#coffrages aléatoires
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brittneywoodson · 1 year ago
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Paris Library Open Large, modern, open-concept image of a family room library with gray walls, no fireplace, and no television.
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nakura-san · 7 years ago
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Durarara!!SH vol.2 - Chapitre 5A Le Messager (partie 1/3)
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Quelque part à Ikebukuro. Devant le magasin d’antiquités Sonohara Hall.
Le magasin se situait dans la périphérie d’Ikebukuro, le rendant assez isolé.
Ici, loin de l’effervescence des rues proches de la gare, le vieux magasin se tenait seul dans un quartier d’habitations ordinaires.
Étant donné qu’il s’agissait d’un magasin d’antiquités, on pouvait dire que son environnement correspondait bien, et en effet, il ne faisait qu’augmenter son charme.
Une caisse enregistreuse, logée dans un mur sur lequel étaient exposées des tasses de thé rouges et noires et des pièces de monnaie recouvertes d’inscriptions inhabituelles, accentuait le côté désuet du magasin.
Soudainement, la porte du magasin s’ouvrit, et un groupe de jeunes gens vêtus d’uniformes d’un style moderne sortirent.
« Je suis content d’avoir pu trouver une radio décente. »
S’éloignant du magasin, un garçon à l’air calme –Mizuchi Yahiro- poussa un soupir de soulagement alors qu’il regardait la radio dans ses mains.
« Merci de m’avoir amené ici, Tatsugami-san. »
Bien que dite sur un ton léger, la gratitude de Yahiro était sincère.
La fille à qui il s’adressait, Tatsugami Himeka, secoua la tête.
« Ce n’est rien, c’est juste que ce magasin se trouve près de chez moi. »
« Mais dieu merci j’ai pu en trouver une pas cher. »
Yahiro examina son achat une fois de plus alors qu’il disait ça.
Le coffrage était un bois, avec une gravure de dragon à l’arrière.
Quand, dans un premier temps, Yahiro avait vu le rouge et noir de l’acajou, il avait pensé qu’il s’agissait peut-être d’une radio mécanique plutôt qu’électrique.
Malgré l’aspect ancien de la radio, la jeune femme qui tenait le magasin avait proposé une réduction en voyant que ses clients portaient l’uniforme de Raira, et il avait finalement obtenu la radio à un prix étonnamment bas.
« Quand on entend qu’une boutique vient d’être ouverte par une ancienne élève de Raira, on s’attend à quelque chose de plutôt moderne. Mais au final l’ambiance est ancienne, quel choc, hein ? Et la propriétaire a l’air si sérieux avec ses lunettes, mais c’est une vraie beauté. Elle est déjà prise à votre avis ? »
Le garçon, dernière Himeka et Yahiro, qui venait d’amener ce nouveau sujet de conversation -Kotonami Kuon- était encore plus décalé avec l’ambiance de la boutique.
Le garçon aux cheveux teints en vert se rappela la propriétaire de la boutique rencontrée plus tôt et continua ses spéculations :
« Mais pour commencer, une femme aussi jeune qui tient une boutique à elle toute seule ! N’est-ce pas incroyable ? Elle n’a pas de famille pour l’aider… ? »
« Hm… Je ne sais pas, mais au début il y avait d’autres gens pour aider aux rénovations. »
« Est-ce qu’il y a beaucoup de boutiques de ce genre dans le coin ? »
Yahiro regarda par-dessus son épaule en direction du magasin qui rétrécissait avec la distance.
Après réflexion, Himeka répondit :
« Je suppose qu’il y a plein de sociétés privées par ici. Des lieux différents ont des environnements différents, et il y a plein de magasins intéressants, donc tu voudras peut-être faire un tour pour voir. »
« Tokyo est incroyable après tout… »
« Attends, c’est pas vraiment exclusif à Tokyo. »
Yahiro pencha la tête au commentaire de Kuon.
« Ah, désolé. J’ai jamais vraiment quitté mon village. »
« Et t’as quand même décidé de venir à Tokyo… C’est plutôt intéressant. »
Après cette réplique peu convaincante, Kuon regarda la radio de Yahiro.
« Dans tous les cas, ça te va vraiment de compter sur une radio plutôt que sur la télé pour suivre les infos ? »
« Je pense que c’est bon. J’ai déjà un smartphone de toute façon. »
« Il vaut mieux avoir un smartphone qu’une télé. Les temps ont changé. Ah. Est-ce que tu vas sur les réseaux sociaux ? »
« Les réseaux sociaux ? »
Yahiro releva la tête avec curiosité.
Incrédule, Kuon releva les épaules, et expliqua poliment :
« Les réseaux sociaux. C’est le terme générique pour tous les services qui utilisent internet pour soutenir les communications humaines. En gros c’est Twittia, Facemagazine, Nixi, Fine… »
Yahiro n’avait pas l’air de reconnaître un seul des services listés, et répondit timidement :
« Comme les chatrooms ? »
Whoa. J’aurais jamais pensé entendre un mot comme ‘Chatroom’ à notre époque. Impressionnant, vraiment. Eh, vu que tu as un smartphone, je pourrai te montrer les sites donc je te parlais plus tard… »
Kuon était sur le point de continuer, mais il s’arrêta en entendant une voiture derrière eux les klaxonner.
« Hein ? »
Le trio se retourna pour voir la voiture s’arrêter à leur niveau.
La fenêtre du côté passager était ouverte, et la tête d’un garçon en sortit.
Il portait le même uniforme de Raira qu’eux, et au premier regard il semblait être du même âge.
Cependant, ce que Kuon dit ensuite l’identifia comme un aîné.
« … Kuronuma-senpai. »
« C’est là que tu étais. C’est clair que ces cheveux c’est pratique quand on est à ta recherche. »
« Pourquoi tu es là ? Je t’avais pas dit que j’étais occupé aujourd’hui ? Argh. »
Kuon répondait sans manières à son aîné ; derrière lui, Yahiro et Himeka s’échangèrent un regard.
L’aîné que Kuon avait appelé Kuronuma avait l’air tout à fait normal et gentil, mais l’homme à l’air féroce sur le siège conducteur, combiné au fait que les fenêtres étaient fortement teintées, ajoutait comme une ombre au tableau.
Alors que Yahiro cherchait désespérément comment réagir, l’aîné sur le siège passager se tourna vers lui.
« … Hey, Kuon. Tu nous présentes tes amis ? »
Bien que mettant ‘amis’ au pluriel, son attention était entièrement portée sur Yahiro.
Yahiro devina que les blessures sur son visage avaient attiré son regard.
Kuon répondit d’un ton informel :
« Ah, on est dans la même classe. C’est Mizuchi et Tatsugami-san. »
« Je vois. Moi c’est Kuronuma Aoba, 3ème année. Enchanté. »
« Heureux de te connaitre… Je suis Mizuchi Yahiro. »
En réponse à la présentation amicale d’Aoba, Yahiro baissa la tête, tandis que Himeka murmurait sa propre présentation.
« Mizuchi-kun ? Ça a l’air de faire mal, ça va ? »,
demanda Aoba, en regardant les bleus sur le visage de Yahiro.
« C’est rien, je suis juste tombé dans les escaliers… »
« Tu es tombé ? Où ça ? »
« Um… »
Ne s’attendant pas à être interrogé plus en détail, Yahiro bafouilla sa réponse.
Kuon, cependant, vint à son secours, en interrompant la conversation.
« Ouais ! C’était à la gare ! Il n’est pas habitué à la foule vu qu’il vient du Nord, du coup il s’est senti mal et s’est effondré tout d’un coup ! Le choc ! »
« Uh, euh, ouais. »
Yahiro confirma précipitamment le mensonge que Kuon avait si naturellement prononcé.
« C’est donc ça. D’où tu viens ? »
« C’est un village thermal à Akita… Um, c’est le village Haburagi ; au Nord du lac Hachirogata. »
« Le village Haburagi, huh. »
Après avoir confirmé ça, Aoba sourit et dit à Kuon,
« Donc tu montres les alentours à ton ami ? »
« Un truc du genre, je suppose. »
« Je vois… Je ne t’aurais jamais cru aussi attentionné. »
Puis il se retourna vers Yahiro et Himeka.
« Vous devriez faire attention. Si vous traînez avec ce gars, vos notes vont chuter. »
« Hein, t’es horrible, Aoba-senpai… Malgré mon apparence, je suis un bon tuteur, tu sais? »
Kuon soupira alors qu’il niait les dires d’Aoba.
Ignorant son kohai, Aoba ajouta, souriant :
« On va y aller du coup. N’hésitez pas à venir me parler au lycée si vous avez des questions. »
Arborant un air d’aîné amical, Aoba referma la fenêtre.
Le trio regarda en silence la voiture quitter la ruelle, mais Kuon laissa tout de même échapper un profond soupir et sourit.
« Puhyo~ C’était embarrassant. Il déconnait juste. N’y pensez plus, ok ? Sérieusement. Ça m’arrangerait aussi. »
« Mais tu es le seul qu’il a insulté Kotonami-kun. Moi je m’en fiche un peu… »
« Je pense pas qu’il ait dit quoi que ce soit d’inquiétant pour commencer. »
Entendant les réponses de Yahiro et Himeka, Kuon grimaça, en haussant les épaules.
« Dans tout les cas, il vaut mieux que vous restiez loin de lui. »
 ♂♀
 Dans la voiture.
« On est entré en contact avec eux de manière trop aléatoire, tu ne penses pas ? »
Dans le van s’éloignant de Yahiro et compagnie, le conducteur, qui mâchait un chewing-gum, ajouta :
« Et puis, t’es sûr que c’est le gamin qui s’est fait remarquer avec Shizuo ? »
« Probablement. Kuon s’ennuie rarement à traîner avec des gens à part nous, donc il y a de fortes chances que ce soit lui. »
répondit Aoba nonchalamment.
« Si ça avait été moi, j’aurais échangé nos contacts. »
« T’es sérieux ? C’est celui qui s’est battu avec Shizuo ? »
demanda Yoshikiri, le camarade d’Aoba, depuis la banquette arrière.
« Je suis pas sûr. C’est ce qu’on va vérifier. »
« Mais Aoba. Même sans parler de son physique, il a pas l’air un peu timide pour se battre avec qui que ce soit ? »
Étant adepte des bagarres lui-même, Yoshikiri était généralement capable de savoir si une personne était dangereuse ou non.
Mais il n’avait rien perçu venant de Mizuchi Yahiro.
Pourtant, Aoba répondit après réflexion :
« Est-ce que t’as vu ses mains ? »
« Hein ? Non, je pouvais pas voir de la fenêtre. »
« Il a des cicatrices pas banales dessus. »
Les mains de Yahiro, de ce qu’Aoba avait pu voir, étaient recouvertes de cicatrices.
Il y avait définitivement des circonstances spéciales derrière ça, mais comme il s’agissait seulement de leur première rencontre, il n’avait pas abordé le sujet.
En entendant ça, un autre passager à l’arrière rigola.
« Des cicatrices sur les mains, huh. De quel genre ? Peut-être qu’il a été poignardé par un stylo bille ? »
« Oi, ta gueule ! »
Aoba fronça les sourcils et l’engueula, avant de lever les yeux au plafond de la voiture, et de se murmurer :
« Kuon prépare quelque chose, donc je veux être en contact avec ce gars. J’aurais peut-être dû lui demander son e-mail en y repensant. »
Puis il sortit lentement son téléphone de sa poche.
« Village Haburagi… Ha-bu-ra-gi… Genre, celui-là ? »
Une simple recherche afficha la page d’accueil d’un site de sources chaudes et d’auberges, suivie par des tour-opérateurs et des blogs sur les ‘sources chaudes secrètes’.
Le site du village apparaissait plusieurs fois dans les résultats, donc c’était sûrement un lieu assez connu pour ses sources chaudes.
Il continua à chercher avec différents mot-clé, parcourant différentes communautés et fils d’actualités fréquentés par les locaux.
Après quelques minutes de recherches, Aoba plissa les yeux.
« Bingo. »
Le site à l’écran était un forum basé dans une ville proche du village Haburagi.
C’était une série de messages qui dataient de quelques semaines, dans un fil d’actualités pour lycéens.
[J’ai entendu dire que le monstre de Haburagi était parti dans un lycée à Tokyo]
[Tu veux dire Mizuchi ?]
[Sérieusement ?]
[Dieu soit loué, s’il avait choisi d’aller dans un lycée public, il se serait retrouvé dans le mien]
[Les senpai étaient terrifiés]
[Oui ! Mes belles années de lycée sont sauvées]
Ils plaisantaient ici et là, utilisant le site plus comme une chatroom qu’un fil d’actualités, mais c’était suffisant pour qu’Aoba confirme l’identité de Yahiro.
Bien qu’il souriait intérieurement pour avoir tapé en plein dans le mille, le visage d’Aoba resta froid quand ce dernier murmura :
« Bon, et après ? Je me demande ce qui se passe dans la tête de Kuon… »
« S’il fait des trucs en secret sans nous en parler, on a qu’à se débarrasser de lui, pas vrai ? »
Yoshikiri fit cette vile proposition, à laquelle Aoba répondit :
« Ne soit pas impatient. On ne va pas tuer la poule aux œufs d’or. »
Puis il continua calmement :
« Bon, il cherche peut-être juste plus de gens pour travailler pour lui… Pour commencer, on ne connaît même pas les motivations du nouveau. »
La conversation dans la voiture se termina là, puis ils retournèrent à leur quotidien ‘normal’.
Mais comme pour empêcher ça, la sonnerie d’Aoba retentit depuis son téléphone.
« Oh, qui c’est ? »
Avant de décrocher, Aoba vérifia l’identité de l’appelant sur l’écran.
Après un moment d’étonnement, sa bouche dessina un sourire alors qu’il prenait l’appel.
« Bonjour… ça faisait longtemps. … oui, je vais bien. … Aw, n’ayez pas l’air aussi déçu. »
Aux mots d’Aoba, les Blue Squares dans la voiture s’échangèrent des regards.
Le fait qu’il restait poli signifiait que la personne à l’autre bout du fil avait un statut plus élevé, mais ça faisait longtemps qu’Aoba n’avait pas parlé avec quelqu’un aussi joyeusement.
Certains supposèrent qu’il pouvait s’agir de Ryugamine Mikado, mais cette pensée disparue rapidement.
Ryugamine Mikado avait coupé les ponts avec les gens comme eux, et avait au plus échangé quelques banalités avec Aoba de temps en temps au lycée.
Alors que ses camarades spéculaient, Aoba continuait à parler avec un grand sourire.
« Bien sûr, si c’est quelqu’un que je connais, je peux vous envoyer sa photo. »
Mais l’instant d’après –
Une légère surprise s’ajouta à ce visage souriant.
Et comme pour confirmer à la personne à l’autre bout du fil, il répéta ce nom unique :
« Tatsugami Himeka… c’est bien ça ? »
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