#cours chant opéra
Explore tagged Tumblr posts
Link
#Chatou c'est la rentrée à #espaceVocal pour les #coursdeChant #opéraOratorio #comédieMusicale #variété #gospel
#cours de chant#école de chant#chatou#le vesinet#rueil malmaison#croissy#cours chant opéra#cours chant comédie musicale#cours chant variété#cours chant gospel
0 notes
Text
Une certaine idée de la musique dans l’œuvre de Fellini
Rétrospective : Federico Fellini (Federico Fellini) - critikat.com - le site ... Qui est Nino Rota ? Le nom de ce compositeur est pour le moins célèbre ; associé de façon durable à celui du cinéaste Fellini, son patronyme exhale un parfum d’italianità qui renvoie aux images, presque d’Épinal, de l’univers du rythme napolitain, du chant exubérant, de la clameur solaire des harmonies latines. Étrange couple que celui formé par l’« hénaurmité » de Fellini et la science musicale de Rota, qui parfois empêche de discerner clairement les idiosyncrasies de l’un et de l’autre : rappelons quelques faits sur le compositeur, à même d’éclairer son œuvre foisonnante, une des plus belles contributions de l’antique art musical au moderne art cinématographique. Nino Rota a le profil du «parfait compositeur» : né en 1911 dans une famille de musiciens, il étudie au conservatoire de Milan, centre névralgique de l’univers opératique (l’opéra, genre proto-cinématographique, qui permit de faire le lien entre le théâtre et la pellicule !) et démontre sa précocité en composant un oratorio, L’Infanzia di San Giovanni Battista, à l’âge de douze ans ; cette œuvre sera représentée, y compris en dehors de l’Italie, à Paris. Âgé de 18 ans, il entre au prestigieux conservatoire Santa Cecilia de Rome, et il fait la connaissance d’un génie lui aussi doté d’une personnalité telle qu’il en deviendra de son vivant même légendaire, le maestro Arturo Toscanini, familier de Verdi et de Puccini, au sens propre du terme, puisqu’il les connaissait : ces deux compositeurs seront déterminants dans l’évolution du style de Rota, qui jusqu’à la fin de ses jours n’aura de cesse de rendre hommage à ces deux compositeurs dont la musique, rappelons ce fait, est aujourd’hui encore la plus jouée au monde. Par ailleurs, ne peut-on pas deviner, en dépit de son caractère ouvertement allemand, dans le personnage du chef d’orchestre de Prova d’Orchestra, l’ultime collaboration entre Rota et Fellini, un portrait, une allusion simplement, aux colères frénétiques et aux éclats rugissants de Toscanini ? Sans doute plus qu’intéressé par le talent de ce jeune homme, Toscanini lui conseille de rejoindre les États-Unis, et notamment Philadelphie, autre ville célèbre dans le monde pour son enseignement musical. Rota a le privilège d’apprendre en Amérique, outre la composition, la direction d’orchestre sous la conduite de Fritz Reiner, célèbre chef de l’époque. Gageons que son expatriation lui dicta, peut-être inconsciemment, le superbe thème du Parrain II de Coppola, lorsque le jeune Corleone franchit la baie d’Hudson et débarque en ce nouveau monde porteur d’espérance et de misère. Rota mène parallèlement une carrière d’enseignant et de compositeur (on lui doit, parmi ses nombreuses œuvres, dix opéras, presque autant que Puccini !), et jusqu’à sa mort en 1979, ses collaborations avec de célèbres cinéastes sont légion : Visconti, Coppola, Verneuil, Comencini, Young, Zeffirelli, et bien sûr, Fellini, dès son premier film en solo derrière la caméra, Lo Sceicco Bianco en 1952. Les musiques du Parrain, de Rocco et ses frères, du Guépard, sont devenues des classiques, et sont parfois jouées en concert. L’orchestre philharmonique de la Scala, sous la direction du célèbre chef d’orchestre Riccardo Muti a enregistré une partie de ces musiques, qui s’écoutent sans le soutien des images. Et voilà le cœur du problème : parler de la musique de film, et plus précisément de la musique dans les films de Fellini, implique de définir le champ d’investigation. Ce ne sont pas les images qui donnent leur qualité aux notes, et de la même manière, aussi belle que soit la musique, elle ne change rien à la pellicule ! Quant à parler d’interaction… c’est là que le bât blesse ! Quelques réflexions sur le style de Nino Rota Nino Rota n’est pas un novateur : sa musique, on l’a dit, est un hommage constant aux maîtres italiens (la musique du Guépard utilise un matériau issu d’une musique inédite de Verdi) et d’un point de vue strictement historiographique, elle apparaît comme « figée » dans un classicisme, voire un académisme certain. Que ces mots ne paraissent pas méprisants ! Il est un fait dans l’histoire des arts, que tous les créateurs qui ont eu l’insigne honneur de laisser leur empreinte dans le cours du temps n’étaient pas forcément des génies visionnaires : ceux que l’on nomme avec, hélas, une certaine condescendance, ‘les petits maîtres’ sont nombreux, et celui qui ferait abstraction de leur existence serait condamné, au-delà d’un manque d’empathie et d’humanité certain, à faire preuve d’une mauvaise foi évidente. Rota a un style mélodique, essentiellement, et très marqué par une conscience rythmique énergique, que l’on appellera simplement la pulsation (ce que les Américains nomment «drive»). Il est notable d’observer l’influence du jazz dans son œuvre. En vérité, et là encore, que l’on ne voit aucune animosité dans ces paroles, Rota écrit comme un compositeur italien, avec le chant au bord des lèvres, et la passion au bord du cœur. Mais cette simplicité fera sa force dans le travail qu’il accomplit auprès des cinéastes. En effet, Rota est un artiste « opératique » ; il n’est pas étonnant que le cinéma lui ait permis d’accomplir ce qu’il n’a pu faire sur la scène théâtrale. Là où ses opéras, certes presque aussi nombreux que ceux de Puccini, mais sans l’once du génie transcendantal du maître Puccini, ont échoué, ses musiques de film ont triomphé. L’opéra est le genre de la caractérisation mélodramatique parfois, dramatique, au sens grec, toujours. La musique de Rota, tracée au cordeau, nerveuse, aux thèmes immédiatement catharsique (que l’on écoute de près Le Parrain ou Amarcord et l’on y découvrira des trésors d’inventivité dans la simplicité) est évidemment propice à la rapidité nécessaire du geste musical dans un film. L’image est immédiate, et son illustration musicale ne peut s’encombrer d’un développement cérébral trop long. Et pour ajouter à ce génie de l’effet, que possédait Rota, il n’est pas inutile de rappeler que des cinéastes comme Zeffirelli ou Visconti se sont illustrés dans le genre de l’opéra, soit filmé (avec plus ou moins de bonheur, mais il s’agirait là d’un autre sujet d’étude !), soit théâtral (la mise en scène de Don Carlo de Verdi par Visconti à Covent Garden figure au firmament des merveilles de l’opéra, tout en restant très classique). Et Coppola fait la part belle à l’opéra Cavalleria Rusticana de Mascagni dans Le Parrain III lors d’un final mémorable. Rota apparaît donc comme un choix naturel pour illustrer les images de ces cinéastes. Également, l’orchestration de Rota est singulière : il sépare sciemment les pupitres, faisant ainsi sonner les familles de l’orchestre avec un certain goût pour l’effet de masse (on entendra ainsi les cordes seules, puis les bois, avant de goûter à une fanfare cuivrée bien sentie). Il serait facile de qualifier ces procédés de didactique ou de simpliste. Rota trace des lignes musicales bien définies, claires, parfois denses comme peuvent l’être des esquisses ou même des œuvres picturales tracées à grands traits de pinceau ou de crayons à la pointe épaisse. Enfin, mentionnons le goût de Rota pour les musiques de fête ou de cirque, et pour la musique populaire (il utilise une chanson sicilienne, ou inspirée par la tradition sicilienne, pour Le Parrain au son de la mandoline et des guitares) : voilà un style qui résume ses intentions musicales ; des thèmes aisément mémorisables, et tournoyant indéfiniment (ah, la tension faussement innocente dans la musique de «la passerella di addio» de 8 ½ ! Que l’on nous pardonne d’offenser peut-être Fellini, mais son film ne serait pas le chef d’œuvre qu’il est sans cette musique, ou plutôt, il n’aurait pas la cohérence et les sous-entendus émotionnels qui donnent le vertige à la vision de ce monument !). Répétons-le, ce rapide examen du style de Rota pourrait paraître peu flatteur. Il n’en est rien. Chaque compositeur a sa propre place dans l’histoire de la musique, et Rota fait honneur à la sienne. Sa simplicité, son manque d’audace (mais il n’en avait peut-être rien à faire !), son immédiateté, son incroyable saisissement de l’instant dramatique, achèvent d’en faire un compositeur majeur, que Fellini a bien fait de solliciter ! La simplicité est un art difficile, et même les plus grands génies de la musique le savent : à un élève qui lui demandait des conseils pour composer, Verdi répondit qu’il devait commencer par composer une mélodie a capella qui sonnât par elle-même avant d’envisager la lourdeur d’une composition d’orchestre. Gageons que Rota eût passé cet examen avec succès...
#federico fellini#nino rota#VOYAGES EN ITALIE#ARIANE PRUNET#ANNE-VIOLAINE HOUCKE#ROMAIN ESTORC#VINCENT AVENEL
8 notes
·
View notes
Link
Libérez votre voix, jazz, variété, Opéra, Comédies Musicales cours d'essai gratuit Clarensac (30870) https://www.pepsdom.fr/cours-chant/liberez-votre-voix-jazz-variete-opera-comedies-musicales-cours-d-essai-gratuit-i102889
0 notes
Text
Une conversation avec Rudy Giuliani autour de Bloody Marys
Traduction de A Conversation With Rudy Giuliani Over Bloody Marys at the Mark Hotel, de Olivia Nuzzi
Rudy, pas au Mark Hotel. Photo: Elsa/Getty Images.
Alors que le SUV noir se gare au bord de la 33ème rue de Manhattan, clignotants en marche, une main pâle émerge par la fenêtre passager et fait un petit signe. Elle est rattachée à Rudy Giuliani, qui sourit derrière ses lunettes en écailles de tortue. Il s’excuse de son retard : “Je peux pas marcher sur les trottoirs comme avant”, une référence à l’un des avantages de son ancienne vie de maire.
Nous sommes le dimanche 8 décembre, tôt dans l’après-midi, et Giuliani rentre juste d’Ukraine où, selon ses dires, il est allé chercher des informations qui permettraient de combattre la tentative de destitution de son client, Donald Trump, président des Etats-Unis.
“On s’est faufilés hors de Kiev pour ne pas avoir à répondre à toutes sortes de questions”, dit-il sans préciser si ces questions auraient été posées par des journalistes ou par des officiels du gouvernement. “Ils pensaient tous qu’on allait partir vendredi matin et je nous ai fait partir jeudi soir vers Vienne en avion privé”.
La banquette arrière est recouverte de bagages. Son garde du corps depuis dix ans est un policier de New York à la retraite qui aime Donald Trump presque autant qu’il aime son patron. Il sort pour mettre les sacs dans le coffre et Giuliani passe à l’arrière.
Giuliani me dit être arrivé à son hôtel Viennois à 2h30 du matin et d'avoir sur-le-champ consulté les billets d’opéra disponibles. “Et là surprise, vendredi soir ils jouaient la Tosca dirigée par Marco Armiliato”. Il me chante une aria de Rigoletto, l’un des premiers opéras qu’il a aimés en découvrant cet art au lycée. Il agite les mains d’un air théâtral.
Par-dessus un sweater, il porte un costume bleu sombre. Sa braguette est ouverte. Il a aussi des accessoires : un pins du drapeau américain, un portefeuille tissé aux couleurs du drapeau américain, un diamant serti dans une bague à auriculaire, et un second diamant serti dans un anneau des Yankee World Series (au sujet duquel une question innocente provoque un quart d’heure de diatribes à propos de ce “putain de Wayne Barrett”, un journaliste qui parvient à enrager Giuliani jusque depuis sa tombe).
Giuliani n’est pas seulement l’avocat personnel et gratis de Trump. A 75 ans, il est aussi dans la cybersécurité : conseiller informel auprès de la Maison-Blanche ainsi que consultant hors de prix. L’une de ses mains serre trois téléphones de tailles diverses. Deux des appareils sont débloqués. Frottés l’un contre l’autre et contre la paume de Giuliani, leurs écrans révèlent des onglets ouverts et un barrage de notifications. Il active accidentellment Siri, qui dit ne pas comprendre sa commande. “Elle ne me comprend jamais”, dit-il. Il soupire et touche son écran pour la faire taire.
Giuliani aime dire qu’il connaît “chaque pâté de maison de la ville”, mais il vit dans l’Upper East Side et ne s’attarde jamais longtemps ni à l’ouest ni au sud du parc. Quand je lui demande de m’emmener dans un lieu qu’il aime fréquenter, il indique très vite à son garde du corps le Mark Hotel, un cinq étoiles de la 77ème Est. Un homme d’habitudes, Giuliani a de nos jours une conscience aigue des lieux prêts à l’accueillir. Il dit qu’à cause “de ce qui s’est passé” son cercle se restreint et qu’il ne fait plus confiance à personne.
Je lui demande comment il a jamais pu faire confiance à Lev Parnas et Igor Fruman, deux associés Russes à la tête d’une entreprise nommée “Fraude Garantie”, arrêtés en octobre par le FBI. “Ils ont l’air de types de Miami. Je connais beaucoup de gens de Miami qui ont cet air, qui sont parfaitement réglos et qui ont le même style,” me répond Giuliani. “Ni l’un ni l’autre n’a déjà été condamné. Aucun des deux. Et c’est ma limite en général, parce qui se on se base sur les allégations et les affirmations et... on ne travaille plus avec personne”, dit-il en riant. “Surtout en affaires.”
Nous remontons vers les quartiers chics pendant qu’il monologue sur le scandale dont il est coauteur, glissant d’un argument préfabriqué à un autre. Il dit que l’ancienne ambassadrice Marie Yovanovitch (qu’il appelle Santa Maria Yovanivitch) est “contrôlée” par George Soros. “Il a mis les quatre ambassadeurs là-bas. Et il emploie des agents du FBI”. Je lui dit qu’il a l’air fou, mais il insiste : il ne l’est pas.
“Ne me dites pas que je suis antisémite parce que je m’oppose à lui”, me dit-il. “Soros est à peine juif. Je suis plus juif que Soros. J’en sais probablement plus sur... il ne va pas à l’église, il ne va pas à la religion... synagogue. Il n’appartient pas à une synagogue, il ne soutient pas Israel, c’est un ennemi d’Israel. Il a élu huit procureurs anarchistes aux Etats-Unis. C’est une personne horrible.”
Dans la grande tradition des conspirationnistes Sorosiens, Giuliani croit que les médias travaillent pour Soros en publiant des mensonges à son sujet ; mais il se prend souvent les pieds dans le tapis alors même qu’il essaie de discréditer les déclarations des médias. Tout en essayant de me convaincre que, contrairement aux affirmations de la presse, il “n’a pas d’intérêts commerciaux en Ukraine”, il me parle de ses intérêts commerciaux en Ukraine.
“J’ai fait deux deals en Ukraine. J’ai essayé d’en faire quatre ou cinq autres,”. Il me dit avoir eu deux opportunités en Ukraine depuis qu’il représente le président, et avoir rejeté les deux pour évité toute accusation d’impropriété.
“Ce que je voulais vraiment faire”, dit Giuliani, c’est un procès au nom du gouvernement ukrainien contre une grande institution financière qui, selon lui, a blanchi sept milliards de dollars pour l’ancien président, Viktor Yanukovych. “Ca n’aurait rien eu à voir avec Trump ou Burisma ou Biden,” me dit-il. Il m’explique ensuite que la raison pour laquelle il “voulait vraiment” se saisir de ce dossier, c’était pour en apprendre plus sur le blanchiment en Ukraine, “ça m’a permis de comprendre qu’ils utilisent le même système de blanchiment pour Hunter Biden.”
“J’y ai réfléchi pendant un mois, à peser le pour et le contre, puis j’ai transmis le dossier à un autre avocat”. “J’ai quand même pu apprendre certaines choses sur le système de blanchiment.”
Giuliani est convaincu que pour abattre le président, il faut d’abord atteindre ses hommes ; il est donc assiégé, victime d’une conspiration visant à destituer Trump. Cette conspiration inclut les médias, les Démocrates, le deep state et même certaines personnes qu’il croyait réellement connaître.
A ce sujet, Giuliani est émotif. Il lit les articles à son sujet et voit que ses amis, ces “sources proches de l’intéréssé”, sont utilisés par les conspirateurs comme des armes et contribuent à lui donner cette image publique d’un homme hors de contrôle. Ce sont les mêmes qui, préoccupés, lui ont dit de prendre soin de l’image qu’il laissera derrière lui. Il me dit : “Et mon attitude à propos de l’image que je vais laisser derrière moi c’est : j’en ai rien à foutre.”
Son ex-femme avait sous-entendu dans une interview avec New York Mag qu’il était alcoolique. “Ouais ouais, je prends plein de drogues”, dit-il d’un ton sarcastique. “J’étais accro à une drogue, j’ai oublié laquelle. Je ne sais pas d’où ça vient, cette histoire de drogue, vraiment pas. L’alcool vient du fait que je bois effectivement, à l’occasion. J’adore le Scotch. J’y peux rien. Tous les malts. Et aussi les cigares. J’adore boire du scotch en fumant un cigare. J’aime faire la fête.”
Et il y a le District Sud de New York, la plus grande des trahisons. C’était censé être son monde, avec ses hommes à l’intérieur ; il a dirigé le bureau pendant la majeure partie des années 80. Un bureau aujourd’hui méconnaissable. “S’ils enquêtent sur moi, c’est des connards. C’est vraiment des connards s’ils enquêtent sur moi”, me dit-il.
Il parle les yeux braqués droit devant lui. Il se tourne rarement pour me regarder dans les yeux. Sa bouche se ferme, de la salive coule d’entre ses lèvres, puis descend sur son visage, le long d’une ride. Il ne s’en rend pas compte et la salive tombe sur son sweater.
“Si oui, c’est des idiots,” poursuit-il. “Dans ce cas c’est vraiment juste une bande de cinglés libéraux anti-Trump”. Il ajoute ne pas savoir si une enquête sur lui est en cours, alors même que des assignations à comparaître transmises à des associés de Giuliani par le District Sud contiendraient, paraît-il, des demandes de documents et correspondances liés à Giulani, à son entreprise, et spécifiquement à “tout paiement avéré ou potentiel” par ou pour Giuliani.
“S’ils croient que j’ai commis un crime ils ont perdu la boule”, dit-il. “Je fais ça depuis 50 ans. Je sais comment ne pas commettre de crimes. Et s’ils croient que j’ai perdu mon intégrité, alors ils on peut-être perdu la leur dans leur folie de haine anti-Trump et des choses qu’ils ont faites que j’aurais jamais faite quand j’étais procureur fédéral.”
Il dit se demander s’ils ne sont pas jaloux de lui parce que, trente ans après sa démission, des milliers de condamnations derrière lui, le bureau aurait décliné. Les nouveaux, ceux qui sont arrivés après, il dit qu’ils aimeraient poursuivre la mafia comme il le faisait. Qu’ils ne pourraient pas faire ce que lui faisait.
“C’est terrible à dire parce que ça va les bouleverser au District Sud, mais je sais pourquoi ils sont bouleversés,” dit Giuliani. “C’est parce que depuis moi, ils n’ont jamais rien fait de mon niveau. Ils n’ont pas eu huit ans comme je les ai eus, depuis que j’ai arrêté d’être procureur. Ils en sont loin.”
“De la jalousie”, il ajoute, “et parce que ma philosophie politique et la leur sont différentes. Ils sont tous... des gens impulsifs, illogiques, anti-Trump, y compris la fille de James Comey, elle travaille là-bas. Vous ne pensez pas qu’elle est amère ? Vous savez par quels noms j’ai appelé son mari ? J’ai embauché son mari.”
Il veut dire : son père.
“Son père,” dit-il. “Je trouve que son père est une honte. Je suis gêné de l’avoir embauché. J’ai jamais vu personne diriger le FBI comme ça.”
La voiture s’arrête entre la 77ème et Madison. “Votre honneur, est-ce que je vous sécurise une table ?” demande le garde du corps. “Euuh,” dit Giuliani, puis une pause. “Ouais.”
Nous entrons dans le hall de l’hôtel et Giuliani dit que même s’il n’a pas encore parlé de la possibilité d’être l’avocat du président lors du procès au Sénat, son désir de revanche serait satisfait s’il pouvait mener un contre-interrogatoire sur des Démocrates du congrès et des témoins célèbres, chose qu’il n’a pas faite depuis les années 90.
“Je fais ça très bien. C’est ma plus grande qualité d’avocat.”, dit-il. “J’adorerais, je les éclaterais... vous savez même si ça ne me plaît pas de ressembler à un avocant ridicule et prétentieux, les contre-interroger ça serait, je ne sais pas, j’aurais pu le faire dans ma deuxième année en tant que procureur assistant. C’est tous des clowns.”
“Je planifie le contre-interrogatoire pendant des jours et des jours,” me dit-il au sujet de sa stratégie. “Et j’essaie d’apprendre sa personnalité. D’apprendre quand il va mentir, comment il va mentir. J’essaie d’apprendre comment le détendre, comment lui donner confiance. Je travaille en fonction du type de personnalité. Est-ce qu’il est prétentieux ? Est-ce qu’il a des points sensibles ? Quelqu’un comme Biden par exemple, il est extraordinairement sensible au sujet de son intelligence.”
Il a quelques idées pour s’attaquer à la crédibilité des témoins. “Le type qui a entendu l’appel téléphonique”, par exemple, “est-ce que quelqu’un a regardé si le type avait des écouteurs ? Peut-être qu’il avait oublié de les mettre. Il a quel âge ? Il a quel âge, ce type ?” Il dit que l’homme était peut-être sourd, qu'il peut avoir mal entendu. “Comment on sait que ce n’est pas un schizophrène paranoïaque ? Comment on sait qu’il n’est pas alcoolique ?”
Mais selon lui, la stratégie de Lindsey Graham et Mitch McConnell est de répondre aux preuves des Démocrates par un haussement d’épaules : “C’est votre problème, ça n’intéresse personne, on s’en fiche.”
L’hôtesse nous mène jusqu’au restaurant. Alors qu’il descend la rampe recouverte de moquette, Giuliani tombe sur sa droite et heurte le mur. Il continue de marcher comme si de rien n’était. J’entends quelqu’un dire “Mon Dieu, c’est Giuliani”. Il hoche la tête et fait un signe à des gens qu’ils connait, de l’autre côté du restaurant. Il s’arrête pour serrer la main d’un homme âgé et de sa femme.
“Je voudrais de l’eau pétillante. Et je sais que vous faites un merveilleux Bloody Mary,” dit Giuliani au serveur. “Oui Monsieur,” répond le serveur, “et je sais que vous les aimez.” Giuliani s’esclaffe. “Vous êtes un homme bien !”.
Une fois qu’il a commandé une omelette et du bacon extra croquant, je lui parle du mystérieux journal d’appels inclut dans le rapport du comité sur les renseignements de la chambre des représentants ; un journal qui suggère que Giuliani a échangé avec quelqu’un dans la Maison-Blanche lors de moment cruciaux pendant les allers-retours entre Trump et l’Ukraine. Le rapport dit que le numéro était “associé” au bureau du management et du budget (BMB).
“Je pense que je n’ai jamais parlé au BMB,” me dit Giuliani. “C’est sûr que ça n’est pas clair. Je ne m’en souviens même pas. C’était peut-être mon fils”. Son fils, Andrew Giuliani, est l’assistant aux relations publiques du président. Il suggère avoir peut-être appelé pour parler de l’équipe de baseball de la Maison-Blanche avec Andrew, que ce dernier entraîne, et à laquelle Giuliani dit porter un grand intérêt. “Je ne sais plus qui j’ai appelé. Je parle surtout au président.”
Il dit qu’il appelle parfois la Maison-Blanche pour parler à Jared Kushner et qu’il aime blaguer avec lui : “Je l’ai appelé juste pour me moquer de lui parce que j’avais dit qu’il était indispensable ; je pensais le contraire.” Et pour parler à Dan Scavino, le directeur des réseaux sociaux, en poste depuis longtemps. Mais c’était souvent le président qui appelait Giuliani. “Il m’appelle beaucoup avant et après le travail. En général je n’aime pas le déranger au milieu de la nuit,” dit-il. “J’appelle le standard principal et parfois on me renvoie sur un autre numéro. Je ne sais pas qui j’ai appelé.”
Il dit que lui et l’autre avocat présidentiel, Jay Sekulow, appellent souvent le président ensemble. “On préfère tous les deux le faire ensemble, pour avoir chacun notre interprétation de l’appel.”
Il jure que même s’il ne sait pas qui il a appelé, il sait qu’il n’a eu aucune discussion inappropriée avec cette personne, quelle qu’elle soit. “Ces appels... je peux vous dire de quoi on ne parlait pas : on ne parlait pas d’assistance militaire. Je n’ai jamais parlé d’aide militaire avec eux. Jamais parlé d’aide militaire avec qui que ce soit avant que ça apparaisse dans le New York Times fin août 2019. Je ne savais pas du tout qu’on leur refusait une assistance, si on la leur refusait.” Il n’avait pas trouvé ça bien grave après avoir lu l’information, parce que c’était “du Trump typique, il refuse son aide jusqu’à la dernière minute puis il demande qu’on le supplie.”
Il lève la brochette d’olives de son Bloody Mary et en enlève une avec ses dents. Il continue de parler en mâchant, et commande un second Bloody Mary.
Je lui demande s’il représenterait mieux le président dans un procès que ne le ferait Jay Sekulow. Il sourit : “Jay est un autre genre d’avocat. Il est plus académique. J’ai parlé devant la cour suprême une fois seulement, lui 14 fois. Je ne sais pas combien de fois Jay a fait des contre-interrogatoires. Moi, des milliers.” (Puis il y réfléchit et dit “une centaine”).
“Non mais il serait mieux que moi au tribunal. Il connaît mieux les juges, il comprend mieux leur tempérament.”
Si on en arrivait à ça, Trump pourrait quand même le choisir. “Si c’est un dossier vraiment agressif, il me préférerait. Il était très agacé parce que ces dernières semaines je rassemblais des infos pour lui, je n’étais pas à la télévision. Les gens qui pensent qu’il n’aime pas comment je suis à la télévision, je ne sais pas d’où ça leur vient. C’est tout le contraire.”
Il tente de démontrer que le Viktor Shokin, procureur Ukrainien licencié pour corruption, n’était en fait pas corrompu et s’est fait sortir par l’administration Obama précisément parce qu’il avait des informations sur les Bidens. Il prétend aussi connaître un informant en possession de preuves que Hunter Biden s’est fait payer à travers une banque Chypriote grâce à une transaction qui aurait transité par une banque Lithuanienne. “Quand je l’ai eu,” à savoir le document qui prouverait ces faits, “j’avais déjà perdu Lev, donc je n’avais pas de traducteur. Je l’ai traduit avec mon application,”. Il sort son téléphone et m'explique comment Google Traduction fonctionne.
De retour à l’arrière du SUV, Giuliani dit à son garde du corps de le déposer chez lui puis de me ramener à mon hôtel. “Oh, regardez ces pauvres gens,” me dit-il en regardant vers le parc, en direction d’un homme et d’une femme assis sur un banc. “Quand j’étais maire, en arrivant chez moi, j’aurais appelé le directeur des services aux SDF. J’ai quelqu’un sur la cinquième entre 70... est-ce que c’est 75 ou 76 ? Un couple, ils ont l’air d’être gelés, allez voir si vous pouvez leur trouver un abri. J’avais entraîné tous mes fonctionnaires à faire ça. Et on est descendu à presque rien, presque 0.” Le couple sur le banc n’a pas l’air d’être à la rue.
Quand Giuliani descend de la voiture, son garde du corps lui demande : “Vous avez les trois téléphones ?” Il lui répond “Ouais, j’ai les trois téléphones. Faut que je descende à deux téléphones. Je vais essayer ça ce soir.”
Quelques minutes plus tard, en chemin vers le centre ville, un éclat de lumière réfléchie remonte jusqu'au coin de mon oeil. C’est l’écran d’un des téléphones, que Giuliani a laissé sur le siège à côté du mien.
Je le tends au garde du corps, qui rit. Il appelle Giuliani pour lui dire. Giuliani rit aussi.
1 note
·
View note
Text
« Gat et croix », troisième partie.
[ Version française ]
Les instants qui suivirent furent remplis d’un silence pesant entre les deux jeunes gens. Ni l’un ni l’autre ne semblait savoir quoi dire. Comment le jeune homme aurait-il pu se faire comprendre, alors qu’ils ne parlaient pas la même langue ? Il finit par se dire que si la jeune femme se trouvait dans son pays, si lointain du sien, elle devait bien avoir appris sa langue ; pourtant, malgré cette réflexion, il fut assez surpris de l’entendre s’exprimer en coréen. Son discours était hésitant, et prononcés avec un fort accent ; mais cela suffit pour lui faire perdre les mots. Sa nature maladroite prit le dessus et il trébucha sur ses mots avant de se présenter. Il prononça lentement son nom, espérant que la jeune femme puisse le comprendre. Un soupir de soulagement le quitta quand la demoiselle répéta son nom dans un murmure avant de lui donner le sien.
Jamais il n’avait entendu un tel nom, un nom qui sonnait comme le chant d’un oiseau au lever du jour. Son nom si étrange allait à merveille à cette femme qui ressemblait à une de ces belles enchanteresses dont on chantait la beauté dans les pansori[1]. Il répétait son nom dans sa tête comme s’il s’agissait d’un sutra, et bientôt il se perdit à nouveau dans ses pensées ;et si la jeune missionnaire ne lui avait pas effleuré l’avant-bras en prononçant son nom, il ne serait jamais revenu de son doux rêve. A la sensation de cette petite main qui venait de l’effleurer, le rose monta rapidement à ses joues et ses yeux se détournèrent de ceux de la jeune femme. Sa bouche s’ouvrit alors, espérant pouvoir prononcer de nouvelles paroles, mais il fut rapidement interrompu par un cri.
Un homme, debout de l’autre côté du jardin, venait de crier le nom de la jeune femme. Le jeune homme ne comprit pas les mots qui suivirent ce cri, mais les mouvements de la jeune femme étaient suffisamment clairs. Celle-ci devait partir, alors qu’ils ne venaient de passer qu’une simple minute ensemble. Sur son visage se lisaient alors peine et jalousie. Lui qui peinait à la rencontrer, qui n’avait pu s’exprimer qu’un court instant. Lui qui voulait entendre plus longtemps cette voix qui l’avait désormais envoûtée. La regarder partir fit naître en lui une nouvelle sensation, celle de son cœur qui se serrait dans sa poitrine. Il n’avait jamais connu cela, une telle tristesse. Il s’imaginait déjà ne plus la revoir pour encore plusieurs jours ; son dos serait peut-être la dernière chose qu’il apercevrait. Mais ce ne fut pas le cas.
Juste avant de rejoindre son compagnon de route, la jeune étrangère se retourna une dernière fois, à quelques mètres de ce jeune homme qui sous le soleil ressemblait à un ange. Elle prononça quelques mots, espérant être comprise, et la couleur rose qui montait aux joues de son interlocuteur lui donna la réponse. Elle sourit alors, une ultime fois, avant de reprendre son chemin et de rejoindre son ami. Laissant le jeune homme, les joues rouges, cloué sur place.
Sur son chemin, la jeune femme ne pouvait pas calmer son cœur. Elle rejouait ses paroles dans sa tête, se demandant si elle avait bien fait. Avait-elle bien fait de lui de lui dire qu’elle attendait de revoir son visage, le soir-même durant le dîner ? Ou bien cela était-il de trop ? Avait-elle était trop directe, alors que lui n’avait fait que rougir ? Ou bien ces joues roses étaient-elles une réponse positive ? Elle ne le savait pas, et étrangement cette incertitude ne la dérangeait point. Cela la rendait plutôt impatiente, comme une enfant. Une impatience qu’elle n’avait pas ressentie depuis des années.
Arrivée à sa destination, après avoir franchi quelques couloirs, elle dut contenir ses émotions ; retourner à un visage neutre avant de se présenter au chef de son expédition. Elle ne devait en aucun cas laisser paraître ces émotions nouvelles et interdites en tant que nonne. Et après des années à cacher ses émotions, cela était d’une grande simplicité. Même Père Honoré ne pouvait savoir ce qu’elle pensait quand elle montrait un tel visage ; alors si Frère Clothaire, le chef de son groupe de missionnaires, arrivait à voir à travers son âme, cela tenait du miracle de Dieu. Cet homme ne faisait jamais attention à son entourage s’il n’y était pas obligé.
La raison pour laquelle on l’avait obligée à quitter l’instant qu’elle partageait avec ce bel homme était que Frère Clothaire souhaitait parler sérieusement de la conversion de membres de la Cour avec ses compagnons. Il passa de longues minutes à expliquer la démarche qu’il avait imaginée, et les personnes qu’il voulait convertir en priorité : il s’agissait des jeunes membres de la Cour, ceux qui étaient assez âgés pour avoir une once de liberté. Frère Clothaire pensait que commencer par ces personnes permettrait ensuite, peut-être, de pouvoir expliquer aux membres plus anciens la conception de Dieu. Et Dieu seul savait si cette idée marcherait. La jeune femme, elle, pensait que cela ne marcherait pas, car après tout si les habitants hors du palais ne les écoutaient pas, pourquoi les nobles le feraient-ils ?
Pourtant le Frère Clothaire ne s’inquiétait pas, alors que leurs efforts à l’extérieur ne donnaient toujours rien ; et ce jour-là ils rentrèrent à nouveau bredouilles au Palais quand la nuit tomba. Le moral de la jeune femme était presque au plus bas, après un nouvel échec. Elle en oublia presque qu’elle avait été plus tôt excitée à l’idée d’aller dîner. Et ce n’est qu’en entrant dans la grande salle, en regardant les visages des autres convives, qu’elle se remémora ce sentiment. Il était là, assis parfaitement droit devant son plateau, la peau embrassée par la lumière de la lune qui traversait la pièce. Elle s’assit face à lui, leurs yeux se croisèrent à nouveau avant de se baisser avec timidité. Et les premiers mots mirent quelques instants à venir, chacun trop timide pour oser s’adresser à l’autre. Le jeune homme retrouvait sa maladresse, ses mains tremblaient en tenant ses baguettes alors qu’il essayait d’être élégant dans son attitude. La jeune femme, elle, se sentait embarrassée, ne sachant manger qu’avec la cuillère en bois comme une enfant.
Il fallut encore quelques instants de silence avant qu’enfin le jeune homme ne prît son courage à deux mains. Et tout ce qui lui vint à l’esprit fut de lui demander comment elle se sentait, regrettant son choix la seconde où il eut finit sa phrase. La jeune femme fut surprise dans un premier temps, avant de répondre d’une voix douce et basse. Lui retournant ensuite la question, elle attendit d’entendre la voix tendre du jeune homme. Il buta sur ses mots mais finit par répondre. Un nouveau silence s’installa avant que le jeune noble n’essayât à nouveau. Et cette fois-ci il choisit avec attention ses mots, il la complimenta sur ses yeux qu’il compara à la belle nature qui les entourait. Il poursuivit en en complimentant sa peau blanche comme neige avant de finir par dire qu’elle possédait un joli nom. La jeune femme se mit à rougir avant de le remercier, ajoutant qu’elle-même trouvait le nom de son interlocuteur très poétique. Et bientôt leurs joues furent de la même couleur. Ils ressemblaient tous deux à des fleurs qui s’ouvraient lentement.
Le repas continua, les deux jeunes gens échangeant des mots par moment. Quand vint le temps de se séparer à nouveau, chacun laissa son regard posé sur l’autre. Chacun pensait déjà au moment où ils se reverraient, espérant croiser le regard de l’autre dans un couloir. S’ils avaient un jour ne serait-ce qu’un seul instant pour eux, sans individus autour, dans le calme parfait, mais surtout un instant loin des yeux de leur entourage, alors ils pourraient laisser leurs cœurs s’exprimer.
[1] Pansori : chant reprenant des thèmes comme des paysages, des personnages célèbres, animaux durant de longs opéras. Il est souvent accompagné d’un tambour.
안녕하세요! Ici l’auteur, merci à nouveau pour l’attente de la sortie de cette troisième partie. Je remercie à nouveau ma chère correctrice L pour son aide. En espérant que tout cela vous plaise.
#bts scenarios#bts imagines#bts smut#kpop scenarios#kpop smut#namjoon scenario#rap monster scenarios#kim namjoon scenarios
1 note
·
View note
Text
Chronique
Le monde du silence ou Fantasia dans le lit paternel. Cassettes: Dumbo, Snow White, Fantasia, 101 dalmatiens, Bambi, Pinocchio. Eléphants du cirque, panthère, boas, jungle, tigre, ours, dragons, chiens (dalmatiens, chiens de la rue), bêtes monstrueuses. Lionceaux, éléphanteaux, chiots, chatons. Métamorphoses des éléphants roses, de la bête, de la marâtre jalouse de Blanche Neige. Pink elephants are on parade. Birds, clown scene. Silly symphonies: Mickey sorcellery (Fantasia), unicorns, earth life evolution. Bambi fire in the forest, final scene: le cerf et le faon. Fight for love, hunted by dogs. Spring, love by animals. Hakuna Matata. Cruella car chase. Death of the dragoon. Snow white in the dark forest. The beauty and the beast. The little mermaid under the sea, the bare necessicity. You're our guest (Beauty and the Beast). The seven dwarf are diamond miners, a mine of million diamond. Buddle-Uddle-Um-Dum, the dwarf is washing. Bibbidi, Bobbidi, Boo (Cinderella). Wonderland: Down the rabbit hole; the telescope neck; being different sizes in a day; the pool of tears; the letter send to her feet. The bottle drink me. Every body want to be a cat (The aristocats). Myazachki, Takahata, Mononoke, Voyage de Chiiro, Chateau ambulant. Cartoons: Bambi glisse sur la glace (lac gelé), des faons dans le studio, anatomie et animation. La Belle au bois dormants dont les paysages de forteresse à pic entouré de forêts noirs sont stylisés. La Scène de la mort du dragon, par les ronces. La Belle et la Bête date de ma naissance. Les planches à la gouache d’Alice in Wonderland. La poursuite en voiture de Cruella dans les 101 Dalmatiens. Les abstractions de Fantasia. La fuite par la forêt de banche neige et les 7 nains. Danse de mooglie et baloo, pomme de blanche neige au sol. • Children and teenagers stories: White Fang and The Call of the Wild, Jack London. Alice in Wonderland… Ashenputtel, Rot Kappchen, Snee Witchen, Brüder Grimm 1815 ; Les contes d’Andersen : Le vilain petit canard, La petite syrène (ondine), Les souliers de satin, La petite fille aux allumettes, Les nouveaux habits de l’empereur… ; The jungle book de Kipling; Moby Dick by Mellville; Les contes des Mille et Une Nuits; Crin Blanc, Pinnochio et Jonas dans le ventre de la baleine ; Bambi ; Notre-dame de Paris, Casimodo, Pierrot, Hamlet, Dr. Jeckyll and Mister Hyde, Frankenstein, Nostradamus, Ulysse. Jules Vernes : 20000 lieux sous les mers, Voyage au centre de la terre. Voyage au centre de la Terre, Jungle Book (Inde), The Call of the Wild, White Fang. Bruder Grimm, Perrault, Anderson. Opéra d’Hansel et Gretel, ballet du Petit soldat de plomb. Une marionette (Pinocch, un éléphant (Dumbo), une peluche poupée ou jouet (Andersen)… pour les aveugles un tapis de matière, une peau de poisson, de la paille… l’ouïe et l’odorat. • Ghosts… detective stories: Sherlock Holmes de Conan Doyle (Chesterton vs Doyle par Gramsci), Le mystère de la rue Morgue de Poe, The murder on the Orient Express de Christie. Freak show, horror movies. • Mondes fantastiques: Star Wars, Narnia, Seigneur des anneaux (le dessinateur), Harry Potter… • Télé réalité. Dans la cave platines de DJ underground, Rnb. Ghetto gospel. Hendrix découvert via l’amie sur conseil de son père. J’écoute Dylan et Baez ; Ella Fitzerald. Piaff chantée par la fenêtre pour les passants, Gainsbourg. Rimbaud dans le métro - Paris du début. Les fleurs du mal debout sur le lit, livre maternel. J’avais par hasard suivi un ami à une exposition de peintures de Nolde, n’entendait pas la crucifixion, son principe je veux dire. Je lis Rimbaud, Baudelaire. Rythme & blues, Thriller, Smooth criminal, Dirty Diana. We want the world… and we want it… now, now. Les œuvres de Colette, Nin. Le père Goriot, Ubu Roi, L’éducation sentimentale. Je vais au cinéma : filmothèque et Cinéma à Suresnes, à Paris (Film parisien vu par une banlieusarde): La frontière de l’aube, La cicatrice intérieure, Elle a passé tant d’heures sous les sunlights de Philip Garel. La maman et la putain, d’Eustache. To joy, The silence, Persona de Bergman. Psychose d’Hitchkok. La BM du seigneur, Jean Charles Hue. L’enfer, d’Henri George CLOUZOT. Lynch, Almodovar (Tout sur ma mère, talons aiguilles). Jules et Jim, Adèle H., La mariée était en noir, L’homme qui aimait les femmes, Truffaut. Belle de Jour de Bunel. Space Odyssey, Full Metal Jacket, Orange Mecanic, S. KUBRICK. Hunger, 12 years a slave, Mcqueen. Easy Rider, Hooper ; Beau Travail, Vendredi Soir, 35 Rhums, Trouble every Day, DENIS. Je lis: Saison en enfer de Rimbaud. La Chambre Claire de barthes. L’anarchisme par Daniel Guérin (découverte de Stirner). 365 haïkus. Je vois : La collectionneuse, Ma nuit chez Maud, Les nuits de pleine Lune, de Rohmer. Pina (2011 – for Pina Bausch), Wim Wenders. Les mains négatives de Duras. Travail : le service en restauration. Camille, Grégor, Sala. Premier séjour à Berlin. Début de l’Ensba. L’été à Sète, tente sur le toit-terrasse : L’unique et sa propriété de Stirner. Crime et Châtiment de Dostoïevski. Descente du Nil en péniche à la veille du printemps arabe. Égyptomania à la cinémathèque: Une nuit chaude, Atef El Tayeb; Les eaux noires, Youssef Chahine. Découverte d’hasard du pavillon de Graham, expérience narcissique d’adolescente à Birmingham sous la pluie. // ETUDES ENSBA (2011, 2012) : GODARD, visionnages aux cours magistraux d’A. Bonfand: Pierrot le fou, À bout de Souffle, Le Mépris, La Chinoise, Vivre sa vie, Le petit Soldat, The Old place, 2 ou 3 choses que je sais d’elle, Passion, Je vous salue Marie, Hélas pour moi, Weekend, Sauve qui peut la vie, Ode to love, For ever Mozart, Histoire du cinéma, Détective, Liberté et patrie. One +one (sympathy for the Devil), Film Socialisme. Pages de Léon Bloy, Écrits sur la grâce de Pascal, Études sur le jansénisme, Les provinciales, Histoire de la religion, jansénisme XVIIs, intruction de Port Royal aux pensées. Apocalypse de Jean. Arche de Noé de la Génèse. L’oeuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique. / Le filmeur, Rencontre, Ce répondeur ne prend plus de messages, George Delatour, Thérèse, Pater; Sept chapitres, cinq jours, 2 pièces cuisine, Portraits; le combat dans l’île, L’insoumis, A. Cavalier. + un commentaire lu par Bonfand. La distincton, la misère du monde - passés en revue, Bourdieu. Le conte, Benjamin. Le portrait Oval de Poe, Les Diaboliques d’Aurevilly. Belluaires et porchers, Éxegèse des lieux communs, Bloy. The Heart of Darkness, Conrad; Dr Jeckyll and Myster Hyde, Stevenson. La règle du jeu, La nuit du carrefour, Le fleuve, Vivre Libre, La grande Illusion, RENOIR. Songs of experience, Blake. Les quatrains d’Omar Khayyam. Aurélia, Gérard de Nerval. Gertrud, Carl Theodor Dreyer. Fragment d’un discours amoureux, Barthes. Conférences de Gilles Clément à la chaire artistique du collège de France. Le jardin en mouvement. Étude de jardins urbain, promenades. Le Havre, Kaurismaki. / DÉCEMBRE 2011 - The Kid; The Gold Rush; The Great Dictator; Modern Times; City Lights - CHARLIE CHAPLIN. Adolescente, ses oeuvres complètes chez Cécile. Vie de Charlot, Sadoul. Bitter Victory, Nicholas Ray. Le chat noir, Edgar G. Vlmeer? / Das Indische Grabmal et Metropolis Fritz LANG / Pandora and the flying Dutchman, Albert LEWIN. PRINTEMPS - ÉTÉ 2012: Le chef d’oeuvre inconnu, Ainsi parlait Zarathoustra. Conférence et projection de Teri Wehn Damisch femme de DAMISCH: Blind Time. Exposition en hommage à Damish au MNAM. Ses carnets, sa bibliothèque. Des œuvres ? La théorie du nuage, à propos de Panofsky. Les statues meurent aussi, Resnais et Marker: Le film et le livre. Sans soleil, Marker. Boule de Suif, Première Neige, La parure, MAUPASSANT. Candide, VOLTAIRE. Du Contrat Social, ROUSSEAU (échec). Histoire de l’oeil, BATAILLE. Leçon inaugurale de l’histoire intellectuelle chinois, Anne CHENG. Les cendres de Pasolini d’Alfredo Jaar, commentées par Huberman lors d’une conférence. Le livre I du capital de Marx (échec). Exposition The Faces, William KENTRIDGE, gall. Marian Goodman. Préface d’Ecce Homo, Nietzche. Le spleen de Paris, Charles Bauldelaire. Les Fleurs du Mal. Écrits sur l’Art. (Retour). Le Banquet de Platon. Le Nez de Gogol. Mon Oncle de Jacques Tati. A rose is a Rose de Gertrud Stein entendu à l’exposition de la collection STEIN au Grand Palais. Le nu bleu de Matisse. Le Bateau Ivre et Voyelles de Rimbaud. Territories d’Isaac Julien à la triennale du Palais de Tokyo avec The Ballad of Sacco & Vanzetti de Joan Baez (premier visionnage de cinéma en musée, plusieurs écran du Palais de tokyo). Le conteur, Sur quelques thèmes baudelairiens, Benjamin. Isaïe. Psaume 103. Curves on White, E. Kelly, Gall. Goodman. 2012, Holy Motors, Carax? De profundis, O. Wilde. Lettre au père, Kafka. Les quatre évangiles. Alcools d’Apollinaire. Les Palmiers Sauvages de Faulkner. Images de la France, Valéry. Faust en film sans connaître la pièce de Goethe, par Sokurov. Le symbolisme de l’Apparition (période Bloy). Je ne connais pas Goethe, ne lis qu’en français. Début de Voyage au bout de la nuit, Céline. Le déclin du mensonge, Dorian Gray, WIlde. Du côté de chez Swann, Proust. (C’était la canicule parisienne. J’allais de Belleville à la filmothèque du quartier latin à pied, à midi et à jeun, vers le cinéma brulant, voir des films japonais jusqu’au soir. Je mangeais au square après la marche, du riz et une banane. Je connaissais S, il venait chez moi. Été (2012) japonais à la filmothèque: Le goût du riz au thé vert, Fin d’Automne, Le goût du Saké, Yasugiro OZU. La Servante, Kim KI-Young ; Dersou Ouzala, Barberousse, Rashomon, Le Château de l’araigné, Akira KOUROSAWA. Poussière dans le vent, Hou Hsia Hsien. Les Contes de la lune vague après la pluie, Mizogushi. Après le déluge, Phrases, Enfance, Veillées, Dévotion, Génie des Illuminations de Rimbaud. Yvain ou le Chevalier au lion, Chrétien de Troyes. Hara Kiri, Mazaki Kobayashi. Mithridate et Phèdre de Racine. Les Fleurs du Mal jusqu’à Charogne. Chant I-IV de l’Illiade (queue du cinéma). Manuscrit trouvé à Saragosse, Wojciech J. Han. La Source thermale d’Akitsu Onsen; Kijû Yoshida. Lecture de la revue Trafic. Les contes de Canterbury de Pasolini aux 3 Luxembourgs. Chant V de l’Illiade. Extrait du sermon de Bénares. La Dame de Shangaï d’Orson Wells, 3 Luxembourgs. La princesse de Clèves de Mme de Lafayette. La Ballade de Narayama, Soshei Imamura. Chapitre sur Blake et Proust de La littérature et le mal de Bataille. Tyger tyger burning eyes… devant le miroir répété. The fly, A poison tree. 31/08 : Préface Port Royal, Ordre, Vanité dans les Pensées de Pascal. Hinter den Baümen ist ein andere Welt, Die Irren, Was Werde Ich tun, Th. Bernhard (Autriche germanophone, initiation à la germanophonie, culture germanique ; Début des cours d’allemand). Niemandsrose de Paul Celan, conseillé par Sébastien. Rencontre de Johannes sur le belvédère de la rue Pia, discussion à propos de Celan. Le Cantique des cantiques, en boucle. The Marriage of Heaven and Hell : The argument, The Voice of devil, Proverbs of Hell, Blake emprunté en bilingue. Psaume CXIV : Hymne à la gloire du créateur. Psaume CX : Messie Roi. CXIV : Passage. La solitude essentielle de l’espace littéraire de Blanchot. Le pré, la Fabrique du pré, Francis PONGE. Das Ich ein knabe war, Abend Phantasie, Wie wenn am Feiertage (1796-1804), HÖLDERLIN. Hölderlin et Rilke par Blanchot (L’espace ittéraire en 5 jours). Le Centaure et l’animal de Bartabas. Un coup de dé jamais n’abolira le hasard. In Leblicher Blaüe, Was ist Gott. Benilde ou la Vierge Marie de Manoel de Oliveira. 10/09 : The Tempest de William Shakespeare. 11/09 : Voyage à Tokyo d’Ozu. Enregistrement de Hamlet m.e.s par Peter Brook aux bouffes du Nord. 12/09 : participation au piétinement de terre crue dans la cours Chimay à l’occasion du festival d’automne. Sei personaji in questa de autore, m.e.s Braunschweig, La colline.14/09 : Cantique des cantiques (VH). Ariettes oubliées de Verlaine. Francisca de Manoel de Oliveira. Manifeste du surréalisme de Breton. Catalogue de Danser sa vie du MNAM. Actéon de William Christie (musique baroque). Journal de Kafka. 16/09 : Poèmes saturniens, fêtes galantes, La Bonne Chanson, Romances sans Paroles, Verlaine. Prostitution, Guyotat. Romance sans paroles à VH par cœur avec notes sur intonations. Antigone de Sophocle. La vie solitaire de Pétrarque. Premier Amour de Tourgeniev. Le chant premier des Chants de Maldoror et Poésies I et II du Cote de Lautréamont. Shade between rings of Hir, Orozco à gall. Goodman. 21/09, Verlaine encore (Sagesse, paysages tristes, poèmes saturniens). Amor de perdicao, Singularida des uma rapinga loura, Manuel de Oliveira. 24/09 : La résistible ascencion d’Arturo Ui de Bertolt BRECHT par le Berliner Ensembl. Martin Wuttke ect., Heiner Müller m.e.s. 25/09 : Réflexion sur les statuettes, figurines et peintures d’Alberto Giaccometti (Atelier Contemporain), PONGE. La vie de Bohème, Aki KAURISMAKI. Airs, eaux, lieux, d’Hippocrates et Maximes d’Epicure. Au MNAM 28 et 29/09: Le phoque et la Cariatide + l’atelier de Brancusi, La boule suspendue, Le nez, L’objet désagréable, La pointe à L’œil d’Alberto Giaccometti (un salle entière de ses plâtres). Tabula d’Hantaï, Chapter de Ryman. Sans Titre (noir, rouge sur noir sur rouge) de Mark Rothko. Influence de Gauthier, Gelzer, JFc. Écrits à propos de Giaccometti. Le manifeste du surréalisme de Breton. Au MAM : La danse de Mérion et photo souvenir de Buren en face à face. Rrose Sélavy et Mots cuits de Corps et Biens de Desnos. 01/10 : Niemandsrose de Celan. Aurélia de Nerval. // Maîtrise des collections Paris, collections du MNAM, d’ORSAY, LOUVRE // MNAM 01/10 2012, 2013: Les trois bleus de Mirò ; Les musiciens et les Toits de Staël, Chasubles de Matisse ; Concepto spaziale de Fontana. Feuille de Vigne femelle de Duchamp. Blüten Zauber, Phoenix conjugalis, Baum im garten, Buen Stoecke, Plauzenartig Sinne von, Der Hirsch de KLEE et les photos d’Haussman. Casb (coton, sable, bois) de FLAMAGAN. De Quel Amour de TANNING. Le mur d’André Breton. Figurine dans une boîte entre deux maisons, Figurines (fragments), La jambe, La Cage (1ère version), Grande femme. Figure sur fond ornemental, Océanie, Lorette à la tasse de café. Gravures de Kandinsky : 5 xylogravures : Am Strende, Schlemerei, Frauen im wald et une série de … // Lecture de Jfc à l’Ensba. Lecture d’un entretien avec Jeff Wall. The Sublime is Now, Newman. La Mouette de Tchekov m.e.s Beneditti au théâtre Louis Jouvet. 03/10 : études de catalogues Hantaï. Lettre à son frère de Van Gogh, Note d’un peintre de Matisse. Artaud. 04/10 : Aurélia de Nerval. 06/10 : La cité du rêve de Kubin m.e.s par Cupa au théâtre de la ville. Sens plastique de Malcom de Chazal, conseillé par Seb libraire. 07/10 : Histoire vécue d’Artaud le Momo ; Ci-gît ; La culture indienne. Exposition Labrouste à la Cité de l’architecture (avec Marie). 11/10 : Méta-reliefs et méta-matics de Jean Tinguely, gall. Vallois. Études Josef ALBERS, Carl ANDRE. Les lois de l’hospitalité de KLOSSOWSKI. 20,21, 22/10 : Les fleurs du Mal. L’Espace Uniste de W. Streminski. 23/10 : Nocturnes de Magui Marin au théâtre de la Bastille. Die Sonette an Orpheus, Geschrieben als ein grabmal, Rainer Maria Rilke. 25/10 : Une saison en enfer et Les Illuminations de Rimbaud. À J.G.F ; Le poëme du Haschisch, Le goût de l’Infini des paradis artificiels de Baudelaire. La Barque le soir d’après Tarej Vesaas, m.e.s de Claude REGY. 27/10 : Critique de la faculté de juger, I, Immanuel Kant. Les enfants du paradis, Carné et Prévert. 28/10 : Un cœur Simple de Flaubert. Gibs auf de Kafka. (Cours d’allemand). 29/10 : Saint julien l’hospitalier. Le cœur volé, Voyelles, L’étoile a pleuré rose, L’homme juste, Ce qu’on dit au poète, Les premières communions, Les chercheuses de poux, Le bateau Ivre, Rimb. Le Cantique des Cantique. J’apprend à relire. Rimbaud de Mallarmé. Relecture d’après. Jackson POLLOCK. 01/11 La comédie de la soif, Les assis, Les sœurs de charité, Les premières communions, le bateau Ivre. 02/11 : Les Panses, exp. Hantaï gall. Fournier. Discussion avec la galeriste, don de catalogue. Paul KLEE, Blinki PALERMO, Juan MIRÒ. 05/11 : In lieblicher Blaue. Raymond HAINS, livresque. Cours 6, la magie JFC. 06/11 Interjection, Cogne et Foutre, État Civil, Chanson, Suppôts et supplications, Artaud. 07/11. Les Illuminations à voix haute de bout en bout. / Pino PASCALI, étude livresque. Au MNAM : Principe d’équivalence de Filliou. Le Penne di Esopo, 1968, PASCALI. Gelbes Pferd, Mecanische Kopf, R. Haussman. Le Couple, La pisseuse, Picasso 60-70’s. Target 23, Non euclidian object (32), Man RAY. Exposition DÜRER et son temps d’après la collection de l’ENSBA. L’enlèvement d’une jeune femme, Nessus et Déjovire, Le bain des hommes, Le bain des femmes (1535)… Le Moindre geste + Le croire et le craindre (passage à propos du radeau) de Fernand Deligny et les lignes d’Erres de la Triennale du Palais de Tokyo. Cartes et lignes d’Erres (le Pain, Nourrir les poules – réseau de prise en charge d’enfants dans les Cévennes). Le pouvoir de l’argent (FMI), documentaire Arte. Interjections, Suppôts et Suppliciations, à voix haute dans le bus, sur les quais de Seine. L’Imagerie du cirque. How I make my films, Chaplin. The Kid, Chaplin. Le dernier caravansérail, Mnouckine (vidéo). La comédie française interprète La Fontaine, Bob WILSON m.e.s. Au Loin s’en vont les nuages, projection plein air à la Villette ? Début de curiosité économique. Johannes me fait descendre le Capital de sa cachette. Premières lectures théoriques. 14/11 : Lecture du livre 1 du Capital de Marx : Préface à la 1ère ed. all. ; Les deux facteurs de la marchandise : valeur d’usage et valeur (substance et grandeur). La marchandise, la marchandise et la monnaie. Karl MARX. LACAN : les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse : L’excommunication… L’Anamorphose. Saudade, SAUDÂJI, Katsuya TOMITA. Proust et la photographie, JFC. 17 et 18/11 : Les petits poèmes en prose de Bauldelaire, VH complet. Notes Éternelles du présent, L’art du ruisseau de Reverdy. À propos du cinéma. I-V d’Eureka d’E.A.Poe. Poe lu au lycée. Retour. Nerval : El Desdichado, Myrtho, Horus, Antéros, Artémis. II La Tête Armée, À Hélène de Mecklembourg, À Madame Sand, À Dumas. Les Chimères de Nerval. Je me procure les O.c de Nerval (contre celles de L. Caroll en français que j’échange pour l’anglais. Petits châteaux de bohèmes, Promenades et souvenirs. 2 jours de lecture de Nerval. Les Chimères par cœur, VH. 22/11 photos et livres de Gordon Matta CLARCK gall. Seroussi + 2017, exposition gall. Goodman. Alhighiero e BOETTI, études livresques (Italien au Pakistan, Afghanistan) + Tutti du MNAM. 23/11 : Le Fou d’Elsa (chant du Medjoun + commentaire du contre-chant par Lacan dans l’Anamorphose). Le Crève-cœur et le nouveau, haute voix. Une semaine de découverte d’Aragon. Trois essais sur la sexualité de Freud. 25 : Les Chimères de Nerval. Desbord Valmore. Thèmes baudelairiens, lecture bis, Benjamin. Écrits intimes, plans et projets, Fusées, Hygiène, Critique littéraires de Baudelaire. + exposition Baudelaire, l’œil de la critique au musée de l’art romantique. Décembre 2012 : Les Calligrammes d’APPOLINAIRE. H. MICHAUX, Exorcisme. Fin 2012, Lecture de Michaux, Aragon, Appolinaire, Nerval. Un coup de dés jamais n’abolira le hasard, Igitur. Copie manuscrite des chimères de Nerval. Lecture à Laurane du temps des mots croisés d’Aragon. Tristes Tropiques de Levi Strauss (Rimb et les abeilles, sensation colorée et association.)Notes éternelles du présent et écrits sur l’art de Reverdy (en parallèle du cours Jfc). Entre la vie et la mort de Sarraute. Nerval, Chimère encore et châteaux. Art et anarchie, E. Wind. Art et Vérité, emprunté, cité. Poésies de Mallarmé. À ORSAY, janvier 2013 : Chasses et orientalisme de DELACROIX. L’Atelier du peintre et l’enterrement à Ornans de Géricault. L’archaïque de Kupka. La buveuse d’absinthe de Picasso. GAUGUIN : Portrait de l’artiste au christ jaune; Soyez mystérieuses, 1890 ; 6 sculptures-pots ; Oviri à Haïti ; Idole à la coquille ; Idole à la perle ; Maison du jouir ; Ararea (joyeuseté) ; La belle Angèle, le cheval blanc. Quelques tableaux de Van GOGH. Les Immémoriaux de Segalen. L’Afrique fantôme de Leiris. Cours sur les primitivismes. Exposition Dalì. Bas-reliefs de Donatello. Les jours et les nuits, roman d’un déserteur, Jarry. Dessins de Giacometti à la galerie Cl. Bernard. Le Witz, Das Unheimlichkeit, Lucian Freud. L’art nouveau en France, Silverman. L’homme des foules, Poe. Atlas mnémosyne, Warburg. Salons de 1765, Denis DIDEROT. Les confessions, I, JJ Rousseau. Desnos. Hamlet, Crayonné au théâtre, Mallarmé. Le parti pris des choses, F. PONGE. Le manifeste du surréalisme bis. Les aventures de Gordon Pym trad. Baudelaire, Poe. Aveux non avenus, Cahun. Lecture autour du feu avec Laura. Dans la jungle des villes, Brecht. Le sang rivé, Le sel noir, GLISSANT. Chronique des indiens Guayaki, Pierre CLASTRES : études en s��minaires du cahier d’image. Non lu, esquive. La dépense (La part maudite), Bataille. Chant du Medjoun et Fièvre, Aragon. Le Beau Navire de Charles Baudelaire. Suppôt et Suppliciation, ARTAUD. Postface des principes fondamentaux de la psychanalyse, LACAN. 6/03/2013. MNAM - Alina SZAPOCZNIKOW, dessins au cabinet d’art graphique du MNAM. Dessin mescalinien de MICHAUX. Mao Hope March, vidéo Fahlstrom. Fontaine de DUCHAMP. Études de fleurs de Brancusi. Le violoniste à la fenêtre (18), Le peintre dans son atelier (16-17), Océanie, la mer (46), Polynésie, la mer ; Polynésie, le ciel (46) ; Chasuble, MATISSE. Alfred Stieglitz. Georgia O’Keeffe, A portrait. 1933. / Projection du début de La Tiera trembla de VISCONTI. L’Image du corps, SCHILDER. Les Chimères, Sylvie, Pandora, NERVAL. The Man of the Crowd, Ligeia, POE. La Cigale et la fourmi, Le Corbeau et le Renard de La Fontaine. La vue de Roussel et l’exposition en hommage à Roussel du Palais de Tokyo : une étoile filante trouvée, manuscrits d’invention, photos de statuaire et objets collectés lors de l’expédition Djibouti (Leiris). L’Almanach der Blaue Reiter de Kandinsky. Anthologie de la poésie baroque, Rousset. Lecture d’Artaud de Mars 2013 : Suppôts et suppliciation, Van Gogh et le suicidé de la société, Artaud le Momo, Ci-gît, Lettre à Peter Watson. Divers extraits des Œuvres, A.A. Das Unheimliche. LE DOUANIER ROUSSEAU Les joueurs de football; La muse inspirant le poète; Pour fêter bébé! 1903 (enfance cruelle); Maison de banlieue 1905; Le Rêve 1910 (MoMa); Êve 1906; La Cascade L’Oviri de Gauguin; le Pithos cycladique du Louvre; Le verre d’absinthe de Picasso; Le Coin de chasteté de Duchamp; La porte de l’Enfer de Gauguin; L’objet Invisible, mains tenant le vide de Giacometti. À Orsay: L’origine du monde de Courbet, 1866; Un enterrement à Ornans 1849 - 50; L’atelier du peintre. Degas, Daumier, Manet. GÉRICAULT, DELACROIX, REMBRANDT à Amsterdam; à la Gemälde Galerie de Berlin X, les estampes, le musée Rembrandt d’Amsterdam? RUBENS à Antwerpen, POUSSIN dans les musées nationaux de Paris, Madrid, Londres; à Chantilly. Écho et Narcisse, Orphée et Eurydice. AUGUSE RODIN Son musée, Les bourgeois de Calais, les photos clair-obscur, Le penseur de Stockholm dans le jardin de Wal de Mar… ALBRECHT DÜRER. CÉZANNE - MATISSE - PICASSO: Exposition collection: Chtouchkine, Stein, Berggruen. Paire et Série. Collection du MNAM, de l’Orangerie. Musée Picasso. Picasso et Goya à Madrid. Las pinturas Negras. L’exposition de la pinacothèque: les série d’Estampes Les désastres de la guerre, Los caprichos. Ce qu’en dit Foucault. Matisse, paire et séries. Mondrian…MNAM - Duchamp, la peinture même. Formas biograficas I, 2. Collection Stein. Collection Chtoukine. Sigmar Polke à Grenoble, à la Tate. Turner, late paintings. Raphaël et son école, Giotto et son école. Kery James Marshall. MS2 lòdz, sala neoplastyzjna, cabane éclatée, hommage à Stazewski. Le Salon du dessin: Pour modèle, des scultpures de cire couées en bronze après sa mort. Un passe-partout caché. Les dessins d’Ingres: La famille Gatteaux, Portrait de la Comtesse de Pastoret; Portrait présumé de David Pierre Margnet de Montbreton dit Monsieur de Ville Moyene 1815; Lithographie retravaillée au crayon, plusieurs feuilles de papier jointes; contre-collé - signé, daté, dédicacé. GIACOMETTI: Tête d’homme 1946, Intérieur 1955, La mère de l’artiste sous la lampe 1955. MIRÒ: Dessin pour Ubu Roi (aquarelle, crayon gras et encre de Chine). KLEE Nacht Eindruck einer südlichen Stadt 1925 encre de chine, plume pinceau. MATISSE Femme nue debout, fusain et crayon rehaussé de gouache blanche et grise sur papier chamois. Magnolias. Deux danseuses en arabesques; Henriette et ses frères (fusain et tortillon sur papier); Danseuse au repos. // LOUVRE, peintres français: Delacroix, Ingres, Géricault, Chardin, Corot, Watteau. Meissonnier - capitaine d’artillerie de la garde nationale, Journées de Juin; La Barricade, rue de la Mortellerie juin 48. Témoignage de la guerre civile. Millet 1814-1875 - Le Vanneur, La préaution maternelle, Le fendeur de bois, Les botteleurs de bois, Les bruleurs d’herbe, La lessiveuse. Camille Corot 1796-1875. Chardin: La Raie 1725-26; La pourvoyeuse; Le gobelet d’argent. Les pastels de (*!) LaTour. Watteau 1684-1727 Les deux cousines, Le faux-pas 1716; Pèlerinage à l’île de Cythère 1717; Pierrot (Gilles) 1718-19. Oudry ? 1686-1755. Ingres. Les fusains de Degas. Degas et le dessins de Valéry. DELACROIX 1798-1863. Hamlète et Horatio au cimetière, 1839; La mort d’Ophélie 1853; Médée Furieuse 1862. Deux esquisses de Saint Georges délivrant le dragon ou persée délivrant andromède? Hamlet et Ophélie; Cheval attaqué par une lionne; Odalisaque. La mort de Sardanapale, 1848. GÉRICAULT Rouen 1791 - Paris 1824 - Séjour anglais. Voyage d’Italie. Peint des bandits, des morts. Actionnaire de fabrique de pierrre artificielles à Montmartre. Course de chevaux libres à Rome, 1817 (Dessin, peinture du Louvre). Voyageur avec son cheval, lavis * salon du dessin. Bataille de chevaux à l’écurie, hallucination artistique. Cheval attaqué par un lion. Le radeau de la Méduse. Deux chevaux de poste à la porte d’une écurie. Un homme retient un cheval, un homme dessus, dessous. Une scène de déluge, les lithographies de la collection du petit Palais. POUSSIN remarqués, étudiés à la Gemälde Galerie, au Prado, à la Tate, aux Collection des beaux-arts, à Chantilly, à l’exposition Poussin du Louvre: Écho et Narcisse, 1630; à deux figures, Narcisse étendu sur la grève au premier plan. Écho au fond accoudée se métamorphose en rocher. Les bergers d’Arcadie, 1638-40; Le Massacre des Innocents, (cf. Notes); Eliezer et Rebecca, 1648; Moïse sauvé des eaux. Les quatre saisons: L’été ou Ruth et Booz, 1660-1664; L’hiver ou le déluge, 1660-1664; Le printemps ou le paradis terrestre. Les dessins de Poussin, son réalisme - les détails de paysage, étude de plein air, et dessins achevés. La banlieue de Rome. L’exposition: Saint-Jean baptisant le peuple, 1635; La vision d’Ézéchiel de Raphaël; David Vainqueur, 1630; La Sainte Famille à l’escalier, 1648; Paysage avec Orion aveugle 1658; Paysage avec 3 moines 1653; Saint François, Mont Fonte Colombo. La collection de Poussin de la Tate de Londres comprend des interprétations de scènes païennes, fêtes rituelles antiques. Orgies, musiques… des fêtes. Le triomphe de Pan, 1636: Une femme porte une biche (faon), une autre un bélier. Paniers et couronnes de fleurs, tambours, guirlandes et statue. Scène de fête où des bébés, enfants marchant, portent des paniers, les femmes des béliers, la statue de Pan à la face rouge célébrée. Des masques gisent à terre. The Nurture of Bacchus, 1628; Cephalus and Aurora, 1630; Nymphs and Satyre, 1627; Diana und Acteon 1556-9; Diana and Castillo 1556-9; The death of Acteon 1559-75. Paysage avec un homme se lavant les pieds à la fontaine, 1648; Paysage avec un homme tué par un serpent, 1648 Gemälde: Jupiter als kind, von der Ziege Amathea genährt 1639; Landschaft aus den romischen campagna mit Matharus und dem angel 1639; Helios und Phaeton mit Saturn und der vien Jahrereiten 1630; Landschaft mit Juno und den getöten Angus, 1635.6. Prado: Paisaje con ruinas 1633; paisaje con san pablo ermito 1637; Paisaje con edificos 1648; El triumpho de David 1630. Bibliographie: A. BLUNT: catalogue raisonné The painting of Nicholas Poussin. A critical Dialogue. Tuilhier. Levi-Strauss: En regardant Poussin (En lisant Diderot, Des sons et des couleurs). Le tableau est un rapport de rapport, modèle de complexité. Analyse de Rebecca du Louvre. Lettres de Poussin à Chanteloup; correspondance et propos réunis par Blunt. Leonardo da Vinci: Saint Jean Baptiste, sombre, aphrodite. Sainte-Anne de 1503; La Vierge au rocher; Le dessin de drappagio. Andorgyne, sfumato, néoplatonicien. Les rochers au fond bleu, pics dentelés dans la brume, lointain. Le surplombant sombre, caverneux de la vierge au rocher. Le bœuf écorché de Remb, La Raie de Chardin, la charogne de Baud., le cadavre de Poussin. La mort de Sardanapale, Le radeau de la Méduse, Le boeuf écorché, Le bain turc, La liberté guidant le peuple, Les noces de Cana. L’expérience du Louvre pour Baudelaire, Giacometti, Picasso. Goya, Delacroix, Rubens, Michel-Ange, Watteau sont parmi les phares de Baudelaire. TATE Les ambassadeurs d’Holbein, Cranach, 4 peintures de Véronèse; Tiziano: Noli me tangere 1514; Bacchus and Arcadie 1520 The close of the silver age 1530 ? Cupid complaining to Venus 1530 ? / PIERO DE LA FRANCESCA, Le baptême du Christ 1450: alignement de la colombe, bol et filet d’eau avec la tête du Christ. La nativité 1470: cabane moussue, choeur d’anges à cithares. / UCELLO La bataille. ESTAMPES: Les lithographies de Munch, Redon, Daumier. Les eaux-forte de Goya, Rembrandt, Kubin? Xylographies de Vallotton, Gauguin, Dürer? Sérigraphies de Wahrol. / KUBIN 1877-1959, tchèque, autrichien? Die Grosse Boa, 1903; Fabeltien, 1904; Die Grosse Kopf, 1900; Encre de chine ou brune, plume, crachis et lavis; aquarelle sur papier (de cadastre). Den Henken, Der Schlaechtfest; Verbrecher; Ballgespenst; Die daue auf Pferd; Fee; Mondschein (Der Flagellart); Der Götze. CINÉMA Le charme discret de la bourgeoisie ; L’âge d’or ; Un chien Andalou ; Tiera sin pan (Las Huerdas), BUNEL. Les Maîtres Fous, Rouch, Salut les cubains, Varda. Flaherty, Nanouk of the North, 1921. Vertov, L’homme à la caméra, 1928. Kino Glaz, 1924. BRESSON Pickpocket, Le procès de Jeanne d’Arc (1962), Les dames du bois de boulogne, Un condamné s’est échappé, Les Anges du péché (1943), Une femme douce (1970), Au hasard Balthazard (1966), Le diable probablement (1977), L’Argent (1983). Ritwik Gathak. La Rivière Titash. La guerre… Sataiyji Ray: trilogie Pather Panchali; Bresson et la forêt, Ray et la ville. (* cinéma et architecture). Mittelnacht Stummfilm: Faust de Murnau. Le Faust de Murnau, le Macbeth de Wells. À décors, théâtraux. Anemic cinema de Duchamp, Hallucination de Brahkage; 3 films de Broodthaers (La carte océanique - Baudelaire, L’horloge - Schwitters, …). Films de Polke en Afghanistan: chicha, kief, combats de cocs. // Exposition de photographies, livre de photos, projections de photos en amphithéâtre, étude de cahier d’image, de planches contact, d’une photo, d’un projet de photo en Bolivie. Schibli, Gitaï, Loupassis, Bing, Evans, Brassaï, Helen Lewitt. // Information : le Monde, Lundi Matin, le Matricule des anges, Po&SiE, New Left review, lis le journal, écoute des émissions radio sur France culture, des lectures d’auteurs vivants sur Youtube. Revues : Lundi Matin, Démosphère, New Left Review, Democracy Now, National Geographic, Mediapart, Le monde, Le Monde diplomatique, The Guardian, Spiegel… // POLKE Hände, 1986-88, acrylique et peinture thermo-sensible sur toile; Entartete Kunst, 1983, résine sur tissu; Hallucinogen, 1983; Die Schere, 1982; Sieht man ja, was es ist, 1984, acrylique sur toile; Warloss (morse), 1984, huile et pigments sur toile; Schattenkalinet, 2005, résine synthétique sur tissu; Hermès trismégiste, 1995, résine synthétique sur tissu; Seestück, 1982, Résine synthétique, acrylique et pigment sur tissu polyéstère; Dispersion: painting on canvas; Farbprobe, 1986; Negativwert I (Alktor), 1982). Kartoffelhaus, 1967. Enweiterung des planetsystem um einmem 10 Planeten, 1968; Menschenkreis (fotokreis). Polkes Peitsche, 68. Telepatische Sitzung II (Will Blake - Polke), 68. Le musée Picasso, Rodin, Viollet Le Duc, Chapelle des Augustins. MODERNA MUSEET : Dan Graham, Matisse - Duchamp, une exposition – Why don’t you Sneeze Rrose Ssélavy – Paysage marocain (Acanthes) de Matisse. 1912. Strindberg, Linné, Swendenborg. / Kamerspiel, spök sonaten, Ett Drömspel. Pirandello, El teatro nell teatro: Questa serra si recita a soggetto, Sei personaggi in questa de autore. Darwis arabe-français. Mahmoud Darwich: La palestine comme métaphore, pourquoi as-tu laissé le cheval à sa solitude, Le lit de l’étrangère. Celan, Die Niemandsrose. Hölderlin, Späteste Gedichte. Lorca, El poeta en nueva York, Soneto del amor oscuro. 2015-16 architecture H – The essence of facism; Conservatory 20s, Revolutionary 30s (The Great transformation), Polanyi. / Bertolt Brecht (et autres, Vies politiques, ou Men in Dark Times), Hannah Arendt. / Regard rétrospéctif sur le surréalisme, Adorno. (Loos / Surréa, collages). Étude remontant à Vitruve. Palladio. Boullée, Ledoux. Fourier, Bentham. Hugo. Leduc. Ruskin. / (Lamp of Sac Rusk. – In all the work that they do under the sun – Ruskin, publique, sacrifice. / Tolstoï, Ruskin; le (bon) travail. / L’architecture selon Ryckwert: l’interprétation de l’espace, la maison en analogie au monde, au corps – *? La possibilité de l’interpréter. / PIRANESI (invenzioni de carceri) graveur / LEDOUX - (BOULLÉE) / SULLIVAN Chicago, les banques / LOOS Vienne, Ins leere gesprochen (chronique, esprit critique), la banque, le bistrot. / GAUDÌ Barcelone, bâtisseur – Le Parc Güell et l’idée de la maquette de l’église polyfuniculaire. / CORBU. / GROPIUS & BAUHAUS organisateur. Gropius et le Bauhaus, ou l’architecture dans notre société; Argan 1951 (*) éclairante critique de corb en comparaison attitude de grop, conjoncture historique, decriptions d’arch trabsformiste p 83, l’espace-temps / Come primocittadino compie una battaglia contro la speculazione edilizia. / Art nouveau (JugendStil, Modern Style) de Schmutzler – lecture psychologique: narcissime, l’introduction - artistes protéiforme - chap Gaudì. / VITRUVE les dix livres / RUSKIN, travail. / Chapitres Principes et Architecture, de la Grammaire des Arts et du dessin, Charles Blanc / Nietzche en 1882 – Die fröliche Wissenschaft (La Gaya Scienza): Architekture der Erkennenden; Unsern neuen unendliche ** proposition d’un moraliste; la pensée et l’édifice - le monopole de l’église chrétienne, réappropriation, réinvention Rousseau, la description de Clarens, une maison pour habiter, JJR – les détails d’une économie domestique qui fait la félicité de leurs habitants. / FOURIER, Nouvel ordre domestique, association agricole (phalanstère), surtout: Il fallait donc mettre en action les voluptés et les passions que la mythologie fait goûter en tableaux. Il fallait organiser le culte des passions voluptueuses combinées avec quelques dogmes de l’évangile qui se prête à tout secte religieuse. Le culte de la volupté cadrait merveilleusement avec la politique moderne. (95) / L’harmonie: exercice de liberté composite positive à deux éléments: Attraction et raison (positifs, concrets) convergents. /Pour l’organisation des relations humaines j’aurai mieux fait d’étudier des formes d’habitation comme Kohlkozes, Kibboutz, Cités Jardins, Phalenstères, maisons de plaisirs, cités idéales, n’importe qu’elle ville etc plutôt qu’une maison secondaire à fonction somptuaire, villa, ou pavillon de banlieue. / Ou inventer ou à inventer, ou réalisés ou pensés (Nietzche imagine dans la Gaya Scienza une architecture der erkennenden, édifice pour penser; à l’inverse ici c’est un maison d’habitation n’ayant jamais été habitable, qui tombée dans le domaine public, est ouverte au public comme objet de pensée, œuvre d’architecture Récit construction : Une villa aux environs de New York – en train de se faire ; The Domain of Arnheim ; Clarens, relation de séjour, économie doméstique ; Les maisons visitées des Travailleurs de la mer ; La nuit du carrefour ; Nanouk of the North ; Maison du chiffonnier des surréalistes rue du château Jardins : Lenôtre, fêtes galantes, le Voyage à Cythère de Watteau, La maison enchantée de Bresdin, l’Ile d’amour de Fragonard, Une partie de campagne, Le déjeuner sur l’herbe et La règle du jeu de Renoir, The Domain of Arhneim de Poe. Été 2016: REVUES françaises de ces temps-là (30’s), et ce qui on y trouve – l’histoire par/dans; l’art par; activisme : L’Esprit Nouveau: n1, 28n – revue internationale illustrée de l’actualité contemporaine – arts, lettres, sciences, littérature, architecture, peinture, sculpture, musique, sciences pures et appliquées, esthétique expérimentale, esthétique de l’ingénieur, urbanisme, philosophie, sociologie économique, sciences morales et politiques, vie moderne, théâtre, spectacle, sports, les faits. années 1920 : le cinéma, œil, perception et sonore. Littérature 19 à 24? - La révolution surréaliste (douze num de 24 à 29) – la grêve (ouvrière), le suicide, le rêve. (Desnos, Reverdy, Bret, Arag, Artaud). Le surréalisme au service de la rev. (Objets mobiles et Muets 31, Poèmes en 7 espaces Giacc. 1933). // Cahiers d’art 1926-1960, Zervos 97n°- d’abord Corb. Puis Pic. (27 Architectures Nègres de Gide, 36 spécial Objet, 37 spécial exp inter; Peintre de l’empêchement Beckett). Minotaure revue artistique et littéraire, parution cinq fois l’an (33,39 - Skira/Tériade – 13n°)… poètes, savants, arts plastiques… LACAN DALI REVERDY BRASSAI MAN RAY, MATISSE, PICASSO, TANGUY –etc. (la première couverture par Picasso - Notes éternelles du présent et L’art du ruisseau Reverdy, Sculptures de Pic phot par Brass, Du mur des cavernes aux murs d’usine de Brassaï, Dieu-table-cuvette Raynal, Mod St.Dal. Bataille, activisme: Acéphale (religion, sociologie, philosophie, n°1-5 antifasciste, réparation de Nietzche), Document (15n°; archéologie, beaux-arts, ethnographie, variétés 29-30 – article Informe, Architecture – Compte-rendu Luquet, L’art primitif), Critique sociale (La notion de dépense). // Article du Minotaure: Mathématique sensible – Architecture du Temps. Artistes étudiés 2012/2013 : Paul KLEE (Cours, Notes, Exposition MNAM et Berlin, cours Jfc *), Marc ROTHKO (Quelques tableaux MNAM, lumière éléctrique), Blinki PALERMO (Berlin, études livresques), Gerhard RICHTER (rétrospective MNAM, écrits) Henri MATISSE, George DELATOUR (Salle du Louvre, film de Cavalier), Carl ANDRE, Marcel DUCHAMP, Josef BEUYS, Josef ALBERS (squares du cabinet d’art graphique du MNAM, Théodore GÉRICAULT, les chevaux; Fransisco de GOYA // Puvis de CHAVANNE (les trois figures d’Orsay, lié au Luxe de Matisse), Hans Baldung BRIEN (dessins), BMPT (Buren, Mosset, Parmentier, Toroni - écrits de Buren). Ryman, Rutault. Ellworth KELLY. Richard SERRA. Claes OLDENBURG. Sol LEWITT. Robert FILLIOU (Dexi, Le petit filou? - recherches livresques, la brique réfractaire, le Je meurs trop, le Mal fait bien fait - cours de Jfc). Andy WAHROL. Robert RAUSHENBERG (A man with 2 souls…). Pietr MONDRIAN (Une grande expostion MNAM, des pièces à LVMH). Barnett NEWMAN (La peinture restaurée du MNAM, le manifeste, études livresques - le zip, essai de Jfc). Jean ARP, Sophie Tauber ARP, Frank STELLA. Henri MATISSE, POUSSIN, giotto / Juan MIRÒ, Paul KLEE, Alberto GIACCOMETTI , Paul GAUGUIN / Marcel DUCHAMP. Pablo PICASSO / HOKUSAÏ, TURNER, BLAKE / Eduard MUNCH, James ENSOR / Marcel BROODTHAERS ? Andy WAHROL / Dorothea TANNING (writtings, cours Jfc, tableau MNAM) / S. HANTAÏ, FONTANA, NEWMAN, Jackson POLLOCK (Concepts spatiaux: pliage, coupure, zip, dropping?). / Jean TINGUELY, Constantin BRANCUSI, Carl ANDRE, Josef ALBERS, Ellsworth KELLY. / GIORGIO DE CHIRICO - Exposition de CHIRICO au MAM + collection MNAM. / Raoul HAUSSMAN, Man RAY, Fernand LEGER. Matta Clark, Matta. // PISTOLETTO. Alighero e BOETTI. Dan FLAMAGAN. Pino PASCALI. // RICHTER et Sigmar POLKE. / OLDENBURG. WESTERMAN. Dieter ROTH. Dan GRAHAM. Dan FLAVIN. / Helio OITSIKI, ÖYVIND FAHLSTROM. / Blinky PALERMO, Eva HESSE, Raymond HAINS. / BAS JAN ADER, TADDEUZ KANTOR, VALIE EXPORT / VINCI, BOSCH, ALBRECHT DURËR. / MANET, GOYA, CALLOT, / TATLINE, KURT SCHWITTERS // GUSTON & GOYA. // SALA, vu lors d’une projection de son travail. Exposition au MNAM. / MEHRETU : Mind beat and space drawings gall. Goodman. Conférence au MNAM. Peinture collection Pinault. Instagram. / Antonio LOUPASSIS, Charles RAY, Jeff WALL. 2014: FONTANA concetto spaziale, le zip de NEWMAN, les pavillons de Dan GRAHAM, NÉO-CONCRÉTISME BRÉSILIEN : Bichos (métal). Le theatrino de Boetti. Sophie Taueber Arp, Blinky Palermo, Catharina kobro que j’ai vu en Pologne. Giacco, matta, kramer, krasinski. William Blake (fresque portable), Broodthaers et la conquête de l'espace, Mallarmé et le cercle magique ; Le seuil de la chambre de Raskolnikov dans crime et châtiment. RILEY, HAMILTON. // VIVENT : Herzog et de Meuron, Amos Gitaï, Anri Sala, Ahlam Schibli, Schneider, Mehretu, Marshall, Kaurismaki. Les films d’Aki KAURISMAKI le finlandais avec surtout le Havre (annoté), le cinéaste chinois Wang BING et l’artiste Ai WEI WEI, Amos Gitai à la cité de l’architecture et une exposition au Reina Sofia de Madrid. L’animateur de dessin animé japonais MIYASAKI, la photographe palestinienne Ahlam SCHIBLI rétrospective au Jeu de Paume et nombreuses photographies aux expositions de JFC, les architectes HERZOG ET DE MEURON avec la lumière de canopée transférées en découpe de métal et le moment passé sous le bâtiment Caixa ; mauvaise conférence avec Klaus RINKE et Jean NOUVEL, fantastique projet de musée pour un artiste sur le Danube. Vécu la construction de la Philharmonie de Nouvel à Paris. Jeff WALL le photographe canadien, les pavillons de Dan GRAHAM, et deux sculptures moulées de Charles RAY. Kery James MARSHALL dont j’ai vu une exposition rétrospective conçue avec le peintre à Antwerpen, afro-américain de Watt. Julie MEHRETU l’exposition de dessins Mind beat and space drawings, avec une toile et une conférence, à la galerie Marian Goodman et une peinture à la conciergierie lors d’une exposition de la collection Pinault. Anne Marie SCHNEIDER avec trois vidéos et dessins animés, une série de dessins au MAM et à Nîmes. Entendu Amos Gitaï à la cité de l’architecture à propos des Kibboutz, vu une exposition d’extraits de films autour d’Israël et la Palestine; Ravi AGARWAL l’artiste indien qui travaille autour du Gange et de l’industrie pigmentaire, Santu MOFOKENG photographe Sud-africain avec le Black Photo Album. ANRI SALA de Tirana en Albanie, travaillant à Paris et Berlin : musique et cinéma, une rencontre où il présentait divers vidéos avec orgue de barbarie dans les rues, avec batterie dans un bâtiment industriel désaffecté de Berlin. Contact possible par Grégor d’Albanie. Le film du japonais chauffeur poids-lourd qui raconte la communauté brésilienne au japon : Saudad. Raymond DEPARDON le photojournaliste (ses voyages reportés, travail avec la maison du littoral). D’œuvres de jeunes artistes je connais ceux qui entourent Chevrier et qu’il expose et d’autres parcimonieusement, et de moins en moins. Des galeries, de la vie d’atelier. J’ai été voir Schneider à Cherbourg. Bouchain : architecte présent Intimité territoriale (+ vu manège d’Aubervilliers ; artistes), galerie La salle Principale; peintre Yves Bélorgey expose à La Forme, au Havre, à Barcelone, à Montreuil (ses peintures d’architectures d’un réalisme photographique rapprochées de mon essai de dessin sur peinture ; et une conférence d’artistes autour de Deligny à la maison de la poésie. En littérature contemporaine j’ai lu Quintane, Cosnay, Laffon, Graciano, Louis, Johannin, Coetzee, Novarina, Beck. Écoute d’entretiens, lectures et conversations d’auteurs (Tarkos, Quintane, Beck…) ; écoutés Roubeaud, Beck, Quintane… Claude Mouchard poète et traducteur, Pichet Klunchum, ; BÄCHLI. l’esthéticien du cinéma et critique de la culture, CHEVRIER l’historien, BOULNOIS le théologien critique des images, Anne CHENG la sinologue, Gilles CLÉMENT le paysagiste expérimental… Les marxistes autour de BALIBAR avec deux colloques à propos d’Althusser. Assemblés, stages, discours, manifestations, conférences, colloques. Je suis depuis cinq ans les cours magistraux et séminaires de Jean-François Chevrier (directeur de mémoire). Auditrice libre de lectures et colloques : Boulnois chez les fransiscains, Rancière invité au séminaire du gars du recueil Fourier, Jean Luc Nancy à l’école normale, Badiou à l’école normale et au théâtre d’Aubervilliers, deux colloques Althusser à l’espace Marx et à l’école normale, des réunions de la gauche avec Balibar etc, Meillassoux à la Sorbonne. d’Anne Cheng et de Gilles Clément au Collège de France (audio ou vidéo). Meillassoux à la Sorbonne. Quetglas lu et traduit librement et commenté (mémoire d’étude), Olivier Boulnois (chez les franciscains et en vidéo sur le choeur de Notre Dame de Paris), Billeter (l’art chinois de l’écriture), Damisch (lu et exposé au MNAM), Rancière (écouté, lu). Rancière, Boulnois, Quetglas, Billeter, Cheng, Balibar, G. Clement. Double colloque Althusser avec intervention de Balibar ; L’intimité territoriale au Jeu de Paume avec Jean-François Chevrier + cinq années de lectures aux Beaux-arts et séminaire photo, Rancière à Paris VIII, vidéos-conférence (d’Anne Cheng pour le collège de France, Rem Koolhaas à travers le monde…). // 2014-2015 Avant l’exposition 2014 j’ai écris une vingtaine de pages et lu l’Igitur de Mallarmé avec les panneaux et les ailes, La Poétique de l’espace de Bachelard autour de la coquille initiale et Le monde dans un bocal de Baltrusaïtis. Lu les entrées et sorties du ghost de l’Hamlet de Shakespeare, l’exemple de la table animique dans le fétichisme de la marchandise de Marx. Ce qu’Artaud dit des facettes d’un objet. J’ai eu la vision des cornets simultanément à une réminiscence des vers du Bâteau Ivre de Rimbaud. La présence de bêtes, et d'hommes m’a amené à connaître le petit cirque de Calder photographié par Mulas. Consulté Kirschner pour la plasticité, la configuration, le fait de cintrer les figures. Des regardeurs juges m’ont renvoyé à l’arte povera pour la dimension pauvre, lié au franciscanisme. Le sensible le concret le visible l'optique le cinétique et qualité kinésique des objets. D’autres regardeurs ont senti la théâtralité, la potentielle performativité et la dimension chorégraphique des gestes, de l'activité documentée, étude de danse. Pratique de la conquête de l'espace : par la magie des coins, la marche et le voyage. Les artistes vers lesquels les regardeurs m’ont renvoyé sont Blinki PALERMO, étudié par les documents livresques et quelques œuvres à Berlin; KOUNELLIS, TAUEBER ARP, Merhetu pour mon grand dessin, Guston pour La Ronde. Peu d’œuvres et vie (de vies derrière les oeuvres) : de Charlot, de Poe, de Brecht, de Benjamin, Wittgenstein et Luxembourg. Mais des voix. Les chefs d’œuvres peints dont j’ai fait l’expérience directe sont : Le massacre des innocents et les salles Poussin du Louvre avec Echo et Narcisse, Rebecca ; Les ambassadeurs d’Holbein, Las Meninas de Velazquez et Las pinturas negras de Goya ; Le jardin des délices d’El Bosco ; le Guernica de Picasso. Les grandes Baigneuses de CÉZANNE. La jumbla, la jungle de Wilfredo LAM. Midnight passed road de Guston. Les œuvres Parisiennes MATISSE avec Luxe, Calme et volupté de 1907, Le luxe de 1909, L’odalisque sur fonds ornemental, La danse, Les danses du musée de Paris ; sa méthode de dessin à la ligne, ses illustrations de poésie (Mallarmé et Ronsard). MALEVITCH avec son manifeste, l’opéra la victoire du soleil. DUCHAMP : C’est dans un tiroir que Rrose Sélavy a cultivé son domaine - Voici le domaine de Rrose Ssélavy (élevage de poussière) et l’exposition du MNAM Duchamp et la peinture même, ainsi que l’exposition de Stockholm lié au surréalisme. De PICASSO, trois variations du Verre d’absinthe, les fragments repeints en trompe l’œil de La jeune fille de 1914 (MNAM), L’acrobate à la boule, Guernica et la sculpture L’homme à l’agneau ; le lien d’émulation entre El Guitar et les contre-reliefs de Tatline. LE CORBUSIER bâtiments franciliens, GIACCOMETTI dont l’œuvre est bien représentée à Paris : L'objet invisible (mains tenant le vide) et la table moulée dans le plâtre avec les pieds dépareillés de Giacometti. BRANCUSI avec son atelier de Châtelet, RODIN et sa maison atelier autour des Invalides avec L’homme qui marche et Le penseur dans le jardin de Stokholm, Les Bourgeois de Calais. Camille Claudel. J’ai fais l’expérience de l’œuvre peinte expérimentale et poétique de Paul KLEE avec deux expositions *, une à Berlin et l’autre à Paris, ses écrits. De REDON, les lithographies claires obscures autour de la Tentation de Saint Antoine de Flaubert, son approche de la couleur par les pastels et ses embryons, yeux, œufs, ballons. Lu Artaud à voix haute sur les berges de Seine. Les compositions spatiales de KOBRO, l’unisme, la salle néoplastique de l’avant-garde polonaise au Ms2 de Lodz et La cabane éclatée de BUREN avec les œuvres de STAZEWSKI, la collection du musée et toute la série d’étude des polonais Kobro, Strezminski, Stazewski, Krazinski, Wroblewski (Exposition Recto-verso avec l’œuvre peinte et dessinée) et le voyage en Pologne par Warsawa et Lodz , puis et les dessins de la sculpteuse Szapicznikow; vivants : les lectures de Chevrier autour de ces artistes et la polonaise de Paris qui fut femme de Krasinski, critique d’art et galeriste et l’homme oisif ami de Buren. De WAHROL ai étudié dans quelques catalogues et vu une exposition (annotée) au MAM avec des vidéos, des papiers peints sérigraphiques. La conversation téléphonique, l’usine à artistes underground, ses vues sur la machine, la télévision, la vie culturelle. POLKE avec deux expositions, principalement les peintures Die Schere et Hallucinogen, avec des vidéos et photographies retouchées d’Afghanistan. Une projection du dessin animé T.Z de BREER. L’exposition de Marcel BROODTHAERS à la Monnaie de Paris avec ses films et des reproductions d’objets isolés (offset ?) et plaques embouties (*notes) ; Pot, moule, cœur. L’histoire des frites et des moules, son lien avec Althusser. Dessiné d’après une sélection de l’œuvre photographique de Francesca WOODMANN. Saint-Amant dans l’anthologie du baroque Les Immémoriaux de Segalen Des photos du XX siècle en Inde dans une galerie d’hasard // RETEX Kafka (1ère lecture, 2013) : Le Journal, La colonie pénitentiaire, Le terrier, La métamorphose, Le Pont, Les onze fils. Deux semaines? Pléiade d’emprunt. // Das Unheimliche, Freud. Préface à Cromwell, Notre-Dame de Paris-V.H. 01/04: Van Gogh ou le suicidé de la société, Artaud. Le HAVRE: volcan maritime et église Saint Joseph de Perret. 03/04 MNAM: Matisse, Giacometti, Duchamp. Le croire et le craindre, passage du radeau, Deligny REDON: Dans le Rêve, 1919: la série lithographique jouant du globe occulaire, de l’oeuf, de l’embryon et germination. / Pour les machines, les dispositifs: Jarry et la machine à peindre; Broodthaers. Kelley d’après Nerval / Gris et Reverdy, Le Moulin à café, tasse et verre sur une table, 1915-17. / Un coin de chasteté, 1954, N.Y & Pot, moule, coeur, 1967, Paris, Broodthaers. / Trois environnements: Étant donné - chute d’eau - gaz - éclairage; Voglio vedere a miei montagni. / La jumbla de LAM + Sepik. Art de Papouasie Nouvelle Guinée. // photo Schibli x2, Loupassis x3, Evans x2, Brassaï x2. La méthode de travail des artistes par commande photo. / ARCHITECTURAL 2016-2017: LABROUSSE - MANSARD - LE VAU - VELLEFAUX - VIOLLET–LE-DUC - HAUSSMANN préfet de la Seine - BALTARD. Choisy. Blanc.Vocabulaire d’architecture, éditions du patrimoine. Cadastre. Carte postales divers. Citation. Iconographie, phototèque. Planimétrie. Dessins en clairs-obscur à partir de photographie. LE CORBUSIER DU XIIIè, d’Auteuil, de Place d’Italie. DADA, MERZ, DE STILJ (Haussmann, Schwitt, Doesb). La Merzbau de Schwitters - 1923 -36; destroyed 43 – Hannover; Gold Grotte, Grosse Gruppe, Blaues Fenster – Merz Bild, Merz Mappe (Merz Portfolio) 1923; der Lust galgen. Les espaces proun et le cabinet abstrtait Lissidsky?; Architectones de Malevitch 1923? Kiesler’s Endless House, maquettes, dessins, textes. “ (non pas) Sérieusement…” Hall des supersitions de l’exposition internationale du surréalisme de 1938. City in Space présenté Exp Inter 25. Projet pour une place, Giacc – en réduit, visé le monumental. Aldo Van Eyck. Bo Bardi. Aldo van Eyck architecte d’exposition Cobra 49 Bruxelles (catalogue Stokvis). Doesburg, Peinture, architecture, théorie. Farben im Raum und Zeit, 1928. Grundebegriffe derneuen gestaltenden Kunst; 1923, exposition De Stilj de maquettes et dessins – DOESBURG: vues axonométriques, contre-constructions; nouvelles possibilités de représentation; construction des couleurs, espace-temps: synoptique – dissolution de la boîte: déboitement. L’Aubette à Strasbourg – synthèse des Arts, - L’Aubette, ou la couleur dans l’architecture 1928 – Peindre l’espace, remarque sur la polychromie architecturale entre-deux guerres (Taut, Corb, Doesb). Un café. Projet trio Doesb, les Arp. atmosphère d’une architecture plastique; unité plastique – lien organique. Aubette-nummer, De-Stilj, 1928 n87-89. Construction dynamique diagonale des contre-compositions élémentaristes. L’Architecture dans les années 1920 – pour constructivistes – équivaut à la place reconnu à l’opéra de Wagner; Gesammtkunstwerk. Farben im Raum un zeit – La polychromie en architecture, couleur dans l’espace-temps; (pour cet effet: Sala neoplastycjna, kompozycja otwarta 48 - de Lodz) – Pietr MONDRIAN / Theo Van Doesburg : DE STILJ – les postulats théoriques: Principes fondamentaux de l’art néoplastique, projet d’intervention sur l’espace publique: 1926 – 1928 : Le café de l’Aubette, Theo Van Doesburg, Hans Arp et Sophie Taueber Arp - Wladyslaw Strezminski (Unizm) – ‘a.r’ groupe – 1930, 1948 – démontage pendant la période du réalisme socialisme 1949 / 50// LODZ, SALA NEOPLASTYCJNA. KOMPOZYCJA OTWARTA 48, de Lòdz. Poezje – KOMPOZYCJA ; PRESTRZENI ; OBLICZENIA ; RYTMU / 1955 – reconstruite en 1960, en 2008 retour dans la salle où Strezminski originelle - une salle polychrome, les murs sol et plafond – des zones qudrangles, bleues, rouges, noires, jaunes, blanches – des tableaux exposés le long de chacun des deux murs, d’un côté, en décalé, les compositions spatiales de Kobro, présentées sur des socles ajustés, déssinés par Strezminski : KOMPOZYCJA PRZESTRZENNA (2) (3) 1928 (STAL MALOWA 45) Statuaire : La fontaine Carpeaux du jardin du Luxembourg, le bénitier Pigalle de Saint-Supplice, Le monument à Danton d’en Dalou. Voltaire, Montaigne, Diderot, Rabelais; au quartier latin. L’atelier Brancusi, Giacometti, la maison-musée de Rodin. / Le monument à Danton d’Auguste Paris et ce qu’était la rive gauche, ce qu’elle est devenue – le quartier latin. Le Triomphe de la République, place de la Nation 1880 -1899 version de bronze par Jules Dalou ; la Place de la Bastille et l’axe républicain sur laquelle je suis montée, la Statue de la République des frères Morice. Place de la République dont j’ai vécu la réfection, observé des danseurs nocturnes, vu des manifestations. La grotte de l’Amour du jardin du château de Versailles. L’œuvre de Giacco : les larges coll. Du MNAM, dessins mine de plomb exp., plume, L’œuvre du Moma Objet Invisible. Sculpture et dessins. Têtes gravées de son père. Dessins d’atelier. Maquettes de figures dans leur environnement (clairière, forêt, cage). La lettre à Pierre Matisse. // Museum Berggruen, moderne (Klee, Picasso, Matisse, Redon, Kubin). Hilma af Klimt, eine pionerin der Abstraktion, 2013. Taq und taskino, 1968, EXPORT, Berlin / Exposition Magritte, Douanier Rousseau, Gauguin, Cézanne, Moma à Paris. / Une exposition en hommage à R. Roussel, autour de Sade. De Baudelaire. Exp et litt. Exposition et primitivisme : Quai branly, mur Breton. Accrochage du MNAM modernités pluriel. Théâtre du monde: Maison rouge, commissaire des magiciens de la terre. Les costumes espagnols à la maison Victor Hugo, / la galerie d’anatomie comparée et de paléontologie. Archives d’Olivier Messiaen. Département de la musique de la BNF. Recherches ornithologiques, voyages, correspondance sons-couleurs. LIEUX: Palais Velazquez du Retiro, Carré d’art de Nîmes, Macba de Barcelone, Volcan maritime du Havre, Abattoirs de Toulouse, FRAC de Limoges, etc. Au Prado, 2016 première sensibilité au Greco. Titiano, bacchanales. Moment de solitude devant le triptyque de BOSCH. Le dé sur la tête, la coquille brisée, le corps sortant de la moule, le cochon à toque de none. Les ovoïdes sont découpés régulièrement ou brisés. Groupes d’humains, sous groupe. Féérique. La diversité des oiseaux, des fruits. Cartes et dés à jouer, mobilier, fruits - changés d’échelle et détourné de leur fonction. / Les stigmates du Christ dans la descente de la croix de Van der Weyden et les fentes lévitant, lèvres pubiennes de Wroblewski, ouvrant l’image… /2015 : Modern’Style, Dalì – article illustré par des photographies de Brassaï, rapproché des remarques de Baud à propos de Boudin paysagiste. (aussi, Turner pour Ruskin à propos du ciel, de la mer dans ses peintures). Les ébauches de l’Igitur ou la folie d’Elbenon de Stéphane Mallarmé : Le Minuit, Il quitte la chambre. La mer, trois esquisses symphonique. La Chambre Double des Petits poèmes en prose et les architectures féériques du Spleen de Paris de Charles Baudelaire. Rabinatrath Tagore, Satyajit Ray: une filiation indienne. Neruda, Darwich, Tagore 20-30’s : Hauspostille de Brecht, Die Niemandsrose de Celan, El poeta en Nueva York de Lorca, Paterson de W.C.Williams, Finnegans Wake de Joyce, Le Crève-Cœur d’Aragon, die Sonnete an Orpheus, Rilke. BASHO. BRECHT - LORCA - WHITMAN. Les voix entendues, enregistrées: Celan, Joyce, Burroughs. Mallarmé: Igitur (Le Minuit), Sonnets triptyques, Les divagations, Un coup de dés jamais n’abolira le hasard. Philo, œuvres complètes: Platon, Aristote, (*) Épicure, Aquinas, Assisi, Decartes, Kant, Kierkergaard, Nietzsche, Wittgenstein, Arendt… PLATON – Lecture et analyse du début du symposium, Phèdre, Gorgias. La forme du fragment: l’absolu littéraire de Nancy et Lacou-Labarthe, Romantiques d’Iéna, Moralistes français: Pascal des pensées, maximes sentences et aphorismes de Larochefoucault, Chamfort. L’inachèvement de Pascal, Novalis (Fragmentsammlungen: Blutenstaub, allgemeine brouillon). Derniers écrits de Kafka. Les frères Schlegel. La Gaya Scienza et le Morgenröthe de Nietzche. Lichtenberg, aphorisme. Les notes de Duchamp. Les recherches et remarques philosophies de Wittgenstein. Libertinage et révolution. Fourier, le nouveau monde amoureux. La forme épistolaire : Lettres philosophiques de Voltaire ; Lettres persanes de Montesquieu ; Lettres de deux amants aux pieds des Alpes (La Nouvelle Héloïse) de Rousseau à 3 correspondants ?; Lettres éthiques de Kirkergaard ; Lettre au père de Kafka ; Lettres d’Epicure ; Lettre à un jeune poète de Rilke ; onze lettres sur l’éducation esthétique de l’homme de Schiller, livre correspondance d’Artaud. Fictions de correspondance, correspondance statuée œuvre : de Flaubert ; Lettres ouverte, intimes (de Joyce à sa femme), de Gramsci à sa belle sœur : Lettres de prison. Forme de l’entretien : La Palestine de métaphore de Darwich. Fables, fairy tales, Hauspostille, Hausmärchen, Erzhalungen. Forme du manifeste : les préfaces de Whitman, Baudelaire… La lettre du voyant de Rimbaud ; Le manifeste du surréalisme ; de Malévitch ; du parti communiste ; Vers une architecture. Le conte : Le chef d’œuvre inconnu (nouvelle) ; Candide ou de l’optimisme (conte philosophique) ; An Island in the Moon (conte satyrique) ; Aurélia ou le rêve et la vie ; Princezin Brambilla… Don : L’objet invisible, mains tenant le vide de Giaccometti. Essai sur le don Mauss 1925 - Dépense de Bataille - ) potlach – dépense improductive - la place de l’art dans la société. la fête, le don - offrande, le bouquet (dépense) – La notion de dépense. Bacchanale, orgie, l’éblouissement – expérience extatique, Révolution ouvrière. La poésie. Selon Bat: un sacrifice? Selon Bach: une invitation au voyage (imaginaire), un souvenir et une promesse. Eloge de la gratuité? Très-gratuit, pure DEPENSE - réciprocité, … DON - ABANDON REPOS IVRESSE (vertige). Les trois jours de la ballade de Mazeppa, entre la terre et le ciel. La place du poète (Der Herr der Fische – Brecht. Autre. Le mythe de l’écriture automatique visité par surréaliste – Blanchot (Espace littéraire), Benjamin . // Recherches Bib Kandinsky: Villa Wittgenstein ; Architecture Nègre de Gide, article du cahiers d’art 1927 ; De la villa rustique d’Italie au pavillon de banlieue – Monclos ; revue de l’art 1932 ; Form and ideologies of county houses ; de la rome antique à Le Corbusier ; Les jardins romains ; maison de famille. Phalenstères, Kholkozes ; Kibboutz. CHOISY. // PANOVSKY, BAXANDALL, SCHAPIRO, FOCILLON, BALTRUSAITIS // Iconographie méta architecturale : Le coup d’œil du théâtre et le plan de masse de la ville en goutte d’eau, Ledoux. Le domaine de Rrose Sélavy (élevage de poussière) MD – Manray. Maquette polyfuniculaire de Gaudì – et le dessin de la toile d’araignée dans la brume, perlée de microgouttes d’eau (enbruinée); Le numéro double cahiers d’art spécial objet. Articles et PH; Minotaure; (Carceri d’invenzione, l’homme de Vitruve par Vinci, Echo et Narcisse Poussin); Carnet de Vinci l’acqua – études. DSS autour de la vision de la boite fuyante – toile d’araignée – moyen d’illustration trencadis ou pique assiette. Trois fragilités: trencadis, toile d’araignée enbruinée, élevage de poussière: Voici le domaine de Rrose Sélavy, (polyfuni) / Corot et Redon sont bordelais. Le bain de Diane, la foulaison de blé en Camargue de Rosa Bonheur. Saint Servin, Cathédrale Saint-Michel ; la Garonne, FRAC/ PRINTEMPS 2016 - CORBU - Boesiger t I, tII. Le Corbusier et Pierre Jeanneret: Oeuvre complète 1910-1929. Zurich, 1937; Vers une architecture, Paris: Crès (Coll. de l’Esprit nouveau). Réed de 1924 augmentée d’une préface.Paris: Arthaud, 1977; L’art décoratif d’aujourd’hui. Paris: Crès (Coll. De l’Esprit nouveau). Réed. Paris: Arthaud, 1980; Une maison – un palais. Paris: Crès (Coll. De l’Esprit nouveau). 1925; Les techniques sont l’assiette même du lyrisme et Le plan de la maison moderne dans Précisions sur un état présent de l’architecture et de l’urbanisme. Paris: Crès (Coll. De l’Esprit nouveau). Réed à Paris: Vincent Fréal, 1960; Le livre jaune, Electa, 1951. Iconographie d’époque: Film inédite de Weissman, bobine du chantier. (Fondation Le Corbusier); L’architecte, 1930, numéro 9. Juste achevée (à nu), photographe Gravot; Exposition Le Corbusier, la mesure de l’homme. Visite de la Cité Refuge de l’Armée du Salut, la maison Laroche, HCLR et la loge du jardinier (polychromie extérieure) à Poissy; LES HEURES CLAIRES, Proyecto y arquitectura LC et Jeannaret QUETGLAS 2009; Der Edle Wilde, The Noble Savage, Le bon Sauvage – Vers une archéologie du modernisme. Vogt. Vue aérienne de l’Institut national de géographie et satellite. Géoportail. Été 2015 (pré mémoire et Busseix) : Baricadage de bibliothèque. Une semaine sur Zarathoustra à voix haute, bilingue. Une dizaine de fois le chap VIII de Finnegans Wakes. Les Hauspostille de Brecht. Le Berliner Ensembl à 3 reprises.
L’œuvre de Giacco : les larges coll. Du MNAM, dessins mine de plomb exp., plume, L’œuvre du Moma Objet Invisible. Sculpture et dessins. Têtes gravées de son père. Dessins d’atelier. Maquettes de figures dans leur environnement (clairière, forêt, cage). La lettre à Pierre Matisse. / Exposition Magritte, Douanier Rousseau, Gauguin, Cézanne, Moma à Paris. / Une exposition en hommage à R. Roussel, autour de Sade. De Baudelaire. Exp et litt. / Exposition et primitivsime : Quai branly, mur Breton. Accrochage du MNAM modernités pluriel. Maison rouge, commissaire des magiciens de la terre. // HIVER 2016 entre la BPI-BULAC-BNF. Ce mois d’étude partant d’un point d’ignorance, d’un point d’apprentissage reculé: l’art chinois, la pensée chi, l’histoire dans les textes. Des catalogues d’images, textes historiques et commentaires d’histoires. Différents champs attaqués, une bibliographie constituée de mes piliers, flambeaux ou figures tutélaires. Poètes, artistes, sinologues, observateurs, commentateurs. J’ai recopié à la main le Yi Jing et photocopier trois autres traduction, recopié aussi des fragments de Wang Fuzhi... des journées entières ; qui suis-je? Histoire de l’édition des fragments d’Héraclite. Textes comparés, anglais, allemand, grec, français. Alphabétique, chronologique, phénoménologique. Témoignage de Diogène. Lettres et maximes d’Épicure. Décembre : 3 jours de bilan de mes lectures des 8/5 années passées. Discothèque, cartothèque, iconothèque. Le rétrospectif, dans le vif de la lecture et le programmatique. Session d’inventaire : ma bibliothèque visible diffère de mon expérience littéraire. Notations de mes expériences de lectures à l’entrée de chaque livres important. Imaginaire réformé, sources étendues, pouvoir comparatif lié à aux importantes 1ères lectures. Importance de relire. Jarry différemment. Notes de lecture et d’études (un jour toutes ?) tapugraphiées. // Juin 2017. Je finis diplômée des beaux arts, j’étudie le marché de l’art, la sociologie du travail créateur, j’ai un plan de professionnalisation - surtout des notes, encore, un classeur entier. Plusieurs. J’ai été ridicule. Outre un projet d’activité critique, blog vers la Revue. J’ai des fragments de candidatures et des idées de dessins. Repertorier les associations. Virtuellement excitée par matelot guide, agent d’entretien d’espace vert, de surveillance dit oeil du musée, surveillantes de nuit pour jeunes aveugles. J’étudie la déficience visuelle. HIRSCHMAN, économie élargie. Wiggtenstein (religion et art), Marx (marchandise), Benjamin (valeur cultuelle, valeur expostion). «Die dinge liegen unmittelbar da vor a unsern Augen. Keine Schleier mit uber ihnen. Hier trenen sich Religion und Kunst.» // 11/2017 MAM – Balthus, Giacometti - Travail de Giacometti : objet Invisible d’après ce que j’ai écris ; premier texte ekphrasis, performé il y 5 ans. Les dessins de momies, les lignes de constructions matérialisées en œuvres. Dessins de Giaccometti d’après la stèle du roi serpent (égyptien), d’après Raphaël, Michel-Ange, Tête de Josef Müller gravée, père de l’artiste, Tête du père II, de Diego ; femme qui marche 1932, La cage de 1949, L’homme qui chavire 1950, L’Objet invisible de 1934, La forêt de 1950, L’homme qui marche II ed. Maeght (vert de patine). Balthus : Balthus d’après Werthering Heigh : scènes enfantines. Les enfants hubert et thérèse Blanchard – Les beaux jours 1945 ; La Chambre 1947 ; La rue 1933. / Moma à Paris (LVMH) : L’oiseau dans l’espace / Picasso Le Meneur de Chevaux ; Cézanne Le baigneur / triptique boccioni et triptique Beckmann / Les montres molles de Dalì; Kery James Marshall : la boîte de nuit, la peau noire, lumière rouge, scène bleue; Jeff Wall – rapport au prologue de la nouvelle ; invisibilité, darkness – passion for light (électrique, underground). / Ian Cheng : Digital, 2 écrans environnement + des détails : 2 pers et un hibou ; feu/décomposition des corps – figures en interaction ; les mouvements aléatoires, infinis, algorythmes. Les feuilles balancent, les corps morcellés et décalés du plan sol. // Bilan bibliothèque 2017 constituée de fictions (romans, poésies, nouvelles) principalement occidentales. Apport de l'extrême orient (zone sino-japonaise); germanophonie, hispa, anglophonie; du latin, du grec ancien. Histoire économique, politique, moderne et ancienne. Repredrendre ma tradition (héritage et influence décidée) d'après ma bib (moyen d'empowerment). Ce que rétrospectivement depuis 4 ans env. j'en ai exploité, ce que devenu de consistant en moi… vers où la faire tendre. Influences débordantes… // CINÉMA: Wells, Bresson, Renoir. Farocki. Les acteurs: J. Moreau, Sylvia Bataille, A. Artaud. Analyse a posteriori de ce dont j’ai fait l’expérience sans comprendre: Sala, le siège de Sarajevo. Schibli et la Palestine. / Expérience nouvelle de l’étude soutenue et quelques peu systématique d’une certaine athmosphère chinoise. Lecture de l’histoire de la guerre par les œuvres: Massacre des Innocents, Gefallen Laub, Zwischen zwei kriegen et Erzhälen; Théâtre de la mort… Seven warlike uses of childlike materials ; Gefallen Laub. Bilan grandes collections européennes : 4 jours au Prado, 1 jour à la Gemälde, 2 jours à la National Gallery, 2 jours au Reina Sofia, reprendre le Louvre post Italie, 13h à Uffizi de Firenze… Expérience théâtrale sur 5 ans : de la ville, de l’Odéon, de la Bastille – à l’opéra. Robert Wilson, Roger Blin, Peter Brook, Claude Régy, Vilar. L’histoire terrible mais inachevée de Norodom Sihanouk, roi du Cambodge, Cixous, Théâtre du Soleil. Recréation en Khmer d’après m.e.s de Mnouchkine. 1995-2013. Dans l’émission de radio, la pièce de Bel, au théâtre (Dom Juan de Molière: l’art du dialogue, de l’entretien, de la rencontre. Le discours écrit, le discours parlé (l’oral et la rédaction). Écrire autour de Bel, Wang Bing. Essais, articles critiques sur le mode de la conversation collective avec ceux y ayant assisté. Pélleas et Mélisande de Debussy, Electro accoustique. Claude Regy, la barque le soir au théâtre de l’Odéon ; Christian Beneditti (la mouette de tchekov au th.louis jouvet); krytian Lupa (La cité du rêve, th. de la ville); maguy marin - nocturnes th bastille ; Alain francon, La Mouette; Jérôme Bel : Gala, Hora… Novarina : L’homme hors de lui; Brecht : Die drei groschenoper, Arturo Ui, Mutter Kourage. Pirandello, Régy, Brecht (Berliner Ensemble). Le Dom juan de Molière mis en scène par Malik au théâtre de la Commune - Byron, Mozart, Kirkergaard. // Paris écrit : Les différents territoires parisiens lus dans Nerval, Diderot, Baudelaire, Flaubert, Hugo, Zola, Vallès, Marx, Jarry, Proust, Breton, Miller, Aragon, Benjamin, Breton, Le Corbusier. Le Paris architectural critiqué et produit par Le Corbusier ; critique et l’œuvre construite de la région parisienne. Le Paris photographié d’Atget, nocturne de Brassaï ; filmé de Renoir, les berges et les églises en nocturne de Bresson… Dessiné par Daumier : croquis au tribunaux, de l’assemblée nationale, et par Vallotton: la manifestation. Les manifestations, les jours de pluie par Vallotton. Visionnaire par Meryon. Le Meissonnier du Louvre qui représente un massacre de révoltés de 1848 amalgamés parmi les pavés déchaussés d’une barricade défaite. Science et poésie: Hugo, Poe pour les trous noirs. Les constructions de Borges. Les calculs de Khlebnikov. Science fiction. Le sensible, le pouvoir de l’imagination et l’abstraction de Kafka. Alice in wonderland, la pataphysique, chimères 1854, Nerval. Fascination du gouffre. La chute dans l’abîme. L’aperçu de ce qui existe sur Terre, dans l’univers, des trous noirs aux abysses. Surnaturalisme des sciences. Planches scientifiques archivées sur Gallica. // Invisible, inaccessible, inconnu, étranger: Fonds marins, le bigbang, les trous noirs, l’extrême orient. L’intérieur de mon corps, la vie des insectes, les semences, encéphales. La poésie russe, la Chine en pensée et textes, films; l’astrophysique, la préhistoire, la physique quantique, l’algèbre mathématique. La musique. L’aperçu de ce qui existe sur Terre, dans l’univers, des trous noirs aux abysses. Surnaturalisme des sciences. Planches scientifiques. Gallica. L’aperçu de ce qui existe sur Terre, dans l’univers, des trous noirs aux abysses. Surnaturalisme des sciences. Planches scientifiques. Gallica. Introduire dans mes choses vues les colloques et conférences, culture politique et philosophique. L’aperçu de ce qui existe sur Terre, dans l’univers, des trous noirs aux abysses. Surnaturalisme des sciences. Planches scientifiques. Gallica. // OCEAN Avant ces études je connaissais la mer par (...). Le monde marin littéraire: cortège marin de Vénus par Apulée, déluge d'Ovide, At first... great Whale de la King James Bible); Vénus sortie des eaux de Boticelli; aquarium de Milestones, petite syrène d'Anderson. Mollusque de Ponge, ébauche de poisson. Descriptions de l'océan dans: la petite syrène (ondine), 20 000 lieux sous les mers, les travailleurs de la mer. Lors de la composition du texte descriptif de mai 2015, je regroupai quelques passages de textes autour du thème marin qui faisait rayonner une formule trouvée: tranche de flots concrétisée. Depuis j'ai connu les géodésiques. Déc 2016. Un mois d'étude en bibliothèque de l'océan global, fonds océaniques (océanographie, océanologie; tectonique des plaques, dorsale océanique - faune et flore, écosystèmes répartis planétairement et étagés. Matin par métamorphoses d'Ovide (Déluge, Méduse de Gorgone aux cheveux de serpents qui pétrifie qui la regarde… interprétée par Caravage). L'hippocampe de la toison d'or? Les métamoprhoses d'Apulée: cort. mar de Ven. Vénus à la coquille du Louvre, botticelli. Monde sous-marin des Mille et une nuit? Tourbillons et maelstrom de Poe; Cachalot blanc Moby Dick; le Léviathan de Job, Rimb. Petite ondine et cable télégraphique d'Andersen. God created great whales, Jésus marche sur les eaux purpurines, meerehaut, poèmes de gouffres d'Hugo, pieuvre comme phobie de l'aspiration. Ondines et hydres montrées dans le cinéma scientique… Vénus comme soeur de l'azur qui émeut le flot pur, les ondines qui divisent l'eau fine. Proust cherche à retrouver dans son expérience maritime ce dont parle Baudelaire dans L'homme et la mer. A Balbec plage, trouve le poisson primitif dans celui de son assiette, compare le rose du saumon au crépuscule. Parle-t-il de coraux, de polypes? La cimmérie de l'Odyssée: patrie de l'ombre et des tourbillons, le Balbec rêvé de Proust, le déluge d'Ovide, le biblique et les déluges historiques. La tempête du quart livre de Rabelais, l'océan planétaire du second Faust. La tempête et le séjour dans la caverne de la pieuvre des Travailleurs de la mer. Avalanche peux-tu m'emporter dans ta chute?… On ne peut détourner le fleuve de la mer… Elle a tous les ruisseaux dans ses regards d'émails… The Rime of the Ancient Mariner: le calme plat, l'Albatros pendu au cou, les serpents de mer; le pôle terre de glace; la coloration verte, rouge et blanche de la surface. … A wood wich slops down to the sea… The water, like a wich’s oil, / Burnt green, and blue and white… The sacred river ran / Through caverns mesureless to man / Down to a sunless sea. Grand Atlas des mers et océans, 2004 (Mojetta). Images de l'abysse. Abysses, une histoire des grands fonds, 2015 550.63 MIG. Feu des abysses, 2008, Hekinia/Binard. Les grands fonds, 2011, institut océanographique de Monaco (p60-65, paysages).
J1: images de la croûte terrestre aérienne et spatiale, photos satellites, amateurs et astronomes de la NASA. Télédétéction: la croûte terrestre en atlas photo, géoportail, national geographic, society orbit; motifs de la Terre Edmaier... Géosciences: la dynamique du système terre et de l'Univers; Science de la Terre et de l'univers, 2014, J-Y Daniel (le Soleil et sa relation avec la Terre, mouvement de la Terre dans l'espace, Terre dans le système solaire.). J2. Expanding univers, photo from Hubble telescope (1990-2014). 200 objets faibles et obscurs de l'univers; L'histoire de l'astronomie, Murdin 2012 (album, facsimilé). J3. Du monde clos à l'univers infini, Koyré, 1958; Une brève histoire du temps du Big Bang aux trous noirs, 1988; La conquête de l'espace et la dimension de l'humain, 1963, Arendt (parabole de Kafka analysée et continuée, point d'archimède, différences vérité philo et scienti...). J4. Copernic, De revolutioranibus; Opere, Galileo Galilei (Siderus Nuncius: le messager des étoiles; dialogue sur les 2 grands systèmes... Stella Nova, Kepler; Newton; Einstein. J5. Aristote, De Caelum; Giordano bruno; Nicolas de Cues; Descartes: Principes de la philosophie part. III: Du monde visible; De la Terre; Questions de l'Optique de Newton; Philosophie naturelle; Principes mathématiques; Einstein, oeuvres choisies (documents autobiographique, vulgarisation). J6. Tetralibri, Ptolémée (astrologie); référence cours JFC réaction à l'empire Newtonien: Fourier, Blake, cénotaphe de boullée... J7, 8, 9: Anatomie, physiologie, physique quantique: particules élémentaires, matière, microscopique. J10 Biologie: principes et génétique; Logique du vivant, histoire de l'hérédité; Sens du mouvement (neuroscience et psychologie cognitive); Structure de l'évolution (ponctuée, temps géologiques); Arbres et classification philogénétique du vivant. J11 Articles Big Bang, Champs, Ether, Atome, Quantique, Espace-temps, Trous noirs; particule; Gravitation. . J11: planétologie, Système solaire... études spécifiques aux objets cosmiques singuliers (trous noirs, soleil, planète, lune). // Jakob von Uexküll, Streifzüge durch die Umwelten von Tieren und Menschen, 1934; Origin of species, Darwin. Sciences naturelles: La vie sur Terre; encyclopédie de la nature: invertébrés, mammifères, agnathes et poissons; plantes inférieures; fossiles; minéraux et roches. Buffon, Cuvier, Humboldt, Linné: Histoire des sciences naturelles depuis les origines jusqu'à nos jours; chez tus les peuples connus (illustrés de gravures). Foucault. The Radiolerian Atlas, kunstformen der natur, Haeckel. • Géométrie vivante de la nouvelle bibliothèque des mathématiques; dictionnaire de l'hist. et phil. des sciences; écrits d'Einstein, planck, Heisenberg. Copernic, Galilée, Kepler, Newton. Eurêka de Poe: éléctricité, équation différentielle, univers atomique, système solaire, intuition du trou noir. Borges, Fiction. • Le Timée de Platon, les traités de physique d'Aristote; Ptolémée, archimède et Euclide; Démocrite et Epicure, Lucrèce (atomistes); Cues et G. Bruno (métaphysiciens de la décentralisation); Copernic, Galilée, Kepler, Newton: mathématisation de l'Univers; Planck, Einstein, Bohr, Schrödinger, Heisenberg. • Serres (science de la couleur), Luminet (trous noirs, astéroïdes). Lentille, horloge, sonde, balance, lunettes de Galilée, téléscope, calculatrice de Pascal. Le point d'Archimède, Archimède. Ptolémée...
Cosmographie, cosmogonie; cosmologie; astronomie; physique, métaphysique, philosophie; sciences naturelles. Cosmologie et particules élémentaires, Astrophysique, système solaire; systèmes stellaires dans la galaxie; espace interstellaire; planétologie comparée; géodynamique; machine océan. La différence entre astrophysique et cosmologie est une approche globale de la cosmo où tout objet cosmique forment un flux cosmique. • Géophysique, sismologie, géothermie, magnétisme, hydrologie.• Géosciences: sciences de la vie et de la terre, géologie, géomorphologie. Archéologie, éthologie, écologie, zoologie. Cristallographie, océanographie, minéralogie, botanique. • Biologie: anatomie et physiologie; psychophysiologie. • Physique. macrocosme et microcosme. Chimie, mathématiques et technologie. Nano, numérique, cybernétique. ?• Optique (onde, corpuscule, lumière, couleur; éléctromagnétisme et rayonnement), science de la couleur, statique, cinétique • Géométrie (affine, euclidienne, projective, différentielle, analytique et fractale), perspective, plasticité de la matière. • Télédétection pour météorologie, climatologie, hydrographie, température, variation de niveau pente et courants; vagues et houles, couleurs variétés biologiques. Géologie, Géographie; Géomorphologie; Géographie physique. Schéma de la tectonique des plaques, cycle hydrolique, étagement et zonage du continent à l'océan. • Philogénétique (théorie de l'évolution), génétique, neurosciences, physique de la matière et de la lumière, cosmologie, géologie, écologie. Biologie (générale, cellulaire, molléculaire, embryologie, microbiologie, (bactériologie et parasitologie), génétique (histoire du gène et logique du vivant, hérédité), Evolution (descendance avec modifications). / Hydrologie, pédologie (du sol), spéléologie (grottistes, cavernes et grottes). / Paléontologie (anatomie comparée de Cuvier, botanique, zoologique, humaine). Théorique de l'évolution, Systématique: arbres et clades. / Théorie de la tectonique des plaques. (*), structure et génèse de l'océan. // La logique épistémologique, de connaissance • Zoologie, naturalisme, botanique, bestiaire
Relations 2018 : Une relation entre le plan d’HCLR (temple matérialiste) et les diagrammes du Zhou Yi. Souvenirs scientifiques: dissection de souris, exctraction de gaz, liquides en laboratoires, dessins géométriques, résolutions d’équations, voyage géologique. Schallachet et les buissons d’épine de l’Enfer de Dante, et Niemandrose de Celan. Sala neoplastycjna, cabane éclatée, garten skulptur, Casb, pavillons de Graham. Chevaux de Lascaux, Uccello, Géricault… (Considérant Fou d’Elle). Psychologie des Fleurs du mal – cheval, chat, chien; Lascaux ; centaure ; l’âne d’or ; table tournante de Jarry, tête de violon. Ethnologie au séminaire Chevrier, session zoologie à la BPI, anatomie. Animaux: imaginaires (bestiaires romans et Borges). ébauche de Poissons… dauphins d’Amazonie. Les conques de bénitiers, le bénitier de Pigalle. L’idole à la coquille du Louvre (Baltrusaïtis). La galerie des proues du Palais Royal. Le gibet symbolique où pendait mon image. Le démon de l’analogie (pris dans mon analogie). Le cœur enseveli dans cette allégorie? (Enveloppé dans ton idée). La prophétie auto-réalisée (cf JJR). La métaphore est le pain quotidien du philosophe. L’attitude d’Artaud. (*) Châteaux coulés au goutte à goutte du Croisic, toile d’araignée embruinée. Maquette de Gaudì. // Un spectacle de danse (Bel), Un diptyque de films montrant des négociations, une journée d’étude à propos de la Syrie. Négociation financière, génocide syrien. Farocki, Bel, Italie, colloque syrie. Musique, clubbing : le rock du Havre dans Kaurismaki, le rap japonais de Saudade, les scènes de clubbing de Marshall. Jungle : Voir la figure sur fond ornemental avec le portrait de jeune fille de Picasso et La Jungle de Lam (1943). L’essai de Miller. Im dicktich der Stadte de Brecht. // FIGURES Le monstre, le héros. Un monstre comme invention humaine, de laboratoire ou obsession mentale. Animaux à phobies: araignées, serpents, rats • La momie (Le Roman de la momie, Gauthier… complexe du cinéma par Bazin), le mort-vivant, le fantôme, le zombie (Romero), le vampire: anthropophage, buveur de sang noctambule. Les dinosaures, monstres de laboratoire. Gozilla, King kong (elle s’assoit dans sa main comme dans un fauteuil). Un monstre, un vice, un dieu. Le robot (humanoïde, algorythmique). • Raskolnikov et Billy Bud les assassins, Daisy Miller l’actrice. • Hamlet, Igitur. • Macbeth, Faust, Faustroll; • Cléopâtre, Mazeppa, Œdipe, Antigone, Jésus de Nazareth, le christ. • L’homme sans qualité, l’homme aux rats, Rattenfanger, Raskolnikov, Lazare le marcheur (qui se lève). Danton. Le Charlot. • Œdipe, Hamlet, Tartuffe et tartufferie l'imposteur, Crusoe et robinsonade. Jérémiade. Candide, Ubu et ubuesque, Gargantua et gargantuesque, • Quasimodo, Arlequin, Pierrot, Frankenstein, Nostradamus, Dc. Jeckyll and myster hyde. Odyssée ou ulyssade. • Pinocchio et Jonas avalé par la baleine. La belle et la Bête. • Robinsonnades, jérémiades, tartufferies, arlequinades… de l’ ubuesque, un Calimero • Adam et Ève etc., Abel et Cain, Arche de Noé (architecture et salut), Tour de Babel (architecture et langage), Sodome (ville et péché), la croix. • Le radeau, le verger, la passe de l’Odyssée. • Ulysse : Homère, Joyce. • Le peintre de la vie moderne, l’homme des foules, le flâneur. • // FEMMES : Brontë, Dickinson, Arendt, Sczapoznikow, Riley, Schneider, Taueber Arp, Woolf, Morrison, Schibli. Les œuvres de Colette, Nin, journaux de Portraits de femmes-auteurs, personnages : Weil, ouvrière mystique. Luxembourg, polémiste révolutionnaire. Arendt, philosophe. Cahun, photographe traverstie? Woolf, romancière et essayiste. Moreau, Sylvia Bataille, actrices. Schibli, photographe. Mehertu, fresques. Klein, Colette, Sarraute. FEMEN Anna, Sacha et Oksana. Libertines. WITTIG. Une arche, une tour, une croix (forme de potence). La maîtresse des maîtresses, la sœur, la passante, la muse vénale. Daisy Miller, Miss Dalloway, Cahun, Rrose Sélavy connaît le marchant du sel pour le travestissement et le changement d’identité, Nausicaa l’hospitalière, Gradiva : celle qui marche, Mutter Kourage, Hélène, Pénélope, Laure, et Béatrice. Rosa Luxemburg, Simone Weil, Nathalie Sarraute « ère du soupçon » et entre la vie et la mort. Hannah Arendt. Mélanie Klein, Kristeva, D’Avila, Colette. // Enfances théoriques par Freud, Klein, Wallon et Piaget, Winnicott et Schilder (Images du corps) ; 15 pédagogues et leurs influences aujourd’hui. notions de liaisons spatiales, d’apprentissage actif. Je cultive la part d’enfance en moi ; travaille mes propres souvenirs. Enfance aveugle : Theoria collection, Corpus Tactilis (Les doigts qui rêvent.) ; Un autre Regard, Raynaud, 2002, Handicaps et interdisciplinarité ; Se mouvoir sans voir, Redonner vie au mouvement ; L’Espace et soi, Lilly Nielsen 1982 + Apprendre pas à pas. Petite Maison de Lilli Nielsen, et lu Approche des enfants aveugles et déficients visuels congénitaux. Braille, lecture digitale et images tactiles ; l’adaptation des histoires à ce mode de lecture et de perception de l’environnement. – expérience des liaisons spatiales, permanence des objets, paysages sonores. Je cultive la part d’enfance en moi ; travaille mes propres souvenirs. Je pense la locomotion et la psychomotricité depuis l’enfance avec une longue pratique de danse. Je m’intéresse aux sensations extra visuelles à l’intérieur des arts visuels même (« peindre ce qui se trouve dans notre dos », rythmique du geste, dessin automatique, dessin dans le noir au cinéma, chorégraphie de la main, etc.). // La guerre, la mort: Kadishman; Sczapoznikow, Wroblewski et Kantor; Gitaï et Schibli. / La cabane éclatée de Buren et les reliefs de Stazewski; Gefallen Laub; Neues Museum; Les scènes d’intérieur d’Ozu; Dan Graham – pavillon Birmingham (jardin). / À Berlin m’ont marqué les œuvres Die Garten Skulptur et Gefallen Laub de Kadishmann, rénovation du Neues Museum par... . Terre, homme et monnaie : Artaud, Beckett Chaplin Joyce (milk, milkwoman) ; Chaplin croque dans un citron cueilli d'un arbre derrière lui ; Antonin et les pavots des champs d'Afghanistan , le bol de lentilles, Beckett et les personnages aux légumes dans les poches, une carotte, un oignon, Brecht et l'arbre dans la cour de l'immeuble, pflaumenbaum. Le portrait de la vielle travailleuse par Kramer. Oiseau, coquille, bec, épine. Bec verseur en forme de rapace et l’éléphant vase du Musée Guimet (revoir avec les études chinoise et le musée Cernuschi); Le Tireur d'épine et l’homme à l’agneau de Picasso au Reina Sofia, L'oiseau dans l'espace de Brancusi ; Coin de chasteté de Duchamp, l’Aphrodite à la coquille du Louvre. La panse du père Ubu et le vase funéraire Pithos cycladique. L’Oviri et les pots anthropomorphes de Gauguin. Le chapiteau tête de bœufs jumelés d’une colonnade perse au Louvre. Les crochets de Papouasie Nouvelle Guinée. Avec les textes de l'escargot, la coquille et le mollusque du parti pris des choses de Ponge, les Bizarreries des sceaux de Baltrusaitis. Méditation associative sur les titres : Blumenstaub et Germinal. The waste land et Les damnés de la terre. Mimésis… Poteaux de couleurs devant lesquels passent le bateau Ivre, mirage de panneaux de la chambre des ancêtres ; sévère portique que rien n’a dérangé ; murs qui beige comme l’air beige et le souvenir s’émurent, table qui de sa petite tête de bois se met à danser.
0 notes
Text
Notre Dame de Paris Review - 22 Avril 2017
Voilà, histoire de se changer les idées, voilà ma petite review de Notre Dame de Paris que je suis allée voir à Nice avant-hier. Pour tout vous dire c’est un rêve de gosse que j’ai réalisée, moi la petite fille qui a grandi avec l’album concept puis le DVD, qui connaissait (et connaît toujours) pratiquement toutes les chansons par coeur, qui adorait (et adore toujours) le cast original, qui re-regarde très souvent la captation au Palais des Sports, qui réécoute l’album live très souvent. Bref, autant vous dire, que je serais peut-être moins critique que je le devrais ?? Mais j’ai passé un moment tellement fabuleux que vous me le pardonnerez peut-être. Bref.
J’aimerais d’abord commencez pour simplement exprimer mon choc à la découverte de la salle le “fameux” Palais Nikaïa de Nice dont on m’avait tant parlé. Les places étaient des chaises en plastique installé à la place de l’habituelle fosse et les gradins étaient constitués de chaise en bois qui se rabattaient façon chaise d’amphithéâtres. 5e ???? ville ????? de ???? France ?????? Et c’est ça la grande salle de spectacle ????? Je n’arrête pas de bitcher à mort sur ce fait mais je suis tellement choquée et shookTM ???? Alors oui après vous allez me dire que vu que mes seules expériences de comédies musicales c’est dans les théâtres londoniens ou dans un opéra ancien et magnifique à Toulon, j’ai des goûts de luxe maintenant. M’enfin quand même ! Des chaises en bois d’amphithéâtres. Je me suis senti victimisée par ces chaises. BREF (sinon je vais encore m’épancher).
Pour tout vous dire, même si j’étais ultra excitée, j’étais un peu appréhensive de découvrir cette nouvelle troupe en live, je voulais vraiment avoir Daniel Lavoie en Frollo (que j’ai eu et OH. MON. DIEU. mais plus tard), je partais avec quelques apriori des peu de vidéos ou enregistrements sonores que j’avais entendu (surtout sur Gringoire qui est mon personnage favori de la comédie musicale et parce que j’adore Bruno Pelletier, tout simplement et que son Gringoire est la meilleure chose qui soit tbh (mais gros big up à Matteo Setti aussi <3). Bref vous voyez un peu. J’ai vécu 18 ans avec le cast original en tête et dans les oreilles, du coup passer à une nouvelle troupe pour la grande majorité, on a toujours un peu peur d’être déçu.e, de ne pas retrouver la même magie qu'avec le cast original, je sais pas si vous voyez. Et puis la salle s’est plongé dans le noir et l’Ouverture a débuté et wow les frissons (j’adore tellement l’Ouverture <3). Pendant ce temps, Gringoire entre sur scène et s’allonge sur un monticule de palette de bois (mise en scène des productions étrangères et des tournées asiatiques reprise pour cette nouvelle production). Puis vient Le Temps des Cathédrales, morceau iconique à souhait comme chacun.e sait. Le premier couplet était un peu poussif pour Richard Charest je dirais mais je me suis laissé entraîné ensuite, il est monté en puissance pour apporter sa patte sur une chanson pas du tout facile à chanter. Je remarque d’ailleurs un petit problème technique avec une colonne qui n’est pas arrivé à l’endroit précis où la gargouille devait se poser, et une gargouille pas stable. Mais toute la troupe excepté un danseur et un technicien caché derrière la colonne qui j’ai aperçu une seconde, ont continué sans sourciller, les aléas des représentations. Et les chorégraphies sérieusement j’aime tellement les chorés dans NDdP, j’ai tant d’amour pour ces chorés.
Puis arrive Clopin pour Les Sans-Papiers et je vous l’annonce, je suis tellement tombée sous le charme de la voix et du jeu de Jay. J’ai adoré son Clopin et son Sans-Papiers justement, en plus du tableau dans son ensemble, m’a fait pleurer tant c’était bouleversant et résonnait encore plus aujourd’hui. Et ça résonnait encore plus quand Phoebus est entré accompagné des “soldats du roi” : qui ont désormais des costumes proches de ceux de nos CRS actuels.
Tout s’enchaîne ensuite et au lieu de balancer tout ça pêle mêle je vais essayer de structurer tout ça. Au passage je précise que j’ai eu toute la troupe principale c’est à dire : Angelo Del Vecchio (Quasimodo), Hiba Tawaji <3 (Esmeralda), Daniel Lavoie (Frollo), Richard Charest (Gringoire), Jay (Clopin), Martin Giroux (Phoebus) et Alyzée Lalande ou Idesse (j’ai lu qu’Idesse était devenue principale pour le rôle de Fleur-de-Lys mais dans le doute) (Fleur de Lys).
Richard Charest (Gringoire)
Je me vois dans l’obligation de lui dédier une partie entière parce que c’était pour lui que j’avais le plus d’a priori (et que j’ai donc scruté le plus) et ?????? Il a réussi à tout balayer et me faire l’aimer beaucoup ??? Il propose quelque chose d’autre pour Gringoire qui m’a plu tout autant que le Gringoire de Bruno Pelletier (même si par subjectivité Pelletier reste en haut dans mon coeur). Plus les jours passent et plus j’apprécie de plus en plus le Gringoire de Richard Charest en y repensant. Il offrait une lecture plus naïve plus “jeune” à Gringoire, au contraire de ce côté mystérieux, détaché et intemporel du Gringoire de Pelletier. Le Gringoire de Richard Charest a partagé plusieurs interactions avec Quasimodo qui étaient touchantes et qui témoignaient de leur connaissance (pour connaître Frollo tous les deux). Avec Esmeralda il était prévenant, avenant, très fraternel et complice, c’était absolument adorable et son duo avec Hiba Tawaji fonctionne à merveille <3 ! Son Gringoire était beaucoup plus impliqué dans les actions malgré son rôle de narrateur, et de fait était bien plus déchiré face à son impuissance quant aux malheurs qui arrivent. En plus de ce côté très doux, très fraternel, très jeune naïf, son Gringoire était très awkward aussi, ce qui le rendait encore plus adorable. Par exemple pour La Cour des Miracles, son air de surprise totale quand Esméralda annonce qu’elle prend comme époux et donc le sauve de la pendaison, sa timidité et sa maladresse, son envie de bien faire quand Esmeralda l’attire de l’autre côté de la scène pour danser (au passage dans cette chanson c’est désormais Esméralda qui chante “Je te prends certes pour mari mais pas pour amant” et je trouve ça super cool, ça enlève un peu le côte possessif sous-jacent de Clopin pour Esmeralda qu’il y avait avant). Lors du Mot Phoebus (aka une de mes chansons préférées malgré sa durée minime). Il était reconnaissant envers Esméralda, ne se montre pas déçu quand Esmeralda lui annonce qu’elle veut savoir ce que veut dire Phoebus parce que c’est le nom de celui qu’elle aime. Au contraire, il était sincère, semblait vraiment chercher dans ses souvenirs de latin pour lui faire plaisir et l’aider. Il m’a aussi beaucoup ému dans Libérés avec le fameux IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILS DEMAAAAAAAAAAAAAAANDE LEEEEE DROOOOOOOOIIIIIIIIIT D’ASIIIIIIIIIIIIIIIIIIILE (l’ensemble de cette chanson était émouvant mais voilà). Enfin, le passage au pantalon bariolés et colorés dans le costume de Gringoire ajoute cette pointe d’excentricité au personnage mais aussi joue sur ce côté jeune et peut-être insouciant qu’offrait Charest au personnage. Bref, je ne partais vraiment pas gagnante pour Richard Charest mais il m’a agréablement surprise et il entre directement dans mon top des Gringoire favoris. Beaucoup d’amour et un immense merci à lui !
La troupe
Du coup vu que je viens de faire Richard Charest, suivons la logique et parlons de chacun des membres de la troupe !
Hiba Tawaji (Esmeralda) : un joyau, une merveille. Cette voix ! J’ai tout adoré chez elle, le jeu et le chant (et qu’est-ce qu’elle est belle azdfsgdsgh), en plus la nouvelle mise en scène donne des répliques qui était avant à des hommes (s’adressant à Esmeralda) à elle ce qui en fait une Esmeralda un peu plus émancipée, c’était appréciable. Son Ave Maria Païen était à couper le souffle et son Vivre était juste magnifique, sans parler de son déchirant Phoebus. Voilà, je l’aime, je l’aime, je l’aime
Angelo Del Vecchio (Quasimodo) : Sa voix fonctionnait très bien dans certaines scènes, parfois moins bien. Il chantait juste et bien mais parfois, la comparaison avec Garou était trop forte et c’était un peu dommage. Mais je n’ai rien à redire sur son jeu qui était vraiment top, on sentait vraiment ce Quasimodo sincère, partagé entre sa dévotion pour Frollo et son amour pour Esmeralda. Il m’a mis les larmes aux yeux lors de L’Enfant Trouvé (ses interactions avec le Frollo de Daniel Lavoie étaient pleines d’émotions) et Danse Mon Esméralda.
Martin Giroux (Phoebus) : j’ai au début pensé qu’il s’agissait de sa doublure, Flo Carli, mais c’était bien Martin Giroux. Peu de chose à dire, j’ai apprécié sa voix toute en puissance et il me donnait l’impression d’un tout jeune Phoebus, pris en étau entre son amour pour Fleur-de-Lys et son désir pour Esméralda. Déchiré était magnifique, surtout avec le tableau de danseurs dans le fond de la scène, c’était vraiment superbe. Ce n’est pas de sa faute mais j’ai moins apprécié une nouveauté de la mise en scène : auparavant Fleurs-de-Lys chantait d’abord La Monture avant que Phoebus n’entame son Je Reviens Vers Toi et ce qui laissait Fleurs-de-Lys “maîtresse” de garder ou non Phoebus. Là les deux chansons ont été interverties et cela donne l’impression que Fleur-de-Lys se laisse berner par une ruse de Phoebus, ou bien qu’elle se laisse aveugler par son amour que sais-je (cette impression était très renforcée par le jeu de l’actrice de FdL qui passe de “non je ne veux plus de toi” à “Oui d’accord” suite aux tentatives et avances de Phoebus tout au long de La Monture). J’étais cependant contente car ma mère, qui ne tarit pas d’éloges sur son “Petit Corse” (comprenez : Patrick Fiori) a beaucoup aimé Martin Giroux donc ça m’a fait plaisir.
Alyzée Lalande ou Idesse (Fleur-de-Lys) : Comme dit, j’ai un doute sur qui j’ai eu. Ce que je peux en dire c’est que dans Ces Diamants-Là, sa voix était très faible en montant dans les aigües, c’était dommage. Elle était beaucoup mieux dans La Monture cependant, même si la nouvelle mise en scène (comme expliqué plus haut) et son choix de jeu m’ont laissé une impression de “meh”. Après, le personnage a quand même peu de scènes et peu de chansons donc difficile de pouvoir véritablement juger.
Jay (Clopin) : Je ne le connaissais pas du tout et dès les premières notes des Sans Papiers, je suis tombée sous le charme. Il a vraiment une très belle voix. C’était assez difficile de faire oublier l’excentrique Clopin un peu fou de Luck Mervil mais le pari Jay est entièrement réussi ! C’est un Clopin un peu plus dans la retenue mais vraiment très proche d’avec les membres de sa communauté, il y avait presque une bromance avec Gringoire après son mariage blanc avec Esméralda, c’était sympathique. Un Clopin engagé surtout, notamment dans Condamnés qui m’a donné les frissons. Il m’a vraiment beaucoup touché mais aussi parce que le personnage de Clopin a les chansons les plus “engagées” et actuelles du spectacle je dirais. En tout cas, il est génial !
Daniel Lavoie (Frollo) : Le meilleur pour la fin comme on dit ? Parce que PUTAIN !!!! Wow. Juste wow. C’est tout ce que je peux dire après avoir vu Daniel Lavoie dans le rôle de Frollo, il n’y a pas meilleure description. Si vous l’aimiez déjà dans la production originale, vous l’adorerez encore plus ici. Il m’a donné l’impression d’avoir gagné encore plus de maturité pour le rôle, ses cheveux blancs (qui lui vont très bien soit dit en passant) rendent Frollo plus effrayant et je trouve que l’on gagne beaucoup avec le nouveau costume qui fait clairement la distinction entre Frollo le prêtre et Frollo l’homme. Un jeu d’acteur en finesse et magnifiquement déployé avec brio au gré des scènes et des situations. Et puis surtout une voix mais une putain de voix encore et toujours malgré les années. Son Tu Vas Me Détruire est puissant, son Être Prêtre et Aimer Une Femme est riche de nuances et que dire de La Visite de Frollo à Esméralda avec le fameux “JE T’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIME” ?? Il a tenu la note 11 secondes. 11. putain. de. secondes. Je suis juste halluciné devant le talent de cet homme. Il est parfait, parfait, parfait, je n’aurais pu rêver meilleur Frollo, on ne pourrait rêver meilleur Frollo.
Danseurs et acrobates : ENORME big up à eux. Ce qui me plaît dans NDdP c’est aussi les chorégraphies et leurs styles acrobatiques et urbains. Et tous les danseurs et acrobates étaient génialissimes, les tableaux étaient enrichis grâce à eux : MA-GNI-FIQUE
Costumes
L’ensemble des costumes ont subi un petit lifting plus ou moins grand. Si ça reste sensiblement pareil pour Quasimodo, Esméralda, Clopin ou Fleur-de-Lys, on note l’apparition d’un pantalon bariolé de couleurs vives pour Gringoire que j’ai adoré, une côte de maille plus saillante et des bouts d’armures, à l’épaule et au poignet gauche, du plus bel effet vraiment, le personnage de Phoebus y gagne beaucoup. Le costume de Frollo, comme j’ai déjà dit est 1) Chouettos 2) participe grandement à montrer la dualité et la complexité de Frollo et j’aime ça, les relations costumes/psychologie des personnages.
Pêle-mêle
La mise en scène du Val d’Amour est devenu beaucoup plus explicite avec des lits qui se déplacent sur la scène et les danseurs qui alternent les positions. Je préférais la subtilité des ombres de la mise en scène originale.
J’ai mangé une bonne gaufre au chocolat à l’entracte
Cette salle est vraiment minable putain. Des chaises en bois....... DES PUTAIN DE CHAISES EN BOIS COMME EN AMPHI !!
Les harmonies sur Florence still own my life <3
L’Attaque de Notre Dame était juste magnifique et m’a mis les larmes aux yeux. Les harmonies entre la mélodie de Les Sans Papiers et les “A bas, ces sans papiers, a bas ces vanupieds.” étaient magnifiques et ça l’était encore plus avec l’arrivée de Gringoire qui chantait un bout du couplet avec les “Ils seront plus de 1000, 10.000 et puis 100.000″. Et puis tout monte en puissance jusqu’à Clopin battu à mort et Esméralda qui ensuite est celle qui chante Les Sans Papiers, reprenant le flambeau de Clopin comme un symbole. A rajouter, les cris déchirants des danseurs et acrobates et wow, j’ai eu des frissons.
Daniel Lavoie putain <3 !
Le tableau des trois cloches et des trois acrobates qui y effectuait leurs mouvements dans les airs pendant Les Cloches était juste magnifique.
Idem pour Danse Mon Esméralda avec les “trois Esméraldas” qui sont soulevé dans les airs et se donnent à un ballet aérien superbe.
Ces frissons pour la reprise du Temps des Cathédrales a capella avec Richard Charest et le reste du public, puis avec le reste de la troupe : un très beau moment. la salle était debout au grand complet pour applaudir toute la troupe, ça m’a fait chaud au cœur parce qu’ils méritent.
Si vous avez l’occasion d’aller les voir, ALLEZ-Y !!!!
Bref, je suis retombé dans une période NDdP et sérieusement, la veille du 1er tour, ça m’a fait du bien et ça m’a changé les idées. J’ai hâte que le DVD et le CD de cette production sorte pour que je puisse me les procurer et revivre un peu mon expérience <3 !! Beaucoup d’émotions à la vivre, et tellement heureuse d’avoir réalisé un rêve de gosse que je croyais irréalisable.
#Notre Dame de Paris#NDdP#Musicals#whatthefrance#Daniel Lavoie#Richard Charest#Hiba Tawaji#Angelo Del Vecchio#Martin Giroux#Jay#About me
81 notes
·
View notes
Text
Sydney
Hello!
Nous nous réveillons tôt ce matin, à dormir n’importe où comme ça il y a toujours un petit risque de se faire dégager au petit matin… Le petit déjeuner avalé, Skippy (notre van) file vers une ville qui nous fait rêver depuis longtemps : Sydney !
On a repéré sur des blogs ou forums des coins où les rues sont gratuites et où l’on va pouvoir garer Skippy la journée et y dormir le soir. Malheureusement, ca ne se passe pas comme prévu et les deux premiers quartiers que nous tentons ont des rues gratuites certes, mais limitées en temps : 15 min max, 4h max,… sous peine de très lourdes amendes. Cela dit les maisons encore de style victorien sont très belles, ca nous fait visiter !
Après 2h de tours et détours (et un soupçon de mauvaise humeur) on trouve le spot idéal : gratuit, illimité, le long d’un parc avec toilettes publiques, un endroit calme où l’on ne devrait pas gêner.
Enfin nous pouvons aller explorer Sydney ! Il y a même une station de train qui nous emmène en 20 min dans le centre. On commence par marcher vers Chinatown dans l’espoir de trouver de quoi se nourrir. Banco, on trouve un « foodcourt » avec tout type de bouffe asiatique : ce midi, c’est thaï !
On rejoint ensuite le quartier de Darling Harbour. Il y a les inévitables Novotel et Ibis qui surplombent l’immense centre des congrès international de Sydney mais le port est bien aménagé, il y a de l’espace, des arbres, des places et cette grande esplanade qui longe la baie, très animée en ce début d’après-midi. Il y a juste l’autoroute aérienne qui traverse la ville qui fait un peut tâche. Le soleil brille, il fait bon, ca fait du bien de se retrouver en pull voire même en t-shirt.
On emprunte le Pyrmont bridge pour atteindre le CBD (Central Business District), reconnaissable entre mille par sa forêt de gratte-ciel et la Sydney tower, tout d’or vêtue.
Le consulat de France nous indique une librairie qui peut-être vendrait… un Routard ! Ouaiiiiis ! On ferme les yeux sur le prix et on retrouve avec plaisir les petites anecdotes dont ils ont le secret. Pour tout dire, ça nous pesait un peu de devoir organiser nos étapes sans guide, en cherchant sur internet (donc il faut internet), sans forcément connaître la fiabilité du média. Le routard, on connaît et on valide (non nous ne touchons pas de commissions pour faire de la pub !).
Juste à côté se trouve le Queen Victoria Building, un superbe édifice du XIXème siècle. A l’intérieur, le long des coursives en fer forgé, des magasins plutôt chics côtoient sur 4 étages des salons de thé et des boutiques d’arts. Le style est un peu lourd, mais perso moi j’adore ! Il y a même, dans un coin du deuxième étage, une lettre sous verre de la reine Elizabeth II adressée aux habitants de Sydney… à ouvrir en 2085 !
On traverse le CBD en passant par Martin place, fière d’être une place entièrement non fumeuse et longeons la rue Macquarie jusqu’à la bibliothèque.
La fatigue se fait sentir, on a déjà pas mal marché. En rentrant on fait un crochet par le quartier de Newton qui avait l’air pas mal lorsqu’on l’a traversé ce matin en van. En effet, c’est un quartier vivant comme on les aime : une bonne dose de boutiques, bar et cinés, une pincée de barbiers branchés, le tout agrémenté de street-art ! On se boit une bière locale en terrasse du Courthouse Hôtel, rafraichissement bien mérité après cette première journée à Sydney. Nous rejoignons Skippy et passons une nuit relativement bonne. En effet, Sydney à un défaut : son aéroport en centre ville. Des avions décollent ou atterrissent toutes les deux minutes, il y a beaucoup de bruit.
Le lendemain, on ne rigole plus. Il est temps de voir par nos propres yeux la vue mythique de Sydney. Ainsi nous traversons les jardins botaniques pour atteindre le « Macquaries Point » : de là nous pouvons admirer le célèbre Opéra de Sydney et le Harbour Bridge juste derrière. Ca fait un petit quelque chose de se retrouver là, pour de vrai.
L’opéra-voilier se dresse là, près à prendre le large toutes voiles dehors et le pont en arrière plan le surplombe, majestueux. Nous continuons la ballade jusqu’à l’esplanade de l’opéra. La visite d’une heure nous apprend que l’architecte danois de 38 ans, a gagné un concours lancé par la ville en 1955. Le projet est innovant, audacieux, séduisant mais la réalisation compliquée. Il faut 16 ans et 102 millions de dollars australiens (AUD) pour terminer l’œuvre (7 millions de AUD initialement prévus… oups) mais la structure en coquille d’œuf est magnifique de près comme de loin.
A l’intérieur, le clou du spectacle est incontestablement l’immense salle du Concert Hall avec ses murs recouverts de bois, ses 10 000 tuyaux d’orgues et ses 2 676 places.
Nous continuons notre chemin en traversant les nombreuses terrasses qui s’étalent au soleil le long des quais : direction The Rocks, le plus vieux quartier de la ville. La pause pique-nique est agréable : sur un banc avec vue sur l’opéra, écoutant les artistes de rues qui tour à tour s’installent pour un air de guitare ou un chant.
Le quartier est étonnant : de très vieilles et belles bâtisses côtoient des immeubles plus récents et absolument hideux, les bars avec toit-terrasses panoramiques font face à des boutiques Louis Vuiton, derrière le Museum of Contempory Art (MCA) se trouve un petit marché artisanal et surtout, en plein milieux le fameux Harbour Bridge qui vient s’ancrer.
Après avoir fait une bonne ballade dans le quartier jusqu’à la réserve Banrangaroo, nous empruntons d’ailleurs la voie piétonne du pont pour traverser la baie. Malgré les grillages, la vue sur Sydney est canon. Les gratte-ciels du CBD ont même fière allure à la nuit tombée ! Après quelques hésitations on décide d’être raisonnable et d’aller directement se coucher ce soir.
J’entame ma journée par une mission douche. C’est bien la galère pour trouver de quoi se laver. Il y a bien quelques douches près des plages mais elles sont froides (il fait beau mais pas si chaud). Ben, il ne me reste plus qu’à payer une entrée à la piscine ! Je ne profite même pas des bassins, on a encore pleins de choses à voir aujourd’hui.
On commence par le quartier résidentiel de Paddington et ses maisons de style victorien. (qu’on aime toujours autant). Tous les samedis se tient un marché dans la cour de l’école du quartier avec pleins de trucs écolo-bobo trop cools qui nous font de l’œil, des bijoux qui m’iraient sans doute très bien, etc. Antoine s’achète des jolies lunettes avec montures en bois pour remplacer ses Ray-Ban perdues. Je suis jalouse, elles sont bien plus belles que les miennes.
Nous retournons ensuite vers The Rocks pour manger une pizza sur le pouce : on avait repéré le stand tenu par un couple d’italien la veille… Nous passons une bonne heure au MCA juste à côté, l’expo de l’artiste Kader Attia nous touche beaucoup, en particulier ses travaux sur les gueules cassés de la première guerre mondiale. Dans un autre registre, je suis prise d’un fou rire absolument incontrôlable devant un miroir déformant…
Nous nous dépêchons ensuite vers Darling Harbour : on a des billets pour le Sea Life Center de Sydney à 15h30. Je suis très enthousiaste, j’en ai entendu du bien, le routard dit que c’est incontournable et c’est là qu’a été tourné le Monde de Dory, la suite de Némo. Quoi ? Un dessin animé ? Tout pareil !
Il y a tout ce qu’il faut : des magnifiques poissons multicolores, des récifs coraliens, des raies et des longs tunnels où l’on peut voir pleins de requins… Mais je reste un peu sur ma faim, il y a trop de monde, beaucoup d’enfants, les vitres pour voir pas toujours très grandes, les aquariums eux-mêmes sont souvent assez petits. Antoine se fout gentiment de ma gueule, il s’y attendait un peu. Mais j’ai vu un requin-scie et c’est quand même cool !
On est encore une fois bien crevés de notre journée alors on décide d’aller décompresser du côté de Potts Point, quartier très festif le week-end. On a pas trop de difficultés à trouver un bar avec de l’animation. On est plutôt pas mal et le couple qui chante sur scène se débrouille vraiment bien. Autre bar, autre ambiance : on cherchait un pub pour regarder la deuxième mi-temps du match de rugby All Blaks/Lions (qui est épique : retournement de situation de la part des Lions qui arrachent la victoire) et je crois que l’on a trouvé : la bière se boit en (nombreux) pichets, ça crie, ça siffle, ça vie le match.
Nous nous réveillons ce dimanche matin au doux son des réacteurs d’avions, on ne s’habitue toujours pas. Cette fois-ci, on bouge avec Skippy, pour aller jeter un œil à la célèbre plage de Sydney, Bondi Beach ! Elle est idéalement placée à 20-30 min en transport du centre ville, un arc de cercle parfait avec des vagues paraît-il super pour le surf.
Sur le côté droit de la plage, une piscine a été construite entre la mer et les rochers. Ce matin c’est animé : il y a une compétition de natation. Des amateurs aux pros, les lignes de nageurs prennent le départ sous les acclamations du public. La ballade sur le front de mer continue sur plusieurs kilomètres vers le sud, quel pied d’avoir ça dans une capitale !
Tout comme Melbourne, Sydney nous a conquis. L’aménagement urbain, le climat, l’ouverture sur la baie, l’identité de chaque quartier, la culture, encore une ville où l’on se verrait bien vivre !
Mais déjà il faut repartir, les Blues Mountains nous attendent !
1 note
·
View note
Text
Maria Callas
Le 2 août 1947, une jeune chanteuse d'opéra du nom de Maria Callas fait ses débuts en Italie aux Arènes de Vérone, dans le rôle-titre de La Gioconda. Parmi le public se trouve un jeune aristocrate anglais, George Lascelles, septième comte de Harewood, grand amateur d'opéra et lui-même au seuil d'une brillante carrière d'écrivain, d'éditeur et plus tard d'administrateur dans le domaine musical et Iyrique La rencontre entre les deux personnages se fera quelques jours plus tard, lors d'une réception officielle, et Lord Harewood continuera ensuite de s'intéresser de près à la carrière de la soprano lorsqu'il se mettra à écrire des critiques d'opéra pour le New Statesman et Ballet and Opera, à partir de 1948, puis pour la revue Opera, qu'il fonde en 1950. Lorsque Callas fait ses débuts triomphaux à Covent Garden dans Norma en 1952, Lord Harewood est membre du conseil d'administration du Royal Opera House, où il aura des responsabilités administratives de 1953 à 1960, période au cours de laquelle Callas reviendra à plusieurs reprises pour chanter dans Traviata, Aida, Il trovatore et Medea, ainsi que dans d'autres représentations de Norma.
Maria Callas est née à New York le 2 décembre 1923, de parents grecs immigrés En 1937, avec sa mère et sa soeur, elle part pour la Grèce, où elle étudie le chant au Conservatoire d'Athènes avec Maria Trivella, puis Elvira de Hidalgo. En 1940, elle rejoint la compagnie du Théâtre lyrique d'Athènes avec laquelle elle chante un certain nombre d'opéras et d'opérettes, dont Tosca, Tiefland, Cavalleria rusticana Boccaccio, Der Bettelstudent et Fidelio. En 1945, elle revient à New York poursuivre sa carrière, mais doit attendre 1947 avant d'être engagée pour chanter dans La Gioconda au Festival de Vérone. C'est à Vérone qu'elle rencontre Giovanni Battista Meneghini, riche industriel italien et amateur d'opéra, et Tullio Serafin, chef d'orchestre chevronné, qui s'intéressent tous deux à cette jeune cantatrice inexpérimentée et quelque peu maladroite. Les représentations de La Gioconda se déroulent assez bien, mais ne se traduisent pas par les propositions qu'elle espérait. Néanmoins, avec l'aide de Serafin et de Meneghini, Callas obtient peu à peu quelques engagements en Italie, chantant des rôles dramatiques lourds comme Turandot, Aida et Leonora (La forza del destino). Sous la férule de Serafin, elle se met à chanter Wagner (en italien), et c'est en 1949, alors qu'elle incarne sa première Brünnhilde dans Die Walküre à la Fenice de Venise, qu'elle stupéfie le monde lyrique en assumant au pied levé le rôle d'Elvira dans I puritani. Son interprétation dramatique de ce rôle de colorature fait sensation et marque un tournant dans sa carrière. Elle renonce bientôt aux rôles plus lourds et montre qu'on peut redonner vie aux opéras négligés de Cherubini, Bellini, Donizetti et Rossini, jusque-là considérés comme vains et dépourvus d'intérêt, en les abordant de manière nouvelle sur le plan musical et dramatique. En 1949, elle épouse Meneghini, et, au cours des deux années suivantes, continue de consolider sa carrière tant en Italie qu'à l'étranger.
En 1951, Callas inaugure la saison de la Scala de Milan, dans I vespri siciliani, et pendant sept années la Scala sera sa résidence artistique et le théâtre de ses plus grands triomphes. Soucieuse du poids qu'elle a pris, elle perd quelque trente kilos en 1954, se métamorphosant, de spectaculaire manière, en une star élégante et séduisante qui attire l'attention des magazines de mode du monde entier et des médias en général; elle réunit une armée sans cesse plus nombreuse d'admirateurs dévoués qui la couvrent d'hommages à chacune de ses apparitions. À la fin des années cinquante, Callas a le sentiment qu'elle a atteint son apogée et se met à chercher ailleurs son épanouissement personnel. En 1959, elle entame sa liaison avec le riche armateur grec Aristote Onassis et se sépare de Meneghini pour mener la grande vie avec Onassis et la jet set internationale. Elle réduit considérablement ses apparitions sur scène, et dès 1962 ne chante plus en public que lors de concerts occasionnels. En 1964, alors que ses relations avec Onassis commencent à se détériorer, elle se laisse convaincre par le metteur en scène Franco Zeffirelli de remonter sur scène dans une magnifique nouvelle production de Tosca à Covent Garden. Celle-ci est suivie quelques mois plus tard d'une Norma à Paris, également mise en scène par Zeffirelli, qui sera sa dernière production nouvelle.
Au début de 1965, elle chante Tosca à Paris et à New York, puis revient à Paris pour d'autres représentations de Norma, à partir du 14 mai. Au début du même mois, elle s'est rendue dans les studios de l'ORTF, où est tournée une émission pour Les Grands Interprètes, la célèbre série télévisée de Bernard Gavoty consacrée à la musique classique. L'émission est en deux parties, qui figurent toutes deux sur ce DVD; la première est un entretien (en français) avec Gavoty qui roule sur divers sujets musicaux, dont les premières Norma de Callas, sa préférence personnelle pour le bel canto et ses vues sur Puccini et les compositeurs véristes ; la seconde est un bref concert, au cours duquel Callas chante trois airs avec l'Orchestre de l'ORTF dirigé par Georges Prêtre. John Ardoin, l'un des principaux critiques des enregistrements de Callas, dit dans The Callas Legacy: L'air de Manon est exquis, comme la silhouette affinées de Callas, et l'extrait de Sonnambula est rehaussé à la fois par une interprétation toute en retenue et par la présence de l'intégralité du récitatif qui pré- cède l'air. "O mio babbino caro" est chanté comme un bis, avec une expression très charmante et directe. » Callas est également filmée dans L'Invitation au voyage de Duparc, mais, pour des raisons de minutage, la mélodie est coupée dans l'émission de télévision lorsqu'elle est diffusée le 18 mai et le film sera perdu. Mais ce qui reste est précieux, et complète de manière significative les documents audiovisuels relative- ment peu nombreux que nous avons sur les interprétations de Callas. Il est d'autant plus remarquable que Callas chante si bien en cette occasion qu'elle souffrait d'hypo- tension à l'époque et qu'elle est incapable de terminer sa dernière Norma à l'Opéra de Paris, le 29 mai. Ses médecins lui conseillent alors d'annuler les représentations de Tosca à Londres, mais elle décide d'en chanter une seule, et la Tosca du gala royal de Covent Garden, le 5 juillet 1965, devient sa soirée d'adieux à la scène lyrique.
Sa carrière de cantatrice se trouvant au point mort, Callas décide qu'elle veut un domicile permanent à Paris ; en 1966, elle s'installe dans un somptueux apparte- ment au 36, avenue Georges-Mandel, dans le XVle arrondissement, près de l'Étoile C'est dans cet appartement que la BBC filme, en avril 1968, les deux entretiens de Callas avec Lord Harewood qui forment l'essentiel de ce DVD. On notera que Callas reste très apprêtée tout au long de la conversation, en « représentation », au lieu d'adopter une attitude plus détendue. Néanmoins, c'est un document d'une importance capitale, et qui permet de connaître les opinions profondes de Callas sur de nombreux aspects de son art.
En 1966, elle abandonne sa nationalité américaine et se fait naturaliser grecque, divorçant ainsi de Meneghini (puisque la Grèce ne reconnaissait que les mariages de ses citoyens célébrés dans une église orthodoxe grecque). Elle s'attend à ce qu'Onassis l'épouse, mais en 1968 il se marie avec Jacqueline Kennedy. Callas, anéantie, essaie de se perdre dans d'autres projets, notamment un film de Pasolini d'après la Médée d'Euripide et une série de cours de interprétation à la Juilliard School de New York. En 1973, elle commence une tournée de concerts mondiale avec le ténor Giuseppe di Stefano ; le dernier concert, à Sapporo, au Japon, le 11 novembre 1974, est son ultime apparition en public. Le 16 septembre 1977, Callas, qui vit pratiquement en recluse, meurt de mort naturelle dans son apparte- ment parisien, à l'âge de cinquante-trois ans.
— Tony Locantro
(Traduction Dennis Collins, 2003)
0 notes
Text
SAINT FFIC FEST || French || MUSIQUE
About - Ask - Masterposts
Salutations tumblr ! Nous espérons que le mois qui vient sera génial pour vous tous. Êtes-vous prêt pour un nouveau Ffic Fest ?
La météo n'est pas toujours au rendez-vous, mais il n'empêche que l'été approche ! Et pour accueillir l'été de nombreux pays organisent un festival très sympa, aussi nous voudrions nous joindre a l'effort et faire du prochain thème
LA MUSIQUE !
Qui n'aime pas la musique ? C'est quelque chose que nous apprécions tous, même Lune n'y fait pas exception ... enfin peut être pas aussi fort que nous autres.
Et avec autan de musiciens chez les Chevaliers du Zodiaque nous avons pensé que c'était l'occasion rêvée de les faire entrer en scène. Aussi sortez vos playlists favorites pour un souffle d'inspiration et gardez près de vous les liens des morceaux que vous allez utiliser.
LE DÉFI :
Tout le monde peut y participer, même si vous ne voulez pas prendre part au défi vous pouvez nous soumettre tout texte, écrit en accord avec nos règles, en tant qu’ “auteur indépendant”
Si vous souhaitez prendre part au défi veuillez envoyer les informations suivantes par IM/ask/fanmail :
1. Personnage (s): Vous pouvez choisir jusqu'à trois personnages (ne doivent pas être canoniquement musiciens) 2. Scénario/Context : où se déroulera l'action ou que est la situation des personages (ex : concert, cour de musique, découverte d'un nouveau genre/instruments, formation d'un groupe, ...) 3. Instrument :sera utilisé ou au minimum mentionné dans l'écrit. Choeurs et chant inclus. (Ps : Le saviez-vous ? Certains disent qu'il y a plus de 1500 instruments de musique différents a travers le monde. Donc ne vous en faites pas, il y a plein d'espace pour accueillir votre créativité ;) ) 4.Musique :soit un genre (ex : opéra, rock, baroque, musique traditionnelle coréenne, ect) soit un morceau en particulier, soit un groupe/chanteur/musicien/compositeur en particulier (ex : Claude François, Rachmaninov, Joshua Bell, Luciano Pavarotti, ...)
ENVOYEZ VOS “PAQUETS” AVANT LE : Dimanche 7 mai, 23:00(GTM -06:00)
SHOW DAY! Vendredi 26 mai.
PUBLIER VOS ÉCRITS AVEC LES INFO SUIVANTES : (que vous participiez au défi ou non) Même si c'est un lien vers une autre plateforme. Univers: [ AU or SS U ] Personnage (s): Mise en Scène : Longueur : *Catégorie: angst, romance, amitié … *Résumé : Une brève description de votre œuvre. *OPTIONNEL
S'il vous plaît, continuez la lecture pour faire connaissance avec les règles et autre points très importants !!
La nuit du 6 mai, je ferais une liste des personnes ayant envoyé leur paquets. De cette façon vous allez pouvoir vous assurer que votre paquets a été reçu sans encombres.
Règles et rappels ici. Veuillez les lire s'il vous plaît.
Note: ???
Tags à utiliser :
#Saint FFic Fest
#Saint FFic Fest music
#Saint FFic Fest 2017 #Saint FFic Fest [langue].
Les deux premiers sont obligatoires, les deux derniers optionnels.
Toutes informations, changement/ajout sera publié avec le tag #Saint FFic Update.
Sugestions/idées pour de future thèmes sont toujours les bienvenus dans notre boîte de réception. J'y répondons aussi vite que possible.
MERCI DE VOTRE ATTENTION ! AMUSEZ-VOUS BIEN !
12 notes
·
View notes
Photo
Hélène Martin : entre les mots et la musique, par Véronique Mortaigne LE MONDE, 09.09.2009 Elle a débuté en 1956 dans les cabarets de la rive gauche. Proche des poètes, elle a mis en musique et chanté leurs textes. Elle donne toujours des concerts et a lancé une souscription pour publier une intégrale de son travail. Hélène Martin ne voit pas le temps passer, elle le sent. Les yeux clairs en acier trempé, cheveux batailleurs, sourire élégant, elle joue comme une jeune fille des attributs de son art, la chanson. Quoique, comme elle le dit : "Je suis de ce pays frontalier entre les mots et la musique. Mais où la musique "qui a sa place unique" donne priorité au verbe et à l'amour du verbe."Non, la vieillesse n'est pas un naufrage, mais l'avancée dans la vie modifie le regard des autres, toujours prompts à plaindre, à aider et à considérer que tout est bien qui finit bien. Hélène Martin a 80 ans. Elle a chanté, hiératique et badine à la fois, au Théâtre des Bouffes du Nord, encore et toujours celui de Peter Brook, le 4 septembre. Des textes écrits par "des êtres étonnants", des poètes, Aragon, René Char, Pablo Neruda, Paul Fort, Jules Supervielle et Jean Genet, qu'elle a mis en musique, et par elle, comme cette nouvelle comptine : "L'étiquette-au-cul / l'étiquette-au-cul, poétique-politique /Ta vie prétendue /Ta vie prétendue /Soit pudique-soit lubrique / Ta vie prétendue / sera mise à nu ! / L'étiquette au cul !" Hélène Martin, toujours intransigeante, s'encanaille et chante le petit motif avec l'air farceur d'un Calder jouant avec les personnages de fil de fer fabriqués pour son cirque miniature. Mais quelle étiquette Hélène Martin porte-t-elle exactement, là où elle le chante ? Chanteuse rive gauche. Oui. Parce que c'est dans les cabarets parisiens que cette fille d'un historien-géographe, maître de conférences à Science Po, débute en 1956. Elle sort du milieu parisien bourgeois, "haut la main avec un choix définitif à 19 ans", dit-elle, elle chante. A La Colombe, par exemple, dirigé par Michel Valette, qui convie sur l'île de la Cité la fine fleur des chanteurs à texte et à guitare, auteurs, compositeurs, frondeurs - Guy Béart, Anne Sylvestre, Pierre Perret, Jean Ferrat, Maurice Fanon - et qu'elle suivra au Milord l'Arsouille, avec Serge Gainsbourg ou Catherine Sauvage. Hélène Martin incarne une époque où la logique littéraire de la chanson est poussée à fond. Un mouvement artistique que les yéyés vont presque immédiatement briser : Laisse les filles, premier tube de Johnny Hallyday, sort en 1960. Alors, comme Barbara et Anne Sylvestre, Mme Martin est épinglée chanteuse intello, tendance texte contre musique, prise de tête contre twist. Cultivée, classique, Hélène Martin, en transposant leurs textes en chansons, offre à ses amis poètes une fenêtre sur la cour du grand public. "Ce qu'elle a fait en relation aux poètes contemporains est tout aussi intéressant que le travail de Léo Ferré", dit Serge Hureau, directeur du Hall de la chanson et historien du genre. En 2009, l'obstinée a lancé une souscription pour réaliser un double coffret, Voyage en Hélénie, 13 CD, 200 titres, cinquante ans de chanson. Elle en voit le bout. Dans son oeuvre, elle désirait inclure les magazines télévisés qu'elle a réalisés dans les années 1960 avec de grands hommes, et qu'elle avait religieusement intitulés "Plain Chant". La série, en vingt-deux volets, est une superbe exploration des terres poétiques de Jean Giono, d'Aragon, de Raymond Queneau, Jean Tardieu, Jacques Audiberti... Au catalogue, une seule femme, Colette, drôle de drame pour une Hélène Martin mouillée jusqu'au cou dans la défense du deuxième sexe et du droit à la contraception, défi de l’époque. Quand elle parle de tout cela, Hélène Martin demeure sur les à-côtés. Elle circonvient. Elle s'évade, peut-être vers ce Sud qu'elle habite, puis, rentrée au bercail, répond, argumente, sur son site Web (Helene-martin.com) : "Comment leur dire que Giono m'a reçue dans son bureau sans déranger le tracé de sa vie, de son écrit en cours, et parce que j'écoutais en silence, comme transparente, j'existais à plein, recevant le sceau indépendant et unique, le saut frère, le message." Si elle parle tant et si peu, si elle arrive avec un dossier noir contenant des disques et des livres de ses poèmes, qu'elle les laisse à la fin de la rencontre comme preuve de son existence, c'est qu'Hélène Martin porte sur elle un regard à la fois effrayé et radieux. Radieux, parce qu'elle a osé. Chanter pour le Parti communiste français sans jamais être encartée, comme son ami Aragon. Mener les batailles de son temps, et une en particulier, celle de l'indépendance artistique. En 1968, elle vit dans le Vaucluse, une femme amoureuse lui a offert un champ entier de narcisses, plantés pour elle. La société d'antan se fissure alors, et elle fonde les Disques du Cavalier, du nom de sa maison, vendue plus tard pour colmater les pertes. Mais, en tout état de cause, trois fois Grand Prix de l'Académie Charles-Cros (1961, 1973, 1980), Hélène Martin s'affranchira des mécanismes de l'économie culturelle. Avec une rare intransigeance et de l'égotisme. De cette carrière commencée au disque en 1960 et au théâtre en 1966 avec Terres mutilées, spectacle monté sur des textes de René Char pour le 20e Festival d'Avignon à la demande d'un admirateur, Jean Vilar, Hélène Martin évoque aussi les succès et les creux. Et l'obstination que l'on doit mettre à faire exister un art minoritaire. En 1962, Hélène Martin réussit un tour de force : être autorisée par Jean Genet à mettre en musique un long poème Le Condamné à mort, écrit après la condamnation en 1939 à la peine capitale de Maurice Pilorge, un meurtrier d'une beauté fatale. "Nous n'avions pas fini de nous parler d'amour. / Nous n'avions pas fini de fumer nos Gitanes. / On peut se demander pourquoi les cours condamnent/Un assassin si beau qu'il fait pâlir le jour." Hélène Martin s'empare des mots du poète d'extrême gauche, défenseur de causes communes, les Noirs, les révoltés, les Palestiniens. Rêve de s’attaquer à Quatre heures à Chatila, court texte publié par la Revue d'études palestiniennes en 1983, écrit après les massacres des camps palestiniens de Sabra et Chatila à Beyrouth. Sans se rencontrer, ils ont échangé des courriers. Genet : "Vous avez une voix magnifique, chantez-le où vous voulez et quand vous voulez ! Je l'ai entendu : grâce à vous, il est rayonnant." Elle est ici dans un texte d'homme, dans un univers d'hommes aimant les hommes, mais par la mélodie imparable et sa manière droite et inspirée de chanter, elle rend à Jean Genet une infinie féminité. "Plus tard, des revues gay ont écrit que Genet n'avait pas pu autoriser une femme à toucher à son oeuvre." Les creux sont parfois comblés par des hérauts que l'on n'attendait guère. Ici, le prince de la pop française, Etienne Daho, qui chante en 1996 au Théâtre Molière à Paris un extrait du Condamné à mort. Intitulé Sur mon cou, le thème est, depuis, scotché à son répertoire. Et on retiendra que "Daho chante Genet" en zappant celle par qui la musique est venue, Hélène Martin. Comme Marc Ogeret en 1970, Daho s'apprête à reprendre l'intégralité du poème, avec Jeanne Moreau (à paraître chez Naïve). La compositrice, Hélène Martin, a dit oui, après réflexion. Parcours 1928 Naissance à Paris. 1956 Débuts dans les cabarets de la Rive gauche. 1960 "Récital n° 1", premier album, Grand Prix de l'Académie Charles-Cros. 1984 Mise en scène du "Condamné à mort" de Jean Genet, opéra-poème, au Théâtre Romain-Rolland de Villejuif. 2006 "Va savoir", 1 CD EPM. 2009 Lance une souscription pour réaliser un double coffret, "Voyage en Hélénie" : 13 CD, 200 titres, soit cinquante ans de chanson.
#Hélène Martin#Chanson#Poésie#Véronique Mortaigne#Le Monde#Jean Genet#Louis Aragon#Léo Ferré#Serge Hureau#Hall de la chanson#Voyage en Hélénie#Plain Chant#Jean Giono#Disques du Cavalier#René Char#Terres mutilées#Maurice Pilorge#Le Condamné à mort#Etienne Daho#Sur mon cou#Jeanne Moreau#Marc Ogeret#Va savoir
10 notes
·
View notes
Text
Tales of a Chinese adventure 1
Arthur Nan, un nom de scène en soi... Un nom d'empreint pour ne pas être lier à son pays natale. Pas parce qu'il avait honte où même qu'il le détestait. Non simplement parce que son père avait voulut effacer la Chine et son enfance de sa vie. Mais aujourd'hui son père, ce monstre n'était plus la pour lui dicter sa vie ... Et voilà... voilà qu'il avait accepter de retourner dans son pays d'origine, qu'il n'avait plus revu depuis presque 14 ans.... Un pays qu'il ne semblait plus connaître et qui avait certainement du l'oublier. Et il y retournait avec un groupe. WayV. Pour une émission de télé-réalité qui cachait un potentiel rachat de la division chinoise de la SM. Il avait les mains dans les poches le et quand il entra, Yangyang sautilla partout.
« AAAAAAAAH !! » Yangyang fixa l'homme de haut en bas « HA ! »
« Calm down... » dit Ten amusé
« ARTHUR !!! AAAAAAH !!! » Yangyang sautilla partout
« Arthur ? C'est pas très chinois... » fit Kun
« Mon vrai nom c'est Zhen Weinan. » dit-il amusé « je suis désolé... » Il fixa Yangyang « Tu es toujours aussi intense ? » demanda-t-il en un allemand parfait
Yangyang sauta sur Zhen et l'enlaça.
« Zhen-ge est à moi » dit Yangyang
« Oh boy. » Ten rit « You fine with that ? »
« I'll be fine. » Zhen rit un peu « Je suis vieux tu sais ? »
« Mais tu chantes et tu danses et tu parles allemands et tu- »
« Chinois. » Zhen rit « Je suis là, pour réapprendre à parler chinois. Allemand je parles assez bien je crois. » Il sourit
« Tu parles combien de langues Zhen-ge ? » demanda Yangyang
« Parler couramment ? » Il fit un rapide compte « 8. »
« 8 ?! » Ten s'étouffa presque « Dude how do you do ? »
« Eh bien... » Zhen s'assit et récolta un Yangyang rouler autour de lui qu'il enlaça sans se poser de questions « Mon père a emmener ma sœur et moi en Europe quand on était très jeune, je devais avoir 14/15 ans. On a habiter dans trois pays différent. J'ai habiter à Bruxelles pendant 2 ans donc j'ai appris le français, le néerlandais et l'allemand. On a continuer sur l'allemand en partant a Berlin pendant 3 ans puis j'ai étudier l'art de la scène a Milan en Italie pendant 2 ans, s'est joint donc l'italien. Ajouter au fait que ma sœur étudiait à Londres, l'anglais a rejoint le lot. J'ai travailler deux ans à l'Opéra de Stockholm en Suède ou s'est joint le suédois... puis j'ai commencer a travailler pour JUMP à Londres au dessus d'un restaurant coréen et s'est joint le Coréen. » Et il sourit « Ah oui et ma mère était cantonaise donc je parle cantonnais et mandarin depuis que je suis enfant. » Il rit un peu « J'ai des bases grossières en Thai et en suédois ainsi qu'en Japonais mais ce ne sont que des bases »
« T'es un génie Zhen-ge ! » fit Lucas
« Ne me demande pas de faire une soustraction ou une multiplication... je suis une quiche en math. » il rit « ça c'est le truc de ma sœur. »
« Tu as quel âge Zhen-ge ? » demanda Hendery
« On compte comment ? Je vais plutôt vous donner l'année et la date c'est peut-être plus simple non ? » demanda-t-il « Je suis né le 14 février 1991. »
« 28 ans ! » dit Yangyang « T'es pas si vieux ! »
« C'est gentil. » Zhen sourit
-
Zhen avait commencer à se faire au chaos de WayV, il partageait d'ailleurs la chambre de Yangyang dans les hôtels et arrivé a la gare de Gangsha il resta un peu silencieux, avant de glisser et de se retrouver sur le cul, sur les marches du perron... Et il rit. Sincèrement. Il se leva et rit encore remerciant Yangyang et Hendery l'avoir aider à se lever. Zhen fixa la marche et secoua la tête. Certaines choses ne changeraient jamais.
« Quand j'étais jeune, je glissais toujours ici. » Il baissa les yeux « J'avais toujours … quelqu'un qui était là pour m'aider. » Il avala de travers et soupira
« Zhen-ge t'es d'ici ? » demanda Kun
« Je suis né a Gangsha oui. J'y ai passer 14 ans de ma vie. » dit Zhen
« C'était quelqu'un d'important cette personne ? » demanda Hendery
« La plus importante à mes yeux.. » Zhen tapota l'épaule d'Hendery
« Ta copine ? » demanda Lucas
« Aha » Zhen rit « On peut dire ça... »
Ten plissa les yeux amusé et noua son bras à celui de Zhen pour marcher avec lui, Yangyang ayant glisser un bras sur ses reins, et Zhen reposant son bras sur ses épaules. Ils passaient devant un Opéra et Zhen rit un peu quand Kun s'arrêta pour le montrer à Zhen.
« Tu rêvais de chanter là ? » demanda-t-il
« Pas tout à fait. » Zhen leva les yeux « Ces rêves là sont venus plus tard. »
« Hé mais si t'as grandi ici peut-être que tu connais Lay-ge ? » fit Xiaojun
« Oh possible ? » Zhen haussa les épaules « On était pas beaucoup en cours de danse. »
« Tu sais danser ?! » Yangyang sautilla
« Disons que j'ai des bases. » Zhen rit un peu « et je ne suis pas très bon seul. »
« Ha Ballroom ! » fit Ten en souriant
« Yes... » Zhen rit un peu et tendit la main a Ten « Shall we ? »
« Yeah ! » Ten prit la main de Zhen et se laissa sans soucier mener dans un semblant de valse.
Ten se laissa guider et put observer des bras très fort et musclé. Zhen n'avait aucun soucis à la retenir et même si Ten voulait être un poids mort, Zhen saurait le retenir. Ten se laissa porter en riant et Zhen le posa au sol avec douceur. Lui offrant une grande révérence. Ten fit de même et tout le monde rit. Ils marchèrent et Kun sauta sur place.
« Ah ! Lay-ge est en ville ! Il nous donne rendez-vous au stadium. » Kun se tourna vers Zhen
« C'est lequel ? » demanda Zhen « Le studio de danse ou le Stade ? » demanda-t-il
« Le studio » dit Kun
« Alors je devrais savoir vous y emmener sans soucis. » Zhen serra un peu son col
Yangyang reprit la taille de Zhen et l'aîné posa son bras sur les épaules du plus jeune. Il avança dans les rues et en passant devant une immense propriété, semblant en ruines, Zhen marqua un temps d'arrêt. Le portail était barré de vieux rouleaux de police et Zhen fixa le manoir en ruines, semblant avoir été consumer par les flammes.
« Wow.... creepy... » marmonna Yangyang
« Yeah... » Zhen sourit « I used to call this place home. »
« Say what ?! » Ten tourna la tête
« Yeah... » Zhen leva les yeux au ciel et délogea une pierre dans le muret pour en sortir une boite en plastique rose usée, il l'ouvrit et sortit un trousseau de clé avec un porte-clés en forme de note de musique.
« Wow. » Kun fixa la maison « Que c'est-il passé ? » demanda-t-il
« Incendie. » Zhen débloqua le portail avec un tour de main habile et précis... « Le studio est juste en face. » dit-il. « J'aimerais rester un peu seul. »
« Tu nous rejoins ? » demanda Yangyang inquiet
« Oui ne t'en fais pas. » Il sourit doucement « Allez va. »
Yangyang rejoignit le groupe, qui certes réticent rejoignit le studio. Yixing les y attendait, lui aussi assez chambouler. Il regardait par la fenêtre et regardait Zhen agir dans le jardin, par mécanisme. Il regardait cet inconnu bien trop connaître certains détails de cette maison et quand l'inconnu s'approcha du vieux saule et disparut dans les feuillages, le cœur de Yixing rata un battement. Cet homme avait trépasser un endroit... un endroit trop sacré. Quand il entendit les jeune de WayV il se tourna et reprit sa façade professionnel. Il les salua chaudement et les écouta avec le sourire, les félicitant de leur succès. Il leur dit qu'il était fier quand, Yangyang perdit le focus et regarda dehors.
« Il est toujours pas revenu. » dit Yangyang
« Je vais le chercher. » dit Ten
« Qui donc ? » demanda Yixing
« Ah, Zhen-ge ! » dit Yanyang
« Arthur. » corrigea Kun rapidement
« Zhen... ? » Yixing fronça les sourcils
« Vous vous connaissez ? » osa Lucas
« Excusez moi... » Yixing sortit du studio et rejoignit le jardin
Zhen y était assis, les yeux clos contre le tronc du vieux saule et Yixing le fixa. Sans voix. Etais-ce un fantôme ? Un sosie ? … ça ne pouvait pas être Zhen... L'homme ouvrit les yeux et ses si particuliers yeux bruns clairs se posèrent sur Yixing. Il se leva sans trop y croire et Yixing resta incrédule.
« Zhen ? » dit-il avec une voix brisé
« Yixing ? » fit Zhen avec la même cassure dans la voix
Yixing secoua la tête. Et réduisit l'espace entre eux pour le câlin le plus lourd et le plus étouffant du monde. Zhen se laissa faire. Oh voilà 14 ans... quatorze longues années qu'il avait espérer le ravoir dans ses bras. Yixing se recula les larmes coulant sur ses joues et prit son visage entre ses mains. Il n'y croyait pas.....
« Zhen.... » Il déglutit « tu es vivant »
« Évidemment. » Zhen secoua la tête
Ils s'asseyaient un instant et Yixing lui expliqua alors pourquoi il avait cru qu'il était mort. Après l'incendie du manoir, le père de Zhen l'avait fait passer pour mort, allant jusqu'à organiser des funérailles et la dispersion de cendres dans la rivière. Zhen resta assez silencieux puis serra les poings. Il se leva, aida Yixing a se relever et fixa la maison.
« Je peux même pas lui demander pourquoi. » soupira Zhen
« Oh ? » Yixing fixa son ami
« Il est mort il y a deux ans. » Zhen soupira « Donc je n'aurais pas de réponses.. » Il secoua la tête et sourit « Allez.. on va pas laisser les petits seuls. » dit Zhen
Il rejoignit le studio suivit de Yixing et quand les jeunes les virent revenir, Yangyang s'avança vers Zhen qui lui ébouriffa les cheveux. Il le rassura en allemand doucement. Et les jeunes parlaient encore avec Yixing d'à quel point il les inspirait et Zhen resta calmement à écouter quand Yixing se tourna vers lui.
« Zhen ? » Yixing se tourna vers lui « Je n'ai pas vraiment eu le plaisir de t'entendre depuis 14 ans ... »
« Et tu ne veux pas m'entendre. » dit Zhen « Pas ici. »
« L'opéra ! » Yangyang sourit
« C'est une option oui. » Zhen rit
« Vous pouriez nous donner un cours ! » dit Kun
« Si vous m'apprenez a danser. » fit Zhen en souriant
« Aaah yes that can be arranged. » Ten sourit
« I'll try and be a good student » il rit un peu
Et le groupe marcha vers l'Opéra. Et pendant tout le trajet, Yixing était assez jaloux, étrangement de ce jeune Yangyang et de Hendery coller contre Zhen. Ils arrivaient à l'Opéra et Zhen monta sur la scène avec souplesse et facilité. Le plus âgé enleva son long trench et se posta au centre de la scène. Là sous les projecteurs, Yixing sentit une vague le submerger.. Comme si il venait de retomber amoureux de la personne qu'il aimait depuis toujours.
« A l'opéra comme sur scène il y a des marques au sol pour s'y retrouver. Mais comme on joue souvent dans des vieilles salles on a pas de prompteur. » Il posa son pieds sur un rehaussement dans le sol « C'est pourquoi on a le trou du souffleur pour nos paroles quand on a oublié. » Il rit « ça m'est arrivé plus d'une fois à l'école. »
« Et t'as eu des problèmes ? » demanda Lucas
« L'avantage de l'opéra c'est que quand t'as oublié...... tu combles en vocalises. » Zhen rit « Et souvent ça passe crème. »
« Genre toi tu as su ce qu'était une erreur ? » Yixing rit
« Malheureusement l'image du garçon studieux que tu as... à été entaché par la découverte de l'alcool.... » Zhen rit « Et avoir la gueule de bois un jour de représentation c'est arrivé plus qu'une fois.. »
« Pas bien !! » Fit Yangyang en riant
« Eeeeh » Zhen sourit « Effectivement... Mais j'étais jeune. » Il sourit
« Tu nous chantes une chanson ? » demanda Kun
« Je pense que ça devrait aller.. j'ai plus chanter sur scène depuis un bon moment. » dit Zhen « En tout cas pas d'Opéra.. »
« Oh ? » Xiaojun s’étonna
« J'ai chanter du rock, du broadway aussi. » Il sourit « Allez dédicace à Yangyang.. Dein ist mein ganzes Herz. »
Zhen chanta la chanson de la flûte enchanté avec panache dans un allemand parfait, et Yangyang sautillait sur son siège, alors que Zhen tint un très longue note avec brio, secouant tout le monde par l'intensité. Il s'inclina en souriant et fixa Yangyang se lever en applaudissant comme un fou.
« Zhen-ge c'est dieu !! » cria-t-il en allemand
« Oh je me prétends pas si doué. J'ai juste une voix tu sais. » Zhen s'assit sur le bord de la scène
« T'es trop fort ! » Yangyang alla lui faire un câlin « Hé Kun-ge... Zhen-ge peut pas nous rejoindre ? »
« Je suis pas assez bon danseur. » dit Zhen
« Là tu mens. » Yixing leva la tête légèrement exaspéré par Yangyang, il était obligé de coller Zhen comme ça ?
« Tu danses assez bien ! » dit Ten
« Des danses de salon. » dit Zhen calmement
« I've been on internet looking and... » Hendery leva son téléphone « You were amazing in Les Miz.... And Wicked... You're good. »
« I'm contemplating applying for WayV » dit Zhen en riant
« Yes please ! » Fit Ten en riant
« comment tu tiens la note ? » demanda Kun
« Le souffle.. » Zhen sourit « La première chose qu'on apprend c'est de respirer correctement. »
« Mais … vous vous connaissez ? » demanda Sicheng
Yixing monta sur scène et s'assit à côté de Zhen. Son regard brillait intensément et Zhen avait cette même flamme dans le regard.
« Oui on se connaît.. depuis notre naissance. » Zhen sourit « On s'est malheureusement... perdus de vu. »
« Et donc Yixing-ge connais ta sœur ! » dit Lucas
« Je connais Zhian oui. » Yixing sourit « Comment elle va ? »
« Elle va bien. Je crois ? » Zhen rit « Je ne l'ai pas vu depuis un moment. La dernière fois que je l'ai vue elle était à Séoul pour les affaires. »
« Dis.... C'est vrai que tu as écrit pour Diana et Morganna ? » demanda Yangyang
« J'ai écrit tout l'album Grown Women de Diana et les trois premiers Album de Mona. » Zhen sourit
« Et tu faisais Broadway..... » Dit Yangyang
« Dormir c'est quoi ? » demanda Zhen amusé
« Something you should do love.. » Cette voix.
Derrière Zhen, la jolie Irlandaise se glissa dans son dos pour l'enlacer avec tendresse. Elle embrassa sa joue avec douceur et quand elle fixa WayV puis Yixing, elle sourit doucement. Zhen se laissa enlacer avant de voir Hendery qui avait complètement planté. Figé.
« You broke him. » dit Ten
« Oh....» Morganna se leva et sauta de la scène. Elle posa sa main sur la joue d'Hendery « Bonjour toi.. » Elle rit en se hissant sur la pointe des pieds « T'es vachement grand ! » elle caressa sa joue en douceur « Je suis moins impressionnante en vrai pas vrai ? »
« Pas vrai.... » couina Hendery
« Je l'aime bien » Elle rit « Il me trouve impressionnante ! »
« Attend qu'il te voit sans maquillage » Fit Zhen amusé
« Faut bien 4 couches pour cacher toutes mes tâches de rousseurs.... » soupira Morganna « Hé ! C'était méchant ! »
« Totalement. » Zhen sourit
« Vous vous connaissez de ou ? » demanda Kun
« Milan. » Morganna sourit et s'assit « On était à l'école ensemble. Moi je suis partie a New-York ensuite et lui est partit a Stockholm. »
« Et vous allez rester ? » demanda Lucas
« Oui ! Je rejoins l'émission ! » Elle sourit « J'ai hâte de découvrir la Chine. » dit-elle doucement
« Hendery ça va ? » Kun s’inquiéta
« Morganna...... Holmes..... » il avala de travers
« Oh, call me Mona love » Elle secoua la tête. « Come on with me. »
Elle tira Hendery avec elle sur la scène, Zhen et Yixing en descendant pour s'asseoir dans la salle. Morganna lança la musique de Take Off et elle balança ses talons dans un coin, attachant ses cheveux en un chignon hasardeux.
« Teach me. » Fit-elle doucement
« Ah.... i'm not.... Ten is... » Hendery rougit
« Well I don't want Ten to teach me.. » Elle croisa les bras « Je te veux toi.. »
« Aha.... » Hendery rit nerveusement et essaya de se concentrer
C'était le genre de phrase que l'irlandaise avant dit tant de fois dans ses rêves d'ado... Il était rouge pivoine et tentait d'expliquer a une Morganna extrêmement concentrer. Ten rit doucement et se pencha vers Zhen.
« You asked her to come... did you not ? » Ten sourit
« Hendery really really likes her, and Mona needed to work on her chinese.. » Zhen sourit
« So you told her, come to Gangsha » dit Yangyang
« I told her to join me yes. » Il sourit tendrement « Did I make a mistake, I think not. »
« She really is trying hard. » dit Ten
« She's actually not. » fit Zhen « She's making mistakes on purpose. » Il rit « Because she is wanting his attention... and wanting to help him relax... »
« She is amazing. » nota Ten
« Indeed. » Zhen sourit « Like all my friends I dare to say. »
« Who's the next one ? Are you gonna bring in Sören Ekstrøm ? » Ten rit
« Why ? » Zhen haussa un sourcil
« Well he's my Idol » Ten rit « But that impossible.. »
« I wrote Impossible for him. » Zhen rit « And I lived with him, two years. »
« Do you know …. Sofia ? » osa Lucas
« Sofia ? Sofia Magnus ? » il rit
« Yes... » Lucas se gratta le cou
« Are you guys fans of my friends on purpose or is it just a big surprise ? » dit Zhen amusé « I wrote her first album with her, so yes I know Sofia. »
« Et Kun est un grand Fan de Jump. » nota Xiaojun « Comme moi... »
« Ce n'est pas un secret que j'ai aider sur leur dernier album mais vous ne devriez pas écouter ces chansons là. » nota Zhen. « Il en va de votre innocence.. »
Il fixa la scène amusé ou Morganna avait remise ses talons et suivait sans faire d'erreur Hendery dans la danse avec un sourire doux. Il avait bien fait de la faire venir.....
0 notes
Text
Argelès-sur-Mer : rencontre exclusive avec Heng Shi, l’un des plus grands baryton chinois
Heng Shi est aujourd’hui l’un des plus grands chanteurs d’opéra chinois, reconnu à l’international. De retour d’Australie et en préparation pour un événement en Corée du sud, il a posé sa voix et son talent, à l’école de musique d’Argelès ou il anime une master class avec 34 artistes asiatiques. Samedi 20 juillet à 22 heures, il sera sur scène avec ses élèves, place Gambetta au cœur du village, pour offrir, L’élixir d’amour, opéra-comique de Donizetti. C’est gratuit et c’est aussi une programmation osée en pleine période estivale. Rencontre avec un maître, qui n’a rien oublié de ses galères, et qui aujourd’hui veut universaliser l’art lyrique.
Deux téléphones dans la poche de son bermuda, l’un en français l’autre en chinois, Heng Shi est en mode décontracté actif. Argelès, il adore, le charme, les paysages, les gens et surtout les époux Marinaro, qui l’ont un jour invité en terre Catalane.
Plébiscité aujourd’hui par les plus grands, aux quatre coins de la planète, l’artiste n’a rien oublié de son passé et utilise désormais sa notoriété pour accompagner des jeunes, populariser et moderniser l’art lyrique.
« Ma mère était soliste dans la chorale de son usine »
Né à Suhzou, Heng Shi découvre le violon à 7 ans, après avoir été subjugué par la vision d’un opéra diffusé sur la petite télé familiale, alors en noir et blanc. « Mes parents étaient comptables dans une usine, ils gagnaient 200 euros par mois. Ma mère chantait dans la chorale dans l’usine, elle était soliste. Chaque dimanche un professeur me donnait des cours à l’école » se souvient Heng Shi. À 14 ans, l’adolescent dont la voix n’a pas encore mué, est remarqué par un enseignant qui lui promet « un bel avenir dans la musique ». C’est alors qu’il entend pour la première fois un bel Canto. C’est le déclic, Il travaille alors la technique, la force et construit sa voix de baryton.
Admis au conservatoire de Shanghaï, à 17 ans, il brille et remporte le premier prix de chant lyrique en 2003. Heng Shi veut approfondir, aller en Europe pour évoluer, il décroche une bourse à Hong-Kong et un mécène le soutient, ce qui lui permet de s’installer à Paris et d’entrer à l’école normale de musique. « Je n’avais pas d’argent, le soir je chantais dans des petits stades pour avoir quelques billets » se souvient Heng Shi. En 2004, c’est l’année noire : « je perds tous mes concours, aux éliminatoires. Mais je persiste, je rencontre les membres du jury pour comprendre ce qui ne va pas ». L’année suivante ses problèmes sont réglés et dit-il « j’ai vraiment commencé à comprendre le bel canto, en allant en Italie, en Espagne, en Allemagne ». À tel point qu’entre 2006 et 2009, il remporte dix premiers Grands prix dans des concours internationaux de prestige, et donne une centaine de concerts ».
Une notoriété qui ne lui fait pas oublier d’où il vient. Il retourne à Suzhu sa ville natale, pour créer un centre culturel et impulse un festival d’opéra à Shangaï. Car l’objectif est novateur : « Il faut trouver un pont entre l’opéra européen et la culture asiatique. Il faut mélanger les deux, pour rendre véritablement la musique universelle. Je veux donc conjuguer un orchestre philharmonique avec des instruments traditionnels chinois. La musique n’est pas une nation ! ».
« Comme en cuisine, la musique doit être étoilée »
L’importance de l’émotion, doit guider le public à découvrir l’art lyrique. « Il faut expliquer pour mieux comprendre et développer ce concept universel. Comme en cuisine, il faut goûter pour apprécier. Ce que j’aimerais c’est que la musique soit aussi récompensée par des étoiles, comme dans les grands restaurants ! » et Heng Shi de conclure : « Bien sûr ce samedi 20 juillet à 22 heures, proposer au cœur du village d’Argelès L’élixir d’amour est un défi. Mais lorsque je suis arrivé à Argelès, lors de la première Masterclass il y avait 10 spectateurs, la seconde année, le cinéma était plein ! Je ne m’inquiète pas, il faut être patient, c’est en offrant au public de la découverte, du partage et de la sensibilité, que l’art lyrique sera dégusté, comme un bon gâteau ! ».
Article Originale : Source
Cet article Argelès-sur-Mer : rencontre exclusive avec Heng Shi, l’un des plus grands baryton chinois est apparu en premier sur Rent Scoot - Argelès-sur-Mer.
https://rentscoot.fr/argeles-sur-mer-rencontre-exclusive-avec-heng-shi-lun-des-plus-grands-baryton-chinois/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=argeles-sur-mer-rencontre-exclusive-avec-heng-shi-lun-des-plus-grands-baryton-chinois
0 notes
Link
La voix humaine est au fondement même de l’opéra, c’est un instrument bien étrange et unique. Chaque homme ou femme naît avec un certain type de voix, qui peut ensuite évoluer avec l’âge et les rôles choisis, pour le meilleur ou pour le pire.
Certains affirment que tout le monde serait capable de chanter de l’opéra, à la condition de trouver un professeur de chant suffisamment compétent. Toutefois, il faut bien admettre que certains ont plus de facilités de d’autres… et que certains timbres sont d'une beauté exceptionnelle. Toutefois, même les voix dites « naturelles » ne sont rien sans un travail et un entraînement acharnés.
0 notes
Text
윌리엄 크리스티의 메트르 아 당세(춤의 대가) / William Christie et les Arts Florissants : Rameau « Maitre à danser »
윌리엄 크리스티의 메트르 아 당세(춤의 대가) William Christie et les Arts Florissants : Rameau « Maitre à danser »
국내 공연문화를 선도하는 한화는 고품격 클래식 공연 브랜드 한화클래식을 통해 세계적인 수준의 격조있는 무대를 선보인다. 첫 해인 2013년부터 바흐 음악의 대가 헬무트 릴링, 이탈리아 최고의 고음악 해석가인 리날도 알레산드리니와 그가 이끄는 콘체르토 이탈리아노, 정상급 시대악기 오케스트라인 18세기 오케스트라, 프랑스 바로크 음악의 거장 마크 민코프스키와 루브르의 음악가들을 초청해 고음악의 정수를 국내에 소개했다. Le théâtre de Caen et Les Arts Florissants ont choisi de redonner vie à deux pièces de ballet de Jean-Philippe Rameau, intimistes et rarement jouées. L’acte de ballet, courte pièce lyrique en un acte sur une action dramatique légère, réunissant le chant et la danse, figurait parmi les formes privilégiées de Rameau.
2017.09.23 (토) 19시, 예술의전당 콘서트홀 23 septembre à 19h au Séoul Art Center, Concert Hall
2017.09.24 (일) 17시, 대전예술의전당 아트홀 24 septembre à 17h au Daejeon Art Center
2017년 한화클래식에서는 세계적인 고음악의 거장 윌리엄 크리스티(William Christie)와 그가 이끄는 레자르 플로리상(Les Arts Florissants)의 무대를 선보일 예정이다. 매회 내한하는 팀 자���가 음악계 뉴스가 되고 있는 한화클래식은 5회째를 맞는 올해, 지금까지 맛보지 못한 특별한 무대인 ‘바로크 오페라’를 소개한다. 성악, 기악, 그리고 무용이 한 무대에 올라 프랑스 바로크 작곡가인 장 필립 라모의 오페라 작품 <다프니스와 에글레>와 <오시리스의 탄생>을 선보인다. 프랑스 오페라는 특히 ‘춤’이 돋보이며 작품의 중요한 부분을 차지하는데, 어느 해보다도 화려하고 이색적인 감동을 선사할 것이다. 소프라노 ‘소피 데인만’(Sophie Daneman)이 연출을 맡은 이번 작품은 간결하면서도 세련된 무대로 꾸며질 예정이다. 이 시대 최고의 고음악 거장 윌리엄 크리스티와 레자르 플로리상이 들려주는 프랑스 바로크 음악세계를 기대해도 좋을 것이다.
Le théâtre de Caen et Les Arts Florissants ont choisi de redonner vie à deux pièces de ballet de Jean-Philippe Rameau, intimistes et rarement jouées. L’acte de ballet, courte pièce lyrique en un acte sur une action dramatique légère, réunissant le chant et la danse, figurait parmi les formes privilégiées de Rameau.
오시리스의 탄생 (La Naissance d'Osiris, 1754) <다프니스와 에글레>와 <오시리스의 탄생>은 춤을 사랑했던 프랑스 취향이 극음악과 만나 이루어진 미니 오페라이다. 이 두 작품은 프랑스를 대표하는 작곡가 장 필립 라모가 프랑스 궁정을 위해 작곡한 작품이다. 또한 작곡가의 진보적이고 개성적인 음악 언어를 잘 드러낸 걸작이다. <다프니스와 에글레>는 퐁텐블로 궁전에서 공연하기 위해 만들어졌지만 최종 리허설 이후 초연이 취소되고 20세기까지 무대에 오르지 못했다. 프랑스 바로크 오페라가 화려하게 부활한 20세기에 이 작품도 다시 살아났다. 두 작품은 모두 70대에 접어든 라모의 원숙한 경지를 엿볼 수 있는 역작이자, 그의 소규모 오페라를 대표할 만한 작품이다. <오시리스의 탄생>은 1754년 베리 공작(훗날의 루이 16세)의 탄생을 축하하기 위해 만들어진 작품으로, 베리 공작을 고대 이집트의 신인 ‘오시리스’에 빗댔다. 라모는 이 작품을 개인적으로 매우 아껴서 다른 작품에서 <오시리스의 탄생>을 끊임없이 인용했다. La Naissance d’Osiris et Daphnis et Églé font partie des pièces que Rameau avait composées pour les divertissements dansés à la Cour. La Naissance d’Osiris lui avait été commandée pour célébrer la naissance du duc de Berry, futur Louis XVI. Le livret a été à confié à Cahusac, le librettiste préféré de Rameau (il a signé aussi Les Fêtes de Polymnie, Les Fêtes de l’Hymen et de l’amour, Zaïs, Naïs, Zoroastre et Anacréon). Rameau réutilisera certains passages dans d’autres œuvres lyriques comme Zoroastre. Créé en 1753, Daphnis et Églé était destiné à égayer les parties de chasse de la cour à Fontainebleau.
Cette nouvelle production du théâtre de Caen s’inscrit dans l’année Rameau 2014,à l’occasion du 250e anniversaire de la mort du compositeur.
Ce spectacle permet de découvrir ces petits bijoux de raffinement qui attestent – si besoin en est – du génie de Rameau. Grand compositeur mais également théoricien de renom, Rameau a marqué le travail des Arts Florissants à de nombreuses reprises. Après leurs interprétations des grands opéra de Rameau, Les Arts Florissants relèvent ici le défi de redonner vie à ce répertoire plus intime mais tout aussi ciselé.
/////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// Les Arts Florissants
레자르 플로리상 (Les Arts Florissants) ‘아름다운 꽃 만발한 바로크 예술’ 레자르 플로리상은 프랑스 바로크 음악을 재발견하여, 고음악 연주의 새로운 척도를 제시한 대표적인 프랑스 연주단체이다. ‘꽃 피는 예술’이라는 뜻의 레자르 플로리상은 프랑스 작곡가 샤르팡티에가 1685년 작곡한 실내 오페라 ‘레자르 플로리상’에서 그 이름을 가져왔다. 이 단체는 성악과 기악이 함께하는 앙상블 팀으로 다른 고음악 단체와는 구별된다. 레자르 플로리상은 윌리엄 크리스티가 1979년 설립했으며 바로크 시대 악기로 바로크 음악을 구현하는 것이 특징이다. 현재 프랑스 고음악계를 이끄는 마크 민코프스키, 에르베 니케, 크리스토프 루세, 에마누엘레 아임 등이 모두 레자르 플로리상 단원 출신이라는 것만 봐도 그 절대적인 영향력을 감지할 수 있을 것이다. 레자르 플로리상은 프랑스 국립도서관에 숨겨져 있던 보석 같은 작품들을 발굴해내며 그 전까지 소외되어 왔던 프랑스 음악의 부상에 크게 기여하였고, 전 세계에 프랑스 문화를 전파하는 대사 역할을 하고 있다.
/////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// William Christie
지휘|윌리엄 크리스티 (William Christie) ‘프랑스 음악의 역사이자 살아있는 전설’ 고음악의 거장 윌리엄 크리스티는 니콜라우스 아르농쿠르, 존 엘리엇 가디너, 크리스토퍼 호그우드, 조르디 사발 등과 함께 고음악의 20세기 르네상스를 일으킨 주역이다. 레자르 플로리상을 창단하고 앙상블 음악감독을 맡고 있는 윌리엄 크리스티는 하프시코드 연주자이자 지휘자, 음악학자이자 교수다. 그는 지난 30년간 음악계에 끊임없이 영감을 준 인물로 꼽히며 프랑스 바로크 음악에 대한 대중의 관심을 이끌었다. 윌리엄 크리스티는 글라인드본, 뉴욕 메트로폴리탄, 취리히의 오페라하우스에서 열린 여러 페스티벌의 객원 지휘자로 초청 받아 활동하였으며, 2002-2007년까지 베를린 필하모닉의 객원 지휘자로 활동하였다. 윌리엄 크리스티는 프랑스 음악계에 일대 파란을 일으키며 프랑스 음악 부활의 역사이자 살아있는 전설이 되었다. 총체적인 형식미와 압도적인 혁신을 강조하는 데 그 누구보다도 뛰어난 윌리엄 크리스티는 이번 공연을 통해 프랑스 바로크의 역작을 보여줄 것이다.
///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Sources
- Daejeon Art Museum https://www.djac.or.kr/html/kr/performance/performance_010101.html?mode=V&code=2484&genrecode=1&site_dvs_cd=kr&menu_dvs_cd=010101
- Institut Français http://www.institutfrancais-seoul.com/ko/portfolio-item/%ec%9c%8c%eb%a6%ac%ec%97%84-%ed%81%ac%eb%a6%ac%ec%8a%a4%ed%8b%b0%ec%9d%98-%eb%a9%94%ed%8a%b8%eb%a5%b4-%ec%95%84-%eb%8b%b9%ec%84%b8%ec%b6%a4%ec%9d%98-%eb%8c%80%ea%b0%80/
- Arts florissants http://www.arts-florissants.com/
#Daejeon Art Museum#대전예술의전당 아트홀#evenement#spectacle#daejeon#윌리엄 크리스티의 메트르 아 당세#william christie#arts florissants#Rameau#maitre à danser#danse#춤의 대가
0 notes
Text
L'histoire de la musique classique, contée par Aissa Hamada
La musique classique est (surtout pour les jeunes) une musique de vieux, qui ne doit s’écouter que pendant la lecture ! C’est d’ailleurs totalement agréé par les chercheurs puisqu’une musique soi-disant « classique » n’existe pas. Son adjectif ne désigne qu’une partie de l’histoire musicale occidentale. Elle reflète ainsi une période prédéfinie par les spécialistes. En effet, la musique classique a été composée il y a bien longtemps et l’accord et la façon de la jouer ne sont plus définis tels que les compositeurs l’avaient écrit.
Le Moyen-âge
La musique du Moyen-âge n’est pas définie par les experts ! précise Aissa Hamada sur son compte Twitter. C’est par ailleurs une période bien longue où coexistent les manières de chanter héritées des religions chrétiennes antiques et les œuvres portant en germe le développement ultérieur du chant classique.
La musique médiévale a généralement un lien avec la liturgie chrétienne. Les peuples de cette époque emploient en général le mot « sacré » pour désigner un chant « religieux ». Ils utilisent parfois le terme « musique profane » pour les autres versions de la musique médiévale : instrumentale, chanson, etc.
Le chant grégorien
Ce type de chant est toujours pratiqué dans les églises (plus précisément les églises catholiques) à l’heure actuelle ! C’est principalement un air monodique, c'est-à-dire qui utilise une seule voix et tout le monde chante la même mélodie.
Chaque chanson possède une couleur uniforme et bien déterminée puisqu’elle est basée sur un seul mode comme la musique d’origine indienne. Les experts ont classé le chant grégorien comme étant une musique modale par opposition à la musique tonale utilisant à la fois le mineur et le majeur jusqu’à la fin du XIXe siècle.
Toutes les œuvres tonales ne possèdent pas cette coloration qui est uniforme puisque la réduction à seulement deux modes est complétée par une succession d’accords de couleurs diversifiées (superpositions de notes).
Les premières polyphonies
Aissa Hamada décrit la polyphonie comme étant une « marque de fabrique » de la musique classique venant de l’Occident au XIIe siècle. Elle comprend principalement de nombreuses voix, notamment plusieurs mélodies en simultanée.
L’interprétation du récital médiéval est l’affaire des professionnels, des musicologues et des artistes. Le système de notation peut varier d’un pays et d’une époque à l’autre et tout interprète est tenu de faire preuve d’esprit scientifique, d’imagination et de goût pour pouvoir faire revivre le chant de cette époque.
Les grandes écoles
La Flandre et surtout la France ont dominé la production de la musique savante. Les Français ont utilisé quelques divisions (Saint-Martial, Notre Dame, Ars Antiqua, Ars Nova, Ars Subtilitor) pour la caractérisation des époques et des écoles qui se sont succédées dans le pays, particulièrement dans le nord.
youtube
La Renaissance
La Renaissance est une ère de transition pour la musique quand elle a mis en place une tonalité. Les polyphonies sacrées somptueuses et d’une grande complexité ont été découvert durant cette période.
Les chants instrumentaux qui sont auparavant improvisés deviennent semi-écrits grâce à des tablatures qui peuvent guider l’improvisation. Ces dernières sont écrites à la fin du XVIe siècle comme pour les virginalistes anglais.
La musique sacrée s’est déplacée de la France jusqu’en Italie durant la Renaissance et l’école franco-flamande dominant au XVe siècle a cédé la prééminence aux écoles vénitiennes et romaines au cours du XVIe siècle.
Le luth
C’est un instrument musical ressemblant de près à la guitare moderne, ayant une forme de poire qui provient de la Perse. Le luth accompagne les chanteurs de cette époque et il est expressif d’un répertoire bien distinct.
Le virginal
A l’époque de Byrd, il n’y avait pas encore de piano et son invention n’a même pas été envisagée. Il a vécu durant le règne de la reine Elisabeth 1ère et c’est ainsi que les chercheurs l’ont classé comme étant un compositeur élisabéthain.
Il n’a pas joué du piano, mais il fait partie des virginalistes anglais selon les musicologues.
Cet instrument fascine particulièrement Aissa Hamada.
L’époque baroque
Elle se situe entre 1600 et 1750. Le genre baroque n’est pas vraiment baroque comme on le prétend disent les spécialistes de la musique. Ce terme est emprunté à l’historique de l’art puisque à cette époque les églises et tout l’ensemble de l’architecture sont « baroques ».
Les grandes constructions ont des formes bizarres et leurs ornements sont très compliqués par rapport aux ornements apportés aux structures durant la Renaissance. Cela signifie que le terme baroque désigne le côté architecturale mais pas musicale de l’époque.
L’influence de la musique d’origine italienne est immense au début de cette période puisqu’elle va donner une grande unité à celle de l’Europe continentale et atteindre la Pologne.
Cette période a choisi une tendance très expressive. Elle s’est développée du début du XVIIe siècle jusqu’à la moitié du XVIIIe siècle avec une multitude de formes toutes aussi admirables les unes que les autres.
L’opéra et la musique classique dramatique
Les années 1600 ont vu naitre les premières constitutions de musique classique dramatique ayant donné naissance au fameux Opéra.
Le Moyen-âge et la renaissance ont tous deux participé à l’avènement de cette tendance selon les spécialistes. Il faut noter que le terme « musique classique dramatique » est né au XVIIe siècle.
Le contrepoint
Le genre de musique classique durant l’époque baroque s’affirme avec la conceptualisation et la continuité de la basse. Elle fait preuve d’une grande expressivité et s’agrémente des plus beaux ornements.
Ce type de chant s’enrichit d’un contrepoint élaboré et se pare d’harmonies raffinées chatoyantes qu’Aissa Hamada admire particulièrement.
Baroque italienne
L’Italie est le berceau de l’Opéra selon les chercheurs puisque c’est le pays qui l’a vu éclore dans les années 1600 plus précisément à Florence. Claudio Monteverdi (1567-1643) a conçu pour la première fois le style baroque italien.
Ce style a connu un succès phénoménal et s’est répandu rapidement comme une tache d’huile dans toute l’Europe.
Baroque française
La tendance musicale venant de l’Italie s’est bloquée en France sous l’influence du compositeur et violoniste Jean-Baptiste Lully et du claveciniste et organiste François Couperin (le Grand).
Elle prend par la suite une forme spécifique dans tous les pays, accompagnée d’une création d’écoles distinctes les unes des autres.
Baroque anglaise
Georges Friedrich Haendel est un compositeur allemand devenu par la suite un citoyen anglais. Il s’est rendu en Italie où il a été influencé par la musique classique italienne. C’est suite à cela qu’il a décidé de résider en Angleterre pour le restant de sa vie. C’est également dans ce pays qu’il a fondé une académie royale de musique avant de se faire naturaliser anglais.
Il a composé des œuvres religieuses et dramatiques qui font partie jusqu’à aujourd’hui des grandes œuvres classiques baroques. Il a fusionné ses inspirations à l’image du compositeur allemand Sébastien Bach et est parvenu à une tout autre dimension esthétique très puissante.
Cette ère a fécondé plusieurs expressions musicales adoptées par les amateurs de classique comme Aissa Hamada : le choral, la toccata, la cantate, la sonate, l’oratorio, le concerto grosso, la passion, le motet, etc.
Baroque allemande
Le compositeur allemand Jean-Sébastien Bach a démontré dans ses chefs-d’œuvre la possibilité d’utilisation d’un tempérament égal. Cela est dû au théoricien allemand Wreckmeister. Parmi ses œuvres, les plus connus sont « le Clavier Tempéré », « Variations Goldberg », « L’Art de la fugue », « Passion selon Matthieu », etc.
Qu’est-ce que le tempérament égal ?
Le « tempérament égal » est la méthode théorique consistant à partitionner une octave pour obtenir douze intervalles chromatiques égaux. Ce moyen ne donne aucun intervalle pur, à part l’octave, mais il fait pourtant partie des fondements de la musique classique de l’Ouest.
Cette innovation a permis de moduler la pièce, c'est-à-dire de passer par des tonalités différentes durant le même morceau, de transposer la mélodie dans différentes tonalités et de jouer dans les tons majeurs.
Les instruments utilisés durant la période baroque
Les instruments se sont perfectionnés durant cette ère. Le violon a atteint la perfection technique avec le luthier Stradivarius.
Le violoncelle s’est étoffé, le luth s’est estompé et l’épinette a été remplacée par le clavecin. Entre autres, la trompette baroque ou trompette en ré a été l’instrument caractéristique de l’époque.
L’époque classique
La musique classique a été constituée durant la période classique. Bien que Mozart, prénommé Wolfgang Amadeus, ne soit pas l’initiateur de cette ère, il fait partie de son illustre représentant.
La musique dite « classique » est reconnaissable à l’oreille et on peut déterminer sa période centrale. Elle procure une impression de simplicité et de clarté comparée à celle de l’époque baroque et la théorie du contrepoint n’est plus présente.
La musique de cette période est classée art d’une civilisation bourgeoise, policée et urbaine, d’une religiosité moins tragique et moins affirmée que celle de toutes les époques antérieures.
Certains genres s’affirment durant à ce moment (la symphonie et la sonate) après leur apparition en Italie. L’orchestre moderne et le piano sont également apparus durant l’ère classique. Elle a ensuite connu un épisode préromantique au début de l’année 1768 (mouvement « Sturm und Drang »).
La symphonie
Le discours musical est articulé par l’orchestre entier dans la symphonie et ne dialogue pas avec le soliste comme dans un concerto.
Mozart a composé la symphonie numéro 25 à l’âge de 18 ans. Une tonalité de sol mineur donne à cette dernière une couleur tragique. La réalisation aérée de tous les baroques d’Amsterdam a mis en valeur cet art apprécié par Aissa Hamada.
Le quatuor à cordes
Il est apparu au XVIIIe siècle et c’est une formation regroupant deux instruments, le violoncelle et l’alto. Cette composition est généralement destinée à être jouée par des amateurs de musique de bon niveau mais seulement en privé.
Composer un quatuor n’est pas un exercice facile, il est destiné aux grands compositeurs. La ligne mélodique ressort particulièrement bien. La clarté caractérisant cette variété a besoin de la maîtrise du contrepoint.
L’orchestre s’efface la plupart du temps devant le son mélodique joué à la main droite tandis que la main gauche se contente de quelques trémolos dans le « concerto pour piano » numéro 21 de Mozart.
Il a un don unique qui a charmé les auditoires avec une musique gracieuse typique de cette époque.
Le XIXe siècle
Le XIXe siècle est marqué notamment par le romantisme allemand, influence qui se fait sentir jusqu’au début du XXe siècle. Des courants nationaux se sont émergé pendant la mi-XIXe siècle et qui se sont positionnés pour la continuité du romantisme.
Le vent de révolution
Le XIXe siècle a été classique en ce qui concerne la forme mais il a été plutôt révolutionnaire dans l’esprit. Le commencement du 4ème mouvement de la Symphonie numéro 5 de Beethoven a été plein d’enthousiasme juvénile.
La transition du classicisme vers le romantisme a été marquée par Carl-Maria Von Weber dont la composition de Freischütz a eu une influence sur Wagner.
Les romantiques
Franz Schubert (terminal des classiques et premier des romantiques) et les compositeurs de la génération 1810 (Schumann, Chopin, etc.) ont exploré les circonvolutions de l’âme avec le langage harmonique subtil qui fait rêver Aissa Hamada.
Les œuvres de Mozart ou Haydn ont évolué dans les pays germanophones sous la plume des musiciens et poètes romantiques pour devenir un brin élitiste, un genre majeur de la musique classique.
Le Polonais dans le monde parisien
Fryderyk Chopin, ou Frédéric Chopin pour les Français, est apparu en Europe avec un tout autre langage musical. Il a stupéfié ses contemporains comme Robert Schumann avec une couleur de musique inimitable en raison de l’influence du folklore polonais.
L’influence de la musique dite populaire dans celle qui est savante a fait de Chopin un précurseur.
Le romantisme tardif
Le plus illustre représentant du romantisme tardif est Johannes Brahms. Il a marqué ses compositions par le respect des anciens musiciens et les formes très classiques venant de Beethoven. Il a réussi à insuffler la mélancolie, la noblesse et surtout la vigueur dans ses chefs-d’œuvre.
Il a composé sa toute première symphonie en 1876 tout en se dressant insensiblement dans cette époque tourmentée.
Liszt, le témoin
Ferenc (Franz) Liszt est né à Hongrie en 1811 et appartient à la génération 1810. Il a composé ses ouvrages en 1850 comme la « Sonate en si mineur » ou « Dante-Symphonie », etc. Il n’a pas cessé d’évoluer son langage musical durant sa vie. Ses dernières œuvres ont annoncé la venue du XXe siècle (« Lugubre Gondole » et « Nuages gris »).
Liszt est un musicien généreux et visionnaire ayant beaucoup influencé et soutenu Richard Wagner.
Wagner
Richard Wagner est né en 1813 et constitue le puissant pôle de répulsion ou d’attraction dans le monde de la musique classique. C’est un artiste total et complet qui a su révolutionner le type de l’opéra tout en réalisant une synthèse organique orchestrale, musicale et textuelle.
Son œuvre inspirée de la légende germanique, de la mythologie, du mythe du Graal et du christianisme est complètement spirituelle confirme Aïssa Hamada. Il incarne le génie musical allemand dans sa démesure et sa grandeur.
La mère patrie
Les musiciens nordiques tels que Grieg et Sibelius ou Smetana et Dvorak de l’Europe Centrale ont été célèbres après Chopin. La mère patrie correspond au mouvement de redécouverte du folklore et des racines ayant une liaison avec les aspirations politiques.
Le poème symphonique « Finlandia » composé par Jean Sibelius a évoqué la nature de la Finlande ainsi que la résistance contre l’oppression russe.
Le cas des compositeurs russes (Moussorgski, Rimski-Korsakov, Borodine, Glinka) est différent de celui des musiciens finlandais. Le tout premier conservatoire n’a été fondé dans le territoire de la Russie qu’en 1862. Les musiciens russes n’ont pas ainsi été formés dans une académie et leur folklore est consubstantiel à la musique locale.
La fin de siècle
Le langage harmonique a évolué de nouveau à la fin du XIXe siècle. Cette évolution a pris diverses directions tout en préfigurant l’éclatement de la composition musicale du XXe siècle.
Le XIXe siècle ne s’est pas achevé en 1900 puisque des musiciens du XXe siècle tel que Rachmaninov ou Richard Strauss ont témoigné de la persévérance des esthétiques nées durant cette époque.
Un extrait de la dernière œuvre de Franz Liszt (La Lugubre Gondole II) possède une tonalité qui se brouille. Il annonce l’avenir de la musique classique occidentale.
L’enchanteur Debussy
Claude Debussy s’est inscrit dans le vaste mouvement d’enchantement du monde entier en réaction à la mécanisation et à l’industrialisation. Sa musique est qualifiée par les chercheurs et les amateurs d’impressionniste, mais il aime plutôt les poètes symbolistes et les peintres ainsi que les préraphaélites anglais.
Il n’y a aucun romantisme dans les compositions de Debussy, mais elles possèdent la capacité étonnante d’évoquer tous les mystères de la nature de façon extraordinaire.
Le XXe siècle musical
Le XXe siècle a vu un évènement stupéfiant : les recherches des experts et des théoriciens musicaux remontant à l’époque baroque tout en se basant sur la tonalité. C’est le début de la période où il n’y a plus de nouveaux progrès possibles puisque tout a été inventé affirme Aïssa Hamada.
Il n’y a plus une unité stylistique au XXe siècle puisque c’est une époque où la recherche technologique et la crise se sont installées. De nombreuses possibilités se sont ouvertes aux compositeurs et aux musiciens du XXe siècle.
- L’utilisation du langage musical à partir du ton (Rachmaninov, Mahler, Richard Strauss, Ravel, etc.) - L’utilisation des tendances grégoriennes ou des modes exotiques qui sont nouvelles chez Messiaen et Debussy - L’utilisation des musicalités populaires - La recherche d’une toute nouvelle sonorité : musique électronique, musique concrète - La possibilité la plus radicale est de tout détruire et de recommencer à zéro
Le Sacre
Le « Sacre du Printemps » en 1913 a été considéré comme l’œuvre de la musique moderne. Igor Stravinski l’a superposé de tonalités et de rythmes différents tout en créant un chef-d’œuvre profondément original.
Le « Sacre » raconte le déroulement d’une fête ou d’une cérémonie sacrificielle en Russie païenne imaginaire. La musique a été qualifiée de « sauvage » par les détracteurs et le ballet de Nijinski a scandalisé le public parisien lors de sa première interprétation.
Le dodécaphonisme
Anton Webern fait partie des premiers sortants de l’Ecole de musique à Vienne. Il est l’élève d’Arnold Schönberg et a repris la technique dodécaphonique (les œuvres sont caractérisées par la série de douzaine de sons).
Le matériau originel a été travaillé en fonction des règles complexes et strictes qui renouent avec l’âme des contrapuntistes de l’ère baroque. Un de ses ouvrages les plus aboutis a été les « variations pour piano op.27 ». Ce chef-d’œuvre est difficilement accessible à cause de sa sécheresse émotionnelle, de sa complexité et de l’utilisation des séries dissonantes.
Les modes colorés
Olivier Messiaen utilise les modes à transpositions limitées qui possèdent chacun une signification et une couleur particulière dans son œuvre « Vingt regards sur l’enfant Jésus ». Le mode 2 domine dans son ouvrage « Regard du père ».
La particularité des compositions de Messiaen est qu’il aperçoit réellement les couleurs quand il entend de la musique, c’est le cas unique de synesthésie.
La notation musicale
L’improvisation musicale très présente n’a cessé d’évoluer et a donné naissance à de nouvelles notations musicales. L’écriture a engendré des façons de conduire, de diriger et de penser la musique autrement.
Ces expansions ont provoqué la rupture momentanée avec les musiques traditionnelles et les airs de cours puisque de nombreux grands compositeurs musiciens ont continué à les utiliser.
La notation musicale a permis à des œuvres d’être plus conséquentes. Le problème en liaison à la mémorisation a été repoussé grâce à ce système qui a également poussé plusieurs compositeurs à créer des projets encore plus ambitieux.
La musique notée a permis de lutter contre l’oubli en devenant utile dans son enseignement selon Aïssa Hamada.
Conclusion
La « musique savante » a hérité de la civilisation juive et grecque en Occident. Les deux traditions ont coexisté pendant le millénaire précédant la période chrétienne. Ce sont les Grecs qui ont posé le fondement de toute la relation entre les mathématiques et la musique tout en imaginant le système de la musique notée.
0 notes