#bref c’est mon cerisier

[perduedansmatete]

il y a deux vieux qui boivent toujours leur canette de bière sous le cerisier où je fumais mon shit à la sortie du lycée voleurs!!!!

[waitstay]

Lundi confinement #3

Previously dans le coronavirus vu par Juju : votre aimable Juju devait se réadapter à ses parents et réalisait bien tristement qu’à 25 ans on est plus un enfant. Elle se retrouvait également prise dans des querelles de voisinage mais validait finalement le lifestyle confinement.

Lundi : j’ai finis mon mémoire et vous avez vu la joie immense que ça m’a apportée. Such a relieve, je vous explique pas le sentiment de bien-être dans lequel je nage.

Mardi : aujourd’hui c’est l’anniversaire de ma mère et c’est aussi la deuxième année que je L’OUBLIE fort. Pcq je pensais qu’on était dimanche voilà voilà. Aussi j’ai passé mon oral d’anglais par skype. Et bah sachez bien que non seulement je me suis pas habillée pour l’occasion, mais qu’en plus j’ai fait mon truc avec un plaid sur les épaules en buvant un thé, c’était plus un chit chat makeup qu’un oral (mais elle a kiffé j’ai eu 20).

Mercredi : j’ai très mal dormi alors je me suis accordée une journée de flemme, j’ai finis Final Space. Je suis descendue une fois au bout du rouleau, plaid et bouillotte dans les bras pour me faire un thé, ma mère a câblé en me disant des “T’AS DE LA FIEVRE ??????????”. Je lui ai rep “lâchez moi madame, ça devient compliqué à vivre votre addiction au LSD”. Elle a pas rigolé.

Jeudi : sachez que mon père a décidé de poncer toutes les portes de ma maison, et notamment celles des toilettes donc me voilà face à moins d’intimité qu’avant. J’avais pas trop le moral mais grâce à Sophie maintenant j’ai un groupe de rock féminin hypothétique et ça va mieux. 

Vendredi : JE SUIS ALLÉE COURIR ! Première fois en 2 semaines que je met le nez dehors. Bah j’ai croisé une bonne dizaine de vieux ça m’a énervée de dingue, ils étaient là à flâner en couple. On fait ça pour que eux survivent, mais j’pense qu’on va voter à l’unanimité pour que les vieux lâchent un peu prise sur la vie. Après mon cardio que je n’avais pas fait depuis 2 semaines je toussais pas mal pcq ça me décolle les bronches et ça fait du bien. Mais évidemment ma mère “TU ES MALADE ????????”, je lui ai rep “Oui mais j’ai un cancer en fait, t’avais raison j’aurais dû arrêter de fumer plus tôt”. Elle a pas rigolé.

Samedi : J’ai fait pas mal de travaux dans ma chambre, j’ai relogé tous mes livres et tous mes goodies Harry Potter (y’en a beaucoup), j’ai enlevé des étagères et après j’ai phasé sur youtube pendant 4h.

Dimanche : On a changé d’heure et je sais pas pour vous, mais moi je sens que je vieillis quand on change d’heure, ça me jetlag de fou malade. Du coup j’ai des courbatures partout au corps à cause du sport + je suis crevée = j’ai fait un coma une sieste d’1h30 et j’étais pas bien pour le reste de la journée donc finalement j’ai juste rien fait.

Lundi : C’est l’heure des totaux de la semaine.

Le GROS gros gros contre de ma semaine c’est vraiment la notion du temps. Je perds vraiment trop cette notion et c’était déjà pas simple, mais avec le changement d’heure, je suis particulièrement affectée. J’ai écrit ce que j’ai fait samedi/dimanche qu’aujourd’hui et sans blaguer, j’ai l’impression que c’était y’a une semaine. Je dors particulièrement mal, mon sommeil commence à déphaser aussi et je suis hyper fatiguée, pour me motiver à continuer le sport et les révisions c’est une cata. Là où j’avais gagné du temps la première semaine, je reperds tout sur la deuxième. J’arrive pas à dormir le soir, je me réveille toujours très tôt le matin (vers 7/8h) et j’arrive pas à me rendormir donc je suis dans un état de brouillard toute la journée. En plus par chez moi y’a beaucoup de vent et j’ai froid tout le temps.

Le pour de la semaine c’est évidemment mon mémoire, mes notes, mais aussi la fac qui commence enfin à s’organiser et à faire des cours en visio. C’est aussi toute la musique à disposition et le cerisier déjà en fleur que je vois depuis ma fenêtre :’)

Bref, un peu moins convaincue par cette deuxième semaine, mais une fois que j’aurais trouvé comment combattre l’effet du temps + remis mon sommeil bien ça ira mieux. Par ailleurs je vais faire des courses aujourd’hui (j’ai plus de fiches bristol...) donc y’a moyen que les anecdotes marrantes pleuvent dans le recap de la semaine pro. A bientôt pour plus d’info sur ma vie chiante en confinement.

[uneourseaupaysdumatincalme]

Vous allez me détester...

23.04.19

Ça fait un bail n’est-ce pas ?! J’ai l’impression de tout juste sortir de mes exams de mi-trimestre et j’ai du mal à croire que ceux de fin de trimestre sont dans à peine plus de deux semaines. Avec le rythme effréné auquel avancent les cours je n’ai pas eu le temps de dire ouf ! Et comme plus ça va, moins j’ai de temps devant moi pour faire et voir tout ce que je voulais faire ici, même mes rares temps libres sont bien occupés !

Ajouté à la fatigue mentale et à la fatigue visuelle, j’ai du mal à passer beaucoup de temps sur mon pc pour trier mes photos et rédiger des posts, aussi courts soient-ils.

Mais bref, ne perdons pas plus de temps en déblatérations et passons à ce qui est intéressant justement !  

La floraison des cerisiers est déjà achevée. Malgré un temps assez maussade la plupart du temps et des températures en dents de scie, j’en aurais bien profité quand même.

J’ai soigneusement évité d’aller à Yeouido, à savoir LE coin réputé pour sa floraison de cerisier et donc où des milliers de Coréens et touristes vont se compresser comme des sardines pour tenter de faire des selfies romantico niaiseux en arrachant les moindres fleurs à leur portée.

A la place je suis allée à Sindaebang, un parc lambda mais gigantesque à 3 stations de chez moi, où je savais que je ne serais pas déçue.

Les cerisiers du parc étaient très en retard, mais le parc en lui-même offrait néanmoins des panoramas très agréables après toutes ces semaines de froid et d’enfermement. J’étais un peu déçue mais le bête fait de pouvoir entendre des oiseaux rattrapait amplement ma sortie.

Au moment de repartir, j’ai réalisé que de l’autre côté de la rue débouchant sur le métro, il y avait une allée de cerisiers... en pleine explosion.

Je suis donc finalement repartie le cœur en joie avec la perspective de pouvoir revenir pour une deuxième floraison le week-end suivant.

Et je n’ai pas été déçue.

Dans ce parc, il y a une colline entière couverte de cerisiers d’une vingtaine de mètres de haut, le genre de chose qu’on ne trouve vraiment pas partout et lorsque je suis venue pour la seconde fois, ils entamaient tout juste leur défloraison. Il avait plu la veille, il soufflait des bourrasques de vent régulières et le ciel s’est dégagé juste au moment où je suis arrivée au parc.

Il NEIGEAIT littéralement des pétales de fleurs en PERMANENCE. Exactement comme il y a 4 ans…

C’est un lieu vraiment magique pour moi et qui restera parmi mes meilleurs souvenirs de Corée. Je vous laisse découvrir pourquoi avec cette petite vidéo.

Désolée pour la qualité médiocre et l’image qui saute méchamment mais mon portable est un peu à l’agonie et vu qu’il se coupait automatiquement ou refusait carrément de prendre des photos, je suis vraiment contente d’avoir pu sauvegarder ces quelques souvenirs, quelque soit leur qualité.

Dites-vous juste qu’il y avait encore plus de pétales qu’on ne peut en voir sur les vidéos.

Et tout ça sans parler de l’avenue de Nakseongdae non loin de chez moi, entièrement bordée de cerisiers où je suis allée faire mon jogging l’un des rares jours où l’absence relative de pollution le permettait, ou bêtement des cerisiers au pied de mon immeuble qui, étant à l’ombre la plupart de la journée, ont eu une floraison tardive et particulièrement longue par rapport à la moyenne. Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis retrouvée dans un « nuage de papillons blancs » parce qu’une bonne brise soufflait dans les ramures au moment où je passais dessous.

D’autant qu’il y a une chose agréable avec les cerisiers en ville, c’est qu’ils sont éclairés et donc aussi beaux à voir de jour comme de nuit.

Bref, en un mot comme en cent, c’était une fois encore une expérience assez exceptionnelle et inoubliable. ♥

Vous avez le droit de me détester maintenant...

[cyonejp-blog]

Allez, un petit point visite!

Bon, il faut dire que je n’ai pas encore eu le temps de faire grand-chose donc on va dire que c’est un premier aperçu. J’ai passé le weekend à finaliser les détails de mon installation (dont par exemple l’achat d’une carte SIM japonaise pour enfin avoir internet en me déplaçant) et ça a donc limité les visites touristiques. Ce qui est marrant c’est qu’au magasin de téléphonie je suis tombé sur un jeune japonais qui parle et l’anglais et le français (un peu)! Assez improbable comme rencontre quoiqu’on en dise mais toujours amusant. En plus en partant, il m’a invité à venir boire un verre avec lui à un Izakaya (équivalent des pubs en France), je verrai ce que ça donne!

Bref, pour en revenir aux visites, j’ai marché quelques kilomètres et me suis perdu dans les rues (vive les applis GPS sur téléphone pour retrouver le chemin de la maison) mais ça permet de visiter. Constat: il y a du monde. Beaucoup de monde. Et on me dit que c’est la saison la moins touristique... Ce détail à part c’est très sympa, j’ai essayé un quartier traditionnel avec les vieux bâtiments et les temples qu’on peut voir sur les photos, ça fait très japon-esque, non? On peut aussi croiser des gens en kimono dans la rue, mais d’après ma famille d’accueil ce sont des touristes qui louent des kimonos pour la journée et non des “vrais japonais”. Il me reste encore quelques quartiers à visiter à Kyoto, même si de ce que je vois sur internet la meilleure période reste effectivement avril ou octobre pour avoir les plus belles couleurs possibles (cerisiers ou feuilles d’automne) mais ça n’empêche pas de profiter du décor.

または~

[baishayuinjapan]

Hanami - Mont Fuji partie 2

La visite de ce petit village traditionnel terminé, de retour dans la voiture vers le grand lac de Kawaguchi. Un petit détail nous avait titillé en le voyant : de nombreux pédalos à tête de canard naviguaient sur le lac, il fallait bien en faire autant ! Malheureusement pour nous, le vent s’est levé et on essuie un premier refus lors de la location...on se dispute un peu avec lui avant de tenter notre chance chez son concurrent d’à côté qui est visiblement moins à cheval sur les consignes de sécurité. On a même réussi à rigoler en Japonais tant il semblait avare : on lui demandait “tu aimes l’argent?” - “oh oui j’adore l’argent !!” . Bref, nous voilà sur nos pédalos, face au Mont Fuji nuageux et à choper des coups de soleil (et oui, 4 mecs ensemble forcément personne n’a pris de crème solaire)

Le temps est très changeant et le ciel se dégage une fois qu’on termine notre tour ! On part donc en voiture vers l’observatoire Koyodai. La route est mouvementée et arrivée en haut, c’est un couple de vieillards Japonais (chinois?) qui nous accueillent et récoltent l’argent de touristes comme nous pour accéder au toit. La vue valait bien le coup en tout cas, et celle ci doit être encore plus grandiose en automne pendant la saison des momiji vu le nombre d’érables Japonais qu’on voit

Il est 17h30, l’heure pour un petit Onsen! On part à quelques minutes de l’observatoire au Fuji Yurari Onsen qui est très réputé pour sa vue (y a intérêt, car 15 euros pour un Onsen on aura jamais payé autant!). Le ciel est entièrement dégagé, voici un petite photo prise à l’entrée du bâtiment :

Il est bien entendu interdit de prendre son téléphone dans un Onsen public, mais il est possible de trouver des photos sur Google, assez fidèle de ce dont on a été témoins. Nous sommes restés 1h30 à enchainer les bains extérieurs à 45°C face au Mont Fuji, bain d’aromathérapie, bain froid, sauna, hammam, bain bouillonant, bain carbogazeux (à priori chargé en gaz carbonique)...

Une fois sortis de là, on est tous KO ! Les Onsen, ça fatigue et ça creuse l’estomac, bon moment pour un ramen tous les 4 puis direction de AirBnB qu’on a loué pour la nuit à Fujiyoshida! 

Le lendemain est une journée assez spéciale : en terme de tourisme, probablement une des meilleures journées mais que j’aurai passé avec une belle crève, certainement le fait d’avoir enchaîné les bains chauds et froids la veille...je ne suis pas non plus mourant :) Dès le matin, le Fuji se dévoile à notre fenêtre comme on ne l’aura jamais vu! Il se sera dévoilé progressivement le long de notre voyage, et le voilà trônant à notre fenêtre, ou au bout de la route !

On commence donc la journée galvanisés par cette vue et allons vers Arakura Fuji. Cette endroit est mondialement connu pour son point de vue unique présent dans tous les guides, cartes postales et que vous avez forcément vus car c’est l’image supérieure de mon Tumblr lorsque vous le visionnez sur ordinateur (montez plus haut pour voir ;) )

J’ai toujours été fasciné par ce point de vue et impatient de le voir car il représente beaucoup de traits du Japon selon moi : l’histoire religieuse avec sa pagode à 5 niveaux rouge vif, la beauté de la nature avec les cerisiers en fleurs, et le mélange de vénération, de puissance et de calme représenté par le Mont Fuji. 

Visiblement je ne suis pas le seul à vouloir voir cette endroit car on nous annonce une queue de 1h30 pour accéder au point de vue tant attendu : il nous en faudra plus pour reculer, on se lance et ce sera l’occasion de faire quelques belles photos de Fuji et cerisiers pendant l’attente.

L’attente ne durera finalement qu’une heure. C’est plutôt une bonne chose que cette queue existe, car l’accès au point de vue n’est accessible que pour 5 minutes par groupe de 15 personnes, une bonne idée pour permettre d’être tranquille et éviter une énorme foule une fois là haut. Le point de vue est absolument inoubliable, comme sur les photos et me laisse sans voix... on fait tous notre séance photo et en prenons pleins les yeux pendant 5 minutes. La petite pellicule de nuages s’étant formée ne vient même pas gâcher ce moment!

Après quoi, nous repartons en direction de différents sites : le Kitaguchi hongu, un grand temple en bois 

Puis Oshino Hakkai, un autre petit village traditionnel dans lequel un lac dont l’eau provient du Fuji est censé refléter la montagne (raté, il y a des nuages). On plonge nos mains dans la fontaine comme tout le monde (un panneau y invite à prouver notre bravoure face à la froideur de l’eau), et nous dégustons des poissons très frais provenant du lac (vraiment frais, ils bougeaient encore avant d’être passé à la poêle)

On descend vers la mer en direction de Hakone, faisons le tour du 5è lac Yamanaka et nous nous arrêtons à Owakudani, une zone volcanique active contenant des émanations de souffre (ça pue comme il faut) et dont les rivières et sources sont chaudes. 

La spécialité culinaire sont les kuro tamago, littéralement “oeufs noirs” qui sont cuits dans les sources chaudes de la vallée ; la coquille est noircie par le souffre contenu dans ces sources. Une légende locale dit que manger ces oeufs noirs prolongeraient la vie de sept ans, on aura pas fait ce détour pour rien au moins! On mange donc des oeufs durs sur un banc tous les quatre, accompagnés de petits pains à la viande, noirs eux aussi mais sûrement rien à voir avec le souffre. En tout cas ces oeufs n’avaient pas de goûts très marqués!

Après quoi nous allons nous promener à Hakone qui fait figure de ville morte : beaucoup de commerces sont fermés à 19h, on trouve un endroit où manger un bout et retournons à l’hôtel. Pour ma part je ne rêve que d’une chose : mon lit vu mon état maladif que je traine depuis le matin et qui empire!

Après une nuit de plus de 10 heures, je me réveille le lundi matin bien plus frais que la veille! On prend un petit déjeuner à l’hôtel (il ont des Coco Pops!), on part au lac Ashi autour duquel on peut trouver un beau lac et un temple avec Torii flottant sur le lac. On ne verra malheureusement plus le Fuji qui a décidé de bouder sous les nuages.

Aux alentours de midi, on mange aux abords du lac dans un petit restaurant servant entre autres de bons petits poissons fris pêchés dans le lac ainsi que des tenpuras

Pas grand chose de plus à raconter sur ce lundi car 5 heures de route nous attendent jusque Osaka! On arrive de nuit autour de 20 heures, prêts à entamer une semaine de 4 jours au travail avant un nouveau weekend....repos cette fois!

[norellenilia]

Eldarya épisode 19

Originellement publié ici le 18 mars 2018.

Bien le bonjour ! Je suis de retour, pour vous jouer un mauvais tour ! Alors, alors… Qu’est-ce que j’ai à dire sur l’épisode 19 ? Eh bien, cela va peut-être vous surprendre, mais… J’ai bien aimé. EH OUAIS. Je crois que j’ai pas autant apprécié un épisode que depuis le 11, c’est dire. Bon, ben c’est parti mon kiki !

Alors j’avais genre, zéro attente. Mais vraiment, j’ai même pas réfléchi à ce à quoi je m’attendais, en bon comme en mauvais, j’y suis allée les mains dans les poches, métaphoriquement parlant. J’ai utilisé environ 3000 maanas pour l’épisode, plus 200 maanas au début parce que, vous me connaissez, je risquais pas de vouloir passer l’épisode avec Nevra, d’autant plus qu’en lisant quelques posts sur le topic d’annonce, j’avais cru comprendre que ça allait être muy caliente avec l’un des quatre gus pouvant faire fondre nos petits cœurs et/ou humidifier nos sous-vêtements patchwork. Bonus !! (Promis, c’est gratuit) Vous avez toujours rêvé de voir les coulisses de Nore qui découvre les épisodes ? Non ? Eh bien qu’à cela ne tienne, c’est maintenant possible grâce à ces >deux< >vidéos< !! Note : il n’est pas nécessaire de regarder ces vidéos pour apprécier (ou non) cet avis. Les vidéos, c’est juste ma réaction à chaud alors que je joue l’épisode pour la première fois, et ce post est ma réaction après décantation et réflexion plus approfondie, plus recherches sur des choses dont je n’étais pas sûre en jouant.

Comme d’habitude, je demande le résumé. On se retrouve de nouveau avec un simple encadré et non plus des flashbacks comme lors des deux derniers épisodes, du coup après j’ai eu le sentiment d’avoir loupé le résumé lol. Donc bon, ce résumé résume pas trop mal, mais ça reste super vague. Quel baiser ? C’est qui « elle » ? C’est pas grave de donner les noms des persos, vous savez x) Allez, on y croit, un jour vous aurez tous les éléments d’un bon résumé en même temps. Alors après ça se gâte, parce que Purroko débarque, et Purroko, il annonce toujours des trucs un peu foireux. Ah bah ça a pas loupé ! Equipe : *Se foire lamentablement avec ces histoires de CDC à l’épisode 18, entraînant moult incohérences de scénario et mécontentement de la foule* Commu : Pas contents ! Pas contents ! Equipe : Nan mais c’est vous qui avez rien compris à notre schéma, z’êtes bêtes ! Commu : Encore plus pas contents ! Equipe : Bon bah ok payez 200 maanas pour rattraper notre bourde merci bisous Honnêtement, vu le foin que ça a fait, et vu que c’était de votre faute à VOUS, ce changement aurait dû être gratuit. Y’a pas à tergiverser. Perso j’en ai un peu ma claque de payer vos pots cassés, c’est pas de ma faute à MOI si je me suis retrouvée avec Nevra à l’épisode 18 alors que d’une, c’est mon L’o’M le plus bas, tous persos confondus, et de deux, vu qu’il y avait une référence au rendez-vous de l’épisode 17, j’aurais dû me retrouver avec Ezarel, point barre. Bon, après cette introduction peu engageante, commençons l’épisode. C’est la panique, car le QG est secoué de partout. Je décide d’obéir bien sagement à Miiko (pour une fois elle donne un ordre à peu près sensé, autant le suivre) et me réfugie dans la chambre, en me demandant bien où je vais pouvoir me planquer pour me protéger des tremblements. Quand soudain, une voix nous appelle de derrière l’armoire. Nous comprenons que ça vient de… De la cave ?! Alors bon sur le coup je me suis dit wtf, hâte de comprendre ce qui se passe. Nous tombons sur un jeune homme qui, nous l’apprendrons plus tard, est un gars avec du sang de golem, du nom de Tadh. C’est drôle parce que c’est un golem et on l’a trouvé sous un Tadh’rochers.

Retrouvez-moi tous les mardis soirs à la salle des fêtes du village pour des barres de rire !!!

Ce bon vieux Tadh qui doit effectivement avoir la peau dure, car malgré le fait que son bassin et ses jambes aient été ensevelis sous des pierres, il arrive quand même à se relever, à marcher et à grimper des escaliers. Miiko nous gronde parce qu’on s’est aventurée hors de notre chambre, du coup elle nous dit qu’on a qu’à venir aider avec elle, puisque c’est comme ça. J’en déduis donc que j’aurais pu accepter d’aller l’aider dès le début, ça aurait rien changé, à part m’économiser un aller-retour à la cave. Mais nous aurions probablement eu la mort de Tadh sur la conscience, et j’aurais loupé l’occasion de faire une blague nulle. Encore que, si ça se trouve, on y serait allées quand même mdr. EDIT : Ah, on m'a annoncé qu'effectivement ça revient au même et que Jamon nous emmène de force dans la chambre si on veut aider Miiko, j'ai rien dit ! En chemin, Miiko nous gratifie d’un mini-cours sur les golems alors qu’on ferait mieux d’aller voir ce qui se passe, y’a plus urgent. En arrivant aux portes, nous apprenons qu’il y a un problème de bouclier. Ah ça tombe bien, on a connu quelques problèmes de bouclier nous aussi à la Saint Valentin ! Bref, faut refermer les portes du QG pour éviter la panique, tout ça. Alors ok, mais on nous dit que les portes sont des « blocs de marbre… » Mais qui c’est l’imbécile qui a eu l’idée de faire des portes en marbre ?! Le marbre c’est pas du bois ou du métal, ça pèse beaucoup trop lourd pour des portes !! O_o’’ Bon, on se rentre au QG, après une autre secousse inopinée pour que le gars qui nous accompagne (j’ai choisi Eza, faute de grives on mange des merles) nous serre dans ses bras, puis on nous explique que le Cristal est censé protéger le QG des intempéries, en gros. Alors je veux bien, mais je m’interroge quand Ez nous dit « C’est à peine s’il pleut, pour te dire. » Ok mais comment leurs plantes elles poussent ? Un milieu où il pleut pas ou presque il va pas être habitable très longtemps, vous savez. La fantasy c’est cool, mais y’a quelques règles de physique de base à respecter ; à moins que ce soit le Cristal qui produise de l’eau pour faire pousser les plantes par je ne sais quel miracle, on a besoin d’une certaine quantité de pluie lol. Donc ok iels peuvent trouver des trucs dans la forêt machin, en attendant s’il pleut pas le joli cerisier centenaire il va pas être en bon état bien longtemps. Ou alors y’a une armée d’esclaves jardiniers cachée dans les souterrains et ils sont chargés de tout arroser régulièrement je sais pas. Enfin on réalise que le cristal de Naytili, ah bah ouais, peut-être que c’était pas une bonne idée de le remettre avec les autres.

Hihihi la boulette !

D’ailleurs, l’Oracle se manifeste auprès d’Erika. On reparlera plus tard de ses paroles. Erika s’évanouit et se retrouve dans un environnement violet, tout en disant que tout est noir (je suis désolée, je tiens quand même à partager la réaction de ma copine, qui a été « De toute façon ils savent pas faire du vrai noir » mdr). On voit Leiftan, hein, on va pas s’mentir, ou bien un de ses potes qui sait, qui étrangle l’Oracle, puis Erika voit un joli coffre et Hua qui pose ses mains dessus, puis pouf ! Réveil.

Nous sommes à l’infirmerie, et du coup pour moi, c’est un peu gênant, puisque je me retrouve entre Eweleïn et son ex-plan-fesses-oups-j’en-suis-tombée-amoureuse. La scène avec Eza qui fait son romantique je comprends d’où ça sort parce que c’est censé faire suite à l’épisode 18, et par extension au 17 (sachant qu’au 17, bon, la façon dont on choisit le gars avec qui on a rendez-vous je la trouve plutôt hasardeuse), mais bon chez moi ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. J’ai pas de tact alors j’ai parlé ouvertement des sentiments d’Erika pour Ezarel, blabla oui bon c’est gênant, puis on décide d’aller faire le tri dans tout ça, en allant… A la plage. Au moins cette fois on nous dit qu’il faut y aller. En chemin, on croise Chrome et Alajéa qui sont scandalisé-e-s par le fait que Karuto veuille refaire le sol de la cuisine, et que l’argent soit pris sur les salaires des membres. Alors euh ouais, je suis moi aussi du genre à me scandaliser rapidement, m’enfin là les gars ça s’appelle un impôt, ‘fin je veux dire, c’est normal que vous participiez financièrement à la rénovation, c’est votre lieu de vie, calmez-vous les miches. On arrive à la plage, et là c’est magique parce que le PTSD d’Erika s’est envolé d’un coup grâce à Yêu. Désolée j’emploie régulièrement ce terme, mais balancer ce genre de trucs comme ça sans explication c’est juste un magnifique TGCM. Les TGCM de temps en temps c’est pas grave, mais là ils s’accumulent beaucoup trop dans votre histoire, et c’est pas une bonne nouvelle. En général c’est signe de paresse scénaristique, alors si c’est pas l’image que vous voulez qu’on ait de votre travail, va falloir développer plus amplement ce genre de choses. Après c’est là que, je pense, j’ai fait une bêtise. Quand on a le choix entre se dire que nos sentiments pour Ezarel sont l’œuvre de Yêu ou bien que non, nos sentiments sont vrais, j’imagine que c’est ce choix qui détermine si on finit avec le chef de garde ou bien avec Leiftan à la fin de l’épisode quand on a le CDC sur « quelqu’un ». Et comme moi j’ai bêtement zappé que c’était mon cas et vu qu’au début on pouvait choisir qu’entre les trois chef, je pensais que je pourrais pas avoir Leiftan de toute façon, du coup je me suis dit que tant qu’à faire, autant essayer d’avoir l’illu et j’ai choisi de dire que les sentiments étaient vrais (d’ailleurs le fait que juste après Erika dise « euh ouais bon j’ai quand même un faible pour Leiftan lol » c’est pas du tout cohérent). Alors bon c’est de ma faute, hein, c’est dommage, du coup j’hésite à refaire l’épisode mais je vais attendre d’être sûre que c’était là que ça se jouait, et surtout voir si ça influe sur le camp qu’on pourrait choisir, si cette possibilité voit le jour. J’aimerais bien aller avec les méchants, moi :’) EDIT : Bon bah update, j'ai refait l'épisode pour finir avec Leiftan mais à la fin on a pas fricoté :( Je dois pas avoir assez de LoM j'imagine (j'en ai 40). Tant pis, t'façon j'ai fait ça juste pour me rapprocher des méchants, mon vrai CDC c'est Ashkore lol Du coup on a bien réfléchi, on retourne pépouze au QG en croisant Karenn puis Milo et Mery, à qui Erika fait la morale.

On décide de se rendre utile et de participer à une mission de prélèvement de je ne sais pas trop quoi et de vérification de la quantité de maana dans l’air. Et horreur, malheur, faut encore qu’on se coltine Chrome. J’ai l’impression qu’il y a qu’avec lui qu’on peut faire équipe, c’est relou. Et pas seulement parce que je l’aime pas. Et en plus on se fiche de nous en mode « hihi Chrome est censé t’attendre là mais il risque de pas y être, ne perds pas ton sang froid !!! ;) » Les petites piques comme ça c’est pas spécialement nécessaire. En cherchant Chrome, on tombe sur Hua, et si on lui dit qu’on a pas fait exprès de s’évanouir, elle nous reproche d’être agressive alors qu’elle, elle ne l’a pas été. J’ai pas pu m’empêcher de repenser à tous ces posts qu’on accuse régulièrement d’agressivité juste parce qu’ils ne sont pas excessivement bienveillants et dégoulinant de gentillesse mdrrr Bon voilà on fait divers prélèvements, j’ai pas trop compris ce qu’on doit prélever, j’ai pas fait très attention. Par contre, j’ai remarqué que l’appareil utilisé par Chrome possède un écran, du coup je pige pas trop pourquoi iels s’étonnent autant des technologies du monde d’Erika ?

Je comprends rien à leur compréhension de la technologie terrienne.

Et aussi au début de la scène, on nous dit « D’ailleurs je ne crois pas que les membres du QG aient été mis au courant de ce qui s’était passé ce jour-là. » On parle de quoi ? D’Erika qui a touché le Cristal ? Mais c’est dans la même journée ? Ou alors on parle de quand Miiko a mis le morceau corrompu ? Gné ? Précisez, s’il vous plaît ? En tout cas c’était bien parce qu’on nous disait où aller, j’étais bien contente et j’espérais qu’il en serait ainsi tout le long de l’épisode. Ah, tellement de naïveté. Nous retournons à la Salle du Cristal, et là Chrome se met à faire son rapport à Jamon dans un langage plutôt soutenu qui ne lui ressemble absolument pas. Il y a vraiment des problèmes de cohérence dans les tons et le vocabulaire que vos personnages emploient… Soudain, alors que nous sommes près du Cristal, l’Oracle apparaît de nouveau, et Erika est de nouveau frappée. Elle se rappelle alors de son rêve et de la présence de Hua. Et Miiko commence à se dire que ça pue un peu le daemon, en fait. Oh bah ça, alors ! L’Etincelante décide de se réunir, et Erika part réfléchir dans sa chambre, comme d’hab. Et là, elle est atteinte d’une révélation divine : tous ces problèmes qui touchent le QG depuis que le morceau de cristal corrompu a été mis avec les autres… Peut-être… Peut-être que c’est lié ? WOOOOOW bravo c’était pas facile à déduire !!!!!!!!!!! Faut encore que je refasse une vanne sur ses « capacités de déduction » ou bien ? En allant manger, Erika se fait assaillir par Karuto parce qu’il veut impressionner son crush Cif avec sa super cuisine, et Erika ne tilte même pas pourquoi le cuisinier semble aussi impatient de faire goûter ses plats à Cif. Sérieux, elles sont si grandes que ça, ses œillères, ou bien elle est vraiment complètement débile ? Après ce délicieux repas, Erika veut aller se coucher, mais la Salle des Portes est envahie par la foule : Miiko a une annonce à faire.

L’annonce, c’est donc que le Cristal est malade, et qu’on ne sait pas combien de temps il tiendra. Bien sûr, Miiko omet de dire que c’est DE SA FAUUUUUTE parce qu’elle a pas eu l’idée de se dire « HMM, si j’évitais de mettre un bout de cristal corrompu là-dedans ? Ce serait pas très malin, haha ! » Heureusement, il y a une solution !! La fameuse flûte de Hamelin, qu’on avait rapportée à Eel, que Hua est venue exprès pour la récupérer et la mettre en sécurité, que maintenant faut retourner la chercher pour la rapporter à Eel, avant de probablement devoir la rapporter aux fenghuangs après mdr. Après c’est drôle parce que tout le monde applaudit et Erika croit que c’est pour la Garde, mais en fait non c’est pour Hua parce que les gens n’ont pas confiance dans la Garde lol. C’est là qu’on se dit que cette Garde c’est vraiment pas normal qu’elle soit encore en place, en fait. Du coup, Hua veut qu’on la suive à l’autre bout du QG, juste pour nous dire qu’elle voudrait qu’on vienne avec elle au temple, et aussi qu’on y reste, mais surtout elle veut pas de réponse tout de suite lol. Alors j’vous préviens, je vous prends au mot. Si jamais on nous propose de rester avec les fenghuangs, je dis oui sans hésiter une seule fucking seconde (bon sauf si le choix se fait aussi avec Ashkore, j’avoue). Par contre, y’a pas intérêt à ce qu’on nous fasse miroiter ce choix alléchant pour ensuite nous dire « LOL tu peux pas en fait. » Vraiment. Si vous nous laissez un choix, assumez-le jusqu’au bout et nous le retirez pas au dernier moment.

I’m watching you.

Ensuite on va aider aux cuisines, puis on va préparer nos affaires. Au début j’ai loupé le kit de secours, parce que comme Eweleïn me dit « oui vas-y y’en a sers-toi » moi je croyais que c’était bon mdr. Mais nan fallait rentrer dans l’infirmerie, il aurait fallu que le dialogue y soit directement, en précisant qu’on toque à la porte puisque l’infirmerie est censée être fermée pour d’obscures raisons, ou alors que dans le dialogue on nous dise « oui vas-y tu peux aller dans l’infirmerie le chercher » ou je sais pas quoi. J’ai croisé Valkyon en allant à ma chambre, et voilà une nouvelle preuve que vous devez pas consigner tous les éléments d’intrigue… On se retrouve à demander à Valkyon s’il a déjà été au temple… Bah oui, c’était la mission des chefs dans l’épisode 10 ._. Pareil, juste après il dit qu’ils iront pas tous les trois là-bas, parce qu’ils veulent pas les envoyer tous les trois en même temps, sécurité machin… Hello, ils étaient déjà partis tous les trois ensemble pour cette même mission de l’épisode 10 !!! Relisez vos scénars ! Et qu’on ne vienne pas me dire que cette fois c’est pour une question de sécurité, à ce moment-là c’était juste après Yvoni et y’avait un couvre-feu qui avait, à l’époque, été qualifié de mesure extrême >_> On a presque une scène romantique avant qu’Ykhar nous interrompe, on a Chrome qui nous annonce qu’il a été personnellement recommandé par Leiftan (lol), puis faut qu’on aille se détendre dans les jardins, en en faisant à peu près 36 fois le tour avant d’avoir croisé enfin tout le monde. Le lendemain, on s’en va, et on nous dit que « la foule s’esclaffe comme un seul chœur » sauf que s’esclaffer ça veut dire rire, donc Ykhar demande si tout le monde est prêt, et en réponse, tout le monde se met à se marrer ? Ezarel fait son lourdingue pas drôle, comme d’hab. Un jour, faudrait le faire grandir. Je sais que le principe de la Garde d’Eel c’est de mettre des imbéciles aux commandes, m’enfin un adulte qui se comporte comme un gosse de 10 ans, quand même. Après, c’est là que je me suis perdue. Littéralement, et moins littéralement. Parce qu’on nous dit qu’on va au temple fenghuang, mais on nous fait passer par la forêt, et moi, je croyais que le temple était sur les Terres de Jade ? Alors après vérification, à aucun moment on nous dit où il se trouve exactement, m’enfin je pense pas que ce soit déconnant de penser qu’il se trouve là-bas, puisque les Terres de Jade, c’est un peu « les machins d’inspiration asiatique, » et le peuple fenghuang l’est clairement ; d’ailleurs, la « langue des ancêtres » de Hua, c’est bel et bien une langue chinoise, puisque Google Traduction m’a confirmé que « Sǐzhě » voulait bien dire « les morts » en chinois (simplifié, qu’il m’a dit). Note : de manière générale, n’utilisez Google Trad qu’en dernier recours et juste pour de simples mots et vérifiez si vous le pouvez dans des sources beaucoup plus sûres ! C’est un très mauvais outil si on veut faire des traductions de qualité ! En plus, à l’épisode 10, Ezarel est rappelé de Balenvia pour aller au temple. Alors quoi, il a fait un aller-retour à Eel pour rien avant d’aller au temple, vu que Balenvia est censé être sur le chemin ?

CHE KOMPRON PA

En plus, à l’épisode 11, on apprend que Hua et Miiko se connaissent depuis toujours ou presque, mais on ne nous dit pas pourquoi. Sauf qu’on apprend dans le 17 que Miiko vient de la famille royale des Terres de Jade du Nord. Ce qui donc expliquerait comment elle connaît Hua, entre familles royales machin, et si elles se sont souvent fréquentées, ça doit bien vouloir dire que leurs peuples ne vivent pas si loin que ça l’un de l’autre ? Tout ça c’est bien joli, mais de toute façon, toujours à l’épisode 11, il avait été décidé que la flûte serait mise en sécurité chez la famille royale des Terres de Jade du Nord (du coup chez la famille de Miiko lol), alors pourquoi on va au temple, si c’est pas là qu’est la flûte ? Est-ce que le scénario a oublié de nous prévenir que la flûte a été rendue aux fenghuangs ? Mais le temple a pas fini d’être reconstruit ! Autre détail, les deux seuls peuples à qui Miiko et Hua ont pensé pour confier la flûte, c’est la famille royale et les Kappas, tous deux vivant sur les côtes de Jade. Pourquoi Hua confierait la flûte à des peuples aussi éloignés de chez elle si elle ne vit pas là-bas non plus ? Ou bien alors on va bel et bien aux Terres de Jade dans tous les cas et je parle pour rien mais dans ce cas, y’a un autre accès que par la mer ? Alors pourquoi on l’a pas pris pour rentrer de chez les Kappas ? Ce serait bien qu’il y ait une carte détaillée dans la bibliothèque ou autre, parce qu’honnêtement je suis perdue. D’ailleurs, ma monture s’est perdue aussi, et bizarrement, m’a envoyée à la plage alors qu’on doit aller dans la forêt, et ensuite, bizarrement, on paume tout le monde et on doit fouiller chaque centimètre carré pour les retrouver. La subtilitey, mesdames et messieurs. Après on arrive enfin à Balenvia et on monte un camp comme si on allait rester trois jours, et en plus on est que quinze et on dort même pas à l’auberge qui a pourtant son propre petit point sur la carte. Puis on décide d’aller faire coucou à Ethel et de se paumer dans ces grottes de l’Enfer (dommage pour moi, je n’ai découvert qu’après que de fort gentilles personnes avaient fait un plan des grottes). La subtilitey, épisode numéro 2. A la limite faites-nous payer directement le coût en maanas que vous voulez au début de l’épisode si vous avez si peur que ça qu’on en dépense pas assez à votre goût, ça nous évitera des passages aussi relous et inutiles… Au moins, le retour à la lumière était plus agréable, puisqu’on a pu parler à des gens. J’ai bien aimé mon dialogue avec Kero. Durant la nuit, Erika se lève pour observer les étoiles, et trébuche subtilement dans une flaque de boue comme un gros caca. Mais Ashouminet est là pour nous faire son éternel numéro du doigt sur la bouche comme dans le générique de Pretty Little Liars, et quelqu’un manque d’étouffer Erika pour qu’elle s’évanouisse. ON S’DEMANDE QUI C’EST ! Le lendemain, pas de trace de l’attaque, et même sa chaussure est propre. C’était un rêve. Oui, c’était sûrement un rêve. Mes rêves me paraissent super réels, en plus. Non, ça ne peut pas être autre chose qu’un rêve. OUI LES SCENARISTES C’EST BON ON A COMPRIS QUE C’ETAIT PAS DU TOUT UN RÊVE ET QU’ERIKA ETAIT STUPIDE MERCI. La subtilitey, épisode numéro 3 ?

On arrive enfin en vue du temple, où qu’il soit à Eldarya. On notera quand même qu’il y a un torii sur la voie des pèlerins, comme sur notre carte des côtes de Jade… Pour ne pas changer de d’habitude, j’adore les nouveaux décors. J’ai hâte d’être au prochain Black Friday pour les acheter. On retrouve ce bon vieux Cifounet et on nous installe dans nos jolies chambres. C’est vrai que c’est une bonne initiative de nous permettre de choisir des détails comme si on est frileuse ou pas, même si sur le coup ça ne m’a fait ni chaud ni froid (LOL DES BARRES). Mais je salue l’effort. Nous discutons avec Ewe jusqu’à ce qu’un jeune homme mal à l’aise demande son aide. Nous sortons alors et sommes témoins de la rencontre entre Karuto et Cif, et honnêtement, j’ai hésité à mettre une musique genre « Ti Amo » dans ma vidéo à ce moment-là XD Nan en vrai c’est mignon, même si j’aime pas Karuto, j’espère qu’il avouera un jour son amour à Cif et que ce sera réciproque. Bientôt, il est l’heure de manger, et Eza vient nous chercher, sauf qu’Erika s’évanouit pile devant le temple. Eza et Leiftan l’emmènent voir Eweleïn, qui détecte juste une difficulté d’acclimatation due au surplus de maana. Non mais est-ce qu’il y a un-e seul-e gardien-ne sur ce site qui n’aurait pas envie de subir un surplus de maana, en vrai ? x) Par contre, le « elle est la seule à avoir contracté ce symptôme, » clairement ça se dit pas. On contracte une maladie, qui éventuellement déclenche des symptôme, mais on contracte certainement pas un symptôme. Erika refait un cauchemar avec l’Oracle, et je voudrais qu’on parle deux minutes de son langage. Alors c’est très cool de le/la (j’ai vu les deux genres ??) faire parler avec un code à déchiffrer, mais moi ce qui m’ennuie, c’est qu’il y a des informations importantes, du genre le fait qu’à cause de leur lien et du fait que l’Oracle est en train d’être empoisonné-e, Erika est aussi en train de mourir ? ‘Fin c’est dommage de devoir déchiffrer ça pour le savoir, j’imagine une joueuse lambda qui n’y connaît rien en codes et ne fréquente pas le forum, elle risque de passer à côté de ce genre de trucs. Puis après on a la scène CHAUDASSE qui conclut cet épisode (de façon un peu abrupte, on va pas se mentir).

Cette image me hantera jusqu’à la fin des temps.

Au moins je peux dire que les trois chefs de garde ont embrassé ma gardienne :’) (Même si deux fois sur les trois elle était pas d’accord lol) Perso ça me dérange pas du tout qu’Erika ait la culotte qui la démange, je suis même contente de voir un peu de contenu un peu plus adulte, même si c’est quand même amené pas toujours très adroitement, et que j’ai un gros problème avec sa tronche sur l’illu d’Ezarel et le fait que sur toutes les illus elle ait les sourcils comme si elle était triste (j’ai pas de meilleure description). En fait ce qui me pose un peu problème, c’est, d’une part, que les sentiments semblent un peu sortir de nulle part, j’veux dire même à l’épisode 13 on n’avait pas spécialement de sentiments ouvertement déclarés pour un personnage, et à part au 17 où c’est arrivé d’un seul coup sans prévenir, bah ça a pas vraiment avancé. Je le vois encore plus, moi qui ai changé de CDC après le 13, ça débarque comme ça pouf. D’autre part, et finalement c’est un peu lié, c’est dommage qu’il faille a-bso-lu-ment des sentiments pour pécho à la fin de cet épisode. Et c’est un problème qui se retrouve dans vos autres jeux, c’est la jeune fille/femme naïve et amoureuse qui se « préserve » pour le bon (en ce qui concerne Lyla du Secret d’Henri), ou bien c’est son premier grand amour (pour la sucrette), et là bon on sait pas trop, visiblement elle a quand même eu une amourette d’été, mais on n’en sait pas plus, on ne sait même pas jusqu’où ça a été. On connaît même pas l’âge d’Erika, alors bon… C’est un stéréotype sexiste qu’on retrouve beaucoup (oh non, elle va encore parler de féminisme ?!), le fait que les femmes, si jamais, oh mon dieu, elles devaient se retrouver à avoir du désir sexuel, il faut absolument que ce soit pour un homme dont elles sont amoureuses. Donc bon vous l’avez compris, ça m’embête un peu de retrouver ça une énième fois ici. Mais bon ça me plaît bien d’avoir une scène osée lol x) D’ailleurs entre Le Secret d’Henri, Amour Sucré et maintenant ici en si peu de temps, c’est la fête du slip chez les scénaristes de Beemoov XD Enfin j’espère qu’au moins avec ça on viendra plus m’embêter si je dis « je m’en bats les ovaires. »

Le petit relevé habituel, peut-être pas exhaustif : - « Mais vous n’avez pas pensé à faire ça ? » -> Dans la scène il manque un truc, je pense que c’était plutôt « Mais vous n’avez pas pensé à faire ça plus tôt ? » pour que ce soit cohérent. - « Vu l’air horrifié qui se dessine sur le visage, […] » -> sur son visage, ou sur le visage de Miiko - « Ne soit pas si hâtive » -> sois - « J’y réfléchirais, alors » -> réfléchirai Après il y a des problèmes de mots mal employés. Autant pour « susurrer » quand Jamon chuchote un truc à l’oreille d’Ezarel ou je sais plus quoi, je trouve ça mignon, parce que si le sens est là, c’est surtout le contexte dans lequel c’est le plus souvent utilisé qui crée un petit décalage, mais le « s’esclaffer » à la place de « s’exclamer » par exemple, c’est juste du contre-sens. Pareil pour le symptôme contracté, c’est pareil ça se dit pas, pensez à vérifier le sens des mots, c’est la base. J’espère que je me suis trompée pour les monts Sǐzhě et que vous n’avez pas utilisé uniquement Google Trad comme ça m’en a l’air parce que c’est tout sauf un outil de pro. C’est la traductrice qui parle. Et enfin, les niveaux de langage. Chrome qui passe de « bordel » à son espèce de discours quand il fait le rapport à Jamon, les �� ok » ; « j’ai grave la patate » ; « bah » qui côtoient le « Va te sustenter. » Déjà quand j’ai lu que Hua sort des « bah » et des « ok » alors qu’elle pense encore que c’est le Moyen-âge sur Terre, je me demande comment elle fait pour comprendre Erika. En fait ouais, comment ça marche, les langues, à Eldarya ?

Je suis sortie satisfaite de cet épisode en ce qui concerne l’avancée du scénario. On était actif-ve, et en même temps pas enseveli-e sous l’action comme dans le 17. J’ai trouvé que c’était bien dosé. Je suis aussi contente de sortir du QG et de voir un peu du pays (même si je sais pas par où on est parti-e-s mdr). J’espère juste que ça va pas retomber comme un soufflé avec le 20. Malheureusement, on peut pas faire sans les incohérences et le manque d’information (ainsi qu’une gardienne bête comme ses pieds). Vous devez étoffer votre univers pour pallier ça et empêcher qu’on se retrouve avec autant de TGCM. Comment fonctionne la magie ? Les langues ? Les religions ? Et s’il vous plaît, j’ai besoin d’une carte ! Bon, sur ce, j’m’en vais, j’ai un Catatapillar à choper ! Ciao !

[kaleiyasims]

Chapitre 14 : Corrompue

En duo avec Flamberge, ils lancèrent chacun un puissant sort d’attaque sur la barrière végétale, espérant que leurs pouvoirs combinés viendraient à bout de celle-ci. Bien qu’ils ne réussirent pas à totalement la détruire, ils parvinrent tout même à y faire un trou suffisant pour entrer – c’était plutôt mauvais signe dans un sens car cela signifiait que la magie d’eau s’était affaiblie à cet endroit précis mais une bonne nouvelle pour Flamberge qui aura moins de mal à lutter dans ce lieu qui lui était déjà, de base, très défavorable.

Après être passés entre les rosiers, l’état du sanctuaire apparut devant leurs yeux : l’eau, auparavant claire et limpide, était devenue boueuse, dégageant une odeur des plus désagréables, tandis que l’herbe commençait à noircir dans certaines zones, signe évident que quelque chose était en train de corrompre toute la magie aquatique qui régnait en ces lieux.

Mais le pire restait Sedna elle-même qui semblait en proie à une vive douleur.

—Non, non, non, non ! répétait inlassablement l’entité magique en se tenant la tête entre les mains.

Ezekiel ne savait pas quoi faire pour l’aider. La solution la plus simple pour lui serait de trouver la cause de cette corruption et de l’éliminer mais si elle était dans le bassin, il allait avoir du mal à la trouver en plongeant. Un sort de lévitation devrait pouvoir faire l’affaire mais sans savoir ce qu’il cherchait exactement, il risquait de faire remonter tout ce qui était au fond de l’eau par la même occasion. Il devait se hâter…

—Nous ne sommes pas seuls, déclara Flamberge en préparant une boule de feu. Je sens une présence malveillante.

La part incube du magicien ressentait effectivement quelque chose… de démoniaque. Un ou plusieurs démons étaient ici et ils n’étaient certainement pas amicaux – en même temps, Ezekiel n’avait pas souvenir que les différents peuples démons s’entendaient entre eux donc il risquait d’être une cible de choix.

Ses craintes se confirmèrent en voyant apparaître deux créatures à cornes au teint cadavérique et avec des oreilles pointues : des démons qui, vu leur apparence, ne devaient pas avoir un rang élevé mais qui pouvaient poser de sérieux problèmes vu qu’ils devaient être en train d’absorber le pouvoir de Sedna. Le magicien doutait fort qu’ils soient intelligents ou aussi redoutables que sa mère mais il ne fallait pas les sous-estimer.

Flamberge fut la première à attaquer, lançant sa boule de feu droit sur eux. L’un d’eux l’esquiva tandis que son camarade la reçut de plein fouet, sa douleur étant plus que perceptible via les cris atroces qu’il poussait. L’assaillant restant fondit sur eux et Ezekiel se hâta de répliquer.

—J’en appelle au souffle du dragon ! s’exclama-t-il, lançant ainsi un sort d’attaque ardent sur son ennemi.

Le sort fonctionna mais la magie aquatique encore présente l’avait méchamment affaiblit, faisant que ce qui aurait dû gravement blesser son opposant ne lui fit qu’une simple égratignure – l’élément qu’il aurait fallu utiliser était l’air mais l’ennui, c’était que les démons y étaient souvent résistants, ce qui compliquait grandement la tâche de tout magicien qui se trouvait dans ce genre de situation. Il ne restait donc que le corps à corps… ce qui n’était pas idéal en l’absence des Reiji.

Lâchant sa baguette magique, Ezekiel entama vite un combat à mains nues pour tenter de prendre l’avantage sur l’ennemi – il remercia intérieurement les quelques brutes qu’il avait croisé ado et qui l’avaient forcé à s’entraîner physiquement au cas où. La lutte n’était pas évidente : lui n’avait que ses poings et ses pieds pour se défendre tandis que le démon avait des crocs et des griffes qui pouvaient causer de sérieux dégâts s’il n’y prenait pas garde.

Alors qu’il venait d’éviter un méchant uppercut dans le ventre, le magicien sentit avec horreur que son collier s’était accroché à la main de son adversaire. D’un coup sec, la lanière de cuir qui le tenait en place se cassa et le bijou chuta au sol… provoquant un mal de crâne phénoménal chez son propriétaire.

Pas bon du tout… Ce collier avait pour rôle de bloquer sa part incube – un tatouage aurait été mieux mais l’idée d’avoir le même que celui qu’arborait sa mère sur son dos tout entier ne lui plaisait pas, faisant qu’il avait opté pour la solution la moins douloureuse et contraignante – et sans lui, plus rien ne pouvait empêcher sa part démoniaque de s’éveiller à tout instant.

Qui plus est, un autre problème majeur se posait et était bien plus préoccupant…

Alors que Flamberge avait voulu aider Ezekiel, Sedna l’avait attaquée et, sans surprise, dominée avec aisance. La souffrance de l’incarnation du Tome de l’eau était visible mais un autre sentiment était visible : la colère.

—Qu’est-ce qu’on nous a fait ? Tu le sais ! s’exclama Sedna avec rage. Je suis sure que tu sais sale traîtresse…

—Je suis autant dans le flou que toi Selena, répondit calmement Flamberge après s’être relevée. Calme-toi et laisse-moi t’aider…

—Menteuse !

Peu importe ce que Flamberge pouvait lui dire, Sedna avait été corrompue et n’était plus apte à l’écouter. Le mieux qu’elle avait à faire était de la calmer de force, même si cela lui faisait mal au cœur… et essayer de contenir ces fichus démons qui pompaient le pouvoir du Tome de l’eau pour se régénérer.

Concernant Ezekiel, son désavantage était clair et il aurait été vaincu si un coup de katana bien placé n’avait pas eu raison de son adversaire.

—Venez vous frottez à nous si vous l’osez !

Les Reiji étaient enfin arrivés – Momoko avait revêtu un yukata à la hâte visiblement et Yamato avait certainement dû aller récupérer leurs armes chez eux avant de venir – et juste à temps ! A présent, le combat allait être bien plus équilibré.

Les démons s’étant régénérés avec la magie aquatique, ils attaquèrent les chasseurs de démons… mais eurent la mauvaise surprise de s’apercevoir que ceux-ci étaient amplement capables de les maitriser avec leurs lames. Il était clair que les êtres malfaisants n’étaient pas ravis de cette résistance imprévue et, à la manière dont ils serraient les crocs, risquaient de se montrer plus féroces qu’au départ.

De son côté, Ezekiel cherchait sa baguette magique afin d’aller aider Flamberge mais impossible de la retrouver. Celle-ci avait dû glisser dans le bassin durant la bataille… Qui plus est, les paroles incohérentes de Sedna et les réactions de Flamberge étaient bien curieuses…

—Vous vous êtes bien moqués de moi tous les deux ! lança avec rage celle avec la voix mélodieuse en préparant une sphère de glace dans sa main. Il est temps que je t’élimine une bonne fois pour toute…

Flamberge était épuisée et pas du tout apte à répliquer. Si elle était touchée, elle serait hors combat et leurs chances de sauver le Tome de l’eau allaient être réduites à néant…

—Ce n’est pas elle que tu dois haïr Selena mais moi.

Un puissant courant d’air souffla en direction de Sedna, brisant sa sphère de glace. En se tournant vers son origine, Ezekiel reconnut cette femme en noir mais, cette fois-ci, elle ne portait pas ses lunettes noires, lui permettant de voir ses yeux verts et sévères. D’un geste, elle ôta son chapeau qu’elle jeta sur le côté avant de froncer les sourcils, l’air contrariée.

—Alors ? demanda-t-elle, agacée. C’est tout ce que tu peux faire pour m’arrêter ? Je t’ai connue plus belliqueuse…

—Attends voir Margaux, répliqua Sedna dont les yeux étaient emplis de haine. Prends-ça !

L’incarnation du Tome de l’eau matérialisa deux sphères de glace dans chacune de ses mains et les lança droit sur la magicienne.

Cependant, la dénommée Margaux contrattaqua avec un sort d’air qu’elle avait dû jeter au préalable et qui fit se briser les deux sphères en plein vol. Sans perdre un instant, elle matérialisa de la magie entre ses mains.

—Foudre divine, neutralise mon ennemi !

Sedna n’eut même pas le temps de se protéger : un éclair la toucha en la traversant de part en part et, vaincue par l’attaque magique, elle tomba à genoux au sol, n’ayant probablement pas eu le temps de réaliser ce qui lui arrivait. Sa poitrine se soulevait encore, signe qu’elle était encore en vie mais elle n’était plus en état de combattre.

Durant un bref moment, Ezekiel crut voir, à la place de Sedna, une femme aux longs cheveux de jais qui était vêtue d’une robe qui datait bien de plusieurs dizaines d’années en arrière. Avait-il imaginé cette vision ?

Un puissant souffle d’air balaya le sanctuaire, faisant voler les pétales des fleurs des cerisiers. En baissant ses yeux sur le bassin, le magicien aperçu quelque chose remonter à la surface : un coffret en bois duquel émanait une forte dose d’énergie négative.

—Flamberge ! hurla-t-il pour se faire entendre à travers le vent. Le coffre !

Il ignorait si elle avait pu l’entendre, occupée qu’elle était à se protéger elle aussi de ce puissant souffle d’air. Il eut sa réponse quand une boule de feu vint frapper le coffre, le réduisant en miettes.

Juste après, le vent se calma enfin et Ezekiel put observer les alentours. Il constata vite que Sedna semblait redevenir normale et que les démons combattants les Reiji avaient été vaincus… mais la mystérieuse magicienne s’était volatilisée. Où était-elle passée ?

—Ezekiel-kun !

La voix inquiète de Momoko attira son attention vers elle et l’incarnation du Tome de l’Eau. Toutes deux étaient mal en point mais si la jeune femme semblait se préoccuper de l’état de l’être magique, ce dernier semblait atterré par l’état actuel du sanctuaire.

—Qu’ai-je fais ? dit Sedna, l’air totalement abattue.

Le magicien s’approcha d’elles, suivit par Flamberge et Yamato qui ne cachait pas sa colère.

—C’est une honte d’avoir laissé faire cela ! s’exclama ce dernier. Quels piètres gardiens nous avons été…

—Croyez-moi, vous avez parfaitement accompli votre devoir, le tempéra l’incarnation du Tome de Feu. Mes gardiennes usaient de mon pouvoir à des fins malveillantes et si Ezekiel n’était pas intervenu, Oasis Springs aurait été rayée de la carte.

Cette remarque sembla apaiser la rage de l’aîné du clan Reiji dont les traits s’étaient adoucis.

—J’ai failli faire cela, déclara Sedna avec tristesse. Je me suis totalement laissée corrompre…

—Arrêtes donc de t’enfoncer toute seule ! s’exclama Flamberge, agacée. Je te connais assez pour savoir que tu as du lutter contre ces forces mais que voulais-tu faire contre des démons ? Toi au moins, tu peux réparer tes erreurs alors que moi, je ne peux pas ramener à la vie les milliers d’innocents qui ont péris dans mes flammes ! Tout ce que je peux faire pour essayer de payer pour mes fautes, c’est d’aider comme je le peux.

Les paroles de l’être flamboyant firent leur effet : Sedna l’avait attentivement écoutée et regardait à présent les lieux avec espoir.  

—Merci Fa-, commença-t-elle avant de s’interrompre. Non, Flamberge. Je suis contente de voir que nous sommes toujours amies.

—Et moi de te revoir enfin.

Ezekiel s’était attendu à une accolade ou autre entre elles mais elles préféraient garder leurs distances… et il devina que ce devait être dû à leurs éléments opposés. Il ne valait mieux pas laisser le feu et l’eau entrer en contact…

Sedna leur fit signe de s’éloigner puis elle prit une bonne inspiration avant de se mettre à chanter.

Le magicien réalisa qu’elle n’utilisait pas la même voix que lors de sa précédente chanson mais celle d’une chanteuse qu’il avait entendue lors du Matsuri. Se pourrait-il qu’un des pouvoirs du Tome de l’Eau lui permette d’imiter une voix ?

Une puissante magie aquatique envahit les lieux et ceux-ci furent purifiés : l’eau boueuse redevint limpide, l’herbe séchée reprit sa belle couleur verte… De multiples pétales de cerisiers volèrent et vinrent se poser avec grâce sur l’eau, achevant la chanson de Sedna.

La fatigue s’étant faite sentir, les Reiji avaient récupéré le Tome de l’Eau et l’avaient emmené avec eux dans leur appartement tandis qu’Ezekiel était retourné à celui qui lui avait été prêté pour se reposer. Le lendemain, une fois requinqué, il passa un coup de fil à ses parents pour leur faire un résumé des évènements.

—Margaux hein… déclara pensivement son père. Cela me dit vaguement quelque chose mais il va falloir que je fasse quelques recherches. Cette sorcière ne sort certainement pas de nulle part et elle ne t’as pas aidé sans raison.

—Je le pense aussi, confirma l’apprenti en repensant à ce qu’il avait vu au sanctuaire. Sedna et Flamberge la connaissent donc peut-être qu’elles seront les plus à même de nous renseigner.

—Effectivement… Je vais voir ce que je peux tirer de Flamberge. Toi, assure-toi que personne ne pourra voler le Tome de l’Eau.

—Dommage que la boîte ait été détruite, entendit-il sa mère dire avec déception. J’aurais bien aimé savoir ce qu’elle contenait et d’où elle venait pour comprendre à quoi s’attendre avec Duspeti fils…

Elle n’était pas la seule dans ce cas mais Ezekiel n’avait pas eu d’autre choix pour libérer Sedna. Du peu qu’il avait pu en juger, elle avait contenu une magie obscure ou un artefact maudit qui émettait de puissantes ondes négatives. Dans les deux cas, il serait bon de savoir si c’était bien Alphonse Duspeti qui l’avait placé là… ou bien cette mystérieuse Margaux – logiquement non mais l’apprenti sorcier n’arrivait pas à cerner ses motivations et, de ce qu’il savait à son sujet, elle pratiquait une magie de ce type donc si, comme beaucoup d’êtres surnaturels, elle avait tendance à amasser de vieux objets magiques…

Leur conversation finie, le magicien grimaça suite à une nouvelle migraine qui, heureusement, fut de courte durée. Un retour à la Tour Mirage pour remplacer son collier cassé s’imposait mais il sentait venir à trois kilomètres sa chère mère avec tout le nécessaire pour faire des tatouages : rien que l’idée de sentir une aiguille se planter dans sa peau le révulsait.

Après une bonne douche froide, Ezekiel se rhabilla puis vit son reflet dans la glace… réalisant que le démon qu’il avait combattu lui avait laissé un souvenir. Rien de grave mais dans le doute, il utilisera quelques onguents une fois rentré chez lui pour soigner ça.

Alors qu’il sortait de la salle d’eau, des coups furent frappés à la porte. Il alla ouvrir : c’était les Reiji et Sedna. D’un geste, il leur fit signe d’entrer.

—Bonjour Ezekiel-kun, le salua Momoko. Tu as bien dormi ?

—Très bien, merci, lui répondit le magicien en lui souriant amicalement.

—Tant mieux, déclara Yamato avec sérieux. Il faut que l’on parle à présent mais déjà…

L’aîné des Reiji sorti la baguette du sorcier et la posa sur la table.

—Sedna-san l’a trouvée dans le bassin, précisa la cadette en se tournant vers l’être magique.

—Elle n’était pas bien difficile à trouver, fit Sedna en haussant les épaules. Elle était tombée pile poil entre les mains d’une statuette.

—Merci beaucoup, déclara Ezekiel en récupérant son bien.

Il ne pensait pas la récupérer si vite. C’était plutôt une bonne nouvelle car cela lui évitait d’en prendre une neuve dans la réserve de son père qui, suite à quelques petits accidents de magie, s’était pas mal amoindrie en vingt ans…

—Nous devons aussi te parler du Tome de l’eau, ajouta Yamato en tournant le regard vers la principale concernée. Après réfléx-

—Je te suis tout de suite magicien, le coupa Sedna avec un grand sourire. Par contre, j’ai une condition : je veux revenir ici à chaque Matsuri.

—Je n’y vois aucun inconvénient, déclara Ezekiel avec soulagement puis inquiétude. Mais pour Alphonse Duspeti ?

—On peut se débrouiller sans toi, lui répondit Momoko avec douceur. Qui plus est, nous serons bien plus sereins si nous savons que Sedna-san est en sécurité.

—Et puis nous ne sommes pas seuls, précisa l’aîné des Reiji. Les Chen ont à priori peu envie de le voir s’installer chez nous et nous avons le soutien des Sewin.

Effectivement, ne plus devoir s’assurer que le Tome de l’eau était bien à sa place allait leur enlever un sacré poids des épaules mais en contrepartie, toute la magie qui en émanait allait diminuer jusqu’au prochain Matsuri, un prix qui était moins lourd à payer que le risque de voir ce trésor de magie aquatique être dérobé.

N’ayant plus aucune raison de rester dans le quartier asiatique, Ezekiel prit congé des Reiji en leur restituant la clé de leur appartement. Il leur promit cependant de repasser ces prochains jours, ne serait-ce que pour récupérer ses vêtements auprès d’Orlando qui était très occupé en ce moment – Din et Nathan étaient eux aussi très occupés vu ce que Momoko avait sous-entendu.

Avant de rejoindre la Tour Mirage, le magicien profita qu’il n’y avait personne dans la rue pour avoir une petite discussion avec Sedna – tout le monde profitait du Matsuri qui était là jusqu’à la fin de la semaine.

—Puis-je te poser quelques questions ? demanda-t-il, ayant en tête les évènements du sanctuaire.

—Si cela concerne les évènements du sanctuaire, je ne peux pas te répondre à toutes, répondit l’être magique avec un sourire. J’avoue être un peu dans le brouillard…

—Je peux comprendre. D’abord, le chant est ta capacité ?

—Pas seulement. Je peux aussi imiter une voix que j’ai déjà entendue.

Intéressant… Il n’avait donc pas rêvé quand il l’avait entendue chanter avec deux voix différentes.

—Question suivante ?

—Margaux…

Cette fois-ci, Sedna se montra pensive, comme si elle essayait de se rappeler quelque chose.

—Flamberge et moi la connaissons… commença-t-elle avant de faire la moue. Mais j’avoue que je ne sais plus comment. A croire que je suis devenue sénile…

—Ce n’est rien, lui dit Ezekiel qui avait encore une dernière interrogation. A vrai dire, ce qui me préoccupe le plus, c’est le fait que j’ai cru te voir… différemment quand elle t’a frappée avec sa magie.

Cette phrase fit hausser les sourcils à Sedna. Elle était clairement intriguée par ce qu’il venait de dire.

—En fait, c’était peut-être moi qui était perturbé mais j’ai cru te voir en tant qu’humaine pendant un très court instant, déclara-t-il à l’être magique. Qui plus est, Margaux t’appelait « Selena » quand elle s’adressait à toi.

—Ah oui… fit Sedna, pensive. Je préfèrerais répondre à cela en présence de Flamberge. Cela m’éviterait de me répéter.

—Très bien. Je n’avais pas d’autre question de toute manière.

Ezekiel mit fin à l’invocation puis il se dirigea vers l’arrêt du tramway. Il aura probablement une dizaine de minutes à attendre mais cela lui laisserait le temps d’essayer de trouver des éléments de réponse sur cette Margaux et sur le mystère entourant la vraie nature des Tomes… Peut-être que résoudre celui-ci était la clé pour mettre la main sur ce capricieux Tome de l’Air.

Par contre, le magicien ne s’était pas aperçu de l’ombre qui le surveillait… et qui une fois qu’il eut le dos tourné, dévoila la mystérieuse Margaux.

—Ce n’était pas prévu que nous nous croisions si tôt magicien… J’ai sous-estimé les dégâts subis lors de la séparation des Tomes semble-t-il et je vais avoir encore beaucoup à faire, surtout si tu persistes dans cette voie. Notre prochaine rencontre risque d’être moins cordiale, je le crains… et tu m’as l’air d’avoir oublié quelque chose qui plus est.

Dans un claquement de doigts, Margaux disparut dans un nuage de fumée noire…

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[raynalmarion]

Bonjour guys ! Aujourd’hui c’est le printemps, et comme je voulais faire preuve d’originalité, j’ai décidé de publier un article sur … le printemps ! Avant toute chose, préparez vos yeux à recevoir des flashs de toutes les nuances de roses possibles et imaginables. C’est bon ? Alors poursuivons. Je hais le froid, la neige, la pluie, le vent, les journées où le soleil se lève à 9h et se couche à 17, bref, je hais l’hiver et tout ce qui va avec. Chaque année c’est la même histoire, à chaque fois que l’automne s’achève il ne me tarde qu’une chose : que le printemps revienne. Mais les saisons suivent leur cours, et on n’échappe pas à l’hiver.” Winter is coming” comme on dit hein ? Eh bien le Winter est arrivé mais il est reparti haha ! Je préfère ne pas penser à son retour prochain et rester positive en me disant que le printemps a fait son nid, comme les oiseaux revenus de leur migration. D’ailleurs je les vois et les entends dans mon jardin, juste là devant moi, derrière la baie vitrée de ma chambre. Je vois aussi les rosiers qui commence à ressembler à des fleurs et non pas des tiges mortes. La nature se réveille, elle renaît, tout comme moi.

Le seul côté négatif que je trouve au printemps est le retour des allergies, dont je suis victime. Mais même me moucher à longueur de journée et avoir les sinus qui me chatouillent à cause du pollen et des graminées ne saurait entacher la joie que j’éprouve en regardant ce ciel bleu, en sentant la chaleur du soleil sur ma peau, et en voyant toutes couleurs qui éclosent peu à peu.

Dans notre culture occidentale, nous ne célébrons pas les saisons. Mais le printemps a une signification particulière en Asie, au Japon notamment, où est célébré chaque année l'”Hanami“, ou l’éclosion des fleurs de cerisiers, appelées “Sakura“. Ces dernières ne sont pas juste magnifiques, elles symbolisent le renouveau, la renaissance. C’est un évènement national là-bas, les journaux ne parlent que de ça, et les gens passent des heures à admirer ce phénomène. Il y a également beaucoup de touristes venus pour l’occasion. Les japonais pic-niquent sous les arbres en fleurs, chantent, discutent, ou se contentent d’observer. Ils sont beaucoup plus spirituels que nous, et font preuve de plus de sérénité ainsi que de paix intérieure. Nous devrions nous inspirer de leur art de vivre, cela nous apaiserait l’âme.

De fin mars à début avril, période durant laquelle l’éclosion est la plus faste, les paysages sont transformés. Il y a quelques endroits qui sont répertoriés comme étant les plus beaux, avec entre autre le château de Nago à Okinawa et une multitudes d’autres, de nombreux parcs, des rivières, des montagnes et j’en passe. Le pays est transformés, magnifiés, tout n’est que splendeur.

La beauté de la nature rend les Hommes plus sensible à ce qui l’entoure, plus à l’écoute de ses sentiments. Voir les bourgeons éclore dans les arbres et les oiseaux se poser sur leurs branches, virevoltants essayant de séduire une jeune hirondelle. Les coeurs s’emplissent de tendresse, et guidés par le besoin d’amour, les êtres se cherchent, se tournent autour, et finalement tombent éperdument amoureux.

Malgré tout, aucun oiseau, ni un moineau ni un aigle royal, n’a enserré mon coeur. Je suis plus une louve solitaire qu’une tourterelle attendant sur une brindille qu’un rapace ne s’empare d’elle. Mais peut-être que cette année le printemps ne fera pas que fleurir les plantes. Peut-être que cette année les conditions climatiques seront réunies pour que prenne racine une relation nouvelle dans ma vie ? Qui sait de quoi demain sera fait ?

Après des mois passer chez nous à côté du radiateur, enroulés dans des plaids et tenant des mugs de chocolats chauds dans nos mains, nous persuadant que le “Hygge” à la danoise est tendance, juste histoire de survire à la dépression hivernale, il est temps de pointer le bout de son nez. Il ne risque plus de devenir tout rouge à cause des températures négatives, et l’eau qui en sort a moins de chance de se transformer en stalactite. Enfourchons donc nos vélos, trottinettes et autres moyens de locomotions en plein air sur lesquels il est possible d’accrocher un panier rempli de fleurs pour un effet printanier assuré, alors qu’en fait c’est surtout car on se dit “Je vais pas dépenser 30E chez le fleuriste alors qu’il y a des fleurs partout gratos”.

Et puis l’hiver c’est aussi synonyme de repas de fins d’année, alors c’était sympatoche la bidoche quand il faisait -10, ça tenait chaud, mais voilà, maintenant les magazines ne font que parler de “Bikini Body”, le truc pour lequel toutes les femmes complexent et s’affament pendant des semaines, mettant leurs vies en danger pour ressembler à des images photoshopées. Du coup on se dit “Tiens, du sport en plein air c’est un bon moyen de perdre mes kilos en trop, et d’avoir le corps de rêve pour cet été”. Le motif n’est pas forcément louable ( maigrir pour se rapprocher des standards de la beauté de notre société ), mais l’action est honorable. Le sport, c’est bon pour la santé, le corps et l’esprit, s’aérer fait du bien, admirer le paysage, lever ses yeux des écrans, et voir le monde, le vrai, pas le virtuel des réseaux sociaux, mais celui de la planète Terre. Oui oui, le ciel est bleu et l’herbe verte. Ca fait bizarre hein de redécouvrir de véritables paysages ?

Et pourquoi pas, en plus des fleurs, mettre dans votre panier des victuailles et rouler vers un champs ou près d’un lac, retrouver des amis ou de la famille, et vous asseoir dans l’herbe fraiche pour partager un pic-nique ? En parlant de champs, ce n’est pas ce qui manque autour de chez moi, je vis à la campagne. Mais pour ceux résidant dans de grandes villes, à Paris notamment, je conçois qu’il ne soit pas forcément évident de trouver un coin au calme. Néanmoins, toujours en parlant des champs, sur le Champs de Mars en face de la Tour Eiffel se mettent à pousser des paniers en osiers, des nappes à carreaux et des crânes plus ou moins chevelus. Malgré l’afflux important de personnes, cela reste un endroit où l’on peut déguster son jambon beurre tranquillement. Mais si vous êtes parisien, vous devez en avoir marre de la foule, et je pense qu’un pic-nique champêtre peut vous attirer un peu plus. Il y a pleins d’endroits calmes autour de la capitale, il faut être curieux et se laisser guider par l’aventure. Alors à vous les Tupperware et autres bocaux de salades fraiches, de quiches, de cakes salés et sucrés, de cookies, de crêpes, de fruits… sans oublier les boissons, et bon appétit ! Si vous êtes à court d’idées concernant ce que vous pouvez amener de bon et surtout de transportable, pour un déjeuner en extérieur, vous trouverez de nombreuses recettes sur internet, sur le site « Cuisine Actuelle » par exemple, que j’aime beaucoup : http://www.cuisineactuelle.fr/recettes-de-cuisine/recettes-par-evenements/panier-pique-nique

Idées de week-end en escapades : 

Au printemps il n’y a pas que la nature qui renait, les Hommes aussi. Afin de prendre au mieux soin de soi, de se sentir renaître, rien de tel que de s’évader, de couper avec la routine, ne serait-ce que le temps d’un week-end. Il n’est pas nécessaire de partir à des milliers de kilomètres pour être dépaysé. Profiter d’une météo plus clémente pour privilégier les week-ends en plein air, faire de la randonnée, des visites, vous balader et autres activités en extérieur. Je trouve qu’il n’y a rien de tel que de déambuler sans but précis pour découvrir au mieux un endroit. On fini toujours par tomber sur des lieux inattendus et insolites, à l’écart des touristes. Deux jours c’est très court, mais on peut tout de même faire pleins de choses. Vous pouvez aussi opter pour un hôtel SPA afin de vous détendre, et de vous offrir un dîner gastronomique. Il faut savoir se faire plaisir de temps en temps pas vrai ? Et puis au printemps il y a une plus grande variété de fruits et légumes, les chefs changent leurs recettes, c’est le moment de déguster de nouveaux mets et d’émouvoir ses papilles. Le principal est de faire ce qu’il vous plait. Si jamais vous êtes intéressés, il vaut mieux s’y prendre à avance, les réservations pour ce type de séjour partent vite. En fouinant, je suis tombée sur ce site. Vous y trouverez pleins de destinations pour vous échapper le temps d’un week-end selon ce que vous voulez ( à la mer, en nature, en amoureux, sur la route des vins…) : http://www.weekendesk.fr/idee-week-end-sejour/14w8/Week-end-nature

Voilà voila guys ! J’espère que le gazouillis des oiseaux n’aura pas déconcentré votre lecture. Je vous souhaite de passer une saison florissante pour vos projets, quels qu’ils soient. Avez-vous un rituel particulier à l’arrivée du printemps ? Si vous décidez de partir en escapade, dites moi quelle destination vous avez choisie, cela peut donner des idées. Ah, et si certain(e)s d’entre vous ont la main verte, je suis preneuse de conseils en jardinage. J’adore les fleurs mais je ne suis même pas capable de garder une tige de bambou Ikéa en vie plus de deux ans… Bref. Je vous dit à très vite pour un prochain article. D’ici là, prenez soin de vous.

Bisous, Marion. 

C’est le Printemps ! Bonjour guys ! Aujourd'hui c'est le printemps, et comme je voulais faire preuve d'originalité, j'ai décidé de publier un article sur ...

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Mon calendrier de l’avent L’Occitane : semaine 3 !

Waow je suis grave en retard sur mon blog ! Noël et le réveillon du 31 décembre sont déjà passés ! J’espère que vous avez été bien gâté pour Noël ! Alors pour la dernière semaine du calendrier, voici le contenu :

- Jour 18 : Douche parfumée, senteur jasmin et bergamote ! Mes “favourite flavor” pour le thé ! - Jour 19 : Crème mains peaux sèches, une crème qui hydrate sans être grasse ! - Jour 20 : Crème “mains à croquer”, au lait d’amande, que ça sent bon !!! - Jour 21 : Shampoing aux 5 huiles essentielles, mon préféré !!! - Jour 22 : aïe, ça sent la fin du calendrier, Tonique douceur ! - Jour 23 : Crème mains et ongles, ça tombe à pics pour avoir des mains de princesses pour le réveillon du 31! - Jour 24 : OUIN c’est le dernier jour ! Eau de toilette Fleurs de Cerisier, parfait pour le week-end !

Voilà, j’ai fini de découvrir mon calendrier. C’est un cadeau qui rend euphorique ! Une découverte chaque jour avant l’arrivé du petit Jésus ! Je suis retombée en enfance, et mon souhait pour l’année 2017, c’est que chaque personne puisse recevoir un calendrier de l’avent, plein de surprises ! Mon kiffe à moi, c’est les produits de beauté. Pour d’autres, il en existe en vernis à ongle, en thé, en bouteilles de bière, etc. Qu’importe le contenu du calendrier, l’essentiel reste le moment de partage que j’ai eu avec mes filles. La phrase qui m’a le plus réjouie vient de ma grande puce : “Oh là là, tu en as de la chance maman, tu as toujours des choses pour te laver !”. Voilà. Tout est dit. 

Que l’année 2017 soit une année remplie de joie, de PAIX, d’amour pour son prochain, et que chacun accepte les différences, que le racisme soit un terme du passé, bref, que l’amour rayonne dans votre être intérieur. BONNE et MERVEILLEUSE année à tous !