#camion de fou
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ciggi3s4ever · 7 months ago
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Ça fait longtemps que j'ai pas blogué
Voici mon dernier montage pour bénir votre fin de journée
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sabinerondissime · 4 months ago
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Premier jour des vacances ! Soleil, ciel bleu, cigales, léger mistral et apérooooo ! Bon ok, y a des camions qui passent très souvent car il y a des travaux dans le chemin. Et les moustiques sont voraces ! Mais je m'en fous, je suis en vacances, c'est tout ce qui compte !
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ernestinee · 1 year ago
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Mon voisin c'est un grand type avec une grande baraque (le terrain fait presque 1km de long sur un bon 100m de large, un grand chien (dogue allemand), une grande famille (4 garçons de 8 à 14 ans). Il est fou de travaux. Il aime le chantier, les machines, les tracteurs, les grues, il sort une machine pour le moindre truc qu'il fait chez lui. Il est prof dans l'enseignement technique pour je ne sais quel emploi mais il a accès aux machines tant qu'il veut.
Il a fait une plage pour ses gamins. Pas un bac à sable, une plage, avec un camion benne qui est rentré dans son jardin par l'immense portail et qui a déversé des tonnes de sable. Les enfants n'ont pas une balançoire, ils ont un triple module qui communique avec une cabane dans un arbre immense. Ils n'y sont jamais, et la plage sert de bac à crottes à l'immense chien.
Il n'a probablement pas eu l'enfance qu'il désirait et il veut mettre ses enfants à l'abri des frustrations, ce n'est ni bien ni mal. C'est leur truc.
Mes voisins sont envahissants. La place qu'ils prennent, le bruit qu'ils font. Les machines quand il y en a. Parler fort sur le chemin avec les autres voisins. Les gamins lorsqu'ils jouent dans leur parc avec leurs quads, leurs potes, les balles de rugby qui volent. J'adore ces gamins, ils sont très polis, le bruit des enfants ne me dérangera jamais. Le bruit de la moto du type, qu'il fait aller fort et longtemps avant de partir de chez lui. Le bruit des graviers quand il utilise l'une de ses trois voitures en faisant des dérapages devant chez lui. Sa façon d'accélérer et de rouler, qu'on entend encore quand il est au bout de la rue.
L'immense chien qui est incroyablement peureux et qui donc aboie sur tout ce qui bouge. Les oiseaux, les poules, les pintades, les oies, son ombre, moi quand je suis dans la maison et que ma fenêtre est ouverte et que je tousse, vide le lave-vaisselle, appelle mon fils, écoute de la musique. Moi quand je vais jongler dans le jardin. Moi quand il fait nuit et qu'il voit ma silhouette monter ou descendre les escaliers derrière le rideau... Etc etc etc ce chien est une plaie et j'ai peur des chiens qui aboient, je n'exagère pas quand je dis que ça m'empêche de me concentrer, d'être sereine, de m'occuper du jardin...
Bref tout ça pour dire qu'en ce moment on fait des gros travaux chez moi et pas chez lui. Il y a des palettes de matériel le long du chemin devant chez moi, la camionnette des types qui bossent reste garée toute la journée devant chez moi et pas devant chez lui.
Du coup, ce matin il a sorti sa voiture avec sa remorque à double essieux, il n'en n'a rien fait, elle est restée garée devant chez lui toute la journée (je ne suis pas sortie de la maison aujourd'hui, j'ai tout vu), et là il vient de la rentrer pour la nuit 🤷‍♀️
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ascle · 10 months ago
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La lettre C
Cabochon:
Personne stupide, incompétente.
Cadran:
Réveil-matin
Cailler:
Avoir très sommeil.
Calorifère/caille:
Radiateur
Calotte:
Casquette 🧢
Capoter:
-> s’énerver, perdre le contrôle de soi.
-> passionner, aimer comme un fou.
Carte soleil:
Carte d’assurance maladie permettant d’avoir accès aux services médicaux gratuitement.
Cassé (être):
Ne plus voir d’argent
Cave:
-> sous-sol
-> personne idiote, stupide
Chambranlant:
Vacillant, peu solide
Chaud (être):
Être ivre
Chauffer:
Conduire une voiture, un camion
Chialer:
Râler, se plaindre
Chicaner:
Disputer, réprimander, se quereller
Cossin:
Babiole, objet sans valeur
Courailleux:
Personne volage
Crasse:
Espiègle, rusé
Cruiser:
Draguer, flirter
Culotte:
Pantalon
Expressions
C’est pas les gros chars
C’est décevant, très ordinaire, ce n’est rien d’impressionnant, c’est beaucoup moins que ce à quoi on s’attendait.
C’est sur mon bras
C’est moi qui paie, c’est ma tournée.
Ça parle au diable
C’est incroyable, j’en reviens pas.
Ça va faire
C’est assez! Ça suffit
Changer quatre trente sous pour une piastre.
Faire des changements qui n’apportent rien, que l’action posée était inutile, qu’elle n’est qu’une perte de temps, sans profit ni perte.
Char de marde
Flot d’insultes, violents reproches
Cogner des clous
Dodeliner de la tête lorsqu’on combat le sommeil en position assise.
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lalignedujour · 1 year ago
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Je conduis des convois exceptionnels. Et je vois des trucs de fou.
Aujourd'hui, on transporte une orque. On l'amène chez un mec qui fait des thérapies alternatives avec les orques. On l'a eu au téléphone. Tu caresses des orques, et tu te sens mieux. Tu te sens plus proche du vivant et tout. Il était dans le conseil informatique, et il a tout quitté pour faire ça, pourquoi pas.
J'espère juste que c'est accessible avec le double-camion citerne.
J'ai l'impression qu'on pardonne tout aux gens qui repartent de zéro. Tu sens que ça répond à un besoin intime, et tu t'interdis de critiquer. Un jour moi aussi, je vais tout quitter, et je vais me mettre à tuer en série, c'est le chemin de ma vie, c'est ce qui m'appelle, qu'est-ce que tu vas faire ?
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purplebonestoughts · 7 months ago
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Diagnostic
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[TW : Psychiatrie, TS, psychophobie, psychophobie internalisée (?)]
Nos souvenirs sont un vaste océan d'abysses dont les vagues s'écrasent brutalement contre les rochers, contre les brise-lames de notre conscience. Quand on était petits, on ne réalisait pas qu'on était fous. Mais ça a finit par devenir évident dès le début du collège. Ça ne s'est pas arrangé avec le temps. Un jour, durant nos années lycée, la mère de notre copain de l'époque a dit : "Mais tu es complètement folle !" Je ne me souviens plus de ce qu'on avait fait. Les vagues ne me l'ont pas ramené et, dans les embruns, il n'y a qu'un parfum de peine. Ce n'est pas tant d'être fou qui fait de la peine. On le savait depuis longtemps. Ce qui fait de la peine c'est ce "Mais tu es complètement folle !" craché comme un venin, comme une insulte, avec ce petit rictus de mépris. On a longtemps évité la psychiatrie. Je ne saurais pas dire pourquoi exactement. Je crois qu'on craignait, si on y allait, de réaliser que ça y était. Que c'était réel. Qu'on ne pourrait plus jamais se voiler la face à ce sujet. On n'avait pas peur d'être fous parce qu'on savait qu'on l'était. Mais on avait peur que le monde entier nous perçoive comme fou. Parce qu'on ne voulait pas de ce "Mais tu es complètement folle !" avec ce rictus de mépris. On ne voulait pas être rejeté-e-s. On ne voulait pas être abandonné-e-s. Ou plutôt, on ne pouvait pas. Alors bon, on avait sacrément peur de ne plus être capables de faire semblant dès lors que la sacro-sainte psychiatrie aurait collé ses petites étiquettes bien blanches, bien carrées, bien aseptisées sur notre petit crâne tourmenté. Et puis patatra, durant nos années d'études, y'a eu un gros hic, y'a eu des grands couacs, y'a eu du n'importe quoi. Alors on a fait quelque chose de très très dangereux et de très très grave. Pas parce qu'on était fous, mais parce qu'on avait tellement mal ! Mal à en pleurer, mal à en hurler, mal à en finir aux urgences dans un joli camion de pompier.
Ah ça fait drôle, hein ! Et d'ailleurs, il y a plein de souvenirs de cette période que l'océan d'abysses ne m'a jamais ramené. On a été hospitalisé-e-s durant de nombreux mois, puis en hôpital de jour. Je passe aujourd'hui sous silence la façon détestable dont on a été traité-e-s dans l'institut de soin où nous étions. Parce que ce n'est pas à là que je veux en arriver. Pas cette fois. Ce contact sommes toutes brutal avec la psychiatrie a eu exactement l'effet que je pensais qu'il aurait : Les gens ont vu qu'on était fous. Bon. Iels n'ont pas dit "fous". Iels ont dit "dépressifves sévères". On savait que c'était pas tout, mais ces psychiatres-là avaient un peu la flemme de poser des diagnostics. Je présume qu'iels estimaient avoir mieux à faire et que ce n'était pas leur rôle. J'ai envie de dire que de toute façon, on n'en voulait pas de leurs petites étiquettes. Mais les gens ont quand-même vu qu'on était fous. Et on pouvait plus le cacher. Et on a été rejeté-e-s. Exactement comme on le pensait. Exactement comme on l'avait prédit. Puis bon, voilà. On était fous. On a plus été hospitalisé-e-s, à un moment, puis on a carrément arrêté de voir des psychiatres. On les aimait pas beaucoup. Puis y'a eu une période un peu... moui. Où on savait qu'on était fous, mais inconsciemment, on continuait de cacher qu'on était fous... plus ou moins, maladroitement. Eh bien figurez-vous que ça suffit largement ! Il faut juste faire un peu semblant et les gens ne pensent pas que vous êtes fous ! Iels pensent que vous êtes chiant-e-s ! Il suffit d'avoir l'air fonctionnel-le-s ! Ça n'a aucune importance si vous ne l'êtes pas pour de vrai ! Ruinez-vous la santé pour tout cacher et iels n'y verront que du feu ! Vous serez la personne chiante et non pas la personne folle, ni même la personne handicapée. (Sans rigoler, ne faites pas ça. Ça fait un mal de chien.) (On avait quand-même quelques ami-e-s très douxes qui savaient qu'on étaient fous et c'était bien.) Bref, je pense qu'entre plein d'autres choses, ce "masque" a joué dans le fait qu'on a recommencé à ne plus aller bien du tout. Un jour on l'a dit à notre médecin et elle a fait : "Oula !" puis elle a pris son téléphone et elle a appelé le CMP le plus proche pour nous prendre un rendez-vous. C'est comme ça qu’on s’est retrouvé-e-s à voir une infirmière psy qui ne savait pas quoi faire de nous parce que les personnes en face d’elle disent souffrir alors que : - Iels font du sport - Iels travaillent (même si c’est à leur compte) - Iels ont des loisirs - Iels ont de la famille et des ami-e-s Un jour, elle nous dit : « Je vais demander son avis à mon collègue psychologue. »
Après l’avoir vu en rendez-vous, le collègue psychologue a dit : « Je vais être bien en peine à donner un avis à ma collègue. » J’ai trouvé ça drôle. (En vrai, ça se passe bien ! Je suis content qu’il nous suive. Et soulagé aussi. Ça aurait été coton, sans lui.) 2023, c’était affreux comme année. Non, franchement, c’était immonde. Il s’est passé énormément de choses compliqué-e-s et on a dû traîner notre pauvre carcasse jusqu’en 2024. En 2024 on nous a dit : « Bon, vous êtes bien handicapé-e-s, on le reconnaît. Par contre le diag de « dépression chronique » qui date d’il y a 7 ans et « anxiété sociale » maintenant, ben c’est pas suffisant pour vous donner de la tune. Déso pas déso. » Alors on a rampé jusqu’au cabinet d’un psychiatre. Je dis ça comme si ça avait été facile, mais pas du tout. Entendez bien qu’on n’aurait jamais refoutu-e-s nos pieds chez un psychiatre si on était pas dos au mur. Et il a fallut plusieurs discussions avec plusieurs de nos ami-e-s pour nous convaincre et nous rassurer. Et donc bref, on se retrouve dans ce cabinet et j’ai furieusement envie de dire au type que les toiles d’araignées sous son escalier dans la salle d’attente me donnent envie de pleurer. Là je m’attends pas encore à la claque dans la gueule que je vais me prendre. Que dis-je ! A la tornade dans laquelle je viens de tomber. Il me regarde, moi je ne le regarde pas. Je ne peux pas, parce qu’on est trop terrifié-e-s pour ces conneries. Je lui montre nos documents. Il prend le certificat médical de la MDPH, il pose des questions et il écrit. Moi j’ai envie de me barrer à toutes jambes. Genre de m’enfuir. Mais il remplit le certificat, j’en chialerais presque. Et puis à la fin, il demande : « A votre avis, vous pensez avoir quoi ? » Moi je lui réponds : « Ben comme vous avez vu, je suis sur la liste d’attente du CRA, du coup je pense que je pourrais peut-être être autiste... » (Matez les gigantesques pincettes que je prends alors que ça fait un bon moment que mes potes autistes m’ont pairdiag. Matez le doute.) Il m’a dit : « On dirait, hein ? » J’ai trouvé ça drôle, un peu.
Et puis là, je sais plus comment il l’a dit - les vagues l’ont emporté - mais elle est là, la claque dans la gueule. Il a dit : « Je pense aussi à la schizophrénie. Je pense que vous êtes à la limite entre les deux. Il faudrait faire un différentiel, mais les deux troubles peuvent être proches. » Ça allait dans le sens de ma plus grande théorie sur les troubles psys alors j’étais vite fait content, mais en vrai j’avais aussi l’impression qu’il avait appuyé sur le bouton : « AAAAAAAAH » dans mon cerveau. C’était moyennement fun. Mais j’ai pas posé de question, j’étais trop abasourdi. Bon, je vais pas mentir, je me doutais que, si le psychiatre avait envie de bosser, je ressortirai probablement pas sans – au moins – un bon vieil antipsychotique (ça a pas loupé, hein). Mais je ne m’attendais clairement pas à ce trouble là. Parce qu'on se sent pas « comme ça ». Et que le stigmate terrible qu’il porte me fait déjà péter un plomb. Et sur ça, je commence à douter très très fort. « Est-ce que j’ai été assez authentique durant le rendez-vous ? Est-ce que je n’ai pas menti sur la liste de symptômes ? Est-ce que je n’ai pas inventé n’importe quoi pour faire mon intéressant ? » Il faut savoir que le doute, ça me compose personnellement à au moins 70 % de mon être. Très régulièrement, je doute après avoir donné mon âge ou mon lieu de naissance… donc je crois que ce n’est ironiquement pas mon sentiment le plus fiable.
En bref. On est schizophrène. (Peut-être) Elle est enfin là, la petite case, bien carrée, bien collée sur mon front et je ne sais pas quoi en faire. Moi je voulais juste qu’on colle plein de petites étiquettes sur mon dossier de MDPH pour qu’on nous donne de l’argent et qu’on puisse enfin arrêter de galérer autant dans notre foutue vie… mais certainement pas pour qu’on y marque « trouble schizoaffectif ». C’est costaud, quand-même, quoi. Alors pour l’instant, je l’étudie très très attentivement. Peut-être qu’un jour j’arriverai à m’y faire ou bien je pourrais dire : « C’est pas ça ! De toute façon, c’est qu’une petite étiquette ! Je la décolle si je l’aime pas et personne va rien faire ! » Parce qu’à la fin, on s’en carre des petites cases. On est fous. On l’a toujours été. C’est une grande case et dedans, y’a nous tout entier.
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Très très cher Monsieur Bezos,
Je suis au regret de devoir refuser votre invitation à participer à la prochaine saison du jeu « LOL: Qui rit sort ! » diffusé sur votre plateforme d’Amazon. J’ai bien compris qu’il ne s’agissait que d’une seule journée de tournage, seulement voilà, ce jour-là, j’ai dentiste. Et, en tant que troisième fortune mondiale, vous le savez, il faut de bonnes dents bien longues pour réussir dans ce monde. Il se trouve aussi que je serais gêné aux entournures (pour ne pas dire que ça me ferait carrément mal au cul) d’être payée 200 000 euros pour une journée de travail même si je perds à votre jeu, quand l’association caritative de mon choix remporterait, elle, 50 000 euros, c'est-à-dire 4 fois moins, et encore, seulement si je gagne. Oui, ça me gêne de toucher, pour 8 heures de travail, cette somme affolante de la part d’une entreprise qui :
- Ne paye pas ses impôts sur le lieu d'exploitation et bénéficie même d’1 milliard d'euros de crédit d’impôts alors qu'elle fait 50 milliards d’euros de chiffre d'affaires.
- Qui émet 55,8 millions de tonnes de gaz à effet de serre par an (soit l’équivalent des émissions du Portugal) seulement avec ses data centers, sans parler des milliers de camions, d'avions…
- Qui utilise la main-d'œuvre des camps de concentration ouïghours.
- Qui détruit les emplois du petit commerce et toute la vie sociale qui va avec.
- Que les emplois qu’elle crée en en détruisant d’autres sont des emplois éreintant dans des entrepôts déshumanisés, où on traite les employés comme des robots qu’on essore en leur mettant une pression folle avec des cadences infernales et qu’on empêche de se syndiquer. Tout ça pour quoi ? Pour qu’on puisse commander des couches pas chères depuis notre canapé en se grattant les couilles. Oui, ça me gêne. D’autre part, en tant qu’acteur et auteur de films, je caresse le rêve un peu fou que mes futurs projets puissent sortir dans une salle de cinéma. J’ai bien conscience que le niveau de dissonance cognitive est très élevé à notre époque, mais vous conviendrez que faire de la publicité pour votre plateforme (puisque c’est de cela qu’il s’agit je crois) reviendrait à me tirer une balle dans le pied. Je n’ai pas envie que dans dix ans plus personne n’aille au cinéma et qu’on soit tous en train de mater des séries sur le canap' en se faisant livrer des burgers par des sans-papiers qui pédalent sous la pluie. Si toutefois, me lisant, vous tombiez des nues, ou de l'espace (je connais pas votre emploi du temps ces jours-ci) en découvrant des choses dont vous n’étiez pas au courant et qui vous peinent, et que ça vous donne envie de repenser entièrement votre entreprise, alors peut-être que vous pourriez me réinviter ultérieurement. Et que je pourrais accepter. Lol
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alain-keler · 1 year ago
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Dimanche 1er octobre 2023.
Kornidzor, le point de contrôle qui a vu passer la quasi-totalité de la population du Haut-Karabakh est désespérément vide. Les ONG ont vidé les lieux, les journalistes sont allés vers de nouveau cieux. En descendant quelques kilomètres la route vers la frontière imposée par l’Azerbaïdjan, un camion en rade depuis deux jours attend la pièce de rechange qui lui permettra de continuer vers Erevan. L’homme s’affaire au téléphone, sa femme tourne en rond. Soudain surgit de la route vide une vieille Lada. Elle roule, le conducteur s’arrête souvent, puis repart. Cela fait vingt-quatre heures que Jora et Anayt Vanian sont sur la route. Il ne fait quasiment aucun doute que cette voiture est la dernière. Les deux personnes dans la voiture ne sont plus toutes jeunes. 
Nous* les reverrons quelques kilomètres plus loin, lors d’un autre arrêt. Jora et Anayt viennent de Stepanakert. Jora nous montre la photo de sa fille que lui tend sa femme. Il se met à pleurer. Sa fille est enterrée au cimetière de Stepanakert. Ils ne pourront plus jamais aller sur sa tombe.  C'est fou ce que les cimetières représentent, je le savais sans le savoir. Pouvoir aller sur une tombe c'est un peu continuer de voir la personne décédée, lui parler même si les paroles restent sans réponse. Quand on nettoie une tombe, on caresse le mort.
*J’ai eu la chance de voyager avec une équipe de choc. Alexis, cinéaste et photographe talentueux, Maxence qui deviendra j’en suis certain écrivain et Miko, chauffeur et fixer que l’on imagine tout juste sorti d’un film. Rien ne lui résiste. Il aura, entre autres, réussi à rendre le moral en les faisant rire les cinquante réfugiés logés dans un gymnase à Goris. Je les cite car dans ce genre de situation il est très difficile, voire impossible de travailler correctement si l’on est seul.
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les-k-mioneurs-2023 · 1 year ago
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16 août 2023
Quelle merveilleuse journée …
Nous avons réveillé les ados plus tôt que d’habitude histoire de partir en ballade vers 11h… l’idée était de redescendre la rivière pour découvrir un peu l’environnement ! C’était Magnifique ! Magique ! La rivière est vraiment très belle, l’eau est parfaitement claire et propre. Chaque virage renferme une nouvelle image incroyable ! On était un peu hors du temps…
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Bon, il faut savoir qu’ici l’eau est très très froide ! Vraiment très beaucoup immensément froide ! Bref, je n’y vais pas de mon plein gré … à trop se resserrer j’ai peur que mes chairs ne laisse plus de place à mon âme… mais ici pas le choix, pas d’autre passage, j’ai dû y aller… et j’avoue que cela à tant procurer de bonheur à mes 7 compères de me voir tant souffrir que c’était même bon ! Mais chut ne leur dites pas !
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D’ailleurs vous pouvez observer la méthode Marguerite quand elle est frigorifiée… car si la rivière est froide, le soleil tape sévère et chauffe les galets !
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Mais quelle chance on a !
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Et puis nos ventres nous on poussé à remonter et cuisiner… puis on a fait la sieste … et des courses… et relâché le treizième Loir… et pris l’apéro… et cuisiné à nouveau… couscous saucisses au BBQ et bananes au chocolat ! Oh waw! Et puis hop ! Cinéma sur le camion ! On a attaché un drap sur la benne et sorti le projo, le salon, les couvertures… on a d’abord regardé le Palio, la mythique course à cheval sur la place de Sienne, et même deux fois car c’était fou ! Et puis Dragons 2… La soirée s’est fini sous les étoiles filantes à 1h du matin… Oui oui on récupérera à la rentrée ! Mais le bonheur n’attend pas, faut le choper quand il est là et pour ça on est doué !
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claudehenrion · 2 years ago
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Le pire est à venir : il est minuit moins deux
  Chers concitoyens cocus, mes frères en malédiction macroniste, ce ''billet'', qui complète celui d'hier, est une invitation à bien regarder ce qui se déroule devant nous, à chaque seconde : le progressisme, cette malédiction, détruit le monde, sciemment. Il est plus virulent chez nous qu'ailleurs, ce qui s’explique : nous avons commis le crime –qui va s'avérer être impardonnable aux yeux des générations à venir-- de nous spécialiser, élection après élection, dans le choix des plus inaptes, pour diriger le pays. Et nous avons récidivé, ce qui est tout-à-fait inexcusable.
Sans que personne –à ma connaissance-- n'ait pu trouver une explication ''qui tienne la route'' à ce drame, le bon sens, l'intelligence, la culture, l'amour de son prochain et celui pour l'Humanité... ont perdu la partie : pour le moment, tout se passe comme si le pire –je parle toujours du progressisme-- avait gagné la première manche de cette partie ''à qui perd, perd''. Et on va perdre gros : le progressisme, à travers une poignée d'agitateurs parfaitement formés et entraînés à la dialectique la plus primaire (expérience que nous avions déjà vécue au XXème siècle avec le parti communiste, heureusement parti... mais pas encore assez) s'est imposé dans toutes les enceintes décisionnaires. C'est un drame, car ce système anthropophage n'a pas prévu de porte de sortie et il veut ignorer jusqu'à l'idée de tout ''plan B''.
Je vous avais promis, hier, de consacrer un ‘’billet’’ au scandale de notre mobilité future, rendue... immobile par des séries de mesures liberticides et vicelardes (NB : Rappelons, que, sans explication intelligente là non plus, la plupart des dirigeants du monde se sont trouvés d'accord pour que, très rapidement -vu à l'échelle de l'Histoire- il devienne impossible ''à tout un chacun'' de se déplacer, leur but étant d’arriver à un ‘’confinement’’ mondial, par la raréfaction puis la suppression progressive de tout moyen de transport). Eh ! bien, je vous propose de faire d'une pierre deux coups en prenant la politique d'interdiction graduelle de tout mouvement –un vrai pas vers la fourmilière dont ''ils'' rêvent-- comme exemple des drames que nous préparent les progressistes... qu'ils soient amiénois ou argentin.
Tout ce qui se passe est digne d'un sketch comique... sauf que ce n'est pas un sketch mais l'affreuse réalité, et que ça n'a pas été composé pour obtenir des fou-rires mais pour être appliqué. Résumons : au moment-même où tous les dirigeants du Globe préviennent leurs pauvres victimes qu'il n'y aura certainement pas assez d'électricité disponible pour assurer un fonctionnement minimal de nos sociétés et qu'il faudra inévitablement recourir à des coupures de courant (qui ne dépendront que de la météo... puisque ils ne contrôlent plus rien), pour les industriels comme pour les particuliers... cette bande d’incapables s’entend pour rendre obligatoire la technologie électrique pour tous nos parcs auto, publics, privés, logistiques, etc...
Il est évident que cette équation n'a –n'aura, ne peut avoir-- la plus infime chance de fonctionner. C'est une gigantesque connerie, doublée d'une pharaonique entourloupe, d'une malhonnêteté intellectuelle totale et d'un mensonge d'Etat et institutionnel (puisque l'Europe, comme à chaque fois qu'elle peut nuire aux européens, donne le ''la'', avec Ursula von Der des ders, excellente dans un rôle de (dé-)composition de la méchante Fée Mélusine très occupée à préparer... la prochaine ! En somme, la situation est simple à raconter –et à comprendre : on ne parvient  déjà pas à faire face aux besoins quotidiens actuels alors qu'il n'y a que 12 % des voitures particulières, et très peu des ‘’ ± ‘’ 15 millions de camions qui devraient être électriques vers 2030. C'est la méga-paralysie mondiale assurée !
(NDLR : des technocrates foireux déversent des tsunamis de verbiages creux  pour démontrer (?) que ''ça devrait passer''. Ils sont pitoyables, ce qui ne regarde qu'eux, mais ils sont dangereux... et ça, ça nous concerne tous. La plus ridicule, c'est Agnès Panier-Runacher, la Ministresse soi-disant ''en charge'', qui, le 3 novembre dernier, expliquait componctueusement à Léa Salamé (sans rien comprendre elle-même, ostensiblement) que ; (je cite)- ''Alors plusieurs choses. D’abord, les 32 réacteurs, ce ne sont pas des réacteurs qui ne marchent pas au sens où ils ne fonctionneraient pas technologiquement, ils sont à l'arrêt (Vous suivez ?). Nous avons un problème aujourd'hui de production d'électricité qui est indépendant de la crise ukrainienne (Elle va se faire eng... !), sur lequel nous voulons améliorer la performance opérationnelle d'EDF. Nous pourrons effectivement rentrer dans un scénario de rationnements ponctuels, l'électricité pour donner une idée, les pics d'électricité, ça se situe entre 8h00 et 13h00 le matin et entre grosso modo 18h00 et 21h00 et lorsqu'on parle de délestage, ce sont des délestages, c’est-à-dire que pendant 2 heures l'entreprise "SPRONS" -phon (Ne me demandez rien, je cite !) arrête, s'aligne de manière à enlever le pic de consommation énergétique (Ben voyons...). C’est un mécanisme classique. En résumé, dans son langage très ''classe'', ministériel, ''Oui, une coupure, si vous avez un pic de consommation, il fait très froid, on dit "houlà là, pic de consommation, on ne sait pas faire face, on n'a pas fait les objectifs de sobriété, on n’est pas du tout là où on devait être, on va devoir couper le courant au moment où on consomme le plus, par exemple entre 8h et 10h ", on prend la décision de couper le courant, de manière tournante… '' (Je jure que c'est vrai !) Moralité de cette fable : il n'y a aucun souci à se faire, tout est sous contrôle... du hasard ! Comme comique, elle est top, la ministre compromise !
Mais rassurez-vous : d'ici-là, grâce aux ''big data'' et à leur intelligence (?) très artificielle, nos génies du mensonge auront inventé une ''Appli'' grâce à laquelle vous pourrez, à tout instant, arbitrer entre l'arrêt de votre congélateur (plein), celui du condenseur d'oxygène vital à la survie de votre grand mère, et la charge de votre voiture : l'arrêt de deux sur trois vous sera imputable. Pas à eux, hein ! En revanche, que ne va-t-on entendre, côté ''évocations de faux beaux sentiments'' : on va devoir user nos semelles, d'accord, mais ce sera pour sauver le monde (ou pour sauver la planète), pour la bonne cause, par humanité, égalité, tolérance, justice sociale (sic !), punition des riches, ou, bien sûr, par antiracisme, comme toujours !
Et comme rien n'est jamais simple, pas un seul de nos géants de la pensée creuse n'a incorporé le fameux ''réchauffement climatique'' dont ils nous … échauffent les oreilles. Mais entre nous –puisqu'ils sont vraiment trop cons pour comprendre tout raisonnement sain--, imaginez que les tendances actuelles se poursuivent, même un peu, et que leur ''hexagone'' punitif (c-à-d.: notre chère France, si regrettée) se retrouve avec le climat –doucement tempéré mais pas très pluvieux-- de ma chère ville de Rabat (sans aller jusqu'à Marrakech ni, a fortiori, jusqu’à Tamanrasset ou Tombouctou): personne n'a besoin de beaux croquis pour comprendre que... nous allons dans le mur, et que les décisions, prises en toute in-intelligence, n'ont pas de ''plans B'' : votre belle Telsa ‘’M 3′’ à 53 490 €... moins les cadeaux destinés à vous permettre de vous l’offrir, vous la regarderez... ne pas s'abîmer du tout dans votre garage, ou couverte de ''prunes'' à 35 € l’une, si vous n'en possédez pas un !
Mais leur comportement est assez clair pour que personne ne puisse douter : tout ça, ils s'en foutent complètement. Le temps de 2 mandatures, ils auront imposé au monde leurs sales idées dites progressistes et en même temps sans lendemain... ou plus exactement : sans autres lendemains que la suppression des nôtres... Ce n'est pas ''au bord du gouffre'' que nous sommes : nous avons déjà un pied dans le vide, et on nous dit d'avancer, juste un peu, pour ''être plein cadre’’, sur la photo de notre enterrement ! Est-il minuit moins deux... ou moins une ?
H-Cl.
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blickarmenie · 2 months ago
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Jour 24
Un jour dédié aux hasards non advenus
Il s'appelle Art. Il est arménien. Malgré un corps épuisé, j'utilise la clé érotique pour rencontrer un nouveau point de vue. Etrangement, il ressemble à Azar. La même langueur, le même calme, le même oeil au-dessus de la mêlée. Azar serait son ennemi car il est azéri. Je l'avais rencontré en Azerbaidjan, il y a 4 ou 5 ans, je sais plus. Présentement, ce hasard du corps similaire et de la voix reposé, me trouble. Un même esprit peut il s'incarner dans 2 corps de part et d'autres d'une frontière jonchée de débris sanglants?
Art me raconte les forêts du Haut-Karabagh. C'est vraiment très beau. Le problème c'est qu'on ne peut plus y aller. Il rit. Tu sais les frontières sont stupides. Le gouvernement a voulu garder ce territoire et il a perdu. On aurait pu laisser cette enclave vivre sa vie en Azerbaidjan et non pas devenir le fleuron de la fierté de l'Arménie. Maintenant voilà, nous revivons une tragédie. Une de plus. Mais tu sais, derrière chaque tragédie il y a des heureux. Les israeliens ont pu installer des postes d'observations là bas. Ils écoutent l'Iran. Oui oui, tu peux google. Car les israeliens ont armé l'Azerbaidjan pour qu'ils fassent la guerre à l'Iran. Mais le dictateur azéri il est pas fou. Il a donc joué ailleurs. Il a utilisé ces armes pour nous massacrer. Tu vois, les coups de dés, parfois, ils ratent leurs cibles. Et l'Iran est resté intact sur cette frontière. Finalement l'Iran, c'est notre réel ami. C'était les seuls à nous livrer de la nourriture pendant la première guerre. Tout autour de nous, les frontières étaient bloquées. Tous les camions iraniens que tu as vu sur la route, c'est leur voie respiratoire. Par là, ils commercent très loin. Le régime interne de l'Iran est monstrueux, oui. Par contre, en politique extérieure, ils savent très bien jouer aux dés.
Je dévoile à Art ma cerise sur le gâteau de mon voyage: la visite de la maison de Paradjanov. Un faiseur de film unique, qui m'avait bouleversé ado. Des films tels des enluminures, un langage filmique oriental et naïf.
Art me dit:
Tu sais que son dernier film raconte un héros de l'Azerbaidjan? Il disait: nos amis les azéris. Tout comme il a fait des films sur des légendes de Géorgie, Ukraine... Ici, les arméniens l'adorent. Mais les soviétiques le détestaient. 15 ans de prison!... c'est énorme dans une vie. Tout ça car le hasard l'a voulu homosexuel et que cela ne devait pas exister.
Alors, pour conjurer le sort, nous collâmes nos lèvres languées, puis nous suivimes notre hasard personnel.
Dans la maison de Paradjanov, je resta longtemps ému devant la table de son salon. Il avait suspendu tout un tas de balances au lustre. Comme c'est devenu un musée, on ne sait pas ce qui est réel ou de la mise en scène, mais quand même, je ressentis une profonde joie mélancolique .. c'est un peu comme visiter la maison d'un ami très proche, mort il y a très longtemps, et de ressentir ses vibrations.
Les dames du lieu me poussent dehors. J'ai dépassé l'horaire de fermeture. Dans la rue, je croise une file d'ouvriers du batiment qui remontent lentement depuis le chantier. Ils ont fini la journée. Ils sont de différentes origines. Le hasard les a regroupé à vivre là. Je les croque et je repense à ces tourbillons de vie dépendant des coups de dés de leurs gouvernements.
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vers-mon-chemin · 2 months ago
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Salut ! J'allais vous dire que j'avais fait mon premier Km d'entrainement pour Compostelle, mais clairement j'ai juste sortie ma vielle toutoune (alias JUDE) pour une petite balade matinal.
Ça a fait un bien fou, même si la demoiselle ronfle actuellement comme un camion parce que a 12 ans, elle n'est plus aussi fraiche et fringuante qu'avant. 1km parcouru c'est 2 heures de sieste (voir plus) au moins !
Bref, j'ai marché aujourd'hui, malgré un mal de dos (sciatique) persistant depuis quelques jours. 1km en 30 min dans la forêt. on est loin des 15/25km que demandera le chemin, c'est ce sont les premiers pas les plus important non ?
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snap221sn · 5 months ago
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Horrible : Un camion fou dérape et écrase 14 personnes
14 personnes ont été tuées par un camion dont le conducteur a perdu le contrôle près de la ville de Kano, dans le nord du Nigeria, a annoncé l’agence de sécurité routière. Le camion de marchandises a écrasé des fidèles musulmans sortant d’une mosquée juste après la prière du vendredi dans le village d’Imawa, à 30 km de Kano, selon un communiqué de la Commission fédérale de la sécurité routière…
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verite-jesus-libre · 9 months ago
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lignes2frappe · 1 year ago
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40 ANECDOTES FÉROCES SUR MIKE TYSON, LE PLUS BRUTAL DES BOXEURS
Beaucoup de drogues, beaucoup de violence, beaucoup de n’importe quoi…
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1. Ses parents travaillaient tous les deux dans « l’industrie du sexe » : son père comme maquereau, sa mère comme prostituée.
2. Victime de harcèlement scolaire à l’école primaire, Mike Tyson garde un souvenir très vif de la première fois où il s’est fait racketter.
« J’avais sept ans. Un type plus âgé que moi est venu pour me voler mon argent. Comme je n’avais rien sur moi, il est reparti avec mon repas, non sans auparavant me tabasser puis me voler ses lunettes. Encore aujourd’hui je me sens lâche de m’être fait martyriser de la sorte. Ce sentiment d’impuissance vous ne l’oubliez jamais. »
3. Mike Tyson a goûté pour la première fois à la cocaïne à 11 ans.
4. À ce jour il détient toujours le record du KO le plus rapide des Jeux Olympiques Juniors, avec un combat long de 8 secondes.
5. L’un de ses entraîneurs lui a un jour braqué un flingue dessus.
En 1982, Teddy Atlas, l’un des assistants de Cus D’Amato, a très mal pris que le jeune Mike flirte avec l’une des connaissances de sa femme. Fou de rage, il est allé le menacer d’un calibre 38, avant de tirer en l’air afin de lui montrer qu’il était sérieux.
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6. À en croire le malheureux Eddie Richardson qui s’est pris une déculotté entre les cordes en 1985, le punch d’Iron Mike équivaut « à un camion qui vous renverse de plein fouet ».
Et apparemment Richardson sait de quoi il parle, lui qui s’est fait renverser par un camion quelques années plus tôt.
7. Battu aux points en 1986 par Tyson, Mitch ‘Blood’ Green lui a longtemps réclamé une revanche avant de tomber nez-à-nez sur lui dans une boutique d’Harlem en août 1988 : ni une ni deux, les deux boxeurs ont commencé à s’envoyer des gnons en public.
Au final, Green a écopé d’un œil poché et de cinq points de suture au visage tandis que Mike s’est fracturé la main en le frappant – raison pour laquelle son combat à venir contre Franck Bruno avait été repoussé.
8. Si le 22 novembre 1986 Mike Tyson a expédié au tapis Trevor Berbick en deux petits rounds à peine (devenant là le plus jeune champion du monde des poids lourds de l’histoire de la boxe) c’est parce qu’il avait une bonne raison d’en finir au plus tôt : il souffrait de la pisse chaude (ou blennorragie), une maladie sexuellement transmissible contractée peu de temps auparavant.
9. Il a un jour avoué « être déçu » de ne jamais avoir tué quelqu’un lors d’un combat, se sentant même « jaloux » des boxeurs à qui s’est arrivé.
10. Mike Tyson souhaitait prendre sa retraite dès 1987, à 21 ans.
À quelques semaines de son combat contre Tony Tucker, il a quitté son camp d’entraînement sans avertir personne pour s’envoler en Albanie. Il a alors fallu toute la persuasion de son entourage (et de ses avocats) pour le convaincre à revenir honorer son contrat.
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11. Plus ou moins en couple avec Tyson en 1988, Naomi Campbell s’est retrouvée une nuit par le plus grand des hasards logée dans le même hôtel que lui à Las Vegas, et qui plus est au même étage, le 29ème. Déterminée à le prendre en flagrant délit d’infidélité, elle a rejoint sa chambre en passant d’un balcon à l’autre !
12. En 1987, Iron Mike a manqué de peu de mettre une raclée au philosophe britannique Alfred Jules Ayer, 77 ans.
Connu pour être l’auteur de livres comme Langage, Vérité et Logique ou Les Grands Domaines de la philosophie, il aurait provoqué l’ire du boxeur en s’interposant lors d’une engueulade avec Campbell.
Hors de lui, Tyson lui a lancé « P*tain mais tu sais qui je suis ? Je suis le p*tain de champion du mondes des poids lourds ? », ce à quoi le philosophe lui a rétorqué : « Et moi je suis un ancien professeur de logique de l’université de Wykeham. Nous sommes tous deux des sommités dans nos domaines respectifs, peut-être devrions-nous nous parler de manière rationnelle ? »
Étonnamment, les deux hommes ont ensuite passé une partie de la soirée à deviser ensemble.
13. Lors d’une visite privée du zoo de New York en compagnie de sa femme Robin Givens, Mike Tyson a offert 10 000 dollars à un gardien pour qu’il le laisse cogner à mains nues un gorille à dos argenté.
« Quand nous sommes arrivés devant la cage, il y avait ce grand gorille qui s’en prenait à tous les autres. Il paraissait si puissant, quand bien même il avait les yeux d’un bébé. J’ai alors proposé 10 000 dollars au gardien pour qu’il me laisse rentrer dans la cage et que je lui mette un coup de poing, mais il a refusé. »
14. Propriétaire de deux tigres blancs du Bengale, il s’amusait à l’occasion à les défier physiquement – voir cette vidéo un brin flippante.
15. Mike Tyson a un jour tabassé un éboueur qui a eu le malheur de jeter son pigeon préféré dans son camion poubelle.
« Un matin au réveil j’ai découvert que Julius, mon pigeon préféré était mort. J’étais dévasté. Pour l’honorer je voulais utiliser sa cage pour fabrique une batte de baseball. J’ai alors posé la cage devant chez moi, avant de m’apercevoir en revenant qu’un éboueur venait de la jeter. Je lui ai couru après et je lui ai balancé une droite titanesque. Le mec s’est effondré au sol, il convulsionnait comme un gamin attardé. »
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16. Au sommet de son règne, sa domination était telle sur la catégorie poids lourds qu’avant son combat contre Buster Douglas les casinos américains refusaient de prendre les paris en sa faveur.
17. Condamné pour viol en 1992, Tyson s’est trouvé un fervent défenseur en la personne de Donald Trump.
Le futur président des États-Unis a ainsi publiquement soutenu que « dans ce cas particulier, il serait préférable que Mike Tyson dédommage financièrement la victime plutôt qu’il aille en prison », avant de remettre en cause l’attitude de cette dernière « vue toute sourire en train de danser avec lui quelques heures auparavant, et qui est ensuite montée dans sa chambre de son plein gré ».
18. Sitôt sorti de prison en 1995 après avoir passé trois ans à l’ombre, là où les autres détenus recevaient un chèque de 75 dollars pour faciliter leur réinsertion, Tyson a touché 20 millions de dollars en signant pour deux combats.
19. Proche de 2Pac qu’il a connu avant qu’il ne devienne vraiment célèbre, Mike Tyson est longtemps monté sur les rings au son de Ambitionz Az A Fighta, une réécriture du morceau Ambitionz Az a Ridah qui ouvre l’album All Eyez on Me.
20. Sous emprise de stupéfiants lors de bon nombre de ses combats, dans les années 2000, il s’en tirait en utilisant un faux pénis qu’il remplissait d’urine saine.
Testé positif à la marijuana contre Andrew Golota en 2000, il n’avait cette fois pas pu récupérer son « whizzer » avant que les inspecteurs arrivent.
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21. Lorsqu’en 2002 il s’en est pris à Lennox Lewis et ses gardes du corps en pleine conférence de presse, la cocaïne n’y était pas pour rien.
« J’en ai perdu la raison. Dès que je l’ai vu, je me suis dirigé droit sur lui pour lui faire mal. »
22. Juste après sa défaite cuisante contre Lewis, il a immédiatement embarqué dans un jet direction New-York afin de se ressourcer au milieu de son élevage de pigeons.
23. Absolument pas invité à une soirée dans une luxueuse propriété d’Hollywood, Steve-O des Jackass a eu la bonne surprise de voir Mike Tyson lui ouvrir la porte quand il est arrivé sur les lieux.
« Je lui ai demandé si je pouvais rentrer, ce à quoi il m’a répondu : ‘T’as de la coke ?’. Je lui ai dit que j’avais 5 ou 6 grammes sur moi, et de là nous sommes allés nous poser dans la salle de bains pour sniffer des lignes pendant trois heures. »
24. En 2003, tandis que deux de ses fans se montraient un peu trop pressants à l’accueil de l’hôtel où il résidait, Mike a fini par voir rouge et les a poursuivis dans l’établissent avant de coucher l’un deux d’une droite.
25. En 2006, lors d’un match exhibition face l’ancien pro Corey Sanders, ce dernier a manqué de finir au sol après avoir un peu trop joué avec le feu. S’il n’a pas été compté, c’est parce que Tyson l’a rattrapé in extremis dans ses bras afin de prolonger le combat.
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26. Quand bien même Mike Tyson n’a jamais clairement expliqué pourquoi il arbore sur le biceps droit un tatouage du leader communiste chinois Mao Zedong (70 millions de morts sous sa gouvernance, plus que Staline, Hitler et Pol Pot réunis), la version qui prime veut qu’il ait lu ses écrits en prison et se soit identifié à sa lutte.
« C'est un homme fabuleux qui a aidé des millions de personnes à conquérir leur indépendance, à retrouver leur estime de soi. »
27. En mai 2009 sa fille de quatre ans Exodus est décédée après s’être accidentellement coincée le cou dans le câble d’un tapis de course. C’est son frère aîné Miguel, sept ans, qui l’a découverte inanimée.
28. En 2009, il a passé à tabac les sept prostituées qu’il avait conviées dans sa chambre d’hôtel. Défoncé à la coke, à la morphine et à la vodka, il pensait que ces dernières voulaient lui piquer son portefeuille.
De son propre aveu ce fut « le moment le plus minable de sa vie », le déclic qui l’a poussé à rentrer en cure de désintoxication.
29. Dans son autobiographie Undisputed Truth publiée en 2013, il écrit avoir un jour perdu une valise remplie d’un million de dollars en cash.
30. Dans l’une des versions du jeu vidéo Street Fighter, le personnage de Balrog dont il est l’inspiration est entendu dire à l’issue de ses victoires : « Si tu continues à te battre comme ça, je te mords l’oreille ! » (« If you fight like that again, I’ll bite your ear off! »).
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31. Interrogé sur la possibilité que Drake sorte dans quelques années avec sa fille, voici sa réaction : « Il est plutôt beau gosse, mais s’il veut la toucher je lui expliquerais avant que tout ce qu’il lui fera, je lui ferais ensuite. »
32. Autre rappeur avec qui il a eu maille à partir : Soulja Boy.
À la base supposé entraîner Chris Brown dans son combat de boxe contre l’auteur de Crank That, Mike a fini par se prendre le chou avec lui au point d’enregistrer le diss track If You Show Up dans lequel il le menace de « le piquer comme une MST » (« Imma sting like a venereal disease »).
33. En 2012, il a été introduit au Hall of Fame de la W.W.E., la fédération de catch américaine. Son apparition la plus notable remonte à 1998 lorsqu’il s’est interposé entre Shawn Michaels et Steve Austin lors de la WrestleMania XIV. Il était à cette époque interdit de boxer.
34. Dans Les Simpsons, Mike Tyson est largement parodié sous les traits du personnage de Drederick Tatum, un champion du monde à la voix aiguë emprisonné pour avoir jeté sa mère dans les escaliers et dont le promoteur Lucius Sweet est aussi véreux que Don King.
35. L’acteur Donnie Yen avec qui il se bat face caméra dans le film Ip Man 3 s’inquiétait que Tyson ne le blesse pour de vrai lors du tournage de la scène – c’est cependant ce dernier qui s’est fracturé l’index.
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36. En 2014, il a fait l’objet d’un dessin animé pour enfants intitulé Mike Tyson Mysteries dans lequel il résout des énigmes façon Scooby-Doo (si, si).
37. Le roi des Gitans Tyson Fury est prénommé d’après lui.
38. Vous vous souvenez de son caméo dans le film Very Bad Trip dans lequel il reprend In The Air Tonight de Phil Collins ? Mike lui ne s’en souvient pas du tout !
Engagé la vielle pour le lendemain après avoir rencontré les membres de l’équipe dans une boîte de nuit, entre l’alcool et la coke, il n’a gardé aucun souvenir du tournage.
39. Mike Tyson est l’une des rares personnes, si ce n’est la seule à pouvoir se vanter d’avoir mis la pâtée à Steven Seagal.
Dans le film d’action China Salesman sorti en 2017 où il incarne un seigneur de guerre local, les deux hommes (ou plutôt leurs doublures) en viennent aux mains quand Seagal tente de lui faire boire de l’urine.
S’ensuivent clef de bras, pichenette à l’oreille et autre coup dans les parties, mais rien n’y fait, le Saumon Agile termine face contre sol.
40. S’il vous est arrivé de croiser en bas de chez vous un clodo qui ressemble à Mike Tyson, peut-être s’agissait-il vraiment de Mike Tyson.
« Il m’arrive de mettre un masque ski sur la tête, de m’habiller avec des vieux vêtements et d’aller errer dans les rues pour faire la manche. »
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Publié sur Booska-p.com le 23 novembre 2020.
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cawessel · 1 year ago
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J'ai perdu mon corps
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   Je vous présente une image d’un camion au concours qui a gagné. Derrière la ligne d’arrivée, nous pouvons voir la catastrophe : un camion sans roue (bleu léger), un camion sans conducteur (vert), un camion renversé (jaune), un camion perdu (violet), un camion en feu (bleu foncé) et un camion qui est tombé en panne (rose)... 
   Selon moi, la mouche dans J’ai perdu mon corps représente les éléments ou les événements de la vie désagréable qui persiste d’exister. Le dérangement de ces moments dans la vie est assez pour nous rendre fou et pour nous énerver. Par conséquent, nous essayons de réduire le désagrément. Par contre, en contrant « la mouche », nous devenons consumés et nous finissons dans une pire situation. Pour Naoufel, la mouche l’énervait au point de rupture où il était rongé par la frustration et oubliait de faire attention près de la machine. Il finit par perdre sa main. En fait, les conséquences peuvent être également néfastes soit la mort soit la perte de quelque chose ou de quelqu’un. Notamment, un conducteur qui fait un excès de vitesse est impatiente. Imaginez le scénario où ce conducteur trouve une mouche qui n’arrête pas de bourdonner autour de sa tête. Si le conducteur est chanceux et intelligent, il ralentissait et se rangeait pour tuer ou pour sortir la mouche. Malheureusement, il est probable qu’il continuait à grande vitesse. Il serait préoccupé par la mouche et ses prochaines actions au lieu des siennes. Sachant ceci, l’image montre les conséquences néfastes (tous les camions sauf le rouge) après avoir participé aux tours de la mouche (le camion rouge). Comme le montre l’image, « la mouche » gagne. De plus, de façon plus réaliste, la mouche peut aussi symboliser les autres conducteurs qui veulent faire la course ou même un passager qui se plaint toujours. Honnêtement, nous avons tous les mouches incluant et excluant les automobiles. 
   En somme, cette image sert comme représentation de comment un moment peut nous « tuer ». Autrement dit, si nous continuons de concentrer trop sur les facteurs qui sont hors de notre contrôle, nous serons victime de cette obsession. Nous ne pouvons pas laisser nos mouches gagner !
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