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unjourdemai · 11 months

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Symphonie de Couleurs et de Rêves 🌹

Chapitre 1 : Les Couleurs de l'Avenir

Le soleil couchant baignait les rues animées de Séoul d'une douce lueur orangée. Min-Jun, un jeune Coréen de dix-sept ans, marchait d'un pas vif, emportant son carnet à dessin comme s'il s'agissait de son bien le plus précieux. Ses doigts effleuraient les pages épaisses, caressant les esquisses qui donnaient vie à ses rêves.

Min-Jun avait toujours été fasciné par le monde des arts. Chaque coup de pinceau, chaque mélange de couleurs, était pour lui une aventure dans un royaume de possibilités infinies. Son appartement était un véritable atelier, où toiles et croquis s'entassaient dans un joyeux désordre. Parmi tout ce tumulte créatif, son fidèle compagnon à quatre pattes, Mochi, un Chihuahua à poils longs, observait avec curiosité.

La vie de Min-Jun n'était cependant pas seulement faite de pinceaux et de toiles. Malgré son jeune âge, il avait atteint la taille remarquable d'1m79. Cela n'avait pas échappé à l'œil attentif d'un agent de mannequins qui, un jour, avait repéré le jeune artiste dessinant sur le trottoir d'une rue achalandée.

C'était un moment clé dans la vie de Min-Jun. L'agent l'avait convaincu de tenter sa chance dans le monde de la mode, et les séances photos et défilés s'étaient rapidement enchaînés. Il était devenu l'incarnation d'une élégance naturelle, sa gr��ce déployée sous les projecteurs rivalisant avec la beauté des chefs-d'œuvre qu'il créait sur toile.

Pourtant, derrière le glamour des apparences, Min-Jun nourrissait un rêve secret. Chaque nuit, lorsque la ville s'endormait, il se glissait dans un studio de danse désert, s'entraînant en secret aux mouvements complexes de la K-pop. Il avait l'ambition de devenir une idole, de charmer le monde avec sa voix et sa présence magnétique.

Les jours passaient, entre les poses figées devant l'objectif et les pas de danse répétés à l'abri des regards. Min-Jun jonglait habilement entre ces deux mondes, chacun nourrissant sa passion et sa détermination.

Le soir suivant, alors que la lune se levait timidement dans le ciel de Séoul, Min-Jun s'installa devant son carnet, laissant les idées flotter sur le papier. Son esprit était un tourbillon d'émotions, une toile vierge prête à accueillir les rêves qui ne demandaient qu'à prendre forme.

Ainsi commença la quête de Min-Jun, un voyage où la toile blanche de sa vie se remplirait de couleurs vibrantes, mêlant la grâce du mannequinat à la passion de la K-pop, avec pour toile de fond la ville électrique de Séoul.

Chapitre 2 : Harmonie en Couleurs

Les semaines s'écoulaient, rythmées par les pas cadencés des répétitions et les flashes des séances photos. Min-Jun jonglait entre deux mondes, chacun exigeant sa propre dose d'engagement et de créativité. Pourtant, il savait que sa véritable passion résidait dans l'art de créer.

Un jour, alors qu'il se promenait dans les rues animées de Hongdae, Min-Jun fit une découverte qui allait changer sa vie. Un petit atelier d'arts ouvrait ses portes, animé par un maître de la peinture traditionnelle coréenne. Là, les pinceaux caressaient la soie, donnant vie à des paysages empreints de poésie.

Min-Jun entra, absorbé par l'atmosphère sereine qui régnait dans ce lieu. Le maître, un homme aux traits sages et aux yeux rieurs, leva les yeux de son œuvre en cours et accueillit Min-Jun d'un sourire chaleureux. Une connexion instantanée sembla se tisser entre les deux âmes créatives.

Au fil des semaines qui suivirent, Min-Jun se plongea dans l'apprentissage de cette forme d'art ancestrale. Il apprit à manier les pigments avec délicatesse, à laisser l'encre glisser avec grâce sur la toile, à capturer l'essence même de la nature.

Chaque instant passé dans l'atelier était une bouffée d'inspiration. Les pigments vibrants se mêlaient aux couleurs de ses rêves, créant des tableaux qui semblaient respirer. Min-Jun découvrit une nouvelle dimension de sa créativité, un mariage parfait entre tradition et innovation.

Pourtant, dans le secret de la nuit, il continuait à danser. Les mélodies enivrantes de la K-pop résonnaient dans l'obscurité, ses mouvements devenant plus fluides, plus assurés. Il ressentait la musique dans chaque fibre de son être, laissant son corps s'exprimer dans une symphonie de mouvements gracieux.

Les mois passèrent, et Min-Jun devint un artiste accompli dans chaque facettes de son être. Le mannequinat le propulsait sous les projecteurs, la peinture traditionnelle le ramenait à ses racines, et la danse le laissait libre d'exprimer l'émotion qui brûlait en lui.

Chaque jour était une toile blanche, prête à accueillir les couleurs de son imagination. Min-Jun savait que son chemin était unique, que sa destinée se dessinait dans une palette infinie d'opportunités. Et il était prêt à les saisir, à faire vibrer le monde de son art, à laisser son âme s'épanouir en une symphonie de couleurs et de mouvements.

Chapitre 3 : Éclats de Scène

Alors que l'automne peignait les rues de Séoul d'une palette de rouges et d'or, Min-Jun se trouvait à un tournant de sa vie. Son talent éclatait dans chaque toile et se révélait sur chaque scène. Le jeune homme avait conquis les cœurs par sa grâce et sa créativité, devenant une étoile montante dans le monde du mannequinat et de l'art.

Cependant, son rêve ultime, celui de devenir une idole de la K-pop, restait enfoui dans les replis de son âme. Chaque nuit, les mélodies résonnaient dans sa tête, l'appelant à un destin qu'il n'avait pas encore saisi.

Un soir, alors que les lumières de la ville étincelaient comme des étoiles lointaines, Min-Jun reçut un message qui allait tout changer. C'était une invitation à participer à une audition pour une agence de divertissement réputée. Son cœur s'emballa, l'excitation mêlée à une pointe d'appréhension.

Dans l'intimité de sa chambre, il s'entraîna avec ferveur, perfectionnant chaque mouvement, chaque note. Il savait que cette audition était l'opportunité qu'il avait attendue toute sa vie.

Le jour J arriva, une brise légère portant l'effervescence de l'occasion. Min-Jun se tenait devant les portes de l'agence, son cœur tambourinant dans sa poitrine. À l'intérieur, il découvrit un univers effervescent, où la musique résonnait dans chaque recoin.

Quand vint son tour, il monta sur scène, les projecteurs illuminant son visage déterminé. Chaque pas, chaque note était une offrande de son âme, une promesse faite à lui-même.

Lorsque la dernière note s'éteignit, une pause suspendue dans le temps, l'audience resta silencieuse, suspendue à l'émotion qui flottait dans l'air. Puis, un tonnerre d'applaudissements éclata, accompagné de sourires bienveillants et de regards émerveillés.

Min-Jun avait conquis la scène, il avait prouvé au monde, et à lui-même, qu'il était capable de briller dans chaque aspect de son art.

La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre, et bientôt, Min-Jun devint une sensation, mêlant mannequinat et K-pop avec une grâce inégalée. Il était devenu la preuve vivante qu'on pouvait réaliser ses rêves les plus fous, que la persévérance et la passion pouvaient ouvrir les portes de l'inimaginable.

Ainsi, sous les feux des projecteurs et les étoiles de Séoul, Min-Jun dansait au rythme de sa propre symphonie, éclairant le monde de son talent et de sa détermination. Chaque chapitre de sa vie était une promesse d'éclats et d'émerveillements, une ode à la puissance des rêves qui brûlent dans le cœur d'un artiste.

Chapitre 4 : Harmonie en Scène

La vie de Min-Jun était devenue une danse incessante entre les plateaux de tournage, les studios d'enregistrement et les galeries d'art. Chaque jour apportait son lot d'émerveillements et de défis, et pourtant, Min-Jun n'avait jamais été aussi épanoui.

Son appartement était devenu un sanctuaire de créativité, où les pinceaux s'entrechoquaient avec les partitions, et où les toiles dévoilaient des mondes de plus en plus vibrants. Mochi, son fidèle Chihuahua à poils longs, était toujours à ses côtés, un témoin silencieux de cette symphonie de vie.

Au fil des saisons, Min-Jun avait conquis le cœur du public, devenant une icône de l'expression artistique sous toutes ses formes. Sa peinture, oscillant entre tradition et modernité, était exposée dans des galeries prestigieuses à travers le monde. Ses performances scéniques, fusion de grâce et de puissance, électrisaient les foules.

Pourtant, au plus profond de lui, un rêve persistait. Min-Jun avait toujours voulu créer sa propre musique, composer les mélodies qui résonnaient dans son cœur. Chaque nuit, il se retirait dans son studio, les notes s'élevant doucement dans l'obscurité.

Un jour, alors qu'il travaillait sur une toile inspirée par les couleurs d'un coucher de soleil, Min-Jun reçut un appel qui allait bouleverser son univers. C'était l'agence de divertissement qui l'avait découvert, proposant de produire sa première chanson en tant qu'artiste solo.

L'excitation et l'appréhension se mêlèrent à nouveau dans son cœur. C'était le défi ultime, la chance de donner vie à une autre facette de son âme artistique. Il se lança tête baissée dans cette nouvelle aventure, entouré d'une équipe de talents qui partageaient sa vision.

Les semaines passèrent dans une fièvre créative, les mélodies prenant forme sous ses doigts agiles. Chaque note était une émotion, chaque refrain une promesse de liberté. Lorsque la chanson fut enfin prête, Min-Jun se retrouva en studio, le cœur battant la chamade.

La première fois qu'il entendit sa voix s'élever dans l'obscurité du studio, ce fut comme une révélation. Il réalisa que cette chanson était bien plus qu'une simple mélodie. C'était son âme mise en musique, une partie de lui-même offerte au monde.

Lorsque la chanson fut finalement partagée avec le public, l'accueil fut incroyable. Les fans découvraient une nouvelle facette de Min-Jun, une harmonie qui venait compléter la symphonie de son art.

Ainsi, Min-Jun continua son voyage artistique, chaque chapitre de sa vie apportant son lot de découvertes et d'émotions. Il avait compris que l'art était une danse infinie, une exploration constante de soi-même et du monde qui l'entourait. Et dans chaque note, dans chaque coup de pinceau, il trouvait une harmonie qui le comblait.

Chapitre 5 : L'Éclat du Destin

Alors que les années s'écoulaient, Min-Jun avait conquis le monde de l'art sous toutes ses formes. Ses toiles ornaient les murs des plus grandes galeries, ses performances scéniques électrisaient les foules, et ses chansons résonnaient dans les cœurs de millions de fans à travers le globe.

Il avait réalisé son rêve, mais il savait que son parcours était loin d'être terminé. Chaque jour apportait son lot de défis et de nouvelles inspirations. Min-Jun avait appris que l'art était un voyage sans fin, une exploration constante de soi-même et du monde qui l'entourait.

Un matin d'été, alors que le soleil inondait la ville de sa lumière dorée, Min-Jun se tenait sur le balcon de son appartement, contemplant l'horizon qui s'étendait à perte de vue. Il se sentait empli d'une gratitude profonde pour tout ce qu'il avait accompli, mais il savait qu'il y avait encore tellement à découvrir, à créer.

C'est alors qu'une idée germa dans son esprit, comme une graine prête à éclore. Il décida de retourner à ses racines, de se replonger dans l'art de la peinture traditionnelle coréenne. Il avait évolué depuis ses débuts, mais il sentait que cette forme d'art avait encore tant à lui offrir.

Min-Jun se rendit chez son ancien maître, celui qui lui avait enseigné les premiers rudiments de la peinture traditionnelle. Il fut accueilli à bras ouverts, comme un fils prodigue revenu à la maison. Ensemble, ils se plongèrent dans la création, laissant les pinceaux danser sur la soie blanche, donnant vie à des paysages empreints d'émotion.

Les semaines qui suivirent furent une évasion dans un univers de couleurs et de symboles, une réconciliation avec ses origines et une redécouverte de lui-même. Min-Jun sentait que chaque coup de pinceau était une révélation, une fusion de passé et de présent.

Lorsqu'il dévoila sa nouvelle série de peintures lors d'une exposition, la réaction fut unanime. Les œuvres de Min-Jun étaient un témoignage de son évolution en tant qu'artiste, une fusion harmonieuse de tradition et de modernité.

À travers ce retour aux sources, Min-Jun avait trouvé une nouvelle force, une nouvelle perspective. Il comprenait désormais que l'art était un voyage continu, une exploration infinie de soi-même et du monde qui l'entourait.

Ainsi, Min-Jun continua de créer, de danser, de peindre, et de chanter, laissant son âme s'exprimer à travers chaque geste, chaque note, chaque coup de pinceau. Son parcours était devenu une symphonie en constante évolution, une célébration de la vie et de l'art dans toute leur splendeur. Et dans chaque chapitre de son histoire, l'éclat de son destin brillait d'une lumière plus vive encore.

Chapitre 6 : Toiles de l'Avenir

Les années avaient passé, et Min-Jun avait atteint un nouveau sommet dans sa carrière artistique. Ses œuvres étaient désormais convoitées à travers le monde, et son nom était devenu synonyme d'innovation et d'émotion. Pourtant, malgré la renommée, il restait humble et avide de nouvelles découvertes.

Un jour, alors qu'il déambulait dans les ruelles étroites d'un quartier historique de Séoul, Min-Jun tomba sur une petite boutique d'antiquités. Il fut attiré par une vieille boîte en bois richement décorée, qui semblait renfermer des trésors du passé.

En l'ouvrant avec précaution, Min-Jun découvrit une collection de parchemins et de pinceaux d'une époque révolue. L'émotion l'envahit, comme si ces objets anciens lui chuchotaient des secrets oubliés. Il savait qu'il tenait là quelque chose de précieux, une source d'inspiration inestimable.

De retour dans son atelier, Min-Jun déploya les parchemins centenaires, découvrant des paysages et des scènes de vie figées dans le temps. Les pinceaux anciens semblaient vibrer d'une énergie vieille de siècles, prêts à reprendre vie entre ses mains.

Il se mit au travail, mêlant son style contemporain à l'essence même de ces œuvres anciennes. Chaque coup de pinceau était un hommage au passé, une célébration de l'art qui transcende les époques.

Les semaines passèrent dans une frénésie créative, Min-Jun se nourrissant de cette fusion entre hier et aujourd'hui. Les toiles qui prenaient forme sous ses mains étaient des ponts entre les époques, des fenêtres ouvertes sur des mondes oubliés.

Lorsqu'il présenta sa nouvelle collection, l'accueil fut unanime. Les critiques et les amateurs d'art étaient éblouis par cette réinterprétation magistrale du passé. Min-Jun avait réussi à capturer l'âme de ces anciens artistes tout en y insufflant sa propre vision.

À travers cette nouvelle série, Min-Jun avait trouvé une connexion profonde avec les générations d'artistes qui l'avaient précédé. Il avait compris que l'art est un langage universel, transcendant les frontières du temps et de l'espace.

Ainsi, Min-Jun continua d'explorer les infinies possibilités de l'art, chaque toile devenant une invitation au voyage à travers les époques. Son atelier était devenu un sanctuaire où passé et présent se rencontraient dans une danse intemporelle.

Dans chaque coup de pinceau, dans chaque œuvre qui prenait vie sous ses doigts, Min-Jun rendait hommage à ceux qui avaient tracé la voie avant lui, tout en laissant son empreinte unique sur la toile de l'histoire de l'art. Et dans chaque chapitre de cette aventure, les toiles de l'avenir se déployaient avec une promesse d'éternité.

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solisjetflights · 1 year

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Atterrissage En Douceur : Le Rôle Crucial Des Hôtesses Et Des Stewards Pour Garantir Un Voyage En Jet Privé Sans Encombre

Le voyage en jet privé est l’incarnation du luxe et de la commodité. Il offre aux passagers la liberté de voyager selon leur propre horaire, d’éviter les tracas des aéroports commerciaux et de bénéficier d’un confort et d’une intimité inégalés. Cependant, dans les coulisses de ce mode de transport prestigieux se cache un réseau complexe de professionnels qui veillent à ce que chaque vol se déroule sans accroc. Parmi ces professionnels, les hôtesses et les stewards jouent un rôle crucial en garantissant des atterrissages en douceur et des voyages en jet privé sans encombre.

L’Essor du Transport en Jet Privé

Avant d’aborder le rôle des hôtesses et des stewards, il est essentiel de comprendre l’essor du transport en jet privé. Au cours des dernières décennies, la demande de jets privés a explosé parmi les personnes fortunées, les cadres d’entreprise et même les célébrités. Cette augmentation peut être attribuée à plusieurs facteurs, notamment le désir d’intimité, le besoin de flexibilité dans les horaires de voyage et les préoccupations en matière de sécurité.

Les voyages en jet privé présentent de nombreux avantages par rapport à l’aviation commerciale. Les passagers peuvent partir d’aéroports plus petits et moins encombrés, souvent situés plus près de leur domicile ou de leur destination. Ils n’ont donc pas besoin d’effectuer des transferts aéroportuaires longs et souvent stressants. En outre, les voyageurs en jet privé bénéficient de procédures de sécurité accélérées et de la possibilité de personnaliser leur expérience en vol, depuis les choix de restauration jusqu’à l’aménagement de la cabine.

Le Monde Complexe de la Gestion des Jets Privés

Derrière chaque vol en jet privé réussi se cache une équipe de professionnels qualifiés qui s’occupent des différents aspects du voyage. Ces professionnels veillent à ce que l’avion soit préparé, à ce que les passagers soient à l’aise et à ce que tous les détails logistiques soient minutieusement gérés. Parmi ces personnes, les hôtesses et les stewards jouent un rôle central.

Ces derniers sont les héros méconnus du secteur. Ils sont chargés de coordonner tous les aspects d’un vol, depuis la réservation jusqu’au départ de l’avion en toute sécurité. Leurs responsabilités sont les suivantes

Coordination logistique : Les hôtesses et les stewards sont des experts en logistique. Ils s’occupent du ravitaillement en carburant, de la restauration et du transport au sol, en veillant à ce que tout soit en place pour le vol. Cette planification méticuleuse est essentielle pour éviter les retards et garantir une expérience agréable aux passagers.

Douanes et immigration : Les procédures de douane et d’immigration peuvent prendre beaucoup de temps dans de nombreux aéroports. Les agents de manutention accélèrent ces procédures, ce qui permet aux passagers de passer la douane rapidement et sans encombre.

Préparation de l’avion : Les hôtesses et stewards supervisent la préparation de l’avion, en veillant à ce qu’il soit propre, bien entretenu et pourvu des fournitures nécessaires. Ils se coordonnent également avec les équipes de maintenance pour résoudre rapidement tout problème technique.

Services aux passagers : Les hôtesses et stewards sont chargés de veiller à ce que les passagers disposent de tout ce dont ils ont besoin pour un voyage confortable. Il s’agit notamment d’organiser les aménagements à bord, de répondre aux préférences diététiques et de traiter toute demande spéciale.

Sûreté et sécurité : les agents de manutention connaissent bien les protocoles de sûreté et de sécurité. Ils travaillent en étroite collaboration avec le personnel de sécurité pour assurer la sécurité des passagers et de l’équipage tout au long du voyage.

Météo et gestion du trafic aérien : Les agents de manutention surveillent les conditions météorologiques et le trafic aérien afin d’anticiper toute perturbation potentielle. Ils disposent de plans d’urgence pour réacheminer les vols si nécessaire afin d’éviter les conditions défavorables.

La communication : Une communication efficace est essentielle dans les voyages en jet privé. Les hôtesses et les stewards assurent la liaison entre les passagers, l’équipage et les différents prestataires de services. Ils tiennent tout le monde informé et veillent à ce que les changements ou les demandes soient communiqués rapidement.

L’art de l’Assistance

La gestion d’un vol en jet privé est un art qui exige précision, souci du détail et capacité d’adaptation. Les hôtesses et les stewards doivent être prêts à relever des défis imprévus, tels que des perturbations météorologiques ou des changements d’itinéraire de dernière minute. Ils se distinguent par leur capacité à surmonter ces difficultés tout en offrant aux passagers une expérience sans faille.

L’un des principaux avantages des voyages en jet privé est la flexibilité qu’ils offrent. Les passagers peuvent modifier leurs plans de voyage dans un délai très court, et les agents de handling sont capables de s’adapter à ces changements. Qu’il s’agisse d’un changement soudain de destination ou d’un ajustement de l’heure de départ, les hôtesses et les stewards travaillent sans relâche pour y parvenir.

Une Portée Mondiale et une Expertise Locale

Les voyages en jet privé amènent souvent les passagers vers des destinations du monde entier. Les prestataires de services de manutention ont une portée mondiale et disposent de réseaux de contacts dans les aéroports du monde entier. Cette présence mondiale leur permet de fournir un service cohérent, que vous vous rendiez dans un grand centre international ou sur une piste d’atterrissage éloignée.

En outre, les agents d’assistance possèdent une expertise locale inestimable. Ils connaissent les procédures et réglementations spécifiques à chaque aéroport qu’ils desservent. Cette connaissance est essentielle pour s’y retrouver dans la complexité des voyages internationaux, qu’il s’agisse des exigences en matière de douane et d’immigration ou des règles de sécurité locales.

La Touche Humaine

À l’ère de l’automatisation et de la technologie, le contact humain reste essentiel dans le traitement des jets privés. Les agents de handling ne sont pas seulement des experts en logistique ; ils sont également doués pour la communication interpersonnelle. Ils établissent des relations avec les passagers, anticipent leurs besoins et offrent un niveau de service personnalisé inégalé dans l’aviation commerciale.

Pour les passagers, cette touche personnelle peut faire toute la différence. Qu’il s’agisse de se souvenir de la boisson préférée d’un passager ou de répondre à une demande spécifique, les hôtesses et les stewards se surpassent pour faire de chaque vol une expérience mémorable et agréable.

L’Avenir de l’Assistance aux Jets Privés

À mesure que le secteur de l’aviation privée se développe, le rôle des agents de handling devient de plus en plus crucial. Avec un nombre croissant de voyageurs optant pour l’aviation privée, les hôtesses et les stewards devront s’adapter pour répondre à la demande croissante tout en maintenant les normes de service élevées que les passagers attendent.

La technologie jouera également un rôle dans l’évolution du traitement des jets privés. Les logiciels avancés et les plateformes numériques rationaliseront la logistique et la communication, ce qui facilitera la coordination des voyages complexes. Toutefois, l’élément humain restera irremplaçable, car la personnalisation et la capacité d’adaptation des hôtesses et des stewards sont au cœur de l’expérience du voyage en jet privé.

En conclusion, les voyages en jet privé représentent le summum du luxe et de la commodité en matière de transport aérien. Derrière chaque voyage en jet privé réussi se trouve une équipe dévouée d’hôtesses et de stewards qui travaillent sans relâche pour garantir aux passagers une expérience de voyage sans faille. Leur expertise en matière de logistique, de sécurité et de service personnalisé est ce qui distingue le transport en jet privé et fait de chaque atterrissage un moment agréable. Alors que la demande de voyages en jet privé continue d’augmenter, les hôtesses et les stewards resteront les héros méconnus qui rendent tout possible, un atterrissage en douceur à la fois.

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calendrier-bancaire · 1 year

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Demande en cours Cofidis

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Vous avez soumis une demande de crédit pour financer un projet personnel auprès de l’établissement de crédit Cofidis. Cela pour partir en voyage, rénover votre habitation ou encore financer une nouvelle voiture. Quoi qu’il en soit, Cofidis peut personnaliser le financement à vos besoins. Vous aurez la possibilité d’échanger avec un agent. Mais surtout de suivre votre demande en cours de…

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credit0 · 1 year

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spiritgamer26 · 1 year

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Street Fighter 6

Qu'est-ce que la force ? Parcourez le monde à la recherche de la réponse. Avec votre avatar, rejoignez les combattants de légende qui attendent votre arrivée dans le monde de Street Fighter ! Votre première destination : les services de sécurité Buckler à Metro City, où sont entraînés des agents de sécurité. Luke sera votre coach pour votre cours d'entraînement de base. C'est là que votre histoire commence... Pendant vos voyages, vous ferez face à bien des épreuves et des défis. Vous aurez l'occasion de faire vos preuves dans des combats de rue, de rencontrer des combattants légendaires, de tisser des liens et d'améliorer vos techniques. Vous deviendrez plus fort, et vous affronterez des adversaires plus forts encore. Qu'est-ce que la force ? Si telle est votre quête, alors le moment est venu d'arpenter les rues ! https://youtu.be/4EnsDg6DCTE

Une expérience inédite

Le plaisir du gameplay et les modifications apportées aux mécaniques du dernier opus de Street Fighter sont indéniablement l'élément central pour les fans de longue date. Cependant, Capcom a surpris en accordant une attention particulière au contenu proposé, qui s'avère être un aspect essentiel. Le réalisateur Takayuki Nakayama a créé un jeu novateur, offrant des heures de divertissement aussi bien aux amateurs de rencontres en ligne qu'à ceux qui souhaitent simplement s'immerger dans l'univers de Street Fighter en solitaire. Au-delà du mode Arcade classique, une nouvelle campagne solo, baptisée "World Tour", vous attend, vous permettant d'incarner un alter ego personnalisable grâce à un éditeur de personnage extrêmement complet. Le "World Tour" représente sans conteste l'innovation la plus ambitieuse jamais vue dans la série. Il transforme le jeu en une aventure d'action dynamique, avec des cartes à explorer et une progression façon RPG. Votre protagoniste gagne en puissance au fil de l'aventure et peut personnaliser ses techniques en apprenant directement des combattants principaux. Les affrontements se déroulent toujours selon le système de vue classique, mais les développeurs ont réussi à créer une campagne captivante, capable de séduire même les novices des jeux de combat. En progressant de bataille en bataille, vous débloquez une multitude de quêtes et d'activités secondaires. Vous pourrez également vous transformer en combattants redoutables, maîtrisant des techniques variées, en plus du style "de base". Le World Tour vous propose des combats palpitants, des activités annexes, une histoire structurée et des zones à explorer. Cette approche est exceptionnelle pour un jeu de combat, surtout lorsqu'il s'agit de Street Fighter 6. L'amour apporté à cette nouveauté se ressent dans le soin apporté à la conception de nombreuses missions. En plus des quêtes traditionnelles, des tutoriels optionnels sont disponibles pour initier les nouveaux joueurs aux mécaniques fondamentales. Les activités secondaires sont également incluses dans cet objectif, allant de la formation à l'utilisation d'éléments complexes, en passant par l'apprentissage du timing des parades défensives contre des ballons de basket. Une variété d'expériences vraiment appréciable, accompagnée d'un défi final constitué de séries de combats de plus en plus difficiles à mesure que vous atteignez les niveaux avancés. En prime, le jeu regorge de clins d'œil aux fans et de références. De plus, si vous souhaitez vous plonger dans l'histoire de personnages légendaires tels que Ryu et Chun Li, ou simplement en apprendre davantage sur les nouveaux venus, un système d'affinité lié aux maîtres a été intégré. Vous devrez améliorer votre relation avec chacun d'entre eux en sublimant leur style ou en leur offrant des objets. En accordant une attention suffisante à ces relations, vous débloquerez non seulement des informations intéressantes sur le scénario et les antécédents de chaque personnage, mais aussi des illustrations de haute qualité et d'autres surprises. Vous aurez besoin de temps pour tout débloquer, et les améliorations de votre alter ego seront également présentes dans le Battle Hub en ligne, où vous pourrez l'utiliser pour des combats non compétitifs très exaltants (et souvent déséquilibrés) contre d'autres joueurs. Capcom a placé la barre très haut avec Street Fighter 6, en commençant par l'éditeur de l'alter ego, révélant ainsi une campagne qui marque une véritable évolution par rapport aux contenus habituellement maigres de ce genre. Il est impossible de ne pas saluer le travail accompli par Nakayama et son équipe. Cependant, il est important de souligner quelques lacunes dans le World Tour. La campagne ne décolle réellement qu'après quelques heures, en raison d'un prologue relativement lent où les adversaires contrôlés par l'IA sont souvent trop faciles à battre (certains d'entre eux sont incapables de réagir à des manœuvres simples, comme une série répétée de prises). La conception des cartes n'est pas non plus la plus aboutie, ce qui peut parfois entraîner des retours en arrière gênants ou nécessiter une gestion fastidieuse du cycle jour et nuit pour accéder à certaines tâches. Enfin, bien que les cartes explorables soient globalement réussies, nous avons remarqué quelques bugs mineurs, notamment des textures qui se chargent tardivement et des anomalies dans le terrain. Toutefois, ces défauts restent marginaux par rapport aux points positifs du jeu. Nous pouvons affirmer sans hésitation que nous avons pleinement apprécié ce qui a été accompli, au point de revenir même après avoir terminé l'histoire principale pour débloquer de nouveaux contenus et nous améliorer. Si les jeux de combat adoptaient plus souvent cette approche narrative, peut-être que le genre gagnerait en popularité auprès d'un public plus large.

Une offre pléthorique de contenu et une IA redoutable

Le World Tour, présent dans Street Fighter 6, est une fonctionnalité qui suffirait à elle seule à racheter les défauts du jeu avant même sa sortie. Capcom semble avoir pris en compte les attentes de la communauté et a inclus des tutoriels d'une rare exhaustivité. Dans un genre aussi complexe que les jeux de combat, la présence de tutoriels approfondis et de concepts clairs est d'une grande valeur pour conquérir les néophytes (de nombreux titres du genre négligent souvent cet aspect, se reposant entièrement sur les guides en ligne des joueurs expérimentés). Il est donc gratifiant de voir que Street Fighter 6 offre une approche encyclopédique, avec une multitude de tests couvrant les mécaniques fondamentales ainsi que les stratégies avancées, et expliquant en détail les terminologies spécifiques. Des guides dédiés aux personnages individuels sont également disponibles, allant au-delà des simples descriptions des caractéristiques pour montrer comment utiliser des tactiques efficaces en ligne. Les tests de combos ne sont pas en reste et les développeurs les ont soigneusement conçus pour enseigner à l'utilisateur une série de mouvements utiles dans toutes les situations. Il convient de souligner que les combinaisons et les guides sont disponibles avec des commandes traditionnelles et modernes, en fonction des préférences du joueur. Dans Street Fighter 6, les modes festifs et extravagants ne manquent pas, conçus pour s'amuser avec des amis sans se soucier de la compétition. L'intelligence artificielle des adversaires est également à la hauteur de cette expérience, et elle est l'une des mieux conçues non seulement dans la série, mais également dans l'ensemble des jeux de combat. Les niveaux de difficulté les plus élevés du CPU posent sérieusement problème, notamment au niveau maximum (niveau 8) où il se montre incroyablement efficace. Cela s'avère être une excellente opportunité pour s'entraîner et comprendre les combos les plus optimisés et les meilleures approches offensives. Bien qu'il puisse tricher occasionnellement en réagissant instantanément et en réalisant des conversions quasi inhumaines, cela se produit avec une fréquence suffisamment honnête pour offrir un défi intéressant. Cette adaptabilité du niveau de difficulté rend également le mode Arcade très excitant, offrant une expérience solo riche pour découvrir l'ensemble de la liste de personnages. Les modes plus extravagants sont également très amusants, même en l'absence d'autres joueurs. En parlant de modes plus originaux, Street Fighter 6 propose les Extreme Battles. Ces affrontements sont dotés de modificateurs spécifiques et de conditions de victoire personnalisables. Vous vous retrouverez à combattre dans des arènes avec des taureaux en charge, des drones infligeant des effets positifs ou négatifs, des zones électrifiées, et bien d'autres encore. Il s'agit d'un véritable mode festif, idéal pour des défis imprévisibles avec des amis, ce qui élargit encore davantage les options disponibles pour les joueurs. Comme vous pouvez le constater, en termes de contenu, ce jeu est véritablement colossal, et il est difficile d'imaginer un travail plus conséquent que ce qui a été accompli. Même lorsque vous vous plongez dans le Battle Hub en ligne, de nouvelles surprises vous attendent. Il est incroyable de constater que tout ce que nous avons décrit dans les paragraphes précédents est éclipsé par la qualité du gameplay.

Des mécaniques de jeu innovantes qui offrent une profondeur inégalée

Nous allons temporairement mettre de côté la discussion sur les commandes modernes simplifiées, car les commandes classiques sont toujours la base de Street Fighter 6. Le jeu repose sur un système de combat à six boutons, avec trois coups de poing et trois coups de pied de puissance et de vitesse différentes, et aucune compromission n'a été faite à cet égard. De plus, les 18 combattants d'origine n'ont subi aucune simplification, et parmi les choix, on retrouve encore des personnages avec des mouvements "charge" (qui nécessitent une charge directionnelle pendant quelques instants pour exécuter des coups spéciaux), des attaques mixtes, et des entrées à 360 degrés spécifiquement adaptées aux sticks d'arcade. Le maintien de ces fondements montre la volonté de Capcom de ne pas s'éloigner trop des origines de la série. Cependant, si nous examinons ensuite les nouvelles mécaniques, nous réalisons rapidement que Street Fighter 6 a été conçu pour offrir encore plus d'outils aux joueurs que certains des chapitres les plus techniques et appréciés de la saga. L'équilibre des combats repose principalement sur la jauge Drive, un indicateur divisé en six crans utilisé pour de nombreuses actions différentes. La première - et celle que vous verrez probablement le plus souvent dans les premiers mois du jeu - s'appelle Drive Impact. Il s'agit essentiellement d'une attaque avec une armure (elle absorbe au moins trois attaques ennemies avant d'être interrompue) qui s'active lentement mais peut infliger des dégâts considérables si elle surprend l'adversaire pendant une animation de mouvement ou s'il est frappé près du coin du ring. Les deux autres manœuvres principales sont le Drive Rush, qui permet d'annuler une animation pour effectuer un saut soudain vers l'ennemi et conférer un avantage à toute attaque réussie pendant ce mouvement, et le Drive Parry, qui absorbe les coups et recharge partiellement la jauge Drive s'il est utilisé correctement. Le Drive Impact peut sembler effrayant, mais paradoxalement, c'est la moins utile des trois. Si vous jouez défensivement, il est tout à fait possible de réagir à son utilisation et de l'arrêter en utilisant le Parry, en sautant ou en effectuant une projection bien placée, une attaque spéciale à plusieurs coups, ou même en utilisant un autre Drive Impact en réponse. Le Drive Rush et le Drive Parry sont des outils bien plus importants, et le Drive Rush en particulier est une addition exceptionnelle. Il accélère considérablement le rythme des combats et augmente leur spectaculaire. Non seulement le Rush peut être utilisé dès que vous touchez un ennemi avec n'importe quelle attaque annulable - bien que cela nécessite une consommation importante de la jauge Drive - pour confirmer des combos puissants et infliger de gros dégâts, mais il peut également être déclenché lors d'une parade à un coût bien plus faible. L'exploiter de cette manière permet d'effectuer des combos normalement impossibles sans lui. La rapidité du mouvement et l'avantage de cadre qu'il confère aux attaques incitent également à l'utiliser pour surprendre l'adversaire, offrant une certaine sécurité même lorsqu'on lance des attaques normalement risquées. Une telle addition offre une flexibilité impressionnante en termes d'offensive et rend dangereux tout joueur capable de réagir rapidement et de gérer efficacement ses ressources. Le Drive Parry est également extrêmement utile lorsqu'il est maîtrisé correctement. Bien qu'il n'offre pas d'avantage de frame lorsque vous contre-attaquez une attaque adverse, il permet tout de même de punir des attaques normalement sans danger en raison de leur distance. De plus, lorsqu'il est utilisé astucieusement, il recharge partiellement la jauge Drive, car parer les attaques ennemies consomme de l'énergie (certaines attaques spéciales, comme celle de Honda, sont conçues pour épuiser rapidement cette jauge). Il existe même une parade parfaite, reconnaissable par une animation ralentissant l'action du jeu, qui permet de punir l'adversaire. Le timing pour l'activer est extrêmement précis, mais nous soupçonnons qu'à un niveau de jeu élevé, cela deviendra l'un des outils les plus redoutables. Il peut même être utilisé contre les projectiles en combinaison avec le Drive Rush, permettant de se rapprocher presque instantanément d'un adversaire puissant à longue portée. En prenant soigneusement tous ces aspects en compte, les développeurs n'ont pas voulu rendre ces mécaniques excessivement dévastatrices, en particulier en raison de l'existence de joueurs capables de les exploiter à l'excès. Ainsi, un combo exécuté immédiatement après avoir parfaitement réalisé un Drive Rush ne fera que la moitié des dégâts. Cependant, leur présence offre des options défensives très utiles, et nous ne doutons pas que de nombreux équilibres futurs du jeu se baseront sur ces mécaniques. Il est également intéressant de noter que maintenir le bouton du Drive Parry enfoncé pendant un combo ou l'utiliser instantanément au milieu d'une course permet d'activer presque instantanément le Drive Rush à faible coût dont nous avons parlé précédemment. Cela démontre davantage la manière dont la synergie entre les différentes compétences a été soigneusement calculée par l'équipe de développement. Le dernier élément de ce système de jeu complexe mais essentiel est le Drive Reversal, qui permet de se défendre contre un joueur trop agressif en effectuant un parry. Cela complète le cercle des manœuvres défensives, offrant la possibilité de répondre à pratiquement toutes les situations de manière intelligente. Non seulement la gestion de ces mécaniques est cruciale, mais il faut également surveiller de près la jauge Drive. Si vous utilisez trop de compétences en peu de temps, vous entrez dans un état appelé Burnout, qui vous rend vulnérable aux dégâts et augmente le désavantage de cadre des coups que vous encaissez. Cela crée des situations où il est très difficile de se défendre. Il est donc important de prendre en compte tous ces facteurs lors des combats. Parfois, il peut être judicieux d'accepter de subir des dégâts pour recharger la jauge Drive et éviter un Burnout. Cela rend les défis contre des joueurs expérimentés mentalement épuisants par rapport à des jeux de combat plus basiques, mais cela procure également une immense satisfaction lorsque vous parvenez à dominer en appliquant les bonnes stratégies de la meilleure façon possible. Nous avons rarement rencontré un jeu aussi profond et offrant autant de possibilités que Street Fighter 6. Il est fort probable que la scène compétitive proposera certains des tournois les plus disputés de tous les temps, et la virtuosité requise par le système permettra aux joueurs de progresser à des niveaux incalculables. Puisque la durée de vie d'un jeu de combat dépend souvent de sa profondeur, le bébé de Capcom semble être entre de bonnes mains. Il bénéficie d'un mélange de mécaniques parmi les meilleures jamais vues. Vous avez raison de souligner l'importance des commandes modernes dans Street Fighter 6. Ces commandes simplifiées sont une alternative proposée par l'équipe de développement pour permettre aux joueurs moins familiers avec les mouvements complexes de s'engager dans le jeu. Les commandes modernes transforment le système de jeu en utilisant seulement quatre boutons - attaques légères, moyennes et lourdes, ainsi qu'un bouton dédié aux mouvements spéciaux. L'exécution des mouvements spéciaux et des super attaques est grandement simplifiée, car il suffit d'appuyer sur le bouton dédié et une direction pour les exécuter. Bien que cela puisse sembler être une simplification mineure, cette alternative a été soigneusement conçue pour être efficace. Une pression sur le bouton dédié permet d'effectuer des combos automatiques, et si le timing est correct, cela modifie également les attaques normales, rendant ainsi disponible une grande partie de l'arsenal de chaque combattant. De plus, les mouvements spéciaux manquants peuvent également être effectués en utilisant des entrées directionnelles classiques avec le bouton dédié, ce qui permet d'avoir accès à toutes les techniques des personnages (les versions EX des mouvements spéciaux sont également utilisables). Les développeurs ont ajouté un inconvénient supplémentaire à ces commandes modernes, en réduisant les dégâts des coups spéciaux d'environ 20% par rapport aux commandes classiques. Il est difficile de prédire l'impact à long terme de cette alternative sur la scène compétitive, mais il est impressionnant de voir à quel point elle a été bien pensée. Il se peut que ce système simplifié devienne un choix viable et non seulement temporaire. Cependant, les développeurs ont pris des mesures intelligentes pour éviter une substitution totale des commandes classiques en ligne, au cas où des problèmes d'équilibre se présenteraient. Pour ceux qui n'ont jamais joué à un jeu de combat et qui souhaitent simplement appuyer sur des touches aléatoires sur la manette, il existe également des commandes dynamiques. Cependant, celles-ci sont plus proches des simplifications que l'on trouve dans d'autres jeux, avec des mouvements entièrement automatisés et très peu d'options. La disponibilité de cette option montre que Capcom a pris en compte différents types de joueurs et cherche à les inclure dans l'expérience de jeu. En ce qui concerne la liste des personnages, les dix-huit combattants disponibles sont tous incroyablement bien conçus et fascinants, avec une difficulté d'utilisation variable. Capcom a réussi à trouver un équilibre entre l'ancien et le nouveau, en proposant à la fois des personnages inédits et des versions révisées d'anciens combattants emblématiques. Chaque combattant a des caractéristiques uniques qui influencent grandement l'approche du combat. Il est rare de trouver une liste de personnages aussi bien équilibrée et captivante. Cependant, il est encore trop tôt pour évaluer l'équilibre général de la liste, car le jeu n'est pas encore entre les mains des joueurs compétitifs de haut niveau. Il faudra du temps pour observer comment les joueurs explorent et exploitent les forces et les faiblesses de chaque combattant. Bien que l'équilibrage d'un jeu de combat soit un défi constant, surtout au lancement, Capcom semble avoir réalisé un travail remarquable avec Street Fighter 6. Read the full article

#capcom #StreetFighter6

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omagazineparis · 1 year

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Quels sont les bienfaits du sauna ?

Un sauna est une pièce en bois avec un toit en forme de dôme qui permet de retenir l'humidité. L'humidité, dans ce cas, c'est la sueur. Vous allez transpirer à l'intérieur du sauna. La sueur fonctionne comme un agent antiseptique et désintoxiquant en décomposant le sol et d'autres substances par évaporation. Les bienfaits du sauna sont bénéfiques pour votre santé car ils augmentent la température de votre corps et le taux d'humidité ; ces deux facteurs favorisent la circulation sanguine et l'échange d'oxygène. Par conséquent, vous tirerez de nombreux avantages de la pratique du sauna. Lisez la suite pour en savoir plus sur les avantages pour la santé d'un sauna à la maison régulièrement. Les avantages pour la santé de prendre régulièrement un sauna à la maison. Le sauna fait transpirer. La transpiration est le moyen naturel du corps pour se débarrasser des toxines. En transpirant, vous perdez de l'eau et des toxines par évaporation. L'augmentation du taux d'humidité dans le sauna favorise la circulation du sang vers votre peau, ce qui augmente l'échange d'oxygène à travers vos pores. Comme les toxines sont éliminées par la transpiration, vous constaterez une réduction des ballonnements, de la fatigue et des déséquilibres de l'humeur. De plus, l'augmentation de la température dans le sauna active le métabolisme, ce qui réduit votre appétit. Prendre un sauna régulièrement peut vous aider à perdre du poids et à vous sentir frais et dispos. La transpiration est également un moyen pour le corps de se débarrasser des bactéries, virus et autres germes susceptibles de provoquer des maladies. C'est pourquoi les saunas sont souvent utilisés pour nettoyer le corps avant une opération ou un voyage. Les personnes souffrant d'hypertension ou de diabète vont souvent au sauna avant de subir une intervention ou de partir en voyage, afin d'éviter que leur tension artérielle ou leur taux de sucre n'augmente trop. Perte de poids Les saunas sont connus pour augmenter le taux métabolique. En augmentant la température et le taux d'humidité de votre corps, vous augmentez votre taux métabolique, ce qui vous permet de brûler plus de calories. Les saunas sont souvent utilisés par les personnes qui veulent perdre du poids car ils augmentent le métabolisme. Avec un taux métabolique plus élevé, vous devrez travailler davantage pour garder votre corps chaud et frais, ce qui favorise une augmentation de la combustion des calories. Pour ceux qui n'ont pas le temps de faire de l'exercice, un sauna peut être d'une grande aide pour perdre du poids. Des études ont montré qu'un sauna peut amener votre corps à brûler des calories lorsqu'il se refroidit, ce qui entraîne une perte de poids. Relaxation et réduction du stress Il est courant de ressentir du stress et de l'anxiété au cours de la vie quotidienne. Vous pouvez être stressé par le travail, la famille et d'autres facteurs. Un sauna peut vous aider à vous détendre et à réduire votre niveau de stress. Certaines personnes utilisent même le sauna comme aide au sommeil. Le sauna est connu pour calmer le système nerveux et induire le sommeil. En outre, le sauna peut contribuer à réduire la pression artérielle et le taux de sucre dans le sang, ce qui permet de diminuer le niveau de stress. Bienfaits du sauna pour la peau Les saunas font perdre à votre peau son poids en eau et améliorent son élasticité. Vous constaterez une réduction des rides et des ridules. Comme la transpiration active le système immunitaire, vous serez moins susceptible de contracter des infections, ce qui prévient les problèmes de peau et peut-être même certaines formes de cancer. Bienfaits du sauna pour l'ensemble du corps Les saunas favorisent la circulation sanguine et l'échange d'oxygène, ce qui aide le corps à travailler plus efficacement. L'augmentation de la température et du taux d'humidité favorise la circulation du sang et de l'oxygène, ce qui entraîne une meilleure activité cellulaire. Les saunas sont connus pour stimuler la transpiration, ce qui aide à débarrasser le corps des toxines, notamment des métaux lourds. A lire également : Bien dans son corps et bien dans sa tête Rapatriement du sang et des tissus La transpiration est le moyen pour le corps de se débarrasser des toxines. La transpiration augmente le taux d'humidité de votre corps et favorise l'expatriation du sang et des déchets. Cela aide le corps à se débarrasser des toxines et favorise une meilleure activité cellulaire. La transpiration aide également à rapatrier en toute sécurité le sang et les tissus dans le corps En augmentant la température de votre corps, vous vous débarrassez des toxines et faites de la place pour que de nouveaux nutriments et de l'oxygène soient transportés dans votre flux sanguin. Cela favorise une meilleure santé et un plus grand bien-être. Read the full article

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news24fr · 2 years

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Des policiers figuraient parmi les 33 tués et les 150 blessés dans l'explosion d'une mosquée à l'intérieur d'un quartier général de la police pakistanaise très sensible lundi, incitant le gouvernement à mettre le pays en état d'alerte maximale. L'attaque s'est produite pendant le culte de l'après-midi dans la capitale provinciale de Peshawar, à proximité d'anciennes zones tribales qui bordent l'Afghanistan où le militantisme n'a cessé d'augmenter. Une mission de sauvetage frénétique était en cours à la mosquée, dont un mur entier et une partie de son toit ont été soufflés par la force de l'explosion. "De nombreux policiers sont enterrés sous les décombres", a déclaré le chef de la police de Peshawar, Muhammad Ijaz Khan, qui a estimé qu'entre 300 et 400 agents assistaient habituellement aux prières à la mosquée. "Des efforts sont faits pour les faire sortir en toute sécurité", a-t-il déclaré. Des survivants ensanglantés sont sortis en boitant de l'épave, tandis que les corps ont été transportés dans des ambulances alors que l'opération de sauvetage se poursuivait. "C'est une situation d'urgence", a déclaré à l'AFP Muhammad Asim Khan, porte-parole de l'hôpital principal de Peshawar, évoquant 33 morts. Le gouverneur de Khyber Pakhtunkhwa, Ghulam Ali, a fait état de 28 morts et de 150 blessés, pour la plupart des policiers. Le quartier général de la police à Peshawar se trouve dans l'une des zones les plus étroitement contrôlées de la ville, abritant des bureaux de renseignement et de lutte contre le terrorisme, et jouxte le secrétariat régional. Le pays a été mis en état d'alerte après l'explosion, avec des points de contrôle renforcés et des forces de sécurité supplémentaires déployées, tandis que dans la capitale Islamabad, des tireurs d'élite ont été déployés sur des bâtiments et aux points d'entrée de la ville. "Les terroristes veulent créer la peur en ciblant ceux qui accomplissent le devoir de défendre le Pakistan", a déclaré le Premier ministre Shehbaz Sharif dans un communiqué. "Ceux qui combattent le Pakistan seront anéantis de la surface de la terre." "Fumée noire montante" Les officiers ont déclaré que l'explosion provenait de la deuxième rangée de fidèles, les équipes de neutralisation des bombes sondant la possibilité d'un attentat suicide. Shahid Ali, un policier qui a survécu, a déclaré que l'explosion s'était produite quelques secondes après que l'imam avait commencé la prière. "J'ai vu de la fumée noire s'élever vers le ciel. J'ai couru pour sauver ma vie", a déclaré à l'AFP l'homme de 47 ans. "Les cris des gens résonnent encore dans mon esprit", a-t-il ajouté. "Les gens criaient à l'aide." La violation drastique de la sécurité est survenue le jour où le président des Émirats arabes unis (EAU), Mohamed ben Zayed Al Nahyan, devait se rendre à Islamabad, bien que le voyage ait été annulé à la dernière minute en raison du mauvais temps. Le Pakistan se prépare également à accueillir mardi une délégation du Fonds monétaire international (FMI) alors qu'il s'efforce de débloquer un prêt de sauvetage vital pour éviter un défaut de paiement imminent. Histoire de violence La situation sécuritaire au Pakistan - autrefois en proie à des bombardements jusqu'à ce qu'une importante répression militaire qui a commencé en 2014 ait largement rétabli l'ordre - s'est détériorée depuis le retour des talibans afghans à Kaboul. Islamabad a accusé les nouveaux dirigeants de ne pas avoir sécurisé leur frontière montagneuse, permettant aux militants de faire des allers-retours sans être détectés. La plus grande menace vient de la résurgence des talibans pakistanais, un mouvement distinct des talibans afghans mais avec une idéologie similaire, qui a fortement augmenté les attaques à faible nombre de victimes contre la police et les forces de sécurité. Pendant ce temps, la section régionale de l'État islamique – dont le nombre a été renforcé par les évasions de prison en

Afghanistan en 2021 – a revendiqué une attaque contre une mosquée minoritaire chiite à Peshawar qui a fait 64 morts, l'attaque terroriste la plus meurtrière au Pakistan depuis 2018. Les détectives ont déclaré que le kamikaze était un exilé afghan qui était rentré chez lui pour s'entraîner à l'attaque.(À l'exception du titre, cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de NDTV et est publiée à partir d'un flux syndiqué.)

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etiennelouisjuste · 2 years

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Déclaration de Gareth Bale 🎙️ Après mûre réflexion, j'annonce ma retraite immédiate du football de club et international. Je me sens incroyablement chanceux d'avoir réalisé mon rêve de pratiquer le sport que j'aime. Cela m'a vraiment donné certains des meilleurs moments de ma vie. Le plus haut des sommets sur 17 saisons, qui sera impossible à reproduire, peu importe ce que le prochain chapitre me réserve. De ma toute première touche à Southampton à ma dernière avec LAFC et tout le reste, a façonné une carrière en club pour laquelle j'ai une immense fierté et gratitude. Jouer et être capitaine de mon pays 111 fois a vraiment été un rêve devenu réalité. Montrer ma gratitude à tous ceux qui ont joué leur rôle tout au long de ce voyage, semble impossible. Je me sens redevable à de nombreuses personnes d'avoir aidé à changer ma vie et à façonner ma carrière d'une manière dont je n'aurais jamais pu rêver quand j'ai commencé à 9 ans. A mes anciens clubs, Southampton, Tottenham, le Real Madrid et enfin LAFC. Tous mes anciens managers et entraîneurs, le personnel de l'arrière-salle, les coéquipiers, tous les fans dévoués, mes agents, mes incroyables amis et ma famille, l'impact que vous avez eu est incommensurable. Mes parents et ma sœur, sans votre dévouement à ces débuts, sans une base aussi solide, je n'écrirais pas cette déclaration en ce moment, alors merci de m'avoir mis sur cette voie et de votre soutien indéfectible. Ma femme et mes enfants, votre amour et votre soutien m'ont soutenu. Juste à côté de moi pour tous les hauts et les bas, me gardant ancré en cours de route. Tu m'inspires à être meilleur et à te rendre fier. Alors, je passe avec anticipation à la prochaine étape de ma vie. Une période de changement et de transition, l'occasion d'une nouvelle aventure… #etiennnelouisjuste https://www.instagram.com/p/CnOsqiuOZog/?igshid=NGJjMDIxMWI=

#etiennnelouisjuste

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cleopattes · 2 years

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On en est rendu où dans le réchauffement climatique en 2023? GES, (sur)consommation d’énergie… et digressions polémiques!

Avant-propos: je vous partage dans cette série de capsules mes réflexions par rapport à quelques livres et autres lectures exposant une pensée environnementale. Nous y parlerons développement durable, de changements climatiques mais aussi du fonctionnement général de Mère-Nature. Le tout sera agrémenté de données chiffrées et vérifiées, et peut-être aussi d’une touche d’humour.

Depuis la période de référence préindustrielle (1850-1900), la réponse est 1,15 °C, selon l’agence météorologique mondiale, agence spécialisée des Nations Unies. Beaucoup ou peu? Regardez juste le graphique ci-dessous…

L’accélération est très forte depuis les années 1980. Le rapport de novembre 2022 ajoute sans cérémonie : « 2015 to 2022 are likely to be the eight warmest years on record ». Si vous frissonnez encore un petit peu, sachez que les sept dernières années dans l’Arctique ont été les plus chaudes depuis 1900 (données de décembre 2022, Courrier International rapportant les données de l’agence NOAA). Voici ci-dessous une photo rafraichissante d’Alaska.

On ressent ce réchauffement climatique dans notre quotidien, année après année. Entre 2007 et 2014, j’ai été capable d’entretenir une patinoire extérieure sur le gazon entre les derniers jours de décembre et début mars en Montérégie, les enfants ont adoré. Après ces années, j’ai renoncé à l’idée, les périodes de pluie et de dégel se multipliant. Dans la même veine, nous avons effectué un voyage en 2005 puis en 2019 dans l’Ouest Canadien, particulièrement le long de la Icefields Parkway. Devant le recul manifeste des glaciers, j’avais finalement pris mes clichés des panoramas en sépia la seconde fois, jugeant le mode plus approprié à la nouvelle situation.

Il existe cependant des phénomènes naturels observés dès la fin du 19ème siècle et début du 20ème, tel que souligné dans le livre The Sea Around Us de Rachel Carson. Ainsi, le changement des courants marins en Atlantique Nord provoqua une redistribution des grandes masses d’eau chaude autour de l’Islande et du Spitsbergen (voir la photo ci-dessus d’un de ces glaciers), avec un recul de tous les glaciers de cette région à cette époque. La température de la mer le long des côtes norvégiennes augmenta d’ailleurs au cours des années 1920. Parmi les effets collatéraux, citons les déplacements de populations de certaines espèces de poissons vers le nord et des pêcheries y étant liées. On évoqua aussi une augmentation des activités solaires et un autre patron de circulation des vents du sud influant sur lesdits courants en question. La planète Terre connaît certes un réchauffement depuis la fin de la dernière glaciation du pléistocène, mais les « autres agents au travail » sont indéniablement humains, on le sait aujourd’hui, ce qui n’était qu’hypothèses il y a encore quelques décennies.

Pour revenir à Rachel Carson, elle avait donc su alarmer l’opinion publique par rapport aux DDTs en 1962. Elle faisait certes mention auparavant à des pratiques de pêches non durables, notamment celle du American shad (alose) dans le Potomac (photo ci-dessus). Elle n’évoquait pas encore le réchauffement climatique global ou les gaz à effet de serre (GES). L’histoire n’en était pas encore rendue à cette reconnaissance puisque des données scientifiques tangibles doivent soutenir les allégations. Pensez-y, même en 2022 - 2023 et tout ce que l’on sait sur le sujet du réchauffement et des catastrophes naturelles devenant une triste normalité, le club des « ben d’même » (référence prise à Richard Desjardins) compte encore et toujours de très nombreux membres.

1988, c’est la date à laquelle la communauté scientifique a vraiment commencé à sonner l’alarme publiquement et mondialement concernant le réchauffement climatique. James Hansen, un scientifique de la NASA, données à l’appui, livra alors en juin de cette année un plaidoyer devant le congrès américain et déclarant « Global warming has reached a level such that we can ascribe with a high degree of confidence a cause and effect relationship between the greenhouse effect and observed warming...It is already happening now …The greenhouse effect has been detected and it is changing our climate now...We already reached the point where the greenhouse effect is important. »

Quelques mois plus tard, en novembre, le « Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) », ou GIEC en français (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) fut créé à la demande du G7 et fut chapeauté par l’ONU, visant à fournir un avis sur les changements climatiques et ses impacts politiques et économiques. En 2021, 195 pays en faisaient partie.

C’est d’ailleurs le GIEC qui fournit la notion de températures préindustrielles combinées de l’air et de la mer (en surface pour les deux), soit 1850-1900. Quand on entend par exemple « objectif de 1,5 degrés Celsius » d’augmentation (ce sera allégrement fracassé de toute manière, avez-vous entendu les conclusions de la COP 27?), cela réfère donc à ces quelques décennies du 19ème siècle. La science du changement climatique est donc relativement jeune encore, mais tellement bien documentée par des expertises indépendantes. Nous détaillerons les effets de ces changements semblant irréversibles lors de la future chronique consacrée à David Wallace-Wells, The Uninhabitable Earth.

Dans l’immédiat et pour rajouter une petite couverture chauffante au propos, citons le dernier rapport du Programme Environnemental des Nations Unies, qui a fêté ses 50 ans en 2022 (visionnez la vidéo, elle est tellement instructive, en vous posant la question de ce que l’espèce humaine a commis au nom du « progrès »), vous ne trouverez pas meilleure crédibilité. Ainsi, il va comme suit : « Policies currently in place point to a 2.8°C temperature rise by the end of the century. Implementation of the current pledges will only reduce this to a 2.4-2.6°C temperature rise by the end of the century, for conditional and unconditional pledges respectively ». Je traduis : en 2100, il fera un peu plus chaud à l’Étape le long de la route 175, et vous aurez potentiellement les pieds dans l’eau salée si vous habitez encore à Montréal. J’aimerais tellement que ce soit de l’humour, mais tel n’est pas le cas.

Allons maintenant aux émissions de GES qui causent le réchauffement climatique. Selon l’UNEP, nous sommes passés mondialement de 38 gigatonnes de CO2 en 1990 à 54 en 2020, soit une augmentation moyenne de 1,1% par an (le taux de progression se réduit cependant, fiou!). On s’attend à un nouveau record en 2021, suivant la légère baisse causée par la COVID. A-t-on atteint un plateau? On l’espère vivement.

LULUCF : Land Use, Land Use Change and Forestry

Détaillons maintenant par pays selon le précité UNEP, tel qu’illustré ci-dessus, en gigatonnes de CO2 par pays, et tonnes métriques de CO2 per capita. Au-delà des chiffres et unités (c’est-tu beaucoup 9 gigatonnes vs 12?), considérons les proportions et les évolutions au cours des dernières années. Ne blâmons pas les pays émergents ou en voie d’être « développés » (je trouve le terme tellement, tellement condescendant), telle la Chine. En leur achetant leurs cossins par centaines de milliers de conteneurs par année, nous leur exportons en retour nos propres émissions de carbone et autres pollutions. Que ne ferait-on pas pour avoir sous notre sapin le dernier gadget électronique?

Selon le World Population Review, (voir l’éloquente représentation graphique ci-dessus), la Chine détenait donc la première place en tant qu’émetteur de GES en 2019 avec 9 877 millions de tonnes, juste devant les É-U avec 4 745 millions de tonnes. Le Canada, …on va éviter de donner des leçons, hein? À défaut d’être un champion du monde en soccer, cela fait toujours plaisir de se distinguer d’une manière ou d’une autre, juste en arrière des plus grands états pétroliers de la planète, en émission per capita (15,2 tonnes en 2019) : « Canada emitted 571 million tons of carbon dioxide in 2019. Canada is warming up twice as quickly as the rest of the world, despite the country's many hydroelectric dams and nuclear power plants, which do not require fossil fuels to produce electricity. Oil and gas production is Canada’s largest emitting sector, accounting for about 45% of emissions, followed by transportation, which accounts for about 28% of emissions ».

L’Empire du Milieu et ses voisins asiatiques, produisent donc beaucoup de nos objets technologiques, le Veau d’Or (excusez pour la référence seulement judéo-chrétienne, donc non inclusive) étant l’iPhone sortant notamment des usines Foxconn de Zhengzhou. Cela symbolise en mon sens les dérives du consumérisme du jetable sans égard à une éthique environnementale, tant du bord d’Apple que de ses clients qui en redemandent, matraquage du travailleur chinois en prime. C’est dit.

Quelques solutions simples? Commençons par réduire pour vrai notre consommation d’énergies fossiles, directement ou par procuration asiatique, diminuons la production de plastiques et mettons-nous enfin à réellement les recycler plutôt que de les incinérer et de les enfouir. Surtout, arrêtons le pillage des ressources naturelles, favorisant cette augmentation des GES de 1,1% par an à la gloire de la croissance économique, le seul objectif d’un toujours plus gros PIB nous tuera toutes et tous à moyen terme. Quand on ne dispose plus d’eau dans le désert, riche ou pauvre, on meurt de soif de la même manière. À ce point de ma rhétorique, je vous réintroduis la thématique de la décroissance économique, de la réutilisation, de l’économie circulaire, incluant le retour à la fabrication de biens réellement durables (exemple des électroménagers et de l’électronique…).

Cette longue chronique nous entraîne alors dans la voie de la consommation d’énergie. Vous connaissez mon point de vue, la meilleure énergie est celle qui n’est jamais produite. Initions le propos par l’historique ci-dessus depuis les années 1800, selon l’organisation Global Change Data Lab. Je pourrais vous citer d’autres sources, allant toutes dans le même sens du bâton de hockey, depuis l’après seconde guerre mondiale, le bonheur étant évidemment dans la consommation individuelle et les bains de pétrole pour soutenir le tout.

Affinons l’analyse depuis 1990. Selon Enerdata, site spécialisé en recensement de données climatiques et énergétiques « After falling by 4.5% in 2020, global energy consumption rebounded by 5% in 2021 ». Depuis 1990, les données exprimées en Mtoe (millions de tonnes équivalent pétrole) sont quand même passées de 8 404 en 1990 à 14 072 en 2021 (pétrole + charbon + gaz = 80%), soit 1,67 fois plus en 40 ans. Le Ministère de la Transition Écologique en France fournit des données similaires. Fuite en avant. La COVID n’aura été qu’une pause.

Encore avec la thématique de consommation d’énergie qui nous anime, les champions de la consommation en milliards de kWh en 2020 sont sans surprise la Chine (145,46), les É-U (87,79), l’Inde (31,98), la Russie (28,31), le Japon (17,03), puis le Canada (13,63). Observez également sur la carte les disparités en le Nord et le Sud de la planète. Pour en finir avec les statistiques, notez à titre comparatif : « In the four decades since 1980, global energy consumption doubled from 77 trillion kilowatt-hours (kWh) to nearly 155 trillion kWh ».

Le cas du Canada est intéressant, puisque chaque habitant consomme près de trois fois plus d’électricité qu’un Japonais, un Français ou un Slovène. Dans notre belle province en particulier, la fée électricité est vraiment abordable et, comme ce serait un bien commun, par extension, ce serait donc correct de la « gaspiller ». Nous chauffons allégrement nos demeures à 22 degrés Celsius, nous aimons nos électroménagers ÉNORMES, nous éclairons notre brique la nuit (juste bon pour attirer les larves de hannetons dans le gazon), bref nous adorons en brûler. La réponse récente du gouvernement provincial? Construisons de nouveaux barrages et bétonnons des milieux naturels… Expliquez-moi la logique s’il-vous-plaît. Relativisons cependant. À l’instar de l’Islande qui consacre les deux tiers de son électricité aux alumineries, le Québec en alloue 20,3% à ce secteur stratégique selon les données de La Presse. Je ne souhaite pas me fâcher avec les gens au bout de la belle route 175, j’y connais du bon monde avec qui je veux rester ami, lâ lâ. La nuance aluminière mise de l’avant, il n’en demeure pas moins qu’un petit (gros) effort citoyen sur notre orgasmique consommation électrique ne nuirait pas, n’est-il point?

Vous l’avez ressenti, je sens en forme eu égard aux comportements consuméristes de mes concitoyens canadiens et habitants de la Belle Province, dans lesquels je m'inclus. Les comportements collectifs parfois me sidèrent. De quessé que cela prend pour faire comprendre la gravité de la situation?

Vous pouvez maintenant cesser de lire cette chronique puisque je vous entraîne sur le terrain glissant de la polémique, utilisant l’exemple du transport individuel. Parlons alors de civisme et d’augmentation du nombre de VUS au Canada (La Presse, 21 décembre 2022) : « l’augmentation du nombre de VUS vient contrebalancer les baisses d’émissions attribuables aux véhicules électriques, selon Statistique Canada […] en 2021, les véhicules utilitaires sport et les véhicules multisegments atteignaient plus du tiers (37 %) des véhicules légers immatriculés, tandis que la part des voitures particulières a diminué, pour s’établir à 39 %, selon Statistique Canada. Cela retarde la décarbonation de l’économie canadienne : les VUS neufs utilisent davantage de carburant qu’une voiture neuve en raison de la résistance au vent offerte par leur cabine plus élevée, de même que par leur poids plus important qui requiert plus d’énergie à déplacer. »

Synthétisons, nul n’est contre la vertu au Canada et particulièrement au Québec. On adore notre plein air, nos paysages, la qualité de notre environnement naturel, la préservation accrue des milieux humides, et l’on tient à préserver le tout de pollutions de toutes sortes. PARFAIT. Mais dans les faits, on parle des deux côtés de la bouche.

Arrêtons d’acheter ces VUS et soyons conséquent avec notre conscience environnementale que nous aimons tant afficher. Nous sommes inondés par les publicités de camions, de type Kia Telluride (c’est un exemple, voir ci-dessus, c’est de l’humour mais pas tant) qu’on ne peut éviter, si peu que l’on ouvre la télévision à heure de grande écoute, ou pire, des RAM 1500 (grosse voix virile en prime) ou Jeep équipés de V8 de 6,4 litres consommant allégrement 18 l/100km et plus. Notre famille de quatre personnes, elle tient pareil dans une berline consommant deux fois moins et nous mène aux mêmes destinations. Le message publicitaire lobotomisant, à l’opposé total de la réalité de l’impact en émissions de CO2, valorise bien sûr avec outrecuidance le plein air et la « libarté », et le fait de se déplacer à seulement deux personnes dans l’habitacle.

La sensibilisation ne fonctionne plus, devant l’égoïsme consumériste du citoyen. Concernant ces véhicules qui détruisent notre planète à chaque tour de roue (avec une jante de 22 pouces chromée, c’est encore mieux pour l’égo du propriétaire, semble-t-il), taxons massivement les acheteurs de VUS et autres pick-up qui n’en démontrent pas un besoin impératif, bannissons complétement la publicité de ces monstres roulants comme si c’était du tabac qui nous cause un cancer environnemental, interdisons leur accès aux centres villes, pour finalement instaurer des quotas de ventes décroissants auprès des concessionnaires, avant de les ÉRADIQUER d’ici 2 ans complétement du paysage automobile. Le Kia Telluride ou autre VUS honteux, il nous empêche de respirer et de penser à un avenir durable. Soyons raisonnables avec nos choix de véhicule personnel, pour notre futur.

Les véhicules électriques ne sont pas en reste non plus, il semblerait très nécessaire qu’ils aient un maximum de puissance et de consommation pour se rendre à 100 km/h en moins de 4 secondes. Pour quoi faire au juste, interrogeons-nous sur le besoin fondamental? Arrêtons la surenchère aussi en ce domaine. Arrêtons les futilités, la superficialité et pensons à la planète, l’idéal étant de diminuer le parc automobile et l’extraction de minerais pour le produire.

En conclusion, le réchauffement climatique est installé pour de bon, à chaque jour/mois de nouveaux événements climatiques extrêmes deviennent tristement normaux, la population mondiale a doublé en 50 ans, nous ne contrôlons pas la hausse constante des GES, 80 % de nos énergies consommées est encore fossile, nous consommons de manière irresponsable (moi en premier), on brûle de l’électricité à la tout va. Face à tout cela, l’hallucinante réponse politique globale est encore et toujours la croissance du PIB, plus de gros chars (et dans des troisièmes liens électoraux!) dans les rues et des beaux barrages pour Hydro! Qu’attend-on? On attend que ce ne soit plus le temps?

Crédits photos : illustration global mean temperature, lac en Alaska, glacier du Spitsbergen, pêcheur avec 2 aloses, photos tirées du livre de David Suzuki prise par l’appareil téléphonique de l’auteur (Thierry Lagrange), illustration « How close are we to 1.5°C?, couverture « Closing Window UNEP », émissions de GES par pays et per capita, UNEP, émissions de GES par pays, World Population Review, téléphones cellulaires dans un site d’enfouissement, consommation d’énergie au niveau mondial, (1800 – 2021), consommation d’énergie au niveau mondial (1990 – 2021, en Mtoe), carte de la consommation d’énergie dans le monde en 2022, le Q d’Hydro-Québec, Kia Telluride, capture d’écran de la Tesla S avec performances.

#global warming #environment #sustainable development #green house gases #energy consumption

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christianlanden · 2 years

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CFC veut faire revivre la croisière « à la française »

La croisière « à la française » fait son grand retour dans l’Hexagone avec la Compagnie Française de Croisières (CFC). Disparue de l’horizon maritime depuis l’arrêt de Croisières de France en 2016, ce « revival » est piloté par deux professionnels du secteur, Clément Mousset et Cédric Rivoire-Perrochat, passés notamment par les compagnies Festival, Costa, NCL, Royal Caribbean, Rivages du Monde et Celestyal. Le premier assure le management et la partie commerciale de CFC, le second le marketing et l’opérationnel.

Positionnement adulte et premium

Pour ce beau projet dont les premières croisières sont programmées en février 2023, la jeune compagnie a mis la main sur un navire en cours de rénovation datant de 1993, l’ex-Maasdam d’Holland America Line de 629 cabines, rebaptisé Renaissance dont la capacité sera limitée à 1 100 passagers.

Un paquebot que les deux fondateurs présentent comme « à taille humaine » avec un positionnement adulte, senior et premium.

« Le concept a été élaboré en partenariat avec des TO, des agents de voyages et des clients », souligne Cédric Rivoire-Perrochat, qui met en avant le côté vintage et de la tradition des voyages au longs cours qui sera la marque de fabrique de CFC.

Les clients y retrouveront ainsi les spécificités qui ont fait le succès des croisières 100% francophones avec journaux de bord, noms de lieux à bord, menus, excursions et animations en français. Et même des terrains de pétanque !

Pas d’acheminement aérien pour réduire le prix des croisières

Afin de proposer un accès sans aérien, le MV Renaissance sera positionné exclusivement au départ du Havre et de Marseille. Le nouvel opérateur, arborant le pavillon français, a choisi comme siège et port d’attache la cité phocéenne, laquelle a récemment lancé une pétition anti-croisières en invoquant la pollution… La question environnementale n’a d’ailleurs pas été oubliée. « Nous avons sélectionné un paquebot qui avait été équipé par HAL des meilleures technologies en raison de ses navigations dans des eaux très réglementées comme en Alaska », précise Cédric Rivoire-Perrochat.

Les itinéraires, au nombre de 30 en 2023, seront tous différents afin de favoriser les enchaînements. « CFC ne sera pas en concurrence avec Costa ou MSC car notre paquebot effectuera des croisières plus longues, jusqu’à 11 ou 13 nuits », précise Clément Mousset. Si les tarifs sont dégressifs avec des paliers à 190 et 90 jours du départ, le prix de moyen est estimé à 240 euros par jour et par personne avec les pourboires.

Destiné notamment aux groupistes, un tarif Prio très attractif est également proposé, payable à 100% à la réservation et non remboursable. Les excursions et les forfaits boissons seront en supplément, payables à bord pour les passagers individuels. Si le paquebot est dédié aux plus de 18 ans, les familles seront aussi de la fête avec sept croisières intergénérationnelles » programmées durant les vacances scolaires avec des animations dédiées.

La qualité des itinéraires, plus que le volume

Des accords seront passés prochainement avec les réseaux et agences online concernant la commercialisation de cette offre dont les ventes débutent cette semaine, le site BtoB devant être opérationnel dans les prochains jours. Présent sur le prochain salon IFTM Top Resa, CFC disposera à terme d’une vingtaine de salariés dont dix commerciaux partagés entre deux directions commerciales, au Nord et au Sud de l’Hexagone.

La Compagnie Française de Croisières espère transporter 34 000 passagers pour sa saison originale en 2023 et 26 000 l’année suivante. Une baisse due à la programmation de croisières particulièrement longues en année 2. La première, du 8 janvier au 7 mai 2024, proposera ainsi d’accomplir le tour de l’Afrique en 120 nuits, 28 pays et 50 escales. Si le succès est au rendez-vous, les deux associés épaulés par le fonds d’investissement Cheyne Capital n’excluent pas d’exploiter un jour un second navire.