#comment trouver un job rapidement
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monlivrepratique · 2 years ago
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swedesinstockholm · 5 months ago
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20 mai
je me suis assise sur mon égo pour aller voir c. à vianden aujourd'hui, j'ai fait 1h45 de train et de bus, j'avais vraiment envie de le voir. il m'a dit qu'il était payé 600 euros pour les deux jours. j'aurais pu gagner 600 euros, s'ils avaient eu un semblant de goût. je lui disais que je comprenais pas comment il faisait pour vivre sans avoir de job à côté mais c'était avant de savoir qu'il était payé des sommes astronomiques comme 600 euros pour quarante minutes de lecture réparties sur deux jours ou 1200 euros pour une soirée de slam, HALLO. pourquoi j'ai pas accès à tout ça moi? j'étais d'une incroyable mauvaise foi dans le bus pour ettelbrück pendant qu'il me racontait tous ses projets et sa vie de bohème là. dehors le paysage était incroyablement vert et bleu et il avait sa jambe collée contre la mienne et je pensais à l'état dans lequel je serais si c'était le jambe de r. et en même temps j'essayais de me concentrer sur ce qu'il me disait avec son débit rapide et son contenu dense. parfois j'avais du mal à suivre et je me demandais si c'était à cause de la maladie de lyme qui me grignote le cerveau. mais peut être que j'arrivais pas à comprendre ce qu'il me disait parce que je me suis trop laissée endoctriner par maman et sa valeur travail. il faut travailler lara.
je lui ai dit que je voulais peut être faire hôtesse de l'air et il a dit qu'il aimerait vivre dans un monde où personne serait obligé de faire autre chose que ce qu'iel veut vraiment faire. y a pas longtemps j'ai écouté une émission de poésie sur france culture où quelqu'un disait que quand on écrit de la poésie on a deux voies qui s'ouvrent à nous: ou on travaille à côté, ou on multiplie les activités liées à l'écriture qui paient mieux que la vente des livres, comme donner des ateliers d'écriture, faire de la performance et de la scène et accéder aux bourses de ces disciplines-là qui sont plus généreuses que dans la littérature, etc. j'ai dit à c. que j'étais probablement obligée de me trouver un vrai travail parce que je suis pas faite pour la vie de projets, j'ai pas assez d'énergie de vie pour ça. je suis probablement faite pour moisir dans un bureau de fonctionnaire.
dans heroines kate zambreno parle du trouble borderline de zelda fitzgerald, même si ça n'existait pas à l'époque, et je m'y suis tellement reconnue que j'ai checké les symptômes, il faut en cocher au moins cinq sur neuf mais je sais pas si j'en coche quatre ou cinq parce que je suis tellement dissociée de moi-même qu'y a des trucs que j'arrive pas à évaluer. hier soir j'étais d'une humeur massacrante et à un moment christine a évoqué l'année prochaine et j'ai dit que je serais plus à la maison l'année prochaine et elle a dit tu seras où? et j'ai dit je sais pas peut être que je serai morte et puis je me suis demandé si j'étais allée trop loin et j'ai passé cinq minutes à essayer de ravaler mes larmes.
je me disais aussi que même si par miracle les sentiments de r. à mon égard changeaient, sortir avec lui, ou avec n'importe qui d'autre d'ailleurs, serait probablement une gigantesque bombe à retardement, vu que sais pas gérer mon hypothétique trouble. enfin si justement, je sais me gérer, j'ai pas de comportements dangereux ni impulsifs et je fais jamais de crises de colère, qui sont tous les trois des symptômes importants. je me suis jamais auto-mutilée non plus et j'ai jamais eu envie de le faire, mais je me dis que ça s'exprime peut être autrement chez moi, comme le fait que je me laisse pas vivre par exemple. le fait que je m'interdise tout. c'est aussi une sorte d'auto-mutilation, non? au lieu d'exploser j'implose, j'avale et je ferme ma gueule. mais peut être que dans ce cas il s'agit d'un autre trouble. dans tous les cas j'essayais de me consoler avec ça, comme d'habitude, je me cache de la vie derrière la maladie, véritable ou inventée.
j'aimerais avoir la santé mentale de c. c. il glisse sur la vie comme son tshirt blanc et son jean levis parfaitement coupés glissaient sur son corps lundi, son corps droit et long et fin et ferme. alors que moi je reste coincée dans les recoins comme la graisse qui s'accumule dans les canalisations mal foutues de l'appart du grau d'agde. mon tshirt blanc et mon pantalon d'homme sont déformés par mon maintien de vieillarde qui tend vers le sous-sol et par mes seins mes hanches et mes cuisses gorgées d'eau infusée de mes traumas. je sais qu'il a pas eu une enfance facile lui non plus, mais ses traumas à lui ne se voient pas.
quand je lui ai dit que je devais aller faire une lecture à paris en juin mais que je trouvais personne pour m'héberger il a sorti son téléphone et il a écrit à son amie s. qui habite à st. denis pendant qu'il descendait les escaliers en bois de la vieille maison abandonnée transformée en musée éphémère et puis quand je suis rentrée il m'a envoyé son contact en disant le lâcher-prise ça paie toujours! parce qu'on en avait parlé cet après-midi et qu'il disait qu'il croyait pas au talent, juste au lâcher-prise. peut être que ce qu'il veut dire c'est le culot. avoir du culot. et y aller.
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aurianneor · 1 year ago
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Le logement
Comment se fait-il que se loger soit si cher que ce soit à l'achat ou à la location? Pourquoi les gens sont-ils obligés de payer alors que "le droit au logement est un droit humain." Avec peu de moyens financiers, il est difficile de trouver un logement abordable et de bonne qualité. (https://www.humanrights.ch/fr/nouvelles/droit-humain-logement)
Dans les villes, les prix ont explosé. Elles sont devenues inaccessibles pour une partie de la population. Alors que les campagnes se vident du fait qu'il n'y a plus de services publics ou de moyens de subsistance (pas d'emploi). (Carte des prix moyens au m² par commune des ventes de maisons et d'appartements en 2020: https://www.data.gouv.fr/fr/reuses/carte-des-prix-moyens-au-m2-par-commune-des-ventes-de-maisons-et-dappartements-en-2020/) Pourtant, les propriétaires ou les vendeurs de biens ne produisent pas de la richesse. Ils ramassent celle des autres. Les employeurs doivent augmenter les salaires pour suivre les coûts du logement. Les employés doivent réduire leurs autres postes de dépenses pour pouvoir payer alors que ce sont eux qui produisent la richesse. Le nombre de repas servis aux restos du coeur explosent ainsi que les demandes de logements sociaux.
La réponse de l'Etat est de payer toujours plus cher pour construire des logements et tous les gouvernements du monde entier défiscalisent la production de logement pour implorer les propriétaires d'en construire plus. Ces propriétaires sont ceux qui paient le moins d'impôt. L'immobilier, c'est la poule aux oeufs d'or pour les propriétaire et un gouffre financier pour les autres qui paient ainsi deux fois. De plus, comme les gens sont obligés d'habiter de plus en plus loin de leur lieu de travail , cela crée de la fatigue et de la pollution et des coûts supplémentaires du fait des prix de l'essence. Et en échange, les gens sont dans des logements en mauvais état, trop petits et construits en béton sans isolation phonique. Ces bâtiments se délabrent rapidement, polluent et ils ne sont pas faits pour le bien-être de vivre mais pour maximiser les profits.

Comme dans l'alimentation, il faut arrêter de subventionner les habitants pour qu'ils reversent ensuite directement ces aides aux propriétaires. Cela revient à donner de l'argent public aux propriétaires! Il faut contrôler les prix pour loger les gens. Dans les années 70, en occident, les gens remboursaient leurs logements en 10 ans. De plus, il faut remettre des services publics performants dans tout le territoire: des routes, des hôpitaux, de la police, des piscines, des écoles, etc. Enfin, il faut que dans les campagnes, il y ait des fermiers. Avant la seconde guerre mondiale, 40% de la population travaillait dans les fermes. Il faut arrêter d'utiliser des machines et des produits chimiques pour compenser une main d'oeuvre qui pourrait être utilisée dans les champs. Il faut des prix d'achat justes aux fermiers utilisant la permaculture bio. Dans tous les pays industrialisés, des fermiers utilisent une main d'oeuvre d'immigrés illégaux dans de très mauvaises conditions pour s'en sortir.
Le revenu de base universel est nécessaire. Aujourd'hui, sans travail il n'y a pas de subsistance ni de dignité. On a des réglementations qui créent des "bullshit jobs" comme l'affirme David Graeber (https://fr.wikipedia.org/wiki/Bullshit_jobs). Les gens sont ainsi obligés de se loger en ville. On a plutôt besoin de bras dans les campagnes pour créer une alimentation saine qui est elle aussi un droit humain. (https://www.humanrights.ch/fr/pfi/fondamentaux/en-bref/couverture-minimum-vital/droit-a-lalimentation/) En temps de guerre, quand les hommes étaient des soldats, le pays tournait avec la seule main d'oeuvre des femmes et des vieux. Avec la robotisation, il y en encore moins besoin de main d'oeuvre. (Eloge de l'oisiveté - Bertrand Russell: https://fr.wikipedia.org/wiki/Éloge_de_l%27oisiveté). Il faut redistribuer la richesse au lieu de la concentrer dans les mains des plus riches.
Le combat d’une lanceuse d’alerte contre les dérives de la défiscalisation locative - Le Monde: https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2019/02/12/le-combat-d-une-lanceuse-d-alerte-contre-les-derives-de-la-defiscalisation-locative_5422456_1653578.html
Crise du logement - Le Devoir: https://www.ledevoir.com/crise-du-logement
POINT DE VUE. « L’avenir des villes dépend de plus en plus de l’avenir des campagnes »- Ouest France: https://www.ouest-france.fr/reflexion/point-de-vue/point-de-vue-lavenir-des-villes-depend-de-plus-en-plus-de-lavenir-des-campagnes-5f7cff50-7d93-11ee-9e40-5131acac1bc0
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Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Isolation phonique: https://www.aurianneor.org/isolation-phonique-le-silence-est-dor-et-comme/
Les intermédiaires: https://www.aurianneor.org/les-intermediaires/
Le bio de masse est une impasse: https://www.aurianneor.org/le-bio-de-masse-est-une-impasse/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Comment regagner la confiance?: https://www.aurianneor.org/comment-regagner-la-confiance/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
L’écoterrorisme: https://www.aurianneor.org/lecoterrorisme/
Commerce équitable et bio: https://www.aurianneor.org/commerce-equitable-et-bio/
Stop au tout-béton: https://www.aurianneor.org/stop-au-tout-beton/
J’ai déménagé: https://www.aurianneor.org/jai-demenage/
Le revenu de base, c’est possible: https://www.aurianneor.org/le-revenu-de-base-cest-possible-the-instrument/
“I once calculated that I did about one thousand hours of work in the three years I was at Oxford-an average of an hour a day. I am not proud of this lack of work. I’m just describing my attitude at the time, shared by most of my fellow students”.: https://www.aurianneor.org/i-once-calculated-that-i-did-about-one-thousand/
“It doesn’t make sense to hire smart people and then tell them what to do; we hire smart people so they can tell us what to do”: https://www.aurianneor.org/it-doesnt-make-sense-to-hire-smart-people-and/
Le goût et la santé: https://www.aurianneor.org/le-gout-et-la-sante-savoir-lire-les-etiquettes/
4-day workweek: https://www.aurianneor.org/4-day-workweek/
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christophe76460 · 1 year ago
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LE LIVRE DE JOB
Dans le domaine des études bibliques, il existe cinq livres qui sont généralement classés sous la rubrique « littérature de sagesse » ou « livres poétiques de l’Ancien Testament ». Ce sont les livres des Proverbes, des Psaumes, de l'Ecclésiaste, du Cantique des Cantiques et de Job. Parmi ces cinq livres, l’un se démarque par un relief audacieux, manifestant des différences significatives par rapport aux quatre autres. C'est le livre de Job. La sagesse que l’on trouve dans le livre de Job n’est pas communiquée sous forme de proverbe. Le livre de Job traite plutôt de questions de sagesse dans le contexte d’un récit traitant de la profonde angoisse et de la douleur atroce de Job. Le décor de ce récit se situe à l’époque patriarcale. Des questions ont été soulevées quant à l'intention de l'auteur de ce livre, s'il était censé être le récit historique d'un individu réel ou si sa structure de base est celle d'un drame avec un prologue, y compris une scène d'ouverture au ciel, impliquant un discours entre Dieu et Satan, et passons au point culminant à l'épilogue, dans lequel les profondes pertes de Job au cours de ses épreuves sont reconstituées.
Quoi qu’il en soit, au cœur du message du livre de Job se trouve la sagesse permettant de répondre à la question de savoir comment Dieu est impliqué dans le problème de la souffrance humaine. À chaque génération, des protestations surgissent pour dire que si Dieu est bon, alors il ne devrait y avoir ni douleur, ni souffrance, ni mort dans ce monde. Parallèlement à cette protestation contre les mauvaises choses qui arrivent aux bonnes personnes, on a également tenté de créer un calcul de la douleur, par lequel on suppose que le seuil de souffrance d'un individu est directement proportionnel au degré de sa culpabilité ou au péché qu'il a commis. . Une réponse rapide à cette question se trouve dans le neuvième chapitre de Jean, où Jésus répond à la question des disciples concernant la source de la souffrance de l’aveugle-né.
Dans le livre de Job, le personnage est décrit comme un homme juste, en fait l’homme le plus juste que l’on puisse trouver sur terre, mais dont Satan prétend qu’il est juste uniquement pour recevoir les bénédictions de la main de Dieu. Dieu a mis une haie autour de lui et l'a béni plus que tous les mortels, et en conséquence le Diable accuse Job de servir Dieu uniquement à cause de la généreuse récompense qu'il reçoit de son Créateur. Le défi vient du malin pour que Dieu enlève la barrière de protection et voit si Job commencera alors à maudire Dieu. Au fur et à mesure que l’histoire se déroule, les souffrances de Job progressent rapidement, de mal en pis. Sa souffrance est si intense qu'il se retrouve assis sur un tas de fumier, maudissant le jour de sa naissance et criant de douleur incessante. Sa souffrance est si grande que même sa femme lui conseille de maudire Dieu, afin qu'il puisse mourir et être soulagé de son agonie. Ce qui se déroule plus loin dans l’histoire, ce sont les conseils donnés à Job par les amis de Job, Eliphaz, Bildad et Tsophar. Leur témoignage montre à quel point leur loyauté envers Job est creuse et superficielle, et à quel point ils sont présomptueux en supposant que la misère indicible de Job doit être fondée sur une dégénérescence radicale du caractère de Job.
Au cœur du message du livre de Job se trouve la sagesse permettant de répondre à la question de savoir comment Dieu est impliqué dans le problème de la souffrance humaine.
Les conseils de Job atteignent un niveau plus élevé avec quelques idées profondes d’Elihu. Elihu donne plusieurs discours qui contiennent de nombreux éléments de sagesse biblique, mais la sagesse finale que l’on trouve dans ce grand livre ne vient pas des amis de Job ou d’Elihu, mais de Dieu lui-même. Lorsque Job exige une réponse de Dieu, Dieu répond par ce reproche : « Qui est celui qui obscurcit les conseils par des paroles sans connaissance ? Habillez-vous pour l’action comme un homme ; Je t’interrogerai, et tu me le feras savoir » (Job 38 : 1-3). Ce qui résulte de cette réprimande est l’interrogatoire le plus intense jamais posé à un être humain par le Créateur. Il semble presque à première vue que Dieu intimide Job, dans la mesure où il dit : « Où étais-tu quand j'ai posé les fondations de la terre ? (v. 4). Dieu soulève question après question de cette manière. « Pouvez-vous attacher les chaînes des Pléides ? Ou perdre la ceinture d'Orion ? Pouvez-vous conduire les Mazzaroth à leur époque, ou pouvez-vous guider l'ours et ses enfants ? (v. 31-32). Évidemment, la réponse à ces questions rhétoriques qui surviennent à la vitesse d’une mitrailleuse est toujours : « Non, non, non ». Dieu martèle l’infériorité et la subordination de Job lors de son interrogation. Dieu continue avec question après question sur la capacité de Job à faire des choses que Job ne peut pas faire mais que Dieu peut clairement faire.
Au chapitre 40, Dieu dit enfin à Job : « Celui qui trouve des reproches contestera-t-il le Tout-Puissant ? Celui qui discute avec Dieu, qu’il réponde » (v. 2). La réponse de Job n’est pas une demande provocatrice de réponses à sa misère. Il dit plutôt : « Voici, je ne compte que pour peu ; que dois-je vous répondre ? Je pose la main sur ma bouche. J'ai parlé une fois et je ne répondrai pas ; deux fois, mais je n’irai pas plus loin » (v. 4-5). Et encore une fois, Dieu reprend l'interrogatoire et va encore plus profondément dans l'interrogatoire rapide qui montre le contraste écrasant entre la puissance de Dieu, qui est connu dans Job sous le nom d'El Shaddai, et l'impuissance contrastée de Job. Finalement, Job avoue que de telles choses étaient trop merveilleuses. Il dit : « J'avais entendu parler de toi par l'ouïe de l'oreille, mais maintenant mon œil te voit ; c’est pourquoi je me méprise et je me repens dans la poussière et la cendre » (Job 42 : 5-6).
Ce qui est remarquable dans ce drame, c’est que Dieu ne répond jamais directement aux questions de Job. Il ne dit pas : « Job, la raison pour laquelle tu as souffert est pour ceci ou pour cela. » Ce que Dieu fait plutôt dans le mystère de l’iniquité d’une souffrance si profonde, c’est qu’il répond à Job par lui-même. C’est la sagesse qui répond à la question de la souffrance – non pas à la réponse à la raison pour laquelle je dois souffrir d’une manière particulière, à un moment particulier et dans une circonstance particulière, mais sur quoi repose mon espoir au milieu de la souffrance.
La réponse à cette question vient clairement de la sagesse du livre de Job qui est en accord avec les autres prémisses de la littérature sur la sagesse : la crainte du Seigneur, la crainte et le respect devant Dieu, sont le début de la sagesse. Et lorsque nous sommes confus et confus par des choses que nous ne pouvons pas comprendre dans ce monde, nous ne cherchons pas toujours des réponses spécifiques à des questions spécifiques, mais nous cherchons à connaître Dieu dans sa sainteté, dans sa justice, dans sa justice et dans sa miséricorde. . C’est là la sagesse que l’on trouve dans le livre de Job.
- R.C. Sproul
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pandora--rpg · 1 year ago
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Chiaki Yamada
♀ ¤ 19ans ¤ Hétéro ¤ Célibataire ¤ Universitaire ¤ Call girl
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Histoire
3e fille d'une grande fratrie, Chiaki a dû se débrouiller dans la vie pour pouvoir payer ses études universitaires en médecine, ses parents ne pouvant payer au vu de la grande famille et des nombreux enfants. Commençant par des petits jobs d'étudiant, la jeune femme comprit bien vite que cela n'allait pas payer les frais d'études assez rapidement, et donc, qu'il lui fallait trouver autre chose, qui paie bien sans pour autant faire autant d'heures, car en médecine, il faut pas mal étudier pour y arriver.​ Ce fut son amie d'enfance, Sakura, qui lui parla d'une agence pour devenir call-girl, c'est simple, cela rapporte assez bien, il n'y a pas besoin d'être en contact avec ces interlocuteurs et cela peut même être fait par texto pendant les pauses ! Un job idéal si on n'est pas aussi coincé à ce niveau-là qu'est Chiaki, et puis, comment les gens la regarderait s'ils apprenaient, comme le prof qu'elle aime la verrait si ça se sachait ? N'ayant pourtant pas le choix, après plusieurs mois dans ses petits boulots qui payait que le tier de ces études, Chiaki finit par accepter ce boulot, créant même chez elle, une double personnalité, plus ouverte, plus coquine qui n'en déplaît pas chez certains hommes, se faisant ainsi une assez bonne clientèle, assez pour pouvoir payer ses études ainsi qu'un petit loft hors du campus ! Et cela ne s'arrêta pas là, cette personnalité, adorant tellement ce jeu de séduction, finit par se créer un petit compte pour sa clientèle où elle poste des photos sexy d'elle, parfois habillée en soubrette, ou encore en petit chat, ... mais ne chercher pas à la reconnaître, car cette personnalité, qui ne veut en rien ressembler à l'autre, met une perruque pour avoir les cheveux bleus ainsi que des lentilles de contact pour atténuer ses yeux rouges d'ordinaire. 
Aimerez-vous la jeune petite fille frêle qui aime son prof ou préférez-vous l'audacieuse Chiaki, ouverte à toute proposition ?
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¤ Human version ¤ Human version
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pdj-france · 1 year ago
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Image: CandywriterParmi les défis de Bitlife, très peu sont plus difficiles à relever que le Cosmic Explorer Challenge, qui vous demande de devenir un célèbre astronaute unique en son genre connu pour être à la fois un explorateur intrépide et remporter un prix noble. Cela dit, découvrez comment terminer le défi Cosmic Explorer dans Bitlife. Comment relever le défi de l'explorateur cosmique dans Bitlife Vous pourrez terminer le Cosmic Explorer Challenge dans Bitlife en devenant un astronaute célèbre, en lançant deux sondes, en vous rendant sur Mars au moins une fois, en collectant deux artefacts spatiaux, puis en raflant un prix Noble (la version du jeu du Nobel). En relation: Comment relever le défi du miel, du miel dans Bitlife Vous pouvez découvrir des guides rapides sur la façon de compléter chacune des étapes mentionnées et donc le Cosmic Explorer Challenge dans Bitlife ci-dessous. Comment devenir astronaute Vous pourrez devenir astronaute dans Bitlife en, après avoir acheté le pack d'emplois d'astronautes, en terminant vos études secondaires, en ayant à la fois le diplôme STEM et une licence de pilote, puis en réussissant la formation technique d'astronaute. Comment devenir un astronaute célèbre dans Bitfile Vous pourrez devenir un astronaute célèbre dans Bitlife en atteignant un niveau de réputation suffisamment élevé. Vous pourrez augmenter régulièrement votre réputation en publiant des articles de recherche, en créant des liens avec vos collègues astronautes, en décodant des messages et en partant en mission. Comme le défi n'exige pas que vous remplissiez toutes les tâches dans un ordre précis, il est très probable que devenir un astronaute célèbre soit l'un des derniers que vous rayerez, puisque votre popularité augmentera progressivement au fur et à mesure que vous terminerez les autres. Comment lancer 2+ sondes Au fur et à mesure que vous travaillerez en tant qu'astronaute dans Bitlife, vous monterez progressivement les échelons et débloquerez ainsi de nouvelles fonctionnalités. Cela dit, après avoir atteint le rang de capitaine, vous pourrez lancer des sondes en vous dirigeant vers Job, puis en sélectionnant Probe. Une fois que vous avez fait cela, assemblez simplement la sonde dans le budget en utilisant les curseurs, puis sélectionnez Lancer la sonde afin de terminer la procédure. Comment participer à des missions sur Mars dans Bitlife Vous pourrez partir en expédition sur Mars dans Bitlife en atteignant d'abord le grade de Général puis en vous dirigeant vers Job puis vers des missions. Une fois à Missions, vous pourrez vous rendre sur la planète rouge en sélectionnant simplement Exploration martienne. En relation: Comment relever le défi Full Glam dans Bitlife Comment collecter des artefacts de l'espace durant chaque mission spatiale, il est possible que vous entriez en contact avec des artefacts du cosmos. Après en avoir trouvé un, ce qui incitera l'écran de découverte à s'ouvrir, vous pourrez les ramasser et les ramener sur terre en sélectionnant simplement "Pick it up". La vitesse à laquelle vous pouvez trouver des artefacts spatiaux dans Bitlife est faible, il peut donc vous falloir plusieurs missions pour obtenir les deux nécessaires pour relever le défi. Comment gagner un prix noble dans Bitlife Le moyen le plus simple d'obtenir un prix Noble en tant qu'astronaute dans Bitlife peut être fait, après avoir rejoint le programme, en vous dirigeant vers Scan, puis en sélectionnant votre planète et la fréquence de votre choix avant de publier vos découvertes. Une fois publié et si son évaluation par les pairs est extrêmement positive (plus de 90 %), votre article aura une chance d'être sélectionné par le comité Noble. Comme il n'y a pas de limite au nombre d'articles que vous pouvez rédiger ainsi qu'une garantie que votre article sera choisi, nous vous recommandons de répéter simplement la procédure et d'en rédiger autant que vous le pouvez. Ce guide a été réalisé pendant la lecture de Bitlife sur Android.
- Ce post a été mis à jour le 5 août 2023 A propos de l'auteur Franklin est écrivain et journaliste. Passionné de jeux vidéo avec plus de 3 ans d'expérience, son travail peut aussi être vu sur des sites tels que The Click, Games Atlas et Try Hard Guides. Lorsqu'il n'écrit pas, il fait très certainement pleurer son portefeuille en jouant à Gacha Games ou en mettant fin au règne des cristaux dans Final Fantasy XVI. En savoir plus sur L'Attaque du Fanboy :
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cio-orientation · 2 years ago
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Malgré la qualité de votre candidature : Ce que tu aurais dû apprendre avant ton entrée sur le marché du travail / Kenzo Dauphas-Gibot, Eva Hourdry
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Trouver une alternance, un stage ou un premier emploi peut rapidement devenir un véritable casse-tête lorsque personne ne t'apprend à candidater efficacement. Distribution de CV en masse et lettre de motivation classique, tu ne sais pas comment te démarquer aux yeux des recruteurs...
Tout cela, Kenzo l'a vécu à la sortie de ses études. Deux masters en poche mais aucune idée pour se démarquer. Résultat ? Il a mis 6 mois à trouver un premier emploi. C'est aussi ce que remarque Eva au quotidien dans son métier de recruteur : « Les étudiants ne savent pas comment se donner les moyens de leurs objectifs... et il est temps d'y remédier ».
Leur ambition ? T'aider ! Pas seulement pour trouver ton premier emploi mais bel et bien pour décrocher le job de tes rêves. Pour cela tu as besoin de méthodes. Alors, ils ont été généreux comme un triplé de MBappé en finale de Coupe du monde : cas pratiques, quiz, interviews de professionnels, entretiens avec des étudiants et plus encore...
Bien plus qu'un simple livre, ce projet concentre toutes les ressources dont tu as besoin pour démarrer sans accroc ta recherche de job. Du CV à l'organisation des recherches en passant par les templates d'e-mails, tu as tout à ta disposition pour mettre en pratique les conseils prodigués !
Alors, on le décroche ce job ?
A consulter sur place
Cote de rangement :
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ismisevy · 3 years ago
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Bon du coup :
Mon idée du Kaamelott version modern AU
Je le fais avec les personnages que je connais le mieux parce que j'ai pas envie d'inventer n'importe quoi pour les autres juste pour combler le vide, je préfère laisser ceux plus inspirés par ces personnages leur trouver des trucs qui leur correspondent vraiment 💖
Merlin c'est toujours le même Merlin mais qui a 2800 ans, il a vu ses amis se réincarner encore, et encore, et encore et ils se retrouvent tous à chaque fois. Il tient une petite boutique d'apothicaire où il pratique la médecine douce et vend de vieux remèdes de druide, tous les persos sont venus le voir au moins une fois pour régler un problème de santé et sont tous persuadés qu'ils l'ont déjà vu quelque part mais ils sont incapable de se rappeler où.
Elias on s'accorde plus ou moins tous à dire qu'il est dans le médical, à la base il était chirurgien cardiaque pour le prestige et le pognon mais il en a eu marre et s'est reconverti en cardiologue tout court et fait juste les consultations au lieu d'opérer. Avec lui y'a intérêt à venir à l'heure sinon vous êtes blacklistés de son cabinet, il est ronchon mais hyper efficace il trouve toujours ce que vous avez et les rendez vous sont hyper rapides, il a clairement pas ton temps.
Un jour une patiente lui a dit qu'elle avait soigné une grippe avec une potion de Merlin, Elias il est hyper anti médecines alternatives alors il est allé gueuler chez Merlin en lui demandant s'il avait pas honte d'arnaquer les gens, Merlin l'a reconnu et est donc resté calme, il lui a offert une tisane pour calmer les nerfs. Elias la bu et elle a étonnamment bien marché, depuis il l'emmerde plus et fait le passant qui passe devant sa vitrine de temps en temps pour voir comment va le druide.
Léodagan il a repris l'affaire florissante de son père assez jeune et mène une tentative de carrière politique à côté.
Séli elle est avocate me demandez pas pourquoi moi je dis ça lui irai trop bien, pas spécialement par besoin de justice mais pour le prestige et le pognon, malgré ça elle fait très bien son job, évidemment elle prend que les clients pétés de thune.
Léodagan et Séli sont nés en Ecosse mais se sont rencontrés et mariés en France. Ils ont faillit divorcer au moins 20 fois mais finissent toujours pas se retrouver. Ils vivent richement dans un quartier chic dans un appart hyper moderne et ont élevé leurs enfants de même, ils ont une maison de vacances dans leur pays natal.
Léodagan fraude 100% les impôts et il a des comptes en Suisse et aux îles caïman, Séli c'est son avocate et elle le défend dès qu'il est soupçonné de quelque chose
Séli elle a d'abord lâché son job pour faire mère au foyer mais elle était nulle et elle se faisait chier comme la mort du coup elle a repris sa carrière quand les gosses ont quittés la maison. Pour arrêter de subir la bouffe de Séli Léo lui a offert un Thermomix qui cuisine tout seul et ils commandent à emporter quasi tout le temps.
Yvain il étudie pour être ingénieur pour faire plaisir à son père mais il est nul ça le gave et il est au bord du burn out, il veut se réorienter en Arts mais ose pas en parler à ses parents et évite toujours la conversation. Séli garde toutes ses oeuvres d'art sur le frigo mais il en sait rien vu qu'il vient plus les voir.
Guenièvre elle est devenue maîtresse d'école contre l'avis de sa mère qui voulait qu'elle fasse de grandes études, elle est hyper douée avec les enfants même si malheureusement elle ne peut pas en avoir elle même.
Arthur il s'est reconverti dans l'humanitaire après avoir divorcer sa sugar mommy Aconia qui avait elle même divorcé de son premier mari pour l'épouser lui. Il aide surtout les enfants, il rencontre Guenièvre en faisant une intervention dans sa classe pour présenter son boulot et son association. Il a un style un peu hippie qui plaie à Guenièvre parce que ça change du monde très chic dans lequel elle a grandi et ils finissent par sortir ensemble, il finiront aussi par adopter plusieurs enfants. Léo et Séli cautionnent pas du tout leur relation, d'ailleurs Arthur il manque de peu de ruiner la carrière politique de Léodagan qui lui doit protéger son image à tout prix.
Séli elle rencontre plein des persos en les défendant au tribunal, elle a fait du pro bono pour Perceval qui se retrouve en permanence dans des magouilles sans le faire exprès parce qu'il se laisse embarquer par des vieux qui l'arnaque.
Loth c'est le concurrent direct de Léodagan en politique, néanmoins quand ils ont découvert sa relation avec sa femme au lieu de l'utiliser contre lui Séli à décider de l'aider à divorcer.
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joaniepencil · 3 years ago
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L’île de l’amour
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Chapitre 6
Résumé : Les vieux démons de Marshall refont surface.
Avertissement : 18 ans et plus. Smut, mention de maladie et de mort. Tristesse. Heureusement plein de fluff aussi! Comme toujours les photos ne m'appartiennent pas, Google est mon ami!
Durant les semaines qui suivirent, Rosie n’eut pas une seconde à elle. Les visites touristiques s’enchainaient les unes après les autres et dès qu’elle avait une minute à elle, elle en profitait pour donner un coup de main à Sarah au pub. Elle avait perdue une serveuse en pleine saison touristique. Rosie lui avait offert de la remplacer, voyant une façon de faire de l’argent de plus. Sarah à court de ressource avait accepter tièdement au départ mais Rosie avait accumulé tellement de dette qu’elle avait su la convaincre.
Elle se sentait souvent submergée et déboussolée, elle regrettait parfois de ne pas avoir prit le job à Londres le soir en fermant la porte de son studio complètement claquée.
Elle avait jeté sa carrière aux ordures pour quoi aux finales? L’image de Marshall souriant lui vint en tête. Pour une relation compliquée? Des gens qui ne l’appréciait que très moyennement et une vie de misère?
Son père était tellement fier et content que son avenir soit assuré dans une banque.
Une après-midi de pluie tandis qu’elle passait la serpillère au Shack en réfléchissant à tous les changements dans sa vie depuis 6 mois l’abattement et la déprime prirent le dessus sur son courage.
Le menton appuyé sur le manche de sa serpillière, elle regarda durant un instant la pluie tombée. La petite cloche de la porte sonna.
-On est fermé, désolée, dit-elle, les yeux dans le vague.
-Rosie? Qu’est ce que tu fais là? Lui dit Marshall. Sarah est là?
Marshall tenait dans ses mains un cageot de pomme de terre qui devait bien pesé 50 kilos dégoulinant d’eau. Rosie lui ouvrit la porte de la cuisine.
-Le plus jeune de Sarah avait mal au ventre, elle est rentrée. Elle va revenir plus tard ne t’inquiète pas. Elle ne me laisse pas toute seule ici.
Marshall entra un second cageot.
-Tu travaille ici maintenant? Tu n’es plus guide touristique?
-Je travaille ici aussi quand je n’ai pas de visite. Alors tu as de bonne récolte à se qu’on dit?
Il prit nonchalamment une tasse et se versa un café que Rosie venait d’infusé.
-Oui je n’ai pas à me plaindre. On a un bel été. Tu travaille beaucoup? Il s’appuya sur le comptoir du bar.
-Oui, je n’arrête pas beaucoup.
Elle recommença à passer la serpillère.
-C’est pour ça que tu ne me rappelle pas ?
Rosie s’arrêta de bouger. Il l’avait contacté à plusieurs reprises mais elle ne lui avait pas donné de signe de vie.
-Entre autres. Je m’excuse de ne pas t’avoir rappelé. Elle reprit le mouvement de sa serpillière. Ces temps-ci, je n’ai pas trop envie de voir des gens en dehors du boulot. Ne le prends pas personnel. Je suis simplement trop épuisée quand je rentre chez moi. Il s’approcha lentement entre les tables.
-Pourquoi tu ne prends pas une journée de congé ou deux? Ça te ferait du bien. Tu as l’air claquée, lui dit-il avec sollicitude. Rosie rit tristement.
-Je ne peux pas me permettre de prendre des journées de congés. L’argent ne pousse pas dans les arbres malheureusement. Elle continua de laver le sol. Je dois en profiter pendant que les touriste sont sur l’île.
Marshall s’approcha encore.
-Pourquoi tu as besoin de deux jobs?
-J’ai besoin d’argent c’est tout.
Marshall croisa les bras et se posta devant elle.
-Pourquoi tu as tant besoin d’argent? Ton loyer ne te coute pourtant pas une fortune…
-Qu’est ce que tu en sais? Dit-elle frustrée de cette interruption dans sa vie privé.
-L’immeuble où tu vis m’appartient. Pourquoi tu as besoin d’autant d’argent? Je peux t’aider si tu veux?
Rosie haussa un sourcil.
-Est-ce qu’il y a quelque chose qui n’appartient pas aux Syverson dans ce village?
Rosie retourna au bar en soupirant. Marshall n’avait vraiment pas l’air pressé. Il s’assit au bar devant elle pendant qu’elle lavait les verres sales. Elle grogna légèrement.
-Tu n’as pas du travail à faire toi aussi? Il haussa les épaules et prit une gorgée de son café.
-J’ai des employés. Pour une fois on peut discuter sans que tu puisse te sauver. Qu’est ce qui se passe, tu as tellement changé depuis notre rencontre. Tu as besoin d’aide?
Rosie soupira, les mains dans l’eau brûlante et savonneuse elle se mit à parler, le barrage de ses émotions refoulés céda, elle lui raconta tout.
-En octobre dernier, j’ai rencontré un homme merveilleux avec qui je me sentait tellement bien et que j’aimais à la folie… puis je me suis laisser embrumer la tête par la peur et la jalousie. J’ai fais l’erreur de le quitter… J’ai perdu mon père, j’ai perdu mon travail, j’ai refusé stupidement de retourner à Londres alors qu’on me proposait un poste parce que je croyais que ça serait facile de me trouver un travail ici mais finalement je me suis retrouvé sans emploi pendant 2 mois et demi, alors je me suis endetté, j’ai déménagé dans un minuscule studio et maintenant ma voiture est encore brisée…. Depuis novembre ma vie est une vraie piscine de merde dans laquelle j’essaie de ne pas me noyer. Et je ne parle même pas des habitants qui me déteste parce que j’ai brisé le cœur de l’homme le plus aimé du village…. Tous ce qu’il me reste c’est ma fierté alors merci mais je vais m’en sortir.
Pendant qu’elle parlait, Marshall avait fait le tour du comptoir et était venu la trouver. Il entourait doucement ses épaules et sa taille de ses grands bras. Elle le laissa faire. Cette tendresse lui faisait tellement de bien. Elle ferma les yeux et appuya sa tête sur sa poitrine. Il lui donna un baiser sur le dessus de la tête.
-Petite femme tu n’es pas seule. Lui murmura t-il en français.
Sa barbe douce effleurait sa tempe, Marshall sentait terriblement bon comme toujours. Il la tint dans ses bras pendant plusieurs minutes sans dire un mot de plus. Elle finit par se sentir moins désespérée et moins triste.
-Merci, je me sens mieux maintenant.
Il relâcha son étreinte avec un soupir et entreprit d’essuyer les verres qu’elle venait de laver.
-Je comprends que tu ne veux pas de mon aide financière mais je suis là si tu as besoin de discuter ou juste de câlins…
Rosie comprit où il voulait en venir.
-Marshall, à propos de nous deux… Ces temps-ci c’est compliqué… Tu sais comment ça c’est fini…
-Relax Rosie, je comprends. Je ne veux pas être une source de stress pour toi… On peut prendre tout notre temps. Je veux être ton compagnon. Amoureux ou non. Ça ne me dérange pas.
Rosie le regarda incrédule essayant de sonder son regard pour voir s’il se foutait d’elle juste pour l’avoir dans son lit. Bouche bée elle ne dit rien.
-Qu’est ce que tu veux de moi Rosie? Si tu veux encore de moi…
Le doute s’installa dans ses yeux.
-Bien sûr que oui! Je suis chanceuse que tu veuille encore de moi après ce que je t’ai fais. Je veux te garder dans ma vie Marshall. Je t’aime comme j’ai jamais aimé avant mais présentement … J’essaie de remettre ma vie en ordre. Je ne veux pas compliquer les choses avec ma jalousie maladive en plus… Toi, qu’est ce que tu veux? Dit-elle en le regardant dans les yeux. Son cœur battant tellement fort dans sa poitrine qu’elle crut qu’il allait l’entendre. Il lui vola un petit baiser.
-Je te veux toi, Rosie Gagné, je te l’ai déjà dis je suis dingue de toi. Je prendrais ce que tu peux me donner mais à une condition. Rosie l’écouta attentivement. Je veux que tu me fasse confiance. Je suis tout à toi, Rosie. Jamais je ne te tromperais mais en échange je veux que tu sois aussi à moi. Je sais que tu vois souvent d’autres gars… Sa mâchoire se resserra. Je déteste ça.
Rosie toucha doucement sa main sur le comptoir.
-Monogamie c’est facile mais la confiance c’est plus dure…Marshall inclina la tête en levant les sourcil. Je vais travailler la dessus. Je sais que je n’ai pas à avoir peur mais c’est les autres filles qui m’inquiète.
Le jeune homme prit ses deux mains dans les siennes.
-Quand tu te sentira trop jalouse ou que la panique t’envahira, parle moi. Peut importe l’heure qu’il est. Parle moi, appelle moi ou viens me voir. Je n’ai aucune envie que tu pète encore un plomb et que tu me quitte encore. Ça serait trop dure, Rose… J’ai cru que j’aillais devenir complètement fou. Il appuya le front sur le sien. Parle moi, crie moi dessus mais ne me quitte plus pour ça.
-D’accord… Je t’aime Marshall.
Un surplus d’émotion déborda des yeux de la jeune femme. Marshall les essuya de ses pouces et lui donna un doux baiser.
-Je t’aime aussi ma Rosie.
Il la serra très fort dans ses bras et soupira de contentement.
-Marshall Syverson! Qu’est ce que tu fais derrière mon bar?
Sarah venait d’entrer par la porte de service. Rosie se dégagea rapidement le rouge aux joues. Marshall souriant d’une oreille à l’autre en repassa de l’autre côté du bar en rajustant sa casquette.
-Tu dérange mon employée et toi Rosie ne laisse jamais cet homme rentrer dans la cuisine, il est capable de mettre le feu.
Marshall se mit à rire.
-C’est seulement arrivé une fois! Tu exagère!
-À peine! Tu m’as apporté mes pommes de terres? Dit la mère de famille les mains sur les hanches.
-Oui m’dam, elles sont dans la cuisine. Rosie donne moi tes clés.
Elle les repêcha sous le comptoir.
-Pourquoi?
Il lui tendit la main au dessus du bar.
-Je vais y jeter un œil si tu veux bien.
Elle lui donna la clé de sa mini Cooper.
-Tu es mécanicien maintenant?
Il lui fit un clin d’œil.
-Je suis fermier ma jolie, je peux tout réparer, au revoir mesdames. Je vous aimes, dit -il en sortant le sourire au lèvres.
Rosie finit de sécher les verres en souriant. Un immense poids venait de se retirer de sa poitrine. Marshall lui avait manquer terriblement.
Sarah s’appuya le dos au bar les bras croisés.
-Alors? Vous êtes de nouveau ensemble?
Rosie lui jeta un regard la brune n’avait pas l’air d’accord.
-Je crois que oui. Ça te dérange?
-Ne fais plus mal à mon frère. Il a assez souffert comme ça.
Sarah la fixa très sérieusement. Tellement que Rosie fini par se sentir mal à l’aise.
-Je vais faire de mon mieux…
Sarah fini par sourire.
-Bien. Je suis contente que tu sois de nouveau avec lui. Tu le rends heureux, il est bien avec toi ça se voit.
Rosie sourit de nouveau de toute ses dents le rose aux joues.
******************************************
Dans les semaines qui suivirent, les deux amoureux essayèrent de se voir autant que possible malgré leurs horaires chargées. Marshall essayait de lui laisser de l’espace même s’il avait très envie de la voir tous les jours. Rosie quant-à-elle essayait de lui faire plus confiance et de faire taire le monstre vert qui hurlait dans ses oreilles. Elle lui parlait beaucoup plus. Madeline essayait toujours de se mettre entre eux mais Marshall la repoussait encore et toujours.
Une nuit après une longue journée, Rosie retrouva Marshall endormit sur son canapé. Une pizza végétarienne attendait sagement son retour sur le four. Il devait l’attendre depuis un bon moment. Elle était affamée et comblée de joie.
Elle mit la pizza au four et s’approcha de son homme. Son petit canapé deux place était beaucoup trop petit pour lui. Son minuscule appartement dans les combes était surchauffé et ridiculement petit pour un homme aussi grand et large que lui. Il se cognait constamment la tête sur les poutres. Il aurait pu simplement lui dire de passer chez lui dans sa grande maison mais il lui avait fait une surprise. Sur la table reposait un joli bouquet de fleurs des champs. C’était presque trop beau pour être vrai.
Rosie se pencha sur lui et caressa sa joue. Sa barbe était plus courte que d’habitude et un peu rugueuse. Elle lui donna un baiser sur la joue. Il se réveilla.
-Tu es là, dit-il tout endormi en souriant. Il s’étira de tout son long. Il s’assit. Ton canapé est vraiment merdique tu sais.
Rosie passa à la salle de bain.
-Tu aurais pu simplement me demander d’aller chez toi.
Elle ressortit de la salle de bain vêtue uniquement d’un t-shirt gris et usé qu’il avait oublié là. Elle avait l’air minuscule dedans, il lui arrêtait aux cuisses.
-C’est ici que je l’ai laissé… dit-il en la prenant dans ses bras.
-Il est à moi maintenant, dit elle en se mordant la lèvre, elle passa les doigts sous son t-shirt. Elle lui retira son t-shirt marine et le regarda avec adoration et désir.
-Je ne me lasserais jamais de te regarder mon amour. Dit-elle en passant les mains sur son torse musclé et poilu. Il se pencha et l’embrassa à pleine bouche en caressant ses courbes douces. Il prit ses fesses à pleine mains et constata sa nudité.
-La pizza. Elle se tortilla loin de lui et sortit la pizza du four. En se relevant, elle sentit ses doigts qui parcouraient les plis de sa féminité.
-Marshall! Tu vas me brûler! Les pantalons du jeune homme étaient déjà tombé au sol. Il la prit par les hanches et la poussa loin de la surface chaude. Les doigts de Marshall firent place à son énorme engin.
-Haaa…. Enfin…. Soupira-t-elle de bonheur.
-Bon dieu chérie tu es toujours aussi trempée.
Il lui assena de grand coup de reins profond.
-C’est ta faute… Je suis folle de toi…
Quelques caresses plus tard, Marshall se vida dans les profondeurs de sa chattes chaudes et trempée.
-Depuis quand tu viens dans ma chatte? Tu n’as même pas mis de capote! Dit-elle en sentant le sperme couler le long de ses cuisses. Marshall haussa les épaules.
-J’aime te remplir et savoir que tu es pleine de moi encore un moment. De toute façon, tu prends la pilule non ?
Elle lui répondit de la salle de bain.
-Oui mais quand même. Tu devrais mettre des condoms. Ça serait plus sécuritaire et puis c’est dégueu le sperme qui coule!
-On est supposé voir personne d’autre non? Il prit deux verres et versa de la bière dedans.
- Je ne parle pas de maladie. Bien sur que je ne vois personne d’autre, je t’aime espèce de con! Elle posa deux parts de pizza dans les assiettes. Je parle de bébé. La pilule n’est pas fiable a 100%
Marshall prit une gorgée de bière.
-Ça serait si horrible si tu tombait enceinte?
Rosie faillit s’étouffé avec sa bouchée.
-Quoi?!
Marshall fit la grimace et avala un brocoli. Il joua un instant avec un bout de fromage.
-Je veux vraiment des enfants. C’est un de mes buts dans la vie, avoir une famille bien à moi. Il marque une longue pause, il prit sa main et lui dit les yeux dans les siens.
-Je … voudrais qu’on aille des enfants ensemble.
Rosie leva leur main et frotta sa joue sur le dos de sa main.
-Je vais faire tout ce que je peux pour te donner plein de bébés mon amour mais ce n’est pas garantie. On a essayer longtemps avec mon ex et ça n’a pas marché. Peut-être que je ne peux pas en avoir.
Marshall serra très fort sa main.
-Raison de plus pour les arrêter tout de suite!
Il prit une gorgé de bière.
-J’aimerais mieux qu’on attendent encore un peu. Nous ne sommes même pas officiellement ensemble … Je ..
Marshall soupira en chipotant avec sa pizza.
-Nous sommes monogame et nous nous aimons. Désolé mais je te considère comme ma copine et tu es ma propriété.
-Ta propriété? Je suis quoi? Ta jument? Marshall rit et repoussa leur assiette.
-Oui ma belle pouliche. Veux-tu monter ton étalon? Il la prit sur ses genoux. Elle mit les mains derrière sa nuque et frotta son entrejambe sur la sienne en l’embrassant.
-Tu es ma propriété Marshall Syverson autant que je suis la tienne.
La pizza fut mangée complètement froide.
Quelques jours plus tard, avait lieu le diner mensuel des Syverson qui cette fois-ci avait lieu chez Marshall. En pleine récolte, les frères Syverson donnaient un coup de main à Marshall. Les femmes préparaient le repas pendant que les hommes étaient aux champs.
Sur l’heure du repas, plus d’un remarquèrent le bonheur et l’amour évident du jeune couple.
Marshall regardait sa compagne avec adoration.
Jack, le père de Marshall dit à son fils :
-Mon garçon on dirait bien que tu as retrouvé le bonheur avec cette jeune femme. Rosie rougit en faisant la vaisselle le sourire aux lèvres.
-Oui, je crois bien que oui. J’adore cette petite femme.
Ericka, la fille de James, demanda alors à son oncle.
-Est-ce que vous allez avoir un autre bébé? Comme Louise?
En un instant l’ambiance dans la cuisine passa du tout au tout. Marshall se raidit à côté de Rosie et perdit une bonne partie de ses couleurs. La jeune femme n’y comprenait rien. Elle se pencha sur l’enfant de 6 ans et lui demanda.
-Qui est Louise, ma belle Ericka?
La petite brune haussa les épaules.
-Ma cousine Louise. Le bébé de mon oncle Marshall et tante Molly…
Marshall déglutit péniblement et continua de ranger la cuisine. Rosie le regarda les yeux ronds.
-Tu as un enfant? Marshall ne dit rien et évita son regard.
Sarah lui demanda.
-Tu ne lui a pas dit?
-Je ne peux pas, j’ai essayé mais je ne peux pas…
Rosie était complètement perdue, elle regardait Sarah, Jack et Marshall tour à tour, les autres membres de la famille semblaient s’être trouvés d’autres occupations.
-Si tu veux faire ta vie avec cette jeune femme tu dois lui dire fils.
-J’en suis tout simplement incapable. Vous le savez…
Il commençait à hausser le ton.
-Tu le dois mon garçon.
Marshall se fâcha et partie vers sa chambre, il revint un instant plus tard avec un album photo qu’il lança sur la table de la cuisine.
-Dites-lui!
Rosie savait que c’était grave, Marshall était complètement bouleversé, il mit son blouson et sortit en claquant la porte.
« Ben voyons calvaire. » En moins de 10 minutes, l’ambiance joyeuse s’était transformé en mélodrame.
-Bon sang où est Louise?
Sarah avait les yeux dans l’eau tous le monde était bouleversé. Personne ne lui répondit. Elle prit l’album photo.
Jack et Sarah se regardèrent.
-Quelqu’un doit lui dire.
Rosie ouvrit l’album et la parcourut lentement.
La première était une des photos qui avait été prise au mariage de Marshall et Molly, souriant et amoureux, ils s’étaient mis du gâteaux partout dans le visage.
La suivant Marshall tenait un test de grossesse avec un air totalement surpris. Probablement que Molly avait pris la photo à l’instant même au elle lui avait annoncé la nouvelle.
La suivante montrait Molly avec un petit ventre bombé, en sous-vêtements dans la salle de bain. Elle était très mince et plutôt pâle.
Autour de Rosie la famille Syverson discutait à voix basse. Tranquillement, elle commençait à comprendre.
La photo suivante, le jeune couple avait été pris par un professionnelle probablement pour marqué sur pellicule la grossesse de Molly. Elle portait une magnifique robe rose poudre qui moulait son petit ventre rond. Marshall vêtue d’une chemise blanche était à genou devant elle et donnait un baiser à son ventre les yeux fermés. La photo était magnifique.
La suivante avait été prise dans un lit d’hôpital en égo portrait par Marshall. Molly et lui était couché tous les deux dans le lit, Molly dormait le nez dans son cou. Marshall regardait la caméra un petit sourire triste aux lèvres, ses yeux bleus étaient rouge vif et gonflés. Molly était visiblement malade, son teint était gris, son visage était beaucoup trop maigre pour une femme enceinte. Rosie réalisa soudain qu’elle regardait les derniers moment de Molly.
L’avant dernière photo montrait Marshall tenant dans ses bras un tout petit bébé emmitouflé dans une couverture rose. Il lui donnait un baiser sur sa toute petite tête de boucle blonde.
La page suivante n’était pas un photo mais un avis de décès. La petite Louise Syverson avait vécut à peine un mois.
Rosie lâcha l’album photo qui tomba sur la table et mis ses deux mains sur sa bouche. Des frissons parcoururent tout son corps. Les larmes se mirent à couler sur ses joues.
-Qu’est ce qui s’est passé? Pourquoi Marshall n’a plus sa fille ?
Sarah lui donna un verre d’eau et l’invita à s’asseoir. Jack se mit à parler doucement.
-Durant la grossesse de Molly, son médecin à découvert un tumeur sur son sein droit. Elle avait un forme agressive de cancer… Si elle avait avortée, elle aurait peut-être pu s’en sortir mais elle ne voulait pas. Malgré les supplications de Marshall, elle a continuée sa grossesse le plus longtemps qu’elle a pu. Les médecins lui ont donné plein de médicaments pour que le bébé grossisse plus vite. Elle a accouché à 26 semaines. Son cœur a lâché. Elle n’a pas pu voir son bébé.
Jack prit une profonde inspiration.
-Qu’est ce qui est arrivé à Louise? Demanda Rosie en essuyant ses yeux. Sarah lui répondit pendant que Jack essayait subtilement ses yeux.
-Elle était trop petite, son petit cœur travaillait trop fort, ses organes ont lâchés.
Rosie digéra toute cette horrible histoire. Son cœur se serrait pour l’homme qu’elle aimait.
-Comment ce fait-il que Marshall ne soit pas devenu fou? Demanda-t-elle la tête dans les mains.
-Des heures de thérapie, des heures passés à la salle de sport, de bons antidépresseurs et sa famille autour de lui même quand il ne le voulait pas, lui dit Sarah.
-Maintenant je suis supposé faire quoi? Je ne peux pas faire comme si de rien était! Il faut que je le vois. Elle sortit comme une tempête de la cuisine et chercha Marshall. Elle le retrouva dans le garage, seul, pencher au dessus du moteur de sa petite voiture.
-Mon amour�� Il se releva mais ne se retourna pas.
-S’il te plaît ne dit rien. Je ne veux pas de ta pitié.
Rosie ne dit rien mais s’approcha et le serra dans ses bras. Il éclata en sanglots silencieux. Il ne faisait aucun bruit mais Rosie sentait tout son corps secouer de tremblements et de chagrin. Elle le serra encore plus et mit une main sur son cœur. Il mit les mains sur les siennes et les serra à lui faire exploser les os. Elle le serra contre elle longtemps jusqu’à ce que la tempête se calme. Il prit sa main et lui donna un baiser dans le creux de sa paume.
-Laisse moi travailler maintenant ma chérie.
Elle lui donna un baiser sur la nuque.
-Je t’aime Marshall Syverson, je comprends que tu ne veuilles pas en parler. Je respecte ton silence, je t’aime, je vais faire tout ce que je peux pour te donner la famille que tu mérite mon amour.
Il lui donna un autre baiser sur la main, sa voix encore plus grave lui répondit.
-Merci ma chérie.
Ce soir là, Marshall rentra très tard de son garage. Il prit sa douche et se glissa dans le lit auprès de Rosie qui dormait. Il se lova dans son dos. Elle était nue et sentait bon. Elle se réveilla quand elle sentit son érection glisser sur l’entrée de sa fente humide.
-Mon amour…
-Je t’aime Rosie, laisse moi te faire l’amour.
Lentement et tendrement, il lui fit l’amour en cuillère en la serrant dans ses bras.
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monlivrepratique · 4 years ago
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Comment trouver un emploi, job, boulot ,travail a domicile,comment travailler de chez soi https://monlivrepratique.com/comment-trouver-un-emploi-job-boulot-travail-a-domicile-comment-travailler-de-chez-soi/
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nolifetokyo · 5 years ago
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ma réincarnation en ours gainer dans un autre monde: chapitre 3
Une nouvelle journée de chasse commence après un solide petit déjeuner dans l’auberge. Je retourne à la guilde, je prends des quêtes d’extermination pour des slimes et des gobelins. Après avoir pris les quêtes au guichet, je suis retourné dans la forêt du sud-ouest. Je devais éliminer 3 slimes, et 12 gobelins. Ces gobelins sont sûrement des fuyards du village gobelin détruit hier. Je commençais par les slimes, je trouvais facilement les 3 slimes dont j’ai besoin. Je les ai facilement éliminés. Je n’ai pas de fiole pour récupérer la gelée de slime donc se sera seulement les pierres magiques. 3 petites pierres magiques, un bon début de chasse.
Maintenant, au tour des gobelins de morfler. Je cherchais des gobelins, le premier groupe croisé était des gobelins, fatigués et vulnérables. Je tuais les 5 gobelins rapidement avant qu’ils réagissent. Les gobelins affaiblis, n’ont pas eu le temps de réagir. Je récoltais les pierres magiques, crocs et carcasses. Je continuais ma recherche de gobelin, pour trouver un autre groupe de gobelin. Encore un autre groupe de 5 gobelins. Ce groupe était aussi épuisé et désorganisé. Le combat était tout aussi facile que le précédent. Et je récolte encore une fois les matériaux. Enfin je trouvais un dernier groupe de 5 gobelins. Je rentrais à la guilde en fin de matinée, avec toutes mes quêtes accomplies.
Je me suis approché du comptoir de la guilde :
« -Bonjour, en quoi puis-je vous aider ? Demanda l’employée de la guilde.
- Je souhaite rendre des quêtes et vendre le résultat de ma chasse (tends les pierres magiques). Répondit l’homme-ours.
Bien je vais les examiner. (Examiner les pierres). La quête d’extermination de slime est à 2 écus de bronze. La quête d’extermination des gobelins est à 11 écus de bronze. Les petites pierres magiques sont à 50 écus de cuivre. Les carcasses de gobelins sont à 3 écus de cuivre. Les crocs de gobelins sont à 5 écus de cuivre. (Compte le produit de la chasse). Cela vous fait 23 écus de bronze et 20 écus de cuivre. Enuméra l’employé de la guilde.
Hmm je vais vous faire confiance et je vais accepter cette offre. Dit Kumanu.
Merci de votre confiance, je vais maintenant chercher votre argent et mettre à jour votre carte de guilde. Expliqua le réceptionniste. »
Je pris mon argent, ma carte n’avait subi aucun changement. J’allai prendre mon déjeuner à la taverne de la guilde. Comme d’habitude, j’ai pris trois menus à dix écus de bronze. Avant de repartir en chasse, je me suis rendu chez un herboriste, pour acheter des fioles pour récupérer les liquides avec sa sacoche de rangement, pour 2 écus d’argent. Me voilà paré pour récupérer la gelée de slime. Cette après-midi, je pris une quête d’extermination de 25 gobelins et une quête de récolte d’herbes médicinales. Je me dirigeais vers la forêt du sud-ouest pour terminer mes quêtes et récolter des matériaux. Je réussi à abattre en trois heures, les 25 gobelins, une dizaine de slimes, récupéré les herbes médicinales. Je retournais à la guilde pour la dernière fois de la journée.
« - Bonjour Kumanu ! En quoi puis-je vous aider. Dit l’employé de la guilde. (Le même que le jour de ma monté de rang).
- Bonjour, je viens rendre des quêtes et vendre le résultat de ma chasse. Expliqua l’homme-ours.
Très bien vous avez pris une quête d’extermination de gobelin, et une quête de récolte d’herbes médicinales. Exact ? Demanda l’employé.
Oui (tends le résultat de sa chasse). Montra Kumanu.
Hmmm… (Examine les pierres magiques). Tout semble en ordre. La quête d’extermination de gobelins est à 22 écus de bronze. La quête de récoltes d’herbes médicinales est à 19 écus de bronze. Les petites pierres magiques sont à 50 écus de cuivre. Les fioles de gelée de slime sont à 4 écus de cuivre. Les carcasses de gobelins sont à 3 écus de cuivre. Les crocs de gobelin sont à 5 écus de cuivre. Pour 37 petites pierres magiques, 30 fioles de gelée, 25 carcasses de gobelins, 250 crocs de gobelins, le tout pour 73 écus de bronze et 95 écus de cuivre. Est-ce que cette somme vous convient ? Demanda l’employé de la guilde.
Oui. Répondit l’aventurier.
Je reviens dans quelques minutes avec votre argent et votre carte mise à jour. Expliqua l’employé de la guilde. »
L’employé de la guilde revint quelques minutes plus tard avec mon argent et ma carte mise à jour. Toujours aucune différence pour la carte de guilde. Je terminais enfin cette journée en allant diner à l’auberge. Je prenais encore un repas à 3 menus à 30 écus de cuivre.
Je continuais ma routine en détruisant des villages de gobelins, tous les deux jours. Les monstres réapparaissent régulièrement dans les zones dédiés, comme les différentes forêts et montagnes autour d’Hajipique. On ne sait pas exactement pourquoi mais ça à voir avec la concentration de mana et une grâce des dieux. Enfin c’est un système bien pratique, les matériaux de monstres sont la base de l’échange commerciale. Les pierres magiques sont très utilisées pour différentes tâches quotidiennes, les petites sont très utilisé comme briquet ou bien une source d’eau d’appoint. Je continuais à ce rythme pendant plusieurs mois. Une année à passer, j’ai économisé assez d’argent pour me payer une armure de fer, et une cote de maille. J’ai pu prendre du poids et augmenter mon bonus. Ma carte de guilde mise à jour :
Nom : Kumanu
Rang : E
Espèce : Homme-Ours
Age : 17 ans
Job : Paladin glouton
Niveau 10
Titre : [Elu du Dieu Hédoniste]
Compétences raciales : « immunité forte », « endurance amélioré », « récupération amélioré »
Compétences : « la graisse c’est le meilleure », « la graisse iso-thermique », « l’adaptabilité à l’environnement », « maniement de hallebarde niv 6 », « débitage niv 5 »
vitalité
525 +110
mana
67 +110
force
220+110
agilité
170+110
intelligence
77+110
dextérité
200+110
chance
90+110
 J’ai pris un copieux petit-déjeuner d’1 écu d’argent. J’avais le droit à des piles de pancakes trempés de beurre, avec des tranches de sanglier, tranchés comme du bacon, des bols d’œuf brouillés. Le tout arrosé par un pichet de lait chaud. Le ventre plein, je me dirigeais vers la guilde pour une autre journée à trucider des gobelins et des slimes. Oooh ! Une nouvelle quête de village gobelin. Ça sent la grosse rentrée d’argent.
Je me rends à ce village, toujours entouré par un large fossé de 4 mètres de profondeur. J’utilisais des pétards, pour attirer des groupes de gobelins. Grâce à cette tactique, j’ai réussi à attirer une trentaine de gobelins. Au bout d’un moment, voyant ces groupes de gobelins ne revenant pas, le reste du village vint voir ce qui se passer. J’en profite pour faire un massacre. J’enchaînais les grands groupes de gobelins les uns après les autres. C’est une bonne méthode, pour tuer du gobelin en masse. Les gobelins rendus furieux par les cadavres de leurs compagnons. Une bonne récolte de matériaux pour cette matinée. Je récolte les matériaux des cadavres de gobelins.
J’ai récupéré 300 petites pierres magiques, 300 carcasses de gobelins, 3 000 crocs de gobelins. Je me rendais de nouveau à la guilde en fin de matinée. Les petites pierres magiques étaient toujours à 50 écus de cuivre. Les carcasses étaient à 2 écus de cuivre. Les crocs de gobelins sont à 3 écus de cuivre. La récompense était de 8 écus d’argent. Mes chasses intensives aux gobelins ont fait baisser le prix des matériaux des gobelins. Donc au final, j’ai réussi à gagner 8 écus d’argent, 1 écu de bronze, et 56 écus de cuivre. J’ai pris un déjeuner à 1 écu d’argent pour bien remplir ma panse. J’avais le droit à un gros bol de salade en entrée avec de la tarte aux légumes. En plat j’avais le droit à 2 types de ragoût, le même que la dernière fois, et un autre ragoût à base de lait plus épais que l’autre. J’avais même le droit à un dessert une tarte à la crème. Et le tout arrosé par plusieurs pichets de bière.
Je caresse mon ventre, ah mon ventre commence enfin à devenir plus gras et rond. Urrpp ! Ça se sent que je deviens plus lourd, le bruit des bottes se fait plus entendre à cause de mon poids. Mon ventre grossit de repas en repas. Bon je vais prendre une nouvelle quête pour m’occuper un peu cette après-midi. Je prends une quête d’élimination de slimes et une quête de récupération de gelée de slimes.
Je retournais dans la forêt, pour récupérer les matériaux de slimes et accomplir la quête d’extermination. J’ai réussi à accomplir les deux quêtes en une heure et demie.
« - Bonjour Kumanu comment allez-vous aujourd’hui ? Demanda joyeusement la jeune employée de la guilde.
- Je vais bien merci, je suis venu rendre mes quêtes de récoltes et d’extermination, je vends 8 petites pierres magiques. Expliqua l’homme-ours.
Très bien la quête d’extermination est à 5 écus de bronze. La quête de récolte de gelée de slime est à 50 écus de bronze. Les petites pierres magiques, sont à 50 écus de bronze. Ce qui fait 9 écus de bronze et 50 écus de cuivre. Vous n’avez pas chômé aujourd’hui ! S’exclama-t-elle.
J’accepte l’offre de la guilde. Dit avec un sourire, Kumanu.
Ah oui bien sûr désolé ! S’excusa l’employée de la guilde. Je vous apporte votre récompense tout de suite. Dit la jeune femme. »
La jeune femme se précipita comme une flèche, vers l’arrière du bâtiment. Cette réceptionniste était une nouvelle, très enthousiaste, une vraie tornade. Toujours de bonne humeur et pleine d’énergie.
« - V-voilà votre argent ! S’exclama la tornade essouflé
- Merci. Dis-je en récupérant l’argent.
Ah ! Félicitation vous avez augmenté votre rang ! S’exclama la jeune femme. »
Super ! Je vais pouvoir accéder à de nouvelles quêtes. Je vais pouvoir aussi augmenter mon revenu. Ah ah ! Génial ! Je me suis précipité vers le tableau des quêtes, pour récupérer une quête. Une quête d’extermination de sanglier rouge. Il me faut en tout abattre 5 sangliers rouges.
Je me dirigeais vers la forêt du sud-Est, pour trouver les sangliers dont j’ai besoin. Je pouvais utiliser mon nouveau mouvement ; « la charge bouclier ».
Cette technique consiste à utiliser son arme comme bouclier et de charger l’ennemi. Cette technique permet aux utilisateurs d’armes larges, de charger des ennemis utilisant des attaques à distance. Mais il y avait, une autre utilisation pour moi, celle d’encaisser les charges ennemies voire de les repousser. Cela m’ait possible à cause de ma taille et de mes statistiques. Aaah j’ai trouvé une cible, un sanglier rouge en train de brouter des racines. Je fonçais vers le sanglier rouge, ce dernier à esquiver ma charge. Il me chargea à son tour, j’utilisais ma lame comme bouclier et planter fermement mes pieds dans le sol. J’ai encaissé le choc, en restant bien planté dans le sol, mes pieds s’enfonçaient de quelques centimètres. J’enchainais avec une charge bouclier pour renverser le sanglier rouge. Une fois le sanglier renversé, je plantais mon épée en travers de sa gorge. J’utilisais ma compétence « débitage ». Je récupérais une carcasse de sanglier, une pierre magique moyenne, des kilos de viande, de la peau, de la fourrure, et deux défenses de sanglier. Les combats contre les sangliers étaient plus durs que ceux des gobelins.
Ces combats, étaient plus difficile, plus durs, plus d’efforts. Ces combats demandaient plus d’encaisser les coups, pour pouvoir contre-attaquer. J’ai réussi à terrasser quatre autres sangliers rouges. Je me sentais épuisé, mes bras étaient douloureux, mes jambes aussi. Cette après-midi, m’a lessivé. Bon je rentrais à la guilde.
« - Bonjour Kumanu vous êtes venu rendre des quêtes ? Demanda le guichetier de la guilde.
- Bonjour, oui je suis venu rendre la quête d’extermination et vendre ma chasse (tend les matériaux de monstres). Répondit Kumanu.
Bien pour les pierres magiques moyennes sont à 65 écus de cuivre. La viande de sanglier rouge se vend à 20 écus de cuivre par kilos. La peau de sanglier se vend à 15 écus de cuivre. La fourrure de sanglier rouge se vend à 30 écus de cuivre. Les défenses de sanglier à 50 écus de cuivre. Les carcasses de sanglier rouge se vendent à 10 écus de cuivre. La quête est à 5 écus de bronze. Expliqua l’employé de la guilde. De plus il y a un sanglier dont la carcasse et la viande n’ont pas été séparé. Voulez-vous faire appel au service de démantèlement de la guilde ?
Je voudrai garder la carcasse avec la viande. Expliqua l’homme ours.
Très bien. Je vais devoir peser la viande de sanglier. Expliqua l’employé. (Met la viande dans une caisse pour la transporter sur une plaque de métal. Juste au-dessus une jauge indiqua 85).
Bien il y a en tout 85 Kg de viande de sanglier rouge. Ce qui fait 17 écus de bronze. Si je rajoute la récompense de la quête avec la vente des autres matériaux, cela fait 32 écus de bronze et 90 écus de cuivre.
Oui j’accepte. Dit Kumanu.
Je reviens avec votre argent. Dit le guichetier. »
Je pris mon argent et ma carte de guilde mise à jour.
Nom : Kumanu
Rang : D
Espèce : Homme-Ours
Age : 17 ans
Job : Paladin glouton
Niveau 10
Titre : [Elu du Dieu Hédoniste]
Compétences raciales : « immunité forte », « endurance amélioré », « récupération amélioré »
Compétences : « la graisse c’est le meilleure », « la graisse iso-thermique », « l’adaptabilité à l’environnement », « maniement de hallebarde niv 8 », « débitage niv 7 »
vitalité
525 +110
mana
67 +110
force
220+110
agilité
170+110
intelligence
77+110
dextérité
200+110
chance
90+110
 Encore une bonne journée de chasse. Je rentrais à mon auberge, je demandais à mon aubergiste de faire griller le sanglier en entier. Le sanglier rôti, accompagné de tartes aux légumes avec de la bière, avec une tarte aux baies sauvages un régal rare. Grâce à l’utilisation du sanglier ma note est tombée à 65 écus de bronze.
Ooofff ! Un sanglier entier quel glouton ! Plusieurs kilos de barbaques étirant mon ventre. Hmmm… Toute cette nourriture va se transformer en graisse me rendant plus gros, plus lourd, et plus fort. Et tous ces accompagnements, mon ventre est plein à craquer. Mmmhhh… Je me traine dans ma chambre pour profiter de mon ventre extra plein. Je me déshabille langoureusement, et me laisse tomber sur le lit. J’entends le gémissement du lit. Hehe même avec ma capacité, le lit grince à cause de mon festin. Je caresse mon ventre, tout rond, tout gonflé. Je caresse mon ventre, une masse molle, juste en dessous de cette douceur se cache un renflement plus ferme. C’est le signe de mon festin en train de digérer, pour devenir de nouvelles couches de graisses fraiches de la douceur à ajouter au monument de mon ventre. Je m’endors avec ma main caressant mon ventre.
Le lendemain, je pris un autre petit déjeuner gargantuesque, avant de me rendre à la guilde. A la guilde, je cherchais Georges un vétéran de la guilde, c’est lui qui m’a appris la charge bouclier. Je cherchais une place temporaire dans un groupe. Je le trouvais dans la partie taverne à jouer aux cartes.
C’est le seul homme dans tout Hajipique, à pouvoir pratiquement me regarder dans les yeux. Il a une carrure imposante, il utilise aussi une épée large. A part ses cheveux gris, et quelques rides.
« - Salut Kumani, tu vas bien ?
- Salut Georges je vais bien, et toi ? Demanda le jeune homme.
Je vais bien merci. Qu’est-ce qui t’amènes ? Demanda l’aventurier expérimenté.
Je cherche une place temporaire dans un groupe. Tu ne sais pas s’il y a une place quelque part s’il te plaît ? Demanda le jeune aventurier.
Puisque tu en parles, un groupe a son guerrier à épée et bouclier en convalescence. Je pense que tu pourrais le remplacer. Ils sont en plein milieu d’une quête pour un marchand réunir 200 fourrures de sangliers rouges. Ça te tente ? Demanda Georges.
Oui je te remercie. Remercia l’homme ours.
Je reviens vers toi plus tard avec les membres du groupe. Dit le mentor. »
Je reste à la guilde, j’en profite pour me renseigner sur la faune de la forêt sud-Est. Outre les sangliers rouges, on trouvait des lacornes : des lapins avec une corne de licorne. Ces lapins sont très rapides et agiles, cela les rend très difficile à attaquer et donc de récupérer leurs matériaux. Il y aussi les potagers vivants : ces monstres sont de type golem. Ils sont constitués de terre. De longs plateaux de terre avec trois séries de pattes de chaque côté. Ainsi qu’une tête d’hérisson. Différents légumes poussent sur son plateau de terre. Les façons de s’en débarrasser:
- Briser la pierre magique entre les deux yeux.
- Faire pousser les plantes sur son dos, jusqu’à que les plantes détruisent le plateau de terre.
- L’isoler de toute terre, pour éviter qu’il se régénère, et ainsi récupérer tous les matériaux de ce monstre. (Ça semble difficile à faire dans une forêt).
Bon une fois mes recherches finies, Georges revint avec le groupe en question. Il s’agissait d’un homme et une femme. L’homme portait un attirail léger mais robuste en cuir. Il devait être un éclaireur d’une vingtaine d’années. Les cheveux bruns, les yeux bruns une carrure agile. La jeune femme de son côté portait une robe en lin, avec une cape en tissu lourd et épais. Ses yeux et cheveux bleues foncé. C’était un signe qu’elle était compatible avec la magie d’eau. Elle utilisait un long bâton noueux surmonté d’une cosse de bois. Elle doit être une chamane, un magicien pouvant utiliser la magie de lumière et une autre magie élémentaire. Les voilà qui m’approchent.
« - Laissez-moi vous présenter Kumanu aventurier de rang D, il est spécialisé dans la hallebarde à large lame. Il pourra remplacer votre ami, pour effectuer votre quête. Kumanu, je te présente l’éclaireur Harry, et la chamane Marina. Je vous laisse faire connaissance. Présenta George.
- Salut Kumanu, tu veux rejoindre un groupe temporairement ? Demanda Harry.
- Oui c’est ce que je voudrai. Vous devez rendre une quête de 200 fourrures de sanglier rouge. J’en ai déjà chassé quelques-uns auparavant.
- Cela me semble bien, tu as l’air solide, et Georges t’a recommandé donc pour moi c’est bon. Déclara la jeune femme.
Moi aussi je pense que tu feras un bon remplaçant. Expliqua le jeune éclaireur.
Donc on part en chasse ? Demanda l’homme ours.
On part tout de suite. S’exclama Harry. »
On se rendait à la forêt sud Est. Une fois là-bas on s’est mis en chasse des sangliers rouges. Pendant que je retenais les sangliers avec ma charge bouclier. Pendant ce temps Harry décochais des flèches dans le front du sanglier. Ce dernier est tombé avec trois flèches.
« - Tu veux que je te donnes une restauration d’endurance ? Demanda la chamane.
- Non je n’ai pas besoin, je peux encore me battre, j’ai battu cinq sangliers rouges avant de me sentir épuisé. Refusa Kumanu.
Pas besoin de forcer pour nous impressionner tu sais. Dit la jeune femme.
T’en fais pas je connais mes limites, je te demanderai quand j’aurai besoin. Je sais qu’il ne faut pas en abuser sinon il y a des effets secondaires.
Mmmhh fais attention à ne pas forcer. Exprima la chamane aux cheveux bleus. »
On continuait à chasser les sangliers rouges pour le reste de la matinée. Nous avons fait une pause à midi.
« - Tu es vraiment efficace tu sais ? C’est la première fois qu’on abat autant de sangliers en une matinée. S’extasia Harry.
- Merci mais ce n’est rien. Vous voulez que je démantèle les sangliers, pour manger la viande de sanglier ce midi ? Demanda l’homme ours.
- Hmmm ! Attends tu possèdes une compétence de démantèlement ? Demanda la jeune femme.
Oui je possède la compétence « débitement ». Expliqua Kumanu.
Mais c’est génial ! S’exclamèrent l’éclaireur et la chamane.
On aura pas besoin de payer la guilde, pour récupérer les matériaux ! S’exclama la jeune fille. »
Je me mettais au travail, pour préparer les matériaux de monstre. Nous nous partagions la viande d’un sanglier rouge. Je prenais la moitié du sanglier, alors que les deux autres se partageaient quelques morceaux de viande. Je ne me gavais pas au déjeuner, parce que j’avais une après-midi chargée de chasse.
Bon on se remet à la chasse cette après-midi. On a abattu vingt sangliers rouges supplémentaires. Grâce aux sorts de restauration d’endurance, j’ai pu quadrupler le nombre de sangliers abattus. Mon équipe est impressionnée par mon endurance et ma capacité à encaisser les chocs. En fin de journée, nous avions abattu 25 sangliers rouges aujourd’hui. A la guilde nous avons pesé la viande de sanglier à 220 kilogrammes. Les prix d’achat de matériaux étaient les mêmes. En retirant les fourrures récoltées, la paye pour les matériaux était de 89 écus de bronze. Le tout divisé en 3 parts égales : 29 écus de bronze. On m’a donné 2 écus de bronze restant en supplément. Ce qui fait 31 écus de bronze pour aujourd’hui.
Encore une soirée d’un bon repas, et une bonne nuit de sommeil pour engraisser. Le lendemain on se retrouvait à la guilde en début de matinée. Mes deux nouveaux coéquipiers étaient très excités d’une nouvelle journée de chasse. Ils doublaient le nombre de sanglier abattu en une journée, avec moi.
Une fois dans la forêt sud Est, nous mettions en chasse pour les sangliers rouges. Nous avons utilisé la même stratégie qu’hier. Harry abattais les sangliers rouges que je retenais. Quand moi ou Harry étions fatigué, Marina utilisais un sort pour restaurer notre endurance. Je me rendais maintenant compte que seul, le travail d’équipe était vraiment un moyen d’améliorer le taux de récupération des matériaux, et l’abatage de monstres.
Il va falloir que je songe à trouver des coéquipiers pour briser ma solitude et devenir un meilleur aventurier. On a continué la journée de chasse, nous avons réussi à abattre 35 sangliers rouges. Il ne restait plus que 50 fourrures de sangliers rouges à réunir pour la quête du marchand. Une fois de retour, à la guilde pour vendre les matériaux de monstres.
« - Bonjour l’équipe l’arc thermale. Êtes-vous venus vendre le résultat de votre journée de chasse ? Demanda l’employée de la guilde.
- Oui, nous avons de la viande de sanglier rouge, 35 pierres magiques moyennes, 35 peaux de sangliers, 70 défenses de sangliers rouges, et 35 carcasses de sangliers rouges. (Kumanu sort les matériaux de monstres.) Enuméra Harry.
Très bien les pierres magiques moyennes sont à 65 écus de cuivre. La viande de sanglier est à 20 écus de cuivre le kilo. La peau est à 15 écus de cuivre. Les défenses sont à 50 écus de cuivre. Les carcasses sont à 10 écus de cuivre. Vous avez récolté 679 kg de viandes de sangliers rouges. Cela vous fait 2 écus argent, 85 écus de bronze et 65 écus de cuivre. Le tout divisé en 3 parts égales : 95 écus de bronze et 21 écus de cuivre. J’empochais 1 écu de bronze, et 2 écus de cuivre venant du reste. Je restais avec mes coéquipiers temporaires, pour fêter la presque fin de la quête du marchand.
« - Je pensais pas qu’on terminerait pas cette quête, aussi rapidement ! S’exclama Marina.
- Ouais un toast pour Kumani, le meilleur tank de tout Hajipique ! S’exclama Harry.
- Merci vous deux, mais si je peux effectuer aussi bien mon travail, c’est grâce à aux soins de Marina et aux attaques rapides d’Harry. Dit modestement l’homme-ours.
Aller on paye notre tournée ce soir en l’honneur de Kunami. S’exclama l’éclaireur. »
Je passais la soirée à boire, avec d’autres aventuriers. Cela me faisait une pub d’enfer, payer une tournée en l’honneur de quelqu’un, prouve sa compétence. Je rentrais sobre de cette soirée, il me faut beaucoup, beaucoup d’alcool pour me saouler.
Le lendemain, c’était la même routine depuis quelques jours : Je retrouvais Marina et Harry à la guilde. Marina a dû utiliser un sort de désintoxication. Ils avaient l’air frais et dispo sans la moindre trace de gueule de bois, ce qui est étonnant vu les quantités d’alcool, consommé hier soir.
Nous nous rendions dans la forêt sud Est pour finir la quête du marchand. Il nous restait seulement quelques fourrures à récupérer, pour accomplir la quête du marchand. En fin de matinée, on a abattu dix sangliers rouges. Plus ce que nous avions besoin. Nous avons fait une pause ce midi.
« - C’est incroyable, on va boucler cette quête aujourd’hui ! Tu es vraiment efficace comme tank. S’extasia Harry.
- Merci encore une fois, mais pas aussi efficace que votre ami, n’est-ce pas ?
- Même si tu es très compétent, on remplacera pas notre ami par toi. Répondit Marina.
Ah même si on travaille bien ensemble. Je ne désire remplacer personne. Au fait, comment vous avez formé votre groupe ? Demanda le jeune homme.
On a formé ce groupe, pour une quête de grotte de gobelins. Ce genre d’aventure, ça forge des liens entre les aventuriers. On a été si efficace, qu’on a formé un groupe pour continuer notre bon travail. Expliqua la jeune femme.
Vous lui faites vraiment confiance, je suis un peu jaloux, j’espère pouvoir trouver de bon coéquipier moi aussi. Se demanda Kumanu.
Vu tes compétences, tu auras le choix crois-moi. Rassura l’éclaireur.
Bon on se remet en chasse ? Demanda l’homme-ours.
Bien sûr ! Répondirent les deux autres aventuriers. »
On a continué à abattre des monstres l’après-midi : des sangliers rouges et des potagers vivants. Pendant que j’occupai le potager vivant, Marina utilisa sa magie d’eau pour inonder le monstre jusqu’à que le monstre s’effondre, sur lui-même. Ainsi on pouvait récupérer tous les matériaux du monstre, la pierre magique, les légumes, et la terre infusé de mana.
Une fois de retour à la guilde nous avons rendu la quête du marchand pour 20 écus d’argent. Nous avons ensuite vendu, le résultat de notre chasse :
- 10 pierres magiques moyennes.
- 8 peaux de sangliers rouges.
- 139 kg de viande de sanglier rouge.
- 16 défenses de sanglier rouge.
- 3 fourrures de sanglier rouge.
- 8 carcasses de sanglier rouge.
- 10 kg de terres infusé de mana.
- 5 kg de légumes infusé de mana.
Les légumes des potagers vivants sont des légumes enrichis en mana de grande qualité. Ils permettent une meilleure régénération ainsi qu’un délice pour les gourmets. De ce fait, le kg se vend à 1 écu d’argent. La terre se vend à 80 écus de cuivre le kilos. Ce qui fait 20 écus d’argent, 49 écus de bronze et 5 écus de cuivre. Partagé en 4 parts égales : 5 écus d’argent, 12 écus de bronze et 30 écus de cuivre. J’empochais l’écu de cuivre restant. Cette journée met fin à ma collaboration avec le groupe l’arc thermale.
Me voilà de nouveau libre. Il est temps de me trouver d’autres aventuriers comme compagnon. Pour l’instant je rentrais à l’auberge. Ma carte de guilde mise à jour :
Nom : Kumanu
Rang : D
Espèce : Homme-Ours
Age : 17 ans
Job : Paladin glouton
Niveau 12
Titre : [Elu du Dieu Hédoniste]
Compétences raciales : « immunité forte », « endurance amélioré », « récupération amélioré »
Compétences : « la graisse c’est le meilleure », « la graisse iso-thermique », « l’adaptabilité à l’environnement », « maniement de hallebarde niv 9 », « débitage niv 11 »
vitalité
550 +120
mana
72 +120
force
260+120
agilité
200+120
intelligence
82+120
dextérité
240+120
chance
100+120
 Je me rendais une fois de plus dans la forêt sud-Est, cette fois-ci j’étais seul, donc moins efficace. J’ai réussi à abattre 3 sangliers rouges. Je prenais une pause à midi, pour manger un peu de sanglier grillé, pour le déjeuner. Cette après-midi, j’ai abattu un sanglier rouge supplémentaire, ainsi 3 potagers vivants en plus des sangliers rouges.
Pour les potagers vivants j’effectue une charge-bouclier, pour étourdir les potagers vivants, ensuite je détruis la pierre magique entre les yeux du monstre. Les pierres magiques moyennes, ont été brisées en deux. Ce qui veut dire le prix sera divisée en deux. Je gardais la viande d’un sanglier rouge et 500g de légumes de mana. Une fois de retour à la guilde, je vendais le résultat de la chasse aujourd’hui :
« - Bonjour Kumanu, vous venez vendre le résultat de votre chasse ? Demanda l’employée de la guilde.
- Oui je viens vendre le résultat de ma chasse : 8 défenses de sangliers rouges, 4 fourrures de sangliers rouges, 4 peaux de sangliers rouges, de la viande de sanglier rouge, 3 carcasses de sangliers rouges, de la terre infusée de mana, des légumes infusé de mana, 4 pierres magiques moyennes ainsi que 3 pierres magiques moyennes brisé en 2.
Très bien je vais peser la viande, les légumes et la terre. »
La pesée est de 50 kg de viandes de sanglier rouge, 7kg de légumes et 15kg de terres. Ce qui faisait 7 écus d’argent, 31 écus de bronze et 66 écus de cuivre. Je me rendais à l’auberge, je donnais les légumes à l’aubergiste en échange de repas gratuit pour la semaine. Il me faisait griller le sanglier mis de côté. Je dévorais un sanglier rouge, accompagnés par des ragouts à base de crème et de bouillon, de tartes de légumes réguliers. Je dévorais aussi une grosse tarte à la crème et au sucre pour le dessert.
Le lendemain, à la guilde je parcours les annonces pour trouver un groupe :
« Jeune groupe réuni autour de la foi dans la déesse de la terre. Cherche un paladin ayant prêté serment à la déesse mère. » Non.
« Mage aquatique et épéiste recherchent un homme fort pour nous protéger. » Nope ça sent le début d’un harem, pour otaku japonais frustré.
« Mage ayant une affinité avec la rare magie des sucreries récemment arrivé dans ce royaume. Je recherche des compagnons orientés vers les attaques physiques. » Hmmm… Plus une magie est rare plus elle est puissante. En plus il est orienté vers les sucreries de quoi m’aider à gagner plus de graisse. Ça sera intéressant de le rencontrer pour voir si on ferait une bonne équipe. Je laisse un mot pour lui à la réception de la guilde. Le lendemain je me rendais à la guilde pour rencontrer le mage sucré.
C’était un jeune homme minuscule, emmitouflé dans une robe de mage, il avait des cheveux verts clairs tressés en une longue queue de cheval, et des yeux hétérochromies verts et bleus. Cette couleur de cheveux et d’yeux sont le signe d’une possession d’une grosse quantité de mana. Il portait un sceptre de mage, fait avec un bâton en sucre d’orge, surmonté d’ornements en pâte sablés, preuve qu’il était bien mage sucrée. Les bâtons de mage prennent les caractéristiques de la magie du mage.
Il était vraiment mignon ce petit mage, il était minuscule à côté de moi. Je me dirigeais vers lui devant le comptoir, pour discuter :
« - Bonjour, je suis Kumanu un paladin niveau 12. Se présenta le jeune aventurier.
- Enchanté, je suis Amaï Green, un mage sucré niveau 9. Se présenta le jeune mage.
Tu cherches à former un groupe avec des aventuriers utilisant des attaques physiques ? Demanda Kumanu.
Oui… C’est cela je cherche… Des compagnons avec la capacité d’attaque physique… Répondit Amaï.
Ça va ? Tu as l’air ailleurs ? Demanda l’homme-ours.
Ah oui ! C’est juste que la guilde est bruyante, on devrait aller à mon auberge, pour pouvoir discuter tranquillement. Demanda le petit mage.
Ça me convient je te suis. Accepta le paladin. »
En se dirigeant vers son auberge, j’ai remarqué qu’Amaï me jetait des regards à la dérobé. Hmmm… Se pourrait-il, que ce petit gars m’aime bien ? Je m’étirais pour faire ressortir mon ventre et attirer l’attention du mage sucré. Le petit gars se mit à rougir comme une pivoine. Aww il est tellement mignon. Il essaye tellement de pas regarder mon ventre, c’est tellement mignon de le voir si gêner par son attirance.
On se retrouve à la plume d’argent, son auberge, une auberge de standing. Ici, on ne doit pas payer un supplément pour des draps propres. Le personnel de l’établissement portait des uniformes de domestiques se montrant aussi poli et discret que ceux d’un noble. La salle à manger de l’auberge, avait des tables recouvertes de nappe blanche immaculé. On pouvait aussi voir une estrade pouvant accueillir des musiciens pendant les services des repas il semblerait.  On se retrouvait dans la chambre d’Amaï, au premier étage de l’auberge. La chambre du mage était grande, claire avec des objets magiques. Les draps étaient propres et neuf. Sur les deux tables de nuit il y avait deux lampes magiques dessus. Le petit mage se tenait devant une commode.
« - Un thé, un café, un chocolat chaud ? Demanda Amaï
- Un lait chaud s’il te plaît. Répondit l’ours.
Très bien ! »
Le jeune homme utilisa une plaque chauffante, alimentée par une pierre magique de feu. Il a fait bouillir du lait sur cet objet magique avant de me le verser dans une tasse en porcelaine. Avant de se faire chauffer de l’eau pour son thé. Une fois les deux boissons prêtes il s’assit à table avec moi.
« - Je souhaite faire équipe avec quelqu’un étant spécialisé dans le combat corps à corps, pour compléter mes compétences magiques. Je peux créer des friandises et des desserts avec mon mana. (Fais apparaître une tartelette aux fraises et une part de quatre-quarts). Mais je peux aussi me servir de mes sucreries comme arme, la magie permet de transformer en armes les objets les plus inoffensif. Expliqua le mage sucré.
- Je vois tu peux être plus précis, par rapport tes capacités offensives ? Demanda l’ours aventurier.
Bien sûr ! Je peux me servir de bonbon à la menthe poivrée comme des bombes. Je peux me servir de caramel pour immobiliser les adversaires. Je suis capable d’invoquer quelques piques sucres d’orges pour me battre à distance. Je peux utiliser de la crème glacée pour geler les ennemis, calmer les brûlures. Je peux aussi utilisé du miel désintoxication pour purifier le poison. Expliqua le mage.
Très bien tu as des atouts diversifiés. Tu as des questions sur mes capacités ? Demanda l’aventurier.
Je n’en ai pas besoin après avoir entendu les histoires des villages gobelins. Répondit le jeune homme. »
Retour à la guilde, nous enregistrons notre duo sous le nom « les Gourmets ».  Première mission éradiqué un village gobelin. Nous nous dirigions vers le fond de la forêt pour détruire ce village. On s’est caché dans les fourrés entourant le village gobelin.
« - J’ai une idée pour réussir à exterminer tous les gobelins du village. Je vais utiliser cet appas dans un de mes bonbons bombes pour attirer les gobelins. Ensuite, je vais utiliser mon sort de caramel collant pour les empêcher de s’enfuir. Je ne pourrai pas attaquer si je dois retenir les gobelins. Expliqua le jeune homme.
- Tu les retiens pendant que je les attaque. C’est ça ton plan ? Demanda Kumanu.
Oui comme ça on pourra récupérer tous les matériaux de ce village gobelin. Répondit le mage sucré.
Bien allons anéantir ce village. Annonça l’ours. »
Amaï infusa l’appas dans une bombe menthe poivrée pour attirer les gobelins en dehors de leurs huttes. La fumée attira les gobelins hors de leurs huttes.
« - Caramel collant ! Scanda le magicien. »
Le caramel à l’aspect visqueux et collant cloua les gobelins sur place, me permettant d’abattre facilement les gobelins surpris par le caramel. Durant les deux heures suivantes, j’abattis les gobelins recouvert de caramel collant. Il n’y avait aucun fuyard cette fois-ci.  Il y avait 402 cadavres de gobelins et 2 de gobelins guerriers. C’était incroyable en à peine 2 heures on a anéanti un village gobelin à 2. Cette magie sucrée est puissante, réussir à immobiliser tout un village gobelin, me permettant de les exterminer facilement. Nous avons récolté 4040 crocs de gobelins, 402 petites pierres magiques, 2 pierres magiques moyennes, 404 carcasses de gobelins. On a fouillé le village gobelin, pour trouver des dizaines d’armes rouillés ainsi que des armures de cuirs volées. On a récupérer ce butin supplémentaire.
Nous retournions à la guilde des aventuriers en chemin nous abattîmes deux slimes. Après j’ai insisté pour porter le mignon petit Amaï, pour qu’il se repose pendant le trajet du retour à la guilde, après tout il a maintenu les gobelins immobile pendant 2 heures. Le pauvre est épuisé mentalement après avoir relancé son sort pendant 2 heures.
« - Tu n’es pas obligé de me porter, tu sais ? Demanda le  jeune mage.
- Je sais mais je dois ménager l’atout que tu es. Après tout, tu as facilité grandement cette quête. Complimenta le gros ours. Alors laisse-moi m’occuper de toi pour l’instant. Demanda le paladin.
Très bien je vais profiter juste cette fois. Murmura Amaï se blottissant inconsciemment contre Kumanu. »
Avant de rentrer dans la ville, je déposais le petit magicien. On a marché tranquillement vers la guilde pour rendre la quête et vendre le butin.
Une fois à la guilde nous rendons la quête et vendre le butin à la guilde.
« - Bienvenue, à la guilde êtes-vous venus rendre des quêtes, vendre du butin ? Demanda le réceptionniste de la guilde.
- Oui nous venons rendre la quête d’extermination du village gobelin, ainsi que vendre notre butin.
Très bien montrez-moi votre butin. Demanda l’employé de la guilde. »
Je sors notre butin pour le faire expertiser par le réceptionniste. Il a examiné les 402 petites pierres magiques, les 2 pierres magiques moyennes, 402 carcasses de gobelins, 3 fioles de slimes. Je gardais les armures et haillons en cuirs ainsi que les armes rouillées pour les vendre à la guilde des marchands. Cette dernière pouvait acheter de plus grosse quantité qu’un artisan. Alors pour 400 petites pierres magiques à 50 écus de cuivre pièce, 2 pierres magiques moyennes 65 écus de cuivre pièce, 402 carcasses de gobelins à 1 écu de cuivre pièce, et 4020 crocs de gobelins à 3 écus de cuivre pièce. En plus il faut rajouter les 5 écus d’argents de la quête cela nous fais 32 écus d’argent, 5 écus de bronze et 92 écus de cuivre. Ce qui fait 16 écus d’argent, 2 écus de bronze et 96 écus de cuivre pour chacun de nous deux.
Ensuite nous nous sommes rendus à la guilde marchande pour vendre 20 armes rouillées à 2 écus de cuivre pièce, 5 armures de cuirs à 15 écus de cuivre pièce, 75 haillons de cuir à 1 écu de cuivre pièce. Ce qui fait 1 écu de bronze et 90 écus de cuivre. Ce qui fait 95 écus de cuivre chacun. Pas une mauvaise première quête ensemble. Cependant il reste un mage de niveau 9 cette performance l’a rendu hors-service pour le reste de la journée. Je vais donc chasser des sangliers rouges et terriers vivants pendant le reste de la journée.
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daisy, gladiolus and snapdragon for the flower asks?
Hello, friend! Thank you for asking!
Daisy: I would have to say one of my greatest accomplishments would be (sort of) having to teach orchestra when I was in the 8th grade, the teacher refused to teach and I'd been in orchestra for two years prior but I picked it up fairly quickly and I practiced my cello after school so I wouldn't get behind on top of getting ready for a competition. It was stressful but super fun and we had a blast. I loved teaching when I did it but I'm not sure if it was right for me but I still play music!
Gladiolus: Ooh this is a hard one but I want to get a job and my license, help my mom and I get our own place again (we just moved out barely two weeks ago), continue my schoolwork and volunteer work at the hospital, and find my own place in life. It's a lot to find but I hope I can get them all!
Snapdragon: I want a lot of things currently, but the one that pops out of my head is I want to play music in a group again, I've missed it dearly. I miss being part of a repertoire and having friends that understood how playing music affects them.
Thank you so much for asking, I appreciate it!
Salut l'ami! Merci de demander!
Daisy: Je dois dire que l'une de mes plus grandes réalisations serait (en quelque sorte) de devoir enseigner l'orchestre quand j'étais en 8e année, le professeur a refusé d'enseigner et j'étais en orchestre depuis deux ans auparavant, mais je l'ai choisi assez rapidement et j'ai pratiqué mon violoncelle après l'école, donc je ne serais pas derrière en plus de me préparer pour un concours. C'était stressant mais super amusant et nous nous sommes bien amusés. J'ai adoré enseigner quand je l'ai fait mais je ne suis pas sûr que ça me convenait mais je joue toujours de la musique!
Gladiolus: Ooh c'est difficile mais je veux trouver un travail et mon permis, aider ma mère et moi à retrouver notre place (nous venons de déménager il y a à peine deux semaines), continuer mes travaux scolaires et mon travail bénévole à l'hôpital, et trouver ma propre place dans la vie. C'est beaucoup à trouver mais j'espère pouvoir tous les avoir!
Snapdragon: Je veux beaucoup de choses actuellement, mais celle qui me sort de la tête est que je veux jouer à nouveau de la musique dans un groupe, ça me manque énormément. Je m'ennuie de faire partie d'un répertoire et d'avoir des amis qui comprennent comment la musique les affecte.
Merci beaucoup d'avoir posé la question, je l'apprécie!
¡Hola amigo! ¡Gracias por preguntar!
Daisy: Debo decir que uno de mis mayores logros sería (más o menos) tener que enseñar orquesta cuando estaba en octavo grado, el maestro se negó a enseñar y había estado en la orquesta dos años antes, pero lo elegí Subí bastante rápido y practiqué mi violonchelo después de la escuela para no retrasarme y prepararme para una competencia. Fue estresante pero súper divertido y lo pasamos genial. Me encantaba enseñar cuando lo hice, pero no estoy seguro de si era lo adecuado para mí, ¡pero todavía toco música!
Gladiolo: Ooh, esto es difícil, pero quiero conseguir un trabajo y mi licencia, ayudar a mi madre y a mí a recuperar nuestro lugar (nos mudamos hace apenas dos semanas), continuar mi trabajo escolar y el trabajo voluntario en el hospital, y encontrar mi propio lugar en la vida. ¡Es mucho encontrar pero espero poder conseguirlos todos!
Snapdragon: Actualmente quiero muchas cosas, pero la que se me ocurre es que quiero volver a tocar música en un grupo, lo he extrañado muchísimo. Extraño ser parte de un repertorio y tener amigos que entendieron cómo les toca tocar música.
Muchas gracias por preguntar, lo agradezco!
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llredac · 5 years ago
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Formation rédacteur web cned
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Comment trouver la bonne formation de rédacteur web ?
Nous allons vous expliquer comment l’envie de devenir rédacteur web se manifeste.  Un jour ou l’autre, après avoir été salariée pendant de nombreuses années, nous avons tous éprouvé le besoin d’acquérir plus d’autonomie et de liberté. C’est pour cela, que nous pouvons nous intéresser sur les différents métiers existants en freelance. Nous pensons au métier de rédacteur web. Deux axes se dessinent à savoir : Formation rédacteur web CNED à distance 
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Nous voulons nous lancer dans le métier de rédacteur web. Par la suite, nous éprouverons sûrement le besoin de créer une entreprise individuelle. En se faisant dispenser une formation de rédacteur web à distance avec le CNED, nous créerons notre job en tant qu’autoentrepreneur et nous pouvons même tenter notre chance à l’étranger. Le CNED est le centre national d’enseignement à distance, il nous permet d’acquérir les bases du métier. L’écrivain web peut exercer sa profession en tant qu’indépendant. Les qualités requises pour prétendre à ce type de profession sont l’obtention du BAC de préférence littéraire et les qualités rédactionnelles exceptionnelles. Le rédacteur web doit maîtriser l’écriture de contenu. L’éditorialiste maîtrise aussi les réseaux  sociaux (Facebook, Linkedin, Diigo, Twitter, Instagram et bien d’autres). Le rédacteur web écrit des contenus de pages pertinents. Celui-ci ne fait pas de faute d’orthographe et a un excellent niveau en français. Alors, suivre la formation professionnalisante à distance avec le CNED de rédacteur web vous permettra de devenir rédacteur web seo en 6 mois. Formation dans les écoles Vous pouvez suivre une formation dans une autre école que le CNED dès l’instant ou vous aimez écrire, êtes curieux et que la langue Française est votre langue maternelle.  Alors, nous vous proposons un éventail d’organismes ou vous pourrez suivre cet enseignement. La formation de rédacteur web peut se dispenser dans les écoles de marketing, de communication digitale ou même de journalisme. L’organisme GRETA dispense ce type de formation.
Comment trouver la bonne formation de rédacteur territorial ?
Rédacteur territorial Pour devenir rédacteur web territorial, il faut passer un concours de catégorie B de la fonction publique territoriale. De nombreux candidats sont titulaires d’un bac +2 au minimum. Les missions du rédacteur territorial sont variées telles le secteur du médico-social, le culturel, et les ressources humaines. Le salaire en début de carrière est fixé à hauteur de 1540 euros/mois. Alors, nous devons penser le métier de rédacteur territorial comme un poste d’assistant administratif avant tout. Le rédacteur territorial accueille le public, encadre le personnel et gère des dossiers financiers. L'important pour un bon rédacteur n'est pas de tout connaître, mais de pouvoir s'adapter rapidement : être précis, comprendre les textes administratifs, frapper aux bonnes portes et surtout avoir le sens du service public. Formation dans les écoles Mairie, conseil général, centre culturel ou associatif, office de HLM : ses responsabilités dépendent beaucoup de l'endroit où il travaille. Dans une très grande ville, le rédacteur web territorial a davantage un rôle d'exécution, voire d'encadrement intermédiaire. Dans une petite commune, l’éditorialiste peut faire fonction de secrétaire de mairie et assumer alors des responsabilités importantes. Fonctionnaire dans les collectivités, le rédacteur territorial est recruté sur concours avec le bac, mais la moitié des candidats sont titulaires d’un bac + 3. Il existe des préparations aux concours administratifs dans les écoles. des IEP (instituts d'études politiques), dans les Ipag (instituts de préparation à l'administration générale) universitaires.  dans les CPAG (centres de préparation à l'administration générale). Alors, le rédacteur territorial passionné par son métier travaillera dans la fonction publique et les collectivités sans concours. On lui proposera d’être stagiaire de la fonction publique territoriale. Le stagiaire rédacteur pourra se procurer les épreuves du concours de rédacteur en interne. Par la suite, il passera un concours interne pour devenir rédacteur principal. Read the full article
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actual-runner5 · 6 years ago
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Ok faut juste que jme vide le coeur.
Aujourd'hui il y a eu une dispute entre une collègue expérimentée et un gars qui est arrivé y'a pas longtemps. Il a un déficit d'attention, ce qui met tout le monde sur les nerfs (moi y compris, je l'avoue) parce qu'il faut qu'on soit rapides et qu'on pense à tout ce qu'il a de la difficulté à faire.
Donc la collègue expérimentée lui a parlé dans un coin et j'ai aucune idée de ce qui s'est dit. Nouveau collègue est revenu sur la caisse pendant une quinzaine de minutes et est parti sans le dire à personne en plein rush. Personne savait où il était.
Collègue expérimentée commence à dire des commentaires genre "S'il est parti à cause de moi c'est trop drôle" et "Il est ben pas fait tough je lui ai juste parlé" ou "Je gage qu'il est allé se plaindre, j'vais encore passer au bureau".
J'essayais de le défendre un peu tsé. Il sait qu'il a de la difficulté, jamais je croirai. On est TOUS (encore une fois, moi y compris) sur son dos, on perd tous patience à cause de lui parce qu'en plus de faire nos jobs il faut le watcher et lui rappeler les commandes, faire des efforts supplémentaires pour attirer son attention, le rediriger sur LA tâche prioritaire parce qu'il part sur autre chose. Mais lui comment il doit se sentir dans tout ça? C'est clair qu'il est parti parce qu'il y avait une accumulation, quelque chose. Pi encore là je sais rien de sa vie privée non plus.
Il finit par revenir. Je lui demande s'il va mieux, j'essaie de faire des jokes, ça marche un peu. Pendant le close il me dit qu'il est allé brailler. Que collègue expérimentée lui parle jamais, lui dit à peine bonjour pi que quand elle l'a vu elle a sourit.
Quel genre de personne fait ça??? C'est tu moi qui est trop dans ma ptite bulle optimiste de compassion? Ça donne quoi d'être méchant de même? On peut pas juste tous se parler pi trouver des solutions qui vont convenir? Câlisse...
Il me dit qu'elle le micromanage pi que quand il pose des questions qu'elle répond de pas s'en faire, il va juste faire de la caisse il a pas besoin de savoir. C'est parce qu'on aurait besoin qu'il soit plus efficace et polyvalent que ça???
Le seul conseil que j'ai pu lui donner c'est de la laisser faire pi de dire oui-oui quand elle le bosse. Pi je trouve franchement ça poche comme conseil.
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claudehenrion · 6 years ago
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Un bon pas… dans la mauvaise direction
  Avant-hier matin, dans la magnifique Cour des Invalides, cérémonie solennelle pour dire “Merci” à deux héros, à deux splendides gaillards dont la belle vie a été fauchée par la faute de deux crétins inutiles qui, je l'espère, verront le reste de leur triste vie marqué par le remords de leur bêtise insondable. Car on peut inventer toutes les périphrases alambiquées qu'on veut pour se cacher derrière son petit doigt, ce n'est que de cela qu'il s'agit : une faute énorme, grossière, vulgaire, laide et, compte tenu du prix qu'elle coûte, impardonnable. Le globe trotter que j'ai été se souvient de situations comparables où l'évidence s'imposait : plus que l'envie irresponsable de se donner des émotions (fut-ce pour pimenter à l'adrénaline un pseudo-voyage de noces), il y a des limites qu'on ne doit franchir à aucun prix !
 Le discours du Président fut irréprochable. Digne, vrai, pas trop componctueux pour une fois, sans  trace de tentative de récupération politique, ce qui est très bien. Ses attitudes étaient à la fois “dans le ton” et “celles qu'il fallait avoir”, loin des rictus convenus auxquels il se contraint d'habitude (son professeur de théâtre a dû en mettre un coup, question “petits cours particuliers” pour lui faire faire autant de progrès en si peu de temps. Bravo, l'artiste !). Alors, comment expliquer que, même lorsqu'il dit ce qu'on attend qu'il dise (ce qui est plutôt rare), il ne soit pas crédible ?
 Outre le ridicule de s'être déplacé en grand arroi pour accueillir ces deux vrais guignols criminels involontaires, la réponse s'impose rapidement : tout son discours public va a l'opposé de ces paroles plus intimes… et il a l'air d'être bien plus “lui-même” dans le premier que dans les secondes. Pourquoi, en l'écoutant, m'est-il revenu en mémoire une vieille rengaine de Ray Ventura des années 1945, Maria de Bahia, jolie brésilienne qui, “quand on l'avait trop embrassée, elle allait se confesser et puis elle recommençait’‘ ? Ses belles envolées étaient trop en contradiction avec tout le reste de son iso- ’'Credo” boboïforme et progressouillard pour ne pas être perçues comme “à contre-emploi”. De magnifiques paroles que sa “plume” a su trouver pour parler de la France, du drapeau, de l'Histoire et des vertus chrétiennes qui animaient nos deux héros (NDLR : le vocable “chrétien” n'a évidemment pas été prononcé –boboïsme politiquement correct et laïcité mal comprise obligent), mais on sentait qu'il y avait “autre chose” derrière ces mots convenus : les ‘’accents’’ étaient en contradiction absolue avec tout le reste de ce  qu'il nous raconte, discours après discours, depuis deux longues années et même plus. Et il était difficile de ne pas compléter son “Vive la France” par un ’'et votez pour ma vision d'une Europe qui ne pense qu'à faire disparaître ce qui définit vraiment la France’’.
 Je trouve très triste de ne plus pouvoir croire toute manifestation de beaux sentiments, à cause de cette méchante Europe perverse et dévoyée qui a, comme l'ivraie de la parabole, chassé tout le bon grain ! Si encore il ne s'attachait pas à défendre corps et âme cette mauvaise réponse à des problèmes mal posés, on aurait pu espérer. Mais non ! Il a vraiment “fait le mauvais choix” et suivi “le chemin de plus grande pente”, celui dont on sait qu'il ne peut mener qu'à la damnation…          Et je me demande si ce n'est pas cela que les français ne lui pardonnent pas. Il a fait croire qu'il venait d'une autre planète que les dirigeants dont ils pâtissent depuis la mort de Pompidou, qu'il était porteur de l'espoir d'un retour à ce qu'ils rêvent de redevenir après l'avilissante sauce hollandaise, et qu'il allait leur ouvrir les portes d'un “monde nouveau”… Mais dès les lampions du Louvre éteints, la vérité a normalement repris ses droits : tout était “bidon’' ! Entre le 21 % des français qui ont succombé au chant de la sirène et Marine lePen qui a fort bien tenu son rôle de repoussoir, la France s'est réveillée avec une vilaine gueule de bois… qui perdure.
 Car qui est prêt à oublier qu'Emmanuel Macron, ’'sûr de lui et dominateur”,  étale sans fards son mépris de caste pour notre culture (’'qui n'existe pas’’, selon lui),  ce qui est la définition-même de la cuistrerie : partout dans le monde on sait qu'il y a une culture française et on aime la France pour sa culture. Sauf Emmanuel Macron, qui n'a jamais renié cette contre-vérité ni jamais pensé à présenter des excuses.
 Quant aux français (“de souche”, parce que les immigrés et les migrants ont droit à toutes les attentions dues (?) aux minorités agissantes : une balle perdue de l'affaire Bénalla ?), ce sont, à ses yeux d'énarque, des Gaulois réfractaires au changement…fainéants et cyniques…même pas luthériens (sic ! Où va-t-il dénicher de tels poncifs ?), uniquement capables de foutre le bordel au lieu d'aller chercher du travail et qui ont d'ailleurs peur de traverser la rue pour en trouver. Ces illettrés pour beaucoup,dépensent un pognon dingue pour assurer la survie des plus pauvres.  C'est simple, “ils ne sont rien” puisqu'ils veulent se payer un costard sans travailler, et (c'est bien connu) prennent leurs vacances en kwassa-kwassa et en bus (ces moyens de transport qui seraient surtout  ’'bons pour les pauvres’’).
 Il nous octroie tout de même la possibilité de parler très librement, à ceci près que la seule chose qu’on n’a pas le droit de faire, c’est de se plaindre , ce qui n'est pas gagné d'avance, car les Français détestent les réformes (NDLR- telles qu'il les envisage, ça, c'est certain : il leur fiche la trouille lorsqu'il leur fait croire que le libéralisme est une valeur de gauche, que être élu est un cursus d'un ancien temps, qu'il est pour une société sans statuts, précisant même que “Je ne suis pas là pour défendre les jobs existants” ou lorsqu'il qualifie ceux qui s’opposent à une de ses idées de “foyer infectieux ”. Ah ! Quel bonheur, de voir un vrai démocrate !).
 Mais tout cela n'est rien, comparé au massacre à la tronçonneuse auquel il se livre lorsqu'il parle de notre histoire. Après avoir descendu en flammes cette magnifique “culture française” qui constitue la colonne vertébrale de notre rayonnement international, mais dont il nie l'existence puisqu'il en ignore tout, il se rend (dans les deux sens du terme) à Alger, chez l'horrible Bouteflika, ce parangon de haine recuite et de bêtise corrompue, pour (dis)qualifier la colonisation française de “crime contre l'humanité’' ! Si les mots ont un sens, les siens n'en ont aucun, lorsque, du haut de son inculture abyssale, il a été  confirmer, à Ouagadougou que ’'la colonisation, qui fait partie de l'histoire française, est une vraie barbarie”.         Dans sa nullité prétentieuse, il se perçoit  comme étant “le représentant d'une génération pour laquelle les crimes de la colonisation européenne sont incontestables”… ce qui change complètement le sens de ses mots devant les cercueils de nos deux nouveaux héros, dans la belle lignée du Colonel Beltrame.
 A la veille d'élections où va se jouer l'une des ultimes batailles entre les tenants du modernisme internationaliste (c'est-à-dire “contre les Nations”) et les continuateurs de l'histoire d'une Europe qui resterait fidèle à ce qui est sa force principale dans l'actuelle guerre à mort entre les vieilles idées périmées des pseudo-progressistes, passéistes, et un monde nouveau qui est (peut-être) en train de renaître sous nos yeux, où l'Homme retrouverait la place que lui réservent les valeurs de l'Occident et la civilisation judéo-chrétienne.… le choix semble clair. Il ne faudrait pas qu’un discours, même beau, aveugle au point de devenir “l'arbre qui cache la forêt”…
H-Cl.
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