#bucolique
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petitmonsieur1 · 9 months ago
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Agreste
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coulisses-onirisme · 6 months ago
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Onde et ondinisme
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Statue of the goddess Aphrodite bathing in the garden of the Reggia di Caserta, Italy.
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natachavonbraun · 7 months ago
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The Flowers of romance ;-) spéciale dédicace (à PiL et face) : Evening mood
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a-room-of-my-own · 4 months ago
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Le village olympique est entre Saint Ouen et Saint Denis le mystère est pas super mystérieux, allez donc parler aux riverains de leur vie quotidienne 🫣
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philosophie-21 · 8 months ago
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NIA - Fais ton choix : une chanson libertaire pleine de vie
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lafeepoudree · 2 years ago
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Décoration pour chambre d’enfant sur le thème bucolique de l’abeille, des fleurs et des fraises
https://www.lafeepoudree.fr/prenom-decoupe-en-bois/1082-1114-prenom-bois-stylise-plaque-de-porte-abeille-fleur-fraise-rose.html#/70-taille_du_prenom-de_1_a_3_lettres
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galexico-blog · 26 days ago
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Bucolique
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oldsardens · 1 year ago
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Marion Bataillard - Autoportrait en jeune fille bucolique
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orageusealizarine · 8 months ago
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Je voudrais, parfois, que personne d'autre que toi ne lise ce que je t'écris. Paroles perdues, paroles proférées à la nuit : tu es mon grand arbre, tu es mon grand vent, tu es le feu qui brûle et disperse mes paroles tues. Mais tous ces mots ne font-ils pas plus que te dire ? Et n'est-ce pas mon devoir de désigner au monde ta beauté ? (Comme je désigne le ciel et les végétations, amie prise par la main sur le parvis familier pour lui montrer cerisier et tulipes invisibles).
Survivrais-je un monde où ta beauté n'a pas été dite ? Plus que ta beauté - ta ferveur, ta soumission consentie à mes mots et mes mains, ta nudité claire et neutre à louer comme un présage salutaire. Oui, comment vivre dans un monde où s'ignore la générosité de tes paumes ouvertes et offertes ?
Je renonce à l'ignorance coutumière, à l'aveuglement : il faut, par mes paroles, dessiller l’œil solaire - répandre sur toi nos rayons d'or ; t'avoir en pleine lumière - en plein cri de joie : percer yeux et tympans et louer jusqu'aux parties les plus blanches de ton être (les plus fades, les plus inutiles - celles que mes baisers chérissent deux fois plus pour les rendre combles).
Doré par mes mots, par mes prières - par mes avidités et mes songes liquides ; oint de mon désir nouveau-né, tu resplendis. Fleurs de sueur humectées par leur germination, tu fais, pour qui sait sentir, le printemps plus réel. On marche, et la nature brille de tes mémoires : la terre exhalée et humide, crevée tout à coup de mille germes, rappelle ta chair ravinée de caresses. Fléau moite que ce printemps qui gorge les ruisseaux (mois détesté des bergers idéaux, des bucoliques oisivetés), qui te dégorge à son passage - divinité océane que tu contrefais ou concrétises.
Salive solaire ablution, nos doigts, nos ventres, nos cuisses - regards délavés éternels - gaieté, la terre grasse la chair ébranlées à plaisir - tes paupières, rivières sur-emplies, coulures épaisses bordées d'astres : fonte printanière que rien n'entrave. Mais comment dire ton corps ? confondu aux floraisons dans mon langage chimique.
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icariebzh · 10 months ago
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"[...] et la nuit s'élance de l'océan" Virgile -les bucoliques
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natachavonbraun · 8 months ago
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J’ai bien reçu ton SMS ;-) Il nous reste encore des jardins. tous droits (p)réservés.
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philoursmars · 3 months ago
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Marseille, une des deux expos permanentes du MuCEM : "Méditerranées"
Joseph le Guluche - "buste de femme berbère"
Charles Cordier - "Buste de Mauresque d'Alger chantant"
Marius de Buzon - "Bucolique Kabyle"
cape "akhnif" de berger
plat, coupe, etc et crotales "qraqeb" - Algérie, fin XIXe s.
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thebrickinbrick · 6 months ago
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Waiting
DURING those hours of waiting, what did they do? We must needs tell, since this is a matter of history.
While the men made bullets and the women lint, while a large saucepan of melted brass and lead, destined to the bullet-mould smoked over a glowing brazier, while the sentinels watched, weapon in hand, on the barricade, while Enjolras, whom it was impossible to divert, kept an eye on the sentinels,
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Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel, and some others, sought each other out and united as in the most peaceful days of their conversations in their student life, and, in one corner of this wine-shop which had been converted into a casement, a couple of paces distant from the redoubt which they had built, with their carbines loaded and primed resting against the backs of their chairs, these fine young fellows, so close to a supreme hour, began to recite love verses. What verses?
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These:
Vous rappelez-vous notre douce vie, Lorsque nous étions si jeunes tous deux, Et que nous n'avions au cœur d'autre envie Que d'être bien mis et d'être amoureux, Lorsqu'en ajoutant votre age à mon age, Nous ne comptions pas à deux quarante ans, Et que, dans notre humble et petit ménage, Tout, même l'hiver, nous était printemps?
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Beaux jours! Manuel etait fier et sage, Paris s'asseyait à de saints banquets, Foy lançait la foudre, et votre corsage Avait une épingle où je me piquais. Tout vous contemplait. Avocat sans causes, Quand je vous menais au Prado dîner, Vous étiez jolie au point que les roses Me faisaient l'effet de se retourner.
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Je les entendais dire: Est elle belle! Comme elle sent bon! Quels cheveux à fiots Sous son mantelet elle cache une aile, Son bonnet charmant est à peine éclos. J'errais avec toi, pressant ton bras souple. Les passants crovaient que l'amour charmé Avait marié, dans notre heureux couple, Le doux mois d'avril au beau mois de mai.
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Nous vivions cachés, contents, porte close, Dévorant l'amour, bon fruit défendu, Ma bouche n'avait pas dit une chose Que déjà ton cœur avait répondu.
La Sorbonne était l'endroit bucolique Où je t'adorais du soir au matin. C'est ainsi qu'une âme amoureuse applique La carte du Tendre au pays Latin.
O place Maubert! ô place Dauphine! Quand, dans le taudis frais et printanier, Tu tirais ton bas sur ton jambe fine, Je voyais un astre au fond du grenier. J'ai fort lu Platon, mais rien ne m'en reste; Mieux que Malebranche et que Lamennais Tu me démontrais la bonté céleste Avec une fleur que tu me donnais.
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Je t'obéissais, tu m'étais soumise; O grenier doré! te lacer! te voir Aller et venir dès l'aube en chemise, Mirant ton jeune front à ton vieux miroir. Et qui donc pourrait perdre la mémoire De ces temps d'aurore et de firmament, De rubans, de fleurs, de gaze et de moire, Où l'amour bégaye un argot charmant? Nos jardins étaient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais le tasse en japon.
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Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nons avons vendu!
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J'étais mendiant et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds. Dante in folio nous servait de table Pour manger gaîment un cent de marrons. La première fois qu'en mon joyeux bouge Je pris un baiser a ton lèvre en feu, Quand tu t'en allais décoiffée et rouge, Je restai tout pâle et je crus en Dieu! Te rappelles-tu nos bonheurs sans nombre, Et tous ces fichus changés en chiffons? Oh que de soupirs, de nos cœurs pleins d'ombre, Se sont envolés dans les cieux profonds!(1)
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The hour, the spot, these souvenirs of youth recalled, a few stars which began to twinkle in the sky, the funeral repose of those deserted streets, the imminence of the inexorable adventure which was in preparation, gave a pathetic charm to these verses murmured in a low tone in the dusk by Jean Prouvaire, who, as we have said, was a gentle poet.
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In the meantime, a lamp had been lighted in the small barricade, and in the large one, one of those wax torches such as are to be met with on Shrove-Tuesday in front of vehicles loaded with masks, on their way to la Courtille. These torches, as the reader has seen, came from the Faubourg Saint-Antoine.
The torch had been placed in a sort of cage of paving-stones closed on three sides to shelter it from the wind, and disposed in such a fashion that all the light fell on the flag. The street and the barricade remained sunk in gloom, and nothing was to be seen except the red flag formidably illuminated as by an enormous dark-lantern.
This light enhanced the scarlet of the flag, with an indescribable and terrible purple.
(1) Do you remember our sweet life, when we were both so young, and when we had no other desire in our hearts than to be well dressed and in love? When, by adding your age to my age, we could not count forty years between us, and when, in our humble and tiny household, everything was spring to us even in winter. Fair days! Manuel was proud and wise, Paris sat at sacred banquets, Foy launched thunderbolts, and your corsage had a pin on which I pricked myself. Everything gazed upon you. A briefless lawyer, when I took you to the Prado to dine, you were so beautiful that the roses seemed to me to trn round, and I heard them say: Is she not beautiful! How good she smells! What billowing hair! Beneath her mantle she hides a wing. Her charming bonnet is hardly unfolded. I wandered with thee, pressing thy supple arm. The passers-by thought that love bewitched had wedded, in our happy couple, he gentle month of April to the fair month of May. We lived concealed, conent, with closed doors, devouring love, that sweed forbidden fruit. My mouth had not uttered a thing when thy heart had already responded. The Sorbonne was the bucolic spot where I adored thee from eve till morn. 'Tis thus that an amorous soul applies the chart of the Tender to the Latin country. O Place Maubert! O Place Dauphine! When in the fresh spring-like hut thou didst draw thy stocking on thy delicate leg, I saw a star in the depths of the garret. I have read a great deal of Plato, but nothing of it remains by me; better than Malebranche and than Lamennais thou didst demonstrate to me celestial goodness with a flower which thou gavest to me. I obeyed thee, thou didst submit to me; oh gilded garret! to lace thee! to behold thee going and coming from dawn in thy chemise, gazing at thy yourg brow in thine ancient mirror! And who, then, would forego the memory of those days of aurora and the firmament, of flowers, of gauze and of moire. when love stammers a charming slang? Our gardens consisted of a pot of tulips; thou didst mask the window with thy petticoat; I took the earthenware bowl and I gave thee the Japanese cup. And those great misfortunes which made us laugh! Thy cuff scorched, thy boa lost! And that dear portrait of the divine Shakespeare which we sold one evening that we might sup! I was a beggar and thou wert charitable. I kissed thy fresh round arms in haste. A folio Danto served us as a table on which to eat merrily a centime's worth of chestnuts. The first time that. in my joyous den, I snatched a kiss from thy fiery lip, when thou wentest forth, dishevelled and blushing, I turned deathly pale and I believed in God. Dost thou recall our innumerable joys, and all those fichus changed to rags? Oh! what sighs from our hearts full of gloom fluttered forth to the heavenly depths!”
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vedast · 2 years ago
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ballade bucolique.
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artlimited · 6 months ago
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Une vie bucolique by Bruno Blais https://www.artlimited.net/817/art/photographie-une-vie-bucolique-numerique-nature-paysage-aquatique-lac-riviere/en/11769141
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fashionbooksmilano · 10 months ago
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Dards d'art
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Dards d'Art
Mouches, moustiques...Modernitè
catalogue par Michèle Moutashar
Musée Arles, 1999, 198 pages, 20x30cm, Rel. à spirale, ISBN 0982-291, L'ouvrage a la forme d'un papillon
euro 45,00
email if you want to buy [email protected]
Arles, Musée Réattu et Musée Carmarguais, 9 juillet - 10 octobre 1999 organisée par la Ville d'Arles
Chef-lieu des Bouches-du-Rhône, commune la plus étendue de France (elle couvre 75 000 hectares) et, en l'occurrence, capitale des moustiques ­ qui n'ont pas leur pareil pour transformer le plus bucolique des pique-niques en scène de Starship Troopers ­ Arles a temporairement trouvé la solution en localisant au musée Réattu l'exposition «Dards d'art». Sous-titrée «mouches, moustiques" modernité», celle-ci propose un survol panoramique de la rencontre entre le monde des insectes et celui des arts, photo, peinture, vidéo, installation et sculpture confondues. Où l'on observe en effet, à grand renfort de pointures réquisitionnées pour l'occasion (Alechinsky, Calder, Man Ray, Dora Maar, Miró, Annette Messager, Germaine Richier"), que toutes ces petites bestioles rampantes ou volantes sont à peu près autant une source de peurs phobiques pour le vulgum pecus qu'un inépuisable vivier d'inspiration créatrice, circonscrite ici au XXe siècle.
Ce catalogue d'exposition de Michèle Moutashahar (Musée Réattu, Arles, 1999) se présente comme un gros papillon bleu aux ailes repliées. Le dos du livre est constitué de spirales, une fois ouvert, il figure le corps du papillon. Le titre, construit sur un calembour et des allitérations, et la fantaisie de la reliure sont autant d'accroches destinées à piquer la curiosité du lecteur, convié à une rencontre entre l'art contemporain et les insectes.
01/02/24
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