#bw: oeuvre
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thebadtimewolf · 5 months ago
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just so you know, if you learn gallifreyan, that's a sure fire way to get Vigilante's (and her siblings) hearts but if you want her (and her siblings) soul(s), you have to learn their mother's tongue.
more at 7
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hamoudablog · 5 years ago
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Vent des forêts .Iron Fist de Liu Bolin . Pièce en fonte de 3,50 m de haut et d'un poid de 10 tonnes . by mousse.annick https://flic.kr/p/2gPusWa
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nicoplab · 6 years ago
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Oeuvre...
Leica M6, Trix 400
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chloebordils · 7 years ago
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atelier - http://chloebordils.com
©chloé bordils
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fashionbooksmilano · 3 years ago
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Book of Plants
Anne Geene
Uitgeverij de Hef Publishers, Rotterdam 2021, 560 p, ills colour & bw, 17 x 21 cm, hb, Dutch/English,   ISBN 978-90-6906-053-8
euro 69,00
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With this herbagraphic work Geene continues building an oeuvre that is an expression of the remarkable beauty of the unremarkable. Her quest for specimens with various types of formations and deformations gives the Book of Plants a teratological dimension. In Anne Geene’s work, the photograph itself is rarely the focus. Taken out of their context the pictures are often no more than a registration of an inconspicuous fact. Geene’s art is all about collection, about the image in relation to other images and the ability to create new images by merging and arranging them. The result may redefine “farfetched”, adding a novel, creative and positive connotation. The Book of Plants takes you on an expedition through the microcosm of leaf, bud and flower toward branch, stem and trunk, falling in that macrocosm of grass, herb, shrub, bush and tree. A world with an immeasurable variation in colour, shape and size. Starring a superior life form, an “organic machine” that accompanies us in silence.
05/04/22
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phil1945 · 3 years ago
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Je possède un site sur des dizaines de pages en relations avec mes oeuvres inédite sur:
Google.BE (De Staerke Philippe Artiste Peintre )
merci pour votre aimable attention Préface : N’1 lettre d'introduction a la Population. ======= Monsieur les membre du forum Facebook sur les Tueries du BW, en réponse à toutes vos questions je vous renvoie respectueusement à mon Manuscrit inédit de 200 pages. Tout est expliquer en long et en large : (Les Tueries du BW sont politiques)
Mon sentiment et mes nombreuses analyses pour le moins objectivent, me laissent a penser que l’ensemble des victimes sont des purs cas indirects et que seule une personne par Tueries était réellement ciblée et exécuter.
Coïncidence pour le moins troublante puisque chacune des personnes visées dans chacune des Tueries avez, eux aussi, des contacts ou ce connaissait.
Ne surtout pas perdre de vue que pour préparer chacune de leurs attaques sanglantes dans les Tueries du Brabant Wallon, les tueurs auront mis des mois et des années pour préparer et réunir tous les éléments matériels pour arriver à réaliser chacune de leurs expéditions sanglantes dans le BW et ce, ou à chaque fois, ils auront mis tous en œuvre pour faire croire à la piste de simples prédateurs.
Je vous rappelle qu’a Overyse, Braine-l’Alleud, Alost, les tueurs commençaient toujours par assassiner les civils dans les espaces de stationnement pour ensuite et doucement… tuer des innocents dans les magasins Delhaize.
Sauf erreur de ma part, il n’y a jamais eu le moindre centime ou argent dans les parkings, alors j’en viens à poser la grande question objective : POURQUOI… OUI, POURQUOI…  Exécuter des civils dans chacun de c’est Parking et ce, en attendant chaque fois et calmement ! -, les forces de l’ordres et d’engager un genre de combat rapprocher, pratiquer uniquement par des agents des forces spéciales.
Les victimes des Tueries du Brabant Wallon sont et resteront des dommages collatéraux !
Je suis innocent et les seuls… à pouvoir encore répondre à ce genre de question qui dérangent, Ont été exécuter et ce, chacun a leurs tours dans le cadre étroit des attentats sanglant englobant les Tueries du BW.
Seuls les acteurs Judiciaires direct et indirect de l’époque, c’est-à-dire jean Dépêtre et certains Services d’enquêtes de notre Etat Belges, sont à mêmes de répondre à vos questions qui je vous assure me blesse profondément, parce que, je ne suis pas un des Tueurs du BW.
C’est pour le moins une drôle de question que vous me poser car dans le contexte actuel, cela me semble, vraiment très mal venue en 2022, pour oser, la poser à l’innocent que je suis !
Ceci-dit, des réponses, il y en a encore et partout et ce, dans l’ensemble des moteurs de recherches de GOOGLE.BE ou des enquêtes Judiciaires qui ont bien évidement, elles aussi été étouffer dans l’œuf ou encore aujourd’hui, il vous sera toujours possible… de poser cette question dérangeante… aux véritables Tueurs du Brabant Wallon ou mieux, aux autorités compétentes du pays. A votre présente question, pour avoir un tableau à large étendu d’idées, qui a ce stade sont purement hypothétiques, puisque tout aura été systématiquement étouffer dans l’œuf par la hiérarchie Belges : je vous invite à parcourir un aperçu écrit qui pourtant « et à mon grand étonnement » se trouve toujours sur Google.Be, ou vous pourrez, évaluez, analyser en votre âme et conscience et ce bien sûr, en prenant entièrement vos responsabilités sur votre propre analyse !
Pour ce qui me concerne, je tiens à préciser que depuis près de 40 ans, j’ai toujours assumé courageusement mes affirmations et différentes études écrites (et ce, uniquement par moi !-, ) sur les actes des Tueries du BW. L’ensemble de mes écrits, auront toujours été construits sur des faits matériels objective et toujours très détailler, c’est cela, qui fait toute la différence, entre ma personne et certains Médias merdiques d’une certaine presse qui n’auront eu de cessent de me mettre en cause de tous et n’importe quoi.
Il faut que vous sachiez, que je me suis toujours sentie en état de légitime défense, fasse a ce rouleau compresseur des systèmes judiciaires belges, d’autant que j’ai été inculpé seul et de façon judiciaire, dans le cadre des Tueries du BW, de manière que les véritables Tueurs du BW, puisse échapper à la Justice, ce qui automatiquement m’aura offert le droit légal et absolu d’avancer ma défense énergique, face à cette drôle de Justice à deux vitesses.
Il ait toutefois vrais que malgré mes faibles moyens matérielles et financiers,  j’aurais malgré tous, toujours agit comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, et ce, toute en disséquant minutieusement de multiples dossiers et affaires judiciaires célèbres qui  invariablement auront été étouffer dans l’œuf et bien évidement  c’est  toujours avec force que j’associe à mes présents écrits, les Enquêtes sur les Tueries du Brabant-Wallon qui jamais au grand jamais ne conduiront à l’arrestation des véritables Tueurs du BW.
Bien évidemment, il ait normal que des défauts et des qualités, j’en possède et ce, comme tout un chacun, mais une chose reste certaine, je n’ai jamais participé de près ou de loin aux Tueries du Brabant Wallon ou a un crime de sang, mais je reste réaliste et par conséquent, je garde la profonde certitude que certains Services judiciaires continueront à battent le fer rouge, sur certaines personnes faibles d’esprit, mais aussi très capables de ventre père et mère, comme Alain Moussa l’aura fait pour tenter de toucher la Prime des Delhaizes. Il ne faudrait pas perdre de vue que cet Alain Moussa aura déclarer aux journalistes et enquêteurs que l’ensemble de c’est des accusations du mois de fin décembre 2022, reposer uniquement sur la base de toucher la prime de 250 mille euros des Delhaizes.
Vous l’opinion public, je vous demande d’imaginer deux minutes ma position actuelle en 2022, j’ai presque 65 ans et voilà 40 ans que je suis méthodiquement et sadiquement persécutée par certains Services judiciaires, et ce, de toute évidence pour que les véritables Responsables des Tueries du BW puissent continuer à échapper à la Justice. Aussi longtemps que les enquêtes judiciaires feront une fixation maladive sur ma personne et par conséquents  les véritables Tueurs et Responsable des Tueries resteront totalement intouchable par la Justice.
Qui oserez encore affirmer le contraire, puisque qu’après plus 40 années d’Enquêtes judiciaires ils continuent à n’être nulle part !-, sauf sur leurs os à ronger, qui s’appelle De Staerke Philippe.
Des Individues, comme Alain Moussa, Nicolas Karafilis, Vanhemelryck, Vanhesbroucke, et les dizaines d’autres  grand mythomanes, qui m’auront accusé dans le cadre des instructions ou pas, il me paraît clair, qu’il en aura encore beaucoup qui suivront, et ce, notamment et souvent à la demande des enquêteurs de l’époque, car toujours repris par des enquêtes et Procès-Verbaux  de 1985 et 1986 et ce, de manière que cela puisse être médiatisé à toute pompe dans les milieux d’une certaine presse a scandale. Le but précis de leurs actions de sabotages est de continuer à noyer le poisson… comme ils ont l’habitude de le faire depuis plus de 40 ans.
Imaginée l’incroyable mais vrais, déjà 40 ans que les Journalistes et certains Responsables politiques et judiciaires me noircissent de la pire des façons et pour moi, il ne fait plus aucun doute cette histoire malsaine des enquêtes sur les Tueries du BW et moi De Staerke Philippe, ne feront qu’un, et ce, dans 100 ans, 400 ans ou mêmes 1000 ans, je resterais contre ma volonté le grand  point d’interrogation, puisque des centaines de livres et autres informations fausses jusqu’à la racine, continueront a ravager ma vie en poursuivant se chemin rouge de sang, de l’histoire belge et bien sûr continueront à être totalement faussées pour parvenir de continuer a blanchir ce gouvernement des années 1980  à 1985. Pour moi, cette vision cauchemardeuse de perfective de légende sanguinaire me représentant comme la réincarnation du mal pur, me terrifie vraiment et ce, au plus haut point, puisque, je ne suis qu’un être humain et par conséquent je ne sais plus rien faire de plus que de continuer à tenter de vous persuader de mon innocence, vous l’opinion Public par c’est présents écrits retraçant et reflétant mon innocence par la naissance de mon Manuscrit : LES TUERIES DU BRABANT WALLON SONT POLITIQUES.
Il faut que les Choses soient bien claires ! -, ce n’est jamais moi, mais alors au grand jamais, qui ait commencé à chercher des misères ou des poux, aux Systèmes judiciaires, car cette persécution a vraiment pris un aspect matériel et médiatique sans commune mesure avec tout ce que la Belgique aura connu, puisque les Tueries du BW, ne seront jamais élucider.
Je vous demande de remémorer la vie infernale que ce pays m’aura m’infliger contre vent et marrer, 40 années de ma vie ou je suis systématiquement disséquée et pulvériser, et ce, en continu par le biais de la presse Belges, voir même Européenne.
Déjà plus de 40 années après, ils continuent à me rendre la vie impossible. Pour ce qui me concerne, je dois admettre que je continue de passer ma vie dans les flammes de l’enfer sur terre et malgré cela, je peux vous assurer que ne cesserais jamais de me battre contre ces multiples injustices qui n’ont eu de cessent de m’écraser littéralement.
Je suis innocent et 40 années d’enquêtes judiciaires truquées m’auront conduit sur ce chemin qui m’aura été tous tracer par certains Services Judiciaires et ce, pour devenir la victime idéale, le bouc émissaire de multiples coups montés de toutes pièces dans une affaire d’État. Des noms de coupables dans le cadre des Tueries du BW, il tombe sous le sens que je n’en possède absolument pas. Par contre mes présents écrits prouvent matériellement que les Tueries du BW sont politiques.
Monsieur, je vous prie de croire à l’assurance de ma parfaite considération ============================================================
Les Tueries du Brabant Wallon sont politiques. Préface : N’2 Quand un pays, votre pays, décide de vous choisir comme bouc -émissaires, comme je l'aurais été, et ce, dans une affaire criminelle Polico-Judico-Militaires, étroitement liés aux multiples plants, sanguinaires de Politiques répressives, voir monstrueux de l'État des années 1980, vous êtes sacrifiée et je tiens à préciser que c’est  encore et toujours moi DE STAERKE PHILIPPE qui aura été choisie et jeter en pâture aux Loups... et  sacrifier ou bien évidement à partir de ce moment-là, votre vie devient forcément un enfer sur terre puisque jusqu'à ce jour du 25/12/2021 Certains Pouvoirs de l'État continuent encore et encore à inciter et payer  financièrement des malades mentaux ou indigents comme Alain Moussa pour qu’ ils lancent à travers les journaux, médias et Internet des accusations imbécile sans tenant objective sur le plan matériel ou judiciaire. Toutes ses initiatives de pressions sur certains individus, manifestement déséquilibrer du cerveau et en plus toxicomane, ne servent qu’à continuer à protéger les véritables Tueurs du BW en tentant une fois de plus de torpiller l'actuelle enquête judiciaire menée par le Parquet de Charleroi, diriger par la Juge d’instruction Martine Michel. Les faits matériels constituant mon innocence flagrante dans les faits des Tueries du  BW se caractérisent objectivement et notamment par trois Non-lieux devant trois instances judiciaires a chaque fois différente et indépendante l'une de l'autre + une analyse d'ADN sur moi et toute ma famille qui c est révélé totalement négative !!!-, avec l'ADN des véritables Tueurs du Brabant Wallon. Il me semble aussi impératif de porter à votre attention que l’ensemble des armes qui auront servie à mes hold-up « sans violences physique » auront été saisis au complet par les Services judiciaires et que sans exception aucune l'ensemble de ses armes datait d avant la guerre de 1914, /18 ou plus certainement avant la guerre 1939/45. Détail très important, car j'ai pu apprendre par les journaux que pendant les Tueries du BW, les Tueurs avaient utilisés pour tuées, un Pistolet mitrailleurs automatiques IMGRAM 9 millimètres. Il me semble aussi important de porter à votre attention que le Pistolet mitrailleurs 9 mm Ingram était + qu'impossible à trouver ou a ce procurer dans n’importe quels milieux du grand Banditisme. Les seuls est l’unique service judiciaire à en avoir eu dans les années 1985 était les SERVICES D'escadron spécial de la gendarmerie. Mêmes aujourd'hui en 2021 c’est vraiment une mission presque, voire impossible, dans trouver une seule IMGRAM 9 MM dans le milieu du grand banditisme. De 1980 à 1985 ce genre d'armes IMGRAM 9 mm et aussi sophistiquer que meurtrière, n'existait pas dans les milieux du grand Banditisme. L'enquête judiciaire aura notamment prouvé matériellement qu’à chacune de leurs attaques les tueurs du BW étaient équipés de Gillet par Balles pour mieux se protéger. Par contre, il aura notamment été prouvé matériellement que jamais, j'aurais possédé où utiliser un Gillet par balle pour les hold-up sans violence physique ou j’ai été condamné à 20 ans à Gand. Comme d’ailleurs jamais un gilet par balles n’aura été découvert chez moi ou dans mon entourage immédiat et même très lointain ! Jamais moi ou mes proches ou connaissances directes et indirect, n’aurons possédé ou porté un Gillet par balles. A l’époque des Tueries du Brabant wallon, les seuls en Belgique, à en posséder, était les Tueurs du Brabant Wallon et même la gendarmerie mobile n'en possédaient aucun. (Saul pour l’escadron spécial d’interventions) Bien évidemment juste après et à la fin des Tueries du BW, le gouvernement de l'époque débloquera Directement des sommes d'argent plus qu’astronomique pour offrir à la gendarmerie des gilets par balles, nouvelles armes et nouveaux véhicules, golf GTI, etc.... Et oui, je sais que c’est malheureux à écrire, mais c’est une vérité incontestable ! Pour que le Gouvernement de l'époque puisse débloquer des centaines de millions de francs, il fallait un justificatif très convaincant !-, et manifestement les actes sanglants des Tueries du BW, ne pouvait vraiment pas mieux tomber pour convaincre  a 1000 % le gouvernement de l'époque à devoir ouvrir très grand leurs porte-monnaie À ce sujet, j’estime très important de vous communiquer des écrits qui en fait, ne font que retracer et surtout démontrer objectivement la valeur de mes affirmations précédente. J’ai trouvé ces écrits très clairs sur le forum des Tueries du BW de Facebook et qui auront été publiés par Monsieur Léon Roufosse le 7 janvier 2022 à 18 h55. Les pistes exploitées ou délaissées par les enquêteurs 1. LA PISTE POLITIQUE : LA FIN JUSTIFIE LES MOYENS. Jean GOL estimait que la Belgique était un petit pays démocratique spécialement vulnérable aux actions terroristes et au grand banditisme. Il voulait consacrer un budget annuel de 5 milliards de francs à renforcer les forces de police et de gendarmerie. Il voulait créer six nouveaux groupes et les doter de matériel antiterroriste super perfectionné et très coûteux, copié sur le style américain. Tous ces collègues estimaient ces dépenses et mobilisations d'hommes et de matériel complètement inutiles. Dans ce contexte, il n'avait aucune chance de voir aboutir ses projets, aucun homme politiques ne voulait d'un FBI belge tout puissant. Et les années 80 virent le terrorisme apparaître en force et la terreur naître. Notre petit pays n'avait jamais eu à faire face à une telle vague d'horreurs et de Violences. Jean GOl mit immédiatement à profit la terreur et l'angoisse inspirée au public par les CCC et les tueurs fous du Brabant wallon, il se posa en champion de la lutte antiterroriste et développa enfin son ambitieux projet de répression. Il créa un nouveau peloton de surveillance, d'observation et d'arrestation, un groupe d'infiltration, il acheta de nouveaux véhicules, du matériel et des armes sophistiquées, nouveaux outils d'observation (jumelles très puissantes, appareils photo infrarouges ... ) en passant par les appareils d'écoutes téléphoniques, il fit modifier de nouvelles lois, etc. ..
Conséquences : les terroristes courent toujours, ils ont tué au moins 28 personnes et commis plus de 14 attentats impunément, blessant des dizaines de personnes et leur laissant des séquelles aussi bien moraux que physiques. Les nouveaux groupes n'ont ni empêché ces crimes ni découvert les coupables qui sont encore à ce jour impunis. Les actes terroristes des tueurs fous du Brabant Wallon feraient-ils partit d'un projet de déstabilisation de l'état, de la société, la fin justifiant les moyens... Serait-ce, un vaste complot dirigé par un ou plusieurs hommes politiques qui voulaient profiter du climat de terreur créé pour faire accepter par la population et le gouvernement le recours à des formes de luttes plus dures contre les forces subversives et faire de notre pays un état policier. Incroyable !? Plusieurs personnes n'ont pas hésité à accuser Jean GOL d'être le chef de la bande du Brabant wallon. Quand on sait quel homme courageux était notre ancien ministre de la justice et quelle brillante carrière fut la sienne, on réalise aisément que ces accusations ne sont pas raisonnables et ne reposent sur rien de sérieux. Cette piste n'a jamais été exploitée par les enquêteurs.
2. DES TUEURS VENUS D'OUTRE-ATLANTIQUE Dans les années 80, les États-Unis d'Amérique projettent d'établir une unité de force de lutte antiterroriste en Europe la « SPÉCIAL DELTA FORCE ». En Belgique, nous ne connaissons pas grand-chose de la DELTA FORCE. Ces hommes sont des « durs », ils ont commencé leur entraînement en 1977 à FORT-BRAGG, le quartier général des unités spéciales de l’armée, sous la direction du colonel BECKWITH, un vétéran de la guerre du Vietnam. La DELTA FORCE est équipée de plusieurs dizaines d'hélicoptères et appareils de transport, de plusieurs sous-marins nucléaires, d'armes hyper sophistiquées qui feraient rêver James Bond lui-même. Leur budget annuel avoisine les 1.600 millions de dollars. Les USA font miroiter à l'Europe et à la Belgique en particulier toutes les implications possibles de DELTA FORCE : élimination des terroristes, campagne d'information ou de désinformation, espionnage, etc.. Dans notre pays, ces plans américains déclenchent un tollé unanime. Les autorités judiciaires au plus haut niveau, les forces de police et de gendarmerie, la sûreté de l'État, et même l'armée ne voit pas d'un bon œil l'arrivée d'une force étrangère, puissante et rivale sur notre territoire, l'ingérence n'est pas loin, disent-ils. Ils clament bien haut que la sûreté de l'État doit être assurée par les forces nationales belges. Seule la famille politique PRL est pour. Le projet DELTA FORCE est mis momentanément en veilleuse. Il réapparaît pourtant en force en 1984. Et, en 1985, les pays européens, lors d'un communiqué commun, déclarent qu'ils sont déterminés à s'unir pour supprimer le terrorisme. En un mot les forces de police régulières, les hommes politiques conscients de leur inefficacité dans ce combat laissaient le champ libre à la DELTA FORCE. Pour prouver son efficacité, un commando DELTA FORCE aurait conduit une opération contre la caserne des Chasseurs ardennais de Vielsalm et sorti des bâtiments une trentaine d'armes. Le mystère de ce vol d'armes n'a pas encore été élucidé. Ce qui par contre est confirmé par les sources officielles c'est que l'OTAN et DELTA FORCE ont fait des exercices anti- terrorisme à Vielsalm en mai 1984 qui se sont mal terminé. L'affaire n'a été portée à la connaissance du public que début 1986. Sagement, le projet DELTA FORCE fut ajourné à une date indéterminée. Certains observateurs affirment que les pistes 1 et 2 se rejoindraient. Avant 1980, le plan américain visant à implanter en Belgique des groupes antiterroristes appartenant à la DELTA FORCE a été rejeté massivement par le gouvernement, par toutes les formes de police et de gendarmerie et par l'armée. En 1984, l'idée revient en force. La Belgique se trouve en état de choc, la terreur a atteint son comble suite à la vague d'attentats perpétrés par les tueurs fous du Brabant wallon. Elle semble toute désignée comme lieu d'implantation pour les équipes antiterroristes américaines. Les membres de la SPECIALE DELTA FORCE travaillent en civil sous le couvert de postes honorables, le plus souvent dans des entreprises privées. La manière d’agir des tueurs fous du Brabant wallon laisse à penser qu’il s’agit de personnes ayant suivi un excellent entraînement militaire ou paramilitaire.
Beaucoup d'observateurs de tout bord n'hésitent pas à affirmer que toutes ces agressions sur ces cibles sans défense, étaient autant d'actions témoignant de l’existence d'un plan d'ensemble visant à terroriser la population et les forces de l'ordre et ainsi démontrer l'inefficacité des moyens dont disposent les autorités et l'utilité de l'implantation de DELTA FORCE en Belgique. A l'époque, la société Delhaize USA connaissait de très gros problèmes avec le gouvernement et les syndicats américains qui tentaient par tous les moyens de mettre fin aux activités de Delhaize USA. Il est toutefois étrange de constater que les attentats se sont arrêtés dès que la Belgique, l'Allemagne, l'Italie et les USA aient eu signé un accord pour l'implantation de la DELTA FORCE en Europe. Rappelons-nous du Watergate et du Contra-gâte. Un second indice s'impose aux observateurs, les tueurs ont appliqué, au cours de leurs sanglantes attaques, la même technique d'assaut et de retraite offensive que les unités de DELTA FORCE lors des règlements de prise d'otage et d'intervention punitive à l'encontre des terroristes dans le désert iranien, en Italie, et à Grenade Cette piste n'a pas été prise au sérieux par les enquêteurs qui l'ont considérée comme totalement fantaisiste
3. COMPLOT POUR FAIRE CHANTER LES GRANDES SURFACES Wachenhut, une multinationale de gardiennage américaine, présente en Belgique jusqu’au début des années 80 ; entretenait des relations très suivies avec le SAC, l’ETEC, WNP et la CIA. Est-ce à cette société que JC G faisait allusion dans ses vantardises et élucubrations ? Les révélations de JC G Qui est JC G? Docteur Jekill ou Mister Hyde ?
JC G. a travaillé entre 1980 et 1989 dans différentes sociétés de sécurité et de gardiennage. En 1989, il connait de nombreux problèmes, il se met à charge de la mutuelle, puis émarge au chômage. Il trafique avec sa compagne, organise son insolvabilité et essaye de percevoir le maximum d'indemnités des organismes précités, à cette fin, bien que vivant maritalement, ils se domicilient à des adresses différentes. En 1990, l'inactivité lui pèse et se prétendant grand ami des animaux, il se fait admettre comme inspecteur bénévole à la Chaîne Bleue mondiale à Bruxelles. A peine en fonction, il réclame que la CBM mette à sa disposition le matériel qu'il estime nécessaire, soit : une voiture, un mobilophone, un répondeur téléphonique, un sémadigite, de plus il réclame des indemnités importantes pour ses frais de déplacements. La Chaîne Bleue Mondiale ne l'entend pas de cette oreille. Elle met immédiatement fin à l'activité de JC G. comme inspecteur bénévole et le met en demeure de lui restituer le matériel de propagande qu'il détient. JC G. ne l'entend pas de cette oreille, il menace de faire une campagne de désinformation Chaîne Bleue Mondiale, etc ... Finalement, il détruit le matériel, cartes postales, affiches, etc… qu'il détenait. La Chaîne Bleue Mondiale réagit en portant plainte contre JC. G. auprès du Procureur du Roi. JC. G. rejoint alors une petite ASBL de protection animale liégeoise. Sa mission : inspecter les animaux replacés chez de nouveaux maîtres et éventuellement les y conduire. Très vite, il apparaît que les motivations de JC G. et celles des dirigeants de l'ASBL sont fondamentalement différentes. Il espérait vivre sur le dos des animaux, en faire un commerce, une source de revenus pour subvenir à ses besoins personnels. Alors que les placements de l'ASBL LOVE ANIMALS est entièrement gratuit, JC. G. Encaisse et conserve de l'argent qu'il réclame aux propriétaires. Quand il est contacté pour enlever un animal, de nouveau il encaisse, sans rien dire à l'ASBL. Sans vergogne, il escroquait aussi bien l'ASBL que les amis des animaux. Une de ses relations met l'ASBL en garde : « ATTENTION ! JC. G. est un voleur professionnel très adroit. Où il passe tout disparaît, listing, carnet d'adresses, dossier matériel, etc. Avec deux complices, P.L. et R.X., la nuit, il pille les villas inoccupées. En juillet 1992, les locaux et la villa des responsables de l'ASBL LOVE ANIMALS sont cambriolés. De nombreux dossiers sont dérobés. Un des dossiers volés sera retrouvé ultérieurement chez JC G. En date du 23 décembre 1991, la présidente de l'ASBL LOVE ANIMALS avait écrit à JC G., suite à ses malversations, pour l'informer qu'elle mettait fin à son activité comme inspecteur au sein de l'ASBL. Voyant toutes les portes des ASBL de protection animale se fermer, JC G. crée alors une ASBL qu'il baptise de la moitié du nom d'une poudre à lessiver. Il recopie les statuts de l'ASBL LOVE ANIMALS, ainsi que le programme éducatif CHAÎNE BLEUE MONDIALE et LOVE ANIMALS. Pour se constituer une brochure de propagande, il recopie intégralement plusieurs pages de la revue animale bien connue ANIMAUX CONTACT. L'intervention des avocats de l'ASBL se révélera nécessaire pour qu'il cesse d'utiliser les documents en question. Actuellement, il collecte chaque semaine au marché d'Amercœur, soi-disant au profit des animaux. Il recueille des dons en espèces, matériel ou nourriture. Il ne délivre pas de quittance et les animaux ne voient pas grand-chose des collectes. Plusieurs plaintes ont été déposées à son encontre pour sa cruauté envers ses deux fillettes. Il les punissait à genoux sur une chaise, les deux bras en l'air, une brique dans chaque main. Quand les gosses avaient le malheur de vouloir baisser les bras, elles recevaient un verre d'eau en pleine figure voilà la personnalité de notre JC G. bien définie. Les tueries du Brabant wallon constitueraient d'après JC.G. une manœuvre pour faire chanter les grandes surfaces. JC. G. se vantait à tout qui voulait l'écouter, d'avoir travaillé pendant de nombreuses années comme garde du corps et transporteur de fonds pour les plus importantes sociétés de gardiennage du pays. Pour prouver la justesse de ses affirmations, il exhibait un revolver de calibre 357, canon 6 pouces, chargé avec des munitions de 38 spécial, à tête expansive. Il prétendait pouvoir à partir d'une source de chaleur desceller et sceller à nouveau les sacs contenant des valeurs qu'il transportait. Il prétendait, aussi, tout connaître sur les tueries du Brabant wallon. Il avait, disait-il, découvert la vérité par hasard. Une nuit qu'il était de service au dispatching chez un ancien employeur, il avait, en quête d'un coup facile, exploré les données de l'ordinateur de la société. Par accident, il serait entré dans un programme confidentiel, tellement important qu'après l'avoir copié, il l'avait détruit, scratché pour reprendre ses propres termes, afin qu'on ignore qu'il en avait pris connaissance. D'après. G. ses informations pouvaient lui permettre de faire chanter plusieurs personnes politiques et ses employeurs. Il s'agissait ni plus ni moins de l'organigramme complet et circonstancié des tueries du Brabant wallon, les détails des attentats commis par les tueurs. JC G. affirmait que les enquêteurs ne connaissaient que la partie visible de l'iceberg et que ces crimes. Commis étaient bien plus importants que ce qui avait été révélé, qu'il s'agissait d'un programme savamment orchestré, destiné à semer la terreur dans les grandes surfaces, afin d'obliger les directions de celles-ci, à faire appel aux sociétés de gardiennage pour assurer leur sécurité et celle de leurs clients. Les magasins Delhaize avaient été choisis comme cible principale, car ils refusaient systématiquement toutes les offres de certaines sociétés de gardiennage. Pire, la société DELHAIZE avait le projet de former elle-même ses inspecteurs et agents de sécurité. Le système imaginé était en fait très simple. Après une vague d'attentats destinés à créer un climat psychologique favorable, les sociétés de gardiennage et de sécurité présenteraient aux grandes surfaces un très coûteux projet visant à assurer une protection complète sans faille, destinée à protéger les installations et la clientèle contre tout acte de grand banditisme. Élucubrations d'un vantard ? Certaines sociétés de gardiennage font preuve d'une organisation paramilitaire et seraient parfaitement capables d'organiser des opérations commandos. Les dirigeants de ces sociétés qui devraient être irréprochables ont parfois un casier judiciaire chargé. *J'ai pris personnellement contact avec la direction de la société citée par JC.G, afin de connaître leurs commentaires sur les affirmations de celui-ci. L'administrateur principal s'est révélé très nerveuse. Il me déclarait ne pas connaître personnellement JC. G., ne pas avoir l'intention de porter plainte contre lui pour diffamation, car la gendarmerie trouverait cette idée ridicule. Il valait mieux se taire, surtout n'en parler à personne... Une lettre circonstanciée adressée à la direction de la même société et les invitant à porter plainte n'eut pas plus de succès. Il est en effet risible d'envisager que les sociétés de gardiennage puissent organiser des actes terroristes dans le seul but de conclure des contrats juteux avec les grandes surfaces. Pourtant, dans le courant de novembre 1995, l'un de nos correspondants informa un agent de sécurité employé par une de ces sociétés que notre magazine contait  publier un article très complet sur les tueurs du Brabant wallon et lui demanda son opinion sur les allégations de JC. G. Sa surprise fut grande de l'entendre déclarer : « J’en sais beaucoup sur ce sujet, mais je ne veux pas en parler, je perdrais mon emploi et risquerais de me retrouver avec une balle dans la tête, je me limiterais à dire que ces affirmations sont tout à fait exactes. Mais je ne répéterais cela ni devant témoins ni devant la justice, je nierais tout si vous vouliez vous servir de mon témoignage et je vous conseille de ne jamais écrire cet article si vous tenez à votre tranquillité. Tout ce qui précède a été signalé à la police. A notre connaissance, ni enquêtes ni vérifications n'ont été ordonnées. 4. LA FILIÈRE BORAINE. En 1983, Michel COCU, Michel BAUDET, Jean-Claude ESTIEVENANT, Josiane DE BRUYN et Adrien VITTORIO sont arrêtés et accusés de plusieurs méfaits commis par la bande du Brabant wallon. Quatre d'entre eux sont arrêtés à Mons, haut lieu du Borinage, c'est pourquoi on parle de filière boraine. Au terme de longs et éprouvants interrogatoires, certains d'entre eux avouent n'importe quoi, pour se rétracter le lendemain. Le dossier des Borains se désagrège lentement mais sûrement. Après des mois de détention préventive, les prétendus terroristes sont rel��chés les uns après les autres. Le dernier sort de prison le 22 mai 1985. Ils sont à nouveau arrêtés en 1986. Au début de l'année 1988, le procès de la filière boraine s'achève en queue de poisson, l'emploi du temps et les alibis des inculpés ont été minutieusement vérifiés, et ne peuvent être réfutés. On ne parviendra pas à prouver leur culpabilité, bien au contraire l'enquête établira clairement que COCU et consorts étaient bien incapables d'organiser des coups de mains « style commando professionnel ». Il semblerait que la justice se soit acharnée, faute d'autre piste sérieuse, sur la filière boraine afin d’apaiser l'opinion publique. La seconde arrestation des Borains en 1986 qui semble avoir été opérée sans éléments nouveaux prouvant leur culpabilité tendrait à prouver que les enquêteurs se refusant à admettre leur impuissance à arrêter les vrais coupables se sont inconsciemment acharnés à trouver les seuls inculpés en leur possession coupables. 5. LE RÉSEAU INTERNATIONAL. Trafics d'armes vers le Moyen-Orient, filière libyenne, libanaise, algérienne, Camps d’entraînement du Colonel KHADAFI Il y a quelques jours, notre nouveau ministre de la Justice a annoncé que les nouvelles pistes (?), un trafic d'armes vers le Moyen-Orient et une victime reconnaissant le regard d'un tueur dans un local de gendarmerie, seraient exploitées. Ce communiqué n'a pas manqué de surprendre toutes les personnes qui suivent ce dossier depuis le début. Car chacun sait que très rapidement, l'enquête de la BSR de Wavre avait établi l’existence de liens entre un trafic d’armes et de drogue et les ..... Tueurs du Brabant wallon. La BSR de Wavre était en effet intimement persuadée que les terroristes faisaient partie d'une organisation internationale dont les agissements visaient à déstabiliser les états occidentaux. Cette piste n'est pas sans intérêt. Entre 1983 et 1985, la 3e section info de la BSR de Wavre a rédigé une série de rapports confidentiels établissant de manière formelle les relations existantes entre les tueurs du Brabant et les milices phalangistes chrétiennes, qui se procurent leurs armes grâce à un immense trafic de drogue. Y seraient impliqués, des trafiquants d'armes et de stupéfiants belges et étrangers dont les motifs seraient tout à la fois financiers et politiques. En 1988, les enquêteurs se sont intéressés à une filière algérienne. Ils avaient appris que depuis 1982, un mouvement militaire et politique intégriste, avec l'aide de l'Iran et de la Lybie, voulait refaire de l'Algérie un état islamique fort. Ce mouvement d'opposition algérienne avait également le projet d'affaiblir l'Europe et les pays capitalistes. Des mercenaires belges, français et hollandais auraient été recrutés et après avoir suivi une formation très poussée en Lybie, auraient été envoyés en Europe pour différentes opérations terroristes, dont les tueries du Brabant, wallon. Une rumeur semblable circulait également dans certains milieux dits bien informés sur des mercenaires destinés à terroriser la Belgique (pourquoi la Belgique ?) et engagés à cette fin par le colonel KHADAFI. Les recrutements de mercenaires pour KHADAFI, la Lybie, le Liban ou l'Algérie paraissent être encore une des nombreuses aberrations du dossier des tueurs du Brabant wallon. Pourtant, il est établi de manière formelle qu'en 1982, l'ambassade de la Lybie recrutait des mercenaires. L'enquête n'a pu établir à quoi ils devaient être employés. 6. QUAND LES REPRÉSENTANTS DE L'ORDRE VIRENT À DROITE ET DEVIENNENT GANGSTERS OU TERRORISTES. Attentat contre le major Vermaillen Dans le livre "Le dernier mensonge", Robert Beijer prétend être l’organisateur de l’attentat contre le major Vermaillen (page 65 à 72, Attentat Vermaillen). Des coups de feu dans la nuit. Dans la nuit du 25 au 26 octobre 1981, le major de gendarmerie VERNAILLEN se fait reconduire chez lui à AFFLINGEN - HEKELGEM. Son chauffeur, le gendarme VIVILLE a sollicité de son supérieur l'autorisation d'utiliser sa voiture privée, afin de pouvoir rentrer chez lui immédiatement après et éviter ainsi de devoir reconduire la voiture de service à la gendarmerie. Chemin faisant, ils aperçoivent une R4 de la gendarmerie rangée sur le bord de la chaussée, non loin du domicile du major. Vers 00h15, on sonne chez les VERNAILLEN. Le major et sa femme se dirigent ensemble vers la porte, ils n'ont pas le temps d'ouvrir, la porte est criblée de balles. Les munitions utilisées sont des balles très rares et très spéciales, utilisées seulement par l'escadron spécial de la gendarmerie. Deux d'entre-elles ont atteint VERNAILLEN dans le dos et aux bras. Son épouse a été touchée aux intestins, au foie et aux bras. Ils sont vivants. Ils survivront tous deux mais conserveront un sérieux handicap. *La voiture des agresseurs, une Mazda 626, immatriculée EBP 659, est rapidement retrouvée par le gendarme MADANI BOUHOUCHE. Elle avait été volée quelques jours auparavant. Elle appartenait à un espion arabe du nom de FAEZ-AL-ALJJAZ, ami politique de VAN DEN BOUYNANTS. D'après la rumeur FAEZ-AL-ALJJAZ trempe aussi dans un trafic d'armes et de stupéfiants, son nom apparaît dans le dossier de la filière libyenne et dans le dossier PIRON. En ce qui concerne la R4 entrevue, elle fut elle aussi rapidement identifiée, elle appartenait bien à la gendarmerie, mais tous les feuillets de route du mois d’octobre avaient disparu. Vol à l'armurerie DEKAISE. L’armurier Daniel DEKAISE est content de lui, il vient de concevoir un silencieux très perfectionné destiné à équiper des fusils mitrailleurs. Cette invention, encore top secret, intéresse vivement les ministères de la Défense nationale et de la Justice, auxquels l'inventeur le leur a proposé. Seuls quelques hauts fonctionnaires, pouvant se compter sur les doigts de la main, sont au courant. Pourtant, le 30 septembre 1982, Daniel DEKAISE reçoit, dans son armurerie située rue de Bruxelles à Wavre, une visite pour le moins inattendue. Deux hommes armés et portant une cagoule surgissent d'une VW Santana de couleur bleue. Ils malmènent les clients présents, les obligent à se coucher sur le sol et les tiennent en respect. Ils choisissent un grand nombre d'armes, pourtant ils ne semblent pas satisfaits et continuent à fouiller l'armurerie. Au moment où ils découvrent les fusils mitrailleurs équipés du prototype de silencieux, l'un d'un s'écrit « Voilà enfin ce que nous cherchons ». Aussitôt, ils se dirigent vers la sortie non sans avoir tiré sur Daniel DEKAISE, le blessant sérieusement à la tête. Le soir même la VW Santana est retrouvée à Watermael-Boitsfort, elle avait été volée quelque temps auparavant en Suède. Les enquêteurs sont persuadés qu'elle a déjà servi dans la nuit du 13 au 14 août pour le cambriolage sanglant de l'épicerie PROT, place des Nations, à Maubeuge. BULTOT, l'ex-directeur de la prison de Saint-Gilles affirmera qu'il avait reçu les aveux d'un des auteurs de cette agression. Il s'agissait d'un détenu mesurant plus de 1 m 95 qui avait séjourné dans son établissement pénitentiaire. Le groupe Diane cambriolé ! Vols des armes à l’Escadron spécial Intervention (ESI) Groupe Diane. Dans son ouvrage « Le dernier mensonge », Robert Beijer prétend être un des auteurs de l’important vol d’armes qui a eu lieu dans la caserne du Groupe Diane (page 73 à 81, Vol d’armes à l’ESI). Dans la nuit du 31 décembre 1981 au 1 er janvier 1982, des inconnus s'introduisent dans la très bien gardée caserne du groupe Diane à Etterbeek et s'emparent de nombreuses armes antiterroristes très sophistiquées et d'un lot important de munitions y correspondant. Les cambrioleurs connaissent manifestement bien les lieux et savent quelles armes s'y trouvent et où elles sont stockées. Is emporte des riot-guns, des mitrailleurs FN, un nombre impressionnant de fusils mitrailleurs HECKLER-UND-KOCH de type MP5 SD munis de silencieux. *Seuls quelques rares initiés savent que ces armes viennent d'être livrées à l'ESI. L'arsenal est chargé dans une voiture Mazda de la gendarmerie, ensuite les voleurs quittent la caserne sans être inquiétés le moins du monde. Un vrai tour de force. Vol de gilets pare-balles. Le 9 septembre 1983, la fabrique WITIOCK VANLANDEGHEN reçoit à son tour une visite très désagréable. Des voleurs emportent 7 prototypes d'un tout nouveau modèle de gilet pare-balles destiné dans un avenir proche à équiper les unités spéciales de la gendarmerie et certaines unités de l'armée. Lors de l'opération, ils abattent froidement le concierge et blessent sérieusement son épouse. Seuls dans les hautes sphères de la défense nationale et du ministère de la Justice, quelques rares privilégiés étaient au courant de leur existence. Il s'avérera plus tard que tous ces vols ont un rapport direct avec ceux qu'on allait appeler «les tueurs fous du Brabant wallon» et que les mêmes noms allaient constamment réapparaître tout au long des enquêtes : Martial LEKEU, Madani BOUHOUCHE, Didier MIEVIS, Bob BEIJER, Christian AMORY, tous anciens gendarmes de la BSR de Bruxelles et ayant travaillé avec le groupe Diane, Paul LATINUS, membre actif de plusieurs mouvements d'extrême droite, assassiné en avril 1994, Jean BULTOT, ancien directeur de la prison de Saint - Gilles, Juan MENDEZ, représentant du commerce d'armes, assassiné en 1986, AL AJJAZ, espion, trafiquant d'armes et de stupéfiants et de nombreuses personnalités fort diverses appartenant surtout à l'extrême droite dont il serait dangereux de citer ici les noms. Madani BOUHOUCHE, Bob BEIJER, Christian AMORY, et peut-être Juan MENDEZ aurait eu un projet très semblable à celui dévoilé par JC G, pour faire chanter les grandes surfaces. Les trois premiers, en tant que membres de la BSR, avaient travaillé à la sécurité des grands magasins et étaient en possession des plans des supermarchés. Les buts étaient politiques liés à l'extrême droite, la structure était militaire. Leurs noms apparaissent également dans la filière algérienne et libyenne. BOUHOUCHE et BEIJER ont admis, lors de l'enquête, avoir eu le projet de faire chanter les grandes surfaces en les terrorisant, mais ont prétendu n'avoir jamais mis leur projet en exécution. Une liste interminable de présomptions pèse sur BOUHOUCHE, BEIJER et Madani BOUHOUCHE est soupçonnés d'être l'auteur du meurtre de Juan MENDEZ et du diamantaire SALEIMAN, d'avoir grièvement blessé Saïd El AHMAD. BOUHOUCHE, BEIJER et AMORY faisaient tous les trois partie du groupe Diane, ils ont vraisemblablement participé au vol d'armes de la caserne. Et pourquoi pas aux expéditions meurtrières des tueurs fous ? Les policiers et gendarmes menant l'enquête relative à ces tueurs fous ont pu constater que les «truands» appliquaient des techniques d'assaut purement militaire, avaient une parfaite connaissance du terrain, connaissaient les habitudes et les dispositifs des forces de l'ordre et signaient leurs meurtres en utilisant des munitions spéciales semblables à celles utilisées par le groupe Diane. Les révélations de Martial LEKEU. Martial LEKEU est un ancien gendarme de la BSR, ami et collègue de BOUHOUCHE, BEIJER et AMORY, il aurait été contacté par un de ses collègues, Didier MIEVIS, afin d'adhérer à un mouvement fasciste, dénommé groupe G. Désœuvré, il accepta. À partir de ce jour, LEKEU se rendait régulièrement à l'hôtel de la Pompe à Bruxelles, avec une dizaine d'autres gendarmes. Ils écoutaient de la musique militaire de la Waffen SS. « Il avait des drapeaux nazis accrochés aux murs, pour nous saluer, nous faisions le salut hitlérien en claquant des talons. C'était un signe de fraternité » déclarera Martial LEKEU. L'hôtel de la Pompe était aussi un lieu de rassemblement pour le Front de la Jeunesse. De nombreux hommes politiques, deux ministres d'État, assistaient aux réunions. Pendant ces réunions un plan pour déstabiliser la Belgique et préparer un régime dictatorial de droite était mis au point. « Ce plan était divisé en deux parties : une phase de terrorisme politique et une phase de banditisme. J'ai travaillé à la seconde phase. J'étais l'un des spécialistes qui devaient former les Jeunes aux maniements des armes et à l'idéologie de l'extrême droite. Il fallait en faire des « superman » sans conscience, une bande de terroristes capables des pires atrocités. Tuer pour le plaisir faisait pour eux partie intégrante de leur formation. Après, je devais rompre tous contacts avec eux de manière à ce qu’ils deviennent des groupes totalement indépendants et qu'ils commettent des attaques à mains armées et des actes terroristes sans réaliser qu'ils faisaient partie d'un vaste complot. Parfaitement étudié. Ces groupes ont fini par constituer les tueurs fous du Brabant » : révèle LEKEU lors de l'enquête. Toujours d'après lui, le vol jamais élucidé à la caserne du groupe Diane serait l'œuvre d'un de ses commandos. Ce cambriolage avait minutieusement été préparé en guise d'exercice. Les attentats contre le major VERNAILLEN et d'autres membres de la gendarmerie doivent être portés au crédit du même groupe, ainsi que l'attentat contre l'armurerie DEKAISE et l'usine WITTOCH VANLANDEGHEM. LEKEU affirme n'avoir jamais vraiment cru que l'organisation mettrait ses plans en pratique. Quand il comprit qu'il ne s’agissait plus d'un jeu, il prit ses distances et informa les hautes sphères de la gendarmerie de ce qui était en train de se préparer. Le haut commandement de la gendarmerie aurait considéré cette histoire comme totalement fantaisiste. Le 1er avril 1984, Martial LEKEU quitte la gendarmerie où il ne se sentait plus en sécurité, estimant sa vie menacée. Il avait notamment été menacé de mort par des inconnus au téléphone. Le 20 août, il s'enfuit en Floride et s'installe à Orlando sous le faux nom de David Adam et ensuite sur un autre nom que nous préférons, pour des raisons évidentes de sécurité, ne pas dévoiler. Cette piste, bien que considérée comme fantaisiste par les enquêteurs, semble pourtant la plus sérieuse. Pourquoi LEKEU Martial ferait- il, de pareils aveux ? Il est intelligent. Pourquoi se serait-il enfui en Floride s'il ne s'était pas senti menacé ? Les recherches effectuées à propos des mouvements d'extrême droite ont clairement établi que plusieurs gendarmes ont participé comme instructeurs à des camps d'entraînement du front de la Jeunesse et du VMO et du parti Forces nouveaux dans les environs de La Roche. Le bois de la Haussière, où l'on a découvert les chèques Delhaize provenant de la tuerie d'Overijse et la voiture utilisée pour commettre les trois tueries de 1985, ainsi que des notes manuscrites de l'ex-concubine de Jean BULTOT, constituait également un terrain d'entraînement des dits mouvements. Il est permis de se demander pourquoi avec autant d'indices, cette piste n'a pas été mieux exploitée. 7. IMPITOYABLE RÈGLEMENT DE COMPTE. Dossier PINON, 1979 et 1986, Ballets roses et politiques. La piste du règlement de compte présente également quelque intérêt. En 1979, le docteur André PINON apprend que sa femme participe à des parties fines où l'on consomme de la drogue et auxquelles sont conviés des mineurs de moins de 16 ans des deux sexes. Le docteur PINON porte l'affaire à la connaissance de la justice. L'enquête établit très rapidement que plusieurs ministres, un officier supérieur de la gendarmerie et plusieurs avocats bien connus pour leurs affinités à l'extrême droite participent à ses orgies, ainsi qu'un ingénieur de la FN s'occupant des livraisons d'armes, plusieurs magistrats, un promoteur immobilier, un trafiquant d'armes et de stupéfiants et une personne qui se déplaçait dans une voiture attribuée au Palais Royal. Les ballets roses se déroulaient dans différents endroits de Bruxelles. Les enquêteurs découvrent que ses orgies nocturnes ont fait au moins deux victimes, un mineur qui s'est suicidé après une de ces nuits orgiaques et une jeune femme qui étant droguée avait repris sa voiture et s'était tuée. Des photos et des cassettes vidéo montrant de hautes personnalités publiques bien connues en train de s'amuser avec de très jeunes enfants tant féminins que masculins étaient jointes au dossier. Interrogé sur les tueurs fous du Brabant wallon, l'ex-directeur de la prison de Saint - Gilles, Jean BULTOT (ami nous l'avons déjà précisé de Madani BOUHOUCHE, Bob BEIJER, Christian AMORY, Juan MENDEZ et Martial LEKEU) prétendit que le chef des tueurs du Brabant wallon était ni plus ni moins qu'un ministre dont toutes les motivations se trouvaient dans le dossier PINON. Les enquêteurs rouvrent le dossier PINON et constatèrent avec ahurissement qu'une grande partie de son contenu s'était volatilisé, de nombreux documents, cassettes et photos compromettantes pour d'éminentes personnalités avaient disparu. Affreuses coïncidences ou impitoyable règlement de compte? Plusieurs personnes, participants aux ballets roses, un banquier, un trafiquant d'armes, un chauffeur de taxi, un restaurateur, un ingénieur de la FN seront assassinés par les tueurs du Brabant wallon. Autre constatation pour le moins surprenante, toutes les personnes citées dans le dossier PINON, dans l'affaire des tueurs du Brabant wallon et dans l'affaire FRANCOIS se connaissaient et avaient presque toutes des intérêts communs.
Ce serait affreux de penser que toute l'affaire des tueurs fous du Brabant wallon n’a été qu'une macabre et horrible mise en scène destinée à éliminer, à faire taire quelques personnes (peut-être des maîtres chanteurs) sans éveiller les soupçons. Jean BULTOT a toujours prétendu n'avoir rien à craindre de la justice belge, il n'hésitait pas à dire : «Si l'on insiste pour toucher à mes intérêts, je divulguerais tout ce que je sais sur les tueurs du Brabant wallon». Certains enquêteurs sont persuadés qu'il détient l'intégralité du dossier en chef du Nouvel Europe Magazine. Celui-ci placé en lieu sûr, il le considérait comme son assurance vie. BULTOT affirma également avoir reçu des mains d'un conseiller d'un ministre un dossier portant la mention ULTRA SECRÈTE et qui compléterait utilement le dossier PINON. A sa demande, Jean BULTOT vient de passer devant la justice belge, il a bien entendu été blanchi de tous les soupçons qui pesaient sur lui. A sa sortie, il a simplement fait le commentaire suivant : « Enfin, j'ai rencontré des juges honnêtes ». Cette piste apparaît comme une des plus sérieuses. Il est permis de se demander pourquoi les enquêteurs ne l'ont pas davantage exploitée. Elle pourrait être rattachée aux pistes 1, 2 et 6.
8. LES TUEURS DU BRABANT WALLON TUAIENT POUR VOLER Nous avons laissé pour la fin la piste privilégiée par les enquêteurs depuis le début. En effet, ils n'ont jamais voulu entendre parler d'une filière politique, quelle qu'elle soit. Les 14 attentats sanglants ne rapportèrent en tout et pour tout que quatre millions de francs belges. Pour ne parler que de la tuerie d’Alost : huit personnes furent massacrées d'une manière atroce par des escadrons de la mort parfaitement organisés qui opéraient dans le plus pur style des commandos militaires et dont on peut affirmer qu'ils avaient minutieusement préparé leur opération. Le butin pourtant ne s'élevait qu'à environ 200.000 frs et quelques chèques impossibles à encaisser. Au début de novembre 1986, on repêche dans le canal Charleroi-Bruxelles, aux alentours de Ronquières, des armes, un gilet pare-balles, utilisés par la bande des tueurs du Brabant wallon, mais aussi un coffret contenant les chèques et une partie du butin, dont un nombre important de pièces de 50 centimes provenant du Delhaize d’Alost ! Les tueurs avaient tout simplement jeté le butin à l'eau. Preuve que l’argent ne les intéressait pas. Cette découverte permit aux enquêteurs d'établir un lien incontestable entre les attaques perpétrées de 1981 à 1985. Dès ce moment, il n'était plus possible d’ignorer la piste politique. Et pourtant... Le ministre Jean GOL, ardent défenseur de la politique américaine selon laquelle le terrorisme et le grand banditisme sont les ennemis N°1 dans le monde entier et doivent être combattus de toutes les façons, qui n'avait pas hésité à utiliser vis-à-vis de l'opinion publique la terreur inspirée par les tueurs du Brabant wallon pour tenter d'imposer DELTA FORCE dans notre pays, a toujours considéré envers et contre tous ces tueurs comme des gangsters ordinaires qui tuaient pour voler. Le 10 novembre 1985, Jean GOL, accompagné du procureur Francis POELMAN et du substitut André VANDOREN, participe à un débat à la RTBF. Ils provoquent quelques remous en déclarant qu'ils connaissent très bien le géant de la bande du Brabant wallon. À différentes reprises, les autorités avaient également affirmé que le géant leur était connu. Si l'identité du géant était connue, pourquoi n'avoir pas diffusé son signalement et l'avoir arrêté ? Qui est-il en réalité ? Et quelles révélations compromettantes pouvait-il faire www.objectifsecurite.be                                                                                               Email : [email protected] Copyright 2013 © All Rights Reserved Fin de ces écrits copier sur le forum des Tueries du BW se trouvant sur Facebook
Comme le disais ci bien l'acteur français, Louis Jouvet: BIZARE, BIZARE, TIENS TIENS, C'EST BIZARE QUE JE DIS BIZARE !
Je vous joins notamment un passage du rapport de la Commission parlementaire relier aux enquêtes sur les dossiers des tueries du BW : reprises par Léon Roufosse Tueurs du Brabant Wallon : court résumé des conclusions de la deuxième commission parlementaire. Objectif Sécurité Tueurs du Brabant Wallon : court résumé des conclusions de la deuxième commission parlementaire. Il ressort des constatations de la deuxième commission qu'il s'agit, en l’occurrence, de tueurs professionnels, particulièrement expérimentés qui ont délibérément cherché l'affrontement avec les forces de l'ordre, dans le seul but de leur démontrer qu'ils leur étaient, techniquement, supérieurs. Les techniques d'assaut et de replis utilisées par ces (ou ces) bande(s) ne peuvent être combattues par les moyens traditionnels utilisés par la gendarmerie et la police. La commission a également la pénible impression qu'une force occulte agissait dans l'ombre. Elle constate également que certains témoins entendus ne veulent ou ne peuvent pas dire la vérité. Elle relève également la disparition d'un nombre inquiétant de procès-verbaux et même parfois des dossiers complets. Ce qui est très inquiétant. A la lecture de ces conclusions, il convient de se demander, non sans inquiétudes, s'il apparaissait que Jean-Marie Tinck est un des tueurs, de quelles structure ou mafia il faisait partie ? Et aussi découvrir dans quel camp d’entraînement il a étudié des techniques principalement réservées aux forces spéciales. Même si on est rempli de dégoût pour ses aveux, peut-on, raisonnablement imaginer qu'un homme qui s'est conduit comme le dernier des cons, soit réellement un stratège supérieurement entraîné, capable d’affrontement et de ridiculiser nos meilleurs policiers et gendarmes ? Bien qu'en y réfléchissant, Patrick H. et la bande D., souvent cité comme auteurs possibles dans les tueries du Brabant Wallon, apparaissent comme un groupe d'individus bien entraîné.
Léon ROUFOSSE www.objectifsecurite.be                                                                                               : [email protected] Copyright 2013 © All Rights Reserved
C’est pour le moins incroyable que les Responsables de cette Commission parlementaire osent une fois de plus, cité mon Nom, en m’assimilant a cette déclaration ignoble parce qu’elle en dit long, sur leurs partialités : Déclarations de la commission parlementaire que je souligne :  Il ressort des constatations de la deuxième commission qu'il s'agit, en l’occurrence, de tueurs professionnels, particulièrement expérimentés qui ont délibérément cherché l'affrontement avec les forces de l'ordre, dans le seul but de leur démontrer qu'ils leur étaient, techniquement, supérieurs.     Les techniques d'assaut et de replis utilisées par ces (ou ces) bande(s) ne peuvent être combattues par les moyens traditionnels utilisés par la gendarmerie et la police.                 La commission a également la pénible impression qu'une force occulte agissait dans l'ombre.                                              Fin de leurs conclusions. Une fois de plus il m’assimile à un Tueur, et ce, sans la moindre preuve de culpabilités, d’autant que jamais au grand jamais dans le courant de ma vie, je n’aurais été condamnée en cours d’assise ou pour des crimes de sang. Ceci-dit, il ait toutefois vrais, qu’étant donné que j’ai été choisie comme bouc-émissaire par certains Services Judiciaires, j’aurais surtout été suspecter sur les plants uniquement médiatiques pour avoir notamment et soi-disant, tué de nombreuses personnes en plus des faits des Tueries du Brabant Wallon. Heureusement pour eux, que le ridicule ne tue pas… Car c’est à mourir de rire, que les médias et cette certaine presse a scandales est oser me culpabiliser dans des crimes sanglants et ce, sans les moindres indices ou éléments d’enquêtes Judiciaires. En fait chaque fois que des crimes de sang aux quatre coins de la Belgique se produisaient et restait sans coupables, d’office pour de nombreux médias, je devenais le probable coupable ; Comme par exemple : l’exécution a Rhode Saint Genèse dans la propriété du bijoutier Valéres Valke, et des trois Français notamment froidement exécuté et égorgée dans cette propriété appartenant au Bijoutier Valére Valke et comme il aura notamment eu de nombreuses accusations dans les médias et livre de journalistes, me reliant directement a d’autre crime de sang, alors que je n’avais absolument rien a voir avec ses nombreuses exécutions. Le plus incroyables c’est que pour certains crimes de sang, certains médias me dilapider « par des sous-entendu » comme étant le Tueur alors que jamais au grand jamais les Services Judiciaires m’avaient suspecté et par conséquent interroger. C’est à croire, que De Staerke Philippe, est la roue de secours de certains enquêteurs Judiciaires ou écrivains de pacotilles pour tenter notamment de justifier leurs incompétences… à élucider certains crimes de sang ou de certains journalistes n’ayant rien à mettre d’autre dans leurs journaux que Monsieur De Staerke Philippe. De quel droit, certains journalistes osent-ils m’assimiler à un Tueurs sanguinaires et ce, sans preuves matérielles ou pire sans détenir les moindres indices crédibles et pourtant depuis 40 années ils ne se seront jamais gênés pour me salir un maximum et du même coup se remplir les poches de monnaies sonnante et trébuchante grâce à la vente massive de leurs livres ! Ce qui me paraît aussi scandaleux est partiale c’est que des Responsables de la Commission Parlementaires me cite en parallèle avec les crimes des Tueries du BW, comme étant susceptible avec mon groupe d’individus, de posséder des facultés militaires bien entraînées. Ce qui me choque au plus haut niveau, c’est qu’ils se gardent bien de citer les dizaines de groupes Para Militaires de l’extrême droite est groupuscules fascistes, qui eux auront été officiellement reconnues comme étant des branches Para militaires dormantes ayant eux de véritables entraînements militaires de haut niveau et ayant a de nombreuse occasion été mis en causes dans l’ensemble des Tueries du Brabant Wallon Il suffit de se rappeler les déclarations télévisées de Patrick Lammers, où il déclare verbalement et clairement avoir participé à des entraînements militaires ou ces fonctions d’entraînement consister notamment à surveiller et étudier des surfaces d’alimentations Delhaize et ce, avant que les crimes sanglants des Delhaize commencent en Belgique. Pour compléter ces derniers écrits et rester dans les domaines de la raison d’État, j’estime très important de vous communiquer ses écrits pour le moins détaillés de mon ami, Mr Léon Roufosse, pour qui j’ai beaucoup d’estime pour sa grande intelligence, mais aussi pour ses principes impartiaux pour la vérité. Publier sur Facebook le 22 janvier 2022. « Déclaration de Madame Clair Lux » Tueries du Brabant Wallon : qu’avait découvert l’ingénieur de la Fabrique National d’armes d’Herstal Juan Mendez. Le vol de sa collection d’armes va pousser Juan Mendez a l’imprudence. Il se lance dans une enquête sans limites qui le conduit à l’auberge du Chevalier ou il va rencontrer Maurice F et son épouse. Dans sa recherche de la vérité il découvre que des armes emballées dans des caisses portant la mention machines a coudre son acheminée a Beirset pour être expédié dans le plus grand secret vert des pays frapper d’embargo. Effaré par cette découverte, il tente fermement de s’opposer à ce commerce qu’il qualifie de trafic, ce qu’il lui vaut de subir les foudres de plusieurs hommes politiques qui l’accuse par son irresponsable conduite d’expédier plus de 1600 ouvriers de la FN aux chômages.   Dans la foulée 2 ministres et la CIA tentent vainement de le raisonner. Fort de ses nombreuses relations, il découvre des vérités et touche du doigt les Tueries du Brabant Wallon et découvre les dessous de l’opération 90 days, "jours" Il s’agit de l’aboutissement d’un projet pour terroriser toute l’Europe. Affoler il tente de contacter sa principale collaboratrice, rendez-vous est pris pour les prochains jours. Juan Mendez n’ira jamais à ce rendez-vous. Le reste est connu. Fin des écrits de Mr Léon Roufosse. En fait l’histoire judiciaire nous apprendra que l’ex-Policier Madani Bouhouche l’exécutera dans son véhicule et par conséquent cette vérité d’État, que tout le monde craignait sera enterrer avec Juan Mendez. Je vais notamment citer deux autres écrits trouvés sur Facebook venant de Md, Claire Lux. N’1) Mendez avait donné a son épouse un dossier qu’elle devait rendre public, s’il lui arrivait malheur et celui-ci (le dossier) termina dans les mains de Bouhouche, qui fut un des premiers a annoncer le décès de Juan Mendez a son épouse. Normal c’était un grand ami des Mendez. Ce dossier ne fut jamais retrouvé. N’2) Juan Mendez, était loin d’être le monstre décrit par certains, il avait peur et craignait que les armes volées chez lui servent aux Tueurs fous (il soupçonnait Madani Bouhouche du vol de ses armes. Lorsqu’il se trouvait en Amérique du Sud, pour des contrats de la FN, il contactait angoisser son épouse pour savoir quelles armes avaient servi a la Tuerie (je ne me souviens plus de quelles tueries il s’agissait) mais il avait peur. Mr Christian Page pose la question à Madame Claire Lux, Vous semblez avoir bien connu Mr Mendez. Pouvez-vous nous en dire plus. La période à laquelle vous faites allusion se situe fin 1985. Oui, je confirme, il était toujours dans cet état d’esprit quand il a rendu visite a Maurice F et les Tueries étaient terminées et il parlait aussi de diamants dissimuler avec les armes. Il voulait vider l’auberge. Maurice m’a dit qu’il l’avait pris pour un fou, tellement il était exalté, il voulait fouiller les poches des habits de José. Peu de temps après, il était exécuté, dans les conditions que nous savons. Fin des déclarations de Claire Lux. Mais maintenant revenons à ma personne et pour  mieux comprendre mes écrits, je m'explique: J'ai été condamner pour 8 hold up dans des postes, banques, bijouteries, et je tiens à préciser que jamais au grand jamais la moindre violence physique ( au sens propre du terme) n’aura été utiliser) ce qui en clair signifie; que jamais au grand jamais, il y aura eu, des coups de feu avec une arme, oui vous avez bien compris, jamais la moindre blessures ou violences physiques sur des civiles ou des Policiers parfois présents sur les multiples lieux ou je commettais c est attaques éclairs, et ce, toujours à main armée et de façon ultra rapide, parce qu’ ils ne durer jamais plus de 50 à 70 secondes maximums. Classique a toutes mes attaques ce qui objectivement ne correspondait et absolument en rien au Modus operandi des attaques sanguinaires des Tueurs du Brabant Wallon envoyer par l’État, qui eux prenaient tous leurs temps pour voler des broutilles. C’est à dire des fardes de cigarettes du café et des sommes d’argent dérisoires toute en passant plus de dix minutes à faire feu sur tout ce qui bouger et tuaient sans pitié de nombreux innocents. Il ne faudrait surtout pas oublier qu'à chacun de mes braquages des Banques, Postes ou Bijouteries je prenais toujours des millions de francs et de façons super rapides, et ce, sans jamais faire de mal physiquement a qui que ce soit. Ce modus operandi prouve matériellement et largement mon Innocence dans les affaires des Tueries du Brabant Wallon. Malgré cette évidence de mon innocence indiscutable, j’ai été choisie pour être inculpée dans les Tueries et pour ce faire j'ai été condamné a 2x10 ans plus 10 ans de mise a disposition du gouvernement et ce, en correctionnel a Gand ou ils ont en plus magouillé grave !-, pour que je perde un degré de juridiction ce qui m'aura interdit d'interjeter appel. Il ne faudrait pas perdre de vue que dans le cadre des Tueries du Brabant wallon ils abattaient tout le monde sans prendre beaucoup d’argent, alors que jamais au grand jamais je n’ai attaqué une grande surface de ma vie et jamais utiliser la violence et a chacune de mes attaques a main armée j’ai à chaque fois emporter des millions alors que les tueurs du Brabant prenaient des paquets de cigarettes et des bidons d’huile, etc. Rien, absolument rien dans mes hold -UPS ne correspondait au Modus Operandi des tueries du Brabant wallon. le jour même de ma condamnation a Gand, le juge Troch qui n'était qu'un simple juge de Dendermonde est devenu du jour au lendemain L’homme le plus célèbre de Belgique et par la suite j’ai pu apprendre que très vite, il aura atteint professionnellement les meilleures positions dans la Magistrature alors que mon inculpation téléguidée par le Pouvoir politique aura été un véritable fiasco puisque grâce à mon inculpation dans les Tueries du Brabant wallon les véritables coupables de ces attentats meurtriers courts toujours et ce, uniquement et grâce à mon injuste inculpation. J’appelle cela, la Raison de Sécurité supérieure de l'État ! Seul un État a le Pouvoir d’étouffer dans l’œuf une affaire d’État ! Manifestement les Responsables de mon inculpation dans les Tueries du BW auront été très vite récompensés par l’État Belges, et ce, pour avoir fabriqué et transformer de toute pièce factice en bouc émissaire, De Staerke Philippe. Quoi écrire sur ma personne, car en fin de compte il n'y aura rien d'enviable dans ma triste vie de bouc émissaire parce que comportant un parcours des plus chaotiques puisque semer d’embûches les plus tordues les uns que les autres, et ce, malgré mon tempérament pourtant discret. C’est contre ma volonté que certains journalistes sans scrupules se seront consciemment laissé corrompre par certains Services officiels de l'État, et ce, pour parvenir à totalement me discréditer en me salissant au possible. Ces attentats sanglants sont tombés dans le créneau de la Raison d’État et à partir de ce moment-là, les plus hautes autorités du pays ont lâché contre moi les pires journalistes ...sans la moindre morale pour écrire mensonge sur mensonge de façons a me noircirent un maximum pour dans un premier temps me discréditer toute en blanchissant les véritables coupables des Tueries du BW. De nombreux journalistes pour le moins véreux qui ce reconnaîtrons facilement en me lisant, non eux de cessent de blanchir certaines personnalités judiciaires, industrielles et politiques qui en toile de fond étaient entre autres impliquées dans des dossiers de ballets bleus, "pédophiles" ou bien évidement au fil des enquêtes, tous aura systématiquement été étouffer et n’auront eu, jamais de suite d'enquêtes judiciaires impartiales puisque relier aux Tueries du Brabant Wallon. Certains de ces journalistes n'auront de cessent de truquer et falsifier les vérités. Il me paraît clair que ses mêmes journalistes resteront pour toujours inscrits dans l’histoire judiciaire Belges, car nombreux n'auront eu de cessent de me traîner dans la boue la plus noire ! Au plus les années passeront, au plus l’ensemble de ses vérités maladroitement camoufler par cette catégorie de journalistes sans la moindre conscience du mal, qu’ils ont commis depuis 40 années d’enquêtes, apparaîtront clairement à l’esprit de l'ensemble de l'opinion publique. Des milliers d'articles de presse et des dizaines de livres auront été écrits ou plus de deux mille innocents auront été mis en cause dans les crimes sanglants dans le BW, et bien évidement aucun écrits ou livres, n'auront conduit à une vérité objective ou conduite à l’arrestation des véritables Tueurs du BW, sauf pour inciter la Population a la Haine et a culpabilisé a 1000 % les Borains, Cocu et consorts sans bien sûr, oublier Philippe De Staerke. Qui je le rappelle les Borains « cocu et consort », auront été acquitter à l'unanimité et pour moi j’aurais officiellement obtenu 3 Non Lieux devant la Justice Belges et ce, dans le cadre des Tueries du BW. Ce qui ait pour le moins incroyables et pas normal du tout, c'est que 40 années après les crimes des Tueries du BW, ils osent encore me salir par leurs plumes empoisonnées au vitriol, et ce, en multipliant par dix, des mensonges ignobles sans tenant ou aboutissant réelles, car n'ayant pas les moindres liens avec une quelconque vérité. Pour accréditer mes présents écrits, il suffit de taper mon nom, sur Google et vous trouverez toujours des dizaines de livres édités et + encore des milliers et des milliers d articles de presse invraisemblable de 1980 à 1985 et plus, qui viennent souvent d'être réadapté en 2020, 2021 et 2022 sur Internet et Médias sociaux en ayant pour premièrement et unique objectif principal de continuer a me noircir pour continuer à protéger l'image des systèmes officiels et Services judiciaires et pour ce faire, il ait bien évidement normal de continuer de me salir un maximum Philippe De Staerke. Guy Bouten, anciens journaliste flamant sa dernières est ignobles inventions pour me détruire aura été de toucher le fond d’accusation nauséabondes en m’accusant dans son livre calomnieux, d’être sexuellement pour les deux sexes, hommes et femmes. La seule chose que j’aurais fait, c’est d’accepter « 3 fois de suite des invitations d’amies, dans des cabarets très chics de travesties ou j’aurais uniquement regardé et ce, comme des milliers de gens qui auront comme moi admirer leurs prestations de chanteurs et de transformations physique en femme et rien d’autres qui pourrais permettre à ce journaliste Guy Bouten, de me salir et me calomnier une fois de plus par des mensonges méchants et profondément inutile pour la recherche de la vérités au faits des nombreux crimes de sang relier aux Tueries du Brabant Wallon. De toute mon existence, jamais je n’aurais eu des relations sexuelles avec un homme, par contre, il ait vrais que j’ai collectionner les aventures avec les jolies femmes. Ceci dit, cela ne les empêche pas de continuer à empoisonner ma vie en me salissant un maximum pour prolonger leurs actions de discréditer et blanchir les vrais coupables des Tueries du Brabant Wallon. Des preuves de mes présentes affirmations se trouve dans une grande partie des dossiers d'enquêtes judiciaires et dans la presse Belges, car 40 années après les attentats sanglants dans le Brabant wallon et malgré le fait que l’ensemble des Parquets et des Procureurs du Roi et Magistrats les plus éminents du pays auront d’une façon indépendante et ce, sur trois parquet diffèrent les Magistrats et Procureurs du Roi, auront de façon totalement indépendantes exigé mon non-Lieu plusieurs fois de suite sur diffèrent degrés de juridiction que j'ai d'ailleurs obtenus a chaque fois a l’unanimités, et malgré l'ensemble de mes 3 lieux officiels dans mon inculpation en rapport avec les Attentats des Tueries du Brabant Wallon, cette presse sans scrupules continue aujourd’hui a broder les mensonges les plus ignoble pour tenter de discréditer  mes présents écrits mais aussi et surtout crédité la thèse absurde de l’Ex Procureur du Roi de Nivelles, Jean Deprête, qui contre vents et marrée aura toujours affirmer que l’ensembles des actes des Tueries du B.W auront été commis par de simple prédateurs et c’est évidement la premiére raison pourquoi les véritable Tueurs du BW n’auront jamais été trouver. Voilà des années que j’ai été officiellement et totalement blanchie de c'est des crimes d'État par 3 non-Lieux et malgré cela, plus de 40 années après, certains journalistes ont manifestement toujours pour directives par le biais de Services officiels- d'État, de continuer contre vent et marée à me salir un maximum de manière à discréditer tous ce que j'affirme à ce jour et ce que je représente ; c'est-à-dire la millième preuve matérielle que les Tueries du Brabant wallon sont politiques ! 40 années d'acharnements par certains journalistes pour le moins célèbres à me salir et me discréditer démontre très clairement que derrière cet incroyable acharnement à mon encontre, ce cache en réalités de hauts Leaders politiques et judiciaires et que de ce faîte la vérité ne pourra jamais au grand jamais, voir le jour dans les enquêtes sur les Tueries du Brabant Wallon. Chaque fois que les Services Judiciaires de la Cellule d’enquête de Charleroi touche à des indices vitaux, d’autres Services de l’État mettent tous en œuvres pour les torpiller en se servant entre autres de certains Journalistes a leurs bottes, pour semer la confusion la plus totale et revenir systématiquement a De Staerke Philippe. C'est d’ailleurs, ce qui vient de se reproduire pour la millième fois ce 25 décembre 2021 ou ils ont encore et encore transformer d'anciens articles de presse en lapidations inique contre ma personne. Pourquoi après plusieurs années de mon inculpation dans le cadre des Tueries du BW J’ai décidé de faire des aveux minutieusement calculer, de ma participation à ces faits d'attentat sanglant dans le Brabant wallon: J’ai agi de la sorte par tactique de défense !-, car je n'avais plus d’autre choix que d'avouer les Tueries du BW de manière à pouvoir intelligemment contre carré, les multiples mensonges et magouilles de certains hauts responsables d'enquêtes.... Judiciaires... Grâce à mes aveux que j'ai fabriqués de toute pièce, la vraie Justice a fini " comme je l'avais prévu de longue date" par m'accorder 3 Non-lieux consécutifs !!! A partir du moment où j’ai compris que la seule façon de faire valoir mes droits en me faisant entendre de manière à tenter de sortir de prison en conditionnelle et ce, dans des temps humainement raisonnables, j’ai alors agi de la sorte, de façon à piéger! -, et surtout humiliés différents services d’enquêtes <judiciaires par leurs fausses réputations de bons flics. Après 17 ans d’incarcérations dans le cadre d’une injuste inculpation dans les Tueries du BW, j’aurais enfin fini par réussir à les détruire, et ce, sur leurs propres terrains en dévoilant au grand jour les enquêteurs du mensonge. C’était pour moi la seule manière d’en finir une fois pour toutes avec les tortures physiques et psychologiques qui m’étaient infligées l’or des interrogatoires téléguidés. Enfin un jour arriva, ou je me décidais à jouer la carte du Kamikaze... en répondants au piège machiavélique tendu par certains services de l’État de façon à parvenir à les piéger sur leurs propres… terrain, j’ai bien évidement toujours été obliger d'user de leurs propres méthodes de déviances et de magouilles de la vérité de manière à parvenir à les contrées et les piégés sur leurs propres terrains machiavéliques Lorsque j’ai commencé à semer la confusion par mes aveux… Fabriquer de toute pièce, c’était aussi dans l’espoir que des magistrats et enquêteurs honnêtes se penchent objectivement sur mon affaire et mon inculpation dans les Tueries du BW et surtout sur mon cas! -, de bouc-émissaire. Je n’avais plus d’autre choix que de jouer la carte du Kamikaze, car aussi longtemps que je fusse inculpé dans ces faits sanglants à caractère de Terrorisme politique, je ne pouvais bénéficier d’aucun congé ou libération conditionnelle, c'est pourquoi j’ai joué la carte du suicidaire… intelligent et oui et c'est seulement après des années d’inculpation que j'ai décidé de construire ces aveux…finement calculés par moi seul, et ce, en m’inspirant simplement de ma logique objective puisque j'étais innocent. Je dois aussi vous avouez que j’étais à bout de forces… et ne pouvais par conséquent, plus subir toutes c'est pressions psychologiques et interrogatoires du mensonge. Après mes aveux... cela a fini par fonctionner, car très vite mon régime carcéral limité au minimum a disparu et comme je l'avais aussi prévu, j'ai directement reçu un non-lieu dans les Tueries du Brabant Wallon et mes congés pénitentiaires ont suivi avec ma liberté conditionnelle. J'affirme par mes présents écrits que dans toutes l'histoire judiciaire des pays de l’Europe et sans doute de l’ensemble de toute notre planète, je suis la seule et unique personne à avoir été disculpé dans une enquête ou 28 personnes auront été exécutées froidement. Comme je l’avais prévu j’ai été purement et simplement blanchie du jour au lendemain et en plus, par plusieurs non-lieux consécutifs et ce, devant les plus hautes Juridictions du pays alors que j'avais avoué des crimes les plus sanglants que notre pays avait connus de toutes sont histoires judiciaires c’est dingues qu’en jouant la carte du Kamikaze, j’aurais réussie seul, a contrer l’ensemble des magouilles des Systèmes Judiciaires de l’époque. Vous allez automatiquement pensez, que c’est pour le moins paradoxal que la Justice… blanchisse une personne qui vient d’avouer sa participation avec des gendarmes aux Tueries du Brabant Wallon et bien non, cela n’est pas du tout paradoxales. Depuis le début des Tueries du BW, les plus hautes autorités du pays ont toujours su, que ‘ étais innocent et que l’on m’aura uniquement inculpé dans les Tueries du Brabant wallon, pour servir à protéger les véritables Tueurs du Brabant wallon et que jamais il aura été questions dans leurs plant machiavélique de m’envoyer devant une quelconque Cour-d’Assises. Grâce à mon Inculpation, les véritables Tueurs du Brabant wallon, court toujours et jamais au grand jamais seront poursuivis en Justice. Je suis profondément certain que si je n’avais pas choisi d’avouer les tueries, ceux qui s’occupent de Justice ne m’auraient jamais entendu et m’auraient laissé crever au fond d’une cellule ou plus facile, ce serait arranger pour raccourcir ma vie d'une manière ou d'une autre. J’ai aussi avoué pour me protéger et faire de mes aveux mon cheval de trois et oui grâce à ce cheval de bataille, je les aie littéralement écrasées, pulvériser, mais quelle souffrance j'ai dû endurer avant d'en arriver là. Grâce à ces aveux audacieux, mais calculés, je suis parvenu à rentrés sur leurs propres terrains et je les aie totalement détruits ainsi que l’ensemble de leurs plans machiavéliques consistant de faire porter le chapeau à l’innocent que j’étais. Il ne faudrait pas perdre de vue que c’est à 99 % grâce à mes aveux finement calculés, que le juge Freddy Troch de Dendermonde à lui aussi fini par être dessaisi des dossiers d’enquêtes sur les Tueries du Brabant Wallon. Ceci dit, sur le plan médiatique et malgré mon innocence reconnue officiellement par les plus hautes autorités judiciaires de mon pays, je suis à chaque fois contraint et encore aujourd'hui de continuer de me justifier ((comme d'ailleurs je le fais maintenant encore ce 25/12 /2021 ! – en relation avec les accusations calomnieuse de Alain Moussa; voir systématiquement ! )) et cela risque fort, de ce perpétuer, jusqu'à la fin de ma vie voir même dans des centaines d'années, puisque des dizaines de journalistes et écrivains… sans scrupules…n'ont de cessent d'utiliser ma triste célébrité construite par des milliers de mensonges qu'ils auront fabriqués en 40 années d'enquêtes judiciaires dans ces faits terroristes a consonances politiques. (Encore aujourd'hui le 25-12- 2021) pour continuer à me noircir par des ragots et mensonges abjects voir totalement absurde parce que sans le moindre tenant ou aboutissants, de façon à pouvoir continuer de se remplir les poches en monnaies sonnantes et trébuchantes par les ventes monstres de centaines de milliers d’articles de presses et de livres écrits sur mon dos. C'EST À MON SENS, A CAUSE DE CERTAINS DE C'EST FOUILLE-MERDE DE JOURNALISTES a 5 CENTIMES, QU'ILS N'AURONT EUX DE CESSENT DE TRANSFORMER LES MENSSONGES EN VÉRITÉ QUE 40 ANNÉES APRÈS LES FAITS SANGLANTS DANS LE BRABANT WALLON, AUCUN VÉRITABLE COUPABLE N’AIT ÉTÉ ARRÊTÉ OU CONDAMNÉS PAR LA JUSTICE BELGES. AUJOURD'HUI EN 2022, TOUS LES BELGES" DU MOINS CEUX QUI POSSÈDE UN MINIMUM D4INTELLIGENCE OBJECTIVE" AURONT ENFIN COMPRIS QUE MON INCULPATION PENDANT  17 ANS DANS LE CADRE DE SES MULTIPLES ATTENTATS MEURTRIERS AURONT JUSTE ET SIMPLEMENT SERVIR À PROTÉGER LES VÉRITABLES INSTIGATEURS ET TUEURS DU BRABANT WALLON OU CE PROFIL QUATRE IDENTITÉS COUPABLES : POLITIQUES, JUDICIAIRES, MILITAIRES ACCOUPLÉS À L'EXTRÊME DROITE DE L'ÉPOQUE. C’est facile, trop facile, d’accuser des gens qui sont morts et ce, de façon a tenté à faire oublier aux peuples belges que l’ensemble des systèmes judiciaires, militaires et politiques aura systématiquement été mis en cause dans les attentats meurtriers des   tueries du Brabant Wallon. Dans ce documentaire de la chaîne RTBF, ridicule et partiale a du 1000 % et de toute évidence une fois de plus et vraisemblablement téléguider par différents systèmes officiels, ont peu facilement s'apercevoir qu'au moment ou un témoin... !-, reçois comme question; reconnaissais vous cette personne sur photos, et reconnaissais vous cette voix et ce, 35 années après les faits ce témoin affirme identifier cette personne sur photo et sur sa voix, et ce, en écoutant une seule et unique voie et en aucun cas prendre le risque de faire entendre au témoin... au minimum six voies de différences personnes ou de lui montrer plusieurs photos de personne différente et non pas une seule photo comme cela aura été le cas. J’estime légitimement que cette façon de faire est pour le moins partiale car n’ont bien sur, jamais été faites dans les règles Judiciaires ou de nos principes du respect des Lois Belges.! Pour ce qui me concerne cet ensemble d’enquête manipuler, falsifier, fabriquer et truquer, par des Policiers et certains médias, journalistes, me paraissent totalement dingue ! -, d’avoir eu l’audace de les mettre en place de façon aussi maladroite. Pour moi, c’est aussi inadmissible, qu’une personne honnête puisse affirmer identifier un individu sur photos et a sa voix 35 années après des faits criminels ("sans précédent dans toute l’histoire criminelle ...de la Belgique" )  ou en plus, elle déclare clairement que pendant et seulement une fraction de seconde !-, elle aura entr’apercevoir !-, l'un des tueurs du BW, en plus ce témoin affirme avoir vu un tatouage sur la main ou le bras d’un des tueurs. Mort de Rire, HA, HA, HA, car les tatouages sur les bras ou la main cela ce compte par dizaines de millions de gens qui en possèdent et pourtant ce n’est pas pour autant que ce sont des tueurs. Cette vidéo, c’est vraiment du n'importe et cela me parait plus du foutage de gueule de la population car cela ne fera pas moins de 40 ans que l’ont prend la population pour des ignares. Autres éléments scandaleusement malhonnêtes, car totalement illogique, voir illégal ; une confrontation par l'utilisation de témoins ce réalise toujours à l’aide de plusieurs photos et non avec une seule photo ou vidéo servant véritablement a diriger l'opinion du témoin (...! -,) vers un seul coupable qui de toute évidence servira a blanchir L’ensemble des organismes d'État, qui auront été mis, 100 fois en cause dans les faits des tueries du BW, est-ce, vraiment possible d'imaginer deux secondes à devoir identifier formellement un individu 36 années après des faits criminels alors que vous avez entraperçues !-, et ce, une fraction de seconde !-, votre criminel... Dite moi, ce que vous avez fait où manger, le 23 septembre 2021 à 18 h ou quels vêtements vous avez porté ou plus simple qui vous avez croisé ce jour-là. Suite à ma précédente question ; Voilà seulement deux mois de passer et objectivement vous êtes totalement incapable d'apporter honnêtement une réponse réelle à ma présente demande. De toute évidence ce témoin a été dirigé et incité à devoir accuser un homme "mort" des pires crimes de façon à blanchir certaines personnes appartenant à des systèmes officiels de notre État. Ces truands… frontaliers sont actuellement décédés, alors c'est très facile de les accuser d’être responsable d’avoir été coupable de 28 crimes de sang dans le BW, puisque que l'on sait pertinemment bien, qu'un mort ne pourra jamais se défendre. Des centaines de pièces a convictions et preuves matérielles auront été récolté par les systèmes d'enquêtes judiciaires et aussi incroyable que cela puisse paraître, Riot -gun, des dossiers judiciaires complets, véhicules des tueurs, valises, douilles, vêtements, etc. Plus des milliers de manipulations criminels des pièces a convictions de première importante auront été manipuler et falsifier et détruite et ce, uniquement pour que le véritable tueur puisse continuer à être protégé et rester intouchable ! Ils ont même poussé l’histoire judiciaire a créé de toute pièce des faux coupables qui auront été envoyés en cour d’assises sur la simple et unique base de témoignage truqué de A jusqu'a -Z.(( c’est accuser et inculper furent finalement acquitter en Cour d'assises.)) "Il s'agit des Borains" C’est des secondes gâchettes de France, que l’on tente aujourd'hui de faire passer pour des coupables non jamais eu les moyens, financier, matérielles, ou RELATIONNELLE POLITIQUES, JUDICIAIRES, MILITAIRES, pour parvenir à faire disparaître, falsifier, truqué, des dossiers des tueries du BW et ce, par milliers de procès-verbaux ou je vous rappelle que des dizaines de preuves matérielles de toute première importance ont disparu ! Car cette enquête judiciaire  pour le moins carnavalesque doit  bien finir par être clôturé et pour ce faire, il faut impérativement trouver et fabriquer de nouveaux bouc-émissaires et ce, pour la XIème-fois de préférence en choisissant et fabriquer des petites frappes de manière a innocenter les véritables tueurs du BW qui eux, n’appartiennent absolument pas au milieu du petit ou grand banditisme. Ce n’est absolument pas moi qui me rends, la vie impossible à vivre, mais certains Services de l'État, qui depuis 40 années transforment ma vie en enfer sur terre par l’utilisation continue de certains journalistes qui non de cessent de me noircir un maximum. Imaginer voilà 40 années que certains journalistes n'auront eu de cessent de me salir par de multiples mensonges. Cela vient à démontrer matériellement que certains Services de l’État belge sont derrière toute ces tentatives de déstabilisations de l’Enquête judiciaire menée par la Juge Michel de Charleroi. Il n'est vraiment plus normal que pendant 40 ans je continue de faire la Une, des Journaux et des médias sur Internet. En plus sur le dernier article de Presse du 25/12/2021 il a bien stipulé que les journalistes ont donné de l’argent à Alain Moussa pour qu’il me noircisse avec des mensonges. Ne pas perdre de vue que cet accusateur mythomane aura passé des dizaines d’années dans des asiles d'aliénées mentaux. Sans compter le fait que toute sa vie, il aura été répertorier comme droguer notoire aux Stupéfiants les plus durs ! La totalité de mes écrits démontre matériellement que les Tueurs du BW, sont en réalité des soldats !-, de la mort et pour réussir l'ensemble du plant d'états consistant principalement à exécuter un seul témoin gênant, et ce, par attaques tout en prenant soin de créer un véritable carnage de victimes de façon à faire croire à la piste de quelconques prédateurs. 40années après, certains Services de l’État continuent de téléguidés par l’utilisation de multiples médias belges pour qu’à chaque fois réussir a réorienté les soupons et l’Enquête judiciaire vers ma personne comme cela vient pour la millième fois de se reproduire ce 25/12/2021. Et pour preuves ; ils vous suffiraient de taper mon nom et prénom, sur internet et vous me verrez partout où je serais descendu en flamme sur des milliers d'articles de presse et ce, de façon à mettre le maximum de crédibilité à ma culpabilité dans les crimes sanglants des Tueries du BW. Imaginé 40 années que certains Services des Systèmes judiciaires se servent de ma personne comme Bouc-émissaire pour protéger les véritables Tueurs du Brabant Wallon venant en réalité de leurs propres Services. En mettant tous sur le dos de De Staerke Philippe, n'est-ce pas la meilleure façon de protéger les véritables organisateurs et Tueurs du BW. Sans interruptions aucune, que je subis les accusations multiples et sans fondement matérielles, de certains systèmes judiciaires et Journalistes a 5 centimes. Vous qui me lisez, je vous demande d'imaginer, rien que 5 petites minutes, le stress permanent que je dois subir, et ce, depuis plus de 40 ans de persécutions injustes. La majorité de c’est attaques dans le BW, démontrent matériellement que pour réaliser l'ensemble des tueries du BW, ils auront mis des mois et même, des années en faisant des dizaines de vols et ce, à chaque fois à des endroits différents et en ne manquant jamais d’utilisés les pires violences et cambriolages, vol de gilets pare-balles, bonbonnes d'acétylènes, chalumeaux, voiture, armes, gilets par balles ETC… et cet ensemble de préparations de faits criminels serviront uniquement à éliminer physiquement une seule personne par tueries et en aucun cas voler des peccadilles, bouteilles d'huile d'olive, cigarettes et bêtises absurdes correspondants a de vulgaires Prédateurs. 40 années d’enquêtes ... judiciaires... de trucage, de tricherie, de mensonges, de sabotage et de fabrications de faux coupables, bouc émissaire pour que les véritables coupables ne puissent jamais être identifiés et cela, ce  n’est pas seulement moi qui l’affirme, mais aura été démontrer matériellement par de multiples enquêtes judiciaires que tous aura été truqué a 1000 %. 40 années d'enquêtes judiciaires et nous ne sommes encore nulle part. NE SURTOUT PAS PERDRE DE VUE QUE DURANT DES DIZAINES D'ANNÉES D'ENQUETES... DES MILLIERS DE PREUVES MATERIELLES ET PIECES A CONVICTIONS DE TOUTE PREMIERE IMPORTANCE AURONT MIRACULEUSEMENT DISPARUES... Riot-gun. Golf GTI. Dossiers des tueries par milliers de Procès-verbaux. Et de multiples autres éléments matériels ont disparu. Sans oublier, le Pouvoir hiérarchiques qui a dû, a plusieurs reprises déployer pour exercer différentes pressions sur de nombreuses personnes de façons à réussir de façon maladroite pour fabriquer des Boucs émissaires. Pour moi, seul les pouvoir d'états ont les moyens d'étouffer dans l'œuf une affaire d’Etat.
LES TUERIES DU BRABANT WALLON SONT POLITIQUES.        
« POUR COMMENCER A DECOUVRIR ET TERMINER… L’ENQUETES…  SUR LES TUERIES DU B.W, ET CE, AVEC DES RESULTATS OBJECTIVES IL FAUDRAIT D’ABORD QUE L’ENSEMBLES DES PIECES A CONVICTIONS ET PREUVES MATERIELLES QUE L’ONT A FAIT DISPARAITRE VOLONTAIREMENT DES DOSSIERS D’ENQUETES, REAPPARAISSE ET SEULEMENT ALORS LES ENQUETEURS POURRONT TROUVER LA VERITE SUR LES TUERIES DU BRABANT WALLON » LES PIECES ET PREUVES MATERIELLES RELIER AUX TUERIES DU BRABANT WALLON SE COMPTE PAR DIZAINES.  LORSQUE LES ENQUETES JUDICIAIRES ONT COMMENCER ILS DETENAIENT DES DIZAINES DE PREUVES AINSI QUE DES INDICES MATERIELLES ET PAR DE MULTIPLES MIRACLE… JUDICIAIRES ET POLITIQUES, DU JOUR AU LENDEMAIN, LES CELLULES D’ENQUÊTES LES ONT PERDUS… OU DÉTRUITES PAR ERREUR... BEN-VOYON. HIER ET AUJOURD’HUI LES ENQUÊTEURS CONTINUE D’ÊTRE GANGRÉNÉS JUSQU'À LA MOELLE PARCE QU’ILS TENTENT TOUJOURS D’INCRIMER DES GENS INNOCENTS, RIEN QU’AVEC DE LA CONSTRUCTION PUREMENT INTELLECTUELLE… SANS TENANT OU ABOUTISSANT RÉEL.
OUI VOUS AVEZ COMPRIS, DU BLABLA ET ENCORE DU BLABLA, MAIS JAMAIS AU GRAND JAMAIS ILS SERAIENT EN MESURE OU PLUTÔT VOUDRAIS APPORTER LES PLUS PETITS INDICES OU PREUVES MATÉRIELLES RÉELLE BASE SUR LA VRAIE VÉRITÉ QUI RELIE CERTAINS ORGANISMES DE L’ÉTAT BELGE, AUX TUERIES DU BRABANT WALLON. DU VENT RIEN QUE DU VENT, C’EST TOUS QUE LES ENQUÊTEURS ONT AUJOURD’HUI DANS LES DOSSIERS ET C’EST NORMAL PUISQUE LES VÉRITABLES INDICES D’ENQUÊTES ET PREUVES MATÉRIELLES ONT DISPARU PAR DIZAINES DE LEURS INVESTIGATIONS…
Mes présents écrits sont ici sur papier pour tenter de vous faire comprendre et connaître la véritable vérité cachée des tueries du Brabant Wallon, de autant que jusqu’il a peu, j’aurais été le seul, inculpé dans les crimes sanglants d’Alost. Une Boucherie d’État, un Carnage sanglant jusqu'à l’absurde. Les 28 victimes étaient toutes innocentes, « plutôt 29 victimes », car je suis vous en déplaise Messieurs les enquêteurs et acteurs de ces crimes d’État ; la dernière victime de ces attaques sanglantes. Ces innocentes victimes, elles ne furent pas seulement la cible des Tueurs fous… mais aussi les otages et l’enjeu des nouvelles formes de politiques répressibles qui aura été largement établie et mis en place justes après les tueries du Brabant Wallon a la grande différence de ceux qui ont écrit jusqu’ici, je n’utilise aucun détour pour dénoncer les multiples actions d’enquêtes qui forcément ont été téléguidées et saborder par le pouvoir judiciaire et politique en place de l’époque. L’ensemble de ses machinations d’état ont bouleversé la vie de mes Proches et la mienne par conséquent la base de mes écrits inédite sera basée, que sur quelques articles de presses ou livre officiel, par exemple, le Rapport de la Commission parlementaire.   Pour les autres ouvrages,  je ne me suis pas vraiment intéressée, car dans ce  genre d’ouvrages, ils y figurent trop d’informations non vérifier, voir mensongères et surtout assassine parce que diriger par les pouvoirs en place de façon à toujours aller à la charge de la victime toujours maladroitement choisie puisqu’ils auront fait l’erreurs ultimes de me sélectionner comme uns des Tueurs du BW, et que  malheureusement je devrais rester  et garder cette triste images du mal pour les besoins de la raison d’État et une fois de plus, la preuve en est ce jour, car après 40 années d’enquêtes téléguider certains organes judiciaires et politiques continues d’alimenter les services de la presse belge pour que ces derniers poursuive leurs malveillance a mon encontre de façon a faire croire à la population que les coupables d’instigations, ne sont pas des Politiques  ou gendarmes, mais uniquement  Philippe De staerke ou des truands et aussi longtemps que l’on regardent de mon côté il est évident que la vérité sur les tueries ne risque pas d’éclater. Plus de 17 ans de ma vie passée au pourrissoir à être brisée par ces innombrables séries de mensonges ignobles à vouloir m’enterrés vivant dans cette espèce de sarcophage de béton armé qu’aujourd’hui on appelle PRISON. Pour la raison d’État, certains Responsables ont jugé utiles voir indispensables de tenter sans avoir réussie à me murer vivant dans un silence de façon à tenter de museler la vraie vérité comportant les réelles des tenants et aboutissant des tueries du brabant wallon.   En attendant, leurs buts de continuer à protéger les vrais coupables sont bien atteints puisque les vrais organisateurs et tueurs du BW, eux courent toujours.   Bien évidemment cela ne leur dérangent absolument pas de continuer de dormir sur leurs deux oreilles Nos merveilleux et soi-disant garants de nos libertés…, dont beaucoup sont des cerbères dressés pour nous protéger… Comme s’ils savaient, eux, mais que savent –ils vraiment ?... Dans ce genre d’affaire politico judiciaire, ils non plus le choix de continuer à tenter de faire croire à la population qu’ils cherchent à savoir qui est qui ?... Et qui sont les autres ?... Les autres « !!! » cela fera plus de 40 ans que pour ma part je me risque à les trouver, entre les façons et les méthodes malsaines d’enquête judiciaires aussi pourrie les unes que les autres.
Aussi, vais-je ; moi aussi le temps d’un livre et par raisonnement froid, mais clair, et un nombre d’indices matériels considérables en ma possession, tenter d’établir qu’au cours de mes présents écrits que plusieurs hauts responsables dans les dossiers des tueries du Brabant wallon, ont souvent failli de façon intentionnelle à leurs fonctions et ce, manifestement dans l’intérêt  du système  politique et judiciaire, mais surtout  dans l’intérêt de quelques-uns tapis dans l’ombre des différents Pouvoirs Hiérarchiques de notre état. Au cours de mes présents écrits, je ferais une petite reconversion du statut de truand… ou de gangster… (certes que je ne puis pas contester, mais qui objectivement n'a réellement plus aucun sens aujourd’hui) avec le statut que j’ai eu par l’image de coupable des tueries du BW. Oui, le moins que l’on puissent  écrire ou dire de moi, c’est qu’en matière de méthodes de braquage s’élevant facilement a plus de 200 braquages de poste, banques, fourgon et bijouteries, j’aurais été un véritables spécialiste, puisque je n’ai jamais au grand jamais blessé et encore moins tué une personne car chacune de mes attaques, me donne  le droit d’affirmer,  et ce, sans la moindre fierté d’avoir été un professionnel dans ce domaine, car question des méthodes de braquages, il apparait clairement pour toutes un chacun que j’en connais un bout et les Tueries du BW,  quoi que  disent les enquêteurs, sont  en réalité des attentats sanglants a caractères politico juridiques et c’est pour cela uniquement que l’ensemble des tueries  sont des braquages réaliser par de parfaits amateurs… dans le domaine braquage ; (du travail… de pur  amateur  déconcertant !!!) si bien évidement l’ont  acceptent de se référer objectivement et honnêtement a la maigreur des butins relier a l impensables relier aux grand nombres de victimes innocentes tombés gratuitement…. Par contre les Tueries du BW auront été un travail…d’attentats sanglant de tueurs professionnels Ces méthodes de voyous décrit par les enquêteurs qui en réalité ne sont pas des voyous mais alors que cachent-elles. Qui se dissimule derrière ce paravent objectivement relier au grand terrorisme d’état. Aujourd’hui en janvier 2022, j’estime qu’il serait plus que temps de Chercher les faits sanglants pour les décortiquer et ce, jusqu'à l’extrême droite du Nord conduisant jusqu’au sud du pays. Mon enquête présente, consiste à trouver l’extrême de chaque acte sanglant dans le Brabant Wallon, sachant bien évidemment que les extrêmes se rejoignent toujours et au cours de votre lecture vous finirez très vite par en convenir.
Les agitateurs, les manipulateurs indirects et directs, mais incontestablement des professionnelles seront manifestement sorties plus forts, mieux servie, du marasme meurtrier accompli par leurs soldats de l’ombre. À leurs têtes, une poignée de malfaisante possédant un certain pouvoir au sein de notre état, car membres de cercles restreints, mais certes privilégiés. Toujours dans la manipulation de confidences. Dans toutes les confidences. Des gens à l’ambition du Pouvoir sans le moindre scrupule. Une Bande de chiens-loups, domestique et sauvage à la fois, parfois serviles, parfois cruels pour la puissance du pouvoir ; des fous, des âmes perdues, de sombres enragés
Puisqu’aucun des spécialistes qui ont pondu et écrit de multiples articles de presse et livres de contre-vérité, c’est-à-dire contre mon innocence de façon à construire un Bouc émissaire à faire inculper dans les Tueries du BW. Aucun de c'est Journalistes, n’aura jamais voulu démêler le vrai du faux, alors il m’arrivera d’être obligé de me défendre de façon parfois profonde et choquante en comparant, mélangeant intelligemment… la vérité avec Les multiples erreurs... judiciaires inlassablement trafiquer, par de multiples mensonges monumentaux et souvent absurde puisque incohérents, mais certainement odieux contre ma personne parce que venant de  système journalistiques téléguidés par certains Services officiels du Pouvoir, car sans aucun doute, minutieusement calculer par les systèmes judiciaires et politiques pour aller dans un seul sens, celle de la piste de ceux que certains ont eu un plaisir cynique de qualifier de voyous- de truands ou gangsters… Ils auront utilisé les pires coups pourris de manière à protéger les Véritables Tueurs du BW.
Pour arriver a percé certaines vérités, il me sera souvent arrivé, d’utiliser quelques articles de presse, uniquement lorsque cette source d’informations me semblait objective ou me met en cause et ce, en correspondant fidèlement a l’actualité du moment, par exemple : -(Un Verdict  devant un Tribunal ou une décision officielle d’un Service de l’État)- qui coïncide aux procès-verbaux judiciaires et par conséquent peuvent dans certains cas, bien précis, confirmés, infirmés voir même ,réaffirmé l’information qui se trouve en ma possession!
Objectivement il mais impossible de partager les mêmes idées et positions d’un certain nombre de journalistes, bien que les hypothèses intellectuelles représentées par le livre de Monsieur René Haquin, qui fut journaliste au Journal le Soir, me semblent être, ceux qui sont le plus utiles à développer sous la meilleure forme de certaines clartés d’esprit dans le cadre des enquêtes sur les tueries du BW.
J’ai choisi de me documenter en prenant soin de citer leurs références, de manière à construire froidement la vérité qui me semble la plus proche de mon inculpation dans le cadre des enquêtes truquées sur les tueries du Brabant wallon.  
Mes écrits sont à majorité basée sur des procès-verbaux judiciaires et analyse personnelle. Je n’utilise le Rapport complet de la Commission d’Enquête parlementaire de 1997 à 1998, que dans la mesure où il y est question de moi, et de quelques synthèses basées sur des procès-verbaux judiciaires, qui me paraissent juste et honnête et qui ont un rapport direct avec des procès-verbaux officiels !                                          
Pour ce qui me concerne il va de soi que, les investigations, des deux Commissions parlementaires sur les dossiers des Tueries du Brabant wallon et affaires connexes, ont été des missions judiciaires, qui sans aucun doute, nécessitaient, d’abord et avant toute chose, à relever les dysfonctionnements des enquêtes passées et actuelles, qui cependant n’apportera pas plus de clarté s’agissant de nommer les vrais coupables.
Ayant été inculpé dans les tueries du Brabant wallon, aujourd’hui j’estime être en droit… d’affirmé, que dans la majorité des cas, le Rapport de la Commission parlementaire, aura-t-elle aussi été contrainte par des systèmes de règles déontologiques à devoir manqué d’objectivité impartiales et ce, dans les analyses des différents dossiers me concernant, ce qui du même coup, conforta le prolongement de plusieurs années de mon  injuste inculpation dans ce que je considère, et que la majeure partie de l’opinion publique considère comme des attentats politiques et judiciaires. Seuls les idiots profonds, c'est-à-dire cette catégorie de tordu sadique ou de simple d’esprit osent encore affirmer que les tueries du brabant wallon sont reliées à des actes assimilant des prédateurs « oui je crois qu’enfin vous avez compris que tous auront été mis en place pour faire croire à la piste ridicule de petit voyous responsables des actes sanglant dans le BW
Ce qui a conduit à mon inculpation, ce sont les milliers de pièces à conviction… en ma faveur qui ont été escamotés, falsifier, truqué et fabriqués de toutes pièces, souvent sur base de mensonges, et ce uniquement, pour évitées de culpabilisées certains organismes de notre Etats conduisant à différentes pistes tout à fait crédibles.
Pour de nombreux observateurs avertis et intègres, il va de soi que: les tueries du Brabant wallon, auront naturellement servi certains organes fort, relier  les uns aux autres a des systèmes d’État  super organiser et  comprenant notamment des officines parfois secrètes et ce, de façon à  pouvoir continuer  d’asseoir et d’instaurer, leurs politiques radicales consistant surtout à multiplier les moyens financiers par 1000 %, matériels et répressifs  pour en final, parvenir à bénéficier d’une approbation générale de la population belge au-devant des élections qui se sont multipliées sans que cela puisse s’arrêter un jour.   Il va de soi qu’après les tueries du Brabant Wallon le reste des manipulations   n’était manifestement plus la prise de pouvoir puisqu’ils ont tous gagné, et ce, grâce aux tueries, toute en préservant les vraies coupables se dissimulant derrière la protection de nombreuses personnalités.  
Certains de ses notables, on a constamment usé de subterfuges ignobles pour dissimuler leurs complices, et ce, aux dépens d’innocents qu’ils ont fait jeter en prison de façon à ne pas s’attirer la vindicte de l’opinion Public. Moi-même, après avoir été condamné à la peine maximale de trois fois dix –ans, pour six vols à main armée (Banque et poste) au cours desquels aucune personne ne sera tuée ou blessés, j’aurais malgré tout, effectué plus de 17 années de détention, attendant le bon vouloir de ces décideurs alors que jamais au grand jamais j’aurais blessé ou fait preuves de violences sur qui que ce soit.
Qu’en est-il aujourd’hui : mêmes si ma vie d’adulte a été encadrée et diriger de manière imperceptible par l’autorité judiciaire et son appareil répressif, je n’en retire bien sûr pas que de l’amertume, puisqu’ à cause de ces malheurs qui ont anéanti mes illusions sur certaines valeurs morales je crois avoir développé… plusieurs formes d’opiniâtretés dont manifestement j’en retire parfois une satisfaction personnelle car je n’aurais jamais plier les genoux devant c’est pourritures.  
1)... Pour ma part, même la tête sur l’échafaud du pain de la délation, Dieu fasse que je n’en mange jamais … à la différence de nombreuse personne dite respectable… je ne travaille pas pour les autorités judiciaires ou autres et je ne le ferais jamais car je préférer mourir que de manger se pain des délations. La preuve jamais au grand jamais les services judiciaires mon protéger ou offert des avantages quelconques                                                             2)… c’est seulement aujourd’hui en 2022, que j’arrive vaille que vaille,  à faire la différence, entre les gens qui méritent le respect, et les autres, ceux, à qui je ne manque pas de laisser paraître mon indifférence ou plus souvent ma colère, cette rage intérieure, et parfois l’équivalent d’un volcan prêt à exploser et a pulvérisé par mes présents écrits , ses pourritures et oui, les mêmes personnes qui a mainte reprise ont tenté de me noyer dans leurs machinations tordues au possible. On vous humilie, vous frappe, vous écrase  par des mensonges accoupler par des inculpations injustes et machiavéliques dans les tueries du Brabant wallon, et ce, pendant des années et il faudrait que je dise encore merci, car alors si je fais cela, il faudrait me mettre dans un asile pour aliéné mentaux.
Croyez-moi, avec tout ce que j’ai dû endurer et continue à subir cette persécution après 40 années d'enquêtes judiciaires, ma présente colère est tous ce qui a de plus justifié et normal.                                                                                                         3)…   Au fil des années et après de longues expériences malheureuses, j’ai appris que la meilleure façon de se protéger des actes malintentionnés de certains individus possédant le pouvoir judiciaire et politique était d’agir de façon imprévisible, de manière à se préserver de leurs malveillances.
4)… Aujourd’hui, je crois qu’a 64 ans dans certaines circonstances, je serais certainement prêt à donner ma vie, pour mes idées... Ceci dit, lorsqu’e j’écris que je suis prêt-à-donner ma vie pour mes idées, cette phrase me semble assez vague, puisqu’en vérité je suis mort depuis le premier jour de mon inculpation dans les tueries du Brabant Wallon. En y réfléchissant bien, aujourd’hui en 2022, je ne suis plus vraiment certains d’être encore un pur et dur idéaliste, mais surtout ressemblant plus à un zombie possédant un réel bagage de rage voir de haine sans doute incommensurable et oui, je ne suis plus rien d’autre, sauf peut-être une bombe à retardement. Conclusion : Les calomnies, les mensonges, la délation… mensongers, est la mythomanie parviens manifestement à faire souffrir un être humain de façon injuste et atroce.
Quoi de plus lâche qu’un homme d’État et de pouvoir, qui reste impassible face à l’injustice et la souffrance qu’endurent ses concitoyens placés au-devant de ce rouleau compresseur destructeur d’un certain système d’État officiel !
Bonnes gens, c’est pour vous, par respect des victimes, pour mon innocence qu’en toute conscience, je prends le risque de défier ceux qui à certaines époques se sont vautrés dans cette nouvelle forme de moral comportant la panoplie complète de complots souvent accompagnée de compromis abject.
Depuis mon arrestation en 1986, ma vie n’a été qu’une succession d’épreuves faites de multiples pressions psychologiques et physiques qui m’ont parfois menée au seuil de la résistance humaine, mais heureusement ne m’auront jamais rendu fou. La vie m’aura appris que la haine et la rage extrême ne rend jamais fou, mais vous aide juste à devenir plus fort face à l’adversité, et ce, en ayant pour unique but de finir par vaincre ces pourritures du mal et de la magouille et c’est grâce à cela que je suis parvenu à écrire ce manuscrit.
Dès mon incarcération, des fonctionnaires souvent intègres, mais obéissant aveuglément à leur hiérarchie, se sont succédé pour user de leurs pouvoirs sur les systèmes carcéraux de manière à ce que des tortures blanches soient utilisées sur ma personne.       (Six années de régime cellulaire strict, ponctuées d’interrogatoires incessants et surtout inutiles puisqu’en définitive j’ai reçu un non-lieu contre ma volonté) m’auront au fil des ans, laissé dans mon âme des meurtrissures saillantes, qui ne se cicatriseront jamais.
Au cours de ces années de malheurs j’aurais vécus de véritable chemins de croix et malgré cela je continu de vivre dans mon combat incessant contre, différents Responsables politiques et judiciaires qui  preuves à l’appuies n’auront de cessent de me discréditer par l’entremise d’habiles enquêteurs sans scrupules et la complicité, voulue ou non, de plusieurs journalistes si bien qu’à la longue, la population ne parvient plus à différencier le vrai du faux.
En termes politiques et judiciaires ; on appelle cela, de la propagande.
Très vite, je tombais dans l’engrenage machiavélique d’un vaste projet de déstabilisation, des fondements de notre démocratie… dont inévitablement je devenais le bouc émissaire parfait…                     C’est notamment en raison de cet état de fait machiavélique que j’ai été victime des gouvernements qui se sont succédé.
Certes, c’est ma foi vraie qu’aussi à cause de cela, j’ai pu aujourd’hui en 2022, approcher une certaine partie de la vérité touchant la plus grande énigme judiciaire belge et ce, commis par des tueurs sans les moindres sens moreaux.
Une fois de plus, j’ose affirmer que les tueries du Brabant wallon auront eu, entre autres pour but, l’élimination d’innocente victime de façon à sensibiliser le sens de révolte légitime de l’opinion public Belges.
Les turpitudes ne se sont malheureusement pas arrêtées là, car dès les premiers morts, certaines personnalités d’État se serviront du prétexte Fallacieux des tueries du Brabant Wallon, pour changer radicalement le visage Politique et Judiciaire de notre pays.                                                     C’est ainsi que de 1982 à 1985, le Brabant wallon sera le théâtre d’attaques sanglantes à exécuter dans les grandes surfaces de distribution alimentaires.  
A la satisfaction de ceux qui l’ont fomentée dans l’ombre de certains Pouvoirs d’état Hiérarchiques, cette vague de terreur sans précédent dans notre pays, fera des dizaines de blessées et surtout 28 morts officielles, ce qui fatalement se terminera par de grands bouleversements... politiques et judiciaires.          
À partir de ce moment- là, inévitablement la peur de la population se convertit automatiquement en programmes politiques et répressif.
Pour les deux premiers mois qui suivaient les trois dernières tueries de 1985, plusieurs centaines de millions de francs belges seront débloqués pour l’ensemble des mécanismes judiciaires ; par exemple la gendarmerie, obtiendra des effectifs et du matériel révolutionnaire : puissants véhicules blindés, gilets pare-balles, armement (mitraillettes Uzi, pistolets 9mm), ordinateurs sophistiqués, etc.    
Au moment même où l’opinion publique manifestait sa colère face à ses tueries incohérentes…. Dans le Brabant Wallon, certains responsables d’État trouveront et présenteront directement des plans Politiques et Judicaires des plus répressifs pour renforcer l’ensembles des systèmes d’état, car manifestement planifier et calculer de longue date pour être mis en place le moment opportun. De multiples Plans logistiques comportant des programmes les plus répressifs, et ce, toute en prenant soin d’offrir à la population des coupables… Coupables qu’ils trouveront surtout parmi des personnes au profil populeux, mi-aventurier, mi-marginal, voire même clochard, souvent issu de milieux défavorisés.
Forte heureusement pour quelques-uns… des hommes de bonne volonté, des observateurs et une certaine couche sociale de la population ne resteront pas dupes très longtemps ; -La corruption, le chantage et l’assassinat, ne suffisaient plus à cacher la vérité et bien malgré eux, ils devront, relâcher et disculper quelques innocents bouc-émissaires dans les tueries du Brabant Wallon (moi excepté et ce, jusqu’à  mes trois non-Lieux  consécutifs, devant la Cour de cassation en 2002).                                            
Manifestement, vous l’opinion publique, tous comme je l’aurais été, vous avez été manipulé jusqu'à ce jour par certains responsables d’État, qui vous ont joué la comédie en plusieurs actes et ce, pendant des années et croyez-moi, je vous garantis qu’aujourd’hui en 2022 il non plus d’autre choix de continuer d’inonder les médias par des mensonges et indices fabriquer pour continuer d’alimenter les pistes des truands dans le cadre des tueries du Brabant Wallon.
Jusqu'à ce jour, ils font semblant de chercher les vrais coupables ou ils ne risquent pas de les trouver !                              
Certaines personnalités, qui ce relais au Pouvoir, parviendront toujours par le biais des médias à vous faire accepter ces situations d’échecs en vous distrayants à coup de Commissions parlementaires enveloppé de publicités mensongères, et ce, en vous jetant aux visages des inculpations et des coupables fabriquer et disséquer par les médias qui sacrifie la vérité et oui car ceci, c’est la réalité actuelle, puisqu’il suffit qu’un organisme de presse avec l’aide de Services Spéciaux et Ultra spéciaux de l’Etat s’acharne, sur vous et du jour au lendemain les systèmes judiciaires rajoute des dizaines d’indices de culpabilité et ce, sans tenant ou aboutissant et les remplace par la fabrication de réelles élément d’Enquêtes Judiciaires de culpabilité. En premier ce n’est en aucun cas la Justice qui vous condamne, c’est d’abord la presse et seulement après que vous avait été disséqué par cette dernière et qu’il ne reste plus rien de vous, la justice prend alors le relais et réussie alors à vous pulvériser. Lorsque je tire mes conclusions objectives, concernant ces Commissions parlementaires, il m’apparaît clairement que ces manipulations diverses non voulues et voulues auront servie principalement a augmenté le prestige de certains Services de la Gendarmerie mis en cause dans les Tueries du Brabant Wallon englobant certains groupes politiques en vue des futures élections provinciales et électorales de l’époque.
Dans l’ensemble des affaires politiques directement en relation avec les Tueries du B.W, et faits criminels connexes : Il faut savoir qu’en final les Responsables de ces Commissions parlementaires ne sont jamais parvenus ou à prouver leurs volontés à vouloir avancer la moindre certitude quant aux commanditaires ou exécutants réels relier aux Tueries du BW. Les seules conclusions des Commissions en question auront été d’attiser les ragots et rumeurs odieux à mon encontre et rien de plus.
Dame Justice, cette prostituée de luxe, n’a qu’à bien se tenir, car ce ne sont pas les dossiers explosifs et compromettants de l’époque qui manquent et qui, bien sûr, ont fini par des prescriptions. Le moins que je puisse écrire, c’est qu’ils sont forts, les corrupteurs, les maîtres chanteurs, les assassins !
À propos de la Sûreté de l’état :     Aux cours de différentes enquêtes en relation avec les tueries, d’ex-fonctionnaires, auront mis clairement en cause la Sûreté de l’État à travers son ex-administrateur Albert Raes .
Je cite certaines pièces de procès-verbaux ou Monsieur Raes Albert l’administrateur général, est mis sur la sellette : par certains fonctionnaires, et d’après ses déclarations il paraîtrait que pendant ces fonctions à la Sûreté   de l’État, ce dernier n’aurait pas tout fait en blanc, mais il n’empêche qu’en 1989, celui-ci, s’est vu élever au rang de Commandeur de l’Ordre de Léopold II (Moniteur du 15/11/1989), ce qui est, la plus haute décoration civile pour service rendu à la nation.
Le moins que je puisse écrire ; c’est que nos Responsables d’Etat de notre pays de 1985 ont toujours eux et malheureusement la fâcheuse manie, de mettre en avant cette tradition consistant de ne jamais traiter nos héros devant les tribunaux. L’attitude et certaines actions malsaines de nos responsables d’État sont pour le moins incroyables, au vu des soupçons et accusations multiples de collègues de travail et témoins ayant fournie de très graves informations pesant sur certains membres de la Sûreté de l’État. Manifestement dans notre pays, nos responsables juridiques et politiques ne traînent jamais nos héros au-devant d’enquête et d'éventuelles sanctions ou tribunaux. D’après différents journaux, M. Albert Raes, et plusieurs de ses lieutenants de même que quelques autres ont toujours manifesté leurs blancheurs, dans ses affaires et je ne peux alors que m’étonner à la lecture de certains passages figurant dans des procès-verbaux en rapport avec ces respectables citoyens :
P.-V. n° OOO34O, du 15 /02/88, de la brigade de Gendarmerie.                    BSR- Wavre. cel. Mendez. Le 15/02/88 à 14.00 heures, a été entendu par moi nous verbalisant par moi, nous verbalisant. Nom et prénom : Dufrane Michel, Lieu et date de naissance : Uccle, le 26/07/1950.Profession : Entrepreneur de Jardin, État civil : Époux Debay Daniel adresse Avenue du Bois de la cambre 199, à 1050 IXELLES. Qui a déclaré : Je désire m’exprimer en français et fais choix de la procédure en cette langue.                                                                                                       J’ai fait partie de la sûreté de l’État de 1976 à 1984.                                                 En 198O au B4, service de protection dirigé par M. Smets, jusqu’à 1981.                                                                                                                                                                                                                 De 1982 à 1984, j’ai été placé au service des Visas, voyant que je ne pourrais plus le quitter, suite au différend qui m’opposait à Raes, j’ai estimé ne plus avoir d’avenir dans cette administration, et je l’ai abandonné.                                                                                                       Mes problèmes avec M. Raes commencent vers 198O.                           On m’accusait d’avoir organisé des fuites vers des mouvements d’extrême droite, chose que j’ai toujours nié.                                                         Il était de notoriété dans ce service, que c’était Smets et Deroock qui organisaient ces fuites.                                                                             Vous me demandez s’il est exact que le service de protection était doté de munitions HOLLOW-POINT ; je crois que c’est encore le cas actuellement. A votre demande de savoir si en 1981 la Sûreté de l’État a créé un service spécial, il existe un service tout à fait spécial, qui est réglementaire, qui a toujours existé et dont je ne peux pas vous expliquer le fonctionnement pour des raisons de secret professionnel qui n’entrent pas dans votre enquête. Cependant je vois à quoi vous faites allusion.  Vers 1981, j’ai été contacté par monsieur Smets, qui me proposait de faire partie d’un service de protection spéciale qui dépendrait directement de Monsieur Raes.                                                                   Lorsque j’ai demandé des explications sur ce service qui devait être créé, Monsieur Smets, m’a fait part d’un service secret dont les autres membres de la Sûreté ne pouvaient être au courant.                           Il m’avait interdit de parler de cette proposition à quiconque.                           Il m’a dit que c’était un service qui serait chargé de faire toutes les crasses de Monsieur Raes, et les coups les plus tordus que l’on puisse imaginer.                                                                               Lorsque j’ai demandé, s’il y avait d’autres candidats, M.Smets a refusé de me donner une explication.                                                                   Je sais que ce service serait le seul, à avoir la possibilité de disposer de la documentation, de toutes les brigades d’aide et de la protection de celles-ci.                                                                                       Comme le service de protection ne m’intéressait absolument pas, j’ai répondu que j’étais d’accord préférant le service de renseignement.                                                                                                       Deux ou trois jours plus tard, j’ai été appelé chez M. Vangorp, qui m’a demandé si Monsieur Smets m’avait sollicité ou parlé du projet de, Monsieur Raes. J’ai hésité à répondre, mais voyant la question posée par Vangorp, j’en ai déduit, qu’il devait être au courant, et j’ai répondu par l’affirmative.
C’est alors que celui-ci, me dit, que M. Raes était devenu fou et que s’il créait cette section, cela finirait en Justice.                                                         Il m’a ajouté, que si on lui posait la question, il nierait l’existence de ce service jusqu’à sa mort.                                                                                     Je précise qu’au départ de ce service spécial, une note interne très laconique avait été rédigée, faisant état que ce service aurait accès  à l’ensemble de la documentation et l’aide des brigades, chose qui ne s’était jamais fait, étant donné que toutes les brigades sont Cloisonnées, à l’exception de M.Raes et de son adjoint.                                                                                         C’est ainsi que suivant certains bruits qui ont couru, d’autres personnes ont également été sollicitées. Je citerai en l’occurrence : M.Christian Deroock, qui était très lié avec --M.Smets, --M.Latour Francis, --M.Diviviers Jean-Marc, -- M.Messens Luc,--M. Messens Dirk, et --M.Brouwaeyns Piet.                                                                               Du fait que la création de ce service avait été ébruitée, il est vraisemblable, qu’il n’a jamais été créé officiellement, du moins à ma connaissance A votre demande de savoir, si ce service n’a pas été créé vers 1981-82, par des éléments extérieurs, je vous réponds que c’est possible, mais que je n’en sais rien.                                                                         Je dois également vous dire, que je conçois, que du fait que j’ai quitté la Sûreté, on puisse croire que j’ai fait ces révélations par esprit de vengeance.                                                                                             Je tiens à vous signaler, qu’en aucun cas, je n’agis avec une telle intention, mais uniquement parce que ces éléments reflètent la vérité. J’en veux pour preuve, qu’en 1981, lorsque j’ai été entendu par le Juge d’Instruction Lyna, c’est-à-dire bien avant mon départ de la Sûreté, j’avais exposé ces éléments au magistrat.                                                                                                                       A ma souvenance, ceux-ci, ont été actées dans mon audition ?                     Si je ne puis vous dire si cette fameuse section a été créée ou non, j’ai cependant constaté que quelque temps après, M.Smets et M. Deroock, se rendaient assez souvent chez M.Raes, en passant par-dessus son adjoint, ce qui me laisse croire que cette section a peut-être été créée par eux.                                                                                         A votre demande de savoir si j’ai connaissance des relations entre M.Smets, et le Sieur Calmette, je vous dirai que je ne sais pas.                                       Toujours dans cet ordre d’idée, je dois également vous dire ce que j’ai déjà déclaré aux magistrats de Bruxelles, qu’à l’occasion des affaires du Westland New Post, après mon audition par les magistrats, M.Raes a voulu connaître les questions posées et les réponses données. Etant donné le secret de l’instruction, j’ai refusé de satisfaire à sa demande, ce qui a fortement irrité l’administrateurs de la Sûreté.                                                           Au moment où je sortais de son bureau, après l’entretien, j’ai été rappelé par M.Raes. Il m’a posé une question qui semblait en dire long : « Etes-vous au courant de crimes ou de délits que nous aurions commis à la Sûreté ? » J’ai été interloqué par cette question. Je lui ai répondu que des crimes je n’en connaissais pas, mais pour les délits, je devais réfléchir.                             Suite à cette réponse, j’ai été invité à quitter immédiatement le bureau.                                                                                                                  Je dois vous dire que le personnel de la Sûreté de l’État considère l’Administrateur Monsieur Raes, comme un tyran doublé d’un malade mental.                                                                                                           En réponse à notre entretien, je dois encore vous dire, qu’un jour, j’étais occupé à une enquête sur le fils Pourtois Willy, M.Van Gorp, ayant appris cette enquête, m'a fait des reproches en me disant qu’il n’y avait pas lieu de faire l’enquête, que M.Pourtois Willy, était un trafiquant d’armes et qu’il travaillait pour la Sûreté de l’État.. J’ai appris qu’il avait travaillé avec M. Vangorp, et ensuite a été repris par M.Decan et M.Abel Vandame                                                                                             (Lecture faite, persiste et signe sur le présent).                                                
Après l’attaque sanglante de l’armurier Dekaise à Wavre (reliée matériellement aux tueries du Brabant wallon), M.Willy Pourtois, sera cité à plusieurs reprises comme témoins dans ces faits, mais ne sera jamais poursuivi en Justice. Souvent et de façon légitime je me demande Pourquoi ce dernier n’a jamais fait les frais d’une véritable enquêtes ?- ; En lisant les procès-verbaux suivant il vous sera facile de le comprendre: A ma connaissance et sauf erreurs de ma part, ce dernier n’aura jamais au grand jamais subis une analyse sanguine pour comparaison avec les dossiers Judiciaires de rapprochement de sang avec les faits des actes sanglant des Tueries du BW et c’est exactement pareil pour l’ex directeur de la prison de Saint Gilles, Jean Bultot, car dans l’histoire des enquêtes Judiciaires sur les Tueries du BW, jamais il aura consentie a accepter une comparaison sanguine et ce, en trouvant mille et un prétexte de ne pouvoir quitter le  pays où il vie Et ce, à cause de raison de manque d’argent. Pareil pour Dutrou et sauf erreur de ma part, jamais au grand jamais une mesure de formalité aura été prise pour passer à une simple concordance de comparaison sanguine qui aurais peut-être été nécessaire au bon fonctionnement de l’enquêtes en relation avec les Tueries du BW. Je n’insinue ou accuse personne, je tire seulement la sonnette pour savoir pourquoi certaines personnes peuvent échapper a l’investigations des enquêtes Judiciaires relier au Tueries du BW. C’est pareil, pour Christian Bonkoffsky, ex gendarmes qui aura fait partie du groupe d’intervention Diane de 1977 à 1979 et décédé en 2015 et qui aura été mis en cause dans les Tueries du BW par son propre frère. Suite a différentes enquêtes Judiciaires, ils auront très vite découvert un terrain abandonner avec une caravane partant à la ruine ou de son vivant Christian Bonkoffsky ex-gendarme, y passais de nombreux Weekend. Ce que je n’arrive pas à comprendre, c’est pourquoi les enquêteurs non jamais fouiller avec une pelleteuse se terrain abandonner pour avoir enfin l’ultime certitudes qu’aucune armes ou objet relier aux Tueries du BW, n’aurais été enterrer dans son terrain. Martial Lekeu lui aussi ancien gendarme et qui se sera  enfui en catastrophe en Amérique et aura déclarer qu’une cellule baptiser  GAP, c’est-à-dire groupe actions Politiques, ayant pris naissance en secret au sein de certains Services de la Gendarmerie, lui semblait impliquer dans les attaques sanglantes des Tueries du BW.
P.-V.n° 100418, du 22/02/88, de la brigade de Gendarmerie B.S.R. Wavre le 22/02/88 à  09.00 heures, a été entendu par moi/nous verbalisant (s) : Nom et date de naissance : Saucez Frédéric lieu et date de naissance :  Jemappes,  le 05/06/53  Profession : Employé  État civil : époux Mergny Béatrice Adresse  Rue Franklin n° 128/M à 1040 Bruxelles. Qui a Déclaré :     A votre demande de savoir dans quelles circonstances, j’ai été conduit à faire partie du W.N.P : Vers la mi-août 1981, me trouvant au centre de Transmissions à Evere en tant que militaire de carrière, j’ai travaillé en compagnie du nommé Dejode.                                             C’est à cette période qu’est arrivé également le nommé Libert, et il m’a alors fait part qu’il faisait partie d’un mouvement et m’a proposé d’en faire partie. J’ai accepté sa proposition, et m’a dit, qu’il allait contacter ses chefs à ce sujet.                                                               Il me donna une carte blanche avec le Sceau du W.N.P, et une carte rouge REISPOSTE, et je fus introduit dans l’organisation.                                                                       A votre demande de savoir si lors de mon introduction au WNP, j’ai eu l’occasion de rencontrer le nommé Latinus : Je vous dirai que j’ai seulement eu des contacts avec l’intéressé quatre mois avant sa mort.                                                                                                                 A votre demande de savoir si j’ai connaissance que Latinus détenait des dossiers particuliers, Latinus m’a fait part qu’il avait un dossier de mœurs Pinon, Distrigaz, Oudijk, et un autre de drogue.                             Latinus donnait l’impression qu’en détenant ces dossiers, il pouvait faire pression sur certaines personnes.                                                                   A Votre demande de savoir, si Latinus détenait un document sur un coup d’État en Belgique, je vous dirais que Latinus, ne m’a jamais parlé en ce sens.                                                                                             Comme je vous l’ai dit, j’ai rencontré Latinus, environ quatre mois avant sa mort. C’est-à-dire, que je l’ai fréquenté.                                               Un jour, je me trouvais avec l’intéressé et Nemery, nous avons conversé de cette affaire, parce qu’individuellement nous avions certaines craintes. Nous en sommes arrivés à avoir un pressentiment selon lequel des gens du WNP-Westland New-Post, ou, proches, pouvaient être à l’origine de ces faits sanglants.                                                                                                    
Il est très difficile d’expliquer mes appréhensions que je conserve toujours.                                                                                                                 Vous me demandez quel est le lien que je faisais entre le WNP et ces faits. Je vous dirai que nous avions été frappés au départ, par une certaine similitude lors des faits, avec des cours qu’ils nous avaient enseignés.                                                                                                         A votre demande de savoir, pour quelle raison Latinus, a dévoilé au grand jour le mouvement (WNP), alors qu’il s’agissait d’une organisation créée par lui et qui devait rester secrète, je vous dirai que Latinus n’a jamais expliqué pourquoi exactement, mais il prétendait que c’était parce que, certaines personnes auraient fait des saletés. J’ai eu le pressentiment qu’il s’agissait de faits pouvant avoir un rapport avec le Brabant wallon, vu les appréhensions que nous avions.                                                                                               Je vous dirai encore que la veille ou l’avant-veille de la mort de Latinus, celui-ci m’a téléphoné.  Il prévoyait de nous rencontrer avec Karl de Lombards, car il voulait que nous allions tous les trois chez l’inspecteur Marnette. Il ne m’a pas expliqué le but exact de cette visite, mais il m’a dit qu’il avait appris des choses importantes sur les événements du Brabant wallon. Etant donné son décès, je n’ai pas eu de contact.                                                                       A votre demande, il est exact, que peu avant sa mort, Latinus en voulait énormément à Smets. Je n’en connais pas le motif exact, mais j’ai eu l’impression que cela était dû à une amitié qui a été trahie pour des raisons qui me sont inconnues.                                                         (Lecture persiste et signe sur le présent).
P.-V. n° 100418 du, 22/02/88 de la brigade de gendarmerie B.S.R..Wavre le 25/02/1988 à   10.00   heures, a été entendu par moi/ nous verbalisant(s) Nom et prénoms : Delombaerde Charles Ernest Adolphe. Lieu et date de naissance : Ngawi ( Java) le 10/09/ ? Profession : Retraité, rue Washington n°.6. Qui a Déclaré :
Si mes souvenirs sont exacts, j’ai connu le Sieur Latinus fin 1981, par l’intermédiaire de Michel Libert.                                                                
Très rapidement, après nos contacts, j’ai appris qu’il travaillait pour les services de la Sûreté de l’État, plus précisément pour M. Smets. Je précise qu’il était rémunéré.                                                                               A votre demande de savoir, si je suis au courant qu’à une certaine période qui se situe au moment des faits de Nivelles, Latinus avait des craintes que des membres du W.N.P ou, des proches de ce mouvement, pouvaient avoir à faire dans les faits sanglants en question, je vous dirai que la réponse est très difficile.                   Latinus ne m’a jamais donné d’explications à ce sujet.                               Vous me demandez s’il est exact, que la veille de sa mort, Latinus m’aurait téléphoné en me proposant un rendez-vous pour le lendemain. Si mon souvenir est exact, un jour avant sa mort, ce dernier m’a téléphoné vers 17.00 heures me disant, qu’il fallait absolument se rencontrer, car nous devions aller chez Marnette.                           Lors de cette proposition, j’ai demandé les raisons, il m’a dit qu’il était au courant de tout ce qui se passait.                                                             Latinus m’a également appris qu’il était en possession de renseignements importants sur les événements du Brabant.                             Il n’a pas voulu me donner plus de précisions au téléphone sur ces différents éléments.                                                                                             Je précise qu’il m’avait fait part que Saucez, devrait-être présent au rendez-vous.  Je n’ai aucune connaissance de l’endroit où Latinus aurait pu obtenir ces renseignements, puisque le lendemain, j’ai appris sa mort.             Lecture faite persiste et signe sur le présent.
Christian Smets, commissaire à la Sûreté de l’État, a été cité uniquement en tant que témoin au cours des enquêtes relatives aux tueries du Brabant wallon et plus particulièrement lors d’une affaire connexe, en relation avec le suicide… par pendaison… de Paul Latinus, il sera totalement blanchi par notre système tout comme Monsieur Albert Raes et les autres fonctionnaires.                                                      
Les prédateurs du Procureur du Roi, Jean Deprêtre.
Si la lumière est un jour faite sur le pourquoi des tueries - mais ceci-dit, je peux légitimement douter qu’elle le soit, car à mon sens, cela ne sera certainement pas à cause du Procureur du Roi de Nivelles, qui pendant des années se sera durement battu pour que des innocents et bouc émissaires puissent être culpabilisées devant la Justice. Car il ne faudrait pas oublier les rapports balistiques sciemment cacher et rester dans les tiroirs du bureau du procureur du Roi Deprêtre alors que cet élément de preuves formels pouvait innocenter les Borains, « Cocu et consort ». Le revolver Rüger, qui disculpé Michel Cocu et consort des tueries du Brabant wallon, ce haut Magistrat qu’étais le procureur jean Deprètre, responsable d’enquête le gardera cacher durant des mois et ce, au fond d’un tiroir le rapport balistique du centre de recherche allemand (B.K.A : Bundeskriminalamt ne viendra entre les mains de Maitre Moereman avocat de Cocu, qui une fois entre sa main pourra prouver matériellement l’innocence de son client.
Car il faut que les choses et les Faits Matérielles de ses actions devant la Justice finisse un jour par être reconnu. Cet homme de Loi, n’aura manifestement jamais contribué de façon objective à l’évolution positive de l’enquête sur le suicide prétendu de Paul Latinus ou des autres crimes qui sont manifestement tous à relier aux tueries du Brabant wallon.                                                                                      
Monsieur Jean Deprêtre, Procureur du Roi de Nivelles aura toujours soutenu et défendu Inlassablement sa position d’obtus et ce, jusqu’au pire de l’absurde en défendant une thèse…partial et par conséquent abracadabrante au possible de « prédateurs » pour tenter d’expliquer et ce toujours, sans en apporter la moindre preuves matérielles en relation direct avec l’attaque du Colruyt de Nivelles mais aussi englobant matériellement l’ensemble les tueries du B.W, a des actes purement criminels de prédateurs et surtout n’ayant jamais le moindre rapport avec ses idées consistant a niés l’éventualités que les Tueries du Brabant Wallon aurez pu avoir  des connections Politiques et Judiciaires. Au cours de mes présents écrit je prouverais matériellement que les Tueries du BW sont Politiques. Pour lui, la piste de l’extrême droite ou de l’implications de certains Services spéciaux de l’Etat « était et restera tout à fait dérisoire, quant aux ballets roses, ils relèvent de la pure fantaisie
Entre octobre et novembre 1992, le Premier Substitut du Parquet de Bruxelles Monsieur Winant, prononce un non-lieu, dans l’affaire de mœurs instruite par le juge Bulté, (et baptisé par la presse) ‘’Pinon’’ (Docteur psychiatre par qui entre autres témoignages, l’affaire sera révélée au grand public. Mais elle aussi très vite étouffer)                                       En me basant sur certains passage du Rapport de la Commission Parlementaire de six volumes, j’apprends : Qu’après de multiple rebondissement médiatique surgie un témoin clé sur la chaîne de télévision V.T.M, Maud Sarr, «  ex prostituée » qui a fait partie dans les années 1970, du célèbre réseau de Madame Claude, et qui viendra par la suite exploiter ses charmes en Belgique dans le réseau non moins célèbre de Lidia Montaricour.                                                                                  
Le témoin… en question Maud Sarr, sera dans un premier temps catégorique, en citant des…clients célèbre comme : Jean Deprêtre Procureur du Roi de Nivelle ; l’ancien Premier Ministre Paul Vanden-Boeynants ; L’ex Avocat de la Cour d’Appel de Bruxelles Henri Jaspart ; le Général G -Beaurir (décédé), ainsi que d’autres personnalités encore plus importantes.                           C’était un fameux pavé qu’elle avait lancé en évoquant l’usage de drogue prohibée et la présence de mineurs d’âge au cours de certaines parties fines.                                                                                  
Après les accusations explosives de Maud Sarr, de nombreuses personnalités seront mises aux bancs des soupçons en relation avec des parties fines ou auraient participé des mineurs d’âges.                            
P.V. 665 pièces 206 Dossier 298/83-308/83. Cartons XVII. Du 18 juin 85 Balfroid Franc S/s officier BSR de Wavre.                         Déclaration de ce s/s officier, Portons à la connaissance de monsieur le juge d’instruction Sclhicker qu’à l’occasion des enquêtes Brabant wallon, nous avons appris d’une personne digne de confiance que : Une enquête très importante avait été effectuée par le COMITE SUPERIEUR DE CONTROLE, en cause notamment de Charlie Depauw (actuellement décédé) ainsi que diverses personnes pouvant avoir des liens avec certaines victimes du Brabant wallon ayant perdu la vie pendant les attaques sanglantes. Il semble qu’au stade actuel la brigade de gendarmerie et la P.J. de Bruxelles effectuent une enquête qui aurait déjà été effectué par le Comité supérieur de contrôle. Dans ce dossier il est notamment question de Monsieur Mathot et d’une cassette vidéo prise dans une maison du Rouge Cloître à la Hulpe.                                   Cette cassette aurait pour objet des faits de mœurs dans lesquels diverses personnalités seraient impliquées. Elle aurait en son temps été racheté par Charly Depauw pour une somme de 140 millions de francs, mais qu’une copie serait en possession d’un notaire.                                               Nous demandons à monsieur le Juge d’instruction s’il avait été possible d’avoir en communication ce dossier afin d’éviter de refaire une enquête, qui aurait déjà été faite et de pouvoir comparer les éléments de ce dossier avec ceux en notre possession.                         (Lecture persiste et signe)                                                                                                 Bien entendu, personne ne voulut ou pouvaient se payer ce luxe suicidaire de croire Maud Sarr, qui était largement dépassé par les accusations quel avait lancé sans preuve contre des personnalités ; D’autant qu’au même moment elle avait des démêlés avec la justice Cette dernière sera bien évidemment soumise à des problèmes judiciaires ou du même coup elle fut écrasée par les rouleaux compresseurs des médias.  
Très vite elle retourna sa veste et fera d’autre déclaration plus nuancée voir sans importance.
Dans les journaux de l’époque M. Melchior Wathelet, alors Ministre de la Justice, qualifiais enfin certains agissements de M. Deprêtre comme étant d’une exceptionnelle gravité… Il menaçait, dans un premier temps, de suspendre provisoirement le procureur, voire, si cela devait s’imposer, définitivement. Malheureusement pour la  vérité et la justice et heureusement pour  M. Jean Deprêtre, nous sommes en Belgique, et par conséquent le dossier répressif fut confié à un collègue et connaissance de ce dernier, Monsieur Krings, Procureur Général près la Cour de Cassation, fera suivre les devoirs d’enquête du chef de faux et usage de faux à charge d’inconnus et malgré le fait que Jean Deprêtre, sera accusée par un greffier de s’être fait communiquer une dizaine de dossiers pour lesquels il aurait signé des citations antidatées afin de proroger les délais de prescriptions  de plusieurs affaires pénales.   L’instruction dirigée par le Conseillé P. Lambeau aboutit en 1986, à un non-lieu.                                                                 Au mois de mai 1990, par le biais des médias, Monsieur Jean Deprêtre sera donc lavé de tout soupçon.                                                   Il va de soi qu’au vue, de sa probité quelque peu chancelante en relations avec les affaires des tueries du B.W, et dossiers connexes j’en viens à me demander s’il est encore correct d’avoir laissé des années durant en fonctions dans des dossiers aussi complexes. Reste à s’avoir Pourquoi ce Procureur du Roi Jean Deprêtre, ce sera autant démener autant pour tenter de faire admettre sa thèse des ‘’prédateurs’ n’ayant jamais fournie les moindres éléments matériels de ses affirmations impliquant uniquement des voyous ou braqueurs de bas étages et ce, sans preuves ou d’indices crédible dans les actes des Tueries du Brabant Wallon.
Une question me reste cependant lancinante à l’ensemble de mes études c’est quand j’analyse la façon, dont il pèsera de son influence sur le Juge Schlicker, qui instruisait l’enquête sur les tueries et le ‘’suicide…’’ de Paul Latinus : Tous les indices judiciaires réunis dans l’enquête sur le suicide de Paul Latinus, indiquait pour le moins, qu’un assassinat avait été commis en 1986 et malgré cela, le Parquet don question demandait aussitôt à la chambre du Conseil de classer cette affaire sans suite ?
En janvier 1987, un arrêt de la Cour de Cassation ordonnait le dessaisissement du Parquet de Nivelles dans le dossier des tueries du B.W.
Le Dossier en question sera confié au Parquet de Charleroi, mais à part cette mesure toute formelle, rien ne changera fondamentalement.
Il y aura quelques turbulences au sein du monde de la magistrature et du Politique, mais ce ne sera que des coups d’épée dans l’eau.                         Par le biais des médias, j’apprends que : Le Député Claude Eerdekens, à par écrit officiel, posée plusieurs questions au Ministre de la Justice Melchior Wathelet : Quant à savoir s’il se préoccupait de la politique de deux poids deux mesures menée au Palais de Justice de Nivelles où un Procureur continuait à œuvrer alors qu’il défrayait la chronique judiciaire depuis des années.                                
Le Député en question devra attendre près de trois ans, pour entendre le Ministre répondre, par médias interposés et sur base des conclusions du Procureur du Roi Krings, que plus rien à ce jour ne pouvait être reproché à monsieur Jean Deprêtre. Il faut notamment aussi savoir qu’à partir de la première tuerie du Brabant wallon et crimes de sang relier aux même tueries les soi-disant témoins ont presque dans tous les cas de figure porter des accusations contre moi en affirmant que j’étais un des tueurs du Brabant Wallon, alors que j’étais incarcérer en prison. Malheureusement pour moi, la seule tuerie d’Alost, qui est relier matériellement aux autres tueries du Brabant wallon, j’étais libre alors cela a été l’occasion rêvée pour eux de me tailler un costume sur mesure et je fus inculpé pour cette tuerie. Il ne faudrait pas perdre de vue que dans les autres faits, des crimes attribuer aux Tueurs du Brabant Wallon, ma famille et moi-même étions incarcérer, alors suivant ces circonstances, il faudrait aussi se demander pourquoi, l’ensemble des témoins, ont toujours décrit ma personne comme étant celui, qui ressemblait très fort et le plus, a un des tueurs du Brabant Wallon. Ce qui me semble pas du tout correspondre aux enquêtes Judiciaires car aucun portrait robots n’aura eu une quelconque similitude ou ressemblance avec mon visage ou ma stature. Pour ce qui concerne les accusations multiples contre ma personne, ils auront été surtout iniques et vide de sens ou d’aboutissant puisque faite par Yvette Vanhémelryck qui en réalité et entre autres ne cherchait qu’à toucher la prime de 250 mille euros offerts par Delhaize.
Il faudrait aussi remettre cela un peu à jour et savoir que j’utiliser cette dernière pour me louer un appartement et pour mes activités en général et tous qu’elle a pu apprendre de moi ou des rumeurs qui circulaient par la volonté des enquêteurs qui bien évidement lui auront appris ses leçons pour avoir un minimum de crédibilités. Cette dernière aura marché a 1000 %, dans ce complot d’Etat et ce, pour des dizaines de raisons. La première raison, j’ai quitté Yvette Vanhémelryck, car j’ai appris qu’elle avait une deuxième vie, dans le monde des bars a pute et dancings et que sais-je encore. Suite à cela, j’ai quitté cette personne, pour me mettre en ménage avec une autre femme Rosana Moretto ce qui mettra Yvette vanhémelryck en super colère passionnelle et par la suite sa colère rouge se verra apparaitre dans les déclarations qu’elle fera contre moi dans le cadre des tueries du Brabant wallon. Jamais elle n’aura accepté que je la quitte pour une autre femme. Jalousie et haine passionnée, quand tu nous tiens, nous pouvons faire n’importe quoi. La preuve par toutes les déclarations qu’elle aura faites contre moi, c’était vraiment pour m’enterrer vivant en prison et ce, pour le restant de mes jours.
Les faits Chronologie générale des faits relier matériellement aux Tueries du BW ou j’étais libre mais aussi ou je possède matériellement les preuves formelles de mon innocence puisque j’étais incarcérer en prison mais cela n’aura pas empêcher certains écrivains, journalistes a 5 centimes et témoins mythomanes d’écrire et de déclarer des accusations absolument grotesque se résumant a affirmer, que l’ensemble des directeurs  de prison me laisser sortir régulièrement et ce, de façon illégal pour commettre  l’ensemble de c’est délits et crime relier aux massacre dans le Brabant Wallon.
N’1) - J’étais en Prison. Ixelles, av d’Italie 32. 10/05/1982 vol d’un Austin alégro, découverte par la police du véhicule a Lembeek, chaussée de Mons 11/05/1982
N’2) -J’étais en Prison. Lembeek, Le 11/05/1982, garage, vol d’une voiture Santana, découverte par la police à Watermael-Boitsfort et incendié le 30/09/1982
N’3) - J’étais en Prison. Dinant 13 mars 1982, Samedi dans la ville de Dinant a l’armurerie Bayart ; vol simple d’un fusil de type canardière de 8 mm
N’4) J’étais en prison. Ixelles avenue d’Italie 32 le 10 mai 1982 M, Levy Missi sera victime d’un vol de voiture Austin alégro et sera retrouver le 11/05/1982 a lembeeck chaussée de Mons.
N’5) J’étais en prison. Lembeek, 11 mai 1982, Mardi entre 20 h et 07 h 15 garage vol d’une voiture Santana a Watermael Boitsfort et incendiées le 30/09/1982
N’6-) J’étais en prison. Maubeuge, Samedi 14/08/82 à 03h25 a la Boutique Piot, Vol qualifié avec utilisation d’armes à feu ou le policier Delacourd sera blessé par balles, par l’utilisation de trois armes à feu, 6,35, et 7,65, plus la canardière de 8 mm voler le 13 mars 82 a l’armurie Bayart.
N’7-) j’étais en prison. Wavre, 30 septembre 1982, Jeudi à 10h35 Armurerie Dekaise Daniel Vol à main armée pour prendre plus de 16 armes de poing et de guerre munie de silencieux. Pistolet 7,65- Pistolet 9mm Fusil de chasse calibre 12mm Un policier Abattu, Haulotte Claude. Deux Membres de la B.S.R. de Wavre. Sartillot B. et Campine R. Seront Blessés et trois personnes rouées de coups
N’8-)… innocent car j’étais en prison le 23/12/82 ! Un admirable endroit de rencontre, situé aux alentours de Beersel, baptisé l’Auberge du Chevalier Concierge José Vanden Eynde, a 2 h du matin et généralement réservé à de hautes personnalités diverses, ainsi qu’aux fins gourmets. Meurtre pour faciliter le vol comprenant des bouteilles de vins et quelques centaines de francs. Le concierge Vanden Eynde J. sera torturé puis exécuté froidement à l’aide d’un Pistolet F.N. 22 mm
N’9-) … innocent car, le 12/01/1983, j’étais à la prison. 12 janvier 1983, Mercredi dans les alentours de la ville de Mons Constantin Angelou Taximan de profession sera découvert mort dans le coffre de son véhicule Taxi car sera froidement exécuter avec un Pistolet un F.N. de calibre 22 mm. L’enquête Judiciaires conclut trop vite que Constantin Angelou, sera simplement victime d’un Car-Jacking car ils lui déroberont la somme d’argent de 550 francs Belges
N’10-) … innocent car, le 28/01/83, j’étais en prison !     Watermael-Boitsfort, 28 janvier 1983 Vendredi à 20H30 Particulier M. Raymond de Wee, sera victime du Vol avec Violence de sa Peugeot 504 et elle sera retrouvée le 15/02/83 Abandonné chemin Papelotte a Waterloo. Pour commettre se délit les agresseurs seront munis d’une Mitraillette.
N’11)… innocent car, le 11/O2 1983, j’étais en prison. Genval, 11 février 1983, vendredi à 19h10 au magasin Delhaize fera l’objet d’un hold-ups a l’aide d’un révolver 38 spécial et d’un fusil automatique.
N’12-) … innocent, car, j’étais en prison. Région de Lasne plus exactement à Plancenoit lundi 14 février 1983, à la tombée de la nuit à 19h20, Mme Van Lidth de Jeude  Genevieve, fera les frais d’un Car-Jacking de sa Golf Rabbis 4 portes et un peu d’argent de poche lui sera aussi voler. Son véhicule sera retrouvé dépouillé le 19/06/83 dans la région de Hourpes
N’13-) … innocent, car, j’étais en prison. Ville d’Uccle, 25 février 1983, vendredi à19h20 le Delhaize sera braqué Butin :18OO.OO0 francs. il aura une personne de blessé. Arme de poings utilisés 38 spécial ou 357 magnums
N’14-) … innocent, car, j’étais en prison. Halle, 3 mars 1983, Jeudi 19h30 Hold-up au Magasin Colruyt. Butin : 1.182.115 francs plus une violence gratuite sur les clients du magasin et des passants se trouvant dans la chaussée d’Enghien firent les frais de coup de feu, sans toutefois être blessé. Cependant le gérant M Verstappen, sera froidement abattu. Armes utiliser ; Rüger 38 SPL, chargé de 9mm et fusil de chasse à canon scié
N’15-) … innocent, car, j’étais en prison. Ville d’Etterbeek Vendredi 06/05/83. Vol simple d’une Audi 100 et qui sera retrouver à Houdeng -Goegnies le 07/05/83
N’16-) … innocent, car, j’étais en prison. Région d’Houdeng-Goegnies Samedi 07/05/83 Magasin GB-INNO-BM vol à main armée. Butin : quelques centaines de milliers de francs Le véhicule Audi 100 volée la veille sera abandonnée à quelques kilomètres du GB
N’17-) … innocent, car, j’étais en prison. Braine-l'Alleud, 8 juin 1983, a 1 heures du matin au garage Denuit appartenant à Michel Jadot, a Braine L’Alleud, vol d’une voiture Saab 900 Turbo ou avec une arme à feu 22 mm, ils abattront le Berger allemand ce trouvant sur la propriété. Le véhicule Saab Turbo sera retrouvé à Braine-l’Alleud 17/09/1983 Vers 10h25
N’18-) … innocent, car, j’étais en prison. Braine-l’Alleud, Samedi 28/05/83 dans un entrepôt vol qualifié de (Bouteilles acétylène et oxygènes et matériel de découpe qui serviront pour la découpe de la porte Blindé du Colruyt de Nivelles le 17 septembre 1983 ou plusieurs personnes seront exécuter froidement.
N’19-) … innocent, car, j’étais en prison. Tamise, Filature Wittock van Landeghem 10 septembre 1983,    à 2 heures 30, Vol à main armée de gilets pare–balles le concierge Broeders Joseph, sera froidement abattu à bout portant et son épouse Van Huffelen Linda, sera grièvement blessée. Les armes utilisées sont les mêmes que celles qui auront servies dans les tueries précédentes pistolet F.N. 22mm et un  Riot Gun cal. 12mm                
N’20-) … innocent car je venais de m’évader de la prison à 20 H et des poussières avec 28 détenus dont deux jeunes compagnon que j’ai pris avec moi et je ne pouvais pas me trouver au Colruyt de Nivelles au moment de la boucherie humaines puisque à ce moment très précis nous étions encore a Tournais vers les 1 heures 30 du matin, puisque nous étions véritablement encercler  par la Police, et avant de pouvoir voler une voiture  ils nous aura fallu nous cacher pendant des heures sur les voix ferrer de la ville de Tournais et lorsque cela se sera calmer, c’est alors que j’ai juger qu’ils était propice de commettre un délit à Antoing, en volant voiture B.M.W. pour lequel j’ai d’ailleurs été poursuivi et condamné à deux mois de prison : Comment aurais pu, participer à l’attaque du Colruyt de Nivelles alors que je venais de m’évader de la Prison de Tournais. J’avais toute la Polices du Royaume de Belgique au fesse et croyez moi que mon seul et unique soucie s’était  « bien évidement » d’arriver à Bruxelles rapidement pour me mettre en sécurité. Nivelles, 16 au 17 septembre 1983,   Samedi au dimanche à 01h44 du matin Magasin Colruyt Deux automobilistes seront abattus Monsieur Jacques Fourez et Madame Elyse Dewit + le gendarme Morue M, seront abattu. Son collègue le gendarme Lacroix J.M, sera quant à lui, légèrement blessé. Suite à un control routier des policiers auront tenter de les poursuivre avec leurs véhicules de petite cylindré et très vite les Tueurs, stop leurs Saab Turbo sur le bas chemin et feront feu sur Benoît Ruys, qui sera notamment légèrement blessé quant aux policiers, Bernier et Lemal, ils ne seront que traumatisés. Armes utilisées : 2 Riot- Vol avec effraction suivi de meurtre. Fusillade avec des policiers au Diable Amoureux Riot- Gun 12mm Colt 45 plus trois pistolets 7.65mm plus un Magnum 357 plus un Revolver 9mm et armes de poing, 22mm long-rifle.
N’21-) … innocent, car, j’étais en prison. Region d’Ohain, 2 octobre 1983, Dimanche Vers 01h15 Auberge des trois canards Vol à main armée suivi de vol de voiture Golf G.T.I -1.588 cc, de couleurs rouge mars 3 portes. M.Van Camp, Le patron de l’auberge sera abattu froidement avec un pistolet 7,65mm Le 01/12/83, le véhicule sera découvert, Chemin d’Ourpes à Lobbes-Thuin, , totalement calcinée.
N’22-) … innocent, car, j’étais en prison. Beersel, 7 octobre 1983, Vendredi a 19h50 la surface alimentation Delhaize, sera attaquer. Butin : Plus d’un million de francs. Le gérant Vermaellen se fera abattre froidement ou trois clients seront notamment blessés Fusil Riot gun Cal.12mm
N’23-) … innocent, car, j’étais en prison. Anderlues rue de la Station, 1 décembre 1983,  les Tueurs du BW, abattront un couple de bijoutier d’origine Polonaise, Jean Szymusik et Krystina Slomka. Butin plus que dérisoire quelques bijoux de fantaisie et autres objets d’horlogeries, sans réelles valeurs financières ; Les armes qui auront été utiliser : Pistolet 7,65 mm Pistolet 22mm – Pistolet P.45mm– 357 magnums    ou 38 SP Arminius.
N°… 24, malheureusement je n’ai eu la chance d’avoir été en prison mais heureusement pour moi, j’ai su fournir un alibi en pur acier tremper !-, prouvant matériellement que j’étais totalement étranger et innocent a ses deux attentats sanglants puisqu’au même moment des deux Tueries du Delhaize d’Overyse et de Braine L’Alleud, j’étais en vacance et dans plusieurs hôtel vers le sud de la France « sur la corniche de Marseille et aussi de la ville de Marignane ». Ville de Kortenberg (Erps-Kwerps, dimanche, le 22/09/1985, vol sans violence physique mais avec effraction dans un garage d’une VW Golf G.T.I.1800 cc, trois portes sera volée, pour être utilisée 5 jours plus tard, c’est à dire le 27 septembre 1985. Braine-l’Alleud Vendredi 27/09/85 (20h15) Magasin Delhaize Hold-up. Butin : 388.000 francs. . Djuroski abattus. Et son fils grièvement blessé. 9mm – Deux Riot Gun cal.12mm et une arme PM.1
Overijse - vendredi  27/09/85 (20h38) Magasin Delhaize 1.500.000 francs en chèques Hold-up.Butin :  2.500.000 francs dont Un enfant et une caissière abattus un blessé. Arme utilisée : 9mm – deux Riot Gun cal.12mm et une arme PM.1
Les attaques d’Overijse;  Braine-l'Alleud  se seront dérouler presqu’en même temps… »du moins l’un derrière l’autre et ce, a quelques minutes de difference  et cette Golf aura servie notamment dans les trois plus sanglantes tueries du Brabant wallon qui feront 19 tués en l’espace de quelques jours. Englobant la tristement le célèbre du Delhaize d’Alost commis le 9 novembre 1985. Pour la petite histoire, j’estime important de porter à votre attention que la golf en question sera très vite retrouver calciné, et bien sûr saisie pour les besoins de l’enquête Judiciaires, mais voila le problème, c’est que nous sommes en Belgique, le pays du compromis et manifestement a cause de cela, l’incroyable mais vrais apparue et la Golf en question aura tous simplement disparu des dossiers et investigations Judiciaires. N'est pas incroyables qu’une pièce a convictions d’une t’elle envergure, voir une preuve matérielle incontestable pour confondre les vrais Tueurs du Brabant Wallon puisse avoir été détruite et disparaitre comme d’ailleurs et notamment l’aura été pour deux fusil Riot Gun, et des milliers de procès-verbaux de première importance, soit disparue ou écarter  de façon intelligentes dans d’autres dossiers appartenant a de dissemblable affaires  judiciaires. Hé oui, alors pour enfin finaliser mes présents écrits, je vais essayer de résumer c’est multiples agissements de magouilles incompréhensibles… et ce, pour toute un chacun, soyons gentille et disons que c’est du n’importe quoi, et ce, même si, c’est fait de disparitions à la chaine, resteront une vérité historique puisque baser sur des éléments matériels et qui heureusement resteront à jamais graver ! -, dans les annales de l’histoire Judiciaires Belges mais surtout dans le sang des 28 victimes innocentes tomber dans le Brabant Wallon. 28 innocents et des dizaines de Blesser, n’obtiendront jamais au grand jamais une réponse ou l’arrestation de véritables coupables des Tueries du BW. Ces multiples enquêtes… Judiciaires… sont pour le moins inimaginable, et pourtant ici, nous sommes tous devant la faite accomplie, d’une Justice a deux vitesses qui aura vraiment raté le coche et du même faite démontrera qu’elle n’en aura absolument rien à faire des victimes et ce n’est pas les preuves matérielles qui manque pour le prouver 1000 fois de suite. Vous la population, pour vous aider à parvenir a bien comprendre mes écrit je vous invitent à lire jusqu’à la fin de mon présent manuscrit inédit.
N°… 25, malheureusement je n’ai eu la chance d’avoir été en prison mais heureusement pour moi, j’ai su fournir une serie d’alibi en béton armer !-, démontrant clairement que j’étais totalement étranger et innocent a ses faits sanglants. Magasin Delhaize Alost, 9 novembre 1985 Samedi, entre 19h37et 19h40) Hold-up. Quelques centaines de milliers de francs et des chèques retrouvés de façon très suspect !-, dans le canal de Ronquière. Huit clients seront abattus et deux clients grièvement blessés. Es Armes utilisé Pistolet 9mm – Deux Riot-Gun cal.12mm 357 magnums Ou 38 SPECIAL.
Preuve matérielle de mon innocence !!!
Les services Judiciaires, affirment sur procès-verbaux, qu’ils détiennent des preuves physiques par les armes utilisées et génétiques qui démontrent matériellement que l’ensemble de ces attentats de massacres en série dans les provinces du Brabant wallon, sont étroitement relier entre elles par des preuves matérielles.                    
Vingt-huit meurtres et des dizaines de blessé par balles dans les tueries et plus dix-sept personnes témoins direct et indirecte, réduites au silence à jamais car exécuter : 45 morts au total, tel est le bilan des crimes odieux dont, à ce jour, aucun n’aura été élucidé. C’est pour moi, ainsi que pour 11 millions de citoyens Belges une histoire à la Belge qui est, pour le moins difficile, voire impossible d’avaler.      
Qui, sinon l’État, à l’obligation de trouver les coupables des tueries ?  Qui, sinon certains hommes d’État de l’époque, a bien pu protéger les responsables de ces boucheries d’humain ?   Certainement pas moi qui suis… : 1)…indéniablement innocent car, le 10/05/82, j’étais en prison !                                 Dans la commune d’Ixelles, avenue d’Italie, vol d’une voiture ‘’Austin Allegros’’ au préjudice d’un particulier M.Levy Missi. Le véhicule sera retrouvé dépouillé à Lembeek chaussée de Mons le 11/05/1982.            
2)… Innocent car, le 11/05/82, j’étais en prison !                                                               Vol d’une voiture ‘’Santana’’ dans la ville de Lembeek. Le véhicule sera retrouvé, incendié, le 30/09/82 à Watermael-Boitsfort.                                                      
3) … innocent car, le 13/03/1982, j’étais en prison !                                                     L’armurerie Bayart, à Dinant, Une ou plusieurs personnes se seraient introduit, en pleine journée, sans que le vendeur ait eu le temps de réagir et les voleurs auraient emporté une arme de chasse canardière. Plus tard, l’arme sera utilisée lors d’une ou plusieurs tueries, puis sera retrouvées dans un ou plusieurs sacs découpés en morceaux parmi d’autres armes dans le canal de Ronquière.             Bien que la version de l’armurier paraisse quelques peu fantaisiste, ce dernier ne sera jamais inquiété.                                         Vraisemblablement cette piste aurait pu constituer un plus pour l’enquête sur les tueries, mais comme personnes ne tiens à la vérité cette piste comme toutes les autres resteront une énigme judiciaire !
4) … innocent car, le 14/O8/1982, j’étais en prison !                         Au cœur de la nuit paisible, dans le centre-ville de Maubeuge, l’épicerie Piot, à l’apparence modeste, reçoit la visite de plusieurs hommes qui s’activent à dérober divers produits.                                                                                                                 Trois représentants des forces de l’ordre font leur ronde de nuit et s’aperçoivent que l’endroit est occupé par des intrus, mais avant qu’ils puissent réagir des détonations d’armes claquent.   Un projectile atteint l’agent Delacourd. Les policiers ripostent, mais les voleurs… prennent la fuite à bord d’un véhicule Santana.                                 L’agent Delacourd sera grièvement blessé.                      
5) … innocent car, le 30/09/82, j’étais en prison !                                                               P.V. : Notice N° 42/87 du cabinet. N° 10.91.199/87 du Parquet. 3ème feuillet N°47. (E.23.)   A bord d’une voiture Santana munie d’immatriculation française trois individus entre dans la ville de Wavre, rue de Bruxelles. Ils stationnent calmement leur véhicule devant deux autres, la camionnette de Dekaise se trouvant derrière ceux-ci, qui est situé juste devant la porte d’entrée de l’armurier.                                       Un des auteurs reste au volant, les deux autres entrent dans l’armurerie armée d’un pistolet et d’un fusil à canon scié.                                                                                                                                                                                                   Les gens qui étaient présents à ce moment sont : Dekaise Daniel et deux clients, Gradzki Gérard et Seykens Cyril. Les braqueurs les obligent à se coucher. Ils prennent alors différentes armes et leurs chargeurs se trouvant dans la devanture et déposent une partie dans un sac de sport et dans un autre en plastique.                                             Une dizaine d’armes bien précises seront emportée.                                                       Plusieurs de ces armes pourraient avoir été utilisées lors d’attaques attribuées aux tueurs. Pour certaines d’entre elles cela a été établi par examen balistique :                       (Procès Verbal) :                                                                                                                DEUX PISTOLETS COLT 45.                                                                                       UN REVOLVER SMITH & WESSON 9 MM.                                                                                     UN REVOLVER COLT 45 LONG.                                                                                   UN REVOLVER RÜGER 45 ACP + 45 LONG COLT CANON 71/2 -POUCES SINGLES ACTION.                                                                                                           UN REVOLVER SMITH & WESSON 357 MAG 6.                                              PISTOLET SMITH & WESSON MOD.559, 9 MM.                               UN REVOLVER RÜGER 357 MAG,                                                                   2 BARILLETS (38 ET 9 MM) CANON 5.                                                         UN REVOLVER RÜGER 44 MAG STAINLESS, CANON 71/2.                                       UN PISTOLET BERNADELLI 7,65.                                                                                           UN PISTOLET MITRAILLEUR INGRAM.380.                                           DEUX PISTOLETS MITRAILLEURS INGRAM 9 FOIS 19.                       UN REVOLVER SMITH & WESSON 357 MAG.                                       UN PISTOLET FN 22.                                                                                                         (FIN DU P.V)                                                                                                  
Quelques détails importants ont été constatés par les services d’enquête : Pendant l’attaque de l’Armurerie Dekaize plusieurs réducteurs de son (silencieux) de différents calibres seront emportés.                             Lorsqu’un client tente de broncher, il est battu violemment au moyen de la crosse d’une de leur arme.                                                                                                                  Les auteurs ont également coupé les fils du téléphone.                                                               Au moment des faits, l’agent de police Claude Haulotte, fait sa ronde dans un véhicule de service.   Il sera prévenu de l’attaque à main armée par les gesticulations d’un témoin qui a vu des remous suspects dans l’armurerie.                                                                                                             L’agent de police n’entend que son courage et accompli instinctivement son devoir, gare aussitôt son véhicule sur la chaussée, juste à côté du véhicule des futurs tueurs du Brabant wallon et obture inconsciemment la route à celle-ci.                                                                                     Le courageux agent dégaine son pistolet, se dirige vers le magasin en direction de l’armurier ; C’est à ce moment précis que les auteurs sortent par la porte ou ils étaient rentrés, immédiatement il y aura une fusillade avec l’agent et ce dernier sera abattu. Un des auteurs déplace alors le véhicule de l’agent, pendant que l’autre met le sac contenant les armes volées dans leur coffre arrière, et prennent aussitôt la fuite en direction de Bruxelles.                                                                                                     Entre-temps ils changent les plaques d’immatriculations françaises pour des belges.                                                                                                                               Alors que ces derniers prennent la fuite en trombe à bord d’une petite cylindrée V.W. Santana, deux membres de la B.S.R. de Wavre Bernard Sartillot et Roland Campine, reçoivent un appel radio dans leur véhicule de fonction, qui les avise du drame qui vient de se produire non loin de là.
Peu de temps après, ils aperçoivent un véhicule suspect qui file à vive allure avec à son bord trois individus.                                                       Les deux gendarmes comprennent très vite qu’il s’agit bien des braqueurs… qui viennent de tué leurs collègues. En une fraction de seconde ils décident de bloquer la voiture des fuyards en plaçant leur véhicule en travers de la route puis descendent de celle-ci rapidement, et comme à l’entraînement, ils dégainent leurs armes dans un synchronisme parfait et tirent en même temps que les tueurs.                                                                 Roland Campine est grièvement blessé de plusieurs balles et son collègue Bernard Sartillot vide son chargeur avec colère mais sera également touché.                                                                                             Le soir même, la V.W. Santana sera retrouvée calcinée dans un bois de la région et saisie par les autorités judiciaires.                                                            
Au cours du procès des Borains en 1988, la population belge apprendra, que la carcasse du véhicule en question (pièce à conviction) a fini par erreur (… ) dans la broyeuse d’un marchand  de ferrailles.                                                  
Durant les enquêtes relatives aux tueries et dossiers parallèles, des dizaines de preuves matérielles et de pièces à conviction de première importance disparaîtront de la sorte.  
Toutes ces pièces à convictions prouvent matériellement mon innocence et certains Services de la Gendarmerie les auront fait disparaitre de l’enquêtes et des Dossiers d’instructions.
Les responsables d’enquêtes, ont volé, détruit, ou maquiller les preuves de mon innocence et réussissant du même coup à me tenir inculpé dans les tueries pendant plus de 15 années et ce, dans le seul but de protéger les véritables tueurs du Brabant wallon.                                                                                              
Le sabotage est évident ! Le pire, c’est que parmi ceux-là même qui ourdissent la machination, certains…  Ont enquêté et instruit dans les dossiers des Tueries du Brabant wallon.                        
6)… innocent car, le 23/12/82, j’étais en prison !                             Un admirable endroit de rencontre, situé aux alentours de Beersel, baptisé l’Auberge du Chevalier et généralement réservé à de hautes personnalités diverses, ainsi qu’aux fins gourmets.                                                                                                                                  Ce lieu était habité par José Vanden Eynde, septuagénaire qui, dans le courant de la nuit du 22 au 23 décembre 1982, sera torturé de longues heures aux couteaux et frappées avec des objets contondants, puis exécutées avec une arme de petit calibre 22 long rifle.                                                                                 D’après l’enquête, il s’agirait une fois de plus d’un cambriolage qui a mal tourné et durant lequel des bouteilles de vins et quelques centaines de francs ont été emportés.
7)… innocent car, le 12/01/1983, j’étais à la prison de Tournai (Rue du Chantier N°1) !                                                                               Vingt jours plus tard, aux alentours de la ville de Mons, les forces de l’ordre découvrent dans le coffre de son véhicule Mercedes noire 200 D/8     2.000 cc, Constantin Angelou, taximan d’environ 50 ans, abattu de plusieurs balles de petit calibre. L’enquête judiciaire établit très vite que l’arme qui avait servi pour exécuter José Vanden Eynde, est la même que celle utilisée pour supprimer Constantin Angelou.                                                                   Ces deux hommes se connaissaient bien.                                             L’arme en question sera retrouvée… en 87 ou 1988, par les services d’enquêtes Delta de Dendermonde dans le canal de Ronquière avec d’autres armes utilisées dans les tueries du B.W.                                                                                               Comme c’est toujours le cas aujourd’hui certains magistrats et enquêteurs à l’esprit très légers, laisse sous-entendre, encore aujourd’hui, que le mobile du crime, était l’argent alors que c’est d’après moi, totalement inexacte ces crimes de sang étaient prémédités et par conséquent préparer depuis longtemps.
8) … innocent car, le 28/01/83, j’étais en prison !                                               Watermael-Boitsfort 20h33, Monsieur De Wee Raymond, employé - chauffeur au service du Ministère de la Culture française, Galerie Ravenstein 78, sera victime d’un car-jacking devant son domicile. Sous la menace d’une mitraillette, deux agresseurs le délestent de son véhicule Peugeot 5O4   L- berline immatriculé D7O5F- et de son portefeuille contenant 550 francs, avant de prendre la fuite en direction de la chaussée de la Hulpe.                                                                                                                              D’après Monsieur De Wee Raymond, les deux hommes seraient des nord-africains avec une coiffure de style Nord-africaine, mesurant environ 1m75 et s’exprimant en français avec un accent arabe.                                                                                                                    Le véhicule volé réapparaîtra lors de tueries dans le Brabant wallon. Le 15/02/1983 la police de Waterloo découvre dans leurs communes au lieu-dit ‘’La Papelotte’’ la Peugeot 504 volé à Monsieur Raymond De Wee.                                                                                                       Entre ce car-jacking du 28/01/1983 à sa découverte le 15/02/1983,             le véhicule Peugeot 504 a effectué environ 100 km                                                                      
Plusieurs hypothèses me semblent tout à fait, possibles parce que logique :                                                                                                                               Les agresseurs ont été chargés de fournir un véhicule aux tueurs.                             --Les agresseurs ne sont pas des nord-africains mais certainement des voleurs… grimés pour la circonstance.                                                                                                          --Les agresseurs sont de petits malfaiteurs, comme semble l’indiquer le modus operandi où, l’on apprend qu’ils ont notamment emporté le portefeuille du chauffeur, quant au véhicule Peugeot, qui par la suite a vraisemblablement été remis à une professionnelle des magouilles, dans lesquels gravites-les vrais tueurs, qui ont sévis dans le Brabant wallon.
9)… innocent car, le 11/O2 1983, j’étais en prison !                                                         Vers 19h10, un véhicule Peugeot de teinte bleu galaxie survient brusquement sur l’aire de stationnement du Delhaize de Genval.                     A son bord, quatre hommes, le visage caché par des masques de carnaval et lourdement armés de fusils et de revolvers.                         Trois hommes masqués, entre rapidement dans le magasin.                                                                                     L’opération est rondement menée : un des auteurs braque un fusil automatique sur les clients terrorisés et les deux autres pénètrent dans le bureau de la comptabilité pour se faire ouvrir le coffre-fort et s’emparer d’une somme de 692.384 francs.                                           Avant de quitter les lieux, ils auront eux aussi un geste de professionnels en arrachant les fils du téléphone. Ils ouvrent encore le feu sur un ordinateur puis rejoignent à reculons leur véhicule pour démarrer sur les chapeaux de roues.                                                                                               Un autre véhicule de marque Audi qui quittait l’endroit leur obstrue involontairement l’accès à la sortie. Ils ouvrent aussitôt le feu sur le conducteur qui, s’abaissant instinctivement, évite le pire !
10)… innocent car, le 14/02/1983, j’étais en prison !                                               Région de Lasne (Plancenoit),une VW Golf Rabbit 4 portes + toit ouvrant, immatriculée DTX.079, couleur  gris métal, appartenant à l’imprimerie Boreux ( rue de Livourne N-° 65, Bruxelles 1050) est conduite par madame Van Lidth De Jeude Geneviève qui sera victime d’une attaque (Car-jacking) commis par deux hommes de grande taille, de type méditerranéen se trouvant à bord de la Peugeot 504 volée le 28/O1/83.                                                                                                                Sous la menace d’armes à feu, les deux agresseurs s’empareront du véhicule Golf ainsi que de l’argent de Madame Van Lidth De Jeude.                                                                                                                   Le véhicule dont question servira onze jours plus tard pour une attaque des vrais tueurs du B.W. l‘automobile sera découverte dépouillée le 19/06/1983 dans le bois d’Hourpes.                                                               Depuis le moment du vol du véhicule Golf Rabbit de Madame Van Lidt de Jeude, jusqu’au jour, de sa découverte par les forces de l’ordres, ce véhicule aura effectué 472 kilomètres.                                    
11)… innocent car, le 25/02/1983, j’étais en prison !                                                                                             Chaussée de Waterloo à Uccle, (agglomération bruxelloise) trois individus, à bord d’une Golf Rabbit 4 portes, arrivent en trombe sur l’aire de stationnement du Delhaize. Deux braqueurs descendent du véhicule munis d’armes de poing le visage caché par des cagoules et laissent volontairement apparaître une attitude de fous furieux.                     Par deux fois, ils ouvrent le feu ; Un passant est grièvement atteint d’un projectile.                                                                                                   Butin : 1.800.000 francs.                                                                          
L’enquête balistique établira qu’une des armes utilisées dans cette attaque avait notamment servi au Delhaize de Genval.
12)… innocent car, le 03/03/1983, j’étais en prison !                                                     A la tombée de la nuit, vers 19h30, au Colruyt de Halle situé le long de la Steenweg, le scénario est exactement le même sauf que cette fois-ci, le sang d’une personne coulera ; M.Verstappen né le 08/10/1949 est exécuté d’une balle de calibre 9 mm dans la tempe droite. M. Khockaert et M.Denayer seront quant à eux, roués de coups.                                                                                         Butin est de 1.182.115 francs. Alors qu’ils prennent la fuite, les tueurs ouvrent encore le feu sur M. Nérinckx et M. Evenepoel qui attendaient à un arrêt d’autobus. Ils n’atteignent heureusement pas leurs cibles.                                                                                                                               Cette attaque à main armée n’est, selon toute vraisemblance, qu’un simulacre. Ce n’est pas l’argent qui intéressé les braqueurs comme tente une fois de plus à le démontrer certains recoupements d’enquêtes judiciaires.                                                                                     A la lecture des différents procès-verbaux j’ai tendance à croire que l’exécution de M. Verstappen, est le mobile de ce crime.                                                                                                               Cet homme qui en savait sans doute de trop sur certaines affaires et par conséquent devait être réduit au silence, et peu importent les victimes innocentes.                                                   Lors d’une attaque ultérieure (27/09/85), Léon Finné subira le même sort.                                                                                                            Verstappen et Finné se connaissaient pour avoir eux des contacts d’affaires commerciales ou tout simplement amicale…
(Extrait de P.V. Judiciaires détaillant une attaque attribuée à des soient disant prédateurs) :   Monsieur Vertessen, a vu les auteurs venir de l’endroit où se trouvait le véhicule Golf, et l’un des tueurs est entré le premier, un autre comparse a regardé du coin de l’entrée vers le hall, quant au dernier il suivait armer d’un fusil à canon scié.                                     Monsieur Dero et Madame Chantrain se trouvaient à la caisse tenue par Monsieur Denayer, ils ont vu deux hommes le visage caché par des cagoules marchant le long du mur à gauche des caisses enregistreuses. Un autre individu, porteur d’un fusil à deux canons sciés a crié : Ne bougez pas, tout le monde couché.  Le troisième auteur a ouvert le feu, vers le haut dans un panneau mais dans la direction du témoin Beckhout.                                                                   Sous la menace d’un fusil, Monsieur Denayer a ouvert six caisses enregistreuses.                                                                                       Après avoir entendu un coup de feu, Monsieur Dero et Madame Chantrain, ont vu les auteurs qui étaient à l’étage, descendant avec un sac en plastique dans lesquels le contenu des caisses enregistreuses a été renversé.   En passant à côté de Monsieur Denayer un des tueurs a demandé :  Est-ce qu’on le fait sortir ou non ? - Quelqu’un a répondu : Non, puis à actionner la commande d’ouverture des portes automatiques. Occupé aux caisses enregistreuses, le témoin Beckhout, à vu les auteurs longer le mur et gravir l’escalier menant aux bureaux. Un des auteurs est entré, matraque à la main droite, Monsieur Verstappen, est assis devant son bureau de travail, quand un des assaillants crie »couché par terre, l’argent » puis a frappé sur le bureau avec sa matraque, pendant qu’un complice restait calmement sur le seuil de la porte, l’arme au poing.                                                                                                                                 Un des tueurs portera plusieurs coups a Monsieur Khockaert, en répétant « j’ai dit couché à terre ! » Il l’a frappé à l’épaule puis à la tête. Perdant du sang,  M. Khockaert, est tombé en voulant se retenir à la table sur laquelle se trouvait le téléphone, mais le tueur a directement frappé sur la main de Monsieur Khockaert, et par le même fait à cassé le téléphone, en se laissant emporter par la colère le tueur brise, casse  tout ce qui se trouvait sur un deuxième bureau, sous la menace de la matraque… et des armes, Monsieur Verstappen suivait les ordres qui lui étaient intimés ; Un des tueurs, dit à ce dernier « toi venir avec moi » et  ce dernier sort du bureau en passant devant, et suivi  pas à pas d’un tueur qui s’est dirigé vers le local où se trouvait le coffre fort.                                                                     Une fois la porte du coffre ouvert, un des tueurs frappe deux coups de matraque, l’un sur l’épaule et l’autre sur la tête, et d’après les experts judiciaires c’est à ce moment-là, qu’un des tueurs ouvrera le feu dans la direction de Monsieur Verstappen.                                                 ��                                                    
Le Docteur Lambert a constaté à l’autopsie de multiples blessures, qui ont vraisemblablement été produites par empoignades.                                                                 Dans leurs fuites les tueurs prennent pour couverture Monsieur Denayer, qui explique, qu’une fois la porte du magasin ouvert par un des tueurs, il a dû ramper sur les mains et les genoux jusqu’au milieu du sas, puis à dû se recoucher à plat ventre, pour ensuite remarcher à quatre pattes où un des tueurs l’obligera sous la menace de son Riot-Gun, à se lever et avancer vers l’aire de stationnement où se trouve leur voiture. Une fois sur place Denayer aperçoit une personne au volant d’un véhicule Golf et un autre individu à l’arrière du chauffeur et les deux autres auteurs se trouvant derrière, l’obligent à se remettre à genoux les mains derrière la tête et l’abandonnent vivant.                                                                                                       Les tueurs démarrent avec leurs véhicules en direction des pompes Gulf faisant partie du Colruyt, et ensuite prendront la Chaussée d’Enghien.                                                                                                  
A la lecture des procès-verbaux je suis profondément persuadée       que l’argent emporté par les tueurs n’était  absolument pas le but de l’expédition. M.Verstappen est exécuté juste après l’ouverture du coffre fort.                                                                                                       Quand les tueurs ont trouvé ce qu’ils cherchaient (vidéo, photos et, documents compromettants ou autres…), il ne leur restait plus qu’à supprimer le témoin Verstappen.                                                                                                          Une fois de plus, certains magistrats et enquêteurs affirment que ce braquage a mal tourné. (Des prédateurs comme la toujours dit, Monsieur Jean Deprêtre !)
13)…innocent car, le 06/05/1983, j’étais en prison !                                                           Juge Schlicker Dossier N°97/298/W/83. P.V.520.                                                           Dans la commune d’Etterbeek, une grosse cylindrée de marque Audi, immatriculée 996 U 4, est volée.
14)… innocent car, le 07/05/1983, j’étais en prison !                                       Agglomération d’Houdeng-Goegnies, nouvelle attaque des tueurs du B.W. dans une grande surface de distribution alimentaire (GB-INNO-BM).                                                                                                           Butin de quelques centaines de milliers de francs.                                 Une Audi 100 volée la veille à Etterbeek est utilisée.                                     Pas de blessé.                                                                                                         Procès-Verbal 520 : Le véhicule Audi 100 volé avec les clefs sur le tableau de bord, le O6/O5/83, servira pour commettre cette attaque à main armée et sera abandonné à quelques kilomètres du GB, rue de Famillereux. Les forces de l’ordre trouveront à l’intérieur un pistolet d’alarme 6 mm et des amorces (Dynamite Nobel).                                                                                                
Cette attaque est menée de manière professionnelle : Pas de coup   de feu gratuit et abandon immédiat du véhicule de fuite.                                 Par contre, le pistolet d’alarme retrouvé dans le véhicule dénote un amateurisme certain qui ne correspond en rien avec le modus operandi des vrais tueurs du Brabant wallon.
Manifestement, ils ont laissé ce pistolet d’alarme intentionnellement de façon à dévier les enquêtes vers de simples voleurs ?
15)… innocent car, le 28/05/1983, j’étais en prison.                     Dans un entrepôt de Braine-l’Alleud, plusieurs bouteilles d’acétylène et d’oxygène avec du matériel de découpe (Oxipac) seront volées. Les tueurs s’en serviront cent et douze jours plus tard pour découper une porte arrière du Colruyt de Nivelles.                                                 Cette nuit-là ces tueurs qui préméditent tous dans les moindres détails, feront encore plusieurs victimes.
16)… innocent car, le 08/06/1983, j’étais en prison !                          
Garage Jadot, 178 Chaussée d’Ophain à Braine- l’Alleud :                           A l’aube, plusieurs individus munis d’arme à feu pénètrent dans le garage par effraction, abattent directement le chien de garde dans son enclos et après avoir déplacé plusieurs véhicules qui obstruaient le passage ils s’emparent d’une Saab 900 Turbo, quatre portes, neuve.                                                                                                            Ce véhicule sera utilisé 32 jours plus tard pour l’attaque de l’usine Wittock Van Landeghem (fabriquant de Gilets pare balles) ainsi que la tuerie du Colruyt de Nivelles.                                                                                                          
P.V.1340. Pièce 35. Carton 1 :  Depuis le moment où la Saab Turbo 900 a été volée jusqu’au moment où elle a été abandonnée à Braine l’Alleud, a aura parcourue 1227 Km                                                                                     Après l’analyse balistique, il a été établi que les projectiles qui ont servi à assassiner Monsieur Constantin Angelou et José Vanden Eynde, proviennent des armes qui ont servi à tuer le chien de Michel Jadot. Ces mêmes armes qui ont été utilisé pendant que j’étais en prison, réapparaîtront encore lors de la plus meurtrière des tueries : Celle qui fera huit morts au Delhaize d’Alost le 9/10/85 et pour laquelle j’ai été injustement inculpé !                                      
17)… innocent car, dans la nuit du 10/09/1983, j’étais en prison !  
J’attire votre attention pour préciser que des dizaines de procès-verbaux auront été enregistrer ou des dizaines de Témoins auront déclarer m’avoir identifié formellement dans presque dans l’ensemble de ses Tueries alors que j’étais incarcérer en Prison. !!! Bien évidement les Services Judiciaires, n’auront jamais chercher à transmettre ces informations aux Public ou Journalistes car il ne fallait surtout pas, que toute un chacun sache que De Staerke Philippe était   innocent dans les crimes des Tueries du Brabant Wallon et 40 années après toutes c’est enquêtes Truquer, ils continuent les sabotages de plus belles… pour poursuivre et tenter de faire croire à la population Belges, que c’est De Staerke Philippe le coupable… des Tueries du BW et en aucun cas, un des Services de l’État ayant travaillées… à l’élaboration Machiavéliques des Tueries du BW.                        
Au cœur de la petite ville de Tamise (Casthuisstraat N° 108) se trouve une entreprise où l’ont fabriqué des objets en toile dure tel que des sacs à dos ou des tentes militaires. Jusque-là tous ce qui à, de plus ordinaire mais, ce qui l’est moins, c’est que la filature Wittock Van Landeghem s’investit secrètement à la conception d’un nouveau gilet par balles intéressant les secteurs militaires et judiciaires de plusieurs pays d’Europe. Ceci expliquant cela, la nuit du 10 septembre 1983, Le visage dissimulé derrière des cagoules un commando d’hommes lourdement armé descendent d’une Saab Turbo 900, fracture une fenêtre et s’en prennent violemment au concierge Joseph Broeders, qui dans un premier temps tentera d’aller au-devant des tueurs, ce dernier est aussitôt arrosé de coups de feu à 2h34 précise. Grièvement blessé, il se traînera difficilement sur plusieurs mètres puis sera abattu à bout portant.                                                                                              Les tueurs poursuivent alors leur chemin calmement dans la demeure du concierge et tombent sur l’épouse du concierge, Linda Van Huffelen ; Ils tirent encore et blessent grièvement la malheureuse. Malgré sa blessure, elle survivra.                                             Le commando se dirige directement vers un endroit bien précis, brise une fenêtre donnant sur le laboratoire de fabrications ou ils fracturent une armoire et s’empare de sept gilets par balles avant de disparaître.                      
Encore une fois, cette attaque commando, démontre combien les objectifs des tueurs sont précis : ils n’emportent pas le moindre centime mais exécutent leur plan de terreur, phase par phase, parce qu’ils savent déjà que les gilets pare-balles en question, serviront de protections pour défier les services des forces de l’ordre lorsqu’ils attaqueront le Delhaize de Nivelles dans la nuit du 16 au 17 septembre 83.
18)… innocent car, dans la nuit du 16 au 17 septembre 1983 :                                       Bien que je vienne de m’évader de la prison de Tournai, je ne pouvais pas me trouver au Colruyt de Nivelles au moment de la boucherie humaine puisque à ce moment précis je commettais un délit à Antoing, soit un vol de voiture B.M.W. pour lequel j’ai d’ailleurs été poursuivi et condamné à deux mois de prison :  
Philippe De Staerke, le 13 août 1987. Parquet du Procureur du Roi. Tournai. Projustitia.N°17.20.00848/83  - Ordre de citer :                         Nous Procureur du Roi, près le Tribunal de première instance à Tournai, mandons et ordonnant à tous huissiers de Justice et Directeurs de prison, à ce compétents de citer à comparaître devant le Tribunal Correctionnel, Palais de Justice, à Tournai, le 22 décembre 1987, à 9 heures :                                                                                
N°1) De Smet Jean-Claude, manœuvre, né à Etterbeek, le 24 juin 1960, domicilié à Anderlecht, rue de l’énergie, mais actuellement, chaussée de Mons 1286.                                                                                                                          
N°2) De Staerke Philippe, Vannier, né à Bruxelles, le 28 août 1957, domicilié à Saint-Gilles lez Bruxelles, Rue Théodore Verhaegen 164, mais actuellement détenu pour autres causes à la prison de Dendermonde.                                                                                                                
N°3) Tus Ramazan, né à Titovelles (Yougoslavie) le 21 février 1961, sans domicile ni résidence connus en Belgique ou à l’étranger.                         Prévenus d’avoir :  à Antoing (Tournai), dans la nuit du 16 au 17 sept 1983.                                                                                                  
La prescription de l’action publique ayant été interrompu par l’apostille adressée le 29 août 1986 à Monsieur le Procureur du Roi près le Tribunal de première instance de Termonde.
Le premier (De Smet Jean Claude) ; Le deuxième (De Staerke Philippe) ; Le troisième (Tus Ramasan) : Pour avoir, soit exécuté l’infraction ou coopéré directement à son exécution, soit par un fait quelconque, prêté à l’exécution une aide telle que sans assistance le crime ou le délit n’eût pu être commis, soit par menaces, abus d’autorité ou de pouvoir, machinations ou artifices coupables, directement d’avoir provoqué ce crime ou ce délit. A l’aide d’effraction, d’escalade ou de fausses clefs frauduleusement soustraites à une voiture automobile de marque B.M.W. qui ne leur appartenait pas, au préjudice de Monsieur Wattiez Roger. (Fin du P.V.)                                                                                                            
Je me suis évadé par le biais de ma Cellule en y faisant un trou dans le mur avec l’aide et le relais de plusieurs détenues pour arriver aux ateliers de Raquetes de Tennis et ce, le 16 septembre 1983 à 19h37, en compagnie de 38 détenus, de la prison de Tournai (N°1. Rue du Chantier). Peu après trois heures du matin, dans les alentour de la région de Tourna plus précisément a Antoing, j’ai volé une voiture (B.M.W.) avec deux autres détenus dans l’agglomération d’Antoing.  
Mes comparses qui étaient plus des gamins voleurs de poules et en aucun cas, des caïds ou des gros bras, ont avoué directement ce délit de vol de voiture et ce, au moment de leur arrestation, ce qui n’a pas été mon cas, Car il ait vrais que mon principe de base aura toujours été de nier tous en bloc et de ne jamais accuser qui que ce soit, mais comme dans le cas présent les enquêteurs ont voulu me mettre sur le dos ses crimes sanglants du Colruyt de Nivelles j’ai très vite compris qu’il était préférable de simplement confirmer les déclarations des deux gamins que j’avais pris avec moi pour l’évasion de la prison de Tournai N’1 rue du Chantier. C’est seulement face à l’évidence, et des années après, que devant le gendarme Costa Michel de la Cellule d’enquête sur les Tueries du Brabant wallon, j’ai reconnu ce délit en détaillant avec précision les circonstances dans lesquelles c’était dérouler ce vol qualifié. Je devais reconnaitre ce délit, car cela prouvait matériellement mon innocence dans les attentats des Tueries du Colruyt de Nivelles. Notre seul et unique souci était de trouver une voiture pour arriver sur Bruxelles au petit matin ou a ce moment-là, nous étions encore devant un autre gros problème plus que vital, c’était de trouver rapidement une planque pour se cacher et ce, sans que la police puissent nous repérer Comment pourrais-je être un des Tueurs alors qu’avec 28 détenues je venais de m’évader de la prison de Tournai avec aux fesses toute les forces de Polices du Royaumes. C’est pour le moins incroyable le résonnement Judiciaires illogiques concernant l’acharnement de la Gendarmerie à vouloir à tout prix me mettre et ce, uniquement sur mon dos ce massacre du Colruyt de Nivelles.
Les Services Judiciaires auront vraiment tous mis en œuvre pour mettre le maximum de pression médiatique sur ma seul petite personne de manière évidente de protéger une fois de plus les véritables Tueurs. 28 détenues se seront évadées de la Prison de Tournai et en final les enquêteurs auront une fois de plus la mauvaise idée de poursuivre avec acharnement et m’accuser uniquement par le biais des médias. Moi De Staerke Philippe je ne suis qu’un être Humain et en aucun cas je possède le don d’ubiquité pour me trouver à plusieurs endroits différents au même moment.
Etant donné, que je n’ai effectivement pas le don d’ubiquité et après 40 années d’enquêtes Judiciaires, mon innocence dans la tuerie du Colruyt de Nivelles est d’ores et déjà plus que démontrer et ce, clairement sauf peut-être, pour les simples d’esprits englobant certains journalistes qui durant des années continueront à m’assimiler comme probable auteurs de cette Tueries qui aura fait trois morts par exécution et dans son ensemble 28 assassina et des dizaines de blesser.
Maintenant et malgré le fait que j’ai presque 65 ans je reste toujours très lucide d’esprit lais surtout très prudent alors néanmoins en 2022, j’estime encore utile d’insérer à mes présents écrit de défense, de nombreux passages de procès-verbaux prouvant une fois de plus mon innocence dans ses crimes de sang qui resteront historique dans toute l’histoire de la Belgique, parce qu’ils me paraissent objectivement, bien éclairer mon innocence  et ce, dans l’ensemble de ces rouages machiavéliques qu’aura été cette énorme machination Politico-Judico-Militaires, qu’ont été les tueries du BW et où certains Journalistes véreux n’auront  jamais manquer l’occasion de me tailler un costume sur mesure de Tueurs sanguinaire.
Vous la population Belges, je vous demande d’imaginer ma position actuelle vis-à-vis de l’opinion Public car je peu vous assurer que pour moi c’est l’enfer sur Terre d’avoir sans la moindre preuve matérielle mis sur mon dos, cette étiquette de Tueurs sanguinaire puisque cela fera 40 années que certains journalistes déloyaux n’auront de cessent de me salir un maximum en collectionnant mensonges sur mensonges. Je sais qu’il existe dans certains pays le Prix Pulitzer, mais après 40 années d’accusation infondés et d’acharnement inique voir inqualifiable sur ma personne, je crois qu’il devient urgent inventer pour certains Journalistes, le prix ; Magouille et compagnie. L’ensemble de cette reconstitution a été mené le vingt-six avril 1987, sous la direction du Procureur du Roi de Charleroi, M. Stévaux Gabriel… et repris sur procès verbaux.                                                                                                                         1). Les criminels découpent la porte métallique arrière du magasin en forme de carré.                                                                                                                                           2). La Mercedes de Fourez se dirige vers les pompes à essence…                              
3). Le véhicule s’approche…et s’immobilise à cet endroit.                                                                      
4). Monsieur Fourez descend de la voiture et se dirige vers la pompe à essence… il introduit sa carte (il a probablement mis ses lunettes).                                                              
5). Après avoir frappé son code, il remet sa carte dans son portefeuille… remplit son réservoir de 47,99 litres d’essence, lorsqu’il raccroche le pistolet à la pompe, un des criminels ouvre le feu dans sa direction avec une arme 7,65mm (ce dernier est suivi à une certaine distance par un de ces complices).                                                                                                                                          
6). M.Fourez retourne au véhicule tandis que le criminel s’avance vers lui et ouvre le feu dans sa direction, son arme s’enraye, l’individu éjecte une première balle, puis une seconde…et s’approchant à l’avant de la Mercedes dans laquelle Fourez va rentrer, l’individu ouvre le feu et l’atteint à la racine du nez.                                                                                                                                           7). M.Fourez tombe, ses lunettes sont brisées. Madame Dewit sort du véhicule pour s’enfuir tandis que le tueur progresse vers la portière du conducteur. De cet endroit le tueur ouvre le feu en direction de Mme Dewit…qui tente de s’enfuir.                                                                                                                     Une douille de 7.65mm sera retrouvée à l’intérieur du véhicule et un point d’impact est localisé au coin du mur du magasin Colruyt.                                                                                                        
8). Au même moment arrive le complice, porteur d’un pistolet 22 long rifle… et qui s’empare de Mme Dewit, (laquelle perd ses barrettes à cheveux…) tandis que le premier tueur de M.Fourez, se met au volant de la Mercedes. Quant au complice, il entraîne Mme Dewit, vers l’arrière du magasin où il ouvrira le feu par deux fois, l’une dans la joue droite…et l’autre au coin de l’œil droit. Le même tueur se dirige alors vers le corps de monsieur Fourez…tandis que son complice le tueur de Fourez, déplace la Mercedes pour aller la garer au-delà de la porte que l’on découpe.                                                                                        
9). Pendant ce temps-là, le tueur de Mme Dewit tire le corps de Monsieur Fourez par les pieds vers l’arrière du magasin.                                                                                                                     Ensuite le tueur de Fourez rejoint son complice, et à deux, ils retirent le corps de M.Fourez dans la direction de la clôture à l’extrémité du parc de stationnement, puis de la clôture, le tueur de Mme Dewit, tire trois coups de 22 long rifle, dont deux atteignent M.Fourez à la joue droite.                                                                                                                                    
10). Les deux tueurs vont alors tenter de basculer le corps de M. Fourez au-dessus de la clôture, mais sans succès, puis traînent le corps vers le mur arrière du bâtiment…où ils l’abandonnent.  Ensuite ils se dirigent vers Mme Dewit, qui est étendue à quelques mètres. Le tueur de Mme Dewit constatant qu’elle vit toujours, appuie sur la gâchette de son arme 22 long rifle, un premier coup de feu, puis un deuxième et un troisième coup au sommet du crâne.                                                                                                                            
11). Les deux tueurs traînent le corps de Mme Dewit par les pieds pour lui faire exécuter un demi-tour… et la transporter à proximité de celui de M. Fourez :                                                                                                       Ils vont ensuite à l’avant du magasin Colruyt, pour chercher cinq caddies, à l’aide desquels ils camoufleront les corps, ensuite ils se dirigeront vers les véhicules garés de part et d’autre de la porte.                     Il s’agit de la voiture Saab 900 et la Mercedes 190.                    
Dans d’autres hypothèses judiciaires aussi fantaisiste que ridicule, j’ai pu lire sur procès-verbaux :  Que Jacques Fourez est arrivé vers 1h10 au Colruyt de Nivelles, et après être descendu de son véhicule, et avoir rempli son réservoir d’essence, il se serait alors éloigné de quelques pas et aurait surpris des personnes suspectes occupées à découper avec un chalumeau la porte en métal du magasin Colruyt.                                             Aussitôt les malfaiteurs n’ont eux qu’une seule idée, tués ces témoins vers 1h20…                                                                                                                                            
A présent j’en arrive aux déclarations du gendarme Lacroix dans le procès-verbal 20434 où ce dernier explique qu’il sera blessé légèrement par les tueurs du B.W, à 1h23.  
Le détecteur volumétrique relève une modification du volume à l’intérieur du magasin (probablement déclenché lorsque le panneau de la porte a été découpé et abaissé sur le sol). A 1h33 le district de Nivelles est averti par téléphone via la société de sécurité Colruyt, qu’une alarme s’est déclenchée dans la succursale de Nivelles.                                                            
Déclaration écrite du maréchal des logis Jean Marie Lacroix matricule 45-15399-49, en date du 20/09/83 à 14 heures. Annexe B au N°5/3-M du 10 janvier 84.                                                                                                                                                   Le 17 septembre vers 01h30, nous étions en service de permanence avec le MDL Morue, nous avons été appelés pour une alarme au Colruyt à Nivelles.
Nous nous sommes dépêchés d’arriver sur places car une alerte à cet endroit est peu courante et je me rappelle que le maréchal des logis Morue m’a fait la réflexion en disant que nous étions vite sur place. En arrivant nous n’avons rien vu, nous avons alors contourné Le magasin avec les feux de route en passant par la station d’essence.                                                                                                                                    
Le long du mur du magasin, à l’arrière, nous avons aperçu deux véhicules rangés, l’une avant la porte et l’autre après, cette dernière étant une Mercedes blanche avec le coffre arrière ouvert.                        
Nous avons aussi, à ce moment, remarqué la porte du magasin qui était cisaillée en dessous.                                                                                      
Nous sommes sortis de chaque côté du véhicule arme à la main.                             Le Maréchal des Logis, Morue avait la mitraillette PM Uzi.                                                       De fait, sitôt arrivés sur place nous nous sommes fait canarder par les voleurs, des coups de feu éclates, partant de la porte qui avait été cisaillée.                                                                                                          
En descendant, j’ai remarqué un individu devant nous, les autres étaient cachés dans la porte fracturée.                                                                                                               Comme Ils nous tiraient dessus, j’ai ouvert le feu dans la direction de l’homme se trouvant devant moi, tandis que le Maréchal des Logis Morue faisait usage de la Mitraillette Uzi et tirait vers la porte en descendant de son côté.                                                                            
J’ai alors fait mouvement à pied, vers l’arrière du véhicule pour le contourner et rejoindre Morue.                                                                          
J’ai reculé en tirant. Lorsque j’ai rejoint Morue, il s’est affalé sur le dos devant moi. Je me suis alors laissé tomber de travers dans la camionnette, le buste penché en avant entre le siège convoyeur et le tableau de bord, les pieds au sol.                                                           Les autres individus tiraient encore pendant que je me laissais tomber.                                                                                                        
L’homme que j’avais vu devant moi et qui m’avait suivi en faisant le tour du véhicule est arrivé derrière moi aussi.                                                           A ce moment, il me semble que les autres complices sont sortis de la porte pour le rejoindre.                                                                                                            
Un des hommes, probablement un de ceux qui sortaient de la porte a crié en arrivant ‘’ oh ! Le salaud, il avait un Uzi…’’ Un coup de feu a encore été tiré, sur Morue, j’en suis sûr. Un autre coup a encore été tiré dans ma direction, je pense que c’est avec ma propre arme, car elle m’a été arrachée des mains justes avant.                                                      
Je n’ai pas été touché par ce coup dont la trajectoire a été parallèle à mon dos, mais on en voit la trace dans le dos de ma veste.                    
En partant, j’ai entendu quelques mots du genre ’’maintenant on se tire’’ ou ’’maintenant ont se barre’’… Tous les auteurs parlaient-en Français, mais avec un accent qui n’était pas de la région, un genre d’accent flamand.                                                                                                
Je n’ai reconnu aucun genre d’armes qu’ils avaient.                                                                                   En fin de compte, j’ai été légèrement blessé au doigt.                            
L’homme que j’avais aperçu, semblait avoir fait le guet sur le côté du magasin et semblait rejoindre ses complices qui avaient été de toute évidence prévenue de notre arrivée, puisqu’ils nous tiraient dessus alors que nous étions toujours dans le véhicule en arrivant.                                                                                                                                        
Je me rappelle encore qu’en arrivant, lorsque nous avons parquet notre véhicule à proximité de la porte, que le MDL Morue, en voyant la porte a dit : ’’Ici c’est un flagrant délit, ils sont encore là’’. (Dont acte signature).                                                                                                                                                
(Informations que j’ai récolté dans plusieurs procès verbaux judiciaires) A 1h 44, plusieurs coups de feu éclatent au Colruyt de Nivelles. Lorsque le gendarme Morue descend précipitamment du véhicule il est aussitôt blessé par un projectile qui l’atteint à la cheville.                                                                                                         Un des tueurs ouvre le feu, les deux mains agrippées sur une arme de poing, bras tendu, visant le côté droit la camionnette.                            
Le gendarme Lacroix est notamment pris pour cible par un autre tueur armé d’un Riot-Gun, vers qui le gendarme ouvre le feu.                     Lacroix recule à l’arrière du véhicule pour se protéger mais sera touché par une balle à la main.                                                                            
Il sera suivi par le tueur au Riot-Gun, a ce moment précis,                     Lacroix rejoindra dans son véhicule de fonction pour appeler du renfort et tentera désespérément d’éviter les projectiles, en ce couchant à même le sol.                                                                                                
Selon l’expert Dery, trois tirs d’armes sont dirigés dans la direction des gendarmes ou se trouvent leur véhicule.                                                                                                                               Il est important de constater que lorsque la camionnette Ford de gendarmerie est arrivée au Colruyt, elle a été accueillie par au minimum quatre tireurs placés en oblique et debout !                        
Une arme 9 mm et un 357 magnums seront utilisés.                                 A l’aide d’un fusil Riot Gun, un coup claque et un projectile 12 mm (ballettes) atteint le niveau du phare gauche du véhicule.                           Un autre projectile 12 mm (ballettes) atteint l’avant-centre gauche.                  Un autre projectile de 12 mm (ballettes) atteint le haut de la portière gauche au moment même le gendarme Lacroix descend du véhicule.                                                                                                   Trois tirs consécutifs seront dirigés vers le gendarme Morue, déjà blessé par le Colt 45. Un tir manque sa cible un autre projectile atteint Morue à la jambe. Deux projectiles de fusil de chasse (plombs) atteignent Morue à la figure et aux bras.
Ensuite un des tueurs fait le tour du véhicule et ouvre le feu sur le gendarme en question qui sera atteint dans le dos (ballettes dans l’épaule et le coup) tandis que le gendarme Lacroix se couche dans le véhicule, et signale par radio que son collègue est tué.                                                                                                         A ce moment-là, il fera semblant d’être mort.
Un des tueurs armer d’un colt 45 mm contourne le véhicule Ford de gendarmerie, s’approche de Morue et l’abat à bout portant, un projectile se logera dans sa figure.                                                   Pendant ce temps, un des agresseurs vient par la porte conductrice pour prendre l’arme 7,65 du gendarme Lacroix, ainsi que les clés du véhicule.                                                                                                         Un autre agresseur extrait Lacroix du véhicule, retourne son ceinturon pour avoir accès à la boucle puis enlève la gaine et un autre tueur s’emparent de la mitraillette 9mm Uzi, pour la placer sur le siège arrière de la Saab Turbo.                                                                       Les agresseurs s’enfuient à bord de la Mercedes 190 et de la Saab 900 Turbo, ainsi que vraisemblablement dans un troisième véhicule.                                                            
Le Guet-apens.                                                                                           (D’après des informations que j’ai récolté uniquement dans des procès-verbaux):                             L’alerte sera donnée et les patrouilles de l’agglomération de Nivelles sont prévenues du drame qui vient de ce déroulé.      
Au même moment, à plusieurs kilomètres du Colruyt, une patrouille de la police de Braine l’Alleud munie d’un gyrophare, composée de trois hommes, repère la Mercedes 190 et la Saab 900 Turbo, sur la Chaussée de Nivelles. Directement une poursuite s’engage, mais les tueurs vont prendre les devants et se couvriront mutuellement en ouvrant le feu chacun à leur tour sur les forces de l’ordre.                                   Comme dans lors d’un entraînement militaire, le chauffeur de la Saab arrêtera brusquement mais de façon très technique, son véhicule à droite de la chaussée sur une aire de dégagement automobile. Quelques dizaines de mètres plus loin sur la gauche, les complices se trouvant dans la Mercedes 190, arrêteront eux aussi leur véhicule  
de la même façon, pour qu’un des tueurs descende du véhicule et puisse prendre appui sur le  toit de la carrosserie  et ouvre aussitôt le feu en direction de la voiture de police.                           Dans un synchronisme parfait, les tueurs de la Saab et de la Mercedes ; Ouvrent le feu trois fois et 7 fois de suite dans la direction des policiers qui dépassent les véhicules des tueurs à vive allure. Le policier Benoît Ruys qui est le chauffeur, sera légèrement blessé à l’épaule avec du calibre 12 mm, ( plomb 0).                                                     Ses deux autres collègues Bernier et Lemal ne seront forte heureusement pas blessés, si ce n’est dans leurs amours propres. Après cette pluie de projectiles en tir croisé, le chauffeur de la Mercedes se précipitera dans la Saab où il prendra place à la droite du chauffeur.                                                                                             Au même moment le véhicule démarre en trombe, et lâche définitivement les policiers qui sont encore sous le choc, recroquevillés dans leur Golf de service.                                                                                                                 Les tueurs sortent rapidement des axes routiers assez fréquentés, et s’engloutissent dans ce qui pourrait ressembler à un chemin de Terre en pleine campagne.                                                                                                            Pour des raisons qui me sont encore obscures, deux des tueurs ouvrent le feu deux fois dans le coffre de la Saab Turbo à l’aide d’un 357 magnum, un autre tir de Riot Gun atteindra l’aile gauche.                       C’est calmement qu’ils regagneront la rue piétonnière à deux pas de la rue Wauters ou, d’après les enquêteurs les tueurs seraient montés dans un véhicule qui les attendaient au carrefour de Mont-Saint-Pont et de la Chaussée d’Alsemberg.                                                                                     L’ensemble des cigarettes… et des bouteilles d’alcool volées… au Colruyt de Nivelles on bien évidemment été abandonné dans la Mercedes et la Saab.                                                                                        
Les enquêteurs avancent l’hypothèse, que les tueurs ont voulu changer la roue de la Saab Turbo 900, et devant leur échec, ils ont jeté le pneu de secours par-dessus un grillage.                                                                                                                                                                   Les policiers qui ont été pris sous le feu nourri en tir croisé au carrefour du Diable Amoureux, admettent quant a eu, que le guet-apens, était digne de professionnels, possédant un sang-froid à toute épreuve.                                                                                                    
Ceci termine les conclusions officielles des services d’enquêtes en relation avec la reconstitution de la tuerie au Colruyt de Nivelles.   concernant l’ensemble des hypothèses citées précédemment par les services d’enquêtes concernées, je les trouvent assez maigre et dépourvu de logique et pour le démontrer, je vais progressivement présentés mes hypothèses qui à la différence des systèmes judiciaires sont basée uniquement sur des éléments matériels, que j’avais déjà développés par écrit en 1986 et transmis en 1987–88-89-90 etc.,  à plusieurs personnalités de la Magistrature, Politiques, à la Gendarmerie, ainsi que des Avocats et Journalistes.                                                                                                                         Avant de développé la moindre hypothèse par mes présent écrit, j’estime très important de cité, l’Etat civil de quatre victimes tué et blessé au Colruyt de Nivelles :             (Procès verbal : 1). Fourez Jacques Arthur, né à Waasten le 29 avril 1934, domicilié à KNOKKE-Heist, Zeedijk Het Zoute, n°842. (Exécuté !)                                                                                        
2). Dewit Elise, Marie, Antoinette, divorcée, née à Vilvorde, le 26/11/1933, domicilié à Uccle, Avenue du Mercure N° 13. (Exécuté !)                                                                                  
3). Morue Marcel, Louis, Ghislain, né à Florennes, le 24/09/1952, domicilié à Charleroi, Fg de Charleroi N° 74, MDL de gendarmerie à Nivelles, matricule N° 45-11424-51. (Assassiné en service commandé !)                                                                              
4). Lacroix Jean–Marie, Maurice, André, Albert Ghislain, né Marcinelle, le 20 septembre 1953, domicilié à Charleroi, Jumet, MDL de gendarmerie à Nivelles, matricule N° 45-15339-49. (Blessé).                                                                              
Pour que vous, l’opinion publique, puissiez imaginer l’ambiance qui règne sur l’aire de stationnement d’un Colruyt, se trouvant à la limite de la rase campagne et ce, après minuit où, une voiture s’arrête environ toutes les heures pour se ravitailler en carburant.                                                                                                         Je vous joins un procès-verbal détaillant cette atmosphère :                                                                                           D’après le dossier 298 procès-verbal N° 10.21.2864/83 brigades de Nivelles, dirigé par le juge Guy Wezel :                                                                                       Situation des lieux :                                                                                 Il s’agit d’un magasin d’alimentation dit de grande surface d’un seul étage (rez-de-chaussée), deux petites pièces sont en étages, soit un bureau et un réfectoire. Il est en retrait de la chaussée, entouré d’un parc de stationnement. On peut contourner tout le bâtiment.                                                                                    
Vu de face sur la gauche, nous trouvons une station d’essence Gulf, composée de trois pompes automatiques, une boite genre central faisant partie de l’établissement.   Les pompes sont placées parallèlement au côté le plus petit du bâtiment.
Le magasin proprement dit est bâti sur 55 mètres x 21 mètres.                      
La clientèle peut entrer par l’avant tandis que l’arrière est percé de trois issues de secours.  
Sur le côté droit existe une porte servant à l’entrée du personnel et une porte de garage fermée par un volet mécanique pour le déchargement des marchandises.  
Ce parc de stationnement est entouré à l’arrière et sur le côté droit par un grillage de 1m 30 de hauteur, l’arrière est suivi d’un terrain en pente vers une route, le terrain est broussailleux, tandis que le côté droit est suivi d'un terrain planté d’arbustes.                                                                                                          
Sur le côté gauche, se trouve un terrain vague surélevé par rapport au parc de stationnement d’environ 1 mètre.
Le terrain est jonché de quelques détritus ménagers et principalement de matériaux de voirie usagés…
Le sol de l’aire de stationnement est constitué de béton.                                                                 Comme éclairage, seuls quelques tubes néon avec un panneau publicitaire. Les pompes sont éclairées. (Fin du P.V.)                                                                                                                    
Cette nuit-là, il n’y avait rien - pas le moindre vent, pas de bruit, excepté de la bruine et quelques larmes de pluies très fines couverte par une nuit pleine reposant sur un calme absolu, sauf celui de la sortie d’autoroute donnant sur la nationale avoisinant le Colruyt où passe rarement un véhicule que l’on peut voir et entendre arriver de très loin !                                                                                                           Ce procès-verbal, vient à démontrer clairement qu’il est impossible que les soi-disant prédateurs (selon la formule du Procureur Jean Deprête) n’aient pas entendu le moteur du véhicule ou vu arriver au Colruyt, les phares de la Mercedes 190 de Monsieur Jacques Fourrez.  
Les Mercedes 190 disposent de phares extrêmement puissants, qui peuvent être vus sans problème à des centaines de mètres.        
Par conséquent il me paraît invraisemblable, que des prédateurs… continuent à découper au chalumeau la porte arrière du Colruyt, alors que cela, a été démontré matériellement qu’il était impossible qu’ils ne puissent entendre ou voir un quelconque véhicule se diriger vers les pompes à essence du Colruyt.                                                                        
N°1) L’exécution de Jacques Fourez et Elise Dewit, en relation avec l’affrontement des forces de l’ordre étaient prémédités de longue date !                                                                    
N°2) Braine l’Alleud, le 28 mai 1983, cambriolage… de bonbonne de gaz de petite dimension, acétylènes et oxygène avec matériel Oxipac pour la découpe rapide de métaux                
N°3) Braine l’Alleud, vol d’une Saab Turbo 900 dans la nuit du 7 au 8 juin 1983.                                                                                                                        
N°4) Ville de Tamise, Société Wittock Van Landeghem, la Saab Turbo 900, servira à commettre l’attaque commandos et le vol de sept gilets pare-balles dans la nuit du 9 au 10 septembre 1983.                                                   Les gilets pare-balles serviront uniquement à tendre un guet-apens aux forces de l’ordre dans la nuit du 16 au 17 septembre 83, au Colruyt de Nivelles mais aussi dans toutes les autres Tueries du BW qui suivront.                                                                                                              
Dossier N°° 97/298/83 Rapport d’expertise :                                                                             Je soussigné, Farinaux Michel, expert spécialisé en matière automobile, requis par monsieur J.M. Schlicker, Juge d’instruction au Tribunal de Première Instance de Nivelles, en vertu du réquisitoire en date du 24/12/1985 repris ci-dessous : Saab Turbo Injection de 1983 de couleur Slate Blue.  
Les phares ronds, longue portée, fixés sur la partie supérieure du pare-chocs avant : Ces phares ont également été enlevés proprement.                                   Les fils ont été isolés.  
Le Klaxon : Fonctionnait en 6 volts, munis d’une turbine.                       L’ensemble de cette petite installation a été démonté sans dommage.   Les ceintures de sécurité, les repose-tête et tablettes démontés : Le démontage semble avoir été effectué proprement.
Ampoules feux stop : Un ruban adhésif a été placé sur les plots des ampoules des feux stop arrière gauche et droit. Ce ruban empêche le passage du courant dans le filament de l’ampoule et par conséquent les ampoules ne s’allument pas lorsque le chauffeur freine.
Considérations personnelles de l’expert Farinaux :                                                                                                                     qui me semble très clair qu’ils ont voulu rendre le véhicule au maximum anonyme. Je m’explique mal l’enlèvement des phares de longue portée.
Ces phares de longue portée, vu la saison et l’heure des faits, pouvaient leur procurer un éclairage supplémentaire, à moins que ces démontages aient été effectués pour rendre le véhicule différent de la description faite lors du vol.                        
Les ceintures de sécurité :  Ils ont été enlevés dans l'intention de supprimer toute gêne éventuelle pour les passagers.  
Les ampoules stop : Cette transformation est aberrante.                                
Il existe d’autres solutions pour empêcher leur fonctionnement : l’enlèvement pur et simple de l’ampoule.                                                  
L’enlèvement du fusible adéquat. Ceci est : Le débranchement du fil de son interrupteur.                                                                             ( Fin du P.V.)                                                                                              
N°5) Nivelles Colruyt dans la nuit du 16 au 17 septembre 1983, pour devenir comme prévu, les prédateurs du procureur Jean Deprêtre, les tueurs du Brabant wallon ont seulement volé… quelques milliers de francs en bouteilles d’alcool, café et en cigarettes.
(Incroyable mais vrais, car les Tueurs du Brabant Wallon auront passé plus d’une année, à préparer l’attaque du Colruyr de Nivelles pour seulement prendre et voler quoi : Des pralines du café et bidons d’huile. Cela me parait objectivement un peu fort de café. MRD ; HA HA HA , Voilà leurs butins dérisoires ou en plus ils auront exécuté plusieurs personnes. Encore plus incroyables mais vrais, Le Procureur du Roi Depretre et les enquêteurs auront directement affirmé que les auteurs de ces crimes étaient des voyous et ce, sans plus de certitude que cela, puisque l’att aque venait de ce produire. Alors que tous les indices matériels de cet attaque commando et de celle qui suivront «  Overyse, Braine l’Alleud et Alost, auront toujours été dans le sens en prouvant objectivement que les Tueurs du BW, auront mis plus d’une années pour préparer cette attaque au Colruyt de Nivelles et plus des 2 ans pour les trois autres qui auront suivie.
Dossier 298/83. Procès verbal 2745 du 13 octobre 1983 dressé par le Commissaire aux Délégations Judiciaires, M.Cherville Daniel, relatif au contenu  trouvé dans la Saab Turbo 9OO :                                                                               Une boîte contenant 52 pralines.                                                                   Une boîte contenant 25 pralines.                                                                                   Une boîte contenant 24 pralines.                                                                          Une boîte contenant 20 pralines.                                                                                   Une boîte contenant 18 pralines.                                                                                   13 bidons d’huiles de 5 litres chacun.                                                                         11 sacs de 2.5 kg de café en grain.                                                                           24 paquets de 500 grammes de café en grains.                                   Fin du PV) (Persiste et signe le 13 octobre 1983)
D’après les Etablissements Colruyt S.A. sur un document daté du 27 octobre 1983 et portant le numéro de référence 6235/83.10.27/2099:                                                                                                                                    L’ensemble du vol s’évaluera  à 22.070 francs. N°6) Pour trouver l’ensemble de ces accessoires, ils ont été obligés de chercher la marchandise voulue des journées entières, et une fois trouvée, il leur fallait notamment, étudier la façon de procéder à     l’effraction                         Pour cacher la Saab pendant plusieurs mois, le vol des sept gilets pare-balles, pour transporter les bonbonnes l’oxypac de découpage les tuyaux et tout le matériel adéquat à ce genre de mission commando.                                                                                                      
Il est fort possible qu’ils aient utilisé une camionnette.                                      
Ils ont aussi procédé à quelques améliorations mécaniques sur le véhicule Saab Turbo 900 comme ils se sont notamment procuré des talkies-walkies.                                                                                                                
Réunir les hommes, les armes, et toute la logistique, cela coûte extrêmement cher, (dix fois plus onéreuses que la marchandise qui a été volé… au Colruyt de Nivelles)            
N°7) Croyez-vous sincèrement, que des prédateurs organisent pendant plus de quatre mois et demi, différents vols et attaques minutés au dixième de seconde, dans la seule et unique intention de voler de la marchandise pour quelques milliers de francs belges ?                                                                                                                          
N°8) Lorsque des voleurs de poules… décident d’organiser un cambriolage de marchandise, ils déposent leurs marchandises dans une camionnette un camion et en aucun cas dans un véhicule                    Saab Turbo 900, comme l’ont fait les tueurs du brabant wallon à Nivelles.                                        
N°9) De véritables voleurs auraient rempli une camionnette ou un camion de produits divers, mais en aucun cas entassé de façon maladroite des marchandises dans un coffre de Saab Turbo 900.                                                                                                          
N°10) Les tueurs ou plutôt les prédateurs, comme aime les nommer le Procureur du Roi Jean Deprêtre, ne se sont étonnamment pas intéressés aux bijoux et au sac à main d’Elise Dewit contenant 21 mille francs, ni au portefeuille de Jacques Fourrez contenant à peu près la même somme d’argent ( comme d’ailleurs l’ont fait ceux qui ont volé la VW de Van Lith de Jeude Geneviève ainsi que la Peugeot 504 de Monsieur De Wee Raymond, qui  a aussi servi dans certaines Tueries du B.W.)                                                                                              
Ceux qui ont volé les véhicules VW Golf et Peugeot 504, ne sont pas les tueurs du Brabant wallon, mais de simples voleurs de poules !
N° de notice 10.21.2864/83, Juge d’instruction Wezel, P.V.4467 du 20/09/83 : Reprenant la somme d’argent que contenait le sac à main d’Elise Dewit, :                                                                                           Deux billets de cinq mille francs ;                                                                                                                Dix billets de mille francs ;                                                                                                               Un billet de cinq cents francs ;                                                                                           Cinq billets de cent francs, et une centaine de francs en pièces de monnaies et divers bijoux en or.                                                                                                                  
N°11) En référence au procès-verbal N° 512 rédigé suite au dossier 298/83 W, de M. le juge J.M. Schlicker rédigé le 14 mai 1984 par l’adjudant Guebels Jean, faisant suite au dossier mieux rappelé en marge et au P.V 2151 du 02/05/84 :                                                                                                               Peu de temps après la tuerie de Nivelles les forces de l’ordre découvrent dans la Saab turbo 900, un bidon d’essence de 10 litres inscription sur la face droite -PN- H C P .1977.                                       (Fin du P.V.)                                                                                                                                         D’une certaine façon ce procès-verbal, viens à démontrer que les tueurs savaient à l’avance qu’ils allaient faire face aux forces de l’ordre, et devraient abandonner les véhicules pour y mettre le feu !    
N°12) Pièce 24 procès-verbal.153. Carton 3 :                                 Dans le cours de son existence, Jacques Fourez, à été au Colruyt de Nivelles, une seule fois pour prendre à cette pompe de l’essence dans la nuit du Samedi 17 septembre 1983.                                                 (Fin du P.V).
Pour plus de limpidité, je vais vous détailler la vérité la plus plausible que bien évidemment, je conforte par des indices et éléments matériels réels, qui ont été et sont constamment écartés par les différentes enquêtes judiciaires du pays : Dans la nuit du 31/12/1980 au 01/01/1981, un ou plusieurs hommes vraisemblablement vêtus de faux uniformes de gendarmes s’introduisent dans la caserne d’Etterbeek, et dérobent des armes sophistiquées à l’escadron spécial d’intervention (E.S.I).
Le Greffe du Tribunal Correctionnel de Bruxelles reçoit la visite le 22/05/1981 de faux ou vrais agents des forces de l’ordre, qui détournent trois millions de francs belges à l’aide d’un faux ou vrai document d’extraction…
L’agent de sécurité Francis Zwarts sera intercepté par un vrai ou faux véhicule de gendarmerie.                                                                                                                                     (Procès-verbaux) Le 25/10/82 à 22.40 hrs, la Gd de Zaventem fut informée du vol d'un chargement précieux, au cours duquel le véhicule ayant transporté le chargement ainsi que l'accompagnateur restaient sans trace (cfr PV 2046 du 25/10/82). Le disparu est le nommé Zwarts Francis, né à Louvain le 14/10/57, marié employé Sabena, domicilié à 3044 Haasrode, Vinkenbosstraat 38. Le préjudice subi comprend : 1. un chargement précieux arrivé à Zaventem avec le vol SN786: Dont la Lettre de chargement n°082/ 33262294, trois colis contenant 90 Krüger rands, cinquante Vrenelis, vingt fois 1 kg barres d'or, destination DROGNE et Cie à Bxl. b) Lettre de chargement n°082/33258131, un colis contenant des diamants industriels 178 cts, destination DIATRADA SA, Schupstraat 21 à Anvers. c) Lettre de chargement n° 082/30618523, trois colis contenant barres d'or et pièces d'or, destination Michel Goffin et Cie SCS, Bruxelles. d) Lettre de chargement n°082/33257932, un colis contenant 12 horloges, destinataire Les Must de Cartier, Belgique. 2. Un envoi diplomatique envoi n° 9025 arrivé avec le vol SN872, soit le dernier vol que Sabena SN effectuait venant de Moscou, via Varsovie, à Bruxelles. 3. Un combi VW, propriété de la Sabena, avec plaques belge n°7G006, SN 516, n° châssis : 21922020023. 4. Un pistolet FN 9mm, n°478580 + six balles, propriété de la SN. 5. Un appareil portatif AUTOFON émetteur- récepteur, type SE72.     De nombreuses auditions furent effectuées suite au PV initial -du personnel SN travaillant dans ou près de l’appareil -du personnel de régie, qui ont la surveillance des entrées dans le domaine de l’aéroport -du personnel des douanes. (cfr PV n°2055,2056,2057,2058 du 26/10/82,PV 2088 du 27/10/82,PV 2099du 29/10/82. Un chien limier, fut placé sur le trajet que Zwarts devait effectuer, le résultat fut négatif (PV 2069 du 26/10/82). Une perquisition fut effectuée au domicile de Zwarts Francis, par la PJ de Louvain, adjt Stockmans, ainsi qu'audition de l'épouse et des beaux-parents de l'intéressé. Ces opérations ne fournirent rien de positif (PV 2059 du 26/10/82). Le 26/10/82, le combi VW de la SN fut retrouvé sur une décharge à Mooreveldweg à Malines Diegem PV 2064,2069 du 26/10/82, PV 2070 du 27/10/82. Peu d'indices utiles furent trouvés. Des morceaux de cire à cacheter furent retrouvés dans l'espace de chargement avec les mentions SA AR. Ceux-ci furent saisis. Des traces de pneus dans les environs du Combi VW SN indiquent la présence d'un second véhicule. Recherches négatives avec chien limier. Le 28/10/82, l'unité fut informée via la P.J. de Louvain du fait que le commissaire VOORHOF(service de recherches de Malines) avait reçu un appel téléphonique de la Gazette Van Mechelen. La rédaction elle-même aurait reçu un coup de téléphone anonyme au cours duquel un inconnu prétendait que Zwarts se cachait dans sa famille à Malines. Selon des renseignements obtenus, il apparaîtra   que Zwarts, n'a pas de famille à Maline. Il aurait bien un ami, soit DEMEYERE Guy, qui serait membre également de la police Sabena. Son épouse serait employée comme hôtesse de l'air à la Sabena. Un contrôle fut effectué par le service de recherches de Malines dans la famille Demeyere-Sonck. Ils semblaient cependant être partis le 27/10/82 en Espagne. Le 14/11/82, les époux Demeyere-Sonck furent entendus. Leur audition ne donnait pas de résultat positif. (PV 2078 du 28/10.82, PV 2215 du 14/11/82). Le 28/10/ 82, une seconde perquisition fut effectuée sur la décharge Mooreveldweg à Malines-Diegem. Le résultat fut aussi négatif (PV 2089 du 28/10/82).  Le 29/10/82, ré-audition du personnel de la Police Sabena, les nommés WIJNS Johannes, DELCOMMUNE Eugeen, BOULEZ Henri et POPULIER Daniel. Ces auditions ne donnent aucun développement positif à l’enquête et recherches (PV 2097 du 29/10/82). Un modus vivendi de Zwarts fut composé (PV n°2119 du 29/10/82 et 30/10/82).       Le 04/11/82 vers 16.15 hrs, se présente au bureau de M. VAN DE CAUTER Guy (Police Sabena) accompagné de M. TORRY Henri. L’audition de TORRY Henri et VAN LAER Pétrus, qui fit un déplacement avec la première cité, en véhicule de service de la Sabena, donne un nouveau tournant à l'enquête, ils déclarèrent en résumé ceci : "Le 25/10/82 vers 21.15 hrs, ils arrivent ensemble avec un véhicule de service de la Sabena venant de la direction Brucargo et roulant dans la direction du bâtiment de l'aéroport. Ils prenaient le tunnel sous la piste d'envol 25R. Arrivés à l'entrée du tunnel, ils voient arriver en sens inverse une Taunus blanche pourvue d'une bande orange-rouge. Ce véhicule s’arrêtait devant eux. Trois gendarmes en descendaient, un restait dans le véhicule au volant. Ils leur feront signe de poursuivre. Les trois gendarmes portaient des pistolets automatiques. Une de ces armes fut clairement décrite comme étant un pistolet automatique pourvu d'une cage trouée. TORRY, le chauffeur, poursuivit sa route et déposa son collègue VAN LAER au hangar n°6.
Lorsque les gendarmes furent dépassés, ils avaient manifestement plus d'intérêt pour le trafic venant de la direction du Brucargo. De retour vers Brucargo, TORRY, à nouveau dans le tunnel, constata que les gendarmes ne se trouvaient plus sur les lieux (PV 2152 du 04/11/82).
Le 05/11/82, ensuite, il fut procédé à une détermination chronologique des faits (PV 2170 du 05/11/82). Celle-ci mena aux conclusions suivantes : La rencontre dans le tunnel dut avoir lieu vers 21.25 hrs. Sachant que l’appareil SN786 était arrivé à l'exit le 25/10/82 à 21.11 hrs et partant du fait que le déchargement dure quelques minutes, il est possible et même vraisemblable que les soi-disant "gendarmes" aient intercepté à leur poste de contrôle dans le tunnel, le combi VW conduit par Zwarts. Des déclarations complémentaires du personnel Sabena confirme la présence d'un véhicule Ford Taunus sur le territoire de l'aéroport (PV 2185 du 05/11/82). Une troisième recherche est effectuée sur la décharge de Malines-Diegem. Le résultat est à nouveau négatif (PV 2191 du 08/11/82).   Suite au nouveau tournant pris par l'enquête après l'audition de TORRY et VAN LAER, il a procédé à la ré-audition des intéressés afin d'avoir une meilleure description des armes utilisées par les soi-disant gendarmes, et le cas échéant afin de procéder à la constitution d'un portrait-robot. Les intéressés ne purent donner de description utilisable à la confection d'un portrait-robot (PV 2214 du 10/11/82).   Comme suite à notre PV 2152 du 04/11/82, il a été procédé le 15/11/82 à la ré-audition et audition des gardes de la régie de service respectivement le 25/10/82 et pendant la nuit du 25 au 26/10/82. Leur audition ne fournit rien (PV 2240 du 15/11/82). Le 22/11/82, il est procédé avec TORRY et VAN LAER à une identification sur photo des éventuels auteurs du vol du 25/10/82 (PV 2354 du 22/11/ 82). VAN LAER pense que la photo du nommé VAN HEDDEGEM Johan présente une grande similitude avec les auteurs quant à la taille et corpulence. TORRY ne reconnaît aucune des personnes sur les photos. Vu l'importance du butin, il ait procédé le 26/11/82 à une prise de contact avec M. BEEKMAN, dont la compagnie d'assurances intervient pour l'assurance de l'or volé. Ceci afin d’insister auprès de lui afin qu'une récompense soit prévue pour ceux qui pourraient fournir des informations utiles pour résoudre l'affaire du vol et retrouver l'or. Mr.BEEKMAN offrit immédiatement sa collaboration complète. Un article paru dans divers quotidiens Néerlandophones et francophones (PV 2360 du 26/11/82).
Le 02/12/82 se présente au bureau un pilote, le commandant de bord du vol 786 venant de Zurich le 25/10/82.
Suite au fait qu'il eut connaissance que de faux gendarmes seraient impliqués dans le vol de l'or, DEWOLF Henri, déclara qu’au moment où il voulut garer son appareil sur le parking 13, un véhicule de gendarmerie se trouvait trop près de son appareil. Après avoir donné un signal avec les feux, le véhicule fera marche arrière. Il s'agissait d'une voiture avec bande rouge. Il ne put donner d'autres informations (PV 2392 du 02/12/82).
Le 09/02/83, la décharge de Maline-Diegem fut à nouveau soumise à une fouille.  Un tas de gravier qui avait déjà attiré l'attention la première fois, fut démantelé par un bulldozer.
Le résultat sera négatif. (PV 458 du 9/2/83). Durant cette période, différents noms de prévenus possibles furent avancés, ceci ne mena à rien (PV 232 du 19/01/83 et PV 461 du 10/02/83). Nombre de sourciers et paranoïdes ont depuis essayé de résoudre l'affaire, notamment concernant la recherche de la dépouille de Zwarts Francis. Comme suite à la découverte d'écrits épars dans le porte document de VAN REETH Frans, mentionnant : "Ils l’abatées attachée, l'agent de la meute reçut un envol héroïque sérieux, 2 épaves dérivèrent dans les égouts de la ville" (Ndt: Traduction littérale)-, une fouille sera effectuée le 04/04/83 dans les égouts à DIEGEM. Un seul trou d'égout sera considéré, l'ouverture étant à environ 100 m du lieu où le combi VW sera retrouvé. La fouille ne donnera aucun résultat positive (PV 572 du 04/04/83). EN CONCLUSION : Il est à constater que le vol de l'or à Anvers et l'attaque sur la E10(actuellement E9) présente de forte similitude. Dans les deux cas, un véhicule de gendarmerie falsifié sera utilisé, couleur blanche avec bande rouge- orange en travers.
Avant d'agir, les auteurs ont d'abord effectué des reconnaissances. Il y aura chaque fois exhibition d'armes. Les auteurs utiliseront dans les deux cas un endroit bien situé pour trans- bordé le transport attaqué dans un autre véhicule.   Il est en outre apparu des auditions que les membres de la Police
Sabena était au courant de la réception d'un chargement précieux une heure, deux au maximum, à l'avance.
Cependant, le service réservation Sabena, ayant ses bureaux à Brucargo, pourrait savoir la veille qu'un envoi précieux est attendu.
Ceci est également le cas pour ce qui concerne SN Zürich et Swiss Air, qui traite pour la Sabena à Zürich. Les préjudiciés étaient aussi au courant de l'arrivée de leur envoi.
D’après l’enquête le convoyeur aurait été exécuté et vraisemblablement enterré le 26/10/1982.                                                      
Juan Tonio Blaya Mendez, à été exécuté le 7 janvier 1986, à lui aussi été la proie de faux ou vrais agents munis d’un véhicule maquillé comme celui de la police des autoroutes.
A été découvert à l’occasion de l’enquête menée contre les ex gendarmes Madani Bouhouche et compagnie des uniformes de gendarmerie, des gyrophares, ainsi que du matériel destiné à dévier la circulation.
Tentative d’évasion de sa prison, de M.Madani Bouhouche  où, certains complices à l’extérieur devaient s’introduire dans l’établissement en donnant l’apparence d’être des enquêteurs ou gendarmes munis de faux mandats d’extraction.                                                                                                    
G.  Dossier N° 97-298/83, Le 01/10/1984, Nimal Georges, expert en automobile, à la demande du juge d’instruction J-M. Schlicker :                                                                                                                             J’ai examiné le véhicule Toyota Corolla (plaque minéralogique EPF.615) de M. Lambert Paul, se trouvant à la gendarmerie de Nivelles, en présence de MM. Leteuille et Lesoin de la (B.S.R) de l’endroit.                                                                                          
Monsieur Lambert, profession Ingénieur technicien, né le O1/12/1953, a été plus ou moins témoin de certains faits qui se sont passés aux environs de l’établissement ’’Le diable Amoureux’’ le jour du triple crime au Colruyt de Nivelles.                                                                                                                                     Selon les indications fournies par Lambert, il aurait repeint lui-même cette voiture, dans sa teinte d’origine (blanc) dans la première quinzaine de juillet de cette année (1984).                                                                                                                                                       Avant que le véhicule ne soit repeint, il y avait sur le toit une bande longitudinale de couleur rouge, large de +/- 16 centimètres, selon le porte-documents qu’il nous a montré pour donner une approximation de cette largeur.                                                                                                                
En raison de la présence de cette bande rouge pouvant faire croire à une personne non avertie qu’elle se trouvait en présence d’un véhicule de la gendarmerie, le contrôle technique l’avait invité à la faire disparaître, ce qu’il a fait en repeignant complètement son véhicule.                                                                                                             Réf : 1.85. 1328. -Ohain, le 15 avril 1985.G.Nimal.                                                 1328.- Ohain, le 02 décembre .84.G Nimal. Conclusion :                                                                                          Le véhicule de Lambert ne porte aucune trace d’impacts d’armes à feu sur les éléments de la carrosserie examinés et dont question ci avant.                                                                                                                                                         Je jure avoir rempli ma mission en honneur et conscience avec exactitude et probité. G. NIMAL.                                                                                                                                                 A l’analyse de plusieurs indices concrets, il ne me semble pas impossible que la Toyota Corolla de Lambert, ait servi à intercepter, sur l’autoroute Paris Bruxelles, le véhicule de Jacques Fourez, qui ne s’est vraisemblablement pas méfié d’une voiture en apparence identique à un véhicule de police.                                                 Aux vues des différents procès-verbaux, Il m’est vraiment difficile de croire que Lambert, n’aurait pu bénéficier de protections ou de négligences de certains enquêteurs.                                                                       Je sais par de multiples rapports écrit, que Lambert, suivaient de quelques mètres, le vrai véhicule de police de Braine-l’Alleud, qui Lui, par conte, sera généreusement arrosée d’une pluie de balles de Riot-Gun .                   Il est étonnant que la voiture de Lambert qui ressemblé à un véhicule de police n’est pas essuyé le moindre impact de balles.                                       Il ne faudrait pas perdre de vue, que ce dernier suivait à courte distance le vrai véhicule de police de Braine-l’Alleud, qui est tombé sous une pluie de balle de Riot–Gun, sans que le véhicule de Lambert soit touché par un projectile, alors que sa Toyota ressemblait, d’après l’expert G.Nimal, à celle d’un véhicule de police.                  
Dossier N°97-298/83 du Cabinet du Juge d’instruction J-M. Schlicker à Nivelles. L ’expert G. Nimal expert Judiciaire, Route de Renipont  87. Ohain 1328 en date du 20/10/1984, a examiné le véhicule Toyota Corolla de Lambert Paul : Témoin (?)-, de certains faits à hauteur du ’’Diable Amoureux’’ .                                 A mes questions Lambert à donner les renseignements ci-dessous :                         Il a pris la route nationale à hauteur de la sortie de l’autoroute A 202- Ring Est vers Braine-l’Alleud dans le sens Nivelles Waterloo.                       Là, il n’a pas vu passer de véhicules devant lui. Quand il a pris la route nationale 6, dans la direction de la ville de Waterloo, sur le Pont en forme de --S--, au-dessus de la, -A-202, il n’a remarqué aucun véhicule devant lui qui se diriger vers Waterloo.                                                                                                                A hauteur de l’avenue Alphonse Allard et avant d’arriver à cet endroit, il n’a pas vu de véhicule, (1) sortir de cette Avenue.                                                                                                                      Environ 50 mètres après ce croisement, la route nationale .6. est en descente vers l’Avenue Germinal (à gauche), puis en montée environ jusqu’au Pont à droite sur la A 202.                                                                           Il n’a vu aucun véhicule devant lui : il aurait pu remarquer au moins, les feux rouges du véhicule de la police.                                                               C’est après avoir passé le sommet de la côte qu’il a remarqué, devant lui, à bonne distance, les feux d’un véhicule qu’il a immédiatement identifié comme étant un véhicule de police (blanc et bleu) roulant très lentement.                                                                                            Il a pu identifier le véhicule comme étant un véhicule de police grâce à l’éclairage public très puissant, à droite selon sa direction.                                                                                                                 Monsieur Lambert a entendu, trois coups de feu, mais n’a pas vu de ‘’flammes’’ sortir des armes. Or, la photo du véhicule de police qui m’a été montrée par Messieurs Leteule et Lesoin de la Brigade de gendarmerie de Nivelles, montre que ce véhicule a été touché par un tir de Riot-Gun (ballettes) sur sa face avant, au nez du capot, et même le pare-brise: Ce dernier étant du type ’’ feuilleté ’’.                                               Ces impacts proviennent indiscutablement d’un tir dirigé dans le sens de Nivelles, très probablement par l’occupant de la Mercedes descendu de cette voiture.                                                                                                                                                                           Si Monsieur Lambert a remarqué les feux de position arrière de la Golf de la police, il n’a pas remarqué les feux similaires de la Saab, à sa droite et de la Mercedes à sa gauche un peu plus loin.                                                                          
Monsieur Lambert utilisait (dit-il) ses feux de croisement, son véhicule étant équipé d’ampoules du type halogène avec deux filaments, un de route et un de croisement.                                                                                                                                                               Il s’agissait cependant d’ampoules ayant une forme conventionnelle avec de très gros bulbe.                                                                                                                                                  
En feux de croisement, ces ampoules donnent un faisceau très large; de plus, elles ont une coupelle coupée à environ 195° qui allonge le faisceau des croisements vers la droite, ce qu’on appelle, le ‘’Faisceau code européen Unifié’’.                                                                                                                                           Ceci implique d’une part, que si les véhicules Saab et Mercedes étaient sans feux de position, Lambert aurait pu remarquer aisément la présence de ces deux véhicules, grâce aux catadioptres incorporés dans leurs feux arrière, la Saab frappée plus directement par le faisceau de croisement utilisé par la Mercedes, or M.Lambert n’a rien remarqué.                                                                                                Selon les verbalisant, Lambert, se serait trouvé très près de la voiture de police ; Ici deux points, son à souligner, à mon avis :                                                                                                               N°1) d’après ce qu’a laissé sous-entendre Lambert, ses rapports avec la police ne devaient pas être des meilleurs, en raison très certainement de sa profession (?)                                                                                                                 N°2) en outre, son véhicule de teinte blanche, avait au moins sur le toit une large bande peinte en rouge (environ 16 cm), d’après ce qu’il m’a montré. Blanc avec bande rouge = véhicule de la gendarmerie non banalisée. (Fin du P.V)       Pour ma part il me semble incroyable que Lambert, ait été épargné de la sorte par les tueurs du brabant wallon, s’il ne connaissait pas les tueurs. Ils ne frauderaient pas perdre de vue, qu’il se  trouvait près des véhicules des Tueurs venant du Colruyt de Nivelles (où ils venaient de tuer froidement trois personnes, et de mitrailler le véhicule blanc et bleu de la police, à l’intérieur duquel se trouvaient  trois policiers et juste derrière eux, le véhicule de Lambert), Il me paraît illogique que ses tueurs chevronnés aient pu hésiter un seul instant à mitrailler de balles le véhicule de Lambert que l’on pouvait assimiler à un véhicule de la Gendarmerie,  à cause de la bande  de couleur au centre de son véhicule.                                                                            
Ces tireurs auraient même pu aller le chercher sur l’aire de stationnement du ‘’Diable Amoureux’’ où il avait rangé son véhicule, à gauche vers l’établissement en question, à l’intérieur duquel il s’était précipité !                                            
(Rapport de L’expert G. Nimal) Compte tenu de ceci, pour ma part, M.Lambert ne se trouvait pas non plus aussi près de la voiture  de police comme il a bien voulu le dire, ce qu’implique  qu’il a très bien pu remarquer, soit la Saab faisant demi-tour vers Nivelles, soit le transfert d’un véhicule à l’autre de l’occupant initial de la Mercedes.                                                                             M.Lambert qui à mon sens, tente de se faire passer plus ou moins pour un ‘’minus’’, ce qu’il n’est certainement pas, craint des représailles de la part des tueurs, s’il parle.                                                                             Quant à sa voiture, il l’aurait repeinte dans la première quinzaine de juillet 1984, soit de cette année, faisant ainsi disparaître la bande rouge se trouvant sur le toit : Le contrôle technique lui ayant d’ailleurs (toujours selon lui) fait des remarques à ce sujet.                                                                                                          On peut se demander les raisons qui ont poussé Lambert à repeindre entièrement son véhicule, près de 10 mois après les faits du Colruyt et du ’’Diable Amoureux’’.                                                                                           Dont acte G.Nimal. Le 20/10/1984.    
Dans le même P.V. d’expertise j’apprends :                                                                             N°1) Que la Toyota Corolla de Lambert, et mise en service par le concessionnaire le 23.06.1976.                                                                                        
N°2) Sera remis en service par M. Lambert le 25/O5/1982.                                    
N°3) Couleur blanche, lors de l’achat du véhicule par Lambert, le 25/05/82                    
N°4) le 04/12/84:) Couleur actuelle blanche. (Fin du P.V).                                                                                              
Lorsque j’analyse les indications fournies de façon maladroite et souvent illogique, par Lambert: Il prétend avoir repeint lui-même cette voiture, dans sa teinte d’origine (blanche) dans la première quinzaine du mois de juillet de cette même année.                                                                                                   Je ne connais ni de près ou de loin, le dénommé Lambert Paul, mais il me paraît difficile de croire que ce dernier n’à pu bénéficié de protection au niveau de certains services de Judiciaires ou autres, car que tout au long de ces années  d’enquêtes judiciaires, ce dernier à pu échapper à un véritable interrogatoire, comme  il est aussi vrais  que jamais son nom n’est apparu dans les Enquêtes des Commissions Parlementaires sur les tueries du Brabant wallon.
En présence des Borains, lors d’une reconstitution du crime de Nivelles, Michel Cocu, déclare dans le dossier instruit par le Juge d’instruction Jean Claude Lacroix, 42/87 pages 4 et 337 du 11 juin 87 : ’’ Je m’étonne de constater que dans le dossier on parle de la voiture de Lambert et quand faite, cette dernière ne fait pas partie de la reconstitution’’. (Fin du P.V)
Il est pour le moins étonnant voir inquiétant que lors de la reconstitution le véhicule Toyota Corolla et le nom de Lambert Paul, soit évité de la sorte par le parquet de Nivelles, qui n’a jamais fait allusion verbalement sur papier ou, physiquement de Monsieur Lambert, alors que dans l’ensemble des déclarations de ce dernier, ne ce trouve que des versions aussi troublantes que contradictoires !!!                                                              
Dans l’ensemble des procès-verbaux ou, apparaît le nom de Lambert Paul, il n’y a que des mensonges flagrants !!!                               Pour le démontrer, je vous joins plusieurs passages de procès verbaux:                                                                                                     Dossier 42/87, Procès-verbal N° 20425, du 19/04/1987. Jean- Jacques, Marie née le 08/08/1957, belge, épouse de Lambert Paul, : ‘’ Dans la nuit du 16 au 17 septembre 1983, j’ai effectivement travaillé comme serveuse au bar Le Diable Amoureux.                                                                                 Je me trouvais dans un petit salon séparé du bar par une tenture où je m’étais assoupie en attendant l’arrivée de mon mari.                                                                     J’ai entendu plusieurs bruits mais je n’aurais pas pu dire ce qui les avait provoqués.                                                                                            Sur le moment, je crois que personne n’a pensé qu’il s’agissait de coups de feu.                                                                   Juste après les coups de feu, j’ai entendu la voix de mon mari et je me suis levée pour aller le rejoindre.                                                                                           Je ne pourrais plus vous affirmer maintenant si je m’étais déjà changée pour rentrer chez moi et comme mon mari venait toujours me rechercher à la même heure, j’étais le plus souvent changée à son arrivée.                                                                                                       Il est donc probable que ce fut le cas ce jour-là.                                                                       ‘’ Mon mari ne m’a jamais raconté en détail la fusillade à laquelle il avait assisté. (Fin du P.V)
Je suis pour le moins interloquée par la réponse de la compagne de Monsieur Lambert, alors que dans ces déclarations précédentes sur procès-verbaux, elle prétend le contraire puisque cette réponse vient à démontrer clairement que son époux lui aurait déjà avoué avoir vu la fusillade !  
’’Dossier 42/87, procès-verbal 20662 du 13/07/1987 Juge J-CL Lacroix. Audition Lambert Paul :                                       Vous me demandez de faire appel à mes souvenirs en ce qui concerne la fusillade qui est intervenue en septembre 83 à proximité du bar ’’ Le Diable Amoureux’’. Je sais que j’ai fait des déclarations divergentes à ce sujet notamment sur la direction que je suivais ce jour là.                                                                                                          Je vous assure que je n’ai jamais eu pour intention d’égarer les enquêteurs.                                                                                                       Si j’ai varié c’est parce que, déjà à l’époque, j’étais incapable de me rappeler quelle sortie d’autoroute j’avais pris.                                                                                         J’avais pour habitude de prendre l’une ou l’autre sortie et cela suivant l’inspiration du moment.                                                                                                Lecture faite persiste et signe au carnet du second verbalisant.                          
Dans ces deux procès-verbaux, il y a contradictions sur contradictions, mais pour être le plus succinct  possible, j’ai repris deux passages qui démontrent clairement que Lambert  tente de façon maladroite de cacher une vérité, en affirmant sur P.V, ne pas bien connaître la route du Diable Amoureux, alors que son épouse Jean-Jacques Marie, déclare sur P.V, que son mari vient régulièrement la rechercher au Diable Amoureux.                                                                                                                             Dans le P.V. 20429 dossier 42/87 du 11/07/87.                                         Juge Lacroix Jean Claude. Nous Laitem Jean commissaire aux délégations judiciaire auxiliaire du Procureur du Roi de Charleroi exposons : Avoir tenté à plusieurs reprises de rencontrer le nommé Lambert Paul, déjà qualifié au dossier.                                                                                                  Nous l’avons convoqué deux fois sans résultat.                                         Nous, nous sommes rendus le 1er juin 87 à Zaventem dans les locaux de la Sabena où l’intéressé est employé.   Nous avons appris que Lambert était en absence injustifiée depuis le 21 mai dernier.                                                                                                 Nous, nous sommes également rendus le 3 juin 87 à l’adresse où il est toujours inscrit soit Molenbeek-Saint-Jean Boulevard Machtens N°3 Bloc B 13éme étage sans parvenir à le rencontrer.                                                                           Nous le signalons dès lors à rechercher par la voie du B.C.S.                                                                                                     Dont acte, lecture faite persiste et signe.                                                                                  
Après avoir reçu ces multiples convocations judiciaires dans le courant du mois de juin 84, M.Lambert Paul, me laisse penser objectivement qu’il a paniqué et s’est caché quelques jours, le temps de préparer des... réponses qui lui semblé logique,  ainsi qu’une série  d’excuses de façon à justifié son emploi du temps à différent moment suspect.                          
Il est vraisemblable que cela était, pour transposer la vérité sur sa réelle occupation dans la nuit du 16 au 17 septembre 83.                                       Non content de se contredire de façon très maladroite, ce dernier a, dans la première quinzaine du mois de juillet 1984, repeint son véhicule Toyota Corola et cela, juste au moment où il est recherché par les forces de l’ordres
((J’en reviens maintenant à l’exécutions prémédités de fourez et Dewite et des gendarmes blessés et Tué.))
H. Le couple Jacques Fourez, Elyse Dewit sera intercepté sur l’autoroute de Nivelles dans la nuit du 16 au 17/09/83 par un faux ou vrai véhicule des forces de l’ordre (possédant toutes les similitudes extérieures de celui de M. Lambert Paul).                                          
L’un des tueurs prend place à l’arrière ou à l’avant du véhicule du couple et contraint Fourez à se diriger vers le premier embranchement (ring) conduisant à la petite ville de Nivelles où se trouve la pompe à essence Gulf du Colruyt, Chaussée de Bruxelles 170.                                                                                                                  
Il est environ 1h2O, un des tueurs oblige Fourez, à lui remettre les enregistrements photos et documents compromettant les plus hautes personnalités du pays dans des parties fines de 7 à 77 ans qui se sont entre autres déroulées à la Hulpe.                                                                                              
A partir de ce moment, les tueurs suivront le plan conçu avant le 28 mai 1983, en mettant en place leurs scénarios macabres de manière à faire croire à la piste des cambrioleurs prédateurs.
Ils obligeront Monsieur Fourez, à remplir son réservoir (47,99 litres d’essence) puis l’abattrons de sang froid.                                                                                                            
Sa compagne comprendra très vite qu’elle allait subir le même sort, et tentera de s’enfuir mais en vain. Ils la prendront violemment et la traîneront aux côtés de Jacques Fourez ou, elle sera exécutée de plusieurs balles.                                                                                                              
Il ne manquait plus que la deuxième mise en scène pour parachever leurs plans machiavéliques, digne des livres d’Agatha Christie :                
Les tueurs savaient pertinemment bien, qu’en découpant au chalumeau la porte du Colruyt de Nivelles, et qu’une fois à l’intérieur, le système d’alarme volumétrique visible par tous, se déclencherait à la centrale de surveillance, et que la gendarmerie de garde enverrait sur place une patrouille composée de deux hommes.                                                                            
Comme prévu les gendarmes arrivent sur les lieux, et seront accueillis par des professionnels de la gâchette, qui plus est, protégés par les gilets pare-balles volés à l’usine de Tamise.                                                                            L’arsenal des tueurs est très impressionnant :   Deux riot-gun 12mm.                                                                             Pistolet 45.                                                                                                         Pistolet 7.65.                                                                                           Revolver magnums 357.                                                                                           Rüger 38                                                                                                                          Revolver 9mm.         22mm long rifle.        
Les courageux gendarmes seront abondamment arrosés de plus de 29 projectiles différents !    
A l’occasion des enquêtes judiciaires sur les tueries du Brabant wallon, l’équipe de police scientifique découvrira plusieurs empreinte génétique et digitales sur les lieux de différentes attaques sanglantes.   Ils ne fourniront jamais le moindre résultat objective.
Ils n’ont jamais manifesté le désir réel de mettre un nom de véritable coupable ou de procédés a des devoirs complémentaires sur Monsieur lambert Paul, sur la base d’un de ces éléments concrets, cité précédemment.    
Au cours des différentes investigations judiciaires de nombreux indices et éléments matériels prouvant clairement mon innocence ont étés détruits, volés par certains responsables d’enquêtes dans la seule intention d’accrédité ma culpabilité dans ces massacres d’innocent et du même fait protéger les véritables tueurs du Brabant wallon.  
Ceci vient à démontrer que les tueurs ne sont pas des truands, mais des gens honorables... sans passé judiciaire qui plus ait, sont protéger par des organismes secrets et officiels du pays.      
Il faut savoir qu’en Belgique aucun fonctionnaire ou personnages exerçant une fonction pour l’Etat n’est fichée au registre national ou Européen des empreintes digitales et génétiques. Ceci laisse à penser que les autorités judiciaires ne trouveront jamais les commanditaires et tueurs du Brabant wallon puisque seuls les gens possédants un casier judicaire sont fichier et dans la parfois des cas possèdent un dossier génétique.                                        
Ci-joint un procès-verbal N° 20667, apostille B-E14 du 15 juillet 1987. Juge d’instruction Lacroix section C.B.W. et Officier Judiciaire Bertrand Alain.  Auxiliaires du procureur du Roi de l’arrondissement de Charleroi, transmettons à Monsieur le magistrat instructeur une copie du télex N° CHR005 du 15/07/87 : Nous avons adressé au commissariat général à Bruxelles aux fins qu’il communique aux pays visés dans l’apostille ci-jointe en retour, les empreintes relevées sur le sac poubelle découvert à proximité de la voiture  Saab ayant servi à commettre les faits au Colruyt de Nivelles le 17/09/1983.   (Dont acte, clos date que  dessus)
N’ 19)… J’étais malheureusement libre.   Meurtre de Jacques VAN CAMP et vol d’un VW Golf au Restaurant « Les Trois Canards » Dimanche 02 octobre 1983 vers 01h05, Ohain, Route de la Marache n°51
Le 02/10/1983 à Ohain: N° 42/87 du Cabinet. N° 10.91.199/87 du Parquet, sixième feuillet et 47 feuillets (E.15).                                                                                                             A la fermeture de son restaurant vers les 1h15, Monsieur Van Camp reconduira des membres de son personnel jusqu’à la sortie.                     Il sort de son établissement suivi par une jeune fille de salle. Au même moment un véhicule se parque brusquement devant le restaurant. Des hommes armés descendent du véhicule, qui les abandonnera directement.   Ils entrent brusquement dans l’Etablissement et un des tueurs saisit Monsieur Van Camp par le bras, tandis que l’autre auteur attrape la jeune fille, et l’oblige à se rendre dans la cuisine où se trouvais Madame Van Camp et quelques autres personnes. Le premier auteur tue M. Van Camp sur l’aire de stationnement. Le second force les personnes se trouvant à l’intérieur à se coucher par terre, ouvre le feu sans les atteindre et se fait remettre les clés des véhicules. Les intéressés s’enfuiront en amenant la voiture Golf GTI de M. Van Camp, qui sera utilisée pour le vol avec violences de Beersel le O7-10-1983 et le meurtre des époux Szymusik le 01-12-1983.                                                     Lecture persiste et signe.
Par perdre de vue qu’ils aura été matériellement prouver que l’ensemble des armes utilisées pour tuées 28 personnes et blessées des dizaines d’autres auront balistiquement un liens matérielles entre elles ce qui viens une fois de plus a démontrer et prouver matériellement mon innocence dans ces crimes de sangs, puisqu’à 80 %  des attaques sanglante dans le BW,  j’étais en Prison.
« INNOCENT » Lorsque ce couple SZYMUSIK sera exécuté j’étais encore en prison ! Etant donné que je m’étais évadé avec 37 détenus de la prison de Tournai dans le courant du 16 au 17 septembre, j’étais malheureusement libre le dimanche 02/10/1983, moment où M. Van Camp sera assassiné et malgré le fait que je sois innocent dans ce fait sanglant, le journaliste G. Dupont, affirme que j’ai été identifié par un ou plusieurs témoins … mais les éléments judiciaires prouvent catégoriquement contraire, puisque jamais au grand jamais, Moi Philippe De Staerke, j’aurais été interroger  de près ou de loin, par les Services Judiciaires concernant cette exécutions de sang-froid de Monsieur Van Camp, sauf une simple confrontation physique  de pur  formalités ce qui a directement fermer définitivement une ouverture d’enquete sur ma personne. Cela n’aura jamais empêcher certains Journalistes de me culpabiliser dans cette exécution prémédité DE LONGUE DATE ; Une fois de plus, j’en viens a me demander pourquoi certains Journalistes auront mis autant d’acharnement dans leurs articles de presses pour que l’opinion Public voir les système d’enquêtes ce décide a orienté officiellement leurs enquêtes vers ma personne. Car il ne faudrait pas oublier que de multiple article de presse auront affirmer par écrit que j’avais été identifier par des témoins l’ors de la confrontation, alors que c’est totalement faux.
Lors de la confrontation aucune personne ne m’aura pas identifiait comme étant un des tueurs de Monsieur Van Camp.       Butin : quelques dizaines de milliers de francs. La VW Golf sera découverte incendiée sur le chemin d’Hourpes à Lobbes-Thuin le 01/12/1983, à cette date, j’étais en prison ce qui dans un certain sens, rétablit mon innocence dans ces faits.
N 20)…   Innocent car, le vendredi 07/10/1983, j’étais en prison !                                     Parquet du Procureur du Roi. Nivelles. N° 10.27.1935/83. Extrait de réquisitoire de dessaisissement :  Attendu qu’il résulte des éléments de l’instruction que les faits sont connexes sous le rapport balistique au triple meurtre commis à Nivelles dans la nuit  du 16 au 17 septembre 1983; qu’en outre, la voiture volée au préjudice de Catherine Van Camp apparaît avoir servi lors du hold-up meurtrier perpétré à Beersel le 7 octobre 1983 ainsi qu’à l’occasion du double meurtre commis à Anderlues le premier décembre 1983: Toutes affaires criminelles ayant été précisément instruit sous le numéro de notice 10.21.2864/93 mentionné ci-dessus. Nivelles le 4 février 1983. Vendredi O7/10/1983 le magasin Delhaize de Beersel est la proie d’une attaque à main armée. Le gérant M. Vermaellen est froidement exécuté et trois clients seront blessés au fusil riot-gun 12 mm.                                                  Butin : Plus d’un million de francs.
N 21) … innocent car, le jeudi 01/12/1983, j’étais en prison !                                   Jeudi le 01/12/1983 a 18h40, la bijouterie d’Anderlues sera prise d’assaut par plusieurs personnes, armées d’un pistolet 7.65, revolver 22, colt 45-38 ou 357 magnums et à peine franchie la porte du magasin, les propriétaires des lieux, Jean Szymusik et Slomka Maria tentent de réagir et ils seront froidement abattus.                                                                                                          Butin : Un revolver 38 SPL de marque Arminius, quelques bijoux de fantaisie et autres objets d’horlogerie, sans valeur réelle seront emportés.
N°… 22, malheureusement je n’ai pas la chance d’avoir été en prison. Dimanche, le 22/09/1985, vol sans violence physique mais avec effraction dans le garage de la ville de Kortenberg (Erps-Kwerps)             une VW Golf G.T.I.1800 cc,  trois portes sera volée, pour être utilisée dans les trois plus sanglantes tueries du Brabant wallon qui feront 19 tués.  
N°… 23 Je n’ai pas la chance d’avoir été en prison.                                                 Notice N° 42/87 du Cabinet. N° 10.91.199/87 du parquet. Feuillet 7. Feuillet 47 g.(E.19). Braine-l’Alleud, le 27.09.1985 à 20h15, vol avec violences et meurtres :                                                                          Les auteurs stationnent leurs véhicules sur l’aire de stationnement d’une banque, à proximité du Delhaize.                                                   Un témoin Delbrassine Frédéric, né le 04/07/1973, se trouvant sur l’aire de stationnement est pris en otage.                                                             Par un petit chemin, genre escalier, les auteurs avec leur otage arrivent sur l’aire de stationnement du magasin.                                                                   Ils poursuivent leur chemin vers l’entrée du magasin.                                           A l’entrée, un des auteurs tue un homme. Ils pénètrent dans le Delhaize.  Arrivé à la caisse N°1, un des auteurs demande à un homme si c’est lui qui est le gérant. Cette personne répond par la Négative et sera obligé de s’agenouiller. Un autre auteur crie aux clients de se coucher. Les auteurs ouvrent le feu dans un caddie se trouvant entre les caisses n°1 et N’ 2. Un des auteurs se rend au bureau où se trouve le coffre-fort. Le gérant lui explique que la recette n’est pas accessible à cause d’un système de sécurité. Il donne les petites coupures (50 et 100 francs belges).  L’auteur les mets dans un sac en plastique de couleur grise. Il ouvre le feu sur le téléphone placé dans ce local. Pendant que cet auteur se trouve au bureau, un deuxième vient contrôler le déroulement. Entre-temps, l’auteur avec l’otage se rend à la caisse n° 9 et insiste pour que cette caissière vide les autres caisses et met le contenu dans un sac. Soudain, il ouvre le feu sur un client qui se trouvait dans la rangée de la caissière qui doit se dépêcher car l’auteur menace l’otage. L’auteur se rend avec l’otage et la caissière, à la caisse n°1.                                                                   La caissière et l’otage doivent s’agenouiller.                                                 Les trois auteurs se trouvent à la sortie du magasin.                                      A la sortie, la caissière peut retourner à sa caisse, par contre l’otage doit les accompagner jusqu’à l’aire de stationnement où se trouve une camionnette. Les auteurs ouvrent le feu sur la camionnette dans laquelle se trouve Monsieur Djuroski, qui est tué, tandis que son fils est grièvement blessé.                                                                               Les auteurs se dirigent vers leur véhicule avec leur otage en empruntant un petit chemin en forme (d’escalier).                                         L’otage est libéré et les auteurs s’enfuient à bord de leur véhicule. Butin : 388.000 francs belges volés.
N 24)… Je n’ai pas la chance d’avoir été en prison à ce moment la !                                                                                                                    Notice N° 42/87 du Cabinet N° 10.91.199/87 du Parquet. Feuillet 8 pages 47 h. Overijse, le 27/09/1985 à 20h38, vol avec violences et meurtres :  Les auteurs garent leur véhicule de marque VW Golf sur l’aire de stationnement du magasin Delhaize, qui se trouve derrière le lave-véhicule et le coffee-shop Windekind.                                               Les auteurs se rendent devant où se trouve l’entrée du magasin où trois enfants circulent à bicyclette. Ils les obligent à descendre.                    Deux, des trois enfants prendront la fuite, le troisième descend et sera abattu immédiatement.                                                                                 Dans les environs immédiats, deux personnes collent des affiches Pour les élections.                                                                                  Les auteurs obligent une de ces personnes à les rejoindre.                           Entre-temps, ils tuent un client qui se trouve à côté de sa voiture près du magasin de journaux.                                                                                 Ils pénètrent alors dans le magasin et ouvrent le feu à l’intérieur. Deux des auteurs vont vers le bureau. Les caissières sont obligées de vider leurs caisses et de déposer les recettes dans des sachets.   Le bureau est partagé en deux. Le gérant adjoint, entendant les coups de feu, veut sortir mais est surpris par les auteurs.                           Une caissière est obligée d’ouvrir les coffres-forts.                                     Les personnes présentes sont rassemblées dans l’autre partie du bureau. Le contenu du grand coffre-fort est mis dans un sac en plastique de couleur grise.                                                                             Un des auteurs a arraché les fils du téléphone et l’a détruit d’un coup de feu. Le téléphone de l’autre local est également détruit. Les auteurs descendent et rassemblent les sachets avec l’argent.                              
A l’extérieur, ils ouvrent le feu sur n’importe quoi.                                                 Une personne se trouve à bord de sa voiture et tente de partir, mais est immédiatement prise sous le feu et est blessée.                                                           Les auteurs marchent vers leur véhicule. L’otage est devant eux et sera abattu sur place.      
Ils quittent alors les lieux à bord de leur véhicule en emportant 2.5OO.OOO francs belges dont 1.5OO.OOO francs en chèques nominatifs.
N 25) …  Je n’étais hélas pas en prison.                                           Le 9 novembre 1985 vers 19h37 ou 4O, huit personnes faisant leurs courses au Delhaize d’Alost seront gratuitement … et froidement abattues par balles plus de nombreux blesser.
Les tueurs vont une fois de plus frapper violemment dans la chair d’innocentes victimes pour un butin dérisoire, quelques centaines  de milliers de francs.          
Est-ce un mensonge ou la vérité, quand divers médias laisseront entendre et paraître dans leurs journaux que le 9 novembre 1985, deux agents d’élite appartenant aux forces de l’ordre étaient en faction au Delhaize d’Alost, et ce, avant 19h37, ces derniers recevront des ordres du Q.G. de quitter leur poste et de réintégrer leurs quartiers, alors qu´en principe ils devaient rester de garde, jusqu’à la fermeture du grand magasin ? ? ?
Concernant mon inculpation dans les tueries, il est à noter que, pour l’ensemble des attaques à main armée qui m’ont valu une condamnation à 20 ans d’emprisonnement, il n’est à aucun moment question de port de gilets pare-balles. Qu’en outre, les personnes qui ont été condamnées avec moi, ne font jamais la moindre déclaration ou même allusion dans ce sens, alors que les tueurs eux, ont manifestement fait usage de telles protections à chacun de leurs méfaits, ainsi que l’attestes de nombreux témoignages indices et preuves matérielles récolté au cours des diverses enquêtes judiciaires.                                                                                                       De toute mon existence, je n’ai jamais touché de mes mains un gilet pare-balles !                                                                               Juste après l’attaque meurtrière (huit personnes) au Delhaize d’Alost, la VW Golf est découverte (09/11/1985) totalement calcinée dans le bois de la Houssière à Braine–le-Comte au lieu-dit ‘’Mon idée’’ :                
P.V, 20361 le 13 mai 1987, Lachlan Alain et Ruth Lionel sous-officiers. Charleroi : Aux alentours du bois de la Houssière, des chèques et des publicités découvertes à moitié détruites par le feu, établissent un lien avec les attaques de Braine-l’Alleud et Overijse.                                                                                                               Les procès-verbaux en question établissent un lien matériel avec la tuerie du Delhaize d’Alost et celles de Braine L’Alleud et d’Overijse. Une fois de plus cela prouve catégoriquement mon innocence dans ces faits criminels politiques et judiciaires.                                                   Jamais, au grand jamais, je n’ai été interrogé, ne fût-ce qu’une toute petite seconde, concernant les tueries de Braine l’Alleud et Overijse ! Pourquoi n’ai-je jamais été interrogé ? Simplement parce qu’il a été établi matériellement qu’il était impossible que j’aurais pu commettre ces faits, étant donné qu’une fois de plus des preuves matérielles qui sont en possession du système judiciaire prouvent mon innocence dans ces faits sanglants. Cette circonstance a toujours été tenue secrète par les systèmes judiciaires et la justice, parce qu’elle prouvait clairement mon innocence dans la tuerie d’Alost.
Gendarmerie en résidence à Charleroi C.B.W.. Procès-verbal N°20361. du 13 mai 1987 Sous-officiers Lachlan Alain et Ruth Lionel. Base de notre intervention.                                                                                                        Dans le cadre des diverses recherches entreprises eues égard aux documents retrouvés calcinés au bois de la Houssière, lieu –dit ’’mon Idée’’ le 9 novembre 85. (P.V.1582 du 15.11.85 de Task-Force Gd. Nivelles). L’examen des débris par l’expert Guillaume: Nous à permis de déterminer le type de publicité et de ce fait, nous nous sommes présentés au siège de la société Delhaize où nous avons contacté M.Tenaerts, chef du service de sécurité.                                                     Il appert de notre entrevue que les publicités découvertes dans le foyer ‘’mon Idée’’ ont été émises en août 85 et étaient remises aux caisses des grandes surfaces Delhaize dans la région bruxelloise uniquement. Le document n’était remis que par un ou deux exemplaires aux clients. Le stock était entreposé au bureau central.                     Il est vraisemblable que ces documents ont été emportés par les auteurs lors des agressions à Overijse (document en Néerlandais) et à Braine-l’Alleud (document en Français).                                                                                                             La firme Delhaize a fait imprimer ces documents par la Sté G & H à Bruxelles, laquelle avait chargé la Sté Pulsar, Chaussée de Bruxelles, 344 à Overijse, de la distribution …                                                 (Dont acte)
Gendarmerie de Nivelles Brigades BSR, analyse du procès verbal rédigé suite au dossier 261/85 de M. le Juge d’instruction Bayens. P.V 1582/85.TF. du 15/10/1985 à 10 heures des sous-officiers de la BSR de Nivelles Jacques Théo et Legros Roberto. Information constatations.     Le 09/11/85 à 16.45, nous avons été informés via un appel 901 de la découverte dans le bois de la Houssière à Braine le Comte au lieu-dit ‘’Mon idée’’, d’objets pouvant avoir un rapport avec les faits du Brabant wallon.                                                                                                       Nous découvrons un ancien foyer d’incendie dans lequel nous remarquons de nombreux objets et documents calcinés en partie.                           Ce foyer est froid. Parmi les documents nous remarquons des morceaux de chèques barrés provenant vraisemblablement du Delhaize d’Overijse. En effet les morceaux de chèques que nous découvrons ont été rédigés à Overijse et porte le cachet de la marque Delhaize.                                                                                                               Nous découvrons également des morceaux d’une revue d’armes en tout genre. A noter que le foyer mesure deux mètres cinquante de diamètre.     (Dont acte)                                                                                                    
Dans le véhicule Golf incendié aux alentours du bois de l’Houssière, les enquêteurs découvriront un morceau de document manuscrit qui les conduira dans l’entourage de l’ex Directeur de la prison de St Gilles Jean Bultot.                                             Les investigations conduiront l’enquête vers des gendarmes et ex-gendarmes et certaines fédérations de tir à l’arme à feu dont Claudine Falkenburg faisait indirectement partie.                                                                              
Le juge d’instruction J.M.Schlicker de Nivelles ordonnera un devoir d’enquête graphologique comparative exécuté en 1986, par l’expert Guillaume André. Après analyse, il conclut que le morceau de document manuscrit en question appartenait bien à Claudine Falkenburg.                                                           Il est pour surprenant, que les autorités judiciaires n’inquiètent pas outre mesure, alors qu’ils détiennent un élément d’indices important, qui établis un lien entre Claudine Falkenburg (secrétaire… du club de tir) et l’enquêtes sur les tueries du brabant wallon
Elle ne sera entendue que quelques heures par les services judiciaires de Nivelles et de Termonde et ne sera jamais mise en cause par qui que se soit.                
Ces constatations objectives peuvent se vérifier facilement dans le dernier rapport de la commission parlementaire sur les tueries :                         A aucun moment les indices d’enquêtes ainsi que la piste Falkenburg, ne sera jamais réellement mise en évidence.                                                                  
En ce plaçant d’un point de vue judiciaire, ce document manuscrit démontre assurément qu’il aurait fallu chercher dans l’entourage immédiat de Falkenburg Claudine, composé, entre autres, de gendarmes et d’anciens gendarmes, ainsi que des membres appartenant à des groupuscules d’extrêmes droites. Ces groupes de gens ont pourtant défrayé la chronique judiciaire dans des affaires à relents politiques et judiciaires, mettant en cause certaines personnalités du pays dans différentes histoires.                                                                           De toute évidence, les enquêteurs de différents parquets n’ont pas voulu mettre à jour cette piste qui, pourtant me semble intéressantes. Bien évidement si les enquêteurs refuse de chercher dans se sens il ne risque de ne jamais tien trouver.
Chaque fois que des indices matériels prouvent l’implication de gendarmes et d’ex-gendarmes ou de groupuscules d’extrême droite, certains enquêteurs, magistrats et hommes politiques, finissent toujours par conclure qu’il s’agit d’éléments matériels fabriqués de toutes pièces. (Be-voyons !)
Si les tueurs avaient réellement eu l’intention d’impliquer jean Bultot, Claudine Falkenburg ou, qui que se soit dans les tueries du B.W,                   A mon sens, ils n’auraient jamais tenté de faire disparaître le document manuscrit et les preuves matérielles en boutant le feu au véhicule V.W. Golf dans le bois de la Houssière.                                                                                                
Il paraît incroyable, qu’après toutes ces manipulations intellectuelles et matérielles, certains responsables d’enquêtes s’étonnent encore que le pistolet 9 mm à la bolognaise découvert en 1988, chez Mme Quittner Anne, la compagne de Madani Bouhouche « ex gendarme » Que le pistolet en question sera manifestement modifié deux mois après sa saisie, ce qui obligera certains experts à revenir sur leurs premières conclusions positives !                                                                                                                      
L’arme 9mm à la bolognaise sera baptisée ainsi par les journalistes après qu’elle est été découverte par des gendarmes dans le réfrigérateur d’Anne Quittner qui fut la compagne de Madini Bouhouche en 87 ou 88.                                                                        
Pendant le procès des Borains l’expert Dery remettra tout en question, lorsqu’il affirmera que l’arme découverte chez Bouhouche était celle qui servit à certaines tueries dans le Brabant wallon, « dont celle d’Alost, - ou je suis inculpé seule, depuis 1987 ».  (Il ne faudrait pas perdre de vue que plusieurs enquêteurs de terrain chargé des enquêtes sur les tueries du B.W, ont dirigée malhonnêtement leurs investigations sur moi Au fils des années la hiérarchie découvrira des policiers corrompue et malhonnête et seront aussitôt… déplacés de leur poste parce que suspectés d’avoir soustrait des éléments d’enquêtes dans le cadre des enquêtes sur tueries du brabant wallon                                             Le problème est de savoir, combien d’enquêteurs ripoux, n’ont quant à eux, jamais été découverts, et par conséquent sont toujours dans la cellule d’enquête Brabant wallon, bénéficiant du même fait, du pouvoir de faire disparaître telle ou telle pièce à conviction, tout en prenant soin de continuer à orienter les enquêtes vers de petits voleurs de poules (prédateurs pour utiliser la formule magique de M. le Procureur du Roi Jean Deprêtre).                
Facture : 86/1000/016000 Garage R. D’Houwer Mazda. Zandstraat 34-67, Termonde 9330 ou, l’expert Farinaux repris dans la Notice 97/293, est chargé  par le juge  J.M. Schlicker d’analyser plusieurs véhicules ayant servi à certaines tueries du  B.W :’ Overijse, Braine- L’Alleud, Alost. (Van Camp.  B) volé à Erps Kwerps ; Conclusion pour les véhicules incendiés - L’incendie des véhicules avait pour but la destruction aussi complète que possible.                                                                          
(Une grande quantité de carburant a été probablement utilisée, afin d’attiser et entretenir le feu jusqu’à destruction).                                                                                                          
(Les fils électriques en lambeau) (La batterie a fondu)                               ( Le réservoir du maître-cylindre a fondu sous l’effet de la chaleur)
(Le carter de la boite de vitesses est complètement fondu sous l’effet de la chaleur).
(Les incendiaires n’étaient pas des néophytes et il semble que le feu ait été bouté aux véhicules dans les mêmes conditions et avec les mêmes intentions).
(Nous avons vu, pour le véhicule de Mademoiselle Van Camp, qu’il faut un outillage particulier pour effectuer la peinture du véhicule et, pour obtenir un résultat satisfaisant et avoir une certaine pratique).  
(Pour les 6 voitures analysées, on constate qu’il y a 3 V.W. Golf, dont 2 G.T.I. et une Rabbit, ce qui laisse supposer que les auteurs du vol en connaissent les mérites (vitesses de pointe, fiabilité etc.)                           Je jure avoir rempli ma mission en honneur et conscience, avec exactitude et probité. Le 23 septembre 1986, M.Farinaux. Dossier N° 97/298/83. Rapport d’expertise.                                                                                Je soussigné, Farinaux Michel, expert spécialisé en matière automobile, requis par Monsieur J.M. Schlicker, juge d’instruction au tribunal de première instance de Nivelles séant à Nivelles en vertu du réquisitoire en date du 24/12/1985 repris ci-dessous : L’incendie du véhicule Golf G.T.I. 3 portes volées à ERPS KWERPS, était volontaire et attisé par un produit inflammable.                                       La vitre de la porte avant gauche était en position basse, non sans raison ; dans cette position, elle constituait un appel d’air activant l’incendie à l’intérieur et à son début).                                                   (Dont acte)                                                                                                          
Ci joint la reproduction conforme du rapport d’expertise en écriture demandé au début de l’année 86, par le Juge d’instruction J.M. Schlicker à monsieur André Guillaume.                                                                                                           André M. Guillaume. Expert judiciaire en écritures et dactylographie. Identification anonymographe testament olographe. 86332. Analyse de tout document contesté. 1020  Bruxelles. Tél.(02)  4270664. C.C.P.OOO-0785187-69.  Rue de Molenbeek 139. S.G.B.210-0941117-75.       Rapport d’expertise en écriture.  Dossier  42/87, mémoire       86/332-311. I. Préambule. Je soussignés, André M. Guillaume- expert en écriture domicilié à Laeken   Bruxelles II- rue de Molenbeek 139 à Bruxelles 1020.                                                                           Requis le 22 mai 1986 par Monsieur J.M. Schlicker Juge d’Instruction de l’arrondissement de Nivelles - aux fins de bien vouloir, à l’occasion de son dossier 390/85 exécuter la mission suivante :                                                                                                ‘‘Pour prendre connaissance du spécimen d’écriture de Falkenburg Claudine annexé au P.V. 1078 de la BOB de Dendermonde :                                                                                                 ‘‘De le comparer aux fragments de manuscrits découverts dans le bois de la Houssière :                                                                                  ‘‘ De dire si l’écriture de ces manuscrits peut être attribuée à Falkenburg Claudine :                                                                               ‘‘De faire du tout rapport,  serment prêté conformément à la loi : ‘‘ Mission confirmée par réquisitoire du 9 mars 1987 de Monsieur J.M. Lacroix-  vice-président  – Juge d’Instruction- Tribunal de première Instance Arrondissement de Charleroi dossier référence 42/87 – Notices du Parquet 10.91.199/87- ;                           ‘’Certifie avoir en honneur et conscience procédé aux examens et analyses nécessaires à l’effet de la mission qui m’était confiée et de son accomplissement en avoir établi le présent rapport’’.                                                                                             André Guillaume. Expert.                                                                               Le rapport en question comporte plus de 29 pages dactylographiés, je ne pouvais le joindre à mes écrits dans sa totalité. Par conséquent j’y joins les conclusions les plus importantes de l’expert et quelques-unes de ses annotations à charge et à décharge de M. Claudine Falkenburg.                                                                                                                   … Sur un total de 53 observations se rapportant à 18 formes littérales de lettres, il est constaté 37 concordances structurales comparatives.                     11 similitudes d’ordres structuraux comparatives.                                                                 5 non-concordances  graphiques comparatives
VI- Synthèse des constatations techniques.                                               L’écriture litigieuse, aux deux faces du fragment du document dont question, est d’une même modalité scripturale. Aucune forme graphique artificielle n’y est apparente, le tracé étant effectué avec aisance, vitesse et spontanéité scripturale. Dans de telles conditions le scripteur laisse immanquablement échapper les particularités graphiques qui lui sont propres. La graphoscopie comparative de l’écriture dont question avec celle de Falkenburg Claudine (C1), met en évidence les particularités graphiques ci-après :
Paramètres   Nombres   Concordances  Similitudes  Divergences  Observées..  d’observations
Ordonnance     20                       19                         1                   0                                                                                                                             et  habitudes. Graphiques
Caractères       19                       16                        3                    0                                                                                                               et  aspects  graphiques généraux.                          
Détail               53                       37                       11                   5                      morphologique des formes littérales.
Total :_            92__________  72______            15______       5__
De la particularité quantitative et qualitative des concordances et divergences graphiques ici observables, celles-ci sont de nature à déterminer une même structure et structuration graphique des deux écritures confrontées, c'est à dire d'une part une observation de la conformité des formes grammaticales, littérales, fixées et les rapports qui s’établissent entre elles, et d’autre part celle de l’activité qui les produit, les répartit et les ordonnent dans l’espace scriptural.               Les similitudes graphiques comparatives observées s’assimilent pleinement à celles observables dans la variation naturelle de toute écriture.                                                                                                       La non-concordance comparatifs de la variation de l’inclinaison littérale, de même que celle relative à la forme des lettres  ’’n -, v-  et partiellement le b’’ se rattache à l’évolution scripturale tendant  à la simplification formelle telle que comparativement observable aux différents spécimens de comparaison, et non pas des formes issues d’une modalité scripturale artificielle.                                                                                                          
VII- Conclusion de l’expertise : Sur base des pièces examinées, de mes recherches et comparaisons effectuées, il résulte qu’à mon avis:  Non  seulement la vraisemblance,  mais le nombre et plus spécialement encore la spécificité des  signes indiciaires positifs et autres conformités graphiques existantes entre l’écriture du fragment du document de question et celle de Falkenburg Claudine, sont tous et toutes de nature à déterminer qu’il y a identité de main, et permettent techniquement de dire - : Que l’écriture de question est très certainement attribuable à la main de Falkenburg Claudine!                       Fait à Laeken, Bruxelles II, le 20 mars 1987. Je jure avoir rempli ma mission en honneur et conscience, avec exactitude et probité.  André M. Guillaume expert.
C’est quand même incroyables même en trouvant des éléments d’enquêtes prouvant une fois de plus mon innocence, les Système Judiciaires continue de protéger les coupables mais  toute en continuant  a me culpabiliser un maximum par des centaines d’accusations sans fondement puisqu’absurde a 1000 %.
La piste des prédateurs (voleurs de poules) doit être écartée le plus rapidement possible, de façon à suivre, celle citée précédemment, pour qu’enfin soit découvert les véritables commanditaires et tueurs du B.W.                                              
Dans mon manuscrit absolument tout, démontrent, que c’est dans certains groupuscules extrémistes a l’idéologie pur et dur que la vérité se trouve.  
C’est sans aucune hésitation que j’affirme par mes présents écrits que si ces preuves matérielles constituées par expertises balistiques en rapport avec le pistolet 9 mm découverts chez Anne Quitner, l’épouse de Madani Bouhouche ;-
L’auraient été dans l’entourage de ma famille De Staerke (de petit gens issu d’une couche social défavorisée et dont aucun na été gendarmes ou fonctionnaires) la musique aurait été totalement différente! Moi ou certains membres de ma famille auraient été inculpés sur-le-champ, ce qui n’a pas été le cas, pour Claudine Falkenburg,  et les gens qui l’entourent, alors que dans le dossier ils existaient des dizaines d’éléments compromettant contre ses derniers. Sauf erreur de ma part…Les éléments dont je fais état dans mes présents écrits, il paraitrait qu’ils sont aujourd’hui disparus. C’est-à-dire, brûlés, escamoté, modifié, périmé, etcétéra comme d’ailleurs avec certitudes les centaines d’autres indices et preuves matérielles prouvant mon innocence dans les Tueries du BW.
Il est pour le moins incroyables que malgré cette preuve matériel constitué par l’expertise balistique sur pistolet 9 mm cité ci-dessus, n’est pas conduit à l’inculpation de .X. deux mois après le premier rapport balistique positif.                            
Quelle est la somme d’argent que la gendarmerie découvrira dans le canal de Ronquiére, le 06.11.1986 ?                                                           Je joins un procès-verbal qui relie ces objets aux tueries du Brabant wallon : C/2 A chèques différents.                                                                   CV/2 B Quantité de chèques repas et restants.                                                         Tickets restaurant 85 Philips et MBLE Associated, 1O70 Bruxelles, N° O1176 montant 100 FB.                                                                                               Chèques repas de 200 FB NV CR .                                                                           Pièces séparées illisibles.                                                                                                     C/3 Deux supports pour bombe de silicone ou autre de couleur bleue.                C/4 Coffret métallique vert.                                                                                                       C/5  50 centimes.                                                                                            
14 paquets de 50 pièces chacun d’une valeur individuelle de 25 francs + 635 pièces de 50 centimes.                                                                     C/10  Une clé de marque LAS numéros 2126.                                                             C /13. Pièces de monnaie de 20 FB : 18 pièces.                         5 FB : 15 pièces                       1 FB : 6 pièces.             C/16.  Six sacs de toile brun kaki portant la mention : caisse 12 (kas 12 Caisses 12 (kas 7) numéros.         Caisse 6 (kas 6), deux non numérotés.                                     C /17  dix-neuf  sachets en plastique.    
Après avoir analysé ce P.V. je me rends compte qu’à aucun moment les tueurs du Brabant wallon, n’ont jetées leurs butins dans le canal.
Je constate aussi que les tueurs ont tout mis en œuvre pour se faire remarquer par un témoin… se trouvant à proximité de l’endroit où, les sacs d’armes démontées et découpées ont été jetés dans le canal de Ronquière.                                                                                              
Pourquoi les tueurs ou des complices indirectes ont-ils fait autant             de bruit en jetant des morceaux d’armes dans le canal dont question !              
A cause de ce bruit volontaire, un témoin… à orienté les services judiciaires à fouillé dans ce canal : Grâce à cela… les forces de l’ordre découvriront en plusieurs fois l’ensemble de ces objets, qui étaient composé de quelques centaine d’éléments d’armes à feu démontées et découpées ainsi que d’autres objets et quelques pièces d’argents.                                                                                                         Au premier abord et en réfléchissant avec un petit esprit naïf, comme l’on fait certains responsables d’enquêtes et parlementaires, cela pourrait éventuellement faire penser que les tueurs du Brabant wallon ne sont que des prédateurs.                                                                                                  
Comme les tueurs du Brabant wallon l’avaient prévu, l’analyse de différents témoignages ont conduit les Parquets de Charleroi ou de Nivelles et Dendermonde, à ordonner une fouille par des plongeurs dans le canal de Ronquière.   Malgré leur apparente bonne volonté, les hommes-grenouilles ne découvriront rien !   Après différente tractions ou manipulations en aux lieux par le plus grand des hasards... un enquêteur, de la cellule du groupe Delta de Termonde, et par enchantement, quelques jours plus tard influença de tout son poids et pouvoir judiciaires, pour que les Parquets concernés ordonnent une seconde fouille par des hommes grenouille dans le canal de Ronquière.  
Certainement prévus de longue date par certaines hautes personnalités politiques et judiciaires du pays, cette découverte permit de dévier toutes les enquêtes politiques et judiciaires de Nivelles et de Charleroi, mais, permettra aussi au juge d’Instruction Freddy Troch, d’hériter officiellement du dossier des tueries et du même coup, se faire un nom et une réputation de super juge.
Dans un premier… temps le Juge Troch ouvrira un dossier à charge de X dans les tueries. Le juge dont question n’avez plus qu’à avancer ces pions en fabriquant un coupable ayant une réputation de Gansters, de façon à protéger d’une inculpation plusieurs gendarmes et anciens agents des forces de l’ordre fortement suspectés par différents parquets du royaume de Belgique dans les tueries du B.W.                                                                                            
Par le biais du rapport de la Commission Parlementaire, sur le bon fonctionnement de l’appareil judiciaire en 1997-98, j’apprends que sur la totalité des objets découverts dans le canal de Ronquières par la Cellule Delta de Termonde, sous la responsabilité du juge Troch, une grosse quantité de pièces à conviction saisies lors de ces fouilles, a aujourd'hui disparu.                                                                                  
Une fois de plus, des éléments matériels de première importance pouvant prouver mon innocence dans l’ensemble des tueries du brabant wallon seront escamotés par les enquêteurs.                                                                                                                                
Commission Parlementaire sur l’organisation des Enquêtes Judiciaires sur les tueries du B.W.(bis) de 1997 et 1998 ; Rapport N° 1 Page 44 Chapitre IX.Ronquières.                                                                                                         La Commission a constaté que les déclarations faites lors des auditions à propos de la manière dont a été prise la décision d’envoyer une seconde fois des plongeurs sonder les eaux du bassin d’évidage de Ronquière divergent.                                                                     Les auditions ont révélé que les enquêteurs ont entrepris un certain nombre de démarches dont les magistrats n’ont été informés ni préalablement ni après.                                                                             Aujourd’hui encore, le juge d’instruction Troch maintient que la cellule Delta a réussi parce que les procès-verbaux ont été relus avec attention et parce que les plongeurs du génie de Burcht, a sondé le fond du bassin de manière systématique.                                             Le juge d’instruction n’était pas et n’est toujours pas au courant des dispositions particulières prises par les enquêteurs.                                    La commission a également découvert dans le dossier des éléments pouvant indiquer que les enquêteurs ont pu être manipulés.                             La commission estime qu’une instruction complémentaire s’impose sur ce point.                                                                                                   Fin d’un passage du Rapport de la Commission parlementaire de 97 et 1998.
Au nom de la raison d’Etat. Seul l’Etat a le Pouvoir d’étouffer dans L’œuf une affaire d’Etat.
A présent, je vais reprendre l’ensemble des exécutions et des crimes qui sont indirectement voire souvent directement liés aux tueries du B.W.
Chacune des personnes assassinées ou suicidées se connaissait, mais avait aussi mis en cause de nombreuses personnalités en relation avec des ballets roses et actions meurtrières commis dans le courant des années de 82 à 1985.  Aux dires et aux déclarations sur procès-verbaux de certaines personnes et jusqu’à preuve du contraire, plusieurs actes illégaux paraissent avoir été planifiés directement ou indirectement. J’écrit bien paraisse, car des dizaines de preuves matérielles à charges des vrais tueurs auront une fois de plus disparue des dossiers d’enquêtes Judiciaires.
Au centre de Bruxelles, le 12 octobre 1981, attentat judiciaire et politique à l’aide d’un engin explosif artisanal composé d’IREMITE.  L’engin dont question sera placer dans un véhicule de la police à l’attention de l’officier Guy Goffinon.  
A Hékelgem, le 26 octobre 1981. Attentat à l’arme à feu.                         L’officier Herman Vernaillen ainsi que son épouse. Une fusillade en règle sur la façade de leur villa, fera deux blessés par balles.
Valère Valke habitait dans une somptueuse villa à Rhode saint Genèse, rue de la Petite Espinette, située en hauteur, dans un gigantesque terrain boisé.                                                                   Profession : Grossiste de bijoux en or sertis de pierres précieuses et brutes en provenance d’Italie.
Valère Valke, aura des relations assidues dans des domaines divers avec des personnalités de tout bord.                                                
Tous ceux qui le fréquentaient savaient pertinemment bien que ce dernier détienne quelques dossiers explosifs mettant en cause plusieurs personnalités de tout bord.                                                                        
Le O9/10/1980, ce dernier sera froidement exécuté d’une ou plusieurs balles dans sa villa, et les enquêteurs le découvriront affaler sur le sol dans une mare de sang, son coffre-fort sera laissé entrouvert …                                                                                           L’enquête judiciaire s’orientait une fois de plus vers des prédateurs, a première vue, tout ce qu’il y a de plus normal étant donné que les assassins de Valère Valke ont emporté plusieurs millions de francs en pierres précieuses non taillées.
: Paul Latinus, Ramadan Dodack, Léon Finné, Paul Cams, Jacques Fourez, Elise Dewit, Constantin Angelou, Verstappen, Vanden Eynden, Dans cette série d’exécutions politique et judiciaire, vous découvrirez deux de mes amis, Wenzel et Dodack.
N°1) Wenzel Hervé, une véritable force de la nature, surnommé               À juste titre « Le Concasseur » appartenait au milieu marseillais.       ( c’était un Ami  de longue date qui lui aussi aura été éxécuté !).
N°2) Acsnhamian Jean, faisant partie du grand banditisme… international, parce qu’introduit par les services secrets… français qui à l’époque portaient le nom de « SDEX ».                                                                 Acsnhamian vendait… troquait notamment des informations d’ordre politiques et criminels avec le service de la sûreté allemande.
N°3) Grandclair Alain, ne faisait partie d’aucun milieu, a eu juste le malheur d’être au mauvais endroit, au mauvais moment  mais surtout d’avoir eu tord d’etre l’ami de Wenzel Hervé. (Je ne connaissais pas très bien, voire pas du tout Grandclair).                                                                                               Ils seront tous les trois atrocement torturés… exécutés et égorgé… dans la nuit du mercredi au jeudi 25 décembre 1980, dans la vaste propriété boisée, rattachée à la villa de Valère Valke, rue de la Petite Espinette, qui était toujours sous scellés par ordonnance du parquet de la ville de Bruxelles.                                                                                                      
Les enquêteurs se trouvant sous les ordres du plus grand policier de Belgique, le Commissaire Devroom, constatèrent que les trois victimes ont dans un premier temps été torturé au couteau… et frappées violemment à plusieurs reprises avec un, ou des objets contondants, puis exécutées à bout portant de plusieurs balles avec un revolver barillet 38 et 357 Magnum ainsi qu’un pistolet semi-automatique 7,65mm. Chose étonnante, après leur exécution, ils seront égorgés méthodiquement. Cette façon de procédé à l’égorgement sur des morts, pourrais éventuellement faire penser à une forme traditionnelle de rite Nazi souvent utilisé contre ceux qui ont trahi la cause.                                                                                              
Ces truands… ont probablement été torturés de la sorte pour qu’ils avouent où se trouvait l’ensemble du contenu du coffre- fort, volé le 9 octobre 1980 chez Valère Valke qui lui aussi sera exécuter froidement. Au cours de l’enquête judiciaire menée d’une main de fer, par le commissaire De Vroom, l’histoire rocambolesque du bijoutier et de ces trois français, va très vite prendre une ampleur insoupçonnée, lorsque le collège d’experts en balistique établit matériellement que les douilles et projectiles retrouvés près et dans le corps des trois victimes sans vie, sont pour certaines absolument identiques à ceux retrouvés près ou dans le corps sans vie de Valère Valke.                          
Dans un premier temps l’enquête judiciaire établi que les trois français étaient par conséquents à la base de l’exécution de Valère Valke.   Au fil des investigations la conviction des enquêteurs ne sera plus aussi forte quant à la culpabilité ou non des Français dans le meurtre de Valère Valke.                                                                                                      
Au cours des multiples recherches que j’ai effectuées dans les procès-verbaux et témoignage divers, je découvre une série de similitude matérielle troublante qui me paraît être le point de départ d’une autre série d’exécutions jamais élucidées dans le Brabant wallon. Pour les besoins de la vérité je compare certains crimes de sang avec ceux commis parallèlement aux tueries du B.W.  
Les trois Français ont pour le moins été exécutés par des professionnels de la gâchette, qui comme dans les faits des tueries du Brabant Wallon, ont laissé volontairement d’innombrables indices sur les lieux de chaque crime.      
A peu de choses près, ce sont les mêmes méthodes de tortures et d’exécutions qui ont été méthodiquement appliquées sur le concierge Marc Venden Eynde, dans le courant de la nuit du 23 au 24 décembre 1982 à l’Auberge du Chevalier, à Beersel.                                                
Ce dernier avant d’être exécuté avec une arme à feu, sera atrocement torturé, de la même façon que les trois Français en 1980.
Ce qui me trouble le plus, ce sont les similitudes entre les exécutions citées précédemment, et celles de M. Alfons Vandermulen et Mme Francesca Arcoulin le vendredi 19 février 1982, rue de la Pastorale à Anderlecht.                                                                                                         Ce couple a été sauvagement torturé avec un objet contondant pour ensuite être exécuté par balles et égorgé. Exactement les mêmes rites Nazis seront utilisés sur les trois Français à Rhode saint Genèse.
Marcel Barbier ex-lieutenant de Paul Latinus, sera à mon sens un bouc émissaire dans cette affaire de la Pastorale.  Aujourd’hui encore l’affaire Latinus et toutes ces ramifications politiques, pédophile, et criminelle d’envergure, continue à défrayer la chronique judiciaire en laissant de nombreuses zones d’ombre parce que lier aux dossiers des tueries du Brabant wallon.  
Mes conclusions : Marcel Barbier, d’après les rumeurs qui courent et d’après moi a été condamné injustement devant la Cour d’Assise.
Il est exact que ce dernier a avoué… sa participation au fait, mais avec de flagrante contradiction ne coïncidant aucunement avec la réalité des investigations policières, comprenant de nombreuses ramifications Politico-Judiciaires, associée à des affaires de pédophilies, qui n’ont jamais été suivies objectivement.
Plusieurs années après l’exécution du couple de la rue Pastorale, Monsieur Christian Elnikof, ex-membre du Westland New Post, s’est accusé par le bais des médias d’avoir commis le double meurtre de la rue Pastoral, mais n’a jamais été poursuivi parce que considéré par des psychiatres comme étant un individu profondément perturbé. (Cette affaire comme toutes les autres d’ailleurs, sera étouffé !).
Tout comme celles de Maud Sar, Jean Bultot, Paul Latinus, Marcel Barbier, et bien d’autres.   Le Sieur Christian Elnikof dispose de toutes ses capacités mentales et physiques, mais devant certaines raisons d’Etat, il est souvent impératif de faire passer des témoins qui sont pourtant crédibles pour des malades mentaux.
Inculpation de la famille De Staerke Une fois de plus… pour arrondir les angles, l’enquête judiciaire sera très vite téléguidée vers la famille De Staerke.                                                 De fil en aiguille, quelques rumeurs ou indications intellectuelles abracadabrante au possible se sont miraculeusement glissé dans les dossiers d’instruction et par conséquent se transformera en indice accablant… contre ma famille en la personne de mon frère Léon et du mari de ma sœur Bertha De Staerke, Farkas Isvans.                                                                       Léon et Isvans se rendront au Palais de Justice de Bruxelles pour tenter de savoir pourquoi ils étaient accusés de la sorte.                         Comme prévu, ils seront directement inculpés, au premier chef des exécutions des trois Français avec en bonus celui de Valère Valke. (En suspens).                                                                                                 Puisque les indices… contre les deux membres de ma famille étaient quasi inexistants, après neuf mois et demi d’incarcération, ils seront purement relaxés par la Chambre du Conseil de Bruxelles.                          
Pourquoi les trois français ont-ils été torturés et exécutés ? Ce ne sont pas les quelques centaines de millions de francs, ni les carats de pierres précieuses disparues chez le bijoutier Valére Valk, qui ont conduit cette organisation aux fondements idéologiques à faire exécuter les trois Français, mais les colis explosifs, volés dans le coffre de Valère Valke, par son homme de confiance Hervé Wenzel.                                                                          
Les tueurs des trois Français, ont vraisemblablement conduit ceux-ci dans la propriété de Valère Valke, pour venger ce dernier, et aussi leur faire avouer la cache du colis compromettant des personnalités de tous bord confondu.
Alors que je suis totalement étranger à toutes ces affaires, plus d’une fois j’ai failli tomber sous le coup d’une inculpation pour le meurtre des trois Français et de Valère Valke et ce, malgré le fait qu’au moment de l’exécution de ce dernier le 9 octobre 1980 j’étais en prison.
Pour ce qui concerne l’exécution des trois Français dans la propriété de Valère Valke dans la nuit du 24 au 25 décembre 1980, plus d’une dizaine de personnes et enfants, dont un agent des forces de l’ordre de Leeuw St. Pierre, attesteront de façon catégorique de mon innocence dans les crimes des trois Français, puisque au même moment j’étais à la ferme «TAVERNE » bretonne fêtant devant et a coter de plusieurs témoins la fête de Noel.                                                                   Devant le faite accomplie de mon innocence  et forte heureusement, pour moi après quelques mois d’enquêtes les systèmes judiciaires poursuivront d’autres pistes, qui conduiront le super juge d’instruction Vandermerche et son équipe dans une maison du Brabant wallon ou ils découvriront une très grosses quantités d’or et pierres précieuses provenant du vol commis le 9 novembre 1980 chez Valère Valke, (moment où il sera exécuté). Quant au propriétaire de la maison où l’or sera découvert par les enquêteurs, ils auront la mauvaise… surprise, de le trouver pendu !                         Au cours d’interrogatoires les enquêteurs m’ont donné le nom de la personne qui s‘est pendu, mais malheureusement à cause des années passer jusqu’en 2022 je ne l’ai plus en tête.    
Deux autres personnes seront notamment citées à l’occasion des tueries du B.W, et dossiers parallèles, et par conséquent seront suicidées: Jacques Van Camp-assassiné et Vincent Louvaert, suicidé, né à Ostende le 04/12/1963- belge ayant eu de fréquents rapports financiers concernant l’achat et la vente d’armes illicites avec Monsieur Hage Maroun (assassiné en  décembre 1994 en compagnie de Mounia Chahine :-Deux jeune personnes ont été inculper et une seule gardera l’inculpation de ce double meurtre, Naïma El Atmani, et  Yasmine Hadi, cette dernière sera retrouver égorger et  ligoter avec du fil électrique dans un  canal de la région bruxelloises  au mois de janvier 98,- étant donné que cette dernière est morte, l’action public est automatiquement éteinte.- Naima EL Atmani a comparue en Cour d’assise du Palais de Justice de Bruxelles, dans le courant de l’année 2000 et y a été jugé et condamné par un jury Populaire.
(Vincent Louvaert, assassiné) a été découvert mort par overdose... le 10/11/1983, à son domicile Avenue Louise 223, Bruxelles.
Décidément en Belgique des suicides à la Paul Latinus il y, en à, plus que l’on pourrait l’imaginer.                                                                              
Paul Latinus, membre rémunéré de la Sûreté de l’État et fondateur … du groupuscule Politique « Westland New Post », avait mis en cause certains gendarmes et membres de la sûreté de l’État dans les crimes sanglants commis dans le Brabant wallon.                                                      
Comme ce dernier commençait à attraper la grosse tête en voulant en faire trop, il sera suicidé dans les règles le 24/04/1984 !                                  
Le dossier d’instruction sera ouvert et refermé plusieurs fois et plusieurs pièces à convictions disparaîtront du dossier et pour finir, sera enfouies au fond d’une armoire avec plusieurs points d’interrogations.
A ma connaissance il n’y a aucune preuve matérielle qui pourrait relier l’attaque à main armée au parc d’attraction de Walibi à Wavre, où un des surveillants sera abattu avec une arme à feu dans le courant du mois d’août 1983, mais comme certains enquêteurs pensent que cette attaque qui a mal tourné, devrait être reliée aux tueries du Brabant wallon, j’ai jugé nécessaire dans faire état dans mes présents écrits.
Ceci est basé sur mon analyse personnelle mais objective, et sur la reproduction  d’un procès-verbal  concernant le Sieur Paul Cams, que j’ai reçu en prison de Jimmy Swallens.                                                                                          
Monsieur Vlassenrood (exécuté à coups de riot-gun 12 mm, par deux tueurs à gages le 15/02/1986). L’enquête judiciaire établit que Luc Vanholebeck et Jimmy Swalens ont été engagés par l’ex-détective Van Erzel.                                                                                                                 Toutes les personnes citées dans mes écrits suivants se connaissaient ou avaient eu des relations commerciales ou amicales entre elles ou, étaient membres actifs du Parti Politique le CEPIC.                                 Paul Cams, ancien consul honoraire du Sénégal, à été le patron du laboratoire National et avait pour fréquentation (Vlassenrod Alfred (assassiné en 1986) Valère Valke (assassiné en 1980) Jacques Fourez, Dewit Elise, (assassinés en1983) Léon Finné (assassiné  en 1985) Jacques Van Camp, patron de l’Auberge des Trois Canards (assassiné en 1983) Vincent Louvaert suicidé en 1983) Constantin Angelou (assassiné en 1983) Wezel Hervé (assassiné en 1980) et Montel Jules (assassiné en 1985) Szymusik Jean (assassiné en 1983).                                                                                                            
Sur cette impressionnante série d’exécution, cinq sont reliées matériellement aux Tueries du Brabant wallon.                                                                                   Est-ce un hasard, une coïncidence ou un indice matériel, qui pourrait une fois de plus démontrer que les Tueries du brabant wallon ont été dans un premier temps, mis en place pour supprimer physiquement des témoins gênants en relation avec les affaires de pédophilie Brusilia–Pinon etc…          
A l’aide d’une arme à feu, Auto-colt, Cams, sera exécuté de plusieurs balles de calibre 38, le 14 novembre 1983 (ou 85- 86) à la tombée de la nuit, dans son habitation de Ganshoren.                                                               Pendant l’enquête, ils découvriront que la victime avait trempé dans une vaste escroquerie à l’échelle internationale, avec des ramifications politiques de premier ordre et autres systèmes du pouvoir, dans les villes principales du monde entier.                                  
Cette redoutable organisation aux multiples pouvoirs tentaculaires proposait de faux passeports et de fausses immatriculations diplomatiques qui pouvaient, selon la tête du client, varier entre 15O.OOO et 3OO.OOO francs belges.                                                            
Les initiales CD (Corps diplomatique) faisait partie de leur panoplie de faux. Cette organisation financière à la frontière de la légalité sera fondée dans le courant des années 1963.                                                       Le professeur Dino Distéphano crée dans le même temps, par personne interposée, la fondation »Dag-Hammarskjöld » sorte de prix pour la paix qui, de toute évidence était plus symbolique qu’autre chose. Cette organisation financière réunissait les personnalités les plus prestigieuses d’Europe… jouissant de fortunes et de positions privilégiées au sein des systèmes politiques, judiciaires, militaires et industriels. Bien que cette organisation n’ait aucun lien avec la loge P2 de l’ex-ministre d’Etat, Julio Andreotti, elle fonctionne de la même façon.                                                                                         Toujours omniprésent, le spectre de la mort allait encore frapper dans un lieu public de Bruxelles le 22/01/1985, sur la personne de Jean François Ertrick, informateur rémunéré d’un service judiciaire officiel.
Il sera exécuté à bout portant par un professionnel de la gâchette parce qu’il avait rapporté à qui voulait l’entendre qu’il détenait la vérité sur les raisons des Tueries du Brabant wallon.                
« Surnommé- la balance », MONTEL Jules, déclarait lui aussi détenir la vérité sur les tueries du B.W. et bien évidemment comme tous les autres, il sera très rapidement exécuté par des professionnels, le 11/08/1985,  et ce, dans les règles de l’art…
L’ingénieur de la Fabrique Nationale, Juan Mendez, sera victime d’un cambriolage d’armes à feu juste avant les tueries du Brabant wallon, et a soupçonné l’ancien gendarme Bouhouche d’avoir commis ce vol pour des raisons judiciaires ou politiques.                          
Après avoir mené une enquête personnelle, l’ingénieur pensait que Bouhouche pouvait avoir un lien avec certaines tueries du B.W.                 Juan Mendez, estimaient que derrière les tueries du Brabant wallon, se cachaient des personnalités politiques bien précises.    
Étant donné que Juan Mendez fera preuve d’un courage quelque peu inconscient en lançant ce genre d’accusations, le 7 janvier 1986, il sera exécuté de plusieurs balles à tête explosive 9 mm (hollow point), dans son véhicule stationné sur une bretelle d’autoroute,                      D’après le témoignage d’un ancien membre de la Sûreté de l’État belge, à cette époque les balles Hollow-point sont en Belgique, presque aussi rares qu’un brillant de 30 Carats. Officiellement les seuls… à pouvoir en détenir, étaient les membres de la Sûreté de l’Etat et certains services spéciaux de l’armée (le S.D.R.A.).
J’en arrive à une de mes connaissances, Ramadan Dodack, Albanais né en 1951, considéré comme un des « Parrains » de la pègre en Belgique, tout comme mon ami Hervé Wenzel. Ils avaient eux aussi, été de ceux qui disaient être en possession de certaines photos, vidéo et, documents dénonçant explicitement des actes de pédophiles mettant en cause des diverses personnalités.                                                  Ramadan Dodack, a appartenu à la catégorie de ceux, qui n’ont peur de rien et fatalement à force de jouer avec le feu finira par se brûler et par conséquent sera tué au mois de décembre 1986 Les enquêteurs concluront très vite qu’il a été tué à l’aide d’une arme de poing, par la fille de sa compagne (une enfant !).                               Une fois de plus cette hypothèse judiciaire me parait légère.                          
La famille de Ramadan Dodack et l’ensemble de ses amis prétendent qu’en réalité, il a été tué par sa propre compagne, qui a été téléguidée et protégée judiciairement par son amant, qui n’était qu’un membre des services d’ordre de Bruxelles.                                    
D’après les renseignements que j’ai pu récolter difficilement auprès d’un membre de la famille de Ramadan Dodack, après l’exécution les scellés n’ont jamais été placés dans l’appartement du drame, plus fort encore deux jours avant son exécution préméditée, les coffres-forts privés de sa banque ont paraît-il, étés vidés par sa compagne.                    
Dix millions de francs Auraient disparu, et une série de document à caractère pédophile pour lesquels bon nombre de gens possédant des noms illustres, continue à retourner ciel et terre pour y retrouver les moindres éléments les compromettant.
Dans le courant du mois de décembre 1994 à la tombée de la nuit, dans la commune de Molenbeek, Hage Maroun, né à Haifa le 02/01/1933, de nationalité libanaise, sera exécuté d’une balle dans la tête avec sa compagne de nationalité marocaine Mounia Chahine, âgée d’une vingtaine d’années. L’enquete Judiciaires pourra démontrer que « Apparemment cette exécution n’a strictement aucun lien avec les tueurs du brabant wallon »
La dénommée Naïma El Atmani est aujourd’hui inculpée, mais est toujours présumée coupable de ces deux crimes de sang, et a fini par être condamné au Palais de Justice de Bruxelles.                                                                                       D’après l’historique des enquêtes Judiciaires, A plusieurs reprises Hage Maroun, fera parler de lui  par de multiple rumeurs  souvent infondé et de façon indirecte dans les affaires des Tueries du Brabant wallon mais aussi pour ses fréquentations assidues avec de hautes personnalités de divers pays.                                     Ce détail sera repris dans le dossier 97-298/83 juges SCHLICKER N° 923/83 du 02.10/1984 :             Je soussigné Bihay Gérard : Certifions avoir eu un entretien, avec Hage Maroun, au siège de notre unité. Nous avions contacté Hage Maroun, en vue d’une confrontation avec Jabe Mathilde, a l’occasion de notre enquête concernant les agressions du Brabant wallon.                                                                                                             Hage Maroun, nous à fait part de son inquiétude d’être mêlé à notre enquête alors qu’actuellement, il fréquentait des personnalités diplomatiques et qu’un poste important devait lui être attribué.                       Au cours de cette conversation Hage Maroun, nous a dit avoir soupé avec des diplomates et le Prince Albert (Roi Albert  II).                                   A ce stade de la conversation, le 1 MDL Bertrand est passé à l’endroit où nous nous trouvions.                                                                                   Comme il se trouve mêlé à notre conversation Hage Maroun, lui a dit que le seul nom qu’il avait pu citer comme enquêteur au Prince Albert, était le sien. Il a ajouté que si nous demandions des explications à Monsieur Bertrand, il pourrait expliquer pourquoi son nom avait été cité.                                                                                          
La conversation s’est déroulée très calmement et, personnellement, nous n’avons desceller aucune menace dans les propos de notre interlocuteur.                                                                                                        Nous avons rédigé le présent du fait que cette partie de la conversation a été rapportée à notre chef de service. (DONT ACTE)
J’ai bien évidement d’autres documents, et procès-verbaux, plus officiels en relation avec les informations citées précédemment, mais voilà par principe moraux, je me refuse catégoriquement à les utiliser. A la différence de certains journalistes peu scrupuleux, je me refuse d’entrer dans la vie intime d’autrui de façon malsaine ! -, et ce, sans preuves réelle d’autant que l’ensemble des systèmes Judiciaires charger de c’est enquêtes n’ont eu de cessent de perdre, mais plus souvent de les faire disparaitre.
Les fins limiers de la brigade de Wavre établiront très vite, qu’une des armes de poing 9 mm, volée à l’armurier Dekaize, et qui aurait servi à la tuerie de Nivelles en 1983, serait passée entre les mains de Vincent Louvaert qui l’aurait vendue à son tour… à Hage Maroun. L’arme en question aurait fini entre les mains de la Justice libanaise : le 13/11/1984 Procès verbal N° 21.448, dossier 97 et 298/83 de 1983 : Concernant un radiogramme d’Interpol, confirmant qu’une des armes ayant servi dans les tueries du Brabant wallon, sont entre les mains de la Justice libanaise, et que si les autorités judiciaires belges le désirent, cette arme de poing 9 mm, leur sera mise à disposition.   Un enquêteur de la Police Judiciaire de Bruxelles, Monsieur Daniel Cirlande, à introduit plusieurs demandes écrites auprès des autorités compétentes pour aller chercher le pistolet en question au Liban. Toutes ces demandes officielles ont été rejetées de façon tout aussi officielles. La Justice belge, ne donnerai jamais de suite objectives aux enquêtes judiciaires ou demande de Commission Rogatoire, pour tenter de récupérer cette arme, qui pourtant est une pièce a conviction de toute première importance dans les enquêtes sur les tueries du Brabant wallon, ce qui, une fois de plus, aurait pu m’innocenter !                                                                                      
Carton XVK/ Farde 1/ Pièce 1510 / SE Négatif/ Interêt BW/ P.V- 102298/ Date 27/11/90 / Verbalisant – B.S.R de Nivelles/ En cause de KLINGELS serge né le 20/10/1944. Il déclare notamment : « Vous me dites avoir retrouvé de la documentation relative aux restaurants chinois à Bruxelles. Vous me montrez deux photos représentant le GOLDEN PHOENIX chaussée de Louvain 240 et le HANG CHOW, Chaussée de Louvain 337 à Schaerbeek. Je ne sais plus préciser le restaurant que Beijer fréquentait mais il s'agit d'un des deux. Sans pouvoir préciser le degré de parenté, je peux dire que la jeune fille est une asiatique que Beijer a connu était parente avec l'un des responsables de ces restaurants. En 1980 ou 1981, cette fille pouvait avoir environ 18 ou 19 ans. Pour ma part, je ne crois pas que cette jeune fille habitait chaussée de Louvain, mais elle se trouvait dans le restaurant en soirée. Pour ma part, je suis allé deux fois dans un de ces restaurants et les deux fois, j'ai vu cette fille. C'est en discutant avec Beijer que j'ai appris qu'il était intime avec cette fille qui, je crois, était encore étudiante. C'est cette personne qui a introduit Beijer dans le milieu chinois." ..... Comme je l'ai déjà déclaré, Beijer et Bouhouche ont effectué des surveillances sur le nommé HAGE MAROUN car ce dernier était soupçonné de trafic de stupéfiants. Je situe cette période avant 1980. Après quelques surveillances, étant chef de service des intéressés, je n'ai rien vu venir de concret au sujet de HAGE MAROUN et j'ai décidé d'accompagner Beijer pour deux surveillances. Ces devoirs étaient effectués en soirée et nous terminions Vers 23.30 h. Il est à noter qu'à cette période, HAGE MAROUN était le patron en coulisse du club privé "My Way" rue de l'Étuve à Bruxelles. Durant l'enquête au sujet de ce club privé, il est apparu que le patron trafiquerait dans les stups. Ce dernier était également connu comme consommateur de drogue. A un moment donné, HAGE MAROUN s'est prétendu informateur de Goffinon, alors que ce dernier était à la section information de la BSR. HAGE MAROUN me l'a confié verbalement alors que je m'occupais de lui à l’occasion d'un dossier "fraude à la TVA". A cette époque, le nom de HAGE MAROUN est également ressorti à l’occasion d'un trafic international de stupéfiants entre les pays nordiques, le Liban et Chypre. En 1984, j'ai reçu une communication téléphonique de HAGE MAROUN, me disant que quelqu'un lui avait proposé du café en vente. D'après la description du café, cela correspondait à une partie du butin volé au Colruyt de Nivelles. Après cette communication téléphonique, j'ai contacté deux membres de la BSR de Namur qui connaissaient bien HAGE MAROUN pour qu'ils m'accompagnent chez ce dernier. A trois, nous nous sommes rendus chez HAGE MAROUN qui nous a confirmé l'intégralité de la communication téléphonique et il ajoute qu'une des armes ayant servie à abattre LOUVAERTS pourrait se trouver au Liban. Je crois que HAGE MAROUN m'a confié qu'il avait diffusé ce renseignement également à Goffinon. Je ne suis pas au courant qu'il y ai eu un problème entre Beijer, Bouhouche et Goffinon au sujet des contacts avec HAGE MAROUN."  ... "Au sujet d'une intervention chez le pharmacien Lambrechts, je me suis renseigné et je peux apporter les précisions suivantes. En réalité, ce sont les nommés Amory et Beijer que j'avais envoyé pour enquêter chez la grand-tante et non la grand-mère du nommé Lambrechts. Cette grand-tante se nommait Marteau et habitait place Stéphanie. Cette personne n'a jamais été victime d'un vol d'oeuvres d'art par la suite."... (Fin du P.V.)
Comme toute les autres, l’affaire, Louvearts sera pas suivie Tous les indices matériels découverts par les enquêteurs, à l’occasion des tueries du B.W,laisse a penser que la piste de Vincent Louvaert pouvait conduire vers une piste intéressante !
Vandeuren Bruno, d’origine Gitane, sera exécuté à l’aide d’une arme à feu dans le courant de l’année 1989.                                                                 L’ex directeur adjoint de la prison de St-Gilles, Jean Bultot, affirme (comme d’habitude, sans en apporter la moindre preuve) que Vandeuren aurait participé à certaines tueries du Brabant wallon. Une fois de plus, avec le recul, je m’aperçois que tous ceux qui peuvent fournir certains éléments de preuves à l’occasion des affaires dites des tueries du Brabant wallon et de pédophilies se font, chaque fois supprimer !
Second Chapitre : Les professionnels de la magouille ont des situations pour le moins, dites respectables…           Dans l’esprit de la majorité de la population belge ayant un minimum d’intelligence, Il n’y a plus de doute, notre justice est profondément pourrie mais il ne faut surtout pas ébruiter cette pourriture qui gangrène notre pays depuis plus de 36 ans.                                        
Comment nos hommes politiques ont-ils fait, pour parvenir à une analyse judiciaire aussi négative que celle engagé contre moi et par conséquent contre la vérité, par la dernière Commission d’enquêtes Parlementaire de 1998, (Présidée de main de technicien, par le même député Van Parijs.)   Or, ce député soutenait depuis des années les Avocats des parties civiles de Merller et Calebaut, participeront pendant quelques-unes (entre autres) à une émission télévisée qui a duré plus d’une heure… sur B.R.T.1, le jeudi soir O2 novembre 1995 ou, de façon indirecte je serais mis en cause dans les tueries du Brabant wallon et cela, sans tenir compte de la présomption d’innocence ! Les experts Néerlandophones de la K.U. de Louvain C, Fijnaut, Verstraeten et Monsieur Van Parijs qui à été, Ministre de la Justice, ont soutenu plusieurs émissions télévisées sur B.R.T.1 ou V.T.M ou, il était question de mon affaire et de mon inculpation dans les tueries du Brabant.  Bien que notre code pénal l’interdise, M. Van Parijs et Fijnaut ont donc été juge et partie dans une affaire judiciaire ou à l ‘époque j’étais toujours prévenu !                                                                                                         Ces parlementaires et ces experts ont en quelque sorte occupée les fonctions de magistrats, d’enquêteurs judiciaires à la Commission Parlementaire, et en principe auraient dû être objective et consciencieux en respectant le code pénal belge, qui stipule que tout individu a le droit de bénéficier de la présomption d’innocence.                                                
Ce qui est   scandaleux et quand même interpellant, c’est qu’ils ont profité de la pleine collaboration d’un autre, ex- Ministre de la Justice (De Clerck Stéfaan) pour construire un Rapport d’Enquête mensonger et à charge de ma personne :- Ce qui est, une flagrante violation de la vérité et des droits de la défense. Pourtant M. Stefan De Clerck ex- ministre de la Justice, leur a demandé officiellement de faire une enquête en 1995 sur les affaires des tueries du B.W.     En fin de compte, le dit rapport de plus de 71 pages sera partial, car uniquement basé sur des livres et articles de presse iniques et insensés, basés sur des rumeurs et mensonges absurdes !
Manifestement, la raison d’Etat oblige, par conséquent le document en question sera pris au sérieux par la classe politique, et aussitôt remis en 1996, entre les mains du Ministre de la Justice M. Stefan De Clerck.   Après cela, la Commission Parlementaire sur les Enquêtes des tueries du Brabant wallon sera officiellement mise en place en 1997.                                                                                                  
Ce qui est le plus dramatique pour moi et la vérité sur les tueries du Brabant wallon, c’est que, les professeurs C.Fijnaut et Verstraeten, seront renommés en tant qu’experts et siégeront à la Commission Parlementaires de 1997, aux côtés de M. Van Parijs, qui deviendra en 1998, Ministre de la Justice. Ce sont les mêmes experts qui construiront le rapport final comprenant six volumes.
(Jeudi 24 octobre 1996 N° 250- Page 18 par HAQUIN, RENE) Franchimont remplacé à la commission Tueurs : la mission des experts a été réorganisée La commission d'enquête de la Chambre sur les tueries du Brabant, qui s'est réunie à huis clos mardi, a été le cadre d'un malentendu portant sur la répartition des tâches, entre les divers experts et sur la méthode de travail adoptée jusqu'à présent. La collaboration entre les pénalistes flamands et francophones s'est déroulée dans un climat quelque peu tendu ces dernières semaines.
Un des deux experts francophones, le professeur Michel Franchimont (ULg), a aussi décidé de renoncer à sa tâche :
- Le Conseil d'Etat vient de remettre son avis sur le projet de loi portant réforme de la procédure pénale. Je souhaite que ces réformes ponctuelles puissent passer par priorité. - J'estime donc devoir être à la disposition du ministre de la Justice et ne pouvoir dès lors mener de front ce travail et celui d'expert auprès de la commission d'enquête sur les tueurs. - J'ai aussi fait observer que le rapport des professeurs Fijnaut et Verstraeten (de la KUL) portait sur les griefs qui avaient été rendus publics au sujet de l'enquête sur les tueries, griefs que la Commission ne prend évidemment pas à son compte, nous a déclaré Maître Franchimont.
Le projet de révision de la procédure était soumis au Conseil d'Etat depuis avril 1975. Tout récemment encore, le gouvernement avait insisté en invoquant l'urgence. L'avis du Conseil d'Etat (75 pages remises jeudi dernier) est positif sauf sur quelques points parmi lesquels la suppression d'un recours devant la chambre des mises en accusation en vue d'obtenir l'accès au dossier : Un tel recours devrait être réintroduit, le projet initial étant fondé sur le principe d'égalité des droits entre l'inculpé et la partie civile.
La commission sur les tueries attendait aussi le rapport des professeurs Franchimont et Uyttendaele (ULB) sur les problèmes de l'enquête concernant la justice, les services de police et les services de sécurité. Il semble cependant qu'ils ne soient pas arrivés à réaliser ce travail étant donné qu'ils n'auraient pas trouvé assez de points de convergence avec le rapport Fijnaut-Verstraeten, indiquait-on mardi dans les couloirs de la commission.
Le fait que les deux spécialistes francophones n'aient pas été invités à participer lundi à un entretien avec un magistrat instructeur qui a montré le dossier de l'enquête sur les tueries aux experts néerlandophones, semble avoir été la goutte qui a fait déborder le vase. La Commission, présidée par Tony Van Parijs (CVP), a consacré sa réunion de mardi à ce malentendu maintenant dissipé, précise Van Parijs. Sur la base d'un protocole préparé par le député Écolo Viseur, une nouvelle répartition des tâches entre experts a été définie. Le professeur Franchimont, qui a donc raccroché son tablier en tant qu'expert, sera vraisemblablement remplacé par le professeur Masset. (René Haquin du Journal Le soir).  
Avant le début ou la fin du Rapport de la Commission parlementaire les Professeurs Franchimont et Uyttendaele de(l’U.L.B) avaient démissionné de leurs postes. Ce qui signifie qu’il n’y avait que des experts flamands pour rédiger le rapport dont questions.   Ce qui est abject c’est que plus que jamais, les conflits communautaires défrayent la chronique médiatique, et ce sont des experts … flamands, uniquement des flamands, qui ont rédigé le rapport en question, alors que je suis francophone !                                  
La commission Parlementaire sur les Enquêtes des tueries du Brabant wallon prendra naissance le 13 juin 1996, et la Chambre des Représentants adoptera la proposition déposée le 13 mai 1996, par les députés Landuyt, N.T’Serclaes. T. Van Parijs, A Duquesne, G. Bourgeois et O. Deleuze.                                                                                          
(René Haquin. Mardi 21 novembre 1995 N° 270 - Page 13) Deux professeurs de la KUL se pencheront sur le dossier Tueries : (21/11/95 Le Soir) Réagissant aux critiques, aux questions et aux hypothèses soulevées à l'occasion du dixième anniversaire de la tuerie au Delhaize d'Alost, le ministre de la Justice, Stefan De Clerck, a annoncé, lundi, que L’enquête en cours se poursuivra à Charleroi. La cellule d'enquête et les magistrats concernés gardent toute sa confiance. Les informations et pistes nouvelles seront examinées. Évoquant les points de controverses et les hypothèses formulées au sujet des tueries, et rappelant les conclusions du rapport de la commission d'enquête parlementaire sur le grand banditisme et le terrorisme, le ministre de la Justice De Clerck, prend une initiative exceptionnelle dans un dossier exceptionnel : Il désigne comme experts externes deux professeurs de la KUL, Cyrille Fijnaut et Raf Verstraeten, auxquels il demande un examen approfondi et objectif qui portera sur les soi-disant erreurs, manipulations et violations des droits des parties civiles. Les deux professeurs ont reçu l'assurance de pouvoir accéder à tous les documents utiles et interroger toutes les personnes voulues. Leur rapport final sera rendu public. ( J’ai condensé l’article de René Haquin pour ne prendre que ce qui est en rapports avec les deux professeurs Fijnaut et Verstraeten) ( Page Une, mardi 21 novembre 1995 N° 270- Page 13  par HAQUIN, RENE) TUERIES Le ministre de la Justice persiste...                   (08/12/95 le soir) Le ministre de la Justice, Stefan De Clerck, a décidé de maintenir son initiative de confier à deux professeurs d'université une « enquête sur l'enquête » sur les tueries du Brabant malgré la lettre que lui ont adressée le premier président et le procureur général près la Cour de Cassation (« Le Soir » du 7 décembre) - Mon initiative est inhabituelle et elle n'est pas sans risque. - Mais, je crois qu'il faut faire quelque chose pour relancer ce dossier, a dit le ministre, jeudi après-midi, à la Chambre, en réponse à des interpellations. - Le ministre a confirmé qu'il avait reçu une lettre (datée du 27 novembre) du Premier Président et du Procureur Général près la Cour de Cassation à propos de son initiative. - Les hauts Magistrats invoquent notamment la séparation des pouvoirs. Sur ce point, le Ministre estime que s'ils veulent appliquer ce principe jusqu'au bout, ils n'ont pas à lui donner des instructions ou à lui poser des questions.
... et répond à M. Velu Le ministre a indiqué qu'il avait répondu à la lettre en collaboration avec les cinq Procureurs Généraux, qui avaient déjà précédemment marqué leur accord avec l'initiative Ministérielle. Le ministre a encore dit à la Chambre que son initiative n'était pas anticonstitutionnelle et qu'elle se basait sur les articles 148 et 400 du code pénal. Ces articles disent notamment que le ministre a autorité sur les Procureurs Généraux et sur tous les membres du Ministère Public. Sur base de l'article 125 du code pénal, les Procureurs Généraux peuvent donner accès à des dossiers à des personnes extérieures à celui-ci, a encore signalé le ministre.
Si les professeurs chargés de « l'enquête sur l'enquête » devaient découvrir des faits litigieux, ils devraient en informer le ministre. Il appartiendrait alors à celui-ci de demander, éventuellement, aux procureurs généraux d'entamer une enquête, a conclu Stefan De Clerck. (Par BELGA vendredi 8 décembre 1995 N° 285- Page 19)
Le dossier des tueries confié à deux professeurs- (22/12/95 Le Soir) Anticonstitutionnel, dit la Cassation La Cour de cassation, constituée en assemblée générale en chambre du conseil, qui s'est réuni jeudi, élève une protestation solennelle contre la violation de la Constitution et des lois, dont est entachée la décision du ministre de la Justice de charger deux professeurs d'université de la KUL d'enquêter sur l'enquête dans l'affaire des tueries du Brabant. De son côté, la Commission nationale de la Magistrature, regroupant l'ensemble des magistrats du Royaume, s'inquiète, dans une lettre ouverte adressée au Roi, de la légalité de la mission et des pouvoirs conférés aux deux professeurs d'université chargés d'examiner les soi-disant erreurs, manipulations et violations des droits des parties civiles. Dans sa lettre ouverte au chef de l'État, la Commission nationale de la Magistrature déclare avoir appris « avec émoi », malgré les protestations émises, que le Ministre de la Justice entend mettre en oeuvre sa décision, les deux professeurs d'Université » pouvant procéder « à l'interrogatoire de toutes les personnes voulues ». Une telle procédure porte atteinte aux principes fondamentaux qui régissent notre État de droit, plus précisément au principe de la séparation des Pouvoirs, expressément voulue par le Constituant, dit la Commission. Il ne ressort ni de la Constitution, ni d'une loi prise en exécution de la Constitution, que le Ministre de la Justice puisse contrôler ou faire contrôler par l'intermédiaire de tiers des enquêtes menées par des juges d'instruction ou des décisions prises par des juridictions d'instruction et obliger des juges à se prêter directement ou par l'intermédiaire du Procureur général près d'une cour d'appel, à des interrogatoires par des tiers (...) Le caractère secret de l'instruction judiciaire, lié au devoir déontologique de réserve et au secret professionnel de ceux qui participent à l'instruction, est, en outre, totalement inconciliable avec l'intention du Ministre de rendre public le rapport de ces juristes, souligne encore la Commission. La Constitution et la loi ont expressément prévu des contrôles externes ou internes sur la manière dont est exercée la justice, poursuit la lettre ouverte. La Commission considère donc que la mesure envisagée méconnaît la notion même de État de droit, qui implique la soumission au droit par tous ceux qui participent à l'exercice d'un des Pouvoirs de État (Par BELGA  vendredi 22 décembre 1995 N° 297- Page 16.)
Séparation des pouvoirs : l'enquête « tueries » peut-elle être expertisée par deux professeurs ?   (23/12/99 Le Soir)                                               La Cassation s'oppose au ministre de la Justice C'est un choc frontal sans précédent dans notre histoire, entre le pouvoir judiciaire et l'exécutif : La Cour de cassation, exceptionnellement constituée en assemblée générale, s'oppose au maintien, par le ministre de la Justice Stefan De Clerck, de sa décision, qualifiée d'anticonstitutionnelle et d'illégale, de charger deux professeurs de la KUL d'analyser l'enquête sur les tueries du Brabant. Après la lettre ouverte envoyée au Roi jeudi par la commission nationale de la magistrature, la Cour de cassation s'est à son tour constituée en assemblée générale - une procédure exceptionnelle - pour élever une « protestation solennelle contre la violation de la Constitution et des lois, dont est entachée la décision du ministre ». Le 20 novembre, Stefan De Clerck annonçait qu'il confiait, en accord avec les cinq procureurs généraux du pays, aux professeurs Fijnaut (criminologie) et Verstraeten (pénaliste), tous deux de la KUL, une mission d'analyse des points controversés de l'historique de l'enquête sur les « tueries du Brabant ».
Le 27 novembre déjà, le procureur général et le premier président de la Cour de cassation adressaient au ministre de la Justice une lettre en neuf points déplorant sa décision et lui demandant de la reconsidérer. Le ministre leur répondra le 7 décembre, maintenant sa décision et la justifiant notamment par l'attente de l'opinion qui réclame la clarté. Il estime que cette décision s'inscrit dans sa « mission de surveillance » des officiers du ministère public (art. 148 et 400 du code judiciaire). Il s'appuie aussi sur l'autorisation écrite donnée par le procureur général de Mons, Georges Demanet, le 20 novembre, et sur l'accord qui s'est dégagé au collège des procureurs généraux réuni le 5 décembre à son cabinet. C'est en réaction à la réponse du ministre que la commission nationale de la magistrature, qui regroupe l'ensemble des magistrats du Royaume, a saisi le Roi du conflit.
Dans sa résolution publiée hier, la Cour de cassation rappelle que la plénitude des pouvoirs d'instruction appartient à la chambre des mises en accusation et que rien ne peut justifier une ingérence dans les attributions constitutionnelles et légales du judiciaire. Toute communication de pièces ou tout concours prêté par des magistrats aux deux professeurs serait une violation du secret de l'instruction, donc illégale. Ainsi, dix ans après la dernière attaque au Delhaize d'Alost et six ans après la clôture des travaux de la commission parlementaire d'enquête sur le banditisme et le terrorisme, qui s'était déjà heurtée au principe de la séparation des pouvoirs, le dossier des tueries du Brabant revient au centre d'un conflit dont nul ne sait nous dire qui pourra l'arbitrer.
RENÉ HAQUIN Articles page 24 Tueries : le ministre et l'État de droit Comme les magistrats dans leur lettre au Roi, la Cour de cassation réaffirme la séparation des pouvoirs. Le maintien par le ministre De Clerck de sa décision de charger les professeurs Fijnaut et Verstraeten (KUL) d'une mission d'analyse sur l'enquête sur les tueries du Brabant a provoqué des réactions qui ont atteint les sommets. Après la lettre cosignée par le premier président Oscar Stranard et le Procureur Général Jacques Velu, accueillie par une fin de non-recevoir de la part du ministre De Clerck, la commission nationale de la magistrature s'inquiète, dans sa lettre ouverte au Roi, de la légalité de la mission. Elle dit, comme la Cour de cassation, qu'il s'agit d'une « atteinte au principe de la séparation des pouvoirs ».
LA RÉSOLUTION DE LA COUR La Cour de cassation s'est exceptionnellement constituée jeudi en assemblée générale (les articles- 34O et suivants du code judiciaire prévoient la convocation de l'assemblée générale notamment pour traiter d'affaires d'ordre public et pour entendre des dénonciations), réunie en chambre du conseil (soit à huis clos). La résolution prise à l'unanimité sera transmise au ministre, via le procureur général. Dans sa résolution, communiquée à l'agence Belga, la Cour de cassation prend plusieurs éléments en considération:- En vertu de l'article 235 du Code d'instruction criminelle, la plénitude des pouvoirs d'instruction appartient à la chambre des mises en accusation, seule compétente pour rechercher et redresser les erreurs commises dans une instruction en cours;- si des magistrats ont dans le cours de l'instruction manqué aux devoirs de leur charge, ces manquements relèvent de la discipline judiciaire telle que celle-ci est organisée par les articles 398 à 427 du Code judiciaire :- Ni l'autorité sur les Procureurs Généraux, ni la surveillance sur tous les officiers du ministère public, que reconnaissent au ministre de la Justice les articles 143, 148 et 400 du Code judiciaire, ni le légitime souci du ministre de veiller à ce que le Pouvoir judiciaire dispose des moyens nécessaires à son action, ne sauraient justifier une ingérence dans les attributions constitutionnelles et légales de ce Pouvoir :- La communication qui serait faite à des professeurs désignés par le ministre, de quelque pièce que ce soit d'une instruction judiciaire en cours constituerait une violation du secret de l'instruction;- Une autorisation accordée à cette fin par un procureur général près une cour d'appel ne saurait être invoquée comme justification, puisqu'elle serait illégale;- Le pouvoir discrétionnaire, attribué aux procureurs généraux près les cours d'appel, n'est pas absolu, tout pouvoir, dans un Etat de droit, devant être exercé aux fins pour lesquelles la loi le confère à l'autorité qui en est investie;- Les magistrats et tous ceux qui apportent leur concours professionnel à l'instruction judiciaire sont tenus au secret et passibles des peines prévues à l'article 458 du Code pénal si, en dehors des exceptions légales, spécialement celle du témoignage en justice, ils enfreignent ce secret, ce qui pourrait être le cas s'ils prêtaient leur collaboration à ces professeurs; - Ceux-ci, chargés par un organe du Pouvoir exécutif, d'une mission empiétant sur les attributions constitutionnelles et légales du Pouvoir judiciaire n'ont aucun pouvoir ni aucun droit;- Les déclarations qui leur seraient faites ne sauraient être assimilées à des déclarations faites en justice;- Enfin, la Cour note que la décision du ministre de la Justice méconnaît les principes constitutionnels de la séparation des pouvoirs et de l'indépendance du Pouvoir judiciaire et viole l'article 235 du Code d'instruction criminelle, attribuant aux chambres des mises en accusation la plénitude des pouvoirs d'instruction, ainsi que les articles (398 à 427) du Code judiciaire relatif à la discipline judiciaire. Si l'ensemble du monde politique et judiciaire ne semble pas opposé à la volonté du ministre «de faire quelque chose » pour redynamiser l'enquête, il est certain toutefois que le simple fait d'autoriser des observateurs juridiquement ou constitutionnellement non habilités - les professeurs de la KUL ne sont ni magistrats ni élus de la nation - à disposer d'un dossier judiciaire (actes d'instruction, témoignages etc.) peut soulever des questions de légitimité.
La question est ainsi revenue plusieurs fois à l'agenda des séances de la Chambre et du Sénat : De nombreux élus se posent des questions sur l'efficacité et la légalité de l'initiative ministérielle. Le ministre de la Justice a chaque fois répétées qu'il maintenait cette décision et que, pour lui elle n'avait rien d'illégal ou d'anticonstitutionnel. Fort de sa conviction, Stefan De Clerck a d'ailleurs écrit récemment au président de la Chambre pour lui demander de permettre aux deux professeurs d'avoir accès aux documents de la Commission d'enquête parlementaire qui s'était penchée sur ce problème. Il lui avait été clairement rappelé les règles qui sont toujours d'application pour les documents parlementaires : Les documents relatifs aux séances publiques sont publiés et disponibles ; -Les documents relatifs aux séances à huis clos restent secrets. Le travail des deux professeurs de la KUL devrait débuter le 1er janvier et leur mission est planifié pour six mois. La réaction de la Cour de cassation doit susciter de nouveaux débats et des interpellations au Parlement dès le début de l'an prochain. Par ailleurs, la chambre du conseil doit statuer au début de février sur le non-lieu qui sera requis en faveur des diverses personnes inculpées dans le cadre des tueries au cours de l'instruction judiciaire. (Par HAQUIN RENE samedi 23 décembre 1995 N° 298- Page 1/24)
En 1997 la commission Parlementaire commence officiellement ses investigations dans les affaires des Tueries du B.W.                                 Cette Commission bénéficiait des mêmes pouvoirs qu’un juge d’instruction, et se devait de respecter nos lois pénales conformément à notre code Judiciaire, qui stipule que toutes les investigations doivent être menées à charge et à décharge !                                                 Dans un tel contexte, il est logique que cette Commission Parlementaire, n’a eux d’autre choix, que de transformer les moindres informations journalistiques ou indices, à charge contre X, et il n’en sera jamais autrement, étant donné que les seuls qui peuvent venir témoigner ou se défendre devant une Commission Parlementaires, sont des fonctionnaires (supposés respectables par la loi, ce qui leur permet de prêter serment, et de mentir à volonté !)                                
En tout état de cause, j’estime qu’il n’est pas juste que des gens qui sont en prison et qui de surcroit sont par la forces des choses, les principaux acteurs puisque j’avais une inculpations lier aux Tueries du BW , ne puissent avoir le droit de se faire représenter par leur avocat ou, de comparaître physiquement devant une Commission Parlementaire, pour se défendre des multiples attaques calomnieuses et mensongères, n’ayant souvent aucun fondement objectif.                                                                                            
Tout comme Maître Graindorge, j’ai introduit une demande écrite au Président Van Parijs, de la Commission Parlementaire, pour qu’à défaut de pouvoir me défendre devant cette même Commission, mon avocat Thierry Delobel, puisse au moins éclairer certaines vérités que les Responsables de la Commissions Parlementaires ce seront bien garder de dévoiller au grand Public par le biais de leurs Rapport écrits. Ni mon Avocat Delobel Thierry, ni Maître Graindorge, n’ont eu le droit de venir s’expliquer !   C’est ce que, j’ose qualifier de justice à deux vitesses car c’est justement a cause de ce genre d’habitudes partial que jamais la population belges saura la vérité sur les tueries du brabant wallon.                                                                  
Toutes les Commissions parlementaires, mises en place pour enquêter sur ces diverses affaires, sont, chaque fois, contestées par des professionnelles.
Une fois de plus, ceci vient à démontrer qu’en Belgique, il y a trois systèmes de Justice : Une mauvaise pour les couches sociales défavorisées : Une autre très mauvaise, pour ceux qui ont un passé judiciaire : La dernière très bonne pour les couches sociales favorisées est par conséquente respectable, possédant le droit de porter des accusations iniques contre X, sans que celui-ci ou, ceux-ci puissent se défendre.  J’affirme et réaffirme mes accusations précédentes, en tout état de cause, puisque j’ai vécu cela.                                                                            
(La Justice dans une démocratie… signifie aussi le respect des droits de la défense, ce qui apparemment n’est en aucun cas le fondement des Commissions parlementaires de notre pays).                                                  
Bien que se soit l’ex ministre de la Justice Stéphane De Clerck, qui ait demandé à certains professeurs, d’analyser les enquêtes du Brabant wallon, je suis profondément persuadé que Monsieur l’ex-ministre de la Justice Stefan De Clerk, a agi du mieux qu’il le pouvait !                                                                                                            A ma connaissance dans toute l’histoire de la Belgique, aucun ministre de la Justice n’a mis en place autant de projets de réformes positives,
A ma connaissance Monsieur Stefan Declerck, à, a peu près honoré ses promesses en prouvant matériellement à tous qu’il était un homme plus ou moins droit, pour avoir su prendre ses responsabilités, dans approximativement l’ensemble des affaires judiciaires !                                                                                         Dans le gouvernement belge de l’époque, comme dans l’ensemble des gouvernements qui se sont succédés, il y a toujours eu quelques pommes pourries, mais l’ex ministre de la justice Stefan De Clerck, ne me semble pas faire partie de ceux-là. Ce qui est juste est juste, et je tenais à l’affirmer par écrit.                                                                            
Cette Commission Parlementaire sur les tueries du Brabant wallon et dossier parallèles, c’est manifestement associé à certaines tromperies matérielles et intellectuelles, en manipulant de temps à autre la population, par des accusations intoxiquées contre des petits voleurs de poules.   Pour exemple, il suffit de penser aux borains, qui ont été acquittés par la Cour d’Assise de Mons en 1988 pour les tueries du B.W.
Certains députés ont replacé de nouveaux les Borains sur la scène médiatique. Ces parlementaires qui siègent devant les Commissions sont, pour certains, dénués de morale et d’éthique professionnelle, étant donné qu’ils osent encore mettre en cause le verdict d’un jury populaire.                                                                                        
En observant attentivement leur façon de gérer ces dossiers de la honte, on croirait avoir à faire à des vautours occupés à déchiqueter un cadavre ! Ce qui est profondément dramatique pour notre pays et sa démocratie… c’est que vous avez devant vous, la population des Représentants Politiques qui manifestement n’agissent pas de la sortent pour découvrir la vérité, mais uniquement pour se faire de la publicité en vue des futures élections.                                                                                                      
Qui pourrait encore avoir l’audace de contredire l’évidence même, d’autant que certains d’entre eux occupaient une place en vue aux Commissions Parlementaires et c’est en l’occurrence grâce à ce poste de Rapporteurs Politiques, qu’un certain nombre de députés sont devenu Ministre ou occupe les places les plus importantes dans le Gouvernement qui ont suivies Moi Philippe De Staerke, à la différence de certaines personnes, je suis honnête et impartiale dans mes écrits et jusqu'à présent personnes ne dictent ce que je dois écrire ou accomplir comme certains responsables l’ont fait dans ces dossiers de la honte et ce, dans l’intérêt et la protection de plusieurs hautes personnalités Politiques et Judiciaires, étant impliquées dans la programmation et le commandement des tueries du Brabant wallon.
Pour moi caché la vérité sur les tueries du brabant wallon c’est protéger les véritables coupables.
De nombreuses personnes respectables, tels que Albert Raes, etc.… ont été misent en cause dans diverses affaires criminelles et dossiers parallèles, aux Tueries du BW mais eux, ont pu venir devant la Commission parlementaire et défiler en acteur glorieux avec leurs paquets de mensonges et ce, toutes en apportant des déclarations contraires a la vérité, en débitant des cocktails de déclaration sans jamais subir la moindre remarque ou représailles en justice.   Au contraire, la hiérarchie politique et judiciaire, les félicites à longueur de journée sans doute parce que leurs accusations vont dans le sens de la piste des prédateurs !                                                                                            
Ce n’est pas demain la veille, que les investigations sur les tueries du B.W, et des dossiers de pédophilies toucheront à la vérité, puisque contre vents et marée, les enquêteurs continuent à chercher volontairement dans des mauvaises directions conduisant vers de petits voleurs de poules !                                                                        
Pour preuve, il suffit de se pencher sur les différentes méthodes qui ont été utilisé pendant des années et qui ont consisté dans un premier temps a saboter des pièces à convictions à charge d’anciens gendarmes et de certaines organisations de l’extrême droite qui en final auront eux aussi disparue.
Ce qui est affligeant dans ces dossiers, se sont certains de c’est enquêteur qui sont toujours en fonction dans ces dossiers de la magouille et de la honte !                                                                                                      
A l’occasion des enquêtes sur les Tueries du Brabant wallon, la gendarmerie a commis des dizaines de fautes graves, en se compromettant de façon malhonnête, en faisant disparaître et en manipulant des pièces à conviction de première importance, qui sans aucun doute, pouvaient prouver mon innocence dans ces faits sanglants. Pour démontrer la valeur de mes affirmations précédentes, je vous joins quelques passages d’un procès-verbal, instruit par le juge d’instruction Hénnart de Nivelles, qui a été transmis en 1988, au juge Lacroix de Charleroi, pour instruction, et malgré le fait que ce P.V, contribue  à démontrer… mon innocence, il n’a jamais été transmis au Parquet de Dendermonde où il aurait dû être joint à  mon dossier judiciaire à décharge !                                                                                   Plus grave encore en 1998, lorsque l’ensemble des dossiers sur les tueries du B.W, a été transmis à la Commission Parlementaire (Bis)   le procès verbal suivant ne figurait pas dans les chemises d’instructions et c’est moi qui l’ai transmis par courrier :                        
n°1695, à Monsieur le Président Van Parijs. PRO-JUSTITIA.                                                                             Procès verbal N° 1695 Dossier 2/86. Le 10 mai 1988. Nous Noël Jean Luc, Officier Judiciaire.   Auxiliaire du Procureur du Roi de l’arrondissement de Nivelles exposons :                                                 Ce jour, nos collègues ayant travaillé à la cellule du B.W, nous remettent, à titre d’information, des documents transmis le 30.12.1987 par M. le Procureur du Roi de Nivelles, concernant des renseignements fournis par un nommé Dansaint Henri, demeurant en Suède. Les renseignements concernant principalement les faits du Brabant wallon, mette en cause Jean François Calmet pour un détournement de lingots d’or en provenance de ZURICH  à ZAVENTEM, avec l’aide de Bouhouche. Nous transmettons ces copies de documents en annexe                               au présent et demandons à M. Dansaint de recueillir des précisions complémentaires quant au point cinq de ces renseignements. Selon nos collègues de la cellule du B.W, Monsieur le juge d’instruction Lacroix de Charleroi a eu connaissance de ces documents et aurait fait procéder à certaines vérifications :                   …Suivant les éléments d’enquête actuelle, il n’y a plus aucun enquêteur qui croit à la participation des bandes De Staerke et Estievenart (sauf Vittorio) dans les tueries du Brabant wallon.               (Il en est de même pour l’opinion publique et les médias).                         (Fin d’un passage du P.V, de quatre pages).                                        
Des procès-verbaux de ce genre qui démontrent mon innocence, c’est par dizaines que l’on peut les découvrir dans les dossiers parallèles, comme celui de Bouhouche- Mendez; la Sûreté de  l’Etat ; Dossier Vlassenrood ;  Dossier de pédophilies (Brusilia-Pinon) Commission Parlementaire Gladio-Glaive et enfin le dossier 17677/85 où j’ai été condamné à 20 ans le 30 juin 87 par la Cour d’Appel de Gand.                                                                                                 C’est par centaines, voir des milliers, que des procès-verbaux  qui  était et sont à ma décharge ont été découverts dans des enquêtes parallèles aux tueries du Brabant wallon ainsi qu’une légion d’ex enquêteurs  qui ont commis depuis de nombreuses années des actes illégaux de façon à nuire à la vérité. Pour moi, Nuire a la vérité c’est clairement vouloir  protéger les vraies tueurs du brabant wallon et manifestement ils auront très bien accomplie leurs missions parce qu’ils auront réussie l’incroyable mais vrais, puisqu’après 40 années d’enquêtes Judiciaires les véritables Tueurs du BW, cours toujours. L’ Histoire des enquêtes sur les Tueries aura prouver matériellement que Certains enquêteurs et juges d’instructions qui se seront succéder les uns derrière les autres, auront systématiquement manipulées, truquer toute en faisant disparaître et étouffées des procès-verbaux, des preuves matérielles vital ainsi que des témoignages plaidant mille fois en m’a faveur et à mon innocence ! Pour qualifier l’ensemble de ces magouilles Judiciaires, Je vais tenter d’utiliser un mot gentil ; En termes judiciaires on appelle cela de la rétention de procès-verbaux. Mais voilà il y a un soucie dans ma conscience et franchise car mon cœur a plutôt envie d’écrire que je qualifie toute ces magouilles Judiciaires comme un crime abominable contre l’ensemble des victime des Tueries du BW et de moi aussi car je me considère au même titre que ces victime puisque je suis innocent de ces crime prémédité.
A cause, de toutes ces magouilles judiciaires, j’ai purgé plus d’années de prison que la pire condamnation à perpétuité ou à mort alors que j’ai écopé d’une peine correctionnelle.                                                                    
Ceci vient à démontrer que j’avais raison de mettre en œuvre le 13 mars 1991, mes aveux fabriqués de toutes pièces dans les tueries du Brabant wallon pour en finir une fois pour toute avec mon inculpation Judiciaires dans les Tueries du BW.                            
17 années de prison et une inculpation monstrueuse dans les Tueries du BW, c’est en soi, la pire des tortures qui peut conduire un homme, à dire et à accomplir des actes verbaux et écrits comparable à un Kamikaze Je suis un être humain pas une machine mais n’empêche que je me suis battu comme un enrager pour parvenir a démontrer matériellement mon innocence.                                            
Souvent j’en suis venu à me demander si je ne devais pas recommencer une autre action du même genre mais plus radical que celle de mes aveux du 13 mars 1991, pour forcer la justice à statuer sur mon cas !
Les instigateurs des Tueries du Brabant wallon, les enquêteurs, les magistrats, les avocats des parties civiles, les membres des deux Commissions Parlementaires sur les Tueries, les hommes d’Etat, savent tous que je suis totalement innocent quant aux faits des Tueries. Mais voilà, malheureusement pour moi, ces gens qui sont sensés servir uniquement les intérêts de l’Etat j’estime objectivement que «POUR LA RAISON D’ETAT, ILS NE L’ADMETTRONT JAMAIS ».  
Deux commissions Parlementaires plus une autre, sur Gladio (Glaive- Service secret de l’armée) ; Le procès en Cours d’assise des Borains en 1988 ; Les 101 pièces à conviction, indices et preuves matérielles que l’on a volontairement fait disparaître sur les lieux des crimes et dans certains Palais de Justice.                                                                                        
La corruption dans les dossiers des tueries du Brabant Wallon se découvre par des centaines d’indices crédibles, plus de 500.000 procès-verbaux, des centaines de témoignages et accusations contradictoires non exploitées ou trop exploités, des manipulations judiciaires malhonnêtes, reprises mille fois au grand jour par les médias depuis plus de 40 ans sont plus qu’une réalité matérielle.                  
L’ensemble de ces manœuvres malsaines démontre clairement que j’ai été choisi par le Pouvoir Politique et Judiciaire comme bouc -émissaire dans les tueries du Brabant wallon.                                        
Toutes les enquêtes judiciaires et parlementaires (Gladio, Tueries du Brabant wallon, l’assassinat du Ministre André Cools, l’affaire Dutroux etc. démontrent clairement que la justice belge est gangrenée à la base et je n’ai pas l’impression que quelqu’un parviendra un jour à changer cela.                                              
De Staerke Philippe, le bouc-émissaire !                                                    
L’engrenage dans lequel j’ai été propulsé commencera au début de l’année 86, lorsque je suis arrêté par les forces de gendarmerie.                             Dans un premier temps, je suis inculpé le 4 mars 1986, pour trois attaques à main armée : La première attaque sera l’agent de change de Ranst. La deuxième, une attaque à main armée sur la poste de Basroode 2.   La troisième inculpation dans une autre attaque de poste. Fort heureusement…au moment où ces attaques à main armées seront commises par mes deux accusateurs Dominique Salesse et Robert De Staerke, j’étais soit en prison ou alors j’avais fourni les preuves formelles de mon innocence et après quelques mois, j’obtenais un non-lieu pour ces faits. (Comme ces délits datent de plus de dix-ans j’ai naturellement oublié les détails)                                                                            
A différentes occasions, Dominique Salesse et Robert De Staerke, ont fini par admettre qu’ils avaient porté ces accusations pour me nuire !                                                                                                    Il est vrai que le non-lieu en fera croître la rage des services de gendarmerie de Dendermonde et n’empêchera pas Robert De Staerke de continuer sur sa lancé du mensonge en affirmant : « Lorsqu’on ne tirait pas sur les gendarmes, mon oncle Johnny était fâché. »                                                                                                             Il faut savoir que l’ensemble des gens qui m’accuse son d’après l’enquête, ceux-là même, qui font partie de ma bande... et par conséquent ont été condamné pour plus de 14 attaques à main armée et plus de cent vols qualifiés. Au cours de l’ensemble de ces attaques il n’y aura jamais la moindre goutte de sang qui coulera, ce qui démontre une fois de plus que Robert De Staerke ment !                                                                                                                                                                                   Les inculpations ou les soupçons qui ont pesé sur moi ont toujours concerné des attaques à main armée de postes, Banques et fourgons ou, il n’y a jamais eu de violence physique dans le sens propre du mot, ni aucun de coup de feu entraînant la plus petite blessure physique. Il ait clair que je n’en éprouve aucune fierté, même si je n’ai jamais mouchardé et que je m’estime aussi honnête que les trois quarts de la population belge qui  chaque année contournent, détournent illégalement le fisc. Ce n’est pas les exemples qui manquent en Belgique : Les centaines de clients de la KB-Lux ou autres magouilles du genre mis en cause par la Justice belge, ne sont-ils pas aussi coupables de Hold-up à leur manière. Il est vrai qu’ils n’ont pas utilisé d’armes. C’est la seule différence, car en définitive le résultat est le même et je ne suis certainement pas le plus voleur.                                                                                                                 (Les gens dont je cite le nom  ci-après, serait d’après les enquêteurs de très braves personnes, et moi je serais le méchant et c’est sur la base d’accusation de Dominique Sallesse, Robert De Staerke, Alain Moussa, Léopold Vanhesbroucke, Nitellet Claude, Nicolas Carafilis, Georges Leclerck, Robert Echkaert, et Yvette Vanhémelrycke), que je me suis très vite retrouvé avec une nouvelle série d’inculpations pour six attaques à main armée.                                                                      
A part les accusations sans indices matériels portées contre moi dans les attaques à main armée ou j’ai été condamné par la Cour d’Appel de Gand à 20 ans le 30 juin 87, les enquêteurs ne parviendront jamais à découvrir où fournir le moindre indice crédible prouvant ma réelle participation indirecte ou directe aux attaques sanglantes dans le Brabant wallon. L’ensemble de mes accusateurs ne son que des menteurs mythomanes, ce qui souvent contraignait les enquêteurs à aider ces personnes en transformant leurs paroles dans un semblant de vérité.                                                                                   C’est uniquement sur la base d’accusations verbal, que j’ai été inculpé et ce, seul dans la tuerie d’Alost.                                                                                      
En réponse aux accusations d’Yvette Vanhémelrycke, les enquêteurs de Dendermonde qui a l’époque étaient associés à ceux de Gand, effectueront en 1986, diverses perquisitions, dont une, au domicile du frère de Nicolas Carafilis, Vasilios, domicilié 303 Rue de Nerpède à Anderlecht.   Les enquêteurs découvriront des armes de poing, une mitraillette Sten 9 mm, des Riot-Gun 12 mm, adaptés avec une crosse de pistolet, plus des vêtements et cagoules et un seul gant de vaisselle rouge, l’autre gant manquant sera découvert dans un véhicule Alfa Roméo, qui servira en1986 à l’attaque à main armer à la poste de Soignies.                                                                                          
Les enquêteurs de Dendermonde seront très ennuyés par ces pièces à conviction découvertes dans l’habitation des frères Carafilis, parce qu’elles pouvaient remettre en question la crédibilité de leurs accusations dans les Tueries du Brabant wallon. Dès-lors, Il fallait que les enquêteurs se compromettent en étouffant les preuves matérielles qui prouveraient clairement la participation de Nicolas Carafilis dans plusieurs attaques à main armée.
Je vous invite à lire le document que j’ai envoyé aux enquêteurs de la Cellule Brabant wallon en 1998. Je vous demande de joindre cette lettre au dossier des Tueries. (Merci !)                                     De Staerke Philippe (Interrogatoire Judiciaires le 11/02/98.) Envoyé aux enquêteurs de la Cellule Brabant wallon  de Jumet le 13/02/1998 : Monsieur Marc Simon, Costa Michel et Guido Lostermans. C’est avec respect que je me permets de vous remettre vos cartes de visite que j’ai sollicitées à tort !                                                            
Vous êtes des gendarmes sympathiques et compétents qui me semblent honnêtes mais vous, comme moi appartenons à un monde opposé. Comme vous mais de façon différente, je suis capable de respecter certains principes, même au péril de ma vie.                                  
J’ai plus de 4O ans et j’ai fait plus de douze années de prison, souvent dans des conditions épouvantables, mais ce n’est pas pour autant que j’aille retourner ma veste.                                                               J’ai bien réfléchi aux questions que vous m’avez posée et je confirme mes déclarations. Je ne connais ni de près, ni de loin les Italiens Pépé et compagnie, sauf l’ex-mari de ma nièce Marichka Farkas Pulci Rosario et son père.                                                                      
A aucun moment dans mon existence, je n’ai confié à Carafilis Nicolas que j’avais commis seul ou avec les Italiens cités précédemment les attaques à main armée à la poste de Soignies, Halle etc.…                                                                                                        
En 1986, les forces de gendarmeries ont découvert un sac de voyage contenant des armes au domicile des frères Carafilis.                                   Une expertise digitale et balistique s’est révélée négative :
Aucune des armes n’a servi aux Tueries du Brabant wallon, nulle empreinte génétique, digitale ou quoique ce soit pour me confondre…
Evidemment Nicolas Carafilis-(le gentil) a tout mis sur mon dos -(moi qui suis le méchant) en affirmant que j’étais le propriétaire des armes et qu’en plus j’étais l’auteur des attaques à mains armé aux postes de Soignies, Halle etc.  
J’ai été interrogé à ce sujet par la section d’enquête Delta j’ai                     nié en bloc les accusations sans fondement de Carafilis Nicolas.                                   Si demain vous trouvez le cadavre de l’épouse de Carafilis,                       au domicile de ce dernier et qu’il vous affirme sans preuve, que c’est moi qui l’ai tuée, allez-vous m’arrêter, m’incarcérer et me faire condamner pour que cet indicateur mythomane échappe à une lourde condamnation ?                                                                                                                            
En 1986, les enquêteurs de Dendermonde ont étouffé les attaques     à main armée citées précédemment pour protéger Nicolas Carafilis. Vous m’avez dit que cela n’avait pas été écrit qu’une seule fois sur procès-verbal par Philippe Vermeche. C’est inexact : Après avoir réfléchi longuement je me suis souvenu du contenu de plusieurs procès-verbaux qui avaient été dressés par Luc Boeve, en relations avec les armes saisies chez les frères Carafilis. Dans ces P.V, il est notamment fait mention du gant de vaisselle identique à celui trouvé à Soignies après l’attaque de la poste.                                                                                                    
Luc Boeve est celui qui a pris des cheveux sur le dos de ma veste lorsque j’étais au cachot de la gendarmerie de Dendermonde.                        
Par chance, j’ai pu voir cela et j’ai aussitôt porté plainte au Parquet. Comme cette histoire commençait à s’envenimer et à m’inquiéter, en 1988 j’ai fait une grève de la faim de 44 jours pour obtenir une piqûre de penthotal, (sérum de vérité). Des enquêteurs m’avaient trompé en affirmant sans être précis, qu’après analyse de mes gênes il s’avérée   qu’ils correspondaient à celles d’un des tueurs du B.W.                                              Forcément j’ai aussitôt pensé que c’était Luc Boeve, qui était à la base de ces magouilles, et j’ai démarré au quart de tour.                          
Vous êtes des gendarmes de terrain, par conséquent vous savez mieux que quiconque, qu’il est impossible que des enquêteurs ne dressent qu’un seul procès-verbal alors qu’ils détiennent une preuve matérielle Le Juge Troch et sa section Delta, utiliseront ce genre de procédé malsain sur chacun des inculpés de façon qu’ils me chargent au maximum dans les tueries du B.W !                                                                        
Mensonges sur mensonges, cela n’avait aucune espèce d’importance ce qui comptaient avant tout c’était de semer le trouble pour protéger les véritables coupables par mon inculpation.                                                
Leurs gesticulations actuelles concernant mon inculpation ne sont que du cinéma.                                                                                                      
Avoir une affaire aussi importante entre les mains, c’est le rêve de tout Policiers ou Juge d’instruction.                                                                                        
Ce genre de moyens infâmes a en autres permis au Juge Troch                   de garder un peu plus longtemps son dossier de l’attaque meurtrière de Tamise.                                                                                                    
C’est aussi grâce à mon inculpation qu’il a pu quitter sa campagne et ses vaches.                                                                                                    
Si lui et certains de ces enquêteurs n’avaient pas fabriqué toutes ces accusations contre moi, il n’aurait jamais été aujourd’hui, le chef de la police des polices.                                                                 Messieurs les gendarmes, je vous prie d’agréer l’assurance de mon respect.                                                 13/02/1998. DE STAERKE PHILIPPE.
3. L’analyse approfondie des mèches de cheveux salives et sueur retrouvées dans (la) ou (les) cagoule(s) et vêtements…ne m’appartiens pas !                                                                                        
4. Chemise n°49, Apostille 17677/85/19, Procès verbal n° 3058 :                          Le collège des experts conclut que ces armes n’avaient pas servi dans les tueries du Brabant wallon, ni pour les six attaques à main armée pour lesquelles j’ai été condamné le 30 juin 85 à 20 ans ferme devant la Cour d’appel de Gand.                                                                                                                  
5. Chemise 50, apostille n°35504/85/18, procès-verbal n°2252  et les pages 47 à 52 inscrites sur le n° 8-A  Apostille n° 17677/85/19 concernant l’ensemble des analyses balistiques :                              Les rapports d’expertises sont s revenus négatifs, aucune relation avec les tueries du Brabant wallon !   Pour influencer le Président, à me condamner au maximum de la peine les enquêteurs ont affirmé pendant mon jugement que les armes découvertes au domicile des frères Carafilis, pourraient avoir servies à l’occasion des attaques dans les tueries du Brabant.                                                                   Pour apporter un semblant de crédibilité à leurs conclusions Nicolas Carafilis, sera condamné dans la même Cour d’Appel que moi, à trois ans fermes pour recel d’armes et délits mineurs... quant à son frère Vasilios, il ne sera poursuivi en justice pour aucun délit alors que les armes auront été découvert a son domicile. Nicolas carafilis ,devais m’accuser des pires choses et en échanges sont frere Vasilios aura pu échapper a une condamnation en Justice.                              
Quelle sera le genre d’accusations que Carafilis Nicolas, lancera contre moi: En résumer cela sera du n’importe quoi :
Je lui aurais dit, à la prison de Tournai et ce, avant septembre 1983, que j’avais 28 ans et 28 morts sur la conscience.                                            
Ce dernier déclare cela pour établir un rapport entre les tueries du Brabant  Wallon qui ont fait 28 tués.  Mais seulement a partir de 1985 qu’il y a eu 28 morts, car en 1983 il n’y en avaient que 5 ou six de tuées. Ce qui démontre une fois de plus les mensonges.
Cela ne peut tenir la route, étant donné que lorsque je me suis évadé de prison c’était dans le courant du 16 au 17 septembre 1983 et à cette époque il n’y avait qu’une seule victime le gendarme  dekaize, Haulotte etc… mais jamais la final de 28 victime comme cela aura été le cas en 1985. Il faut aussi savoir qu’à partir du moment ou je me suis évadé en 1983 de la prison de Tournai, c’était avant septembre et je n’ai plus vu ou parler avec Carafilis Nicolas avant la fin de l’année 1985.                                                   Avant septembre 1983, il n’y avait qu’une seule victime des tueurs du B.W, le gendarme Haulotte, assassiné  aux abords de l’armurier Dekaise à Wavre. Ce qui vient à prouver matériellement le mensonge flagrant de Carafilis.                                                                                                        
Comme à l’habitude, sans apporter la moindre preuve matérielle,               un enquêteur m’a affirmé,  que Nicolas Carafilis, avait notamment déclaré sur P.V, qu’avant les dernières tueries du Brabant wallon c’est-à-dire en 1985, que je lui aurais confié, qu’après mon évasion en 1983, j’avais commis la tuerie du Colruyt de Nivelles (trois mort) et  que j’allais encore commettre des faits semblables dans des grands magasins en 1985.                                                                              
En réponse à cette question c’est avec la rage au cœur que j’ai déclaré à l’enquêteur, qu’il est impossible que j’aie pu dire cela, étant donné que ce dernier était en prison depuis des années, et qu’il a été libéré quelques semaines après les dernières tueries de 85, (Overijse, Braine- l’Alleud et Alost).                                                                                        
Pour ce qui concerne la tuerie du Colruyt de Nivelles et les autres tueries, j’ai largement démontré mon innocence en joignant la copie d’un procès verbal.                                                                                              
Plusieurs gendarmes m’ont aussi dit que Nicolas Caraflis (le gentil mythomane …  des services judiciaires a ses heures perdu) a affirmé qu’une fois de plus je lui aurais confié avoir  enterré des armes ainsi qu’un,  ou plusieurs cadavres.        
Ce dernier aurait notamment indiqué aux enquêteurs l’endroit des tombes…   !  « Bien sûr, comme Nicolas Carafilis est un mythomane, ils n’ont jamais découvert la moindre tête d’aiguille même s’ils ont fait des trous grands comme des puits et ce,».                                                                                  
L’enquêteur Devos, de la Cellule de Jumet et de Halle, m’a dit en 1998, que Carafilis, lui aurait aussi affirmé que je lui aurais confié que dans le courant de ma vie, j’aurais à l’aide d’un fusil, ouvert le feu sur un hélicoptère de la gendarmerie ou alors que j’avais toujours un fusil dans mon véhicule pour ouvrir le feu  sur un hélicoptère en cas de course poursuite. Etant donné que cette accusation vient de la bouche d’un mythomane et qui plus est, manipulé par des enquêteurs qui cherchent que les mensonges pour arriver a m’inculper dans le cadre des tueries du brabant wallon, pas une seconde je n’ai pas cherché à répondre à une question aussi absurde, qu inutile que méchante !
Manifestement le plus intéressant pour les enquêteurs de Dendermonde, c’était d’obtenir le maximum de témoignages à charge contre moi et cela n’avait aucune espèce d’importance si la validité de ceux ceux-ci frôlait le grotesque en s’édifiant malheureusement à mes dépends !                                                                                                                                                                                                                                                      
A la demande des services Judiciaires de Dendermonde, certains journalistes sans scrupules m’ont constamment détruit de façon à innocentée la Gendarmerie, mais aussi tenté de blanchir d’anciens gendarmes incarcérer à l’époque.                                                
Pour que vous puissiez avoir une idée du genre d’article de presse totalement mensonger   mais qui surtout aura contribué à me rendre la vie impossible toute en me culpabilisant , je vous joins celui de Christian Souris du ‘’Pourquoi Pas’’ du 10 novembre 1988 ;                   soit sept jours avant la comparution de l’ancien gendarme Madani Bouhouche, devant la Chambre du Conseil ou, grâce à cet article,  il obtiendra une liberté provisoire :
Mais où diable sont les armes de la Tuerie d’Alost ? On reparle tous azimuts des 28 meurtres des tueurs du Brabant.                 Cette réaction n’est peut-être pas étrangère à l’action du magazine ’’Pourquoi Pas’’...                                                                                                                               Toujours est-il que les derniers articles parus dans’’ Pourquoi Pas ‘’   et spécialement notre couverture du 26 octobre 1988                         (Les tueurs du Brabant wallon, l’affaire de Feluy, de Juan Mendez Blaya, celle de Bauloye, de Paul Latinus, jusqu’à Mandelbaum...)                                                                                                  ‘’Un même chef d’orchestre ‘’ a mis la puce à l’oreille d’aucuns témoin, cette invraisemblable aventure qui est arrivée et dont je ne savais à l’origine que penser...                                                                                                                                     Un soir vers les 21 heures, le téléphone sonne.                                                                                         Encore un casse-pieds ?                                                                                     Au bout du fil, une voix sourde, comme si l’interlocuteur avait une pointe d’accent étranger.                                                                                               « Pas mal votre dernier article. Vous brûlez… »                                                                                               Gentil de dire cela.                                                                                                       Mais qui est à l’appareil ?                                                                         « Aucune importance. Nous pouvons nous aider. Désirez-vous retrouver les armes de la Tuerie d’Alost ? »                                   Minute.                                                                                                                     C’est la police que cela regarde, non ?                                                         « Nous ne sommes pas des indicateurs. Si cela vous intéresse, rendez-vous après-demain soir, telle heure, tel endroit. Une B.M.W. noire vous attendra. »                                                                            Oui, mais...                                                                                                           Impossible d’aller plus loin, notre anonyme interlocuteur a raccroché. Face à face avec un cagoulard ! Que faire ? S’agissait-il d’une farce de mauvais goût, d’une manipulation, d’un guet-apens... ?                                                                                                                 Le lieu du rendez-vous, en tout cas, se situait dans des parages peu fréquentés...                                                                                                                 Une seule façon de savoir, y aller...                                                                             Deux jours plus tard, entre chiens et loups, dans les faubourgs Nord de Bruxelles.                                                                                                 Effectivement, à l’endroit indiqué, une grosse B.M.W, noir 735 attend moteur coupé.                                                                                                                     Je m’arrête à ses côtés, examine les alentours.                                               Rien...                                                                                                                                           Le coin est bien choisi !                                                                                               Et si c’était ma peau qu’on voulait.                                                                     Pas le moment de penser à cela...                                                                               De toute façon, il est trop tard.                                                                                             Je descends de voiture, je m’approche de la B.M.W, essaie de deviner qui peut bien s’y trouver.                                                                                               Manque de pot : les vitres sont teintées...           ��                                                     Je frappe sur la vitre avant.                                                                                                         Immédiatement la porte s’ouvre, et le plafonnier s’éclaire.                                 Une seule personne derrière le volant, le visage dissimulé par une cagoule.   Ciel, c’est Fantômas... !                                                                                 ‘’Montez’’                                                                                                               Que faire, sinon obéir ?                                                                                             A peine suis-je assis, le conducteur démarre, m’entraînant pour le plus singulier voyage qu’il m’ait été donné de faire au cours de ma (pourtant longue) carrière de journaliste, féconde en événements extraordinaires.                                                                                           Mon interlocuteur porte une cagoule ; il n’a pas de temps à perdre,  et cela se sent. A peine roulons-nous qu’il attaque : « Ne vous méprenez pas sur notre compte. Nous ne sommes pas des balances. Si nous vous livrons aujourd’hui les armes qui ont été utilisées lors de la tuerie d’Alost, c’est parce que nous en avons marre... » La mafia sicilienne en Belgique !                                                               La voix n’est pas celle de l’individu qui m’a téléphoné.                                       Est-ce un effet de la cagoule ?                                                                                       Je crois reconnaître une pointe d’accent ‘’yougoslave’’ au travers des mots de mon insolite chauffeur.                                                                                               « Oui nous en avons marre, continue-t-il.                                                             Nous sommes d’honnêtes truands, prêts à toutes les combines,                 mais pas de froids assassins comme ces tueurs manipulés.                                                           Et nous voulons ‘’travailler’’ en paix, ce qui n’est plus possible actuellement avec des flics continuellement sur les dents. »                                                           Et la conversation ou, plutôt le monologue, se poursuit sur le même ton pendant plusieurs minutes.                                                                                   Il en résulte que mon anonyme chauffeur est membre, semble-t-il,             de la mafia sicilienne en Belgique.                                                                               L’un des leur, aujourd’hui à l’abri, fut le complice de Philippe                 De Staerke (alias Johnny’’).                                                                                             Quelques heures avant l’arrestation de ce dernier, il participera à l’enfouissement des armes, des gilets pare-balles, des cagoules et des vêtements ayant été utilisé lors du massacre d’Alost, le tout serré dans un grand coffre en bois. La cache choisie est parait-il, de première qualité et personne d’autre que les deux protagonistes sont au courant.                                                                                                                 L’un est en prison, l’autre au loin.                                                                       Tout doit encore être en place.                                                                                     « Retrouver ce coffre vous semble-t-il intéressant ?  Et êtes-vous prêt à le donner à qui de droit, c’est-à-dire aux flics ? »                                                   Mon informateur ajoute que peut-être, les 20 kilos d’or représentant le trésor de guerre de Philippe De Staerke (alias ‘’Johnny’’),  ‘’une poire pour la soif ’’, devraient se trouver dans le même coin.                               Intéressant, en effet.                                                                                                           « Mais pourquoi ne pas vous adresser directement aux forces de l’ordre ?  Un coup de téléphone anonyme, et tout est dit... »                                               « Non.  Car à quelle porte frapper ?  A la gendarmerie, à la police Judiciaire, à la 23 éme brigade ?  Déjà qu’ils se disputent entre eux comme des chiffonniers.  Et puis, ce n’est pas nous qui l’affirmons, mais le procureur du Roi Poelman, lui-même, les fuites et trahisons sont légion dans ce dossier sans fin. Il suffit qu’on tombe sur le mauvais flic pour qu’il enterre notre information, et qu’un petit malin aille déterrer les armes et dès lors, s’il est là pour son propre compte... Ou parce qu’il est en cheville avec des manipulateurs des tueries. Avec vous, on sait qu’on ne prend pas de risques. »                                               Peut-être. Mais je vais devoir, moi aussi, trouver de ‘’bons’’ policiers.                                           Pas simple...                                                                                                                   « Vous les connaissez mieux que nous. »                                                             Des tueurs venus  de Marseille ? Une question ; à deux reprises, vous avez parlé de tueurs manipulés et de manipulateurs des tueries.                                                                                                              A qui pensez-vous ?                                                                                                       « Si nous savions de qui il s’agit vraiment, nous n’hésiterions pas à vous le confier. En tout cas, en ce qui concerne le massacre d’Alost, nous savons que le bâilleur de fonds était Jean Bultot. Mais il n’agissait pas pour son propre compte, et quelqu’un d’important se camoufle derrière lui.   Il ne s’agit, en tout cas, pas de n’importe qui. »                                       Sur quoi vous basez-vous pour affirmer cela ?                                                 « Sur le fait que la ’’bande à Philippe De Staerke’’, alias Johnny a été payé grassement et à l’avance pour un coup qui ne devait rien rapporter, mais simplement semer la terreur par une sauvagerie hors du commun. Pour le réaliser, De Staerke, a même fait ’’monter’’ des truands de Marseille. Une planque de derrière les fagots. Il me restait qu’à accepter la bizarre mission qu’on voulait me confier.                       Le moyen de faire autrement ?                                                                               Vous savez, il y a dix millions de prime à la clef.                                                               Ils vous intéressent ?                                                                                           Eclats de rire de mon voisin.                                                                       « L’argent sale ne nous intéresse pas. Faites-le donner aux bonnes œuvres ou, garde-le pour vous. »                                           J’essaie de tirer les asticots du nez de mon cagoulard : Il doit en savoir plus que ce qu’il veut bien me dire à propos des tueries.                                           Mais, il a vite compris mon jeu :                                                         « Commencez toujours avec cela !   Et si cela marche, sans doute nous souviendrons-nous encore de certains détails. »                                                                                                                                                             Il me conduit vers la planque.                                                                                   Un ancien chemin oublié dans les alentours de Leeuw-St-Pierre, en plein dans les champs.                                                                                                                             Vu de la route, on jurerait une haie entre deux cultures.                                 Un endroit idéal pour y enterrer des objets compromettants sans que l’on tombe dessus par hasard.                                                                                 « A vous de jouer, conclut mon mafioso. Les armes sont là, il suffit de les retrouver... » A quel saint me vouer ? Ouais !  Plus facile à dire qu’à faire...                                                                           D’abord, il faut convaincre les policiers de l’intérêt de ce roman à la Ponson du Terrail.                                                                                             D’ici à ce qu’on me prenne pour un fabulateur, il n’y a qu’un pas !               Les membres des forces de l’ordre et de la magistrature, bien sûr que j’en connais.  Et jusqu’au haut de l’échelle...                                                                         Mais était-ce la bonne solution ?                                                                         Malgré le vieil adage prétendant qu’il vaut mieux s’adresser au bon Dieu qu’à ses saints, je préférais ne pas monter trop haut.                                                       Question discrétion, sans doute, cela valait mieux : dans ce salmigondis rempli à refus d’entourloupettes majeures, de fuites lâchées à bon escient et de trahisons que représentait le dossier des tueurs fous, la prudence- hélas- était de rigueur.                                                                                                                                                               Après avoir longuement réfléchi, je décidais, en accord avec ma rédaction, de frapper à la porte de la section ’’Mœurs’’ de la B.S.R. de la ville de Bruxelles. Pourquoi ce choix ?                                                                                              Parce que ladite section était totalement étrangère au dossier.                                 En outre, les gendarmes de ce groupe, son amené à être en contact journalier avec souteneurs et prostituées, milieu où l’argent circule facilement, suivez mon regard, n’auraient pu y demeurer très longtemps s’ils n’étaient pas d’une probité hors du commun.                                                                                                                           Je me confiai donc à l’un d’eux.                                                                           Lequel, loin de considérer mon aventure comme un roman à trois francs cinquante, prit ma déposition et organisa discrètement dans tous les détails la fouille de la planque aux armes d’Alost.                                                                       Avec détecteurs de métaux, et tout et tout...                                                                       Je me sentais néanmoins mal à l’aise : Et si mon cagoulard s’était moqué de moi ?                                                                                                                         Et si on me manipulait pour quelques obscures raisons ?                                   L’opération était fixée pour le lundi matin à l’aube.                                                       Je passais, en tout cas, un très mauvais week-end, merci.                             Et dormis on ne peut plus mal. Les détecteurs siffleront trois fois. Lundi matin, quelque part sur le territoire de Leeuw-St-Pierre.                                         Une équipe d’une dizaine de gendarmes est sur place, dans la planque présumée de Philippe De Staerke (alias ’’Johnny’’).                                           Les détecteurs crépitent, grognent, sifflent sans arrêt : Mauvais terrain. Il y a des objets en métal un peu partout.                                                                 Et les appareils sont trop sensibles...                                                                   Trou après trou, l’équipe avance dans le bosquet.                                     Rien...  Le suspense reste entier !                                                                                         Au bout de quatre heures de travail intensif, nous n’avons pas encore ’’fait ‘’ le tiers du bosquet... Certains endroits qui paraissent pourtant avoir été fouillés sont pourtant découverts... Le patron de l’équipe décide avec raison, qu’il faut un matériel plus sélectif : On doit donc monter à l’échelon supérieur, c’est-à-dire au service de la force terrestre.                                                                                                             Pour une fois, ne jetons la pierre à la gendarmerie : Son matériel de détection est tellement sophistiqué qu’il repère une pièce d’un franc enfoui à plus d’un mètre !                                                                                                     Ce qui obligeait les pauvres représentants de la section ’’Mœurs’’               À manier pelles, pioches, et bêches plus souvent qu’à leur tour !                                   Les lieux gardés pendant la nuit, le grand jeu recommençait mardi, alors que le Magazine ‘’Pourquoi Pas’’ s’imprimait.                                                                       Avec le matériel ‘’ad-hoc’’ et une équipe renforcée. L’espoir de trouver, en tout cas, restait entier. Car, du côté des forces de l’ordre, personne n’imaginait qu’il pouvait s’agir de manipulation...                                                                                                               Fin de l’article de Christian Souris ’’Pourquoi Pas,’’ le 10/11/1988.
MES CONCLUSIONS : Il est à constater qu’à la question posée par Christian Souris à l’adresse du Truando-Mafioso-Pacotillo-Crétino  « Vous savez, il y a dix millions de prime à la clé ?   Ils vous intéressent ? »  Eclats de rire de mon voisin. « L’argent sale ne nous intéresse pas !  Faites-le donner aux bonnes œuvres ou gardez-le pour vous. »  Etrangement, je constate que les tueurs du Brabant wallon, n’ont jamais agi pour l’argent.  Alors, il est juste d’admettre qu’entre le soi-disant cagoulard - indicateur... du journaliste et les tueurs du B.W., il y a un point commun à relever : Leur motivation ne se trouve pas dans le gain d’argent. Paradoxe si évident qu’il permet de comprendre que ceux qui ont organisé cette machination machiavélique, avec la complicité, peut-être... involontaire de Christian Souris, ont agi dans un but bien précis : Semer le trouble dans l’esprit de l’opinion publique, et de certains membres encore intègres de la magistrature, pour que l’enquête soit orientée dans ma direction de façon à obtenir sept jours plus tard la libération provisoire en Chambre de Conseil de Madani Bouhouche.
A chaque fois cette catégorie d’articles de presse sent a mille % l’intervention direct de  certains services de l’Etat, pour que pour la millième fois ont accuse de tous les maux de la terre De Staerke Philippe, comme d’ailleurs les dernières accusations mensongères d’Alain Moussa en décembre 2021, il me parait clair, que c’est accusations idiote, écrite et verbale à mon encontre  ne sont de l’imagination très limité de cet individu. Même l’ensemble de c’est  derniers écrits accusateurs ne l’auront jamais au grands jamais été construit par sa main, car il est beaucoup trop ignare pour parvenir a mobiliser seul autant de monde, autour de lui.
Chaque fois, qu’ils est impérative d’obtenir une déviance et sabotage de l’enquête en court  certains Services de l’Etat exercent des pressions ou font marcher leurs relations politiques et journalistiques pour que je sois incendié dans les médias en relations avec les tueries du Brabant wallon.  
L’initiative du journaliste Christian Souris est pour la moins révélatrice sur des manipulations malsaines de certains enquêteurs de Termonde : Puisque c’est en 1986 que Robert De Staerke et Dominique Salesse ont à plusieurs reprises, déclaré sur procès-verbaux, qu’ils avaient été avec moi dans le bois de Leeux-St-Pierre et ce, uniquement pour y enterrer les armes utilisées dans l’ensemble des attaques à main armée pour lesquelles nous avons été condamnés le 30 juin 1987, devant la Cour d'appel de Gand.                            
Quelques journalistes fortement suspects : leurs erreurs, leur affabulation confortées par la Commission Parlementaire (Bis) de 1997 à 1998, concernant l’organisation des enquêtes judiciaires sur les tueries du B.W. Dans l’article du Soir du 30 au 1 mai 97, on m’associe généreusement  aux Borains, WNP, Becker, Bultot, Estievenart, Nardella, Sonia Cams, Claude Leroy, Patrick Hamers, Darville et compagnie.                                          
1)Que cela soit de prés ou de loin, je ne connais aucune de ces personnes, cela a d’ailleurs été démontré formellement par différentes enquêtes minutieuses…                                                                                                  
2)Toutefois il est vrai que je connais vaguement Madame Simone Menin, mais ce n’est pas parce que je connais... cette dernière, que je dois  forcément connaître les mille personnes ou plus qu’elle fréquente.
DES CENTAINES D’ARTICLES ET LES DEUX LIVRES DU MENSONGE DES JOURNALISTES GILBERT DUPONT ET PAUL PONSAERT ’’Les Tueurs, six années d’enquête’’ aux éditions E.P.O. en 1988,  persévèrent dans ce sens.                                               Dans le deuxième livre, aux éditions Gérard Devilliers, imprimé en France le 17/02/1989, les auteurs affirment à la page 35  « avoir fidèlement recopié dans leurs livres les procès verbaux suivant » : ...P.V. 2657 du 4/10/83. P.V. 20419. Qui figure dans le carton 2 du dossier des tueries : Le garagiste Jadot de Braine l’Alleud affirme reconnaître dans les fichiers de la gendarmerie deux personnes dont il aurait reçu la visite peu avant le vol de la Saab, un certain Istvan Farkas et son amie Bertha De Staerke, qui ne sont pas des inconnus de la justice. Rapport Commission Parlementaire(bis) de 1997 à 1998, sur les tueries du B.W. Annexe III. Pages 156, N° rappels 158, où je souligne le mensonge malsain du Rapport de la Commission Parlementaire. ...Deux jours après, le même membre de la police judiciaire a visité le garage Jadot à Braine l’Alleud, où la SAAB a été volée                                  le 7 juin 1983. La femme du propriétaire a déclaré ne reconnaître personne sur les photos qui lui étaient soumises, mais le propriétaire lui-même était relativement positif.                                                         Il a déclaré sur P.V. 2657 du 04/10/1983 : « Vous me présentez une série de photographies. Seules les physionomies de,  De Staerke  et de Farkas me  disent quelque chose. Il me semble les avoir déjà rencontrés, mais je ne saurais vous dire ni ou, ni quand, ni dans quelles circonstances. » (fin du P.V)
Au vu de ces rapports basés sur des enquêtes… de journalistes peu scrupuleux, vous pourraient comprendre que j’ai toutes les raisons de mettre en doute l’honnêteté de certains membres de la Commission parlementaire !                                     Pour démontrer clairement que ces deux journalistes ont bafouillé  et brodées des mensonges, ainsi que certains membres de la Commission parlementaire (bis) de 1997 et 98 enquêtant sur les tueries du B.W. Annexe III, page 156 N° rappel 158,  je vous joins deux procès verbaux, qui m’appartiennent et qui forte heureusement reprennent mot pour mot, les véritables déclarations du garagiste Jadot. : Procès verbal N°2657 du 4/10/83  cartons 2, dossiers 298/83 : « Vous me présentez une série de photographies. Seules les physionomies de,   De Staerke Bertha et de Farkas Istvan, me disent quelque chose. Il me semble les avoir déjà rencontrés, mais je ne saurais vous dire ni ou, ni quand, ni dans quelles circonstances. »                                             (Lecture persiste et signe en minute) Il aura de toute évidence bien étudier son devoir et réciter (à fois ses leçons pour mettre en cause ma famille dans les Tueries du Brabant Wallon..
Lorsque le Garagiste Jadot, reviens sur ces déclarations dans les procès verbaux, se sont   les Membres de la Commission qui se permettent de faire des relations directes avec des hypothèses débile en affirmant que le garagiste était relativement positif quant à l’identification de ma sœur Bertha et Farkas.                                            Les membres Commission Parlementaire ne se mouilleront jamais pour mettre en évidence les intimidations judiciaires qui ont été exercés sur Jadot pour qu’il finisse par accusé les membres de ma famille.                                                                                                    A ce que je sache, les Membres de cette Commission                     Parlementaire n’ont jamais eux, pour rôles ou fonctions, d’incité malhonnêtement le lecteur à croire à ma culpabilité par l’utilisation de mensonges plus que flagrants !
Procès verbal 20419 du 25 mai 1987 carton 2, dossier 42/87.B.E12.E15. A l’occasion du dossier mieux repris en marge, et suite au P.V. 2657 du 04/10/83  du 4/10 /83, de la P.J de Nivelles, je me suis rendu, ce jour, au garage Jadot, Chaussée d’Ophain, 178 à Braine l’Alleud et j’ai procédé à l’audition  du nommé :                             Jadot Michel ; « Vous me redonnez lecture de ma déclaration faite en vos services en date du 04/10/83. J’ai effectivement déclaré avoir déjà vu les deux personnes dont vous me remontrez les photos répondants aux noms de De Staerke Bertha et de Farkas Istvan.                                                                                                     Ces physionomies ainsi que ces noms ne me disent plus rien.                                                                                                 Malgré votre insistance, je ne pourrais vraiment pas vous dire dans quelle circonstance ni à quelle époque j’ai pu avoir rencontré ces deux personnes. Cependant, il est fort probable que ce ne sont pas des clients et que ce n’est pas dans mon garage à Braine l’Alleud, que je les ai aperçus. »                                                                                             (Lecture faite, persiste et signé en minute)
Des années après ces mensonges je suis profondément révolté que, G. Dupont et Ponsaers, ainsi la Commission Parlementaire (bis) ait pu accepter d’arrondir les angles dans la conclusion de Procès verbaux en fabriquant des éléments à charge contre de moi et ma famille. Les deux procès verbaux en question, servent uniquement à semer le trouble dans l’esprit de l’opinion publique, quant à l’innocence suspecte de ma famille dans ces faits sanglants.               Les membres de la Commission savaient pertinemment bien que ma sœur Bertha et mon beau-frère Farkas, étaient incarcérés depuis de nombreux mois (avant et après les faits cités précédemment).                                                                                                         Par conséquent, ils ne pouvaient en aucun cas avoir été dans ce garage avant ou après le vol du véhicule Saab Turbo 900.                                                                
C’est au mépris de toute déontologies et par goût du sensationnel que certaines personnes ont laissé libre cours à leurs imaginations malsaines en colportant l’improbable !                                                             Pour s’offrir au plus offrant et vendre du papier. Ses pisseurs de mensonges grotesques ont brisé ma vie.                                                                                       En tous les cas les vrais coupables, tueurs et commanditaires, leurs doivent une fière chandelle parce que c’est grâce à leurs manquent de rigueur et à leurs mensonges qu’ils peuvent encore aujourd’hui courir impunément !              
Page 201. de G Dupont et Ponsaert.  « Alain Moussa à également échappé aux coups de feu tirés sur lui par Ramadan Dodack. Grièvement blessé, il fut hospitalisé et Dodack arrêté après quelques jours d’enquête.                                                                                                             A ce moment le milieu bruxellois… est en ébullition.                                                                A sa sortie d’hôpital, Alain Moussa prend d’ailleurs contact avec Philippe De Staerke qui se planque toujours depuis qu’il a oublié  de rentrer à la prison de Saint-Gilles après son dernier congé pénitentiaire.  Moussa lui demande de trouver un tueur à gages et le 19 décembre 1986, Ramadan Dodack, est abattu par balles dans son appartement de Nederover-Heembeek. »                                                                 (Fin du passage du Livre de Dupont)
1) Lorsque Alain Moussa fut grièvement blessé dans une bagarre entre copains de beuverie, j’étais en prison.                                                                                
2) Il est impossible que Alain Moussa ait pu me demander le 19/12/1986 de trouver un tueur pour éliminer Ramadan Dodack, puisque j’ai été arrêté et incarcéré le 4 mars 1986, et à aucun moment je n’ai eu de contact avec Alain Moussa, sauf pour être condamné à 2O ans le 30 juin 1987 par la Cour d’Appel de Gand.                                                                                                              
3) Ramadan Dodack faisait partie de mes amis, ce qui n’est pas le cas d’Alain Moussa.
Page N°6. du livre de G.Dupont et Ponsaert.                                                                                   Philippe De Staerke, c’est l’ami de Jean Bultot, l’ancien directeur adjoint de la prison de Saint – Gilles.                                                            
1) En aucun cas je suis l’ami de Jean Bultot.                                                  
2) Je ne connais pas ce dernier, mais alors pas du tout !                                                                                                                                                                
3) Il est vrai que M. Bultot a été condamné le 30 juin 87 dans le cadre de mon procès, mais n’a jamais été mis en relation avec des faits ou condamnations me concernant directement. M. Bultot a été poursuivie uniquement dans des petites histoires de recel, vidéo, titres et bons de caisse volée en relations avec Léopold Vanhesbrouck et Dominique Salesse, où je n’ai strictement rien à voir !                                                                                                                
4)  A l’époque ou j’étais détenu J’ai rencontré deux fois Monsieur Jean Bultot ancien-Directeur adjoint de la prison de St-Gilles, en février 1985, et ce, uniquement pour apprendre ma date de mise en semi-détention et fixer la date  et l’heure de mes congés pénitentiaires.
Page 172 du livre de G. Dupont et Ponsaert.                                                               Philippe De Staerke et Sotirios Papadopoulos se connaissent depuis leur plus tendre enfance.
1) La première fois que j’ai fait connaissance avec Sotirios Papadopoulos, c’était juste après mon évasion de la prison de Tournai dans la nuit du 16 au 17 septembre 1983.                                         2) Cette évasion je l’ai faite en compagnie de 37 détenus.                                                                                                                                                                                                  2) Lorsque j’ai connu Sotirios, j’avais 25 ans, et Sotirios n’a jamais été mon ami ou mon copain, mais le frère de mon meilleur ami Stéréo Papadopoulos.
Page 173 du livre de Gilbert Dupont et Ponsaert.                                                                Le 23 juin 1972, Philippe De Staerke était arrêté, avec quatre complices pour des vols commis avec effraction.
1)  Je suis né le 28 août 1957 et en 1972 j’avais 16 ans, j’allais encore à l’école et à cet âge, je n’ai jamais été condamné en Correctionnelle pour le moindre vol avec effraction.                                                                                                      2) Ma première condamnation correctionnelle je l’ai connue à l’âge de 19 ans, c’est à dire en 1976.
Page 173 de G.Dupont et Ponsaert.                                                                      En juin 1982, Philippe De Staerke est arrêté en compagnie d’un Polonais pour un vol commis à Wavre Ste-Catherine.
1) Jamais je n’ai été arrêté ou condamné avec un polonais pour vol commis dans cette région.
Page 221 du livre de G.Dupont et Ponsaert.                                                                             Nicolas Karafilis précise aussi que Julien De Staerke connaissait beaucoup de gens bien placés, et Alain Moussa confirme que Julien était en excellant termes avec Jean Bultot.
1) Mon frère Julien ne connaît ni Alain Moussa ni Jean Bultot.
Page 166  du deuxième livre de Dupont G et Ponsaert.                   Editions Gérard Devilliers 1989.                                                                               « Reconstituons plus précisément ce qu’on en sait aujourd’hui.   Début 1985, Dikke Léopold, offre 8.OOO francs à Bultot pour que Celui-ci accélère la mise en liberté conditionnelle de Philippe De Staerke, le chef de bande, alors en semi-détention à Saint-Gilles.                     Ce dernier est libéré quelques semaines plus tard. »
1) Il est exact que je sortais en semi-détention de cet Etablissement, mais en aucun cas ma liberté aurait été achetée pour la somme de huit mille francs, à Jean Bultot puisque depuis 1983 jusqu’à ce jour 1999, je n’ai pas encore été libéré de prison.                                                                                                                                                                                                                           2) J’ai obtenu ma liberté seule, en ne réintégrant pas la prison de St-Gilles lors d’un un congé pénitentiaire au début de l’année 1985.
A mon manuscrit je joins un mémoire rédigé en réponse aux écrits de Monsieur Léopold Vanhesbroucke  a soi-disant écrit un livre qu’il a intitulé : Lettre ouverte aux tueurs du Brabant wallon, souvenir d’un ex-Ganster’’ aux éditions la Longue vue.(1998). Page 8, ligne 25: Vanhesbroucke écrit que Monsieur Eckaert Robert m’a hébergé à son domicile. Cela est totalement vide de sens étant donné que je ne suis jamais resté à son domicile très longtemps. Je ne suis jamais resté plus de deux ou trois heures Chez ce dernier…, En plus Robert Eckaert, habitaient chez sa maman avec son beau-père, mais il est ma foi vraie que la personne qui a été Hébergée chez Eckaert se nomme Georges Leclerc et c’est la, que Vanhesbroucke commet une grave confusion en affirmant que j’ai dormi chez la maman d’Eckaert alors que c’était Georges Leclerc. Sur la base de preuves et procès verbaux je suis en mesures d’affirmer, que je n’ai jamais dormi une minute chez la maman de Robert Eckaert comme Vanhesbrouck le prétend de façon imbécile    et inique !
Page 37, ligne 11 et suivantes : Vanhesbroucke Léopold, affirme que la famille Becker est d’une manière ou d’une autre lié au clan De Staerke. En lisant de tels propos, je ne peux qu’être indigné, d’autant qu’il apparaît clairement que ma famille ou moi-même ne peuvent avoir fréquenté de près ou de loin la famille Becker ou autres individus ayant des connections avec des jitans. D’ailleurs je n’ai jamais été interrogé en relation avec cette famille, ni avec les Borains dans l’histoire de la tuerie de Nivelles.
Page 57, ligne 12 et  58 lignes 4 Vanhesbroucke écrit que  mon père De Staerke Henri, était également  un receleur et ne manque pas de salir ma famille en l’insultant. L’audace de Vanhesbroucke et pour le moins inconscient, en prenant le risque de salir de la sorte mon père. Mon père est mis en cause dans des fais criminels, alors qu’il n’a jamais été inculpé, ni même interrogé à ce sujet par les systèmes judiciaires belges ou étrangers. De près ou de loin mon père n’a jamais été condamné ou inquiété pour des recels d’objets volés ou autres.  
Page 58, ligne 4, jusqu'à la page 60 : Vanhesbroucke maltraite de façon inacceptable mon père et ma famille, en utilisant des termes mensongers. Que cela soit mon Frère Julien ou mon père, ils n’ont jamais été inquiétés ou inculpés de la manière dont il le prétend. Je tiens à préciser que Monsieur Vanhesbroucke n’apporte jamais le plus petit indice ou preuves pour conforter ses accusations.
Page 61 : Monsieur Vanhesbroucke, laisse sous-entendre de façon inique que je puisse notamment être l’auteur de l’assassinat des trois Français en 1980. Je tiens à préciser qu’à ce sujet toutes les personnes concernées par cette enquête, savent pertinemment bien, preuves matérielles à l’appui, que je suis totalement innocent dans cette histoire à caractère politiques. Je n’ai jamais été inculpé pour ce crime et pour cause, dans la nuit du 24 décembre 1980, je me trouvais dans la région de Leeuw-Saint-Pierre, à la Taverne Bretonne où, des dizaines de témoins crédibles, enfant y compris, ainsi qu’un agent en civil des forces de l’ordre de la commune a témoigné en leur âme et conscience et en ma faveur, en attestant que dans la nuit du 24 au 25 décembre 80                               (Moment même où les Français seront exécutés) que je n’avais jamais quitté les lieux de la Taverne.                                                                         Après que les Autorités Judiciaires de Bruxelles ont poursuivi leur enquête sous les ordres du Commissaire De Vroom, il sera établi matériellement que j’étais totalement innocent des faits criminels         ou Monsieur Vanhesbroucke, tente de mettre à ma charge pour          faire vendre son livre.
Page 62, ligne 31 : Vanhesbroucke Léopold,  affirme que mon Frère  Léon donnait à Farkas Yvan la somme de 100 francs par kilo de bon, de Caisse ou, Obligations nominatives : Cette version est pour le moins surréaliste puisqu’il est impensable qu’une personne ayant le minimum d’intelligence offre ou propose à quelqu’un appartenant au même milieu social que lui, la somme de 100 francs le kilo pour des bons de Caisses ou des obligations. Il faut se rendre compte qu’avec un kilo de bons de Caisses ou Obligations, le détenteur de ces valeurs nominatives peu atteindre la somme de 80 ou 100 millions de francs belges.
Ceux qui connaissent mon beau-frère, y compris les enquêteurs avisés, ne peuvent croire à une histoire aussi absurde que fantaisistes.  Les seules personnes qui peuvent croire à une version aussi dénué de sens son ceux qui possèdent dans leurs cerveaux… deux petits poids d’intelligences.                                                              
Après m’être renseignés auprès d’un chiffonnier spécialisé : Les vieux papiers ou autres textures du genre s’achètent ou se vendent en grosses quantités aux marchants de papiers, entre 025 centimes le kilo, selon les cours du marché financier en Bourse de l’époque.    
A ma connaissance ma famille ne fait pas les poubelles. Manifestement Vanhesbroucke Léopold, se découvre un plaisir sans pareil à plonger dans la mythomanie en s’identifiant à ce qu’il n’est pas, c’est-à-dire une sorte de Rambo.   Pages 103 et 104 : Vanhesbroucke  Léopold,  écrit notamment qu’il a commis plusieurs hold-up dans des postes ou des banques avec Salesse Dominique, Robert de Staerke et Papadopoulos Stéréo.  
J’estime très important de préciser que toutes les attaques en question ont toujours manqué d’envergure et de professionnalismes.  L’amateurisme et leur manque total de sang froid ont été mis en évidence dix fois par les observateurs impartiaux de l’enquête. Exemple : Au moment de certaines-attaques, ils leurs aient arrivez de laissait tomber au sol leur butin ou alors ils ouvraient le feu en tirant dans le plafond cela en déployant une attitude extrêmement violente envers les clients et les membres du personnel des Agences Bancaires ou Postales. Dans leurs précipitations et la paniques lorsqu’ils croient apercevoir un facteur qui revenait de ça tournée, ils le prenaient pour  un policier et s’enfuyaient en abandonnant les trois quarts de l’argent. Les quelques hold-up qu’ils on commit étaient minables. Butin des valeurs qu’ils ont dérobées varie entre 50 et 60 mille francs de l’époque.
Chaque fois que moi j’ai commis des attaques à mains armées, je n’ai jamais abandonné un centime ce qui m’a toujours permis de prendre des millions et à la différence de Vanhesbroucke Léopold, lorsque c’est moi qui dirigé les opérations, ils n’y avaient jamais d’agissements violent envers les clients ou le personnel des Agences Bancaires et Postales.
Lorsqu’ont prends le temps d’analyser objectivement le livre que Vanhesbroucke a écrit… ils aient facile de s’apercevoir que ce dernier n’est en rien, le Rambo… ou, quelques fois la victime… qu’il tente de faire croire.
Page 66, ligne 8 : Vanhesbroucke Léopold, qualifie sans détour, la famille De Staerke de ‘’ minable ‘’ et laisse sous-entendre que les femmes ne m’intéressent pas tellement et que je serais plus attiré par l’argent.   Il affirme notamment m’avoir donné des vêtements et de l’argent. Ni Demest Claude ou moi, nous n’avons jamais reçu d’argent de cet individu. Nous avons juste été invitées à manger une assiette de pattes au beurre et rien de plus. Il est vrai, qu’après mon évasion de la prison de Tournai rue du Chantier n° 1, J’ai été chez l’amie d’un de mes frères. Quelques jours après, j’ai loué un appartement chez Sotirios qui est le frère de mon meilleur ami se nommant Papadopoulos Apostolos Stéréo. L’ensembles de ses détails ont été découvert par les enquêteurs et sotirios Papadopoulos qui a tout moucharder. Après que je me suis évadé de Tournai en compagnie de Demest Jean Claude, né le 24 juin 1960, j’avais en ma possession quelques milliers de francs en liquide. Demest, à vendu pour une quinzaine de milliers de francs, une très grosse médaille en or massif avec une chaîne  du même alliage. Ce qui nous à permis de louer un appartement Rue Barra à Bruxelles,  au frère de mon ami Papadopoulos Stéréo. A peine étions nous évadé de prison, que sans l’aide de qui que se soient nous avions déjà de l’argent et un endroit pour dormir.
A…)  Pages 57, ligne 3  et suivantes : Le plus jeune de la couvée, Philippe De Staerke, dit Johnny, allait m’entraîner dans l’affaire criminelle’’ la plus mystérieuse de l’après-guerre en Belgique. (=Les tueries du Brabant wallon).
B…)  Pages 70, 71 et 72 :Toutes les bêtises que Vanhesbroucke a accompli dans son existence il me les reproche dans son livre.
C…)   Pages 77 et 78 : Vanhesbroucke prétend avoir donné des informations à Monsieur salesse Dominique concernant une série de tuyaux en relations  avec des attaques à main armée où il devait toucher une commission :
A…) Ceci et tout le reste de ces écrits… ne sont que des mensonges gratuits qui à l ‘époque ont été maladroitement construits par certains enquêteurs véreux.  L’ensemble de ces soi-disant indices qui ne repose sur aucune base objective pouvant conduire les véritables enquêteurs ou les journalistes vers des indices ou des éléments crédibles, si ce n’est la vocifération de méchanceté !!! Monsieur Vanhesbroucke ne cesse d’affirmer dans son livre qu’il ne m’aime pas et ce sentiment de haine se découvre facilement par ces écrits Vénéneux et malintentionnés. La seule vérité qui apparaît dans son livre c’est ça méchanceté et le profit financiers.
B…) L’ensemble des bêtises et des Délits que Vanhesbroucke Léopold a commis et a été condamné non aucun rapport avec mes condamnations. Il ait vrai que Vanhesbroucke, a été condamné le 30 juin 1987 et par la même Cours d’Appel que moi, mais à aucun moment il a été condamné pour un délit qu’il aurait commis avec moi. Je n’ai jamais  voulu travailler avec cet individu comme je n’ai pas demandé ou incité ce dernier à accomplir des bêtises ou des délits criminels, d’autant qu’en aucun cas je n’ai voulu travailler avec lui, pour la bonne et simple raison, qu’après l’affaire de Jean Bultot  et bien d’autres avant celles de ce dernier, je s’avais pertinemment bien que Vanhesbroucke à toujours travailler en mouchardant des  affaires pour les services de la gendarmerie et l’ensemble de ses écrits … livre en est le reflet flagrant !                                  
C…) Il est impératif de ne pas perdre de vue que dans le courant de l’année 1985, le milieu du Banditisme ainsi que les médias écrits et télévisés ont affirmées clairement que ce dernier était un délateur rémunéré, travaillant officiellement entre autre comme ‘Balance’  oui je suis bien claire un mouchardeur de l’ancien Agent des forces de l’ordre M. Godefroid et d’autres services de L’Etat. S’il a été condamné à 20 années de prison, c’est par son unique faute et pas la mienne. Comme tout le monde le sait, du moins les personnes concernées par l’enquête et notamment ceux qui font partie du  ‘’Milieu du Banditisme en Belgique… Monsieur Vanhesbroucke à 10 années en plus que mon âge ce qui pourraient démontrer  qu’il serait pour le moins difficile d’entraîné ce dernier contre son gré dans une quelconque affaire criminelle. Il est majeur et vacciné. C’est le genre d’homme… a toujours se défendre en disant ce n’est jamais moi, mais toujours l’autre.
Cette affirmation est comme toutes les autres, elle ne tient pas la route puisque j’ai toujours su que Vanhesbroucke Léopold, étaient un mythomane et un délateur.   A partir de ce moment il est clair que je n’aurai jamais utilisé ses soi-disant informations puisqu’elles n’étaient pas dignes de confiances et par conséquent dangereuse et pouvaient me conduire en prison.
Pages 97 à partir de la ligne 11 et page 98 : les Bons de Caisses volées chez le curé du village de Wieze : Vanhesbroucke affirme que je lui ai donné les Bons de Caisses et que j’ai rejeté toute la responsabilité de ce vol sur mon frère Léon. J’apporte quelques réponses cinglantes aux propos calomnieux et mensonger de ce mythomane profond : 1) Lorsque ces Bons de caisse ont été volés, j’étais en prison. 2) Pour ce qui me concerne toute ma vie durant, jamais je n’ai ’’balancé’’ qui que ce soit. D’ailleurs personne ne pourrait affirmer sur la base de preuves ou d’indices, qu’il s’est retrouvé en prison par ma faute.
Si j’avais accusé mon frère Léon, dans ces faits, alors j’en viens à me demander pourquoi n’a-t-il jamais été interrogé, inquiétés ou condamné par les systèmes de Justice pour ces Bons de Caisse.                                                                 Pour qu’il ne puisse y avoir la moindre ambiguïté, j’affirme par mes écrits que jamais je n’ai été approché de près ou de loin, par des agents des forces de l’ordre pour subir un interrogatoire au sujet des bons de caisses volées chez le Curé du village de Wieze. Cela a été repris dans des dizaines de livres, d’articles de presses ou de procès verbaux.
N°5 Cette vérité apparaît notamment dans le rapport de la Commission parlementaire du 17 octobre 1997 sur les tueries du Brabant wallon. Les Rapporteurs de la Commission mettent clairement en évidence mon opiniâtreté ou mon entêtement à nier tout en bloc de Staerke Philippe est un mur !  Je n’ai jamais avoué le plus petit délit ou fais pouvant conduire à l’arrestation de qui que ce soit et ce n’est pas demain que cela changera, je suis née avec cette fierté et principe et je compte bien mourir avec fierté sans jamais avoir balancer, moucharder qui que ce soit.
« C’est vrai je suis un mur et jusqu'à ma mort je ferais tous pour rester un mur. »
La meilleure affirmation de mes écrits se découvre par mon triste parcours et mon incarcération. Comme je n’ai jamais collaboré avec les systèmes judiciaires ou autres j’ai purgé le maximum de ma peine et chaque fois que j’ai été poursuivie en justice j’ai pris des condamnations maximums puisque systématiquement dicté par cette hiérarchies secrète.
3) Toujours en relations avec le vol et la vente de ces Bons de Caisses dont les médias ont fait écho aux Publique, dans les années 87 à 89, je m’aperçois que Monsieur Vanhesbroucke n’a jamais éprouvé le plus petit scrupule en ne manquant jamais une occasion de rejeté la faute sur une dizaine de gros bras du milieu bruxellois.
Ce qui est paradoxale dans ces présentes accusations c’est que de depuis l’année 85 jusqu’en 1999, il n’a jamais cité mon nom ou celui d’un membre de ma famille ; Alors j’en viens à me demander pourquoi Vanhesbroucke Léopold, à seulement réagie plus de dix ans après contre ma famille et moi mêmes en nous mettant en cause dans le vol et la vente des Bons de Caisses volées au Curé du Village de Wieze.
Vanhesbroucke, agi de la sorte pour plusieurs raisons objective : Car c’est manifestement un mythomane et que par conséquent il a peur de moi et de ma libération conditionnelle et pour retarder ma libération il a entamé par le biais de son livre une forme de propagande diffamante servant éventuellement à empêcher ma libération ou mesure de Grâce Royale. Il y a aussi la prime de dix millions de francs que la Firme Delhaize offre pour celui qui contribuerait à l’arrestation ou condamnation d’un tueur… du Brabant wallon.   N’avoue-t-il pas dans son… livre que l’escroquerie est une de ses activités.
De là, à penser qu’il agit de la sorte pour obtenir la prime de dix millions, si je devais être renvoyé devant une Cour d’Assises, tous comme Yvette Vanhémelrycke, ils pourraient et seraient éventuellement réclamer la prime en question.
Vanhesbroucke, aura alors réussie la plus belle escroquerie de sa triste carrière. Ce dernier n’est en réalité qu’une vieille balance, doublé d’un mythomane animé par le profit.        
4) Sauf erreur de ma part, et d’après les affirmations de mon beau-frère Farkas Isvan,  il était également en prison lorsque ses Bons de Caisse, ont été volés. Donc il lui était assez difficile voir impossible de vendre ses valeurs nominatives en question à mon frère Léon De Staerke et ce, (même à 100 francs le kilo !) Malheureusement pour moi et Heureusement  pour Vanhesbroucke, que le ridicule ne tue pas ou sinon ce dernier serait mort depuis longtemps. Page 71 : Vanhesbroucke écrit de Staerke Philippe était un copain de l’Avocate bruxelloise Corinne Nicolas, qui se fit pincer par la suite parce qu’elle traficotait avec des gens liés à la mafia. Mais Corinne Nicolas n’était pas une Avocate. C’était un clown risible ! On ne la prenait pas au sérieux. En 1987, durant notre procès à Gand, elle était la risée de tous. Une fois de plus Vanhesbroucke se sert de son livre pour cracher son venin sur des gens qui n’ont fait de mal à personne et qui surtout n’ont aucun rapport avec les affaires des tueries du brabant wallon Corine Nicolas était une super avocate, gentille et super compétente et au moins elle est barder de diplôme alors que lui c’est le champion toute catégorie de la délation.
Pages 62 et 64 lignes 7 : Vanhesbroucke affirme dans son livre qu’en 1980  mon frère Léon et moi aurions fait  avec lui un cambriolage ou une attaque à main armée dans la région de Nivelles et que le butin aurait été un Jeu d’Echecs d’une grande valeur et que nous l’aurions entubé, c’est-à-dire qu’il n’aurait pas touché sa part  d’argent: Une fois de plus je suis stupéfait par ces propos de  mythomane.  Je n’ai jamais commis le plus délit avec  cet individu, pour preuve nous sommes à la fin de l’année 99 et je n’ai jamais été entendu par les services Judiciaires concernant ce délit imaginaire.  Si ce vol avait été réellement commis, il me paraît évident qu’il y a longtemps que les systèmes judiciaires seraient venus m’interroger.
Page 65 Vanhesbroucke écrit « Salesse m’a raconté qu’il était impossible d’aller au restaurant avec Johnny (c’est -à-dire Philippe De Staerke). Il se comportait comme un porc, il faisait du bruit, se faisait remarquer et offensait les garçons.                       J’ai toujours su me comporter en personne très bien élever et c’est pour cette raison qu’il me paraît inutile de m’étendre sur des propos aussi calomnieux que méchant. D’autant que ces propos mensongers n’ont aucun rapport avec les dossiers des tueries du Brabant wallon.
Pages 126, 103  et 104 : Vanhesbroucke affirme que je me suis disputé avec Papadopoulos Stéréo: «  Je présume donc que Bultot a également proposé à Johnny De Staerke et Salesse de commettre ces simulacres de braquage, et ces soupçons reposent sur l’une ou l’autre histoire étrange que j’ai faite avec Salesse et Robert de Staerke entre le 7 et le 19 septembre 1985, quelques semaines avant les attaques des  tueurs de Braine l’Alleud et Overijse. Une violente querelle éclata au sein du groupe De Staerke dans l’appartement de Papadopoulos Sotirios, le frère de l’autre, Rue barra à Anderlecht, C’est là, que se réunissait la bande et qu’elle partageait le produit de ses braquages. La querelle opposait Johnny à Papadopoulos Stéréo et Dominique Salesse. Ils en sont quasiment venus à dégainer leurs armes. Je n’étais pas là, mais Dominique Salesse ma raconté où cette querelle s’est produite et il ne la jamais dit à la cellule Delta. Personne n’a jamais voulu dire quoi que ce soit sur cette querelle. Pourquoi ?  Il n’y avait aucune raison de cacher la raison de cette querelle si elle avait été banale : femme fric, que sais-je ? Mais ils se sont tus, parce que la raison n’était pas banale. La querelle avait un rapport avec les tueries. Je crois qu’elle a d’abord éclaté entre Johnny et Dominique parce que Salesse continuait à refuser de participer aux attaques, il avait pris peur. Salesse m’a bien raconté par la suite qu’après la querelle, Johnny était parti fou furieux et qu’il avait emporté une golf GTI et plusieurs armes, des Riot-Guns, des pistolets et des munitions entreposées dans un garage parce qu’il avait les clés. Je pense donc que Salesse s’est d’abord fait recruter par Bultot mais qu’il à refusé par la suite de participer aux attaques des tueurs en 1985. » (fin du passage des écrits de vanhesbroucke Léopold)
Il ait ma foi vraie que nous avions eu une altercation parmi tant d’autres. Pour ce qui concerne la dispute qui a commencé en premier lieu entre moi et Salesse, elle s’est déclenchée car ce dernier voulait faire entrer dans mon groupe, son ami Vanhesbroucke Léopold, qui venait de sortir de prison avec l’étiquette dans le dos, je suis une ’balance’. Cette proposition venant de Salesse, me laissé sous-entendre qu’il avait prévenu ce mouchard de nos activités illégales. A partir de cet instant j’ai vu rouge et j’ai décidé de me séparer de Dominique Salesse. Mon ami d’enfance Stéréo Papadopoulos, a alors tenté de s’interposer dans cette discussion et cela je l’ai pris assez mal, mais sans plus et jamais aucune arme a été dégainée et si cela avait été le cas j’aurais vidé le chargeur dans la tête de Dominique, d’autant plus qu’il venait de trahir nos activités illégales à un délateur et inventeur professionnel de mensonges.
Quelques jours plus tard au Café de la Barrière de Saint-Gilles, « aux ‘’Bon Amis’’ la dispute à repris ces droits sur un ton froid et direct, il m’a alors remis les clés du garage et du véhicule de son frère. J’avais besoin des clés du box car je n’avais pas de véhicule pour aller chercher mes armes qui étaient cachés dans cet endroit. J’en ai profité pour me débarrasser du véhicule BMW 528 injection, qui avait été volé quelques jours auparavant. Je n’ai jamais volé ces armes et la seule chose que j’ai fait c’est récupéré mon bien. Ces armes n’appartenaient pas aux groupes comme le prétend Vanhesbroucke Léopold. Ces armes étaient a moi.   Dans certains « Milieu » de braqueurs a l’ancienne, il y a des règles que personnes ne se permettraient de violer, par exemple prendre des armes qui ne lui appartient pas.               Si j’avais volé les armes en question, mon propre ami Stéréo, auraient eu l’obligation de me les réclamer. Mais jamais personne n’ai venu me voir, car j’ai toujours respecté les règles et c’est pour cela que ce jour je suis toujours en vie. La plus belle preuve que ses armes m’appartenaient, mon ami Stéréo, ma remis les clés pour aller chercher mon bien dans ce garage. Vanhesbroucke, prétend que dans ce box se trouvant en dessous d’un immeuble, il y avait eu un véhicule Golf GTI et que j’aurais notamment volé le véhicule se trouvant dans cet endroit. Dans ce box lorsque j’y suis aller, c’était déjà avant les trois dernières tueries, et il n’y avait qu’une BMW injection que j’ai volé avec Dominique Salesse, ce qui signifie qu’elle m’appartenait aussi bien au groupe qu’à moi. Je les prise et ce, pour éviter que Léopold Vanhesbroucke, délateur de profession grosse balance notoire, puisse utiliser ce véhicule pour commettre des attaques à mains armées dans des agences et que par la suite, cela puisse m’être attribué. Après avoir pris le véhicule BMW je les déposée directement dans une rue parallèle à la Rue du Fort à Saint Gilles. En stationnant le véhicule dont question, par précaution et professionnalismes, j’ai retiré le Delco se trouvant au-dessus du moteur de la BMW de façon à éviter que d’éventuels voleurs puisses sans emparer pour éviter que ce véhicule puisse servir à commettre des vols ou autres délits du genre et que cela me soit imputé.  Comme je l’avais prévu, le lendemain, la police de Saint-Gilles découvrira le véhicule et le feront remorquer. L’ensemble de ces détails que je reprends dans ce document a été repris dans les procès verbaux du dossier de Termonde et confirmer par des preuves matérielles aux cours des investigations par les services d’enquêtes de la cellule Brabant wallons de Jumet.
Lorsque je lis le livre de Vanhesbroucke, je constate qu’il base ses ragots sur le genre de propos suivant ; Je présume Je pense ; Je crois savoir ; Il ait possible que De Staerke soient coupables ; Salesse me la confié mais ne la jamais dit à la Police. Certains Magistrats et enquêteurs ripoux possédant deux poix d’intelligences dans le cerveau, font des amalgames malsains pour persuader l’opinion publique quant aux biens fondés de leurs convictions en relations avec ma culpabilité dans les tueries du Brabant wallon.
J’ai été condamné à trois fois dix ans et depuis des années la prescription est tombée pour tous ces faits par conséquent je ne peux plus porter préjudicie à des amis ou autres personnes, alors j’estime qu’après 15 années d’humiliations sans réagir j’ai enfin le droit de me défendre en ouvrant la bouche pour apporter des détails qui prouve que Vanhesbroucke, racontent n’importe quoi !
A la différence de ces gens qui ont écrit des articles et livres mensongers, j’ai écrit ce livre en me basant uniquement sur des procès verbaux judiciaires et sur une vérité comportant des tenants et aboutissant objective. Lorsque je mets en cause… une personne du système Judiciaire ou Politique, je n’use d’aucun sous-entendu malsain ou mensonges inique. J’utilise uniquement des procès verbaux et la vérité pour remettre à leurs places mes ennemies qui tentes désespérément de caché la vérité politique et judiciaires ainsi et surtout les véritables coupables des tueries du B.W.
C’est justement cela, qui fait toute la différence entre leurs accusations qui son généralement basée sur des rumeurs iniques sans fondement pour l’enquête Judiciaire. Mes écrits sont le reflet de la vérité, car ils sont basés uniquement sur une étude minutieuse du dossier des tueries du Brabant wallon et non sur la méchanceté ou la calomnie.
Chaque fois que je me suis cassé les dents devant la Justice, j’ai toujours su prendre mes responsabilités en assument seul ce qui n’a jamais été le cas de Vanhesbroucke et compagnie. Ce n’est jamais eux, mais toujours les autres qui sont les mauvais.
A la différence de mes accusateurs, jamais je n’ai utilisé la délation ou autre stratagème pour améliorer ma situation.
Page 126, a partir de la ligne 16…, Vanhesbroucke affirme avoir donné une somme de 50.OOO francs à Monsieur Jean Bultot, pour acheter ma libération conditionnelle. Ce que raconte ce malade imaginaire est un mensonge de plus. Pour preuve, en 1985 je ne suis jamais sortie en liberté conditionnelle de la prison de Saint Gilles. Après un congé pénitentiaire je n’ai plus réintégré la prison. Et le 4 mars 1986, je suis arrêté et inculpé par le Juge Troch, pour six Hold-up qui m’auront valu 20 ans de condamnation le 30 juin 1987 devant la Cour d’Appel de Gand. Dans mon cas la, l’octroi d’une liberté Conditionnelle ne dépendait pas de la décision d’un sous Directeur, d’autant que ma demande de Conditionnelle avait déjà été introduite par la Direction de la prison de Lantin aux Services des cas individuels, bien avant que je ne sois transférer à St- Gilles. Ce qui démontre l’absurdité des propos de Vanhesbroucke au sujet de cette tentative de corruption envers l’ancien sous-directeur Jean Bultot  (Que je ne connais d’ailleurs pas) répandus sur Je pourrais continuer à énumérer les dizaines de mensonges mon dos, par ces écrivaillons sans scrupules, mais puisque la démonstration de leur malhonnêteté est d’ores et déjà faite, je vais en rester là.
La corruption est une maladie contagieuse.
Grâce à la maladresse de Maître Henri Daenens, j’ai été victime d’un verdict digne d’un abattage à l’abattoir. C’est au terme d’un imbroglio indescriptible, qui me fera perdre un degré de juridiction, et en néerlandais, langue qui n’est pas ma langue maternelle et que par conséquent je ne maîtrise absolument pas, que j’ai été condamné le 30 juin 1987 à deux fois dix ans fermes assortis de 10 ans de mise à la disposition du gouvernement = 30 ans de prison.                                 Maître D’Haenens Henri, du barreau de Gand, merci de m’avoir si bien desservi).                                                   Ce que je reproche à ce dernier :                                                    Maître Henri D’Haenens, était présent au premier jour de ma comparution devant la Cour d’Appel de Gand présidée par M. Meeshkaete, et chargée de statuer sur le maintien de ce procès dans la procédure néerlandaise. Malgré mon désaccord et celui de la majorité des autres prévenus francophones d’être jugés dans une langue qui n’est pas la nôtre, le Président Meeshkaete décidait de conserver sous sa juridiction l’affaire au fond en la faisant couler en force de chose jugée.                                                                              Aussitôt après ma réintégration à l’établissement pénitentiaire, j’introduisais officiellement un pourvoi en cassation contre cet arrêt. Quelques jours plus tard à l’ouverture du procès, dans la confusion de notre arrivée fortement escortée (bousculade etc.), il est certain que je n’ai apporté aucune attention particulière à la sollicitation insistante et précipitée de Maître Henri D’Haenens à vouloir que je signe une lettre d’une trentaine de lignes en néerlandais, annulant le pourvoi que j’avais introduit quelques jours auparavant à la prison de Gand. A ce moment même, j’ignorais totalement ce que contenait cette lettre, d’autant plus quelle était écrite dans une langue que je ne maîtrise absolument pas.
Alors c’est par respect déontologique que je pensais devoir à mon avocat, quand toute confiance j’ai signé ce document qui annulait purement et simplement mon pourvoi en cassation. Sans lire les détails de mes réelles mises a mort virtuelle j’ai signé ce document qui me fit perdre un degré de juridiction et fut condamné au maximum de la peine.
Ce qui de toute évidence nuira gravement à la bonne défense de mes intérêts, étant donné qu’à cause de cette manœuvre malhonnête, je perdais un degré de juridiction et ne pourra obtenir la révision de mon procès devant la Cour de Cassation de Bruxelles ni devant la Cour Européenne de Strasbourg, qui m’ont stipulé  par écrit et ce, à raison, de n’avoir pas épuisé l’ensemble des recours internes, et  par conséquent mes actions en justice seront rejetées sous le motif évident, que j’avais manqué un recours.                                                                                      
Le recours en question est celui que Maître Henri D’Haenens,  a fait annuler en me faisant signer un document sans que je connaisse son contenu et de ce fait, le Président Meschkaete,                 Prendra possession de l’affaire et je ne pourrais bénéficier de deux recours de jugement.                                                                                                  
Le 30 juin 1987, prononcé du verdict à la Cour d’Appel de Gand.
Le président en question me condamna à 20 années de prison ferme et dix ans de mise à la disposition du Gouvernement pour six attaques à main armée sur six bureaux de postes et de banques.                                                            
Le Président Meschkate savait pertinemment bien qu’en me condamnant le matin du 30 juin 1987 à la peine maximale, quelques heures plus tard le juge Troch, m’inculpa dans la tuerie du Delhaize d’Alost. Cette inculpation qui tombera sur mon dos quelques heures après mon jugement, est  en soi, une manœuvre malsaine de plus des systèmes Judiciaires, parce qu’en dissociant les délits correctionnels de ceux passibles de la Cour d’Assises, le Parquet de Dendermonde parvenait de cette façon à obtenir la séparation des dossiers qui m’ont valu 20 années en correctionnelle de ceux des tueries du Brabant wallon qui ne contiennent que des procès verbaux à charge. Les enquêtes chargées des tueries du Brabant wallon ont commencé en même temps que mon inculpation dans plusieurs attaques à main armée qui ont toujours été commis sans violences physiques, et ces mêmes dossiers le 17677/85 contiennent des centaines de procès verbaux à décharge, qui forcément ne se trouvent pas dans celui des tueries du Brabant wallon.                                                                                                            
Pour démontrer la valeur de mes présentes affirmations, je vous joins une série de P.V, à décharge étant en relation directe avec les Tueries du Brabant wallon, qui ont été volontairement écartées du dossier des tueries de façon à nuire à la vérité, à ma future défense et à mon innocence ! Aussitôt après mon arrestation le 4 mars 1986, les enquêteurs de Dendermonde me demandaient où, et avec qui, j’avais passé la journée et la soirée du 9 novembre 1985, plus précisément à 19h30 ou 37, juste au moment ou la tuerie se déroulait au Delhaize de la ville d’Alost. Avant de répondre à ce genre de question, je savais déjà que Robert Eckaert, Georges Leclerck, et mon amie Yvette Van Hémelrycke, m’accusaient à tort et à travers, mais comme j’étais en leur compagnie jusqu’à plus ou moins 20 heures pour les deux premiers noms cités précédemment, j’ai déclaré que je n’avais pas quitté ces trois personnes.                                                  
J’ai fait ces déclarations sans donner plus de détails, puisque j’avais complètement oublié mon emploi du temps du 9 novembre 85.                        
Roger Borniche, c’est ce Commissaire français qui a procédé à l’arrestation et à l’exécution de Mesrine, affirme : (Il n’y a que les coupables qui ont des Alibis ou qui se souviennent de leur emploi du temps.                      
Au cours des interrogatoires, ces trois personnes se contrediront, mille et une fois et finiront par admettre qu’au moment de la tuerie du Delhaize d’Alost j’étais effectivement en leur présence et ce, du début jusqu’à la fin. Et sans que les enquêteurs ou mes accusateurs l’avais chercher c’est eux-mêmes qui devienne mon alibi et prouve matériellement qu’en aucun cas j’aurais pu participer a  ce massacre de  Boucher-  charcutier.                                                                                          
Il faut notamment tenir compte qu’entre le mois de novembre et mars, il y à plus de quatre mois et après autant de temps écoulé, peu de gens possédant une aussi mauvaise mémoire que la mienne peuvent se souvenir de ce qu’ils ont fait ou vu. En toute honnêtetés à ceux qui me lise actuellement, seriez vous capable de vous rappeler ce que vous fessiez a une date précise ainsi que l’heure. En prenant simplement une échelle de valeur de simplement 2 jours voir 5 jours ou 5 mois voir 25 ans   de ce que vous fessiez ou ce que vous portiez comme vêtements ou les gens que vous avez croisé « Pour me rappeler des choses importantes, j’ai toujours été obligé d’inscrire tous sur un papier. » D’un point de vue objective comme beaucoup de gens et personnellement je suis même incapable de me rappeler ce que j’ai mangé la veille et lorsque chaque matin j’enfile un nouveau caleçon je ne sais même pas la couleur de ce dernier. Oui c’est ma question, et je ne vais pas être sévère avec vous et je vous demande de juste tenter de vous rappeler ce que vous avez fait il y a 13 jours a 19 h 24 et ce que vous avez manger et qui, vous avez vue. Il y a 13 jours vous avez du faire de commissions dans un magasin ou grande surface ou simplement prendre le métro, alors je me permets respectueusement de vous mettre au défit et de tenter de vous rappeler les visages et vêtements des gens que vous avez croisé. Si vous arriver à répondre à cette question c’est que vous êtes surdoué pour le mensonge voir presqu’aussi fort que certains enquêteurs chargés des enquêtes sur les tueries du brabant- wallon. Pour moi lorsque que des centaines de procès-verbaux ainsi que des pièces a convictions de premières importances disparaisse des dossier d’enquêtes c’est que l’on a fait disparaitre et qui a par les enquêteurs possède ce pouvoir. Dans le cadre des tueries du brabant wallon et au fil des années l’ensemble des témoins se seront contredit mille et une fois mais les charger d’enquêtes dans le cadre de tueries du brabant acceptent uniquement les dernières déclarations  de témoins… qui ont été manipuler, encourager, mis sous pression psychologiques et surtout travailler et retravailler intellectuellement pour arriver à leur faire dire n’importe quoi et de ce faite parvenir a  faire inculper des innocents appartenant a des couches sociales défavoriser dans un dossier de massacre d’innocent qui en réalité aura simplement et purement orchestré par des puissants personnages d’état au-dessus des lois..
Il est aussi vrai qu’au fur et à mesure des interrogatoires, il peut arriver que des bribes de mémoire vous reviennent, ce qui par parfois a été mon cas et ce malgré les pressions psychologiques et physiques que j’ai subi en prison par l’utilisation d’un régime carcéral extrêmement strict pendant six années d’affilée !                                                                                                
Au fil des interrogatoires les enquêteurs porteront à mon attention que la famille de Robert Eckaert composée d’environ cinq personnes, la grand-mère, sa fille, son concubin ainsi que la grande sœur de Robert, avec son mari (un Policier) ont affirmé que j’étais à leur domicile au moment de la tuerie d’Alost.                                                               Les systèmes d’intimidations utilisées par les services judiciaires à l’encontre des témoins ont été tellement opprimés que plusieurs témoins en ma faveur, ont bien évidemment fini par déclarer autres choses que la vérité, et ce sont contredit plusieurs fois quant à mon emploi du temps du 9 novembre 85.                                                                                                        
Etant donné que pendant trois semaines j’ai eu le droit de consulter mon dossier le 17677/85, celui là même qui me valut 20 ans à la Cour d’Appel de Gand le 30/06/87, j’ai pu y découvrir de nombreux procès verbaux à décharge en relation directe avec les enquêtes sur les tueries du Brabant wallon.
P.V.2495/86 N.L.221 E  blad, Chemise N° 29. Le concubin de la mère de Robert Eckaert, déclare que j’étais chez eux Brusselsesteenweg  N° 222 à Halle, le 9/11/1985 entre 18h3O et 19h.                                                                                                                  
A l’occasion d’un interrogatoire plus détendu que les autres, le commissaire Van-Ries portait à mon attention que l’ensemble de cette famille confirmera ce témoignage, mais avec plus de  précision ou, ils déclaraient sur P.V,  qu’au moment de la tuerie d’Alost le 9 novembre 85, c’est-à-dire entre 19 h 30 et 20 à heures, j’étais présent avec Robert Eckaert, Georges Le Clerck, et Yvette Van Hémelrycke.                                                                                                     Le Commissaire Van-Ries m’apprendra aussi qu’au cours des interrogatoires suivants, certains membres de cette même famille finirent par déclarer qu’ils n’étaient plus sûrs que vers ces heures là, j’étais chez eux.                                                                                           Le Commissaire Van-Ries ne m’a bien sûr pas énuméré quel genre de pressions psychologiques qu’ils avaient exercé sur cette famille, pour qu’elle finisse par donner différentes versions aux enquêteurs.                                                                                                    Au cours de l’enquête menée par l’équipe Delta de Dendermonde, chaque personne impliquée directement ou indirectement dans les faits qui m’ont valu 20 ans le 30 juin 1987, seront de différentes façons, mises sous pression.                                                                          Les moindres faiblesses psychologiques et physiques seront exploitées sans le moindre scrupule par ces enquêteurs.                           Yvette Vanhémelrycke n’ayant pas le sou vaillant sera obligée de parcourir presque chaque jour et à ses frais plus de 27 kilomètres,   pour être présente aux interrogatoires. (Bruxelles-Dendermonde).       J’ai notamment appris que certains enquêteurs lui avaient fait comprendre que si elle ne coopérait pas à l’enquête judiciaire, ils la placeraient sous mandat d’arrêt pour complicité dans une organisation criminelle et qu’à partir de ce moment ils avaient le Pouvoir de faire placer son enfant de 11 ans dans un pensionnat.                     Vous comprendrez aisément qu’Yvette Vanhémelrycke, n’a pas dû réfléchir longtemps pour accepter ce genre de marché malhonnête !  Toutefois il est arrivé que pendant certains interrogatoires, elle fasse preuve de fermeté en rétablissant certains de ces mensonges par la vérité. D’emblée elle sera placée le 05/O1/1987 sous les liens d’un mandat d’arrêt et incarcérée en régime cellulaire strict à la prison de Gand, jusqu’au 09/01/1987. Cinq jours d’incarcération en régime cellulaire strict, pour qu’à nouveau elle redise n’importe quoi ou plutôt ce qu’on voulait lui faire dire.
En lisant le Rapport de la Commission Parlementaire, je découvre dans le  5 éme volume page 116  ( 279 auditions Labar, 2 juin 1997,19-20) :                                                                               « Les magistrats de Charleroi ont clairement fait comprendre à huit clos et en séance publique, qu’ils avaient des doutes non seulement quant à l’honnêteté de l’approche proposée par Troch, - faire croire à des tiers que De Staerke était passé aux aveux alors qu’il n’en était rien - mais aussi quant à l’efficacité de celle-ci.                                                                 Ce dernier point a été formulé comme suit par le Procureur Labar  page (28O) :  « La méthode que vous me présentez avait déjà été éprouvée par Termonde.  Elle n’avait pas abouti, parce que De Staerke Philippe était un mur.  On s’est très vite rendu compte que ce que l’on croyait être une occasion n’en était pas une.                                       De Staerke a très vite dit qu’il n’avait rien à dire et que ce qui importait pour lui, c’était d’aller le plus vite possible en assises.  M, De Staerke Philippe connaissait très bien ses chances d’acquittement et cela lui permettait de lever cette réputation de tueur qui reposait sur ses épaules. » (Fin du passage) Après l’utilisation de méthodes aussi malhonnêtes, il est facile de comprendre comment les enquêteurs de Dendermonde sont parvenus à faire dire n’importe quoi à mes soi-disant complices...                                                                         Sotirios Papadopoulos a affirmé que dans le courant de la soirée     du 9 novembre 85, j’étais passé chez lui muni d’une valise de voyage Samsonite et que son frère Stéréo Papadopoulos, était avec moi.                                                         De façon que vous puissiez mieux cerner l’ineptie de cette accusation je recopie cinq déclarations sur procès verbaux ! 1) P.V. N°10305 éme pages chemises N° 28 B. Dossiers 17677/85. Sotirios Papadopoulos déclare : Je n’ai jamais remarqué quelques choses d’anormal chez Philippe De Staerke.
2) Autre déclaration du même dossier, datée du 19/11/86. Sotirios déclare : Je suis certain que Philippe De Staerke est venu reprendre la valise Samsonite bleue avec les armes et que mon frère n’était pas encore en prison.        
3) P.V. 10907 dossiers Brabant wallon, 33O28/85 du 09/12/86. Sotirios déclare : Que j’ai apporté la valise Samsonite juste après le premier flash d’informations télévisées sur les événements sanglants du 9 novembre 1985 !
4) Dossier 17677/85,P.V. 2325/86, pages 17 et 18, rédigées en langue française, Sotirios Papadopoulos déclare :                                Que son frère  et moi  lui avons rendu visite  dans le courant de la soirée du 9 novembre 1985, juste après la tuerie du Delhaize d’Alost.
5) Apostille 17677/85,P.V. 10156, chemise 28 A pages 37 et 38. Sotirios Papadopoulos déclare : Que jamais, il ne m’a vu en possession d’armes ou de vêtements et  jamais je ne suis venu apporter ou rechercher des choses chez lui. (Etant donné que ces P.V. sont à décharge, ils ont été écartés de l’instruction des tueries du B.W, et directement joints au dossier 17677/85, en relation avec les six attaques à main armée qui m’ont valu 20 ans le 30 juin 1987.)
Papadopoulos Sotirios, comprendra très vite qu’il lui sera nécessaire de céder aux multiples pressions et comme tous les autres il m’accusera de n’importe quoi, n’importe comment pour s’en sortir, faisant-fi d’innombrables contradictions !                                                   Comme tout bon étudiant, il apprendra très vite ses leçons et ses déclarations finiront par coïncider avec la vérité... des dossiers judiciaires.                                                                                                        
En la personne de Sotirios Papadopoulos, l’équipe judiciaire Delta de Dendermonde, mit au point un véritable détonateur suisse, qui allait contribuer à me faire exploser pour ensuite m’enterrer vivant en me faisant condamner à 3x 10 ans de prison ferme le 30 juin 1987, de façon à m’inculper le même jour dans les tueries du Brabant wallon.                                                                                                            
Pourquoi ai-je été identifié par la caissière du Delhaize d’Alost, entre 16 heures et 17 heures le 9 novembre 1985, jour où la tuerie, s’est déroulée.                                                                                                                
Les enquêteurs de Dendermonde avaient entre autres pour mission       de saboter l’enquête de la cellule de Jumet qui à l’époque était sous  la responsabilité des magistrats Schlicker et Lacroix, de façon à blanchir  d’anciens Gendarmes mis en cause dans les tueries du Brabant wallon,  comme Madani Bouhouche, Martial Lekeu, (décédé), Willy Pourtois, homme d’affaire et indicateur de la Sûreté de l’Etat), ainsi que bien d’autres personnages ayant eu une part active dans des services officiels de l’Etat.                                                    
Avant que je ne sois confronté physiquement à cette caissière,                    il aura fallu attendre environ une année après la tuerie d’Alost.                        
J’ai pu apprendre par les enquêteurs qu’avant que je ne sois confronté physiquement à cette caissière, une cassette vidéo ou j’apparais, (prise à mon insu dans un bureau ou j’ai été interrogé) seront présentés sous tous les angles à cette personne.                                     Après une confrontation aussi suspecte que folklorique, il est pour le moins difficile de ne pas crier au sabotage ! C’est cela la Justice Belge et il faut applaudir ses enquêteur qui ont réussie glorieusement a transformer la belle image d’entant de notre police et gendarmerie  en une vulgaire bande de mafiosi.                                      
Déclaration de la fille d’Yvette Van Hémelrijck, Sandra Mertens, onze ans en 1985, tout comme la caissière déclare sur le procès verbal, repris dans le Rapport N° VI .2.2.2.1. pages 120, de la Commission Parlementaire de 1998 :                                                                         La compagne de Philippe De Staerke, Yvette Van Hémelryck             a déclaré que la veille, le vendredi, elle avait fait une première reconnaissance des lieux avec lui.                                                                                                       Sa petite-fille les accompagnait.                                                                                     Ils sont entrés dans le Delhaize, ils ont acheté un pain et l’enfant y a lu des livres, assise dans un coin. Elle lui a demandé à un moment donné : «  Qu’est-ce que tu viens faire ici »  Il a répondu : «  Cela ne vous regarde pas. » Le lendemain, elle a appris par un flash spécial à la télévision qu’il y avait eu une attaque au Delhaize.                                                                                              Mais cette femme avait tellement peur De Staerke qu’elle n’a pas osé mettre sur papier ces déclarations là !
Dans ses premières déclarations sur P.V., Sandra Mertens,                     (Fille de Vanhémelryke) affirme avoir été au Delhaize d’Alost le samedi 9 novembre 1985 après-midi avant 16 heures. Ceci est une contradiction flagrante avec sa deuxième déclaration sur P.V, reprise ci-dessus, par le rapport de la Commission d’enquête et  qui démontre que Mertens et Vanhémelrijcke mentent.  Ce qui signifie que dans un premier temps, Vanhémelrijcke et sa fille affirment avoir été au Delhaize d’Alost le samedi 9 novembre le jour de la tuerie, puis ont changé leurs déclarations pour affirmer qu’elles s’étaient trompées, et que c’était le vendredi 8 novembre 1985.                            Par conséquent la gamine à été obliger de changer ces déclarations car il a été démontré par son emploi du temps qu’il ait matériellement impossible que Sandra Mertens soit allée avec moi au Delhaize d’Alost le 9 novembre 85 Après que ça mère Yvette Vanhémelrycke  et sa gamine   s’aperçoivent du ridicule de leurs mensonges il a fallu des mois pour que la gamine se rétracte  de façon maladroite, en affirmant et en réaffirmant cette fois-ci, que ce n’était pas le samedi 9, mais le vendredi 8 novembre 1985 quel avait été avec moi au Delhaize d’Alost.
YVETTE VANHEMELRIJCKE UNE FEMME QUI A PEUR DE BEAUCOUP DE CHOSE, SAUF DE MOI. Jamais aucune personne dans mon existence, sauf Yvette                    Vanhémelrijcke, m’a fait autant de mal par l’utilisation de mensonges sur procès-verbaux. Cette dernière m’aura mis, mille fois en cause dans les tueries du Brabant wallon et à aucun moment elle n’a eu peur de moi, parce qu’elle sait qu’en réalité, je suis une personne totalement inoffensive, d’une part en raison de mon innocence et aussi par mon incarcération.                                                                                                      Cela été un véritable règlement de compte familial… et l’équipe Delta de Dendermonde, en ont profitées pour souffler les réponses de façon à parvenir à m’impliquer plus catégoriquement…dans les tueries du B.W.                                                                                                          Certaines femmes ou hommes, lorsqu’ils tombent dans la passion de la jalousie ou, la vengeance ou, tout simplement ne supportent plus leur compagnon, soit l’abandonnent, soit le trompent avec un autre homme ou parfois poussent leurs idées jusqu’à l’homicide, ce qui de toute évidence n’a pas été le cas d’Yvette.  Elle a préféré régler ses comptes de la façon la plus lâche. Elle à utiliser ces enquêtes judiciaires malhonnêtes pour anéantir ma vie par le mensonge.         Yvette Vanhémelrijcke, a aussi agi de la sorte car les gendarmes l’ont mise sous pression en la plaçant en cellulaire strict du O5/O1/1987 au O9/O1/87. Yvette Vanhémelrijcke avait aussi dix millions de bonnes raisons de m’accuser : Les grandes surfaces de distribution alimentaire « Delhaize » offrent encore aujourd’hui, une récompense s’élevant à dix millions de francs belges.                                                                                                     Certains individus malfaisants et intéressés par la prime de dix millions de francs affirment, depuis plus quatorze années, détenir des indices ou la vérité sur les tueries.  Pour ce qui me concerne      la vérité je ne la connais pas et pour cause je suis innocent et à la différence de quelques personnalités judiciaires et politiques maladroites et veules, je ne la recherche pas dans l’absurdité et le néant. La justice et le monde politique enquêtent… depuis plus de 25 ans, sans le moindre résultat objective ! Les juges d’instructions et les enquêteurs se succèdent et lorsqu’il tente d’aller vers une piste judiciaire ou politique ils se font directement écarter de l’enquête.
Lorsque leurs investigations approchaient de la vérité : Des dizaines de pièces à convictions et preuves matérielles prouvant mon innocence ont été sabotées et volées dans les dossiers par les enquêteurs. Ce n’est pas moi la putréfaction qui a fait inculpé un innocent pour uniquement protégé les tueurs du Brabant wallon de poursuite et ce, en faisant disparaître des dizaines de preuves matérielles des dossiers d’enquêtes, mais certains membres de la gendarmerie et de la Magistrature.                                         Depuis 25 ans grâce à ces fripouilles et à leurs trahisons multiples les tueurs d’enfants et de femmes courent toujours !                         Il est aujourd’hui incontestable, que certaines personnalités judiciaires et politiques n’ont jamais cessé de manipuler bon nombre de journalistes pour que je sois régulièrement écrasé par le rouleau compresseur du système médiatique au moyens d’articles mensongers et incendiaires, de façon à distraire la population et, par le même coup, protéger les tueurs du Brabant wallon.                         Grâce à ces manœuvres profondément malsaines, quatorze ans après, je suis toujours en prison.                                                               Les parquets concernés par mon…dossier et ma condamnation se sont même opposés à mes congés pénitentiaires et à ma libération conditionnelle.  Depuis plus de 14 années, Ces vautours occupant des postes importants au sein de d’Etat, s’acharnent sur ma personne de façon à justifier et protéger l’image évidente de l’incompétence accouplée à la malhonnêteté de certains gendarmes et personnalités politiques.  
Dans le dossier d’instruction des tueries du Brabant wallon il y a des dizaines de preuves matérielles qui prouvent mon innocence.             Les autorités concernées ne sont pas sans savoir qu’il existe des éléments à décharge d’une valeur incontestable et pourtant avec la plus grande lâcheté elles les tiennent secrètes. Ils savent tous que je suis innocent dans ces faits et malgré cela, personne n’éprouve le plus petit sentiment de honte, de scrupules ou, remords de conscience. Bien au contraire, ils continuent de plus belle à se disputer courageusement pour celui qui me tapera dessus le plus fort !                                               Ce qui est abominable, c’est que certains magistrats ou enquêteurs osent encore s’enrober d’audace en se justifiant lorsque je me défends de leur calomnie pitoyable.                                                                       Ces mêmes personnes appartenant aux systèmes judiciaires et politiques n’ont jamais servi la justice dans les dossiers des tueries, mais ont uniquement engendré des magouilles et des représailles contre moi, en utilisant des méthodes cruelles, dignes des plus grandes organisations criminelles.                        
Au fil des années les systèmes judiciaires belges ne sont parvenus qu’à se traîner dans la pourriture nauséabonde en s’acharnant sur ma personne avec autant de méchanceté et de sadisme. Je suis innocent des massacres des tueries du brabant wallon et continué a s’acharner sur moi c’est simplement protéger les véritables tueurs s du brabant wallon.
Ce sont ces personnalités corrompues qui m’ont toujours poussé dans l’extrême par l’utilisation excessive de méthodes accouplant la torture blanche et parfois physique. ( En 1987-88, j’ai d’ailleurs déposé une plainte en bonne et due forme au Parquet d’Oudenaerde et de Termonde,  pour coups et blessure, sans compter les fois où j’ai été malmené par les gendarmes.                                                        
Mes plaintes en Justice ont toujours été étouffées dans l’œuf.) « Vive la justice belge, a coté de notre système judiciaires Alcapone n’a qu’a bien se tenir car ce n’est plus qu’un enfant de cœur
Des preuves de mes affirmations présentes, je suis en mesure de vous en fournir des dizaines voir des centaines, mais aujourd’hui j’estime qu’ il n’est plus essentiel de vous fournir quoi que se soit, puisque j’ai enfin obtenue un non lieux.
Philippe De Staercke blanchi Article de presse la D-H du (05/04/2002) Non-lieu aujourd'hui pour le dernier inculpé des tueries du Brabant
MONS Aujourd'hui, vendredi 5 avril, il n'y a plus un seul inculpé dans l'affaire dite des Tueries du Brabant. À l'heure où vous lirez ces lignes, la chambre des mises en accusation de la cour d'appel de Mons aura rendu un arrêt de non-lieu dans le dossier ouvert à charge de Philippe De Staerke, confirmant ainsi l'ordonnance de non-lieu rendue le 30 mai dernier par la chambre du conseil de Charleroi. Une partie civile avait fait appel de cette ordonnance, ce qui explique le renvoi en chambre des mises en accusation. Il ne fait aucun doute que le non-lieu sera prononcé. Mais il n'est pas dit qu'on ne parlera plus de ce non-lieu devant une juridiction. Et même la plus haute qui soit puisqu'il est probable, sinon certain, qu'une ou plusieurs parties civiles iront en cassation.
Jusqu'à l'arrêt définitif, Philippe De Staerke ne s'exprimera pas. Il aurait pourtant tant de choses à dire, ce Brabançon flamand, originaire de Leeuw-Saint-Pierre, condamné par ailleurs par la cour d'appel de Gand pour des activités criminelles imputées à sa bande. Ce 5 avril sonnera aussi le glas d'une enquête, fertile en rebondissements certes, mais qui, pour des raisons que l'histoire judiciaire de ce pays aura à éclaircir, n'a jamais pu être conclue. Certes, les enquêteurs de la cellule de Jumet ont obtenu un rabiot du ministre de la Justice: les faits ne seront prescrits finalement qu'en 2005. Mais à notre connaissance, rien de neuf n'est venu alimenter les carnets des enquêteurs. Tout au plus, la justice belge, mauvaise joueuse, a-t-elle réussi à se déconsidérer un peu plus encore en inculpant dans ce dossier tentaculaire un... journaliste flamand, auteur d'un scoop retentissant, et un ex-gendarme soupçonné de l'avoir tuyauté.
Philippe De Staerke qui vit, lui, avec cette fausse réputation de tueur depuis... juin 1987, aura perdu des années de vie. Vous embaucheriez, vous, un ex-taulard officiellement inculpé dans les tueries? Il aura fallu toute l'opiniâtreté de son avocat pour qu'enfin la justice accepte de confirmer officiellement ce que tant d'enquêteurs savent depuis longtemps: aucun élément à charge de M. De Staercke n'a pu se voir confirmé malgré les moyens mis à disposition des enquêteurs.
Philippe De Staerke n'est pas le seul à avoir subi injustement les foudres de la justice. Que dire de la bande des Borains qui, tous, furent acquittés par la cour d'assises de Mons? Le président Jacques Vereecke, aujourd'hui à la retraite, fut le seul magistrat à oser dire tout haut ce que la vraie justice pensait de ceux qui menèrent le dossier borain là où il n'aurait jamais dû être. Que dire aussi des ex-gendarmes Madani Bouhouche, Bob Beijer et Christian Amaury? Si les deux premiers ont été condamnés pour des faits annexes, Amaury fut, lui, acquitté sur toute la ligne. Et pourtant, il a vu sa vie dévastée: plus de travail, plus de famille, la misère noire. Pour rien: victime d'un coup tordu de ses supérieurs, il goûte encore aujourd'hui au plaisir délicat de la revanche de ses ex-collègues. Lesquels sans cesse le noircissent auprès de ses employeurs potentiels, ou, par goût de la plaisanterie, sans doute, lui saisissent ses armes. Philippe Crêteur – D-H
Pour écraser un moustique, certaines personnes possédant le pouvoir de justice ont utilisée contre moi, un rouleau compresseur, et bien évidemment, à la longue, toutes ces manœuvres de malveillance ne peuvent plus passer inaperçues, vis à vis de la population.  
Moi qui suis un individu sain de corps et d’esprit et d’honneur, il m’est impossible d’oublier qu’à cause de quelques fonctionnaires pourries et sadiques, j’ai été contraint de passer plus de six années en régime cellulaire strict, et qu’en plus de cela, plus de 14 années.
J’ai pourtant toujours fait mon possible pour oublier les injustices et les souffrances qui m’ont été infligées, mais à chaque fois certaines personnalités refusent de me laisser vivre tranquillement et libre. Alors je n’ai vraiment plus le choix : à partir de maintenant je vais tenter de me défendre en parfait accord avec nos Lois ou avec mes propres moyens. Il est toutefois vrai que face à ce système judiciaire, je ne fais peut-être pas le poids, mais je vais quand même faire mon petit possible pour me défendre des actes iniques dont je ne cesse de faire les frais.
Je crois que ce n’est plus qu’une petite question de temps pour que la honte et le mépris finissent par retomber sur les responsables de ces actes qui allient l’acharnement et la fourberie contre la vérité dans les tueries du Brabant wallon et ce, aux dépens de ma personne.               Il est une faute grave de sous-estimer et de croire que tous les personnes bien pensantes et intellectuelles sont à la botte du de quelques pouvoir d’état dans l’état.  
En principe, à partir du moment où les médias connaîtront parfaitement l’ensemble des manœuvres malsaines auxquelles ces systèmes judiciaires se prêtent contre la vérité et ma personne, je crois qu’ils les dénonceront à la population.                                           Si certaines personnalités d’Etat n’ont aucune honnêteté, conscience ou principes moraux, je crois encore que ces qualités peuvent se retrouver dans certaines personnes bénéficiant d’un pouvoir indépendant de la Belgique.
Trois commissions parlementaires se sont réunies, en pure perte ! En outre, sur l’ensemble du territoire belge, plusieurs dizaines de personnes ont été exécutées physiquement pour éviter à l’enquête d’aboutir aux tueurs d’état et à la vérité menant aux commanditaires.                     En comptant les exécutions physiques d’individus que la Commission Parlementaire ont découverts et rapporté, avec ceux que je reprends dans mes écrits, l’ensemble des victimes connexes s’élèvent à plus de 25 personnes. Ces crimes de sang n’ont bien évidemment jamais pas été élucidés.                             (Lorsque plus de 50 personnes son assassinées sans qu’un tueur soit arrêté ou jugé, cela signifie que certains services officiels de l’Etat sont derrière ces exécutions physiques.   Aucun civil ou truand  en Belgique ne peut parvenir à tuer plus de 50 personnes sans être arrêté par les forces de l’ordre belges.)
A la lecture de mon ouvrage, il y a de quoi avoir froid dans le dos               et le moins que je puisse écrire, c’est que les autorités de Dendermonde sont de bons magouilleurs sans scrupules, pour être parvenus à manipuler autant d’adultes et une enfant qui m’a toujours détesté par jalousie parce que je lui prenais sa maman en monopolisant la moitié de son temps qui, d’après elle devait lui appartenir.
La Valise Samsonite trafiquée en indice pour innocenter des gendarmes... Une analyse minutieuse a été effectuée sur ma... valise Samsonite, par un très bon Laboratoire belge, pour preuve les résultats seront négatifs. Suivant ces circonstances le commissaire Van Ries (qui comme le très respectable procureur du Roi Deprêtre, veut à tout prix faire croire à la piste des prédateurs) a ordonné une seconde analyse en Angleterre et bien sûr, par un tour de passe-passe Judiciaire les résultats sont miraculeusement devenus positifs. (Ben-voyons !) Lorsque j’écris positif, cela ne signifie pas que le laboratoire en Angleterre ait affirmé que la poudre et l’huile découvertes… dans la valise provenaient des armes ayant servi dans le Brabant wallon.                                                                                      Le laboratoire a relevé des particules de poudre et des parcelles d’huile (servant à huiler les armes à feu dans le monde entier), rien de plus et ce sont les enquêteurs de Termonde et les journalistes véreux et menteurs qui ont fait l’amalgame entre le résultat positif de cette analyse en laboratoire et les résidus de poudre des armes ayant été utilisé dans les tueries du B.W.                                                                                                           Ces fragments de poudre ou cette huile sont strictement similaires à des centaines de millions d’autres !                                                         Ce genre de poudre et d’huile se trouve sur toutes les armes du pays, et à l’occasion des investigations sur tueries du B.W, c’est bien évidement par dizaines que les enquêteurs de Nivelles et de Charleroi, ont eux l’occasions de relever des fragments de poudre et d’huile d’armes chez plusieurs particulier et gendarmes et anciens gendarmes. Les autorités judiciaires francophones n’ont jamais pour- autant lancé un mandat d’inculpation dans les tueries du B.W, sur cette base totalement absurde !                                                                
Cette valise ne prouve strictement rien, si ce n’est mon innocence qui est démontrée matériellement dans le dossier 17677/85, qui m’a valu 20 ans le 30 juin 87, devant la cour d’Appel de Gand. Car cette valise a servi à transporter les armes à feu ayant été utilisé pour les attaques à main armée sans violence physique de la soi-disant bande De Staerke.                                                                                         L’enquête judiciaire de Dendermonde à notamment établi qu’une fois ou deux mes complices… sont allés avec moi dans une carrière, pour tester les armes.                                                                                                          Les enquêteurs ont minutieusement examiné cette carrière, où ils trouveront plusieurs douilles percutées.                                                       Ils ont chargé des experts de les comparer aux douilles retrouvées sur les lieux des tueries du Brabant wallon.                                                                 Le Rapport est repris dans l’apostille N° 35504/85/18.Farde 57,P.V. 2252 : Est revenue négatif pour l’ensemble des affaires qui m’occupe !                                                                                                         Etant donné que ledit rapport d’expertise était négatif, autrement dit à décharge, les enquêteurs de Dendermonde, ont aussitôt écarté ces documents du dossier répressif des tueries du B.W, et l’ont joint au dossier 17677/85, qui m’a valu 20 ans le 30 juin 1987.                                                                                                                                          D’après le peu que je me rappel ou que je crois savoir ; Les armes à feu étaient minutieusement emballées dans des tissus, puis enfermées hermétiquement dans un ou plusieurs sacs en plastique et ensuite mises dans une petite valise en bois placée dans la grande valise Samsonite. Ce qui vient à démonter qu’il soit impossible que la moindre particule de poudre ou trace d’huile ait pu entrer en contact avec le tissu de cette valise.                                                                                           La première analyse en laboratoire l’a prouvé.                                                                     La deuxième analyse, c’est du trucage de Dendermonde.                         A l’époque, j’ai porté plainte au Parquet de Dendermonde, en affirmant que c’était eux, qui avaient déposé des parcelles de poudre ou d’huile dans ma... valise Samsonite.                                                             Pareil pour la douille 38 Spécial non percuté découvert à l’intérieur. Aucune attaque à main armée de ma soi-disant bande condamnée             à Gand le 3O juin 87, n’a été commise à l’aide d’une arme à feu 38 Spécial.                                                                                               Absolument rien d’honnête ne peut justifier la présence de cette douille non percutée dans ma... valise.                                                                                   Dans l’ensemble de ces investigations pourries, qui pourrait encore avoir l’audace de contredire l’objectivité de mes écrits précédents, puisque tout au long des différentes enquêtes menées par plusieurs Parquets du Royaume, des dizaines de pièces à conviction de première importance, des preuves matérielles, des procès-verbaux, et même des dossiers entiers ont disparu comme par enchantement...  Sur plus ou moins 280 objets divers, découverts dans le canal de Ronquières, le tiers de ces pièces à conviction ne sont plus au greffe du tribunal de Charleroi. D’une source judiciaire qui me semble sûre, la fameuse valise Samsonite serait aujourd’hui introuvable.               (Disparue par enchantement ?). Bien sûr, les procès-verbaux où je suis incriminée en relations avec l’histoire de la valise Samsonite, eux n’ont à ma connaissance pas disparue des dossiers.                         Certains gendarmes ont même poussé l’audace jusqu’à changer des pièces d’un pistolet 9mm, ayant eu un lien pendant deux mois avec la tuerie d’Alost.                                                                                              
A partir du moment où des fonctionnaires très respectables se permettent (entre autres) de faire disparaître la carcasse d’un véhicule qui a servi à une attaque des tueurs du Brabant wallon.                 Rien n’est plus facile que de mettre un peu d’huile ou de la poudre dans une valise pour incriminer un pauvre type appartenant de préférence à une catégorie sociale défavorisée.                                                           Lorsque j’entends des magistrats ou enquêteurs affirmer qu’après les analyses génétiques nous aurons enfin une réponse incontournable, c’est de toute évidence un peu trop simpliste à mon goût, parce que  tout laisse à penser que ces analyses reviendront positives, uniquement pour ceux qui sont morts, et par conséquent ne savent plus se défendre.                                                                                        Pour les Services Judiciaires, c’est un jeu d’enfant de changer un vêtement, un cheveu, un mégot ou transformer un mensonge en preuves matérielles, mettant en cause des petits voleurs de poules comme le sont les Borains. De cette façon, l’enquête en direction d’ex - fonctionnaires de la gendarmerie et de l’Etat, les verront à tout jamais lavés de tout soupçon. Je suis certains qu’un jour les enquêteurs des tueries du brabant relanceront la machine a inculpé des pauvres bougres pour encore faire croire a la piste des PREDATEURS. Jamais au grand jamais les plus hautes autorités du pays pourront admettre que derrière les tueries du brabant wallon se cache le pouvoir de l’état. Les tueries du brabant wallon sont politiques.                                                                 Même si, à ce jour, j’ai reçu en 2002 un non lieu devant la Cour de Cassation de Bruxelles dans ces histoires politiques et judiciaires, je n’en reste pas moins le seul et unique inculpé dans la tuerie du Delhaize d’Alost. Au Total j’aurais reçu trois Non-Lieu consécutive de notre Dame Justice.
Ce qui me donne le droit d’affirmer sur la base d’actes officiels, que se sont des gens spéciaux et ultra spéciaux et certains membres appartiennent a des organisme officielles, qui ont mis sur pieds la logistique et l’action sanglante qui a touché notre pays dans les années 82 et 85.  J’affirme sur la base de preuves matérielles, que se sont des enquêteurs qui ont fait disparaître des dizaines de procès verbaux et éléments physiques de l’enquête. Qui a part une certaine catégorie d’inspecteur possédaient les pièces a convictions et preuves qui ont été volatilisé  
Au cours des différentes enquêtes judiciaires sur les tueries du B.W, des dizaines de pièces à conviction de première importance en ma faveur et à charge de plusieurs ex- gendarmes, ont disparu parce que les plus hauts sommets des structures répressives de l’Etat, sont impliqués dans ces actes sanglants... Il n’est pas nécessaire de porter le nom d’Einstein pour comprendre qu’un et deux, font trois.
Il est paradoxal et malsain que se soient les services de la gendarmerie qui aient hérité des dossiers des tueries du B.W, alors que depuis le début des enquêtes certains d’entre eux, sont à juste titre mis en cause dans des manipulations diverses. (Manifestement dans ces affaires des tueries du B.W, ils sont Juge et partie !)                                                                                              
Lorsqu’un homme est poussé dans ses derniers retranchements, il peut réagir de façon imprévisible à la manière d’un kamikaze!
Au cours des enquêtes judiciaires à Dendermonde, j’ai été plongé dans différentes magouilles qui ont fait de moi un kamikaze… ce qui m’a entraîné dans une grève de la faim totale du 07 juin au 20 juillet 1988, soit 44 jours en isolement à l’hôpital C.M.C, de la prison de St Gilles pour obtenir une piqûre de Penthotal (sérum de vérité) afin de prouver mon innocence dans la tuerie du Delhaize d’Alost.
De nombreuses informations médiatiques laissent entendre qu’en Allemagne, ce système infaillible avait été utilisé secrètement… sur certains membres de la bande à Bader, ainsi qu’en en Italie, sur plusieurs membres peu loquaces des Brigades Rouges.
Malheureusement pour moi, en Belgique, les autorités compétentes refusent catégoriquement d’utiliser les mêmes moyens, soi-disant parce que c’est interdit par la loi. En attendant, une innocente victime croupit en prison depuis 15 ans.
Sont interdits par la loi ! :                                                                              
1) L’usage de tables téléphoniques (Zoller) sans l’accord d’un magistrat.                                              
2) Exercer des pressions de chantage sur des témoins ou des supposés coupables des tueries pour qu’ils disent le contraire de la vérité !
3) Inculper un innocent du chef des tueries du Brabant wallon, pour protéger de hautes personnalités de tout bord ..
4) Donner une copie complète et gratuite du dossier judiciaire des tueries du Brabant wallon à un avocat défendant les parties civiles, c’est certes honorable, mais ce n’est pas très régulier, parce qu’à partir du moment où mon avocat ne peut en recevoir une, c’est une atteinte caractérisée aux droits de la défense.
5) Ils ont fait disparaître des pièces à conviction de première importance dans les affaires des tueries du B.W.
6) Envoyer des tueurs dans le Brabant wallon, où 28 personnes seront assassinées et des dizaines grièvement blessées !
7) Laisser assassiner nos para-commandos au Rwanda.
8) Commanditer l’assassinat de l’ex ministre d’Etat, André Cools. ‘’Suicider’’ Paul Latinus ainsi que Louvaers Vincent et faire exécuter quinze autres personnes possédant des informations vitales dans les affaires des tueries du Brabant wallon.
9) S’adonner à des relations sexuelles de 7 a 77 ans. Détourner et voler des millions de francs aux contribuables sans encourir de sanction : (Eurosytem le 20/07/79), (Westhoek 1979), (OCASC année 1970), (Bayet-Boschloos 05/08/1982), (Mutuel décembre 1983), (Prêt à porter en 1985), (Les 144.000 obus en 1985), (l’affaire Van De Voorde en 1986), (Kirschen Beelen en 1986), (Transnuklear date ?), (Les Cabarets, date ?), (INIEX date ?), (L’affaire Guy Lalot 20 octobre 1989), (l’affaire des Plans de Secteur en 1981).                                                                                              
10) L’ensemble de ces magouilles son aussi interdites par la loi !                     Cela n’a jamais empêché quelle se répètent impunément au vu et au su de tous.
Pourquoi, cinq ans après mon inculpation dans les tueries du Brabant wallon, me suis-je accusé en affirmant  sans apporter le plus petit détail que la Gendarmerie et d’autres Services officiels de l’Etat étaient mes commanditaires ?
Mes aveux m’ont été extorqués sous la torture blanche ceci-dit, il ait aussi vrais que j’ai aussi agis de la sorte par tactique intelligentes de défense !
A partir du moment où j’ai compris que la seule façon de me faire entendre en dénonçant toute ses magouilles de certains Services officielles de l’Etat et aussi de faire de mon combat une pierre deux coups pour bien évidement tenter de sortir de prison dans des temps humainement raisonnables, j’ai agi de la sorte de façon à être envoyé devant une Cour de Justice,  car c’était pour moi la seule manière d’en finir une fois pour toutes avec les tortures psychologiques qui m’étaient infligées 24h sur 24 dans différentes prisons du pays.                                                                      
Je me défendais enfin en répondants au piège machiavélique tendu par certains services de l’Etat et ce, pour parvenir à les piégés, j’ai toujours usé de leurs propres méthodes sournoise. Lorsque le 13 mars 1991, j’ai commencé à semer la confusion par mes aveux très calculée… c’était  notamment dans l’espoir que des politiques, magistrats et enquêteurs compétents se penchent objectivement sur mon affaire et sur mon cas !                                                                              Je n’avais plus d’autre choix car, tant que je j’étais inculpé dans ces faits sanglants, je ne pouvais bénéficier d’aucune grâce Royale ou libération, même conditionnelle. C’est pourquoi j’ai joué la carte du kamikaze en faisant des aveux non circonstanciés.  J’ai construit ces aveux… en m’inspirant de quelques articles de presse.                                                                             J’étais à bout de forces… et ne pouvais par conséquent, plus subir les régimes carcéraux épouvantables et cela a marcher car du jour au lendemain mon régime carcéral répressif aura disparu.
Les tortures psychologiques auxquelles j’ai été soumis ont bien failli me pousser à mettre fin à mes jours.                                  
Le régime cellulaire strict, quand il dure des années, est en effet un outil répressif terrible, qui peut éventuellement conduire un être humain à l‘autodestruction.                                                                                              
Je suis profondément certain, que si je n’avais pas choisi d’avouer les tueries du BW,, ceux qui s’occupent de Justices, ne m’auraient jamais entendu et m’auraient laissé intentionnellement mourir au fond d’une cellule.
J’ai  bien évidement aussi avoué pour me protéger et faire de mes aveux mon cheval de batailles. Il ne faudrait pas perdre de vue, que c’est en grande partie grâce à mes aveux intelligent, que le juge Freddy Troch de Dendermonde, aura été dessaisie et cela je l’avais aussi prévu car ce n’était que la suite logique de mes aveux  minutieusement calculée. Il ne faudrait surtout pas perdre de vue, que le plant  de défense pour le moins machiavéliques que j’ai mis en place par mes aveux truqué dans le cadre des attentats sanglant dans le BW ne sont en fait uniquement et simplement le plant machiavéliques que les Enquêteurs de Dendermonde m’auront tendu et ce, dans le seul but de protéger les véritables Tueurs du BW. En conclusion ; je n’aurais qu’utiliser leurs multiples actes tordu pour enfin de compte les retourner  légalement contre les multiples pièges qu’ils auront tenté de me mettre sur le dos. J’estime, que c’est vraiment l’légitime de ma part car de bonne guerre, j’ai combattu le pires coups pourries, par des actions aussi malsaines qu’eux, mais a la grande différence que moi, j’ai fait fonctionner ma malice et logique étroitement assimilé à une intelligence du terrain corrompue, voir minée  que j’aurais parcourue depuis des années d’enquêtes Ou une fois de plus il me semble vraiment nécessaire de le rappeler,  que j’étais seul a défendre mon innocente, contre toute un pays et malgré cet état de faite historique je me serais strictement contenter d’utiliser mon cerveaux et ce, en corroborant uniquement leurs propres investigations machiavéliques puisque truquer de A jusqu’à Z. Pour finir l’incroyable ce produira et ce, comme je l’avais minutieusement prévue je reçu, trois Non-Lieux devant les plus hautes Cour de Justice.
Lorsqu’un soi-disant témoin se dit capable de vous identifier pour un délit qui c’est dérouler plusieurs semaines, mois ou années, il faudrait d’abord  commencer par lui demander ce qu’il a mangé, il y a deux jours ou quelle était la couleur des vêtements qu’ils avait mis le 13 juillet de l’année dernière. Bien sûr, il ne pourra répondre correctement à ce genre de question mais vous identifier formellement 25 ans voir 40 ans après des faits cela les autorités judiciaires l’acceptent. C’est pareil pour tous les autres témoignages, ils sont presque tous en mesures de porter des accusations dingue contre moi, alors que leurs accusations m’impliquants dans une série de crime sanglants ou malheureusement pour eux et heureusement pour moi j’étais incarcérer . Heureusement que le ridicule ne tue pas, parce qu’alors, il n’aurait certainement plus aucuns enquêteurs vivant en Belgique et ce, depuis qu’ils ont inventé les dernières conneries du siècle les interrogatoires de témoins sous hypnoses. C’est vraiment du n’importe quoi. D’autant qu’il y a 25 ans en arrière ce genre de témoins aura fait des déclarations et identification différente de celle établie 25 années plus tard par interrogatoire sous hypnose… C’est totalement aberrant et remplie de magouilles, reconnue par aucun système de loi dans le monde entier et eux nos enquêteurs et Magistrats belges sont capables de faire inculper des gens sur ce genre d’accusation dénué de tout fondement. Ce genre de procéder n’a aucune valeur scientifique. La quasi-totalité des soi-disant témoins qui me chargent dans l’ensemble de ses affaires des Tueries et autres sont catégoriques et sont même capable de dire ce qu’ils ont mangé dix années auparavant à 12h 30. C’est dingue et pourtant les enquêteurs ont toujours pris leurs plaisirs à galvauder ce genre de déclaration servant de témoignages uniquement A charges.
J’appelle cela, fabriqué un   ou des témoins… et des indices de culpabilité. Les portrait robots des Tueries du brabant ressemble à la moitié de la population de la Belgique. C’est vraiment des portraits type et par curiosité je me suis permis de faire des comparaisons avec ces portraits robots sur internet et j’ai trouvé des dizaines de personne ressemblant aux portraits des tueurs du brabant wallon. L’ancien enquêteur des tueries du Brabant Wallon monsieur Devos et l’ex journaliste Guy Bouten ont eux aussi, une ressemblance troublante avec un des portraits robot des tueries alors qu’en réalité ils doivent certainement être innocent !
Il y a alors plusieurs hypothèses de crédibilité à analyser soit nos enquêteurs concernés par ces dossiers pourris sont vraiment sans les moindres scrupules capables aux pires bassesses comme l’enquête la démontrer a maintes reprises qu’aux fil des années l’enquêtes en question aura toujours été dénué de tout fondement du respect de nos lois. Ce qui signifie qu’une fois de plus et obligatoirement la raison d’état prévaudra et d’une manière ou d’une autre ils n’ont plus le choix c’est une réelle nécessitez et doivent trouver très vite des coupables, n’ayant de préférence aucuns moyens de défense, sans intelligence, et sans argent pour se payer de bon Avocat comme l’aura été les Borains et ensuite moi-même. Il ne fait aucun doute, la justice belges est pourrie et à mon sens jamais au grand jamais ils pourront investiguer ouvertement vers les systèmes Judico- politico-militaro, ce qui signifie que jamais les véritables auteurs des tueries du Brabant Wallon pourront- être poursuivie et juger comme il se doit. Des coupables fabriquer de toute pièces, pour une fois je leurs fait confiance et suis certains qu’ils en trouveront avant peu car ils iront une fois de plus, les chercher dans les couches sociales défavoriser.
J’aurais fait, plus de quinze années de prison et les responsables de mon pays, s’opposent toujours à reconnaître leur tords ou plus souvent leurs incompétences, puisqu’ils auront pendant des années contestées formellement ma requête de la violation de l’article -6-devant la Commission européenne à Strabourg.
Ces affaires sont devenues une affaire d’Etat où depuis 1980, tout est mis en œuvre pour que l’on se taisent.   Moi, Philippe De Staerke, je n’ai plus le droit de me payer le luxe de m’écraser, car le silence équivaudrait à accepter l’impensable qui se déroule déjà depuis plus de 40 ans Or je suis bien déterminé à vivre sans plier le dos…et encore moins de me mettre à genoux. De Staerke Philippe, manuscrit inédit,  fini le 13 juillet 2003 et repris en 2022  
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honeyhoundssculpture · 5 years ago
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Vanessa Beecroft 2002 VB45 Performance
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Table and Chair Richard Artschwager 1963-4
sculpture Melamine and wood
object: 755 x 1320 x 952 mm
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Matthew Barney, Cremaster 5 BW
Photography 20x16
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Daniel Buren
Oeuvre(s) associée(s)
On two Levels with two Colours, Mars, 1976, Travail in situ
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Janine Antoni. Lick and Lather, detail, 1993. 7 soap and 7 chocolate self-portrait busts;
24 x 16 x 13
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musicandstuffparis · 5 years ago
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Coming from Wellington, New Zealand : Fat Freddy’s Drop !
Partons loin, très loin de la France, pour atterrir à l’autre bout du monde, au pays de l’ovalie : la Nouvelle-Zélande ! Sur cette île du Pacifique s’est créé ce qui est sans doute son plus grand groupe de musique : Fat Freddy’s Drop (FFD). Du moins à mes yeux, enfin mes oreilles. Wikipedia résume assez bien les styles de ce groupe hors du commun, au son unique : mélange de roots, reggae, jazz, soul voir d’électro.
Composition du “band” Joe Dukie (Dallas Tamaira) : chant Tony Chang (Toby Laing) : cuivres (principalement trompette) Jetlag Johnson (Tehimana Kerr) : guitare Dobie Blaze (Iain Gordon) : claviers DJ Fitchie (Chris Faiumu) : MPC Hopepa (Joe Lindsay) : trombone Chopper Reedz (Scott Towers) : saxophone (depuis 2007)
FFD prend toute sa mesure en Live. Pour avoir été dans un paquet de concerts dans ma vie (j’ai commencé avec Metallica, dans la fosse, à l’hippodrome de Vincennes, vers 16-17 ans pour la petite histoire), ceux de Fat sont les plus … fat, épiques, vibrants auxquels j’ai pu assisté. La « vibe » est unique. Tous leurs albums sont bons quand on les écoute chez soi, prenant quand on écoute les lives dispo à droite et à gauche de la Toile, complètement envoûtant quand on y assiste. C’est simple, on passe 2H à danser, bouger, frissonner, « kiffer notre race » en Live. Il faut le vivre pour le comprendre. Chaque année, avec mon frère et des potes, on ne fait que guetter LE concert de FFD ! (quel fût notre drame quand on a appris le report du concert de novembre pour le printemps prochain, le DJ (Fitchie) ayant un souci de santé).
Pourtant, quand mon frère m’a fait écouter FFD la première fois, j’avais trouvé ça sympa sans plus. Jusqu’à ce concert au Bataclan … et là … c’est simple : en transe pendant 2H ! Je suis sorti du concert en mode « mais … mais … c’était quoi ça ! j’en veux encore ! » Mieux que de la drogue, mieux que du s…., ouais bon peut-être pas !
Leur premier album est sorti en 2001 et est le fruit d’un jam session : Live at the matterhorn. Le premier OP studio, 2005, est Based on a True Story (et pour moi le meilleur). C’est sur cet album que le morceau « mythique » Hope, et qui fait pleurer mon frèrot, est présent. Le groupe reçoit une pléiade de récompense cette année-là aux New Zealand Music Awards.
Ce n’est que 4 ans plus tard, 2009, que sort le deuxième album, Dr. Boondigga and The Big BW. Puis en en 2013 Blackbird. Et enfin Bays en 2015. (sans compter en 2010 un album Live Tomorrow’s Word Tour (Live at the RoundHouse).
Ouais, ils prennent le temps pour sortir leurs albums. Mais vu la qualité … Et puis ils tournent beaucoup à travers le monde. Ces mecs kiffent clairement plus la scène que les studios. On ne plaindra pas vu ce qu’ils proposent en Live !
Le dernier concert enregistré, l’année dernière, est sans doute une oeuvre d’art (et enregistré 1 ou 2 jours après celui au Zénith de Paris auquel j’ai assisté) et dispo sur Facebook
Le prochain album, Kamo Kamo, sort le 6 décembre, et comment décrire mon impatience …
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Liens :
Site du groupe : http://www.fatfreddysdrop.com
Facebook : https://www.facebook.com/fatfreddysdropnz
Twitter : https://twitter.com/fatfreddysdrop1
Instagram : https://www.instagram.com/fatfreddysdropnz/
YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCsLGIbOjsV8TFTco9cL6HHA
Et comment dire que y’a du matos sur YouTube ? 
Bonnes écoutes à toutes et tous !
Ma Playlist
Peace
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montrealjobsx · 5 years ago
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Développeur PHP Junior / Intermédiaire
Adecco Technologie est actuellement à la recherche d'un Développeur PHP Junior / Intermédiaire pour un poste permanent et temps plein situé à Montréal. Le poste à combler est pour une grande entreprise qui oeuvre dans le domaine de l'alimentation. Responsabilités du Développeur PHP Junior / Intermédiaire : o Identifier des solutions fonctionnelles et techniques répondant aux exigences. o Assurer le développement de spécifications fonctionnelles, techniques et opérationnelles détaillées pour la livraison des solutions recommandées. o Traduire les exigences des utilisateurs en conception de solutions pour le développement et la mise en oeuvre de solutions de technologie d'entreprise. o Réaliser des revues de conception et de code o Fournir des connaissances spécialisées sur une architecture particulière. o Coder, tester et analyser des programmes logiciels et des applications. Cela inclut la recherche, la documentation et la modification des logiciels et des spécifications tout au long du cycle de vie du développement du système. o Analyser et modifier les logiciels pour corriger les erreurs. o Créer des plans de test unitaires avec des cas de test détaillés. o Rédiger et tester de manière cohérente des solutions o Participer à la préparation et à la documentation des spécifications du programme. o Développer ou prendre en charge des solutions logicielles dans un environnement de travail / équipe de projet. o Fournir une documentation utilisateur, opérationnelle et système pour la mise en oeuvre. o Aider les développeurs et les analystes commerciaux à conceptualiser et à développer de nouveaux logiciels et systèmes. o Responsable du développement et de la maintenance des standards d'applications informatiques pour la conception, le développement et le support des solutions informatiques Compétences requises pour le poste de Développeur PHP Junior / Intermédiaire : o Diplôme pertinent en informatique o Expérience en génie logiciel et en méthodologies de solutions o Grande capacité d'analyse o 5 ans d'expérience avec WordPress et PHP requis o Expérience avec Azure et les API est préférable o Expérience avec, SAP BW, SAP HANA et / ou AIX ( atout ) o Être apte à examiner les bases de code existantes et les fonctionnalités d'ingénierie inverse o Capacité à mener des recherches sur des problèmes et des produits liés aux logiciels o Expérience avec les méthodologies agiles o De solides compétences en communication o Excellentes compétences en communication écrite et en présentation o Solides compétences interpersonnelles et en leadership d'équipe et éthique de travail o Anglais / français bilingue requis   Vous reconnaissez-vous dans cette description ? Postulez dès maintenant sur ce poste permanent de Développeur PHP Junior / Intermédiaire situé à Montréal en cliquant sur le bouton ''Postuler '' à droite de la page. *Seuls les candidats retenus seront contactés
from RSSMix.com Mix ID 8136582 https://ift.tt/32hyHWo via RSSMix.com Mix ID 8136582> Développeur PHP Junior / Intermédiaire
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micaramel · 6 years ago
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Artists: Los Carpinteros
Venue: KOW, Berlin
Exhibition Title: El Otro, El Mismo / The Other, The Same
Date: April 28 – July 21, 2018
Click here to view slideshow
Los Carpinteros, trailer for Comodato, 2018, single channel 2K video projection, color, sound, 22 minutes 36 seconds
Full gallery of images, video, press release and link available after the jump.
Images:
Video:
Los Carpinteros, trailer for Retráctil, 2018, single channel HD video projection, BW, sound, 17 minutes 6 seconds
Images and video courtesy of KOW, Berlin
Press Release:
The social utopias of the nineteenth and twentieth centuries have not become reality, but they have not failed, either. They have been bent out of shape, which opens the prospect that they could be bent back. Since 1992, Los Carpinteros—Dagoberto Rodriguez Sánchez and Marco Castillo Valdes—have made art that registers the changes in Cuban society: the disappointment and frustration that the fresh start into a life of greater solidarity has come to naught. Yet their oeuvre preserves that original impulse and deliberates its forms. Los Carpinteros are the chroniclers of a socialist deformation who also point out that it remains to be seen where history will lead. This, their first solo exhibition in a German gallery, was produced in Havana and Madrid over the past several months. It assembles three recent films, a major sculpture, and new watercolors. Let’s start with the films, on view in the gallery’s basement space.
A slaughterhouse: Goats’ throats are slashed, the floor is flooded with blood, piles of steaming entrails sit in garbage cans. Carcasses are hoisted away, then the cleaners move in. The group gathers and a man steps up to deliver a speech. By its end, he will have ruined himself and destroyed his listeners’ trust. Retráctil (2018) retells a turning point in Cuban history, transplanting it into a different setting. In 1971, the secret service pressured the influential poet and critical intellectual Heberto Padilla into making a false confession and denouncing his own ideas. His humiliation and subsequent arrest led many intellectuals to lose faith in the revolution and break solidarity with the Castro regime. Employing a brilliant black-and-white aesthetic, Los Carpinteros reenact Padilla’s forced self-incrimination—the recording has never been made public—as a purge of undesirable elements to recapitulate the resulting shock it meant for the evolution of Cuban society.
Comodato (2018) is a voyage of observation through the scenes of Cubans’ private lives. An unbroken shot passes through the twelve rooms of one house. Sumptuous interiors decked out in the accoutrements of wealth give way to more modest and finally humble dwellings. The shift from the living conditions at the top end of Cuba’s social scale to those at the bottom is so gradual as to be almost imperceptible, until the discrepancy becomes increasingly unmistakable. The film refutes the myth that Cuban society knows no class distinctions—and yet its story is not one of division into rich and poor. It is all too conspicuous that each interior is the other’s equal in its distinctive dignity and beauty; the ways in which people make themselves at home are too similar; the continuity of a social sphere with its rising and declining resources too salient in this one environment.
Pellejo (2013) is a similar stretch of physically impossible filmic continuity. A simple interior furnished with hardly more than a bed is where life, as sex, plays out. During the intimate act, the lovers age by years and decades. Time passes, has already passed, in desire, in touch, in the couple whose future lies in the past, in the blink of an eye.
On the gallery’s ground floor, an architecture of Moroccan-made clay tiles is as plausible and artful as it is without function. Celosía Marroquí (2018) hints at a core idea underlying Los Carpinteros’ oeuvre. The two artists and their circle of collaborators and assistants work under the moniker “The Carpenters” for good reason; the label emphasizes manual craftsmanship, signaling their rejection of the lofty idea of creati- on associated with other conceptions of what artists do. It also aligns their work with a tradition of experience—in existing socialism and beyond—in which one makes with one’s own hands what one cannot buy for money. Skilled manual labor is a means of production in the hands of the many, whether they pitch in out of solidarity or economic deprivation. The group’s pseudonym is a programmatic reminder that social reality is a material process; visions of a different society are a matter of doing, rather than of pure imagination. The tiles as a universal building staple exemplify the idea of construction in Los Carpinteros’ art, highlighting the work of creative social and material-making that remains to be done.
It may be noted that this implies deliberate opposition to the Duchampian readymade, that work-idea straight off well-stocked department-store shelves on which the inventory is not just always already ready-to-use but, more importantly, devoid of all potential for change. We do not fuss with or modify readymades. They embody a determinism of immutability. The 15-foot-wide watercolor Ceiba I (2018), too, gets its iconography from the capitalist supermarket shelf, but the product of choice is one whose purport and function is perpetual transformation: Lego bricks. In the depiction, they model one of the numerous new school buildings built in rural Cuba in the 1970s and 1980s—the places where the socialist community would be forged. Many of them are now empty ruins, monuments to the failed dream of education for everyone. Transposed into a Lego world, however, the structure remains an object of play; the egalitarian vision is a project capable of being remodeled, since all building blocks in play can still be moved around.
Forms of progressive modernist Cuban public architecture are a constant in Los Carpinteros’ oeuvre. In watercolors such as Espuma Cúbica cuatro, Díptico (2016), they return as fantastic creations; unburdened by any intended use or the physical realities of construction, functionally and materially weightless, they look like the spaceships of a futuristic art of engineering. These are not blueprints for an architectural vision but rather embody the visionary principle itself. And yet the utopia in the picture speaks in the language of the feasible. Brick was set upon brick, brushstroke upon brushstroke. In this image, the built world is will and imaginative presentation minus all the good as well as contrived reasons why it is supposedly impossible. And then, finally, a square of black beans, Gran cuadrado de frijoles negros (2017). Kazimir Malevich famously thought of his 1915 Black Square on a white background as the utopian cornerstone of a revolutionary social order. But the revolutions’ grand formulas brought neither Russia nor Cuba any luck. Los Carpinteros transplant Malevich’s modernist icon back from abstraction into the stuff of which actual living conditions are made. Black beans and rice—the national dish of basic needs tops the menu of everyday Cuban life. It is with this reality, rather than with abstract promises, that the construction of a better and more equal life begins, as Los Carpinteros’ art, abstaining from all pathos and illusionism, reminds us.
Text: Alexander Koch
Translation: Gerrit Jackson
Editing: Kimberly Bradley
Link: Los Carpinteros at KOW
Contemporary Art Daily is produced by Contemporary Art Group, a not-for-profit organization. We rely on our audience to help fund the publication of exhibitions that show up in this RSS feed. Please consider supporting us by making a donation today.
from Contemporary Art Daily http://bit.ly/2IX98zV
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thebadtimewolf · 10 months ago
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go to Pinterest and search: “Celebrity”, “Outfit”, “Quote”, and then “Aesthetic”. Put the first result of each to get your vibe.
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celebrity: sade (sade adu) [additional celeb: fatoumata diawara]
outfit: rose fabric broach with suit jacket and slacks, frilled collar; worn by kelly lebrock [additional suit: ralph lauren worn by linda evangelista]
quote: i wish i wrote the way i thought by benedict smith [additional quote: maybe. forever was a word meant for memories and not people. by james laughlin in the book called the random stories]
aesthetic: the hesitant fiancèe by auguste toulmouche (1866)
tagged by @callsforjustice
tagging: anyone else who wants to do it❣️
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nicoplab · 6 years ago
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B&W 
Leica M6, Trix 400
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pascalouphotos · 8 years ago
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Vestige de l'exposition suisse de 1964 sculpture sur le pacte fédéral Serment des trois suisses oeuvre de witshi Wener ©PascalouPhotos #expo64 #vidy #lausanne #bw_landscape #bw_switzerland #bw #lgerslausanne #sculpture (à Pyramides de Vidy)
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thebadtimewolf · 2 years ago
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a reminder for any of my oc backgrounds for @thebadtimewolf and @themadvigilantist :
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under the cut is unrelated dont look at it
do you know how many poc versions of canon or oc related muses i have seen jumped so many new refurbished accounts that they just straight up deactivated due to the lack of attention? lack of interest? not so much a peep or whisper but the second u put up a billie or david suddenly they appear in troves. so in case ur wondering: yes all of them are poc - @themadvigilantist and @thebadtimewolf were supposed to black.
even now, it is glaringly obvious that because the dr's first face isnt a old yt man but a young black female child and ppl discrediting it by using bad writing as an excuse. it isn't bad writing, u were conditioned to only accept old yt man as default and now that the first default face is actually a black girl (sidebar: who favors the actress that plays disney's ruby bridges which like gosh i mean its been a while! hope shes doing well); suddenly the loud and wrong opinion of toxic fans are suddenly always correct. the dr is canonically a poc now and now? suddenly oh i dont count the timeless child - ncuti is 14 ladadadee i hate being indirectly told that i easily fell into racism even tho i am outwardly not one so its not my fault its the writing. even tho this is coming from the same ppl who are flanderizing tenrose and getting huffy that others see it - find fault in it that actually makes it human than their preconceived notion of conservative/tory human - and call it out for what it is.
i mean gosh i wonder what wouldve happened is sacha doctor was forced to regenerate and he turned to ncuti. no proper bye from 13, no proper last words. i know what the headlines wouldve been because yall predictable just like how yall reacted to martha first apoearence is exactly how yall be reacting that reflects within the rp community. It shows that you are better off watching grass grow and licking plaster off walls.
anyway all this is to say if you dont know how to rp with poc muses you're better off not rping at all. my muses are a walking code switch that stays on because the second its off, everyone goes away.
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thebadtimewolf · 5 months ago
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some ppl's muses are thirst follows, which is that my oc muse over here followed out of thirst but doesn't expect to be perceived.
then i have to remind her the older she gets, the bigger she gets because of her mum's species. she was at 29ft in true height in 2013, now she's 78ft. it's her dad's side that makes her still appearing gallifreyan and 5'5" to everyone else.
she is tiny and simultaneously she is big.
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thebadtimewolf · 1 year ago
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I think about how the vigilante views regeneration in terms of her situation in comparison to those that aren't in the same situation, i.e., the other "homeworlders".
she was borne from her mother yet simultaneously considered loomed due to the shapeshifting nature and height of her mother (who is a whopping 80-90 ft tall alien shapeshifter in size/height/material [organic or otherwise] vs the gallifreyan looms being a mere 12 ft tank to house a person). She has a mother and can also say she doesn't. Shes both documented in the Bureau of Loomographic Records and also they were erased due to events later revealed that 'technically' she was a womb-born despite her mother shapeshifting abilities going down to a molecular level of change. And not just her but siblings as well.
how in turn she could've been considered normal, that this was just a temporary setback if she had been engine-bred - to be a cousin than a sibling. how maybe she should be labeled as an interstitial - a timelord that has iterative regeneration or rather in a regeneration loop - instead of just what she was. What she is. She wasn't mutated by Rassilion but, she was by all of what was given for her situation.
how she could keep going with no end. no hope of a new face with only the memory of what could've been. how many faces has it truly been underneath the same skin, the eyes? do they feel the cold? the internal rotting that lingers? do they feel it while they run about or when they lie still? or is it just her? are there moments when while thinking as they "cooked," there's a moment of appearing like a corpse for a ghostly appearance is far too charitable? do their eyes sometimes instead of glazing over, they briefly fog up in near milky white, those brown eyes or blue or green or gray losing saturation in the stillness of the thought filled silence as their skin lose that warmth of life as the effects of the damage seeps through before blinking and it was like nothing happened? As if it were just a group illusion, trick of the eyes or the light?
how while her daughter is dead, the daughter she never had can do what she couldn't freely. to change face yet chooses the face she has, the unlimited regenerative abilities are still there but, not because of her universe's Gallifrey but, rather what that universe figured out that Rassilion, that Tecteun, that the others could not and that they all died before this daughter was even a thought. that now she was the last of her universe's existence. the only one of her kind. would she be like her? a interstitial? would she be like her brother, sisters, her kind? To regenerate with new face new personality but a stagnant memory of self?
and of the opposite. what if this other daughter becomes like her? stuck with the face of someone she also isn't? doomed to always be compared to the person she never was? how the vigilante has to make hoops to make sure she doesn't go through the same thing she's forever stuck in?
hm.
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