#c: noeuds
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diabolik lovers : haunted dark bridal — ayato ; dark 04 [traduction française]
——La scène débute dans une salle de classe.
Yui : (On nous a donné tellement de devoirs aujourd’hui...)
(Je n’arrive pas à me concentrer à la maison, alors je vais rester un peu ici pour travailler.)
——Ayato arrive.
Ayato : Yo ! Viens, la planche à pain, on rentre.
Yui : Ayato-kun... Je t’ai demandé de ne plus m’appeler comme ça.
Ayato : Le problème, c’est que je me rappelle pas de ton prénom.
Par contre, quand je te regarde, “planche à pain”, ça me vient tout seul. Genre : planche-à-pain.
Yui : … … !
(I-Ils ne sont peut-être pas très gros, certes, mais tout de même...!)
C’est Yui, Komori Yui ! Rappelle-toi en, s’il te plaît...
Ayato : Bref, qu’est-ce que tu fais, de toute façon ?
Yui : (I-Il ne m’écoute même pas...)
… Tu ne vois pas ? Ce sont les devoirs qu’on nous a donné aujourd’hui.
Ayato : Tch, sérieux !? Personne ne fait ces trucs !
Yui : Tu es l’une des rares personnes à ne pas les faire !
Ayato : Sérieux, pourquoi tu les fais pas à la maison ? Allez, viens, on rentre.
Yui : Je ne peux pas me concentrer quand je suis à la maison à cause d’une certaine personne, alors je les fais ici.
Ayato : J’ai faim. Allez, rentrons pour que je puisse manger !
——Ayato lui vole son cahier.
Yui : H-Hey ! Rends-le moi !
Ayato : Pas moyen ! Je te le rendrai une fois à la maison.
Yui : (… Il n’est pas croyable !)
… Ah ! Une jolie fille avec une grosse poitrine vient de passer dans le couloir !
Ayato : Quoi !?
Yui : Je t’ai eu !
——Yui reprend son cahier des mains d’Ayato.
Ayato : Argh...! La peste !
Yui : Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même d’avoir été si crédule~!
(C’est toujours lui qui m’embête d’habitude, alors je peux bien lui rendre la pareille, non ?)
(Ça me donne un peu l’impression qu’on est des camarades de classe ordinaires.)
(… Ayato-kun, si tu n’avais pas été un vampire... Je me demande si on aurait pu bien s’entendre.)
Ayato : T’as du cran pour faire ce genre de choses au grand Ayato¹...
Yui : (Uhh... Il est en colère ? Malgré tout, je ne dois pas flancher !)
➛ Je n’ai pas peur ! (♥) Yui : M-Même si tu fais cette tête, tu ne me fais pas peur ! Ayato : Hmm ? Voyons voir ça. Yui : Huh...!? ——Ayato frappe ses mains sur le bureau. Ayato : Dans ce cas... Je vais devoir redoubler d’efforts pour te terroriser.
➛ Si tu veux rentrer, rentre seul ! Yui : Je ne partirai pas avant d’avoir fini. Si tu veux rentrer, rentre seul. Ayato : … … … … Yui : (J-Je l’ai dit, ça y est !) Ayato : Fait chier. Yui : Huh...!? —— Ayato frappe ses poings sur la table. Ayato : Je ne déteste pas les femmes qui ont du caractère... Mais celles qui vont trop loin m’insupportent. Yui : A-Attends... Ayato : Je vais faire en sorte que tu ne puisses plus te rebeller.
Yui : Kya...!
—— Ayato défait le noeud de l’uniforme de Yui.
Yui : A-Ayato-kun !?
Ayato : Tu ne veux pas rentrer, j’ai compris. Je ne peux rien y faire.
Alors j'ai qu’à te mordre ici.
Yui : A-Attends ! Il y a encore des élèves ici...!
Ayato : Qu’est-ce que tu racontes ? Regarde, il n’y a que toi et moi ici.
Yui : I-Il y a des gens dans le couloirs... Ils pourraient nous voir...!
Ayato : C’est bien ! Ça rend les choses encore plus excitantes.
——Ayato mord Yui.
Yui : Ah...!
(J-Je ne dois surtout pas faire de bruit ! Quelqu’un pourrait entendre !)
Ayato : Haha... ton cou est sensible, hein ?
Yui : … !
Ayato : C’est ça, j’aime cette expression. Tu peux faire du bruit, ça m’est égal.
Yui : Ah... Nn...
Ayato : Hehe, hey, retire tes mains de là. Ne couvre pas ta bouche.
Yui : … C-C’est bon, j’ai compris, j’ai perdu ! Rentrons à la maison !
Ayato : Hm, trop tard.
Je me demande combien de temps tu peux tenir sans faire de bruit. Voyons voir !
——Ayato mord Yui de nouveau.
Yui : … … !
Ayato : [bruits de succion]
Yui : … Gh...
(J-J’ai vraiment mal... J’ai l’impression qu’il mord plus fort que d’habitude.)
Ayato : Haha, tu fais vraiment de ton mieux.
Yui : T-Tu n’en as pas déjà assez ?
Ayato : Haa ? Tu fais la courageuse maintenant ? Ça me donne encore plus envie d’entendre ta voix.
Yui : Kya...! M...Mm—!
Ayato : [bruits de succion]
Yui : (Ah, ma tête... J’ai la tête qui tourne...)
Ayato : [bruits de succion]
——Yui s’écroule.
Ayato : Mince. J’en ai trop bu ?
J’ai bien aimé cette situation. On devrait le refaire une prochaine fois.
Yui : (Mon corps est faible... Je ne peux plus bouger...)
Ayato : Bon, comme je suis repus, je vais rentrer. À plus, planche à pain !
Yui : Huh...!?
(Il va vraiment me laisser seule ici !?)
(C’est cruel...)
Ayato : En fait... J'ai pas vraiment envie que tu te fasses attaquer par un de ces vampires bas de gamme.
——Ayato se rapproche.
Yui : Hein...?
Ayato : Tu es ma proie. Ne vas pas tituber comme ça alors que tu saignes encore.
L’odeur de ton sang est dangereuse. On ne sait pas quel genre de personne il peut attirer.
Yui : (“Ne vas pas tituber comme ça”... À qui la faute ?)
Ayato : Je t’escorte personnellement jusqu’à la maison. Tu devrais te sentir honorée.
Yui : (C’est frustrant... Mais... Ce n’est pas si désagréable, pour une fois...)
(Je ne sais pas trop quel genre d’expression je devrais afficher...)
¹ Pour ceux qui n'ont pas accès aux dialogues du jeu, Ayato se réfère souvent à lui-même comme “Ayato-sama”. Le suffixe -sama est utilisé lorsque l'on s'adresse à quelqu'un que l'on respecte énormément. On l'utilise notamment pour s'adresser à des divinités, ou à l'Empereur du Japon et sa famille. Il est difficile de traduire en français toutes les subtilités de ses dialogues, mais sa manière de s'exprimer est très arrogante et supérieure.
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Réalité #4
Juste là, sous nos pieds, à deux doigts de nos lacets, des filets défilent. Si profondément entrelacés pour pécher toujours plus, toujours mieux, les victimes de notre sur-consommation, les êtres vivants subissant notre domination. Grâce aux fils entremêlés qui nouent à jamais la destinée d’innocents poissons.
J’ai un rêve. Un rêve de trêve. Un rêve de trop ? Un rêve obstiné : Et si on faisait exister des noces sans poison ? Car faut pas se défiler : c’est aussi ça l’état de nos nations. Une réalité sexiste depuis toujours, un défilé d’agressions estimé à moins d’un pour cent de condamnations. L’idéal court toujours après le réel et la justice frôle le chaos. Comment aimer et épanouir une relation s’il est impossible de dire ciao ? Certes l’amour c’est beaucoup de conjugaisons, mais comment faire pour sortir de l’enfer face à de tels charo ? Quand on sait que la part des viols conjugaux approche la moitié des cas recensés, c’est insensé, ça rend dingo Ça me fait mal d’y repenser, ça m’excède d’autant plus que le chiffre excède sans doute cette estimation. Mais la honte n’a pas encore changé de camp
Pas surprenant quand médiatiquement, les puissants ne tombent d’accord que lorsqu’il s’agit d’un migrant, d’un étranger. Bien sûr, mais l’étrange qui devrait plus vous déranger sont toutes ces violences bien rangées quotidiennement dans les logis bien d’ici, bien français, bien aménagés, qui votent comme il faut, et ne se font pas traiter de sauvages. Mais commettent des atrocités dans leur ménages, sans ménager des femmes de tout âge.
Et pendant que les cons quasi jamais damnés à purger leur peine se disent victimes d’un système, ils insistent fermement, disent qu’ils t’aiment. Et le piège de ces scélérats se resserre. Ce sont les rets qui scellent pour toujours la poisse d’épouses empoisonnées, enfermées dans des prisons inextirpables dont l’emprise dépasse la raison. Des unions désuètes qui déçoivent et conçoivent des noeuds inextricables dans le cerveau : quand l’amour n’est plus praticable qu’il se nomme amour, mais qu’il a l’odeur de la mort
Comment accepter tant de péchés inconsolables, une peine incommensurable ? Pourtant on sait qu’il faut rien laisser passer, ne pas jeter l’éponge ! Alors oui : parfois c’est le BA-Ba de jeter la pierre. Ce serait même l’A-B-C, de dénoncer quand y’a une couille dans le paté, une sale fripouille dans le cathé ! Et il faudrait plus d’un pavé dans la mare quand la goutte d’eau de trop fait déborder le vase ! Y’a pas de mal à le gueuler sur tous les toits, crier aux abois quitte à ce que ça dégueule de partout, que ça dégouline de toi, même si ça nous fait mal au crâne comme une gueule de bois.
On ne peut plus impunément, transformer tant de corps en squelettes, ne pas plus défendre encore ceux que l’état ne protège pas. On dit hâtivement qu’c’est facile à dire, plus difficile à faire. Mais définitivement : fini ! Infiniment et au delà. Au fond, plus personne - niemand - ne devrait laisser faire ces délirants délits là, se taire sur ces agressions des bas fonds.
Respectons-nous en respectant absolument mieux nos semblables. Même si c’est coton de faire le tri, détricotons ces épuisettes. Ôtons ces triques qui nous épuisent, zut ! Arrêtons de pécher à outrance. De voler leur vivres aux grands goélands, d’anéantir leurs nuits aux lents pélicans, de laisser le silence ancrer la violence des autres,. Pendant que notre humanité devient rance se désarticule, se désosse. Alors dé-saoulons : la vie est une fête qui n’est pas censée finir mal. Mettons nous dans la tête, que le poisson pourrit toujours par la tête. Tenons-bon quand nos élites se délitent. Soyons bons pour pas que ça finisse en queue de poisson Parce qu’on aimerait tant que ça s’arrête. Pour ne pas que la beauté gise, elle.
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Note intrapersonnelle
.
.
.la liberté c'est quoi
C retrouver
Le Supra de ce qu'es une forêt
Lié au verbe de la création
Le commencement n'est pas verbe
Il est une précision
Donc deux verbe de la création
Il dit. Donc je dit
Je forme.la formation
.
.
.
La joie c'est une précision
La sérénité c'est un verbe
Ma joie est sereine
C'est du supra
Oui sereine est ma joie
Peux être le verbe
Dans le supra
Le verbe de ce que tu créé
Est après ce que tu précises *...c un supra d'étude
Le verbe c'est le sujet
.objet c la décision donc
La source c'est la précision
Puisque c le commencement qui est, la source
Ramené au verbes qui est l'objet de sa décision
.
.
.
.notre intrapersonnelle
.
Noeud de Tikal
Réception du sens
Lié à deux boucle
Réception de la problématique
Lié à deux boucle
Deux boucle
La question
Et le questionnement
Ou
Le raisonnement
Et la problématique
.
La problématique c l'éveil du raisonnement
Ou du questionnement
.
.
Spirit et vérité ne sont pas le même mot
.
Aimé insuffler ruminer.supra spirit..
.
Sagesse singuliere . Les verbes de la création.supra
.
Honneurs lié à la dévotion.stress.
.
Inquiétude lié à l'angoisse.trauma.
.
.il me vint
Je suis le commencement de ne pas savoir la chance que j'ai
Des commandements originaux et talmudique qui me protège
...
Le problème sa fait un peu sorcier
.
C juste le temps d'inspirer une étude
Sur les commandements
Facile d'emballer le monde
De dire je l'ai connais
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Quels sont les liens entre l’ Imaginaire et le Réel dans la perspective lacanienne ? (Alexandre Bleus)
Avant d’ aborder la structure même du noeud borroméen dont nous parlâmes à la fin du mois de mai, nous devons continuer à creuser les différentes articulations qui structure le trio R-S-I soit le trinaire Réel-Symbolique-Imaginaire. On notera que les deux registres de l’ Imaginaire et du Réel semblent à première vue s’opposer, l’un renvoyant à l’impossible à symboliser et l’autre à la sphère des représentations et des identifications mais Lacan montre qu’ils sont en réalité intrinsèquement liés et interdépendants.
Il s’agira donc ici d’interroger la manière dont Lacan conçoit cette articulation. Comment le Réel, en tant qu’impossible à saisir par le langage et l’image, vient-il perturber et limiter la construction imaginaire du sujet ? Comment l’Imaginaire, en tant que tentative de maîtrise et de représentation du monde, cherche-t-il à voiler et à contenir l’angoisse suscitée par le Réel ? Quel rôle joue le Symbolique, en tant qu’ordre du langage et de la loi, dans cette médiation entre le Réel et l’Imaginaire ?
Tentons de mettre en lumière la complexité de la pensée lacanienne et de saisir les enjeux cliniques et théoriques de cette articulation fondamentale entre le Réel et l’Imaginaire.
Chez Lacan, le Réel se présente comme une limite infranchissable pour l’Imaginaire. Si l’Imaginaire permet au sujet de se construire une image cohérente de lui-même et du monde, le Réel, en tant qu’impossible à symboliser, vient sans cesse rappeler l’existence d’un au-delà de la représentation. Il s’agit d’une dimension qui échappe à la maîtrise du sujet, un noyau de résistance qui fait obstacle à toute tentative de totalisation imaginaire. Je pense que, d’ un point de vue topologique, le Réel est au bord de la perte de l’ objet petit a qui n’ en laisse que la trace à celui qui, de part son entrée dans l’ ordre symbolique, est à jamais séparé de lui. Le sujet n’ est plus que sous l’ autorité de la logique qui articule un Réel devenu invisible.
Le Réel, cependant, se manifeste de différentes manières, notamment à travers l’angoisse, le traumatisme, ou encore la jouissance. Ces expériences, en mettant le sujet face à un manque fondamental, à une perte irréparable, viennent fissurer l’illusion d’unité et de complétude offerte par l’Imaginaire. Elles révèlent la fragilité de la construction imaginaire du moi et renvoient le sujet à une dimension d’existence qui le dépasse, une altérité radicale qui ne peut être intégrée à son image de soi : c’ est à dire à une faille permanente qui est de l’ ordre de l’ irreprésentable.
Ainsi, le Réel agit comme un rappel constant des limites de l’Imaginaire : il est au bord de celui-ci ! Il vient perturber la cohérence du monde imaginaire du sujet, le confrontant à l’impossibilité de tout symboliser, de tout maîtriser par le langage et l’image. Cette confrontation au Réel est une expérience déstabilisante mais elle est aussi essentielle pour le sujet, car elle lui permet de prendre conscience de sa propre finitude et de la dimension tragique de l’existence humaine. Le Réel est le rappel permanent de la contingence, de l’ immanence et de la finitude du sujet qui n’ est que dépendance à l’ être du Réel. On se croirait presque ici dans l’ ordre d’ une démonstration de l’ Aquinate…
L’Imaginaire, chez Lacan, ne se contente pas de construire une image du moi et du monde. Il fonctionne également comme un mécanisme de défense contre l’angoisse suscitée par le Réel. Face à l’impossible à symboliser, à l’insaisissable, l’Imaginaire tisse un voile de représentations, d’illusions et d’identifications qui permet au sujet de se protéger de l’expérience déstabilisante du manque et de la perte. L’ angoisse n’ est-elle pas générée par ce qui ne peut point se figurer ? Cette tentative de voilement du Réel par l’Imaginaire se manifeste de multiples façons. Le sujet peut par exemple se réfugier dans des fantasmes, des idéalisations ou des identifications narcissiques pour maintenir une image cohérente et valorisante de lui-même. Il peut également chercher à combler le manque fondamental par la consommation, l’accumulation de biens ou la quête de reconnaissance sociale. Cependant, ce voilement n’est jamais totalement efficace. Le Réel, en tant qu’impossible à symboliser, ne peut être entièrement contenu par l’Imaginaire, et ce, pour des raisons toujours et encore topologiques. Il revient toujours hanter le sujet, sous la forme de symptômes, d’angoisse ou de répétitions. Ces manifestations du Réel viennent rappeler l’échec de la tentative de maîtrise imaginaire et renvoient le sujet à la dimension irréductible de l’inconscient. Oui, le Réel vient toujours se replacer au même endroit !
Ainsi, l’Imaginaire, tout en cherchant à voiler le Réel, révèle paradoxalement sa présence.
Venons en maintenant au symptôme qui, dans la perspective lacanienne, occupe une place privilégiée en tant que point de rencontre, voire de collision, entre le Réel et l’Imaginaire. Il se présente comme une formation de l’inconscient qui échappe à la maîtrise du sujet et résiste à toute tentative de réduction à une signification univoque. En tant que manifestation du Réel dans l’Imaginaire, il révèle l’échec de la tentative de voilement du Réel par l’Imaginaire. Il signale la présence d’un manque, d’un impossible à symboliser qui fait retour dans la vie du sujet, perturbant son équilibre et sa cohérence imaginaires. Le symptôme, en ce sens, est un rappel constant de la dimension irréductible du Réel, de ce qui résiste à toute intégration symbolique. Cependant, le symptôme n’est pas seulement un signe de souffrance ou de dysfonctionnement. Il peut également être vu comme une tentative de solution, une formation de compromis qui permet au sujet de maintenir un certain équilibre psychique face à l’angoisse du Réel. Le symptôme, en tant que formation de l’inconscient, porte en lui une signification, un message chiffré qui renvoie à l’histoire singulière du sujet et à ses conflits psychiques. Freud y faisait déjà allusion dès ses premières oeuvres : le symptôme comme langage codé soit comme métaphore.
La cure analytique, dans cette perspective, vise à déchiffrer le sens du symptôme, à traverser la dimension imaginaire pour accéder à la vérité du Réel qui s’y manifeste. Il s’agit pour le sujet de reconnaître la part de Réel qui l’habite, d’accepter les limites de sa maîtrise et de se réconcilier avec la dimension de manque qui le constitue.
Dans notre prochain article, nous serons évidemment amené à nous exprimer au sujet des rapports entre le Symbolique et le Réel. A très bientôt !
(https://www.alexandre-bleus.org/quels-sont-les-liens-entre-l-imaginaire-et-le-reel-dans-la-perspective-lacanienne/)
Alexandre Bleus
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Crush or not Crush?
Chers lecteurs,
A quoi reconnait-on un crush ? Un vrai je veux dire.
Un ami m'a posé la question ce matin au téléphone.
Ma réponse?
"Tu ne peux pas vraiment l'expliquer à vrai dire, tu le sais c'est tout. Y'a de l'électricité dans tout ton corps, tu te sens attiré par cette personne comme par un aimant, c'est magnétique"
Logique donc que ça n'arrive pas à chaque rencontre.
Ou le monde serait électrisé en permanence !
Je le sais d'autant plus qu'hier, j'avais un premier date à la maison, qui n'était pas mon crush.
Un grand jeune homme large d'épaules, brun, les yeux noisette, la mâchoire carrée et un sourire des plus charmants, Hugo.
De bonnes manières, un contact fluide, une conversation drôle et captivante qui m'a poussée à accepter de le voir dans la foulée de notre match Tinder.
Le programme: une soirée chill devant Harry Potter avec tisanes et plaid.
Dresscode: ton plus beau jogging.
"Je te ramène quoi?" m'écrit-il
Je lui indique des pop corn, "Ah et tes bras, indispensable pour les câlins" et faute de les avoir trouvés (les pop corn, pas ses bras) il a débarqué avec la moitié du rayon confiseries, et une bouteille de Get "Je voulais te prendre de la tequila, mais ils n'en avaient pas".
Je ris, il a compris que ma jumelle maléfique, "Maria", sortait généralement après un shot de tequila.
"Nan mais par pour ce soir, pour plus tard" se justifie-t-il quand je lui rappelle le thème de cette soirée "tisane".
Il m' a sorti son plus beau pyjama/jogging, et je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rire en le voyant arrivé.
Rien de "fou" mais quand même, un pantalon de pyjama Ralph Lauren, un sweat à capuche assorti.
Monsieur a du goût. Mais ça reste un pyjama.
"Et je suis allé faire mes courses comme ça vois-tu! Le pire c'est que j'étais pas le seul en pyj, tu vois que les gens sont déprimés en ce moment quand tu regardes autour de toi en faisant tes courses".
En même temps ça fait deux semaines qu'on a pas vu le soleil à Bordeaux.
Armée de ma bouilloire, je lui laisse choisir son thé préféré et l'invite à prendre place sur le canapé d'angle.
"C'est la première fois que je fais un date pyjama" me dit-il
"Et qu'en penses-tu?" lui souriais-je
"Franchement détente!" rit-il
C'était le projet.
On parle un peu avant d'embrayer sur le premier DVD, qui me demande une recherche spéléologique pour rebrancher les bons câbles à la TV.
"C'est un peu comme le jeu des chemins A/B/C/D derrière les boites de céréales quand on était petits" m'encourage-t-il
"C'est exactement ce à quoi je pensais! Sauf que je me débrouillais mieux avec les boites de céréales, l'enfer ces câbles, tu vas me prendre pour une blonde" riais-je
"Mais nan, tu t'en sors très bien" me répond-il d'un ton rassurant
Il ment, mais c'est gentil.
Une fois ce sac de noeuds dépêtré, je reprends place en face de lui, à une distance qui se veut "respectable", ni trop près, ni trop loin, et on entame une conversation qui reste légère, sur nos expériences Tinder, la société, les jeunes qui la gâchent, l'AI, et nos dernières soirées.
"Je viens juste de télécharger l'appli en fait, t'es la première personne que je rencontre dessus" m'avoue-t-il
"Jackpot du premier coup du coup" riais-je
"Clairement!" me sourie-t-il
A bien des égards je me retrouve en lui, en termes d'humour, tous les deux adeptes du jeu "Titre", de références aux années 90, et même d'école de commerce, du coin où on a grandi l'un et l'autre, vers St Emilion dans la pampa bordelaise au milieu des vignes (mon havre de paradis), ou sur ses origines andalouses, tout comme les miennes.
C'est quand même assez dingue.
On s'arrête sur "The Mask" pour démarrer cette soirée films/plaid avant d'embrayer sur Harry Potter, et je prends place dans ses bras, sous mon incroyable plaid duveteux.
Il me caresse le bras et se saisit timidement de ma main gauche pour l'entrelacer dans la sienne.
J'ai l'impression d'avoir de nouveau 17 ans.
Nos premiers dates, innocents, bon enfant.
Je sens son souffle chaud dans mon cou, qui provoque une réaction en chaîne sur ma peau, comme à "l'écoute".
L'on continue à rire, tout le long du film, des clichés des années 90 dont les méchants chauves avec des queues de cheval, du talent incroyable de Jim Carrey, et de tous ces codes qui sont propres à notre génération.
Bien installée, je pose ma tête en arrière contre son torse, et il dépose un baiser sur le haut de mon crâne.
Un geste qui peut paraître insignifiant, mais qui pour moi est un signe de bienveillance et de protection.
Il ne sait rien de mon passé. Des épreuves. Des cicatrices. Des traumas.
De combien de fois j'aurais du mourir déjà si Dieu ne m'avait pas protégée.
Et je ne sais rien du sien non plus.
Ce qui donne une toute autre dimension à ce moment de découverte passés ensemble.
Une certaine légèreté, une nonchalance joviale, dirais-je.
Littéralement comme si nous étions de nouveau deux ados, encore relativement épargnés par la vie, "nus" de marques.
Et je ne saurais vous dire à quel point ça m'a fait du bien de relâcher la pression, d'oublier tous les tracas du quotidien, et de prendre une profonde inspiration avec lui, sans craindre quoi que ce soit.
Une véritable cure de jouvence.
Comme de se présenter sans artifices ou apparat d'aucune sorte lors d'une première rencontre.
Jogging short, nattes, ma peau est douce et parfumée mais elle est nue.
La dernière scène du film défile devant nos yeux, enlacés l'un contre l'autre, et ma respiration s'accélère.
Jim Carrey embrasse passionnément Cameron Diaz, et j'y vois un signe de faire face à mon date.
Alors je pose mes lunettes de vue sur la table, et me retourne doucement pour le regarder.
Il a compris, mais il semble hésitant, de peur de me manquer de respect d'une façon ou d'une autre.
C'est vrai que j'avais été claire sur l'annonce du programme de la soirée, et il n'était pas question de "se choper".
Et je trouve ça d'autant plus touchant, cette candeur et cette retenue.
Alors je me lance, et me rapproche doucement de ses lèvres, maladroitement jusqu'aux 90% du chemin, la respiration haletante, avant qu'il ne fasse les 10% restant et ne se décide à saisir cette opportunité et m'embrasser.
Il a une barbe de 3 jours et son baiser est aussi maladroit que mon approche, le souffle court, il caresse ma joue de la paume de sa main, saisit mon visage et vient poser ses lèvres sur les miennes.
Je le saisis à mon tour, et lui rends son baiser avec plus de fougue quelques secondes avant de mettre le second film.
"Ahhhh Harry Potter! Ca faisait longtemps" sourie-t-il
On a les mêmes références, et on se partage nos meilleurs "memes" sur ces films, à mourir de rire.
Ayant retrouvé ma place dans ses bras, les jambes balancées contre le dossier du canapé, on peut difficilement être plus au calme que ça.
Sans alcool, notre vision est sans surprise plus claire, plus aiguisée, et les choses se font pourtant tout aussi naturellement.
Je laisse courir mes ongles dans sa nuque, puis dans ses cheveux, à mi-chemin entre le massage et les câlins, et je peux le sentir frissonner de plaisir à mon contact.
Alors je me retourne, avec un air de malice, et me niche dans sa nuque avant de l'embrasser de nouveau, avec plus d'agilité cette fois.
Lui comme moi, on prend nos marques "Paso a Paso".
Ce baiser est plus passionné, plus fluide, et il me susurre:
"On devrait arrêter là non? tu m'as dit que tu ne voulais pas et là je commence à ne plus en pouvoir"
J'ai dit ça, effectivement.
Mais je n'ai pas envie que ça s'arrête, j'ai besoin de ça.
De ce moment d'insouciance, de naïveté, quand bien même mon crush est toujours dans un coin de ma tête.
L'énergie n'est pas la même.
Avec Arnaud (le crush en question), c'est devenu profond très vite, on a passé quatre heures à se parler des choses les plus importantes de nos vies, de nos parcours, des plus douloureuses aussi, et notre premier baiser était tout bonnement électrique.
Je m'en souviens très bien.
Assis face à l'autre sur les chaises de ma table à manger, engagés dans notre conversation, très peu de contacts avaient été effectués.
Une légère distance de respect qui disait “je ne suis pas là pour ça”
Un genou effleuré, tout au plus, et un compliment sur la robe que je portais.
Mais la tension était palpable.
Ca petillait d’etincelles dans tous les sens.
Il avait ramené une bouteille de mon cépage préféré, et en me levant pour aller regarder l'étiquette sur le bar derrière nous, il en a profiter pour entourer mes jambes de ses bras, toujours assis, comme pour me ramener à lui.
Ayant franchi cette dernière distance, il s'était élancé à la conquête de mes lèvres sans doute aucun, et j'ai senti mon coeur prêt à exploser dans ma poitrine à la seconde où il l’a fait instinctivement.
Après ça on ne s'est plus lâchés.
Hypnotisés l'un par l'autre.
L'atmosphère était complètement différente de mon date d'hier.
Que s'est-il passé avec ce jeune-homme ? me demanderez-vous, à juste titre.
Eh bien je pense que justement, ce sentiment de "crush", ce feeling prenant, implique une toute autre profondeur.
Un risque bien réel.
Celui de retomber, et d'avoir mal.
Venant d'essuyer la tempête Pierre, disons que ma garde était remontée à bloc, et que la journée de décalage horaire pour répondre à l'un de mes messages est très mal passée.
Ce qui a stoppé net notre progression vers la terre mystérieuse du "peut-il y avoir plus que ça entre nous?".
Bref - revenons à nos moutons.
Hugo.
Sans rentrer dans les détails, je peux toutefois vous dire qu'il savait parfaitement ce qu'il faisait, et que j'ai remercié le ciel pour ce cadeau de dernière minute.
Parcourant mon corps de ses lèvres, il semble essayer de retenir mes courbes par coeur pour les redessiner dans sa tête plus tard.
Quelques instants plus tard...
De nouveau lovée dans ses bras, il dépose de petits bisous dans le creux de ma nuque, à découvert, et je frissonne à mon tour.
Il m'entoure de ses bras, sous ce plaid, et alors que l'orage fait rage dehors, je sombre peu à peu pour basculer dans ceux de Morphée, étonnement apaisée.
A la fin du film, il me réveille tendrement avec des caresses en chuchotant: "On va se coucher?"
Bien évidemment, tempête et soirée oblige, je lui avais dit un peu plus tôt que s'il voulait rester c'était OK pour moi, mais qu'il parte ou qu'il reste m'était complètement égal à dire vrai.
A savoir que dormir avec quelqu'un, en ce qui me concerne, c'est quelque chose de relativement compliqué.
Ayant été agressée quelques années auparavant par un ex légèrement "psycho" pendant mon sommeil, ses mains autour de ma gorge pour mettre fin à ma vie, j'ai mis énormément de temps à pouvoir me remettre de ça et baisser suffisamment ma garde pour pouvoir m'endormir et accepter cet état de vulnérabilité.
Tout un travail de lutte contre le stress post traumatique.
Pour Arnaud, c'est moi qui lui avais demandé de rester dormir avec moi, je ne voulais pas qu’il parte, je voulais profiter de notre bulle toute la nuit, et ça vous montre bien l'implication de mon côté.
Et pourtant j'ai passé une bien meilleure nuit de sommeil avec Hugo qu'avec Arnaud.
Pourquoi? me demandez-vous, intrigués
Eh bien avec ce dernier, je sentais quelque chose bloquer de son côté une fois allongés l'un contre l'autre dans ce calme absolu. Comme si il ne voulait pas totalement se laisser aller, une sorte de réserve que j'ai ressenti immédiatement.
Hugo n'en avait aucune.
Il était là, allongé à côté de moi, le plus naturellement du Monde, à me prendre dans ses bras et caler ma tête contre son torse, comme si on se connaissait depuis toujours.
Sans stress, sans peur.
Sans avoir à se coller toute la nuit, il y'avait toujours un petit geste positif de tendresse de l'autre côté, et j'ai vraiment bien dormi.
Le réveil s'est fait tout aussi facilement, et avant de partir il m'a enlacée une dernière fois avec un:
"Je t'écris dans l'après-midi, j'ai un repas de famille à midi "
No problemo.
Bien évidemment, ce serait vexant après ce genre de soirée de ne pas avoir de nouvelles, mais sincèrement, n'attendant vraiment rien de cette relation - ça ne me stresse aucunement, dans le sens où je ne sais même pas si moi j'ai vraiment envie de le revoir.
Ce serait pour un "plan", et ça ça n'a jamais trop été mon truc.
Dieu sait que les possibilités ne manquent pas de ce côté là, du hockeyeur à l'aventurier aux abdos de rêve, ce côté "Kleenex" de se servir de quelqu'un pour un plaisir ponctuel m'a toujours posé problème.
Pas par peur de m'attacher, bien au contraire.
Par peur de me détacher tellement de ce qui compte plutôt dirais-je...
Notre énergie est précieuse, et nous n'en avons qu'une.
De l'éparpiller à tour de bras pour des relations qui ne vous apporteront rien plus qu'un court moment de décompression, vous éloigne d'autant plus des personnes qui mériteraient la peine de se la voir investir.
C'est fou quand même la vie.
Le mec est magnifique, cultivé, drôle.
On vient de passer une soirée "retour en adolescence" sans alcool au top, sans efforts, sans pression, instinctivement relaxante, et je ne ressens pas du tout le besoin d'y réfléchir à deux fois.
Comme si ça c'était décidé instinctivement, dès qu'il a franchi la porte de chez moi.
"Nope"
Voilà la différence je pense entre un crush véritable, et un date tout bonnement bien passé.
Le rush et le stress qui en découle, la prise de risques, l'attirance à 360 degrés d'une personne à une autre.
Tous ces facteurs peuvent faire peur, mais là où il y'a un risque il y'a aussi une possibilité de gain considérable en face.
Peu importe le temps que ça dure.
Quelque chose s'est passé.
Une connexion s'est faite.
L'envie irrépressible de voir son nom s'afficher sur l'écran de votre smartphone même si c'est juste pour vous envoyer une connerie.
Rire ensemble de tout et de rien.
Peut-être qu'au final, pour que tout se passe sans accro il faudrait mettre une dose de décompression dans sa relation à son crush pour voir si le courant est réellement électrique, ou si vous avez juste mis les doigts dans la prise !
Marie
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diabolik lovers: haunted dark bridal — ayato [dark 04]
——La scène débute dans une salle de classe.
Yui : (On nous a donné tellement de devoirs aujourd’hui...)
(Je n’arrive pas à me concentrer à la maison, alors je vais rester un peu ici pour travailler.)
——Ayato arrive.
Ayato : Yo ! Viens, la planche à pain, on rentre.
Yui : Ayato-kun... Je t’ai demandé de ne plus m’appeler comme ça.
Ayato : Le problème, c’est que je ne me rappelle pas de ton prénom.
Par contre, quand je te regarde, “planche à pain”, ça me vient tout seul. Genre : planche-à-pain.
Yui : … … !
(I-Ils ne sont peut-être pas très gros, certes, mais tout de même...!)
C’est Yui, Komori Yui ! Rappelle-toi en, s’il te plaît...
Ayato : Bref, qu’est-ce que tu fais, de toute façon ?
Yui : (I-Il ne m’écoute même pas...)
… Tu ne vois pas ? Ce sont les devoirs qu’on nous a donné aujourd’hui.
Ayato : Tch, sérieux !? Personne ne fait ces trucs !
Yui : Tu es l’une des rares personnes à ne pas les faire !
Ayato : Sérieux, pourquoi tu les fais pas à la maison ? Allez, viens, on rentre.
Yui : Je ne peux pas me concentrer quand je suis à la maison à cause d’une certaine personne, alors je les fais ici.
Ayato : J’ai faim. Allez, rentrons pour que je puisse manger !
——Ayato lui vole son cahier.
Yui : H-Hey ! Rends-le moi !
Ayato : Pas moyen ! Je te le rendrai une fois à la maison.
Yui : (… Il n’est pas croyable !)
… Ah ! Une jolie fille avec de gros seins vient de passer dans le couloir !
Ayato : Quoi !?
Yui : Je t’ai eu !
——Yui reprend son cahier des mains d’Ayato.
Ayato : Argh...! La peste !
Yui : Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même d’avoir été si crédule~!
(C’est toujours lui qui m’embête d’habitude, alors je peux bien lui rendre la pareille, non ?)
(Ça me donne un peu l’impression qu’on est des camarades de classe ordinaires.)
(… Ayato-kun, si tu n’avais pas été un vampire... Je me demande si on aurait pu bien s’entendre.)
Ayato : T’as du cran pour faire ce genre de chose au grand Ayato...¹
Yui : (Uhh... Il est en colère ? Malgré tout, je ne dois pas flancher !)
➛ Je n’ai pas peur ! (♥) Yui : M-Même si tu fais cette tête, tu ne me fais pas peur ! Ayato : Hmm ? Voyons voir ça. Yui : Huh...!? ——Ayato frappe ses mains sur le bureau. Ayato : Dans ce cas... Je vais devoir redoubler d’efforts pour te terroriser.
➛ Si tu veux rentrer, rentre seul ! Yui : Je ne partirai pas avant d’avoir fini. Si tu veux rentrer, rentre seul. Ayato : … … … … Yui : (J-Je l’ai dit, ça y est !) Ayato : Fait chier. Yui : Huh...!? —— Ayato frappe ses poings sur la table. Ayato : Je ne déteste pas les femmes qui ont du caractère... Mais celles qui vont trop loin m’insupportent. Yui : A-Attends... Ayato : Je vais faire en sorte que tu ne puisses plus te rebeller.
Yui : Kya...!
——Ayato défait le noeud de l’uniforme de Yui.
Yui : A-Ayato-kun !?
Ayato : Tu ne veux pas rentrer, j’ai compris. Je ne peux rien y faire.
Alors je n’ai qu’à te mordre ici.
Yui : A-Attends ! Il y a encore des élèves ici...!
Ayato : Qu’est-ce que tu racontes ? Regarde, il n’y a que toi et moi ici.
Yui : I-Il y a des gens dans le couloirs... Ils pourraient nous voir...!
Ayato : C’est bien ! Ça rend les choses encore plus excitantes.
——Ayato mord Yui.
Yui : Ah...!
(J-Je ne dois surtout pas faire de bruit ! Quelqu’un pourrait entendre !)
Ayato : Haha... ton cou est sensible, hein ?
Yui : … !
Ayato : C’est ça, j’aime cette expression. Tu peux faire du bruit, ça m’est égal.
Yui : Ah... Nn...
Ayato : Hehe, hey, retire tes mains de là. Ne couvre pas ta bouche.
Yui : … C-C’est bon, j’ai compris, j’ai perdu ! Rentrons à la maison !
Ayato : Hm, trop tard.
Je me demande combien de temps tu peux tenir sans faire de bruit. Voyons voir !
——Ayato mord Yui de nouveau.
Yui : … … !
Ayato : [bruits de succion]
Yui : … Gh...
(J-J’ai vraiment mal... J’ai l’impression qu’il mord plus fort que d’habitude.)
Ayato : Haha, tu fais vraiment de ton mieux.
Yui : T-Tu n’en as pas déjà assez ?
Ayato : Haa ? Tu fais la courageuse maintenant ? Ça me donne encore plus envie d’entendre ta voix.
Yui : Kya...! M...Mm—!
Ayato : [bruits de succion]
Yui : (Ah, ma tête... J’ai la tête qui tourne...)
Ayato : [bruits de succion]
——Yui s’écroule.
Ayato : Mince. J’en ai trop bu ?
J’ai bien aimé cette situation. On devrait le refaire une prochaine fois.
Yui : (Mon corps est faible... Je ne peux plus bouger...)
Ayato : Bon, comme je suis repus, je vais rentrer. À plus, planche à pain !
Yui : Huh...!?
(Il va vraiment me laisser seule ici !?)
(C’est cruel...)
Ayato : En fait... Je n’ai pas vraiment envie que tu te fasses attaquer par un de ces vampires bas de gamme.
——Ayato se rapproche.
Yui : Hein...?
Ayato : Tu es ma proie. Ne vas pas tituber comme ça alors que tu saignes encore.
L’odeur de ton sang est dangereuse. On ne sait pas quel genre de personne il peut attirer.
Yui : (“Ne vas pas tituber comme ça”... À qui la faute ?)
Ayato : Je t’escorte personnellement jusqu’à la maison. Tu devrais te sentir honorée.
Yui : (C’est frustrant... Mais... Ce n’est pas si désagréable, pour une fois...)
(Je ne sais pas trop quel genre d’expression je devrais afficher...)
¹ Pour ceux qui n'ont pas accès aux dialogues du jeu, Ayato se réfère souvent à lui-même comme "Ayato-sama". Le suffixe -sama est utilisé lorsque l'on s'adresse à quelqu'un que l'on respecte énormément. On l'utilise notamment pour s'adresser à des divinités, ou à l'Empereur du Japon et sa famille. Il est difficile de traduire en français toutes les subtilités de ses dialogues, mais sa manière de s'exprimer est très arrogante et supérieure.
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ㅤㅤㅤ[dark 03]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ[dark 05]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ
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Elias: These girls bore me. [Snarls in irritation to Toussaint] Bring me someone different. All of them look the same to me. [Scoffs as he’s only been entertained by inexperienced 20 year olds] I want someone who knows what she’s doing. [Sticks his tongue in his cheek]
Vivien: [Is spoken to by Toussaint and is told to entertain the young heir. She saunters into La Soif, spotting him from a distance. She knows of his selfish, arrogant behavior and is usually bothered by it but doesn’t let it appear] Laisser. [Tells the girls as she stares down at him, a coy smile on her lips] Bonjour, Monsieur Elias. [Speaks charmingly] I’ve been told that you aren’t enjoying yourself. [Takes the seat next to him, crossing her legs] Why is that, Monsieur?
Elias: [Lips part as he sees her, thinking she’s exactly who he was looking for] Bonsoir, Belle. [Bites his lip as he stares at her, already feeling so much more pleased to have her] Comment tu t’appelles? [Tilts his head] You are exactly what I want. [Grips her face and leans in, staring at her mouth but he doesn’t quite kiss her yet]
Vivien: [Grabs a cigarette from her purse, lighting it before inhaling the smoke and blowing it out slowly] Je m’appelle, Vivien. [Smiles sultrily at him, drinking in his features. She gazes at the shape of his jaw and the way his eyes pierce into hers] And what exactly do you want, Monsieur? [Traces the shape of his jaw with her fingertips, surprisingly attracted despite how young he is] You want someone who knows what they’re doing, am I correct?
Elias: I want someone like you. [Growls as he looks at her] Oui. That’s it. [Bites his lip] Puis-he avoir un baiser? [Pouts] I want you.
Vivien: Many want someone like me, mon amour. [Enjoys the possessive look in his eyes, wanting to test him] Mm. If you want a kiss then take one. [Leans in as she places her fingertips over his lips before pulling back to make him chase after her. She gets off the couch and beckons him with her finger] Tell me, is it only my lips that you want? [Looks at him over her shoulder, making him follow her down the hall]
Elias: [Bites his lip and smiles as she tells him to take one. He closes his eyes and licks her mouth open before kissing her deeply] I want everything, Mon Belle. [Growls as she excites him so much] I have a suite reserved. Would you accompany me tonight, Madame? [Takes her hand and kisses her hand]
Vivien: [Takes pleasure in having him chase after her, finding amusement in it after being used to having to take care of much older men] I would love nothing more. [Speaks coyly as his kiss leaves a tingling sensation on her flesh] Would you be able to handle a woman like me? I’m not like this young little girl that you’re used to.
Elias: [Beams as she agrees, his sharp teeth showing with just how pleased he is] Oh I'll handle you, mon belle. [Bites his lip as he gets up and offers her his hand, he takes her up to the suite] I want you to know I have very specific kinks.. [Chews on the inside of his cheek as he pulls some rope from his bag] Is that okay with you?
Vivien: [Hollows her cheeks as she sees his charming smile, sensing a devilish charm in it as his fangs appear] What a lovely suite, Monsieur Elias. [Looks around and makes herself comfortable before raising a brow at him] Oh? And what might that be? [He has her attention as he grabs his bag. Seeing the rope she smiles coyly at him. She simply thinks that a young man like him is only experimenting but doesn't have all that it takes] Oui, Monsieur. You're welcome to do what you wish to me. [Saunters to him, feeling heated and curious about him. Holding up her perfect curled tresses, she turns her back to him] Would you mind getting my zipper, Monsieur?
Elias: [Beams as she agrees] The safe word is Armand. [Blinks as it’s what his mother would call him when she had enough of his behavior. He unzips her dress for her, kissing the nape of her neck]
Vivien: I'll keep that in mind. But it takes a lot to make me give in, Monsieur. [Speaks sultrily, her curiosity rising as she wonders if he knows what he's doing] Mmm. Merci. [Moans from his little kiss, becoming surprised at herself as it causes heat to run down her spine. She steps out of her dress, remaining in her lingerie before undoing his buttons] How do you want me, Monsieur? On my knees? On my back? [Lays kisses around his jaw before trailing her tongue down his throat]
Elias: [Moans softly at her kisses] On your knees. [Smiles darkly before he gets started with his rope. He binds her hands behind her and attaches them to her ankles so she can’t move] Hmm.. I like this. [His dick is already hard from seeing her tied up] Are you comfortable, belle? [Slaps her cheek before he drags his thumb down her pretty mouth]
Vivien: Oui, Monsieur. [Gets on her knees before him, her eyes locked onto his as he grabs the rope] Ughh.. [Her lips part as he binds her wrists perfectly. She starts to become more and more surprised by his skill as he wraps the same rope around her ankles] Monsieur.. [Gasps as she's completely restricted and bound. She stares at him heatedly, trying to see through his charming demeanor] Mmngh! [Parts her lips as his slap stings her perfect cheek--her body twitching in response until she whines as the rope holds her back] Not very much, Monsieur Elias. [Her little cunt clenches as she takes his thumb into her mouth, licking and sucking on it]
Elias: [Smiles at her words] Good. It’s not very fun for me if you’re comfortable. [Smirks as he watches her suck his thumb] You want a taste, don’t you, baby? [Grips her face, squeezing her cheeks so her lips are parted and spits harshly into her mouth] I’m going to use you up until you can’t take it anymore.
Vivien: [Brows furrow as his strong grip lightly bruises her face. She has no choice but to part her lips, becoming more submissive by the second] Ugh! [Moans sharply as he degrades her by spitting in her mouth. She's opens her eyes and stares at him darkly, unable to believe how soaked this man is getting her] Monsieur, don't.. [Plays into this game, sensing that he likes complete domination and resistance. She can hardly believe that he actually knows what he's doing] It's so uncomfortable, Monsieur.. [She tries to be more comfortable in her position but each time she moves the rope chafes into her wrists--even her soaked little cunt makes it hard for her to think]
Elias: [His dick is instantly harder as she pleads with him] Swallow it. [Demands as he lets her face go roughly and pulls back to undress. He takes off his jacket and unbuttons his shirt before taking it off, making her watch his movements] I’m so hard for you, Vivien. [Unbuckles his belt and unzips his pants before pushing them down and revealing his large member] I want to fill you with my cum.. your mouth, your cunt, your ass. [Laughs darkly as he pushes his tip into her mouth] God, you have a pretty mouth.
Vivien: [Obeys him as she swallows his spit, becoming stunned as she finds herself wanting to taste more of it] Monsieur.. Not in front of me. [Furrows her brows as she's forced to watch him. It slowly starts to stop becoming an act for her as her eyes follow his every move. Seeing his hardened cock beneath his pants stirs an ache inside of her] Mon dieu.. [Her mouth waters upon seeing every inch of his cock--feeling mesmerized and insatiable. Hearing his filthy words, she closes he thighs together, writhing and fighting against her restraints] Unghhh! [Groans he forces himself into her mouth. She wastes no time as her hunger makes her bob her head. Spit quickly lines her lips and makes his cock glisten as she keeps her eyes on him while her skilled mouth fucks him eagerly]
Elias: [Stares down at her as she eagerly sucks his cock, groaning as she takes him in] Mngh.. baby. [Grips her perfect blonde hair and starts to fuck her throat] Your whore mouth feels so good, Vivien. [Pulls his cock out and slaps her mouth with it] I bet your pussy is dripping for me. [Uses his foot to rub between her legs, the leather of his shoe against the lace of her panties as he stimulates her little clit] Tell me who you belong to, Vivien.
Vivien: [Slurps up her thick strings of saliva before spitting harshly on his cock, returning the favor until he starts throat-fucking her] Mngh.. Unghhh.. [Her throat constricts around his cock as she holds herself back from gagging. Cheeks remain hollow as she lets him have his way before gasping as he pulls out] Monsieur.. I've never had such good cock before. [Tells him truthfully before furrowing her brows as he defiles her further] Don't, Monsieur.. Not like this. [Her chest heaves, breasts nearly bursting out of her bra as if she's begging for his attention. She gazes down at his foot before whining harshly as he teases her cunt with his shoe] Mon dieu! Monsieur, s'il vous plait.. [Tries to move away from the tormenting sensation but the rope keeps her in place. Her thighs shake as he adds pressure to her clit] S'il vous plait.. S'il vous plait.. [Doesn't answer him as she can't think straight. She bites hard on her lower lip, involuntarily grinding on him and getting her slick juices to shine on his shoe]
Elias: [Laughs softly as she’s so desperate for him] Filthy little whore. [Lets her suck his cock a bit more as his foot continues to tease her pussy] Hm. [Suddenly stops] You’ve ruined my beautiful shoes, Vivien. Tsk. [says in a disapproving manner. He suddenly grips her by the bindings in the back and makes her lay flat on her stomach on the floor, her nose inches above the ground] Clean it up. [Places his shoe with the tip covered in her essence in front of her]
Vivien: Monsieur? [Stares questioningly as suddenly pulls away from her--adding more torment to her aching cunt as she no longer has anything to satiate her desperate self] Ughhh! Monsieur Elias.. [Gasps breathlessly as he takes the rope and handles her almost in a savage manner. Her breasts press against the floor, feet up in the air as her arms as still bound to her ankles. She's shocked to her core, unable to believe how blind she was to his charming facade] Je suis tres desolee, Monsieur.. I wasn't aware of how wet my little cunt is for you.. [Inhales the scent of her sex from the leather--but she's more intoxicated by his devilish nature. She doesn't resist as she exposes her tongue, dragging it over his shoe to where she can taste her juices] Forgive me, Monsieur.. You made me too wet. [Whimpers, clearly uncomfortable from her position but her pussy remains throbbing and aching]
Elias: [He watches in pure delight as she licks the taste of her pussy from his shoe. The fact that she obeys without protest makes him absolutely crazy and he can’t delay being inside her any longer. He grabs her again and puts her on the bed, keeping her tied up and right at the edge of the bed as he pulls out his knife and cuts her little panties open. He laughs at how wet the fabric is and how her inner thighs glisten for him] That pussy is aching for a taste of me isn’t it, Vivien? [He kicks off his shoes and takes off his pants before pulling her roughly to him and shoving himself inside her] Mngh! You’re so wet baby. [Watches her little pussy take him in] I can’t believe how much you love this. [Laughs darkly]
Vivien: Agh! [Whimpers as he handles her forcefully and roughly. Her tongue drags all over her lips, cleaning herself up as he places her on the bed with little effort] Monsieur, will you free me now? [Asks, despite knowing the likely answer. Her lips part as she sees the shiny blade, actually thinking that he'll let her go before she gasps as he cuts into the fabric of her panties--feeling the cool air kissing her overly sensitive cunt] Oui, Monsieur.. I've never been this wet before.. [Clenches her pussy as she tries to close her legs together, but in doing so she makes it more uncomfortable for herself] Monsieur Elias, s'il vous plait.. I want to know what it feels like to be used by you. [Bites her lip as he creates a side to her that she's never seen before--one that's truly submissive for a client. Feeling him tug on the rope, she moans out as he pulls her to him] Mon.. Ughhh! Monsieur! [Her entire body goes into shock as his thick cock tears into her tight cunt, ruining and satisfying her all at once] Mon dieu.. Mon dieu! [Her eyes roll back as he uses her cunt for his pleasure. She feels the rope digging into her wrists but the pain mingles with the pleasure, increasing her desperation] Merde.. S'il vous plait.. Not too much. [Begs as she almost feels too sensitive to handle him. She hears her pussy juices with his every thrust, even starting to smell their sex in the air]
Elias: [Loves the sight of this older woman begging and pleading for him. It gives him so much pleasure to fuck her pussy while she’s all bound up] You must have known I wasn’t like all of the others, belle. [Moans as his thick cock squeezes into her tiny pussy] Mm.. I want to feel something tighter, Ma Cherie. [Coos as he pulls out and slaps his swollen and slippery tip against her little asshole] Shall I take this too like you told me to take your lips? [Smirks as he pushes slowly inside, grunting at how tight she is]
Vivien: [Digs her nails into the palms of her hand as pleasure consumes her and makes her body writhe with every forceful thrust] Aghh..! Non, I didn’t expect this, Monsieur.. [Her pussy is even tighter given her restricted position that juices squeeze out of her each time he pounds into her throbbing cunt. As he pulls out she whines out of frustration] Monsieur, s’il vous plaît.. put it back inside of me. [Hisses in a more begging tone before her body tenses as he teases her tight little hole] Monsieur, don’t.. [Tries in vain to move away from him as she doesn’t allow any client to fuck her that way. She remembers the safe word but a part of her wants to be used by him] Don’t.. it will hurt.. [Moves her hips in an attempt to avoid him but his grasp keeps her in place. Hoarse noises spill out of her as his cock stretches her out, her walls tightly wrap around him as she has to adjust to the slightly uncomfortable sensation] Merde..! Monsieur slow.. Unnngh..
Elias: [Loves fucking her tight ass as she screams for him and the feeling of having complete control over her] I like hearing you scream, Ma Cherie. [Grunts as he grips her asscheeks before slapping them roughly] Tell me that you’re all mine, Vivien. [Picks up the pace, spitting on his cock as he fucks her faster] Tell me so I can fill your ass with my cum.
Vivien: [Completely forced into submission, she takes his savage thrusts almost helplessly and unresistingly--screaming and whimpering as her tight walls are sensitive to every movement] Anghhh.. Monsier, s'il vous plaït..! [Throws her head back as he leaves a stinging slap on her flesh, one that causes heat to burn through her. Her cunt seeps with her arousal, becoming more and more attuned to the pleasurable side as she adjusts to him] Ughh! [Trembles as he defiles her with his spit, secretly loving it after being so used to being worshipped and adored by other clients. She bites her lip, trying hard not to scream through his increased pounding] Je suis à vous! [Bounces her ass with what little mobility she has as she's has a desperate need to feel his cum in her and end the torment] I'm yours, Monsieur Elias! [Lipstick, sweat, and her juices stain the satins sheets as he fucks her viciously, looking like a complete whore for him]
Elias: [Pounds into her tight ass, making her take his entire length and as she gives in and completely submits he lets her have his cum] Mngh.. fuck! [Yells out, feeling completely high. He expertly releases her from her bindings and crawls to her on the bed, pulling her into his arms as he kisses her tear-stained cheeks and scratches her scalp, giving her much needed after care] You did so good.
Vivien: [HIs hips pound into her body, balls slamming against her aching pussy as her tight asshole willingly takes him inside of her. Over and over, she screams and submits herself to him--even feeling her own release rising] Monsieur, cum inside of me! [Pleads as she backs her ass into him as much as possible before crying out as his warm essence spills inside of her] Ughhh! [Trembles as she tries to milk him of every drop before it becomes too much for her that she ends up finding bliss] Ooh, Monsieur Elias.. [Her tight asshole grips his cock while juices flow heavily out of her cunt. Feeling weak and defiled, she finds relief as he frees her ankles and wrists, slumping on the bed until he takes her into his arms] Monsieur.. [Gasps as she hides her face against him, actually welcoming the aftercare after enduring the sexual torment he put her through]
Elias: [Lets her bury her face in his chest holding her and rubbing her back] Are you okay, Vivien? [Murmurs softly, his entire demeanor different]
Vivien: [Inhales deeply, trying to overcome the waves of pleasure of pain that courses through her before meeting his eyes] Oui, Monsieur.. I'm fine. [Places her hand on his chest while letting his touch soothe her. She doesn't enjoy cuddling by any means, but she finds herself welcoming this moment. Lifting her head from his chest she looks into his eyes, no longer seeing the devilish gaze he had moments earlier] Et toi, Monsieur?
Elias: Oui, I’m okay. [smiles as he gazes down at her] I’m sure I made quite the impression on you. [Laughs softly before he leans in and kisses her lipstick stained mouth softly] I want to see you again.. are you too afraid of me?
Vivien: Just okay? [Raises a brow with a soft smile on her lips] You just defiled me in every way possible, Monsieur. I deserve more than an "okay". [Closes her eyes as he steals a kiss from her, swallowing as it stirs something inside of her. She smiles coyly, lowering her eyes as he intrigues her] Whether I'm afraid or not, you can see me anytime that you wish, Monsieur. [Licks her lips, her body already feeling sore as she can't believe what she experienced with him]
Elias: [She genuinely makes him laugh, his fangs showing as he looks at her] I feel fucking amazing. [Closes his eyes and licks her mouth open again, kissing her lazily] Are you afraid? [Frowns as he pulls back, feeling guilty]
Vivien: [Finds his smile so sexy, wondering how it would feel to have him bite her before snapping out of her reverie] Bien, Monsieur. [Moans as he pries her lips apart. She kisses him back, already addicted to the taste and feel of his tongue] Quoi? [Exhales as she feels sated] Non, Monsieur. Surprised.. but not afraid. [Gazes up at him as she speaks truthfully] Seeing you that way.. excited me. I've never experienced that with a client before.
Elias: [Pulls the covers over them as he lays with her, he feels relieved as she wasn’t afraid, kissing the top of her head] Really? I would have assumed you’d seen it all.
Vivien: [Smiling deviousy, she raises a brow] Are you calling me an experienced whore, Monsieur? [Speaks teasingly] I meant that I never experienced someone who knew exactly what they were doing.. I didn't expect it.
Elias: [Bites his lip as he enjoys her sense of humor] And if I was? What would you do about it? [Leans in and playfully nips her neck] Hm. [Looks pleased] If I were to claim you as mine and pay the fees to make you exclusively mine, would you like that?
Vivien:Mmm. I would deprive you of having me again. [Hollows her cheeks as she stares at him darkly before moaning as she feels his bite--loving the sensation of it. Hearing his words, she smiles coyly] You haven't had enough of me, Monsieur? [Raises a brow in amusement. It's not usual for her to hear these requests, usually she turns clients down because she doesn't want to create any attachments] Well.. [Trails off as she makes a decision, finding it so tempting] I suppose you can set an arrangement with Monsieur Toussaint. [Leans in as she places a soft kiss on the corner of his mouth]
Elias: [Smiles as she agrees] I will arrange it then. [Cups her face] You are mine now. [Purrs as he holds her tighter, loving how tiny her frame is against his] Are you hurting?
Vivien: [Finds herself drawn to the young client, wanting to see how far he’s willing to push her. She rubs the hair on his chest before eyeing him, taking more of his possessive nature] Oui, a little sore. [Admits but secretly enjoys the pain] Have you done this with other escorts?
Elias: [Kisses her forehead, wanting to be sweet with her] Je suis desole, belle. [Scratches her scalp] There was no one I wanted to take it this far with until I saw you.. [Tilts up her chin]
Vivien: [Didnt realize how necessary it was for him to be sweet with her after what she endured with him] Mmm. How lucky for me. [Smiles coyly] I don’t usually let my clients go that far. [Eyes him as she seems to already have some sort of weakness for him]
Elias: You remembered the safe word, right? [Frowns as he eyes her]
Vivien: [Raises a brow as she looks at him curiously] Armand. [Whispers against his lips as she kisses him deeply]
Elias: [Melts as she says his middle name, returning her kiss as she makes his cock hard again] so you knew you could stop it at any time, right? [Runs his thumb over her lips]
Vivien: [Notices his hard cock but doesn't give him the attention taht it's begging for. With her fingertips, she traces his abs before scratching his happy trail] Oui, I did. [Parts her lips before welcoming his thumb into her mouth, sucking on it again] But I didn't want to stop it.
Elias: [Kind of likes how she ignores his cock] Hm.. I like that about you. [Pulls her lingerie off of her body and just holds her close] Can I have you again?
Vivien: [Presses the creamy flesh of her breasts against his chest before dipping her head to his neck, already insatiable for him] In what way, Monsieur? [Licks his neck while fingertips gently run over his hardened cock, giving it the attention he wants]
Elias: Any way you want this time. [Moans as she licks his neck] Mm.. Vivien.. I’m absolutely insatiable for you.
Vivien: Any way I want? [Eyes him darkly as she straddles him] Where’s the rope, Monsieur?
Elias: [Groans as she straddles him, feeling her pussy on his cock] It’s over there. [Nods his head, curious about what she’ll do]
Vivien: [Smiles deviously as she gets off of him and grabs the rope. She gets back on the bed, straddling him again] I think it’s time to return the favor, non? [Ties his wrists together and places it over his head, wrapping the tie around the bedframe] What would you like your safe word to be? [Teases him as she grinds her pussy over his hardened cock, leaning down to drag her tongue over his nipple]
Elias: [Beams as she ties him up, loving how she takes control] Merde.. [Bites his lip with excitement] The word will be “sanity”. [Murmurs before he moans as she teases him] Ungh.. fuck me.
Vivien: [Keeps his safeword in the back of her mind as she bites his nipple to elicit a groan out of him] Porquoi? [Tilts her head as she stares at him darkly, cheeks hollowing as she kisses her way down his body] Monsieur, look at how hard you are for me.. [Wraps her fingers around his cock, stroking him off before spitting on his throbbing head] What did you say about my mouth, Monsieur? That it was pretty? [Smacks his cock against her lips before taking him into her mouth. She tastes his cum and her juices from his flesh as she bobs her head, sucking him off hungrily]
Elias: [Whines, loving how she deprives him of what he wants already] So pretty.. [Mumbles as he watches her] Merde.. merde.. [Shivers as she sucks him off so good]
Vivien: [Her eyes are on his as she drags her tongue all over his cock, slurping her spit and his precum] Look at the mess you’re making, Monsieur. [Her pussy aches as she relishes in the sight of him restrained and unable to take her how he wants. Leaning up, she lowers herself on his cock, not taking him in yet, grinding her slick lips along his length]
Elias: [Tugs against the restraints as he wants to grab her, growling as she teases him with her pussy] I want to be inside you. [Clenches his jaw]
Vivien: [Calms him down as she leans over to kiss him on the lips] Relax, Monsieur Elias. [Reaches between her legs as she holds up his cock while lowering herself onto his tip] Unfhh.. I missed this already. [Her movements are slow as she circles her hips around the rim of his cock, clenching her walls so that it’s tight around her opening] Your cock is so perfect, Monsieur Elias.. I could take it all night. [Gives him what he wants as she sinks down on him, nails digging into his pecs as her sex is too sensitive from earlier. She rocks her hips forward and back, increasing her pace to the point where her breasts bounce]
Elias: [his chest rises and falls as he stares up at her, softening as she gives him a kiss] Ahh.. [Lips part as he moans from her wet pussy gripping his cock] Mm.. take it all night, belle. [Growls as he bites his lip to keep any more noises from escaping, especially as she quickens her pace] Merde. You feel so good. [Spits on their sexes, being a little defiant as she fucks him so good]
Vivien: [Hears the slapping noises of their flesh as she bounces up and down his shaft, roughly circling her hips at a few points to catch him off guard] Ughhh! [Trembles as he spits on her cunt, seeing the defiant look in his eyes. She takes all of his cock inside of her, groaning in bliss as he fills her pussy] You made a mess again, Elias. Tsk. [Mimics his earlier reaction as she removes herself from him, exposing his glistening cock] Clean it up. [Crawls up to him before placing her thighs on either side of his head, lowering herself as she grinds her pussy lips against his mouth]
Elias: [Growls as she stops fucking him, clipping his pleasure. As she straddles his face he spits again on her pussy before he gently bites her little clit, saying nothing as he gives her a dark look. Feeling sweet, he circles her sore little clit with his tongue before gently sucking on it]
Vivien: [Weaves her fingers through his hair, rubbing her push all over his mouth before he spits on her. She pulls his hair to punish him but as she feels his sharp teeth nipping at her clit, she whimpers and trembles] Elias! Mngh! [Almost pulls away before he seeks forgiveness with his tongue. Pouting, she lets him devour her aching pussy] Ooh.. keep being sweet, Monsieur.. [Pleads as she rolls her hips, riding his tongue before gasping once his mouth makes her clit swell with need] Don’t stop, s’il vous plaît.. I need you!
Elias: [Loves the sound of her whimper before he eagerly tasted her pussy, trying to look up at her and take in the view as he does so] Mngh.. cum on my tongue Mommy. [Snarls against her cunt before he flicks her clit with his tongue relentlessly]
Vivien: [Her eyes roll back as she completely melts from how his tongue skillfully swirls all over her swollen clit. Hearing him call her Mommy, her body loses control for him] Mngh! Oui, your Mommy is going to cum! [Rocks her hips relentlessly before her body spasms as her release shatters her] Merde.. Mon dieu! [Thighs close around his head as she trembles above him, her sex pours out of her before she moves off of him] Merde.. Mommy loves that mouth. [Unties his wrists as she drags her tongue all over her juices before biting down on his bottom lip]
Elias: [His eyes are alight with mischief as she reacts well to the name] Hm.. [Laps up the juices from her cunt as she cums for him. As she unties him, he rubs his wrists before returning her kiss and grabbing her] I want to cum in Mommy’s pussy now. [Rolls atop her and shoves his cock back inside her, rolling his hips to fuck her deeply] Mngh.. you feel so good. [Lets his spit drip into her mouth]
Vivien: [Swirls her tongue all over his before sucking on it as if it’s still not enough] Quoi? Elias, non.. [Furrows her brows, instantly regretting letting him go so soon. She tries to resist him but he’s much larger than her that she’s on her back before she can react] Elias, non.. don’t..! [Gasps as he forces himself into her still throbbing pussy. She digs her nails into his back while her eyes roll back from his movements] Ugh.. You’re so bad for raping Mommy’s pussy. [Swallows his spit, her cunt clenching as he does it. She slaps his cheek to “punish” him while grinding underneath his body]
Elias: [He loves her resistance as he slams inside her] Mon dieu.. [Hisses under his breath as she speaks the filthy words to him] Ugh! [Groans as she slaps him, holding her arms down as he pounds into her] Mm oui. I’m going to rape my mommy’s tight pussy and fill her with her son’s cum. [Laughs darkly, loving his fantasy so much as he pins her down and uses her to cum]
Vivien: [Narrows her eyes lustfully as he pins her arms down and viciously thrusts into her pussy. She fills the room with her screams and the sound of her sopping pussy] Ughhh. Don’t fill your mommy’s pussy with cum, Elias. [Scolds him, trembling as his laugh and the sinful look in her eyes makes her weak. He pounds into her savagely that her breasts bounce] Bad, Elias.. Mmngh.. [Bites his lower lip while she clenches and unclenches her cunt to tease him]
Elias: [Leans down to kiss her as he comes down from his high. He pulls out of her and lowers himself to kiss and suck at her breasts] Mngh.. I love fucking my whore mommy. [Coos as he nuzzles her breasts]
Vivien: [Narrows her eyes lustfully as he pins her arms down and viciously thrusts into her pussy. She fills the room with her screams and the sound of her sopping pussy] Ughhh. Don’t fill your mommy’s pussy with cum, Elias. [Scolds him, trembling as his laugh and the sinful look in her eyes makes her weak. He pounds into her savagely that her breasts bounce] Bad, Elias.. Mmngh.. [Bites his lower lip while she clenches and unclenches her cunt to tease him]
Elias: [Groans as she plays along, thinking she’s the perfect escort for him. He scoops some from her pussy and smears it all over her tongue and lips] You like being a filthy whore for me, don’t you, Mommy?
Vivien: [Closes her eyes as she swallows the cum that he feeds her, licking all over her lips before pulling him in for a filthy kiss] Mmm. [Forces him to tastes his cum before gazing at him heatedly. She has never felt so filthy or even played this kink before] Oui.. Mommy is a desperate whore for you. [Scratches under his chin as she stares into his deep eyes]
Elias: [Groans as she makes him taste his own cum on her mouth] Mm.. that’s right. [Sucks on her lower lip] You are mine. [Rubs her back as he hides his face in her neck]
Vivien: [Watches him as he takes her bottom lip, a weakness of hers] So possessive already, Monsieur. [Coos as she rubs his back, loving the smell of their sex in their and on him]
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Georges Seurat
Le Noeud Noir (The Black Bow)
c. 1882
Crayon on paper
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J'ai tellement de noeuds en moi que quand ils me donnent une fleur je ne comprends pas ce que c'est.
C. Bukowski
Ph Mark Arbert
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« Hégesias de Cyrène, philosophe grec du IIIè siècle avant J-C, professait à qui voulait l’entendre que tout bonheur véritable étant impossible, la mort était de loin préférable à la vie, poussant ainsi certains de ses contemporains au suicide tout en se gardant bien de céder à cette solution extrême sous prétexte que la mort et la vie étaient également indifférentes au sage. Comme un écho philosophique, Emil Cioran, lui, fut très tôt pénétré d’une certitude, celle de la vanité de toute entreprise humaine. Le fameux vers de Dante, “Toi qui entre ici abandonne toute espérance”, il le grave en quelque sorte sur le fronton du temple de l’existence. Mais là où un penseur comme Albert Caraco, apocalyptique s’il en est, décida de se supprimer dès lors qu’il estima le moment venu, Cioran refusa toujours de faire le grand saut. C’est dans son œuvre qu’il mit son suicide, œuvre qui, si elle ne recommande pas clairement ce-dernier, est marquée du sceau du désespoir absolu, auquel répond une fascination évidente pour l’esthétique de l’anéantissement. De savoir qu’on peut se tuer, voilà qui soulage, voilà qui suffit à le faire vivre un jour de plus. « Sans l’idée de suicide, je me serais tué depuis toujours » écrivait- il dans ces Syllogismes de l’amertume. Son noeud coulant à lui, c’est le désespoir qu’il n’a eu de cesse de serrer, par une pensée qui dissèque tout, autour de son être. A mesure que l’étreinte grandissait, sa lucidité maladive redoublait, pour ne laisser au final que l’essentiel à ses yeux, l’écriture, peut-être le seul népenthès qui vaille, du nom de cette boisson que bu Hélène à Troie pour oublier son pays natal et sa tristesse. Toute sa vie durant, Cioran, comme bien d’autres désespérés avant lui, n’aura tenté par l’écriture de ne faire qu’une chose: le deuil de sa naissance. »
Ariya S. (oviri7)
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MWW Artwork of the Day (2/16/20) Georges Seurat (French, 1859–1891) Le Noeud Noir (The Black Bow)(c. 1882) Conté crayon on laid paper, 31 x 25 cm. Musée d'Orsay, Paris
The technique developed by Seurat in the early 1880s was based on the use of the contrast between black and white to define forms. On the rough surface of laid paper, the crayon catches the raised areas and leaves the hollows white. The use of a very greasy Conte crayon gives the blacks a velvety quality and particularly appealing depth. Seurat used this technique to express his artistic sensitivity in a simple, grave style. He concentrated on the essential: making shapes loom out of interlocking areas of light and shade. The young woman here seems dreamy, lost in thought. She does not have the hieratic pose of the other characters in the series. Instead, a subtle play of curves gives a gentle, flowing look to this apparently fragile body emerging from the shadow. But, in the end, it is the bow which commands the drawing. Its jagged outline, unlike the rest of her costume, and its deep black irresistibly draw the spectator's eye (translated from the Musée website)
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Ma reine à ressuscité.comment c possible
Visible à nouveau sur internet.elle incarne
Des îles du dragon et des îles du diable
L'épée la corde et le sceau
.
La corde des perse.
Le noeud qui tient le char
C'est la version universelle
Le lien avec la vie
.
.
La corde de la reine himiko
.
l'Asie c la métaphore
.point final
.
C leur art
.
.
L'épée
......... Je le pensais quand je regardais des dessins d'hokusai.ma fusée
....
L'épée c l'équilibre
...mmmmm
Non
C l'acier
La forge l'étude
N'est aiguisé sa langue
Les dents gardien de ma bouche
...
L'équilibre
La lame
.....🏴☠️🏴☠️🏴☠️🏴☠️
.
C'est la version universelle
Qui est un lien avec la vie
.
Et le sceau
Que j'ai vue
De métaphores
Dans une terre de VéritéS aux pluriel
.
Le sceau
C'est nourrir
Les montagnes
Et tes montagnes sont des rois
Mais ça fait trop spirituel
.
C peut être la pensée
.
Il me vint
Pourquoi
Veux-tu monter la montagne de l'esprit
Quand tu n'en ai qu'à la pensée
.
(Tricheuse.le soleil)
.
Il me vint
La montagne de l'esprit
C le soleil
....entre Inti et Yakov
.......?
.....Yakov
La montagne de l'esprit
La paix
.
Bagarre entre dieux
Cette histoire
.
Inti
Alors
.
Reste plus qu'à épousé mama killa
.
Il me vint
Tu sais c'est quoi ton problème
C'est que tu vois toutes les métaphores
Et pour te suivre tu es comme le lapin d'Alice au pays des merveilles
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L’articulation du Réel, du Symbolique et de l’Imaginaire chez Lacan : prélude à la topologie du noeud borroméen. (Alexandre Bleus)
Continuons, chers lecteurs, si vous le voulez bien, notre périple au pays de la topologie lacanienne et, après avoir abordé deux figures centrales au sein de nos précédents articles, penchons nous un instant sur la structure qui est aussi et d’ abord le symbolique, le réel et l’ imaginaire.
Dans son exposé fondateur de 1953, “Le symbolique, l’imaginaire, le réel”, Lacan introduit la triade RSI comme cadre conceptuel pour appréhender la réalité humaine. RSI désigne trois registres distincts mais interdépendants qui structurent notre expérience du monde et de nous-mêmes. Sans compréhension profonde de ces trois concepts opératifs, on ne peut saisir correctement la pensée du maître.
Le Réel (R) représente l’insaisissable, l’impossible à symboliser, ce qui se situe hors du champ du langage et de la représentation. Il est souvent décrit comme “l’inconscient réel”, la dimension brute et chaotique de l’existence. Chez Hegel comme chez Lacan, il est irreprésentable car il est la logique. C’ est à dire la trame invisible, pour ainsi dire nouménale, qui organise la réalité.
Le Symbolique (S) est l’ordre structuré par le langage et les conventions sociales. Il englobe les systèmes de signification, les lois et les codes qui régissent notre communication et notre interaction avec le monde. Il est le champs du langage qui a définitivement altéré le rapport naturel de l’ humain au monde.
L’Imaginaire (I) est le domaine de la perception, de l’illusion et de la formation de l’identité. Il se caractérise par la relation duelle entre le sujet et l’Autre, et par la constitution d’une image de soi souvent idéalisée. Il est le lieu du fantasme car il est d’ abord le lieu des représentations.
Lacan va utiliser l’image d’un nœud borroméen pour illustrer l’articulation entre ces trois registres. Les trois anneaux du nœud sont entrelacés de manière telle que si l’on coupe l’un d’entre eux, les deux autres se détachent également. Cette métaphore met en lumière l’interdépendance fondamentale des trois dimensions : la structure de l’expérience humaine repose sur l’intrication du Réel, du Symbolique et de l’Imaginaire. On notera que l’articulation entre ces registres est complexe et mouvante. Le sujet navigue constamment entre eux, et ce,en fonction de ses expériences et de ses interactions avec le monde. Il est important de noter que cette articulation n’est jamais harmonieuse : il y a toujours une tension, une faille entre les registres, ce qui peut générer des conflits psychiques et des symptômes. D’ ailleurs, la cure analytique vise à dénouer cette articulation pathologique et à permettre au sujet de reconstruire un rapport plus harmonieux au Réel, au Symbolique et à l’Imaginaire. Il s’agit d’un processus long et complexe qui implique de travailler sur les différentes dimensions de l’expérience du sujet en tenant compte de son histoire personnelle et de ses structures inconscientes.
L’introduction de la triade RSI par Lacan a, non pas révolutionné la théorie et la pratique psychanalytiques, mais plutôt porté les travaux relatifs à la seconde topique freudienne vers un nouvel accomplissement en les rendant visibles dans l’ ordre très spinozien de la géométrie. Elle a permis de conceptualiser de manière plus précise la complexité de l’expérience humaine et d’offrir un cadre pour comprendre les processus psychiques inconscients. Cependant, il est important de souligner que la conception de RSI a évolué au fil du temps dans l’œuvre de Lacan. Il n’a jamais cessé de revisiter et d’approfondir cette notion, en explorant ses différentes facettes et ses implications cliniques.
Ainsi, avant d’ aborder en profondeur la topologie borroméenne, permettez moi de revenir encore sur cette délicate articulation entre le Réel, le Symbolique et l’ Imaginaire.
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« Hégesias de Cyrène, philosophe grec du IIIè siècle avant J-C, professait à qui voulait l’entendre que tout bonheur véritable étant impossible, la mort était de loin préférable à la vie, poussant ainsi certains de ses contemporains au suicide tout en se gardant bien de céder à cette solution extrême sous prétexte que la mort et la vie étaient également indifférentes au sage. Comme un écho philosophique, Emil Cioran, lui, fut très tôt pénétré d’une certitude, celle de la vanité de toute entreprise humaine. Le fameux vers de Dante, "Toi qui entre ici abandonne toute espérance", il le grave en quelque sorte sur le fronton du temple de l’existence. Mais là où un penseur comme Albert Caraco, apocalyptique s’il en est, décida de se supprimer dès lors qu’il estima le moment venu, Cioran refusa toujours de faire le grand saut. C’est dans son œuvre qu’il mit son suicide, œuvre qui, si elle ne recommande pas clairement ce-dernier, est marquée du sceau du désespoir absolu, auquel répond une fascination évidente pour l’esthétique de l’anéantissement. De savoir qu’on peut se tuer, voilà qui soulage, voilà qui suffit à le faire vivre un jour de plus. « Sans l’idée de suicide, je me serais tué depuis toujours » écrivait- il dans ces Syllogismes de l’amertume. Son noeud coulant à lui, c’est le désespoir qu’il n’a eu de cesse de serrer, par une pensée qui dissèque tout, autour de son être. A mesure que l’étreinte grandissait, sa lucidité maladive redoublait, pour ne laisser au final que l’essentiel à ses yeux, l’écriture, peut-être le seul népenthès qui vaille, du nom de cette boisson que bu Hélène à Troie pour oublier son pays natal et sa tristesse. Toute sa vie durant, Cioran, comme bien d’autres désespérés avant lui, n’aura tenté par l’écriture de ne faire qu’une chose: le deuil de sa naissance. »
Ariya S.
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Rapide introduction à OCAML
OCAML est un langage de programmation fonctionnelle très intéressant. Pourtant, il peut paraître un peu étrange à première vu lorsque l’on a l’habitude de langages de programmation plus classiques dérivés du C comme Python ou java. Dans ce petit article, je vais essayer de décortiquer quelques aspects du langages OCAML et pourquoi pas, vous donner envie d’essayer quelques lignes.
Pour commencer, c’est quoi la programmation fonctionnelle ?
Tout comme la programmation orientée objet ou la programmation impérative, la programmation fonctionnelle est un “paradigme”. C’est à dire un style de programmation munie de ses propres règles et conventions. Comme son nom l’indique, en programmation fonctionnelle l’ensemble d’un programme est constitué uniquement de fonctions (et d’applications de ces fonctions) au sens mathématique du terme. Il faudra donc généralement prendre soin de définir correctement ces fonctions en leur attribuant un espace de départ et un espace d’arrivée. L’une des spécificités engendrées par cette contrainte est l’impossibilité de changer la valeur des données. Typiquement, on ne pourra donc pas écrire de boucles qui mettent à jour l’état d’une variable à chaque itération. D’une manière plus générale, cela rend les algorithmes itératifs complètement inutilisables.
Mais alors, sans boucles comment écrit-on des algorithmes ?
Si vous avez déjà programmé, vous avez surement très vite compris que sans notion de répétition ou d’itération, on ne va pas bien loin en algorithmique. Or nous venons de voir que les langages de programmation fonctionnelle, dont OCAML, ne permettent pas d’utiliser de boucles. Alors comment faire ? La réponse est en utilisant le principe de récursion ! L’idée est simple, au lieu de mettre à jour au fur et à mesure une variable, on va définir des fonctions qui s’appellent elle-même. On parle de fonction récursives. D’un appel récursif à l’autre, on passera en paramètre de la fonction des valeurs éventuellement mises à jour par l’appel précédent.
Par exemple, prenons un cas très simple, une fonction qui compte les entiers de 0 à 10. En OCAML, on pourrait l’écrire comme suit :
(* compter les entiers de a à b *) let rec compter a b = if a == b then print_endline (string_of_int b) else begin print_endline (string_of_int a); compter (a+1) b end
Même pas besoin de boucle ! Toutefois, même si manipuler des entiers c'est super chouette, ça n'est pas suffisant pour écrire des logiciels entiers.
Manipuler des structures de données en OCAML
L'une des richesses d'un langage comme OCAML est la simplicité avec laquelle on peut définire des structures de données très complexes tout en les traitant très facilement. Voici un exemple introductif de manipulation de listes :
let longueur liste = let rec long liste taille = match liste with | element::autre_liste -> long autre_liste (taille+1) | [] -> taille in long liste 0
Cette exemple est plus complexe. Nous allons l'expliquer en détail. D'abord nous définissons une fonction longueur qui prend en paramètre une liste quelconque. A l'intérieur de cette fonction nous contruisons une autre fonction nommée long prenant en paramètres une liste ainsi qu'un compteur taille qui sera la valeur de la taille de notre liste. Cette fonction long est récursive, on le précise à l'aide du mot clef rec. Elle traite séparement deux cas : soit la liste est composée d'un élément suivi d'une autre liste, auquel cas on appel récursivement notre fonction long en ajouttant 1 à la valeur de la taille courrante. Ou bien nous sommes dans le cas d'une liste vide, dans ce cas il n'y a plus d'éléments à traiter et on retourne le résultat taille. Vous noterez qu'on a imbriqué deux définissions de fonctions pour pouvoir appeller la fonction récursive long avec le bon paramètre initiale 0. L'utilisateur n'a donc pas besoin de le faire, le fonctionnement exacte de la fonction longueur lui est caché.
Prenons un exemple plus intéresant encore : les arbres. Par nature, les arbres sont des structures récursives, les traiter dans un langage comme OCAML est donc particulièrement adapté.
Mathématiquement, les arbres binaires peuvent se définir de manière inductive de la manière suivante :
Un arbre est soit un noeud racine composé d'une étiquette et de deux arbres fils. Ou bien c'est une feuille dotée d'une simple étiquette :
Un Arbre :
Noeud (etiquette, fils1, fils2) ou Feuille (etiquette)
Voici un code OCAML pour manipuler des arbres :
(* construction du type inductif "arbre" representant des arbres binaires dont les noeuds sont étiquetés par un entier *) type arbre = | Noeud of int * arbre * arbre | Feuille of int (* Nombre de feuilles *) let rec nombre_feuilles a = match a with | Noeud (_, arbre1, arbre2) -> (nombre_feuille arbre1) + (nombre_feuille arbre2) | Feuille _ -> 1
Après avoir lu cette exemple, posez vous les questions suivantes :
Comment aurait-on écrit le même programme en python ?
Y'a-t-il une différence entre la définition mathématique la plus naturelle des arbres, et le programme écrit ci dessus en OCAML ?
Comment peut-on qualifier la qualité du code précédent en matière de longueur, compléxité, lisibilité ?
Je vous laisse cogiter sur ces quelques questions, des éléments de réponses ainsi que le détail du code arriveront très bientôt sur le blog ;) .
N'hésitez pas à faire des commentaires et à partager ce blog ! A très bientôt !
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