#cloche industrielle
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girafeduvexin · 3 months ago
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"Zone"
À la fin tu es las de ce monde ancien
BergĂšre ĂŽ tour Eiffel le troupeau des ponts bĂȘle ce matin
Tu en as assez de vivre dans l’antiquitĂ© grecque et romaine
Ici mĂȘme les automobiles ont l’air d’ĂȘtre anciennes
La religion seule est restée toute neuve la religion
Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation
Seul en Europe tu n’es pas antique î Christianisme
L’EuropĂ©en le plus moderne c’est vous Pape Pie X
Et toi que les fenĂȘtres observent la honte te retient
D’entrer dans une Ă©glise et de t’y confesser ce matin
Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut
Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux
Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d’aventures policiùres
Portraits des grands hommes et mille titres divers
J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai oubliĂ© le nom
Neuve et propre du soleil elle Ă©tait le clairon
Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes
Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent
Le matin par trois fois la sirÚne y gémit
Une cloche rageuse y aboie vers midi
Les inscriptions des enseignes et des murailles
Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent
J’aime la grñce de cette rue industrielle
SituĂ©e Ă  Paris entre la rue Aumont-ThiĂ©ville et l’avenue des Ternes
Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit enfant
Ta mùre ne t’habille que de bleu et de blanc
Tu es trÚs pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize
Vous n’aimez rien tant que les pompes de l’Église
Il est neuf heures le gaz est baissé tout bleu vous sortez du dortoir en cachette
Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collĂšge
Tandis qu’éternelle et adorable profondeur amĂ©thyste
Tourne Ă  jamais la flamboyante gloire du Christ
C’est le beau lys que tous nous cultivons
C’est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent
C’est le fils pñle et vermeil de la douloureuse mùre
C’est l’arbre toujours touffu de toutes les priùres
C’est la double potence de l’honneur et de l’éternitĂ©
C’est l’étoile Ă  six branches
C’est Dieu qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche
C’est le Christ qui monte au ciel mieux que les aviateurs
Il détient le record du monde pour la hauteur
Alcools, Guillaume Apollinaire, 1913.
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neant-blanc · 6 months ago
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Bakou (AZ) → Alat (AZ) Partie 2 – 08.12.23
La mer couleur mĂ©tal Ă  gauche, les plaines dĂ©sertiques Ă  droite, le paysage monotone s’écoule lentement le long de ce troisiĂšme jour de marche. La route au trafic ininterrompu se prolonge Ă  l’infini, filant droit comme un trait de crayon Ă  la rĂšgle sur une immense feuille de papier jauni, et ne dĂ©viant que pour contourner les zones industrielles avec leurs machines bĂ©hĂ©mothiennes luisantes sous le soleil. La nuit s’annonce quand j’arrive au pied des murs Ă©rodĂ©s d’un ancien caravansĂ©rail. L’édifice, depuis longtemps Ă  l’abandon, Ă©lĂšve ses murailles de terre sĂšche sur le bas-cĂŽtĂ© d’une voie de chemin de fer. Un peu partout sont gravĂ©s dans les parois friables des messages en russe, azĂ©ri et arabe. Les escaliers menant aux tourelles se morcellent sous mes pas, alors je fais demi-tour et m’installe dans la cour intĂ©rieure malgrĂ© le vent qui la balaye au grĂ© des bourrasques. À part le passage occasionnel de convois ferroviaires et des aboiements lointains, la nuit se fait calme. Je pense Ă  tous ces voyageurs qui se sont succĂ©dĂ© pendant plus de cinq-cents ans et souris pour moi-mĂȘme, dans le noir, Ă  l’idĂ©e d’ajouter mon nom Ă  cette longue liste. Je me lĂšve dans le gris de l’aube et monte prĂ©cautionneusement Ă  l’étage pour admirer le lever du jour sur la mer Caspienne. Cette fois je lĂąche vĂ©ritablement la voie rapide pour crapahuter dans le chaos pierreux du parc naturel de Gobustan. Je rejoins ensuite un hameau Ă  un peu plus d’une dizaine de kilomĂštres de Alat. Mes mollets tirent et je me sens trĂšs sale, mais je devrais pouvoir atteindre le port avant la tombĂ©e de la nuit. Dans les rues dĂ©foncĂ©es et silencieuses, je dĂ©ambule tel un fantĂŽme. Je longe les façades des maisons exhibant leurs parpaings et le ciment grossier. Aux abords du village, le sol du dĂ©sert se creuse en un labyrinthe de galeries et de boyaux terreux façonnĂ©s par la sĂ©cheresse que les habitants, visiblement, utilisent comme dĂ©charge. Des tas d’ordures y brĂ»lent, dĂ©gageant de minces rubans de fumĂ©e noire et une odeur rĂąpeuse que je sens se coller Ă  mon palet. Je vois arriver un troupeau de moutons depuis longtemps annoncer par le tintement de leurs cloches. Le berger m’accoste avec un large sourire, il veut savoir ce que je fais ici. Petit, comme tassĂ© sous son chapeau, il lĂšve vers moi une figure goguenarde tannĂ©e par le soleil. Je lui dis que je veux rejoindre Alat Ă  pied. Il secoue la tĂȘte, semblant indiquer un dĂ©saccord. Avec l’aide de mon portable, je lui demande pourquoi je ne peux pas. Sans se dĂ©partir de son sourire, il me bondit dessus et fait mine de me mordre la jambe avec ses mains simulant des mĂąchoires. J’ai bien failli le frapper sous le coup de la surprise. Je le questionne, aussi prĂ©occupĂ© par les augures que par le colporteur lui-mĂȘme. Tout en se mettant Ă  aboyer et grogner, il Ă©crit une phrase que mon portable traduit en deux mots : « chiens faim ». Il image ses propos avec quelques jappements supplĂ©mentaires et des signes du bras pour m’écarter des dĂ©dales bordant le village et m’indiquer un grand dĂ©tour par delĂ  un tertre plus Ă  l’ouest. Je le remercie en azĂ©ri ce qui le fait beaucoup rire. Avant de se quitter il me tend son bĂąton et pour ĂȘtre sĂ»r que j’ai compris, mime des coups dans le vide et imite les gĂ©missements d’un chien, ce qui le fait s’esclaffer de nouveau. J’accepte son cadeau et repars, la boule au ventre. Je verrais effectivement au loin des meutes de chiens errants, mais n’en rencontrerais aucune, Ă  mon grand soulagement.
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a-room-of-my-own · 2 years ago
Note
Salut Tilly, j'en ai un peu marre de voir des tweets sur le climat et ceux qui viennent te sonner les cloches de l'apocalypse à chaque fois que la Terre bat de nouveaux records de chaleur. J'ai entendu d'autres personnes dire que ce sont, tout comme les émeutes, des caprices de bobo gauche caviar donneurs de leçons. Je ne sais pas ce que tu en penses.
Ils me saoulent đŸ€·â€â™€ïž
J’ai Ă©tĂ© membre de Greenpeace pendant presque 15 ans parce que j’ai vraiment cru que les activistes Ă©cologistes avaient Ă  cƓur d’apporter des Ă©volutions, comme ça pouvait ĂȘtre le cas dans les annĂ©es 70->90 avec par exemple l’interdiction des CFC ou autres substances toxiques.
Mais force est de constater que depuis une dizaine d’annĂ©e, comme pour bien d’autres militantismes, on est tombĂ©s dans une mentalitĂ© quasi millĂ©nariste. Et au-delĂ  de ça les rĂ©seaux sociaux ont eu une influence dĂ©lĂ©tĂšre sur l’activisme, dans le sens oĂč j’ai le sentiment que plus personne ne cherche Ă  travailler ses sujets mais plutĂŽt Ă  buzzer Ă  coups d’outrance. C’est ce qui m’a fait quitter Greenpeace, quand ils ont tentĂ© de faire atterrir un ULM dans un stade au risque de blesser des gens. Quel intĂ©rĂȘt de faire ça Ă  part finir sur Tiktok ?
D’autre part je suis beaucoup revenue du manque de rigueur scientifique de ceux qui se sont faits le visage de l’écologie, notamment concernant les Ă©nergies renouvelables. Quand j’ai vu ce qu’il se passait avec le solaire et l’éolien - un scandale, aussi bien au niveau industriel, que financier, humain ou Ă©cologique - j’ai vraiment dĂ©chantĂ© parce que les Ă©cologistes ne se sont pas emparĂ©s du sujet, alors qu’ils critiquent Ă  outrance ce qu’ils appellent capitalisme vert.
Et malheureusement, l’écologie pour le moment est portĂ©e par des anti-modernes qui rĂȘvent de dĂ©croissance. Ils veulent des campagnes authentiques pour aller en week-end, mais bĂ©tonnent en ville - il suffit de voir ce que le PS et EELV font Ă  Paris.
Sans nier une seconde le problùme du changement climatique, la solution pour moi se trouve dans le progrùs technologique, et c’est d’ailleurs là-dedans que d’autres pays investissent massivement.
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claudehenrion · 2 years ago
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Ad-mi-nis-trĂ©s - ( III ) : “la norme ou la vie !”.
  Les systĂšmes complexes n'ont donc qu'une seule stratĂ©gie possible pour survivre. C’est de crĂ©er des systĂšmes plus complexes qu'eux, pour leur permettre d'ĂȘtre plus complexes eux-mĂȘmes
 un peu comme l'Homme a Ă©tĂ© plus ou moins obligĂ© de concevoir et construire des systĂšmes de plus en plus complexes pour contrĂŽler des systĂšmes de plus en plus compliquĂ©s (DeuxiĂšme loi de la ThĂ©orie des SystĂšmes) 
Il n'y a pas de limite thĂ©orique Ă  cette course folle, et toute administration, qui est un systĂšme hyper-complexe, doit donc consommer une part de plus en plus importante des ressources dont elle dispose pour simplement se maintenir en vie et ce, avant-mĂȘme le premier service rendu. N'allez pas chercher ailleurs la panique de nos gouvernants devant la simple Ă©vocation d’une Ă©ventuelle diminution des dĂ©penses de la “Ponction publique” (c’est un de mes anagrammes favoris, qui est toujours d'actualitĂ©, hĂ©las !). Ce n'est pas parce qu'ils ne voient pas ce qui cloche, mais c'est parce qu'ils sont impuissants, par systĂšme et par destination :  une Administration secrĂšte en permanence, pour elle-mĂȘme, de nouvelles complexitĂ©s qui sont comme de nouvelles mĂ©tastases, qui bouffent la totalitĂ© de ses ressources.
Un exemple, qui s'impose : tout l'arsenal lĂ©gislatif et rĂ©glementaire en faveur des pseudo-migrants /vrais envahisseurs, dits “sans papiers” pour faire croire qu'ils viennent de les perdre ou qu'ils sont en attente de rĂ©gularisation : les aides financiĂšres, la gratuitĂ© des transports et des soins Ă©tendues Ă  la parentĂšle, au village, Ă  la tribu, voire Ă  l'ethnie tout entiĂšre– dites “AME-Ă -la-française”, (il faut prononcer “a-Ă©mm-eu”, pour Aide MĂ©dicale d'Etat. Il s’agit de l'aberration la plus aspirante de toutes les pompes Ă©ponymes jamais inventĂ©es par nos Shadoks, pourtant experts. Ses excĂšs, uniques au monde, sont indĂ©fendables
 sauf pour un cerveau trĂšs Ă  Gauche ou un peu “maso” –c'est la mĂȘme chose !), sont autant de mauvaises (pour nous) bonnes (pour les migrants) raisons de tout quitter (avec quels risques !) pour un Eldorado inventĂ© par des “passeurs-tueurs” sans foi ni loi..
Mais les lois de la thermodynamique sont incontestables (contrairement aux vaccins contre le covid !), et le moment est donc proche oĂč la simple conservation des systĂšmes existants exigera davantage de puissance que toutes les Ă©nergies qui peuvent ĂȘtre fournies
 (pour ne produire, en retour, que trĂšs peu, ou rien !), un peu comme la dĂ©cision de “passer au tout Ă©lectrique” pour les bagnoles implique sans Ă©chappatoire possible que plus de 100 % de toute l'Ă©lectricitĂ© produite et/ou disponible sera nĂ©cessaire Ă  ce seul “progrĂšs—sic”. Et comme c'est tout-Ă -fait impossible, il est sage de nous attendre Ă  des limitations drastiques puis Ă  des interdictions progressives de tout vĂ©hicule. C'est pour demain.  Autres exemples : 
(a)- La volontĂ© affichĂ©e de refiler tout le boulot –traduire : la paperasse– “aux ‘’autres’’. L'Etat-LĂ©viathan se dĂ©fausse sur les entreprises et les con-tribuables de la collecte des impĂŽts et, dans le fond, de tout et n'importe quoi qui peut ĂȘtre “dĂ©gagĂ©â€ tout en restant “titilleusement” contrĂŽlĂ©. Entreprises, commerçants,  mĂ©decins, agriculteurs, industriels, prostituĂ©es
 bref : tout le monde sauf les vrais salopards et les dealers de drogues, sont peu Ă  peu noyĂ©s sous des cataractes de rĂšgles chronophages et le plus souvent inutiles
 sans qu'un seul poste disparaisse (5 000 fonctionnaires en moins,,. mais 13 000 contractuels en plus, pour les remplacer “bon poids’‘ !).  Au total, dit l'INSEE, en 2021, la fonction publique comptait 21 300 personnels (+0,4 %) de plus qu’un an auparavant, ’'une hausse plus faible qu’en 2020 (+0,6 %)”.  ’'L’emploi’’ (admirez l'astuce pour noyer le poison : on ne dit pas “le nombre des bras cassĂ©s” !) augmente nettement dans la fonction publique territoriale (+0,9 %),  modĂ©rĂ©ment dans le secteur hospitalier (+0,5 %), et est quasi stable dans la fonction publique d’État (-0,1 %), CQFD.
(b)- La police refile gardes et surveillances Ă  170 000 “privĂ©s”, mais embauche encore
 car le “systĂšme” la fait s’écrouler sous les tĂąches aussi stupides que le contrĂŽle des “Ausweis” de confinement (totalement inutiles, donc (?) classĂ©s prioritaires par nos Nuls), ou le maintien Ă  distance des “concertos de casseroles” qui escortent le prĂ©sident et ses ministres Ă  chaque sortie. RĂ©sultat : quelques postes supprimĂ©s dans la  FPE (fonction publique d'Etat), largement compensĂ©s (mais
 chut !) par une explosion dans la “Territoriale” (FPT), oĂč les contractuels sont 33 800 de plus en 2021 qu’en 2020 (soit +2,8 %) et reprĂ©sentent plus d’un agent public sur cinq –hors statistiques, donc. “Et hop ! Passez, muscade !”.
(c)- Le pouvoir, entourĂ© –ou encombrĂ©, c'est comme vous voulez !– de hauts ponctionnaires indignes de leurs gĂ©nĂ©reuses prĂ©bendes, et bien incapables de rĂ©aliser quoi que ce soit d’efficace (Dame ! Ils ont fait l’ENA, et ‘’on peut pas tout faire’’ !) doit faire appel Ă  des “conSultants” Mac-amĂ©ricains pour toute mission importante, Ă  des prix au-delĂ  du concevable –des Ă©moluments  de
 Sultans !
“Si c'est pas un tour de c
passe passe
 j'y perds mes patins”, dit ma vieille amie Madame Michu
 Plus les budgets explosent, plus l'efficacitĂ© s'effondre. La France n'est plus dirigĂ©e ni gĂ©rĂ©e : elle est administrĂ©e, donc Ă  la dĂ©rive ! Et nous “à la ramasse” ! Sans toujours nous en rendre compte, nous avons atteint un second niveau de synthĂšse : notre actuel systĂšme complexe de systĂšmes complexes, a besoin, simplement pour survivre, de toute l'Ă©nergie disponible, de progrĂšs au delĂ  du raisonnable, et de croissance permanente au delĂ  du possible.
Il a dĂ©passĂ© le stade oĂč il peut ĂȘtre durablement viable, et comme ces divers systĂšmes sont rendus obligatoires l'un par l'autre et nĂ©cessaires l'un Ă  l'autre, c'est sans espoir. Il faudrait d'abord faire table rase de nos systĂšmes “responsables-coupables” et de tous les Ă©normes coĂ»ts induits qu'ils secrĂštent et absorbent, alors que le pseudo “savoir-faire” du personnel politique et des hauts Administrateurs “lĂ©giondhonneurisĂ©s” qui ont trustĂ© les postes de commandement, se rĂ©sume Ă  dire et faire n'importe quoi pour faire croire que ’'ce qui a dĂ©passĂ© toutes les limites d'Ă©chec raisonnables’’ fonctionne encore. Mais ils n'ont pas Ă©tĂ© programmĂ©s pour dĂ©truire ce qui a fait d'eux ce ils sont
  Tout au contraire, hier, un ‘’Teet’’ fuitĂ© de Christine Lagarde menaçait l'humanitĂ© d'un monde “sans cash” oĂč toute transaction supĂ©rieure Ă  300 € (vous avez bien lu!) serait soiumise Ă  approbation par un algorithme. C'est le “systĂšme complexe absolu’’ qui dĂ©truira
 absolument tout.
C'est donc ailleurs que se trouve la solution, et il y a urgence, car nos technocrates sont devenus fous
  Faut-il espĂ©rer l'Ă©mergence prochaine d'un ’'paradigme” nouveau ? Mais cela impliquerait la disparition prĂ©alable de celui qui nous a si bien rĂ©ussi  jusqu'Ă  ce que le tsunami technocratico-administratif ne ravage notre merveilleuse civilisation (dont il ne reste que les monuments superbes qu'elle avait Ă©rigĂ©s et que l'Ăšre “StrassocĂšne” –l'Ăąge de l’Administration, concept que je viens d'inventer– s'est tous appropriĂ©s avant de les laisser tomber en ruine). 
ProblĂšme : pas une seule de nos tristes “LumiĂšres” Ă©teintes n'essaye d'imaginer Ă  quoi un tel OVNI pourrait ressembler
 d'oĂč il pourrait venir, et vers quoi il pourrait nous diriger. Et puis
 non seulement un “changement de paradigme” est trĂšs rare, mais ceux dont l'Histoire a conservĂ© le souvenir ont toujours commencĂ© par des ocĂ©ans de sang avant de se conclure, des annĂ©es plus tard, par tout autre chose que ce qui Ă©tait attendu espĂ©rĂ© ou redouté (le prototype Ă©tant notre RĂ©volution française qui ne s'est stabilisĂ©e qu'avec le Premier Empire
 ayant, comme toutes les rĂ©volutions, perdu la totalitĂ© de ses rĂȘves, bons ou mauvais, en chemin
 ).
S'il faut conclure, on peut dire que en dehors des secteurs traditionnels, dits “rĂ©galiens”, oĂč elle a toute se place, notre Fonction publique, qui ne produit que des normes, des rĂšglements, des contrĂŽles et des interdits, coĂ»te bien plus qu'elle ne rapporte et complique tout (le concept d’usine Ă  gaz est un de ses “succĂšs Ă  fuir.”..). A cause d'elle, notre Etat boursouflĂ© est devenu un poids insupportable pour les vraies “forces vives”, qui produisent, fabriquent, crĂ©ent, innovent, progressent, vivent
 et Ă©migrent tant elles n'en peuvent plus des contraintes qu'il leur impose !
Seul ennui, et il est de taille : le monde ayant Ă©tĂ© contaminĂ© par la gangrĂšne d idĂ©ologies qui ont comme seul point commun d'ĂȘtre mortelles pour l'HumanitĂ©, plus personne n’ imagine un endroit sur Terre oĂč le mot “bonheur” a encore un sens
  DĂ©cidĂ©ment, il n'y a pas grand chose Ă  conserver de la  ’'sur-administration’’, cette pandĂ©mie qui a inventĂ© un monde Ă  son image : ratĂ©, invivable, moche, anthropophage donc mortifĂšre et, en plus, pas sympathique pour trois sous !
H-Cl.
PS. – Quitte Ă  ĂȘtre un peu longuet, je ne rĂ©siste pas Ă  ajouter la petite histoire qui suit, que je viens de recevoir Ă  l’instant d’un Ami-lecteur mis en appĂ©tit par mes Ă©ditos de ces 48 derniĂšres heures. J’espĂšre qu’elle vous plaira autant qu’à moi
 
Le roi va tranquillement Ă  la pĂȘche car son devin lui a bien dit : ‘’Pas de pluie prĂ©vue aujourd’hui, Sire’’’’..  Sur le chemin, il rencontre un paysan montĂ© sur son Ăąne qui, en voyant le roi, dit : ‘’Sire, mieux vaudrait que vous rebroussiez chemin car il va beaucoup pleuvoir dans peu de temps !’‘.  Bien sĂ»r, le roi continue, en pensant : ‘’Comment ce gueux peut-il mieux prĂ©voir le temps que mon devin diplĂŽmĂ© et grassement payĂ©, qui m'a dit le contraire. Poursuivons
“ . Mais voilĂ  que la pluie se met Ă  tomber, Ă  torrents.  Le roi rentre trempĂ©, et, furieux, il congĂ©die illico son devin, puis il convoque le paysan lui offrant le poste vacant
 Mais le paysan refuse :’’Sire, je ne suis pas de ceux qui comprennent quelque chose Ă  la mĂ©tĂ©o et au climat, mais je sais que si les oreilles de mon Ăąne sont baissĂ©es, cela signifie qu'il va pleuvoir
 !’‘.  Et le roi embaucha l'Ăąne
Et c'est ainsi que commença en France la coutume de recruter des Ăąnes pour les postes de conseillers les mieux payĂ©s. Puis on crĂ©a une Ă©cole, l'ENA (l'École Nationale des Ânes). Et depuis, les français Ă©conomisent, pour payer l'entretien de ce troupeau

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nnjzz · 2 months ago
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DAS SYTHETISCHE MISCHGEWEBE + TONGUE DEPRESSOR + LE POTENTIEL + NCR
Le Non_Jazz SAMEDI LE 07.12 OLYMPIC CAFÉ 20 rue LĂ©on  75018 M° ChĂąteau Rouge
20:00 portes
20:45 ACTION!
P.A.F. 6€ DAS SYNTHETISCHE MISCHGEWEBE de " LĂ©gende vivante " de l'avant-underground, prĂ©- et post-industriel, ce projet de " tissu synthĂ©tique mixte " fondĂ© Ă  l'orĂ©e des annĂ©es 80 Ă  Berlin - par le tandem d'artistes-plasticiens Isabelle Chemin et Guido HĂŒbner - est progressivement devenu, depuis de nombreuses annĂ©es dĂ©jĂ , le vĂ©hicule solo des idĂ©es / obsessions sonores de ce dernier, spĂ©cialisĂ© dans la conception et la fabrication d'environnements  / dispositifs sonores entremĂȘlant associant l'acoustique ( lĂ©gĂšrement amplifiĂ© ou pas nĂ©cessairement ) Ă  l'Ă©lectronique, bricolĂ©s de bric et de broc et pourtant " organiques ".
AprÚs la publication du premier LP sur le label d'Esplendor Geometrico, suivie par un nombre incalculable de sorties ( cassettes, CD, vinyls ) sur un nombre incalculable de labels, DSM a traversé plusieurs phases, avatars et configurations, au gré de ses déménagements successifs ( Berlin - Barcelone -Bordeaux - Caen ) et des nouvelles rencontres et collaborations ( avec vidéastes, plasticiens, acteurs, musiciens, non-musiciens... dont Frans de Waard, Ios Smolders, Artificial Memory Trace, The Oval Language, ERG, MSBR, Toy Bizarre, Roel Melkoop, Ralf Wehowsky, Anla Courtis, Thierry Madiot, Now Cut, Radu Malfatti, Vestige Vertical, Tore Honore Boe, TBC, The New Blockaders... entre autres... ).
Guido HĂŒbner, seul Ă©lĂ©ment immuable ( le " leader " ) du projet au grĂ© de ces incarnations, fabrique -  parfois mĂȘme in situ - des assemblages, souvent un brin encombrants ! d’objets hĂ©tĂ©roclites, dĂ©tournĂ©s et placĂ©s dans des perspectives visuelles ou sonores dĂ©calĂ©es, utilisant des sons produits de façon Ă©lectronique et / ou mĂ©canique, pour crĂ©er une scĂ©nographie et un univers Ă  part.
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TONGUE DEPRESSOR us Duo ( que Le N_J reçut l'année derniÚre dans une formule contrebasse + cornemuse ) composé de Zach Rowden et Henry Birdsey, tous les deux multi-instrumentistes, compositeurs-improvisateurs.
Ils Ă©crivent, improvisent et interprĂštent de la musique basĂ©e sur des drones - impliquant gĂ©nĂ©ralement des accords microtonaux et des fragments rĂ©arrangĂ©s/ rĂ©-accordĂ©s de musique d'Ă©glise amĂ©ricaine.- avec violons, pedal steel, lap steel,contrebasse, orgue, cloches, cornemuse, parfois mĂȘme une guitare électrique ( ! ) , selon le lieu, le contexte, l'inspiration.
Collaborations diverses et rĂ©guliĂšres avec d'autres musicien.ne.s versĂ©(e)s dans le mĂȘme genre de recherche et hantise sonores ( Leila Bordreuil, Max Eilbacher, Paul Flaherty, Austin Larkin, Weston Olencki,Jakob Battick, John McCowen... ).
"empyrean chimes and subterranean drones from out-musick duo Tongue Depressor -- an in-depth exploration of tuned percussion and just intoned drone that comes highly recommended if you're into the work of Tony Conrad, C.C. Hennix, John Cage, Philip Corner and Michael Ranta -- or if you're into church bells, gamelan, or Popol Vuh's earliest meditations. Floored." --Boomkat
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LE POTENTIEL fr orlĂ©ans Paul Laurent, le virtuose du magnĂ©to historique Nagra et de la bande magnĂ©tique ( en boucle ), maĂźtre Ăšs objets amplifiĂ©s ( que nous vĂźmes et reçûmes avec / dedans le duo / trio tragicomique SUICIDE MOTORHEAD - mais qui officie dans d'autres projets aussi ! )  et Axel Gaudron ( au " piano Roland " + effets personnels ). Ensemble, ils ( se ) livrent une joute sonore des plus dĂ©capantes, oĂč leurs destins se jouent, s'entremĂȘlent, s'Ă©vitent, entrent en collision, s'enlacent, s'Ă©pousent pour mieux se repousser, s'abjurer mutuellement, dans un processus de constante composition - ou dĂ©composition in situ, en direct - oĂč ils se jaugent et se stimulent mutuellement, Ă  coup de moult aspĂ©ritĂ©s, voire des silences gĂȘnĂ©s, dans un duo duel chaloupant, tantĂŽt donc en affrontement vĂ©nĂšre, tantĂŽt en simulacre d'une parfaite idylle / osmose - mais ĂŽ combien Ă©phĂ©mĂšre. 
NCR fr Trio formé par Stéphanie Briand & Philippe Desclais aka Now Cut - duo d'artisans du bruit et de " bouinage sonore ", fabriquant une bonne partie de leur instrumentarium comme leur propre " lutherie sauvage ", électronique et / ou autre ( instruments à vent chelous - aquajlong, zdong, jlong 
& co), responsables aussi de l'excellent label VIA CAVA ) s'associant occasionnellement dont cette fois-ci avec Ruelgo ( " Thedwarf " ), co-fondateur des mythiques Le Syndicat ( groupe + label ), entitĂ© prĂ©- / post-industrielle " bruitiste " formĂ©e elle aussi, tout comme DSM, au tout dĂ©but des annĂ©es 80s." NCR distille une musique organique et mĂ©tallique mĂȘlant objets, feed-back et Ă©lectronique. NCR dĂ©ploie une atmosphĂšre calme et inquiĂ©tante, post industrielle, dont les plages sourdes et Ă©tirĂ©es sont hachĂ©es de scratchs et percĂ©es de stridences, parfois d’appels
 Qu’en est-il, puisque tout le monde deviendra fou ? "
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Fly - Jo L'Indien
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plumeatypique · 10 months ago
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POLLUTION NUMÉRIQUE ET RÉSILIENCE
En tant que membres de l'humanité, rien de moins, sommes-nous désavantagés ou avantagés par l'omniprésence du numérique dans nos vies?
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Lutter contre l'hydre de Lerne, ou le dompter?
Depuis que le numérique est entré dans les chaumiÚres, rien ne va plus pour certains et tout va mieux pour d'autres. En réalité, le problÚme n'est pas le numérique en soi, c'est plutÎt notre utilisation à outrance de tout ce qui se connecte.
DĂ©savantages du numĂ©rique. À bas le monstre!
La pollution numérique invisible
La circulation des informations, qui nécessitent une connexion à Internet, tend à augmenter, sans surprise, surtout depuis le début de 2020. Notre utilisation croissante d'Internet entraine une hausse des besoins en énergies fossiles pour alimenter les centres de données qui assurent cette circulation. L'utilisation des réseaux sociaux, les téléchargements de vidéos, les visioconférences, les recherches sur le Web, les achats en ligne, etc., font partie de notre quotidien. Nous consommons beaucoup d'énergie sans vraiment y penser.
La pollution numérique visible
Notre équipement connecté est bien réel et concret. Il se compose d'objets dont la fabrication implique l'extraction de ressources naturelles en quantité industrielle. Cette premiÚre étape de l'industrie du numérique provoque l'érosion de la biodiversité. Ensuite, le transport maritime, terrestre et aérien requiert du carburant polluant pour acheminer la matiÚre premiÚre et le résultat de sa transformation. Enfin, l'obsolescence programmée mÚne notre équipement numérique au dépotoir, et le sol s'y trouve contaminé par les produits chimiques et les matériaux non biodégradables qui le composent.
Polluant, le numérique? Incontestablement, mais...
Marché du travail
GrĂące au numĂ©rique, nous pouvons dĂ©sormais occuper un emploi sans avoir Ă  nous dĂ©placer. Nous Ă©conomisons donc en n'achetant pas de voiture, ce qui diminue la quantitĂ© d'essence dissipĂ©e dans l'air. De plus, le tĂ©lĂ©travail nous permet de conserver nos vĂȘtements plus longtemps, et de ne pas nous sentir obligĂ©(e)s de suivre la mode. Il en rĂ©sulte une moins grande consommation de vĂȘtements, ce qui est Ă©conomique et moins polluant. Dans un article publiĂ© en ligne de L' ActualitĂ©, nous pouvons lire que « La moitiĂ© des vĂȘtements sont jetĂ©s aprĂšs un an, selon Greenpeace. Et les deux tiers de ceux-ci finissent au dĂ©potoir plutĂŽt que dans les boĂźtes de dons. Selon la fondation Ellen MacArthur, 2 625 kilos de vĂȘtements sont jetĂ©s ou brĂ»lĂ©s chaque seconde ». Le numĂ©rique a aussi ses bons cĂŽtĂ©s.
Divertissement
Comment ne pas ĂȘtre emballĂ©(e)s par la possibilitĂ© d'Ă©couter la musique des quatre coins du monde, en quelques clics seulement? Et que dire de la chance de pouvoir suivre de trĂšs nombreuses sĂ©ries en ligne? C'est gĂ©nial! Au siĂšcle dernier, nous devions nous dĂ©placer pour ĂȘtre en contact avec l'art. Les personnes qui ne peuvent pas sortir ont maintenant le choix d'un plus grand Ă©ventail de moyens de se divertir grĂące Ă  Internet.
Ne pas jeter l'hydre avec l'eau du bain
Soyons réalistes. Le numérique est là pour de bon. Il est inutile d'aller nous cacher au fond des bois pour fuir notre époque. Il suffira d'un coup d'oeil vers le ciel étoilé pour apercevoir des satellites. Au lieu de résister au progrÚs, apprenons à réduire notre consommation d'énergie à l'essentiel, réparons le matériel numérique brisé au lieu de les remplacer, et applaudissons le projet de loi 29.
Bibliographie
https://www.hydroquebec.com/a/decarboner.html
https://www.greenpeace.fr/la-pollution-numerique/
https://lactualite.com/societe/quest-ce-qui-cloche-dans-nos-vetements/
https://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-29-43-1.html?appelant=MC
Image : https://unsplash.com/fr/photos/people-sitting-down-near-table-with-assorted-laptop-computers-SYTO3xs06fU
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pdj-france · 1 year ago
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TOKYO (AP) – Nagasaki a cĂ©lĂ©brĂ© mercredi le 78e anniversaire du bombardement atomique amĂ©ricain de la ville avec le maire exhortant les puissances mondiales Ă  abolir les armes nuclĂ©aires, disant que la dissuasion nuclĂ©aire augmente aussi les risques de guerre nuclĂ©aire. Shiro Suzuki a fait cette remarque aprĂšs que les puissances industrielles du Groupe des Sept ont adoptĂ© un document sĂ©parĂ© sur le dĂ©sarmement nuclĂ©aire en mai qui appelait Ă  l'utilisation des armes nuclĂ©aires comme moyen de dissuasion. "Il est dĂ©sormais temps de faire preuve de courage et de prendre la dĂ©cision de se libĂ©rer de la dĂ©pendance Ă  la dissuasion nuclĂ©aire", a annoncĂ© mercredi le maire de Nagasaki, Shiro Suzuki, dans sa dĂ©claration de paix. "Tant que les États dĂ©pendront de la dissuasion nuclĂ©aire, nous ne pourrons pas rĂ©aliser un monde sans armes nuclĂ©aires." La menace nuclĂ©aire de la Russie a poussĂ© d'autres États nuclĂ©aires Ă  accĂ©lĂ©rer leur dĂ©pendance aux armes nuclĂ©aires ou Ă  renforcer leurs capacitĂ©s, augmentant encore le risque de guerre nuclĂ©aire, et la Russie n'est pas la seule Ă  reprĂ©senter le risque de dissuasion nuclĂ©aire, a annoncĂ© Suzuki. Les États-Unis ont larguĂ© la premiĂšre bombe atomique au monde sur Hiroshima le 6 aoĂ»t 1945, dĂ©truisant la ville et tuant 140 000 personnes. Une deuxiĂšme attaque trois jours plus tard sur Nagasaki a tuĂ© 70 000 personnes supplĂ©mentaires. Le Japon s'est rendu le 15 aoĂ»t, mettant fin Ă  la Seconde Guerre mondiale et Ă  prĂšs d'un demi-siĂšcle d'agression en Asie. REGARDER: Un survivant de Nagasaki visite la ville amĂ©ricaine qui a alimentĂ© la destruction de sa ville A 11h02, au moment oĂč la bombe a explosĂ© au-dessus de la ville du sud du Japon, les participants Ă  la cĂ©rĂ©monie ont observĂ© une minute de silence au son d'une cloche de la paix. Suzuki s'est dit prĂ©occupĂ© par le fait que la tragĂ©die soit oubliĂ©e au fil du temps et que les souvenirs s'estompent. Les survivants ont exprimĂ© leur frustration face Ă  la lenteur des progrĂšs du dĂ©sarmement, bien que la rĂ©alitĂ© des bombardements atomiques et leurs Ă©preuves ne sont pas encore largement partagĂ©es Ă  travers le monde. L'inquiĂ©tude survient aprĂšs une rĂ©action globale aux publications sur les rĂ©seaux sociaux a propos le blitz estival "Barbenheimer" des films "Barbie" et "Oppenheimer" qui a dĂ©clenchĂ© l'indignation au Japon. La combinaison de "Barbie" et d'une biographie de J. Robert Oppenheimer - qui a aidĂ© Ă  dĂ©velopper la bombe atomique - a dĂ©clenchĂ© des mĂšmes, y compris des nuages ​​​​de champignons. L'engouement a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme minimisant le bilan Ă©pouvantable des attentats de Nagasaki et d'Hiroshima. Suzuki, dont les parents Ă©taient des hibakusha, ou des survivants de l'attaque de Nagasaki, a annoncĂ© que connaĂźtre la rĂ©alitĂ© des bombardements atomiques est le point de dĂ©part pour parvenir Ă  un monde sans armes nuclĂ©aires. Il a annoncĂ© que les tĂ©moignages des survivants sont une vĂ©ritable dissuasion contre l'utilisation des armes nuclĂ©aires. Le Premier ministre Fumio Kishida, qui n'a pas assistĂ© au mĂ©morial en personne, a admis dans son message vidĂ©o que la voie vers un monde sans nuclĂ©aire s'Ă©tait durcie Ă  cause de la montĂ©e des tensions et des conflits, y compris le conflit de la Russie contre l'Ukraine. Une division plus profonde de la communautĂ© internationale pĂšse aussi sur le mouvement de dĂ©sarmement. Kishida, qui reprĂ©sente Hiroshima au parlement, a cherchĂ© Ă  mettre en valeur l'engagement du G7 en faveur du dĂ©sarmement nuclĂ©aire, mais a provoquĂ© la colĂšre des survivants pour avoir justifiĂ© la possession d'armes nuclĂ©aires Ă  des fins de dissuasion et pour avoir refusĂ© de signer le TraitĂ© sur l'interdiction des armes nuclĂ©aires. Suzuki a exigĂ© que le gouvernement de Kishida et les lĂ©gislateurs nationaux signent et ratifient rapidement le traitĂ© et assistent Ă  la prochaine rĂ©union en tant qu'observateur "pour montrer clairement la dĂ©termination du Japon Ă  abolir les armes nuclĂ©aires". En tant qu'alliĂ© de Washington, le Japon
est sous l'Ă©gide nuclĂ©aire amĂ©ricaine et cherche une protection plus forte bien que les alliĂ©s renforcent la coopĂ©ration en matiĂšre de sĂ©curitĂ© pour lutter contre les menaces de l'avancĂ©e nuclĂ©aire et des missiles de la Chine et de la CorĂ©e du Nord. Dans le cadre de sa nouvelle stratĂ©gie de sĂ©curitĂ© nationale, le gouvernement de Kishida fait pression pour un renforcement militaire axĂ© sur la capacitĂ© de frappe. En mars, 113 649 survivants, dont l'Ăąge moyen est de 85 ans, sont certifiĂ©s hibakusha et Ă©ligibles au soutien mĂ©dical du gouvernement, a rapportĂ© le ministĂšre de la SantĂ© et du Bien-ĂȘtre. Beaucoup d'autres, dont ceux connus comme victimes de la "pluie noire" tombĂ©e en dehors des zones initialement dĂ©signĂ©es, sont toujours sans soutien.
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barcelonaled-fr · 4 years ago
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cloche industrielle
Suspension industrielle
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Également appelĂ©es gamelles LED ou cloches LED, elles sont idĂ©ales pour Ă©clairer les grandes surfaces : entrepĂŽts, hangars, usines, ateliers, commerces et locaux qui requiĂšrent un Ă©clairage puissant et intense.
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nuit-pourpre · 4 years ago
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Lune & l’Autre [Nouvelle]
L’écran de fumĂ©e retombe. L’amertume sĂšche fait tousser la gorge de Lune. Elle franchit la barriĂšre qui sĂ©pare le boulevard de l’ancienne voie ferrĂ©e. Son souffle est court. Toutes les rues du cĂŽtĂ© du fleuve sont quadrillĂ©es. Il ne reste que la zone industrielle dĂ©saffectĂ©e.
RĂ©sidus d’éjaculat de fond de chiotte
 
Elle crache un filet de bave empoisonnĂ© par les gaz. Ses yeux sont noyĂ©s, mais elle s’oriente au bruit. Ou plutĂŽt au silence.
Les vagues bruissements des ronces et des feuilles l’attirent comme un maquis providentiel oĂč elle se cache. Elle dĂ©ambule, parmi les stries mĂ©talliques de la vieille gare de triage. Le ciel a toujours sa couleur verte.
L’émeute a commencĂ© tĂŽt, ce matin. Fut un temps oĂč on appelait encore ça une manif. Fut un temps aussi oĂč des gens, des vrais gens de la vraie vie, parlaient encore de “forces de l’ordre”.
À s’en souvenir, elle se sent absurdement vieille d’avoir connu ce temps-lĂ . C’était il y a moins d’un an.
Un coup de feu Ă©clate. Pas comme les autres. Un vrai. D’une arme de poing. Elle jette un Ɠil sur le terrain vague oĂč certain·es se sont dispersĂŠs et y surprend un corps, au milieu de l’espace vide, et les essaims en bleu foncĂ© qui avancent avec confiance. Sa gorge se noue. Elle fuit par le tunnel.
Et le ciel a toujours sa couleur verte. Personne n’a vraiment cherchĂ© aprĂšs ce phĂ©nomĂšne, dans le squat. La matinĂ©e Ă©tait chargĂ©e. Il y avait autre chose Ă  faire.
Une pluie tombe et les cheveux de Lune se chargent de lourdes gouttes qui Ă©voquent Ă  la fois l’essence et la rouille. Ce ne sont que les odeurs de la friche, rien de plus. Les pluies ne sont pas encore toxiques. Pas Ă  sa connaissance.
Le tunnel l’engloutit dans son calme monstrueux. Elle s’en indignerait presque, tant l’obscuritĂ© semble parfaitement indiffĂ©rente Ă  ce qui se passe dehors.
Ces ruines vivent leur plus paisible vie, un sanctuaire construit jadis par les mĂȘmes capitaux qui sont en train de littĂ©ralement tuer tout le monde dehors, en ce moment mĂȘme. Mais les rails sont toujours lĂ , fonctionnels, bien agencĂ©s. Et la galerie
 Pas une fissure, pas un seul bruit d’écoulement, une fraĂźcheur Ă  peine moite. Une puretĂ© d’air digne d’une forĂȘt de montagne. Un appartement avec ces conditions, ailleurs dans la ville, ça coĂ»te un joli loyer de social-traĂźtre.
Dans le noir un fracas retentit. Lune tressaille. Autour d’elle les tĂ©nĂšbres se font totales. On vient de refermer Ă  l’entrĂ©e du tunnel une trĂšs large porte mĂ©tallique qui rebondit encore sur ses tympans. Elle ne perçoit qu’un trĂšs subtil encadrement qui a la forme de l’arche sous laquelle elle vient de passer. Une peur sourde la saisit, irrĂ©elle, et elle repense au ciel vert comme Ă  un signe premier de sa folie, dont ce tunnel serait la confirmation. Elle pourrait en parier la vie de ses amours, toutes les vies : il n’y a pas de porte Ă  l’entrĂ©e de ce tunnel.
Elle panique, les bottes engoncĂ©es dans les cailloux sablonneux qui recouvrent les bois du rail. Elle se prĂ©cipite, en marche rapide, pour revenir Ă  l’entrĂ©e qu’elle a franchie il y a trente secondes Ă  peine. Dans l’ombre, sa main trouve la porte
 Une porte sans poignĂ©e ni loquet, lisse, bien oxydĂ©e, qui vrombit sous ses coups acharnĂ©s. Les larmes montent. La panique avec elles.
Elle se retourne. La lumiĂšre point de l’autre cĂŽtĂ© de ce tunnel qu’elle a tant de fois empruntĂ©, mais ce n’est pas une lumiĂšre blanche. Elle est verte. Verte comme le ciel d’aujourd’hui. Elle forme, non pas un encadrement bien net, comme d’habitude, mais deux points. Deux phares ? Elle Ă©carquille les yeux, sidĂ©rĂ©e, le dos suintant d’une sueur froide contre la tĂŽle qui ferme le tunnel. Et un carillon rĂ©sonne. Comme une petite cloche de tram, pas trĂšs forte, mais que l’écho et l’espace confinĂ© rendent assourdissante.
Y’a quelqu’un ?
Elle tremble et balbutie, les yeux s’accoutumant Ă  la pĂ©nombre. Le carillon reprend, une seconde fois, plus forte. Presque douloureuse Ă  l’oreille.
Elle s’approche, maĂźtrisant tant bien que mal les flots puissants d’adrĂ©naline qui parcourent ses tendons.
Il y a un tram, sur ces rails. Il est excessivement long. Une sorte de lumiĂšre phosphorescente, trĂšs tĂ©nue, en remplit l’intĂ©rieur, caressant les banquettes d’un tamis verdĂątre. Les portes sont ouvertes. L’engin se perd dans une infinitĂ© qui lui donne le tournis. Sa perspective sans fin s’allonge, dans l’obscuritĂ©.
Elle pose un Ɠil terrifiĂ© sur la cabine de tĂȘte, et le siĂšge, Ă  cĂŽtĂ© du bouton de la cloche. Il n’y a personne. Un automatisme dĂ©sespĂ©rĂ© la pousse sur le marchepied. La plateforme grince.
L’odeur dans le wagon a quelque chose de floral. Comme l’air paisible et Ă  peine poussiĂ©reux d’un columbarium entretenu.
Une figure maigre et terne bouge son ombre fatiguée derriÚre un carré de banquette, depuis un siÚge du fond.
Lune retient l’air dans ses poumons. Un frisson, comme un coup de matraque Ă©lectrique, l’immobilise au centre de l’allĂ©e.
La chose, surmontĂ©e d’un haut de forme Ă©lĂ©gant, Ă©tend sa carcasse indistincte pour dĂ©couvrir un cou et un visage pĂąles, une mĂąchoire osseuse et affĂ»tĂ©e qui, dans la pĂ©nombre, pourrait tout aussi bien ĂȘtre un grand nez, trĂšs effilĂ©. Des doigts griffus et aux mouvements terriblement fluides s’installent sur le dossier et la silhouette se lĂšve sans le moindre bruit.
Son pÚre le flic, merde, merde, merde
 articule-t-elle, le ventre noué.
Bonjour, Lune. Vous pouvez m’appeler l’Autre.
La voix est douce, caricaturalement virile. Elle reconnaĂźt la voix de ce comĂ©dien de doublage
 Celui qui est mort d’un cancer et dont elle a encore oubliĂ© le foutu nom.
Bonjour ? Je peux savoir ce que je fais lĂ  ?
Elle s’étonne de ses propres mots, prononcĂ©s avec la mĂȘme banalitĂ© provocante que les fois oĂč elle s’est retrouvĂ©e au comico.
Vous ĂȘtes morte, Lune.
Sa certitude flanche. La matinĂ©e repasse dans son esprit comme une sĂ©rie en accĂ©lĂ©rĂ©, avec dans le mĂȘme temps, certains extraits clĂ©s, au ralenti.
L’action commençait bien.
Les courses allaient de rue en rue, le rythme maintenu, mais les instants de répit de plus en plus courts.
Une intersection mal gĂ©rĂ©e, et la spontanĂ©itĂ© collective dĂ©sagrĂ©geant le bloc. Elle avait suivi cette meuf
 Cylie. CarrĂ©ment son type. Une bombe Ă  enthousiasme rĂ©volutionnaire et Ă  phĂ©romones qui lui faisait sous-Ă©valuer l’idĂ©e mĂȘme de discrĂ©tion et d’anonymat en guĂ©rilla urbaine. Rousse, en veste bordeaux et en jean bien clair, pas en noir comme tout le monde
 Grande, charismatique, sans masque ni lunettes de protection. Elle se revoit lui coller le train avec un air un peu amoureux pendant une bonne heure, avant de la suivre jusqu’à un parc, d’oĂč elles devaient allumer les fourgons avec un petit mortier cachĂ© Ă  proximitĂ©. SacrĂ©e idĂ©e de merde. Un flash. Un tir. Elle se souvient de son Ɠil comme d’un petit globe dispersĂ© vers l’intĂ©rieur de son crĂąne avec une douleur lancinante, et elle, voyant Cylie s’éloigner entre les buissons, qui frappe la premiĂšre silhouette venue Ă  tenter de l’agripper par la manche. Un coup lui est rendu. Elle se revoit perdre connaissance pour de bon avec une sale sensation de rouleau compresseur qui lui dĂ©chire la nuque. Elle se souvient, en vĂ©ritĂ©, que le ciel est devenu vert Ă  ce moment-lĂ .
Et elle n’a pas pu dire au revoir. À personne.
Les longues minutes passent, en compagnie de la crĂ©ature qui, silencieuse, se tient toujours devant elle, attendant qu’elle digĂšre la nouvelle. Elle se laisse tomber sur une banquette.
Je n’ai pas bu depuis ce matin.
DĂ©sirez-vous un verre d’eau ?
Je n’ai pas soif.
C’est un constat tout Ă  fait lucide et pertinent, pour lequel je vous fĂ©licite.
Ah
 Si ! Je me souviens. Vous faites la voix de Dr House, non ?
Le silence rĂŽde Ă  nouveau.
Il s’installe pour lui faire face. L’allĂ©e qui les sĂ©pare rayonne toujours trĂšs faiblement de ce halo mystique, qui ne semble pas avoir de source, comme si l’air lui-mĂȘme Ă©tait
 saturĂ© ? Peu importe le terme technique.
J’ai laissĂ© Lou, et Mael, et Saddos
 Les autres du squat, le collo, mon frĂšre, ma cousine, tout le monde. Tout le monde m’a perdue, aujourd’hui. À cause de moi.
Oui.
Donc vous ĂȘtes lĂ  pour autre chose que me rĂ©conforter ?
Vous n’avez pas besoin de rĂ©confort. Vous constaterez par vous-mĂȘme que vos Ă©motions ne sont plus que des coquilles vides qui portent le nom de ce qu’elles contenaient. Ces personnes que vous mentionnez, vous les aimiez, vous aviez peur pour elles, leur pensĂ©e vous arrachait un sourire tendre. Vous avez non seulement perdu tout cela, mais vous avez Ă©galement perdu la capacitĂ© Ă  ressentir le regret de l’avoir perdu. Vous ĂȘtes, en quelque sorte, un peu dĂ©cĂ©dĂ©e, Lune.
Cool. C’est quoi, l’au-delĂ , du coup ? On part sur une Ă©ternitĂ© dans un tram qui pue les visites de l’urne de ma grande tante quand j’avais huit ans ? Ou alors ça a Ă©tĂ© privatisĂ©, ça aussi ? Vous allez m’emmener dans une sorte de paradis nĂ©olib oĂč on passe le temps Ă  faire des bilans de compĂ©tence avec un coach le temps de trouver quelle prochaine rĂ©incarnation nous correspond le mieux ? Quelle angoisse
 J’étais qui, avant ? Je suis nĂ©e en
 oh mon dieu, il est mort la mĂȘme annĂ©e, ce con ! Je ne suis pas la rĂ©incarnation de Sarkozy, hein ?
La crĂ©ature la regarde. Enfin “regarde”, c’est vite dit. Ses arcades et ses pommettes sont si Ă©trangement saillantes qu’elle ne saurait dire si ces deux zones de tïżœïżœnĂšbres sous son chapeau en feutre abritent bel et bien des yeux, ou seulement deux trous bĂ©ants.
C’est Ă©trange, traĂźne sa voix profonde comme s’il rĂ©flĂ©chissait. Quand on traverse ce que vous venez de traverser, on garde toujours une Ă©motion, une seule, une signature personnelle qui reste. Quelque chose qu’on est capable de ressentir Ă  l’exception de tous les autres affects superflus pour un cadavre. On dĂ©couvre cette Ă©motion quand on prend conscience qu’on est de l’autre cĂŽtĂ©. Pour beaucoup c’est la peur, pour d’autres, la colĂšre, la mĂ©lancolie ou l’agitation. Pour vous, c’est la fiertĂ© piquĂ©e au vif dans sa puretĂ© immaculĂ©e. Vous ne deviez pas ĂȘtre une personne trĂšs bienfaisante pour votre entourage.
Pardon ? bondit-elle avec indignation.
Une irrĂ©sistible envie de fondre en larmes l’écrase de l’intĂ©rieur. Tout se disloque en elle. Le coup fatal sur sa nuque Ă©tait plus supportable. Elle plisse les yeux et bascule en avant, prenant sa tĂȘte entre ses mains.
Vous n’avez pas le droit de me dire des choses pareilles
 
C’est bien ce que je pensais, murmure le passager du tram. Ne vous en voulez pas d’ĂȘtre esclave de ce sentiment qui vous Ă©tait auparavant un lĂ©ger dĂ©sagrĂ©ment du quotidien. Le reste est parti. Cette Ă©motion va prendre toute la place laissĂ©e vacante. DĂ©sormais, ce n’est plus que ça, que vous ressentirez, Lune. La douleur de l’ego blessĂ©.
Je vais passer l’éternitĂ© comme ça ?
L’enjeu est que vous surmontiez cela. Que vous corrigiez ce qui vous faisait tant dĂ©faut de votre vivant, et qui vous hante autant que vous hanterez le cƓur de vos ĂȘtres pseudo-aimĂ©s

“Pseudo-aimĂ©s” ? Mais allez vous faire foutre en fait ! Je les aime vraiment !
C’est lĂ  ce que vous ressentirez quand vous aurez accompli votre purification. Et cette fois, vous le ressentirez pour de vrai. Vous mĂ©ritez le repos. Comme toute Ăąme de ce monde.
MĂȘme Sarkozy ?
J’ai grand peine Ă  le dire, mais
 oui. Oui, Lune. MĂȘme Sarkozy.
La vache
 
Comprenez-vous, Lune ? Il n’y a pas de bon au-delĂ . Pas de purgatoire. Il n’y a que les dĂ©mons qui vous empĂȘchaient de vivre pleinement, et que l’oubli, dĂ©sormais, vous autorise Ă  affronter.
C’est la dĂ©finition mĂȘme de l’enfer.
Il existe une alternative, poursuit l’Autre. Deux options s’offrent à vous.
Wow, attendez
 J’ai jamais Ă©tĂ© croyante mais avec toutes les possibilitĂ©s qu’on a explorĂ©es, toutes les merveilles et tous les supplices mythologiques que les religions ont inventĂ©es depuis des millĂ©naires, en fait, la mort, c’est juste un “Tu PrĂ©fĂšres” ? Allez-y, c’est un sacrĂ© jeu de merde mais si on a que ça Ă  faire
 
Vous allez ĂȘtre renvoyĂ©e dans le monde que vous connaissiez. Vous vivrez. Vous retrouverez toutes les balivernes sentimentales qui vous faisaient vous sentir humaine.
C’est touchant comme vous avez l’air de tenir Ă  moi. Vous Ă©claboussez de la bienveillance Ă  chacune de vos phrases, c’est immonde, y’en a partout ! Merci beaucoup !
L’Autre ignore son sarcasme et poursuit son exposĂ©, ouvrant sous ses yeux des paumes craquelĂ©es comme du papier qu’on aurait dĂ©froissĂ©, et dont la pĂąleur d’ivoire tranche l’obscuritĂ©. Il lĂšve ensuite un doigt, solennel, et annonce :
Vous ressentirez tout. Vous vivrez mĂȘme les Ă©motions des personnes auxquelles vous penserez, par procuration. Vous ne pourrez plus ignorer vos effets nĂ©fastes, et vous en ressortirez meilleure. Peut-ĂȘtre mĂȘme deviendrez-vous dĂ©cente.
C’est surĂ©valuĂ©, la dĂ©cence. Mais vous ĂȘtes sĂ©rieusement en train de me dire que je peux ressusciter ?
Vous pouvez
 n’ĂȘtre pas morte dans cette rue.
Un peu tard, camarade. J’ai bien senti le cou sur mes cervicales, au mieux je serai un lĂ©gume menottĂ© Ă  un lit d’hosto.
Je ne suis pas votre “camarade”.
Super. L’ange de la mort aussi est de droite
 
Non. Je suis apolitique.
C’est ce que je dis.
Et vous utilisez un terme effroyablement validiste. D’autant que vous vous trompez. Nous pouvons faire en sorte que cela ne soit jamais arrivĂ©. Nous pouvons plier le cours des Ă©vĂ©nements passĂ©s, raconter une autre histoire, revenir un peu en arriĂšre. Vous retrouverez les gens que vous vous souvenez avoir aimĂ©s.
Comment vous comptez faire ça ?
Lune, ma chùre
 Demanderiez-vous à l’oiseau comment il sait voler ?
Il est arquĂ©, penchĂ© vers l’avant comme un vieillard fatiguĂ©, mais un magnĂ©tisme malsain se dĂ©gage de sa carrure, comme s’il avait le poil hĂ©rissĂ©. Une aura se diffuse autour de lui, et Lune sent le mĂ©tal et les joints du tram, comme liĂ©s par l’évidence aux mouvements de son squelette, vibrer avec crispation. Comme si l’Autre tenait les rĂȘnes de la matiĂšre elle-mĂȘme. Comme si, d’un instant Ă  l’autre, sans un geste, sa volontĂ© seule Ă©tait capable de compacter le wagon comme une ruine de casse automobile. L’écraser, la disloquer, la dĂ©membrer. RĂ©duire l’espace Ă  nĂ©ant.
Comme si l’écoulement du temps Ă©tait sa respiration.
Au nom de quoi ? dĂ©glutit Lune en fixant l’entitĂ© avec bravade.
J’ai dĂ©cidĂ© de vous laisser une seconde chance. Si vous prĂ©fĂ©rez la mort Ă  la vie, vous serez laissĂ©e Ă  votre calvaire. L’ego blessĂ© pour seul affect. Jusqu’à ce que vous appreniez Ă  l’accueillir comme un vieil ami et Ă  l’accepter. Vous rejoindrez alors l’oubli. D’une façon ou d’une autre, vous trouverez la paix.
Et il lui tend sa palme griffue. Un sourire de courtoisie marque ses traits difformes, comme Ă  un bureaucrate Ă  16h30 passĂ©es, qui attend poliment qu’on veuille bien foutre le camp de son bureau pour finir sa journĂ©e.
C’est le problĂšme de ne ressentir que son orgueil
 soupire-t-elle. Si je choisis la mort, je fuis les consĂ©quences. Je peux continuer Ă  me foutre de celleux que je laisse. Mais je serai seule. Peut-on guĂ©rir un ego blessĂ©, et lui apprendre Ă  ne plus avoir mal, si on le prive de ce qui peut lui faire du bien ?
Elle attrape la main de l’Autre. Elle veut vivre, sceller sa dĂ©cision au plus vite. Il la regarde, presque surpris, un sourire grimaçant tordant la ligne minĂ©rale de son menton.
Vous ĂȘtes plus rusĂ©e que prĂ©vu.
C’est souvent ça.
Mais ce n’est pas une bonne nouvelle pour vous.
Le contact de la main est glacial. L’odeur des Ă©gouts saisit ses narines. Les atomes qui composent le tram, la pĂ©nombre et le tunnel sont peu Ă  peu aspirĂ©s par une sorte de vide, et sa conscience mĂȘme, avec une dĂ©sagrĂ©able sensation de se transformer en autre chose que soi, se dĂ©sagrĂšge. Elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© qu’il se paie d’un rire machiavĂ©lique. Mais seule la compassion transparaĂźt dans la voix de l’Autre.
Elle s’éveille en crachant un liquide rouge, qui lui brĂ»le l'Ɠsophage. Des courbatures la tĂ©tanisent dans chaque muscle de son corps allongĂ© sur l’herbe. Une civiĂšre repose sous elle, puant la transpiration. Et le ciel gris rĂ©apparaĂźt. Sous ses deux yeux nettoyĂ©s au sĂ©rum phy, se dresse l’encadrement rondelet et attendrissant d’un visage familier. Elle se souvient. Cylie a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e, jetĂ©e dans le fourgon. Ils Ă©taient dĂ©jĂ  dans le parc. Elle-mĂȘme a pris la fuite, trĂ©buchĂ© et percutĂ© un plot qui l’a assommĂ©e. Elle balbutie en prenant le visage qu’elle voit entre ses mains glacĂ©es.
Mael ? On est oĂč ? Tu vas bien ?
Sa voix rĂąpĂ©e lui rĂ©pond en tremblant. Au contact de ses joues mouillĂ©es, elle sent un flot d’angoisse la saisir, mĂȘlĂ©e d’un bonheur intense. Elle se voit Ă  travers les yeux de son amant·e. Elle ressent avec une folie Ă©mue son soulagement de se voir elle-mĂȘme revenue d’entre les morts. Mael pose une main sur son front.
On va bien, Lune. À part la grande gueule que t’as suivie bĂȘtement, tout le monde a pu fuir. On a rien pu faire pour elle.
Comment est-ce qu’iel fait, pour ne pas exploser en ressentant tout ça ?
Elle rĂ©prime le plus possible le tsunami de joie et de peur mĂȘlĂ©e qui envahit son cerveau contaminĂ©. Elle se relĂšve, Ă©carte ses mains de son visage et l’embrasse.
Je suis dĂ©solĂ©e, j’aurais dĂ» rester avec tout le monde. Je me suis jamais sentie aussi nulle.
Tu l’es, sourit Mael avec un rictus provocant. T’es super nulle. Mais t’es sympa quand mĂȘme, des fois.
La blessure revient, lancinante, sous les affects d’un·e autre qui s’entrechoquent en elle. Elle ressent son amour. Un amour relatif, qu’on sait accidentel et soumis Ă  l’entropie. Un amour Ă  dimension humaine, qui fait d’elle une personne tout juste agrĂ©able Ă  frĂ©quenter, comme pourraient l’ĂȘtre tant d’autres individus par ailleurs dĂ©testables. Une personne qui Ă©tait au bon endroit au bon moment pour quelqu’un qui en avait besoin.
Il lui fallait mourir pour prendre conscience de quelque chose que la plupart dĂ©couvrent Ă  l’adolescence.
Qu’on n’a rien d’exceptionnel.
Elle l’entend, maintenant. En sourdine. En hypothùse.
Le ricanement de l’Autre.
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lelouvrelenschezvous · 5 years ago
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L’Art dĂ©co et l’art de se parer  au temps de Jeanne Lanvin et Madeleine Vionnet. Par ÉlĂ©onore
Pour les plus de 16 ans. Temps de lecture estimé : 5 minutes
L’exposition temporaire « Soleils Noirs » met Ă  l’honneur la mode. Dans une section de l’exposition explorant le goĂ»t du noir dans la sociĂ©tĂ© occidentale, elle nous fait dĂ©couvrir les Ă©poques oĂč il est en vogue et ce qu’il nous raconte ainsi.
https://www.louvrelens.fr/exhibition/noir/
LANVIN Jeanne-Marie (1867 - 1946)  Robe Neptune Hiver 1926-1927 Satin de viscose noire, métal (boutons pressions) Musée de la mode de la ville de Paris
Cette robe « Neptune » crĂ©Ă©e par Jeanne Lanvin (1867 - 1946) Ă©tait parfaite pour aller danser sur un rythme endiablĂ©. Quelle modernitĂ© ! Contrairement aux habitudes des siĂšcles prĂ©cĂ©dents, on observe ici une silhouette longiligne due Ă  l’absence de corset. Autre audace, elle a raccourci. Les changements vestimentaires sont nombreux dans les annĂ©es 20 et 30 et intimement liĂ©s Ă  la joaillerie, c’est ce que je vous propose de dĂ©couvrir aujourd’hui.
L’Art dĂ©co apparaĂźt dans une pĂ©riode de transition, entre 1908 et 1912, et se prolonge aprĂšs la Seconde Guerre mondiale. Le dĂ©clin de l'Art dĂ©co est le moment de son plus grand triomphe : pendant l'Exposition internationale des Arts dĂ©coratifs et industriels modernes de Paris en 1925, Ă  laquelle participe la plupart des pays d'Europe.
Revenons un peu avant, en 1900, pendant la pĂ©riode Art nouveau : RenĂ© Lalique  (1860 - 1945) et Georges Fouquet (1862 - 1957), cĂ©lĂšbres joailliers, ont la brillante idĂ©e d’abandonner le diamant omniprĂ©sent et d’utiliser des pierres semi-prĂ©cieuses et divers matĂ©riaux comme la corne, l’ivoire, l’écaille de tortue, la nacre. Ils mettent Ă  l’honneur le laiton et le bronze au lieu de l’or. Tous ces matĂ©riaux n’étaient pas utilisĂ©s pour la crĂ©ation de bijoux avant eux. Quelle grande innovation ! Ainsi naĂźt la joaillerie moderne. En 1905, mĂȘme si les bijoux Art nouveau sont dĂ©modĂ©s, les joailliers continuent d’utiliser ces nouvelles matiĂšres y compris dans l’Art dĂ©co.
La mode et la joaillerie sont intimement liĂ©es. À cette Ă©poque, Paris est la capitale de la mode

Les années 20
En 1906, Paul Poiret (1879 - 1944) et Madeleine Vionnet (1876 - 1975) opĂšrent une rĂ©volution. Ils ont la bonne idĂ©e de libĂ©rer, dĂ©livrer le corps de la femme du corset. Ouf ! les filles, on peut enfin respirer ! Finies les longues sĂ©ances d’habillage afin de serrer, serrer, serrer et encore serrer le corset pour avoir une taille fine. Finis les Ă©vanouissements, les cĂŽtes cassĂ©es Ă  force de serrer. Paul Poiret redessine la silhouette fĂ©minine, sans corset, elle devient longue et droite. Pour accentuer cet effet, en 1917, il crĂ©e les robes taille basse. Puis elles raccourcissent et, en 1925, elles arrivent au-dessous du genou. On n’a jamais vu si court auparavant ! Le corps de la femme est dĂ©sormais longiligne et sans courbe. Les dĂ©colletĂ©s Ă  l’avant et dans le dos mais aussi les bijoux sobres accentuent la silhouette tube : longs colliers, sautoirs de perles rejetĂ©s dans le dos, chaĂźnes ornĂ©es de pendentifs descendant jusqu’au nombril et parfois jusqu’aux genoux.
Une autre tendance apparaĂźt car, pendant la PremiĂšre Guerre mondiale, un grand nombre de femmes travaillent en usine pour remplacer les hommes au front et portent des vĂȘtements fonctionnels. AprĂšs la guerre, elles souhaitent continuer Ă  porter ces vĂȘtements confortables qui les laissent libres de leurs mouvements. Les tailleurs privilĂ©gient donc les tissus souples comme la mousseline et les tissus synthĂ©tiques nouvellement mis au point (rayonne, etc.)
Ces tissus poussent les joailliers Ă  crĂ©er des bijoux Ă©galement plus lĂ©gers, montĂ©s sur platine. Les matiĂšres synthĂ©tiques sont aussi utilisĂ©es pour imiter les pierres prĂ©cieuses. Elles sont associĂ©es au strass qui remplace le diamant. C’est le dĂ©but des bijoux de fantaisie mais pas de pacotille. Chouette! Ils sont bon marchĂ©, tout le monde peut s’en offrir. Ils suivent la mode puisqu’il est possible d’en acheter plus souvent. Coco Chanel (Gabrielle Chasnel, dite “Coco Chanel”, 1883 - 1971) est la premiĂšre Ă  les introduire dans la haute couture. En 1925-1930, la bakĂ©lite se dĂ©veloppe, c’est le premier plastique Ă  base de polymĂšres. Elle se substitue d’abord aux autres matiĂšres telles que la corne ou l’ambre, puis est utilisĂ©e pour elle-mĂȘme.
Question cheveux, dĂšs 1920, grande nouveauté : la coupe « garçonne », la premiĂšre coupe de cheveux courts pour femme. Autre symbole de l’Art dĂ©co et de la femme moderne, le chapeau cloche n’est pas portĂ© sur des cheveux relevĂ©s en chignon. Et pour la fĂȘte, on sort son aigrette, une sorte de bandeau posĂ© sur le front, parfois ornĂ© de longues plumes. Puisque les pendants d’oreilles ne sont plus cachĂ©s par les cheveux et les chapeaux aux larges bords, en 1929, les bijoutiers les allongent jusqu’aux Ă©paules. On ne peut pas les rater ! Les diadĂšmes et les peignes Ă  cheveux nĂ©cessaires afin de tenir bien en place les anciens chignons compliquĂ©s sont dĂ©laissĂ©s.
Certaines robes n’ayant plus de manches, les bracelets sont portĂ©s, comme leur nom l’indique, sur le bras : au-dessus du coude, par 4 Ă  5 en mĂȘme temps. Ils sont Ă©troits, plats, souples. Pour la ponctualitĂ©, le bracelet montre est en vogue, et en soirĂ©e ce sont les montres « chĂątelaine » suspendues Ă  des chaĂźnes garnies de perles, gemmes, diamants, jade ou Ă©maux.
Les bijoux Art dĂ©co s’inspirent de la peinture d’avant-garde du dĂ©but du 20e siĂšcle : cubisme, futurisme, compositions abstraites du peintre Piet Mondrian  (Pieter Cornelis Mondriaan, dit Piet Mondrian,1872 - 1944) pour les motifs gĂ©omĂ©triques. Pour les dĂ©cors vĂ©gĂ©taux, on reconnaĂźt l’influence des ballets russes, des costumes colorĂ©s du peintre et costumier LĂ©on Bakst ( Lev SamoĂŻlovitch Rosenberg, dit LĂ©on Bakst ,1866 - 1924), des couleurs des peintres fauves. Les motifs courants dans la mode et la joaillerie sont des formes gĂ©omĂ©triques simples superposĂ©es. AprĂšs la dĂ©couverte de la tombe du pharaon Toutankhamon, en 1922, s’y ajoutent les lotus, les scarabĂ©es, les sphinx. Font Ă©galement leur apparition les masques et statuettes africaines, les pagodes et dragons chinois, ou encore les aigrettes reprises des Perses.
Les accessoires indispensables sont les Ă©ventails. Ils mettent en valeur les mains baguĂ©es. Mais aussi les Ă©tuis Ă  cigarettes, porte-cigarettes, Ă©tuis de rouge Ă  lĂšvres, poudriers, miroirs
 Le « vanity case », inspirĂ© de l’« inro » japonais (sorte de mallette en laque Ă  diffĂ©rents tiroirs) fait son apparition.
Les hommes ne sont pas oubliés, les tendances sont les montres aux cadrans géométriques sur platine, les chaines de montre dorées, les boutons de manchettes aux couleurs sobres : or, platine, onyx, diamant.
Les années 30
À partir de 1929, les dĂ©cors sont plus nets et massifs, les lignes plus simples. Les couleurs vives sont abandonnĂ©es au profit des couleurs sourdes ; les contrastes noir-blanc du diamant et de l‘onyx et l’alliance diamant-saphir sont frĂ©quents. Le diamant taillĂ© en baguette est courant. Les boucles d’oreilles sont plus longues, les bracelets plus imposants.
AprĂšs le krach de 1929, les bijoux Ă  usage multiple sont trĂšs rĂ©pandus : l’entreprise de joaillerie Tiffany & Co crĂ©e un collier qui se transforme en un pendentif et 2 bracelets, ou en un pendentif et un collier de chien. Van Cleef & Arpels transforme le vanity case en minaudiĂšre (boĂźte destinĂ©e Ă  ĂȘtre portĂ©e Ă  la main), le chic du chic est de l’assortir aux autres accessoires. Vers 1930, face Ă  de nombreux freins Ă  la production, des joailliers ferment ou rĂ©duisent leur personnel, ils ne crĂ©ent plus mais Ă©ditent d’anciens modĂšles. 
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actusfrances · 5 years ago
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Coronavirus : une solution radicale contre le réchauffement climatique ?
La NASA a publié des cartes montrant une baisse importante du dioxyde d'azote, un gaz à effet de serre, dans les zones chinoises les plus touchées par le virus Covid-19.
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Le coronavirus, antidote au rĂ©chauffement climatique ? Si l'on ne saurait se rĂ©jouir de la progression de l'Ă©pidĂ©mie, celle-ci a du moins le mĂ©rite de mettre en Ă©vidence l'impact des activitĂ©s humaines sur l'environnement. Selon des cartes publiĂ©es le 29 fĂ©vrier par la NASA, le virus aurait en effet engendrĂ© en Chine une diminution significative des taux de dioxyde d’azote (NO2). Ce un gaz Ă  effet de serre est Ă©mis notamment par les vĂ©hicules et les activitĂ©s industrielles.      
À lire aussi : Coronavirus : une intelligence artificielle avait prĂ©dit l’épidĂ©mie avant tout le monde
Deux fois moins de dioxyde d’azote dans l'air
Les mesures ont Ă©tĂ© prises conjointement par le satellite Sentinel-5 de l’Agence spatiale europĂ©enne et le satellite Aura de l’agence amĂ©ricaine, sur deux pĂ©riodes, du 1er au 10 janvier 2020, puis du 10 au 25 fĂ©vrier 2020. Cette deuxiĂšme pĂ©riode correspond Ă  la mise en place de mesures de restrictions quant aux transports et aux activitĂ©s des entreprises en Chine, ainsi qu’aux mises en quarantaine.       
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RĂ©sultats, la chute des taux de dioxyde d’azote est notable, notamment dans le nord de la Chine, autour de PĂ©kin. Ils Ă©taient supĂ©rieurs Ă  500 ”mol/m2 en janvier, puis infĂ©rieurs Ă  125 ”mol/m2 en fĂ©vrier. La baisse est aussi importante dans d’autres grandes villes, comme Shanghai, Chongqping, Hong Kong ou encore Chengdu.   Les chercheurs ont Ă©galement comparĂ© la qualitĂ© de l’air Ă  Wuhan, Ă©picentre du virus, qui a Ă©tĂ© la premiĂšre a ĂȘtre mise sous cloche, le 23 janvier, par rapport aux mesures prises aux mĂȘmes dates en 2019. Ici aussi, la diffĂ©rence est considĂ©rable.  
"C'est la premiÚre fois que je constate une baisse aussi spectaculaire sur une zone aussi vaste pour un événement spécifique", a déclaré dans un communiqué Fei Liu, scientifique spécialiste de la qualité de l'air au Goddard Space Flight Center de la Nasa.
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S’il est habituel qu’il y ait une diminution de la pollution en Chine au moment du Nouvel An, qui a eu lieu ce 25 janvier en 2020, les chercheurs relĂšvent en moyenne des taux 30 % infĂ©rieurs Ă  la normale.   Le site spĂ©cialisĂ© CarbonBrief avait dĂ©jĂ  publiĂ© des chiffres allant dans ce sens, en mesurant une baisse de 25 % de taux de CO2 durant les deux premiĂšres semaines de fĂ©vrier, en partie "grĂące" au coronavirus Covid-19.
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fallenrazziel · 6 years ago
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Les Chroniques de Livaï #394 ~ LES DESSINS RACONTENT DES HISTOIRES (octobre 845) Sofie Maja
L'histoire de LivaĂŻ comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité  Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de rĂ©pondre Ă  ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensĂ©es, des Ă©preuves qu'il a traversĂ©es, ainsi que celles des personnes qui l'ont cĂŽtoyĂ©, aimĂ©, admirĂ©, craint, dĂ©testĂ©. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertĂ©s seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront Ă©galement de mon invention. LivaĂŻ, un homme que l'on croit invincible et inatteignable
 Est-ce bien sĂ»r ? Jugez-en par vous-mĂȘmes.
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Y a quelqu'un qui peut me renseigner ici ?! Eh oh ! Je connais que les entrepĂŽts, l'administratif, c'est pas mon fort ! Je suis Sofie Maja, il paraĂźt que je suis attendue !
AussitÎt, deux garçons en uniforme se lÚvent des bancs sur lesquels ils étaient assis, visiblement dans l'attente de quelque chose. Au moins, j'ai droit à un comité d'accueil. Avec tous ces militaires occupés à décharger la livraison, je me sentais un peu abandonnée.
Ils se grattent la tĂȘte, l'air gĂȘnĂ©, et m'informent que leur patronne, Hanji Zoe, est absente pour le moment er reviendra en soirĂ©e. Je vois. C'est pas de chance. J'ai un peu de temps Ă  tuer, mais... quelle heure est-il ? Quatre heures de l'aprĂšs-midi si j'en juge par les coups de cloches de tout Ă  l'heure. Mmh, ok, je vais attendre si vous me tenez compagnie. Mon pĂšre m'a dit que ça avait l'air important, un truc pour capturer les titans, le gros dĂ©lire, quoi ! Si cette Hanji est capable d'imaginer un projet aussi fou, elle doit ĂȘtre intĂ©ressante !
Le brun m'informe qu'il va chercher l'adjoint de son chef d'escouade afin que je puisse examiner les croquis. Bonne idĂ©e ! Le blond me propose du thĂ© mais je refuse poliment ; mon pĂšre m'en impose Ă  chaque fois que je passe Ă  la citĂ© industrielle, et je peux vraiment plus le supporter. Vous avez pas du cafĂ© plutĂŽt ? Ou mĂȘme un bon vieux tord-boyaux ? Y'en a toujours dans les rĂ©giments !
Le blond - Abel, c'est son nom - m'emmĂšne vers le mess oĂč il ne traĂźne pas grand monde Ă  cette heure. Une fille nous y rejoint bientĂŽt et j'ai alors une meilleure idĂ©e de la fine Ă©quipe qu'ils forment. J'ai jamais frĂ©quentĂ© d'explorateurs mĂȘme s'ils ont la rĂ©putation d'ĂȘtre des originaux un peu tarĂ©s, ce qui me plaĂźt bien. Avant, leur QG se trouvait trĂšs loin d'ici, mais Ă  prĂ©sent, ils pullulent partout dans Trost.
A voir leur jeune Ăąge, on a du mal Ă  les considĂ©rer comme des hĂ©ros. Ceux-lĂ  sont peut-ĂȘtre des petits nouveaux. J'arrive pas Ă  voir sur leurs visages les traces des expĂ©ditions passĂ©es ; aucune cicatrice, rien, ils ont pas l'air de vĂ©tĂ©rans. Mais je peux me tromper.
La fille, Nifa, revient avec un petit vin clairet et remplit mon verre. Vous buvez pas ? Pas en service, rĂ©pond Abel. Bah, quel dommage, j'aime pas boire seule. Vous ĂȘtes pas si rigides quand mĂȘme ? Ou alors le major Erwin est bien plus sĂ©vĂšre que ce qu'on m'en a dit ! Et si vous me parliez de vous, pour passer le temps ?
Ils m'expliquent un peu en quoi consistent leurs journées : cours d'équitation, de vol, de théorie. Hanji Zoe leur inflige aussi pas mal d'excursions sur le Mur pour voir les titans. Mais c'est fascinant, j'aimerais bien m'y rendre ! Malheureusement, je ne viens que rarement à la périphérie du Royaume, je travaille surtout dans le Mur Sina, prÚs de Mitras. Ouais, mon truc, ce sont les pierres explosives gelées. C'est grùce à ça que vous avez du gaz, les gars !
Je ne suis pas peu fiÚre de mon effet. Ils me regardent avec des yeux ronds et je pige vite qu'ils voient pas de quoi je parle. On vous a pas appris ça, dans les brigades d'entraßnement ? Vous utilisez du matériel dont vous ne connaissez pas la provenance ? Ok, je viens à votre secours. Je vais vous expliquer quelques fondamentaux.
Les pierres explosives gelĂ©es ne sont pas vraiment des pierres, mais du gaz gelĂ© Ă  trĂšs basse tempĂ©rature. On en trouve dans un ancien volcan situĂ© presque au centre du Royaume. On sait pas trop comment ce phĂ©nomĂšne s'est formĂ© mais on a pas tardĂ© Ă  comprendre que ça pouvait ĂȘtre utile. On extraie des Ă©clats de ces carriĂšres volcaniques, et quand on les chauffe, ils explosent en dĂ©gageant un gaz trĂšs dense et puissant ! C'est chouette, non ? Le problĂšme, c'est le transport. Ils ont tendance Ă  se rĂ©chauffer trĂšs vite quand on les extraie, et alors lĂ , badam ! Je vous raconte pas le nombre de morts qu'il y a eu avant qu'on trouve un systĂšme efficace pour les transporter. Mais mĂȘme ainsi, c'Ă©tait toujours risquĂ© ; nos prĂ©dĂ©cesseurs ont utilisĂ© des tas de contenants et de conservateurs pour Ă©viter les explosions, mais il y'en avait toujours. En plus, ils voulaient en extraire en grande quantitĂ©, c'Ă©tait galĂšre.
Mais moi, je me suis dit : on a pas besoin d'en extraire autant. Une seule pierre de la taille de ma paume peut générer une quantité de gaz suffisante pour remplir une petite bonbonne, comme les vÎtres. Et il y en a encore beaucoup. Donc j'ai inventé un engin capable de conserver les pierres au frais, avec pour seul inconvénient de pas pouvoir en charger beaucoup. Mais ça reste rentable, car avant, avec les explosions intempestives, on perdait non seulement du matériel mais aussi de la main d'oeuvre. Avec mon systÚme, on extraie moins mais on retombe sur nos pieds niveau rendement. Je vous passe les détails techniques, mais...
Ils m'Ă©coutent avec attention et je comprends que ça les intĂ©resse tout ça. Donc je continue. Ces engins mobiles peuvent aussi ĂȘtre chauffĂ©s Ă  volontĂ© et grĂące Ă  un alliage renforcĂ©, les explosions gĂ©nĂ©rĂ©es Ă  l'intĂ©rieur ne peuvent pas les dĂ©truire. Ensuite, avec des tuyaux et des conduites, le gaz est directement acheminĂ© dans les grosses bonbonnes que vous connaissez et qui vous sont livrĂ©es rĂ©guliĂšrement. VoilĂ , vous avez un aperçu du processus, et de mon rĂŽle lĂ -dedans. Je dois veiller Ă  ce qu'on manipule les pierres avec prĂ©cautions pour Ă©viter les accidents, et aussi m'assurer qu'on traite bien mes bĂ©bĂ©s !
Nifa siffle d'admiration et me dit que sa chef est aussi une fanatique des machines. Elle ne les aime pas autant que les titans, mais son bureau est rempli de dessins d'engins tout à fait loufoques, comme des armes ou des véhicules. Je vois, elle doit avoir l'ùme d'une ingénieure ! J'ai hùte de la rencontrer ! Ce sont les gens comme nous qui font avancer l'humanité !
Le brun rĂ©apparaĂźt dans le mess accompagnĂ© d'un type plus ĂągĂ© mais Ă  l'air particuliĂšrement dĂ©bonnaire. Je me lĂšve pour lui serrer la main, il me sourit en s'excusant pour Hanji Zoe - pas de problĂšme, j'ai tuĂ© le temps en discutant avec vos gars - et dĂ©plie sur la table quelques croquis griffonnĂ©s par une main nerveuse. J'aime les crayonnĂ©s ; ils permettent de dĂ©terminer le caractĂšre et l'Ă©tat d'esprit de celui qui les produits. J'en dĂ©duis que Hanji Zoe est quelqu'un de curieux et d'enthousiaste, mais qui manque de confiance tout de mĂȘme si j'en crois les nombreux repentirs, traits gommĂ©s et repassĂ©s. AprĂšs il faut dire que son projet est tout Ă  fait inĂ©dit ; pas Ă©tonnant qu'elle ait des hĂ©sitations.
Cependant, il me suffit de les regarder mĂȘme de loin pour comprendre oĂč elle veut en venir. Mon esprit suit ses lignes comme par instinct et je dĂ©cĂšle presque instantanĂ©ment comment elle veut que ça marche.
Je suis en train d'expliquer des détails à Moblit depuis plusieurs minutes quand une véritable tornade entre dans le mess. Une personne assez grande s'appuie sur le cÎté de la porte en soufflant profondément, comme si elle avait piqué un sprint jusque ici. AussitÎt Moblit se porte vers elle et essaie de la soulager en lui tendant un verre de vin. Celui-ci est vidé d'un trait et j'aperçois alors un reflet de lumiÚre sur de larges verres de lunettes et une bouche concentrée et crispée juste en dessous.
C'est ma premiĂšre vision de Hanji Zoe. J'imaginais bien un truc de ce genre, haha ! Elle m'a tout l'air d'une tĂȘte ! A cĂŽtĂ© d'elle se tient un homme trĂšs grand aux cheveux blonds et je devine au collier qu'il porte que c'est le major Erwin Smith... Quelle classe, pas Ă©tonnant que papa le tienne en haute estime... Il me salue de la tĂȘte et s'Ă©clipse sans dire un mot.
Je laisse Hanji Zoe venir vers moi d'une dĂ©marche faussement assurĂ©e et quand elle se trouve Ă  portĂ©e de main, je lui propose de s'asseoir. Pas besoin d'en faire des tonnes, je suis pas le gĂ©nĂ©ralissime ! Elle rigole tout haut, me tape dans le dos et je sens tout de suite qu'on pourrait ĂȘtre de bonne amies.
J'attaque tout de suite dans le vif en tournant ses dessins devant mes yeux. Mmh, j'ai jetĂ© un oeil, c'est pas mal du tout. Je pige le principe : ce serait en gros le mĂȘme systĂšme que le propulseur de grappin du dispositif de manoeuvre, mais en plus balĂšze, non ? Elle hoche la tĂȘte frĂ©nĂ©tiquement et me demande si c'est faisable. Je vous dirais que tout est faisable, mais il faut voir avec quel matĂ©riau vous comptez travailler. Le mĂ©tal serait le plus solide, bien sĂ»r, mais aussi plus cher. Le bois peut ĂȘtre un bon compromis. Vous imaginez pas le nombre d'engins hyper costauds qu'on peut fabriquer en bois ! AprĂšs, je vous garantis pas que vous pourrez capturer des gros gabarits avec, mais le but, c'est d'en capturer, pas vrai ? Vous voulez les Ă©tudier ?
Elle rĂ©pond que les titans sont sa passion et si on ne les Ă©tudie pas, on ne pourra pas les combattre correctement. Bonne rĂ©ponse ! Il y a quelques anomalies dans vos croquis que je peux corriger, et... Dites, vous hĂ©bergez des civils pour la nuit ? Parce que je suis une vraie insomniaque, je peux travailler ça jusqu'au matin ! Elle dit avec empressement que le bataillon est le repaire de ceux qui n'aiment pas dormir et que l'hĂ©bergement devrait pas poser de problĂšme. Ok, parfait ! Franchement, votre projet me botte ! Imaginez, si une machine que j'ai contribuĂ© Ă  mettre au point nous permet d'apprendre des choses sur l'ennemi ! Je serais fiĂšre ! Il faudra fabriquer des prototypes dans un premier temps, et ça peut prendre des annĂ©es avant de trouver la bonne formule... mais je peux les produire dans des matĂ©riaux peu coĂ»teux pour tester le systĂšme... Je vous fais grĂące de la main d'oeuvre - autrement dit moi-mĂȘme -, mais je peux pas me priver d'une petite marge sur les matĂ©riaux, sinon papa va me tuer...
Hanji semble déjà aux anges. Le simple fait que je m'intéresse à son projet la satisfait. Laissez-moi deviner, on a du mal à vous accorder du crédit dans votre régiment ? Ca fait des jours et des jours que vous essayer d'imposer votre projet à votre supérieur, et il vous remballe parce qu'il a pas le temps ?
Vous inquiĂ©tez pas, je connais, j'ai le mĂȘme Ă  la maison ! Et il est loin d'ĂȘtre aussi fringant que votre major !
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partenaires-mav · 6 years ago
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Emission du 04/06/2019
Sophie Ferjani
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Les bijoux préférés de Sophie
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Numéro consommateurs : 0 825 001 001
 Tapis KRIS 200x290cm
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Chaise Cleva
Chaise Nom gris
Fauteuil lin beige Calixte
Banquette velours Dolce
Lampe Manoir
Matelas de sol
Galette de chaise
Guéridon Karis
Chaise kaki Baya
Console retro factory
Commode 3 tiroirs
Miroir soleil
Coussin cĂšdre, cot crink, lin, gris, ivoire, ethnic
Coussin Ă  pompons ivoire, amande
Linge de lit
Plaid
Jeté de lit
Coussin Ă©toile
Coussin girafe
Coussin nuage
Coussin lune
Tapis jute Ă  motif
Chevet
Miroir Ă  pompoms
Miroir cactus
Miroir corde
Lampe Ă  poser
Table d’appoint corde
Suspension corde
Tipi
Suspension nuage berceau
Porte manteau
Peluche dinosaure
Bougeoir noir
Chandelier blanc
Chandelier argent
BonbonniĂšres
Linge de toilette
Accessoires salle de bain
Banc en bambou
Panier Ă  linge
Tapis berbere
Lampadaire
Vases
Couverts
Paniers
Attrape rĂȘves
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Ensemble de salle de bain double vasque Ă  suspendre Doble https://www.castorama.fr/ensemble-de-salle-de-bains-double-vasque-a-suspendre-blanc-brillant-doble-120-cm/8056098180669_CAFR.prd
Robinets de salle de bain
Radiateur Ă©lectrique double coeur de chauffe Cisco https://www.castorama.fr/radiateur-electrique-double-coeur-de-chauffe-cisco-1500w/3663602689027_CAFR.prd
Boiserie Albane
Lambris sapin coloris galet https://www.castorama.fr/lambris-sapin-bds-galet-12x135-cm-vendu-a-la-botte/3450742213843_CAFR.prd
Moulures décoratives
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La collection VO ImaginĂ©e en Provence, la collection Version Originale se dĂ©cline en soins pour les mains et le corps enrichis en huile d’Olive bio et bougies Ă  la cire 100% d'origine vĂ©gĂ©tale. Un parti pris mĂȘlant technicitĂ© de formulation, plaisir des sens et esthĂ©tisme.
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BonbonniĂšres guimauves
Bonbonniùres cƓur
BonbonniÚres nougat  
Bonbonniùres cƓur cerise
Guimauve fourrée
Ourson en chocolat
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3 bombes grises
2 bombes blanc mat
2 bombes noir satin
2 bombes galet satin
2 bombes béton satin
2 bombes ardoise satin
2 bombes anisette satin
2 bombes Fjord satin
2 bombes kaki satin
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Chez Desenio, la décoration et le design sont nos passions ! Notre idée est simple : chacun doit avoir les moyens économiques d'accéder à un art mural tendance et beau. Depuis nos débuts en 2010, nous n'avons cessé de nous développer et sommes actuellement présents, grùce à Internet, dans 33 pays. Et nous continuons de conquérir de nouveaux marchés. Chez Desenio, vous trouverez une gamme d'affiches et d'accessoires (cadres, étagÚres à tableaux et pinces) parmi les plus vastes de Scandinavie. Notre offre est continuellement actualisée dans l'objectif de suivre les derniÚres tendances dans les domaines de la décoration et du design. Nous proposons des articles pour tous les styles de décoration et pour toutes les piÚces de la maison.
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CrĂ©Ă©e en 1970, Corep s’est fait rapidement reconnaĂźtre comme le spĂ©cialiste de l’abat-jour et de la lampe dĂ©corative.
 Suspension cylindre 15€
Suspension cylindre lin 69€
Lampadaire Vinci 175€
Applique Sawyer 39€
Suspension Sweden 150€
Suspension Archi 33€
Lampadaire Lincoln 119€
Applique Lincoln 37€
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CĂŽtĂ© Table apporte style et Ă©lĂ©gance Ă  la dĂ©coration d’intĂ©rieur en alliant la plus pure tradition charme Ă  des inspirations plus contemporaines. Lorsque la marque est crĂ©Ă©e en 1996 Ă  Bordeaux, elle sĂ©duit immĂ©diatement le public avec ses collections d’arts de la table exclusives. Elle propose, en plus aujourd’hui, un large Ă©ventail d’articles de maison : textiles, meubles, luminaires, objets de dĂ©coration, et accessoires pour la chambre et la salle de bain.
 Coussin turquoise, mastic, indigo, jeté en lin, pot blanc, pot mastic, pichet blanc, saladier, presse agrume, passoire, bol, mug, tasse, beurrier, plat sur pied, assiette creuse, plat, coupelle, pot, carafe, 3 cloches; verres à eau, carafe, bocal, coupe sur pied, torchon
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ThéiÚre, lampe renard, panier, miroir, tableau, guirlande
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209-211 Rue de Bercy, 75012 Paris
Téléphone : 01 80 20 63 00
Le quartier Ă©clectique qui accueille l'hĂŽtel abrite Ă©galement des artistes, des ateliers et des rues pleines de charme qui reflĂštent le caractĂšre du Paris d'aujourd'hui offrant un environnement urbain et une ambiance survoltĂ©e. Les 249 chambres de l'hĂŽtel conservent des Ă©lĂ©ments emblĂ©matiques du passĂ© industriel de Paris qui sont cependant surclassĂ©s par les vĂ©ritables Ɠuvres d'art que sont les diffĂ©rentes vues panoramiques Ă©poustouflantes sur les monuments de la capitale française. En effet, depuis les chambres s'offre au regard une vue unique et majestueuse sur les bĂątiments les plus emblĂ©matiques de la ville, notamment la tour Eiffel, Notre-Dame, le SacrĂ©-CƓur et la DĂ©fense. Nourrissez votre passion pour les voyages dans un cadre simple et bien pensĂ© parfait pour travailler, vous divertir et vous dĂ©tendre afin de vous prĂ©parer pour vos prochaines aventures. Un espace de rĂ©union unique et innovant permet de rester productif et mener Ă  bien ses objectifs. Rendez-vous au nosh! pour y apprĂ©cier de savoureux plats tout au long de la journĂ©e. Le Kitchen & Bar propose quant Ă  lui d'authentiques mets de saison pleins de saveurs. Organisez votre prochain voyage Ă  Paris. L'emplacement idĂ©al pour les voyageurs d'affaires et les familles.
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Déménageur à Avrainville
Ferme de Kernevez Les Cailloux Local 6, 91630 Avrainville
Téléphone : 01 60 81 16 07
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À Longjumeau (tous articles rĂ©utilisables)
8, avenue de l’AbbĂ© Pierre ("EMMAÜS LE DEPÔT")
91160 LONGJUMEAU
Du mardi au samedi de 8h Ă  11h30 et de 14h Ă  17h30
Nous acceptons tous les objets en bon Ă©tat et non dangereux (par exemple pas les bouteilles de gaz, les produits chimiques ...)
tels que : vĂȘtements, meubles, livres, disques,Ă©lectromĂ©nager, hi-fi, literie, jouets, bibelots, micro-informatique, etc.
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Le sol cocooning avec un envers GFT en fibres recyclées à partir de bouteilles plastiques (plus de 50% du produit)  qui apporte les bénéfices en termes de :
CONFORT A LA MARCHE & ISOLATION SONORE (réduction de 20dB).
 Un sol épais et confortable, facile à poser : SANS COLLE & SANS PREPARATION DU SUP-PORT ! L'envers en fibres GFT absorbe les irrégularités du support !
Des décors tendances d'inspiration scandinave, adapté à toutes piÚces de la maison (idéal pour les piÚces humides, les piÚces à l'étage et la RENOVATION !)
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 Produit HQR Fairway Cloud :
La référence des sols habitat et professionnels !
Un sol multi-couche avec un envers en fibres recyclées GFT et une couche d'usure de 0.40mm qui permet un usage semi-commercial.
Idéal pour la rénovation et les espaces à trafic élevé !
 Une pose facile et rapide : SANS COLLE & SANS PREPARATION DU SUPPORT ! L'envers en fibres GFT absorbe les irrégularités du support !
Un sol ultra confortable, avec une résistance optimale.
Ideal pour la RENOVATION et ultra facile d'entretien !
Des décors tendance et élégants pour des univers contemporains et naturels....
Sol cuisine : Vinyle rouleau HQR 1984 WALDEB BROWN
Sol entrée : Vinyle rouleau HQR 1984 WALDEB BROWN
Sol chambre 4 (parentale): HQR 1984 WALDEB BROWN
Sol palier : 1778 NOMA NATURE
Sol chambre 1 (orange) : HOME CONFORT 1536 KEYWEST BLANC
Sol chambre 3 (bleu foncé) : 1439 LODGE MILK
Niveau 1 : lames SENSO adhésives 0347 COLUMBIA
Niveau 0: dalles adhésives SENSO URBAN 0702 WALLSREAT LIGHT
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Matériaux et peintures pour les particuliers et les professionnels
Crit Center distribue des peintures de qualité profionnelle tel que Guittet et Plasdox
Magasin: 14-17 Rue du Chemin de Fer, 93400 Pantin
TĂ©l :01 49 18 55 94 Fax : 01 40 11 10 85
Magasin: 21 Rue du Val de Marne, 94250 Gentilly
Téléphone :01 49 69 73 02
 PLASDOX est une marque de peinture française, nĂ©e au Mans il y a plus de 60 ans, qui produit dans ses 3 usines en France des peintures d’intĂ©rieur et des revĂȘtements de façade professionnels, distribuĂ©s dans toute la France par une rĂ©seau de distributeurs indĂ©pendants. Dans le cadre de l’émission Maison Ă  vendre, Crit Center est le distributeur officiel.
 PEINTURE GUITTET, fabricant français depuis plus de 150 ans, commercialise des peintures haut de gamme à destination des professionnels aussi bien pour la décoration intérieure que l'extérieur.
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Fabricant d'envergure mondiale de solutions auto-adhésives
15 rue du Bois des Saints PĂšres
77176 Savigny le Temple, France
Tel: +33 1 64 87 82 30
Fax: +33 1 64 87 82 50
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Enduits avant peinture et enduits de decoration pour les professionnels et les particuliers:
Chrono r poudre pour reboucher et reparer en un temps record
Chrono-gl pour rattraper et lisser en une seule application
Spécial facade rx3 pour ragreer et reboucher sur maçonnerie brute ou peinte
Humistop  pour traiter les murs humides
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Toutes les solutions de colles
 BOSTIK Fixation MS 118 objets lourds
la colle de références pour les professionnels.
Sa formule de type MS PolymĂšre  sans solvant permet de coller en 5 secondes en intĂ©rieur ou en extĂ©rieur : elle est idĂ©ale pour coller tous types de matĂ©riaux  mĂȘme lourds.
Prise immédiate, collage ultra-puissant.
Le collage reste élastique dans le temps et résiste aux chocs et vibrations.
 COLLE TOUS PAPIERS PEINTS EN PATE AVEC INDICATEUR COLORE
Standards, intissés et intissés à peindre, vinyles et vinyles à peindre, vinyles expansés sur intissés, courants, légers, épais, duplexés, lessivables.
 QUELYD Colle finitions & retouches
Colle polyvalente destinĂ©e au collage des papiers vinyles et revĂȘtements plastiques sur eux-mĂȘmes.
TrĂšs utile lors de la rĂ©alisation de joints par recouvrement, rattrapage de dĂ©collements aux joints (mĂȘme sur supports non absorbants), rĂ©alisation de retours d’angle en mur ou plafond, pose de galons et frises dĂ©coratives.
 SILICONE SADER existe en blanc et translucide
Ce mastic silicone adhÚre sur la plupart des matériaux.
‱ Joint silicone pour utilisation en intĂ©rieur
‱ Permet de faire des joints d'Ă©tanchĂ©itĂ© entre plan de travail et Ă©vier mais aussi entre lavabo et tour de baignoire
‱ Permet Ă©galement de faire des joints de raccordements entre meubles (et encastrables) et sol ou mur
 BOSTIK - Mastic d’étanchĂ©itĂ©.
Ce mastic vous permet de réaliser des joints d'étanchéité ainsi que des collages souples sur tous type de matériaux en intérieur ou en extérieur.
 Colle Toiles de verre QUELYD
Pour tout type de toiles de verre et fibres de verre.
La colle toiles de verre QUELYD a été formulée pour assurer un maintien immédiat et un collage durable de tous les types de toiles de verre et fibres de verre.
Service consommateurs 01 55 99 92 01 ou 01 55 99 92 00
 www.quelyd.fr
www.sader.fr
www.bostik.fr
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Fabricant de peintures et de produits pour l'entretien et le traitement des bois d'extérieur et d'intérieur          
 Peinture blanc mat et satin : http://www.v33.fr/interieur/peintures-d-interieur/peintures-murales,1122,1286.html
 V33 BLANC EASY COVER
Le blanc malin multi-supports et couvrant dĂšs la premiĂšre couche.
Application directe sur plus de 20 surfaces intérieures : murs, plafonds, boiseries, radiateurs, bois bruts, papiers-peints, toile de verre

Résultat parfait / ne jaunit pas / idéal en rénovation.
 Peinture rénovatin CARRELAGE : blanc
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Fabricant d’outils du peintre axĂ© sur la recherche et le dĂ©veloppement de nouvelles et meilleures solutions pour la rĂ©alisation des travaux.
Pour les travaux de l’émission nous fournissons les rouleaux, les pinceaux, les bacs et perches.
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Ne cassez plus, relookez ! Les produits Résinence sont spécialisés dans la décoration, la rénovation et la protection de vos supports tels que murs, sols
.
Résinence vous présente ses différentes gammes : résines décoratives, bétons minéraux, enduits, etc.
Produits utilisés pour le vaisselier et la table basse RMS DUVET
Meubles Cuisine : RMS Duvet
Salle de bains carrelage mural : Color GRIS PERLE
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smithleonardo · 3 years ago
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Combien de temps durent les marchés baissiers ? | Changement intelligent : finances personnelles
Combien de temps durent les marchés baissiers ? | Changement intelligent : finances personnelles
(Sean Williams) Vous n’avez probablement pas besoin que je vous le dise, mais l’annĂ©e a Ă©tĂ© difficile pour Wall Street et les investisseurs. Lorsque la cloche de clĂŽture a sonnĂ© le lundi 13 juin, l’emblĂ©matique Moyenne industrielle Dow Jones (DJINDICES : ^DJI) et rĂ©fĂ©rence S&P 500 (INDICE SNP : ^GSPC) avaient chutĂ© de 17,1% et 21,8%, respectivement, depuis qu’ils avaient atteint leurs sommets

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nnjzz · 1 year ago
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TONGUE DEPRESSOR + TURNER WILLIAMS JR. + JULIE ROUSSE + PAUL MICHEL
JEUDI LE 25.01
TONGUE DEPRESSOR / us TURNER WILLIAMS JR. / us JULIE ROUSSE / fr PAUL MICHEL / fr
Ă  Les Nautes
1 Quai des Célestins 75004 M° Sully-Morland
20:00 portes
20:45 action!
P.A.F. 6€
TONGUE DEPRESSOR / us new heaven ct Duo duo composé de Zach Rowden ( que Le Non_Jazz reçut déjà  pour un set atypique à base de K7s)  et Henry Birdsey, tous les deux multi-instrumentistes, compositeurs-improvisateurs. Ils écrivent, improvisent et interprÚtent de la musique basée sur des drones ( 
impliquant gĂ©nĂ©ralement des accordages microtonaux et des fragments rĂ©arrangĂ©s/ rĂ©-accordĂ©s de musique d'Ă©glise amĂ©ricaine ) avec violons, de la Pedal Steel, de la Lap Steel, de la contrebasse, de l'orgue et des cloches, et pourquoi pas une cornemuse... Collaborations diverses et rĂ©guliĂšres avec d'autres musicien.ne.s versĂ©(e)s dans le mĂȘme genre de recherche et hantise sonores ( Leila Bordreuil, Max Eilbacher, Paul Flaherty, Weston Olencki, Jakob Battick, John McCowen... ). 
"empyrean chimes and subterranean drones from out-musick duo Tongue Depressor -- an in-depth exploration of tuned percussion and just intoned drone that comes highly recommended if you're into the work of Tony Conrad, C.C. Hennix, John Cage, Philip Corner and Michael Ranta -- or if you're into church bells, gamelan, or Popol Vuh's earliest meditations." --Boomkat
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https://tonguedepressor.bandcamp.com/
TURNER WILLIAMS JR. / us alabama marseille
Musicien et dessinateur prolifique : on retrouve le mĂȘme genre d'Ă©nergie dĂ©bordante et de style foisonnant aussi bien dans sa pratique graphique que sonore.
Il compose / improvise avec un shahi baaja : instrument Ă  cordes pincĂ©es indien de la famille des cithares, ( ressemblant Ă  une Ă©pinette des Vosges ou Ă  un dulcimer) :  il s’agit d’une version Ă©lectrifiĂ©e et lĂ©gĂšrement modifiĂ©e du bulbul tarang indien. Il est dotĂ© d'un clavier de 2 octaves et demie chromatiques, avec toutes les altĂ©rations, soit 30 notes au total.  
Shahi baaja  ( littĂ©ralement :(« instrument royal » ) est composĂ© de deux cordes mĂ©lodiques ( " chanterelles " )  accordĂ©es en la (l’une grave, l’autre aigĂŒe), de trois cordes bourdons (mi, la, mi aigu), montĂ©es sur un chevalet de type "jivari" (comme sur le Sitar indien) mais aussi de 10 cordes sympathiques (  qui vibrent en rĂ©sonance ) .
Il se caractĂ©rise par l’absence de caisse de rĂ©sonance ( c'est un " solid body " donc), l’ajout de micros ( et d’une sortie jack ) ainsi que des touches de machine Ă  Ă©crire faisant office de clavier sur les deux chanterelles.
Répandu dans les avatars contemporains des musiques traditionnelles asiatiques - on en rencontre une version au Pakistan ou en Afghanistan (sous le nom Benju) ou encore
au Japon (sous le nom Taisho Koto).- on le retrouve occasionnellement ailleurs ( rock prog, electro, fusion... ) :  ainsi on a pu l'entendre ponctuellement chez Beck p.ex. ou Rapoon,ou plus amplement, joué par Michael Flower de Vibracathedral Orchestra dans son duo avec Chris Corsano.
 Turner Williams Jr. en propose une approche et une maßtrise tout à fait personnelles.
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JULIE ROUSSE / fr marseille
Artiste sonore, improvisatrice et compositrice électroacoustique, constamment à la recherche de matiÚres sonores, explorant avec des systÚmes traditionnels et expérimentaux de capture du son, dans des contextes choisis et particuliers, urbains, naturels ou industriels. Son travail est fait de performances live, installations sonores, musiques de films, collaborations avec des chorégraphes, performers et vidéastes
Dans sa pratique de l’improvisation libre, elle utilise sa collection sonore Ă  l’aide d’une plateforme numĂ©rique de traitement du son en temps rĂ©el, fouillant la matiĂšre brute – intrusion dans le dĂ©tail sonore – Ă  la recherche de textures et de rythmes afin de crĂ©er des univers poĂ©tiques ( " à la recherche d’une relation entre l’Auditeur, l’Espace et le RĂȘve " ), crĂ©ant des univers fourmillants et immersifs, avec des piĂšces Ă  partir de field recordings capturĂ©s dans un lieu spĂ©cifique, Ă  un moment spĂ©cifique afin d'ĂȘtre dĂ©ployĂ©s pour un projet dĂ©terminĂ©.
PAUL MICHEL / fr montreuil
"  Recherche sonore Ă  partir d’un synthĂ©tiseur modulaire et d’effets. Bourdons, instabilitĂ©s, court-circuit. "
PM est un peu le joker / dark horse de la soirée. C'est un de ces " jeunes talents " - repérages BROKEN IMPRO " notre  série préférée ( qu'on ne présente plus ? ) se déroulant réguliÚrement au Chair de Poule. https://soundcloud.com/urlurlurlurlurlurlurl https://www.youtube.com/watch?v=pxcfK1b4qW4
Fly - Jo L'Indien 
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ruralfaune-silverclubangers · 3 years ago
Photo
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DU 18 SEPT. 14:30 AU 19 SEPT. 17:30
Vases d’expansion par François Dufeil et Charles Dubois ‱ Musiques de Traverse #13
Ă  l’Ecole des Beaux-Arts, Atelier du Parc Dans le cadre de la JournĂ©e du Patrimoine Performance de 15 minutes Gratuit/ sans rĂ©servationsĂ©ances du Samedi 18 septembre: 14h30-16h-17hsĂ©ances du dimanche 19 septembre: 11h-14h30-16h-17hOrganisĂ© par les musĂ©es d’Angers, ESAD - TALM, Silver Club, Galerie 5 et Le Chabada________________________________________________VASES D'EXPANSION Bouteilles de plongĂ©e, robinets fondus d’eau chaude – eau froide, bonbonnes de protoxyde d’azote, extincteurs et bouteilles de propane sont les principaux organes de l’instrument de musique. Touches mĂ©tallophoniques coulĂ©es Ă  la fonderie, cloches incisĂ©es dans les rebuts. Cette sculpture est rĂ©alisĂ©e en collaboration avec le percussionniste Charles Dubois dans la continuitĂ© de leurs expĂ©rimentations sonores. Les artistes nous feront dĂ©couvrir des activations de cette sculpture-instrument durant une quinzaine de minutes chacune. LA DÉMARCHE DE FRANÇOIS DUFEIL Ancien aspirant Compagnon du Devoir, membre du collectif Wonder, François Dufeil a placĂ© le savoir-faire artisanal et son partage au cƓur de sa dĂ©marche. Par le dĂ©tournement d’objets industriels et le dĂ©placement de gestes ouvriers (plomberie, soudure, couture
), il produit des piĂšces qui Ă©chappent Ă  la logique productiviste au profit de modes d’activation alternatifs, propres aux situations d’urgence ou Ă  une Ă©conomie autogĂ©rĂ©e. Une Boudineuse qui devient ustensile de cuisine ou une bouteille de gaz qui sert de Fonderie somnolente dĂ©-fonctionnalisent ces objets premiers pour les assigner Ă  de nouveaux usages, le plus souvent collectifs : cuisiner, faire de la musique, recycler des dĂ©chets ou frapper une monnaie. La bonbonne, qui articule l’inoffensivitĂ© d’un objet domestique Ă  la dangerositĂ© de la bombe artisanale, est exemplaire d’une dĂ©marche qui investit des formes agressives pour les destiner Ă  des utilisations pratiques plus gĂ©nĂ©reuses. Octo-Verso http://francoisdufeil.fr/ https://www.youtube.com/watch?v=hBpVGwiq7_4&ab_channel=ADAGP
_________________ Vases d'Expansion © Valentin Abad
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