#colimaçon escalier
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Escaliers En Colimaçon | Elite Tech
Transformez votre espace avec l'élégance et l'efficacité d'un Escaliers En Colimaçon. Offrant des designs à la fois modernes et classiques, ces escaliers permettent d'économiser de l'espace tout en rehaussant l'esthétique de votre maison. Choisissez parmi des options métalliques élégantes ou des styles complexes en fer forgé pour répondre à vos besoins de décoration intérieure. Pour plus de détails ou pour explorer les possibilités de conception, contactez-nous au +1-438-828-5551.

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Trakai Island Castle, Trakai, Lithuania Trakų salos pilis, Trakai, Lietuva Zamek w Trokach, Troki, Litwa Тракайский островной замок, Тракай, Литва Wasserburg Trakai, Trakai, Litauen Château de l'île de Trakai, Trakai, Lituanie
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Station de métro Abbesses Paris
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Paris Loft-Style Family Room Inspiration for a sizable contemporary loft-style family room renovation with a light wood floor, black walls, a metal fireplace, and a bar.
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Industrial Family Room

Example of a large urban loft-style family room design with yellow walls, no fireplace and no tv
#mezzanine#salle a manger#espace ouvert industriel#espace ouvert réaménagé#escalier colimaçon métal#loft-style#sol béton ciré marron
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Industrial Living Room in Paris Living room library - large industrial enclosed light wood floor and wallpaper living room library idea with blue walls, no fireplace and no tv
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Mudroom Mudroom White walls and a small, country-style mudroom with a laminate floor
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Paris Living Room Living room library - large industrial enclosed light wood floor and wallpaper living room library idea with blue walls, no fireplace and no tv
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Old stone house with awesome spiral staircase Vieille maison en pierre avec un superbe escalier en colimaçon Старый каменный дом с удивительной винтовой лестницей Altes Steinhaus mit beeindruckender Wendeltreppe

#chalet#шале#old#stone house#awesome#spiral staircase#vieille#maison en pierre#superbe#escalier en colimaçon#старый#каменный дом#удивительный#винтовая лестница#altes#Steinhaus#beeindruckend#Wendeltreppe
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Escalier Colimaçon | Elite Tech
Transformez votre espace avec l'élégance et l'efficacité d'un Escalier Colimaçon. Offrant des designs à la fois modernes et classiques, ces escaliers permettent d'économiser de l'espace tout en rehaussant l'esthétique de votre maison. Choisissez parmi des options métalliques élégantes ou des styles complexes en fer forgé pour répondre à vos besoins de décoration intérieure. Pour plus de détails ou pour explorer les possibilités de conception, contactez-nous au +1-438-828-5551.
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Bilan écriture mars
Moi face aux plot holes
Comme le mois dernier, une petite update sur l'avancement du roman!
Bon, contrairement à ce que le gif pourrait faire penser, ça avance bien.
Avec un peu de chance, on devrait pouvoir atteindre les 20 000 mots mensuel d'ici demain (avec la relecture et la correction du chapitre 4) Avec un rythme de 700 mots/jour environ, slow and steady wins the race.
(j'en profite pour partager ce post de Robin Hobb sur comment écrire quand on n'a pas le temps)
Total provisoire: 28 000 mots à peu près (les 7000 autres correspondent à la documentation ou à la poubelle, je n'ose pas effacer même les pires drafts...)
Je pars toujours du principe que je veux atteindre au moins 50 000 mots, et là on devrait y arriver sans aucun problème (notamment parce qu'en d��pit du word count on est loin d'avoir fini...) Et là on arrive à un moment compliqué où je vais devoir trouver des péripéties intéressantes capables de nous amener à un passage bien précis, sans parler des C-plots et du développement de personnages secondaires qui méritent mieux qu'être juste des figurants. Mais je vais trouver. Les pistes commencent à se dessiner. On verra bien le mois prochain de ce que ça aura donné.
Petits extraits:
C'était un quarantenaire qui aimait montrer qu'il avait beaucoup lu, et plaçait dans ses locataires une impression de pédanterie mêlée à la bêtise. Nul ne savait ce qu'il faisait comme métier quand il ne collectait pas ses baux. Tout le contraire de Jacques Lesne, il se moquait bien de la politique, tant que celle-ci ne menaçait pas ses commerces; Urbain et Lionel convenaient qu'il aurait sûrement prêté allégeance à un crapaud, si cela signifiait la stabilité.
« Je suis un homme honnête. »
Voilà qui commençait mal.
=> passage qui a beaucoup plu à ma bêta-lectrice :D
La femme mis quelques formes en se présentant en tant que Mme Villard, logeuse de son état, et gâcha quelques minutes à expliquer la rudesse de son métier, l'imprévoyance des locataires, leurs remarques quant à la nourriture, et ainsi de suite. Des péroraisons qu'Urbain toléra en conservant son sourire plaqué sur son visage, jusqu'à ce qu'elle semblât se souvenir de la raison pour laquelle elle l'avait fait entrer. Elle le mena alors dans les escaliers, jusqu'au deuxième étage. Urbain en conclut que Victor n'était pas mal loti au point de devoir loger sous les combles.
=> l'histoire suit deux PoV. Urbain vit dans un roman de Balzac. Lionel dans une nouvelle de Poe.
Cela ressemblait moins à un tunnel qu'à une cave très profonde. Les étais en pierre, en forme d'arches, et les murs blanchis à la chaux donnaient une impression non pas de confort mais de distinction. Même les lanternes accrochées de loin en loin étaient en fer ouvragé, avec des vitres colorées. Les lueurs, parfois jaunes, parfois multicolores, se répandaient partout; si ce n'était l'absence de fenêtres, on aurait eu du mal à se croire sous terre.
Ils descendaient pourtant. Ce qui commença par une pente douce s'inclina de plus en plus, jusqu'à laisser place à des escaliers raides, qui tournaient en colimaçons.
=> dans le doute, faire une description. On ne le dit jamais assez.
Merci de votre attention, see you next month!
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Tout est compliqué dans les lieux qu’on habite. Les sens s’y sont condensés avec l’expérience des moments. Le souvenir des lieux qu’on a aimé occuper nous mentent autant que le fantasme de ceux qu’on rêve habiter. La Mythe pensait se souvenir de la première maison dans laquelle il avait vécu, de sa naissance à ses 3 ans. Perdue au milieu de la campagne, des tomettes au rez de chaussée dans la pièce de vie chauffée par une immense cheminée périgourdine pourvue de cantous, du parquet à l’étage au sol des chambres mansardées. La maison d’origine avait été divisée en deux habitations. Ses parents et lui d’un côté, et Tata Fatou et Cathy de l’autre. Elles avaient un cocker acariâtre. Le nom du chien, il l’avait oublié. Les couples étaient amis. En bas de la côte, il allait chez sa nounou, mamie Michèle, vieille antillaise à qui il avait attribué longtemps son gout immodéré pour le riz. Oh, oui! Le cliché! Tout cela, il n’avait pas pu l’inventer, il l’avait peut être seulement entendu et répété jusqu’à croire l’avoir vécu.
Ils déménagèrent dans un grand appartement de fonction, au dessus de l’école où il serait élève de la maternelle au cm2. On y montait par un vieil escalier en bois en colimaçon. Au premier étage, un couloir étroit distribuait une cuisine, une chambre, un salon et une autre chambre à droite, et en descendant trois marches, un salon, une salle de bain et une sorte de buanderie à gauche. L’escalier continuait à l’extérieur vers un étage dans lequel deux pièces supplémentaires servaient de remise et n’étaient au départ occupées que par les livres et meubles que ses parents devaient juger encombrants.
La disposition de cet appartement construisit fortement son esprit: modulant à sa forme la géographie des terres visitées dans ses rêves et cauchemars encore aujourd’hui. Ce couloir au parquet pourri qui le blessait d’échardes lorsqu’il oubliait ses chaussons, ces chambres humides sans volets par les fenêtres desquelles on voyait toutes les étoiles briller. La salle de bain couleur bleu-nuit au mur orné d’un immense poster « Anaïs-Anïs ». Dans cet appartement, il avait eu un frère! Dans cet appartement il avait vu ses parents jeunes. Il pouvait, à la récréation, organiser des missions, lors desquelles, avec quelques camarades choisis, ils échappaient à la surveillance légère des instituteurs pour monter et aller s’asseoir à la table de la cuisine pour se partager les Nougatis du placard en grand messe, mimant ce qu’ils imaginaient être les codes du repas au grand restaurant, avant de redescendre quand la cloche sonnait. Le soir, La Mythe s’accusait seul de la disparition des nougatis qui ne pouvait pas passer inaperçue. « Oui, j’en ai mangé trois hier. » C’était sans doute des paquets de 4…
C’est dans cet appartement, dans cette salle de bain chauffée par un poêle électrique, qu’il perdit la peau de son cul. Dépourvue de radiateur, ses parents avaient placé un poêle électrique dans le fond droit quand on regardait vers la baignoire, contre le mur qui donnait sur la cour de l’école et sur lequel était punaisée l’affiche. On y entrait, il y avait les toilettes dans un renfoncement à gauche, un lavabo, la baignoire et ce poêle en face du lavabo, au cul de la baignoire. Idée étrange: le sol de la salle de bain était couvert de moquette, bleue elle aussi. Peut-être à cause de la moquette, La Mythe développa une manie: il lui fallait deux serviettes: une pour se sécher bien sûr, et l’autre qu’il étalait sous ses pieds en sortant de la baignoire. Un soir d’inattention, alors que le geste avait été répété des centaines de fois auparavant, il étala la deuxième serviette trop près du poêle. En se baissant pour se saisir de l’autre serviette qui l’attendait à terre, il se cambra, et son cul humide se colla sur la vitre chauffée à blanc du poêle électrique. La sensation de la douleur est aujourd’hui complètement oubliée, mais il poussa un cri en sautant vers l’avant et en regardant en arrière les deux visages de cette Anaïs double qu’un filtre hamiltonien éthérait. Il vit sous leur regard la peau de son cul qui était restée collée sur la vitre du poêle, comme une peau de poulet grillée reste collée au fond d’un plat. Son père qui adorait les western, arriva vite, et raconte qu’il « dansait comme un sioux autour du feu ».
Le médecin vint d’abord. Ou son grand père? C’est là que l’histoire devient intéressante. Le père de sa mère était un être énigmatique. Hiératique, aimable peu pour un enfant, sans doute aussi peu pour les adultes. La Mythe se souvient qu’il l’aimait quand même. Il portait le petit déjeuner au lit à sa grand mère tous les matins, comme si la vieillesse et l’habitude n’avaient jamais entamé l’amour. Il se rappelle qu’un jour, à table, il lui dit merci parce qu’il lui avait passé le pain. Son grand père lui répondit, avec le même ton égal et froid qu’il employait tout le temps, qu’on ne disait pas merci quand on était invité: c’était le devoir de l’hôte de veiller à ce qu’on ne manque de rien. Il était chauve, son crâne luisait au milieu d’une auréole de cheveux restés d’un noir intense. Il lui paraissait grand dans son jogging Lacoste vert. Il aimait la Suze coupée à l’eau de seltz: il plaçait son verre facetté à moitié plein d’alcool sous le bec de la bonbonne en verre carrelée d’osier qu’il faisait pschiter avec parcimonie. La Mythe se souvient des cartouches de gaz en métal qu’il plaçait dans cette jarre fascinante. Il avait été toute sa vie rince-fiole en pharmacie, on dit « préparateur » aujourd’hui. Cependant, il ne connaissait rien de la vie de cet homme. Il était mort quand il avait 10 ans. Sa mère lui avait dit alors qu’il était malade et qu’il avait pris trop de médicament. Il découvrit quelques années plus tard, en fouillant dans les armoires de la chambre d’ami de leur nouvelle maison, une lettre de suicide signée de son grand-père.
Malgré les efforts développés par La Mythe pour lever la brume de l’oubli rendue par la douleur plus opaque sûrement, le moment continue de lui échapper. Que fit exactement son grand-père? Quels furent ses gestes, ses mots? Il lui enleva le feu. La Mythe n’eut plus mal, il n’eut plus peur. Il n’était pas soigné: sa peau restait à vif et il dut pendant des mois s’appliquer une pommade, porter des couches de gaze sous ses vêtements. Madame Lebret, sa voisine et son institutrice au C.P., dans un élan de bienveillance maladroit, accueillit son retour en classe avec ce commentaire: « La Mythe va s’asseoir sur une bouée pendant un petit moment, ce n’est pas parce qu’il est nostalgique des vacances, il s’est brulé le derrière. ». Ses parents, eux, avaient inventé une maladie: "La Mythe il a eu la pécole! Tu sais pas ce que c'est? C'est la peau du cul qui se décolle!", et fiers de ce trait, répétèrent cette blague à leurs amis un mois durant, au moins.
Eduqué au bouffage de curés, au doute érigé comme valeur de pensée nécessaire qui opposait, à toutes les assertions dogmatiques, la recherche scientifique de la vérité, La Mythe n’eut jamais de réponse. Il ne posa jamais de question. Coupeur de feu, son grand-père? Suicidé? Cartésiens mais aux racines paysannes, ses parents ne parlaient jamais des sentiments, ni des leurs, ni de ceux de leurs enfants. Ce tabou fut respecté.
Bien qu’il eût perdu toute la peau de son cul à six ans, il n’en gardait aujourd’hui aucune trace, aucune cicatrice. Le corps guérit bien mieux que l’esprit.
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les gars....le rêve de zinzin que j'ai fait encore là....j'ai rêvé qu'il y avait une saison 7 de kaamelott et que je faisais partie du tournage, qu'on tournait ça chez la mère astier genre dans un palais IMMENSE, avec des colonnes dorées, des escaliers en colimaçon, des moucharabieh et des plafonds peints style chapelle sixtine, vraiment je me revois lever les yeux au ciel si fort parce que je trouvais ça tellement too much djfkdn
et puis je me souviens qu'il y avait surtout loic varraut avec moi qui était un peu perdu, et on avait fait une table ronde pour discuter de nos dialogues et de ce qui allait se passer dans cette nouvelle saison, et là aa commence à expliquer que ce sera hyper dark et qu'on parlera d'une prophétie, comme quoi arthur mourra et que tout le monde se retournera contre lui, et que guenièvre se laissera lentement mourir de chagrin et de douleur vraiment un PLAISIR
après je sais pas pourquoi mais y avait des enfants, dont une gamine qui était devenue ma super copine, si bien que j'avais l'impression que mon amitié avec cette petite fille me permettait d'être hyper bien vue par tout le monde et d'avoir droit à plein de trucs cools (par exemple ma présence sur le tournage mdr littéralement qu'est-ce que je fous là sinon)
et not to be biased mais aa était trop beau. vraiment le gars était trop frais, il avait les cheveux un peu mi-longs, poivre et sel, bouclés, une barbiche impeccable, une armure brillante et tout. chef's kiss. et puis après y a eu une scène de guerre civile un peu ??? genre tous les chevaliers (dont moi) en haut d'une tourelle, et le peuple en bas qui veut renverser le roi, alors ça jetait des bombes??? des bombes toutes rondes qui pétaient comme des gros pétards de forain, et c'était le bordel absolu, arthur avait trop peur pour lui etc et à un moment, on a vu yvain, en train d'allumer lui même des bombes, et là PLOT TWIST on comprend qu'il est du côté des méchants depuis le début parce qu'il s'est fait embrigadé par les saxons etc, alors arthur le chope et dans un coup de folie lui tranche la gorge et le fait tomber par dessus le bord. évidemment gauvain et léodagan voient ça et sautent sur arthur...et je me suis réveillée 🙃
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Lens : l'église de mineurs Saint-Théodore.
A l'étage, par un escalier en colimaçon, il y a une maquette de la mine, en allumettes. Au rez-de-chaussée, des gaillettes de charbons, des lampes de mineurs et Sainte-Barbe, sainte patronne des mineurs.
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10 août
j'ai commencé le livre de gaëlle obiégly et mon dieu que j'aime la lire et que ça me donne envie de m'y mettre mais non j'ai décidé de faire un film, même si le plus important dans mon film c'est le texte, ça m'avance pas dans mon livre. elle dit qu'elle est assez peu lue et que parfois ça la rend triste. j'ai envie de lui écrire pour lui dire à quel point je l'aime. après avoir entendu lydie salvayre sur france inter ce matin qui parlait des critiques littéraires qui employaient toujours les mêmes expressions toutes faites et qui disait qu'aujourd'hui un livre n'avait plus besoin d'être lu, qu'il suffisait qu'on en parle, je me disais que peut être, le plus belle et la plus pure et la plus vraie expérience de la littérature que je ferai jamais c'est celle-là, celle de tous les jours, celle de mon journal et de mes petites lectures de poésie. que même si je publie un livre et que même s'il a du succès, ce sera forcément décevant. mais peut être que je me trompe, peut être que des gens m'écriront comme moi j'ai envie d'écrire à gaëlle obiégly pour me dire qu'ils m'aiment et que je les ai aidés et que ce sera trop cool.
gaëlle obiégly dit qu'on la connait pas parce qu'elle va pas sur les plateaux de télévision et qu'elle est jamais invitée à la télé parce qu'elle a un physique disgracieux, qu'on avait tendance à ne pas l'écouter parce qu'on n'écoute pas les gens qui ont un physique disgracieux. je sais pas à quel point elle est sérieuse quand elle dit ça mais j'ai interrompu ma lecture pour la googler parce que j'avais pas le souvenir qu'elle était moche et je me suis demandé avec horreur si mon propre physique disgracieux allait m'empêcher de devenir une star littéraire. j'avais pas du tout envisagé cette possibilité. quel monde de merde. heureusement qu'y a la radio. ou je pourrais mettre un casque comme daft punk pour créer le mystère. ou garder des grandes lunettes de soleil tout le temps comme jenna lyons.
11 août
j'ai rêvé de r., on allait au resto dans un sous-sol mais il fallait attendre qu'une table se libère et on était tous assis les uns sur les autres en bas du petit escalier en colimaçon, j'étais à moitié assise sur lui mais encore plus près de lui y avait une fille petite et brune avec le visage caché par une épaisse frange, elle parlait pas beaucoup, elle parlait même pas du tout mais elle était collée à lui et elle enfouissait son visage dans le creux de son cou et il l'embrassait. je crois que c'était gaëlle obiégly. mais comme moi aussi j'étais assise sur lui j'ai commencé à caresser sa cuisse, puis je me suis brutalement arrêtée en me rappelant que j'avais pas le droit. que ça servait à rien. que ça ferait que m'humilier d'avantage.
deuxième soir de suite que r. me gâche mon plan de me coucher tôt pour lire gaëlle o. non seulement il sort avec elle dans mes rêves mais en plus il m'empêche de lire son livre? mais j'imagine que c'est le prix à payer pour avoir une vie sociale. ça prend du TEMPS. il m'a confié ses insécurités et je lui ai écrit sache que je ne fraie qu'avec des gens de haute qualité et il m'a répondu en rigolant avec plein de cours rouges et puis il m'a dit que mes conseils lui avaient fait avoir une révélation et je lui ai écrit you go girl!!! et puis on a parlé de mes problèmes à moi et c'était très satisfaisant comme conversation.
à part ça ce matin j'ai déjeuné sur le balcon en regardant le chat se rouler dans l'herbe dans le jardin en bas, puis j'ai sorti loki et j'ai vu c. sortir de chez elle en robe pour prendre la voiture et on s'est fait bonjour, il faisait beau et agréablement chaud et c'était le matin et tout est magique le matin. tout est magique le soir aussi, mais moins. y a que l'après-midi qui sert à rien. en revenant de la piscine on s'est arrêté à la boucherie et en rentrant je me suis rendu compte que j'avais le visage d'une lépreuse, j'étais en train de me fossiliser vivante comme dans le texte de mon film et j'ai pensé aux deux bouchers qui ont vu un fossile vivant entrer dans leur boucherie et regarder leurs saucisses et leurs steaks hachés et leurs escalopes de dinde et dire à maman non j'ai mangé trop de pain à paris quand elle a demandé si on prenait une baguette au levain.
13 août
hier soir après avoir fini the other two (fin sublime) j'ai regardé les deux nouveaux épisodes de how to with john wilson et r. m'a envoyé des vidéos de son écran avec des passages qui l'ont fait rigoler et on l'entend éclater de rire exactement au même endroit où moi aussi j'ai éclaté de rire et l'entendre éclater de rire m'a de nouveau fait éclater de rire et je l'ai remis plusieurs fois et je rigolais toute seule dans mon lit et je le remettais et je rigolais et je le remettais et je rigolais et je crois que je suis pas guérie du tout. mais au moins ça me déprime plus. ce matin il m'a envoyé la même vidéo de vinciane despret sur la politisation des émotions que j'ai ouverte dans mes onglets depuis une semaine en me disant qu'il l'avait écoutée en faisant la vaisselle et qu'il exultait tellement il aimait ce qu'elle disait.
pendant que je préparais mon porridge ils passaient une chanson mélancolique de paul mccartney à la radio qui m'a fait penser à lui et quand je le lui ai dit j'avais l'impression de prendre un petit risque d'avoir l'air encore amoureuse. je suis encore amoureuse, mais il doit pas le savoir. je suis encore amoureuse parce que pour qui d'autre je prends mon téléphone au lit le soir? pour absolument personne. j'ai besoin de personne. j'ai passé l'entièreté du mois de juillet et bientôt du mois d'août seule, à part les quelques personnes usuelles de temps en temps, et c'est même pas une question de La Situation ou de trou ou de dépression, j'ai juste la flemme, et j'adore passer mes soirées à regarder des séries et le reste du temps à travailler.
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