#coyhaique
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rayosvioleta · 11 months ago
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Capilla de mármol, Puerto Rio Tranquilo.
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rosaargentina · 6 months ago
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publicobsessions · 1 year ago
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justinmullet · 2 years ago
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Patagonia, Chile.
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fruhling-blutet · 1 year ago
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Coyhaique, Chile
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silvestreycoqueta · 1 year ago
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La luna será tu terapeuta favorita: ¿por qué deberíamos tomar baños de luna?
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La luna tiene una influencia poderosa sobre la tierra, sobre el mar, sobre todos los seres vivos. Y obviamente no somos la excepción. Para quienes desean vivir en mayor sincronía con la naturaleza y sus ciclos, un baño de luna debiese ser un complemento al tomar sol, beber agua, ejercitarse o tener una buena alimentación. Y es que los rayos de luz que nos ofrece la luna, traerán beneficios para tu salud que ni imaginas.
La luna tiene la característica de reflejar los rayos revitalizantes del sol, pero de una manera más delicada. Concediéndonos la instancia perfecta para liberar emociones acumuladas, limpiarnos energéticamente y equilibrar nuestro organismo (en especial los ciclos hormonales). Siendo de gran ayuda para trastornos inflamatorios, hipertensión y migrañas. Además, como su luz proviene del sol, también nos entregará la muy necesaria vitamina D.
Para tomar un baño de luna, cada quien puede armar su propia rutina. Ya sea una caminata al aire libre, sentarse o recostarse sobre una manta en algún lugar abierto y natural. Lo importante es que estemos expuestos, y nuestra piel pueda absorber la luz.
Este será un momento para relajarse. Deja el celular en casa y aprovecha de meditar, de observar el cielo. En cosa de minutos sentirás cómo tu energía comienza a revitalizarse, aflorarán emociones desde muy adentro, incluso primitivas, como ganas de abrazar un árbol, ganas de hacer cambios en tu vida para conectarla más con la naturaleza, o simplemente el gozo de disfrutar algo tan simple. Sin costo. Más allá de una pequeña inversión de tiempo que se nos multiplicará de manera beneficiosa y abundante.
Por: Fernando Osorio redactor de Silvestre & Coqueta.
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fotosdetd · 2 years ago
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Prueba
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radiotrapanandablog · 2 years ago
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📍Diucon (Xolmis pyrope) en sector Lago Monreal en la comuna de #Coyhaique. Vía: 📸 @pastormedina (en Coyhaique Xi Región) https://www.instagram.com/p/Cp262Ocu05K/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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maudebrunod · 2 years ago
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Verano e invierno en el mismo lugar. #nature #summer #winter #patagonia #coyhaique #tejasverdes (en Coyhaique, El Verdin Tejas Verdes) https://www.instagram.com/p/CpZ-seiOUSv/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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sh-photogallery · 3 months ago
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Typical landscape of the northern Carretera Austral between Puyuhuapi and Coyhaique
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cuando-fingi-quererte · 3 months ago
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Hola, cómo estás? Mi nombre es Pablo, soy de Coyhaique, Chilito! Sólo pasaba a saludarte y decirte que me gustó tu TMBLR!!! Un abrazote
Hola, me encuentro muy bien.
¡Que cool!!!
Gracias por saludar y por tus palabras.
¡Abrazote!!! 🖤🫂
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Dans tous les grands voyages, il y a des journées épiques qui font la une de Paris Match et du JT de 20h. Et puis il y a les journées dédiées à la logistique du voyage, trop souvent passées sous silence. Voici le récit d'une telle journée.
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Sur les conseils de notre experte en mécanique Docteur Rathatton, nous nous rendons de bon matin chez un garagiste spécialisé en campervan, Rolling Patagonia, à Coyhaique. En une heure, celui-ci a parvient à soigner notre boîte à gants maltraitée, notre frigo mal branché, et notre pare-brise caillassé. De plus, après une série de mesures, il s'avère que notre batterie... est en pleine forme (12.78 V mesurés en sortie)! Contre toute attente, il ne faudra donc pas la changer pour le moment; la suite au prochain épisode.
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C'est un Patochimbo et des protagonistes rassurés qui partent donc faire leurs courses à Unimarc. L'occasion de se rappeler que les prix au Chili sont similaires à ceux rencontrés en France... pour une qualité souvent inférieure :(. Mention spéciale à notre Brie importé que nous gardons précieusement sous clé.
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Une fois notre garde-manger débordant de victuailles, ce sont nos ventres qui se repaissent de... pizzaaas! Chez Mama Gaucha, nous obtenons la preuve qu'au Chili aussi on peut manger de bonnes pizzas. Docteur X commet une hérésie en prenant des pâtes, et est justement puni par un retard conséquent sur son service (un chaton de plus malmené dans une vie antérieure).
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Il est déjà 15h! Prochaine étape de toute journée à la logistique bien huilée, une douche chaude ! Nous trouvons un mignon petit camping disposant d'eau à température corporelle (on ne va pas s'ébouillanter non plus). Pendant que nos corps revivent sous le savon, le ciel en profite pour octroyer une douche bien méritée à Patochimbo.
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La pluie ne voulant apparemment jamais cesser dans ces contrées humides, nous décidons de terminer cette journée par un trajet tactique sous la pluie en direction de Puerto Aysen, prochaine étape de notre périple patagonien. Sur la route, nous observons de belles cascades, dont certaines ont une fâcheuse tendance à nous mouiller avec l'aide du vent.
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Nous arrivons cependant sans coup férir à au confluent du Rio Simpson et du Rio Maniguales, où nous espérons que la pluie nous octroiera un court répit pour installer notre belle tente de toit bien sèche (pour le moment...).
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alexisgeorge24 · 10 months ago
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21 février :
Transfert de Coyhaique à Chaitén. J'aurai aimé m'arrêter au Parc Quelat visiter les glaciers puis et à Puyuhuapi pour ses termes face au fjord, mais la météo rend le projet peu prometeur. Il pleut toute la journée et le soleil est prévu pour le surlendemain. J'arrive donc au village de Chaitén sous d'épais nuages et la pluie fine. Je pose ma tente, goute une bière brassée juste en face de mon camping et mange une pizza avant de rejoindre ma tente.
22 février :
J'attends que les nuages partent et je passe la journée dans le village à me ballader sur la plage, à jouer avec des chiens (dont un trijambiste mais qui ne mérite pas moins mon affection) puis jusqu'à un petit mirador, à prévoir la suite (et la fin...) de mon année sabbatique et enfin le combo classique: bière / dîner.
23 février :
Le top départ rando est donné par le soleil et je monte au cratère du volcan Chaitén qui est entré en éruption en 2008. La région étant très humide, la végétation y est abondante. Je traverse donc une forêt quasi tropicale avant d'atteinte la caldera qui doit faire 2km de diamètre. Le sommet de cendre au centre fume toujours, les arrêtes aussi de cendre formant la caldera sont recouvertes de végétation, et entre les deux, une couronne de lac aux eaux vertes. Au loin, des sommets à pertes de vue complètement recouverts de forêt. Puis la mer. C'est magnifique et je suis tout seul en haut. Je fais du stop pour revenir à Chaitén, je déjeune, puis prends un bus pour aller à El Amarillo, l'entrée sud du parc Pumalín (dont fait aussi partie le volcan). Je fais les 9km à pied jusqu'au camping Ventisqueros. L'endroit est incroyable, une vaste étendue de gazon entre les arbres avec vue le volcan Michinmahuida et son glacier. Nous ne sommes que 3 dans cet enorme camping "sauvage" et j'ai donc l'impression d'être tout seul dans le parc et que la vue sur le glacier en dînant m'appartient.
Bilan: 14km, 1000m d+
24 février :
J'atteins ce même glacier, ou plutôt une de ses langues, après 10km en marchant le long du fleuve Amarillo dans une vallée large et exposée au soleil offrant de jolies points de vues sur le glaciers en face ainsi qu'aux sommets chevelus me formant une réelle haie d'honneur. La ballade AR est agréable, sans dénivelé, le ciel est bleu, le glacier blanc avec des reflets bleus dont les couleurs en ressortent éclatantes avec la roche noir du volcan et la rivière formée par la fonte des glaces est divisée en une myriade de cours s'entrelacant le long de la vallée. Je ne compte plus les glaciers admirés, je ne pense pas m'en lassé un jour et je pense que c'est l'élément de la nature qui me fascine le plus. Sur le retour je me fait prendre en stop sans avoir à lever le pouce; c'est vraiment aléatoire sur qui on peut tomber...
Bilan: 25km, 300m d+
25 février :
Transfert à Puerto Montt en empruntant le dernier, mais pas des moindres, tronçons de la Caretera Austral. Quelques 150km de route et de piste sur la côte et 70km de bateaux à travers des fjords en 10h. Le ciel est bleu, on distingue quelques volcans au sommet de glace et de neige, des branches cadettes de fjords nous invitent à nous y perdre, la mer est calme et je crois avoir aperçu Adam et Eve (à poil).  C'est une admirable croisière d'adieu de la Caretera Austral. Arrivé au Terminal de bus de Puerto Montt j'enchaîne direct avec un minibus pour Puerto Varas à 20km. J'arrive de nuit donc je ne vois pas les paysages, pizza et dodo au seul camping du coin.
26 février :
Il fait beau donc je vois les paysages à bord d'un minibus vers le lieu-dit Petrohué. Je longe ainsi le lac Llanquihue qui est aux pieds du volcan Osorno; la brume du matin fait que l'eau du lac se confond avec le cône du volcan et la lumière du soleil tamisé par les peu de nuages éclair à perfection la carte postale. Je me fais donc déposer d'urgence au bord de la route pour filmer et photographier la vue avant qu'il ne soit trop tard. Puis je reprends le prochain bus jusqu'à destination au bord du lac Todos los Santos et ses eaux émeraude. J'entreprends alors une randonnée initiant la monté de l'Osorno, dans la forêt puis la roche volcanique, jusqu'à des jolis miradors sur le lac et surprise, le Cerro Tronador. Je suis en effet à la même latitude que Bariloche (Argentine) où je m'y étais approché il y a 2 mois. Je vois donc son autre profil et lui fait la bise. Malheureusement pendant ma randonnée je ne croiserai aucun cours d'eau et lorsque j'atteins en redescendant le lac j'y plonge la bouche ouverte. Bon pour la vrai histoire je rempli juste ma gourde mais 30min plus tard en longeant le lac j'y plonge vraiment la tête en buvant directement l'eau. Je pose la tente sur la plage et m'émerveille à nouveau face au lac, au creux des montagnes, le soleil se couchant dans mon dos et donnant des couleurs jaunes, oranges, rouges puis roses au ciel et nuages.
Bilan: 24km, 1000m d+
27 février :
Je finis la visite du parque nacional vicente pérez rosales en me rendant aux Saltos (chutes) de Petrohué après avoir payé 7,5eur (ce n'est pas beaucoup en absolu mais payer pour avoir bétonné un site naturel pour le rendre accessible à tous m'énerve toujours). Surtout que les chutes ne sont pas impressionnantes. Puis je temporise à Puerto Varas en attendant mon bus pour Pucon. A la gare routière on me demande 4e pour garder mon sac le temps de faire quelques courses. Du coup je l'emporte avec moi et au supermarché on refuse de me le prendre l'accueil. Je m'enfou et c'est pas le poid qui me dérange, mais ça illustre la mentalité de ce pays où tout est monnaitisable; sûrement une influence étasunienne. A Pucon je prends l'apero debout devant un concert de Cumbia et j'aime beaucoup; puis un humoriste prend le micro et je m'en vais. Je dormirai sur un matelas dans un hostel, après 2 semaines de tente.
28 février:
Excursion à la journée au sanctuario El Cañi. J'arrive rapidement au Mirador du parc et j'ai une vue sur plusieurs volcans qui dominent le paysage vallonné et recouvert de forêt, notamment d'Araucaria, cet arbre emblématique de la région qui (me) font penser à des pins en forme de palmier. J'arrive encore à decouvrir de nouveaux paysages, la Patagonie est vraiment impressionnante et riche. Je redors au même hostel où je suis seul dans mon dortoir, quel luxe.
Bilan:
17km, 1200m d+
29 février :
2e excursion, mais bivouac sur place prévue, au parque Nacional Huerquehue. Je commence par le Mirador au Cerro San Sébastien. Je traverse une forêt d'arbres normaux (je suis ingénieur pas naturaliste), puis proche de la crête des Araucaria, et enfin je longe une crête avant d'arriver à l'objectif. Il m'arrive alors une galère incroyable... je ne sais pas vers quelle direction m'asseoir pour manger ma mangue tellement le panoramas est époustouflant. Finalement je choisi le sud-ouest, malgré la récente défaite du XV de France face à l'Irlande. Sur la descente, il m'arrive une 2e galère... je tappe mon genoux sur un rocher en glissant... ça fait mal, je boîte pendant 100m, puis la douleur devient supportable pour que je puisse courir jusqu'au point de départ. Sauf que j'avais prévue bien plus pour aujourd'hui, donc je décide de poursuivre en forcant légèrement sur le genoux. Finalement la douleur devient une gêne et je peux continuer sans m'en soucier. De retour donc à l'entrée du parc je prends mon gros sac à dos que j'avais laissé et direction le Lago Toro où j'ai repéré un bivouac sur maps.me. Sur le chemin j'ai une presque 3e galère avec une abeille qui me pique au cou. Je sens la morsure et mon cou qui hurtique. Je demande à des gens que je croise s'ils constatent une anomalie sur la zone concernée; réponse négative et je continue. Arrivé  au bivouac prévu j'y fais une sieste de 30min et je pars vers un sommet sans nom mais proche du Cerro Araucano. L'application me dit que la dernière monté est à 50% (énorme !!) et j'appréhende en m'y dirigeant. Finalement elle est bien à 50% mais est composée de terre et d'herbe, ce qui rend l'accès (hors piste) non casse-gueule. Arrivé au sommet j'ai la même vue que le matin mais pendant le couché de soleil. C'est un délire le panorama. Encore des volcans, des sommets cachant le soleil mais où les araucaria se démarquent sur les crêtes comme des cocotiers aux Maldives en contre jour, des lacs, des falaises, des couleurs, Dali, Mozart, Maradona, Pablo Neruda (pour citer un local); je ne sais pas quand m'arrêter de filmer en drone. Sur le retour il fait quasiment nuit et je m'amuse à ne pas utiliser la frontale jusqu'à mon bivouac. J'y arrive mais je l'allume tout de même pour monter la tente, me laver et faire à manger. Les crapauds me félicitant de ma performance de la journée, ils feront un boucan toute la nuit.
Bilan: 27km, 2400m d+ (!!!)
1 mars:
Mois du fin du congé sabbatique. Je redescends à l'entrée du parc en faisant quelques bonus vers des lacs et cascades, puis je prends le bus retour pour Pucon. Arrivé à l'hostel je croise une belge dont j'ai fait la connaissance l'avant veille et qui a son bras qui a triplé de volume suite à une morsure d'abeille. Elle me dit qu'une morsure au cou peut être fatale car si ça gonfle la trachée est bloquée empêchant la respiration. Elle doit sûrement raconter des bêtises. L'après midi je m'achète des chaussettes, ça faisait 3 mois que je n'avais pas une seule paire sans trou. J'aurai craqué 10 jours avant la fin...
Bilan: 8km, 300m d+
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drmicrochp · 1 year ago
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Lo que sabe el chucao
This article is in English further below. Here I am posting it in Spanish.
Lo que sabe el Chucao
En Chile hay algunas aves cuyo vociferante saludo hace que todos se detengan y presten atención. Por supuesto, la bandurria, con su constante graznido como el de un camión retrocediendo, nunca será olvidada. Pero aquí, en lo profundo del bosque lluvioso patagónico, el pequeño chucao es memorable. Su “cheep cheep cheep” me recuerda a un pequeño dispositivo electrónico calentándose, su pequeña caja de altavoz expulsando decibeles más fuertes de lo que su tamaño sugeriría. Pequeño, de color dorado, con un pecho a cuadros blanco y negro, prefiere correr por el suelo en lugar de volar por el aire. Este pájaro, junto con todos sus ruidosos amigos en el bosque lluvioso, canta porque están felices. Cantan porque son libres.
Necesito documentar todas las vistas a lo largo de este increíble viaje para nunca olvidar cada uno de los momentos que lo han convertido en el viaje de toda una vida. Hace 26 años no había carreteras abiertas donde estoy parado ahora. Los chilenos de una cierta tenacidad han atravesado montañas, excavado túneles, construido puentes y nivelado carreteras para hacer que esta ruta sea transitable. Transitable, apenas, con vehículos de tracción en las cuatro ruedas necesarios para la mayoría de los tramos. Eso o mulas de carga o burros de montaña. Una vez embarcados en esto, "prepárate".
Puerto Varas, Hornopirén, Chaitén, Puyuhuapi, Lago Elizalde, Coyhaique, Cerro Castillo, Puerto Tranquilo y Puerto Ibáñez. Lugares que nunca había escuchado antes de venir aquí. Raquel, mi esposa, leyó todos los sitios web, consultó a todos los que conocen estos lugares y llamó a todos los servicios de ferry públicos para descubrir cuándo podríamos cruzar los ríos y lagos con nuestro fiel Subaru. Resulta que la mayoría de las reservas de hoteles y transbordadores deben realizarse con dos meses de anticipación, no con el mes que habíamos previsto. Con persistencia e innumerables llamadas telefónicas, ella llenó todos los pequeños cuadros del calendario.
Entrando al denso bosque lluvioso y las imponentes montañas, albergaba sospechas (nunca expresadas) de que ni nuestra resistencia ni nuestro Subaru estarían a la altura de la tarea. Para sumar a mis dudas, estaba padeciendo una grave dolencia estomacal que nunca mencioné, no queriendo arriesgar la posibilidad de que se cerrara la ventana en nuestra cuidadosamente planificada empresa. Sabía que mi indigestión pasaría. Ninguna gran aventura viene sin algún sacrificio.
Pequeños valles tallados por la erosión de los glaciares en retroceso marcaban nuestro camino. Las puntiagudas cimas de las montañas nos miraban desde arriba, monstruos con dientes de sierra que asomaban sus cabezas sobre la tierra, custodiando los pasos de montaña. Nubes de polvo, cortinas de ceguera, seguían a cualquier vehículo que nos adelantara. A veces, detenerse para una fotografía valía el riesgo de que otro vehículo se acercara sigilosamente. La "Carretera Austral" es un nombre equivocado, a menudo una carretera de grava de un solo carril, donde los vehículos que se aproximan deben negociar un punto estrecho para pasarse uno al otro. La conquistamos cuatro horas a la vez. Los hostales, las posadas rurales de la Patagonia, eran nuestra recompensa al final de cada pequeño viaje, una oportunidad para disfrutar de café y algún pequeño pastelito.
Hornopirén fue lo primero, donde compartimos una habitación con una familia, quitándonos los zapatos al entrar. El uso de mascarillas era obligatorio y las heridas de la COVID eran recientes. La supervivencia, después de la pérdida de años de turismo, los había dejado más que cautelosos. Paneles solares flanqueaban el techo y la mezcla futurista de una oficina de computadoras, juguetes infantiles y una estufa de leña me recordaba a una familia de sobrevivientes postapocalípticos. Aquí también conocimos a nuestro primer chucao, que estaba muy emocionado por recibir visitantes en su hábitat remoto.
Puyuhuapi y el hostal Ventisquero fueron una vista bienvenida. Viajeros entrando y saliendo. Conocimos a los locales "Ángeles del Infierno" (motociclistas) en la cocina comunitaria. (En realidad, su club se llamaba "Aysén") Con sus formidables motocicletas, chaquetas de cuero negro y barrigas de cerveza, serían bienvenidos en cualquier bar de motociclistas. Una vez más, incluso un refugio comunitario, era un santuario en la carretera.
Usando coordenadas GPS, encontramos nuestra siguiente parada cerca de Coyhaique. El lugar se llamaba Lago Elizalde y era un castillo encantado en comparación con nuestras anteriores estancias. Como siempre, con la precisión de nuestras indicaciones de búsqueda del tesoro, tuvimos discusiones animadas sobre qué camino tomar o cuál era la dirección correcta. Encontrar el camino correcto sin marcar (típico) fue una cuestión de consultar a los leñadores locales. Por supuesto, llamar a alguien estaba fuera de cuestión. En el interior, el servicio celular es irregular. Encontrar este lugar maravilloso fue nuestra recompensa.
Carmen, la ama de llaves, recepcionista, cocinera y lavandera, siempre tenía una sonrisa a pesar de sus tareas interminables. Era un alma ligada por contrato, atendiendo a un flujo interminable de visitantes. Cojeando hasta la cafetería, otro edificio y otra colina desde nuestra cabaña, me dio la confianza para caminar hasta una cascada cercana, a menos de un kilómetro de nuestra ubicación. Sorpresas mágicas esperan a aquellos con el coraje de seguir adelante, a pesar de las dificultades y obstáculos.
Al regresar a Coyhaique, pasando por campos amarillos y las bocas hambrientas de piedra que nos flanqueaban por todos lados, descubrimos nuestra primera ciudad de la región Austral. El BnB "Raíces" parecía sacado de una revista. Muebles suecos modernos, paredes blancas como el cascarón de huevo y superficies de madera pálida de álamo. Vistas de ventanas de pared a pared de un jardín inglés. Iluminación desplazada. Un baño completamente blanco de cerámica. El desayuno por la mañana era solo para nosotros y tenía todo tipo de delicias, desde huevos y frutas hasta pan casero y bollos de canela. El almuerzo fue en una cafetería vegana artesanal con comida y ambiente excepcionales. Nos rodeaban mochileros extranjeros de todas las naciones.
A partir de ahí, fuimos en busca de una heladería especial, probando sabores que nunca soñamos. Lucuma, calafate, maki, fruta de pepino y chirimoya son algunos de los sabores locales que hemos descubierto aquí.
Viajando a Puerto Tranquilo, que habíamos imaginado como nuestra primera área de lanzamiento para muchas de las excursiones que habíamos planeado, nos encontramos con los muchos visitantes de la "nación Austral Woodstock". Estoy exagerando, pero este "pueblo de una sola calle" (Lonely Planet 2015) se ha convertido en un paraíso para los viajeros con excursiones a glaciares, las cuevas de mármol y la laguna San Rafael. Los tres podrían calificar como "maravillas del mundo" y todos son accesibles desde aquí. Sin embargo, muchos deben haber volado desde Santiago a Coyhaique y luego viajaron la distancia más corta. Hice una caminata con Raquel y nuestro hijo, Joaquín, a través de un bosque naranja y rojo de árboles arrayan, salpicado de escarabajos rinocerontes muertos, y vi a una comadreja salir de su madriguera. Joaquín se entretenía hablando con los pájaros, usando la aplicación Merlin en su teléfono celular. Algunos se relacionaron con él, pero la mayoría no se inmutó.
Imagina una cueva de rayas de caramelo en el borde del agua, estriada y retorcida en formas increíbles. Este es el lugar de las famosas "Catedrales de Mármol" o las "Cuevas de Mármol". El Lago General Carrera (Puerto Tranquilo) fue el sitio de una cantera de mármol, pero luego se abandonó porque el mármol extraído era demasiado suave, inutilizable para la construcción. Sin embargo, el lugar rayado de cal y blanco se volvió famoso a medida que el mármol poroso se erosionó en extraños agujeros fundidos, cuevas y salientes. Aparentemente, el agua ha estado disolviendo el mármol durante millones de años. Pilares de mármol erosionado sostienen techos de roca y mármol verde y pasajes hacia las cuevas se pueden navegar en bote o en kayak. Sin embargo, las aguas del lago son tan traicioneras que solo en días de clima perfecto se permiten las excursiones. Tuvimos la suerte de visitar en un día de verano tranquilo, brillante y soleado, cuando el mármol verde brillaba como helado de pistacho. Helado, derretido en formas extrañas donde todos los que los ven imaginan algo diferente.
Otros dos destinos notables, el glaciar "Exploradores" y el Lago San Rafael, todavía están más allá de mi alcance, ya sea por mi capacidad de escalada limitada o por la ocupación completa en todos los tours. El primero promete la oportunidad de saltar por encima de un glaciar con crampones y entrar en algunas cuevas de hielo. El segundo es un lago que bordea un glaciar donde los icebergs de colores del arco iris flotan sobre el agua, algún capricho de la naturaleza y la luz que colorean el hielo como conos de nieve vendidos en un día de verano.
Quizás hay más descubrimientos por delante para asombrarme y deleitarme. Después de todo, aún no hemos llegado al destino más al sur de nuestro viaje. Aves, escarabajos, flores, lagos, volcanes y montañas siguen atentos a nuestro paso, invadiendo sus santuarios, mientras miramos más allá del telón del dominio del hombre.
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krehzone · 2 years ago
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/[Testing]/ Faisán House; Coyhaique WIP #DS49
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iaeducation · 2 years ago
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Fake New:
Estudiante de Coyhaique denuncia discriminación por parte de inteligencia artificial en su liceo
Una controversia ha surgido en un liceo de Coyhaique, donde un estudiante asegura haber sido víctima de discriminación por parte de una inteligencia artificial utilizada en el establecimiento educativo. El incidente ha generado una fuerte polémica en la comunidad estudiantil y entre los padres de familia.
En los pasillos del Liceo Altos del Mackay, un estudiante de nombre Martín Gómez, de 17 años, ha alzado su voz tras ser objeto de discriminación por parte de una inteligencia artificial implementada en el sistema educativo del establecimiento. Según Martín, el sistema, que debería ser objetivo y justo, lo ha tratado de manera injusta y desigual.
El incidente tuvo lugar el día 2 de Junio durante una prueba de matemáticas en la que los estudiantes respondían preguntas en una plataforma en línea. Martín asegura que la inteligencia artificial calificadora le otorgó una calificación muy baja en comparación con sus compañeros, a pesar de haber respondido correctamente. Además, señala que ha notado un patrón de calificaciones injustas en otras asignaturas también.
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Al buscar respuestas, Martín descubrió que el algoritmo utilizado por la inteligencia artificial estaba programado con prejuicios y sesgos, lo que resultaba en una discriminación sistemática hacia él y otros estudiantes pertenecientes a ciertos grupos. A pesar de que Martín y otros estudiantes presentaron pruebas de sus respuestas correctas, la inteligencia artificial se mantuvo inflexible en sus evaluaciones.
Ante esta situación, los padres de Martín y otros padres de familia han expresado su indignación y han solicitado una investigación exhaustiva para determinar las razones de esta discriminación y exigir cambios en el sistema educativo del liceo.
La denuncia de discriminación por parte de la inteligencia artificial en el Liceo Altos del Mackay ha generado un debate acalorado en la comunidad educativa de Coyhaique. La necesidad de garantizar sistemas tecnológicos imparciales y justos se ha convertido en un tema de discusión importante. Las autoridades del liceo se han comprometido a investigar a fondo el incidente y revisar los algoritmos utilizados para evitar futuros casos de discriminación.
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