#cellules d’habitation
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🔴 Trois habitants de Tel Sheva préparaient un attentat terroriste majeur à Tel Aviv
Le Shin Bet et la police ont annoncé jeudi avoir découvert une cellule terroriste composée d’habitants du Néguev qui prévoyait de commettre un attentat en Israël. Plusieurs suspects ont été arrêtés, dont trois habitants de Tel Sheva. Hier, ils ont été inculpés. Selon l’acte d’accusation, trois habitants de Tel Sheva, Wadia Ata, Asi Abu Asa et Maawia Abu Asa, étaient des personnalités clés et des…
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NICOLAS LOYSELEUR
JUGE
Il naquit le jour de l’Assomption, et fut dévot à la Vierge. Sa coutume était de l’invoquer en toutes les circonstances de sa vie et il ne pouvait entendre son nom sans avoir les yeux pleins de larmes. Après qu’il eut étudié dans un petit grenier de la rue Saint-Jacques sous la férule d’un clerc maigre, en compagnie de trois enfants qui marmottaient le Donat et les psaumes de la Pénitence, il apprit laborieusement la Logique d’Okam. Ainsi il devint de bonne heure bachelier et maître-ès arts. Les vénérables personnes qui l’instruisaient remarquèrent en lui une grande douceur et une onction charmante. Il avait des lèvres grasses d’où les paroles glissaient pour adorer. Dès qu’il obtint son baccalauréat de théologie, l’Église eut les yeux sur lui. Il officia d’abord dans le diocèse de l’évêque de Beauvais qui connut ses qualités et se servit de lui pour aviser les Anglais devant Chartres sur divers mouvements des capitaines français. Quand il eut environ trente-cinq ans d’âge, on le fit chanoine de la cathédrale de Rouen. Là, il fut bon ami de Jean Bruillot, chanoine et chantre, avec lequel il psalmodiait de belles litanies en l’honneur de Marie.
Parfois il faisait remontrance à Nicole Coppequesne, qui était de son chapitre, sur sa fâcheuse prédilection pour sainte Anastasie. Nicole Coppequesne ne se lassait point d’admirer qu’une fille aussi sage eût enchanté un préfet romain au point de le rendre amoureux, dans une cuisine, des marmites et des chaudrons qu’il embrassait avec ferveur ; tant que, la figure toute noircie, il devint semblable à un démon. Mais Nicolas Loyseleur lui montrait combien la puissance de Marie fut supérieure lorsqu’elle rendit à la vie un moine noyé. C’était un moine lubrique, mais qui n’avait jamais omis de révérer la Vierge. Une nuit, se levant pour aller à ses mauvaises œuvres, il eut soin, tandis qu’il passait devant l’autel de Notre-Dame, d’accomplir une génuflexion, et de la saluer. Sa lubricité le fit, cette nuit-là même, noyer dans la rivière. Mais les démons ne parvinrent point à l’emporter, et quand les moines tirèrent son corps de l’eau, le jour suivant, il rouvrit les yeux, ranimé par la gracieuse Marie. « Ah ! cette dévotion est un remède choisi, soupirait le chanoine, et une vénérable et discrète personne telle que vous, Coppequesne, doit lui sacrifier l’amour d’Anastasie. »
La grâce persuasive de Nicolas Loyseleur ne fut point oubliée par l’évêque de Beauvais lorsqu’il commença d’instruire à Rouen le procès de Jeanne la Lorraine. Nicolas se vêtit d’habits courts, laïques, et, sa tonsure cachée sous un chaperon, se fit introduire dans la petite cellule ronde, sous un escalier, où était enfermée la prisonnière.
— Jeannette, dit-il, se tenant dans l’ombre, il me semble que c’est sainte Katherine qui m’envoie vers vous.
— Et au nom de Dieu qui êtes-vous donc ? dit Jeanne.
— Un pauvre cordonnier de Greu, dit Nicolas — hélas, de notre malheureux pays ; et les « Godons » m’ont pris comme vous, ma fille — louée puissiez-vous être du ciel ! Je vous connais bien, allez ; et je vous ai vue mainte et mainte fois quand vous veniez prier la très sainte Mère de Dieu dans l’église de Sainte-Marie de Bermont. Et avec vous j’ai souvent ouï les messes de notre bon curé Guillaume Front. Hélas, et vous souvenez-vous bien de Jean Moreau et de Jean Barre de Neufchâteau ? Ce sont mes compères.
Alors Jeanne pleura.
— Jeannette, ayez confiance en moi, dit Nicolas. On m’a ordonné clerc quand j’étais enfant. Et, tenez, voici la tonsure. Confessez-vous, mon enfant, confessez-vous en toute liberté, car je suis ami de notre gracieux roi Charles.
— Je me confesserai bien volontiers à vous, mon ami, dit la bonne Jeanne.
Or on avait percé un trou dans la muraille ; et au dehors, sous un degré de l’escalier, Guillaume Manchon et Bois-Guillaume inscrivaient les minutes de la confession. Et Nicolas Loyseleur disait :
— Jeannette, persistez dans vos paroles, et soyez constante, — les Anglais n’oseront point vous faire de mal.
Le lendemain Jeanne vint devant les juges. Nicolas Loyseleur s’était placé avec un notaire dans le retrait d’une fenêtre, derrière un drap de serge, afin de faire grossoyer les charges seulement et laisser en blanc les excuses. Mais les deux autres greffiers réclamèrent. Lorsque Nicolas reparut dans la salle, il fit de petits signes à Jeanne afin qu’elle ne semblât point surprise, et assista sévèrement l’interrogatoire.
Le 9 mai, il opina dans la grosse tour du château que les tourmentements étaient instants.
Le 12 mai, les juges s’assemblèrent dans la maison de l’évêque de Beauvais, afin de délibérer s’il était utile de mettre Jeanne à la torture. Guillaume Erart pensait que ce n’était point la peine, y ayant matière assez ample et sans torture. Maître Nicolas Loyseleur dit qu’il lui semblait que pour la médecine de son âme, il serait bon qu’elle fût mise à la torture ; mais son conseil ne prévalut pas.
Le 24 mai, Jeanne fut menée au cimetière de Saint-Ouen où on la fit monter sur un échafaud de plâtre. Elle trouva près d’elle Nicolas Loyseleur qui lui parlait à l’oreille tandis que Guillaume Erart la prêchait. Quand elle fut menacée du feu, elle devint blanche ; tandis que le chanoine la soutenait, il cligna des yeux vers les juges et dit : « Elle abjurera. » Il lui conduisit la main pour marquer d’une croix et d’un rond le parchemin qu’on lui tendit. Puis il l’accompagna sous une petite porte basse et lui caressa les doigts :
— Ma jeannette, lui dit-il, vous avez fait une bonne journée, s’il plaît à Dieu ; vous avez sauvé votre âme. Jeanne, ayez confiance en moi, parce que si vous le voulez, vous serez délivrée. Recevez vos habits de femme ; faites tout ce qu’on vous ordonnera ; autrement vous seriez en danger de mort. Et si vous faites ce que je vous dis, vous serez sauvée, vous aurez beaucoup de bien et vous n’aurez point de mal ; mais vous serez en la puissance de l’Église.
Le même jour, après dîner, il vint la voir dans sa nouvelle prison. C’était une chambre moyenne du château où on arrivait par huit degrés. Nicolas s’assit sur le lit près duquel était un gros bois lié à une chaîne de fer.
— Jeannette, lui dit-il, vous voyez comment Dieu et Notre-Dame vous ont fait en ce jour une grande miséricorde, puisqu’ils vous ont reçue en la grâce et miséricorde de notre Sainte Mère l’Église ; il faudra obéir bien humblement aux sentences et ordonnances des juges et personnes ecclésiastiques, quitter vos anciennes imaginations et ne point y retourner, sans quoi l’Église vous abandonnerait à jamais. Tenez, voici d’honnêtes vêtements de prude femme ; Jeannette, ayez-en grand soin ; et faites bien vite tondre ces cheveux que je vous vois et qui sont taillés en rotonde.
Quatre jours après, Nicolas se glissa la nuit dans la chambre de Jeanne et lui vola la chemise et la cotte qu’il lui avait données. Quand on lui annonça qu’elle avait repris ses habits d’homme :
— Hélas, dit-il, elle est relapse et chue bien profondément dans le mal.
Et dans la chapelle de l’archevêché, il répéta les paroles du docteur Gilles de Duremort :
— Nous juges, nous n’avons qu’à déclarer Jeanne hérétique et à l’abandonner à la justice séculière en la priant d’agir doucement avec elle.
Avant qu’on la menât au morne cimetière, il vint l’exhorter en compagnie de Jean Toutmouillé.
— Ô Jeannette, lui dit-il, ne cachez plus la vérité ; il ne faut penser maintenant qu’au salut de votre âme. Mon enfant, croyez-moi : tout à l’heure, parmi l’assemblée, vous vous humilierez et vous ferez, à genoux, votre confession publique. Qu’elle soit publique, Jeanne, humble et publique, pour la médecine de votre âme.
Et Jeanne le pria de l’en faire souvenir craignant de ne point oser devant tant de monde.
Il demeura pour la voir brûler. C’est alors que se manifesta visiblement sa dévotion à la Vierge. Sitôt qu’il entendit les appels de Jeanne à sainte Marie, il commença de pleurer à chaudes larmes. Tant le nom de Notre-Dame le remuait. Les soldats anglais crurent qu’il avait pitié, le souffletèrent et le poursuivirent l’épée haute. Si le comte de Warwick n’eût étendu la main sur lui, on l’égorgeait. Il se hissa péniblement sur un cheval du comte et s’enfuit.
Pendant de longues journées il erra sur les routes de France, n’osant retourner en Normandie et craignant les gens du roi. Enfin il arriva dans Bâle. Sur le pont de bois, entre les maisons pointues, couvertes de tuiles striées en ogives, et les poivrières bleues et jaunes, il eut soudain un éblouissement devant la lumière du Rhin ; il crut qu’il se noyait, comme le moine lubrique, au milieu de l’eau verte qui tourbillonnait dans ses yeux ; le mot de Marie s’étouffa dans sa gorge, et il mourut avec un sanglot.
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Technologies de l’information et de la communication : Où va-t-on ?
Aujourd’hui la Covid-19 n’a plus la même importance dans l’actualité. Elle a pourtant façonné en profondeur un monde nouveau.
On se demande comment cette crise saugrenue a joué un rôle dans les usages ainsi que l’appropriation des technologies de l’information et de la communication.
L’objet de cette enquête est d’identifier les enjeux liés à l’ordre technologique ainsi que les formes de contre-pouvoir qu’on envisage dans les humanités numériques[1].
Les analyses et les statistiques qui concernent les géants du web n’en finissent pas de mettre en exergue des résultats post-pandémiques hors normes.
Croire que le confinement a été une expérience dans un laboratoire d’un tout nouveau genre est une image assez intéressante. Il n’en demeure pas moins que les décisions politiques mises en place pour contrer la Covid-19 ont été pour la plupart mimées. Donc hasardeuse.
Une aubaine pour les magnats de la technologie. Une coïncidence au caractère inopiné. Les outils que ces premiers continuent de nous proposer ont de quoi « nous épargner » de sortir et d’être confronté aux risques extérieurs. Le tout en maintenant une expérience personnalisée et confortable.
Nos lieux d’habitations ressemblaient bel à des prisons. Des cages dorées pour les privilégiés. Mais qui sont loin d’être aussi reluisantes pour la grande partie des populations qu’on n’imagine pas se laisser enfermer. Un quartier peut être métaphoriquement décrit comme un ensemble de cellules. On a fini par plonger la tête a première dans le monde des algorithmes, de l’internet des objets et de l’autonomisation. On flotte dans le gouffre du cyberespace. Et on n’est pas près de revenir en arrière.
Cela n’est pas sans risque. Les grands secteurs impactés par cette expérience sont ceux du transport, de l’éducation ou de la culture. Il est difficile d’imaginer un monde sans contact. Bien que théoriquement, tout porte à croire que nous avons là un monde meilleur. Cela va sans dire qu’il y a toujours une limite dans la pratique.
Dans ce gouffre du cyberspace, L’Intelligence Artificielle et sa longue chaine de valeur propose ouvertement un schéma pyramidal, avec elle au sommet, et à la base une main d’œuvre dominées et exploitées comme il convient dans la plupart des histoires de l’Homme que l’on a fait. Une domination que vont réglementer les gouvernements. L’union de ces derniers aux acteurs technologiques est vraiment inquiétante. Dans la mesure où les libertés et les valeurs, rudement acquises, risquent de prendre l’eau.
Que dire alors des pays qui présentent des excès ainsi que des abus dans l’exercice des pouvoirs ?
Une lueur d’espoir
Des citoyens inquiets, passés maitres en matière de sujets à grands enjeux sociétaux représentent un contre-pouvoir invisible mais prépondérant. Observateurs des pratiques et des usages, ils questionnent la montée en puissance des acteurs privés. Il faudra rester aux aguets et continuer à jurer par la vérité et par la patience. Les libertés étant de plus en plus régulées, rien n’est laissé au hasard ( en dehors des mesures d’urgence ) car tout est enclin à la gestion. Toujours au nom de la sécurité ? Mais laquelle ?
Comme imagé plus tôt, on a un « attroupement » des internautes en clusters. Un amas de groupes de communautés. Cet « attroupement » peut être perçu comme un modèle de démocratie. Et de la même manière comme une forme de surveillance. Tandis qu’on devrait soumettre la technologie à ces deux concepts. C’est plutôt cette même technologie, qui, à grands coups de campagnes de lobbying n’en a pas fini d’enclencher des mutations dans la société.
Le Health Data Hub : Un cas d’école
Le 22 juillet 2022 le Health Data Hub, qui est un portail qui vise à centraliser un énorme volume de données en lien avec la santé est devenu l’entité gérante des renseignements sur la santé en Europe.
Un rapport des Amis de la Terre France et de l’observatoire des multinationales est révélateur sur le lobbying invisible. Il observe qu’il est impossible de mesurer les influences sur les rendus par le conseil d’état. Néanmoins un mécanisme équivalent à celui des « portes étroites » (un principe mis en lumière dans la mécanique des décisions du conseil constitutionnels) existe également au niveau du conseil d’état, il manque d’autant plus en transparence. Quand on se penche sur les explications de l’état Français quant à l’attribution du stockage des données à un acteur d’abord non-Français et extra-européen ensuite, on peut se dire qu’elles tiennent la route. L’ancien secrétaire d’état numérique Cédric O répondait à la question de cette manière : « Une solution française ne nous permettait pas de faire les recherches scientifiques que nous souhaitions faire, avait-il expliqué. Dès lors, il y avait un choix cornélien : est-ce qu’on mettait en avant d’abord l’efficacité sanitaire ou la question de la souveraineté ? ».
Finalement, nous sommes dans une hégémonie capitaliste qui est très sensible à la concurrence. L’internet physique est soumis à la préemption du marché et c’est à qui a le plus de volonté. Ne pas l’accepter car centralisant d’avantage la puissance d’un groupe privé reviendrait à souhaiter que le réseau soit traité comme s’il appartenait au domaine public.
Mais en fait, c’est qui qui décide ?
L’absence de débat public est une constante dans le traitement de ce genre de problématique. Il n’en demeure pas moins qu’il y a une justice qui s’applique une fois qu’elle est sollicitée. La notion de vie privée est émergente, en ce qui concerne les données, elle est tout autant imprécise et fluctuante. Il est établi qu’on collecte beaucoup plus de données qu’il n’en faudrait. Il y a un marché très lucratif et séduisant.
La collecte de données peut porter atteinte à la personne. L’article 9 du code civil protège la vie privée. Cette dernière a une valeur constitutionnelle. La limite dans cette question réside dans l’identification. Tant que cette dernière n’est pas établie, il n’y a pas risque de litige.
Il n’est pas rassurant de rappeler qu’en dehors de l’union européenne, la sécurité vis-à-vis des données n’existe pas. Le règlement général sur la protection des données est d’autant plus révolutionnaire en la matière.
La commission européenne a annoncé que le RGPD avait atteint la plupart de ses objectifs.
La sécurité des données englobe des thématiques centrales qui gravitent autour d’une logique précise. Elle concerne d’abord la sécurité des fichiers qui vont servir à stocker les données collectées. Une ordonnance est prévue à cet effet. Elle indique les mesures adéquates et ces dernières concernent tout simplement la sécurité des locaux ainsi que celle des accès numériques. Ensuite il y a la sécurité de la collecte de données et la confidentialité qui concerne donc les personnes autorisées à consulter ces fichiers. Une durée de conservation allant de 1 à 3 mois est une des thématiques. Enfin Le fichier de collecte doit comporter l’autorisation de la CNIL en plus de s’inscrire en continu dans les finalités des traitements annoncées.
Ces éléments qu’on peut qualifier de défensifs sont dérisoires en comparaison aux moyens mis en œuvre par les acteurs privés de la technologie. Parmi ces moyens le lobbying. Mais plus important encore, la captation de l’attention. Herbert Simon la définit comme étant : « la somme des temps de visionnage, d’audition et d’usage. On passe de plus en plus notre temps à effectuer ces actions ». Google, Facebook ou Youtube vendent à des annonceurs de l’attention « récupérée » sur nos cerveaux.
Vu de cette manière, on a de quoi s’inquiéter. Cependant dans une autre perspective, on peut trouver une utilité grâce à la nature de la recommandation. Elle est supposée nous faire gagner le temps de recherche ou de découverte. Doit-on paniquer de se savoir constamment sur écoute par une intelligence artificielle ? ou se réjouir à l’idée de recevoir une offre publicitaire de matelas après avoir suggéré de vive voix a un cousin de venir passer le week-end chez nous ?
On il y a quelques années n’importe qui trouvait cela révoltant. Désormais on l’accepte a grande échelle et certain préfèrent voir le verre à moitié plein.
Un contrepouvoir visible : La communauté d’internautes.
Des formes de contre-cultures existent depuis la mise au point des réseaux d’internet. Chaque époque a rêvé de celle qui allait la suivre. Nos contemporains eux, ne se soucient pas de transformer la nôtre en cauchemar avant de la léguer à la génération suivante.
L’humanité numérique peut jouer un rôle de contre-pouvoir. Pour rééquilibrer la tendance.
Repenser l’humain au centre du cyberespace est idéal idéologiquement parlant. Il y a cependant des qualités techniques et surtout relationnelles à développer. La construction d’une société dématérialisée basée sur le partage et l’ouverture ne devrait rien avoir d’utopique. Bien au contraire. Cette construction est en train d’avoir lieu. Il en va donc de l’autonomie collective d’y prendre part. La culture participative basée sur le partage implique la construction de communautés. Elle demande beaucoup de désir et de volonté
Le débat public évoqué plus tôt est vraiment à la portée dans pareilles circonstances. Concertations et consultations de mises, on pourrait imaginer les politiques publiques dans la transparence nécessaire.
Plus facile à dire qu’à faire. Car pour se faire il va falloir considérer le web comme un espace démocratique où il y a une place pour chacun et ou toutes les places se valent.
Dans quelle direction va-t-on.
L’humanité numérique doit s’imbriquer dans le concept de société qui est déterminé par l’action publique, la citoyenneté ainsi que la gouvernance. En plus de graviter autour de la culture, elle doit se reposer sur un travail qui aura pour obligation d’être libéré. C’est-à-dire une vision particulière dans les modèles de production. L’intégration du télétravail dans nos vies post-épidémiques peut être un point de départ. Elle est déjà significative en matière de transition numérique. D’après Mathieu Beucher CEO de Klaxoon. Une société spécialisée dans l’édition de logiciels applicatifs destinés à faciliter l'organisation des réunions en entreprise. Il affirme qu’avec le Covid, les entreprises ont gagné 3 à 7 ans dans leur transformation digitale en quelques semaines seulement.
A l’époque où l’on parle d’un renouvellement de nos structures de perception, notre manière de nous sentir ainsi que notre appréciation de la réalité est en mutation. Les machines ont pourtant mis en évidence les limites du corps humain. Et de la même manière le numérique a désigné celles de l’esprit. Cependant le cerveau humain demeure imbattable sur certain aspect et tant que cet écart persiste, il n’y a aucune raison de paniquer. S’inquiéter devrait suffire.
[1] Sciences humaines numériques composées de différents champs d’étude qui sont les suivants : Le domaine de la recherche de l’enseignement et de l’ingénierie au croisement de l’informatique et des arts, lettres, sciences humaines et sciences sociales.
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Pascal Hausermann | Maisons Spatiales | cellules d'habitation | Novery, Francia | 1963-1966
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Absalon, Cellule d’habitation, 1990-1993
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Des concerts à Paris et alentour en gras : les derniers ajouts :-: in bold: the last news Novembre 06. Scattered Purgatory + Qian Geng + UVB76 + ruò tán – Le Cirque électrique 06. Minus Pilot + GNG + Thomas Stone + Kevin Buckland – Café de Paris 06. Mont Analogue + Les Halles + Bravo Tounky – Garage Mu 06. Guitar Wolf + School Disco – Gibus 06. Glacial – Instants chavirés (Montreuil) 06. Fred Terror + BLNDR + Paulie Jan + Panzer – Rex Club 06. The Murder Capital – Nouveau Casino ||COMPLET|| 07. Camilla Sparksss + Hyperculte [+ Xiu Xiu : ANNULÉ] – Petit Bain 07. Kælan Mikla + Leroy se meurt – La Boule noire 07. The Flamenco Thief + Fauna y Flora – La Ville d'Épinal 07. Randomer + Parallx + Parfait – Glazart 08. 10LEC6 + Mad Rey + Promesses (Salon Offprint) – École des Beaux-Arts (gratuit) 08. Bedroom Community – Cité de la musique|Philharmonie 08. Part Chimp + Gnod + Hey Colossus – Petit Bain 08. Sourdurent + Raymonde – Pan Piper 08. Jad Wio + Love in Prague – Gibus 08. Crystal Geometry + Monya + Size Pier + Kaya + Sina XX – La Station 08. Jennifer Cardini b2b Gerd Janson + Mouse on Mars + Fantastic Twins + Oko DJ + Miley Serious b2b Philipp Strobel (10 ans d’Arte concert) – La Machine (gratuit sur résa) ||COMPLET|| 08. Boy Harscher – Trabendo ||COMPLET|| 09. Trotski nautique (20 ans de l’Omadis) – Omadis (gratuit) 09. Molchat Doma + War Scenes – La Station 09. Fleuves Noirs + Thank + Drive with a Dead Girl + Panico Panico – Le Rigoletto 09. Leroy se meurt + Staatseinde – Le Zorba 09. Kwartz + ABSL + Toscan Haas – Glazart 10. Amiina : cinéconcert sur "Fantomas" de Louis Feuillade – Le Studio|Philharmonie 10. Ólafur Arnald + Hugar – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 10. Nosfell : “Süanij, dans la forêt du songe” (fest. Paris en toutes lettres) – Maison de la poésie 10. ToutEstBeau + Mort né + Sebum XS + Stator + Nouveau Système – Les Nautes 10. Anetha + Talisman + Claudio PRC – Dehors brut 10. Fontaine D.C. – Bataclan ||COMPLET|| 11. Friponnes de Porc + Flesh World + Sergej Vutuc – tbc 12. Deerhunter + Moon Diagrams – Trabendo 12. Up-Tight + Officine – Instants chavirés (Montreuil) 13. Mick Harvey & JP Silo, Steve Shelley, Glenn Lewis – Les Trois Baudets 13. Melania + Kiddo – Badaboum 14. Dinah Bird & Jean-Philippe Renoult (Inaudible Matters) – La Gaîté lyrique 14. Girl Band + Silverbacks – La Maroquinerie 14. Automatisme + Lacustre (Sulfure fest.) – Le vent se lève 14. Le Crabe + LR 666 + W 666 D + Insin – Café de Paris 14. Stella Chiweshe + Is a Fish – Instants chavirés (Montreuil) 14. Manni Dee + Remco Beekwilder + Mental Infection – Glazart 15. Von Pariahs + Nursery – Point FMR 15. Tendra Ael + City Dragon + Meryll Ampe + Divisas – La Pointe Lafayette 15. Scrtch + Feromil + Mistress Bomb H – Le Cirque électrique 15. Chemical Brothers – Seine musicale (Boulogne-Billancourt) 15. Karenn + 16H07 + Antigone... (Big Bang Festival) – Les Docks de Paris 15. Ron Morelli + Krikor + A.T. + Gabriel D.ko + Mad Pablo – La Bellevilloise 15. Kap Bambino – La Gaîté lyrique ||ANNULÉ|| 16. Princess Century + Grand 8 + The Disease – L'International 16. Magrava + ruò tán + Jesus Cry Stalin – Le Picolo (Saint-Ouen) 16. Kas:st + Agoria + Bambounou b2b François X + Charles Kenkler + Matrixxman + Remcord...(Big Bang Festival) – Les Docks de Paris 17. Nitzer Ebb + Liebknecht – La Machine 17. Tropical Fuck Storm + Unschooling – Badaboum 18. Omni + The Gotobeds + Pleasure Principle – La Boule noire 18. Surf Curse + edgar déception + Fiasco – Supersonic (gratuit) 19. Earth + Helen Money – Petit Bain 20. Lucy Railton + Sean Baxter + Jessica Ekomane – Instants chavirés (Montreuil) 21. Cate Le Bon + Grimm Grimm – Petit Bain 21. Haco + Emiko Ota avec KiriSute Gomen – Studio Campus 21. Vincent Ségal, Clément Saunier, Odile Auboin, Jossalyn Jessen et Gilbert Nouno jouent des pièces de Peter Eötvös, Yan Maresz, Gilbert Nouno et Fausto Romitelli (fest. Innovasounds) – Le 104 21>23. Nosfell : “Le Corps des songes” (fest. New Settings) – Théâtre de la Cité internationale 22. eRikm + Franck Vigroux & Antoine Schmitt : “Chronostasis” (fest. Innovasounds) – Le 104 22. Rubin Steiner + Dombrance + Ambeyance + Meteo Mirage – La Maroquinerie 22. Kazu Makino (Blonde Redhead) – Les Étoiles 22. Vixen + Faast – Badaboum 22. Nursery + Casse Gueule + Tout de suite – Cirque électrique ||ANNULÉ|| 22. Drew McDowall – Protocol (Pantin) ||ANNULÉ|| 23. Franck Vigroux & Kurt d’Haeseleer : “The Island (part. 1)” + Cinna Peyghamy (fest. Bruits blancs) – La Muse en circuit (Alfortville) (gratuit sur résa) 23. Trio Sacher + Ensemble intercontemporain (fest. Innovasounds) – Le 104 23. Piloot + Spelterini + Rastrejo + Tachychardie – Espace B 23. Arrington de Dionyso – Le Zorba 23. Billy Childish + Le Villejuif Underground + Petausaure (fest. BBmix) – Carré Bellefeuille (Boulogne-Billancourt) 23. 999999999 + Jawbreakrs + Nico Moreno + Perc + Sentimental Rave + Softcoresoft + Trym + Parfait + UR trax – tba 23. Crystal Distortion + Jeff23 + 69db + Ixindamix – Dehors brut 24. TR/ST + Ela Minus – Le Trianon 24. Mdou Moctar – La Boule noire 24. Midori Takada + Carla dal Forno + Felicia Atkinson (fest. BBmix) – Carré Bellefeuille (Boulogne-Billancourt) 24. The Young Gods + Les Tétines noires – La Machine 25. Unité d’habitation + Geography of Hell + Skin Crime + Rainforest Spiritual Enslavement + Becka Diamond – Le Klub 26. Wardruna – Olympia 27. Poly-Math + Bruit ≤ + Maven – Supersonic (gratuit) 27. The Stranglers – Olympia 27. Silly Joy + Raskolnikov + Jupiter Jane – L’International 27. Le Singe blanc + Double Nelson + Putavelo – Le Cirque électrique 27. The Stranglers + Ruts DC – L’Olympia 27. Hélène Breschand, Tarek Atoui & Cécile Mont-Reynaud : “Pandore” + Ensemble Motus joue Tony Conrad et Elsa Biston (fest. Bruits blancs) – Anis Gras (Arcueil) 28. The Psychotic Monks – Trabendo 28. Artl + Powerdove – Petit Bain 28. OD Bongo + Richard Frances & Konpyuta + Domotic – 100ECS 28. Michel Maurer : “Collection de petites pièces” et “Fragments d’un journal intime” (fest. Mesure pour mesure) – Instants chavirés (Montreuil) 28. ABSL + Blush Response + Kuss + Ferdinand Prairie – Rex Club 28. Derek Holzer : “Vector Synthesis” + Cate Hope & Lisa McKinney : “Super Liminum” + Antoine Schmitt & Hortense Gauthier : “CliMax” (fest. Bruits blancs) – Le Cube (gratuit sur résa) ||COMPLET|| 29. Le Syndicat + Entre Vifs – Les Voûtes 29. Balladur + Tôle froide + Poupard – Badaboum 29. Scanner & eRikm + Hélène Breschand + eRikm : “Le Piano englouti” de Brunhild Meyer-Ferrari (fest. Mesure pour mesure) – Nouveau Théâtre de Montreuil 29. Ulrich Krieger : “Raw” + Cellule d’intervention Metamkine (fest. Bruits blancs) – La Muse en circuit (Alfortville) 29. Maoupa Mazzocchetti + Filmmaker + Club Meth + Detective Unit + Jean Redonodo + Shlagga – La Station 30. Mondkopf – Médiathèque musicale de Paris (gratuit) 30. Aidan Baker & BOW Quintet + SEPL (Sulfure fest.) – Le vent se lève 30. Ulrich Krieger + Natacha Muslera + Julien Desprez + Eryck Abecassis + Sylvaine Hélary avec Clyde Chabot, Jean Cagnard, Ismaël Jude, Nathalie Papin et Michel Simonot (fest. Bruits blancs) – Anis Gras (Arcueil) 30. Donato Dozzy + Max Cooper + Terry & Cyan Riley + Ensemble intercontemporain : "Drumming" de Steve Reich + Ensemble Social Silence : "Music for Airport" de Brian Eno + Apollo noir + Récital pour marimbas (Marathon fest.) – La Gaîté lyrique ||COMPLET|| Décembre 01. Motorama – La Maroquinerie 01. Ghedalia Tazartes & Rhys Chatham (Semaine du bizarre) – Théâtre Berthelot (Montreuil) 02. Carambolage + Galère + The Bardogs – Supersonic (gratuit) 03. White Hills – Supersonic (gratuit) 03. Belgrado – Espace B 05. Cent Ans de solitude + Kazehito Seki + Joachim Montessuis – Instants chavirés (Montreuil) 06. The Flying Luttenbachers – The University of Chicago Center (gratuit sur résa) 06. Phillip Glass Ensemble : cinéconcert sur "Koyaanisqatsi" de Godfrey Reggio – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 06. dDamage + Arnaud Rebotini (dj) + Mondkopf (dj) + Sister Iodine + Krikor (dj) + White Heat + Dr(dr)one + Grorille (dj) + Panzer (dj) + Paulie Jan + Le Dogue (dj) – La Station 06. Nina Garcia & Maria Bertel + France Sauvage + Somaticae (Semaine du bizarre) – Théâtre Berthelot (Montreuil) 06. Answer Code Request + Regis + Raslan b2b Yoannis – La Seine musicale (Boulogne-Billancourt) 07. Phillip Glass Ensemble : cinéconcert sur "Powaqqatsi" de Godfrey Reggio – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 07. Kokoko! – La Gaîté lyrique 07. I Hate Models – tba 08. Phillip Glass Ensemble : cinéconcert sur "Naqoyqatsi" de Godfrey Reggio – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 08. Mark Lanegan Band + The Membranes – Le Trianon 10. White Bouse + Drone à clochettes + Thomas Zielinski + Thharm + Ex_Pi – Instants chavirés (Montreuil) 11. Boris – Le Gibus 11. Kaffe Matthews + Phil Minton, Audrey Chen & Onceim – La Dynamo (Pantin) 12. Mono + Jo Quail – Petit Bain 12. Heldon + Duncan – Instants chavirés (Montreuil) 12. Maya Dunietz + Jacques Perconte & Onceim – La Dynamo (Pantin) 12. Bas Mooy + VTSS + Eklpx – Glazart 12. Kompromat (Vitalic & Rebeka Warrior) – La Cigale ||COMPLET|| 13. Contrefaçon – La Gaîté lyrique 13. Regards extrêmes + Lisieux + Ascending divers – Les Voûtes 14. Ludwig Von 88 – Le Trianon 15. The Ex + 75 Dollar Bill – Instants chavirés (Montreuil) 17. Thomas Ankersmit + Gaël Segalen – Instants chavirés (Montreuil) 18. Amenra – Bataclan 20. Varg + Christoph de Babalon + Les morts vont bien + Powerplant + Fever 103° (fest. Magnétique nord) – La Station 20. Hector Oaks + Nene H + Nur Jaber + Parfait + Pawlowski – tba 21. Youth Avoiders + Chain Cult + Short Days + Bleakness – Espace B 21. A.N.I + Maraudeur + Raymonde + Ece Özel + Accou (fest. Magnétique nord) – La Station 21. Anetha + Introversion + Jacidorex + Parfait + Schake – tba 2020 Janvier 04. Rokia Traoré + Ballaké Cissoko & Vincent Segal – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 11. Last Night + Euromilliard + Kumusta – Gibus 16. Black Midi – Le Carreau du Temple ||COMPLET|| 17. Edith Nylon – Petit Bain 17. Scratch Massive + Lokier + Cassie Raptor + Faast + Kiddo – Badaboum 17. Dafne Vicente-Sandoval + Ji Youn Kang + Thomas Lehn : « Occam VI » d’Eliane Radigue + Tiziana Bertoncini, Antonin Gerbal, David Grubbs, Ji Youn Kang, Thomas Lehn, eRikm & Dafne Vicente-Sandoval : « Et tournent les sons dans la garrigue » de Luc Ferrari – Le 104 18. Lee Ranaldo & Raül Refree – Le 104 18. Franck Vigroux : "Flesh" (Biennale Nemo) – Maison des arts et de la culture (Créteil) 24. Penguin Cafe + Lubomyr Melnyk + Peter Broderick + Anne Müller + Hatis Noit + Janus Rasmussen – La Gaîté lyrique 26. The Fat (cinéconcert pour enfants) – La Gaîté lyrique 29. Rendez-Vous – La Cigale 30. Editors – Salle Pleyel 31. Tindersticks – Salle Pleyel 31. It It Anita + Mss Frnce + Flowers + Angle mort et clignotant + Casse Gueule + La Jungle – Petit Bain Février 02. Sunn o))) – La Gaîté lyrique 09. Explosions in the Sky – La Cigale 10. The Murder Capital – Café de la danse 13. Ride – Le Trianon 16. Orchestral Manoeuvre in the Dark – La Cigale 18. Biliana Voutchkova + Judith Hamann – Instants chavirés (Montreuil) 21. Ensemble Links joue "Drumming" de Steve Reich + Cabaret contemporain : "Détroit" + Molécule – Le 104 24. Sleater Kinney – Le Trianon Mars 02. DIIV – La Gaîté lyrique 03. Napalm Death + EYEHATEGOD + Misery Index + Rotten Sound – La Machine 03/04. The Mission – Petit Bain 05. Orange Blossom : “Sharing” avec les machines de François Delarozière – Élysée Montmartre 06. Frustration – Le Trianon 07. Ensemble intercontemporain joue Steve Reich : cinéconcert sur un film de Gerhard Richter – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 07. Alcest + Birds In Row + Kælan Mikla – La Machine 10. Arnaud Rebotini : live pour “Fix Me” d’Alban Richard – Centre des Arts (Enghien-les-Bains) 11. Nada Surf – La Cigale 13. Russian Circle + Torche – Bataclan 17. Chelsea Wolf – La Gaîté lyrique 20. Ensemble Dedalus : "Occam Ocean" d'Éliane Radigue – Le Studio|Philharmonie 21. Front 242 + She Past Away – Élysée Montmartre 21/22. Laurie Anderson : "The Art of Falling" – Cité de la musique|Philharmonie 27. Lebanon Hanover – La Gaîté lyrique 27. Maggy Payne : « Crystal » (diff.) + 9T Antiope + John Wiese + Matthias Puech + Nihvak (fest. Présences électronique) – Studio 104|Maison de la Radio 28. Ensemble Links : "Drumming" de Steve Reich + Cabaret contemporain joue Kraftwerk – théâtre de la Cité internationale 28. Iannis Xenakis : « Mycenae Alpha » (diff.) + Marja Ahti + Rashad Becker + Nina Garcia + Kode9 (fest. Présences électronique) – Studio 104|Maison de la Radio 29. Ivo Malec : « Recitativio » + Eve Aboulkheir + Richard Chartier + Lee Gamble + Will Guthrie & Mark Fell (fest. Présences électronique) – Studio 104|Maison de la Radio Avril 03. CocoRosie – Le Trianon 14>17. Metronomy – La Cigale 18. Siglo XX – La Boule noire 27. Caribou – L’Olympia Mai 08. Max Richter : "Infra" + Jlin + Ian William Craig – Cité de la musique|Philharmonie 09. Max Richter : "Voices" – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 09. Jonas Gruska + Leila Bordreuil + Jean-Philippe Gross + Kali Malone (fest. Focus) – Le 104 10. Iannis Xenakis : « La Légende d’Eer » + Folke Rabe : « Cyclone » et « What ??? » (fest. Focus) – Le 104 10. Max Richter : "Recomposed" & "Three Worlds" – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 19. Swans + Norman Westberg – Le Trabendo 22. François Bayle : « Le Projet Ouïr » + Marco Parini : « De Parmegiani Sonorum » + Yan Maresz (fest. Akousma) – Studio 104|Maison de la Radio 23. Julien Négrier + Hans Tutschku : « Provenance-émergence » + Félicia Atkinson : « For Georgia O’Keefe » + Warren Burt + Michèle Bokanowski (fest. Akousma) – Studio 104|Maison de la Radio 24. Philippe Mion + Pierre-Yves Macé : « Contre-flux II » + Daniel Teruggi : « Nova Puppis » + Adam Stanovitch + Gilles Racot : « Noir lumière » (fest. Akousma) – Studio 104|Maison de la Radio 23. Damon Albarn – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 24. Damon Albarn – Salle Pierre Boulez|Philharmonie ||COMPLET|| 26. Minimal Compact – La Machine Juin 14. Nick Cave & The Bad Seeds – Bercy Arena
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FUTUR, ANCIEN, FUGITIF
EXPOSITION. «Futur, ancien, fugitif - une scène française»
Au Palais de Tokyo, à Paris. Commissaires : Franck Balland, Daria de Beauvais, Adélaïde Blanc et Claire Moulène.
Cette foisonnante exposition rassemble 44 artistes ou collectifs d’artistes, nés entre les années 1930 et 1990 en France ou à l’étranger, toujours en activité, là encore en France ou à l’étranger, mais tous liés à un titre ou à un autre à la scène française des arts plastiques. Les commissaires de l’exposition rappellent que, sur cette scène, «vaste et complexe», de l’art contemporain, il y a «quantité de communautés, d’engagements et de singularités». < Les artistes de notre exposition, ni exhaustive, ni représentative, ont en partage d’opposer des formes de résistance aux assignations et autres effets de mode, soulignent les commissaires. Refusant l’urgence, ils laissent s’infiltrer dans leurs œuvres l’épaisseur du temps. >
A2S, Paris présente ci-dessous une rapide présentation d’une sélection d’œuvres de l’exposition «Futur, ancien, fugitif» :
Nils Alix-Tabeling (né en 1991 à Paris) : sculptures relisant, d’une façon à la fois «queer» et féministe, des mythes ou des contes de fées, avec notamment une danseuse en tutu s’éventant avec un éventail et dotée de quatre jambes.
Mali Arun (née en 1987 à Colmar) : sous le titre «Paradisus», un film solarisé de huit minutes qui, citant la Genèse, montre des vacanciers dans un paysage bucolique, près d’une chute d’eau.
Fabienne Audéoud (née en 1968 à Besançon) : d’une part, un alignement de dizaines de petits flacons d’eau de toilette ou de parfum, d’autre part, une meute de peluches de petits loups, vêtus, nous dit-on, comme des hommes d’affaires.
Grégoire Beil (né en 1981) : d’une part, un montage de films d’adolescents capturés sur le réseau social Periscope ; d’autre part, une installation de sept écrans diffusant des films tournés à l’aide de «smartphones» par des jeunes gens partis en guerre contre les plus de 50 ans.
Martin Belou (né en 1986 en Haute-Garonne) : une forêt d’agaves en fleur, sous une vaste tente blanche.
Maurice Blaussyld (né en 1960 à Calais) : un tertre de terre recouvert d’huile de lin, complété par un interminable texte explicatif, sans ponctuation, ni paragraphe, ni début, ni fin.
Anne Bourse (née en 1982 à Lyon) : une installation plutôt feutrée comprenant des matelas, vêtements et coussins peints par l’artiste.
Kévin Bray (né en 1989 dans la Somme) : sculpture d’un couple ne formant qu’un seul corps, la tête de l’un projetant des images sur le corps de l’autre.
Madison Bycroft (née en 1987 en Australie, mais vivant à Marseille) : sculptures des divinités Pénia et Poros, parents d’Eros, leurs ventres diffusant des films mettant en scène des angelots.
Julien Carreyn (né en 1973 à Angers) : un film constitué de plans fixes de précisément quatre minutes et trente secondes montrant, en particulier, un distributeur de chewing-gums.
Jean Claus (né en 1939 dans les Vosges) : une sculpture intitulée «Autel des Vosges», faisant un peu penser au facteur Cheval et à Gaudí.
Jean-Alain Corre (né en 1981 à Landivisiau) : une installation comportant, en son centre, une cellule de prison, entourée de voiles.
Bertrand Dezoteux (né en 1982 à Bayonne) : un film d’animation en images de synthèse montrant le périple d’un train à travers une France ressemblant à un parc d’attractions.
Vidya Gastaldon (née en 1974 à Besançon) : d’une part, deux peintures assez délirantes représentant, l’une, Krishna surgissant des nuages, l’autre, une banane autour de laquelle gravitent des figures cauchemardesques ; d’autre part, des meubles du commerce (notamment un marche-pied Ikea) peints par l’artiste.
Corentin Grossmann (né en 1980 à Metz) : dessin d’une «femme batracienne», assise, vêtue seulement de chaussettes blanches à pompon et d’une ceinture bleu-blanc-rouge.
Renaud Jerez (né en 1982 à Narbonne) : sculpture d’un personnage assis, multicolore, clownesque, mais assez inquiétant.
Pierre Joseph (né en 1951 à Caen) : sous le titre «Mur de mûres», 65 photographies de mûres, seuls «d’infimes détails distinguant ces images les unes des autres», nous a-t-on indiqué.
Laura Lamiel (née en 1943 à Morlaix) : une vaste installation disposée au sol et constituée de sortes de serres, de tubes fluorescents, d’impressions sur acier émaillé et de peintures fixées sous verre.
Anne Le Troter (née en 1985 à Saint-Etienne) : un film de seize minutes dans lequel l’artiste disserte sur le thème du langage.
Caroline Mesquita (née en 1989 à Brest) : une grande sculpture en carton représentant de façon très stylisée un ver qui, sorte de char de carnaval, crache des serpentins et sur lequel sont disposés, en particulier, un crocodile et un humain.
Anita Molinero (née en 1953 à Floirac) : une haute sculpture bleue en polypropylène suspendu au plafond et réalisée en écrasant (dans un «casse automobile») deux œuvres antérieures, ainsi recyclées, de l’artiste.
Aude Pariset (née en 1983 à Versailles) : lits d’enfants dont les matelas en polystyrène sont peu à peu dévorés par des vers et des larves.
Marine Peixoto (née en 1984 à Montpellier) : photographies de la vie d’un jeune de 20 ans vivant dans une tour d’habitation à Paris.
Jean-Charles de Quillacq (né en 1979 à Parthenay) : deux bacs en verre remplis, l’un, de gel douche, l’autre, de lave-glace.
Antoine Renard (né en 1984 à Paris) : petites sculptures réalisées au moyen d’une imprimante 3D d’après «La Petite Danseuse de quatorze ans» peinte en 1881 par Edgar Degas, chaque sculpture diffusant un parfum spécifique.
Lili Reynaud-Dewar (née en 1975 à La Rochelle) : un film de 82 minutes sur le thème «art et gentrification».
Linda Sanchez (née en 1983 à Thonon-les-Bains) : une installation dans des teintes blanchâtres et grisâtres composée d’éléments horizontaux et verticaux et intégrant de multiples matériaux : ciment, bitume, sable, charbon, etc.
Alain Séchas (né en 1955 à Colombes ) : dessins humoristiques mettant en scène des chats, notamment réunis pour l’inauguration d’une sculpture d’un... pénis en érection.
Anna Solal (née en 1988 à Dreux) : cerf-volants réalisés au moyen de semelles de chaussures, d’écrans de téléphone, de chaînes de vélo...
Kengné Téguia (né en 1987 à Orléans) : films sur le thème de la surdité dans lesquels l’artiste, sourd, chante a cappella.
Sarah Tritz (née en 1980 à Paris) : sculptures en carton et en papier représentant des ordinateurs, dont les écrans affichent des dessins «enfantins» sur le thème du sexe, ainsi que des photographies de corps nus.
Nicolas Tubéry (né en 1982 à Carcassonne) : films montrant un retraité en train de refaire les gestes de son ancien métier d’éleveur de vaches laitières, et diffusés au sein d’une construction métallique évoquant une salle de traite.
Adrien Vescovi (né en 1981 à Thonon-les-Bains) : des sortes de rideaux de scène, en coton, suspendus au plafond et peints dans des teintes ocres faisant penser à des strates géologiques.
Nayel Zeaiter (né en 1988 à Paris) : affiches composées de dessins et textes consacrés au vandalisme d’œuvres d’art en France, depuis la Révolution de 1789 jusqu’aux Gilets Jaunes de 2019.
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Nuit du 17 au 18 octobre 2021 — Dans une ville abstraite, déserte. Inquiétante, marmoréenne. Nous errons. Je suis avec quelqu'un que je n’aime pas, et dont je me méfie, mais c’est la seule autre personne ici (pourtant, parfois, au loin, des groupes d’habitants, occupés à on ne sait quoi ; quand on approche il n’y a plus rien).
Dans un petit bâtiment cubique, qui fait penser à une cellule monastique, il y a un disque posé sur un socle blanc ; un disque en pierre, épais, que l’on peut écouter. C’est un long enregistrement de Jean-Pierre Brisset, inédit, et d’une importance capitale. Pour l’enregistrer nous n’avons qu’un petit dictaphone. Nous posons l’appareil près du disque, démarrons la lecture et le dictaphone.
Nous sortons précautionneusement, pour ne pas faire de bruit durant l’enregistrement. Nous marchons alentours, pour faire passer le temps. L’ambiance est de plus en plus lourde, menaçante.
Nous comprenons que le temps nous est compté.
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Le PCI aux jeunes ! Je suis désolé. La polémique contre le PCI, il fallait la faire dans la première moitié de la décennie passée. Vous êtes en retard, très chers. Cela n’a aucune importance si alors vous n’étiez pas encore nés : tant pis pour vous. Maintenant, les journalistes du monde entier (y compris ceux des télévisions) vous lèchent (comme l’on dit encore dans le langage universitaire) le cul. Pas moi, mes chéris. Vous avez des gueules de fils à papa. Je vous haïs, comme je hais vos papas. Bon sang ne saurait mentir. Vous avez le même œil méchant. Vous êtes craintifs, incertains, désespérés (très bien !) mais vous savez aussi comment être arrogants, des maîtres chanteurs sûrs et effrontés : prérogatives petites-bourgeoises, très chers. Lorsque hier, à Valle Giulia, vous vous êtes battus avec les policiers, moi, je sympathisais avec les policiers. Car les policiers sont fils de pauvres. Ils viennent de sub-utopies, paysannes ou urbaines. Quant à moi, je connais assez bien leur façon d’avoir été enfants et garçons, les précieuses mille lires, le père resté garçon lui aussi, à cause de la misère, qui ne donne pas d’autorité. La mère endurcie comme un portefaix, ou attendrie par quelque maladie, comme un oisillon ; la fratrie nombreuse ; le taudis au milieu des potagers de sauge rouge (sur des terrains privés, squattés) ; les bassi sur les égouts ; ou les appartements des grands ensembles d’habitations populaires, etc. etc. Et puis, regardez-les, comme ils s’habillent : comme des bouffons, cette étoffe rêche qui pue la bouillie les intendances et le peuple. La pire des choses, naturellement, c’est l’état psychologique qu’ils ont atteint (pour, à peine, quarante mille lires par mois) : sans plus de sourire, sans plus d’amitié avec le monde, séparés, exclus (dans un type d’exclusion qui n’a pas d’égal) ; humiliés par la perte de la qualité d’homme pour celle de policiers (être haï pousse à haïr). Ils ont vingt ans, le même âge que vous, chers et chères. Evidemment, nous sommes d’accord contre l’institution de la police. Mais prenez-vous-en à la Magistrature, et vous verrez ! Les garçons policiers que vous, par pur vandalisme (attitude dignement héritée du Risorgimento), de fils à papa, avez tabassés, appartiennent à l’autre classe sociale. À Valle Giulia, hier, il y a eu ainsi un fragment de lutte de classe : et vous, très chers (bien que du côté de la raison) vous étiez les riches, tandis que les policiers (qui étaient du côté du tort) étaient les pauvres. Belle victoire, donc, que la vôtre ! Dans ces cas-là, c’est aux policiers qu’on donne des fleurs, très chers. La Stampa et Il Corriere della Sera, NewsWeek et Le Monde vous lèchent le cul. Vous êtes leurs fils, leur espérance, leur futur : s’il vous font des reproches il ne se prépareront pas, c’est sûr, à une lutte de classe contre vous ! Au contraire, il s’agit plutôt d’une lutte intestine. Pour celui qui, intellectuel ou ouvrier, est extérieur à votre lutte, l’idée est très divertissante qu’un jeune bourgeois cogne un vieux bourgeois, et qu’un vieux bourgeois condamne un jeune bourgeois. Doucement le temps d’Hitler revient : la bourgeoisie aime se punir de ses propres mains. Je demande pardon à ces mille ou deux mille jeunes mes frères qui oeuvrent à Trente ou à Turin, à Pavie ou à Pise, à Florence et aussi un peu à Rome, mais je dois le dire : le mouvement étudiant (?) ne fréquente pas les évangiles par la lecture contrairement à ce que ses courtisans entre deux âges prétendent pour se sentir jeunes, et se refaire une virginité de maîtres chanteurs ; la seule chose que les étudiants connaissent réellement : c’est le moralisme du père magistrat ou expert, le vandalisme conformiste du frère aîné (naturellement engagé sur la route paternelle), la haine pour la culture de leur mère, aux origines paysannes bien que déjà lointaines. Cela, chers fils, vous le savez. Et vous l’appliquez à travers deux sentiments impérieux : la conscience de vos droits (on le sait bien, la démocratie ne considère que vous) et l’aspiration au pouvoir. Oui, vos horribles slogans portent toujours sur la prise de pouvoir. Je lis dans vos barbes d’impuissantes ambitions ; dans vos pâleurs, des snobismes désespérés, dans vos regards fuyants, vos dissociations sexuelles, dans votre parfaite santé, l’intimidation, dans votre manque d’hygiène, le mépris (seulement pour la part d’entre vous qui vient de la bourgeoisie infime, ou pour quelques familles d’ouvriers ces défauts ont quelque noblesse : connais-toi toi-même et l’école de Barbiana). Réformistes ! Réificateurs ! Vous occupez les universités mais vous dîtes que la même idée vient à de jeunes ouvriers. Et alors : Il Corriere della Sera et La Stampa, NewsWeek et Le Monde auront autant de sollicitude au point de chercher à comprendre leurs problèmes ? La police se bornera à recevoir quelques coups à l’intérieur d’une usine occupée ? Mais, surtout, comment pourrez-vous laisser un jeune ouvrier occuper une usine sans le laisser mourir de faim au bout de trois jours ? Allez occuper les universités, chers fils, mais donnez la moitié de vos revenus paternels, aussi maigres soient-ils, à de jeunes ouvriers afin qu’ils puissent occuper, avec vous, leurs usines. Je suis désolé. C’est une suggestion banale, un chantage. Mais surtout, c’est inutile : parce que vous êtes bourgeois et donc anticommunistes. Les ouvriers, quant à eux, ils sont restés coincés dans les années 50 et même encore avant. Une idée archéologique comme celle de la Résistance (qu’on aurait dû contester il y a vingt ans, et tant pis pour vous si vous n’étiez pas nés) existe encore dans les poitrines populaires, en banlieue. Sans doute parce que les ouvriers ne parlent ni français ni anglais, et peut-être un seul, le malheureux, qui le soir, dans sa cellule, s’est efforcé d’apprendre un peu de russe. Arrêtez de penser à vos droits, arrêtez de demander le pouvoir. Un bourgeois repenti doit renoncer à tous ses droits, bannissant de son âme, une fois pour toutes, l’idée du pouvoir. Si le Dalaï Lama sait qu’il est le Dalaï Lama cela veut dire qu’il n’est pas le Dalaï Lama (Artaud) : donc, les Maîtres – qui sauront toujours qu’ils sont les Maîtres – ils ne seront jamais des Maîtres : ni Gui, ni vous vous ne réussirez jamais à devenir des Maîtres. Les Maîtres occupent les Usines pas les universités : vos courtisans (même les Communistes) ne vous disent pas la banale vérité : vous êtes une nouvelle espèce d’apolitiques idéalistes : comme vos pères, comme vos pères, encore, mes chéris ! Voilà, les Américains, vos adorables contemporains, avec leurs fleurs ridicules, sont en train d’inventer, eux, un nouveau langage révolutionnaire ! Ils l’inventent au jour le jour ! Mais vous ne pouvez pas le faire, parce qu’en Europe il y en a déjà un : vous ne l’ignorez pas ? Bien sûr que si, vous voulez l’ignorer (à la grande satisfaction du Times et du Tempo). Vous ignorez cela en allant, avec un moralisme tout provincial, “plus à gauche”. Étrange, vous abandonnez le langage révolutionnaire du pauvre, vieux, inspiré par Togliatti, officiel Parti Communiste, vous en avez adopté une variante hérétique, mais sur la base de l’idiome référentiel le plus bas, celui des sociologues sans idéologie. En parlant comme ça, vous demandez tout par la parole, or, dans les faits, vous demandez seulement des choses auxquelles vous avez droit (en braves enfants de bourgeois) : une série de réformes qui ne peuvent être reportées, l’application de nouvelles méthodes pédagogiques et le renouvellement de l’appareil d’Etat. Ce qu’ils sont gentils ! Quels saints sentiments ! Que la bonne étoile de la bourgeoisie vous accompagne ! Enivrés par la victoire contre les jeunes de la police, contraints par la pauvreté à être des serviteurs, ivres de l’intérêt que vous porte l’opinion publique bourgeoise (que vous traitez comme le feraient des femmes qui ne sont pas amoureuses, qui ignorent et maltraitent leur riche soupirant) mettez de côté l’unique outil vraiment dangereux pour affronter vos pères : c’est-à-dire le communisme. J’espère que vous l’avez compris : faire les puritains c’est une façon de s’empêcher l’ennui d’une action révolutionnaire réelle. Mais allez, plutôt, fous que vous êtes, assaillir les Fédérations ! Allez envahir les Cellules ! allez occuper les issues du Comité Central : Allez, allez installer votre camp Via delle Botteghe Oscure ! Si vous voulez le pouvoir, emparez-vous, au moins, du pouvoir d’un Parti qui reste néanmoins dans l’opposition (même s’il est abîmé, par la présence de personnes aux modestes costumes croisés, de boulistes, d’amateurs de litote, de bourgeois qui ont le même âge que vos horribles papas) et avec comme objectif théorique la destruction du Pouvoir. Que chacun se décide à détruire, d’ici là, ce qu’un bourgeois porte en lui-même, j’en doute beaucoup, malgré votre contribution, alors, comme je le disais, bon sang ne saurait mentir… Quoiqu’il en soit : le PCI aux jeunes, Ostia ! Mais, aïe, que suis-je en train de vous suggérer ? Qu’est-ce que je vous conseille ? A quoi suis-je en train de vous inciter ? Je me repens, je me repens ! J’ai perdu la route qui mène au moindre mal, que Dieu me maudisse. Ne m’écoutez pas. Aïe ! aïe ! aïe ! tel est pris qui croyait prendre, je soufflais dans les trombes du bon sens. Mais, je me suis arrêté à temps, sauvant conjointement, le dualisme fanatique et l’ambiguïté… Mais me voilà sur le bord de la honte. Oh mon Dieu ! Vais-je devoir prendre en considération l’éventualité de faire à vos côtés la Guerre Civile et mettre de côté ma vieille idée de Révolution ?
Pier Paolo Pasolini - le PCI aux jeunes (1968) l’espresso
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Directeur.rice général.e adjoint.e - Pôle Aménagement et habitat
Directeur.rice général.e adjoint.e – Pôle Aménagement et habitat
Job title: Directeur.rice général.e adjoint.e – Pôle Aménagement et habitat Company: Lille Métropole Job description: de plus d’un million d’habitants composée de 95 communes, recherche son.sa Directeur.trice général.e adjoint.e en charge de l’aménagement… ; Une cellule de pilotage et d’appui. Le Directeur ou la Directrice général.e adjoint.e aura en charge les politiques publiques… Expected…
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Secousse tellurique à Guelma : murs effondrés et maisons fissurées dans plusieurs communes
Secousse tellurique à Guelma : murs effondrés et maisons fissurées dans plusieurs communes
Les unités de la Protection civile de Guelma sont intervenues jeudi en fin d’après-midi suite à l’effondrement de murs et l’apparition de fissures au niveau d’habitations individuelles et collectives dans certaines communes, suite à une secousse tellurique enregistrée dans la wilaya sans causer de pertes humaines, a indiqué la cellule de communication de la direction locale de la Protection…
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Maquette d’une tour (constitué de cellules d’habitation) inspirée de la Nakagin Capsule Tower de l’architecte Kisho Kurokawa.
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Traverser un changement à tel point radical que le monde lui-même ne sera plus le même. Ne plus pouvoir voir de la même manière. Ne plus pouvoir entendre de la même manière. Ne plus pouvoir vivre de la même manière. Devenir irreconnaissable. Habiter un monde lui-même devenu irreconnaissable. (...) Passer d’une existence à l’autre sans devoir mourir et renaître et par là-même faire basculer le monde sans le toucher. La forme la plus dangereuse de magie. La vie la plus proche de la mort. La métamorphose. (...) Nous avons fait du mouvement et de la transformation deux fétiches. Et pourtant tout est fait pour rendre le mouvement impossible. Nous n’aspirons qu’à bouger, à changer de place dans la société, à muter dans un autre lieu d’habitation, à passer d’un état à un autre. Et pourtant tous ces changements sont une illusion : nous déplaçons la même vie dans un nouveau décor, un agréable trompe-l’œil qui masque les toiles d’araignée sur le vrai, vieux mobilier intact et vieilli de nos âmes.
Nous nous avouons un amour sans tache pour la transformation du monde, pour son progrès et son amélioration, et pourtant nous avons peur de tout changement réel. Nous prônons le changement des objets qui nous entourent, mais nous espérons que cela ne touche pas notre identité
Conversion = c’est exclusivement le sujet qui change : ses opinions, ses attitudes, sa manière d’être se transforment, mais le monde qui l’accueille ne change pas et ne doit surtout pas changer. Car seulement un monde qui n’a pas été touché par la conversion peut témoigner du changement du converti. La conversion est souvent la conséquence d’un chemin intérieur, fait d’épreuves et de révélations, de longs exercices d’abstinence et d’ascétisme. Ce changement présuppose une maîtrise absolue et totale sur soi-même.
Il sera obligé de répudier tous ses souvenirs, de refouler sa vie ou d’amputer une partie de soi (...) n’est que la célébration quotidienne de cette puissance totalement apprivoisée, avec laquelle on aime s’identifier pour se protéger de tout ce qui se passe dans le monde.
Révolution = Dans la révolution c’est le monde qui change ; le sujet qui en est la cause et incarne le garant du passage d’un monde à l’autre ne peut pas se transformer, car il est le seul témoin de la transformation en cours.
La technique est peut-être le paradigme du changement qui ne peut et ne doit toucher le sujet : un instrument technique ne doit surtout pas se modifier lorsqu’il transforme l’objet qu’il touche.
Métamorphose: la puissance qui nous traverse et nous transforme n’est en rien un acte conscient et personnel de volonté. Elle semble venir d’ailleurs, être plus ancienne que le corps qu’elle façonne, opérer malgré toute décision. Et surtout, il n’y a aucun mouvement de refoulement ou de négation d’un passé ou d’une identité. Un être métamorphique est au contraire un être qui semble avoir déposé toute ambition à vouloir se reconnaître dans un seul visage. La vie qui traverse la chenille et le papillon ne peut être réduite ni à l’une ni à l’autre. Elle est une vie capable d’habiter et d’héberger simultanément plusieurs formes et qui fait de ce caractère amphibie sa puissance. C’est l’exact inverse de ce qui arrive dans la métamorphose. Un cocon n’est pas un instrument de projection de soi hors les limites du corps anatomique. Il correspond, au contraire, à la construction d’un seuil où toutes les frontières et les identités – du moi comme du monde – sont suspendues de manière temporaire. Il est le chiasme qui fait du monde le laboratoire de genèse du moi et du moi la matière plus précieuse du monde, celle qui ne cesse pas de le transformer.
Les cocons sont partout. Toute cellule vivante en est un. Tout individu en est un : chacun de nous est l’espace dans lequel le monde cherche et trouve un nouveau visage. Les cocons sont partout. Tout milieu en est un. Chaque espèce en est un : une forme de vie est le lieu d’une métamorphose constante qui expose un présent à l’érosion perpétuelle d’un futur sans visage.
Les cocons sont partout. Ils n’attendent pas l’appel à la conversion ou à la révolution. À l’intérieur d’eux se construit sans cesse un futur irreconnaissable et imprédictible qui a déjà obligé plusieurs fois chacun de vous et tout ce qui vous entoure à changer d’anatomie.
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Emanuele Coccia - https://aoc.media/opinion/2018/11/05/theorie-de-metamorphose/?loggedin=true
tradução: https://subspeciealteritatis.wordpress.com/2018/11/19/teoria-da-metamorfose-emanuele-coccia/#:~:text=Teoria%20da%20metamorfose%20%2F%2F%20Emanuele%20Coccia,-Teoria%20da%20metamorfose&text=N%C3%B3s%20transformamos%20profundamente%20o%20mundo,sobre%20si%20e%20o%20mundo.
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Cellule (bis)
Ma deuxième unité d’habitation. Conçue par l’architecte suisse Jean-Gilles Decosterd, tournée vers le Jura vaudois. Petite merveille blanche, accélérateur à méditations, sur quelle face la croix rouge, l’armoire à comprimés ouvrant sur l’humidité obscure, la cave inspiration ?
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Groupe de travail GOUVERNANCE
CONTEXTE
La crise sanitaire a révélé les vulnérabilités de toutes les régions du monde, alors que les menaces écologiques, financières et géopolitiques grandissantes mettent sérieusement en cause le marché libre mondialisé et le capitalisme financiarisé. Il y avait un Avant qui appelle un Après. Les institutions de la Nouvelle Calédonie, issues des accords de Matignon-Noumea correspondent à une forme de décentralisation des pouvoirs et de partage des souverainetés qui donnent des outils pour adopter une politique économique et sociale plus résiliente, écologique et prospère dans une économie naturellement confinée. Les modes de vie autochtones proches de la Nature, comme les économies informelles, sociales et solidaires, ainsi que les démonstrations de modes de vie plus écologiques, frugales ou sobres convergent comme une alternative à la dépendance aux importations du reste du monde.
ENJEUX
Faire de la Nouvelle-Calédonie un pays insulaire capable d’assurer une autonomie « stratégique » d’approvisionnement des habitants, tout en valorisant son positionnement dans la mondialisation.
OBJECTIFS
-Marquer les politiques publiques et de régulations de « valeurs » calédoniennes ou océaniennes, multi-communautaires qui doivent imprimer aussi l’organisation de l’éducation, de l’alimentation et de la santé, la gestion des risques et des adaptations au changement climatique -Résoudre la question des inégalités et de l’accès des communautés d’habitants aux moyens et richesses d’un pays qui bénéficie d’un haut niveau de PIB/habitant capable de financer la santé, l’éducation et la sécurité -Mieux gérer l’information et les compétences pour gouverner (Gouvernement stratège) pour réduire les dépendances financières, donner une efficacité aux politiques publiques et continuer à adapter la gouvernance aux réalités sociales du pays, -Saisir l’opportunité des transitions écologique, énergétique et économiques pour donner aux politiques publiques la cohérence d’un nouveau modèle économique et social basé sur la consommation responsable et sur la distribution de valeur ajoutée taxée…
PROJETS ET AVANCÉES
Profiter du renouvellement du Schéma d’Aménagement et de Développement pour construire des scénarios de développement et une stratégie de pays,
Doter le gouvernement de cellules de veille économique et stratégique qui intègrerait les développements les plus récents des modèles d’économie écologique, sociale et solidaire,
Améliorer l’administration de projets stratégiques transverses (transitions écologique et énergétique, adaptation au changement climatique, protection et valorisation des patrimoines naturels endémiques, gestion des ressources naturelles) dans le gouvernement collégial ou dans le groupe de travail des présidents exécutifs qui a su gérer la crise sanitaire
Améliorer le plein transfert ou le partage des souverainetés avec l’Etat pour donner sa cohérence aux politiques industrielles et de transformation, foncières, de développement économique et financier et de la diplomatie économique,
Établir une stratégie de domestication de segments d’activités à haute valeur ajoutée hors-couts pour de l’emploi non-exposé (aux délocalisations), d’internationalisation des entreprises résidentes avec rapatriement des bénéfices, de financement par l’investissement pour la valorisation des ressources et des savoir-faire, de barrières douanières orientées par l’écoconception des produits, process et services.
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https://www.cheminement.com/tag/energies-tellurique-et-cosmique/ Énergies tellurique et cosmique Tout est vibration : notre corps, notre environnement, y compris la planète et le cosmos, qui sont deux forces primordiales dites énergies. L’énergie tellurique provient du centre de la terre, et l’énergie cosmique, de l’espace. Ces énergies (cosmo-telluriques) sont parfaitement naturelles et ont toujours existé. Où que nous soyons sur la terre, nous subissons en permanence l’influence de ces deux énergies. Le rayonnement de la terre a une influence sur les cellules de notre corps parce que l’humain est une « antenne » très réceptive aux vibrations cosmo-telluriques qui l’entourent. Nous sommes donc en interaction avec notre environnement. Nos lieux de travail ou d’habitation peuvent être perturbés par des ondes liées aux champs magnétiques et électriques (courants d’eau souterrains, réseaux métalliques, failles géologiques, cheminées cosmo-telluriques, nœuds de Hartmann et de Curry ainsi que matériaux de construction et formes architecturales). Les personnes qui vivent dans ces zones perturbées peuvent devenir malades à cause de leur environnement et souffrir d’électrosensibilité. Les objectifs de la géobiologie La géobiologie permet de mieux comprendre comment ces facteurs peuvent exercer une influence négative et nuire à notre bien-être : sommeil déficient, fatigue au réveil, tensions, migraines, irritabilité… La géobiologie, qu’on pourrait aussi appeler médecine de l’habitat, permet de trouver et de corriger les ondes vibratoires négatives dans notre environnement pour enfin vivre dans un lieu qui nous revitalise au lieu de vous épuiser. https://www.instagram.com/p/CCAh-C1hS1j/?igshid=v136vp47a2vs
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