#chez marcel
Explore tagged Tumblr posts
philoursmars · 2 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !).
2015, chez Christine. Une virée à Biarritz, Pays Basque.
Le Vieux-Port le matin, laissé aux surfeurs et, le soir, Christine et moi  dans une soirée resto (”Chez Marcel” sur le Port des Pêcheurs) puis bar...
Hélas trop fatigué pour finir en boîte ! (comme Sapho et Castor dans leur nid !)
2 notes · View notes
smbhax · 1 month ago
Text
Tumblr media
nicolas_vial_
"Quand j’étais enfant, mon père avait lancé cette revue bimestrielle. Je m’aperçois aujourd’hui qu’il avait fait bosser René Gruau...😻 Sa signature est rognée à droite dans la coupe...🙀 J’avais gardé ce numéro car j’aimais bien le graphisme... J’ai rencontré beaucoup de décorateurs avec mon paternel car il m’amenait souvent à ses rendez-vous. Il était éditeur entre Dourdan et Paris. Nous, on vivait à la campagne et le jeudi j’allais avec lui à Paname au 112 rue d’Assas où il recevait ses auteurs. Il y avait un grand salon où nous, enfants, nous n’avions pas le droit d’aller. Ensuite c’était un rituel, il m’amenait déjeuner chez Marcel rue Stanislas, resto qui n’a pas changé... Ce cérémonial a commencé quand j’avais 4 ans et s’est arrêté quand je suis entré en 6eme. Souvent je pense à cette phrase de Rilke : « L’enfance est un destin »... J’ai peut-être rencontré René Gruau mais j’étais trop petit pour m’en souvenir..."
Google Translate:
'When I was a child, my father launched this bimonthly magazine. I realize today that he had René Gruau work for him...😻 His signature is cropped on the right in the cut...🙀 I kept this issue because I liked the graphics... I met a lot of decorators with my father because he often took me to his meetings. He was a publisher between Dourdan and Paris. We lived in the countryside and on Thursdays I went with him to Paname to 112 rue d'Assas where he received his authors. There was a large salon where we, children, were not allowed to go. Then it was a ritual, he took me to lunch at Marcel's on rue Stanislas, a restaurant that has not changed... This ceremony began when I was 4 years old and stopped when I entered 6th grade. I often think of this sentence from Rilke: "Childhood is a destiny"... I may have met René Gruau but I was too young to remember...'
Chez Marcel, 7 rue Stanislas, Paris (from https://www.gillespudlowski.com/351775/restaurants/paris-6e-sacre-marcel):
Tumblr media
1 note · View note
chic-a-gigot · 16 days ago
Text
Tumblr media
L'Art et la mode, no. 2729, vol. 70, 25 décembre 1948, Paris. Silhouettes Parisiennes. Le tailleur "postillon". Maggy Rouff. Blouse taffetas pékiné de Martelli. Le capuchon-fichu. Marcelle Chaumont. Contre-Plaqué de Bucol. Bibliothèque nationale de France
61 notes · View notes
janjoycesmitz · 2 years ago
Text
For Marcel Proust's birthday yesterday July the 10th, a collage of the flower names mentioned in Swann's Way.
Tumblr media Tumblr media
5 notes · View notes
culturefrancaise · 2 years ago
Text
“Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint. Cette croyance survivait pendant quelques secondes à mon réveil ; elle ne choquait pas ma raison mais pesait comme des écailles sur mes yeux et les empêchait de se rendre compte que le bougeoir n’était plus allumé. Puis elle commençait à me devenir inintelligible, comme après la métempsycose les pensées d’une existence antérieure ; le sujet du livre se détachait de moi, j’étais libre de m’y appliquer ou non ; aussitôt je recouvrais la vue et j’étais bien étonné de trouver autour de moi une obscurité, douce et reposante pour mes yeux, mais peut-être plus encore pour mon esprit, à qui elle apparaissait comme une chose sans cause, incompréhensible, comme une chose vraiment obscure. Je me demandais quelle heure il pouvait être ; j’entendais le sifflement des trains qui, plus ou moins éloigné, comme le chant d’un oiseau dans une forêt, relevant les distances, me décrivait l’étendue de la campagne déserte où le voyageur se hâte vers la station prochaine ; et le petit chemin qu’il suit va être gravé dans son souvenir par l’excitation qu’il doit à des lieux nouveaux, à des actes inaccoutumés, à la causerie récente et aux adieux sous la lampe étrangère qui le suivent encore dans le silence de la nuit, à la douceur prochaine du retour.
J’appuyais tendrement mes joues contre les belles joues de l’oreiller qui, pleines et fraîches, sont comme les joues de notre enfance. Je frottais une allumette pour regarder ma montre. Bientôt minuit. C’est l’instant où le malade, qui a été obligé de partir en voyage et a d�� coucher dans un hôtel inconnu, réveillé par une crise, se réjouit en apercevant sous la porte une raie de jour. Quel bonheur c’est déjà le matin ! Dans un moment les domestiques seront levés, il pourra sonner, on viendra lui porter secours. L’espérance d’être soulagé lui donne du courage pour souffrir. Justement il a cru entendre des pas ; les pas se rapprochent, puis s’éloignent. Et la raie de jour qui était sous sa porte a disparu. C’est minuit ; on vient d’éteindre le gaz  ; le dernier domestique est parti et il faudra rester toute la nuit à souffrir sans remède.”
Du côté de chez Swann (A la recherche du temps perdu), Marcel Proust
5 notes · View notes
dark-jessica · 8 days ago
Text
here we go again~
Tumblr media
long, very self-indulgent essay coming!
i actually finished one last book in 2024: the hunger games by suzanne collins. i know that seems like a series i would’ve already read by now, and i did try a few times—once in 2010, after the last book had come out, i got the whole series fully intending to love it. when i started, though, i just couldn’t get into it. i found the straightforward, utilitarian prose off-putting, and remember thinking it felt a bit juvenile (i was at that age where you’re still so close to being a teenager, you feel the need to distance yourself as much as possible from anything childish in order to prove that you’re not. i read stuff like vonnegut and salinger then, and felt like a real adult).
later on, i did watch the movies and enjoyed them enough to give the books another shot. i still found the writing dull, though, and when a book’s primary merit lies in its story, it’s hard to justify bothering with it when you already know the entire plot.
then: it’s 2024, and i stumble across a fanfic that i don’t realize is a hunger games crossover at first (lmao, i know), and i get really, really into that. it’s been years now since i saw the movies, and life has humbled me beyond the point of believing there’s some divide between “legitimate” vs. “fake” literature. i decide: i am going to make myself read the hunger games now.
in defense of my younger self, i can see why i found it off-putting. i’ve always loved beautiful, complex, literary prose, but now i know i don’t absolutely need it. if a story is good, prose can take a backseat as long as it isn’t distractingly bad. with the hunger games, the prose feels nearly invisible, and i can deal with that. the story is interesting, and i can see why so many people love it, but i don’t think i’ll ever have strong feelings one way or another. i found it easy to read and entertaining, but nothing really moved me. i didn’t expect it to, so that’s fine. sometimes just checking off a box on a task you set out to do 14 years ago is as good a reason as any to do something.
in other book-related news, i am still reading du côté de chez swann by marcel proust (speaking of literary prose) and started a nonfiction book, why read the classics? by italo calvino. switching between those & the hunger games has been an experience, but this is jessica in 2025, baby.
1 note · View note
queerographies · 1 year ago
Text
[Dalla parte di Swann][Marcel Proust]
Corredata da apparati che permettono di seguire ciascun personaggio e riferimento lungo l’intero vasto labirinto della Recherche, questa nuova edizione aspira a far riscoprire e amare a un pubblico sempre più vasto il ricchissimo mondo di Proust
Un morso a un piccolo dolce soffice, e ad anni di distanza rivivono le impressioni di un ragazzo sensibile sulla sua famiglia e sulle persone che, nel paese di Combray, avevano colpito la sua fervida immaginazione. Le letture, le passeggiate, le descrizioni umoristiche dei tratti più coloriti della gente che incontra, l’indagine interiore sui palpiti che lo animano. La piccola madeleine, il…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
jaimelire-france · 1 year ago
Text
Tumblr media
Du côté de chez Swann est le premier volume du roman de l'écrivain français Marcel Proust, À la recherche du temps perdu.
1 note · View note
nesiacha · 2 months ago
Text
Lazare Carnot and the Colonial Question?
I just came across a document on JSTOR (my computer is in a good mood today, so I managed to read 10 pages)
I was reading the article Éthique et rhétorique de la Révolution chez Gracchus Babeuf et Toussaint Louverture.
The author discusses the date on which Gracchus was executed, May 27, 1797, and how shortly before, he had written an open letter criticizing the policies of the Directory. The author draws a parallel with Toussaint Louverture.
“Two days later, on Prairial 10, Year V, the pro-royalist colonist Vienot-Vaublanc, a prominent member of the Council of Five Hundred, delivered an ‘impolitic and incendiary’ speech about the general situation on the island of Saint-Domingue, which prompted a lengthy Réfutation of Certain Assertions in a Speech Delivered at the Legislative Body, written by Toussaint Louverture. Then, on Brumaire 15, Year VI, Toussaint Louverture sent a similar letter to the Directory, openly criticizing the colonial party in France as ‘enemies of the current system.’”
So far, I understand the parallel between Toussaint Louverture and Gracchus Babeuf.
But here’s where I get lost:
“It is easy to note, following a simple chronology of events, the almost perfect intertwining of the respective fates of Babeuf and Louverture under the Directory, then the Consulate. Scarcely had Babeuf’s body been beheaded, and the ‘Babouviste’ question ‘resolved’ by Carnot, when (...), under pressure from the colonists, set about tackling the colonial situation again, reactivating the colonial question that had remained unresolved, provoking what Jaurès would rightly call a ‘wounding of the revolutionary conscience.’”
End of the text excerpt. The source on Carnot in this article is listed as Marcel Dorigny and Bernard Gainot, La Révolution et la "question coloniale."
The problem is that, from my previous readings, I had always thought, according to historian Frédéric Régent (if I’m not mistaken—I'll need to find the reference) that at least two-thirds of enslaved people had been emancipated. Victor Hugues was criticized for his ambiguous stance, whereas Sonthonax was much more committed to the abolition of slavery, although it's more complicated than that. Eventually, Victor Hugues would become a supporter of re-establishing slavery under Bonaparte in Guadeloupe, while his revolutionary colleague Alexandre Kirwan would side with Delgrès and Ignace against slavery and ultimately lose his life.
I also previously explained in another post that Bonaparte’s reinstatement of slavery was illegal. As for 1797, we are in a period where there is the abolition of slavery , as far as I know, and therefore the Directory did not violate the law on slavery . So, this is where I’m a bit confused: I know there were influential figures within the Directory who favored reinstating slavery, but it hadn’t actually been reinstated. Perhaps the author of the article is referring to the seizure of lands that were then redistributed to colonists. I couldn’t delve into the entire article, having accessed only the first 10 pages.
This article is making me rethink what I thought I knew, especially since it’s well-sourced. (But then again, we’re all here to learn in one way or another. 🧐)
You get it—this is a call for more information. So, if anyone has answers, please let me know.
Here the link of the article:
https://www.jstor.org/stable/43932870
17 notes · View notes
kvetchlandia · 7 months ago
Text
Tumblr media
Man Ray Marcel Proust on His Deathbed, Paris 1922
Mais, quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir. Et dès que j’eus reconnu le goût du morceau de madeleine trempé dans le tilleul que me donnait ma tante (quoique je ne susse pas encore et dusse remettre à bien plus tard de découvrir pourquoi ce souvenir me rendait si heureux), aussitôt la vieille maison grise sur la rue, où était sa chambre, vint comme un décor de théâtre.
(When from a long-distant past nothing subsists, after the people are dead, after the things are broken and scattered, still, alone, more fragile, but with more vitality, more unsubstantial, more persistent, more faithful, the smell and taste of things remain poised a long time, like souls, ready to remind us, waiting and hoping for their moment, amid the ruins of all the rest; and bear unfaltering, in the tiny and almost impalpable drop of their essence, the vast structure of recollection. And once again I had recognized the taste of the crumb of madeleine soaked in her decoction of lime-flowers which my aunt used to give me (although I did not yet know and must long postpone the discovery of why this memory made me so happy), immediately the old gray house upon the street, where her room was, rose up like the scenery of a theater.)
-- Marcel Proust, "À la recherche du temps perdu - Du côté de chez Swann" (In Search of Lost Time or a A Remembrance of Things Past - Swann's Way), 1913
38 notes · View notes
camisoledadparis · 11 days ago
Text
saga: Soumission & Domination 364
Arrivés à la villa c'est direct les salles de bain ! Douches pour tous et rasages pour certains ne sont pas de trop. Puis morts de fatigue, grosse sieste au soleil (oui je sais c'est la mauvaise heure rapport aux UV !) sous une bonne couche de crème. Paco se charge de réveiller l'un ou l'autre pour assurer le renouvellement des protections ou basculer de face certains. Vers 17h, c'est un réveil général. La triplette qui a du mal à faire surface est projetée dans la piscine. Echauffourée générale !
Quand Paco demande de l'aide pour aller faire les courses car les stocks sont au plus bas et nous recevons ce soir, c'est pas la bousculade. Même son Jesus tire au flanc. Ok, j'ai compris, je m'y colle. Deux grosses glacières dans le coffre nous descendons faire nos achats. J'ai consenti à couvrir mes fesses d'un short Aussiebum plus provoquant que couvrant et d'un marcel qui élargi encore plus mes épaules. Paco rigole ne me voyant monter dans la voiture et me dit que nous n'allons qu'au supermarché ! Nous y faisons nos courses. Moment agréable avec la clim du magasin. Réappros des basiques : eau, lait, fromages, Sopalin ! J'ajoute kpotes et gels dans une quantité qui fait rire la caissière quand je les entasse sur son tapis. Puis nous passons chez son primeur pour les légumes. Pas à dire ils sont quand même plus beau qu'au grand magasin. Pour la viande c'est aussi un boucher de sa connaissance qui reçoit notre visite. Petit moment de confusion quand le professionnel me prend pour le dernier copain en date de Paco. Il rectifie et me place comme un de ses patrons. Je m'approche alors de lui, attrape son paquet et le mettant en évidence j'ajoute " pas que ". Paco rougit alors que son pote éclate de rire (nous étions seuls dans sa boutique quand même). Paco bande et ça se voit !! Après ça l'ambiance est détendue ! Le professionnel nous sert les quelques kilo que nous étions venu chercher pour le BBQ du soir. En partant, le mec me dit que si je me fatiguais de mon cuisinier, il avait un " morceau " équivalent à mon service. Au moins ça le mérite d'être clair ! Retour à la villa. Les autres ont profité pour faire un peu de rangement et quand je renverse le sac des " outils spéciaux ", il s'en trouve trois pour aller répartir les stocks dans les endroits stratégiques.
Naturellement Nathan donne un coup de main à Paco. Il s'occupe de la marinade des viandes alors que Paco organise la partie légumes.
Je raconte à mes amours que je m'étais fait draguer par le boucher. Ils me disent qu'avec ma tenue, c'est d'avoir échappé à un viol qui les étonne !
Dès 19h30 nos nouveaux amis sont à la porte, impatients. Ils découvrent la villa et admettent que c'est le niveau au-dessus de la leur. La piscine plus grande leur plait bien mais c'est surtout les installations de muscu qui les font kiffer. Ils ont apporté les alcools et le vin. Et l'un d'eux après avoir repéré le bar s'improvise aux cocktails. Il nous fait des boissons délicieuses et pas trop chargées qu'on puisse profiter de notre soirée. Accompagné des tapas confectionnés par Paco, la soirée se lance parfaitement.
Sachant que le sexe viendra avec certitude, il n'y a pas de dérapage, même si les maillots prennent du volume. Justement les jeux de séductions fleurissent. Quand un mec devient trop chaud, il se plonge dans l'eau à 28° pour se rafraichir les idées. Yago, celui qui m'avait si bien sodomisé le martin même, me demande s'il pourra venir utiliser les postes de muscu. Vu sa largeur d'épaules j'en étais sûr. Mais quand il me dit ça, il regarde aussi mon petit cul moulé dans l'Aussiebum du moment.
J'éclate de rire et lui dit que c'est aussi mes 85Kg qui l'intéressent. Alors qu'il m'avoue que oui, me saute dessus mes trois amours (Ernesto, PH et Ludovic). Ayant entendu la dernière réplique, ils lui disent qu'il faudra aussi compter avec eux.
Du coup je situe qui est qui. C'est limite si Yago allait s'excuser de m'avoir enculé ! Ernesto l'attrape par le cou et le rassure. C'est juste qu'eux aussi veulent profiter de ses capacité physiques. Et il conclue ça par une grosse pelle. De son côté, il nous informe qu'il est le petit frère de Felipe.
Je vois Ernesto le jauger avant qu'il ne lui demande ce qu'il fait comme études. Je sens qu'il a une idée derrière la tête. Il me fait un clin d'oeil et me dit qu'il n'a personne de basé sur Madrid. Marc bat le rappel et nous commençons les grillades. Si Paco et Nathan s'y collent dans un premier temps, après chacun donne un coup de main, même les invités. L'ambiance est bonne et les vins apportés sont délicieux bien qu'espagnol (joke).
Je passe de groupe en groupe. Les discussions vont de savoir si les mecs draguent sur la plage (mes plus jeunes qui se renseignent) à des sujets plus sérieux : situations des uns et des autres, crise, autonomie... quand je m'introduis dans d'autres groupes.
La nuit tombe et les éclairages de la villa (piscine comprise) étirent des ombres fantasmagoriques. Les différents alcools commencent à faire leurs effets désinhibiteurs. Les deux groupes sont mélangés et les mains s'égarent enfin ! Avec mes trois amours, on kidnappe Yago et nous squattons une des chambres.
Pendant l'heure et demi qui a suivi, il n'a plus touché terre ! Entre sa bouche ses tétons, sa bite et sa rondelle, il y avait toujours l'un de nous sur le chantier. Mes " collègues " ont testé sa bite et ses coups de reins impérieux et tous ensembles (mais un par un) nous avons élargi sa rondelle. Pas salauds, quand il nous a dit ne pas avoir été sodomisé depuis longtemps, on y a été croissant. Mais il a pris méchamment son pied avec les 24 x6 d'Ernesto !  Nous n'étions pas de trop, à trois, pour maintenir son corps qui se tordait de plaisir. Moi j'étais à lui bouffer le téton droit comme PH se faisait le gauche et que Ludo utilisait tout son poids (planté sur ses 21cm) pour le stabiliser. Ses cris de plaisir ont rameuté son frère qui a été stupéfait de le voir emmanché sur une si grosse queue. Quand on démonte notre " échafaudage " je vois que son torse est couvert du sperme de Ludo, que les kpotes sont pleines (Yago et Ernesto). Avec PH, on s'agenouille et on se roule une pelle par-dessus Yago et en 2 mouvements de poignet, larguons à notre tour la sauce ! Felipe s'approche alors de son petit frère et s'enquière de lui. Il nous dit que c'est la première fois qu'il apprend que son frère s'est fait enculer. Il n'avait jusqu'alors jamais été autrement qu'Actif !! Yago encore un peu parti le rassure et lui dit qu'on avait été trop bons !! Passage dans la salle de bain, retrait des secrétions collant sur nos peaux puis nous retournons dans la mêlée. Felipe est derrière moi et sa main entre mes fesses pousse ses doigts contre ma rondelle.
Quand je lui dis que je n'ai pas encore gouté à ses amis, il pose la tête sur mon épaule et me dit que de toutes les manières j'avais baisé avec les deux meilleurs de leur groupe !! Comme nous atteignons le salon, il me plie sur le dossier du canapé et j'entends la déchirure d'un étui à kpote et 3 secondes plus tard, il me plante sa bite dans le cul ! Je me cambre et j'attrape son cou pour me retenir dressé. Je lui demande si c'est une vengeance pour la veille en boite ?
Non, mais je l'aurai mérité à avoir enculé les deux frères qui étaient jusque-là les purs Actifs de leur groupe ! Je le laisse se défouler dans mon cul. Il est bon à ce petit jeu lui aussi. Il alterne pilonnage du fond de mon trou avec de grandes envolées qui le font sortir de ma rondelle. Ludo nous rejoint. Il s'agenouille devant moi et me roule une pelle.
C'est juste après que je sens que la bite quoi me laboure n'est plus la même ! Je me dégage de ses mains et retourne la tête. Ils sont 6 bandés et kpotés derrières moi à attendre que mon trou soit libéré pour m'enculer à leur tour !!
Je laisse faire et profite du moment. Chacun a son style et c'est agréable par la variation d'effet que cela me procure. Marc passe et me traite gentiment de salope ! Pas faux non plus, même si mon Ludo conteste la chose. Evidement ça finit avec un mélange d'ADN sur mes reins.
Petit moment de calme après la tempête qui a secoué mon trou ! Nouvelle douche, Ludo m'accompagne et me donne des nouvelles des autres. Mes deux escorts ont été trouvés particulièrement bons et notre triplette s'est encore fait remarquer par leur ingéniosité dans les sodos de groupe !! Quand on rejoint la terrasse, les autres ont déjà en train de reprendre des forces avec les desserts. Je prends un café puis tombe à l'eau. Quelques ploufs derrière moi. Je suis rejoint par la triplette qui vient d'arriver.
Ils me coursent et m'attrapent, ce qui est facile dans ce genre de bassin. Ils m'agressent (roulage de pelles, collages contre moi), encore tous fous de leurs plans baises. Nathan me dit n'avoir jamais imaginé ce type de trip. Il réitère l'offre qu'il m'avait déjà faite de satisfaire à tout ce que je voudrai. C'est trop mimi, d'autant plus qu'il ne connait pas l'oiseau ! Il prend des risques. Enguerrand qui en sait plus, lui, sur ce dont je suis capable temporise et me dit qu'il est quand même un des membres du trio et qu'ils sont mes " petits frères ". Je vois où il veut en venir. Je les attrape tous les trois par le cou, les serre contre moi et leur promet de ne jamais abuser de leurs confiances. Des pelles anarchiques à 4 langues, scellent cette promesse. Nous donnons l'hospitalité à nos invités et ils ne nous quittent qu'après le brunch de midi.
Seul évènement notable du reste des vacances (les touzes, baises, dragues et divers passages en boites sans compter les têtes tournées par nos petits culs déambulant à la limite de la méditerranée) a été le recrutement de Yago comme Escort.
Comme la filiale espagnole a beaucoup de clients recto/verso, il devrait s'y plaire.
Ernesto l'avait jaugé au premier regard. Son physique allié à sa jeunesse et à ses performances sexuelles l'avait convaincu d'en faire un membre de notre équipe espagnole. Le fait qu'il ait quasiment passé le reste de notre séjour chez nous (plus de jeunes de son âge qu'avec son frère et ses amis) nous a facilité les choses quand à le cerner. Issu de parents de la classe moyenne ayant la chance de ne pas avoir perdu leurs travails, avec son grand frère déjà indépendant (d'où les vacances avec lui) il n'est restait pas moins que la vie était dure avec 2 frères plus petits que lui. Quand Ernesto lui a proposé un taf régulier, peu gourmand en temps et fortement rémunérateur, il a sauté dessus.
Entrant en école d'architecture, il s'était octroyé là son dernier mois de vacances avant de taffer à l'usine pour aider ses parents. Eureka ! J'ai la solution !! Quelques coups de téléphone, je lui décroche un stage rémunéré chez Olivier le mec de mon petit Pierre et architecte de son état. Je les savais en vacances en Juillet et donc au taf en Août. Yago est un peu éberlué de la vitesse avec laquelle sa vie est en train de changer.
Marc doit y aller de sa caution morale auprès du grand frère pour valider cette option. De mon côté je fournis tous les renseignements sur le cabinet d'architecture d'Olivier. Ce dernier nous envoie par mail le contrat de travail et le tout est bouclé avant notre retour en France. Ses parents sont ravis qu'il ait trouvé un travail dans sa future branche plutôt qu'à l'usine et après avoir été rassuré quant au fait que son séjour en France ne lui mangera pas ce qu'il va gagner, ils lui donnent leurs bénédictions.
J'en profite pour inviter Felipe à venir le voir, nous serions tous très heureux de l'accueillir quelques jours chez nous.
Retour en France. Nous sommes tous honteusement bronzés et nos culs blancs à nous les jeunes sont de véritables appels au viol. Petite déception, que des hôtesses pour servir la première classe !
Ludo et Enguerrand filent directement chez eux tout comme Nathan, Max et Romain alors que nous prenons nos quartiers à la campagne. Même si l'Espagne c'est bien, être chez nous l'est aussi ! João est avec nous et apprécie aussi le calme de cette nouvelle villégiature. Marc et Hervé reprennent le collier et nous quittent dès le lundi matin suivant notre retour.
Je laisse deux jours à mes " fermiers " d'amours avant d'aller les chercher. Ernesto m'accompagne alors que je leur emmène Max et Nathan. Mes " beaux-parents " sont ravis de nous voir tous en si bonne forme et tout bronzés. Surtout quand on se plonge dans leur nouvelle piscine. A son propos, ils ne savent comment nous remercier et nous disent en avoir jusque-là bien profité. Je me fais le porte-parole de tous en leur demandant juste de ne pas changer.
Le père, bronzé est vraiment canon et je suis content rien qu'à l'idée que mon Ludovic puisse devenir comme lui.
S'ils sont surpris de la présence d'Ernesto, ils n'en font pas cas. Côme est là aussi. Il revient juste de son stage obligatoire. Il est moqué quand en maillot, son bronzage " agricole " se révèle. Ok ce n'est pas un vrai de vrai car il s'est mis torse nu dès qu'il le pouvait. Mais on voit quand même les marques de ses t-shirts ! Le bon français d'Ernesto est félicité par les parents. Le père prévient la triplette qu'ils ont bien fait de prendre des vacances car maintenant ils allaient l'aider à la ferme. Madame mère les rassure aussitôt qu'en cette saison, c'était plutôt calme ! Nous restons dîner et rentrons tard à notre campagne à nous.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
2025 perfume
~~
Tumblr media
resolution: doing more sports next year
Tumblr media
12 notes · View notes
lerefugedeluza · 3 months ago
Text
Tumblr media
Saluuuuuut 🍁 🎃
Comme au printemps dernier, j' ai concocté un petit bingo spécial "lire sa PAL" alors je le partage ici aussi si jamais vous avez envie de lire les livres qui sont déjà dans votre bibliothèque !
Évidemment vous pouvez faire uniquement les cases qui vous inspirent ! Et pour ma petite sélection personnelle, voici la liste :
Un livre commencé mais jamais fini : Les Frères Karamazov de Fiodor Dostoïevski
Un livre qu'on nous a prêté : Bunny de Mona Awad
Un livre de la littérature Africaine : Americanah de Chimamanda Ngozi Adichie
Un pavé (qui nous fait peur) : L'homme qui savait la langue des serpents d'Andrus Kivirähk
Un livre dont le titre évoque l'automne : Le parfum des poires anciennes d'Ewald Arenz
Un livre d'un/e auteur/e qu'on a déjà lu : La reine Margot d'Alexandre Dumas
Un livre dans notre PAL depuis (trop) longtemps : Du côté de chez Swann de Marcel Proust
Un recueil de poésie/une pièce de théâtre : Je suis un volcan criblé de météores d'Etel Adnan
Un livre d'une vieille édition : L'Orme du mail d'Anatole France
Beaucoup d'énormes pavés mais on va dire que ça va le faire quand même...
Bonnes lectures ♡
10 notes · View notes
chic-a-gigot · 2 months ago
Text
Tumblr media
L'Art et la mode, no. 22, vol. 54, 20 novembre 1933, Paris. Bibliothèque nationale de France
Un satin ciré rayé mat et brillant — superbe tissu de soie artificielle — a été employé pour faire cette robe et ce boléro destinés aux lumières. Une garniture de plumes de coq borde les effets de paniers.
Gown and boléro of artificial silk satin striped in dull and brilliant, trimmed with rooster feathers.
Marcel Rochas
Photo Georges Saad
22 notes · View notes
alexar60 · 1 year ago
Text
Vulgaire
Tumblr media
Trois vieilles dames partant à la messe, s’arrêtèrent devant une affiche du film « Emmanuelle ». Elles étaient éberluées par ce qu’elles découvrirent.
La première : C’est un film,
La seconde : Un film ? Mais pourquoi est-elle à poil ?
La troisième : C’est un film cochon. Ça c’est sûr, c’est un film cochon.
La seconde : Et ils vont le passer au cinéma ?
La première : Oui, c’est prévu dans quinze jours.
La seconde : C’est scandaleux ! Tous les hommes vont aller le voir. En plus, elle fait vulgaire assise comme ça, cette trainée.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une petite trainée. Oui, c’est vraiment une petite trainée.
La seconde : Une pute, oui ! Comment s’appelle-t-elle ?
La première lit l’affiche et répondit lentement: Sylvia Kristel.
La seconde : Avec un nom pareil, c’est une étrangère en plus !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une étrangère. Il n’y a pas de trainée par chez nous.
La seconde : A tous les coups, c’est une allemande. Il n’y a que les allemandes pour se foutre à poil comme ça en photo. On a bien fait d’avoir gagné la guerre. Ça ne m’aurait pas plu d’être à poil en photo.
La première : Ou de Paris. Ma sœur a visité Paris et m’a dit qu’il y avait beaucoup de femmes de mauvaise vie dans Paris.
La seconde : C’est pareil. C’est pas de chez nous !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est pas de chez nous.
Un homme passe derrière eux. Il les salue en baissant sa casquette et continue de marcher en les regardant.
La seconde : A tous les coups, il va revenir mater l’affiche.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est un cochon.
La première : C’est parce qu’il boit. Il ne va pas à l’église. Il va jouer au tiercé en face. Il va boire et va rentrer saoul comme une bourrique.
La seconde : Elle va être contente sa femme ! Et ce film parle de quoi ?
La première : Je ne sais pas.
La troisième : Ça ne peut être qu’un film grossier. Elle fait tellement vulgaire sur l’affiche. Ça c’est sûr, c’est un film grossier.
La seconde : C’est la faute à Giscard. Depuis qu’il est président, la France fout le camp. Ça ne se serait pas passé comme ça avec Pompidou ni avec le Général.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est la faute à Giscard. Je n’aurais pas dû voter pour lui. Et c’est aussi la faute aux beatniks, ces jeunes mal-habillés qui traversent le village avec leurs motos.
La première : Tu as voté Giscard ?
La troisième : Oui, mon mari m’a dit de voter pour lui.
La seconde observe encore l’affiche : Et elle est maquillée comme une poufiasse.
La troisième : Ça c’est sûr, il n’y a que les poufiasses qui se maquillent. Ca fait vraiment vulgaire !
La première : Et ses seins sont tout petits. Elle n’a pas d’enfants.
La seconde : Encore heureux ! A sa place, je n’en ferai pas. J’aurais trop honte qu’ils voient le film.
La troisième : Ça c’est sûr, j’aurais honte aussi.
La première et la seconde commençaient à partir lorsque la troisième demanda : On laisse l’affiche comme ça ?
La première : Oui, on le signalera au curé. Il saura faire quelque-chose contre ce genre de mauvais film.
La seconde : En tous cas, si mon Marcel va voir le film, il prendra un coup de sac à main sur la tête.
La troisième : Et je suis sûr qu’il n’y a pas Louis de Funès dans ce film. Ça c’est sûr, il n’y a pas Louis de Funès.
Elles s’entrèrent dans l’église sans voir les deux garçons qui s’arrêtèrent devant l’affiche. Ils rougirent en voyant l’actrice nue avant de se poser des questions sur la poitrine des filles.
Le mari de la seconde n’ira jamais voir ce film. En revanche, le curé ira le voir incognito. Je veux dire sans son costume de curé.
Alex@r60 – août 2023
63 notes · View notes
fredandrieu · 6 months ago
Text
Tumblr media
Hultrasson chez les Scots Maurice Tillieux, Marcel Remacle et Marcel Denis Spirou n° 1406 25 mars 1965
9 notes · View notes
lounesdarbois · 9 months ago
Text
Tumblr media
Avec sa gamme de vêtements de sport et sa gamme de vêtements de ville, Lacoste est la seule firme qui ait le potentiel de concurrencer les marques italiennes de sport d’un côté, et les marques anglo-saxonnes de ville de l’autre côté. Lacoste est la seule firme qui détienne en propre le savoir-faire des deux branches complémentaires du casual, le casual-sport et le casual-chic, totalité que les italiens et les anglo-américains maîtrisent de manière parcellaire. En effet un client a le choix entre le vêtement de sport italien de Sergio Tacchini, Fila, Ellesse, Diadora, CP Company… ou le style anglais smart de Fred Perry, Hackett, Ben Sherman, Barbour, Aquascutum, Hilfiger et Façonnable. Mais c’est l’un ou l’autre. Ellesse ne produit pas d’imperméables et Barbour ne produit pas de survêtement. Cette continuité du casual n’est disponible que chez Lacoste dont le catalogue couvre l’intégralité du spectre casual. On pourra objecter que Fred Perry couvre aussi tout le panel, du survêtement au butcher coat. Vrai. Toutefois la marque Fred Perry, issue du mouvement skin, très ancrée dans les sous-cultures du rock, n’a jamais réussi à englober les nouveaux publics rap émergeant à partir des années 90. Seul Lacoste a su le faire et vendre tant à Dave Hewitson qu’à Clint Eastwood, à Damon Albarn qu’à Arsenik, mais encore à Jacques Chirac, à Richard Nixon, à Michel Audiard, à Hunter S. Thompson, à Dominique Venner, Marcel Bigeard, Lino Ventura, Bourvil, Liam Gallagher… En 1995, on pouvait voir les fameux survêtements portés tant par les personnages du film La Haine que par Jean-Marie Le Pen.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Lacoste est porté par des notaires et par des dealers, par des hipsters et par des hooligans, par des yuppies et des tradis, par des enfants et des patriarches. Lacoste est plébiscité dans le monde mais sous-évalué dans son propre pays, paradoxe typique d’une universalité toute française dont d’autres gloires nationales ont souffert dans le passé : la diplomatie parallèle de Philippe Berthelot, les intuitions algébriques de Poincaré, les principes économiques de Frédéric Bastiat et de Pierre-Joseph Proudhon, les trucages graphiques de Georges Méliès… nul n’est prophète en son pays.
Tumblr media
13 notes · View notes