#c'est pas des beautés mais quand même
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Voir ces avatars être utilisés sur des forums (ça fait toujours plaisir surtout quand il y a tellement mieux à côté) pour au final se rendre compte que le crédit n'est pas mis... Je vais chercher mon chapeau et nez de clown, je reviens.
#c'est pas des beautés mais quand même#un petit crédit c'est pas si dur surtout quand tu arrives à mettre celui des autres#créa en carton oui#cré sans crédit non#avatars#rpg#forum
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saga: Soumission & Domination 347
Florian
Florian est le gymnaste amateur repéré par Jona. Il est un peu grand par rapport à Romain et un peu moins large mais ce que me montre Jona sur son smartphone est quand même impressionnant, surtout quand il est aux barres parallèles. Il n'a pas menti non plus sur sa gueule.
Petite présentation : Florian est issu d'un père ouvrier en agroalimentaire et d'une mère femme de ménage, dans les 1m74 il porte 70Kg de muscles. Brun à la pilosité déjà maitrisée (gymnastes), Jona m'annonce un sexe d'une largeur peu commune si ce qu'il a vu au repos sous les douches se concrétise. Il est en première année de BTS Technique et vit la semaine comme pensionnaire du lycée où il fait son BTS.
Il est homo même si peu de gens sont au courant d'après l'enquête. Jona n'a pas vu de probable " petit copain " parmi les autres adhérents du club où le jeune homme s'entraine.
Je n'ai pas le temps de l'approcher. Je demande à Jona de s'en charger.
Il me le ramène un vendredi soir après m'avoir juste téléphoné et prévenu qu'il a déjà débroussaillé le terrain. En tant qu'ancien paysagiste comment dois-je comprendre ce terme ! L'a t'il déjà enculé ou lui a t'il déjà dit pourquoi il m'intéressait ?
Quand ils entrent dans mon bureau, il est 18h. Jona comme Florian sont en jogging. Si on en m'avait pas dit qu'il n'était qu'amateur je ne l'aurais jamais deviné.
Jona me présente et le présente. Il continu à tenir la parole. Il m'explique qu'il a déjà dévoilé à Florian le but de sa présence et les conditions générales du contrat.
Pendant qu'il parle, je mate le nouveau venu. Son jogging est propre mais pas de première jeunesse et pas du modèle de l'année, tout comme ses baskets. S'il est propre sur lui, avec une tête entretenue, pas de bouton, barbe rasée, cheveux court et même s'ils sont coiffés un peu à la footeux, ils vont bien avec sa tête.
Quand Jona se tait, je demande à Florian ce qu'il en pense et ce qu'il croyait pouvoir accepter de faire.
Il prend le temps de la réflexion. Il mate les photos qui m'entourent. Il montre Romain et me dit qu'il peut doubler mon potentiel dans ce style d'escort.
Ok il a tout compris.
On passe donc direct aux questions personnelles. Les évidentes étant déjà en mémoire, je passe directement à sa bite. Il m'annonce un 18 x 7, pas mal du tout, même si c'est sa rondelle qui va encaisser le plus souvent.
Dépucelage : à l'adolescence par un copain du sport, même âge mais plus avancé sur le sujet.
Vie sexuelle : faible si on ne compte pas les branlettes avec doigts dans le cul.
Outing : nul, ni à la famille ni aux copains.
Revenus : les parents paye l'internat et il a bossé les 2 mois d'été dans leur usine pour les extra.
Je veux le voir nu, même si j'ai confiance en Jona.
Il ne fait pas de difficulté. Et c'est rapide vu ce qu'il a sur le dos. Sous le blouson un marcel (il est réchauffé quand même !) qui dégage ses épaules et c'est impressionnant comme il souligne bien sa musculature. Il retire son slip en même temps que son bas de jogging. Ok il est bien fait et déjà épilé ou rasé. Un peu moins déséquilibré que Romain, ses épaules sont quand même très larges. Son sexe au repos est court mais déjà large. Il repose sur deux grosses couilles lisses. Je lui demande de bander. Il se branle, met un peu de temps à y arriver. Je comprends, c'est pas évident de bander comme ça devant deux inconnus sans aucune tension sexuelle ambiante. Mais ça gonfle et je vois le résultat. 7cm de large même un peu ovale sur 18 seulement c'est encore plus impressionnant que sur une bite de 25 ! Je lui demande de se tourner. Son cul ? Une beauté, petit, très rond il attire la morsure. Sans que je lui demande il se penche en avant écarte les fesses pour que je vois sa rondelle imberbe comme le reste. Je le remercie et il se redresse et me fait face.
Je lui demande s'il pense possible d'interrompre son internat. Avec l'accord de ses parents qu'il se fait fort d'obtenir s'il argumente d'un travail rémunérateur, cela peut se faire dès la fin du mois puisque le paiement est trimestriel.
Je comprends que depuis qu'il a été approché par Jona il a réfléchi à la chose. Je lui demande son cursus. Bac S avec mention bien mais pas les moyens de faire autre chose qu'un BTS. Quand je lui demande ce qu'il aurait voulu faire, il me répond une école d'ingénieur mécanique ou généraliste.
Je lui dis qu'avec ce qu'il va gagner chez moi, il peut de nouveau envisager ce type d'études. Il y pensait mais n'avait pas encore osé l'envisager.
Jusqu'alors Jona ne lui avait pas encore parlé précisément de salaire. Je l'informe que d'ici la fin août, s'il consent à faire une prestation par semaine plus 15 jours à 1 mois de " vacances " il pourra non seulement se payer ses frais de scolarité mais vivre correctement ses 5 années d'études. Et s'il continue de temps à autres à prestater pour moi, ses 5 années seront confortables même.
Là il me dit qu'il se privera un peu mais qu'il assurera pour les études de son petit frère.
Le dossier monté un peu rapidement n'en faisait pas mention. Le gamin n'a encore que 18 ans mais déjà en première S. Il suit Florian en tout sauf en ce qui concerne le sexe et le sport. Il est plus attiré par le design industriel et jusque-là n'envisage qu'un BTS de dessin industriel.
En sexe, il sort actuellement avec une copine de sa classe et en sport c'est un handballeur.
Ma fois ci ça peut le motiver pour le taf, moi ça me va.
Je reviens sur le côté sexe des prestations. Jusque-là il a été aussi bien actif que passif même s'il n'a pas trouvé beaucoup de mecs volontaires pour ses 7cm ! En passif son record est un beur de 25ans monté 25x6 une seule fois. C'avait été un peu difficile et douloureux mais il lui avait quand même tout mis.
Ça me rassure, la base est bonne.
C'est lui qui me demande si je veux tester la " marchandise ". Bon, question vocabulaire y'a un peu de travail à faire mais pour le reste le gamin n'a pas froid aux yeux.
J'appelle João. Maintenant qu'avec lui j'ai une bite de 22x6 sur place, cela pousse mes tests plus avant.
En attendant je lui demande de commencer avec Jona. Il est maladroit, hésitant, gauche pour tout dire. Il va y avoir un peu de travail à faire avant de le lancer même en tant que " bête de sexe ". Ses réponses bravaches cachaient finalement au minimum une certaine appréhension au pire de la peur.
Jona le ressent aussi et il fait tout pour l'aider. Il prend l'initiative de lui rouler un patin. Là, le petit se donne vraiment. A croire qu'on a basculé l'interrupteur. João entre et ma recrue ne s'en rend pas compte. Je fais signe à João d'y aller. Il se colle au dos de Florian. Ce dernier tourne la tête et se laisse embrasser par le nouveau venu. Bien que coincé entre mes deux escorts, je vois sa bite se redresser entre les jambes écartées de Jona.
Il se laisse glisser à leurs pieds. Il commence par une pipe aux 19cm de Jona. Il en prend facile 18. Quand il bascule sur João, le résultat est le même. Je le note comme un point à améliorer. Mais là aussi la base est bonne, 18cm c'est déjà l'entrée de sa gorge.
Alors qu'il suce João, Jona tire son bassin ver le haut pour préparer la sodo. Je lui tends le gel et des kpotes. Il enduit la rondelle et commence à mettre des doigts. Un passe facile tout comme deux d'ailleurs. Le troisième demande un peu de travail mais finit par entrer quand même. Il les retire et présente sa bite emballée. Il l'enfonce entre les deux globes ronds et le pénètre. Pas de modification du pompage de João. Il doit se mettre ses doigts à chacune de ses branlettes !
Après quelques minutes, je demande à ce qu'ils échangent. João " s'habille " à son tour et alors que Jona, lui, se découvre. Là, c'est un peu différent pour Florian.
Il sent bien passer les 22cm de mon brésilien. Les 6cm semblent lui faire assez d'effet et plusieurs fois il écarte la bite de Jona de sa bouche pour respirer plus facilement.
Quand le dernier cm lui écarte la rondelle il serre les dents. Bon prince, je lui passe sous le nez un flacon de poppers ouvert. Il se détend direct et reprend sa sucette.
Moi ça me va, il semble volontaire, endurant à ce que je vois sous mes yeux et comme je vois qu'il bande toujours, plutôt chaud.
João se donne à fond et Florian en profite bien. Il rue du cul pour se le faire prendre plus fort.
Jona se retire et lui jute sur les cheveux. Je le remplace pour tester par moi-même ma nouvelle recrue.
Il pompe bien. S'il n'a pas eu beaucoup d'expérience, il a vite appris alors. Il alterne les tentatives de gorges profondes avec un travail de langue sur gland des plus convaincants. Je comprends pourquoi Jona s'est fait prendre au piège.
Jona se coule entre nous et pompe le petit nouveau. Il n'en devient que plus vorace et João s'aperçoit aussi de la différence. Il l'encule plus sèchement jusqu'à se fixer au fond, les mains crispées sur ses hanches occupé à remplir sa kpote. De mon côté j'ajoute mon sperme à celui de Jona qui lui reçois la production de Florian sur l'épaule.
Tous les 4 sous les douches, Florian me demande s'il est embauché. Je lui dis que c'est OK mais qu'il va devoir travailler son vocabulaire et perdre ce petit accent " banlieue ". Pour le reste je lui fais confiance, il saura s'adapter aux physiques de mes clients. Un truc, c'est qu'il devra trouver des positions originales et " sportive " lors de ses rapports avec eux puisque c'est sa spécificité " Gymnaste " qu'ils vont louer. Alors que nous somme secs, il prend devant nous quelques positions. Après un grand écart au sol il nous fait le même debout. A la " Van Damme ", il suit avec un autre entre deux chaises avant de poser ses deux mains au sol et de lentement faire un équilibre les jambes toujours parallèles au sol. Il pivote, descend le bassin et sans toucher le sol, les jambes à l'équerre, il plie les bras et les tend comme un simulacre de défonce sur un mec couché sur le dos.
Ok la démo est faite, il semble avoir suffisamment d'imagination.
On finit l'entretien par la visite des installations sportives le second très orienté muscu l'intéresse et la piscine le surprend. Mais la serre c'est autre chose. Le grand tatami l'attire aussitôt pour le travail au sol. Il me dit qu'il pourra tester là ses positions spécifiques de baise. La piscine de 25m l'interpelle et il me demande s'il devra s'entrainer dedans. Je hoche la tête.
J'ajoute que pour lui et son compère, j'allais voir à acquérir des barres parallèles et s'ils le veulent, j'essayerai d'implanter des anneaux.
Avant qu'il ne parte avec Jona, je lui donne les adresses auxquelles il va devoir faire une visite. Le médecin, le labo d'analyse, pour les vêtements, je demande à Jona de l'accompagner.
Je fais un point avec João. Je lui demande si celui-là lui plait aussi. Il me dit qu'il est bien mais c'est pas son Romain, même s'il a pris du plaisir à l'enculer.
La semaine suivante, les résultats arrivent satisfaisants. Il est clean de HIV comme des MST. Il intègre alors le groupe officiellement. Le changement des soirées d'entrainement auprès des autorités du lycée s'est fait sans questions.
Romain est content d'avoir un collègue même si ce n'est qu'un amateur. Ils nous gratifient d'un petit défi entre eux qui les classent quasiment exæquos. Il apprécie aussi de l'avoir avec lui quand ils se mettent dans le bain (au propre). Ce ne sont pas des nageurs et ce n'en seront jamais, pas le physique. Mais Anthony m'assure qu'ils s'amélioreront quand même et puis nous ne préparons personnes aux compétitions ! Sous les douches il fait sensation avec sa bite extralarge. Plusieurs font remarquer qu'ils pourront s'entrainer sur lui plutôt que des godes pour se préparer à certains de nos clients.
Florian bande sans pouvoir s'en empêcher devant la multitude de corps nu devant ses yeux. Il ne s'est jamais fait de partouze et ça ne lui est jamais encore arrivé de voir autant d'homos, nus devant lui.
Ce premier soir il serait illusoire de se contenter d'une simple douche. Ça vire troisième mi-temps sexe. Si João avait eu des velléités de garder son Romain encore quelques semaines pour lui tout seul (hors clients), c'est râpé ! En tant que petits nouveaux, ils sont sollicités de tous les côtés. Je reste un peu en retrait pour analyser leurs comportements.
Si je vois Romain interroger du regard son João lors des premières dragues et mains à son cul, il s'affranchi vite de son approbation tellement ça vient de partout. Mes autres escorts sont curieux de leurs capacités particulières. Je vois quelques baises acrobatiques. Les bancs de muscu servent de supports à leurs grands écarts, Romain couche Simon au sol à côté d'un banc et je le vois s'installer pour faire les triceps avec ce même banc. Quand il descend il s'encule sur Simon enfin sa bite de 18x5 et quand il travaille ses triceps, il décule. En fait il ajoute une donnée " plaisir " au travail musculaire ingrat. Il pourra faire ça aussi avec mes clients sur leur tapis et lui en appui sur le bord du canapé.
Florian est plutôt sollicité pour défonce mes escorts. Quand je jette un oeil sur lui, il est en train de se faire mes 2 russes. Nikolaï est sur le dos avec Viktor dans les bras à se rouler des pelles. Leurs bites écrasées l'une contre l'autre, ils présentent leurs deux culs à la sodomie.et comme ils sont amant officiels, pas la peine de changer de kpote entre leurs deux trous. Ils apprécient et on entend gémir celui qui reçois les 7cm de Florian. En sourdine puisqu'ils s'embrassent !
Je retiens quelques minutes mes deux nouveaux alors que tous s'en retournent chez eux. Impressions ? Ils sont ravis. Surtout Florian qui n'avait encore jamais connu ça.
Il en profite pour m'annoncer que c'est vu avec ses parents et que c'est ok pour qu'il sorte du pensionnat à la fin du mois. Pour les trajets il me demande s'il pouvait avoir une avance pour s'acheter un scooter. Il en a bien un chez lui mais en panne depuis quelques semaines. Je lui passe le n° de téléphone de Daniel et lui dit de voir directement avec lui, il m'enverra la facture directement.
Dès qu'il nous quitte, j'appelle ce dernier et lui donne mes instructions. Florian à son permis donc il peut conduire des scooters de 125cc3. Daniel me propose qu'il prenne plutôt un 3 roues, y'en a de sympas maintenant et il pourra monter en cylindrée. Et comme il sera obligé de faire une mini formation que ce soit un 2 ou un 3 roues ça changera pas grand-chose. Lui, il opterait pour un Gilera Fuoco 500, plus original qu'un Piaggo ou qu'un Peugeot. Comme il monte à 145Km/h il pourra s'amuser un peu.
Je lui dis de voir ça avec l'intéressé. J'ajoute qu'il s'occupe aussi des protections, blouson cuir et casque de marque ! Il ne faut pas lésiner sur la sécurité !
Il me dit avoir reçu de nouveaux SHARK dont un Raw dual black de toute beauté et avec un look très robot qui plait assez. Il lui proposera en blouson un ICON 1000 HOOD, avec capuche il fait moins spécifique moto tout en étant de la qualité top. En noir avec le casque il devrait avoir une touche qui sort un peu du lot. En pantalon il préconise un Jeans John Doe Kamikaze en Kevlar plus un cuir ICON 1000 Roughshod pour le look. Je lui dis de ne pas oublier les pieds et pour ça me dit qu'il l'équipera soit en ICON field armor 2 ou en AXO Slammer. Les deux sont des boots moins typées moto.
Appel à Éric pour les 7 heures de formations obligatoires et tout est en place.
En une semaine tout est bouclé et il est équipé avant d'entrer dans la coloc. Certificat en poche et vêtu de neuf, il vient me remercier. Il a une bonne touche un peu noire mais le look est là. Je lui pique son scoot le temps de faire un tour dans le coin. La conduite est amusante et les accélérations sont sympas.
Il me dit qu'il pourra même rentrer chez lui avec vu qu'il n'a que 50Km à faire.
Dans un premier temps comme je ne pourrais l'utiliser que dans des contrats sexes, pas besoin de lui prévoir une voiture.
Jardinier
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Vous savez Aurora me fait penser à Armand lors des toutes premières saisons. Je veux dire son seul acte de gentillesse a été de de dissuader son père d'arrêter sa soeur. Mais mise à part ça, il était assez arrogant provoquant Tristepin (bien que la première fois c'est le rouquin qui l'avait provoqué mais Armand n'est pas innocent pour autant). Tout comme Aurora, Armand est resté dans son royaume et ça lui a pas permit d'évoluer et en soit c'était réaliste ! Ou bien le fait qu'il était trop sûr de lui avec son père concernant l'invasion de Nox, se faisant avoir en beauté ! Voir même quand il se moquait de Tristepin quand ce dernier avait prit conscience de son statut de dieu. Mais ce qui le différencie d'Aurora, c'est son père, il l'aimait tout autant qu'Amalia. Or même moi, je pouvais voir que même son père semblait aussi plus favoriser sa fille que lui. Ce qui expliquerait justement la relation compliqué entre les deux frangins et le fait qu'il voulait justement prouver sa valeur aux yeux de son paternel.
Ce n'est qu'une fois, qu'il est mort, qu'il a eu sa révélation, qu'il s'est rendu compte qu'il pouvait plus se mentir à lui même. Se montrant enfin honnête avec Amalia permettant enfin leur relation guérir petit à petit. Malheureusement, les bonnes choses durent jamais longtemps alors qu'Armand se sacrifie pour sauver son royaume le confiant à sa soeur. Montrant qu'à la toute fin, il avait confiance en elle pour gérer la suite ! D'ailleurs même sa mort debout contre le monstre des Nécromes. Ça m'a fait penser à la mort de Barbe Blanche dans One Piece qui était lui aussi resté debout !
D'une certaine manière, l'histoire se répète sauf que contrairement Armand, Aurora ne va pas évoluer positivement !
You know, Aurora reminds me of Armand in the very first seasons. I mean, his only act of kindness was to dissuade his father from arresting his sister, allowing her to go on an adventure. But apart from that, he was pretty arrogant, provoking Tristepin (although the first time it was the redhead who provoked him, but Armand is no innocent). Like Aurora, Armand stayed in his kingdom and that didn't allow him to evolve, which was realistic! Or the fact that he was too sure of himself with his father concerning the Nox invasion, and got screwed in the end! Or even when he mocked Tristepin when the latter became aware of his godlike status. But what set him apart from Aurora was his father, who he loved just as much as Amalia. But even I could see that her father seemed to favor his daughter more than him. This would explain the complicated relationship between the two siblings and the fact that he wanted to prove his worth to his father.
It was only when he died that he had his epiphany, that he realized he could no longer lie to himself. Being finally honest with Amalia allowed their relationship to heal little by little. Unfortunately, good things never last long, as Armand sacrifices himself to save his kingdom, entrusting it to his sister. Showing that, in the end, he trusted her to take care of the rest! Indeed, even his death standing up to the Necrome monster. It reminded me of the death of Whitebeard in One Piece, who also stayed on his feet!
In a way, history is repeating itself, except that unlike Armand, Aurora isn't going to evolve positively!
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Vous allez automatiquement vivre l'une où l'autre situation suivante pour 2025 qui est enfin arrivé !
1. Être au bout du rouleau : Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.
2. Meta : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
3. GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.
4. Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.
5. Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.
6. Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.
7. Sudoku : Qui a le nord en face.
8. Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un coup au lieu de les perdre une par une.
9. État : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
10. Cravate : Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.
11. Voiture : Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
12. Orteil : Appendice servant à détecter les coins de portes.
13. Égalité des sexes : Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant.
14. Monter un meuble Ikea : Expression moderne signifiant “passer un week-end de merde”.
15. Suppositoire : Invention qui restera dans les annales.
16. Les ex : C'est comme la prison, si tu y retournes c'est que tu n'as pas compris la leçon.
17. La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.
18. Pruneau : Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier.
19. Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.
20. Pharmacie : Confiserie pour vieux.
21. Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes.
22. Un meurtre de sang froid : Un ice crime
23. Archipel : Outil pour creuser des archi trous.
24. Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes.
25. Les ciseaux à bois : Les chiens aussi.
26. Femme : C'est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve.
27. Carte de crédit : Viagra féminin.
28. Masochisme : Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer.
29. L'amour : C'est comme un jeu de cartes, si tu n'as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main.
30. Femme facile : Femme ayant les mêmes besoins sexuels qu'un homme.
31. Homme riche : Celui qui gagne plus d'argent que ce que sa femme n'en dépense.
32. Grand amour : Expression datant du 15ème siècle, lorsque l'espérance de vie était de 35 ans.
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Bilan d'écriture 2024 ✨
Bonne année, toute le monde, qu'elle soit pleine d'espoir bien nécessaire et de douceur !
C'est l'heure du bilan d'écriture, qui est donc ultra positif.
D'abord, un point décembre, j'ai fini sur un mois productif à quasi 23 000 mots, éparpillés sur le Soulmate UA Genshin et du Star Wars par bouts, je n'étais pas très concentrée, mais j'ai avancé un peu sur tout, c'est déjà ça !
En 2024, je m'étais encore une fois inscrite au défi @gywo, en m'engageant sur 150 000 mots annuels, un total que j'ai explosé en écrivant 265 295 mots. On ne va pas se mentir, ça fait un peu année outlier that shouldn't be counted, mais je me suis quand même ré-engagée sur 200 000 mots.
Les mots, c'est bien, mais comme l'année dernière, c'est surtout la joie d'écrire qui est à retenir, surtout pendant cette année compliquée sur pleins de plan, personnels autant que géopolitiques.
C'est l'heure des stats ! Tous ces mots, ça veut dire quoi ?
C'est 137 548 mots et 13 fics de publiés, la très grande majorité dans le fandom Star Wars qui m'aura pris par la gorge par surprise cette année. Ils m'ont demandé 183 846 de premiers/second jets.
Les 81 449 restants sont éparpillés sur 13 projets, certains ayant plus de chances d'être oubliés que d'autres 😬
Mon mois le plus productif a été avril avec 40 067 mots, je sais pas ce que j'avais bouffé, écrits sur 25 jours. Le mois durant lequel j'ai passé le plus de jours, c'est mai, avec 28 jours. Le mois le moins productif a été novembre avec 1041 sur une seule journée... Mais une journée productive on va dire ?
Les projets de l'année en cours, c'est de finir le Soulmate UA Genshin, déjà. Dans mes projets Star Wars, j'ai Les Voies Parallèles, un petit bonus aux Voies au sujet des jumeaus ; Springbreak qui me tue à petit feu ; l'UA Qui-Gon Lives qui m'est revenu sans prévenir ce dernier mois et a bien avancé ; le projet Beauty and the Beast, un UA qui se passe après la série Obi-Wan Kenobi ; la Dinluke qui suit De l'Espoir.
Enfin, j'aimerais re-consacrer du temps à mon projet original Hallmark Movie !
J'ai du taff XD
Et si vous êtes venus jusqu'ici, des bouts de fics de plusieurs projets à venir :
Genshin Impact, Soulmate UA :
(Période de leurs études).
Un an plus tard, lors d'une soirée tardive à réviser dans le Foyer de Daena, Kaveh céda à l'épuisement et posa la tête sur son livre. De là, il voyait parfaitement le profil d'Alhaitham, de trois quarts, ce petit pli entre les sourcils qu'il avait malgré lui quand il devait faire un effort de réflexion. L'éclairage à la lampe adoucissait ses traits. Le cœur de Kaveh s'emballa un peu, un tout petit peu.
— Est-ce que tu as une âme sœur ? demanda-t-il tout bas.
Cette question avait été rhétorique, même pas faite pour être entendue. Mais le phono-isolateur d'Alhaitham ne devait pas être enclenché, car il tourna tout de suite les yeux vers lui. Kaveh avait fini par gagner gain de cause, au sujet de l'esthétique - Alhaitham avait prétendu que c'était pour qu'il arrête de le fatiguer, Kaveh avait traduit que c'était pour lui faire plaisir. C'était une première étape sur le chemin ardu qui s'annonçait pour lui faire voir l'intérêt de la beauté, mais c'était déjà ça. Il était particulièrement fier de ce travail, même si, certes, cela avait quelque peu compliqué la tâche d'y incorporer tous les éléments nécessaires.
Kaveh avait pris du retard sur son propre projet pour y arriver, mais peu importait ! Il aurait été hors de question qu'il laisse Alhaitham se promener avec un arceau noir sur la tête.
— Oui, répondit Alhaitham.
Avec un pincement au coeur qu'il nierait jusqu'à sa mort, Kaveh se redressa.
— Pas moi.
*
Star Wars, Les Voies Parallèles :
Le ton monta très vite, le ton montait toujours très vite entre Leia et Anakin, deux forces de la nature qui s'entrechoquaient. Parce que les talents de diplomate de l'une disparaissaient complètement face à l'autre et que ce dernier acceptait très mal qu'elle grandisse, qu'elle ait grandi ; parce que Leia cherchait désespérément à le rendre fier et qu'Anakin voulait pouvoir encore la bercer dans ses bras.
Obi-Wan avait appris à les laisser se hurler dessus, du moins jusqu'à ce que... Il jeta un regard à Luke qui s'était rembruni après un « Tu ne sais pas ce que tu veux » d'Anakin qui répondait à un « Je fais ce que je veux et je me fiche de ton opinion » de Leia.
L'adolescent posa sa tasse d'un geste brusque sur la table.
— Papa. Leia.
Sa voix n'était pas monté du tout, mais sa présence dans la Force brûlait tout ce qu’elle touchait. Son père et sa sœur s'interrompirent d'un coup, se tournèrent vers lui, prêts à lui présenter leurs excuses pour ne pas avoir à se demander pardon l'un à l'autre.
Souvent, Obi-Wan regrettait que Luke soit devenu le vaisseau entre eux, leur voix à tous les deux. C'était injuste, même s'il avait endossé le rôle avec sa bonne volonté habituelle. Obi-Wan aurait dû l'inviter à sortir de l'appartement avec lui, à laisser le père et la fille se débrouiller, mais la situation exigeait malheureusement de lui une autre intervention.
— Leia, dit-il, puis-je discuter avec toi un instant ?
*
Star Wars, Springbreak :
La T8-Ex était un petit vaisseau de transport habitable de seize mètres, à la puissance acceptable pour son genre, et surtout relativement maniable. Et elle le serait encore plus une fois qu'Anakin aurait l'occasion de s'y attaquer. L'espace, rentabilisé au maximum, lui permettait d'exécuter des kata lents tant que son sabre laser n'était pas allumé.
Dans l'ensemble, un bon petit appareil.
Un silence terrible y régnait, R2 était sur son pod de charge, et la vibration de l'hyperespace ne comptait pas. Si Anakin se posait et étendait sa perception, il réussirait peut-être à sentir la présence d'autres vies dans la Force, mais c'était désagréable, les distances changeant constamment lui faisait l'effet d'un grésillement.
Te voilà seul.
Sans rien ni personne pour le surveiller, dans un vaisseau spatial pouvant parcourir plus d'une semaine de voyage en hyperespace sans avoir besoin d'être rechargé. La galaxie était à sa portée.
Il pourrait partir, s'il le voulait.
Et qu'est-ce que tu ferais ? Qu'est-ce que tu ferais, Anakin Skywalker ?
Tant de choses, en réalité. Pilote ou mécanicien sur tous les vaisseaux possible et imaginables, mercenaire. Il ferait un excellent récupérateur.
Il pourrait aussi chasser tous ceux qui restaient du règne de Palpatine. Pénétrer dans les centres de détention où les procès s'éternisaient et régler le problème d'un coup de sabre. Eux, et ceux qui s'étaient échappés, qui s'étaient fait discrets, ceux qui avaient soutenu en toute « légalité », et restaient sénateur de leur planète, ceux qui avaient retourné leur veste à la dernière seconde.
Anakin connaissait leur nom à tous.
Il se demanda combien de temps il faudrait à l'Ordre pour lui envoyer Obi-Wan aux trousses.
Combien de temps il faudrait à Obi-Wan pour laisser tout ce qu'il faisait et venir le chercher lui-même.
Il était presque tenté de le tester.
*
Star Wars, UA Qui-Gon Lives :
Son com sonna dans sa ceinture, et la voix de Maître Qui-Gon en sortit tout de suite.
— Bonjour, Obi-Wan.
— Bonjour, Maître. J'ai cru comprendre que vous étiez revenu de Sarka 6. J'espère que la mission s'est bien passée.
— À une destruction de speeder près. Quand tu le verras, peux-tu rappeler à Anakin qu'il est attendu en cours de diplomatie ossatienne dans une demi-heure ?
Obi-Wan haussa les sourcils, Anakin fit mine de vomir.
— Je n'y manquerai pas, dit Obi-Wan en indiquant d'un air sévère la direction générale des salles de classe.
L’adolescent leva les yeux au ciel.
— Je te remercie.
— File, intima Obi-Wan quand Qui-Gon eut raccroché. Je ne te couvrirai pas.
— L'adelphe de lignée de Ferus l'aurait couvert.
— Ferus est le premier padawan de la chevalière Tachi, alors tu n'en sais rien du tout. File !
File, mima Anakin avec une grimace avant de partir au petit trot.
*
Star Wars, Beauty and the Beast :
Comme sortit de nulle part, une silhouette immense, noire surgit dans le couloir. Elle dégageait un froid glacial, un tourbillon de désespoir et de rage qui aspirait tout. Luke hoqueta et cacha le visage dans le cou d'Obi-Wan.
Celui-ci le serra encore plus fort contre lui, se demandant déjà comment il allait sortir son sabre laser et se battre alors qu'il avait un enfant dans les bras.
La créature portait une étrange armure d'un noir aussi profond que la Force qui tourbillonnait de colère autour de lui. Ce n'était pas le premier utilisateur du Côté Obscur qu'Obi-Wan croisait, loin de là. Ce n'était même pas le premier Sith, loin de là non plus. Mais il y avait quelque chose chez celui-ci, quelque chose qui le saisissait aux tripes, le glaçait jusqu'à la moelle de ses os.
Tous les enfants se turent.
— Obi-Wan Kenobi, prononça l'Inquisiteur lentement d'une voix caverneuse, déformée, et avec un plaisir perturbant.
— Vous avez l'avantage, répondit Obi-Wan d'un ton léger, je crains ne pas être en mesure de vous identifier.
Il y eut un silence. Autour de l'Inquisiteur, la Force se déchaîna soudain, tous les meubles et les esclavagistes se soulevèrent, puis retombèrent dans un bruit de fracas. Obi-Wan sentit quatre des cinq esclavagistes mourir, un bleu soudain qui s'effaça aussi vite qu'il était arrivé.
Les enfants se remirent à hurler en s'accrochant à ses jambes de toute leur force.
— Chut, chut, intima Obi-Wan, désarmé, cherchant dans son usage rouillé de la Force un moyen de les réconforter, de les faire taire.
Qui savait de quoi l'Inquisiteur était capable ? Un coup de ce sabre laser au goût de sang sur sa langue et ils seraient tous morts avant même qu'Obi-Wan ait pu faire quoi que ce soit.
Qu'est-ce que tu veux faire ? Qu'est-ce que tu peux faire ? Inutile, impuissant.
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Tes 5 women's wrongs préférées 💙
Vraiment ce classement a été difficile à organiser donc j'ai abandonné et je vais citer ces cinq dames sans faire de hiérarchie parce qu'elles le méritent
Valeria Garza (Call of Duty)
Fait-on plus women's wrongs que cette femme ? Ses crimes sont innombrables et son kuntenserven irréprochable. La sécurité de l'état mexicain devrait apprécier d'être troublé par elle. Son bisexual bob, son talent de manipulation et sa compréhension aigüe de comment tourner le patriarcat à sa sauce pour mieux dominer les autres en fait une total girlboss et le contraire d'une girl's girl. Cette femme est peut-être attirée par les femmes mais elle n'est pas une alliée. J'adore chaque fibre de son magnifique corps problématique.
De plus, elle a ce petit twist à la Irene Adler où elle bat les héros et s'en tire sans trop de dégâts, prête à repartir pour un tour. Si le monde était parfait elle serait dans tous les call of duty (malheureusement elle n'y est point. Elle a des skins très sexy dans Warzone, cependant, ce que j'accepte comme un compromis pragmatique)
Alicent Hightower (House of the Dragon)
On n'échappe pas au cycle du trauma avec cette délicieuse femme, on le perpétue! à l'infini! Son hypocrisie et son incapacité à comprendre ses propres émotions en font une horrible personne que jamais je n'aimerais côtoyer, mais ses longs cheveux bruns et ses grands yeux pleins de larmes me conduisent à justifier tous ses méfaits. So what si elle a commencé une guerre à cause de paranoia et de slut-shaming probablement induit par le fait qu'elle a fumble l'héritière du trône alors qu'elle avait totalement moyen de l'embrasser passionnément dans leur jeunesse ? God forbid women have hobbies
Aelis (Kaamelott)
Comment ne pas mentionner mon OG women's wrongs, Aelis. Elle tente littéralement de la coercion sexuelle à sa première apparition. Une femme à la morale absolument dans les égouts mais chacune de ses trop rares apparitions me remplit de joie. Astier si tu n'es pas un l��che confirme dans kv3 partie 6 qu'elle a fui la cour pour vivre dans un cottage avec Démétra où elles se menacent de divorce toutes les semaines et se roulent des patins le reste du temps.
Hélène de Sparte (mythologie grecque)
Littéralement mon personnage préféré de toute la mythologie grecque. Elle est tellement fascinante pour moi et à ce jour je n'ai pas encore trouvé de version d'elle en dehors du texte original du cycle troyen qui corresponde à la vision que j'ai d'elle. Elle est tellement ambivalente : à la fois maudite et bénie par sa beauté, avec tellement de relations compliquées avec tout le monde. Ses intentions et son agentivité sont des points d'interrogation permanents. Une ville est tombée pour elle. On a sacrifié des enfants en partant et en retournant de la guerre menée en son nom. Elle-même se traite de chienne quand on lui pose la question. Euripides en a fait sa blorbette et l'a absolue de toute responsabilité dans cette affaire, ce qui est objectivement hilarant.
Pyrrha Dve (The Locked Tomb)
Je suis obsédée par elle depuis que je sais qu'elle a utilisé la possession du corps de son meilleur ami pour avoir une relation avec une terroriste, tout en sachant que ledit meilleur ami était déjà dans une relation avec ladite terroriste. Mais il ne faut pas oublier son implication dans la création d'une société autoritaire et ultramilitarisée aux accents fachistes. Ainsi que le fait qu'elle a au minimum accepté de laisser passer un plan qui impliquait de fracasser un bébé contre un rocher. Quand on voit tout ça, sa relation problématique avec des jeunes gens de 10 000 ans ses cadets passe comme une lettre à la poste. Also, she's a butch
Mention honorable :
Mel Medarda (Arcane)
Elle n'est pas dans la liste des women's wrongs parce que objectivement elle est une personne éthiquement respectable, contrairement à toutes les charmantes femmes citées plus haut. Mais ce que j'aime beaucoup chez elle, justement, c'est qu'elle occupe un rôle qui serait traditionnellement attribué à une women's wrongs (la politicienne, la femme fatale, la mentor du côté obscur) et elle arrive à cependant garder sa morale et ses principes et être un personnage positif. Elle est également sans aucun doute la plus belle femme que j'ai jamais vu de ma vie. Si elle ne revient pas dans la prochaine saison je brûle Netflix.
(sa daronne est totalement une women's wrongs par contre hehehe)
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Quand on commence à mieux connaître l'autre, ses caractéristiques physiques s'estompent peu à peu. On se laisse envelopper par son énergie, par l'odeur de sa peau. On devient plus sensible à l'essence de son être et moins à son apparence. Voilà pourquoi on ne peut pas tomber amoureux de la beauté. Elle nous flatte, on la convoite, on peut même la posséder. Elle charme les yeux et le corps mais pas le cœur. Et c'est pourquoi aussi, lorsqu'on crée un véritable lien avec quelqu'un, les imperfections physiques ne comptent plus.
Lisa Unger
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Présentation des personnages: Lionel
The pretty boi. Que j'ai toujours du mal à dessiner, mais bon.
Il date de 2007...Un de mes plus anciens personnages O.O (juste après Raphaëlle!)
Lionel est donc le personnage principal du récit, et c'est un chevalier de l'Ordre. Comme expliqué dans les posts précédents, il vit dans la Société Surnaturelle et veille à en éliminer les menaces. Quand il était enfant, il a été recueilli par les chevaliers et ne se souvient que très peu de ce qui est arrivé avant...
(Bon, ça c'est le début du tome 1. Un coup d’œil à mes dessins, ma BD et au futur post concernant Urbain permettra de comprendre exactement ce qu'il est et d'où il vient)
Dans le top de popularité de mes OCs, il n'est pas très haut, de part son côté "goody two shoes". Et pourtant...
Au premier abord, il apparaît sérieux, guindé, aussi amusant qu'une porte de prison. Si on en vient à le connaître un peu mieux, on s’aperçoit qu'il est gentil - du moins, il veut faire ce qui est juste, quitte à faire passer les autres avant lui -. Et, si vous le comptez parmi vos proches, vous savez qu'il tient énormément à vous.
En revanche, il déteste par-dessus tout qu'on lui mente, qu'on lui cache des choses, et sa plus grande crainte est qu'on fasse du mal à ceux qu'il aime.
Et si cela arrive, ses ennemis apprennent qu'il peut être terrifiant.
Difficile de dire davantage sans spoiler encore plus, mais c'est un personnage qui cache des profondeurs derrière son aspect de "gentil chevalier servant" et je sais exactement jusqu'où va aller son arc narratif.
Quelques extraits le concernant:
"Il était beau, d'une beauté à la fois surannée et intemporelle, éclatante, que l'on évitait de regarder en face, comme par peur de se brûler les yeux. Si ses cheveux, d'un blond foncé presque doré, eussent été bouclés, il aurait été le portrait craché d'une statue de la Renaissance."
"Mais il distingue ses traits, à présent. Des traits familiers, plus familiers que son propre visage. Différents. Une perfection glacée, sans défaut. Il n’y a plus le grain de beauté sous sa mâchoire droite, plus la cicatrice sur sa tempe , mais les yeux sont les mêmes. Ils brillent, eux aussi, d’un éclat vif-argent, mais ils n’ont pas changé."
Bonus: beware the kind ones.
"Il enjamba les cadavres, avança sans s’arrêter, ni se hâter, vers la dernière porte du caveau.
Il ne ressentait aucun plaisir dans cette violence, aucune joie, ni même de colère. Il n’y avait que ce haut fourneau qui pompait sa haine dans son corps, un seul mot, encore et encore.
Justice."
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"Article intéressant mais je vous promets que nombre de nationalistes français métissés ne trouvent pas vos propos de nationalisme racial pan-européen, poivré dans quelques articles ici et là, drôle. Ce sont des gens qui se savent trahi. C’est la trahison qui leur incite le plus et quand ils voient qu’après avoir été trahi par les réseaux vétérotestamentaires cosmopolites à la Kalergi, puis par la nouvelle gauche, puis par des influenceurs du nationalisme auparavant français mais finalement racialiste pan-européen, ce seront ces derniers qui se prendront des bombes, innovatrices, mais nuisibles et violentes, des nationalistes français trahis. L’élément est dorénavant planté. Les bombes et autres armes de vengeance commencent déjà à se faire contempler. Ca va finir très mal."
Cher "anonyme".
Le ton de demi-menace et les termes "inciter", "bombes", "armes de vengeance" rendent votre démarche curieuse. Cette équivoque est le privilège des anonymes et la pente naturelle des lettres anonymes.
Est-ce que vous suivez mon parcours? E&R est composé pour 1/3 de banlieusards et métis patriotes comme moi. Depuis 15 ans j'espère en l'avènement d'une classe "racailles patriotes" pour simplifier, comme le furent autrefois corsaires et flibustiers sur les mers pour le compte du Roi. Hommes durs, fraternels, collectifs, et par-dessus tout LOYAUX envers le pays. Ni ratonneurs ni racailles. Loyauté envers le pays c'est loyauté envers les lignées patrilinéaires des hommes de la souche du pays, qui nous ont précédé, qui ont façonné le pays, qui en ont fait ce merveilleux potentiel, cette table toute prête à laquelle nous venons nous asseoir. Les Desouche ont la préséance dans un ordonnancement national. C'est normal. Nul ne récuse la préséance des Desouche en Italie, Tunisie, Thaïlande etc. Voyez comme la Tunisie a expulsé sa 1ère invasion de migrants en 2023! Patriotisme = loyauté = gratitude. Tout le reste est idéologie, névrose, manipulation.
Je viens de Grenoble ultra-gauchiste bordéleux corrompu, j'y ai appris la vie. Je ne suis pas un Français de souche et rallie la France car je n'ai qu'elle, cela par gratitude, par souvenir de tout ce qu'elle m'a donné de Charité, de Beauté, de grandeur et j'aimerais que nos "nationalistes français métissés" dont je fais partie, s'occupent, dans un contexte de racisme anti-Blanc banalisé, de modérer les invectives de certains "métis" attentistes. Les diatribes des Noah, Booba sont des appels à la destruction par métissage et agression et sont i-nac-cep-tables. Le discours de haine de soi de certains bobos Blancs comme Sylvie Laurent, Molard etc doit être critiqué par les Blancs ET les métis unis. "L'humoriste en paix", je ne l'aime pas. Dans les moments cruciaux il a toujours pris la voie facile. L'affaire Obono… Assez de ce "métissage" qui ne tolère les Blancs de France que comme corvéables, métissables dociles réceptacles.
Cher "anonyme" seuls des métis patriotes loyaux (comme vous et moi), sont opportuns pour contredire durement de tels propos. Quand des Blancs le font, le mot magique "raciste" met fin au débat. Nous les métis devront faire face à une autre mise en danger qui sont les références à la "harka" et au "bountisme", j'y reviendrai en détail c'est important.
Je ne suis pas moi un de ces types qui chie sur les Blancs ou au contraire qui appelle à la violence contre tel ou tel autre en restant en retrait.
Nous sommes Français par la bonté des Français qui ne le savent même pas et se croient coupables de tous les maux. Il faut répondre au bien par le bien. Nous ne devons AUCUNE LOYAUTÉ à des partis communautaires quels qu'ils soient: ni chinois du 13e ni LFI ni likoudnik ni antillais ni espagnol ni franmac ni rien de tout ça. Ils n'ont rien fait pour nous, ils sont incapables par eux-mêmes de produire, de servir, d'ordonner, d'apaiser. Quand il y arrivent c'est par la souche française pré-existante. Ils ne sont pas la vraie substance qui souffre, qui paie, qui porte le pays. Par exemple qui en France produit la nourriture ? Les 1% d'agriculteurs blancs persécutés, suicidés de désespoir sans personne pour les aider, accablés de moqueries, d'impôts et d'ingratitude alors qu'ils sont les plus utiles, les plus bosseurs, les moins payés, et pourtant les plus directement issus des plus anciennes lignées populaires françaises.
J'aime Bassem. Et des gars, des bons gars, maghrébins bac+5 m'ont dit "Mais pourquoi tu le relaies c'est une caillera il nous enfonce". Ce n'est pas ainsi qu'il convient de regarder les choses leur ai-je dit. Il faut pour le pays des bac+5 spécialisés et précis oui mais aussi des patriotes de rue, ouvriers, avec émotion directe. J'espère que Bassem fasse un jour de la politique car c'est sa vocation profonde: passer de blogueur "leader d'opinion" à "Grand frère des Français patriotes et traditionnels d'origine immigrée". Mais je prends mes distances quand soudain malgré 10 ans de d'expérience il dit soudain à un gars assez connu "sale gw** de merde". La voie facile du racisme anti-Blanc dans un contexte d'invasion massive constitue une aggravation du déséquilibre. Je suis pour l'équilibre, l'ordre, la tranquillité de l'ordre qui est la définition même de la Paix. Quand on est immigré, écraser les Français de souche conduit par Justice Immanente à se faire ensuite écraser par d'autres immigrés plus récents, ça se vérifie à chaque génération depuis les premiers Italiens de 1960. Aimer les Français de souche rendra la paix au pays et à tous les hommes dans le pays. Les Français de souche doivent sortir de la haine de soi vendue par la Canaille au pouvoir. Et les non-Blancs comme vous et moi doivent aider ces Blancs à s'aimer eux-mêmes. Et nous le faisons non servilement dans un esprit mondain mais pour le pays, pour la "chose en soi" comme disait Kant.
À bien y réfléchir je vous remercie de votre message et des menaces voilées qui s'y trouvent car je dois dévoiler un manifeste qui s'appelle "Vous avez dit bounty?" que j'ai en réserve depuis longtemps et vous m'en rappelez l'urgence.
Cordialement,
Lounès Darbois
#Grenoble#Sylvie Laurent#France#E&R#Bassem#Kalergi#LFI#Booba#Yannick Noah#Obama#Greg Lansky#Julien Dray#Daniel Riolo#Olivier Cachin#Skyrock
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C'est ainsi que je me suis retrouvé parmi les rapetisseurs de monde, les postmodernes, les transhumanistes, les mondialistes, les globalistes, les journalistes, les technologistes, les algorithmés du bulbe, les scientistes, les socialistes, les progressistes, les transexualistes, les climatistes, les covidiotistes, les antiracistes, les antifascistes, les attestationistes, les confinistes, les vaccinistes, les enfermistes, les cul-erre-codistes, les maquinnesaitistes, les phoquechèqueuristes… je n'exigeais pas grand-chose et j'étais prêt à en trouver encore moins. Des barbares depuis des temps immémoriaux sont devenus encore plus barbares par la diligence, la science et même la religion, profondément inaccessibles à toute transcendance, abîmés jusqu'à la moelle à tous les degrés de l'exagération et de l'insuffisance, ternes et inharmonieux, je ne connais pas de peuple plus divisé en lui-même que les occidentés, vous y voyez des ingénieurs, des avocats, des artisans, des chefs d’entreprise, des financiers, des docteurs, des influenceurs, des journalistes, des écrivains, des maîtres et des esclaves, des jeunes et des anciens, mais pas d'hommes - n'est-ce pas comme un champ de bataille où les mains et les bras et tous les autres membres sont démembrés en tas, tandis que le sang de la vie s'écoule dans le sable ?
Chacun a droit à son écran, direz-vous, et je le dis aussi. Seulement, chacun doit être ce qu'il est, avec de l'amour, il doit être ce qu'il est, car c'est ainsi qu'un esprit vit dans ses actes, et s'il est poussé dans une profession où l'esprit ne peut vivre, qu'il la repousse avec mépris et qu'il apprenne à lire, à écrire, à dessiner, à composer, à labourer la terre, à pêcher, à chasser, à se battre ! Mais les occidentés se contentent du néant de la vie, et c'est pour cela qu'il y a tant de travail bâclé chez eux et si peu d'activités libres et agréables. Pourtant, cela pourrait être le travail de l'homme, s'il n'était pas si dépourvu de sentiment pour toute la beauté de la vie, si seulement la malédiction de la pseudo-culture ne pesait pas partout sur ce peuple éclaté.
Les vertus des anciens ne sont que des vices éclatants, comme l'a dit une mauvaise langue, je ne sais plus laquelle, et pourtant leurs vices eux-mêmes sont des vertus, car ils ne sont pas des vices ; un reste de l'esprit d'enfance et de beauté vivait encore parmi eux, et de tout ce qu'ils faisaient, rien n'était fait sans âme. Mais les vertus des occidentés sont un mal éclatant, rien de plus que la peur de l'homme, de la femme, de l’enfant, des efforts serviles arrachés au cœur stérile, et qui laissent sans esprit l'homme qui, gâté par la sainte harmonie des natures plus nobles, ne peut supporter les sursauts de la discorde qui crie dans tout l'ordre mort de ces hommes.
Je vous le dis: il n'y a rien de saint qui ne soit profané, qui ne soit dégradé dans ce peuple qui a perdu le rapport à son origine, même les sauvages, ces barbares calculateurs les poursuivent comme on applique un calcul, et il ne peut en être autrement, car là où un vice de l'homme s’est une fois formé, là il sert son but, là il cherche son profit, il est jaloux de ses profits, il n'est plus emporté par l'enthousiasme, à Dieu ne plaise ! et quand il fête, quand il aime, quand il prie, et même quand arrive la belle fête du printemps, quand le temps de la réconciliation du monde dissout toutes les inquiétudes et fait naître l'innocence dans un cœur coupable, lorsque, enivré par les chauds rayons du soleil, l'esclave oublie joyeusement ses chaînes et, apaisé par l'air divinement vivifié, les ennemis de l'homme sont aussi paisibles que les hommes, paisibles comme des enfants - quand même les chenilles poussent des ailes et les abeilles pullulent, l’occidenté,
l’occidenté, lui, reste confiné à sa profession, à son divertissement. Il ne se préoccupe guère du temps qu'il fait !
Mais c'est toi qui jugeras, sainte nature ! Car s'ils étaient humbles, ces hommes, s’ils ne se faisaient pas la loi pour le pire d'entre eux !
s'ils ne dénigraient pas ce qu'ils ne sont pas, et pourtant qu'ils dénigrent, s'ils ne se moquaient pas de Dieu, des dieux anciens!
Ou bien n'est-ce pas le divin que vous, occidentés, raillez et appelez sans âme ? L'air que vous buvez n'est-il pas l'air que vous buvez ? ne vaut-il pas mieux que vos bavardages ? que vous tous nourrissez, hommes astucieux ? Les sources de la terre et la rosée du matin rafraîchissent votre bosquet ; pourriez-vous faire cela ? Vous pouvez tuer, mais vous ne pouvez pas donner la vie, non pas sans l'amour, qui ne vient pas de toi, que tu n'as pas inventé. Tu t'inquiètes, tu fais des projets pour échapper au destin, et tu ne comprends pas que ton enfantine technique n'est d'aucun secours ; pendant ce temps, les étoiles se meuvent inoffensives au-dessus de toi.
Vous dégradez, vous détruisez la nature patiente là où elle vous tolère, et pourtant elle vit dans une jeunesse infinie, et tu ne peux pas bannir son automne et son printemps, vous ne gâtez pas son éther.
Ô elle doit être divine, car tu peux détruire et pourtant elle ne vieillit pas, elle ne vieillit pas, et malgré toi le beau reste beau.
C'est aussi un déchirement quand on voit vos artistes, et tous ceux qui respectent encore le génie, qui aiment le beau et le cultivent. Les bonnes âmes ! Elles vivent dans le monde comme des étrangers dans leur propre maison, elles sont comme le patient et souffrant Ulysse lorsqu'il s'asseyait à sa porte déguisé en mendiant, tandis que les prétendants éhontés clamaient dans la salle et demandaient : Qui nous a apporté le vagabond ?
Pleines d'amour, d'esprit et d'espoir, ses jeunes Muses grandissent pour le peuple disparate des occidentés ; on les revoit sept ans plus tard et ils errent comme des ombres, silencieux et froids. Ils sont comme la terre que l'ennemi sème avec du sel pour qu'il ne pousse jamais un brin d'herbe ; et quand ils parlent, malheur à celui qui les comprend !
Qui ne voit, dans leur titanesque projet comme dans leurs technologies protéiformes, la bataille, le combat désespéré que leur esprit troublé livre aux barbares contre les barbares auxquels il a affaire.
Tout ce qui existe sur terre est imparfait - c'est la vieille chanson des occidentés. Si quelqu'un pouvait dire une fois à ces âmes perdues que tout n'est si imparfait chez eux parce qu'ils ne laissent rien de pur sans être corrompu, rien de saint n'est épargné par leurs mains grossières et leur esprit grossier, que rien ne prospère parmi eux parce qu'ils ne respectent pas la racine, le germe de l'épanouissement, l’origine divine, que la vie parmi eux est rassise, lourde de soucis et pleine de discordes froides et muettes, parce qu'ils méprisent le génie de l'homme qui apporte la force et la noblesse dans les actes humains, la sérénité dans la souffrance, l'amour et la fraternité dans les villes et les maisons..
C'est aussi pour cela qu'ils ont si peur de la mort et qu'ils subissent, au nom de leur vie en coquille, toutes les disgrâces, parce qu'ils ne connaissent rien de plus élevé que l'œuvre bâclée qu'ils se sont donnée.
Là où un peuple aime le beau, où il honore le génie de ses artistes, là où l'esprit commun flotte comme l'air de la vie, là l'esprit timide s'ouvre, la suffisance se dissout, et tous les cœurs sont pieux et grands, et l'enthousiasme donne naissance à des héros. La patrie de tous les hommes est dans la langue, et l'étranger lui-même peut s'y attarder avec plaisir. Mais là où la nature divine et ses artistes sont ainsi insultés, là le plus beau plaisir de la vie est écarté et toute autre étoile est meilleure que la terre. Là, les hommes deviennent de plus en plus stériles, de plus en plus désolés, de plus en plus dégénérés alors qu'ils sont tous nés beaux ; la servilité s'accroît, et avec elle l'impudence, l'ivresse s'accroît avec les soucis, et l'abondance, la faim et la crainte de la famine ; la bénédiction de chaque année devient une malédiction, et tous les dieux s'enfuient.
Et malheur à l'étranger qui erre par amour et arrive chez un tel peuple, et malheur trois fois à celui qui arrive chez un tel peuple comme je l'ai fait, poussé par une grande joie comme je l'ai fait, ou poussé par un grand chagrin, cela revient au même ! Assez ! tu me connais, lecteur, et tu le prendras bien, car j'ai parlé en ton nom.
Je parlais aussi pour tous ceux qui sont dans ce pays et qui souffrent comme j'ai souffert.
(Avec Hölderlin au XXIe siècle)
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Cette image que me renvoie le miroir depuis des mois, je la déteste ! En plus de vieillir, de voir mon visage s'affaisser, mes cernes se gonfler sans disparaitre au bout de quelques heures, c'est mon ventre qui désormais est gonflé, ma peau qui perd de son élasticité. Je sens le processus de vieillissement s'accélérer depuis que je suis en ménopause. Je me regarde dans le miroir et je trouve logique que personne ne veuille de moi. Moi même, je ne veux pas de moi !Sur les réseaux , c'est si simple d'avoir des compliments. Les hommes en font bien plus que dans la vie. Quand ils me disent que je suis belle, je sais qu'il espère quelque chose qui n'a rien à voir avec cette beauté qu'ils mettent en avant. Pour eux, une belle femme, c'est une femme qui dit oui à leurs avances. N'importe quelle femme peut faire l'affaire. Je ne suis jamais flattée par le compliment d'un homme qui ne me connaît pas réellement.
Je suis bien plus que ce corps que je n'aime pas. Bien plus que ce visage qui ne laisse plus de doute sur mon âge. Je suis une âme, je suis un esprit, je suis un passé et un futur. J'ai appris tant de choses, je cultive l'humour, je sais aimer plus que de raison. Mais qui fait encore attention à tout ceci dans un monde où l'apparence et le sexe facile sont légion ?
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About R. 🪷
Il y a des années, à l'univ, j'ai rencontré une fille. J'étais à une soirée techno avec mon pote le russe. Dans mes souvenirs, c'est elle qui est venue me parler en premier mais il est possible que ma mémoire me joue des tours. Elle était si belle (ma main a coupé qu'elle l'est toujours d'ailleurs)... On était toutes les deux fascinée par la beauté de l'autre. Elle est beaucoup plus petite que moi, plus jeune aussi. Elle ressemble à une sirène mystérieuse et ésotérique (xD). À l'époque, elle avait de longs cheveux bouclés et elle était toute mince, extrêmement mince... Une beauté vraiment spéciale, douce. On s'est donc rencontré à cette soirée. Elle me suivait partout haha, je m'en souviens.
On s'est revu par la suite. Elle m'a très rapidement fait comprendre que je lui plaisais. On allait se promener dans les parcs et on parlait pendant des heures... Je ne l'ai jamais vu beaucoup manger. Le truc c'est que, à l'époque, j'étais méga messy, oh boii. How messy I was. Je jouais beaucoup trop avec les sentiments des autres, bien que je ne le faisais pas exprès. J'avais déjà des soucis d'addiction et je menais une double vie à du 3000%. Et puis, j'étais trop obssessed avec de bêtes mecs qui s'en foutaient royalement de moi (humm...) et on a donc fini par perdre contact lorsqu'elle est partie vivre dans une autre ville.
Puis, un jour, on s'est recontacté, environ 2-3 ans plus tard. J'étais méga contente. Il faut savoir que R. me confrontait dans ma sexualité, alors que je n'étais pas encore prête à me poser certaines questions ou plutôt à faire lumière sur mon attirance assez évidente envers les femmes.. Encore aujourd'hui, ça me dérange et je répète à qui veut l'entendre "s'il y a bien une chose sûre à propos de moi c'est que je suis hetero" (xD). R. a pris la route pendant des heures pour venir me voir. Je l'ai accueillie chez moi, super, sauf que .... je sortais avec un mec et on habitait ensemble (#looseuse ^^) mais R. a quand même décidé de rester le week-end. Lorsque je lui ai dit (ou devrais-je dire avoué) que j'étais avec ce gars et donc hetero, elle a juste réagi en mode
Mes potes étaient tous méga intimidé par R. Haha. Elle ne se laissait jamais toucher par un mec. Le plus qu'elle pouvait faire était de leur serrer la main. Je souris en écrivant ces lignes. À la fin du weekend, je l'ai raccompagné à sa voiture et nous nous sommes embrassé. J'étais tellement mais tellement maladroite... On est resté en contact tout un temps mais communiquer par téléphone n'a jamais, ô grand jamais, été mon fort et nous avons donc fini par reperdre contact. Ca doit bien faire 5 ans facile qu'on ne s'est plus vue ni même parler. J'ai perdu son numéro.
J'ai pensé à elle, il y a quelques jours à peine. Fort. Elle est apparue dans ma tête et je me suis dit un truc du style "Si jamais je pouvais ravoir une chance avec cette fille, je ferai les choses différemment..." et devinez quoi... ce matin, mon père m'appelle pour me dire qu'il a reçu un message d'un numéro allemand sur son téléphone qui demande après moi. C'est dingue... Coïncidence ? J'en doute fortement. Elle a donc repris contact avec moi. Cela signifie qu'elle pense toujours à moi après toutes ces années, et cela, malgré mes maladresses et ma personnalité totalement messy (aka cluster b personnality disorder hihi mais jsuis quand même fort attachante et kiki) et voilaaaaa. Elle part à NYC aujourd'hui. On va sûrement s'appeller demain ou lundi. Je me réjouis trop de la revoir et de l'avoir contre moi. C'est cool
#R.#The question is who am I and what do I want#Can I be more than one thing.. more than one person.. can I love multiple person?#Kelthoumrambles#🩷🌷#Love is in the air
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2 novembre
rêve ultra tendre collée contre r. sur un canapé, on rigolait beaucoup, j'étais plus détendue que je l'ai jamais été dans la vraie vie. j'ai pas fait d'efforts pour m'en rappeler en me réveillant, c'était trop douloureux. hier soir je me suis lavé les dents à côté de j. dans la salle de bain et ça m'a rappelé sa visite à la maison. je voulais lui en parler mais je sais pas pourquoi j'ai rien dit. il me montrait des photos de garçons musclés dégueus et je disais ew ew ew en feuilletant son calendrier d'hommes musclés dans sa chambre sous le grand drapeau arc-en-ciel accroché au dessus de son lit. il m'a dit qu'il avait acheté le calendrier par pur plaisir de pouvoir le faire, pour faire plaisir à bb jonas dans le placard. j'ai dit i think 98% of men don't look good to me et il a dit who looks good then? et j'avais envie de dire r. mais j'ai dit i don't know. j'aurais pu dire girls aussi. je suis tellement dure à m'ouvrir. et pourtant je lui ai parlé de mon soupçon d'hypothétique abus sexuel refoulé. j'ai dit maybe something happened to me as a child. je sais pas ce que les gens s'imaginent quand je dis ça. je lui disais que si j'arrivais à savoir ce qui s'était passé, si j'arrivais à régler mon trauma, j'arriverais peut être enfin à lâcher prise, mais juste après l'avoir dit je me suis rendu compte que je me fourrais probablement le doigt dans l'oeil. peut être que j'ai juste inventé cette histoire de toutes pièces pour trouver une justification à ma peur panique de la vie. mais plein de gens ont une peur panique de la vie et ils ont pas tous été violés dans leur enfance. on parlait de drogues et j. m'a dit you know you could take drugs if you wanted parce que je fais que dire i can't take drugs comme si j'étais la personne la plus traumatisée de la terre et que prendre des drogues allait complètement me détruire/détruire l'ordre de l'univers, mais c'est moi qui ai décidé que je pouvais pas prendre de drogues.
j'entends des cloches qui sonnent midi, j'ai la fenêtre grande ouverte mais je vois pas le ciel. je crois que c'est très néfaste pour la santé mentale de pas voir le ciel. je crois que ça contribue en grande partie à mon désespoir d'être ici. j'entends les grues aussi. les oiseaux pas les machines. j'ai passé toute la semaine sans sortir sauf pour aller faire les courses mercredi. je suis aussi sortie me promener avec j. hier soir à dix heures parce que je me sentais mieux et que je commençais à me sentir trop enfermée. on a marché jusqu'au canal et on est revenus. en mangeant mon porridge je me disais que c'était la deuxième fois en cinq mois que je me brossais les dents à côté d'un garçon très grand après lui avoir dit qu'il m'était "peut être arrivé quelque chose" quand j'étais petite.
je suis sortie aujourd'hui. comme je fais pas les choses à moitié j'ai marché sept kilomètres. j'avais froid aux oreilles mais je voulais pas rentrer. j'ai traversé toutes les parties de kreuzberg que j'aime pas pour aller voir une église brutaliste mais on pouvait pas rentrer, y avait aussi un café de hipsters en béton et un lampadaire jaune fluo ondulé. j'essayais de voir de la beauté dans ma promenade moche, de me dire toute promenade est une promenade digne d'intérêt, mais bof. les amis suédois de j. sont en train de parler fort dans le couloir comme si j'existais pas ou qu'il était pas deux heures du matin.
m. m'a demandé si j'avais pas un petit pincement au coeur quand même de partir. ce qui me pince le coeur: partir avant d'avoir réussi à rentrer dans un bar lesbien (sauf la fois avec la téléréalité lesbienne mais c'était nul) , avant d'avoir réussi à oublier r., avant d'avoir fait un open mic, avant d'être allée dans une rave les seins à l'air les bras musclés, avant d'avoir réussi à lâcher lâcher lâcher ok j'entends le chien d'alex marcher dans le couloir et de la techno de merde ces gens ne dorment donc jamais? j'arrête pas de faire osciller ma date de départ entre le 19 et le 25 novembre, quand je discute avec j. et que je fais la liste de mes pincements au coeur ça penche vers le 25 mais la plupart du temps c'est le 19 qui gagne. comme quand un client des massages tantriques est en train de faire pipi dans la salle de bain alors que je dois moi aussi faire pipi et que je fais un thé dans la cuisine qui est à côté de la salle de massage avec le sentiment que je devrais pas être là. je me demande qui c'est qui va faire des massages tantriques.
cet appart est très imprégné par le sexe. par rapport à la maison où le sexe n'existe pas je veux dire. hier matin pendant que je préparais mon porridge j. me racontait qu'il avait couché avec un mec de grindr non stop pendant deux heures avant d'aller à une fête d'halloween, il m'a demandé si j'avais rien entendu mais dieu merci je l'ai juste entendu mettre le bordel dans la cuisine en rentrant de la fête, ça m'a bien énervée mais c'est moins traumatique. je lui ai demandé s'il avait pris des drogues avant et il a dit oui parce que le mec était bizarre, il avait de l'anxiété sociale et il parlait pas, he just wanted to fuck. parfois je me demande comment j'arrive si bien à vivre sans ce truc qui semble si vital pour les autres. je me demande si c'est lié à ma fondamentale anesthésie vitale (artaud). est-ce que j'ai anesthésié cette partie-là de moi aussi? ça m'arrive d'avoir envie de quelqu'un, mais je fais pas tout ce qui est en mon pouvoir pour que ça arrive. comme m'inscrire sur des applis de rencontre par exemple. j. m'a aussi parlé de son ami tony qui était déguisé en rat sexy à la fête d'halloween, avant tony travaillait dans une banque à lyon et puis il a déménagé à berlin pour devenir une star du porno. il m'a expliqué que son but était de devenir assez connu pour avoir assez de fans sur onlyfans et qu'il puisse ainsi se contenter de coucher avec son copain pour gagner de l'argent. il m'a dit qu'à un moment il avait considéré l'idée de devenir acteur porno lui aussi mais que d. l'en avait dissuadé.
bon à bruxelles je veux aller habiter dans un immeuble avec une moyenne d'âge de minimum 55 ans parce que c'est pas possible là le manque de respect c'est le milieu de la nuit putain pourquoi tout le monde se comporte comme si on était en plein jour? ??? je déteste le rire de d. il caquette. je l'entends caqueter. il caquette il claque les portes et il fait trainer ses claquettes en marchant dans le couloir. et en plus il renifle. j'ai pas envie de vivre avec d. mais ça arrive souvent de pas aimer ses colocs. et alors on fait des concessions, parce que c'est comme ça, pas le choix, il faut bien faire sa vie, c'est toujours mieux que de retourner chez ses parents. qu'est-ce qui tourne pas rond chez moi?
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Vous allez automatiquement vivre l'une où l'autre situation suivante pour 2025 qui est enfin arrivé !
1. Être au bout du rouleau : Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.
2. Meta : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
3. GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.
4. Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.
5. Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.
6. Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.
7. Sudoku : Qui a le nord en face.
8. Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un coup au lieu de les perdre une par une.
9. État : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
10. Cravate : Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.
11. Voiture : Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
12. Orteil : Appendice servant à détecter les coins de portes.
13. Égalité des sexes : Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant.
14. Monter un meuble Ikea : Expression moderne signifiant “passer un week-end de merde”.
15. Suppositoire : Invention qui restera dans les annales.
16. Les ex : C'est comme la prison, si tu y retournes c'est que tu n'as pas compris la leçon.
17. La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.
18. Pruneau : Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier.
19. Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.
20. Pharmacie : Confiserie pour vieux.
21. Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes.
22. Un meurtre de sang froid : Un ice crime
23. Archipel : Outil pour creuser des archi trous.
24. Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes.
25. Les ciseaux à bois : Les chiens aussi.
26. Femme : C'est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve.
27. Carte de crédit : Viagra féminin.
28. Masochisme : Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer.
29. L'amour : C'est comme un jeu de cartes, si tu n'as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main.
30. Femme facile : Femme ayant les mêmes besoins sexuels qu'un homme.
31. Homme riche : Celui qui gagne plus d'argent que ce que sa femme n'en dépense.
32. Grand amour : Expression datant du 15ème siècle, lorsque l'espérance de vie était de 35 ans.
De tout coeur avec toi
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ma vertu préférée
La compassion. Plus le monde en aura, mieux il se portera
le principal trait de mon caractère
Maladroite ? C'est un trait de caractère d'être gourde ? Parce que si oui, c'est ce qui me représente le mieux
ce que j'apprécie le plus chez mes ami.e.s
J'aime les amis attentionnés, gentil et ouvert
mon principal défaut
Têtue, têtue, têtue
Bordel ce que je peux être têtue
mon occupation préférée
Manger, dormir, me faire câliner
Je suis une amoureuse des câlins
Votre idée du bonheur ?
Je ne demande pas énormément, juste la paix
Que ma tête arrête de penser ; juste profiter du vent, du ciel et des gens
Votre idée du malheur ?
Bah justement, les gens
Autant ils peuvent me rendre heureuse si je me sens à l'aise, Autant la plupart du temps j'ai constamment l'impression de mal faire, d'être jugé, une moins que rien
Et dans ces moments là, j'ai envie de courir tellement loin
Ce que je voudrais être
La meilleure version de moi-même
le pays où je désirerais vivre
Le japon, emmenez moi au japon!
la couleur que je préfère
Le bleu dans toute ses nuances, tout est beau pourvu que ce soit bleu
la fleur que j'aime
La pivoine, une grosse fleur pleine de pétales
L'infini beauté
l'oiseau que je préfère
Le colibri, me demandez pas pourquoi même moi je n'en sais rien
mes auteur.e.s favori.te.s en prose
Aucune idée, la prose ne fait pas partie de ce que je préfère
mes poètes préféré.e.s
Oscar Wilde sans hésiter
mes héros favoris dans la fiction
Le Roi Arthur me passionne, je ne saurai même pas expliquer pourquoi
mes compositeurices préféré.e.s
Yiruma m'emporte par son talent depuis plus de 10 ans ; que je sois triste ou heureuse, sa musique ne m'a jamais lassé
mes peintres favori.te.s
Van Gogh mais je suis sûrement biaisée par l'épisode de Dr Who dans lequel "il" apparaît
le personnage historique qui me déplaît le plus
Tout ceux qui ont déclenché la guerre pour leur idéaux
ma nourriture et ma boisson préférées
Donnez moi du chocolat, un chocolat chaud au lait d'amande ou du jus de banane et vous ferez de moi une femme comblée
mes noms favoris
J'avoue ne pas saisir la question
ce que je déteste par-dessus tout
Ce que j'essaye de fuir en moi
le don de la nature que je voudrais avoir
La beauté, tout doit être plus simple quand on est genre VRAIMENT belle, non?
comment j'aimerais mourir
En ayant vécu
mon état d'esprit actuel
Déterminée, je vaincrai j'en suis certaine
les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence
Je suis indulgente tant que ta faute n'était pas voulu, je saurais me mettre à ta place pour comprendre ce qui t'a mené à fauter
Je suis indulgente si tu ne savais pas, si tu as été maladroit.e
Mais je ne saurai être indulgente si dans ton acte, il y avait une once de méchanceté, si tu savais que tu blesserai
ma devise favorite
Pas vraiment de devise, mais je m'efforce de suivre les quatres accords toltèques du mieux que je peux
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Ici on a une tache en forme d'un foetus, la femme frotte la tache de sang, mais ses efforts sembler la étaler.
Cette image est une représentation de la maniere dont Annie s'est avorté et la maniere qu'Ernaux partage son memoire avec les details d'une honnêteté. Ce qui rend ce récit si puissant, c'est la nature rigoureuse de l'approche d'Ernaux. Il n'y a pas de jugements moraux ni de pontifications sans faille sur un sujet qui reste controversé, même à notre époque actuelle. Presque comme comment la femme de l'image ne s'excuse pas pour la tache qu'elle traite comme une tache habituelle. L'événement est un recit incroyablement honnete sur un suject tabou, qui normalise un peu la lourdeur des droits de reproduction et la santé génésique.
La tache peux représenter la détachement du coeur qu'Annie ressenti pendant son experience de grosesse et avortement. De pareil, les réflexions d'Ernaux et l'écriture du livre, des ruminations sur ce qu'elle essaie de réaliser en explorent ses événements se voient dans les mots et les dates partager du livre. Il se pourrait que la grossesse ete une tache non désiré... un accident, come quand on renverse un verre, ou quand un stylo explose d'encre sur une chemise.
La beauté de cette memoire c'est la compréhension que parfois, quelques taches ne peuvent pas etre enlever entirèrement. La tache du bébé qui a résidé dans l'utérus d'Annie va laisser une marque, mais les taches peuvent etre comme des cicatrces qui tracent nos passés et nos futures.
Le grand message d'Ernaux peuvent etre perçu comme: essayer d'éliminer une tache, puis l'accepter comme c'est parti et poursuivre son chemin.
Une tache ne crée pas un femme sale.
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