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#comédie américaine
direct-actu · 7 months
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Drive-Away Dolls le plus déjanté des roadmovies !
Une Pulp Fiction Girly très musclée ! Vous cherchez une bonne comédie décomplexée et sans tabou. Avec Drive-Away Dolls, on détient le plus déjanté des roadmovies ! Le film arrive à montrer comment un quiproquo va peu à peu dégénérer et devenir une mission survie. Continue reading Drive-Away Dolls le plus déjanté des roadmovies !
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levoleurdimages · 7 months
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Drive-Away Dolls le plus déjanté des roadmovies !
Une Pulp Fiction Girly très musclée ! Vous cherchez une bonne comédie décomplexée et sans tabou. Avec Drive-Away Dolls, on détient le plus déjanté des roadmovies ! Le film arrive à montrer comment un quiproquo va peu à peu dégénérer et devenir une mission survie. Continue reading Drive-Away Dolls le plus déjanté des roadmovies !
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Il faut bien que jeunesse se passe...
Les œuvres sur cette période charnière qu’est l’adolescence abondent et offrent de multiples points de vue. Que ce soit sous un angle humoristique, dramatique, superficiel ou angoissant, l’adolescence a été traité au cinéma et en littérature sous bien des aspects. Et si l’on dénombre nombre de navets (particulièrement au cinéma), on peut aussi se perdre dans le labyrinthe de références…
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Depuis le 7 juillet dernier la France offre une très jolie séquence de lutte des classes. Dès 20 heures, à l’annonce de la « défaite » du RN à qui les sondages avaient promis 100 députés de plus, les 10 millions de Français qui leur avaient apporté leurs suffrages étaient instantanément vaporisés.
La magouille électorale qui avait vu LFI se précipiter pour réélire le flic Darmanin et la destructrice des retraites Élisabeth Borne avait fonctionné, avec au passage une remise en selle du PS.
Donc, à la niche les prolos qui à tort ou à raison font confiance au RN. Sur les plateaux de télé il n’était question que des futurs arrangements pour tenir les ouvriers et les employés à l’écart.
Par la suite, la petite bourgeoisie des métropoles réclamait son dû à Macron et du haut de ses 27 % prétendait à tous les pouvoirs. Fausses oppositions, accusations de violation de la constitution, insultes, le théâtre et le simulacre reprenaient tous leurs droits. Voilà maintenant qu’il faut « installer » l’Assemblée nationale. Et ça recommence, exit à nouveau les 10 millions d’électeurs, le premier groupe parlementaire avec ses 140 députés, les 34 % du premier parti de France, tout ce petit monde à la trappe. De façon très démocratique LFI, toujours soucieux de ne jamais respecter le moindre principe, veut à nouveau les invisibiliser et rappeler à tous ces horribles prolos représentés par le RN, qu’ils n’ont pas voix au chapitre.
« Arc républicain oblige », les députés qu’ils ont élus doivent s’asseoir dans l’hémicycle et fermer leur gueule. Foin des principes chez LFI, mais il est quand même savoureux de les entendre hurler au putsch anticonstitutionnel de Macron pour ne pas leur donner Matignon, en même temps que leur exigence de d’éviction des parlementaires RN. Piétinant allègrement l’article 10 du règlement de l’Assemblée nationale : « l’élection des vice-présidents, des questeurs et des secrétaires a lieu en s’efforçant de reproduire au sein du bureau la configuration politique de l’assemblée. » Pour les amis de Mélenchon, il faut violer les règles républicaines, sinon c’est nazisme, retraite aux flambeaux et construction de chambres à gaz.
Mais, il y a un problème.
Pour sauver Macron, LFI s’est prostituée et réclame à grands cris depuis, l’accès aux salons de la république pour le prix de sa passe. Mais ses petits copains de NFP complices de l’arnaque électorale, ne l’entendent pas de cette oreille. Ils ont parfaitement compris qu’il fallait mener le sauvetage de Macron, jusqu’au bout et font tout pour reconstituer le bloc central avec les macronistes. La proposition de Laurence Tubiana au poste de premier ministre, en est une illustration caricaturale. Voilà quelqu’un qui est financée par les officines américaines (dont Soros et Blackrock !) et a participé à toutes les magouilles antidémocratiques de Macron. Le psychopathe de l’Élysée ne serait guère contrarié.
Alors à l’Assemblée, les macronistes veulent profiter de l’occasion et de la perche tendue par les mélenchonistes avec leur proposition. En s’asseyant tout autant sur les règles républicaines, ils veulent exclure symétriquement le groupe LFI des postes institutionnels. Glapissements et cris d’orfraie chez les copains de Mélenchon.
« Invisibiliser les ouvriers et les employés, c’est normal, c’est même nous qui l’avons proposé, mais faire de même avec les petits-bourgeois des métropoles, c’est carrément un crime contre l’humanité ! »
Karl Marx, qu’on ne connaît pas chez LFI, disait : « l’'histoire ne fait rien à moitié et elle traverse beaucoup de phases quand elle veut conduire à sa dernière demeure une vieille forme sociale. La dernière phase d'une forme historique, c'est la comédie. » Ne serait-ce pas plutôt un cirque camarade ?
Source X regis de castelnau)
Comme prévu, on assiste à l'implosion du NFP, pour construire l'extrême centre, allant des LR à EELV, incluant le PS voire le PC autour de Ensemble. Reléguant le RN et LFI au statut de partis radicaux et "indignes de la République". Qui disait que Macron avait loupé sa manœuvre ?
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pliziu · 12 days
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Salut!! Premièrement, je voulais m'excuser si mon français n'est pas parfait– c'est ma deuxième langue.
Je voudrais vous demander si vous avez des suggestions pour des musicales; j'ai déjà écouté Mozart l'opéra rock et je l'aimait beaucoup. Je veux explorer les musicales hors de ceux qui sont américains– je suis canadienne et il y a beaucoup de médias américains mais pas beaucoup des autres places et langues.
Merci beaucoup!! :)
★Salut !! Bien sûr avec plaisir, même si je ne connais pas vraiment beaucoup de comédies musicales, (au cas où vous n'auriez vu que Mozart l'Opéra Rock) vous pouvez voir:
★Romeo et Juliette Les deux versions du 2000 et du 2010 sont très bonnes mais personnellement je préfère le 2010
★Vous pouvez aussi voir Notre Dame de Paris, c'est une très bonne comédie musicale
★Il y a aussi la légende du roi Arthur, dont le protagoniste est Florent Mothe (Salieri)
★C'est aussi le rouge et le noir, Il y a des chansons intéressantes
★Vous pouvez aussi voir 1789 les amants de le bastille, Je ne l'ai pas vraiment vu mais j'ai entendu ses chansons et elles ne sont pas mauvaises du tout 🤭
★Vous pouvez également voir le roi Soleil, Il y a de bonnes chansons
★Et aussi les trois mousquetaires Ce sont de bonnes chansons en tout cas
★Et si les chansons vous intéressent, je pourrais aussi vous en citer quelques-unes qui sont en dehors des comédies musicales si vous le souhaitez, bien sûr, j'espère aussi que ces comédies musicales vous seront utiles, ce sont celles que je peux vous recommander. :D
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sisitodloverme · 1 month
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⬇️ Die amerikanischen und britischen Musicals werden von YUNA erzählt. Wenn Sie amerikanische und britische Musicals mögen, folgen Sie bitte diesem Blog.
L'histoire des comédies musicales américaines et britanniques se trouve dans "YUNA". Si vous aimez les comédies musicales américaines et britanniques, suivez-moi sur mon blog.
История американского и британского мюзикла "YUNA". Если вам нравятся американские и британские мюзиклы, пожалуйста, следуйте за мной в этом блоге.
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yanncavell · 2 years
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Sur les images ci-dessus, jeune homme se visualisant dans la tenue d’un tueur en série portant un masque à gaz, dans le film d’horreur “Meurtres à la St-Valentin 3D” (2009).
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Ci-dessus, les acteurs Vincent Cassel et Mathieu Kassovitz, ficelés sur le tournage du long-métrage “Birthday Girl” (2001).
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Ci-dessus, une image de la comédie horrifique “Leprechaun 4 : Destination Cosmos” (1996) mettant en scène un farfadet meurtrier.
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L’image ci-dessus, extraite du film d’animation “Le Bossu de Notre-Dame” (1996), présente les personnages de Quasimodo et de Phœbus, bâillonnés face à Clopin, un saltimbanque animant la Fête des Fous, (une sorte de Carnaval).
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Ci-contre : jeune homme aux poignets garrottés avec de la réglisse dans une fabrique de bonbons, au détour de l’une des scènes d’un film pour enfants intitulé “Hop” (2011).
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Ci-dessous, un photogramme extrait du film d’horreur “Uncle Sam” (1996) et montrant un homme bâillonné avec un drapeau américain, un jour de fête nationale.
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Sur l’image présentée ci-dessous : un homme sanglé, cagoulé d’un masque en caoutchouc macabre représentant un crâne humain. Un photogramme du film “Halloween III : Le Sang du Sorcier” (1982).
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Ci-dessous, une image tirée d’un court-métrage intitulé “Thanksgiving” (2007), un film de quelques minutes prenant la forme d’une bande-annonce de slasher movie.
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Ci-dessous : un homme ligoté et bâillonné en sous-vêtements avec une guirlande de Noël, après qu’on lui ait volé son costume de super-héros, dans le film pour enfants “La Course au jouet” (1996).
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Face-à-face entre l’acteur Romain Duris et le comédien Jean-Paul Belmondo dans le long-métrage “Peut-être” (1999) dont l’intrigue se déroule un soir de réveillon : un jeune homme voyage dans l’avenir et rencontre ses descendants, qui le kidnappent et le séquestrent.
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Entre nous, on avait un peu oublié David Duchovny. L’acteur américain est célèbre pour ses rôles dans X-Files et Californication. Les deux séries cultes sentent fort leur époque, chacune à leur manière. La première, les années 90, lorsqu’on regardait tous les mêmes programmes à la télé et que l’on pouvait faire semblant de croire aux extraterrestres et à toute sorte de complots sans que cela débouche sur une attaque du Capitole. La seconde, la fin des années 2000, lorsqu’être un homme blanc hétéro, écrivain alcoolique et priapique de Los Angeles, était encore le summum du cool.
David Duchovny, donc, n’était plus trop dans nos radars, même si on se souvenait l’avoir aperçu dans la Bulle de Judd Apatow, comédie satirique sur un Hollywood covidé physiquement et surtout mentalement à la sortie des différents confinements. Que le beau gosse de 62 ans soit désormais un chanteur rock folk et un écrivain à succès nous avait complètement échappé. Pourtant, il a déjà sorti trois albums. En tapant ces lignes, on écoute le classique et efficace Hell or Highwater, qui nous plonge dans une sorte d’Amérique masculine éternelle. «Done some good, I’ve done some bad, like any man I bet» : «J’ai fait des choses bien, d’autres mauvaises, comme tous les hommes je parie», et on veut bien croire que c’est vrai tandis que l’on se met mentalement à marcher le long d’une longue route droite en mâchonnant un brin d’herbe. Surtout, il est devenu écrivain, avec cinq romans en huit ans qui figurent sur la liste des best-sellers du New York Times. Après un premier où ce végétarien se mettait dans la peau d’une vache nommée Bovary, un deuxième vient d’être traduit en français, la Reine du Pays-sous-la-terre. Dans cette fantasy urbaine, une jeune femme se bat pour son amour contre des créatures mythologiques et folkloriques diverses, sur fond d’hommage au métro new-yorkais (le nom original étant Miss Subways) et de débats sur le melting-pot, l’éducation, la culture.
Tandis que la pluie tape sur nos fenêtres parisiennes, David Duchovny nous accueille par écrans interposés dans ce qui semble être sa cabane au fond du jardin. Il porte un hoodie vert, la barbe du matin, et boit un liquide non spécifié dans un mug. Il est 9 heures à Malibu, en Californie, la maison s’éveille. «L’idée qui m’est venue est celle d’une sorte de bataille culturelle, raconte-t-il, les yeux encore un peu embrumés mais tout à fait sympathique. Vous prenez un immigrant français qui arrive avec son folklore gaulois. Il essaye de s’assimiler ou il est forcé de s’assimiler à une culture américaine judéo-chrétienne plus importante. Qu’est-ce qui arrive si ses références de départ s’anthropomorphisent, prennent vie, ont une personnalité et une identité ? Est-ce qu’elles auraient une forme de pouvoir ? Je trouvais que c’était intéressant par rapport à toutes les discussions que l’on a aujourd’hui, par exemple sur l’appropriation culturelle.»
On entend une sonnette, puis quelques rires, il s’excuse un instant, il doit aller ouvrir à la photographe. Après notre discussion, il pose sur son patio, devant sa maison moderne aux grandes baies vitrées et aux matériaux naturels foncés, entre des coquelicots orange et un wagon de train remis à neuf et peint en noir.
Avec la Reine du Pays-sous-la-terre, qui déborde de références, anciennes et modernes, Duchovny voulait rendre hommage au New York bordélique de son enfance, celui de sa mère, une institutrice protestante, qui vivait encore dans la 9e rue, à West Village, jusqu’à ses 91 ans. L’homme qui a des lettres s’est inspiré de la Seule Jalousie d’Emer, une pièce de théâtre de l’Irlandais Yeats, à qui il voue une admiration jamais démentie depuis ses années étudiantes. Qu’il se soit mis à écrire des romans est tout sauf un hasard. Un de ses grands-pères était un écrivain et journaliste juif, originaire de Berdytchiv, en Ukraine. Un errant, parti en Palestine avec sa famille puis expulsé vers l’Egypte par les Ottomans au début de la Première Guerre mondiale, avant de traverser l’Atlantique en 1918. Son père publia de nombreuses biographies et enquêtes. A la fin de sa vie, il sortit enfin une fiction et mourut d’une crise cardiaque à Paris, où il avait décidé de passer sa retraite.
David Duchovny nous en parle d’emblée. La capitale française reste intimement liée pour lui à ce drame. Et à Samuel Beckett, son dieu personnel. En fac de lettres à Princeton, il écrit un mémoire sur le nobélisé. A l’époque, il s’imagine prof profitant de ses vacances d’été pour rédiger des nouvelles. Mais sur les conseils d’un ami, il passe une audition pour une pub, enchaîne avec des petits rôles, croise Brad Pitt dans l’oublié Kalifornia, jusqu’à devenir Fox Mulder dans X-Files en 1993.
La vérité est ailleurs, mais la carrière est à Hollywood pour les trente années qui suivent. Elle est faite de hauts et de bas, tant à l’écran que dans sa vie privée. Onze ans de mariage avec l’actrice Tea Leoni, deux enfants, et plusieurs séparations-réconciliations sur fond de tromperies et d’addictions sexuelles dont les tabloïds font des gorges profondes jusqu’en 2014… David Duchovny ne s’en cache pas et a fait d’une réplique de Beckett populaire chez les sportifs et les businessmen de la Silicon Valley son mantra : «Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Echoue encore. Echoue mieux.»
Les stars parfois vieillissent mal. David Duchovny aurait pu tourner réac. On le sent parfois au détour de certaines lignes sceptiques sur la tournure que prend la société. L’anti-Trump viscéral, qui a composé une chanson contre l’ancien président, se la joue avant tout sage, en universaliste curieux. «La beauté d’une culture, c’est qu’elle en rencontre une autre et se mélange, dit-il, revenant à notre sujet du jour. Bien sûr, c’est d’un point de vue optimiste, il ne faut pas oublier des facteurs comme la colonisation ou les violences politiques en général qui rendent la question bien plus compliquée.» On lui demande si ses enfants le traitent de boomer, ça le fait rire. «Ma fille a 24 ans, mon fils 20 et ils ont été éduqués et ont grandi en plein dans ce changement culturel majeur des dernières années. On a des discussions très intéressantes et parfois on a des points de vue différents, mais c’est sain.»
«On est au milieu du pont, il est trop tôt encore pour juger», note-t-il. Il paraît apaisé. Il s’intéresse toujours au cinéma, adapte un de ses livres, Bucky F*cking Dent où il tient le rôle principal. Et il persiste dans l’écriture. Avec modestie : il sait qu’il ne publiera pas Ulysse de Joyce ou le grand roman américain de demain, mais il aime ses histoires, s’isoler entouré de sa documentation, griffonner à l’aube dès 5 heures du matin, quand tout le monde dort. On y devine une forme de soulagement, une manière de tromper la mélancolie qui semble pointer parfois derrière son regard. Peut-être que l’on se trompe. David Duchovny le dit : «La vérité est toujours beaucoup plus nuancée.»
par Quentin Girard
publié le 6 avril 2023
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Jean-Marc Barr naît le 27 septembre 1960 à Bitburg en Allemagne d'un père américain et d'une mère française. Etudiant en philosophie à la Sorbonne, il part à Londres au début des années 1980 avant de retourner en France pour se consacrer à la comédie. Il apparaît dans quelques films avant de devenir célèbre pour son rôle dans "Le Grand Bleu" en 1988. Il entame une collaboration avec Lars Von Trier dès 1991 avec "Europa" puis "Breaking the Waves" en 1996 et "Dancer in the Dark" en 2000. Jean-Marc Barr passe à la réalisation en 1999 en tournant "Lovers" qui s'inscrit dans le mouvement cinématographie du Dogme95
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edgarmoser · 2 years
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affiche "un américain à paris", comédie musicale
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havaforever · 1 year
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ELEMENTAIRE - On savait Pixar capable de beaucoup de choses au vu de leur inventivité narrative et leur maestria technique inégalable durant bien deux décennies dans le domaine de l’animation. Ils ont tout de même su nous émerveiller avec un robot muet ( Wall-E), nous faire pleurer à chaudes larmes quand un gamin dit au revoir à ses jouets et à l’enfance (Toy Story 3) ou encore nous toucher en plein cœur avec les rêves et cauchemars d’une petite fille (Monster & Cie).
Pourtant, ils ont connu un passage à vide avec pas mal de films consécutifs tout juste corrects comme Vice Versa ou en tout cas pas extraordinaires comme En avant ... Heureusement, cette petite crise s’est déroulée en partie durant la période de crise sanitaire et de crise des salles de cinéma, passant plus inaperçue. Et voilà qu’ils nous reviennent en très grande forme avec cet Élémentaire, un film au concept tout aussi élémentaire que son titre en plus d’être évident. A tel point qu’on se demande pourquoi aucun studio d’animation n’y avait pensé avant (peut-être à cause de barrières techniques).
Faire un film mettant en scène les quatre éléments que sont l’eau, la terre, l’air et le feu est une idée de génie. Et parce que Pixar nous surprend toujours, il baigne ce pitch aux possibilités infinies dans une comédie sentimentale (leur première vraie) aux accents sociaux culturels. Et en plus, le film a le mérite de prôner le vivre ensemble et l’ode aux différences tout en conspuant le racisme et revisitant l’Histoire américaine ses vagues d’immigration. Tout cela dans un film familial et animé? Oui, c’est possible, Pixar l’a fait et plus que bien!
On parle quand même ici d’une histoire d’amour entre une flamme et une flaque d’eau! Ridicule? Absolument pas, c’est bourré d’inventivité et beau à se damner, aussi bien sur le plan émotionnel que visuel. Imaginez : deux êtres qui s’aiment mais qui ne peuvent se toucher faisant penser à tant de romances impossibles que le septième art a pu produire. Si ce n’est la ville d’Elemental City qui ressemble un peu à celle de Zootopie (avec le gag de l’agent administratif mou au possible copié sur ce dernier), le peuple de la terre un peu mis de côté et quelques longueurs sur la fin, Élémentaire demeure un très grand film où la beauté de l’animation est extraordinaire (toutes ces textures et techniques différentes pour figurer les différents éléments/personnages avec un faible pour ceux du feu).
L'intensité de l'animation, se conjugue avec précision d’un scénario riche en plus d’être à plusieurs niveaux de lecture et pour tous les âges. Le peuple malaimé du feu pourrait être autant les autochtones que n’importe quel peuple brimé durant l’histoire. Les dialogues et les jeux de mots avec les éléments sont imparables et excellents, utilisant la richesse du champ lexical sur le sujet.
Un régal de tous les sens, de l'esprit, et un divertissement qui regorge de quelque chose d'aussi joyeux qu'explosif.
NOTE 17/20 - On a les yeux remplis d’étoiles durant une heure et demie de bonheur devant une œuvre aux couleurs sublimes qui surprend et émerveille sans discontinuer. Tout feu, tout flamme, ce Pixar vous met l’eau à la bouche tout du long.
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laurent-bigot · 1 year
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HOLLYWOOD REVIENT AU CINÉMA D'ÉVASION
Pour les Américains, les années 1950 correspondent à une période de confort et de tranquille prospérité. C’est cette image sécurisante que Hollywood allait véhiculer dans toute une série de comédies brillantes. Débutant dans l’atmosphère de la guerre froide pour finir avec la campagne pour le désarmement nucléaire, les années 1950 furent aussi, pour l’Amérique, l’heureuse époque où elle…
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La comédie romantique a vu ses recettes s'effondrer de 35% au box-office nord-américain.
Le film avec Céline Dion peine à trouver son public.
English:
Celine Dion: Why do her fans shun the movie "Love Again"?
The romantic comedy saw its receipts collapse by 35% at the North American box office.
The film with Celine Dion is struggling to find its audience.
We believed that this film was going to be a real success. Yet "To love again" struggles to find its audience. Upon its release in dark rooms, the feature film with Celine Dion experienced poor sales figures , this romantic comedy having even seen its receipts collapse by 35% at the North American box office this weekend. The film raked in just $1.5 million two weeks after its release after playing in over 2,700 theaters in Canada and the United States. Catastrophic figures especially since this film collected an average of 573 dollars per theater, which places it in the worst position of all the films at the North American box office last week.
According to Variety magazine , "Love Again" cost $9 million to produce but only earned $5 million at the North American box office. Worse, it already seems to be beginning its descent into theaters. In Quebec, the fans are not there anymore. Thus during its first week in theaters, "To love again" collected only 116,495 dollars and the film had to settle for fourth place at the box office according to data from the Cinéac agency .
Critics-wise, the film clearly didn't get much praise from film professionals. Thus, the film obtained only 24% of positive opinions on Rotten Tomatoes, a site which compiles the criticisms of specialized journalists.
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On Instagram, Celine Dion recently reshared the rooms where this film is shown. " Wherever you go...Love Again will be there! At a glance, here are the places where Love Again is playing, or will be playing soon ." she wrote. A way to try to attract his audience?
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This was a chronicle of an announced flop, and SH’s fans can't save the film. The film 🎥 is a debacle. The general rule of thumb is a film needs to make back two and a half times its production budget. This gives it a sense of tragedy.🎭
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antonknightsblog · 2 years
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Les 30 meilleurs films coréens à regarder en 2023, des films d’horreur populaires aux films d’action
Il est temps de plonger plus profondément dans le monde du cinéma sud-coréen.
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Minuit (2021)
Vous avez aimé Squid Game? Ce thriller coréen de 2021 met en vedette Wi Ha-Joon (l’acteur qui a joué Jun-Ho, le policier, dans la série Netflix) et présente une histoire intense, de vie ou de mort, sur un tueur en série impitoyable qui traque une femme sourde dans les rues de Corée du Sud.
Printemps, été, automne, hiver... Et printemps (2003)
Pour ceux qui préfèrent une montre plus sentimentale et émotionnelle, vous ne regretterez pas d’avoir essayé ce film magnifiquement méditatif de 2003. Il suit la vie d’un moine bouddhiste vivant dans un temple flottant isolé, car chaque saison qui passe symbolise une étape de sa vie.
Peppermint Candy (1999)
Réalisé par le célèbre réalisateur coréen Lee Chang-Dong, Peppermint Candy est un drame puissant et émouvant qui explore les thèmes du destin, du temps et de la mémoire à l’aide d’une narration unique et intrigante. L’histoire est racontée à l’envers, ramenant les téléspectateurs en arrière à travers 20 ans de la vie d’un homme condamné.
Little Forest (2018)
Si jamais vous avez besoin de quelque chose d’apaisant et de relaxant, allumez simplement Little Forest. Avec l’histoire réconfortante d’une jeune femme qui s’échappe de la ville pour retourner dans sa ville natale à la campagne, c’est vraiment un film simple et calme avec beaucoup de cœur.
The Villainess (2017)
Envie d’un bon film d’action coréen? Ce thriller de vengeance élégant et exaltant sur une assasine entraînée en train de se déchaîner pour échapper à son passé offre toutes les séquences d’action énergiques que vous pourriez souhaiter. Préparez-vous au gore!
The Good, The Bad, The Weird (2008)
Oui, il y a aussi des films occidentaux coréens ! Préparez-vous à beaucoup de rires - et d’aventure - dans ce western d’action comique hilarant (inspiré du western spaghetti classique de Sergio Leone Le Bon, la Brute et le Truand) sur un chasseur de primes, un gangster et un voleur de train qui se lancent dans une croisade épique pour découvrir un trésor enfoui.
Right Now, Wrong Then (2015)
Right Now, Wrong Then is a great pick if you're in the mood for a more quiet, contemplative drama. This highly acclaimed film from celebrated director Hong Sang-Soo tells the story of a chance encounter between a celebrated art film director and a young painter.
Train to Busan (2016)
Un thriller coréen incontournable, Train to Busan présente une vision fraîche et originale de l’un des genres cinématographiques les plus classiques - le film d’apocalypse zombie - en suivant un homme luttant pour sa survie dans un train à grande vitesse qui est dépassé par une épidémie de zombies. Préparez-vous à être sur le bord de votre siège tout le temps tout en regardant celui-ci!
Peninsula (2020)
Après avoir regardé Train to Busan, vous aurez certainement envie de le suivre avec Peninsula, sa suite très attendue. Se déroulant quatre ans après les événements du premier film, un ancien soldat et son équipe combattent des zombies pour récupérer un camion plein d’argent dans les friches de la péninsule coréenne.
Minari (2020)
Un drame tendre et émouvant sur une famille d’immigrants sud-coréens qui prennent le rêve américain dans l’Arkansas rural des années 1980, ce film très acclamé du réalisateur américano-coréen Lee Isaac Chung a reçu six nominations aux Oscars (y compris pour le meilleur film!). Vous voudrez probablement garder une boîte de mouchoirs à portée de main pour celui-ci.
My Sassy Girl (2001)
My Sassy Girl est peut-être l’un des films de comédie romantique coréens les plus connus de tous les temps - en fait, c’était la comédie la plus rentable en Corée au moment de sa sortie. Avec une histoire d’amour délicieuse sur un étudiant qui rencontre un partenaire de lutte, il est facile de voir pourquoi ce joyau est devenu un tel succès à succès.
Parasite (2019)
Il y a une raison pour laquelle ce thriller comique noir a gagné tant de renommée internationale et a atteint l’histoire oscarisée. Avec une intrigue captivante et captivante, Parasite captive avec une narration à suspense tout au long du film et offre un point de vue vraiment intrigant sur les thèmes de la classe, de la violence et de l’inégalité sociale.
Memories of Murder (2003)
Si vous avez aimé Parasite et que vous voulez explorer davantage les œuvres du réalisateur Bong Joon Ho, Memories of Murder est un excellent point de départ. Combinant le genre du thriller policier avec la satire sociale et la comédie absurde, ce film suit deux détectives enquêtant sur une série de meurtres (vaguement basé sur l’histoire vraie des premiers meurtres en série confirmés de Corée qui ont eu lieu dans les années 1980).
The Beauty Inside (2015)
Si vous êtes à la recherche d’un bon film coréen romantique à regarder, ce 2015 fantaisie rom-com - qui est basé sur le 2012 film social américain du même nom - raconte l’histoire d’un homme qui se réveille dans un corps différent tous les jours. (De plus, il y a aussi une adaptation K-drama du film que vous pouvez regarder par la suite!)
The Wailing (2016)
Le cinéma sud-coréen a longtemps excellé dans le genre de l’horreur - et The Wailing, qui bénéficie d’une note de 99% sur Rotten Tomatoes, en est certainement la preuve. Pas pour les âmes sensibles, ce film d’horreur-thriller largement loué se concentre sur une série de meurtres mystérieux dans un village coréen rural.
Space Sweepers (2021)
Vous aimez les films d’aventure de science-fiction? L’un des films coréens les plus récents de Netflix - et également présenté comme le premier blockbuster spatial coréen - se déroule en 2092 lorsque la Terre est devenue presque habitable. Space Sweepers suit l’équipage d’un vaisseau collecteur de déchets spatiaux appelé The Victory, alors qu’ils découvrent un robot humanoïde enfant et se lancent dans une aventure spatiale épique.
Burning (2018)
Basé sur la nouvelle Barn Burning de l’auteur japonais Haruki Murakami, ce drame de mystère psychologique acclamé par la critique de Lee Chang-Dong raconte l’histoire tranquillement obsédante d’un jeune homme qui fait face à un secret mystérieux après que son ami d’enfance revienne d’un voyage et amène un homme avec un passe-temps étrange.
Pirates: The Last Royal Treasure (2022)
Un autre film coréen récemment sorti est ce film d’aventure d’époque sur une équipe de pirates de la dynastie Joseon qui partent à la recherche d’or royal perdu en mer. Actuellement l’un des meilleurs films coréens sortis en 2022, Pirates: The Last Royal Treasure a une histoire passionnante et trépidant et beaucoup d’aventure.
Oldboy (2003)
Peut-être l’un des films coréens les plus connus de tous les temps, ce film de vengeance sombre et viscéral de Park Chan-Wook - l’un des réalisateurs les plus célèbres de Corée - suit un homme qui part en mission de vengeance après avoir inexplicablement été emprisonné pendant 15 ans. Avertissement: Celui-ci n’est certainement pas pour les faibles de cœur!
The Handmaiden (2016)
Un autre film magistral du réalisateur Park Chan-Wook est ce thriller psychologique érotique et ce film d’amour inspiré par le roman de 2002 Fingersmith de Sarah Waters. Situé dans la Corée coloniale des années 1930 et le Japon, il suit l’histoire fascinante d’une héritière japonaise et de sa servante coréenne qui est impliquée dans un complot élaboré avec un escroc pour séduire la femme riche de son héritage.
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mollat-bordeaux · 2 years
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MARDI 17 AOÛT 2024 (Billet 2 / 3)
« EMILA PEREZ » (2h 10)
Un film de Jacques Audiard, avec Zoe Saldana, Karla Sofia Gascon, Selena Gomez…
Nous l’avons vu hier en milieu d’après-midi. Nous avions longtemps hésité, à tel point que nous n’y sommes pas allés à sa sortie.
Et puis nous avons lu la critique d’Éric Neuhoff dans le Figaro et puis, lorsque nous étions en Grèce, des ami(e)s nous ont dit qu’ils l’avaient beaucoup apprécié et puis, rentrant de vacances, très curieux, nous avons craqué.
Evidemment nous avons lu (plutôt JM d’ailleurs) tout ce qui a été écrit sur ce Prix du Jury et Prix d’Interprétation pour toutes les actrices au dernier Festival de Cannes. Par contre, pas une seule critique ne mentionnait la qualité des chansons (paroles, musiques)… et c’est précisément cette alternance d’une fluidité incroyable entre les parties « traditionnelles » (même si chez Audiard, rien n’est vraiment traditionnel) et les parties traitées façon « comédie musicale » qui ont fait que nous sommes rentrés très rapidement dans le « parti-pris » du réalisateur. Vous le savez peut-être, c’est la chanteuse Camille qui a écrit tous les textes et qui a co-composé les musiques. Chapeau ! Même pour les 3 chansons qu’on entend durant le défilement du très long générique (nous quittons la salle quand sont cités à la toute fin les noms des laboratoires techniques qui ont traité le film) ! Quant aux « Passantes », sur un poème d’Antoine Pol mis en musique par Georges Brassens et traduit en espagnol, qu’on entend lors de la scène finale, elle semble avoir été tout spécialement composée pour le film. Une petite merveille d’émotion.
Les actrices sont excellentes, mention très spéciale (même si ce n’est pas sur elle qu’ont convergé tous les projecteurs, « air du temps » oblige…) à l’avocate interprétée par Zoe Saldana. RE-MAR-QUABLE !!!
Marina donne à « Emilia Perez » ❤️❤️❤️,5 et JM, ❤️❤️❤️❤️,5 sur 5 (un demi-point supplémentaire par rapport au 4 auquel il avait pensé en quittant la salle à cause de la qualité des musiques).
Que vous vouliez ou pas voir ce film, ou même si vous l’avez déjà vu, ne manquez pas de lire la critique ci-dessous. Comme d’habitude, Eric Neuhoff, qu’on soit on non d’accord avec lui, écrit très, très bien.
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Jacques Audiard réalise une semi-comédie musicale chez les narcotrafiquants qui évite le ridicule grâce à une vitalité communicative, une mise en scène fluide, un sens du mélodrame et de la rédemption.
Allons bon. Si maintenant les narcotrafiquants veulent devenir des femmes, c’est vraiment à y perdre son latin. On ne peut donc plus se fier à personne. Manitas (Karla Sofia Gascon), redoutable chef de cartel mexicain, a du sang sur les mains. De son côté, Rita (Zoe Saldana), solide avocate, a des états d’âme. Elle en a assez que le cabinet qui l’emploie se soucie davantage de blanchir des coupables que d’obtenir la justice. Cette bonne grosse odeur de corruption commence à l’indisposer. Il était temps. Sa frustration transpire sur l’écran. Rita est une boule de nerfs, un concentré de rage contenue. On sent la grenade prête à exploser. Un coup de fil tombe à pic.
Au bout du téléphone, une voix caverneuse, d’outre-tombe, lui propose un rendez-vous. Elle accepte. Devant un kiosque à journaux, on la kidnappe, lui met une cagoule sur le crâne. À l’arrière d’un SUV, Manitas lui fait une drôle de proposition. Le dangereux gangster à la peau luisante, aux dents métalliques comme des pare-chocs de voiture américaine, rêve de changer de sexe. La transition a débuté. Il s’agit maintenant de dénicher le chirurgien adéquat. L’argent n’est pas un problème. Banco. Tel est le moyen d’échapper à la pauvreté. Un seul impératif : discrétion de rigueur.
L’épouse et les enfants de Manitas ne doivent pas être au courant. Il passera pour mort. Sa famille se réfugiera en Suisse. Le médecin sera israélien. L’opération comporte ses risques (la pomme d’Adam constitue un point délicat). Elle réussit. Manitas se transforme en Emilia Pérez (Karla Sofia Gascon). Il faut le voir répéter son nouveau nom avec une incrédulité mêlée d’émotion qui rappelle celle d’Antoine Doinel prononçant « Fabienne Tabard » à l’infini devant son miroir dans « Baisers volés ». La métamorphose ne s’arrête pas là. En quittant son ancien genre, l’héroïne acquiert une bonté inédite, se consacre à une organisation caritative venant en aide aux mères de disparus (certains étant des victimes de Manitas). Son passé criminel est soudain rayé des cadres.
L’argument, pour improbable qu’il soit, chante et enchante. Jacques Audiard se lance avec brio dans une semi-comédie musicale dont les numéros démarrent souvent par des chuchotements avant d’éclater en refrains intimes ou tambourinants. Le risque du ridicule n’était pas impossible. Le réalisateur l’évite, grâce à une vitalité communicative, une mise en scène fluide (sans jeu de mots), un sens du mélodrame et de la rédemption. Les morceaux commentent l’action, dans un mélange original de Martin Scorsese et de Jacques Demy.
« Emilia Pérez », le dixième film de Jacques Audiard, doit énormément à ses actrices, qui ont reçu le Prix d’Interprétation Féminine au dernier Festival de Cannes. Et en particulier à Karla Sofia Gascon, qui a connu dans la vie un itinéraire identique. Elle emporte tout sur son passage, glisse de la menace sourde à la fragilité frémissante, explose comme une vague sur la côte du Pacifique. Le final coupe le souffle, avec cette procession dans les rues au son des « Passantes » de Brassens version tacos. On sort de là en claquant des doigts, un peu scié, le regard rempli de couleurs, des questions plein la tête. Maintenant, une chose est sûre : « les mafieux sont des femmes comme les autres ».
(Source : Eric Neuhoff, critique cinéma au Figaro et « Au masque et la plume »)
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