#créolisation
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« Les progressistes, qui célèbrent le vivre-ensemble, se gardent bien de l’appliquer dans leur vie privée. Ce qui la régit, c’est au contraire l’endogamie. On collectionne les nounous africaines, les cuisines du monde et les auteurs édités par La Fabrique. La créolisation fait partie du baratin à la mode à l’heure de l’happy hour dans le 20e arrondissement et des pique-niques aux Buttes-Chaumont, le hype de la gentrification parisienne. Les terrasses bruissent de conversations autour de Virginie Despentes et d’Aurélien Bellanger, avec de gros roulements d’yeux et des silences à la limite de la catatonie quand vous dites que Lucie Castets a le cerveau d’une langouste rose. Mais ça, c’est la façade du village global Potemkine : derrière les sourires apprêtés et le décor en trompe-l’œil, très peu de diversité. Tout le monde la fuit secrètement. Les gens sont anti-mélangistes. Même Pap Ndiaye a mis ses enfants à l’École alsacienne. La distanciation sociale est le premier des gestes barrières qu’adoptent les parents : l’évitement, passé un certain seuil de tolérance ethnique, qui nous rappelle combien les logiques affinitaires recoupent les logiques identitaires. Ainsi fonctionne le séparatisme. »
François Bousquet, « Racisme antiblanc à l’école. La vérité interdite. » in revue Eléments n° 210 (en kiosques)
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"Ordure multipliée par merde" Céline.
L'affaire Crépol accumule tous les éléments de scénario rêvés par le pouvoir profond en France .
Des Français "font la fête" dans une salle polyvalente réservée pour l'occasion. En 2023 en pleine invasion on ne fait pas la fête. On ne vit pas sous occupation comme on vivait libre il y a 35 ans. "Faire la fête" c'est prendre le risque de voir rappliquer des intrus qui n'ont rien à perdre et tout à gagner. Les pires horreurs adviennent toujours parce que des cons font la fête, qu'ils ont avec eux des meufs et contre eux des prédateurs. Lire une page de faits divers de n'importe quel journal depuis les années 80.
Des intrus sont arrivés. Qui les a appelé ? Des meufs de la fête ? Si oui elles doivent en porter la responsabilité devant les parents des victimes et payer pour les conséquences ultérieures, elles en tout premier lieu, et les meurtriers en second. Celles qui ont de près ou de loin participé à légitimer les barbares se sont mises elles-même hors de la Civilisation et ne peuvent plus recevoir ni bienveillance ni protection.
Rieu et Bassem prennent des positions. Chacun a ses raisons mais chacun se garde bien de parler des intermédiaires qui se trouvent derrière. Rieu a Gilles-William et Bassem a David. Le jour où chacun congédiera son encombrant agent la vrai paix sur le terrain se fera entre les vrais gens de terrain. N'avez-vous pas étudié le processus libanais ? Ce sont les triangulations absurdes et les alliances contre-Nature qui ont détruit le Liban maronite et ismaëlite (pays jadis florissant), au bénéfice d'une troisième équipe. À E&R (dont la vocation profonde est d'empêcher la guerre civile) AS nous à toujours dit "surtout, n'appelez pas aux vengeances, et pour parler évitez les intermédiaires !"
Des natios organisent une contre-manif avec les pires slogans possibles. Qui a scandé ces mots le premier? Qui les ont fait reprendre ces slogans ? Pourquoi le seul terme qu'il fallait mentionner, et qui est "racaille", est-il absent des slogans?
La police manœuvre de manière curieuse sur le terrain. Rappel en actes pour ceux qui croient encore que la police protège les Blancs. Il est impossible que les services n'aient pu anticiper la venue de 80 jeunes natios sur les lieux. Voilà les méthodes du pouvoir et de ses pr��fets, commissaires-divisionnaires tous franc-maçons.
Les images tournent en boucle partout, avec leur effet désastreux, elles renforcent les médias, la troisième équipe, tous les prédateurs, tous les salopards. Tous les attentistes, tous les profiteurs se frottent leurs sales mains. On ne lutte pas contre la racaille en attaquant un château-fort à 1 contre 10 mais se retirant du terrain afin que le poids des racailles repose entièrement sur les bobos/FM/médias/canaille comme lors des émeutes de juin 23. La Libération du pays commence lorsque la canaille d'occupation supporte seule le poids de la racaille d'occupation sans aucune intervention des Français. Relisez Bagatelles pour un massacre.
Crépol est la contraction des termes crépu et créole, c'est là un signe qui nous rappelle la véritable menace qui pèse sur la civilisation: non pas l'ismaëlisme mais l'invasion crépue et la créolisation (métissage, abrutissement) au profit du sémitisme (ingénierie sociale de prédation sur les Blancs). Dans cette vraie lutte les femmes sont le vrai enjeu. Les hommes de bonne volonté qui connaissent l'Histoire savent ce qu'il convient de faire avec les femmes qui franchissent la ligne en période d'invasion aggravée. "Ils nous persécutent, ils nous tuent, tu leur ouvres ton cul? D'accord alors voilà ce qui va se passer..."
Il reste à attendre la prochaine "fête" d'imbéciles, les prochaines putes pour les livrer à la racaille, les prochaines racailles pour rafler les putes et poignarder les imbéciles, les prochains David et Gilles-William pour en tirer la sève dans les médias, tout le bordel de merde habituel puisque tout le monde aime cela et ne comprend jamais la leçon. En vrai tout le monde s'en fout et personne n'aime son frère. "May God help us all".
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Les origines de la langue française
Article de 1997, paru dans “Pour la Science”. Auteur : Michèle Perret, professeur de linguistique à l’université Paris X-Nanterre. On n’a jamais cessé de parler latin en France, mais un double phénomène de créolisation dû au bilinguisme des Gaulois, puis des Francs, a engendré une toute autre langue, le français. Nous retraçons ici l’histoire de la langue officielle, depuis ses origines. Bien que…
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Discours de Marine Le Pen à l'Assemblée nationale :
"Je préfère encore des immigrationnistes assumés comme nos collègues de la France insoumise et leur projet faussement humaniste, mais sans équivoque de créolisation, aux immigrationnistes honteux qui peuplent la vie politique depuis 40 ans !"
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Ces gens là sont KOMVOUZÉMOI!
Oh Ziva...Allez Babar, Babar est grand !!!!
Mais quelle surprise surprenante, quelle stupéfaction stupéfiante, hein !
tiens votard, ne te vexe pas mais moi qui met un point d'honneur à ne pas élire le *onnard qui va me KUKULER
je voudrais juste te rappeler un fait récent; les législatives d'il y a juste 3 mois.
17ème circonscription c'est une partie du 19ème et 18ème arrondissements de Paris et LFI ( FRANCE est ici, aux choix, superfétatoire, inutile, oiseux, insignifiant, superflu, accessoire, superflu., superflu, superflu..) avec la fraônco-gabonaise Daniele Obono, réélue au PREMIER TOUR avec 64,2 % des suffrages !
Elle avait fait 57% en 2022 ! Ça prograisse ! (oh ziva chuis en fraônce j'ai cris komjeveu)
Oui tu peux toujours aller porter plainte ami riverain ce sera qualifié d'indécent !
Diantre ! Toi qui refuse en plus de te créoliser tu ne vas quand même pas empêcher, ces pov'clandos afghans de foutre la bouse et t'opposer à l’enrichissement ethnique arabo-africano-shitholesque...
Tu n'es pas prêt d'arrêter d'en bouffer de l'Afghan défoncé…
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This is 100% true on economic issues, but since I see this kind of thing go past my dash pretty regularly, it's worth remembering that this does not necessarily hold true on social issues.
For instance, on the whole U.S. politics tends to be more favorable towards the concept of immigration than European political parties. The idea that immigration --- and the cultural exchange and blending that comes with it --- is a good thing is definitely not a universally accepted idea in America, but it is pretty much the default approach of the Democratic Party. Which is in contrast to, say, France, where their far-left candidates are only just now trying out this idea of "Créolisation" as a talking point.
Or for another example: The U.S is not the best place for LGBT rights, but the Democratic Party platform, which includes explicit support for a ban on conversion therapy and directly addresses anti-trans violence, goes much further than a lot of parties around the world that are much further to the left on economic issues.
This is not to defend the Democrats. They are still frustratingly timid on a lot of social issues. They still frequently fail to achieve even the legislation they bother to introduce. Their party platforms are full of stuff that I think even they know they don't have the stomach to really whip votes for if it means seeing a week of bad coverage on Fox.
But I do think there is a lot of uncritical "USA=bad at everything" and "other countries=inherently better than us" and I think it's important to remind everyone that the full picture is more complicated. There is no place on Earth that has everything figured out and not leftwing political party with perfect politics (whatever that even means).
And I worry sometimes that envy of other left wing political parties (justified or otherwise) gets in the way of us demanding more of the one we've got here at home.
I dunno I mean I knew a lot of Americans were against it but I assumed they were all elitist right wing weirdos.
What's the mainstream left wing position then if it's not socialism?
#method speaks#random thoughts#not an expert on international politics also#but these are things i hear from international friends#political divides in one country#don't always map well onto anotehr#it's worth remembering that
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Pyéfè péyi de François PIQUET
Sculpture monumentale - 2023 Dimensions 3.90 x 1.20 x 1.20 mètres Techniques mixtes : Lames de fer tressées, pierres de Guadeloupe, éléments mécaniques
Ces lames de fer proviennent de l’ancienne usine Darboussier à Pointe-à-Pitre, où elles servaient au cerclage de tonneaux de rhum. Elles représentent des matériaux historiques et symboliques forts pour aborder les héritages de la société guadeloupéenne, et formaliser ses capacités de résistance et de résilience.
D’autres sculptures de cette série figurent au sein des collections permanentes d’institutions comme le Mémorial ACTE, l’International Slavery Museum de Liverpool, le Musarth et “Beauport Pays de la canne”.
François Piquet produit dans le “Tout-Monde”, où il choisit d'expérimenter artistiquement la "créolisation" d'Edouard Glissant, et les imprévus d'une création contemporaine populaire et protéïforme, pour replacer l'art dans ses fonctions sociales et utopiques.
Pyéfè péyi est une sculpture qui s'inscrit dans un programme mené par l'association Wi'anArt, avec l'aide de la DAC, Préfecture, Conseil Départemental et Régional ainsi que la Mairie de Basse-Terre.
Les réalisations dans l'espace public proposent un parcours artistique que nous vous invitons à suivre à pied ou à vélo. Sur ce parcours, vous découvrirez des œuvres d'art et des réalisations qui valorisent le patrimoine culturel et historique de la ville de Basse-Terre. Cette démarche vise à redonner du sens à l'espace public en plaçant les piétons au cœur du développement de la ville.
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En cette rentrée 2021, alors qu’Éric Zemmour agite sa théorie du « grand remplacement », que François-Xavier Bellamy accuse Jean-Luc Mélenchon d’être un partisan de « la déconstruction de la société française », et alors que les idées d’extrême droite explosent dans la société, l’insoumission a décidé de réaliser un entretien avec celui qui est aujourd’hui le grand favori de la gauche dans la course à la présidentielle. Qu’est-ce que la créolisation, ce concept si souvent mis en avant par le leader des insoumis ? Échange passionnant avec Jean-Luc Mélenchon, réalisé par Pierre Joigneaux.
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En raison de la démographie, donc grâce à l’ethno-mathématique électorale, ce courant va automatiquement occuper une place de plus en plus déterminante dans la vie politique française ainsi que l’a fort bien exprimé Houria Bouteldja : « Notre simple existence, doublée d’un poids démographique relatif (1 pour 6) africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise, la fille aînée de l’Eglise, jadis blanche et immaculée, aussi sûrement que le sac et le ressac des flots polissent et repolissent les blocs de granit aux prétentions d’éternité (…) » (Houria Bouteldja
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HISTOIRE DE LA MUSIQUE CLASSIQUE AU CAP
Par Claude Dauphin
"C'est un paradoxe troublant d'avoir à conjuguer la cruelle histoire de la colonisation avec l'émergence de nos civilisations créoles qui en ressortent comme
d'improbables corollaires. Si cela est vrai de la langue créole et de combien d'autres manifestations
culturelles, c'est encore davantage le cas de plusieurs traditions musicales d'Haïti et tout particulièrement de sa
musique classique. En effet, n'est-ce pas de la conjonction des cultures européennes et africaines que ressort la volonté
identitaire qui caractérise,
aujourd'hui encore, les efforts de création dans ce domaine ? Cette
remarque qui concerne plusieurs villes d'Haïti, s'applique tout
particulièrement au Cap qui, sous le régime français, a été l'un des
centres les plus importants, sinon
l'épicentre du théâtre, de la
musique orchestrale et de l'opéra français en Amérique. Le Cap a
été aussi le creuset où s'est élaborée le plus nettement la mixité des cultures musicales, ce
qu'on appelle aujourd'hui, à la suite du philosophe martiniquais
Édouard Glissant, « la créolisation
». Cet article sera consacré à l'histoire de cette fusion culturelle et musicale au Cap-Français et de la poursuite de ce phénomène au Cap-Haïtien, de l'Indépendance à
nos jours. Les Français de la riche et prestigieuse colonie de Saint-Domingue aspirent, dès 1740, à se
doter d'une vie culturelle à
l'image de leur métropole.
Dévorés par une insatiable... "
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HAÏTI⭐LEGENDS
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"Le peuple français va devoir découvrir du nouveau qu'il a sans doute quelque chose à faire, mais à la condition de savoir ce que c'est d'être français. Être français, ce n'est pas une religion, ce n'est pas une couleur de peau, ce n'est pas une langue! C'est juste un contrat politique et il est inviolable parce que c'est lui qui fonde le peuple français. C'est ce contrat politique, qui fait de nous une peuple inachevé, un peuple dont la ligne d'horizon reculera sans cesse et derrière laquelle nous devrons toujours courir, en nous créolisant chaque jour d'avantage."
Jean-Luc Mélanchon, place de la république, 30 juin 2024.
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Samedi 7 mai 22
En cassant le thermomètre
En ayant cassé le thermomètre Zemmour, le président absolu, titre du livre de Philippe Fabry, Emmanuel Macron a cru avoir fait tomber la fièvre identitaire, culturelle, civilisationnelle ressentie par un grand nombre de français qui doivent encore et toujours faire face à un afflux d’immigrés, à la délinquance, à l’insécurité, au trafic de drogues et au déclassement.
En espérant casser lors des prochaines législatives le thermomètre Jean-Luc Mélenchon, Insoumis et leurs alliés, Macron 2 le bienveillant croit pouvoir faire tomber la fièvre sociale et écologiste. Le président Emmanuel Macron est tactiquement sur la ligne idéologique écolo de Jean-Luc Mélenchon et des Insoumis et viscéralement, profondément sur la ligne idéologique du déracinement, de la créolisation, du refus de l’assimilation, de l’abandon des valeurs liées à la civilisation judéo-chrétienne, d’une conception laxiste de la laïcité qui rend le combat contre le communautarisme islamique dérisoire et illusoire, d’un certain mépris pour la France d’avant qui, pour eux, n’a jamais existé. Faute de pouvoir faire tomber cette fièvre nationale, empreinte d’un courant conservateur et nostalgique, qu’incarne Eric Zemmour, l’objectif est clair : faire disparaître grâce aux moyens puissants dont dispose la présidence absolue Eric Zemmour. CQFD.
François BAUDILLON
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Laisse tomber le choc des civilisations, goûte un peu à la créolisation. 🎉🌈👞✨ . . . #carnaval #fortdefrance #antilles #blingbling #caraibes #igersfrance #ig_caribbean #colors #creole #lelamentin #aimecesaire #edouardglissant #creolisation #créolisation (à Martinique Aimé Césaire International Airport)
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But then you are faced with this very specific problem for literature as an international artform, which is language. An idea of an international artform is very different for an artist like Marcel Duchamp, say, or a composer like Igor Stravinsky – whereas literature is always limited by the language in which it is written. Language is at once the medium through which it communicates and a kind of limiting agent. And this, at least from the nineteenth century onwards, has allowed literature to be part of a nationalistic paradigm – because language became bound up with the idea of a ‘national literature’. This notion that literature should belong to a nation always seemed to me depressing, as a novelist. I mean, it doesn’t make any sense to me to describe a novel as a ‘Russian’ or ‘British’ novel. A novel belongs to an international history. And so I’ve always wanted to explore what might be necessary to achieve this kind of international existence. Which means I’ve also always been fascinated by translation and the role translation has to play in literature. And that brings us back to Glissant, because one thing Glissant was talking about through his theories of mondialité, or créolisation, was translation. Translation is a creolising agent: it brings two languages together and, in doing so, preserves them but also changes them.
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