#brieetangonnes
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A seulement 227 jours des élections municipales, pourquoi cette précipitation fiévreuse sur des opérations immobilières manifestement contestées ? D’abord les faits. 1) Les dates officielles des prochaines élections municipales ont été fixées : les 15 et 22 mars 2020. Dans 227 jours. C’est dire la brièveté des délais qui séparent de ces élections. 2) Avec le projet de loi Proximité et Engagement, la Métro sous sa forme actuelle vit ses derniers mois. Les facilités légales pour déstructurer les intercommunalités XXL vont ouvrir un nouveau découpage territorial local. Donc le PLUi, toujours pas adopté par la Métro tout en servant par anticipation de “base légale” à d’actuelles opérations immobilières, sera mis en révision obligatoirement. 3) Il peut y avoir des opérations immobilières consensuelles. Puis il y a des opérations qui créent manifestement la division locale. Pourquoi ne pas attendre 227 jours pour que la démocratie tranche ? Le 8 juillet, nous évoquions le devenir d’un parc sur Seyssinet. Le permis de construire aurait été signé hier ! Sur St Paul de Varces, des permis modificatifs sont contestés. Les recours gracieux sont réceptionnés le 26 juillet. Le jour même du 26 juillet, le maire sortant balaye les moyens juridiques et rejette les recours gracieux. Une journée suffit pour les écarter de façon non motivée sans argument. A Brié et Angonnes, l’opposition municipale se heurte à des campagnes d’une violence considérable sur les réseaux sociaux. A Jarrie, Claix, Varces, Vif ... : la liste des situations identiques pourrait durer longtemps. Quelle serait la situation logique ? Pour des opérations irréversibles de ce type, tenir un
discours d’apaisement et de respect des citoyens en indiquant “le suffrage universel direct tranchera”. Et c’est la nature même de la démocratie que les citoyens tranchent. Une Commune n’appartient pas aux élus. Elle appartient à tous les citoyens qui la composent sans la moindre exception. La situation actuelle totalement inédite à ce point crée une violence qui est particulièrement grave. Au-delà d’enjeux d’urbanisme, c’est désormais un enjeu démocratique d’une importance prioritaire que de telles méthodes.
1er août 2019
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- Grenoble II - #grenoble #landscape #sunset #mountain #outdoors #evening #isere #brieetangonnes #igersgrenoble #paysage #nature (at Brié-et-Angonnes)
#mountain#evening#brieetangonnes#nature#igersgrenoble#isere#sunset#outdoors#grenoble#paysage#landscape
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Ces magazines municipaux qui méritent de faire la Une : pour les élus municipaux du 20 mars 2020, 618 jours se sont écoulés depuis. Pour ceux de juin, près de 520 jours. Il y a donc le temps nécessaire pour apporter des jugements sur des actions. Le 22 octobre, notre équipe avait annoncé ce point d'étape à un an et près de six mois des débuts de mandats au sujet des magazines municipaux. 4 magazines se détachent manifestement. 1) Brié-et-Angonnes : axe éditorial simple : des faits et des photos. C'est très efficace. Graphisme aéré, moderne, frais. Pas de littérature inutile. Des textes concis avec des photos en action. Une remarquable réussite.
2) Corenc : forte périodicité et documentation solide. C'est une revue technique détaillée. Un progrès réel face à l'ancienne édition.
3) St Ismier : probablement le prix de l'esthétisme. Les photos de la première de couverture sont magnifiques. La qualité du crédit photos constitue une indiscutable valeur ajoutée dans une optique de promotion des paysages locaux.
4) Seyssinet : une mention toute particulière pour le guide pratique 2021-2022 : 160 pages avec toutes les informations du quotidien dans un graphisme aéré : une très belle réussite.
Toutes nos félicitations aux
élus de ces Communes : Claude Soullier, Jean Damien Mermillod Blondin, Henri Baile, Guillaume Lissy.
28/11/2021
#Claude Soullier#Jean Damien Mermillod Blondin#Henri Baile#Guillaume Lissy#brieetangonnes#corenc#seyssinetpariset#stismier
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Le climat est malade et les Etats sont-ils en train de "perdre la main" ? La COP26 va se terminer une fois de plus par un constat d'immobilisme. Dans le même temps où les Etats semblent paralysés, que constatons-nous ? La taxonomie européenne prend corps. C'est une logique venue d'outre-atlantique selon laquelle c'est la finance qui va faire bouger les lignes : fonds obligataires dédiés avec fortes bonifications pour des "activités durables" c'est à dire compatibles avec les défis climatiques, conditions diversifiées des assurances ... Et dans le public, l'enjeu semble désormais du côté des Communes de toutes les tailles. Mardi 2 novembre 2021, à Boston, une jeune Maire de 36 ans (Michelle Wu) a été élue. Sa priorité permanente : le climat. Dans l'agglomération grenobloise, des Communes avancent avec des projets de qualité. Brié-et-Angonnes met en place un urbanisme à dimension humaine avec un aménagement public particulièrement esthétique. Dans le Vercors, l'intercommunalité engage un vaste plan de 20 millions d'euros pour lutter contre les réseaux fuyards (donc protéger la ressource en eau) et améliorer le traitement des eaux usées. Dans le Département, les aménagements dans la Matheysine sont une indiscutable réussite avec la valorisation des équipements bois. Le Conseil Départemental conduit une action de très grande qualité. Dans les départements voisins, dans la Drôme, à Bourg-lès-Valence, les bords du Rhône deviennent un espace ludique magnifique avec une revalorisation de ce fleuve.
La Via Rhôna est une réussite fantastique. Et la liste pourrait durer longtemps. Et si finalement la
lutte contre le dérèglement climatique passait désormais par ces deux niveaux : la finance et les collectivités de proximité ?
04/11/2021
#Claude Soullier#BrieEtAngonnes#Vercors#BourgLesValence#Marlène Mourier#Michelle Wu#Matheysine#boston
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#Municipales2020 (6/15) : les batailles du Sud ou la chronique d’un dégagisme annoncé : les élections municipales dans l’agglomération grenobloise répondent classiquement à un rythme très précis. Avant le vote, les pouvoirs sortants sont parés de toutes les qualités par le microcosme local qui cultive son légitimisme apparent. Et après le vote, le succès des nouveaux élus ne devait faire aucun ... doute. Et le système repart comme si de rien n’était. Les deux caricatures de cette mentalité locale ont été Grenoble en 1983 et en 2014. En 1983, Hubert Dubedout était la statue du commandeur. Indéboulonnable. Mais après la défaite, il fallait pas moins de 4 pages pour le magazine Actualité Dauphiné (n°51 avril 83 pages 32 à 36) pour lister les 25 raisons qui rendaient incontournable cette ... défaite. Et toutes les crises niées jusqu’alors étaient passées en revue très méthodiquement. De même en 2014. Pour le moment 2020 n’échappe pas à cette tradition locale. Pour autant, il y a 5 fissures qui méritent l’attention à l’est du sud de l’agglomération grenobloise. 1) Sur Brié et Angonnes, le refus du maire de retourner devant les électeurs après la décision d’annulation de son élection de mars 2014 prononcée par le Tribunal Administratif de Grenoble a donné une “force morale” particulière à son challenger municipal, Claude Soulier. Et les mois qui ont suivi ce refus de clarification démocratique ont creusé le
fossé entre les deux individus. L’explication promet donc d’être très sportive.
2) Sur Jarrie, le maire est l’un des principaux collaborateurs de Christophe Ferrari à la Métro en charge des finances. Avec un tel poste, c’est dire que l’intéressé aura à rendre compte de toutes les décisions de la Métro qu’il a acceptées, soutenues, appliquées. Or, si la Métro était populaire, cela se saurait ... Et face à lui, il aura une jeune candidate qui incarne la nouvelle génération dans l’agglomération, Aline Kozma. Cette ancienne Secrétaire Générale de l’Ordre des Avocats de Grenoble laboure le terrain avec minutie et devrait tout naturellement bénéficier du soutien de La République en Marche dont elle a animé l’une des premières structures locales (Elles Marchent 38).
Et 3) l’originalité du groupe politique ADIS composé par de nombreux élus du sud est de l’agglomération grenobloise. A la Métro, il y a ceux qui font un communiqué de presse dès qu’ils toussent et il y a ceux qui tiennent le pouvoir mais qui ne s’expriment jamais : l’ADIS. L’ADIS est le groupe politique le plus important de la Métro (29 membres). Aucune décision ne peut être prise sans son aval. Et depuis 2014, deux conférences de presse ou la conception de l’élu métropolitain qui doit d’abord être capable de se ... taire.
Pas sûr que, dans les circonstances actuelles de la “Métropole apaisée”, les citoyens acceptent cette logique. 4) La progression de l’insécurité. Selon le récent sondage LCP, sur le plan national, l’insécurité s’est installée en tête des priorités pour les choix des citoyens pour les municipales de 2020. Dans l’agglomération grenobloise, l’une des plus violentes de France, ce sujet occupera bon nombre des choix. Cette géographie hier protégée est aujoud’hui victime de la progression globale de l’insécurité locale 5) Le parti pris d’étalement urbain qui guide le projet de Plan Local d’Urbanisme Intercommunal. Or cette logique non débattue en 2014 est répulsive. Elle suscite des oppositions vives. Et ce dossier va également structurer les votes de 2020.
Avec de tels sujets de mécontentements (Insécurité + étalement urbain), les sortants devront être très solides pour ne pas être ... sortis. Pour tous ces facteurs objectifs, la bataille de l’est du sud de l’agglomération s’annonce très intéressante.
25 août 2018
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Démocratie locale : le réel succès des retransmissions en vidéo live des séances publiques des conseils municipaux : hier soir, pour la première fois, une Commune de plus dans l'agglomération grenobloise retransmettait via YouTube la séance publique du Conseil (Brie-et-Angonnes). Gros succès. En permanence un plancher de 90 spectateurs. Ce qui équivaut à une grosse réunion publique. Et la vidéo va rester en ligne offrant la liberté de visions nouvelles. La Commune du Gua avait vécu ce dispositif sur un autre réseau social : Facebook. Presque toutes les Communes ont vécu ce tournant. Il ne reste que quelques rarissimes Communes allergiques à
cette modernité comme St Paul de Varces mais à constater la dernière séance publique du conseil on comprend vite pourquoi un tel refus de la majorité au sein du conseil ....
20/05/2021
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Démocratie locale : rien ne peut remplacer le live ou la fin d'une forme d'entre soi : la crise sanitaire change de nombreux comportements. Dans le commerce mais aussi dans la vie publique. Un de ces changements : la retransmission en live des séances publiques des conseils municipaux. En dehors de la Métro et de Grenoble, de très nombreuses Communes de toutes tailles pratiquent désormais cette fraîcheur du live. A Seyssinet, séances en direct sur page Facebook de la Commune.
De même à Brié et Angonnes.
De même à Bresson (700 habitants). Pour Eybens, en direct sur YouTube. De même pour Pont de Claix.
Pour Fontaine. Pour Vizille, vidéo en direct via Twitch... Un progrès démocratique incontestable. Il reste malheureusement des poches de résistance par exemple à St Paul de Varces où la municipalité s'obstine à des séances fermées aux citoyens : 21 personnes (19 conseillers + la DGS + la correspondante du Dauphiné Libéré) réunies dans une petite salle de 70 m² (alors qu'à moins de 100 mètres de là est disponible une salle publique de 300 m²!). Et ensuite le fossé absolu entre le "compte rendu" dans le Dauphiné Libéré et la
réalité des débats. Pour cela, il suffit de comparer avec la bande son mise en ligne sur le site d'un membre du Conseil. Et d'un coup, la réalité saute aux yeux ou plutôt à l'oreille. Il y a même des fautes dans le quotidien régional sur des votes intervenus sans compter la mise à l'écart de temps forts. Le live donne de la vitalité à la démocratie locale. C'est une forme saine pour les citoyens de la fin de l'entre soi.
02/04/2021
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#Départementales2021 : J - 120 : Guillaume Lissy et la nouvelle génération PS : la perte de Grenoble en 2014 puis “l’été meurtrier” des législatives 2017 ont été les deux tournants de la quasi-disparition du PS en Isère et dans l’agglomération grenobloise : Avant mars 2014, le PS avait tous les pouvoirs : Grenoble, la Métro, le Département et la Région. Dans une logique implacable des dominos, sa défaite à Grenoble en mars 2014 a précédé la perte du Département puis celle de la Région. Et les législatives ont été une quasi-disparition des députés PS à une exception près : MN Battistel et son suppléant, Guillaume Lissy. Guillaume Lissy a effectué à cette époque un travail de terrain considérable dans le bassin de l’agglomération grenobloise. Ainsi, MN Battistel a su résister à la vague LREM d’alors, ce qui a été une grande surprise. La candidate LR, Sandrine Martin Grand, ne parvenant même pas à se qualifier pour le second tour avec seulement 13, 9 % des voix. Et au printemps 2020, à 42 ans, Guillaume Lissy est devenu maire de Seyssinet, ville détenue par la droite depuis 25 ans. Même campagne, terrain et surtout un candidat hyper sympa. Dans le sud agglo, cette nouvelle génération est par ailleurs représentée par Claude Soullier, société civile et élu LR de la seconde circonscription qui, lui, a gagné la mairie de Brie-et-Angonnes en 2020.
Dans le Sud, la troisième figure de nouvelle génération c’est le maire de Fontaine, Franck Longo. Une nouvelle génération dont les
prises de positions seront déterminantes lors des départementales car elles sont d’abord structurellement une élection entre des personnes par ailleurs déjà élues municipales. Il reste à attendre le résultat du contentieux de Vif.
13/02/2021
#Claude Soullier#Guillaume Lissy#brieetangonnes#seyssinet#Vif#Franck Longo#Fontaine#Karine Maurinaux
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Des Communes péri-urbaines totalement dépassées par la simple gestion de la vie quotidienne : les transferts de compétences à la Métro intervenus dans une opacité totale et avec des rapports de Clect (commission locale d’évaluation des charges transférées) particulièrement superficiels, c’est une pagaille sans nom pour désormais simplement déneiger une Commune. Mardi ce fut déjà le cas. D’où la pagaille aux heures de retour du travail. Ce matin c’est encore pire. En milieu de matinée, des quartiers ou hameaux de Communes n’ont toujours pas vu le moindre chasse-neige. C’est dire les difficultés pour ceux qui devaient se rendre tôt au travail ou pour des soignants de personnes âgées à domicile. Incapables de faire face à ce qui hier était l’une des tâches habituelles. La déresponsabilisation est terrible. L’une des pires Communes ce matin : St Paul de Varces. A 10 heures, le chasse-neige n’était toujours pas passé dans de très nombreux hameaux totalement bloqués. Heureusement quelques Communes échappent à ce constat. Toujours ce matin, nombreux signalements positifs sur la
Commune de Brié-et-Angonnes où le déneignement a été particulièrement efficace.
17/01/2021
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Vers une nouvelle génération de “maires nature” dans la métropole grenobloise : la dé-bétonisation a déjà marqué de gros points positifs le 15 mars 2020. A Brié et Angonnes, Claude Soullier a été élu dans des conditions remarquables et depuis il commence à prendre des mesures modifiant radicalement les engagements de son prédécesseur. Beaucoup d’autres enjeux concernent surtout des Communes en ballottage. Pour rappel, le 15 mars, un nombre inédit d'élus sortants ont été immédiatement réélus. Dans l’agglomération grenobloise, sur 49 Communes composant la Métro, seulement 12 Communes sont en ballottage : Bresson, Echirolles, Eybens, Fontaine, Grenoble, Meylan, St Egrève, St Paul de Varces, Sassenage, Seyssinet, Vif, Vizille. Mais, sur ces 12 Communes, dans 9 cas, le maire sortant est en position très délicate. Dans ces 9 cas, le maire sortant a été un partisan important de la bétonisation. Sur St Paul de Varces, le maire sortant (LR tendance Fillon) a débuté sa campagne sur un énorme couac : il a annoncé une liste Commune face à lui alors même que cette rumeur s’est avérée immédiatement non fondée. Et de plus, il a laissé sur sa page Facebook de candidats des commentaires insultant émanant de comptes anonymes justifiant des réactions de distanciation de la part même d’ex proches qui auraient à cette occasion levé l’anonymat de ces “auteurs” face à des méthodes de ce type qu’ils se refusent de cautionner à ce point ... Sur cette Commune, la seule liste qui défend la nature contre la bétonisation est celle de Denis Bonzy puisque Francis Diaz a été l’auteur de l’opération initiale du Villarey et qu’il n’a toujours pas clarifié les conditions pratiques dont il entourait son nouvel engagement anti-Villarey. Sur Vif, Karine Maurinaux a une grande marge d’avance. Sur Seyssinet, Eybens, Fontaine, Sassenage notamment ce sont des
candidats avec des optiques environnementales entièrement nouvelles qui sont en position de force. Si la crise du Covid-19 n’a pas donné un avantage nouveau significatif aux maires sortants, ces alternances sont de nature à laisser prévoir de fortes modifications dans la prochaines assemblée de la métropole.
07/06/2020
#stpauldevarces#Denis Bonzy#david richard#francis diaz#Karine Maurinaux#commune de vif#Claude Soullier#brieetangonnes
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J - 50 : l’étalement urbain quasi unanimement rejeté dans le péri-urbain : à 50 jours des municipales, deux constats s’imposent manifestement. 1) Les candidats municipaux annoncent quasiment tous vouloir se ré-affirmer face à la Métro. Pour des nouveaux candidats, cela parait assez logique. Pour des élus sortants, l’inflexion est notoire. 2) De façon quasi unanime également, c’est la remise en question de l’étalement urbain. Dans les derniers jours avant le vote du PLUi en décembre 2019, au sein même de la majorité sortante de la Métro, des élus ouvraient un espace nouveau en évoquant publiquement la faculté de révisions annuelles d’OAP en citant même un chiffre très élevé pour de telles révisions. Mais cette annonce de faculté de révisions est passée quasi inaperçue et la contestation en bloc est bien plus frontale. A Claix, l’élection municipale s’annonce comme un référendum sur les 996 logements nouveaux en projet. De même sur
La Tronche, Bresson, Eybens, Gières, Brié-et-Angonnes, Jarrie, Le Gua ... Très peu d’élus sortants s’accrochent désormais à l’étalement urbain qu’ils ont pourtant souvent voté encore très récemment. A noter, l’originalité du maire sortant de St Paul de Varces, mis sérieusement en difficulté dans de nombreux procédures juridiques sur un projet d’affaire immobilière, qui lui défend le caractère irréversible de cet étalement urbain densifié comme celui de la dépossession des Communes par la Métro. Une position fragile car très isolée dans l’agglomération. Les citoyens trancheront le 15 mars.
25/01/2020
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#Municipales2020 : J - 110 : le sud agglo bouge : pour le moment, c’est dans le sud de l’agglomération grenobloise que les idées novatrices prennent corps. A Brié et Angonnes, Claude Soullier vient de mettre en ligne une remarquable vidéo consacrée aux problèmes de circulation (cf ci-dessous). A Echirolles, Fabienne Sarrat multiplie les propositions concrètes fraîches dans ce bastion du PCF. A Le Pont de Claix, Thomas Ditrani fait de même face à Christophe Ferrari.
A St Paul de Varces, l’équipe “vivre à St Paul de Varces” détaille chaque jour un engagement précis prioritaire et ce depuis plusieurs jours déjà.
Sur Grenoble, la liste de la société civile conduite par Alain Carignon a déjà présenté un programme très détaillé de réformes importantes. Mais pour l’instant, le débat global tarde à prendre car les élus sortants s’organisent pour limiter au maximum le champ des débats. C’est une tactique politicienne qui est d’ailleurs très peu respectueuse des citoyens comme si une élection était une simple étape administrative. A constater les réactions sur le terrain, les citoyens souhaitent que les débats de fond s’engagent pour de
bon. Au moment où par ailleurs, dans la foulée des “révélations” (vraies ou fausses ?) effectuées dans le quotidien régional dimanche dernier, les confidences se multiplient tout particulièrement sur des conditions de fonctionnement de la Métro (la bataille des étages) ou de désignation de candidats dans telle ou telle Commune (les récusés du mercato ...)... Les “Gorges Profondes” pourraient beaucoup animer la campagne au rythme actuel des “confidences” qui circulent.
26 novembre 2019
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#Municipales2020#brieetangonnes#lepontdeclaix#Echirolles#St Paul de Varces#Claude Soullier#Thomas Ditrani#Denis Bonzy#Fabienne Sarrat#Alain Carignon#Grenoble
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Quand prendront fin les microclimats d’Echirolles et de La Tronche ...? C’est l’un des mystères de la géopolitique locale. Que peut-il se passer à Echirolles quand un élu du sud agglo se rend de sa Commune au siège de la Métro à Grenoble ? De même pour La Tronche sur le passage entre les Communes du Bas Grésivaudan et Grenoble ? Quand l’élu métropolitain part de sa Commune, il est plein de “bonnes intentions”. Mais arrivé à Grenoble, il les a perdues. Il peut les retrouver au retour sur sa Commune. Le débat sur les fermetures des déchetteries de proximité a été dernièrement une caricature de ces évolutions. A Grenoble, lors du vote solennel sur les fermetures des déchetteries de proximité, pas un seul vote CONTRE. Sur les Communes concernées, au départ, les élus municipaux sortants étaient mobilisés CONTRE. Mais arrivés à Grenoble, c’est fini. Au “pire”, 2 abstentions. Et retour sur les Communes, certains organisent même la pose de banderoles, la distribution de tracts, des réunions publiques colériques CONTRE la fermeture des déchetteries qu’ils ont approuvée à Grenoble... : à quoi tient le microclimat d’Echirolles pour le sud agglo quand la traversée de la Commune d’Echirolles sur le chemin de la Métro peut changer à ce point les individus et leurs opinions ? Certains d’entre eux avaient tellement “retrouvé leurs esprits” qu’ils tentaient d’expliquer qu’à Grenoble s’abstenir c’était en réalité voter ... CONTRE ! C’est dire le niveau du trouble des esprits qui peut exister dans l’enceinte de la Métro. L’un des vrais enjeux de mars 2020 : quand prendront fin ces “microclimats” qui effacent les convictions sur la route de la Métro pour les rendre après sur la route du retour dans les Communes. Le défi majeur pour une
nouvelle génération de candidats. Ce soir, l’un d’entre eux, M. Claude Soullier, probablement l’un des plus solides en convictions durables, tient sa réunion publique de lancement des municipales sur Brié-et-Angonnes.
Ce sera instructif d’écouter ses priorités notamment sur l’intercommunalité. Le jour où les microclimats d’Echirolles et de La Tronche prendront fin, la confiance dans les élus municipaux fera un grand pas en avant. Comme pour tant de parlementaires frappés eux par le microclimat de Macon sur la route de Grenoble sur Paris...
07 novembre 2019
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Brié-et-Angonnes : de la douceur de ses prairies à la violence de ses conseils municipaux : a priori quand on entre sur Brié-et-Angonnes tout prépare à la douceur. Les prairies sont belles, spacieuses. Les montagnes sont proches mais avec de nombreux arbres qui habillent leurs reliefs. L’habitat pavillonnaire est bien réparti. Bref, tout prédispose à l’harmonie d’un village tranquille. Mais dans cette image de carte postale idéale, il y a les ... conseils municipaux. Et là tout change. Hier soir, le Conseil a duré ... 1 minute 30 ! Sur Facebook, une vidéo voit apparaitre M. Claude Soullier, Président du Groupe d’opposition municipale, qui sur un ton très serein et calme commence à interroger tout naturellement le maire de cette Commune sur des faits relatifs à la fête du pain samedi 6 juillet 2019 à 22 heures 30 dans un coin de l’école de Barlatier. Et d’un coup le ton monte. Il s’agit manifestement du maire qui refuse que l’intéressé puisse prendre la parole. Et la 1ère adjointe de façon péremptoire met fin à la séance publique du Conseil, ce que confirme le maire. Durée : 1 minute 30 ! Une interrogation demeure : quels événements ont pu se produire le 6 juillet pour expliquer une telle interdiction d’expression ? De longue date, les relations locales sont “sportives” entre le maire sortant, Bernard Charvet, et le Président de son opposition, Claude Soullier. Bernard Charvet, membre de la majorité de Christophe Ferrari (Groupe Génération.s de Benoit Hamon) à la Métro, est par ailleurs très proche des conseillers départementaux Martin-Grand (LR) et Gimel (LR). Il incarne jusqu’à la caricature ce syndicat des élus sortants capable de trouver des ententes totalement antinomiques a priori sauf si elles servent la capacité à être ... réélu. En face de lui, Claude Soullier marque une réelle rupture face à
de tels comportements. Il co-préside le CSG qui a déjà produit de nombreux documents sur des dossiers clefs pour le devenir de l’agglomération grenobloise, documents restés sans la moindre réponse bien sûr puisqu’il est ici de tradition qu’une initiative à destination de la Métro reste méthodiquement ignorée par cette dernière. Ce qui est sûr, c’est que l’attitude d’hier du maire et de sa première adjointe pose une question plus sérieuse que jamais : qu’est ce qui a bien pu se passer le 6 juillet à 22 heures 30 pour justifier une telle volonté de non-information ?
17 juillet 2019
#brieetangonnes#Claude Soullier#bernard charvet#Sandrine Martin Grand#Pierre Gimel#Christophe Ferrari
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A quand la fin du “Citoyen Bashing” local : l’agglomération grenobloise est entrée dans une étape totalement inédite : le “Citoyen Bashing”. Le mot “bashing” signifie quoi ? Précisément : lynchage, raclée, et plus modérément “dénigrement”. Le “Citoyen bashing” c’est le moment où le citoyen est dénigré parce qu’il a tort. Il a tort de se plaindre de la délinquance parce que la délinquance est la faute de citoyens qui négligent trop le “vivre ensemble”, ce qui pousse le délinquant à exprimer sa haine de la société qui le rejette. Le citoyen a tort de se plaindre des bouchons parce que c’est lui qui les cause en ... prenant sa voiture. L’agglomération sans citoyen donc sans voiture ne subirait pas de ... bouchons. Le citoyen a tort de se plaindre de l’urbanisme densifié parce qu’il ne veut pas partager ses villages ... Et la liste est infinie. ici, le citoyen a maintenant toujours tort. Bon nombre d’équipes municipales de mars 2014 incarnaient “les élus sans le peuple” car issues de scrutins avec des taux records d’abstention. Elles sont devenues “les élus contre le peuple” parce qu’elles passent leur temps à critiquer voire même à insulter le peuple dans la
novlangue locale si prisée par certains. Des caricatures : certains membres très dogmatiques de la liste de Piolle à Grenoble. Ce qui est dans le temps très surprenant comme ils ont pu perdre cette capacité d’auto-dérision qui faisait une partie de leur charme avant qu’ils n’accèdent au pouvoir. Elus contre LE système qu’ils savaient si bien contester, ils n’acceptent pas qu’une contestation puisse être formulée à leur endroit. Terrible paradoxe. Ferrari à Pont de Claix conduisant le Conseil Municipal trouve tort à tous ceux qui ne partagent pas ses choix. Jamais la moindre expression de compréhension pour une seule remarque de son opposition. Richard à St Paul de Varces évacue d’un revers de main les recours gracieux contre un projet immobilier sans même donner la réponse motivée aux griefs pourtant détaillés par des requérants. Des citoyens ne méritent pas d’explications. Et, expédiant si vite les contestataires qu’il se trompe en confondant des recours déposés en mairie avec des recours reçus par envois postaux sous forme de LR avec AR. A Brié-et-Angonnes, le maire sortant a des écrits très sévères face à la moindre contestation. Et la liste pourrait durer longtemps. Ici, les élus ne sont pas “au service des citoyens” mais les “citoyens doivent être au service des élus”, dociles, soumis, laudateurs surtout ... Bref, très éloignés de l’histoire contestataire du Dauphiné de la Journée des ... Tuiles. Peut-être LE vrai contre-sens de fond du mandat qui se termine ?
05 juillet 2019
#La Métro de l'agglomération grenobloise#Eric Piolle#Christophe Ferrari#David Richard#Le Pont de Claix#St Paul de Varces#Grenoble#brieetangonnes
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Dérèglement climatique : les gros problèmes annoncés de longue date sont là désormais ... : hier soir, lourds dégâts dans une partie du sud de l’agglomération grenobloise à l’exemple de la photo ci-dessus extraite de la page Facebook de M. Claude Soullier, Conseiller Municipal de Brié-et-Angonnes. Le dérèglement climatique, c’est quoi ? Pour l'essentiel : toutes les séquences deviennent plus intenses : vents, sécheresses, pluies ... C'est une nouvelle donne majeure. Nos équipements étaient adaptés à des situations moyennes. Ils doivent s'adapter à des situations extrêmes. Une différence considérable. Face aux sécheresses, cela demande de diversifier les sources d'alimentation en eau, de lutter contre les réseaux fuyards pour protéger la ressource captée ... Face aux épisodes de pluies violentes, cela demande un meilleur entretien des berges de rivières pour éviter le danger des barrages naturels, la maintenance des barrages de retenues,l’entretien d‘éviers en bordure de chemins, un examen très attentif des réseaux d’évacuation dont leur calibrage face à l’urbanisation et l’imperméabilisation des sols qui en résulte ... Dans ces constats, il n’y a rien d’exceptionnel. Les techniciens de Météo France ont annoncé toutes les mesures concrètes à prendre depuis un colloque du 20 juillet 2015 (Congrès de Toulouse). Rien n’a été fait dans l’agglomération grenobloise sur les dernières années. L’agglomération se nourrit d’opérations d’auto promo d’élus toujours satisfaits d’eux y compris de leurs
échecs manifestes. Ce syndicat d’élus n’a rien engagé de sérieux face au dérèglement climatique. Bien davantage, dans des Communes péri-urbaines, il bétonne et il bitume soit l’opposé des recommandations pour éviter des quartiers fours invivables l’été et la violence de ruissellements des eaux lors d’épisodes pluvieux violents. L’agglomération grenobloise fonctionne dans une conception à l’antique de la politique : du clientélisme et des jeux (animations, fêtes ...). Cette conception c’est la traduction du mépris qu’ont des élus pour les citoyens. Des citoyens qui sont pourtant souvent en avance sur la classe politique. Hier, ce qui s’est passé à Brié et Angonnes, M. Maurice Cros l’avait annoncé le mercredi 15 mai 2019 lors d’une réunion de travail face aux chantiers menés ces dernières années et aux inactions constatées. C’est le début d’une période très délicate qui est engagée pour des territoires de l’agglomération grenobloise fragilisés par l’impréparation qui a sévi ces dernières années face au dérèglement climatique.
18 juin 2019
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