#cadeaux hommes
Explore tagged Tumblr posts
Text
Parfums Armaf : des fragrances luxueuses à prix réduits !
Amateurs de belles senteurs, foncez découvrir la collection Armaf originaires d'UAE! Avec 33% de #réduction sur tout le catalogue, c'est le moment idéal pour dénicher le #parfum de vos rêves sur LHMIZA SHOP. Livraison rapide partout au Maroc.
0 notes
Text
Pourquoi Devenir Mannequin
Pourquoi devenir mannequin ? Quels sont les avantages de ce métier ? On entend souvent parler du mannequinat de manière assez négative et dans cet article, j’avais envie de vous donner sept raisons pour lesquelles devenir mannequin est une très bonne idée. 🙂 Et si devenir mannequin est ton rêve, il y aura un cadeau pour toi. Je t’en reparle à la fin de l’article. 😉 Continue reading Pourquoi…
View On WordPress
#Avantages d&039;être Mannequin#Cadeaux Mannequins#Femmes mieux payées que les hommes#Mannequinat Conseils#Pourquoi Devenir Mannequin#Prendre confiance en soi#questions mannequin#Salaire Mannequin#Voyages Mannequin
0 notes
Text
Chaussettes fantasie Noël Chaussettes Drôles Chaussettes Courtes Fantaisie Cadeaux Nouveauté pour Les Amateurs Homme Femme Couple Funny Socks
Les chaussettes fantaisie sont les cadeaux de Noël amusants parfaits pour les amoureux !
Avez-vous du mal à trouver les cadeaux de Noël parfaits pour vos proches ? Si oui, vous n'êtes pas seul. Il peut être difficile de trouver le bon cadeau qui les fera sourire. Mais ne vous inquiétez pas, nous avons ce qu'il vous faut. Cette année, offrez le rire avec une paire de chaussettes fantaisie !
Bien sûr, les chaussettes ne semblent pas être le cadeau le plus excitant, mais croyez-nous, ce ne sont pas des chaussettes ordinaires. Ils sont sûrs de mettre un sourire sur le visage de votre bien-aimé, qu'il soit homme, femme ou couple. Et quoi de plus festif qu'une paire de chaussettes de Noël ?
Il existe toutes sortes de modèles amusants et festifs parmi lesquels choisir, vous êtes donc sûr de trouver la paire parfaite. Du court et impertinent au long et luxueux, il y a un style pour tout le monde. Et si vous voulez vraiment tout faire, vous pouvez même vous procurer des paires assorties !
Les chaussettes fantaisie sont parfaites pour les bas de Noël ou les cadeaux Secret Santa. Ils sont également parfaits pour les fêtes de bureau ou les échanges d'éléphants blancs. Alors cette année, ajoutez un peu de plaisir et de rire à votre saison des fêtes avec une paire de chaussettes fantaisie !
0 notes
Text
Cc, écouteurs bluetooth blancs neufs a vendre sur Vinted "blondie1742"🤍👍🎁
0 notes
Text
Sir Crocodile et cette terrible, horrible, mauvaise, très mauvaise journée
On Ao3
18+ MDNI
Translated into French by the incredible @amandine-rustal
The original in English
Couple : Crocodile x Lectrice
Avertissements : Lemon sur la dernière partie.
Résumé : Crocodile redoute le seul jour de l'année où tu ne travailles pas : ton anniversaire. En tant qu'assistante personnelle incroyable, il dépend de toi pour presque tout. Comme chaque année, cette journée sans toi est un désastre complet. Mais peut-être qu'il peut sauver quelque chose des décombres. Quelque chose ou quelqu'un qu'il désire depuis très longtemps.
----
Sir Crocodile tapota du plat de son crochet la date entourée sur son calendrier de bureau. Demain était son jour le moins préféré de toute l'année. Tu ne prenais qu'un seul jour de congé par an, ton anniversaire. Bien sûr, tu avais aussi théoriquement des week-ends de libres. Mais il y avait toujours un imprévu et tu passais au moins une demi-journée à gérer ses affaires ou ses problèmes personnels chaque week-end.
Il ne t'en voulait pas d'avoir ton anniversaire pour toi, tu étais incroyablement assidue et tu le méritais. Mais sans toi à ses côtés, tout semblait s'écrouler en quelques minutes. Tu étais de loin la meilleure assistante personnelle qu'il ait jamais eue. Peut-être même la meilleure employée qu'il ait jamais eue, surpassant même sa cohorte d'hommes de mains, dotée de fruit du démon, qui tuait pour lui sans discernement.
Bien sûr, il savait que s'il t'appelait sur ton baby den den mushi, tu répondrais et ferais tout ce qu'il voulait. Mais il se sentirait coupable de te déranger. Et la culpabilité était une émotion que Crocodile avait ressentie qu'une seule fois et qu'il ne voulait plus jamais ressentir. Non, il se débrouillerait sans toi demain et te laisserait profiter de ton jour de congé.
Bien qu'il n'ait pas été avenant avec ses hommes du Baroque Works, Crocodile était considéré comme un employeur de premier plan à Rainbase. Une fois qu'il avait trouvé quelqu'un qui était bon dans sa profession, il faisait de son mieux pour le garder à son service. Il traitait son personnel avec respect, le payait très bien et avait établi des directives à suivre pour les employés. Les hommes de mains pouvaient être remplacés, les pirates sanguinaires étaient monnaie courante. Des femmes de ménage, des chefs et des assistants fiables et de haute qualité ? Inestimable.
Et tu étais l'employée la plus fiable, la plus organisée, la plus équilibrée, la plus méticuleuse et la plus travailleuse qu'il n’avait jamais eu.
Au début, il te soupçonnait d'être une utilisatrice de fruit du démon. Cela aurait expliqué comment tu parvenais à tout faire correctement, à temps et si facilement.
Cependant, il s'est vite rendu compte que tu étais juste excellente.
Tu ne suivais pas ses ordres à la lettre, comme certains de ses complices. Tu n'attendais pas qu'il te dise ce dont il avait besoin ou les tâches qu'il voulait faire, tu pensais par toi-même et tu anticipais ses besoins.
Tu n'étais pas une personne qui disait oui à tout, tu exprimais ton opinion s'il te le demandait. Il appréciait ta perspicacité et ton esprit vif. En fait, pendant les années où tu avais travaillé pour Crocodile, tu ne t'étais disputée qu'une seule fois. Et ce n'était même pas une dispute, en fait. Crocodile avait commencé à se laisser pousser une moustache, il pensait que cela ajoutait un peu de royauté à son visage. Tu la détestais et tu lui as dit que cela ne convenait pas à ses traits. Tu avais raison, bien sûr. Il t'avait permis de la raser toi-même, pour ton plus grand plaisir.
Même si ce n'était pas ton jour de congé, Crocodile se souvenait toujours de ton anniversaire. Le tien était le seul, en dehors du sien, dont il avait pris la peine de se souvenir.
Il avait beaucoup d'amantes qui pensaient que les cadeaux attentionnés et romantiques qu'elles recevaient pour leurs anniversaires, leurs anniversaires de mariages ou « juste comme ça » venaient de lui. Mais la vérité était que toutes ses amantes étaient « en couple » avec toi. Tu te souvenais de tous les détails et tu arrangeais tout selon les goûts de ses amantes.
Crocodile n'essayait même pas de se souvenir de leurs noms, les appelant toutes « Poupée » pour s'épargner des ennuis. Il les considérait même comme des jouets interchangeables, facilement remplaçables, stupides, puis finalement sans valeur.
Cependant, tu pouvais lui dire leurs fleurs préférées, leurs pierres précieuses préférées, leurs styles vestimentaires, leurs pointures et toutes autres informations dont il avait besoin. Tu leurs avais envoyé des centaines de cadeaux, sans aucune faute de goût.
En conséquence, Crocodile avait la réputation d'être un vrai romantique, quelqu'un qui écoutait quand ses amantes leurs racontaient des détails personnels. Or, il s'en fichait complètement.
Il s'est arrêté à ton bureau alors que tu terminais ta journée, apportant avec lui un petit sac cadeau accroché à son crochet.
- Joyeux anniversaire, dit-il à voix basse en te tendant son cadeau.
- Quelle agréable surprise Monsieur, dis-tu en le retirant et en l’ouvrant immédiatement.
C’était une succulente agave White Rhino en pot qu’il avait achetée sans ton aide. Elle était chère et rare, mais tu valais chaque centime qu’il avait dépensé pour toi.
- Oh quelle délicate attention ! Merci beaucoup Monsieur !
Tu lui as souri.
Pour certains, cela aurait pu ressembler à un cadeau de piètre qualité, mais Crocodile te connaissait bien. Tu n'aimais pas les fleurs coupées, ni la plupart des bibelots.
Tu étais passionnée par les cactus et les plantes grasses, et tu passais une partie de ton temps, loin de lui, à t'occuper des plantes. Tu avais une collection impressionnante, que Crocodile complétait au fur et à mesure que l'occasion se présentait. Tu t'es levée de derrière ton bureau, l’a contourné et tu t'es mise sur la pointe des pieds. Crocodile s'est mis à ta hauteur et tu l'as embrassé sur la joue en signe de gratitude.
- Quelle merveille avant mon départ Monsieur. Je vous verrai après-demain. S’il y a une urgence, n’hésitez pas à m’appeler.
Crocodile te sourit et s’appuya contre ton bureau. Crocodile savait que tu n’avais aucune intention malveillante en l’embrassant, c’était de l’affection platonique. Mais il appréciait néanmoins cette sensation. Il attendait ce moment avec impatience chaque année.
- Profitez de votre jour de congé.
Il ne le pensait pas, mais il n'allait pas te le dire.
- Merci Monsieur.
Sur ce, tu as soigneusement porté ta plante et tu as quitté le bureau. Crocodile t'a regardé sortir puis a fait la grimace une fois que tu es partie. Ce seraient de longues 24 heures sans toi.
~~~
Le lendemain matin commença mal dès le début.
Crocodile se réveilla tard, son réveil n'avait pas sonné. Il le jeta avec du sable, le détruisant complètement. Il était déjà agacé. Normalement, tu le réveillais doucement avant que son réveil ne le fasse, mais tu n'étais pas là aujourd'hui. Il trouvait que se réveiller au son de ta voix douce et de ton visage calme était une façon apaisante de commencer sa journée.
Crocodile se leva de son lit et se dirigea vers son valet de chambre, pour le trouver vide. Il voulait aussi le détruire, mais il décida qu'il ne devait pas démolir tout ce qui l'irritait aujourd'hui. Il n'aurait plus rien et de plus, ce serait plus de travail pour toi de tout remplacer.
Tu accrochais généralement ses vêtements pour lui après les avoir repassés toi-même, et il voyait rarement la nécessité d'ajuster tes choix. Tu savais ce qu'il aimait et comment il aimait se présenter jusqu'aux boutons de manchette de ses chemise. Crocodile se dirigea vers son grand dressing et regarda les étagères bien organisées de vêtements. Cela faisait un an qu'il n'avait pas eu à le faire lui-même et cette corvée ne lui avait pas manqué.
Il choisit une tenue et se regarda dans le miroir. La tenue manquait d'une certaine élégance que tu pouvais assembler sans effort.
Il ajusta son crochet, il avait l'air terne. Tu le polissais toujours pour lui jusqu'à ce qu'il brille. Il fallait s'en contenter, il était déjà en retard pour une réunion qu'il avait convoquée. Il quitta sa chambre pour la salle à manger, à la recherche de son café corto. Il y avait une carafe de café filtre qui l'attendait sur la table, mais pas d'espresso. Il y avait aussi un impressionnant plateau de pâtisseries sucrées. Tu savais que Crocodile voulait d'abord un café corto, puis du café filtre, un cigare et pas de nourriture.
Était-ce si difficile de reproduire tout ce que tu faisais en une seule journée ? Aucun membre du personnel ne pouvait rivaliser face à cette petite femme ?
Crocodile sonna un domestique et demanda l'espresso. On lui apporta un americano. Il soupira et se frotta les tempes avec sa main.
La journée s'est ensuite dégradée.
Tu avais préparé ton absence la veille, en laissant des notes et en organisant ce que tu pouvais anticiper. Crocodile avait un autre membre du personnel sur place, qui répondait aux appels que tu aurais normalement pris. Mais même sans ton aide, ce fut un désastre complet. Crocodile était habitué à ce que tu prennes des notes pour lui pendant les réunions et il avait oublié d'apporter un stylo et du papier. À la fin de la réunion, il avait oublié la moitié des chiffres de la présentation trimestrielle. Tout semblait avoir besoin de ta touche, de ton aide, de ta prévoyance pour se dérouler sans problème.
Les choses allèrent de mal en pis.
Les réunions dévièrent du sujet, les rapports contenaient des données incorrectes, les ennemis n'étaient pas torturés et il avait oublié de nourrir les bananawanis à temps.
La nouvelle se répandit rapidement que Crocodile était de mauvaise humeur. Tout le monde connaissait la raison, mais personne n'osait en souffler mot. Malgré ses vœux pieux, la table de la salle de réunion avait maintenant plusieurs trous de la taille de son crochet et son bureau était recouvert de sable. Il se pencha en arrière sur sa chaise et tira une longue bouffée de son cigare. Tu aurais déjà tout arrangé pour apaiser sa colère.
Ce n'était même pas toutes les petites choses de la journée de travail que tu organisais. Tu étais experte dans l'art d'anticiper ses besoins avant même qu'il ne se rende compte qu'il voulait quelque chose, et d'organiser sa vie de manière à ce qu'elle convienne à quelqu'un de sa condition. Tu le comprenais mieux que quiconque. Oui, Miss All Sunday s'occupait de Rain Dinners, mais tu gérais Crocodile.
Il s'assit et se rappela l'une des fois où il t'avait appelé au milieu de la nuit. Il essayait de ne pas perturber ton sommeil, mais parfois il fallait le faire. Une de ces occasions s'était produite lorsqu'il avait invité Dracule Mihawk chez lui. Ils avaient discuté et bu, jusqu’à tard dans la nuit. Aux premières heures du matin, il t'avait appelé pour te demander de la nourriture pour accompagner leur vin.
- Bonjour Monsieur, comment puis-je vous aider ?
Ta voix était endormie, il vit son escargot répondre les yeux embrumés mais toujours avec un sourire.
- Je m'excuse pour cet appel tardif. J'aimerais avoir des rafraîchissements.
- Bien sûr Monsieur, l'escargot regarda quelque chose. Il est 2 h 50. J'avais prévu que vos rafraîchissements préférés soient livrés à 3 h. Préférez-vous attendre dix minutes ou préférez-vous que je vous apporte quelque chose immédiatement ?
Tu n'étais pas facétieuse, Crocodile savait que s'il te le demandait, tu aurais de la nourriture pour lui à 2 h 59, quoi qu'il arrive.
- 3 h, c'est bien, merci.
- J'espère que vous pourrez pardonner mon impertinence Monsieur. J'ai également inclus quelques rafraîchissements qui pourraient être plus au goût de votre invité.
Mihawk haussa un sourcil.
- Très attentionnée. Bonne nuit.
- Bonne nuit Monsieur.
Et bien sûr, à 3 heures du matin pile, un plateau de plats préférés de Crocodile, accompagnée d'une importante quantité d'alcool, lui a été livré par un serveur à l'air fatigué. Crocodile s'est servi des raviolis frais et a offert le plateau à Mihawk. Mihawk a refusé, car il dégustait les gambas à l'ail et du jambon.
- Tu as une assistante formidable, dit Mihawk une lueur d’intrigue sur le visage. Les plats sont excellents, transmets-lui mes remerciements.
Mihawk inclina la tête vers Crocodile. Crocodile sourit, tu l’avais rendu fier.
En interrompant son voyage dans le passé, il entendit le téléphone sonner pour ce qui lui sembla être la millionième fois ce jour-là. Miss Merry Christmas décrocha le combiné. Il pouvait entendre la moitié de la conversation.
- Allo ? Non, elle n'est pas là aujourd'hui, c'est son anniversaire. Je ne pense pas que vous vouliez… êtes-vous sûr… laissez-moi voir.
Miss Merry Christmas regarda Crocodile dans son bureau et cria à travers la porte ouverte :
- C'est Doflamingo, voulez-vous le prendre ?
Crocodile voulait la tuer sur le champ. Son sable tourbillonnait déjà derrière lui. Elle avait dit à Doflamingo que c'était ton anniversaire.
Après que Crocodile avait eu commencé à t'emmener aux réunions des grands corsaires, l'idiot tape-à-l'œil avait essayé de te faire déménager à Dressrosa et de travailler pour lui.
Crocodile ne s'inquiétait pas de te voir le quitter pour un autre employeur. Par contre, cette pensée pesait lourdement sur son esprit et lui causait une immense colère lorsqu'il t'imaginait passer du temps avec Doflamingo. Mais ce n’était pas de la jalousie, Crocodile ne serait jamais jaloux d'un employeur qui recruterait une personne aussi intelligente et lucide que toi.
De plus, « Mademoiselle Sur Le Point D'Être Empalée » lui avait demandé s'il voulait prendre l'appel. Maintenant, Doflamingo savait qu'il était là et il devait prendre l'appel sinon il risquait une crise de colère de la part de ce roi gâté. Il se dirigea vers le den den mushi, qui avait l'air plutôt satisfait.
- Quoi ?
- Alors c'est son anniversaire aujourd'hui, hum ? Je vais devoir lui envoyer quelque chose de sympa, peut-être de la lingerie... tu en veux aussi ? Fufufufufufufu.
Crocodile espérait que Vegapunk inventerait bientôt un moyen de tuer quelqu'un grâce à un den den mushi. Il s'occuperait de Doflamingo plus tard, il n'était pas d'humeur à accepter les quêtes amoureuses idiotes du roi de Dressrosa. Il raccrocha délicatement, tapotant doucement l'escargot dans le dos avec sa main. L'escargot avait survécu parce qu'il en avait tué un, une fois par colère, après un appel similaire et cela t'avait bouleversé. Crocodile n'aimait pas quand tu étais bouleversé. Tu avais même pleuré à cause de l'escargot et Crocodile s'était senti coupable. Il avait encore moins aimé ça.
Il avait besoin d'un verre.
~~~
Crocodile quitta son bureau pour se rendre au restaurant de Rain Dinners. Il avait un mal de tête épouvantable et il a failli crier ton nom pour te demander de l'aide. Chaque année, ton anniversaire lui faisait réaliser à quel point il dépendait de toi, alors chaque année, il augmentait ton salaire le lendemain. Il se fit une note mentale pour faire la même chose demain.
Crocodile était assis à sa place préférée, fumait son cigare et buvait son whisky pur. Les barmans étaient compétents et n'avaient pas besoin qu'on leur dise ce qu'il voulait boire. Il réfléchissait à certains des rapports que lui avaient communiqués ses sbires lorsqu'il t’aperçut, seule, en train de boire un verre de vin au bar. Crocodile fut surpris, boire seule, en ce grand jour ?
Crocodile savait que tu avais une relation amoureuse antérieure à ton embauche. Crocodile n'avait jamais aimé ton partenaire, mais tu semblais assez heureuse. Il ne comprenait pas pourquoi quelqu'un de ton calibre, de ton intelligence et de ta beauté était avec un tel perdant, mais pour ton bien, il ne l'avait pas tué.
Crocodile se ressaisit et se dirigea droit vers toi au bar. La foule s'écarta facilement pour lui, beaucoup essayant d'attirer son attention. Certaines de ses poupées essayèrent de lui toucher le bras ou de lui parler, mais il ne leur accorda même pas un regard. En venant à tes côtés, tu levas les yeux vers lui et lui souris faiblement.
- Bonsoir Monsieur.
Tu étais absolument ravissante, aussi belle que le jour où il t’avait rencontrée. Normalement, tu portais des vêtements simples, mais bien coupés au travail. Cela n’avait pas empêché son imagination de s’emballer lorsque tu portais tes jupes crayons ou tes hauts légèrement décolletés.
Il ne comptait plus le nombre de fois où il avait voulu détacher tes cheveux de leur coiffure et y passer ses doigts. Ou le nombre de fois où il avait voulu déchirer ta jupe et de te posséder lorsque tu te penchais sur son bureau.
Il avait envisagé à maintes reprises de te séduire, mais au final, il te respectait trop pour le faire. Il ne voulait pas interférer si tu étais déjà en couple, aussi pathétique que soit ton choix. De plus, il ne savait pas ce qu’il ferait sans toi si son intérêt n’était pas réciproque et que tu partais. Il ne voulait même pas envisager cette possibilité.
Aujourd'hui, tu étais habillée de façon plus chic que d'habitude, ta silhouette saisissante se parait d’une élégante robe noire qui dévoilait ton dos de manière provocante. Il réprima son envie de passer son crochet le long de ta colonne vertébrale pour voir si cela te faisait frissonner. En repensant à toi, il remarqua que tes yeux étaient légèrement rouges et gonflés. Il posa sa grande main sur ton épaule.
- Qu'est-il arrivé à cette… personne … avec qui vous passez habituellement du temps ?
Il ne pouvait pas appeler ce garçon un homme, encore moins un petit ami. Il avait de la chance que Crocodile se souvienne de son existence. Et qu'il continue à le lui permettre.
- Nous ne sommes plus ensemble Monsieur.
Tes yeux se remplirent de larmes. Crocodile était assis sur le siège à côté du tien.
- Vous avez rompu aujourd’hui ? Demanda doucement Crocodile ne voulant pas t’embarrasser ou te contrarier davantage.
- Oui Monsieur.
Tu as regardé ton verre de vin, faisant tournoyer doucement la boisson.
- Voulez-vous qu’il soit mort ?
Crocodile aurait juré que son crochet tremblait. Il ne pouvait imaginer de meilleure fin pour la soirée. Peut-être que cela sauverait cette terrible journée.
- Non merci Monsieur.
Tu n’avais pas le même penchant pour la violence et la soif de sang que lui. Crocodile ne s’en souciait pas. Il n’aimait pas tellement les plantes grasses. Vous pouviez tous les deux avoir des passe-temps différents et arriver à bien travailler ensemble.
- Vous n’avez pas besoin de perdre votre temps à me consoler Monsieur. J’aimerais que vous profitiez de votre soirée. Quelques-unes de vos amantes sont ici, si vous voulez que je vous rappelle leurs noms.
Crocodile s’en moqua.
- Comme vous le savez, je fais toujours exactement ce que je veux.
Tu hochas la tête. Comme s’il allait renoncer à passer du temps avec toi pour une femme sans nom.
- Où travaillait-il déjà ?
Crocodile allait le faire traquer, juste pour… s’amuser.
- C'est le directeur général de Fantasia, répondis-tu les sourcils froncés.
C'était un casino concurrent, il n’était même pas dans le top trois de Rainbase.
- Il a dit que je suis trop impliquée dans ma carrière, que je ne passe pas assez de temps loin du travail. Que ma vie tourne autour de la vôtre.
Tu levas les yeux, déjà repentante :
- Je m'excuse Monsieur. Vous n'avez pas demandé de détails.
Crocodile balaya tes inquiétudes d'un geste de la main. Il aimait que tu lui fasses part de tes sentiments et de tes opinions. Crocodile prit le plat de son crochet et le plaça sous ton menton, levant ton visage pour regarder le sien. Une larme coula sur ton visage.
- Certaines personnes ne comprennent pas le dévouement. La loyauté. Le devoir. La passion.
- Passion Monsieur ?
Ton visage rougit légèrement à cause du vin… ou peut-être du contact intime. Crocodile réalisa tardivement son faux pas. Il n'avait pas eu l'intention de révéler son désir, surtout quand tu étais déjà si bouleversée. Il retira à contrecœur son crochet de dessous ton joli visage.
- Voulez-vous que je vous raccompagne chez vous ?
Crocodile changea de conversation au cas où tu te sentirais mal à l'aise.
- Oui, merci Monsieur, tu sembles surprise de son offre et de l’avoir acceptée.
Naturellement, il voulait s’assurer que son employée préférée était chez elle en toute sécurité. Il n’avait jamais fait ça pour quelqu’un d’autre, mais cela ne voulait rien dire. Cela n’avait certainement rien à voir avec ta tristesse et ta vulnérabilité. Il t’a tendu la main et tu as descendu avec précaution de ton tabouret de bar. Crocodile t’a guidé jusqu’à la porte avec son crochet sur ton dos nu. Il a regardé attentivement et s’est rendu compte qu’il avait raison, tu avais la chair de poule.
Vous avez tous les deux traversé la ville plongée dans l'obscurité en silence, profitant du beau temps. C'était une autre chose que Crocodile appréciait chez toi : tu ne ressentais pas le besoin de remplir le silence avec des bavardages insignifiants.
Plus la promenade durait, moins Crocodile était content. Il te payait très bien, pourquoi ne vivais-tu pas dans la partie luxueuse de la ville ?
Tu avais tourné au coin des rues de bas quartiers, jusqu'à ce que vous arriviez à un immeuble d'appartements à l'aspect miteux et vous vous êtes arrêtés sur le pas de la porte. Crocodile aurait préféré le brûler que d'y mettre les pieds.
- C'est ici que j'habite Monsieur, merci de m’avoir raccompagné.
Crocodile regarda une fois de plus le bâtiment en briques qui s'effondrait.
- Pourquoi ? S’exclama Crocodile.
Il avait presque coupé son cigare en deux.
- Je vous demande pardon Monsieur ? Confuse face à sa question.
- Pourquoi vivez-vous ici ? Je vous paie bien, je sais que vous pouvez vous permettre de meilleures conditions de vie.
Ton visage rougit.
- Ne vous inquiétez pas Monsieur. La situation s'est résolue d'elle-même.
Crocodile plissa les yeux. Cela avait donc un rapport avec ce garçon. Avais-tu remboursé une partie de ses dettes de jeu ? Il allait garder un œil sur lui. Crocodile le savait bien, il possédait un casino et avait vu ce genre d'idiot des milliers de fois. Cela ne marcherait pas et ta situation de vie actuelle non plus.
- En effet. Vous allez emménager dans mon manoir.
Crocodile était ravi de ce résultat. Il n'avait pas aimé que tu vives si loin de lui. Il avait toujours un service de sécurité qui te suivait quand tu n'étais pas avec lui, mais ça ne lui semblait jamais suffisant. Avec le niveau de connaissance intime que tu avais de lui et de ses affaires, il était toujours inquiet que tu sois kidnappée ou torturée.
Honnêtement, s'il l'admettait à lui-même, il s'inquiétait. Un autre sentiment qu'il n'aimait pas.
Non, cela fonctionnerait parfaitement. Il n'aurait pas à être distrait par des pensées concernant ton bien-être et tu serais plus proche de lui à tout moment.
- Monsieur, ce n'est pas… approprié, as-tu rétorqué.
Il n'avait pas pensé aux implications de te faire venir, mais dans ce cas précis il ne pensait pas avec son entrejambe.
- N'importe quoi. Vous aurez toute l'aile Est pour vous. Décorez-la comme vous le souhaitez, je vous fournirai une allocation logement. Je vous attendrai ici cinq minutes. Rassemblez ce dont vous aurez besoin pour la nuit. Daz viendra chercher le reste de vos affaires demain.
- Monsieur, est-ce vraiment…
Tu avais croisé les bras sur ta jolie poitrine.
- Le compte à rebours a commencé.
Sa volonté était gravée dans la pierre, même ton agacement ne pouvait l’en dissuader. Tu as soupiré, levé les yeux au ciel et tu es entrée rapidement dans le bâtiment. Peut-être qu’une bonne chose était ressortie de cette terrible, horrible, mauvaise, très mauvaise journée.
~~~
Crocodile était extrêmement heureux du résultat de sa décision. Il se sentait en paix en sachant qu'il pouvait te protéger et te garder à l'abri de ceux qui chercheraient à prendre le pouvoir sur lui. Ou pire encore, d'autres magnats essayant de recruter tes services pour les leurs. Il avait surpris Mihawk en train de te parler tranquillement après la dernière réunion des grands corsaires, et tu avais ri de quelque chose qu'il avait dit.
Il ne t'empêcherait pas d'avoir une conversation avec l'épéiste, mais il n'aimait pas ça. Il savait que même Sengoku avait essayé de te recruter comme Marine. Tu as refusé toutes les offres et tu es restée avec Crocodile. Il ne s'inquiétait pas de ta loyauté, mais Crocodile n'aimait pas l'attention que tu recevais des autres. Tu étais son assistante personnelle et Crocodile n’aimait pas partager.
Il a essayé de te donner ton espace et de te permettre d'avoir ta propre vie personnelle au sein du manoir. Il ne voulait pas te contrôler, il savait que tu étais indépendante. Mais comme vous partagiez désormais le même manoir (gigantesque), il te voyait parfois en dehors de tes heures de travail. Il te voyait flâner dans les jardins, à t'occuper de tes plantes, regarder les étoiles depuis le balcon.
Quand tu ne travaillais pas, tu t'habillais de manière plus décontractée, permettant à Crocodile de voir davantage ton corps. Le fait que tu ne l'appelais que « Monsieur », même en dehors du travail n'aidait pas. Il avait longtemps fantasmé sur ta voix sensuelle disant « Oui Monsieur » et « Non Monsieur » dans un cadre plus intime. Il avait essayé avec plusieurs de ses poupées, mais aucune d'entre elles n'y parvenait. Seul ton « Oui Monsieur » faisait battre son cœur.
~~~
Plus tu vivais dans son manoir, plus Crocodile devenait méfiant quant à la nature de tes sentiments à son égard. Crocodile n'était pas du genre à demander directement, mais tu semblais avoir des sentiments qui surgissaient de temps en temps.
Une fois, il t'avait demandé d'aider une poupée à partir le lendemain matin, après une nuit dans sa chambre et tu avais catégoriquement refusé.
C'était la première fois que tu refusais une tâche qu'il te demandait. Et tu n'avais pas reculé. Tu as dit que cela dépassait le cadre de tes fonctions, mais que tu enverrais une femme de ménage.
Si Crocodile avait dû mettre une émotion dans ton ton, cela aurait été de la jalousie.
D'autres fois, il t'avait surprise en train de le fixer, de rougir et de détourner le regard quand il l'avait surpris. Vous travailliez ensemble depuis des années, mais avec la proximité et ton nouveau statut de célibataire, peut-être que tes sentiments étaient en train de changer.
Crocodile voulait tester sa théorie. Un jour, alors que ta jupe crayon était particulièrement serrée, il t'a appelée dans son bureau à domicile. Il était adossé à sa chaise, fumant un cigare comme d'habitude, des papiers sur son bureau.
- Oui Monsieur ?
Tu te tenais à l’entrée du bureau.
- Entres, je ne mords pas.
Tu t’es immédiatement rapprochée de son bureau, une légère confusion sur le visage. Normalement, il essayait de te parler de la manière la plus professionnelle possible, et tu avais immédiatement remarqué le changement dans son langage.
- Jettes un œil aux derniers chiffres de Rain Dinners. Je sais que les calculs sont corrects, mais il manque quelque chose.
Tu t’es approchée à côté de lui et tu t’es penchée pour lire, comme tu l'avais fait tant de fois auparavant. Mais cette fois, il a posé sa main sur le bas de ton dos. Tu n'as rien dit, mais il t’a entendu inspirer. Intéressant.
Tu as passé un moment à feuilleter les pages.
- Je vois le problème Monsieur, dis-tu toujours penchée.
Crocodile se leva et se pencha à côté de toi, t’emprisonnant d’un bras.
- Je m’excuse. Il vous manque une page du rapport.
Tu rougissais furieusement, mais tu continuas :
- Je vais vous en procurer une copie.
Tu étais énervée.
- Merci, c’était tout, souffla Crocodile dans le creux de ton oreille.
Tu frissonnas sous le contact rapproché. Crocodile se rassit dans son fauteuil, te libérant. Tu courus pratiquement hors de la pièce, le visage aussi rouge que si tu avais passé toute ta vie dans le désert d'Alabasta. Très intéressant.
~~~
Crocodile voulait fixer des limites claires et obtenir ton consentement avant de faire quoi que ce soit. Il te respectait en tant que personne et si tu devais refuser, il voudrait quand même te garder comme employée.
Il t’a appelé un soir.
Tu es arrivée rapidement, mais dans des vêtements plus décontractés car c'était en dehors de tes heures de travail. Tu portais une robe d'été mi-longue avec un motif à fleurs bleues. Elle accentuait tout ce que Crocodile aimait dans ta silhouette : la perfection.
- Comment puis-je vous aider Monsieur ?
Polie comme toujours.
- Viens ici.
Crocodile t’a fait signe d’un doigt tendu. Tu t’es placée devant lui comme attendu. Il a soigneusement enroulé son crochet autour de ta taille et t’a tirée plus près, juste devant sa silhouette assise.
- C’est mieux.
Il a retiré son crochet.
- Est-ce que ça te plaît de travailler pour moi ?
Tes sourcils se sont levés de surprise.
- Bien sûr Monsieur. C'est le meilleur travail que j'ai jamais eu.
- Te souviens-tu du jour où je t’ai embauché ?
Crocodile tirait sur son cigare, laissant la fumée s’échapper de sa bouche. En même temps, il polissait son hameçon avec un chiffon. Il savait qu’il avait une silhouette imposante.
- Oui Monsieur.
Tu étais fascinée par la vue du crochet doré, brillant dans la lumière tamisée.
- Tu te souviens de notre conversation à propos des bananawanis ?
Tu détournas les yeux de son crochet.
- Oui Monsieur. L’une des conditions d’embauche était d’être à l’aise avec les bananawanis. Vous m’avez demandé si j’avais des inquiétudes quant à la façon de m’occuper d’eux.
Tu devenais nerveuse, incertaine du but de la conversation.
- Tu te souviens de ce que tu m'as dit ? Sourit Crocodile d'un air troublant.
- Oui Monsieur. Ce sont des prédateurs de premier plan, il faut les traiter avec soin et respect. Si vous acceptez votre place sous eux, ils peuvent être affectueux et doux. En cela…
Tu l’as regardé dans les yeux :
- … je doutais qu’ils soient les créatures les plus dangereuses de la propriété.
- Tu crois toujours que c'est vrai ?
Crocodile se redressa de toute sa hauteur, te dominant. Tu levas les yeux vers lui. Tu semblais nerveuse mais pas effrayée.
- Oui Monsieur.
- Et que dirais-tu d'une créature plus dangereuse ?
Il parla à voix basse, regardant ton visage rougir. Il enroula lentement son crochet autour de ta nuque, te laissant le temps de t'éloigner. Tu ne bougeas pas, sauf pour frissonner.
- Ah, probablement la même chose Monsieur. Si j'acceptais ma position de subordonnée, je pense que la plupart des créatures fortes… euh… seraient réceptives.
Crocodile tira doucement sur son crochet, dévoilant ton cou à lui. Il se pencha à ta hauteur, caressant de ses lèvres la partie exposée de ton cou.
- Parles maintenant de tes objections.
Il disait la vérité, la moindre hésitation de ta part et il s’arrêterait immédiatement. Il s’intéressait à la soumission volontaire, rien d’autre.
- Monsieur, je… j'avoue que j'en ai envie, mais je crains de mélanger affaires et passion.
Crocodile sourit à ta déclaration, faisant écho à ses paroles prononcées le jour de ton anniversaire. Tu avais donc été affectée également.
- Si quelque chose de désagréable se produit entre nous, maintenant ou plus tard, je t’assure que nous reviendrons à notre arrangement précédent. Tu ne seras pas renvoyée et ne subiras aucune sanction. Trouves-tu cela acceptable ?
Il préférait perdre son autre main que toi. Tu as hoché la tête.
- Oui Monsieur.
Tu le regardas avec des étoiles dans les yeux.
- Si je fais quelque chose et que tu souhaites mettre un terme à l’expérience, dis « non ». Si tu dis « arrêtez », je ne le ferai pas. Si tu dis « je vous en supplie », cela ne m’émeut pas, pas plus que les larmes. Si tu dis « non », je cesserai immédiatement mes actions. Tu comprends ?
Tu déglutis.
- Oui Monsieur.
- Quel mot mettra fin à quelque chose que tu ne souhaites pas voir arriver ?
- Je vous dis non, Monsieur.
- Très bien. Enlève ta robe.
Tu avais l’air nerveuse, mais tes lèvres se relevèrent aux coins sous son léger compliment. Il savait que tu faisais de ton mieux quand on t’approuvait.
Il se rassit sur sa chaise et admira ton élégance. Tu abaissas lentement les bretelles de ta robe, puis tu en retiras tes bras. Tu ne portais pas de soutien-gorge, tu avais jugé que la robe suffisait. Il avait vu de nombreux strip-teases de ses poupées, tous parfaitement conçus et pratiqués pour enflammer le désir d’un homme. Le tien n’avait aucun artifice, aucune ruse, rien de calculé. Et pourtant, il trouvait ta performance bien plus sensuelle et séduisante.
Il sentit sa verge se raidir davantage à chaque seconde qui passait. Lorsque tes bras furent libres, tu laissas ta robe s’accumuler à tes pieds et tu en sortis. Tu restas immobile, attendant son jugement.
- Absolument magnifique.
Il se releva, tourna lentement autour de toi, laissant le métal de son crochet glisser sur ta peau nue. Il le fit glisser sur ton dos, sur l’arrière de tes bras, sur tes clavicules en faisant le tour de toi. Partout où il le faisait glisser, ta chair se colorait de chair de poule.
- Tu es encore plus belle que je ne l’aurais jamais imaginé.
Tu te figes à ses mots. Il continua à te taquiner avec son crochet.
- Est-ce que ça te rend nerveuse quand je contemple ta beauté ?
- Non Monsieur.
Il finit de te boire et se rassit, écartant les jambes.
- Viens t’asseoir, dit-il d’une voix douce comme de la soie.
Tu t’approchas de lui sans hésiter, tes seins rebondissant doucement tandis que tu marchais. Tu te perchas gracieusement sur le côté de sa cuisse puissante, attendant son prochain ordre. Tu suivais toujours si bien ses ordres, après tout. Il posa son cigare et posa sa main sur ton flanc, te rapprochant de lui.
- Exquise au-delà de toute comparaison.
Rapprochant son visage du tien, il enroula sa main dans tes cheveux, à l’arrière de ta tête. Il tira, inclinant ton visage vers le haut. Tu haletais doucement. Il chercha sur ton visage le moindre soupçon de doute persistant, mais il ne vit que du désir brut.
Il approcha ses lèvres des tiennes très lentement, rampant centimètre par centimètre, sans encore t’embrasser, mais oh si près. Tu essayas de l’atteindre avec ta bouche, mais sa main t’en empêcha.
- Pas besoin de te précipiter, je ne vais nulle part, dit-il en mordant doucement le lobe de ton oreille.
Crocodile n’avait pas en lui la force d’attendre plus longtemps pour t’embrasser. Il approcha ses lèvres des tiennes, ouvrant la bouche. Tu le laissas entrer tandis que sa langue explorait la tienne. Il t’embrassa à son rythme tranquille, te montrant qui avait le contrôle. Il était exigeant et dominant et tu aimais chaque instant.
- Dis-moi, si je te touchais entre tes jambes, est-ce que tu serais mouillée pour moi ? Demanda-t-il en embrassant ta mâchoire.
Tu devins rouge cramoisie, mais sa main dans tes cheveux t'empêcha d'éviter son regard.
- Oui Monsieur.
- Montre-moi.
- Oui Monsieur.
Tu écartas tes cuisses tremblantes pour lui, révélant ta culotte trempée. Il dénoua sa main de tes cheveux et fit glisser un doigt le long de ton bras, de ton ventre, jusqu'à tes cuisses. Il passa la main autour de toi et déchira les côtés de ta culotte, la détruisant et révélant ton entrejambe luisante. Tu haletas mais ne bougeas pas. Il fit glisser un doigt le long de ta fente, sans séparer tes lèvres inférieures, mais les doigts revenant toujours brillants.
- Est-ce que ça fait du bien quand je te touche comme ça ?
- Ou…oui Monsieur, as-tu répondu en retenant un gémissement.
- Tu en veux plus ?
- Oui Monsieur. S'il vous plaît.
Oh, tu n'avais jamais ajouté cette petite supplication auparavant. Crocodile se sentit devenir encore plus dur. Peut-être qu'un jour il te ferait supplier. Mais pas aujourd'hui.
- Monte sur ma cuisse, c'est comme ça que tu vas jouir ce soir.
Il voulait regarder ton visage et profiter du désordre que tu avais fait sur son pantalon. Il aurait tout le temps pour d’autres moments de plaisir. Il t'a déplacée pour que tu sois à califourchon sur sa cuisse.
- Oui Monsieur.
Il était content que tu n’aies pas hésité, que tu sois aussi intéressée à obéir, que lui l’était à commander. Tu as commencé à tournoyer sur son énorme cuisse, émettant de petits gémissements, tes mains sur ses épaules pour plus de stabilité.
Il en a profité pour prendre ta poitrine en coupe, pétrissant le monticule entre ses doigts. Parfois, il regrettait sa deuxième main. C’était l’un de ces moments où il aurait aimé pouvoir sentir tes deux seins en même temps.
Au lieu de cela, il a soulevé sa cuisse pour que tu sois plus près de lui et a penché sa tête pour lécher et taquiner tes mamelons. Tes gémissements n’ont fait qu’augmenter. Il a embrassé toute ta poitrine et ton cou, en s’assurant de laisser quelques marques. Ta tête était rejetée en arrière, tes yeux vitreux alors que tu cherchais ton plaisir. Tes gémissements augmentaient en rythme et en intensité, tu étais proche.
- Demande-moi la permission de jouir, dit Crocodile d’une voix lente.
- S’il vous plaît Monsieur, puis-je jouir ? Répondis-tu rapidement sans arrêter tes mouvements.
Il voulait te récompenser ce soir.
- Oui, tu peux.
Tu gémissais et tu te cabrais plus vite contre sa cuisse, balançant tes hanches en petits cercles. Il pouvait dire au moment où tu succombas, il sentit ton sexe spasmer à travers son pantalon. Il te regardait sortir de l'euphorie, le visage déformé par le plaisir. Il était proche lui aussi, mais ce soir n'était pas pour lui.
Après avoir fini, tu avais besoin d'un moment de repos. Tu appuyais ton front contre sa poitrine, respirant lourdement. Un instant plus tard, il te souleva et t'installa sur son autre cuisse.
- Bonne fille, comme tu as si bien obéi. Regarde le désordre que tu as fait sur moi, dit-il en désignant la tache humide sur son pantalon.
Tu rougis, mais tu lui souris toujours alors qu'il te ceinturait de ses bras. Il t'enveloppa dans une couverture à proximité de son canapé, te permettant de t'effondrer contre sa large poitrine. Il ralluma son cigare et s'assit paisiblement en fumant. Sa verge dure comme du roc attendrait plus tard.
- Merci Monsieur. Puis-je vous poser une question ?
- Bien sûr.
- Est-ce qu’on pourrait��� refaire ça un jour ?
Tu avais l’air peu sûre de toi, mais Crocodile t’a souri gentiment.
- Ma chère, libère ton emploi du temps pour ce soir. Et pour le lendemain. Et pour l’avenir proche. Après tout, je ne suis rien d’autre qu’une créature affectueuse et douce.
#soft crocodile#sir crocodile x reader#crocodile x reader#op crocodile#crocodile one piece#reader insert#x reader#translation#op x y/n
18 notes
·
View notes
Text
j’ai quitté cette relation toxique que j’avais débuté en octobre. J’ai quitté cet homme qui me criait dessus parce qu’il ne trouvait pas de place de parking, qui m’appelait à 5h du mat’ complètement arraché juste parce qu’il avait juste besoin de ken, celui qui m’a fait une crise en boîte de nuit et ce jour où j’ai vu la froideur et la noirceur dans son regard. Je l’ai quitté et tant pis pour mes affaires que je ne reverrai jamais plu. Du maquillage j’en rachèterai d’autre.
Je l’ai quitté, enfin, apres que tout le monde m’ait dit que ce n’était pas un homme bien. Je l’ai quitté bien après avoir su qu’il avait déjà frappé une femme et qu’elle avait porté plainte. Je l’ai quitté grâce à mes collègues, à mes amis, à celui qui partage désormais ma vie et qui m’a montré ce que cela signifiait vraiment « être aimé ». Je l’ai quitté et tant pis pour les 200 balles de cadeaux que je lui ai fais à noël. Je m’en veux d’y avoir trop cru, de ne pas avoir su reconnaître qu’il me maltraitait, de ne pas avoir agi plus tôt, d’avoir attendu que quelqu’un me sauve, m’embarque et m’arrache de ses bras de poisons.
J’avais déserté tumblr, je ne savais plus écrire, je ne voulais plus me confier, et je ne savais plus quoi dire. Mais maintenant, je suis là.
39 notes
·
View notes
Text
tw; manipulation, mensonges, menaces, harcèlement. (et autres sûrement)
bonjour à tous,
je n’ai jamais fait de post discussion sur mon tumblr, que je réserve uniquement au graphisme mais il me semble que c’est du devoir de tous de prévenir d’un potentiel danger pour protéger la communauté; c’est vraiment une première pour moi, et pour conserver l’anonymat des victimes, leurs prénoms seront remplacés.
en revanche, je n’ai aucun mal divulguer la véritable identité de cet homme, qui s’appelle benjamin (de pseudo sano/benji quand nous l’avons connu; individu dans la trentaine). il est fort probable qu’il se fasse appeler autrement maintenant, mais il a un mode opératoire repérable puisqu’il reproduit le même schéma. si vous remarquez des similitudes avec une personne de votre entourage, je laisse à votre discernement le soin de l’identifier.
pervers sans aucun doute, cet homme approche des femmes de tout âge, la plus jeune étant âgée de 20 ans. de même, il n’hésite pas à viser des femmes mariées, ou en relation depuis longtemps. mais il semblerait qu’il jette principalement son dévolu sur celles qui traversent des passes difficiles. celles qu’il imagine, à tort ou à raison, « vulnérables » (mais nous le sommes tous après tout, dans une mesure différente j’imagine)
ça commence avec une drague inoffensive, un jeu de séduction léger qui rapidement évolue vers des exigences plus malsaines. l’une de ses victimes, qu’on nommera mélissa, a subit une pression rapidement pour quitter son compagnon et venir emménager avec lui. ne répondant pas positivement à ses avances, il menace dès lors de contacter ses proches pour prétendre qu’elle est en relation avec lui depuis plusieurs mois, qu’elle lui a envoyé des sextos/nudes. à savoir qu’elle n’avait donné aucune information personnelle mais qu’il aura été capable de trouver sur internet son lieu de travail, des informations sur ses proches et son conjoint. de même, les nudes n’étaient pas les siens mais il semblerait que ce malade a compris que ce n'est pas nécessaire d’être dans le vrai pour faire du mal. et avant tout pour effrayer.
cette mélissa avait un très bon contact avec une joueuse que l’on nommera ici estelle. estelle fût elle aussi une victime de benjamin, qui prétendit à cette dernière que mélissa était très insistante avec lui mais qu’il refusait ses avances. entre temps mélissa a été effrayée par les menaces du joueur et a quitté le forum sans donner d’explications, puisqu’il lui faisait croire qu’elle serait très mal reçue et qu’elle était déjà détestée de ma communauté (faux, évidemment). après avoir gâché cette amitié, il a rapidement profité de l’état dépressif d’estelle qui se confiait sur son mal être. une vulnérabilité qui ressemble à une porte ouverte pour un malade comme lui j’imagine.
lui envoyant cadeaux par la poste et mots d’amours; prétextant qu’il voulait faire sa vie avec elle, qu’il voulait l’épouser. mais refusant toujours d’officialiser leur relation, fermement, au point où il se disputera avec elle quand elle me mettra dans la confidence de leur union. finalement la relation se termine après plusieurs semaines d’un commun accord à cause de la distance.
estelle, très bien entourée irl, finira par apprendre par ses amis qui ont fouillés facebook (que benjamin prétendait ne pas avoir), qu’il était en réalité en couple depuis dix ans avec une femme, et qu’ils avaient même une maison. elle le confronte, il nie, prétend qu’ils sont séparés mais que rien n’a été officialisé auprès de leurs parents respectifs et qu’il n’en parlait pas pour ne pas la faire fuir. si elle ne le croit pas, elle finira cependant par lui envoyer une lettre dans laquelle elle se confie sur ses sentiments et émotions suite à cette altercation.
la conjointe de benjamin tombera sur la lettre avant lui et contactera estelle pour avoir des explications; suite à une conversation téléphonique entre les deux femmes, benjamin se retrouvera célibataire, et évidemment il le prendra mal et réagira avec violence.
en parallèle, cet homme discutait avec une joueuse que l’on appellera julie. cette julie a été elle aussi, hélas, manipulée par ce pervers. qui lui aura prétendu qu’estelle se faisait des films sur eux, qu’elle voulait forcer une relation et que s’il ne lui donnait pas gain de cause, elle menaçait de se suicider. évidemment, pas besoin de préciser que ce mythomane a tout inventé. mais julie un matin me contacte en me disant qu’elle est très inquiète pour estelle parce qu’après cette lettre envoyée à sa compagne, il l’a perdu et qu’en représailles, il souhaite divulguer des photos compromettantes d’estelle sur la toile.
de là j’ai contacté des proches gendarmes pour savoir quelles mesures pouvaient être prises pour calmer ce grand malade. ils m’ont demandé de pousser estelle à porter plainte parce que je ne pouvais, hélas, à mon échelle, rien faire de plus. elle semblait déterminée à le faire, mais à ce jour je n’ai plus de nouvelles d’elle donc je ne sais pas ce qu’il en est.
j’apprends aujourd’hui par mélissa, que ce fou furieux prétend à mon sujet (malgré la situation j’ai pas mal gloussé) qu’il aurait refusé d’interpréter mes scénarios parce que je lui faisais des avances. alors que plusieurs pourront l’attester, je lui ai refusé les rôles moi-même. pour diverses raisons dont son instabilité sur le forum, donc vraiment aucun rapport. je précise que je n’ai jamais causé à ce type autrement que pour discuter de liens possibles. pas d’ambiguïté, encore moins de drague.
il faut savoir aussi, comme je l’ai dit plus tôt, qu’il s’est montré très insistant auprès d’une joueuse qui lui avait fait part de son jeune âge. il faut croire que rien ne l’arrête.
inutile d’ailleurs de préciser que des mesures ont été prises et qu’une sanction immédiate est tombée. bannissement définitif, évidemment.
je vous demanderai à tous, s’il vous plait, de rester vigilants sur internet. ce n’est pas parce que vous partagez un rp et des échanges discord avec un joueur que vous le connaissez. aussi, divulguez le moins d’informations possibles à votre sujet et surtout, je vous recommande fortement d’éviter d’envoyer des photos exposants votre nudité à de parfaits inconnus via internet. on ne sait jamais sur qui on tombe et ce qu’ils pourraient en faire. (d’une façon générale je ne peux que vous aviser de ne jamais le faire).
j’appelle aussi à votre courage, si vous ressentez une quelconque pression de la part d’un joueur (je parle au masculin mais ça concerne tout le monde hein), si vous trouvez ses requêtes déplacées, si vous trouvez qu’il va trop loin… parlez-en à un administrateur (ou au moins à d’autres joueurs qui pourront eux, remonter l’information). j’ai conscience que parfois c’est difficile, qu’on se dit qu’on sera mal reçus (et on peut l’être, c’est vrai) mais si jamais vous êtes sur un forum et que vous n’avez pas l’impression que vous pourrez être protégé par les fondateurs et modérateurs.. sans vous dire quoi faire, je vous conseille de remettre en question votre présence sur ce rpg.
je sais qu’en tant qu’admin, et pour l’être d’un très gros forum d’ailleurs depuis un moment, nous n’avons pas à vocation d’être juge ou flic. mais je (à titre personnel, donc, notez bien l’emploi de la première personne du singulier avant de monter sur vos grands chevaux) pars du principe que créer un forum vient avec son lot de responsabilités. je ne cherche pas à ouvrir un débat sur la nature de ces devoirs, j’imagine que chacun gère ça comme il veut. pour certains il s’agira juste de créer un univers et de laisser les joueurs se débrouiller entre eux. je ne dénonce aucun admin. ce n’est pas le but de ce post. et j’ai franchement la flemme d’ouvrir une discussion à ce sujet, vous faites bien comme vous voulez. mais je sais qu’il est important d’être entouré de personnes à qui on peut se confier si une histoire comme celle-ci nous arrive et je vous souhaite sincèrement d’être sur un forum avec une équipe qui saura être à l’écoute mais aussi, qui sera capable d’intervenir.
malheureusement je vous rappelle aussi qu’à part bannir (ou faire des posts de prévention comme celui-ci) l’individu nous ne pouvons pas faire grand chose de plus. dans des cas comme celui-ci, sachez, qu’il est fortement recommandé d’aller voir les autorités compétentes pour en discuter. pour connaître très bien le milieu de la gendarmerie notamment, je vous assure qu’à moins de tomber sur un abruti fini (et dans ce cas allez juste dans un autre poste) il vous aidera à gérer ce cas. si vous ne trouvez pas le courage en vous de le faire, ou que vous avez tendance à minimiser ce qui vous arrive : parlez-en à votre entourage, et à autant de personnes qu’il le faudra pour qu’elles vous montrent que la situation n’a rien de normal. et qu’elles vous encouragent à faire le nécessaire.
j’ajouterai que si vous avez besoin de me contacter par messagerie privée ou sur discord; je reste à votre disponibilité pour ce cas ou un cas similaire. on fait parti de la même humanité, de la même communauté. et malgré les différences et divergences d’opinions, je serais disponible et ouverte, même si vous ne faites pas partie de mon forum.
et enfin, je termine pour vous dire que ce post n’a aucun autre but que celui de dénoncer cet individu. j’ai pas la prétention de dire que je sais ce qui est bien/mieux, je suis personne pour vous dire ce qui l’est de ce qui ne l’est pas. j’ai ma morale, vous avez la votre. tout comme vous avez votre histoire et que j’ai la mienne. ici, je vous partage seulement un extrait de mon point de vu personnel (j’ai essayé d’être la plus neutre possible tho).
bonne journée à tous, et restez vigilants.
205 notes
·
View notes
Text
Bonjour Titiou, vous êtes oracle, poétesse lyrique et potinière au forum. Après avoir récité plusieurs harangues contre le mariage devant de nombreuses jeunes patriciennes, vous revenez avec un pamphlet intitulé Mon concubin et l’argent. Comment vous est venu ce réquisitoire ?
Dès l’enfance, les garçons reçoivent plus d’argent que les filles, auxquelles on offre plutôt des cadeaux : robes, bracelets, tuniques, esclaves… Par la suite, les hommes obtiennent des carrières rémunératrices : questeur, haruspice, consul, légionnaire, préfet, et cœtera. Leurs épouses sont obligées de se contenter des revenus du domaine, d’élever leurs enfants, filer la laine et se divertir. Il faut aussi compter tout le temps qu’elles doivent passer à superviser les serviteurs. On constate par ailleurs une tendance plus forte au concubinage, où l’homme reste libre de l’usage de son patrimoine. Ce système bénéficie toujours à celui qui a le plus.
Vous évoquez la « théorie du pot de yaourt » dans votre ouvrage. En quoi consiste-t-elle ?
Je prends souvent l’exemple d’Octavia et Marcus : Octavia n’a que la dot accordée par son père, elle en tire moins de rentes que Marcus ne touche de prébendes et, à l’arrivée du deuxième enfant, ils songent à changer de char. C’est Marcus qui achète le char et les chevaux ou les rembourse seul au prêteur. Pour compenser, Octavia lui prépare d’excellents yaourts au miel ou au garum. Au moment où ils se répudient, Marcus récupère le char qu’il a payé alors qu’Octavia n’a plus que les restes de sa dot, sa laine, ses domestiques et ses pots de lait caillé. Dans un couple, le plus petit revenu (la femme) est donc celui qui a le plus intérêt à s’assurer une sécurité économique : par exemple, pour l’achat d’un char, acheter les brides et les licols (quitte à moins faire de yaourts pour avoir le temps de choisir les bijoux équestres les plus luxueux possibles), afin de se constituer un petit patrimoine.
Selon vous, la nouvelle génération est-elle en train de casser les codes ?
À Rome, la situation des femmes va en s’aggravant parce qu’il y a un décalage entre la loi qui estime que les gens vivent selon les mos majorum, dans la communauté des biens, et la manière dont ils vivent réellement (en ne se mariant plus et en privilégiant le concubinage). L’écart entre les membres d’un couple continue de se faire au détriment des femmes. Les femmes font moins de tâches ménagères grâce aux esclaves mais ce sont toujours elles qui les prennent en charge. En revanche les mouvements comme #MeQuoque contribuent à une prise de conscience. Il faut déconstruire les stéréotypes virilistes !
Avez-vous constaté des contre-exemples à votre démonstration ?
En général, les concubines se reconnaissent beaucoup dans le théorème du pot de yaourt. Il y a évidemment des contre-exemples. Ma cousine Athenais m’a fait porter ce message : « Merci, je ne savais pas tout cela. Je vais hâter mon mariage. » Elle n’a pas compris... Je ne comprends pas.
11 notes
·
View notes
Text
- Il va faire beau cette semaine
- Il y a une profusion d'herbes, de fleurs, de feuillages, c'est si joli j'adore ce moment du printemps !
- Je lis mon livre-safeplace en ce moment
- J'ai une patiente qui a fêté ses 17 ans la semaine dernière, c'est ma plus âgée pour l'instant, et pour la première fois de sa vie, après plusieurs années de rééducation, a réussi à souffler seule les bougies de son gâteau. Elle m'a dit que c'était son meilleur cadeau.
- J'ai une autre patiente, qui va avoir un an et demi, ma plus jeune, qui a réussi à signer deux mots à la suite pour signifier quelque chose : aimer + musique. Elle est malentendante et sa première phrase est qu'elle aime la musique. J'étais émue en séance et sa maman aussi, trop beau moment.
- J'ai perdu 2kg en une semaine, mais c'est de la sueur sans doute vu que c'est en faisant 100 km à vélo (bon, dans mon salon)
- Mars, avril et mai 2023 sont infiniment plus agréables que mars, avril et mai 2022. Tout passe, tenez bon.
- Des pies ont fait un nid en haut du chêne du jardin. J'adore entendre les différents tons de leurs cris. J'ai vu une vidéo où un homme depose des objets pour un corbeau et au bout d'un moment, le corbeau lui donne des cadeaux en échange, j'ai envie d'essayer avec des objets brillants.
- Les légumes que j'ai semés poussent et les fraisiers sont superbes, j'ai hâte de récolter et en même temps j'adore savourer le temps que ça pousse et l'attente.
- Les oxalis ne sont pas morts, ils prenaient juste leur temps.
- L'ado se pose enfin des questions sur son avenir scolaire et il se voit bien dans une pédagogie du projet à partir de ses 16 ans (dans un an et demi 😱) Après enquête approfondie, il semblerait que l'argument de départ est qu'il pourra être en survet à l'école. "Oui mais apprendre en projet ET être relax pour le faire ça peut être trop bien" dit-il. Bon, c'est chouette qu'il se projette un peu et qu'il n'ait pas peur du trajet, car l'école est à 2h de train + bus + marche d'ici et je ne serai pas dispo pour aller le chercher.
Hum il doit y avoir des trucs négatifs, par soucis d'objectivité. J'ai mal au ventre, mes abrutis de chats se sont relayés pour m'empêcher de dormir jusqu'à 2h du mat et à partir de 5h, j'ai une flemme monumentale, j'ai zéro vie sociale en dehors du boulot, je pensais aller faire des courses ce matin pour organiser la semaine mais on vient de me prévenir qu'on venait livrer 4 stères de bois.
Oh tu sais quoi fuck l'objectivité.
- On reçoit la moitié du bois aujourd'hui, c'est ça en moins à penser plus tard et en plus ça va faire des abdos et des bras pour le rangement
- Les chats sont chiants mais adorables. Mais chiants. Mais adorables. Je ne serais pas aussi heureuse sans eux, je serais juste moins fatiguée mais c'est pas si sûr en fait, si je n'étais pas fatiguée à cause d'eux, je le serais probablement à cause d'autre chose.
- Je m'en fous de ma vie sociale, en vrai. Mes patients sont choux, leurs parents sont cools, j'ai quelques chouettes potes que je ne vois jamais, et je ne vois jamais non plus la best des best mais par contre ça papote et ça papote et ça va quand même très bien comme ça.
- La flemme a été entendue et deux patients sont absents hahahahaha l'univers est avec moi
- j'ai mal au ventre de fouuuu mais je suis une warrior voilà. (Je vais prendre un truc et ça ira mieux mais j'ai la flemme d'aller jusqu'à la cuisine vois-tu)
28 notes
·
View notes
Text
🌞 Guide ultime des cadeaux d'été pour LUI 🎁
Messieurs, préparez-vous à briller (et pas qu'au soleil) ! Mesdames, voici comment le surprendre avec style cet été !
Nous avons déniché 9 cadeaux qui transformeront son quotidien estival de banal à extraordinaire. De la routine beauté digne d'un spa turc au gadget high-tech révolutionnaire, en passant par des parfums qui feront tourner les têtes sur la plage...
Découvrez notre sélection qui allie soin, technologie et élégance : 🧴 Routine visage BIANNA : le secret de beauté venu d'Istanbul 😁 Pack Denti-Smile : pour un sourire hollywoodien ✂️ ROZIA PRO 5-en-1 : le barbier de poche 🧔 Peigne lissant : dompteur de crinière express 🌺 Parfums d'été : ROCHAS vs YSL, le duel des fragrances 🧘♂️ Coffrets RITUAL : l'art du bien-être masculin ⌚ Montres élégantes : le temps à son poignet 💻 Gadgets high-tech : confort et productivité 💡 Luminaires innovants : pour illuminer son quotidien
Cliquez sur le lien pour tout savoir sur ces trésors estivaux ! https://shorturl.at/uSHmF
#CadeauxHomme#ÉtéStylé#BeautéMasculine#GadgetsHomme#ModeHomme#LifestyleMasculin#IdéesCadeaux#LuxeAbordable#BienÊtreHomme#TechStyle#idées cadeaux maroc#Parfum Maroc#Produits de beauté Maroc#Montres Maroc#Parfum Homme Maroc
0 notes
Text
Dans la foulée (enfin presque) de ma lecture de La petite communiste qui ne souriait jamais, je continue ma découverte de l’œuvre de Lola Lafon.
J’ai énormément aimé ce roman là, Chavirer. J’ai cru que c’était une histoire vraie, et même que l’autrice elle-même avait eu affaire à ce genre de problème, adolescente, tant cela respire le vrai. Cléo, l’héroïne du livre, est incroyablement incarnée, terriblement attachante. Mon attachement a sans doute été facilité, en plus du talent de l’écrivaine, par une quasi parfaite adéquation générationnelle : Lola Lafon est née en janvier 1974, moi en décembre de la même année. Sa Cléo suit ce même timing, avec des références que je connais : les blousons Chevignon que les bourges se devaient d’avoir au collège, les samedis soirs devant Champs-Elysées (je forçais mes parents), Jean-Jacques Goldman dans la radio (chez moi, il était méprisé), l’avènement contesté de Vanessa Paradis, l’avènement acclamé de Mylène Farmer…
Bref. Je me suis vite passionnée pour cette très jeune adolescente de treize ans, passionnée de danse, qui mord à l’hameçon de cette énigmatique Cathy qui distribue promesses, billets, cadeaux ; cette dame chic fait miroiter un avenir brillant qui fait rêver les jeunes filles (enfin, les enfants, à 13 ans, on n’est pas une jeune fille) ; elle prétend travailler pour une fondation destinée à aider les talents prometteurs, déceler celles qui pourront bénéficier d’une bourse. Elle les attire à des déjeuners étranges, où des hommes jouent à être séduits, réclament de la maturité, pour finalement réclamer des faveurs sexuelles. Traumatisée et éconduite pour sa demande d’aide financière, mais dans l’incompréhension totale de ce qu’elle a vécu, toujours désireuse de parvenir à obtenir une bourse pour une école de danse, Cléo devient à son tour une émissaire pour dénicher, dans son collège, des filles qui pourraient bénéficier de l’aide de la fameuse fondation.
C’est en raison de cette mutation de victime en complice que Cléo intègre une double culpabilité qui empêche la parole. Elle n’arrive pas à se pardonner. On suit son parcours de 13 à 48 ans, directement ou à travers des gens qu’elle a rencontrés. Ces personnes, ami, amoureuse, rencontre d’un soir, collègue, victime collatérale, apportent un éclairage à la personnalité de Cléo, une jeune fille sensible qui semble éternellement enfant, bloquée à ses treize ans, une jeune femme bosseuse, courageuse, qui réussit à faire de la danse son moyen de vivre mais reste verrouillée de l’intérieur. Très souvent renvoyée à ses origines modestes, à son milieu social. Qui peine à voir le mal pour la condition féminine dans le fait de danser dénudée à la télé ou dans des cabarets, c’est sa propre fille, majeure, qui lui fera entrevoir cette dimension. Mais qui apprend. Progressivement, elle apprend même à se battre pour ses droits. Mais du temps, il lui en faut encore beaucoup pour troquer l’oubli impossible contre le pardon.
En effet, elle a appris à se construire avec cette blessure, sans l’avoir soignée. On devine que la solution, partielle, si solution il y a, si guérison il peut y avoir, encore une fois, passe par le collectif, l’entourage, la bienveillance autour, même si des rencontres sont ratées, ou seulement à moitié réussies. Petit à petit, l’idée fait son chemin. En apprenant les manquements des autres aussi, leur probité vacillante. En comprenant la difficulté d’être intègre de A à Z. Accepter de ne pas être parfait, de ne pas avoir toujours eu la bonne clairvoyance, en comprenant qu’en n’étant pas la victime parfaite, elle était malgré tout une enfant, bel et bien victime.
Encore une fois, un beau livre sur le corps des filles que l’on sexualise bien trop tôt. Le corps que l’on désire, que l’on scrute, que l’on juge, que l’on travaille, que l’on malmène, qu’on évalue.
Ce livre a pas mal résonné avec l’actualité (oui je pense à Judith Godrèche), quand on pense que dans les années 80, il était bien vu de jouer à la grande, que les hommes étaient glorifiés pour leurs liens troubles avec de très très jeunes filles, et que beaucoup de familles s’enorgueillissaient de voir leur progéniture distinguée par ces hommes vus comme cérébraux, chics, alors qu’ils n’étaient que des prédateurs adoubés par une société malade. On ne connaissait pas encore le préjudice d’emprise… quelle naïveté, quelle candeur quand on y pense…
Un livre remarquable, puissant, touchant, implacable.
6 notes
·
View notes
Text
Cc , beau pull homme a vendre sur Vinted "blondie1742"🖤🤍🎁🌲
https://www.vinted.fr/hommes/vetements/sweats-and-pulls/pulls-dhiver/2433355378-a-offrir-pull-homme-col-montant-a-motifs-noir-gris-et-blanc-taille-s-36-automne-hiver
0 notes
Text
Rain 18 ans étudiant En Couple
Mon Amour mon plus beau des Cadeaux je n'es pas assez de mots pour te dire Combien je t'aime mon amour je vis le plus grand bonheur de ma vie avec toi tu fais de ma vie un rêve depuis que tu es dans ma vie je ne pourrais pas rêver meilleur vie mon amour je t'aime a la folie je sais plus me passer de toi de tes baiser de tes bras je t'aime tu es tout pour moi depuis notre premier rencontre je ne pourrais pas être plus heureux je t'aime a la folie je pourrais jamais oublier notre rencontre ce jours ou tu es rentré dans se restaurant j'ai poser les yeux sur toi je ne pouvais plus les détacher tu devais me trouvé bizarre mais mon cœur lui ne regarder que toi chaque fois que je te voyais je ressentait un sentiment que je n'avais jamais ressenti avant j'ai était idiot un soir tu m'en n'a voulu on sais disputer se moment ma fais beaucoup de mal je n'avais pas assez de mots pour expliquer que je ressentait puis je tes regardé dans les yeux je savais que pouvais que te dire que je ressent je ne savais pas si sa allait changer quelque choses mais je voulait le faire j'ai finir par t'embrasser je ne regrette rien au contraire depuis je suis un homme heureux avec un ange a mes coté je ferais importe quoi pour toi je risquerai ma vie pour toi même si tu as l'a fais pour moi je t'aime tu es mon rayons de soleil mon amour ma vie je t'aime je vois ma vie a tes coté mon avenir mon bonheur mon futur tu es le seule gravé dans mon cœur mais aussi dans ma tète mon esprit
5 notes
·
View notes
Text
Ce que j'ai à te dire:
Tu m'avais dit un jour que l'idéal dans une équipe de travail, c'est d'équilibrer le ratio hommes/femmes. Et aujourd'hui tu te prépares une équipe de sous Cheffes 100% femmes...
Il reste un homme dans la bande , mais tu ne l'aime pas "il est trop con"... Tu adorerais le remplacer... Par Lolita, par exemple, la sulfureuse blonde avec qui tu as déjà couché... (C'est un cliché, cette histoire, à l'écrire ça fait même trop !)
Tu te rêves Charlie et ses drôles de dames, je suis sûre que tu adores l'image. La photo e famille, toi entouré de tes poupées... Moi ça ne m'enchante pas vraiment, c'est pas dur à imaginer.
J'essaie de rester objective et pas seulement jalouse . Ce que ça veut dire pour moi, cette préférence à travailler avec des femmes, c'est juste que tu manages à la séduction... Un jour aussi tu m'as dit ça : qu'il y avait toujours un rapport de séduction entre un homme et une femme au boulot. Et je suis d'accord avec toi.
Par contre ça m'emmerde que ça prenne autant de place dans ta vie professionnelle à toi. Tu me semble un extrême... Je t'assure que j'essaie de rester objective. Ce ratio de responsables femmes en entreprise, c'est atypique hein...
Tu me dirais peut être que aujourd'hui, dans cette agence, c'est celles ci qui sont les plus compétentes ... Peut être. Mais quand tu m'expliques que tu vas essayer de faire encore monter en grade ta dinde de secrétaire, alors que , toujours selon toi, elle n'a aucun talent en management, pas d'empathie, pas de lead, elle est incapable d'initiative ... Qu'elle ne veut pas faire les vagues (elle n'aime pas), ni les soirées, elle ne peut pas la pauvre, ben oui, pas de nounou...
Elle veut bien faire les entretiens mais seulement des collègues qu'elle aime bien, les autres c'est non. Elle refuse les remplacements au standard parce qu'elle n'aime pas ça non plus... Ah oui et elle est ouvertement raciste. Tout ça c'est factuel hein, et tu le sais autant que moi. Mais quand même, tu l'aime bien. Je ne sais pas trop où se situent ses talents , mon chéri... Mais j'imagine assez bien qu'ils sont en dessous de la ceinture .
Là j'avoue, c'est la jalousie qui parle. Je ne pense pas, objectivement, que tu couche avec. Je pense par contre qu'elle te regarde avec de grands yeux tendres, qu'elle se confie parfois à toi à voix basse, qu'elle te fait te sentir fort et intelligent. C'est ça qu'elle apporte dans l'équipe, voilà. Ah oui, elle gère bien la saisie de données basiques, et les photocopies aussi.
Tu sais, les autres le voient aussi, tout ça. Bien mieux que moi sûrement. Elles voient comment tu fonctionne . Elles en prennent de la graine, elles négocient sans arrêt des privilèges, elle refusent des missions, elles se mettent en arrêt quand tu leur parle mal... J'ai un exemple par phrase, je sais que tu les vois très bien aussi.
C'est ça le problème d'une équipe de femmes mon chou... Un jour tu feras toutes les corvées pour ne pas trop les déranger, tes princesses... Tiens, comme cette semaine par exemple, ou tu fais les fermetures pour n'embêter personne...
Bientôt elles vont entrer en concurrence, à celle qui aura le plus de privilèges, de petits cadeaux. Celle qui choisiras ses congés en premier... le moindre détail prendra des ampleurs démesurées. Ca va être la guerre.
Je ne suis pas experte en management, loin de là. Mais laisse moi donner mon avis... pour moi, le management à la séduction, et une équipe unisexe, ça entraine une compétition narcissique . Tu ne les as pas choisies pas sur leur engagement pour l'entreprise , elles le savent. Tu les a prises pour elles, leur personnalité... Tu as flatté leur ego. Tu les as voulu, tes drôles de dames...
Et tu sais pourquoi elles parlent comme ça dans ton dos ? ... Que tu es trop gentil, qu'il faudrait un directeur plus strict... Tu les a entendu dire ça cette semaine... Ben moi je sais.
8 notes
·
View notes
Text
Que les hommes, les femmes, et les enfants de la Terre se rassemblent afin d'admirer le pouvoir d'Atome.
Que ceux qui vivent ici sur la Terre qui l'on élue suivent les paroles du prophète d'Atome.
Venez boire les eaux de la Lueur, car cette arme de guerre symbolise notre salut.
Elle est le symbole même de la gloire d'Atome.
Qu'elle nous rappelle que la division qui a eu lieu dans le passé et nous annonce le resplendissement de la division à venir.
Offrez vos corps à Atome, mes amis, libérez vous grâce à Son pouvoir, ressentez Sa Lueur et soyez divisés.
Il n'y aura ni larmes ni chagrins ni souffrances, car la division nous libère des douleurs et des épreuves de ce monde.
Oui, vos souffrances disparaîtront, elles seront lavées dans la Lueur d'Atome, brûlées dans le feu de Son éclat.
Le corps putride de chacun de nous donnera naissance à un milliards d'étoiles.
Chacun de nous enfantera mille milliards de civilisations.
Chacun de nous connaîtra la paix et la fin de ses souffrances et la gloire d'Atome.
Je vous y invite, mes frères.
Venez, buvez avec moi et priez.
Glorieux Atome ! Je t'offre mes os fragiles, je te fais cadeaux de ce frêle corps.
Je t'en implore, fais de moi ton instrument, guide moi vers ton éclat, divise chaque particule, et donne la paix à ce corps pourri.
Accorde à ce corps éphémère une vie nouvelle dans les forges de ta Lueur.
#aliénation#rêve#guerre froide#illustration#dessin#bande dessinée#holocauste#nucléaire#stalker#fallout#science fiction#blast#prémonition#dayafter#mushroom cloud#architecture#city#ukraine#nuclear weapons#manhattan project#fanzine#artwork#scifi#art
18 notes
·
View notes
Text
Voici Noël… Douce nuit… Sainte Nuit… Jouez, hautbois… Résonnez, musettes…
Pour les chrétiens (et pour tous les hommes qui se souviennent que les mots ont un sens), Noël est une fête religieuse... Pour certains, qui ont conservé les plus poétiques des symboles païens (le bel arbre, le Père Noël, les cadeaux, la Bûche), cette fête n'a pas d'autre sens que celui des 4 lettres qui la désignent. D'autres, qui croient trouver refuge dans la boustifaille et la grande foire pour oublier un instant les limites de leur condition humaine, ''font la fête'', mais sans plus savoir ni quoi ni pourquoi... Mais depuis peu, les chrétiens ont pris conscience que leur existence suffit, à elle seule, à provoquer la haine féroce d’islamistes et de quelques poignées de gens qui se croient ''libres'' et qui se disent ''penseurs'' mais qui, n'étant ni l'un ni l'autre, sont devenus les garde-chiourmes maniaco-woko-vétilleux d'une tyrannie qui n’est plus capable de voir le monde qu'en termes de l'interdiction de l’Autre...
Noël... Ce mot était autrefois synonyme de douceur, de beauté et d'harmonie. Il rappelait la naissance d'un enfant dans une crèche, petit bébé sans défense, mais parlait aussi d'un Dieu se faisant Homme pour l'amour de nous, ce qui n'est pas rien (car si le récit chrétien est faux, comment expliquer le tsunami formidable qui a tout balayé devant lui pendant 2000 ans et plus et qui bouleverse et unit, de nos jours encore, 2,3 milliards de terriens, 1/3 de l'Humanité, en progression constante).
Aujourd'hui, les médias et ceux qui se croient intelligents –quelques dizaines ou centaines de mille... mais qui contrôlent les merdias-- voudraient nous faire croire que toute cette beauté, si douce au cœur et à l'âme, se serait abâtardie en une bacchanale consumériste qui tirerait sa pauvre légitimité de son absence de raison d'être et du dépassement de toutes les limites raisonnables. Alors... en réaction contre ce viol de toute vérité, pourquoi ne pas terminer l'année en riant de l’atroce cacophonie que notre époque oppose à tout ce qui touche aux sujets religieux ?
Que l'on soit croyant ou pas, de toute confession et de toute origine, la naissance d'un petit enfant juif dont l’Histoire a conservé la trace a été un bouleversement immense pour l’humanité, nous l'avons rappelé récemment. Deux mille ans plus tard, on a enfin compris que cette heure, arbitrairement fixée à minuit –et au fond, pourquoi pas ?-- a été la plus importante de tous les temps. Mais on ne réalise pas toujours que le contenu non-religieux du message christique est aussi grand que celui (religieux, donc réservé à ceux qui l'ont entendu) qui a forgé notre civilisation, l'Histoire, la pensée, la culture... et le monde, bien au-delà des limites admises.
Les répercussions et les conséquences de la Révélation dans plein d’autres domaines que ceux liés à la foi chrétienne qui a tant a étonné le monde romain, polythéiste, le monde juif, monothéiste, et la suite des siècles jusqu’au nôtre, tout pétri de technique et si fier de son savoir en bribes... sont loin d’avoir toutes été comprises, et sont loin de leur propre essoufflement, comme le démontrent les progrès de la science. (NDLR : si nous en parlons souvent, c'est parce que c'est le phénomène le plus révolutionnaire et paradoxalement le plus civilisateur qui ait jamais existé). Il n'empêche... A l'opposé absolu de la nullité actuelle, systémique, stéréotypée, et franchement moche, vous souvenez-vous comme ils étaient jolis, ces chants qu'on appelait “des petits Noëls’‘ ? Douce nuit… Il est né, le divin enfant… Minuit, Chrétiens… Les anges dans nos campagnes… Entre le bœuf et l’âne gris… Adeste, fideles..., et tant d'autres… (Je suis prêt à parier que vous en avez fredonné au moins un, en lisant : ils sont, simplement, ''beaux, point final''.
La France, seule parmi les nations civilisées, a rétrogradé la “douce Nuit” de Noël au rang d’orgie obligatoire, convenue et con venue, à la fois interdite dans ce qu'elle a de beau, et obligée dans ce qu'elle offre de pire (business commande... fausse tolérance force... et laïcisme militant oblige !). Dieu a disparu du ''quotidien'' de la plupart de nos concitoyens, au ''profit'' (?) de saturnales de dindes farcies et de foie gras à la grippe aviaire : la ''Tolérance-sic'' et la ''Laïcité-re-sic'' ont donné naissance à une néo-pseudo-religion, intégriste, intolérante, impitoyable comme aucune autre sauf, peut-être, l'islam mal compris qui ravage le monde : le laïcisme officiel, sous ses oripeaux et sa fausse bien-pensance, n'est qu'une caricature qui s'ignore d’une espèce d’iso- religion qu'on ferait, tous, beaucoup mieux d'ignorer.
Goinfrerie à tous les étages et gros pères Noël très laids, transpirants, et répétant ''Ho...Ho...'' à chaque coin de rue... le niveau artistique et la poésie de ce qui reste l’événement le plus important de l’Histoire ont ils été significativement “anoblis” par le passage de ce qui était une fête religieuse à ce qui est une fête laïque ? Comme chaque année, nous pouvons évaluer les dégâts : iI faudra au moins des “soldes d’hiver” et des galettes feuilletées (dites ''des Rois''), pour nous faire oublier tout ce gâchis ! (NDLR -- Un détail triste et rigolo tout-à-la fois : une de mes arrière grands-mères, que j'adorais, est morte un 1er janvier, centenaire comme presque tous mes ancêtres depuis 350 ans, des ''suites'' d'un réveillon trop copieux (et –mais on ne me l'a pas dit-- sans doute très arrosé !). La gourmandise peut donc bien tuer ! RIP.
Au nom d'une soi-disant tolérance toute en militantisme intolérant, on a demandé à Dieu de ne plus être ''au centre du village'', et aux cloches de ne plus sonner –ça pourrait heurter “des gens”, nous explique-t-on sans mourir de honte-- et, comble de la crétinerie, on demande à des juges très syndiqués très à gauche de dire si la naissance du Christ a eu lieu ou non dans une crèche ! Au lieu de dire : “Je pense que Dieu n’existe pas”, ils voudraient qu’on précise : “Mais toi non plus, tu ne peux plus croire à de telles sornettes”. Allah, à la rigueur ! Mais Dieu ? Ah ! Ça, non !
L'athéisme, qui rejetait le Dieu, réputé par eux indémontrable, d'un dogme qu'ils prétendent trop structuré, factice et imposé, est devenu une religion qui rejette toute divinité de façon bien plus structurée, tout aussi indémontrable, aussi factice et dix fois plus imposée... et violente à en être incurable... alors que, si l'on va au fond des choses, le fait de dire : “je ne crois pas en Dieu”, c’est reconnaître son existence... tout en se se positionnant personnellement par rapport à Lui, ce qui est un droit non-négociable... ”Dieu”, que ça plaise ou non, est un nom propre devenu nom commun car il appartient à l’humanité, qu'elle accepte ou pas ce cadeau.
Or la France, pour son malheur et le nôtre, est aujourd’hui dirigée (?) par des intégristes du rejet de toute la culture judéo-chrétienne, dont ils sont tous, pourtant, l'impur produit, à 100 % ! Ce refus est grave, mais moins que le vide culturel qui va avec : comme ils le font avec tous les problèmes qu’ils sont incapables de résoudre (chômage, immigration, sécurité, éducation, économie, covid, hôpital, éclatement du pays par leur seule faute...), nos ''Nuls'' abordent celui-ci par le mauvais côté... Par leur faute, nous avons perdu le sens de Noël sans le remplacer par quoi que ce soit (On va me dire : ''Mais ce n'était pas facile''. C’est une raison de plus de ne pas y toucher !). ''Le fait que quelque chose marche à peu près bien n'est pas une raison suffisante pour en changer''. Mais nous avons égaré la sagesse, en chemin !
Voici revenu le temps des vacances ''de Noël''. Par convention, nos chemins, sans se séparer, vont s'écarter, pour quelques jours. Certaines journées vont être vides, sans vous, et j'en suis déjà triste... Retrouvons-nous dès le Lundi 9 janvier 2023, si Dieu le veut, ‘’date à vite reporter sur vos agendas’’, selon la formule consacrée. Et d'ici-là, de tout mon cœur, je vous souhaite un très, très JOYEUX NOÊL, un bon début d'année... et une troisième étoile sur les maillots bleus de ceux qui adorent se déguiser en sportifs-en-chambre : c'est, paraît-il, un nécessaire indispensable pour hurler, devant un poste de ‘’télé’’ !
H-Cl
10 notes
·
View notes