.
Je le vois à travers la vitre et je pense que mon cœur va arrêter. L’adrénaline embarque. (J’écris ces lignes avec les mains moites.)
Je lui ouvre, on se fait la bise. Il a apporté le vin. Une belle pensée. Il me demande un verre d’eau avant que je lui en propose un. D’accord.
Je le sens un brin stressé, je le suis aussi. Mais je suis bonne en performance et là je sens que ce soir, c’est soir de première. Je donne tout.
Je porte une légère camisole, qui dévoile malheureusement les bleus que j’ai sur mon bras. Ces bleus-là viennent d’une autre histoire d’un soir. En espérant qu’il ne me pose pas de question là-dessus.
Il est beau. Dans toute sa simplicité. Il ne sent pas quoi que ce soit précisément, mais la fragrance de ce soir c’est Sexe no. 5. Faut que je me calme.
On est sur le sofa, comme prévu, on parle de nos vies, comme prévu. Je m’étais jouée ce scénario, j’avais répété. J’étais prête. On parle de ses shows, de la difficulté d’être un artiste. Je lui dis que je n’ai pas de la difficulté à imaginer.
Il me pose peu de questions, mais je m’en fous. Ce n’est pas le but ce soir. Peut-être veut-il en savoir le moins possible sur moi, pour ne pas tomber en amour. Je me dis ça, imaginez. On devient tranquillement complices dans les blagues qu’on se lance. Ma répartie est aiguisée et elle fait des ravages.
Je lui demande c’est quoi son deal avec sa blonde. (Faut croire que c’est ma marque de commerce.) Il me répète ce qu’il m’a dit précédemment, que leurs libertés occasionnelles sont plus serrées vu qu’ils planifient donner la vie, éventuellement.
« Ok. Mais t’es là ce soir. »
« Je suis là ce soir », me réplique-t-il.
Nos regards se transpercent. Je me perds dans le gris-bleu de ses yeux, qui sont particulièrement pétants ce soir. Comme si je l’avais vu avant. Comme si je le connaissais bien.
On s’embrasse. Avec passion. Dévotion. Comme la première et la dernière fois. Ce french est une tragédie grecque. C’est une tragédie. Tout est une tragédie ce soir. La blonde est loin dans ma tête.
On se déshabille. Rapidement. Intensément. On veut se manger tout rond. Il commence avec une entrée en matière pas piquée des vers: un cuni. Et il le fait bien. Doucement, avec la langue aussi dure que son sexe en ce moment, probablement. Je suis tellement excitée que tout coule de partout. Je suis sur le point de venir, rapidement. Wow, il fait mauditement bien ça. Je viens. Ayoye, ok, ça part bien.
Je m’attable à un art que j’ai eu la chance de pratiquer à *hum hum* quelques reprises: sucer. Je m’applique, je m’occupe bien de lui. Il aime ça. Il ne se gêne pas pour me le dire. Je crois entendre: « Wow » quelques fois. Je l’enrobe de tout mon être. Ça bave. On se veut. Je le veux.
Terriblement.
On décide de passer à l’autre étape. Disons qu’en protégeant sa fleur, elle a malheureusement fanée. Qu’est-ce que tu veux, ça arrive. Je ne le prends pas personnellement, même si je reste sur ma faim. On va se goûter autrement. On s’embrasse encore avec ferveur.
Puis on décide de jaser, nus dans mon lit. Mes jasettes préférées. Je lui demande s’il fume, il me dit non, mais qu’il m’accompagnerait dehors. Toute cette tension a besoin d’être relâchée avec un peu de tabac, pour ma part.
On continue à parler, à jacasser, à se faire rire. Il décide de quitter peu de temps après. Oh, ok? J’aurais eu plusieurs services à ce délicieux repas.
Shit.
What’s next?
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