#concours littéraires
Explore tagged Tumblr posts
Text
Ok ok post en français.
Est-ce qu'on a des khâgneux.se.s dans la salle ???
svp :c
sinon je vais twitter mon sel sur #ensos :c
nobody wants that
1 note
·
View note
Text
Hello tout le monde,
Un immense merci à Yasmina et Kenza du compte @Lire_entre_soeurs sur Instagram pour l’organisation de ce concours 🎉🎁
Vous avez jusqu’au 16 décembre pour participer et tenter de gagner 7 lots !
Toutes les modalités se trouvent sur leur poste 😊
Vous pouvez gagner un exemplaire ebook de « Soixante centimètres d’écart ! » entre autres 😉
Bonne chance à vous 🍀
#concours#concours livre#lecture#lire#livre#livres#liseuse#ebook#romance contemporaine#livraddict#romcom#romance ya#comedie romantique#lecture d'automne#bouquin#lectrice#lecteur#soixante centimètres d'écart#chronique littéraire
0 notes
Text
La Nature ne pense qu’à ça ! – Concours littéraire
Félicitations à tous les participants !
La 12e édition du concours de nouvelles du Muséum d’histoire naturelle de Toulouse a connu un beau succès ! Le Muséum a, en effet, enregistré à la clôture des participations, le mardi 2 janvier 2024, près de 150 contributions en provenance de la France métropolitaine, mais pas seulement. Une sélection de jolie facture qui continue de s’ouvrir à l’international en transitant par des pays tels que la Belgique, le Cameroun, l’Italie, le Québec ou la Suisse !
Un grand bravo aux lauréats !
Le jury s’est réuni le jeudi 11 avril 2024 afin de tenir sa délibération désignant les 6 lauréats auxquels s’ajoute un Prix spécial du jury. La sélection a été âpre et les débats animés !
Mais c’est sans compter sur le professionnalisme du jury, heureux d’annoncer les résultats suivants, dans les 2 catégories adulte et jeunesse :
1. Palmarès dans la catégorie auteurs adultes :
1er prix : « À l’abordage» de Gérard BASTIDE (81240)
2e prix : « Un si bel endroit » de Pierre-André MARTIN (14000)
3e prix : « Le goût du blanc » de Philippe FRÉMONT (31400)
Les 19 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie adultes étaient : “L'été sans cigale" de Zoé AUBRY (24000), "Ah ! Le bonheur" de Chloé BAHUAUD (44000), "Transes-positions" de Jean-Pierre BEAUFILS (30250), "Romance anti-cafard" de Marlène BERTRANINE (92600), "Beaux et fragiles" de Sébastien BOULADE (31400), "L'échappée belle" d'Emmanuel BROC (32600), "L'homme d'en face" de Marie-Christine DELAUCHE (75005), "Je suis la Vouivre et je le resterai" de Sabine GENTY (11420), "Mille millions de Figaro" de Thomas GHIBAUDO (13580), "La Trompette des anges" de Jocelyn HÉRITIER (07400), "Ondine" de Jacques LAGNEAUX (Belgique), "De rerum natura" de Raphaël LE MAUVE (17000), "L'Homme de la montagne d'en haut" de Jean-Luc MERCIER (66160), "Jean-Calude Gasoil ne pense qu'à ça" de Monique NICQUE (34110), "Prendre son pied par les cornes" de Pierre POISSON (81000), "Tchechihila" de Nathalie QUQUE (31140), "Sex machine" de Chantal REY (82000), "Thisbé et Pyrame, les amants légendaires" d'Anne-Marie RICHOU (31770), "Les escarpins" d'Anne RODES (93100).
2. Palmarès dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans :
1er prix : « Dead Flowers » de Louise CONFAIS (31560)
2e prix : « Marrante l’amante » de Marius SANTRAN (33800)
3e prix : « Un amoureux transi » d’Abel PAPAIX (31410)
Les 3 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans étaient : "Les Pasiphaés" de Juliette GORIAUD (31460), " Au fil des fourmis" de Maïa HELFER (Suisse) et "Félin pour l'autre" de Margaux POQUET-BELLELE (31130).
3. Le Prix spécial du jury :
« Romance anti-cafard » de Marlène BERTRANINE (92600)
Retrouvez le billet d’annonce des résultats sur le Facebook du Muséum : Facebook du Muséum de Toulouse
Le muséum va très bientôt e-publier le recueil des nouvelles lauréates. Les premiers prix des 2 catégories (Gérard Bastide et Louise Confais) seront lus à voix haute le samedi 8 juin 2024, dans l’auditorium du Muséum, lors de la rencontre littéraire et de la remise des prix aux 6 lauréats et au Prix spécial du jury.
Un grand merci au jury !
Jessica Arduin (Psychologue clinicienne), Laëtitia Bartholome (Service Expositions, Muséum), Audrey Bonniot (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Caroline Chevalier-Galant (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Évelyne Cocault (Comédienne de Théâtre amateur), Astrid Conan (Relation Visiteurs-Billetterie support qualité, Muséum), Christel Dubois (Professeure d'anglais, auteure), Lucie Ferlet (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Nelly Faria (Service Offre Commerciale, Muséum de Toulouse), Caroline Poincheval (Étudiante et ouvreuse, théâtre national de Bordeaux en Aquitaine), Marie-Noëlle Jornat (Philosophe, lectrice), Florence Lamotte (Directrice commerciale chez Piktos), Lolita Lorenzon (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Gaëlle Mahé (Lectrice et auteure), Sylvie Marquez (Association Toulouse Polars du Sud), Bernard Meyer (Docteur en Philosophie, enseignant, comédien), Serge Nicolo (Écrivain, Régisseur des Collections, Musée Paul Dupuy), Cristina Noacco (Auteure, maître de conférence en littérature médiévale), Cédric Pignat (Écrivain, enseignant, lecteur), Julien Philippe (Professeur-documentaliste) et Emmanuelle Viguié (Graphiste, dessinatrice, lectrice).
Au plaisir de vous retrouver et d’échanger avec vous samedi 8 juin, au Muséum de Toulouse !
3 notes
·
View notes
Text
Je suis diplômée d’un M2.
Ma cérémonie de remise de diplôme est passée, j’étais émue en repensant à ces années d’études qui n’ont suivi aucun chemin tracé.
Collège douloureux. J’étais une élève moyenne, malgré beaucoup d’efforts pour apprendre et faire des exercices interminables. Je m’obstine à vouloir aller en lycée général pour ne pas être dans les bizarres, et de toute façon je ne savais pas ce que je souhaitais faire comme métier autre que travailler dans les livres.
Lycée général. C’est horrible, j’ai des difficultés pour avoir la moyenne. Je rêve d’une première littéraire, mais mon niveau en langue ne me le permet pas. Je demande à redoubler. Je redouble après être passé devant une commission. Ça ne s’améliore pas. Je m’obstine à vouloir faire une première littéraire, mon père décide que c’est un échec et que ça ne sert à rien d’aller jusqu’au bac si c’est pour sortir avec un dossier moyen au mieux et au pire mauvais qui me fermerait les portes des études que je souhaite. C’est la crise, c’est difficile, mais je comprends.
Je ne vais pas en première générale comme mes copines dans une « branche » comme S L ou ES, je vais en bac pro esthétique.
Bac pro. En seconde. Je suis une des plus âgées. Je me sens nulle et finalement je m’épanoui à fond. Les professeurs me valorisent, je me sens entendue, je me passionne pour la théorie, mais je suis très moyenne en pratique. Ce nouveau lycée est à 1h20 en train de chez mes parents. Les allers-retours chaque jour sont épuisants, surtout les jours de pratique avec ma valise de matériel. De la deuxième à la troisième année, je suis en colocation avec une camarade, je ne rentre chez mes parents que le week-end. Découverte de l’autonomie, c'est à la fois difficile mais très agréable !
Mes professeurs m’encouragent à faire des études après… je vis en Bretagne à ce moment-là, et je rêve d’un BTS sur Versailles reconnu dans le secteur de la cosmétique de part sa spécialité.
J’ai peur. Je quitte ma famille et mes amies par ambition d’une carrière dont je n'aurai peut-être pas le niveau ? Après tout, j'ai échoué en général. J’ai mon bac mention très bien et les félicitations.
Mes parents me soutiennent, on trouve une solution. Je réussis les épreuves d’entrées, je choisis l’alternance pour ne pas être une charge pour la famille.
BTS. Le salaire est trop faible pour vivre seule, je choisis de vivre chez l’habitant. Mon père m’y emménage avant la rentrée, je pleure beaucoup et il part en étant fort pour moi qui doute.
C’est difficile, l’habitante chez qui je vis est âgée. Elle est très oppressante et méchante. Je suis à 1h de mon travail, être en boutique est épuisant, mais je tiens bon. J’ai de bons résultats, j’économise la première année pour prendre un appartement seule. Je peux enfin déménager, mon père m’aide à m’installer dans ce nouvel appartement, j’achète mes premiers meubles avec mes économies. C’est un incroyable souvenir !
Je n’aime pas la relation en magasin, mais mes collèges sont incroyables, j’apprends beaucoup de choses avec les formations marques et je suis trop mauvaise comme esthéticienne. Alors je décide de continuer mes études. Je découvre la joie de parcour sup, je fais des vœux, je dois expliquer pourquoi je quitte le chemin qui me mène au monde du travail pour continuer mes études. Je ne suis pas prioritaire sur les vœux. Finalement, j'obtiens la licence de mon choix, après un entretien de motivation sur mon intérêt pour la communication et le développement durable.
Licence. Je trouve une alternance au dernier moment, dans une entreprise que j’admire. J’apprends beaucoup en entreprise, bien plus qu’en cours. Je suis à 2h de train de mon école, mais ce n'est pas grave ce n’est qu’un an. Je déteste mes cours, je n’y apprends rien d’utile. Mais j’adore ce que je fais en entreprise. Je décide de continuer les études pour me spécialiser en communication. Je cherche un master en alternance, pour ne pas faire de prêt étudiant. Je n’ai pas le niveau pour faire le concours pour une passerelle en école de commerce, notamment à cause de mon niveau en langue. Mais je peux faire une école privée. Je réussi le concours d’entrée de justesse.
Mastère. Je quitte une entreprise de mon secteur de cœur pour une alternance dans le service public. Mes cours sont passionnants, tres stimulants aussi bien les intervenants et les camarades. L’entreprise beaucoup moins. Et surtout, il y a beaucoup de mépris pour mon métier, aucun intérêt pour mes explications, du harcèlement. J’ai envie de tout arrêter. Je tiens pour valider mes études. J’ai un accident de travail suite à de la négligence, j’aurai des acouphènes toute ma vie suite à ça. Je me forme à côté pour palier le manque d’intérêt de mon entreprise avec des cours gratuits.
Je suis maintenant diplômée, et en poste dans une startup géniale. J’y suis épanouie et reconnue pour mes compétences.
Alors vraiment, croyez en vous, tenez bon ! Vous êtes capables de tout, suivez vos rêves ! Même si ce n’est pas sur un chemin tracé d’avance, aucune étude ne vous fermera des portes tant que vous travaillerez et resterez motivé.
( et l’alternance, c'est vraiment génial pour savoir si un métier est fait pour vous)
8 notes
·
View notes
Text
21 octobre
hier soir au resto avec e. j. et s. je suis redevenue un peu lesbienne, je sentais que j. qui était assise à côté de moi sur la banquette me faisait de l'effet, malgré son prénom infortuné. elle était tournée vers moi avec son bras posé le long de la banquette comme les hommes qui aiment prendre de la place et ça me donnait envie de me rapprocher tout près d'elle. j'étais un peu partie sur un début de delulu parce qu'elle était hyper souriante et attentionnée envers moi et que c'était le deuxième soir de suite qu'elle proposait de me ramener en voiture alors que là on était à bonnevoie et qu'y avait le tram juste à côté, mais heureusement la delulu s'est arrêtée au moment où on s'est dit au revoir quand elle m'a laissée sortir en haut de la rue, sans avoir eu le temps de dégénérer comme avec les deux personnes précédentes. pas de nouveau couplet à ajouter à ma chanson sur mes delulus donc.
je l'ai enfin postée sur ig cette semaine et r. l'a likée et m'a écrit YEAH, son compliment signature, et je me suis demandé s'il avait saisi que je parlais de lui, vu qu'il a fait aucun commentaire. peut être qu'il l'a même pas regardée jusqu'au deuxième couplet. ou peut être qu'il s'en fout. comme il se fout que je vienne à bruxelles le weekend prochain. je lui ai demandé s'il voulait aller à une lecture d'ariana reines et il m'a dit qu'il avait sa fille, mais je sentais que ça l'arrangeait bien. il m'a même pas demandé jusqu'à quand je restais ni rien. je crois qu'il veut pas me voir. ou pire, il en a rien à foutre. ce matin on discutait pendant qu'il était dans son lit à faire la grasse matinée et il m'a envoyé une photo de sa fille et j'ai dit c'est qui et pendant que je m'entraînais à chanter ma chanson de saturne au piano en me filmant il a répondu c'est ma fille WESH et ça m'a fait éclater de rire et j'ai du arrêter la vidéo mais je l'ai gardée précieusement parce que je me vois pas souvent rire comme ça. je voulais la lui envoyer mais je me suis dit que mon rire était peut être exagéré par rapport au niveau de drôlerie de sa phrase et j'avais peur qu'il voie dans mon rire que je rigole parce que je l'aime un peu trop que ce que je devrais.
22 octobre
quelqu'un vient de me dire que j'écrivais bien sur tumblr. vendredi en recopiant le passage où je revois la mort j'ai réalisé que je devais urgemment faire quelque chose où j'avancerais jamais et j'ai googlé la psy qui a dans la rue d'à côté et j'ai vu qu'elle faisait de l'emdr et qu'elle était spécialisée dans les traumatismes, la sexualité et l'attachement HALLO je l'ai appelée dans la foulée mais ça répondait pas et j'ai oublié de la rappeler. mais c'est un progrès. vendredi soir au resto j. a mentionné son rendez-vous chez le psy de jeudi, absolument tout le monde va voir un psy et j'arrive pas à croire que ça fait plus de six ans que je me promène librement dans la nature sans suivi psychologique, c'est un miracle que je sois toujours en vie franchement. enfin en vie, peut être pas justement, puisque d'après la thérapeute que je suis allée voir une fois y a deux ans j'étais quand même à moitié morte. mais est-ce que la psychothérapie m'aurait rendue à la vie? à la vie full time je veux dire. la vie à plein temps. est-ce que je suis en vie à plein temps là en ce moment? comment savoir?
24 octobre
bon je fais plus jamais de manifesting parce qu'à chaque fois que je me laisse avoir par ces conneries c'est le contraire de ce que je manifeste qui se produit: non seulement je vais pas en islande pour le feff et donc je vais pas revoir a., mais en plus mon scénario n'a pas gagné le concours littéraire national!!! ni le premier prix, ni le deuxième, ni même le troisième, rien. unbelievable. ça y est ça reprend. pourquoi je m'étais persuadée que j'allais gagner ces 5000 euros? pourquoi la delulu me poursuit dans tous les domaines? heureusement que j'ai jamais pris mes billets pour l'islande. a. m'a dit qu'il voulait venir me voir l'été prochain pour qu'on fasse des films ensemble, pourquoi il est obligé de vivre à des millions de kilomètres et pourquoi je connais personne qui veut faire des films avec moi ICI goddammit. pourquoi la vie est si mal foutue?
j'étais tellement déçue que j'ai fermé mon ordi d'un coup sec et je me suis roulée en boule sur le canapé et puis j'ai rouvert mon ordi pour regarder un épisode de the morning show pour me consoler, mais une fois l'épisode terminé j'ai senti que la tristesse et la déception commençaient à faire place à la colère alors j'ai refermé mon ordi et je suis sortie faire un tour. un grand tour. je marchais en faisant la gueule. en rentrant j'ai annoncé sur ig que j'avais pas gagné comme j'aurais annoncé que j'avais gagné, parce que mettre ses peines au grand jour c'est comme mettre du giroflier sur une dent qui fait mal, ça apaise la douleur instantanément. plein de gens ont liké mes stories et j'ai eu la validation dont j'avais besoin. réseaux sociaux magiques. parfois. r. m'a dit qu'il voulait lire mon scénario et j'ai commencé à regretter d'avoir dit deux fois que c'était un chef d'oeuvre parce que what if it isn't? et s'il est nul en fait?
j'étais en train de regarder harry potter à la télé et on a commencé à discuter de notre passion commune pour harry quand on était petits et il m'a avoué qu'il avait un énorme crush sur daniel radcliffe dans le 3 à l'époque et il m'a envoyé la photo qui l'avait troublé en la voyant dans un magazine. je voulais lui demander s'il était bi mais j'ai pas osé alors je lui ai demandé s'il le trouvait toujours attirant maintenant et il a dit euh non. j'ai très envie de continuer cette conversation un jour où il sera pas minuit et qu'il devra pas aller faire son yoga de bonne nuit.
5 notes
·
View notes
Text
Ça y est, notre croisière de deux nuits dans la baie de Lan Ha a été âprement négociée et payée un lobe de foie et demi chacune, nous propulsant ainsi à une classe supérieure. Contraintes de nous conformer à notre nouveau rang, nous avons donc décidé de sacrifier également un rein pour nous offrir une soirée fromage dans la capitale. C'est donc dans l'attente de notre plateau de fromage, pizza 4 fromages, et pizza à la burrata que nous vous écrivons ces quelques mots.
Cette journée fut plus remplie que les précédentes (et moins humide). Nous commençons par le palais impérial, en fait détruit presque totalement et pas vraiment reconstruit : il est désormais constitué de bâtiments coloniaux et de bunkers ayant servi pendant la guerre. Il reste une porte d'époque...on est loin de la cité interdite de Pékin !
On part ensuite visiter le temple de la littérature, un ensemble de bâtiments ayant servi à former les médecins et hauts magistrats du royaume pendant des siècles. Au XVe siècle, y logeaient 300 étudiants, sélectionnés lors de 3 concours successifs (provincial,régional, puis national). Il était d'ailleurs mentionné que les étudiants récalcitrants s'exposaient à des peines diverses, allant des coups de bâtons à la décapitation. Franchement, ça vaut bien la Sorbonne (modèle réduit)! Avec plus de vert, il y a de grands jardins et des bassins, ils ont la belle vie les littéraires de l'époque.
Ceux qui réussissaient le concours étaient immortalisés pour l'éternité sur ces jolies tablettes.
A noter qu'ils aiment bien les tortues ici, puisqu'une tortue géante d'une espèce presque disparue (il reste 6 individus sur la planète) habitait dans le lac de Hanoï jusque très récemment. La légende raconte même qu'elle aurait fourni une épée magique à l'empereur pour défendre le pays contre les envahisseurs chinois. Ci dessous, la tortue du lac d'Hanoi momifiée.
On découvre également le concept de l'imprimante à l'époque : ils gravaient les décrets royaux sur des tablettes en bois, trempaient ça dans l'encre et tamponnaient sur du papier !
Ils ont même des ateliers calligraphie pour les non initiés.
A l'époque, il y avait un mélange de trois religions : bouddhisme, taoisme et confucianisme. C'est cette religion qui avait plus ou moins gagné (les trois vivaient en harmonie, ça fait du bien), le temple est donc dédié à Confucius.
Nous sommes finalement allées voir un spectacle de marionnettes sur l'eau, au grand désespoir de Dr Rathatton, qui a la sensibilité artistique d'une tortue momifiée.
Note : c'était très mignon.
3 notes
·
View notes
Text
J’aime bien faire ce post chaque nouvelle année, dire au revoir à l’ancienne et faire un mini bilan.
Cette année, pas mal de changements pour moi. Nouvelle librairie et nouvel endroit de travail, nouveau rythme, nouvel appartement, nouvelle bibliothèque. J’ai dit au revoir à mes collègues que j’aimais de tout mon cœur, à la librairie où j’ai passé 4 belles années, et à une partie de moi. Mais c’était nécéssaire, et je ne regrette pas ! Aujourd’hui, je peux enfin commencer à travailler sans me mettre trop de pression.
Au niveau littéraire, j’ai fait beaucoup de jolies découvertes et de chouettes relectures. Beaucoup de livres lus — j’ai réussi mon challenge, et j’en ai même lu beaucoup plus que ce que j’avais prévu !
Et à un niveau plus personnel, je retiens la grande fierté d’avoir osé participer à un concours de roman, et de m’être dans les 10 finalistes (hiii !) sur plus de 300 participants. Je n’ai pas gagné, mais ça m’a motivée pour me remettre à écrire, et ça, ça n’a pas de prix.
Bonne année à toustes ✨
0 notes
Text
Guiguess Editions lance le concours littéraire "Lire au Lycée"
C'est avec un grand plaisir que nous vous annonçons le lancement du concours littéraire "Lire au Lycée avec Guiguess Editions"
Date : 15 octobre 2024Moulvoudaye, Cameroun – Guiguess Editions, leader dans l’édition et la promotion de la littérature en Afrique, est fier d’annoncer le lancement de la première édition de son concours littéraire annuel, “Lire au Lycée avec Guiguess Editions“. Pour cette 1ère édition, ce concours vise à encourager la créativité et l’écriture chez les élèves des lycées et CETIC de…
0 notes
Text
Culture | L’étudiante haïtienne Taïna Fleury lauréate du Prix RFI -AUF des jeunes écritures 2024
Issue de l’Université d’État d’Haïti, l’étudiante Taïna Fleury a remporté la 6e édition du concours littéraire “Prix RFI -AUF des jeunes écritures” organisé par l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), Radio France Internationale. Au départ, ils étaient plusieurs centaines participants à la 6e édition du concours international destiné aux jeunes talents littéraires, mais au final, c’est…
0 notes
Text
Vous pouvez m'aider à gagner des livres ahah c'est le concours Kube
0 notes
Text
Gilles Marchand, auteur du très beau roman Le soldat désaccordé était présent mardi 26 mars au lycée de Haute Auvergne pour rencontrer les élèves de 2de 5, dans le cadre du prix littéraire des lycéens et apprentis Auvergne-Rhône-Alpes.
Ce prix, organisé par la Région, avec le soutien de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes et le concours d’Auvergne-Rhône-Alpes Livre et lecture, propose aux élèves de goûter au plaisir de lire, de découvrir des romans et bandes dessinées contemporaines francophones et d’exercer leur esprit critique.
Un narrateur, sans nom ni âge ni description physique (une sorte de soldat inconnu pour chaque lecteur), ancien combattant de 14-18, blessé sur le champ de bataille devient enquêteur à la fin de la guerre pour aider les familles qui recherchent un soldat disparu.
Parmi ses nombreuses recherches, une enquête plus particulière va absorber beaucoup de son temps : un fils, Emile, soldat, a disparu en 1917.
Pour écrire ce roman, Gilles Marchand a fait de nombreuses recherches, lu ou relu les grands auteurs témoins de la grande guerre (Maurice Genevoix, Henri Barbusse, Erich Maria Remarque…), visionné quelques films et documentaires.
L’échange a amené l’auteur à donner quelques clés de lecture aux élèves, à ouvrir leur réflexion sur le pouvoir et la force de la fiction qui perpétue ici le devoir de mémoire.
Enfin les élèves ont lu les lettres qu’ils avaient écrites. A leur manière, ils ont retrouvé les lettres perdues, égarées par le temps ou la folie des hommes, permettant ainsi aux protagonistes de s’aimer, et au livre de faire son chemin dans l’imaginaire de chacun.
0 notes
Text
Si vous êtes un auteur passionné par la promotion de votre livre, vous savez sûrement à quel point une bonne couverture médiatique peut propulser votre œuvre vers de nouveaux horizons. Les médias sont des outils puissants pour atteindre un public plus large et susciter l'intérêt pour votre livre. Voici dix stratégies simples mais efficaces pour obtenir la couverture médiatique que votre livre mérite. 1. Commencez par une Planification Solide Avant de chercher à contacter les médias, élaborez une stratégie détaillée. Identifiez votre public cible, créez un kit média avec des informations pertinentes sur votre livre, comme un résumé accrocheur, des citations et des visuels attractifs. 2. Utilisez les Réseaux Sociaux à Votre Avantage aq plateformes sociales sont des outils formidables pour attirer l'attention des médias. Partagez des extraits captivants de votre livre, engagez votre audience avec du contenu exclusif et interagissez avec des influenceurs ou des journalistes pour susciter leur intérêt. 3. Écrivez des Communiqués de Presse Engageants Rédigez des communiqués de presse percutants et personnalisés pour chaque média. Mettez en avant ce qui rend votre livre unique et intéressant. Soyez bref, clair et informatif. 4. Ciblez les Médias Appropriés Identifiez les médias qui s'alignent le mieux avec le thème ou le sujet de votre livre. Cibler des blogs, des magazines ou des programmes spécialisés peut augmenter vos chances d'obtenir une couverture médiatique pertinente. 5. Proposez-vous pour des Interviews et des Articles Invités Offrez-vous pour des interviews ou des articles invités. Partagez vos connaissances et votre passion pour votre sujet. Ces opportunités offrent une visibilité précieuse et renforcent votre crédibilité. 6. Organisez des Événements de Lancement Organisez des événements de lancement attractifs. Invitez des médias locaux, des blogueurs influents et des personnalités de votre domaine pour couvrir l'événement et créer du buzz autour de votre livre. 7. Faites Appel à des Services de Relations Publiques Engagez des professionnels des relations publiques spécialisés dans le domaine littéraire. Leur expertise et leurs contacts peuvent ouvrir des portes vers des opportunités de couverture médiatique. 8. Offrez des Exemplaires Gratuits aux Médias Proposez des exemplaires gratuits de votre livre aux médias susceptibles d'en faire la critique. Des critiques positives peuvent susciter l'intérêt d'un plus large public. 9. Exploitez les Prix et Concours Littéraires Participez à des prix littéraires ou des concours. Les récompenses et les nominations peuvent attirer l'attention des médias et accroître la notoriété de votre livre. 10. Restez Persévérant et Réactif La persévérance est la clé. Soyez patient et réactif aux retours des médias. Suivez chaque opportunité qui se présente et adaptez votre stratégie en conséquence. En somme, obtenir une couverture médiatique pour votre livre nécessite de la planification, de la créativité et de la persistance. En suivant ces dix conseils simples, vous pouvez maximiser vos chances de faire briller votre livre sous les feux des projecteurs médiatiques. N'oubliez pas, chaque opportunité est une porte ouverte vers de nouveaux lecteurs et de nouvelles aventures pour votre livre.
0 notes
Text
CONCOURS LITTERAIRE “Être(s) immortel(s)” : annonce des résultats !
Félicitations à tous les participants !
La 11e édition du concours de nouvelles du Muséum d’histoire naturelle de Toulouse a suscité un véritable engouement ! Un plébiscite qui a dépassé les prévisions les plus optimistes que ce soit dans la catégorie des adultes avec 244 nouvelles ou celle des moins de 18 ans avec 82 nouvelles au compteur. Le Muséum a, en effet, enregistré à la clôture des participations, le mardi 3 janvier, plus de 326 contributions en provenance de la France métropolitaine, mais pas seulement. Une sélection de belle facture qui, de la Guyane à la Réunion, en passant par le Congo, Singapour, l'Allemagne, l’Italie, la Belgique ou encore la Suisse, continue de s’ouvrir à l’international !
Un grand bravo aux lauréats !
Le jury s’est réuni le jeudi 27 avril 2023 afin de tenir sa délibération désignant les 6 lauréats. La sélection a été rude et les débats très animés ! Mais c’est sans compter sur le professionnalisme de ce jury aux multiples sensibilités qui est heureux d’annoncer les résultats suivants, dans les 2 catégories adulte et jeunesse :
1. Palmarès dans la catégorie auteurs adultes.
1er prix : « Mare nectaris » de Julien PHILIPPE (21120) 2e prix : « Glaz et le dictionnaire des homards » de Colin MAILLARD (75006) 3e prix : « Ad vitam aeternam (pour la vie éternelle) » de Jessica ARDUIN (31300)
Les 17 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie adultes étaient : « Un homme ordinaire » de Danielle ALLOZA (81000), « Le rond des marronniers » de Stéphanie AUBERT (49230), « Le patriarche éternel » de Daniel BAS (69430), « Une épreuve d’amour » de Bruno BAUDART (34140), « L’Oiseau d’Héliopolis » d’Anthony BOULANGER (28260), « Éternels complices » d’Emmanuel BROC (32600), « Assoiffée » de Sylvaine COLLART (31100), « Les ragots de la méduse » de Laura CORREDOR (33600), « Lettre de revendication » de Laurent FORTIER (14123), « Roches éternelles » de Margaux GRELLETY (78018), « Mémorial » de Marie-Claire HAGUET (09120), « La tombe de Gengis Khan » d’Olivier LALYR (42000), « Rhum arrangé » de Marie MAILLOT (94300), « Le passage » de Gérard MEGRET (45110), « La colère de la terre » de Noémie OBERDISSE (13790), « Amour benthique » d’Anna Valérie REICH (31520), « Le prix de l’immortalité » de Catherine TAREL-BERLEMONT (59890)
2. Palmarès dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans.
1er prix : « All The Madmen » de Louise CONFAIS (31560) 2e prix : « La Chute » de Daphné LAMANDÉ-MORANT (53200) 3e prix : « Un voyage éternel » de Timothy LOMBARD-KIRCH (25000)
Les 8 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans étaient : « La Bonne action » de Camille BUXTORFF-MULLER (12000), « Immortalité... Quelle horreur, quelle beauté » d'Esther FARES (31520), « Vie tranquille d'un immortel » de Tymothé FOISSAC-FERRÉ (31410), « Feu » de Lola GINESTE (31410), « Dark Moon » de Juliette GORIAUD (31460), « Vampire Slayer Academy » de Madenn GOURIO-DUBREUIL (81800), « Celle qui vécut » de Luna PASTOR (81710), « Silence » de Chloé RAFFANEL (12510)
Le Muséum va e-publier les nouvelles lauréates.
Les deux premiers prix des 2 catégories seront lus à voix haute le samedi 10 juin 2023, dans l’auditorium du Muséum d’histoire naturelle de Toulouse, lors de la rencontre littéraire et de la remise des prix aux différents lauréats.
Un immense merci aux membres du jury !
Laëtitia Bartholome (Service Expositions, Muséum), Lydie Bottier (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Laetitia Bouchama (Directrice de la médiathèque Mémo, Montauban), Audrey Bonniot (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Caroline Chevalier-Galant (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Évelyne Cocault (Comédienne de Théâtre amateur), Astrid Conan (Relation Visiteurs-Billetterie support qualité, Muséum), Christel Dubois (Professeure d'anglais), Lucie Ferlet (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Fanny Fourrier (Pôle Intermezzo, Médiathèque José Cabanis), Caroline Goursat (Étudiante, libraire), Florence Lamotte (Directrice commerciale chez Piktos), Sylvie Marquez (Association Toulouse Polars du Sud), Bernard Meyer (Docteur en Philosophie, enseignant, comédien), Serge Nicolo (Écrivain, Régisseur des Collections, Musée Paul Dupuy), Cristina Noacco (Auteure, maître de conférence en littérature médiévale) et Cédric Pignat (Écrivain, enseignant, lecteur).
Au plaisir de vous retrouver et d’échanger avec vous, samedi 10 juin, au Muséum de Toulouse !
Crédit : Laurent Koëss - Muséum de Toulouse
3 notes
·
View notes
Text
Il a pris cher, le livre, en quelques décennies. Pour s’évader dans la fiction, il y a les séries en streaming. Pour bricoler, des tutos. Pour comprendre les sciences, Youtube. Pour se distraire, les réseaux sociaux. Pour découvrir l’Histoire, il y a Wikipédia et pour traduire un mot, les dictionnaires en ligne. Pour situer le Soudan, Google Earth. Il y a moins de plans dans les voitures, moins d’encyclopédies ou de guides touristiques sur les étagères… Et moins de livres dans le quotidien des ados. Comment s’en étonner ? Comment ne pas faire le lien avec la baisse du niveau de lecture des adolescents? L’étude PISA 2022, publiée début décembre 2023, montre que les compétences en lecture des adolescents de 15 ans en Belgique ont effectivement baissé. La pandémie y est probablement pour quelque chose, c’est une tendance constatée dans bon nombre d'Etats sondés, mais en Belgique la descente s’est amorcée bien avant le Covid. Quelles en seraient les raisons ? Qu’en disent les intéressés ? Dans cet épisode de "Zoomer ! La génération Z au micro", des adolescents nous parlent des concurrents des livres dans leurs quotidiens et de leurs répulsions ou passions pour la lecture. Ils évoquent la façon dont leurs parents leur ont parfois balisé ou compliqué l’accès au livre. Ce podcast les rejoint dans des univers littéraires bien à eux, sur TikTok #Booktok où les lectrices s’enflamment, dans le plaisir du manga ou du roman jeunesse, ou celui d’écrire son propre récit. Et pas de doute, il y a bien du relief derrière la descente statistique de l’Etude PISA. "ZOOMER ! La Génération Z au micro" est un podcast qui écoute les jeunes Européens de la Génération Z, ceux que la presse anglophone surnomme "Zoomers". Un surnom inspiré de "Boomers" avec le Z de 'Zoom', allusion à l’agilité digitale de ceux qui sont nés entre 1997 et 2010, avec les réseaux sociaux. Ce podcast La Première/Euranet Plus est à écouter sur Auvio et sur vos plateformes de podcast habituelles. Avec les jeunes lauréats du concours de nouvelles de la Compagnie Albertine, l’autrice Geneviève Damas, les 5es du Lycée du Berlaymont (Waterloo), le romancier Xavier Deutch (via l’opération "Auteurs en classe"), la libraire Aline Pornel au milieu des livres, Zoé et Léa Manosalva du Club Manga de la bibliothèque de Nivelles et les conseils du Prix Farniente. Suivez toute l’actualité européenne avec EuranetPlus, le premier réseau d’information européenne.
1 note
·
View note
Text
21 avril
l’autre jour je pensais à l’été dernier, quand j’avais peur qu’après desire lines à lasauvage, après p.a.r.t.s à bruxelles et après archa à prague tout s’arrête et que je retombe dans le trou, et maintenant on est en avril et j’y suis toujours pas retombée. je viens de gagner le concours jeune printemps du printemps des poètes et les deux programmateurs littéraires de la kulturfabrik m’ont dit de leur envoyer des textes pour organiser une lecture, ça y est, je suis validée par la scène littéraire luxembourgeoise et j’ai la tête qui tourne d’avoir trop de projets.
et puis mercredi, le jour de la remise des prix du concours, 1. j’ai appris que j’avais gagné le premier prix 2. j’ai reçu un message de natalie qui me disait que sa coloc sous-louait sa chambre pendant six mois et que si je voulais je pouvais la prendre pour passer l’été à berlin et j’ai dit OUI mais depuis j’ai plus de nouvelles et j’essaie de faire comme si ça allait pas marcher parce que j’ai trop peur d’être déçue, berlin étant la championne du monde toutes catégories confondues pour me décevoir, et puis 3. r. d. le musicien m’a dit qu’il aimerait bien me rencontrer pour discuter en vrai la prochaine fois que je serais à bruxelles. et depuis dans ma tête c’est les montagnes russes. je suis complètement zinzin. d’abord ça s’est passé exactement comme avec ludvig. il me fait penser à lui parce qu’ils sont tous les deux musiciens et ils ont tous les deux un peu la même vibe, et j’ai eu exactement la même réaction de recul qu’avec ludvig à l’époque, parce qu’il met beaucoup de points d’exclamation dans ses phrases et qu’il a l’air un peu... zinzin. mais je crois que je projette mes propres insécurités sur les autres. alors j’ai mené ma petite enquête et au lieu de travailler cet après-midi j’ai épluché son compte fb devant les téléfilms de tf1, après-midi la plus saine du monde, j’ai appris qu’il avait beaucoup d’ami.es, que c’était le frère de p. du workshop au tictac center, qu’il avait l’air bien entouré, que son père avait une photo d’oiseau en photo de profil comme le père de cybille, pourquoi tous mes crush ont des pères ornithophiles? et puis quand je suis arrivée en 2018 j’ai vu une photo d’un bébé dans les bras d’une femme dont on voyait pas la tête avec un million de commentaires de félicitations et de voeux de bonheur et mon coeur est brutalement tombé par terre. j’avais pas du tout envisagé ça. c’était complètement incompatible avec l’histoire que je m’étais racontée dans ma tête. il a une FAMILLE? je me l’imaginais en train de m’envoyer des memes sur ig à minuit dans son lit à côté de sa compagne la mère de sa fille et je comprenais plus rien du tout. et puis un peu plus loin je suis tombée sur un post où il cherchait un appart ou une coloc kid friendly pour lui et sa fille et les choses ont recommencé à faire un peu plus sens. ok mais qu’est-ce qu’il s’est passé? elle est morte?
ce matin en allumant mon portable j’ai vu qu’il m’avait envoyé un tiktok qui m’a pas fait rire et dessous il avait marqué trop cool et je me suis mise à questionner sa santé mentale et puis ce soir à la kulturfabrik au lieu d’écouter le poète chiant du liechtenstein je pensais à ce tiktok et tout d’un coup j’ai compris que le trop cool ne faisait pas référence au tiktok mais à ma réponse qui disait que je me ferais un plaisir d’aller boire un verre avec lui et ça m’a soulagée. il m’a envoyé un autre tiktok pas drôle ce soir, alors je lui en ai envoyé un drôle pour voir, mais c’est bizarre d’envoyer des memes et des tiktok à quelqu’un que je connais pas. surtout que je suis nulle en communication par envoi de memes et de tiktok. mais bon, à chaque fois que j’y pense je me mets à sourire toute seule, donc ça doit pas être très grave. c’est moi qui lui ai dit que j’aimais trop sa vibe, je sais pas ce qui m’a pris, et puis il m’a répondu qu’il me trouvait très drôle lui aussi. un autre parallèle avec ludvig: son entourage. j’ai envie d’intégrer leur petit monde d’artistes bruxellois, comme j’avais envie d’intégrer le petit monde d’artistes suédois de ludvig. ou comme j’avais envie d’intégrer le petit monde d’ami.es queer de a.
22 avril
ce soir dans la cuisine pendant que je préparais le chou kale, ou alors c’était peut être en épluchant les pommes de terre, j’ai décidé de prendre congé de l’homosexualité et du mot queer (alors que je viens littéralement de me présenter comme artiste et écrivaine queer dans la bio pour les cahiers qgf) et puis du mot lesbienne aussi, tant qu’on y est. c’est trop stressant, c’est trop usant, les filles ne veulent visiblement pas de moi, mon atelier d’écriture pour la journée de la visibilité lesbienne va sans doute être annulé parce qu’y a pas assez de participant.es, tant mieux, laissez-moi tranquille, lara est hétéro maintenant. c’est le retour en force de mon moi ado qui tombait amoureuse à tout rompre de tous les musiciens bouclés qui croisaient mon chemin, elle a patiemment attendu son heure pendant tout ce temps, tapie dans l’ombre de mon lesbianisme. par contre hier soir à la kulturfabrik j’étais habillée 100% lesbienne. peut être pour cette histoire de balance, comme à la clinique quand j’avais l’impression de me protéger de mes sentiments pour n. en m’habillant et en ayant des attitudes masculines. ça me donnait l’impression de garder une part de contrôle, et aussi je me sentais hot comme ça. j’aime séduire les garçons avec ma part de masculinité.
23 avril
il pleut il pleut et je monte au lit trop tard avec mon téléphone allumé posé à côté de moi pour guetter une réponse de r. d. et ça va pas du tout ça va pas du tout, je recommence à me monter la tête comme avec laura a. je vis dans mon illusion je me vois déjà en belle-mère de sa fille what the HECK pourquoi tout est toujours si intense avec moi? pourquoi je démarre au quart de tour? m. est arrivée cet après-midi et j’avais qu’une chose en tête c’était de lui demander si elle pouvait me faire un double de ses clés pour me les passer quand elle sera en espagne au mois de juin. je vais pas passer l’été à berlin finalement, c’était prévisible, je commence à la connaître cette petite garce.
24 avril
comment écrire sans me focaliser sur r. d.? est-ce que je nourris pas la bête avec ce stupide journal? je veux pas donner de pouvoir à la partie de mon cerveau qui fait des obsessions hardcore sur mes crush. la semaine dernière quand il m’envoyait des trucs je cringeais et maintenant à chaque fois que je checke mon téléphone j’espère que je vais voir une notif avec son nom.
4 notes
·
View notes