#cirque de venise

[saintdizier]

Il ne se passe jamais rien à Saint-Dizier

Les idées de sorties du week-end ! 💡

🧺 Anniversaire des Halles de Saint-Dizier : vendredi 15, dès 17h, et samedi 16 mars, de 7h30 à 14h

🎲 Apéros Coups de Coeur : vendredi 15 mars, 19h, Médiathèque de Montier-en-Der

🔭 Conférence sur l'astronomie : vendredi 15 mars, 20h30, Observatoire de Valcourt

🎭 Le Cirque des Mirages (spectacle musical) : vendredi 15 mars, 20h30, Théâtre de Saint-Dizier

🍀 Soirée Saint Patrick : vendredi 15 mars, 20h30, Au Petit Paris

✂️ Atelier DIY produits naturels : samedi 16 mars, 10h, Médiathèque de Sommevoire

🎻 Spectacle musical : samedi 16 mars, 10h30, Médiathèque de Chevillon

🧸 Petit Monde (spectacle petite enfance) : samedi 16 mars, 10h30, Médiathèque de Saint-Dizier

🎬 Il était une fois… au Cinéma : samedi 16 mars, 16h30, Ciné Quai

🥋 Tournoi International de Judo : samedi 16 et dimanche 17 mars, Dojo de La Noue, Saint-Dizier

☯️ Stage de Tai Chi Chuan et de Qi Gong : dimanche 17 mars, 9h30, Complexe Jean Jaurès, Bettancourt-la-Ferrée

👟 Duathlon : dimanche 17 mars, dès 10h, Centre-Ville de Saint-Dizier

🎬 Kung Fu Panda 4 (avant-première) : dimanche 17 mars, 14h, Ciné Quai

🎬 Karaoké (avant-première) : dimanche 17 mars, 16h15, Ciné Quai

🏉 Rugby, RCBSD VS Mutzig Ovalie : dimanche 17 mars, 15h, Espace Jean Meffert, Saint-Dizier

🏐 Volleyball, St-Dizier VS Grand Nancy : dimanche 17 mars, 16h, Gymnase Waldeck Rousseau, Saint-Dizier

🖼 Exposition "Boucles temporelles" : jusqu'au dimanche 17 mars, Musée de Saint-Dizier

🇮🇹 Exposition immersive "Venise révélée" : du mercredi au dimanche, MUSE Saint-Dizier

🎡 La Foire de Pâques revient le 30 mars !

[jp-fillet]

Crise du Tourisme à Saint Hilaire de Riez cet été, le Cirque de Venise et les Cascadeurs ne viendront pas.

Crise du Tourisme à Saint Hilaire de Riez cet été, le Cirque de Venise et les Cascadeurs ne viendront pas.

Pendant le 1er tour des municipales, et avant la crise du covid19, j’avais annoncé des problèmes sur l’emploi et l’activité touristique à Saint Hilaire de Riez. Comme j’aurai aimé me tromper. Avec Eric Dick, nous avons rencontré des acteurs du tourisme aux Becs qui nous ont annoncé que le Cirque de Venise ne viendra pas s’installer à Saint Hilaire de Riez comme chaque année, a cause du coût et du…

[questionsfrancophones]

Villes Européennes

Londres : Quand tu visites une ville, cherches-tu les points touristiques ou les endroits moins connus ?

Paris : Où est-un tombé.e amoureux.se la dernière fois ?

Berlin : Trouves-tu l’Histoire ou la géographie plus intéressante ?

Amsterdam : Boirais-tu dans une salle remplie d’étrangers ?

Prague : Rivières ou forêts ?

Viennes : Apprécies-tu la littérature classique ?

Barcelone : Plages ou villes ?

Madrid : Avec qui as-tu été à une partie la dernière fois ?

Budapest : Si tu pouvais faire tout ce que tu voulais sans avoir les conséquences, que ferais-tu ?

Rome : Rome antique ou Grèce antique ?

Copenhague: Combien de langues peux-tu parler ?

Dublin : Quel est le dernier château que tu as visité ?

Stockholm : Angst ou fluff ?

Lisbonne : Si tu avais l’opportunité de devenir un.e prince.sse, la prendrais-tu ?

Athènes : Mythe grecque préféré ?

Milan : Qu’est-ce qui est le plus important : la mode ou le confort ?

Munich : Pourquoi as-tu embrassée la dernière personne que tu as embrassée ?

Helsinki : Quand as-tu été pour la dernière fois chez ton ami.e ?

Reykjavik : Est-ce que les gens ont des difficultés à prononcer ton nom quand ils te rencontrent pour la première fois ?

Florence : Comment as-tu découvert les travaux de ton artiste préféré.e ?

Édimbourg : Irais-tu au parc pour chiens sans chien ?

Oslo : Qu’est-ce qui est le plus important : le travail ou l’amour ?

Venise : Pourquoi est tu tombé.e amoureux.se la dernière fois ?

Glasgo : Où allais-tu lors de ton dernier voyage en bus ?

Liverpool : Suis-tu un sport ?

Cologne : Pourquoi as-tu rendu visite à tes grands-parents la dernière fois ?

Moscou : Préfèrerais-tu faire partie d’un cirque ou d’un opéra ?

Naples : Si tu pouvais aller n’importe où dans le monde, où irais-tu et pour combien de temps ?

Traduit de @ask-bait

[scorpionchris-cinema-blog]

Augusto Genina est un réalisateur et scénariste italien, né le 28 janvier 1892 à Rome, où il est mort le 28 septembre 1957. Fils de Luigi et Anna Tombini, qui auraient voulu qu'il devienne officier de marine, Augusto Genina fréquente la faculté d'ingénierie de l'université de Rome « La Sapienza » qu'il abandonne vite pour s'adonner à la critique dramatique pour la revue Il Mondo. Il écrit ensuite des drames avant d'écrire des scénarios pour le cinéma sur les conseils de son ami l'écrivain et scénariste Aldo De Benedetti. Il réalise son premier film en 1912, Beatrice D'Este, début d'une carrière prolifique en adaptations théâtrales et en drames conjugaux. Pendant la Première Guerre mondiale, Augusto Genina n'est pas mobilisé en raison d'une blessure permanente au tendon datant de l'adolescence, et cela lui a permis de continuer son activité cinématographique. En 1914, il travaille pour la Milano Films et tourne huit films parmi lesquels Il Segreto del castello di Monroe, Il Grido dell'innocenza et La Fuga degli amanti, en 1915 La Farfalla dalle ali d'oro, en 1916 La Conquista dei diamanti et La Signorina Ciclone, en 1917 il réalise des films pour Ambrosio Film et en 1918 pour sa concurrente Itala Film. En 1920, il réalisé Lo Scaldino, d'après le roman éponyme de Luigi Pirandello, dont l'influence sur le travail de Genina se fera sentir par la suite. En 1921 il crée sa société, Films Genina, mais le succès n’est pas au rendez-vous. En 1923, il produit et écrit le scénario de Jolly, relatant l'histoire d'un clown de cirque, le premier film de son cousin Mario Camerini. Il s'installe ensuite en France, où, en 1929, il dirige Louise Brooks (Prix de beauté, coécrit avec René Clair), Gina Manès (Quartier Latin), Jean Gabin (Paris Béguin), Françoise Rosay (La Femme en homme), Gaby Morlay (Nous ne sommes plus des enfants). Il travaille aussi pour les studios allemands, avant de retourner en Italie. En 1936, il réalise dans le désert de Libye L'Escadron blanc (Squadrone bianco), qui remporte la Coupe Mussolini du meilleur film italien au Festival de Venise. Genina devenu l'un des cinéastes majeurs de la période fasciste, tourne en 1939 Les Cadets de l'Alcazar (L'assedio dell'Alcazar), autre film de guerre, sur un épisode de la guerre d'Espagne. Après 1945, il se rapproche du néoréalisme avec La Fille des marais (Cielo sulla palude, 1949), biographie de Maria Goretti, au réalisme teinté de mélodrame. En 1950, il tourne L'edera (Le Lierre), d'après le roman de Grazia Deledda, en 1953, Histoires interdites (Tre storie proibite, 1953), drame social, et Une fille nommée Madeleine (Maddalena) avec Gino Cervi, Charles Vanel et l'actrice suédoise Märta Torén. Il tourne en France, en 1955, son dernier film, Frou-Frou, comédie amère avec Dany Robin, Louis de Funès et Gino Cervi. Augusto Genina meurt à Rome, d'une pneumonie, le 28 septembre 1957 à l'âge de 65 ans.

[dusudaunord]

Las Vegas : une ville à visiter

Faire une escapade à Las Vegas est tout à fait possible si vous planifiez de passer quelques jours à New York pour les fêtes de fin d’année. Situé à 3593 kilomètres de la Grande Pomme soit environ 4 heures d’avion, il est assez facile de passer 24 ou 48 heures dans la capitale mondiale du jeu située en plein cœur du désert de Mojave dans le Nevada. Bien que réputée pour ses nombreux casinos, la ville fondée en 1905, possède son histoire propre : d’une oasis en plein désert au milieu de nulle part, Las Vegas est devenue en quelques années l’image même de la grandeur et décadence du way of life américain.

Le monde ne tient qu’en 6,7 km

Bien sûr, si vous aimez jouer sur betFIRST Casino la première chose à laquelle vous pensez quand le nom de Las Vegas est évoqué c’est les machines à sous et les salles de jeu endiablée. Mais résumer cette ville magique au simple jeu est un peu réducteur. Dans les faits détailler la liste des choses que vous pouvez y faire peut vite être très long. Les choses qu’il faut absolument voir ou faire lors d’une virée à Las Vegas sont, pour en nommer que quelques-unes : les fontaines du Bellagio, Fremont Street, un spectacle ou un concert, frémir sur le Big Apple Coaster (montagnes russes) et ne pas rater le cirque. Le Strip, l’avenue qui traverse une partie de la ville et qui fait 6,7 km représente à elle seule sa démesure et son extravagance. En vous promenant sur le Strip vous allez faire une véritable tour du monde en passant de Paris à New-York tout en faisant un petit détour vers Venise le tout à quelques pas de distance ! C’est exploit n’est possible qu’à Las Vegas. L’avenue est bordée d’hôtels plus pharaoniques les uns que les autres, de casinos, de restaurants et de malls qui ne se ressemblent pas dans une ville qui fût au départ édifié pour le jeu et la prostitution.

C’est entre 1931 et 1935, suite à la création d’un immense barrage sur le Colorado, que la ville connaît son premier essor. En 1931, le jeu qui était interdit depuis 40 ans est finalement autorisé et le premier casino, le Northern Club, ouvre ses portes. La mafia locale profite de cette légalisation pour ouvrir des bars, des salles de spectacle pour attirer les travailleurs qui travaillent sur le chantier et se déplacent sur Fremont Street.

Se marier pour 77$

La ville des péchés ou « Sin City » est aussi connue pour ses chapelles, environ une cinquantaine, qui unissent pour quelques heures ou pour l’éternité 120,000 couples par an. A noter, que bien qu’ils puissent paraître factices, ces mariages sont véritablement reconnus par les autorités françaises et américaines. C’est donc une occasion d’officialiser une union de manière originale et insolite. Avant la célébration, vous devez vous procurer, comme dans tous les États américain, une licence de mariage pour la modique somme de 77$. C’est intéressant, non ?

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[carnet-de-routes-vanlife]

Comment vivre dans un Van, par un Vanlifer

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Il y a quelque temps, ma copine a été prise pour une sans-abri. « Tiens, prends ça », lui dit un homme d’un certain âge par la fenêtre de notre camionnette. « Achète-toi quelque chose à manger. » Stevie n’a pas besoin de quelque chose à manger et elle n’a pas l’air sans abri. Notre camionnette, cependant, la fait ressembler à quelqu’un qui vit dans une camionnette.

Jusqu’à il y a peu de temps, lorsque j’ai commencé à construire une petite maison dans les collines au-dessus de Malibu, nous vivions dans notre camionnette à Venise, en Californie, ce qui pour moi, est semblable à vivre dans un cirque – seuls les artistes ont tous des coupes de cheveux incroyablement courtes, des coiffures fantastiques et des tatouages horribles. Ah, la jeunesse.

Nous avons décidé de faire une expérience de trois mois, en testant toutes ces soi-disant « libertés » que tout le monde dit venir avec le #vanlife. Ce n’est pas facile, surtout avec un budget limité. L’une des expériences les plus mémorables a été de passer près de quatre heures à retirer les gaz d’échappement dans le noir, allongé dans le stationnement d’un O’Reilly’s Auto Parts (qui, soit dit en passant, m’a prêté une scie à métaux après avoir passé une bonne demi-heure à utiliser le catalyseur comme masseur – des gens très gentils).

Bien sûr, ça a l’air génial. Tous ceux que je raconte notre voyage disent la même chose : « J’adorerais faire ça ! » Mais le feriez-vous ? Aimeriez-vous pisser dans un seau au milieu de la nuit ? Aimeriez-vous vous allonger dans la chaleur étouffante alors que des motos apparemment non étouffées crient d’un mètre de votre tête ? Aimeriez-vous que quelqu’un pense que votre petite amie est sans-abri ? Probablement pas. Personne ne le ferait. Je ne l’ai pas fait, c’est sûr. Mais il y a des avantages. Les voyages en voiture, par exemple. Vous pouvez aller où vous voulez, quand vous voulez, et c’est là que les fourgonnettes font vraiment leur travail. Ils ne sont pas faits pour vivre en ville. Ils sont faits pour la route ; ils s’arrêtent quand vous en avez assez de conduire, de trouver des vagues et de faire la sieste à l’ombre. Mais comme un long voyage en voiture peut nécessiter quelques semaines ici et là de stationnement en ville, j’ai compilé quelques conseils pour ceux qui cherchent à vivre la « liberté » de la vie en camionnette.

1 : Nettoyez votre maison. Les camionnettes les plus suspectes sont celles dont les fenêtres sont noircies. Vous les avez vus : la teinte noire de l’encre s’écaille d’un coin de la fenêtre, exposant un dépotoir avec une paire de pieds sales qui dépassent. Si vous nettoyez votre camionnette en profondeur et laissez les rideaux ouverts, les voisins verront que vous n’êtes pas, en fait, un sale clochard et seront moins enclins à appeler les flics ou pire, vous donner des regards sales et la monnaie de rechange.

2 : Ne vous mettez pas trop à l’aise. Il y a quelques jours, nous nous sommes garés dans un quartier résidentiel à côté de quelques rochers en forme de sièges ombragés par un palmier. Ça avait l’air idyllique. J’ai retiré ma chemise, je me suis assis sur le rocher et j’ai versé une margarita rance dans une tasse en plastique d’une bouteille en plastique prémélangée. Ma copine a ouvert les portes en portant une de mes chemises et un bas de bikini. C’était tellement parfait – nous souriant l’un à l’autre sur nos tasses, riant d’un stupide néant, brûlés par le soleil et salés – jusqu’à ce que quelqu’un passe et que nous nous rendions compte que nous avions transformé le trottoir en notre salon, nous faisant officiellement clochard. Essayez d’éviter d’être un clochard.

3 : Apportez des outils. Pour l’amour de Dieu, apportez des outils. Apportez tous les outils dont vous disposez. Clés, marteaux, ruban adhésif en toile, scies à métaux, tournevis, ficelles et piles…. mec, apporte tout. Mets-le là-dedans. Vous l’utiliserez probablement. Je sais que ça craint parce que tu n’as peut-être pas assez de place pour tes albums photos ou ceux de ta grand-mère, mais la courtepointe de ta grand-mère ne va pas t’arracher ton pot d’échappement dans un parking d’O’Reilly, et personne ne veut voir tes albums photos, en tout cas.

4 : Apportez des livres. Si vous ne lisez pas, commencez à lire. Apportez beaucoup de livres. Apportez ceux que vous ne pensez pas aimer. Apportez ceux que vous avez déjà lus et relisez-les. L’un des avantages de ne pas avoir de maison, c’est qu’on ne remarque pas à quel point on ne fait rien tant qu’on n’a pas d’endroit pour le faire. Et honnêtement, l’une des meilleures choses au monde est de s’arrêter, d’ouvrir toutes les portes, de laisser entrer une brise et de lire en silence pendant quelques heures avec la jambe d’une fille sur la vôtre.

5 : Simplifiez, simplifiez, simplifiez, simplifiez ! Henry David Thoreau était, très probablement, l’homme le plus intelligent qui ait jamais vécu. « La plupart des luxes et des soi-disant conforts de la vie, écrivit-il un jour, non seulement ne sont pas indispensables, mais sont des obstacles positifs à l’élévation de l’humanité.

Thoreau avait raison. Débarrasse-toi de tes conneries. Donnez-le à la Bonne Volonté. Donnez-le à vos amis. Laissez-le sur le trottoir. Tout ce qu’il faut pour le faire disparaître. Tu n’en as pas besoin, je te le promets. Tu le manqueras pendant une semaine ou deux, et tu oublieras que tu l’as déjà eu. Je ne sais pas si elle l’a eu de quelque part, mais ma mère dit toujours : « Je n’ai pas besoin de plus de place, j’ai besoin de moins de choses. » C’est une femme intelligente.

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[weltinette]

Épisode 59 : la folle journée du 13 juin de Yellowstone à Vegas

Plusieurs fois au cours de notre voyage, nous nous regardions en réalisant à quel point ce voyage était fou : le mythique Grand Canyon juste devant nous, les courbes d’Antelope Canyon, un lac artificiel à 28°C... Mais sans conteste, ce fut la journée du 13 juin qui fut la plus folle. Nous nous sommes réveillés dans la tente avec la neige qui tombait sur la tente dans notre camping des bisons à Yellowstone. Nous partions de nuit, pour regagner notre point de départ, Salt Lake City, où nous avions nos avions à 15h20, direction San Francisco pour Élise et Las Vegas pour Bastien et moi. En quittant Yellowstone, nous jetons un dernier regard aux bisons qui marchent juste à côté de la route (la photo ci-dessous date de la veille du départ). Et c’est parti pour le grand écart de paysages. 

Nous avons traversé l’État de l’Idaho pour redescendre vers le sud. Notre souvenir principal ? La route sous une pluie battante. Le souvenir d’Élise ? Pas grand chose, car elle roupillait à l’arrière. Nous rendons notre petite Toyota Corolla, mangeons à l’aéroport, notre avion a du retard, on décolle, on atterrit et cette fois, toutes les valises sont là. Direction la location de voiture pour l’addition la plus salée du voyage, merci les $25 qui partent chaque jour parce que nous avons moins de 25 ans. On sort, et on découvre notre voiture. Une Jeep Grand Cherokee, autrement dit, un truc absolument gigantesque, qui nous servira de maison pour le reste du voyage. On a fini par s’habituer à ce bolide énorme, mais les premiers instant, on n’en revenait pas : nous étions au volant d’une Jeep à Las Vegas ! De vrais américains.

L’installation au AirBnb fut rapide avant de mettre le cap sur le MGM, mission KA du Cirque du Soleil. Nous avons eu nos places environ 4 minutes avant le début du spectacle de 19h, mais nous avons réussi ! C’était mon sixième Cirque du Soleil : 4 spectacles qui tournent et 1 résident, axé comédie musicale, à New York. WAHOU. Je comprends pourquoi celui-ci ne vient pas nous voir en Europe. La scène est absolument mobile et se lève, s’incline, décolle du sol... c’est incroyable. Comme toujours, les costumes sont magnifiques, on est absolument plongé dans l’ambiance de l’histoire, la musique live est belle et tous les artistes sont excellents. On a l’impression de sortir complètement du temps pour aller dans un monde parallèle.

Sonnés, après ce spectacle, on se promène dans le hall du MGM : machines à sous et tout le tintouin ordinaire des casinos. Il fait froid car la climatisation tourne à plein régime, et quand nous sortons, c’est le choc thermique : l’air est sec car nous sommes en plein désert. 

Que penser de Las Vegas ? C’est vraiment très étrange, surtout quand on débarque d’une semaine en pleine nature. Il y a des gens partout, mais on se demande qui ils sont, ce qu’ils font là, pourquoi ils viennent. On a du mal à s’imaginer venir juste à Las Vegas pour profiter de l’hôtel et jouer, surtout que ce n’est pas notre style. Sur le Strip, l’artère principale de la vie nocturne à Las Vegas, on voyage de New York à Venise en passant par Paris. Chaque hôtel crée son quartier et son atmosphère, mais tout a l’air faux, en toc, trop de lumières, trop de machines. C’est un peu étourdissant. J’ai l’impression de visiter un décor, où rien n’est réel, ce n’est pas la vraie vie. Pour moi, ce n’est pas une vraie ville. J’ignore ce qu’il y a autour, mais j’ai du mal à me représenter ce que “vivre à Las Vegas” signifie. Attraction très populaire : le spectacle des fontaines du Bellagio. Plus que des fontaines, il s’agit d’un véritable feu d’artifice aquatique sur un air de “Viva Las Vegas” : c’est très sympa à voir. 

Après avoir remonté le Strip, il faut le redescendre : il est à ce moment-là minuit passé, et nous en avons plein les pieds. Yellowstone semble déjà si loin, et pourtant il n’est pas encore question d’aller dormir : nous profitons de la civilisation pour lancer une machine dans un lavomatic pendant que nous nous ravitaillons pour le reste du séjour en pain, confiture, fruits et petites boîtes de pâtes/riz dans lesquelles il faut ajouter de l’eau puis mettre au micro-ondes. Il est 1h du matin et nous arpentons un supermarché. Hors de question de se lever à 5h pour arriver tôt au camping : on dormira dans la voiture pour le reste du séjour  et on profite d’un vrai lit et d’une douche pour se reposer avant de repartir pour deux semaines. 

[jp-fillet]

Olaf* et la Reine des Neiges* ne viendront pas cet été à Saint Hilaire de Riez, à cause du Maire Laurent Boudelier :(

Olaf* et la Reine des Neiges* ne viendront pas cet été à Saint Hilaire de Riez, à cause du Maire Laurent Boudelier :(

Nous vous avions annoncé la non-venue des Cascadeurs cet été aux Becs de Saint Hilaire de Riez, mais aussi l’absence du Cirque de Venise qui nous a été confirmé par téléphone avec son directeur Steve Landry.

Steve Landry nous a exprimé son regret de ne pas venir cet été comme tous les ans à Saint Hilaire de Riez à cause en partie du coronavirus, mais plus grave à causes des incessantes…

[laurentmissphotographie-blog]

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