#comment les gens font pour se concentrer sur une idée à la fois ???
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C'est quand même grave que je sois infoutue d'ordonner mes idées quand j'essaye d'écrire.
#no thoughts head empty ? nope#more like too many thoughts head full#c'est un merdier là-dedans#comment les gens font pour se concentrer sur une idée à la fois ???#écriture
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Un environnement négatif chasse les bonnes idées DIMANCHE 14 MAI
AUTRE PENSÉE, AUTRE VIE (2) « CELUI QUI MARCHE AVEC LES SAGES DEVIENT SAGE » PROVERBES 13.20
Si on est entouré de pessimistes, il faut chercher meilleure compagnie. Charlie Brower a dit : « Une nouvelle idée est fragile. Un ricanement ou un bâillement peut la tuer, elle peut être poignardée à mort par une plaisanterie, un froncement de sourcils. » Un environnement négatif chasse les bonnes idées. En revanche, s’il est créatif, il devient une serre où les idées germent et prospèrent. Pour grandir, il faut rechercher des personnes engagées dans la croissance personnelle. Voici comment les reconnaître. 1) Elles encouragent la créativité. David Hills déclare : « On a découvert que pour savoir si les employés seront créatifs ou non, il faut déterminer s’ils sont conscients d’en avoir la permission. » Lorsque l'innovation est ouvertement encouragée et récompensée, les gens savent qu’ils ont le droit d’être créatifs. 2) Elles sont prêtes à risquer l'échec. Même si on est bien préparé, on doit essayer plusieurs fois avant de réussir. Il faut donc être dans un environnement où les erreurs font partie du processus créatif. 3) Elles croient au potentiel d'un rêve. Un environnement créatif encourage l'utilisation d'une feuille blanche avec cette question : « Si je pouvais dessiner une image de ce que je veux accomplir, à quoi ressemblerait-elle ? » Une telle ambiance a permis à Martin Luther King de déclarer avec passion : « J'ai un rêve » et non « J'ai un objectif ». On peut se concentrer sur un but, mais les rêves ont du pouvoir. Les rêves élargissent notre monde. Et Dieu est le donneur de rêves et de visions (voir Joe 2.28).
B365 — Plan de lecture Jérémie 51.27-64
Prière du jour Donne-moi le courage Jésus de mettre ma créativité en œuvre.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2023 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2023
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Eldarya, A New Era - Episode 3
Originellement publié ici le 23 janvier 2021.
Bien le bonjour, c’est avec joie que je vous annonce que j’ai survécu à cet épisode, et que je suis donc à mesure de vous en parler, même si je ne garantis pas de pouvoir coller aux valeurs de l’épisode concernant la restriction d’émotions essentielles.
Depuis les six années que le jeu existe et depuis les six années où je suis inscrite dessus, c’est probablement l’épisode qui m’a été le plus PÉNIBLE à jouer. Vraiment. J’avais râlé sur l’épisode 18 de TO où il se passait quasiment rien, mais comparé à cet épisode c’était une fresque épique. Et pourtant, dans le peu de contenu que vous nous proposez, vous avez quand même réussi à nous servir vos valeurs douteuses pendant toute la partie à peu près intéressante de l’épisode. Du coup ce sera quand même un avis fourni. J’ai dépensé à peu près 2860 maanas. 2860 MAANAS. Qu’est-ce qui passe par la tête des joueurs/euses déjà en train de dire que « ça va c’est correct, » j’en sais rien, parce qu’il se passe RIEN dans cet épisode. Pas assez en tout cas pour justifier quasiment 3000 maanas, alors que, pour rappel encore une fois, 3000 maanas c’était ce à quoi on arrivait après l’épisode 20, quand l’histoire décollait vraiment. A l’épisode 2 on était à 2500, là on est à +2800, vous croyez que ça va être quoi, à l’épisode 20, quand y’aura vraiment de l’action et de l’avancement de l’histoire dans tout l’épisode, sérieux ? Le nouveau système il est avantageux uniquement pour The Origins, le reste c’est de la poudre aux yeux. Oups, je commence à être colère, et c’est pas bien d’être colère >w<
Je vous avoue que la scène d’intro avec Erika qui fait des papouilles pendant 3 ans à son familier ça m’a pas spécialement mise dans de bonnes dispositions mais bon, restons courtoise pour le moment et allons parler à Jamon. L’entraînement se passe, jusqu’à ce qu’Erika ressente les effets de la morsure du Warrifang (bien qu’il faille attendre un moment avant qu’elle fasse le lien entre son bras qui la démange et ses malaises car Erikonne). Comme toute personne sensée le ferait, Jamon la traîne à l’infirmerie… Et elle est pas contente. Alors ok y’a le poison qui joue sur son humeur mais quand même, quand quelqu’un s’évanouit c’est un peu normal de l’emmener à l’infirmerie, calme-toi >_> Du coup après elle passe ses nerfs sur Nevra. Alors dans cette scène, c’est vrai qu’elle s’énerve pour rien, même si Nevra n’arrange rien en la provocant volontairement, mais gardons ce passage en tête pour plus tard, surtout quand elle suggère à Nevra d’arrêter de lui dire ce qu’elle doit ressentir. Après ça m’énerve parce qu’elle a clairement conscience que quelque chose tourne pas rond, entre ses accès de colère, le fait qu’elle ait aussi chaud et autant de vertiges, mais sûrement à cause d’une espèce de vieille fierté mal placée, Madame refuse de retourner encore à l’infirmerie. Je déteste tellement quand les gens savent pertinemment qu’ils ont un problème qui nécessite d’aller voir un médecin mais refusent de le faire parce que « nan tkt ça va passer »
« Jour de colère, » on disait donc.
Adalric (je l’avais appelé Edelric dans l’épisode 2 parce que c’était la seule façon que j’avais trouvé de retenir l’ordre des lettres de son nom mais comme je l’aime bien et que j’ai fini par retenir je lui rends son vrai prénom mdr) (même si le fait qu’il parle d’alchimie juste après j’ai trouvé ça rigolo du coup) vient nous rendre visite pour nous informer que Huang Chù lui a demandé d’aller faire des courses au marché et de nous y emmener. Tout à fait entre nous, moi ça me va très bien parce que je suis dans la garde Absynthe, et j’aimerais bien que ça ait un peu de sens pour une fois dans l’histoire, du coup nous renseigner sur l’alchimie ça tombe sous le sens, mais pour les gardien-ne-s dans l’Ombre ou l’Obsidienne c’est pas super justifié (à moins que les dialogues soient différents mais du coup je sais pas ce qui est dit). Enfin ça peut être utile j’dis pas, mais j’espère juste que de temps en temps ça ressortira dans l’histoire, parce que dans les 30 épisodes de TO, on n’a eu qu’une seule scène spécifique aux gardes, et je trouve ça un peu maigrichon pour un concept qui, même s’il ne signifie plus grand-chose sur le jeu à part sur le forum, a quand même son importance au sein de l’histoire. J’en demande pas une par épisode parce que je comprends bien que c’est chiant à mettre en place (j’ai une idée réduisez le nombres de dialogues inutiles ça laissera plus de temps pour faire des scènes intéressantes AHEM), mais de temps en temps ça changerait. EDIT : On vient de me confirmer que l'objet des emplettes et la personne avec qui on y va diffère selon la garde, du coup c'est cool ! Après je maintiens, j'espère qu'on retrouvera ça de temps en temps, plus que dans TO. Cela dit j’ai bien aimé le fait qu’on ait dû se souvenir de ce que nous avait appris Adalric pour choisir les herbes acides. Quand soudain, malheur, une nouvelle crise du poison, sauf que celle-ci est couplée à une vision d’horreur pour Erika… Lance !!! Que personne n’avait vu venir !!!!!!! D’ailleurs ouais pourquoi elle s’étonne de le voir en vie elle l’a pas vu mourir à la bataille ?_? Ou alors elle s’était mis en tête qu’il avait été exécuté ? x) Bref Erika pète son câble face à Lance, elle est traînée à l’infirmerie, le poison est drainé de son corps, elle aura donc toute sa tête pour toute la partie qui suit, et qui concentre les gros problèmes de cet épisode et de ce début de saison 2, sur lesquels je vais devoir m’attarder plus longuement. (Par contre mdr dire qu’Erika a vu Ewe le matin même après son malaise et Chù qui nous dit l’après-midi qu’Ewe est sur les Terres de Jade la meuf elle s’est TP ou quoi XD)
Ça non plus, vous l’aviez pas vu venir, n’est-ce pas ? :’) Avant toute chose, le nouveau design de Lance : en vrai j’aime pas trop mdr. L’armure est plutôt cool (à part la vieille ceinture à cordes vert fluo là), mais je sais pas, la queue de cheval un peu ridicule, la vague barbe de trois jours, les yeux un peu grands pour le visage, avec les cheveux blanc en plus on dirait un peu un Geralt de Riv du pauvre mdr
J’ai pas joué aux jeux alors ce sera un gif de la série.
Après c’est purement un goût personnel, même pas lié à mon appréciation ou non du personnage, hein, donc tant mieux pour celleux qui aiment bien, moi c’est juste pas mon cas ¯\_(ツ)_/¯ Bon, attaquons maintenant le gros morceau. Je l’ai déjà dit dans d’autres avis, je l’ai déjà dit dans le topic de discussion, mon problème avec Lance, c’est pas que ce soit un méchant, c’est que ce soit un méchant hyper mal foutu. Je serais partie direct avec s’il était pas passé de personnage mystérieux et charismatique à gromeychan pakontent qui tue parce qu’il est pakontent. Déjà, ça, c’est le premier problème, le gros problème de TO, et qui a fait perdre tout son sel à l’un des persos les plus intéressants de la saison 1 (mais a augmenté le mien, de taux de sel). Et maintenant qu’on arrive dans la saison 2, la conséquence c’est qu’on passe sans transition de « Gromeychan boss de fin de la saison 1 » à « Chef de la garde obsidienne si t’es pas contente c’est pareil. » C’est juste pas possible. C’est d’une incroyable paresse, et ça pourrit l’immersion pour les lecteurs/trices. Que la transition soit brutale pour Erika, c’est logique, mais pas pour nous. C’est pas comme ça qu’on décrit les personnages qui font un tel revirement. On a finalement eu le droit à ce que je craignais, Huang Chù et d’autres qui nous font simplement un vague récit de comment il s’est racheté pour la Garde (et quelques mois voire un an de prison déso mais non c’est loin d’être « beaucoup » ptdr), et c’est marre, t’acceptes ou tu la fermes (Erika comme nous lol). On avait déjà eu le problème avec Leiftan : le problème c’est pas que le perso passe de méchant à gentil, le problème c’est que ça soit fait SANS rédemption. Et le plus frustrant, c’est que autant Leiftan c’était vraiment fichu n’importe comment, en mode « j’me suis fait griller j’ai plus qu’à les caresser dans les sens du poil et être sympa avec Erika pour qu’elle m’aime bien » et bam là d’un coup magie il est devenu Jonti, ce qui n’a aucun sens dans aucune partie de l’univers, autant Lance, il a effectivement fait un effort pour se racheter (toutes proportions gardées parce que bon on se rachète pas d’une tentative de génocide comme ça lol hein). (Ouais parce que déjà de base, la rédemption par la mort et le sacrifice c’est le paroxysme de la flemme, et j’aurai bien plus d’intérêt pour un personnage qui se rachète en faisant des vrais trucs utiles et tangibles pour les gens qu’il a blessés.) Sauf que du coup ben y’a pas de rédemption quand même, c’est juste « il a été sympa du coup maintenant c’est un gentil, à plus. » Ça suffit pas. Je vais faire une comparaison avec un personnage dont j’ai bien aimé la rédemption : Gaara dans Naruto. On m’a dit que celle de Zuko dans Avatar, le Dernier Maître de l’Air était super aussi, j’ai pas vu la série alors j’en parlerai pas, mais du coup voilà c’est aussi, à ce qu’il paraît, un bon exemple d’arc de rédemption réussi. Gaara pour résumer c’est donc un perso d’abord introduit comme un antagoniste pakontent lui aussi et qui tue ceux qui le regardent de travers, le héros lui met un coup de tatane et lui infuse le Pouvoir de l’Amitié™, Gaara réalise qu’il était dans l’erreur, il vient en aide à d’autres personnages principaux, et après une ellipse de trois ans il devient chef de village et sera dorénavant dans le clan des Gentils. Pas mal de similitudes avec l’histoire de Lance, donc. Quelles sont les différences dans le traitement de ces deux personnages ? Ben déjà, Gaara est beaucoup plus kiki.
GOUZI GOUZI LE FUTUR TUEUR EN SÉRIE !!! >w<
AHEM. Je disais donc. Le point vraiment important quand on cherche à donner une rédemption à un méchant, c’est : l’empathie. Il faut créer de l’empathie avec le personnage qui doit se repentir, sinon ce sera juste pas possible d’accepter son revirement. Et avec Lance, il n’y a rien. Pour Gaara, ça commence lorsqu’il explique un peu son passé, les tentatives d’assassinat de son père sur lui, c’est franchement pas une scène propice à le trouver aimable parce qu’il pète son câble et voulait tuer un autre perso mdr mais déjà le héros lui-même se prend d’empathie pour lui à ce moment-là, puisqu’il se dit qu’il aurait carrément pu devenir pareil si les circonstances avaient été différentes pour lui, vu qu’ils ont tous les deux un démon en eux machin. Ensuite y’a la scène flashback où on voit l’enfance de Gaara, comment il a été traité, comment il essayait d’être gentil mais on le rejetait quand même de toute part, sa relation avec son oncle qui est à peu près la seule personne qui lui donne de l’affection, et enfin quand son oncle le trahit en essayant de le tuer et en lui disant des trucs horribles, on voit son point de bascule, pourquoi il est devenu méchant, ça donne l’explication. Pour Lance, c’est à peine si on connaît son point de bascule : un personnage nous dit vite fait en coup de vent qu’il a lu des trucs sur le Sacrifice Bleu un beau matin de printemps et PAF il est devenu berserk. Même dans l’épisode 26 on en apprend pas beaucoup plus, il fait que gueuler que les faëries sont des assassins qui ont laissé le peuple des dragons se sacrifier, on sait même pas ce qu’il ressent lui, en tant que personne, c’est à peine plus élaboré que « grougrou ça m’énerve è_é » Quant à l’empathie, la seule empathie que j’ai eue c’était avec le Ashkore du début, celui qui avait des motivations douteuses mais nous donnait des raisons de nous méfier de la Garde et nous faisait miroiter son aide future. Pour le reste, dès l’épisode 15, c’est agrougrou colère, il faut attendre genre 5 ou 6 épisodes avant la fin pour que Valkyon nous parle vaguement de leur enfance, quelques élans de sympathie dans l’épisode 26 entre deux tentatives de meurtre, on a Miiko qui nous sort entre la poire et le fromage qu’elle était amoureuse de lui puis on en reparle plus jamais du coup on sait pas si elle le trouvait juste méga-beau ou si ça voulait dire qu’il a été assez sympa pour que Miiko tombe amoureuse lol. Si on avait eu un aperçu de leur relation quand il était encore dans la Garde, ça aurait permis de savoir à peu près qui il était avant de devenir Ashkore. Pareil si on avait eu un vrai aperçu de sa relation avec Valkyon, pas seulement une narration après coup. Puis c’est con mais, si je reprends ma comparaison : Gaara n’a pas tué de personnage important. Les seuls qu’on le voit tuer c’est des randoms qui ont même pas de nom ou un perso lui-même classé antagoniste (Dosu). Lance, lui, a tué Valkyon, l’un des protagonistes, et qui plus est le potentiel amoureux du perso principal, qu’on est censé incarner, en plus de ça. Ça aura été le point de non-retour pour beaucoup de joueurs/euses, et honnêtement on peut comprendre pourquoi celleux qui avaient Valkyon en CDC (moi incluse après un replay) seraient mal à l’aise de pouvoir se mettre en couple avec l’assassin de leur ancien crush, sur le principe c’est un peu craignos, quoi. Il a aussi potentiellement tué Papi Kappa, même s’il est pas directement responsable (c’était les marids dont il a perdu le contrôle), mais ça a pas vraiment l’air de l’avoir dérangé… Et aussi Lance avait quand même prévu de génocider l’entièreté d’Eldarya mdr. C’est quand même légèrement élevé sur l’échelle de méchantitude.
Faites pas gaffe j’aère juste le texte lol
C’est d’ailleurs un autre point qui nous manque chez Lance : l’expression du remord. Pour Gaara, lorsqu’il se bat contre Naruto, ce dernier lui fait tout son speech sur le Pouvoir de l’Amitié™ et comment il comprend sa douleur mais que c’est pas comme ça qu’on gère machin, et on est alors témoin du deuxième point de bascule de Gaara : on voit le déclic se faire alors qu’il est à terre, on le voit comprendre qu’il y a un truc qui va pas dans sa vision du monde, on le voit présenter ses excuses à son frère et sa sœur. Puis, plus tard dans l’histoire, on le voit venir en aide à Lee, un autre personnage important, et on le voit discuter avec lui et expliquer comment il a compris ses erreurs et comment il est en train de se racheter, en plus du fait qu’il vient de l’aider (c’est particulièrement marquant qu’il aide ce personnage-là puisqu’il avait failli le tuer plus tôt). Il est encore en plein dans son arc de rédemption, c’est pas fini, ça continue après l’ellipse où il devient chef de village, qu’il protège son peuple d’une attaque des Gromeychan et tout le village finit par venir à sa rescousse lol (ses actions pour se repentir sont encore plus développées dans les épisodes filler de l’anime mais bon qui a le temps pour des épisodes filler) (t’façon les seuls que j’ai regardés c’est ceux avec Gaara). Bref c’est assez graduel, et surtout on est témoins de gros points clés de sa rédemption, ce qui permet, encore une fois, de développer de l’empathie pour le personnage, et mieux accepter son revirement. Pour Lance, on a… Rien. Lorsqu’il tue Valkyon, on ne voit qu’Erika le projeter au sol et l’assommer, puis on ne le revoit plus avant cet épisode. On a juste Valkyon qui nous dit « nan mais tkt il a regretté dès qu’il m’a tué !! » Ah bah heureusement que tu l’dis !! On aurait pu au moins le voir avoir l’air horrifié, le voir dire « qu’est-ce que j’ai fait » ou j’en sais rien, tout ce qu’on a c’est des récits d’autres personnages, sept ans après les faits, tout est balayé d’un vieux « non mais il regrette » et c’est marre, tout le monde avale sans broncher quand l’autre nouille de Hua dit que ça va après lui avoir sondé l’esprit parce que t’façon elle sait lire dans le cœur des gens. Ben dis donc elle aurait mieux fait de chausser ses lunettes de lecture quand elle s’est approchée de Leiftan dès l’épisode 11, hein… En tant que lecteurs/trices, on est juste obligé-e-s de faire confiance aux autres personnages sur la transition, parce que vous n’avez même pas pris la peine de l’écrire, de nous la faire vivre, de même nous faire accepter qu’elle était possible en nous montrant des faces positives du personnage, comment voulez-vous que les gens qui n’aimaient pas Lance dans TO pour ce qu’il était se mettent à l’apprécier d’un coup d’un seul dans ANE ? C’est facile d’écrire des personnages assez cons pour pardonner des meurtriers comme Leiftan en trois coups de cuillère à pot parce qu’il fait un joli sourire et que Mâdâme Hua a décrété que ça allait, mais votre commu c’est pas des abrutis comme vos persos, on va pas se mettre à apprécier Lance si on le détestait parce que c’était un meurtrier ou un méchant mal foutu, juste parce que vous faites dire à vos persos « c’est bon maintenant il est de notre côté. » Là la seule réaction que vous nous laissez avoir, c’est « Bon bah si c’est vous qui le dites, écoutez, apparemment on ne peut que faire avec… » Du coup voilà, on passe de Gromeychan unilatéral dont on n’a vu QUE le côté méchant durant TOUTE la saison 1, à Grand Chef Charismatique de l’Obsidienne que tout le monde a plus ou moins accepté, sans transition, sans aucun effort de votre part dans l’écriture. Après, de manière générale, même si un arc de rédemption est réussi, ça oblige toujours pas à aimer le personnage, hein, qu’on soit bien d’accord. Maintenant qu’on a parlé meta, voyons un peu l’autre problème que pose votre « gestion » de la rédemption de Lance.
Ouais parce que bon c’est fun de se moquer d’Erikonne, mais clairement vos persos ils ont zéro considération pour elle. Chù elle est très terre à terre, j’ai l’impression que c’est sa façon de communiquer, juste énoncer des faits, au risque de paraître un peu à côté de la plaque (pas envie de me rappeler ce dialogue abscons de l’épisode 2 bruh), mais du coup au moins elle nous le dit : elle ne fait qu’énoncer des faits. Même si c’est de la couardise de refuser de prendre position sur la question. Hua, elle, c’est une autre histoire. Quand on est allée la confronter, j’ai décidé d’être très mal élevée lol. Parce que ça va bien deux minutes, les âneries. Évidemment qu’Erika est en colère. Évidemment que c’est normal. Il faut absolument écouter Hua quand elle décrète que tout va bien après avoir sondé l’esprit de Lance, mais pour prendre en compte le fait que, effectivement, comme elle le rappelle elle-même, ce qui est arrivé avec Lance pour Erika c’était la semaine passée, là y’a plus personne. Là faut appliquer « la tolérance et le pardon » si chers à la Garde, sans se poser de questions. Alors que merde, y’a personne dans cette baraque pour réaliser que oui, pour Erika c’est une torture de voir cet homme soudainement adopté par tout le monde, alors qu’il y a si peu de temps pour elle, c’était l’ennemi numéro un, celui qui a tué Valkyon, l’homme de sa vie. Tout le monde s’en fout, en particulier la Grande et Belle Hua, celle qui Sait, mais qui s’en Branle comme de sa première chemise. Elle nous reproche de voir Lance comme un ennemi alors que : c’en est un pour Erika, elle nous reproche de nous énerver alors que : meuf c’est toi qui as décidé de cacher une info aussi importante, et maintenant, comme depuis toujours dans cette foutue histoire, elle nous enjoint à pardonner. (D’ailleurs elle nous dit : « tu as bien pardonné à Leiftan » alors non déso c’est vous qui avez décidé pour nous, moi j’ai pardonné que dalle mais bon Hua et les autres ils avaient dit que alors il a fallu faire comme ce que les autres avaient dit que…) Karuto, lui, est dubitatif, mais « préfère la rédemption au châtiment, quand c’est possible »… Spoiler, on peut conjuguer les deux, en fait. C’est pas inconcevable. Karenn pense qu’ostraciser Lance n’aurait aucun sens. Alors en fait si, ça peut en avoir dans l’absolu, empêcher un criminel d’être mis en avant dans le groupe dans lequel il a sévi c’est pas une mauvaise idée en soi. Après elle nous accuse de pas vouloir faire d’efforts pour comprendre qu’il a changé, mais y’a qui pour faire des efforts pour comprendre qu’elle peut pas accepter en deux semaines ? Certainement pas Karenn en tout cas, mais j’attends rien de cette cruche de toute façon. Chrome cherche des excuses pour n’avoir rien dit à Erika, et si on fait pas confiance au Jugement Divin de Hua, alors c’est qu’on la traite de menteuse, et c pas bien. Punaise je vais finir par la détester comme Miiko là.
Je pensais avoir gagné au change, moi >_>
Chrome finit par lui aussi nous reprocher de nous énerver. Et c’est bien le problème. Personne n’accepte qu’Erika soit en colère. Oh ça vient bien sortir des « je comprends que ça te plaise pas » puis 10 secondes après ça lui reproche de s’énerver et de pas accepter TOUT D’SUITE que Lance n’est plus le même et qu’il est accepté dans la Garde. Il faut qu’elle se calme, qu’elle arrête de ruminer, qu’elle discute calmement, qu’elle respire un bon coup, elle est énervante à s’énerver… Il n’y a aucune place pour sa colère. Et même Jamon, qui était pourtant bien parti, finit par lui dire que la colère est mauvaise conseillère. Alors oui, c’est vrai… Quand elle nous aveugle. La colère en soi est loin d’être une mauvaise chose, arrêtez de nous coller vos morales à deux ronds complètement en dehors des réalités. Toutes les émotions sont importantes, toutes sont des signaux du cerveau qui nous indique une réaction à avoir. Bien sûr que quand on les laisse nous envahir trop longtemps ça cause des problèmes, mais quand on les réprime ou qu’on nous force à les réprimer ça cause des problèmes aussi, croyez-moi. La colère c’est un moteur. Si y’avait pas eu des meufs qui s’étaient mises en colère hier et d’autres qui continuent de se mettre en colère aujourd’hui, la plupart d’entre nous qui jouons à ce jeu n’auraient probablement même pas le droit d’accéder à un ordinateur, et c’est comme ça pour toutes les luttes sociales, nos droits ont pas été acquis en demandant poliment et en proposant des petits gâteaux. Et à l’échelle individuelle, c’est pareil : la colère, c’est notre cerveau qui nous dit, « je suis pas d’accord avec ça, je veux qu’on me respecte, moi et mes valeurs. » Et ça, tous les personnages veulent le retirer à Erika sans même prendre 2 secondes pour se mettre à sa place. Erika a le DROIT d’être en colère. Erika DOIT être en colère. Ça rejoint la scène avec Nevra où elle lui dit qu’il peut bien la laisser s’énerver si elle en a besoin, et lui dire d’arrêter ce qu’elle doit ressentir. Parce qu’en cet instant c’est ce qu’il lui faut. Et je rejoins une personne plus haut qui disait que le poison était un peu la vieille excuse pour qu’Erika soit en colère, mais elle a toutes les raisons du monde de l’être, pirouette scénaristique du poison ou non. La discussion avec Jamon se poursuit, et Erika finit par se souvenir de ce que Valkyon lui avait dit avant qu’elle entre dans le Cristal : « Stp sois pas trop dure avec mon frère qui m’a tué et a voulu trucider la planète Eldarya, il s’en veut :’( » Et là d’un coup, magie, la colère d’Erika disparaît et se transforme en tristesse. Alors d’une part c’est pas comme ça que ça fonctionne, déjà, mais on a bien intégré que vous aviez rien compris au fonctionnement des émotions. Un traumatisme comme ça, la colère elle va pas s’évaporer deux heures après parce que tu t’es souvenu d’un conseil particulièrement pourri (oui c’est très pourri ce qu’a dit Valkyon). D’autre part… Jamon nous sort maintenant que la tristesse aussi est mauvaise conseillère. Je suis fatiguée de devoir écrire que bon sang de bois, c’est hyper important de pouvoir exprimer sa tristesse sans que des glandus viennent se plaindre que ça les énerve parce que c’est la BASE. Et c’est pareil pour la colère !!! J’sais pas y’a un milliard de fois plus de bon sens dans le Disney Vice Versa dans la description des émotions que dans tout Eldarya réuni.
Sans doute parce que c’est écrit par des gens qui savent de quoi ils parlent.
Si vous voulez, >une vidéo< de deux psys qui réagissent à Vice Versa et parlent de l'importance des émotions. Bien sûr, je crois pas avoir besoin de vous dire ce que je pense du fait qu’Erika veuille présenter des excuses à Chrome et Karenn, alors que clairement, c’est ces deux abrutis qui lui doivent des excuses. Ainsi que Hua, tant qu’on y est. Ils ont tous les trois agi de manière méprisable, et c’est pas à Erika de faire des excuses. Je terminerai cette partie en disant que le dernier truc qui m’horripile depuis l’épisode 1, et que je continuerai d’aborder à chaque satané épisode tant que ça sera pas réglé, c’est la façon dont Erika oublie TOTALEMENT Valkyon, à part un sursaut de bon sens quand on se rappelle que Lance l’a tué, alors que dans ma partie c’était l’homme de sa vie, et quand c’était pas notre CDC c’était censé être son ami proche. On nous parle enfin un peu du fait qu’il a été enterré dans cet épisode, et même pas elle se pose la question de savoir où il est. Pour nous montrer sa colère (légitime !!!) face à Lance et nous rappeler comment pour elle c’était tout récent, ça c’est ok, par contre ses sentiments envers Valkyon ils sont passés dans le trou interdimensionnel du scénario, hein. Je pourrais entendre que pour elle ce soit trop tôt pour se rendre sur sa tombe, mais ne même pas se demander où ils l’ont mis ?! Ne même pas envisager, dans un futur plus ou moins proche, de s’y rendre ?! On a compris que vous faites tout pour que la saison 2 soit jouable sans avoir joué la saison 1, mais vous partez pas sur les bonnes bases. La saison 1 a un impact considérable, rien que dans la mémoire des personnages encore là, on peut pas faire comme si la saison 1 n’existait pas, c’est pas possible. C’est pas comme dans AS. Les souvenirs de Lance et de la guerre c’est ok c’est frais, par contre son mec décédé ou parti à l’autre bout du continent ça va elle passe à autre chose et va draguer Mathieu dès son réveil limite. Vous voyez pas que y’a un truc qui va pas, là ?
Ouais alors non pas question que je détaille le reste parce que pour la première fois depuis le début du jeu, j’ai fini par cliquer sur les dialogues par automatisme sans vraiment les lire tellement je me suis fait CHIER. J’aime pas utiliser des mots aussi forts mais vraiment j’en pouvais plus, c’était à la limite de l’insupportable. Alors c’est bien que les personnages soient beaucoup plus vivants que dans la saison 1 où on connaissait rien d’eux, mais là sérieux on aurait coupé la moitié des dialogues que j’en aurais quand même appris autant sur eux, et en prime, j’aurais pas eu autant envie de ragequit. J’vous jure que j’étais tellement en train de supplier les personnages de fermer leur boîte à camembert à travers mon écran, j’avais l’impression de m’adresser à un congrès de tyrosémiophiles. Je regardais sur mon enregistrement de l’épisode (ui hein tant que je le diffuse pas j’espère bien qu’il y a rien qui m’interdit d’enregistrer ma partie pour mes archives personnelles pour pouvoir y revenir quand j’ai besoin de revérifier un truc d’un épisode précédent quand je rédige ces avis), le moment où Karenn toque à la porte pour nous inviter à sa soirée là c’est vers 42 minutes, sur 77 d’enregistrement, sachant que j’ai cliqué beaucoup plus vite sur les dialogues lors des défis parce que j’en pouvais plus, c’est à dire que cette soirée prend un peu moins de la moitié de l’épisode. C’est énorme, surtout pour un truc qui s’appelle « Jour de colère » où on est en colère quelques heures et après ça va mieux parce qu’on nous dit d’arrêter d’être en colère et qu’on fait une pyjama-party. Les seuls bons points que je relèverai c’est le fait que Koori a été beaucoup moins relou que dans l’épisode 2, qu’on en apprend un peu sur ses pouvoirs et qu’Adalric est vraiment un personnage attachant. J’espère juste que vous allez pas le gâcher avec une relation pédo comme vous aviez commencé avec Jamon en saison 1, mais maintenant faut s’attendre à tout (et surtout n’importe quoi) ici. C’est bien que Koori ait mis sur la table le sujet de Lance, parce que oui, faut en parler. Faire l’autruche et faire comme si y’avait pas eu de problème, ça n’a jamais aidé qui que ce soit (et ça marche aussi pour les entreprises de jeux en ligne qui ne reviennent jamais sur les shitstorms qu’ils provoquent N’EST-CE PAS). J’aime pas qu’Adalric parle de « dédramatiser » la situation avec Lance, si vous avez pas compris pourquoi je peux rien pour vous. Je note la remarque de Karenn « ça va on a pas trop d’hommes de pouvoir au QG en fait… » Si c’est pour sous-entendre que votre jeu se veut féministe parce que plus de meufs au pouvoir vous inquiétez pas c’est quand même toujours aussi mal barré niveau féminisme rassurez-vous. Quant aux pouvoirs d’Erika, m’est avis que si elle s’était un peu plus bougé les fesses en saison 1 pour les maîtriser, p’t’être qu’elle aurait pas autant de mal aujourd’hui pour les faire « revenir. » Je mets des guillemets parce que je sais pas si on peut parler de retour pour des pouvoirs qu’elle n’a jamais utilisés que genre trois fois et toujours par un pur hasard. Maintenant on espère juste que c’est pas lié à L’AmûûÛÛûÛr comme le laisse suggérer la scène de fin (que j’ai eue avec Mathieu, super gênant surtout alors qu’elle a déjà oublié Valkyon tout comme le pôle scénario de Beemoov). Pour la mission à Genkaku, j’attends le moment où Lance va nous sauver d’une mort certaine et qu’on va être là « oooooooh il a vraiment changé il m’a sauvé la vie je me sens toute chamboulée >w< » et ça va m’énerver mais bon faut pas s’énerver la colère est mauvaise conseillère.
- « Jamon t’as forgé une épée » -> t’a - « Un familier enragé t’as mordue » -> t’a - « Vous en êtes vraiment sûrs ? » (à Adalric seul) -> sûr - « Il y a eu un moment où tu n'avais pas l'air à ce que tu faisais » -> Clairement il manque un bout de phrase, là J’ai pas relevé d’autres trucs mais c’est pas impossible que j’en aie loupés. Je pense arrêter de relever les erreurs, t’façon ça sert pas à grand-chose puisque le topic dédié vous l’utilisez même pas. Mais je note qu’il y en a beaucoup moins qu’avant, c’est toujours ça de pris. La rédaction semble déjà bien plus agréable à lire qu’en saison 1, heureusement pour nous vu la tétrachiée de dialogues supplémentaires qu’on se coltine. C’est bien on voit que vous ouvrez des dictionnaires spécialisés pour mettre des termes spécifiques à un domaine (le coup de téléphoner et la fente, où je croyais que vous confondiez avec feinte mais deux fois ça me paraissait suspect), mais c’est pas non plus la peine d’en faire des caisses. Par contre stop le capslock, la police d’écriture est super désagréable à lire quand tout est en majuscules.
C’était long. Il se passe pas grand-chose : l’empoisonnement, le retour de Lance, la pyjama-party, un vague retour de pouvoirs et l’annonce du prochain épisode. Avec la pyjama-party qui bouffe quasiment la moitié du temps de jeu. Moi ça m’amuse pas de dépenser 2900 maanas pour ça. Vous tirez sur la corde sans même vous cacher, avec les boîtes de récit deux fois plus petites, l’abandon des bulles multiples et l’ajout de platitudes inutiles. Vraiment, non, « une soirée à assister aux chamailleries de Koori et Mathieu » est TOUT SAUF LE SIGNE D’UNE BONNE SOIRÉE. C’est bon, on a pigé que vous alliez nous faire des scènes chiantes comme la pluie qui vont durer trois heures pour nous faire raquer pour rien, et ce jusqu’à la fin du jeu, mais bon tant que y’a des « ça va c’est un prix correct » pourquoi remettre en cause le procédé, hein ? Si on peut saluer l’effort pour développer les personnages secondaires comme Adalric et Koori (je compte pas Chrome et Karenn parce que ces deux-là peuvent bien aller se faire cuire le popotin pour ce que ça m’intéresse), c’est quand même regrettable d’avoir jamais pris le temps de le faire en saison 1 et d’avoir attendu « l’excuse » du paiement au dialogue pour le faire ici. J’ose espérer que dans les épisodes suivants, les platitudes seront remplacées par des trucs qui feront vraiment avancer l’histoire ou les relations entre personnages, histoire que ni vous ni nous ne perdions de temps en blablas inutiles, surtout qu’on ressent bien plus la longueur de ces dialogues quand on sait que nos maanas s’envolent petit à petit quand on peut rien faire d’autre que cliquer pour voir la trentième insulte que Mathieu va balancer à Koori dans la même scène. Moi je veux bien payer 3000 maanas l’épisode si le contenu en vaut la peine, et là clairement c’était pas le cas. J’attends beaucoup du traitement de Lance et de la réaction d’Erika. Je veux qu’on puisse ne pas le pardonner si on le souhaite. Et par pitié faites qu’elle se souvienne de Valkyon et cherche au moins à savoir où il est enterré, bon sang de bon soir !!! Je pense pas avoir quoi que ce soit à dire de plus, je pose ça là comme on dit, un peu à l’arrache mais ça m’a éreintée et j’veux juste en être débarrassée et j’ai d’autres trucs à faire mdr
En attendant d’être vieille demain.
#eldarya#eldarya a new era#eldarya a new era episode 3#mes avis#jour de colère more like jour d'épuisement mental lol#sachez que j'avais pour défi de caser le mot tyrosémiophile dans cet avis#je suis particulièrement fière de la façon dont je l'ai fait#je pensais que ce serait impossible mais en fait c'était évident#sachez aussi que c'est mon anniversaire aujourd'hui voilà#mais bon qui lit les tags
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Pourquoi beaucoup de personnes ne deviendront jamais millionnaires ou milliardaires ? (Selon Flavien Mwasi)
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La plupart des gens ne deviendront pas millionnaire...Triste réalité mais vraie…
Franchement, la plupart des gens n’ont pas ce qu’il faut pour devenir millionnaires.
Voici pourquoi :
1. Manque de but
La majorité des gens dans le monde n'a pas de but.
Cela signifie que la plupart des gens ne savent pas vraiment pourquoi ils existent.
La question la plus importante n’est pas de savoir comment devenir un millionnaire, mais pourquoi devenir un millionnaire.
De nombreux millionnaires n'ont pas simplement commencé à suivre des intérêts égoïstes et des objectifs d'acheter des voitures de luxe et des maisons chères.
Ils avaient des objectifs et des objectifs plus ambitieux d'améliorer la vie de leurs familles et de leurs communautés.
2. Manque d'ambition
L'ambition est le carburant qui motive le but. Par conséquent, si vous manquez de but, vous manquerez automatiquement d'ambition.
En tant que tel, la majorité de la population mondiale manque d’ambition.
Le manque d'ambition signifie que vous ne pouvez pas grandir intérieurement et extérieurement en tant que personne.
Beaucoup de personnes qui ont conquis le monde, comme Alexandre le Grand, Jules César et Napoléon, avaient toutes de grandes ambitions ardentes.
Il en va de même pour les personnes qui sont devenues de grands athlètes, des champions de boxe et des millionnaires.
3. La procrastination
La procrastination est l'incapacité de prendre des mesures positives.
La procrastination est peut-être le plus grand ennemi du succès et, en tant que tel, le plus grand obstacle à l’accès au millionnaire.
La plupart des gens ne font que dériver dans la vie, sans but ni direction particulière.
Ils passent de nombreuses heures à baver et rêver sans rien faire.
En conséquence, ils finissent par devenir pauvres.
4. Manque de discipline
Le manque de discipline est peut-être l’un des principaux obstacles à la réussite financière.
Le monde est plein d’échecs qui ont simplement manqué de discipline financière et de planification appropriée.
Il n'y a pas d'accident.
Chaque échec est le résultat d'une erreur de jugement humain.
Les opportunités et les chances reviennent à tout le monde, même si elles ne se déroulent pas au même moment mais bien, et quand elles se présentent, le manque de vision, la discipline financière et le manque de préparation nuisent grandement au succès financier.
Par exemple, Mike Tyson a fait une belle fortune en boxe pendant ses beaux jours.
Cependant, en raison d'un manque de discipline financière (à peu près à ce sujet plus tard) et d'un état d'esprit millionnaire, il a tout gâché dans une vie imprudente.
5. manque de patience
La plupart des gens n'ont tout simplement pas la patience de devenir millionnaires.
Lorsque vous plantez une graine dans le sol, vous ne comprenez probablement pas comment la graine germe quelques jours ou quelques semaines plus tard.
Cela n’aide pas non plus de vérifier les progrès chaque jour.
Mais quelques semaines plus tard, lorsque vous le vérifiez, vous constaterez que les bourgeons ont grimpé et que la plante commence à se développer.
Quelques semaines plus tard et cela devient une grande plante.
Tout cela prend du travail, du temps et un processus.
C'est ici que la patience vient jouer.
La graine est la matière première que vous mettez dans le sol et le travail est le temps et les efforts que vous investissez.
Le processus est ce qui prend effet sans votre interférence.
C'est hors de votre contrôle.
La plupart des gens voudront probablement planter une graine et manger ses fruits le lendemain matin.
6. Manque de concentration
Le guerrier à succès est l'homme moyen avec une concentration semblable à celle d'un laser
- Bruce Lee, légende des arts martiaux de Kung Fu.
Le manque de concentration est peut-être le principal obstacle au succès financier.
La plupart des millionnaires que je connais sont des individus très concentrés.
Le milliardaire chinois et président du groupe Alibaba, Jack Ma, affirme souvent qu'il reçoit environ 5 000 nouvelles idées commerciales par jour.
Malheureusement, il est obligé de tout refuser, préférant rester concentré sur la fourniture d'un service de qualité aux millions de clients et de fournisseurs qui visitent quotidiennement ses magasins en ligne.
7. Travail dur contre travail intelligent
La plupart des gens ne vont pas devenir millionnaires parce qu'ils n'ont jamais appris à travailler intelligemment.
Vous avez entendu dire que le travail acharné porte ses fruits.
Je dirais que le travail intelligent porte ses fruits.
Au 19ème siècle, il a fallu environ 30 ans pour devenir riche.
Au 20ème siècle, il a fallu moins de vingt ans pour devenir riche.
au 21ème siècle, il ne faut que six mois pour devenir riche.
Tout cela dépend de la mise en œuvre intelligente d'une loi simple appelée
effet de levier
.Les millionnaires apprennent à exploiter le temps des autres.
Les millionnaires apprennent à utiliser l'argent des autres.
Les millionnaires apprennent à
exploiter les compétences et les talents des autres.
Les millionnaires apprennent à tirer parti des machines et de l'automatisation.
8. Apprentissage tout au long de la vie
Pour la plupart des gens, l’apprentissage s’arrête dès la fin de leurs études collégiales ou universitaires.
Bien que l'apprentissage continu soit un mode de vie, la plupart des gens n'apprendront jamais rien de nouveau pour améliorer leur vie.
Par exemple, un ordinateur est livré avec les paramètres par défaut de la chaîne de montage du fabricant.
Nous n’utilisons guère l’ordinateur avant de le personnaliser avec nos propres paramètres et préférences, qui consistent pour la plupart à installer un logiciel personnalisé.
Les humains ont beaucoup de similitudes avec un ordinateur mais nous le réalisons rarement.
En tant que tel, la plupart des gens n'apprendront jamais de nouvelles façons d'améliorer leur mode de vie et leur bien-être financier.
9. Manque de cohérence
La plupart des gens ne vont pas devenir millionnaires parce qu'ils manquent de cohérence.
La plupart des millionnaires et des milliardaires que je connais n’ont mis en œuvre qu’une idée ou un produit, et sont restés fidèles et cohérents avec elle pendant longtemps.
Coca-Cola
est remarquablement l'une des marques les plus cohérentes au monde.
Connu pour ses campagnes publicitaires cohérentes qui changent souvent, les thèmes généraux exprimés dans les annonces ne le sont pas.
Coca-Cola
est connu pour renforcer les idées de bonheur, de convivialité et de rafraîchissement dans les publicités à travers le monde.
Au cours de ses 132 années d’existence, cette stratégie a largement porté ses fruits, apportant beaucoup d’argent à ses investisseurs.
Combien d'entreprises durent aussi longtemps?
10. État d'esprit millionnaire
La plus grande différence entre les riches et les gens moyens ne se trouve pas dans leur éducation, leur chance, leurs compétences ou leur choix d'investissements - c'est dans leur état d'esprit.
La mentalité définit votre façon de penser, de parler et d'agir.
Cela définit votre vocabulaire.
Franchement, la plupart des gens n’ont pas l’esprit de millionnaire.
Le projet le plus difficile sur terre n'est pas d'obtenir un doctorat, mais de changer votre état d'esprit.
La plupart des gens ont beaucoup d’argent mais ont toujours l’esprit de pauvreté.
C’est vrai quand on considère que beaucoup de gens gagnent de grosses sommes d’argent par le biais de loteries mais qu’ils perdent tout cela après seulement quelques années.
La mentalité de la pauvreté est enseignée dans notre système social et éducatif par nos parents, nos pairs, les écoles et le marché du travail.
En fait, notre système éducatif utilise encore le modèle éducatif du XIXe siècle, qui consistait à doter le marché du travail d'un personnel qualifié.
C'est pourquoi la plupart des gens cherchent toujours un emploi après avoir obtenu leur diplôme, au lieu de poursuivre leur
rêve d'entrepreneur
, qui, bien que chargé de risques, vous offre la plus grande opportunité de devenir millionnaire.
Un état d'esprit millionnaire est la capacité de gagner un million de dollars même après avoir perdu un million de dollars.
En d'autres termes, perdre un million de dollars n'est rien comparé à perdre votre état d'esprit millionnaire.
11. peur de l'échec
Le plus grand obstacle qui empêche la plupart des gens de s’enrichir est FEAR.
Le processus de création et d’acquisition de richesses semble inatteignable et impossible à la plupart des gens.
Quand nous étions enfants, la plupart d’entre nous aimaient prendre de gros risques et, en tant que tels, nous avons appris à ramper, à marcher, à courir et enfin à faire du vélo.
En tant qu'enfant débordant de foi, je me souviens très bien de la façon dont je croyais qu'un jour je deviendrais riche et éliminerais tous les problèmes financiers de notre famille.
Cependant, en vieillissant, nous avons commencé à écouter un flot de voix constantes d'adultes nous avertissant que nous tomberions si nous essayions cela, ou nous échouerions et deviendrions embarrassés si nous essayions cela, etc.
Progressivement, nous avons perdu notre courage intérieur et finalement, nous avons complètement remplacé notre courage par la peur.
La vie consiste à prendre des risques, mais les risques doivent être calculés.
Apprendre à analyser, calculer, gérer et prendre des risques calculés est un trait commun à de nombreux millionnaires.
Je pense qu'il est prudent de dire que, parce que la plupart des gens craignent l'échec, ils ne deviendront jamais des millionnaires.
12. Peur du succès
Croyez-le ou non, la plupart des gens craignent le succès autant que l'échec.
En tant que tel, la plupart des gens ont peur de devenir millionnaires.
J'ai récemment lu avec choc un article sur
Insider à propos d'une ingénieure du Texas qui craint de gagner beaucoup d'argent.
Convaincue qu'elle était incapable de gérer tout son argent, elle a demandé conseil à un consultant financier.
Elle a également demandé à la consultante de gérer l'argent en son nom et de lui recommander de bonnes méthodes pour investir son argent.
La conseillère financière a recommandé un plan financier prévoyant notamment un maximum de 401 $ (k), des économies, des investissements, des dons à des œuvres de bienfaisance, des plans fiscaux et une foule d’autres moyens pour assurer une retraite confortable.
La chrométophobie ( peur
intense
de l'argent)
est un problème fréquent chez la plupart des gens.
Personne ne sait exactement pourquoi cela se produit, mais il est communément admis que cet état a quelque chose à voir avec l'éducation.
La plupart des gens sont élevés dans un environnement caractérisé par un manque d'argent. Ils croient donc que l'argent est associé au mal.
La condition ne disparaît pas, même à l'âge adulte, car notre esprit est déjà conditionné.
Cela a une incidence sur nos habitudes de consommation et notre capacité à nous enrichir, ce qui rend difficile l’économie d’argent pour l’avenir.
Cela se produit parce que nous essayons inconsciemment de nous débarrasser de ce mal «perçu» appelé «argent».
13. Syndrome d'objet 'brillant'
La plupart des gens ne vont pas devenir millionnaires parce qu'ils souffrent du syndrome des objets «brillants».
Comme un petit enfant à la poursuite d'objets brillants, tout le monde souffre du syndrome d'objet brillant - une distraction majeure sur la route du succès.
La plupart des gens croient que pour devenir millionnaire, il faut avoir cette chance, comme gagner une loterie ou trébucher sur une formule secrète.
En fait, la plupart des gens croient que le trait millionnaire est quelque chose avec lequel vous êtes né.
Quel mythe!
Selon Forbes, en 2017, 80% des personnes les plus riches du monde étaient des créateurs autonomes, ce qui signifie que seulement 20% ont hérité de leur richesse.
En fait, 20% de ces 80% sont des femmes.
14. Gestion du temps
On a souvent dit que
«le temps, c'est de l'argent»
et c'est le cas.
La plupart des gens ne veulent même pas devenir millionnaires parce qu'ils ne peuvent pas gérer leur temps.
Il n'y a que 24 heures dans une seule journée et c'est la seule heure disponible pour chacun de nous.
Nous sommes obligés de passer 8 de ces heures à travailler, aller à l’école ou au collège.
Et nous sommes mandatés par la nature pour passer 8 de ces heures à dormir.
Les 8 heures restantes sont à notre discrétion.
Nous pouvons passer le temps sur le canapé à regarder la télévision, des films, à jouer à des jeux ou à boire un verre de bière au pub local.
La prolifération des médias sociaux a permis de faire entrer le divertissement dans notre chambre à coucher.
Alternativement, nous pouvons également passer du temps à assister à un cours d’affaires ou à créer une entreprise qui ferait un jour de nous des millionnaires.
La différence entre les riches et les pauvres dépend de la manière dont nous passons les 8 heures discrétionnaires.
15. Mauvais modèle financier
Étant donné que la plupart des gens fuient l'éducation financière, ils n'apprendront jamais à sélectionner les meilleurs véhicules financiers.
Ainsi, la plupart des gens choisissent de consulter des conseillers financiers car ils n’ont jamais passé beaucoup de temps à apprendre l’argent et à identifier les meilleurs instruments de placement.
Ignorant que même ces conseillers financiers ont besoin de conseils financiers ultérieurs, ils font confiance à ces personnes qui finissent par investir leur argent durement gagné dans des structures d'investissement lentes qui ne peuvent même pas vaincre l'inflation.
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Histoire personnelle #1
J’avais planté mes crocs dans le cou de ma nouvelle victime qui me priait de l’épargner, mais si je devais me fier à mon instinct de vampire, je n’hésiterai pas une seconde à boire son sang. Je me nourris rapidement, lâche le corps inanimé de ma proie griser sur le sol, mis ma capuche pour qu'on ne me reconnaisse pas et me dépêche de m’enfuir du village de Zarael. Cette nuit était loin d’être une nuit de repos je crois. Je glissais mes mains dans les poches de mon sweat et retournais au château, l’air de rien. Si les humains venaient à apprendre notre identité et le fait que nous sommes des vampires, tout ce qui resterait de nous seraient des cendres… Donc je ferai mieux de rester discret. Une fois devant l’immense château d'Ellyrion, je tombai nez à nez avec les autres vampires.
-Merde, chuchotai-je.
-Tu t’es encore emparé d’un humain, c’est ça? demanda Meynah, s’avançant dangereusement de moi.
Meynah est la petite soeur du chef de notre clan. Elle a seulement 17 ans et elle est la plus jeune, mais malgré son âge elle est beaucoup plus intelligente que la majorité de notre population. Elle est une sorte d’hybride, mi-vampire, mi-elfe. Les hybrides sont très intelligents et ont des sens en plus. Ils sont de plus en plus rares à notre époque, il n’empêche qu’elle a eu une chance extraordinaire. Les hybrides sont également très appréciés, non seulement des vampires mais par tous les clans existants, comme les fées, les nymphes ou encore les mages.
Elle croise les bras, signe qu’elle perd patience.
-Nevra? reprit-elle, voyant que je ne réponds pas
Je ne pouvais pas lui mentir, elle allait le découvrir tôt ou tard. On ne peut rien mentir à celle-là, et je tiens encore à ma vie. Ça y 'est, je me déclare perdant.
-Oui… Je suis retournée à Zarael, avouai-je, en me mordillant la lèvre inférieure
-Et pourquoi?! crie-t-elle, ce qui me fait sursauter. Ce n’est pas dans ses habitudes, je ne sais pas ce qu’il lui prend mais je sais à quel point elle fait peur quand elle est en colère. Je recule d’un pas et Isaac décide de s’interposer entre nous.
-Calme toi Meynah, je vais lui parler.
Isaac, un ancien, se retourne vers moi et me lance un regard noir. Décidément, tout le monde me déteste.
-Si les humains t’auraient repéré tu serais mort. M-O-R-T. Pourquoi est-ce que tu dois toujours tout compliquer?!
Il dit à Meynah de se calmer et pourtant lui ne paraît pas plus calme. Je soupire avant de lui répliquer:
-j’avais soif ! Dans tous les cas je risquerai de mourir ! Soit de soif, soit à cause des humains.
Isaac soupira. Il était désespéré. Il pointa la plaine d’Ellyrion tout en me regardant.
-Tu’es au courant que tu peux boire le sang des animaux? Pourquoi tu veux toujours risquer ta vie, hein?!
-Sinon ce ne serait pas drôle.
Je lui tourne le dos, n’écoutant pas par son monologue.
-NEVRA ! Reviens, je n'ai pas fini avec toi !
Je continue mon chemin sans savoir où je vais. Tout ce que je voulais c’est les éviter et rester tranquille le reste de la nuit. Je marche donc une bonne dizaine de minutes jusqu’à arriver à un lac. Je m’allonge dans l’herbe en contemplant les étoiles jusqu’à ce que je m’assoupisse.
J’ouvre mes yeux petit à petit et remarque que je suis toujours près du lac et qu’il fait toujours nuit. Je me frotte les yeux mais je me lève rapidement quand j’eus entendu un bruit de craquement de branches et regarde aux alentours, mais il n’y a rien. Je jette un dernier coup d’oeil vers les arbres mais au moment où je voulais me rallonger, un nouveau bruit retentit.
-Eh ! Qui est là? criai-je, pour me faire entendre.
Je me lève et recule pour prendre une vue d’ensemble. Soudain, des pas comme si un animal courait en ma direction se firent entendre.
-Nevra !
L’animal ses jetta sur moi me faisant tomber et léchant mon visage.
-Nevra, c’est moi, Leiftan !
Le loup se métamorphosa en un humain en un clin d’oeil et me prit dans ses bras.
-Leiftan?! Tu’es revenu? Il s’est passé quoi?! Je me lève grâce à son aide et le regarde surpris, ne pouvant cacher ma joie.
Leiftan est mon meilleur ami depuis toujours. Lui, c’est un loup-garou, mais il a dû partir car son clan a été pourchassé par les humains. En gros, les humains ont toujours pourchassé les êtres fantastiques et ont voulu s’emparer de nos terres pour former qu’une seule et même race. Ils ont donc voulu d’abord exterminer les loups-garous. Ils sont devenus une menace pour eux donc ils devaient fuir le plus loin possible pour éviter de se faire tuer. Depuis, les humains n’ont plus jamais reposé les pieds sur l’une de nos terres, manquant de courage.
-Ils ont abandonné ! On a été obligés de se battre... Les autres loups-garous ont réussi à en tuer la moitié et les autres se sont enfuis. Je crois qu’ils nous avaient estimés. Il émet un petit rire nerveux et me retourna la question.
-Et vous donc? Il s’est passé quoi depuis?
-Oh tu sais… Rien de spécial.
-Tu te disputes toujours avec ceux de ton clan? Il tourna la tête sur le côté, ce qui me fait rire.
-Comme toujours. Ils me reprochent toujours le faits de partir dans le royaume des humains. Ils ne me font pas confiance, comme s'ils allaient me surprendre. Je soupire et détourne le regard.
-Mais tu sais… Ils n’ont pas tort on plus. Ils font ça pour te protéger. Je me doute qu’ils veulent que tu sois réduit en poudre. Ils tiennent à toi, on tient à toi, dit-il en appuyant sur le ‘’on ".
Leiftan est vraiment un bon ami. Il m’a vraiment manqué ces derniers temps. Heureusement qu’il est revenu, j’avais toujours eu l’impression d’être de trop ici et je me sentais terriblement seul. Leiftan est l’ami que tout le monde aurait aimé avoir, beau, gentil, drôle, assez naïf, et moi j’ai la chance de l’avoir. Beaucoup de gens envieraient notre amitié et c’est compréhensible. Il a toujours été là pour moi, et j’ai toujours été là pour lui. -Je sais pas, Lef’... J’ai toujours cette impression d’être de trop.
Je m’assois et m’amuse à jeter des cailloux dans le lac. Leiftan s’assoit à mes côtés et regarde au lointain.
-Tu sais... Moi aussi j’avais l’impression d’être de trop, surtout la première fois que je suis arrivé ici… Rappelles-toi, je croyais être un humain banal qui n’a rien de spécial mais il s’avérait que j’étais un loup-garou. Tout le monde me parlait froidement, me donnait des ordres et puis je t’ai rencontré, on est devenus des formidables d’amis et j’avais oublié tout ça, je ne leur accordais même plus d’importance.
-Je vois pas en quoi ça m’aide, répliquai-je en fronçant les sourcils
-Tu m’as pas laissé finir. Bref, tout ça pour dire que soit tu te fais des allusions, soit tu leur accordes pas d’importance et il faut que tu te préoccupes de toi, et de tes amis. C’est le plus important.
Je baissais ma tête, il avait raison. Et je hais le fait qu’il ait toujours raison. Depuis le départ je me plaignais sans arrêt des autres, mais il faudrait que je me concentre davantage sur moi, mes amis et le sang… Non, pas le sang. Faudra que j’arrête de courir après les risques également. On resta quelques minutes à regarder le paysage mais Leiftan du me quitter après avoir entendu le hurlement de ses frères loups. Je m’allongeais et regardais de nouveau les étoiles afin de m’endormir de nouveau.
Le lendemain, je fus, à mon plus grand désespoir, réveillé par le doux bruit des personnes qui semblaient courir, de lointain.
-C’est quoi encore ce bordel, marmonnai-je, en me retournant de l’autre côté. Les bruits avaient cessé pendant un petit moment alors je pensais enfin être tranquille et dormir paisiblement mais tout à coup, je sentis quelqu’un me prendre la main et m’entraîner avec derrière un des arbres.
-Que...;
-Shh !
Ladite personne dévoila son visage et plaqua sa main sur ma bouche, me faisant signe de me taire. Une fille ayant des yeux violet clair telle l’iolite et de longs cheveux blond platine se tenait face à moi, surveillant l’endroit où il y a à peine deux minutes, je somnolais tranquillement avant mon dur réveil. Elle était plus petite que moi d’au moins une tête et portait une robe bleu clair et dorée qui arrivait à ses genoux, et une capuche qu’elle avait mise sur sa tête.
Je regardais dans la même direction qu’elle. Des hommes vérifiaient les alentours avant de faire demi-tour, accompagnés de leurs destriers.
-Je crois qu’ils sont partis pour de bon, dit-elle avant de poser son regard sur moi et enlever sa main de ma bouche et sa capuche.
-Alors, bonjour à toi aussi. Devrai-je te remercier pour le fait que tu ait en partie sauvé ma vie où te détester parce que-ce que tu as interrompu mon sommeil? Osai-je, ayant un sourire ironique scotché aux lèvres.
-Désolé, je ne pouvais pas te laisser là-bas sinon ton sommeil se serait transformé en un sommeil éternel, poursuit-elle, le même sourire ironique aux lèvres. Bref, Je viens du royaume Ancaria, je suis donc-
-Un mage, continuai-je en l’interrompant. Je sais, dis-je en prenant un air ennuyé.
Quelques secondes passèrent sans que l’un d’entre nous reprenne la parole, nous scrutant du regard. Je décide cependant d’interrompre ce moment.
-Tu sais ce qu’ils voulaient? je ne pris pas la peine de préciser de qui je parlais, elle avait tout de suite compris.
-Ce sont des Humains, après les lycanthropes, ils ont décidé de s’attaquer à d’autres royaumes, comme le mien. Ils m’ont poursuivie partout et comme mon royaume se trouve à l’extrémité du tien, je me suis retrouvée ici
-Pourquoi te cherchaient-ils toi, en particulier?
-J’ai volé quelque chose qui leur appartenait pour l’une de mes potions. Un ingrédient assez rare qui ne se trouve dans aucun des royaumes que celui des Humains.
Quelle bonne idée ! pensai-je, en gardant un sourire moqueur, ce qui ne manqua pas de se faire remarquer.
-Hé le vampire, arrête de te moquer, dois-je te rappeler que toi aussi tu es allé rendre visite aux Humains la nuit dernière?
Mon sourire s’estompa immédiatement. Comment elle savait? Est-ce peut-être le fait que c’est un mage? Reste à voir, mais pour le moment je devrais rester sur mes gardes.
-Ne fais pas cette tête. Je t’ai directement reconnu hier soir. Tu étais en train de courir pour retourner dans ton royaume.
Une stalkeuse en plus.
-Bon on va dire qu’on a eu TOUS les deux la même mauvaise idée, répliquai-je en insistant. Maintenant, si ça ne te dérange pas, je vais retourner au château.
-ATTEND ! crie-t-elle, en me retenant le bras. Et bah.
-Je... Je sais plus comment retourner chez moi, pourrais-tu m’aider?
-Sérieusement? Je fronçai un sourcil, en la regardant insister.
-Allez ! Tu pourrais bien me rendre ce service, après tout je t’ai sauvé la vie.
Je soupire. Elle avait raison, elle m’a quand même sauvé la vie et si elle ne m’avait pas emmené avec elle je serai sûrement mort. J’acceptai de l’aider à contre coeur, je n’ai jamais vraiment aimé aider les autres, surtout quand il ne s’agit pas de mes amis. Dire que j’aurais pu tuer mon temps en faisant autre chose de plus passionnant.
-Tu marques un point. Je vais t’aider. soupirai-je. Je déteste être dans ce genre d’états de faiblesse. Je suis un vampire merde je devrais pas être le soumis ici !
-Vraiment? Merci ! Même si tu ne sembles pas être si content que ça d’aider un pauvre mage en détresse, chuchota-t-elle.
-J’ai entendu ce que tu as dit tu sais?
Elle sourit de toutes ses dents et me tape légèrement l’épaule.
-Et te réjouis pas trop vite, ma compagnie ne risque pas d’être si agréable. Annonçai-je, en marchant en premier.
-Ce n'est pas grave, continue-t-elle, en s’avançant près de moi en gardant toujours son sourire.
Au fait, moi c’est Wheein !
-Super. Ravi de de le savoir.
-Et toi tu es…?
-Tu ne le sauras pas.
-Drôle de nom, tu-ne le sauras pas. Elle sourit et prend de l’avance sur moi en courant devant elle.
Je roulais des yeux, en continuant de marcher à ses côtés. Je sens que cette journée va être longue.
-Oh regarde, un griffon ! s’exclame-t-elle, en pointant le ciel.
-...Très longue. Disai-je en un soupir, sachant à quoi m’attendre.
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Salade de radis
2020. le Mardi 9 Juin
Il manque un nom à cette année.
aYOYE. C’EST VRAI. J’avais créé un blog, moi. Il y a combien de temps de cela ?
Je regarde la dernière saison de Queer Eye, et je me demande ce que je vais faire de ma vie. C’est en faisant du vélo—pour la première fois depuis mes dix ans établis à Longueuil-Beach—que j’ai eu cette idée… Avec un nom dans la tête, totalement surréaliste, je veux dire : spontané… Tête de radis… Cerveau de radis… Salade de radis… Bon, c’était pas si spontané que ça. Mais tout d’un coup que je pédalais en fin d’après-midi le long du boulevard Jean-Paul-Vincent, ça m’est tombé dessus, au travers du calme des dernières semaines. Salvatrices. Qui m’ont rappelé qui je suis. Dans toute ma petitesse de semences radiennes. Radiales. Je le sais tu moé. Exactement. Je le sais pas, puis je suis bin correct avec ça.
Je m’éveille à trente-deux ans comme un écrivain handicapé. Qu’est-ce que je veux faire de ma vie ?
Ça fait une semaine que je suis en pause. Dans un sprint phénoménalement invisible, je termine mon manuscrit, qui peine à voir le jour. Ça fait dix ans que je dis au monde que j’écris. Il y en a souvent qui sont enthousiastes. Pour une raison que je ne m’explique pas, ça me met mal à l’aise. Les gens sont plus enthousiastes à l’idée que moi. Parce que la réalité, c’est qu’il y a bien des gens avec du gros talent, du gros talent visible, sur scène, ça se couvre de lauriers, ça se goûte dans la voix des gens, dans l’angle aigü et lumineux de leur yeux, ça transforme leur posture… mais moi, je n’écris pas dans le grand «viens !». J’écris parce que c’est comme ça que je suis. Puis je suis pas sûr de comment traduire ça. On dirait que les dernières semaines, aussi inspiré ou découragé que je pouvais l’être… je perdais foi dans les mots. Qu’est-ce que je peux bien ajouter à ce monde.
Salade de radis. Parce qu’une salade, c’est plein d’affaires mélangées. Puis pour l’instant, la seule audace qui se vale, c’est de dire ceci : c’est tout ce que j’ai à offrir au monde. Une salade d’affaires. Puis j’espère que c’est assez. Une salade de mots. À la bonne franquette. Salade de saucisses. Salades de soleils… Wow… Salades d’intuitions. Fraîches, conserves, cuites, rôties. Végétaliennes, internationales, continentales… Salade de radis. Puis ça fait dix ans que j’enfile les surnoms, parce qu’aucun ne semble décrire la largesse de cette salade infinie qui m’habite. Le nom qu’on me donne, c’est un tremplin.
Ça fait deux mois que je regarde ma sœur aller avec mes trois nièces, éveillées, enflammées, actives et engagées. Dans leurs cahots quotidiens, leurs refus et leurs accaparements. Souvent, je me sens comme un imposteur. Pogné entre des gens qui semblent travailler pour vrai. Même si, je dois dire, depuis que j’ai retrouvé le métier d’écrire—peu de choses m’apparaissent plus difficiles que de défendre l’invisible. Les promesses. Les rêves. Parce qu’ultimement, on est le seul à les défendre. Défendre une vision. Défendre une salade, défendre des radis.
J’ai retrouvé un jeu de stratégie sur l’ordinateur, sur lequel j’ai passé probablement des centaines d’heures. Ça faisait un temps fou que je n’avais pas joué. Et les retrouvailles ont été intenses. Ça fait grosso modo une semaine que je ne m’en passe plus. J’ai délaissé mes frustrations et mes inquiétudes grandissantes pour replonger dans Age of Empire II (Age of Kings). Extases d’évolution ! Concentration à pauser à tout bout de champ pour pousser la productivité à fond ! Devenir un tyran consommé. Ça m’a fait un bien fou de tourner mon cerveau à off. Pendant cette semaine, j’ai acheté Sangoku, mon nouvel allié fidèle, ma monture vélocipoïde, et j’ai commencé à explorer mon propre terrain «réel» d’Age of Empire. À identifier les ressources autour de moi. À me laisser perdre dans les culs-de-sacs des pistes cyclables du Longueuil-Beach 21e siècle, dodécennial, intra-corona-crisal, estio-déconfinementalo-progressif. J’ai fait la vaisselle en dévorant toujours plus de Plus on est de fous, plus on lit, tombant en amour avec des univers infinis qui s’offrent à moi. Et ça… me sidère. Que je ressente un sentiment analogue à celui de l’énamourement. Ça me bouche le trou du radis complètement que je me sois empêché d’être curieux, et de l’assumer, pendant tant d’années. Cette dernière semaine, j’ai aussi ramassé les déchets sur le terrain, pour faire mon éducation environnementale locale. Sincèrement, vous essayerez. Vous ne verrez plus le monde de la même manière. Peut-être que ça me force à défricher le terrain de ma propre bullshit, d’excuses en mégots que je jette chaque jour sur ma pelouse. En me disant « C’est rien que des mégots. Ça va se décomposer. Quelqu’un d’autre va le ramasser.» Des fois, j’ai l’impression que ça fait dix ans que je jette des mégots littéraires partout, en me disant que quelqu’un d’autre va les ramasser. En traitant ma prose comme des ordures. Bref. Ça, et puis tondre le gazon. Sincèrement, j’aime ça sortir ! J’haïs juste me faire regarder depuis le balcon par les propriétaires qui me payent pour tondre égal, mais égal, puis me faire dire quoi faire, j’haïs ça. Comprenez-moi bien, je ferme ma gueule, je suis payé pour faire ça, c’est moi qui ai décidé d’endosser la charge de travail. Mais on dirait que je suis plus capable d’aimer ça me faire dire quoi faire. C’est tout ce que je dis. Si je décide de m’engager à réaliser la vision de quelqu’un, j’y mets tout mon cœur, toute mon âme, mon corps défendant le soleil de laisser trop pousser le gazon. Enfin… Il faut cueillir le radis quand il est rouge. Ou je le sais tu.
Je pédale dans une piste de terre défrichée, en attendant qu’ils y mettent une nouvelle voie asphaltée rien que pour les vélos. «Boing boing boing aaaaaaaah !» C’est bien moi qui produis ces sons. Participer au monde. Je fais des bruits. J’ai un cerveau plus volatile qu’humain, j’ai l’impression. Bref, je pit-pit, un peu comme on lancerait des radis joyeusement le bord de la route. Et puis, à force de pédaler pour fuir ma cellule où je viens de passer deux mois assumés à hiberner en retard, il y a un espace qui s’ouvre…
J’écris pas pour les autres. Je pense même pas qu’ils vont aimer ça, et à la vérité, j’ai même pas envie qu’ils aiment ça. Je le fais pour moi. Parce que j’aime ça. Si je devais attendre de composer mes radis pour que quelqu’un en veuille, j’attendrais longtemps. Je l’ai sorti à quelques personnes récemment; je leur ai dit que ce premier roman, c’est le projet de ma vie. C’est vrai. Alors que la plupart du monde autour de moi me semble s’enraciner, moi je suis un radis en fleurs, petit bulbon prêt à être emporté ailleurs, à la première occasion. Mes mots aident à me connecter au monde. Et c’est tout. Cette vie, soufferte parfois, très souvent on pourrait le dire, comme une appatrie constante.
Puis avec tout ça, je regardais Queer Eye, puis je trouvais ça donc beau. De continuer à désapprendre tout ce que j’ai appris. Mon ami est allé à la marche Black Lives Matter, puis il m’avait invité, mais ça me tentait pas parce que je comprends pas comment les gens font pour manifester puis respecter le deux mètres de distanciation physique, puis tout d’un coup, je me suis dit que j’étais juste un gros bs de bourgeois (oui, tout à fait cohérent) qui n’osait pas penser à des manières de se battre pour l’égalité… À la place, je préférais Age of Empire II, mon chèque de Canarda, puis de continuer à rester assez dans mon nid…
Et pourtant, je couve. Comme je l’ai toujours fait. Je pense que je suis une poule à radis. Voilà. Je couve des radis. Il leur pousse des ailes. La saison venue, la salade de radis s’emplume, et s’envole vers d’autres paysages. J’ai senti mon cœur dans cette salade, lui pousser des ailes de samarres, des auvents filiformes, et emmagasiner le vent. Prêt à décoller. À trente-deux ans, je ressens à nouveau cette «prêtance», prêt à germer, prêt à migrer. Prêt à irradiser la planète entière seulement en enfourchant Sangoku et en me laissant balancer des mots rouges et ronds le long des rues de Longueuil-Beach en feuilles.
La jupe de Jonathan et ses collets ronds me rebutaient au début, déstabilisé par son questionnement féroce des genres établis. Après cinq saisons, j’admire sa question. Parce que je suis un amoureux des questions, celles qui nous forcent à pédaler. Écrire est une question. On y revient toujours. «Qu’est-ce que j’ai à offrir ?» Après une semaine à refuser un monde que je sens naître, à le craindre, parce qu’il me révèle dangereusement, j’ai compris que j’étais enceint de cette question qui me perturbe depuis mon secondaire 4. «Qu’est-ce que je vais faire de ma vie ? Comment vais-je briller ?» Et la réponse, tout simplement, je l’entends dans Queer Eye, dans la nouvelle campagne de reconnaissance de moi et Sangoku, de mon amour craintif pour le monde, alors que j’en ai soif ! que j’en ai faim ! Et que seule une bonne salade de radis peut en donner un aperçu.
Et j’ai compris que si c’est la dernière chose que je dois accomplir de ma vie, je dois écrire ce roman jusqu’à la fin, jusqu’à son édition. Je ne saurais même pas l’expliquer. Parce que c’est ce que j’ai à offrir. Et que s’il y a bien une chose que cette pause oh combien bienvenue m’a fait… fructifier ? C’est que je suis tanné d’attendre. Tanné de ramasser des mégots. Tassé de prétendre que je suis ok, que je suis pas inquiet, et que je suis quelqu’un d’autre. J’ai les mots, pour commencer, et j’en ai même trop pour un roman. Si les garçons et les jeux me laissent pour le moment sur ma faim, il ne faut pas trop m’en faire. Le festin commence. C’est certain d’attirer une couple de bestiaux.
Je sais que c’est touffu, c’t’affaire-là que je viens d’écrire. On se calme. Je commence. Je l’ai écrit pour moi. Comme tout le monde devrait commencer par écrire son nom. Pour lui ou elle. Avec une jupe et un col rond. Avec des radis et des vélos qui s’appellent Sangoku. Et avec des idées saugrenues plein la tête. Et définitivement ma garde-robe à refaire. (Will, viens m’aider !) Je signe, rouge comme d’ordinaire. Et j’évite de trop corriger. Il faut sortir. Et prendre les routes d’assaut. Les routes qui ramènent à soi.
Radis
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Jour 2 : Coffee Shop / Bakery
Jack avança nerveusement dans la file d'attente du comptoir, la main sur sa pile de pièce. Il avait un examen à dix heures, et s'il n'avait pas son Macchiato, il n'allait pas tenir. Il avait révisé toute la nuit et s'il n'avalait pas une bonne dose de caféine, il s'endormirait sur son examen. Et il devait manger quelque chose, aussi, parce que l'examen durait quatre heures et il ne se voyait pas le passer avec le ventre qui gargouillait.
Quand il fut suffisamment prêt pour voir la vitrine de gourmandise, il constata que les prix avaient augmenté. Pas de beaucoup. Seulement de vingt centimes. Mais c'était vingt centimes qu'il n'avait pas. La rumeur qui disait que les étudiants étaient fauchés était vrai, dans son cas. Quand ce fut son tour, il essaya de faire du charme à la vendeuse.
-Bonjour. Excusez-moi, je ne savais pas que les prix des pâtisseries avaient augmenté… Je n'ai pas pris assez de monnaie… Est-ce que je peux avoir une chocolatine avec un Macchiato quand même ? S'il vous plaît ? Je vous promets de vous rembourser après mon examen, à quatorze heures. Mais là j'ai vraiment besoin de manger un morceau et…
-La maison ne fait pas crédit, dit la vendeuse d'une voix tranchante et sans appel. Si vous avez pas assez d'argent, vous n'aurez pas de chocolatine.
Sa façon froide de parler coupa tout envie de négocier à Jack, qui lui tendit la monnaie pour son Macchiato. Elle lui donna son gobelet et il alla s’asseoir à une table dans un coin de la pièce, sous les regards lourds de moqueries des autres clients. Il s'installa en silence et sortit un livre en faisant semblant de le trouver absorbant.
Une minute plus tard, un plateau avec six chocolatines se posa sur sa table, le faisant sortir de sa lecture. Un grand bonhomme brun et tatoué, aux allures de motard s'installa à sa table.
-Euh, oui ?
-C'est bien toi qui n'avais pas assez pour une chocolatine ?
-Oui…
Le jeune homme lui montra le plateau des yeux.
-Prends en une. J'en ai pris assez pour deux.
Jack n'était pas du genre à accepter les gestes de générosité des inconnus mais son estomac se faisait déjà entendre.
-Merci.
Il en attrapa une et la dévora en peu de temps.
-Comme ça, tu vas à la fac ? Demanda l'inconnu.
-Comment…
-J'étais derrière toi dans la file d'attente.
-Je suis en Lettres, dit Jack. Et toi ?
-J'ai quitté le système scolaire il y a un moment.
Ça mit la puce à l'oreille de Jack. Quand l'inconnu regarda à côté d'eux, il en profita pour le détailler davantage. L'inconnu n'avait pas seulement un look de motard. C'était un motard. Il avait les gants, la veste et un coup d’œil sous la table permit à Jack de voir le casque. Quand Jack releva les yeux vers lui, l'inconnu tournait la tête derrière lui et Jack vit sa nuque. Un dragon y était tatoué. Les tatouages et la moto… Oh merde.
C'est un membre du gang des motards locaux, les Dragons Riders, qui n'était vraiment pas connu pour leur douceur et leur gentillesse. Plutôt pour les paris qu'ils organisaient, les soirées déjantées qu'ils faisaient et le commerce de la drogue dont ils avaient le monopole.
Jack sentit un frisson lui parcourir la nuque et l'inconnu le regarda.
-Je te rembourserais, dit Jack, soudainement effrayé.
Tout le monde savait ce qui se passait si on ne remboursait pas un Dragon Rider. On avait la classe quand on s'en vantait, mais on y survivait pas.
L'inconnu lui sourit.
-Comment tu t'appelles, au fait ?
-Jack.
-Enchanté, Jack. Je m'appelle Hiccup.
Jack pâlit davantage. Sur tous ces membres, il avait fallu qu'il tombe sur leur chef.
-T'inquiète pas pour l'argent, dit Hiccup.
-Si. Si, j'y tiens.
Hiccup soupira et Jack sentit ses paumes devenir moite.
-Écoutes, dit le brun. Si tu veux vraiment me rembourser, tu peux faire quelque chose, pour moi.
-Quoi ?
-Laisse moi t'inviter à dîner.
Jack s'étouffa avec son Macchiato.
-Pardon ?
Hiccup soupira et reposa sa question.
-Euh… Pourquoi tu veux dîner avec moi ?
-Parce que je te trouve mignon ?
-Euh… Quoi ?
-Je te trouve mignon.
-On ne se connaît pas…
-Justement, sourit Hiccup, c'est pour apprendre à se connaître.
-Je… Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée.
-Dommage. Je peux te demander pourquoi ?
À cet instant, Jack aurait pu encore éviter de signer son arrêt de mort s'il avait su mentir correctement. Et au lieu de sortir n'importe quelle excuse qui aurait paru crédible, il dit ce qu'il pensait.
-Je ne veux pas d'ennui.
-Je ne compte pas t'en apporter, tu sais. Juste passer un moment avec toi.
-Pas m'en apporter ?
Jack se pencha vers lui, et baissa la voix.
-Tu vends de la drogue !
Hiccup souffla, comme s'il était énervé. Il se leva.
-Tu sais quoi ? Laisses tomber. Profite bien de tes chocolatines.
Hiccup sortit du café et Jack essaya d'intégrer ce qu'il venait d'arriver. Il venait de discuter avec un baron de la drogue local qui l'avait invité à dîner, et il lui avait collé un vent.
Il était mort.
Il avait eu du mal à se concentrer sur son examen, une heure après. Et depuis, il ne faisait qu'observer le casque que le motard avait oublié. Quand Jack s'en était rendu compte, il l'avait récupéré et l'avait gardé avec lui, au cas où il le croiserait de nouveau. Même s'il était très probable qu'Hiccup lui sorte : ''Merci pour le casque ! Maintenant, ne bouge pas que je te plante et que je te coule dans du béton ! Merci quand même!''
Il le croisa deux semaines après, complètement par hasard. Il le vit rentrer dans la maison de retraite à la sortie de la ville. Prenant son courage à deux mains, il le suivit de loin et y entra à son tour. Presque immédiatement, l'hôtesse d'accueil, l'arrêta.
-Je peux savoir où vous aller, jeune homme ?
-Je… J'ai vu mon ami rentrer ici. Il a oublié son casque chez moi…
L'infirmière prit le casque et sourit en le reconnaissant.
-C'est celui d'Hiccup !
-Oui.
-Suivez-moi, alors, dit-elle en lui redonnant le casque.
Alors qu'il la suivait, Jack observait les alentour, remplis d'infirmière, de personnes,, âgé et de quelques jeunes personnes. L'infirmière l'arrêta.
-Pour l'instant, il est avec Madame Gothic. Ça ne vous ennuie pas de l'attendre ?
-Non.
Elle sourit et regarda dans la chambre. Jack se pencha pour en faire de même.
Hiccup était assis avec elle et deux autres personnes âgées et jouait aux cartes. Il n'avait certainement plus l'air aussi menaçant. Et quand Jack y réfléchissait, Hiccup n'avait pas non plus eu l'air menaçant quand il l'avait abordé.
-On est très reconnaissant, vous savez ? Lui dit l'infirmière.
-Pourquoi ?
-Pour tous les médicaments qu'il nous amène.
-Des médicaments ? Il les trouve où ?
-Lui et ses amis font des collectes pour pouvoir nous les payer. Ça fait cinq ans qu'on nous a supprimé nos subventions, on aurait dû fermer depuis longtemps. Mais grâce à Hiccup et ses amis, on continue d’accueillir les personnes âgées, les gens dont personne ne veut s'occuper. Nous ne serions pas là, s'ils n'avaient pas remué ciel et terre pour nous aider.
L'un des hommes posa ses cartes sur la table.
-J'ai gagné !
-Bravo, Sven, dit Hiccup avec un sourire. On refait une partie ?
-Euh, Hiccup ? Dit l'infirmière.
Le motard se retourna vers elle et écarquilla les yeux.
-Jack ?
L'infirmière partit et Hiccup dit à ses compagnons de jeu de faire une partie sans lui, qu'il revenait.
-Comment tu m'as trouvé ? Demanda Hiccup en fermant la porte de la chambre.
-Je suis tombé sur toi par hasard, et je t'ai suivi.
-Qu'est-ce que tu me veux ?
-Tu as oublié ton casque, l'autre fois.
-Oh.
Hiccup regarda son casque.
-Merci.
-Euh… De rien…
Jack commença à partir quand il se retourna.
-Pourquoi tu ne me l'as pas dit, l'autre fois ?
-De quoi ?
-Que tu ne dealais pas de la drogue.
Hiccup haussa les épaules.
-C'est aussi ce que m'a demandé ma copine Astrid…
Hiccup regarda ailleurs.
-C'est elle qui m'a conseillé de t'aborder, l'autre fois. Ça fait deux, trois fois que je te regarde, et quand je t'ai vu au café, j'étais avec Astrid et c'est elle qui m'a dit d'aller enfin t'aborder. Quand tu m'as parlé de la drogue, ça m'a… On me dit souvent que j'en deale, tout ça à cause d'une erreur de la police. Et ça me gonfle assez, généralement…
-Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
-On nous a arrêtés parce qu'on avait des grosses caisses de médocs, dans le coffre. On nous a mis en garde à vue et ce connard d'inspecteur Grimborn s'est fait une joie de nous garder en garde à vue le maximum avant d'appeler la pharmacie pour avoir confirmation de notre version. Depuis, on a une réputation de dealer de drogue. Tout ce qu'on fait, c'est récolté de l'argent et de payer des médocs avec.
-Pourquoi tu m'en as pas parlé ?
-J'en ai juste marre de devoir me justifier.
Jack soupira. Il comprenait parfaitement et se sentait complètement idiot, maintenant.
-Écoutes… Euh… Je t'aurais bien invité au restau, pour me faire pardonner, mais je n'ai pas un rond…
Hiccup haussa les épaules.
-S'il n'y a que ça, je peux t'inviter… Tu es libre, ce soir ?
Jack grimaça.
-Non, pas ce soir…
-J'comprends, dit Hiccup en regardant ses pieds.
-J'ai des révisions, j'ai encore des examens, cette semaine.
-Okay, okay…
-Ce week-end?
Hiccup releva la tête.
-C'est vrai ?
Jack haussa les épaules et sourit.
-Oui. Je suis libre la semaine prochaine. On a qu'a se retrouver au café où on s'est rencontrés, disons samedi à 18h ?
Hiccup sourit.
-À samedi, alors.
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Mondialisator
Je sais plus qui a dit ça mais il paraît que la mondialisation c'est la somalisation du monde. Aucune offense envers mes futurs compatriotes somaliens mais perso ce pays j'en ai entendu parler parce qu'on crève bien la dalle là-bas. Autant dire que ça donne envie cette mondialisation.
Plus sérieusement je veux décortiquer un peu cette merde qu'on nous vend comme le progrès ultime.
Déjà on peut chercher les arguments de ceux qui font la promotion de la mondialisation, quelques noms me viennent à l'esprit comme Georges Soros où Jacques Attali mais il y a bien d'autres promoteurs et écouter leur discours me fait froid dans le dos personnellement. On nous parle de la mondialisation comme de la prochaine étape nécessaire à l'évolution de notre société, on parle d'un commerce qui profite à tous équitablement, de la victoire sur le populisme, de la fin de la misère mondiale, abolition des frontières, etc etc...
Voici un petit article clairement engagé du côté de la mondialisation, je vous laisse vous faire votre propre avis.
Mais comment croire à cette supercherie lorsqu'on est les deux pieds dans la réalité et qu'on ne fait que subir et subir ces assauts libéralistes qui (du point de vue d'un Français vivant en France) ne font qu'empirer les choses du quotidien, économiquement, culturellement et socialement.
Qui profite réellement de la mondialisation ?
Pour moi c'est l'élite de l'élite, les 1%, les grands manitous des grandes banques internationales, les Rothschild, Rockefeller, et autres... Et là bien que cela y ressemble fortemment, je ne verse pas de le complot. Se renseigner sur la finance, comment marche les banques, et surtout qui les dirigent depuis des siècles, permet d'avoir une certaine vision d'ensemble même si toute cette merde reste très opaque. (C'est quand même drôle d'avoir des gens qui viennent du même endroit à la tête des grandes institutions des pays les plus puissants du monde, à la tête de grandes institutions internationales comme l'ONU, l'UE ou le FMI...)
En tout cas nous en sommes les grands perdants dans cette histoire et le doute n'est plus permis. Quand je vois par exemple qu'aujourd'hui les directives économiques imposées par l'UE nous poussent à importer/exporter à outrance pour avoir des produits toujours "moins cher" (Qui profitent réellement des rabais, le consommateur ou les intermédiaires ?) alors que l'on pourrait presque uniquement se contenter de produits récoltés, transformés sur notre sol ? Aujourd'hui chaque pays se spécialise et/ou doit se spécialiser dans ce qu'il fait de mieux pour exporter et importe ce qu'il a besoin. Et je ne parle même pas de la qualité des produits qu'on importe en France par exemple (le bon cheval des lasagnes Findus tu t'en souviens ?)
Le mondialisme prend la souveraineté de chaque état (et par conséquent la capacité de son peuple a maîtriser sa destinée) à quatre pattes et lui glisse bien profond. Les guignols de notre gouvernement ne sont que des toutous à la botte des grands manitous de la mondialisation et nous guident bien gentiment vers la perte totale de notre souveraineté (pour le peu qu'il en reste aujourd'hui) sans qu'on ne puisse réagir car trop occupés dans nos petites divisions sans importances. Chaque pays est voué à perdre son identité et sa culture avec le temps, tout ça dans le but d'arriver à un grand brassage ethnique informe, dénué de toutes traditions, valeurs, idées communes, et qui n'amènera que plus de division et un chaos bien plus violent que ce qu'on connaît aujourd'hui.
Le libre échange est une escroquerie qui permet et ne fait que permettre de plus en plus aux usuriers du monde de s'enrichir sur NOTRE labeur. Nous sommes à la botte de ces chiens qui se terrent dans l'ombre mais qui agitent les marionnettes que nous considérons encore comme des chefs dignes de nous représenter et d'agir en notre nom, agir pour notre intérêt. Alors que leur intérêt est le même que ceux qui les ont placés la où ils sont et est à l'opposé du nôtre. Les mêmes chiens concentrent tout le pouvoir et cela est encore plus dangereux vu l'échelle mondiale de leur exaction que ne le serait une monarchie absolue dans un pays.
Pour faire un parallèle grossier avec l'histoire laisser moi vous parlez rapidement de l'empire Romain. Les romains se sont étendus comme des champions mais pour faire très simple disons que leur croissance était intrinsèquement lié à leur mode de vie, et sans cette croissance ils étaient voué à la ruine, la croissance était donc une nécessité absolue (cela ne vous rappelle rien ?)
L'empire romain s'est étendu jusqu'à un certain point où il passait plus de temps à maintenir la paix qu'à faire la guerre pour son expansion ce qui le conduit misérablement à la disloquation. Avant la fin définitive de la grande civilisation romaine, il faut savoir que l'empire était un empire multiculturel possédant un territoire énorme, fédérant de nombreux peuples locaux aux origines très diverses. On était donc très loin des centurions rutilants en jupettes rouges. Et je ne peux pas m'empêcher de mettre en rapport ce multiculturalisme, ce territoire étendu, cette concentration du pouvoir à Rome, pour y voir comme une des causes de la fin de cette civilisation.
Pour en revenir aux temps actuels, je souhaiterai simplement mettre en parallèle l'empire romain avec l'empire économique mondial qui est déjà bien en place mais qui continue à prendre de l'ampleur.
Un territoire immense (on parle de la terre entière la) qui veut être conquis par une poignée de fous complètement ravagés par le pouvoir et ses excès, qui va finir par y arriver grâce au pouvoir de l'argent, bien plus cruel et féroce que le pouvoir militaire brut. Tout en nous imposant leur vision destructice, en nous forçant à l'accepter comme l'ordre naturel des choses, alors qu'elle nous condamne à une vie de plus en plus misérable et insatisfaisante.
Et ils espèrent y arriver sans problèmes ?
Si on regarde l'Histoire encore une fois, et sur une durée plus longue cette fois, on ne peut que s'apercevoir du caractère cyclique des civilisations, création, âge d'or, extinction. Comme si, passé un certain point d'évolution, de croissance, le pouvoir et la richesse acquise et concentrée par les leader de cette civilisation ne finissent par les corrompre fatalement, trop attiré par le gain probablement, et ne condamne la civilisation entière à l'extinction et à la ruine.
Le mondialisme n'est que la porte ouverte vers un chaos sans nom qu'on nous réserve, nous les petites gens, les 99%, nous qui sommes la racine du monde, nous les travailleurs, ceux qui luttent, qui endurent, qui en ont marre, plein le cul de ce monde où la vie est de plus en plus dure et ou on nous livre à notre triste sort de plus en plus tôt, sans aucune échappatoire.
Et ce chaos la, qui déchirera les peuples entre eux dans une guerre bien plus fratricide qu'elle n'y paraît, les élites insaisissables ne le verront que par le balcon de leurs tours d'ivoires et en riront sûrement à gorge déployée tel les criminels dénués d'humanité qu'ils sont.
Pendant que nous en bas on trimera encore plus.
Quand est ce qu'on reprend les rennes de notre destin en main ?
Quand est ce qu'on se rend compte enfin de notre ennemi commun à tous ?
Quand est ce qu'on prend les armes pour dégager toutes ces élites corrompues ?
Quand est ce qu'on réfléchit et qu'on s'équipe enfin de textes et de lois intouchables qui nous protègent des abus de pouvoir et garantissent à nous, les peuples, une vie saine et heureuse même en société.
Quand est ce qu'on choisit enfin un vrai leader, qui réussi à unir et fédérer autour d'une vision commune des choses, d'un véritable bien commun profitable à tous ?
Enfin bref...
Quand est ce qu'on commence à se poser les bonnes questions ?
ET QUAND EST CE QU'ON CRAME TOUT PUTAIN ?
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Voir les story Snapchat sans être ami est beaucoup plus facile qu'on ne le pense. Il ne s'agit pas d'espionnage ou d'opération secrète, non. Vous pouvez afficher les story Snapchat d'autres utilisateurs sans être amis en utilisant simplement l'application Snapchat. Et ici nous allons vous montrer comment le faire. Les story Snapchat comment ça marche ? Avant de nous intéresser plus en détail a voir comment fait pour voir des story Snapchat de gens qui ne sont pas vos amis, voyons d’abord le principe général de ces story pour tout comprendre. L’idée de Snapchat à la base est assez simple, c’est de créer un réseau social qui a deux points en particulier. Le premier c’est qu’il met en avant les images. La seconde particularité c’est que c’est un réseau de l’instantané. En effet via les story, vous allez tout simplement pouvoir envoyer à vos amis des images et des photos qui une fois regardées seront tout simplement supprimées. C’est ce contexte qui a rendu l’application très populaire. D’ailleurs on voit bien aujourd’hui que ce concept de mettre l’image en avant, Snapchat l’avait un peu compris avant tous les autres au vu des réseaux sociaux qui font la une et surtout qui ont la cote auprès de la population. Entre Tik Tok qui met la vidéo au premier plan et Instagram qui mise aussi sur un concept où la photo est reine, Instagram avait flairé le bon filon à ce niveau-là. Cela explique aujourd’hui la popularité de cette plateforme. Voir les story Snapchat en étant ami Ainsi, cela peut paraître tout bête, mais pour voir la story d’une personne, le plus souvent il va s’offrir d’être amis avec elle. Vous n’aurez alors plus qu’à aller dans l’onglet des story et à chercher celles qui vous intéressent plus en particulier. Alors, ça peut paraître un peu bête dit comme ça, mais le meilleur moyen de pouvoir voir des story de gens sur Snapchat, c‘est encore de le faire une demande d’ami. Vous verrez, la plupart du temps, ça passera. À moins que vous n’ayez des idées secrètes ou mal intentionnées, forcément, la personne ne partira pas avec une mauvaise impression vis-à-vis de vous. Au contraire, parfois, cela passe bien mieux de demander. Imaginez si cette même personne découvre par exemple quelques mois ou semaines plus tard que vous êtes en train de l'espionner sur Snapchat. Alors là, effectivement la situation risque de devenir compliquée entre vous. Snapchat Viewer le moyen de voir ces story sans être ami Alors, dans la suite de cet article, on va se concentrer plus précisément sur la méthode que vous allez devoir appliquer si jamais vous souhaitez pouvoir voir les story Snapchat d’une personne avec laquelle vous n'êtes pas amis. Il est toutefois important de noter que si cette solution marche à l'heure actuelle, il se pourrait bien que ce ne soit plus vraiment le cas longtemps. Car oui, cette solution est fortement intrusive dans la vie des gens. Dès lors, il est possible que Snapchat ait décidé de faire en sorte que ce site web ne puisse plus avoir accès facilement aux données. Ce site web justement, c‘est Snapchat Viewer et dans son fonctionnement il est très simple. Tapez simplement le nom de la personne dont vous aimeriez voir les story Snapchat et vous pourrez le faire, que vous soyez amis ou non. Mais l'application va même encore plus loin en vous proposant par exemple, de pouvoir télécharger ces story. Sauf que comme vous n'êtes connecté à aucun compte, il est impossible de savoir précisément que c’est vous qui l'avez fait. Comme on vous disait, c’est à l'heure actuelle l'outil le plus performant dans ce domaine. Les limites de cette technique Attention tout de même, bien que Snapchat Viewer soit un outil très intuitif et performant, il a quand même quelques limites et la première, c‘est qu’il ne peut faire cela que sur des comptes qui sont dits publics. Dès lors, si la personne que vous souhaitez espionner a pris les devants et a passé son compte Snapchat en privé, nous ne pourrons plus utiliser cette technique.
D'ailleurs, c‘est aussi une chose que vous pouvez faire de votre côté pour éviter que l’on vous espionne sans que vous ne le sachiez. Conclusion Voilà, vous savez désormais qu'il existe bel et bien une technique vous permettant de voir les story Snapchat de gens avec qui vous n'êtes pas ami. Mais cela a quelques points importants à connaître. Le premier, c‘est que cette solution ne marchera que si la personne que vous espionnez a un compte en public. La seconde, c’est que si jamais vous vous faites attraper, vous risquez de perdre l'amitié de cette personne à jamais. Ce n'est donc pas à prendre à la légère.
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Chacun est persuadé que les enseignements auxquels il a adhéré sont ceux de Jésus-Christ, non ?
Mais si les enseignements que tu reçois ne t'emmène pas aux pieds de Jésus-Christ, remets en question le ministère de cette personne.
Aujourd'hui, nous pouvons constater qu'il y a des multitudes d'enseignements les plus diverses, sur Jésus.
Et donc, comment reconnaître ceux qui sont apportés par le Saint-Esprit ?
La Parole de Dieu doit nous rendre libre, mais regardons ce qu'elle doit produire.
Vous comprendrez la vérité, et la vérité fera de vous des hommes libres.
Vraiment, je vous l’assure, leur répondit Jésus : tout homme qui commet le péché est esclave du péché. Jean 8: 32, 34 POV
La liberté à laquelle un enfant de Dieu à part, c'est celle des principes de l'homme, et celle aussi de recevoir la grâce de marcher dans l'obéissance à la Parole de Dieu.
Ce qui est le plus étonnant, ce sont ces genres d'enseignements, qui emmènent ceux qui les écoutent à s'éloigner de celui qui c'est révélé à leur cœur.
Ce qui est sûr, c’est que beaucoup de chrétiens sont enseignés, mais le résultat escompté n’est pas toujours rencontré, car il consiste à se rapprocher de Christ et non à acquérir uniquement de la connaissance.
Veillez à ce que personne ne vous dépouille de votre foi et ne fasse de vous ses prisonniers par une « philosophie » trompeuse et décevante. Colossiens 2: 8 POV
Ne nous trompons pas de course, et donc de but, qui doit-être celui-ci :
Unis à lui, vous avez aussi eu part à une circoncision qu’aucune main humaine n’a accomplie, à celle que demande le Christ et qui consiste à vous dépouiller de votre nature pécheresse avec ses instincts mauvais. Colossiens 2: 11 POV
Comprenez ce que je vais vous dire, ceux qui écoutent les enseignements du soi-disant prophète Kacou, sont persuadés d'entendre des enseignements qui viennent de Dieu.
Alors que nous savons pertinemment, que ce n'est pas le cas. Par contre. Je vais être sincère, j'ai donné ce nom, mais dans la période de l'histoire où nous sommes, ils sont légion à être comme lui.
Personne ne doit vous priver de la victoire. Je pense aux gens qui se font tout petits devant les anges pour leur rendre un culte. Et ils donnent aussi trop d’importance aux choses qu’ils voient en rêve. Ces gens-là ont des idées trop humaines, cela les gonfle d’orgueil. Colossiens 2: 18 PDV
La lettre aux Colossiens est une exhortation à discerner les faux prophètes, et c'est dans ce sens que l'apôtre Paul donne le secret de la marche chrétienne, qui se trouve au travers de ce verset.
C’est à eux qu’il a voulu faire connaître quelles richesses, quelles splendeurs renferme son plan secret en faveur des non-Juifs. Ce secret, c’est tout simplement ceci : « le Christ en vous », c’est en lui que se concentre toute la gloire future. Colossiens 1: 27 POV
Attention de nous laisser détourner de Christ, car tout est en lui. Les enseignements que nous entendons non pas pour but d'emmener une connaissance intellectuelle de ce qu’il a accompli, mais à communier à ses souffrances, afin de ressusciter en lui.
Oui, vous tous, lorsque vous avez été baptisés pour le Christ, immergés dans une communion spirituelle avec lui, vous vous êtes revêtus du Christ, vous avez pris sa ressemblance, son caractère. Galates 3: 27 POV
Aujourd'hui, concernant les enseignements, il y en a vraiment pour tous les goûts. Je voyais aujourd'hui quelqu'un qui donnait un enseignement, en étant persuadé qu'il avait raison, disant que nous ne sommes pas dans la période de l'histoire où un chrétien peut parler en langue.
Et pourtant, l'apôtre Paul dit qu'il parle par l'esprit plus que tous.
Nous avons vraiment besoin de comprendre ce que doit produire un enseignement dans le cœur d'un chrétien, qui est celui-ci :
Oui, nous renversons les raisonnements et les arguments sophistiqués qui se dressent prétentieusement en rempart contre la véritable connaissance de Dieu. Faisant prisonnière toute pensée (rebelle), nous l’amenons à obéir au Christ et à reconnaître son autorité. 2 Corinthiens 10: 5 POV
Ne prenons pas cette publication à la légère, car ce n'est pas en vain, que Jésus donne cette exhortation :
Car beaucoup sont invités, mais ceux qui sont admis sont peu nombreux. Matthieu 22: 14 POV
Cet avertissement fait partie du contexte sur la parabole d'une personne qui est invitée à une noce, mais il y va, sans mettre de costume.
Cela représente notre identification à Jésus-Christ, qui doit se concrétiser en revêtant Christ, ce qui signifie de lui ressembler, en ne faisant plus qu'un avec lui.
Conclusion : si les enseignements que nous entendons nous emmènent à ressembler de plus en plus à Jésus-Christ, c'est qu'ils sont conduits par le Saint-Esprit. Mais par contre, cela ne consiste pas à lui ressembler uniquement par une connaissance intellectuelle de son œuvre, mais elle doit être accompagnée de fruits dans notre vie, qui vient de notre relation qui grandit avec lui
Or c’est sans voile, le visage découvert, que nous tous, nous contemplons, comme dans un miroir, la gloire du Seigneur. Ainsi nous sommes constamment transformés d’après son modèle, pour lui ressembler davantage de jour en jour et en refléter une image toujours plus fidèle. Sa gloire devient progressivement nôtre. Il ne saurait en être autrement, car celui qui agit en nous, c’est le Seigneur lui-même par son Esprit. En toute franchise 2 Corinthiens 3: 18 POV
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Prenez La Prochaine étape Avec Le Marketing Des Médias Sociaux Avec Ces Grandes Idées
Si vous gardez un blog à des fins de médias sociaux, vous devez vous assurer qu'il est maintenu aussi actif que possible. Si vous offrez un nouveau contenu lorsque les lecteurs s'y attendent, ils sont sûrs de devenir des visiteurs de routine. C'est aussi la vérité quand les gens souscrivent à d'autres publications. Assurez-vous de poster de manière cohérente pour que les visiteurs retournent sur votre site.
Liez dans tous les liens que vous avez dans vos pages de médias sociaux ainsi que des liens. Ajouter des liens vers votre blog où les lecteurs peuvent vous suivre sur Twitter, trouver vos vidéos sur YouTube, et tous les médias sociaux profil que vous possédez. Relier vos profils de médias sociaux maximise ensemble votre base de clients.
Pour aider à attirer les visiteurs ciblés sur votre site Web, vous devez intégrer YouTube dans votre marketing des médias sociaux. YouTube est une grande nouvelle façon d'attirer les visiteurs de votre site parce qu'ils auront déjà une idée de ce que vous êtes le marketing après avoir consulté une de vos vidéos sur YouTube. Le plus de visiteurs qui viennent à votre site avec la connaissance de vos produits aidera à augmenter les ventes.
Configurer votre site afin que les clients peuvent facilement partager du matériel qu'ils trouvent là-bas. Si vous placez un widget sur votre site Web, d'autres peuvent l'utiliser pour partager votre contenu. En outre, un widget peut permettre aux lecteurs de re-Tweet ou de voter sur votre contenu directement à partir de votre page.
Si vous utilisez les médias sociaux dans le cadre de votre stratégie de marketing, assurez-vous de répondre aux gens quand ils font un commentaire ou vous poser une question. Il est facile de manquer un message ou une remarque, de sorte que chaque fois que vous vous connectez à votre site, assurez-vous de chercher ces commentaires.
Les profils des sites de médias sociaux vous permettent souvent d'ajouter différents boutons et un flux RSS. Ces liens doivent être inclus dans le Forum et les signatures électroniques, les messages de blog et sur chaque page de votre site Web. Si vous exploitez plus d'un profil de médias sociaux, vous devez toujours inclure des liens vers chacun d'eux.
Comme vous envisagez de plonger dans le marketing des médias sociaux, faire des recherches sur les différentes façons que vous pouvez faire de la publicité. Chaque site de réseautage social est unique, et d'être conscient de ces différences peuvent vous aider à utiliser votre temps aussi judicieusement que possible. Vous pouvez constater qu'un site atteint plus de personnes et décident de passer la plupart de votre temps se concentrant sur ce site.
Ajouter une balise lorsque vous publiez sur Twitter. Vous pouvez créer une balise en la précédant avec le signe dièse (#), et elle sera visible pour les groupes et les personnes qui utilisent la balise comme terme de recherche. Regardez les groupes qui incluent votre public cible, puis sélectionnez soigneusement vos balises.
Vous remarquerez peut-être que les pages commerciales sur les pages d'annonces médias sociaux. C'est une idée intelligente d'utiliser des images attrayantes, car cela va attirer l'acheteur possible à votre annonce. Une fois que vous les attirer dans, ils seront plus susceptibles de visiter votre site et faire des affaires avec vous.
Vos profils peuvent attirer des clients vers votre boutique en ligne. Vous devez utiliser vos profils pour faire connaître les rabais que vous faites, ou les nouveaux emplacements que vous ouvrez. Envoyer des coupons les gens peuvent imprimer et annoncer offres limitées les gens qui aiment votre page Facebook. En général, il doit y avoir une certaine incitation pour les gens à vous ajouter ou vous abonner sur Facebook.
Ne laissez aucun commentaire sur votre profil Facebook aller sans réponse de l'entreprise. Cela devrait être vrai même pour les commentaires négatifs. Si les gens peuvent sentir leur opinion compte pour vous, ils seront plus susceptibles de rester fidèles à votre marque. Toujours faire un effort pour répondre promptement; autrement, vos clients pourraient vous percevoir comme insensible ou négligent.
Si quelqu'un vous suit sur Twitter, suivez-les en arrière. C'est une courtoisie que la plupart des gens attendent. Il montre le respect pour vos clients et leur permet de savoir que vous ne vous considérez pas comme plus important ou au-dessus d'eux. Reconnaissez de nouveaux adeptes avec un tweet et un Follow Back; vous êtes plus susceptible de les conserver de cette façon.
Ne pas utiliser le marketing évident parler quand la publicité sur les réseaux de médias sociaux. Quand les gens interagissent sur les réseaux sociaux, ils s'attendent à un ton social, donc en utilisant les mots à la mode de marketing ne va pas bien. Travaillez à parler à votre public en tant que contemporains afin d'obtenir les meilleurs résultats.
Cela rend le processus de «aimer» votre profil Facebook simple, ce qui rend probable qu'ils vous aideront.
Tout simplement parce que les vacances sont généralement un temps de profits accrus, cela ne signifie pas que vous devriez déplacer l'accent de vos consommateurs. En réalité, vous devriez mettre davantage l'accent sur eux et leurs besoins pour les aider à ramasser sur l'esprit des fêtes. Toujours avoir des plans de sauvegarde prêts, et d'aborder les vacances avec plaisir à l'esprit. Vos consommateurs le sentiront.
Il est toujours sage d'apprendre des expériences passées, peu importe qui ils étaient. Utilisez ces leçons de succès et l'échec d'améliorer votre plan de marketing actuel, et ainsi augmenter vos profits pour l'avenir. Apprenez de vos erreurs et gardez votre plan de marketing à jour en suivant les dernières innovations.
Social Media Marketing exige plus que des médias puissants, il doit également être préparé, affiché et reçu à un niveau supérieur. Cela signifie que vous ne devriez pas décaler toute votre attention sur une vidéo et oublier la page de destination qui l'affichera. Cela aidera à garder l'attention du public et augmenter les chances de les suivre vos liens à travers l'avenir.
Facebook places permet aux utilisateurs de s'enregistrer à des endroits en utilisant leur téléphone mobile. Créez un espace Facebook pour votre magasin et encouragez les gens à mettre à jour leur statut en leur donnant un rabais s'ils peuvent montrer leur statut mis à jour à la caisse. FOURSQUARE a une fonctionnalité similaire, vous devriez penser à l'aide.
Utilisez la fonction d'annotation sur YouTube pour «masquer» un code de réduction. Vous pouvez choisir le point dans le temps où votre annotation apparaîtra: Publiez votre vidéo sur les réseaux sociaux et encouragez les gens à regarder la vidéo jusqu'à la fin pour obtenir le code de réduction et le partager avec leurs amis.
Même si l'objectif peut être de vendre des produits et faire un profit, vous ne pouvez pas laisser que ce soit votre seul objectif. Avec social Media Marketing, vous aurez besoin de se connecter et de développer une véritable identité parmi les consommateurs. Interagir avec la communauté en ligne vous permettra d'élargir votre réseau d'affaires. Ce même réseau sera plus tard responsable de soutenir votre entreprise.
Surveillez votre trafic fluctuer lorsque vous exécutez chaque mouvement et déchiffrer les résultats avec soin. Il est important que vous ne sautez pas aux conclusions parce que vous avez une très bonne ou mauvaise journée. Il est cependant crucial que vous soyez en mesure de repérer une tendance dans le mouvement et de savoir quand passer à l'option suivante.
Pour maximiser le nombre de personnes qui voit vos messages Twitter, utilisez des balises de hachage qui se rapportent à votre exemple. Par exemple, si vous partagez des conseils de cuisson, utilisez des balises comme #cooking et #food. Ceci obtiendra vos poteaux pour apparaître dans des listes et des recherches, et laissera des personnes qui ne suivent pas vous voyez ce que vous avez à dire.
Pour vous assurer que votre public cible peut vous trouver, allez où ils sont. Est-ce que vous exécutez un site d’amélioration de la maison? Visitez les pages des salons de décoration et faites des commentaires. Écrivez-vous pour un blog d’animal familier? Laisser des commentaires sur les pages des chaînes de magasins pour animaux de compagnie. C’est un moyen facile de construire des adeptes et de faire savoir aux gens que vous êtes là.
Les réseaux de médias sociaux sont d'excellentes façons de commercialiser votre entreprise dès maintenant. Essayez les médias sociaux pour voir comment ils peuvent vous aider à développer votre entreprise.
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Montréal revoit son plan de lutte contre le plomb
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La Ville de Montréal reconnaît l’échec de son plan de lutte contre le plomb dans l’eau et change sa stratégie de remplacement des canalisations. Elle obligera les propriétaires à remplacer leur partie des tuyaux en effectuant les travaux à leur place et leur enverra la facture, remboursable sur 15 ans.
« La Ville prend ses responsabilités. Si les propriétaires ne le font pas, on va le faire à leur place, parce que c’est une question de santé publique », a lancé la mairesse Valérie Plante en entrevue avec l’équipe d’enquête constituée du Devoir, de l’Institut du journalisme d’enquête de l’Université Concordia et de Global News.
Le nouveau plan d’action de la Ville en matière de gestion du plomb dans l’eau potable sera dévoilé mercredi matin.
Depuis le premier plan d’action adopté en 2006-2007, la Ville est à la recherche des tuyaux en plomb sous nos pieds pour en remplacer la partie publique, qui se rend jusqu’à la limite de la propriété privée des Montréalais. Il revient toutefois aux propriétaires de planifier et de payer le remplacement du côté privé.
« On se rend compte qu’il y a un très grand décalage entre la partie publique qui a été remplacée par la Ville, versus les entrées privées qui elles n’ont pas été remplacées. […] On a trouvé une solution [pour] s’assurer que la job soit faite », explique la mairesse qui est elle-même propriétaire d’un triplex dont elle loue plusieurs logements.
À l’heure actuelle, la Ville remplace tous ses tuyaux en plomb lors de travaux d’infrastructures et de réfection de chaussées. À l’avenir, si elle constate que l’entrée de service du côté privé est aussi en plomb, elle la remplacera en même temps. « Pour ce qui [a déjà été remplacé] dans le passé, si on n’a pas à retourner [faire des travaux], ce qui est prévu c’est qu’on va forcer les propriétaires, par règlement, à remplacer leur côté », précise Chantal Morissette, directrice du Service de l’eau de la Ville de Montréal depuis 2011.
De tels travaux peuvent représenter une dépense de 2500 à 5000 dollars pour un propriétaire, estime la Ville. C’est pourquoi elle offrira la possibilité de rembourser la facture sur une période de 15 ans. « On va devoir débourser en amont et il y aura un remboursement ensuite. C’est une décision importante qui va avoir un impact sur les finances de la Ville », admet Mme Plante, sans toutefois pouvoir préciser le budget qui sera alloué à un tel plan d’action.
D’après les données de la Ville depuis 2007, la moitié des entrées de services en plomb remplacées du côté public, ne l’ont pas encore été du côté privé. Très peu de propriétaires profitent des travaux effectués par la municipalité pour changer leur partie des tuyaux en même temps. Or, plusieurs études effectuées notamment par Polytechnique Montréal démontrent qu’un remplacement partiel des conduits en plomb ne diminue pas la concentration du métal dans l’eau, et peut même l’accentuer à court terme.
« Si on veut vraiment éliminer le problème à la source, il faut changer toute la conduite », insiste Valérie Plante.
Pourtant en 2014, cette même idée avait complètement été écartée. Lors d’une rencontre de la Commission permanente sur l’eau, une conseillère de l’époque, Elsie Lefebvre, avait avancé l’idée d’instaurer un règlement pour que les conduits en plomb, dans leur entièreté, deviennent une propriété du domaine public. Elle s’était alors fait répondre que « la Ville pourrait être poursuivie si le terrassement n’est pas refait de la même manière, comme à l’origine », peut-on lire dans le procès-verbal de cette rencontre.
« J’ai trouvé ça décourageant », se souvient Mme Lefebvre en entrevue avec l’équipe d’enquête. « C’est une absurdité complète parce que la Ville, avec des fonds publics — les taxes municipales des citoyens —, vient déjà faire les travaux jusqu’à la ligne de propriété privée. Il y avait vraiment eu un manque d’imagination juridique [pour trouver] une manière pour que tout le monde y trouve son compte sans avoir de poursuite et en réglant ce problème de santé publique. ».
« Aux États-Unis, plusieurs villes, et même des États, obligent désormais à faire uniquement des remplacements complets [des entrées de service en plomb] », explique de son côté Michèle Prévost, titulaire de la chaire industrielle en eau potable et professeure d’ingénierie à Polytechnique Montréal. « Ils sont allés en cour avec ça [parce que] ça pose des questions légales importantes d’aller sur le terrain d’un citoyen ».
Elle voit toutefois d’un bon oeil le plan proposé par Montréal. « Le faire à la place [des propriétaires], c’est bien. Le citoyen moyen ne sait pas comment faire. […] Si la Ville fait l’ensemble des travaux, elle va sûrement les faire à meilleur prix, parce qu’on n’a pas besoin de déplacer des équipes deux fois et ça va être le minimum de dérangement pour les citoyens. »
Recommandations tardives
Le plan d’action présenté par la mairesse s’est notamment appuyé sur les recommandations de la direction régionale de la santé publique (DRSP) de Montréal, transmises il y a quelques semaines à la Ville et révélées à l’équipe d’enquête la semaine dernière.
D’après le Dr David Kaiser, responsable de l’équipe en santé environnementale à la DRSP, « la situation à Montréal nécessite une action rehaussée, une action importante, pour régler la question [du plomb dans l’eau] connue depuis plusieurs années. »
La DRSP a ainsi recommandé à la Ville d’accélérer le dépistage et le remplacement des tuyaux en plomb. Elle a aussi conseillé d’offrir un moyen de protection aux Montréalais jusqu’à la fin des travaux qui prendront encore plusieurs années, considérant les milliers de remplacements à faire. « On juge que tous ceux qui vivent dans un bâtiment avec une entrée de service en plomb devraient avoir un filtre certifié pour réduire la teneur en plomb. On sait que certains ménages, pour des raisons financières ou autres, vont avoir plus de difficultés à adopter cette mesure volontaire là ; alors, on pense qu’un soutien est nécessaire », fait-il valoir.
Questionné sur la question de savoir pourquoi cette dernière recommandation n’avait jamais été proposée à la Ville auparavant, M. Kaiser a répondu que « la science est en évolution constante » et que l’évaluation des risques doit aussi prendre en compte le changement des habitudes de vie des citoyens. « On fait beaucoup la promotion de la consommation de l’eau et de l’économie de l’eau, ces dernières années. C’est moins plausible aujourd’hui qu’il y a dix ans de demander aux gens de laisser couler l’eau du robinet parce qu’on leur dit maintenant de l’économiser, ce qui est une bonne chose. Donc, ça nous amène à des recommandations différentes. »
Une idée que l’administration a décidé de suivre puisqu’un pichet d’eau doté d’un filtre certifié contre le plomb sera distribué aux résidents des logements où la présence de plomb aura été détectée, afin de les protéger le temps que les travaux soient terminés. La Ville fournira les premières cartouches du filtre, équivalant à une durée d’un an. Il reviendra toutefois aux résidents d’acheter de nouvelles cartouches par la suite.
Et pour permettre à tout un chacun de connaître la qualité de son eau, la Ville compte mettre en place un site Internet où seront publiés les résultats des tests de dépistage. « Les gens vont pouvoir taper leur adresse et ils vont voir s’ils risquent d’avoir une entrée de service en plomb », souligne Mme Morissette.
Dépistage massif
La Ville compte aussi appuyer sur l’accélérateur en matière de dépistage et de remplacement des conduits en plomb.
Depuis le premier plan d’action, 21 000 entrées de service en plomb — du côté public — ont été remplacées par la municipalité. À l’époque, celle-ci évaluait à 69 000 le nombre d’entrées de service en plomb sur le territoire montréalais. L’administration actuelle considère toutefois que 100 000 bâtiments doivent encore être testés, et la moitié d’entre eux pourraient bel et bien avoir des tuyaux en plomb. La Ville se donne d’ailleurs trois ans pour effectuer les tests de dépistage des bâtiments restants. L’année dernière, ce sont 10 000 dépistages qui ont été effectués à travers la ville.
L’administration Plante n’a par contre pas précisé si elle serait en mesure de respecter l’objectif initial, soit de retirer tous les tuyaux en plomb d’ici 2026.
Aux yeux de Michèle Prévost, c’est un coup à donner, si l’on considère le travail abattu ces douze dernières années et ce qu’il reste encore à faire. « C’est beaucoup de tuyaux, on n’en est même pas à la moitié, remarque-t-elle. Ça va prendre beaucoup de bras, beaucoup de personnels pour faire ça vite ».
CRÉDITS
Rédaction:
Annabelle Caillou, Brigitte Tousignant — Le Devoir Ian Down, Michael Wrobel — Institut du journaliste d’enquête de l’Université Concordia
Équipe d’enquête, Université Concordia:
Mia Anhoury, James Betz-Gray, Matthew Coyte, Miriam Lafontaine, Franca Mignacca, Lea Sabbah, Ayrton Wakfer
Reporters, Université Concordia:
Michael Bramadat-Willcock, Thomas Delbano, Elaine Genest, Adrian Knowler, Mackenzie Lad, Benjamin Languay, Jon Milton, Katelyn Thomas
Équipes de production:
Le Devoir: Véronique Chagnon (chef de projet), Lea Sabbah (stagiaire)
Institut du journaliste d’enquête de l’Université Concordia: Patti Sonntag (productrice et superviseure), Colleen Kimmett (coordonnatrice du projet), Fabio Luis Leon-Rosa (assistant éditorial)
Avec la collaboration de Global News
Produit par l’Institut du journalisme d’enquête de l’Université Concordia
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Le top 5 des Erreurs à l’Entraînement des Jambes, et Comment les Éviter
Jambes, grande et bien faite, sont le rêve de toutes les femmes et tous les hommes et les femmes, jeunes ou vieux. Après tout, qui aime avoir le pied fin? Mais c’est parce que les jambes sont musclées, complexes et nécessitent beaucoup de concentration et de discipline au cours de la formation, parce que la formation des jambes est fastidieux et douloureux, ou même de plusieurs du train, mais ils le font dans le mauvais sens, et la vérité est que la plupart des praticiens de la formation de la force finissent par ne pas être en mesure d’atteindre leurs objectifs.
Si ce qui se passe pour vous et pour le bas de votre organisme de formation n’a pas été démontré que les résultats qui peuvent être attendus dans l’article ci-dessous peuvent être en mesure pour vous aider à identifier certains des bogues dans votre routine, vous pouvez nuire à votre progrès.
Check it out, puis le top 5 des erreurs dans la séance d’entraînement de la jambe, et voici comment les éviter.
1. Forme incorrecte pour un squat
Le squat est l’un de ces exercices est rempli avec les controverses, certains ne veulent pas le faire, les autres sont à moitié plein, et d’autres sont sur le mauvais chemin, et ils ne cessent de se blesser. Et pendant que vous serez nombreux à laisser le fait qu’il diminue suffisamment au cours de l’année, c’est l’erreur la plus importante dans le squat.
Le pire (et le plus courant) est de se pencher en avant au cours de l’année, avec un dépistage de la hanche à l’arrière. En plus de prendre les avantages du squat à la jambe, que la projection peut également être accompagnée par de graves blessures à la colonne vertébrale. Si vous n’avez pas quelqu’un à la salle de gym pour vous enseigner la bonne technique, il est préférable d’ignorer les squats et faire cet exercice pour les deux jambes.
Comment l’éviter:
Il y a deux principales raisons pour lesquelles vous pourriez être amené à concevoir le corps de l’avant: un fardeau trop lourd ou mal à elle-même. Pour s’installer sur le premier, seulement pour réduire le poids et améliorer votre équilibre, vous pouvez aussi pointer le pied (un peu) à l’extérieur au cours de l’exercice. Tout autres conseils sur la façon d’améliorer votre équilibre est de descendre sur les hanches avant de vous pliez vos genoux, et à former le mouvement sans aucune charge.
Gardez vos yeux sur l’horizon et pour chaque répétition, en gardant vos pieds en plus de la largeur de ses épaules, et, comme nous l’avons vu, avec vos orteils pointés vers l’extérieur;
Dans la mesure où c’est de prendre du poids, et de toujours garder vos fesses sur vos talons, à l’imitation de la motion de s’asseoir dans une chaise par eux-mêmes.
Pour monter, déplacer vos hanches avant de soulever ces genoux;
La meilleure façon de former les bonnes techniques de levage dans le squat, à l’aide d’une chaise. Prétendre que vous allez vous asseoir (pour les fessiers, près de ne pas toucher le président, et commence à monter en parallèle sur le dossier d’une chaise, sans vous pencher le tronc vers l’avant. N’utilisez pas le poids de la barre pendant l’année.
Si vous ne vous sentez pas sûr de la technique, essayer de commencer à faire des squats sur la machine Smith, et de progresser lentement les poids libres.
2. Aller vers le bas sur la Jambe la Presse
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En tant que peuple, sont toujours à la charge d’aller plus loin dans le squat, ils finissent par croire que c’est la même chose avec la jambe la presse. En fait, c’est presque partout dans le monde fou sur la jambe la presse, ce qui peut conduire à des blessures à la hanche et la colonne vertébrale lombaire. C’est parce que lorsque vous poussez le poids trop près de votre corps, les muscles fessiers commence à remonter, et de vos hanches et le bas de votre dos obtient une partie de l’impact qu’il était censé aller pour les quads, la diminution de l’efficacité de votre bas du corps de la formation.
Comment l’éviter:
Voir aussi:
Gardez vos pieds écartés à la largeur des épaules, puis abaissez lentement le poids vers votre corps;
Quand vous sentez que vos muscles fessiers commencent tout juste à sortir de l’assise et de l’ascenseur, puis poussez la charge dos à dos, mais jamais redresser vos jambes complètement. Il suffit de soulever le poids autant que vous le pouvez étirer vos jambes sans l’étirer complètement les genoux;
En suivant les directives ci-dessus, vous aurez à mettre l’accent sur les quads, et vous serez en mesure d’obtenir de meilleurs résultats avec la jambe la presse, mais de ne pas prendre le risque inutile de nuire.
3. Arrêtez-vous avant d’arriver au point de rupture
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Il n’est pas surprenant que la majorité des gens n’aiment pas faire la séance d’entraînement des jambes: outre les résultats sont lents à apparaître, l’exercice est tiré, et vous êtes tous les maux de la prochaine journée. Si vous faites du squat, évier, et la jambe de presse en utilisant le maximum de puissance que vous obtenez, il est très probable que vous obtiendrez une idée de sa jambe, sensation de brûlure dans les flammes, et c’est ça le problème. Beaucoup de poids stagiaires de ne pas arriver à ce point, ou d’arrêter la série dès qu’ils se sentent le moindre inconfort.
Une des causes pourrait être l’excès de poids, ou même un manque de détente entre les séances d’entraînement, comme bon nombre de ses praticiens (surtout les femmes) ne prévoient pas un minimum de 2 ou 3 jours entre une séance d’entraînement pour les jambes, puis un autre, et il ne permet pas la récupération complète de la masse musculaire.
Comment l’éviter:
La plupart de soi-même alors que dans la série, et, si nécessaire, pour réduire le poids à atteindre la fatigue musculaire;
Afin d’atteindre l’échec dans la formation de la jambe, puis faire une série de 5 répétitions sur la jambe la presse (le meilleur), suivie par une série de 15 répétitions à votre puissance maximum avec le moins de poids. Et puis faire de plus de 15 répétitions de squat, le hack (ou de l’évier);
Faire une série de 10 à 15 répétitions pour augmenter l’intensité au cours de la formation des jambes;
Essayez de temps en temps pour varier le bas de votre corps, de la formation, avec quelques exercices dans la super séries, de répétitions, les partiels de repos et de pause;
C’est le conseil le plus important de tous, et, malheureusement, n’ont pas beaucoup de savoir-faire, la formation, les jambes sont tirés au cours de la même, et il suffit de penser de l’inconfort et de la douleur provoquée par l’acide lactique), comme un moyen pour les jambes, mettre en place, et comment fort que vous avez toujours voulu.
4. L’excès de poids
Bien qu’il serait une erreur de plus commun parmi les hommes, il est également possible de voir les femmes d’essayer d’impressionner un de vos camarades de l’académie, avec les charges et plus lourds – être le squat ou la jambe la presse – et c’est souvent exagéré. En tant que résultat d’un excès de nombre de répétitions et l’amplitude de mouvement, finissent par être compromise, et en fin de compte vous n’obtenez aucun résultat positif dans le bas de votre organisme de formation.
Il n’y a pas de point de mettre 350 lbs sur la jambe la presse, alors que ses collègues sont “juste” mesure de pousser à 220kg, si elles sont en mesure de faire la transition vers la pleine mesure, de corriger les répétitions et le plein, et vous n’avez pas. Ce qui est bon pour votre vanité, ou vous pourriez ne pas être en mesure de faire des progrès avec ce qui, en plus de vous mettre dans une bonne position pour être en mesure de subir une blessure qui est plus grave.
Comment l’éviter:
Gardez votre attention sur vos muscles, pas le poids de chacun:
Choisir une charge qui permet la pleine amplitude de mouvement, et en même temps, il permettra de stimuler vos muscles à croître;
Faire une série de 8 à 12 répétitions;
Assurez-vous que votre formation, et évitez de vous comparer à vos pairs.
5. Ne pas travailler
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Pire que ça, vous faites des erreurs au cours de votre formation, ce n’est pas exactement une séance d’entraînement pour les jambes d’une manière particulière. Le plus commun chez les hommes, et que cette erreur est classique et peut être définie comme un syndrome de Johnny Bravo, le personnage dans les comics, le propriétaire de l’incroyable statistiques sur la V et les jambes complètement hors de proportion.
Comment l’éviter:
Pour former la jambe, c’est dur, ça fait mal, et prend le temps de leur séance d’entraînement de bras, mais il n’y a pas d’autre moyen: vous avez à le faire;
Si vous êtes déjà habitué à sauter la jambe de la journée, puis essayez de le monter sur la même journée qu’une séance d’exercice pour les biceps, par exemple. Et même ainsi, il est difficile de faire des super-ensembles d’un bras + une jambe. En outre, il ne dispose pas d’un moyen de s’échapper, vous êtes toujours en train de terminer la journée plus tôt;
Et si vous n’êtes toujours pas convaincu, assurez-vous de ne pas être le prochain sur la liste des personnes qui est devenu célèbre sur internet en raison de l’absence de formation dans les jambes.
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– Ok, c’est la faute du miroir, il ne permet pas de montrer les progrès de mes jambes…
[#- Z]Devinez qui a obtenu la majorité des quads?
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Sur le terrain de volley, et la question est sur le dé.
Êtes-vous un de ces gens qui ne se sentent pas la différence dans vos muscles dans le bas de votre corps à l’entraînement? Quelle est votre plus grosse bêtise? S’il vous plaît commentaire ci-dessous!
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Cet article a été publié pour la première fois dans Le top 5 des Erreurs à l’Entraînement des Jambes, et Comment les Éviter
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Vierge (noir)
Tenir debout mais comme un mort
J’ai entendu les chats cette nuit
Dévorer, battre, dévorer Moisson.
J’ai si mal au ventre, il vient d’arriver à bloc suis-je, et le soleil d’épaule.
J’ai mal Je tiendrais, je n’ai eu peur de venir Mais rien ne peut plus partir J’ai mal, le lait, le gateau de figues, oui, peut-être Qu’ils peuvent ralentir, la marche Mais en arrêt, en arrêt, avec l’eau froide Je ne me plais plus.
Il faut presser, se passer au miroir même si la peau change sa couleur. Ses yeux qui sont-ils ?
Tu arrives bien ? J’ai mal. Plaine, plaine, embrassez-moi.
Musique, musique, tu m’aides à recevoir la vie Vivante.
Les chats, les chats j’entends, l’horizon, l’horizon je prends Je ferme, je vois son fil. Les chats aux tripes, aux tripes de moi Jouent aux buissons. Ils ne l’ont pas tué Et comment différencier un combat inégal De deux chats sauvages ?
La peur du cri du domestique, la nuit.
C’est la veille des départs dans les îles Où je me débarrasse Où l’on me prend Me délaisse.
Déjà mon sexe faisait mal j’ai avec le trou danser comme un rond sans rendre le premier coup.
J’ai « laissé à faire ».
Sois comme ta mère, rejoins tes parents. Qu’ai-je dis vraiment ? Qu’ai-je marqué ? Souffrance qui dure, que je suis fort déjà, Que je combats !
Il faut m’aider quand je ne peux parler, et avec les transports Tu veux me toucher seigneur.
Mais la violence La violence Bonheur d’apaise.
Et violence arrive, pourquoi ?
Première fois Comme par magie elle survient.
En honte, il ne sait pas rendre surprise et détachement. Il se repasse des succès, des coups, des plaquages Il s’est arrêté.
Personne ne me protège, jamais Personne Jamais.
Ignorer L’atteignable.
Murmurer des paroles comme fou, parler du sexe de l’agresseur Contrer avec qu’il me plait.
Plus de collier, au cou nu, et pour récupérer l’habit de mon père À l’origine, que je t’en veux, toi qui aime les chats, toi qui attend le chat.
J’ai perdu le collier, ébahi en marchant dans la rue de l’enfance aux coquillages dans les murs et aux toilettes dallées, et aux pièges, au lugubre du dernier étage Je n’ai rien dis, ai tenté de venir chez vous, je suis reparti vous ne sentiez, ne pouviez sentir.
C’est ce que je montrais pour dire que j’étais ce que j’étais.
Parce-que je ne sais pas me protéger
Je voulais aller pèlerin et là-bas Vers l’amour oublié et blessé et oublié dans sa blessure certaine à deux Aller monter, sans vertige, aller déposer un mot comme au mur, comme au mur qui se lamente où la soeur n’avait rien écrit, et je suis venu te voir à la place et comment ne pas céder à la colère de contre toi qui prétend en plus ne rien demander, si ce n’est justement de ne pas être en dehors de la caresse
et que je déteste ton odeur et ta peau et tes tatouages et tes yeux hors-terre, et tes formes et tes cheveux et ton maquillage et ton tassement et tes paroles et tes attentes
mais tu n’es pas même l’affrontement premier
qui ne s’intéresse pas à toi malheureuse personne que je n’aime.
Je n’ai plus de collier, mal au bout du sexe, la veille de partir.
Encore le bijou s’éteint S’en ai tu.
Qui agresse encore les clochardes ?
C’est après l’aérien, l’oeil au torse, le dernier évènement, le tierce, l’enjambement dernier, la brulure que laisse un collier arraché au cou, brulure imaginaire, perçue par sa trace, contusion à la traine comme derrière les bras.
Cette agression qui vise à l’extinction Cette pauvreté qui protège Qu’est-ce que tu regardes toi Et moi j’avais déjà bu.
Seulement ce qui protège du vent peut permettre l’extraction. Je me suis assis sous l’arbre.
Quel est l’enjeu véritable de la violence Avec ceux qui rougissent quand on les frappe ? D’attendre le destin incontrôlable du frappant. D’attendre jusqu’où. Ne mourrez pas demain Je vous aime dans le besoin de vous qui se fait entendre. Il m’a fouetté avec tendresse.
Sentir son odeur pour se rassurer Je suis encore Ils me frappent Par derrière les jambes Et abasourdissent.
Les autres les regardent les rejoindre ensuite. D’autres poches encore accueillir mon bien.
Je n’ai porté ma plainte. Pourquoi auraient-ils ne pas raison de m’en vouloir ?
C’est ce pays qui est dangereux. Bonjour à la belle enfant. Partir Comment peuvent-ils m’aider Attaqué je rougis Je sature.
Mais pourquoi après moi ils sont ?
Il y a des liens À traiter comme un territoire.
Coup derrière les jambes Celui qui ne comprend ne peut répondre Au collier Désir du Sud, peut-être vais-je écrire, mordant.
Comme si moi mon corps n’était important acceptant le coup sans raison.
Au collier désir du Sud.
La mémoire la peau ce collier qui me permettrait d’aller me nier en étoiles, qui est parti.
Désormais l’Image est redevenue. Ciel. La mémoire la peau Ne pas se souvenir de connaître A cause de la peau A presser, éliminer. Quelle peau as-tu A montrer Aux femmes ?
Qui va plier quoi ? Je n’écris plus Se baigner voir tes seins tachés Et lui sous l’eau regarde le coucher Je suis triste Je suis fatigue J’ai exprimé Ce qui me retient Les voitures nous longeaient Je te prenais La campagne Je n’ai jamais parlé de toi De ma blessure Une tristesse je porte de la fusion de la blessure de l’amour De nos couleurs qui n’étaient pas plates Et nous pouvons parler J’oublie Que connais-tu
Il faut que je dise quelque chose que je m’exprime pour connaître Le passé existe-t’il encore ?
Je t’ai ressenti si vulnérable quand tu m’as demandé si j’étais content que tu sois Je t’aime de beaucoup Le pivert se penche sur le koala L’île tient seule sur sa terre Nue
Ce qu’il s’est passé Une souffrance d’un avenir Tu es la famille Ils t’ont parlé enfin Je suis là Espèce de caravane, comment oses-tu et bien pour changer je ne sais ma chérie fraise dans la vie il faut prendre le danger dans la bouche, tes pieds vont durcir dans le chemin vers la mer et j’aime avoir les pieds durs qui marchent vers la mer.
On dirait un sans domicile, un berger allemand, un ange, on dirait un voleur ! Jono, ma statue lionne était si bien cachée dans les herbes, quelqu’un a dû me suivre certains étangs étaient inscrit dans mon sang
Souviens toi du Malawi, je marche et je veux crier : berce mes ennemis mère j’ai peur j’ai peur ils me suivent partez j’espère survivre à demain et partir et la distance comment rentrer ?
Je serai enfermé et seul je n’en puis plus de ce qu’ils me font.
Bave-pipe de soeur ravagé par les quoi-villes de la vierge On mérite toujours les amis que l’on a On veille sur toi dors tranquille Et ma mère Je pense à elle C’est un début Quand je regarde l’horizon des flèches sortent de moi.
La jeunesse D’une maison Des espoirs La force d’être et de n’être rien Partant De découvrir
Je sais que parfois mais toi aussi tu es à sauver
Je ne manquerai pas la marche de la plage ni les colliers des mers Tuer une tache en mouvement J’ai vu déjà les guépards jongler avec la nourriture des mers Puis au lac au loin du pays plat J’ai pénétré à travers le filet d’un pêcheur né-mort Faire la joie du retour Bientôt Et Sans collier Je vais à la maison Je vais à la maison Je suis à la maison Adolescent boutonneux Je te reproche d’être Attention au départ c’est le train de la chanson d’enfance Au lieu de m’arracher les yeux Bonjour montagne Je vous salue Je dois faire corps avec vous L’espace était l’espace d’une folle
Partir des mots et expliquer : Belle enfant quand on me presse je ris Inconnus proches Aller voir au silence Le parti pris Le chasseur des zone humides
Ciel tout Ciel toi Malgré l’île Dormir
En temps d’heure D’abord l’acte
Puis la pensée de sa pensée
Il y a ce que qui me pousse ailleurs
Le loup hulule
Je ne suis pas un homme au sexe Partir Etait-ce une route de t’emmener Je ne pourrais te protéger
Boule de glace sur le Christ, à la vanille, et je lèche. Le froid de l’Allemagne la nuit Le froid La nuit noire éclairée à l’intérieur l’ex-femme est au cœur du vin élevé Qui l’a fait disparaître Le vin rouge m’attaque Je suis enfouis en tristesse
Les jeux d’enfants si sérieux et pas encore assez sérieux sur le langage Le jeu le plus sérieux du monde à trouver La première partie est la plus dure ensuite on se laisse porter en Confiance
Et qu’est ce que cela fait s’il n’y a rien ?
L’horizon s’appelle ainsi, c’est un mot que les hommes ont peuplé avant toi.
Tunnels ne me font plus peur
La meilleur moyen d’atteindre les morts C’est de se concentrer sur ce qui est là Les limites de l’esprit et la mer Nouer avec la violence pourquoi Ils vont me tuer Pourquoi Ils sont plus forts que nous Peur absolue de violence Jusqu’au bout qui supprime Gens arrive pas à m’enlever, à cause de la forme de mon corps. et mon sexe pince À Barcelone.
Elle pense à moi quand elle voit des cygnes, mais qu’ai-je donc eu à dire ? Je me sens bien de le pouvoir lire. D’autres soleils, trop de soleils, où fuir le temps ne changera pas où fuir je suis triste le noyau la boule de poil avalée je n’en puis plus aidez-moi je dois pleurer j’ai chaud, trop de soleil, trop de soleil, j’ai chaud aidez-moi je ne vais pas rester ici, c’est un échec du malgré tout d’un malgré trop je ne supporte plus la chaleur le cancer noir bloque ma respiration me coupe je vois les abdominaux dans l’eau je pleure quelques larmes trop claires tu me portes et ma mère et voilà et je ne sais pas quoi dire je dois pleurer avec ma mère que je vais quitter j’ai pris trop de soleil je meurs je suis fatigué où fuir le soleil est là et le ciel trop bleu et j’y repense à son front sa frange ils m’ont pris ils m’ont pris je suis épuisé ils m’ont pris que faire je t’en veux je ne sais pas je vais mourir, gros et évanoui sans crier sans pleurer aidez-moi je suis trop souffrant trop de soleil de chaleur, et mes doigts sans bagues se rappellent du collier sans cou peut-être encore les chats se battaient, toi ton chat, moi et la mort en violence insupportable
j’ai mal quand je rentre ici, trop de soleil
le coeur explose
le fond explose le corps explose je dois réussi à pleurer
seulement pleurer et être un homme humaine
la famille au complet, la famille qui manque
la famille du père
et me revoilà mort
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Interview “coup de coeur lockdown” dans le magazine Cinqmille
COUP DE COEUR#LOCKDOWN : Chocs et Ennui a encore frappé ! Précommander leur « Rocky Horror Picture zine » pour lutter contre l’ennui du confinement…
Interview par Rebecca Deville
En ces temps de confinement, aucun plaisir n’est à bannir ! Et chez Cinqmille, nous avons eu vent qu’une petite pépite remplie de paillettes, bas résille et surmaquillée était dans les cartons.
Le collectif Chocs et Ennui a lancé les précommandes de son zine « Rock Horror Picture Zine », inspiré, vous l’aurez compris lecteur-trice perspicace, du film « Rock Horror Picture Show ».
On vous invite donc à lire l’échange que nous avons pu avoir avec eux afin de découvrir qui se cache derrière Chocs et Ennui, d’où est venue cette idée de zine, qui y a participé et d’autres choses encore ! Et rendez-vous en fin de l’article pour savoir comment pré-commander ce zine qui fera frétiller vos pupilles comme un déhanché du Dr Frank-N-Furter !
CinqMille : Pouvez-vous vous présenter ? Qui êtes-vous ? Depuis quand chocs et ennui existe ?
Chocs et ennui : Salut ! Chocs est Ennui est un collectif de sérigraphie et micro-édition, basé à Saint-Servais. Avant que le collectif existe, on faisait déjà de la sérigraphie en imprimant les pochettes de disques du label punk rock monté avec un copain (Never Trust An Asshole) et en 2016 on a créé Chocs et Ennui pour séparer le label des autres trucs qui sortaient de notre atelier. On édite donc des fanzines (magazines amateur) d’illustration, BD, poésie, ce qui nous fait envie sur le moment quoi. On organise aussi parfois des ateliers dans notre garage ou ailleurs, pour que les gens se familiarisent avec des techniques d’impression artisanale comme la sérigraphie ou la gravure, parfois on organise des concerts même si on tâche de surtout se concentrer sur l’image imprimée. On est principalement deux, Harmony et Jérôme, mais on fait souvent des trucs en collectif ou avec des ami-e-s (Mathieu Van Assche, Esquiroulet, Béatrice Myself…)
CM : Pourquoi avez-vous choisi la thématique du Rocky Horror Picture Show pour ce numéro ?
C&E : Les fanzines collectifs, c’est souvent l’occasion de se retrouver autour d’un sujet marrant et de fêter ça ensemble avec de la musique dans une ambiance mi-rigolote, mi-craignos. Par exemple, on avait sorti un fanzine d’illustrations de tatouages Johnny Hallyday (sujet assez pointu, n’est-ce pas). On avait fêté ça à Bruxelles en organisant une soirée karaoké avec des masques et des guitares en carton, un tatoueur et une tatoueuses prêt-e-s à faire chauffer leur dermographe au fond de la salle, c’était bien débilos. Et comme on est super fan du film Rocky Horror Picture Show, que les personnages sont tous iconiques et que ça se prête bien à un karaoké en bas résilles et slip à paillettes, c’était l’occasion de refaire un zine collectif. Ça fait un moment qu’on y pensait, on a lancé l’appel à contributions fin novembre 2019, après un séjour à Paris où on a assisté à une projection du film avec une troupe de théâtre qui rejouait TOUTES les scènes dans la salle, c’était d’un mauvais goût complètement assumé, chouette expérience. La rue du cinéma donnait sur Notre-Dame, en sortant il faisait nuit, on a bu de la mauvaise bière en cannette en face des ruines de la cathédrale, des rats couraient sur les quais de la Seine, on s’est dit que c’était le bon moment de lancer ce projet.
CM : Vous diriez que c’est un zine à regarder avant ou après avoir vu Rocky Horror Picture Show ?
C&E : Il y a de fortes chances que les gens qui n’ont jamais vu ce film n’ouvrent jamais ce fanzine, mais si jamais cela arrive, on espère que cela les intriguera suffisamment pour voir le film, qui est quand même culte (et puis bon, vous en connaissez beaucoup vous des comédies musicales sorties dans les années 70 qui mêlent science-fiction, fantastique et transsexualité?). Les personnes ayant déjà vu le film devraient prendre du plaisir en feuilletant le zine (« s’abandonner au plaisir absolu », devrait-on dire), vu qu’il fait le tour de pas mal de scènes ou personnages, avec des styles et des interprétations très différentes (illustrations, BD, collage, gravure et même broderie !).
CM : Pouvez-vous nous en dire plus sur les artistes ayant participé à ce zine ? D’où viennent-ils ? Qu’est-ce qui a pu les emballer dans cette thématique ?
C&E : 23 artistes de Belgique et de France ont participé. On est super content-e-s, parce qu’on retrouve des habitué-e-s de nos précédents projets collectifs, mais aussi des nouvelles têtes et plusieurs artistes de la région namuroise. C’est motivant et rassurant de voir participer des nouvelles personnes, de ne pas s’enfermer dans des clivages et un entre-soi un peu navrant. Ce qui a pu les emballer, bonne question… La plupart vouent un gros culte à ce film, d’autres étaient emballé-e-s par la participation à un projet collectif d’édition.
CM : Quelles sont les techniques d’impression de ce zine ? Vous imprimez tout vous-même ?
C&E : Les illustrations originales ont été créées avec différentes techniques en fonction des artistes : dessin au crayon, encre de chine, collage, broderie, linogravure… On va imprimer à la main les couvertures en sérigraphie dans notre cave (rassurez-vous il y aura de l’encre à paillettes), et l’intérieur sera imprimé en numérique noir et blanc (chez Impact System à Namur, big up Cindy et tout l’équipe). Le tout sera relié à la main. De cette manière, on garde le côté artisanal et chaleureux, tout en proposant un prix abordable.
CM : Namur permet-elle aux créateurs de zine de se développer (comme avec les ateliers du Toner à Bruxelles qui permettent d’avoir accès à plusieurs machines d’impressions et de rencontrer d’autres artistes) ?
C&E : Cela ne fait pas très longtemps que nous vivons à Namur, donc c’est difficile de répondre à cette question. Il y a deux ans, il y a eu un super festival de fanzine, « l’Appel du Merle », c’était cool. De notre côté, on organise régulièrement des « Stoemezine », petits événements ou n’importe qui ayant fait un zine peut venir le présenter et l’échanger. C’est souvent en petit comité, mais à chaque fois des gens créent un zine pour l’occasion, donc une chouette dynamique s’installe ! Si vous n’avez pas accès à des techniques ou à des machines spécifiques, il faut quand même garder en tête que lorsqu’on veut partager, exprimer des choses et les diffuser facilement, la photocopieuse de la boutique en bas de sa rue permet de faire des miracles !
CM : Peut-on dire que le public namurois est réceptif à ce genre de publication artistique ?
C&E : Malgré la faible visibilité de l’univers du fanzine ici, on tombe toujours sur des gens intéressés lorsqu’on tient un stand quelque part, donc le public namurois y est sensible, réceptif, curieux, et y voit là un chouette moyen d’expression. Namurois, Namuroises, faites des zines !
CM : Avez-vous des artistes namurois sur lesquels nos lecteurs et lectrices doivent garder un oeil ?
C&E : Ce que fait Trama en sérigraphie est super et ses lettrages en graffiti défoncent ! Côté photo, Aspëkt fait des super trucs (dont des fanzines hé hé) et le fait de les réutiliser en collage dans la rue est chouette et intéressant. Le travail d’illu de Marine Bernard est superbe, avec en trame de fond le questionnement des stéréotypes de genre. Côté fanzine le Hang’Art à sorti plusieurs numéros de Pickles bien fun. Le dernier zine d’Eric Falier « Le Deuil de la page blanche » est magnifique. Et vous aurez encore l’occasion de découvrir plein d’autres artistes namurois dans le « Rocky Horror Picture zine ».
CM : Question en lien avec l’actualité et histoire de donner des idées à nos lecteurs-trices: Comment vous occupez vous pendant ce confinement ?
C&E : Déjà, on ne se lève plus à 6h tous les jours et c’est pas mal. On bosse depuis la maison (Harmony est coordinatrice dans une ASBL, Jérôme est prof de math). Le reste du temps, cappuccino au lit, lecture, jardinage, films, et un peu de sport avec pour objectif de savoir casser une noisette avec nos fesses comme Jean-Claude Van Damme.
Si on devait donner un seul conseil, ça serait de ne pas se mettre la pression pour être ultra productifs-ves ou efficaces et de ne pas culpabiliser si ils ou elles passent du temps à ne rien faire sur leur canap’. C’est une période très bizarre, avec beaucoup d’incertitude et de stress pour les travailleur-se-s précaires, les victimes de violences conjugales, les sans-papiers, les SDF et les personnes à la santé fragile et/ou isolées. Prenez soin de vous et des autres de votre mieux, la performance et la rentabilité économique attendront et ne devraient plus être le saint Graal après le confinement (du moins, on l’espère).
CM: Si des lecteurs-trices souhaitent se créer un zine, quel genre de matériel conseillez-vous ?
C&E : Du papier et ce qui vous convient le mieux pour vous exprimer dessus. Ensuite viendra le moment de vous faire plein d’ami-e-s au Copy Center du coin. Une agrafeuse à long bras peut être d’une aide précieuse, mais il existe aussi plein de technique de reliure jolies et faciles. Si vous êtes plutôt « scanner + ordi », les logiciels libres Gimp et Scribus font des merveilles pour l’édition et la mise en page.
Si besoin d’infos, écrivez-nous ! [email protected]
CM : Pour terminer, comment pré-commander votre zine ?
C&E : Un petit tour ici : https://forms.gle/3qxFYEcWFEnAMtdXA
Le zine est vendu à 7 euros + frais de port, une remise en mains propres bien lavées sera bien entendu possible pour les gens de Namur, une fois le confinement terminé !
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Chacun est persuadé que les enseignements auxquels il a adhéré sont ceux de Jésus-Christ, non ?
Mais si les enseignements que tu reçois ne t'emmène pas aux pieds de Jésus-Christ, remets en question le ministère de cette personne.
Aujourd'hui, nous pouvons constater qu'il y a des multitudes d'enseignements les plus diverses, sur Jésus.
Et donc, comment reconnaître ceux qui sont apportés par le Saint-Esprit ?
La Parole de Dieu doit nous rendre libre, mais regardons ce qu'elle doit produire.
Vous comprendrez la vérité, et la vérité fera de vous des hommes libres.
Vraiment, je vous l’assure, leur répondit Jésus : tout homme qui commet le péché est esclave du péché. Jean 8: 32, 34 POV
La liberté à laquelle un enfant de Dieu à part, c'est celle des principes de l'homme, et celle aussi de recevoir la grâce de marcher dans l'obéissance à la Parole de Dieu.
Ce qui est le plus étonnant, ce sont ces genres d'enseignements, qui emmènent ceux qui les écoutent à s'éloigner de celui qui c'est révélé à leur cœur.
Ce qui est sûr, c’est que beaucoup de chrétiens sont enseignés, mais le résultat escompté n’est pas toujours rencontré, car il consiste à se rapprocher de Christ et non à acquérir uniquement de la connaissance.
Veillez à ce que personne ne vous dépouille de votre foi et ne fasse de vous ses prisonniers par une « philosophie » trompeuse et décevante. Colossiens 2: 8 POV
Ne nous trompons pas de course, et donc de but, qui doit-être celui-ci :
Unis à lui, vous avez aussi eu part à une circoncision qu’aucune main humaine n’a accomplie, à celle que demande le Christ et qui consiste à vous dépouiller de votre nature pécheresse avec ses instincts mauvais. Colossiens 2: 11 POV
Comprenez ce que je vais vous dire, ceux qui écoutent les enseignements du soi-disant prophète Kacou, sont persuadés d'entendre des enseignements qui viennent de Dieu.
Alors que nous savons pertinemment, que ce n'est pas le cas. Par contre. Je vais être sincère, j'ai donné ce nom, mais dans la période de l'histoire où nous sommes, ils sont légion à être comme lui.
Personne ne doit vous priver de la victoire. Je pense aux gens qui se font tout petits devant les anges pour leur rendre un culte. Et ils donnent aussi trop d’importance aux choses qu’ils voient en rêve. Ces gens-là ont des idées trop humaines, cela les gonfle d’orgueil. Colossiens 2: 18 PDV
La lettre aux Colossiens est une exhortation à discerner les faux prophètes, et c'est dans ce sens que l'apôtre Paul donne le secret de la marche chrétienne, qui se trouve au travers de ce verset.
C’est à eux qu’il a voulu faire connaître quelles richesses, quelles splendeurs renferme son plan secret en faveur des non-Juifs. Ce secret, c’est tout simplement ceci : « le Christ en vous », c’est en lui que se concentre toute la gloire future. Colossiens 1: 27 POV
Attention de nous laisser détourner de Christ, car tout est en lui. Les enseignements que nous entendons non pas pour but d'emmener une connaissance intellectuelle de ce qu’il a accompli, mais à communier à ses souffrances, afin de ressusciter en lui.
Oui, vous tous, lorsque vous avez été baptisés pour le Christ, immergés dans une communion spirituelle avec lui, vous vous êtes revêtus du Christ, vous avez pris sa ressemblance, son caractère. Galates 3: 27 POV
Aujourd'hui, concernant les enseignements, il y en a vraiment pour tous les goûts. Je voyais aujourd'hui quelqu'un qui donnait un enseignement, en étant persuadé qu'il avait raison, disant que nous ne sommes pas dans la période de l'histoire où un chrétien peut parler en langue.
Et pourtant, l'apôtre Paul dit qu'il parle par l'esprit plus que tous.
Nous avons vraiment besoin de comprendre ce que doit produire un enseignement dans le cœur d'un chrétien, qui est celui-ci :
Oui, nous renversons les raisonnements et les arguments sophistiqués qui se dressent prétentieusement en rempart contre la véritable connaissance de Dieu. Faisant prisonnière toute pensée (rebelle), nous l’amenons à obéir au Christ et à reconnaître son autorité. 2 Corinthiens 10: 5 POV
Ne prenons pas cette publication à la légère, car ce n'est pas en vain, que Jésus donne cette exhortation :
Car beaucoup sont invités, mais ceux qui sont admis sont peu nombreux. Matthieu 22: 14 POV
Cet avertissement fait partie du contexte sur la parabole d'une personne qui est invitée à une noce, mais il y va, sans mettre de costume.
Cela représente notre identification à Jésus-Christ, qui doit se concrétiser en revêtant Christ, ce qui signifie de lui ressembler, en ne faisant plus qu'un avec lui.
Conclusion : si les enseignements que nous entendons nous emmènent à ressembler de plus en plus à Jésus-Christ, c'est qu'ils sont conduits par le Saint-Esprit. Mais par contre, cela ne consiste pas à lui ressembler uniquement par une connaissance intellectuelle de son œuvre, mais elle doit être accompagnée de fruits dans notre vie, qui vient de notre relation qui grandit avec lui
Or c’est sans voile, le visage découvert, que nous tous, nous contemplons, comme dans un miroir, la gloire du Seigneur. Ainsi nous sommes constamment transformés d’après son modèle, pour lui ressembler davantage de jour en jour et en refléter une image toujours plus fidèle. Sa gloire devient progressivement nôtre. Il ne saurait en être autrement, car celui qui agit en nous, c’est le Seigneur lui-même par son Esprit. En toute franchise 2 Corinthiens 3: 18 POV
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