#bolcheviks
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jloisse · 10 months ago
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« Est bolchevik celui qui aspire à obtenir des avantages matériels pour lui et pour les siens, quoi qu'il arrive ; est antibolchevik, celui qui est prêt à se priver de jouissances matérielles pour défendre des valeurs d'ordre spirituel ».
— José Antonio Primo de Rivera, Œuvres complètes (1942)
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mimilhateadds · 3 months ago
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The Meckchevik is the tool of the people ! Forward comrade, nauth shall stop the workers and the robots united !
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infosisraelnews · 6 months ago
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Le capital et les riches fuient la France craignant les confiscations bolcheviques
Après la victoire du conglomérat de forces de gauche, le Nouveau Front populaire, aux élections législatives, des milliards ont commencé à sortir de France. Selon le journal Le Figaro, on a assisté ces derniers jours à une forte augmentation du volume d’argent transféré des banques françaises vers les pays voisins, notamment vers le Luxembourg avec ses avantages fiscaux. « Des sommes d’argent…
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christian-dubuis-santini · 4 days ago
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Pour paraphraser Marx, rappelons-nous que les opprimés sont autorisés, une fois tous les cinq ans, à choisir quels oppresseurs professionnels vont les représenter.
Pour Freud, l'illusion politique et l'illusion religieuse sont de même nature:
«C'est le lien socialiste qui remplace actuellement le lien religieux.»
(Psychologie des foules et analyse du moi, 1921)
«Exactement comme la religion, le Bolchevisme doit dédommager ses croyants des souffrances et des privations de la vie actuelle par la promesse d'un au-delà meilleur, où il n'y aura plus de besoin insatisfait.»
Nouvelles conférences sur la psychanalyse, 1933)
«Pour maintenir la cohésion de leurs partisans, les Bolcheviks utilisent la haine contre tous ceux de l'extérieur.»
(Pourquoi la guerre?, 1933)
NB : entre 1918 et 1933, Freud fait clairement référence à la Révolution russe. Sa critique englobe, sans distinction, le bolchevisme et le stalinisme.
Il ajoute : «Les œuvres de Marx ont pris la place de la Bible et du Coran comme source de révélation (…) Un examen critique est interdit, des doutes quant à son exactitude sont punis de la même manière que l'Église Catholique punissait jadis l'hérésie.»
(Nouvelles conférences, 1933)
Si Freud refusa la référence au marxisme en tant que dogme, il n'en poursuivit pas moins un examen critique des idées et se présenta comme un lecteur de Marx attentif à repérer dans la théorie marxienne les points de convergence avec la psychanalyse.
Quant à Lacan, en tant que lecteur scrupuleux de Marx, («Ni Marx ni Freud ne sont dépassables…» il tira (entre autres) son «plus-de-jouir» du concept marxien de plus-value…
Loin des hémiplégiques de l’esprit qui ne voient le monde qu’à travers l’œillère gauche ou l’œillère droite, sans vouloir savoir que la gauche et la droite ont été inversées mais pas le haut et le bas.
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vicnormansstuff · 6 months ago
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« Vous devez comprendre. Les principaux bolcheviks qui s’emparèrent de la Russie n’étaient pas des Russes. Ils haïssaient les Russes. Ils haïssaient les chrétiens. Conduits par la haine ethnique, ils torturèrent et massacrèrent des millions de Russes »
#Soljenitsyne
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aurevoirmonty · 8 months ago
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"Les partisans bolcheviks se demanderont ce que nous leur préparons. Tout simplement, une autre Révolution, un peu plus terrible que la leur. Ils aiment l'étoile rouge. Nous célébrons le soleil jaune. Guerre de religion. "
Jean Mabire, Ungern, Le Dieu de la Guerre (1973)
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tasoeurlamilitante · 10 months ago
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Alexandra Kolllontaï : Née dans une famille bourgeoise, elle découvre le mouvement ouvrier russe en 1893, devient marxiste en 1896 puis une bolcheviks en 1915. En 1917 elle vote pour l'insurrection russe. Elle nommée commissaire du peuple à l'Assistance publique (santé) dirigea le mouvement des femmes, et et l’opposition ouvrière qu'elle participera à fonder en 1918. On dirait d'elle qu'elle “ elle était souvent un sujet de contrariété, à la fois personnel et politique, pour les dirigeants du Parti.” A partir de 1923-24, elle occupe divers postes dans la diplomatie de l’URSS et sera l'une des rares bolcheviques à ne pas avoir été liquide par Staline. Elle passera toute sa vie à se battre pour la libération des femmes.
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laulink · 2 years ago
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the french monarchy had given up their power through peaceful means not via force (I am not talking about the french revolution which was an utter failure it led to tons of bloodshed and the revolutionary leader becoming a actual tyrant like stalin and napoleon ended up taking power so the french revolution cant be called a successful moving away from monarch ( american revolution is the only one with the leaders sticking to their principles ) then french monarch came back and then gave up powe
... I assume the impromptu "history lesson" is in response to my recent post about the divine right to rule in Fodlan and its conclusion, which was that no meaningful change could have been achieved without conflict because of the way Fodlan's society is structured.
So, first off : the French monarchy gave up their power because 7000 citizens and 15000 members of the National Guard marched on Versailles out of anger that the soldiers there had received a banquet while the people had trouble getting even bread ; the next morning, some of those protestors broke into the royal apartments, ransacked the place and killed a number of royal guards before order was brought back. The King had fled to Paris the night before with his family, which is likely the only reason the Queen didn't meet an even earlier demise. After that, for the safety of his family, Louis indeed accepted the Constitutional Monarchy proposed by the Assembly, but I wouldn't call "being afraid he, his wife and their children would be executed by a mob" a peaceful mean. The process before that had been more or less peaceful, though many had died when they attacked La Bastille and many rural nobles had to flee the country to avoid violence from the commoners in the other regions of France, so I don't think we can honestly say that no violence was involved in the King of France giving up part of his power (and not even all of it).
Next : I don't know why you thought that my post was about the French Monarchy. It couldn't have more clearly been about Fodlan's countries and Church. Telling me about how the French Monarchy had the chance to give up their power without violence is just as relevant to the matter at hand as someone else telling me about how the Tsar of Russia and his family were slaughtered by the bolcheviks. Completely different context, culture, social structure and hierarchy. Pointless in the debate about Fodlan.
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yespat49 · 1 year ago
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Qui a créé l'Ukraine ?
Petite Russie (Wikipédia) Lénine (ou plus exactement les bolcheviks) a-t-il créé l’Ukraine ? Oui. Plus précisément,  l’Ukraine a été créée par les bolcheviks. 1. Ils ont artificiellement divisé le peuple russe, composé de Grands Russes, de Petits Russes et de Biélorusses. Ils ont constaté que les Ukrainiens ne sont pas des Russes. Bien que cela contredise directement des milliers d’années…
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d-bovet · 1 year ago
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Hugo Pratt and Corto Maltese (PART VI) :
On avait également apprécié, en 2020, Hispaniola. Le récit se déroule en 1938. Le capitaine Lacombe, de la Légion étrangère, quitte clandestinement l’Algérie pour rentrer à Marseille. Pendant la traversée de la Méditerranée, le bateau de pêche qui le transporte croise un navire de guerre italien qui se dirige vers l’Espagne pour ravitailler les troupes de Franco. Soupçonné d’espionnage, Lacombe se rend sur le navire italien avant que celui-ci ne coule le bateau de pêche. Incarcéré en Espagne par les troupes franquistes, Lacombe s’évade et intègre une brigade de la FAI (Fédération Anarchiste Ibérique). A Barcelone, il rencontre une belle pilote de chasse roumaine dont il tombe sous le charme. Mais les communistes russes éliminent ses amis anarchistes. Lacombe décide alors de les venger… Lacombe va découvrir que les communistes éliminent, sans le moindre procès, leurs propres alliés anarchistes. Ils éradiquent les combattants du camp républicain soupçonnés d’hostilité envers Staline.
Avec Mongolie, on retrouve une fois de plus ce goût de Vianello pour l’aventure, où survole l’esprit d’Hugo Pratt. Le récit commence en 1920, en Mongolie. Le baron Roman Von Ungern-Sternberg part en automobile enterrer son trésor dans la steppe. Puis il élimine tous les témoins… Dix ans plus tard, au sud-est du Tibet, sur le mont Kailas, le cartographe Gordon aperçoit le yéti lors d’une dangereuse ascension. Mais une avalanche submerge sa troupe. Rescapé grâce au yéti, Gordon est recueilli dans un monastère bouddhiste. Ces moines détiennent une carte indiquant où le baron Roman Von Ungern-Sternberg a caché, avant d’être fusillé, un trésor. Les moines confient à Gordon la mission de retrouver le butin qui s’y trouve. Escorté par trois moines-guerriers, il parcourt la Mongolie sur les traces du baron fou, entre les steppes de Mongolie et les montagnes escarpées du Tibet. Ils parviennent à éliminer le chef de brigands qui leur tendaient une embuscade, et prennent la décision de délivrer leur prisonnière : une mystérieuse comtesse russe…
Vianello redonne ainsi vie à l’un des personnages mythiques d’Hugo Pratt : le général von Ungern-Sternberg, qu’on n’avait plus vu depuis Corto Maltese en Sibérie. Il s’agit en quelque sorte d’une suite à Corto Maltese en Sibérie. Rappelons que Roman Von Ungern-Sternberg surnommé le « Baron fou » libéra la Mongolie des Chinois en s’emparant de la ville d’Ourga en 1920, puis il combattit les Bolcheviks avec des cavaliers cosaques. Trahi par les Mongols, il fut livré à l’Armée Rouge et fusillé après un bref procès.
L’influence d’Hugo Pratt, qui fut son maître, est criante dans le dessin de Vianello. C’est toujours un grand plaisir de retrouver son trait épuré, en noir et blanc.
La suite et fin paraîtra en septembre 2024.
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leseigneurdufeu · 2 years ago
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ok so controversial? question what is your opinion on the anastaisa broadway musical made in like 2017?
Lol not controversial at all, I didn't see it.
That being said I do know that the supernatural element is taken out in favor of a more down-to-earth, communist evil (thank you author's note on that one Zuko is the lost princess fic). Bare in mind that's all I know about it and here it goes
Pros: it makes the story more believable. Like, had Anastasia really survived, somehow, the execution, the people who would have tried to prevent her from claiming her heritage would have been the communists, not some kind of zombie warlock. It's probably also a bit easier to stage in a theater.
Cons: it makes the story more believable. I'm not watching Anastasia because I want a historical drama about real-Anastasia having escaped and being chased after by the bolcheviks. I'm watching Anastasia knowing full well she died, and my suspension of disbelief is made easier by the fact there are fantastic/supernatural elements in there, too.
So really it's all about what you're expecting from the story. Maybe there is something that makes the musical a complete heresy or a marvelous gem, but since I didn't watch it...
Now though the fact that the Grandmother is voiced by Angela Lansbury and Rasputin by Christopher Lloyd make the movie the best version anyway. I don't make the rules.
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de-gueules-au-lion-d-or · 2 years ago
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« Ils m’ont placé dans une automobile et c’est ainsi que j’ai parcouru les rues d’Irkoutsk, serré de près par mes gardes bolcheviks. Il y avait foule pour me voir. Pour voir le « baron sanglant », comme m’appelait la propagande de Lénine et de Trotski. Des ouvriers d’usine au regard buté et portant d’immondes casquettes graisseuses, des employés chétifs, voûtés à force de se pencher sur leurs écritoires, des J...s aussi, venus contempler celui qui les avait tant fait trembler…  Et au milieu de cette tourbe humaine, quelques hommes fiers et dignes : des Mongols, des Bouriates, des Bachkirs. Des hommes comme je les aime. Fiancés pour toujours à la steppe sauvage. Ils me regardaient avec amour. Pour eux, je ne pouvais pas mourir. Ils avaient, ces Asiatiques merveilleux, soif d’un nouveau Gengis Khan. Et je suis venu. La voiture roule dans les rues d’Irkoutsk et je sais ce qui m’attend. J’ai tué et on me tuera. Mais savent-ils seulement, ces chiens qui me gardent, ces chiens qui vont me fusiller, qui ils vont exécuter ? »
Baron Ungern von Sternberg
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christian-dubuis-santini · 1 year ago
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Pour paraphraser Marx, rappelons-nous que les opprimés sont autorisés, une fois tous les cinq ans, à choisir quels représentants parmi la caste des oppresseurs professionnels va les représenter et les opprimer.
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Pour Freud, l'illusion politique et l'illusion religieuse sont de même nature :
«C'est le lien socialiste qui remplace actuellement le lien religieux.»
(Psychologie des foules et analyse du moi, 1921)
«Exactement comme la religion, le Bolchevisme doit dédommager ses croyants des souffrances et des privations de la vie actuelle par la promesse d'un au-delà meilleur, où il n'y aura plus de besoin insatisfait.»
Nouvelles conférences sur la psychanalyse, 1933)
«Pour maintenir la cohésion de leurs partisans, les Bolcheviks utilisent la haine contre tous ceux de l'extérieur.»
(Pourquoi la guerre?, 1933)
NB : entre 1918 et 1933, Freud fait clairement référence à la Révolution russe. Sa critique englobe, sans distinction, le bolchevisme et le stalinisme.
Il ajoute : «Les œuvres de Marx ont pris la place de la Bible et du Coran comme source de révélation (…) Un examen critique est interdit, des doutes quant à son exactitude sont punis de la même manière que l'Église Catholique punissait jadis l'hérésie.»
(Nouvelles conférences…, 1933)
Si Freud refusa la référence au marxisme en tant que dogme, il n'en poursuivit pas moins un examen critique des idées et se présenta comme un lecteur de Marx attentif à repérer dans la théorie marxienne les points de convergence avec la psychanalyse.
Lacan, lecteur attentif de Marx, tira (entre autres) son son «plus-de-jouir» du concept marxien de plus-value…
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stephaneparede · 29 days ago
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L’alliance entre bolchévisme et nationalismes opprimés n’a pas été sans heurts, sans contradictions. Témoin cette lettre, datée du 8 septembre 1924 et adressée à la Commission centrale de contrôle du Parti communiste russe, du militant tatar bolchevik Mirsaid Sultan Galiev (1892-1940). Sultan-Galiev avait été arrêté en 1923, a priori sur ordre de Staline, puis exclu du Parti. Sa réintégration ne lui sera jamais accordée. Condamné à mort fin 1939, il est fusillé fin janvier 1940.
Source : Mirsaid Sultan Galiev, « Zajavlenie v Central’nuju kontrol’nuju komissiju RKP (b) s pros’boj o vosstanovlenii v partii. 8 sentjabrja 1924 g.» (« Demande de réintégration au Parti adressée à la Commission centrale de contrôle. 8 septembre 1924 ») in Izbrannyje troudy. Kazan, Gasyr, 1998, pp. 516-522.
Lettre adressée à la Commission centrale de contrôle du Parti, 1924
Mirsaid Sultan-Galiev
Par la décision des organes centraux du Parti l’année dernière, j’ai été exclu des rangs du Parti Communiste Russe (bolchevik) pour avoir tenté d’établir des liens avec l’un des dirigeants du mouvement des Basmatchis 1, Zeki Validov 2, sans en avoir averti le Comité Central du Parti. Même si cette décision a été très difficile à accepter, je l’ai approuvé comme étant un acte juste de châtiment de la part du Parti, car j’avais déjà reconnu à cette époque que mon acte relevait non seulement de l’erreur, mais aussi du crime et qu’ils méritait punition. Pendant ces durs mois d’exclusion, ma seule consolation a été l’espoir que le Parti, au bout d’un certain temps, me pardonnerait mon acte et me réintégrerait.
Je l’espérais pour les raisons suivantes :
Premièrement, il me semblait que la décision de m’exclure prise par le Parti, bien que juste et nécessaire, avait cependant été un peu hâtive et avait été provoquée par l’extrême exacerbation à la même période de la question nationale, plus précisément des tensions entre les « nationaux » et les « centristes ». Je pensais donc qu’avec le temps la situation allait se calmer, perdre de son acuité, ce qui créerait un terrain favorable pour aborder mon cas de manière plus apaisé et avec plus de sang-froid.
Deuxièmement, mon acte a été commis avant le 12ème Congrès du Parti, c’est-à-dire avant que le Parti ne note l’essor et le renforcement de ce qu’on appelle « désir de grande-puissance » (« velikoderjavničestvo ») et « chauvinisme grand-russe », et ne décide de les combattre de manière résolue comme des facteurs négatifs extrêmement dangereux à cette étape de la révolution. Je pensais donc que tout cela devait, jusqu’à un certain point, contribuer à la réduction de ma peine, car tout mon crime était une réaction, peut-être maladive, au développement et au renforcement d’un tel « chauvinisme de grande-puissance ».
Troisièmement, je pensais également que l’ensemble de mon comportement après mon exclusion du Parti me donnait le droit d’espérer être réintégré. Comme on le sait, j’ai obéi inconditionnellement à la décision des organes centraux à mon sujet. En outre, trois mois après mon exclusion du Parti et à la veille des événements allemands qui devaient avoir lieu, je suis venu à la rencontre du Secrétaire général, le camarade Staline, pour lui dire que j’étais prêt à jouer un rôle actif dans la défense de la révolution, si cela était nécessaire. Je l’ai fait librement et de mon propre gré, en désirant sincèrement prouver à qui de droit que mon exclusion du Parti ne m’avait pas rendu étranger à la révolution et à l’esprit révolutionnaire, et que si un conflit armé opposait la révolution à la réaction mondiale, je me rangerais du côté de la première.
Si j’avais été hostile au Parti, j’aurais fait comme Myasnikov, Levi, Frassar, Trammel et Heglund : j’aurais fait de la propagande contre le Parti Communiste Russe (bolchevik) et le Komintern en me liant pour ce faire avec l’étranger et les pays orientaux. Je ne l’ai pas fait, bien que par leurs constantes attaques, leur harcèlement permanent et leurs persécutions, certains camarades agissaient comme s’ils voulaient consciemment et intentionnellement m’y pousser (si cela intéresse la Commission centrale de contrôle, je peux fournir des renseignements plus que détaillés à ce sujet). Je ne l’ai pas fait, non pas parce que je ne le pouvais pas, mais parce que je ne le voulais pas.
Je ne le voulais pas pour les raisons suivantes :
a/ J’ai remarqué que la ligne tactique et pratique adoptée au sein du Parti dans la formulation de la question nationale-coloniale avait finalement été bien définie, qu’elle s’était consolidée et avait pris une forme plus précise qu’auparavant. Après avoir suivi méthodiquement le développement de la pensée du Parti (de ses dirigeants) à ce propos, ainsi que son travail pratique dans cette direction (la Chine, la question du Turkestan, etc.), j’ai acquis la ferme conviction que le Parti avait en fin de compte pris la bonne décision en considérant la question coloniale comme un élément constitutif, parmi les plus importants, de la révolution sociale, dû à la nécessité de liquider le système d’organisation économique de l’Europe occidentale, et en affirmant que les partis de l’Internationale communiste devaient, à l’égard de cette question, passer de l’état de spectateurs compatissants à celui d’initiateurs et de dirigeants du mouvement de libération nationale dans les colonies (exposé du camarade Manoulski au 5ème Congrès du Komintern). Des progrès ont selon moi été réalisés dans le sens de l’éclaircissement de certains aspects relatifs à la question de savoir si la révolution coloniale, c’est-à-dire la libération révolutionnaire des colonies du joug des métropoles, doit précéder la révolution sociale dans les pays européens ou si, inversement, comme le soutenaient les camarades de l’ultra-gauche, elle doit avoir lieu – non sous la forme d’une révolution mais sous celle d’une vague « autodétermination nationale » – seulement après la triomphe de la révolution de classe en Europe. Je ne pouvais ignorer en ce sens la pensée des dirigeants du Parti, exprimée par la bouche du camarade Trostky, membre du Comité Central du Bureau politique (son exposé à l’Université communiste des travailleurs de l’Orient lors de la conférence anglo-soviétique) qui a soulevé la question suivante : est-il absolument nécessaire pour la révolution sociale qu’elle soit l’œuvre des prolétaires des pays capitalistes d’Occident, à haut développement technique, ou bien l’initiative de la direction de la révolution sociale mondiale peut-elle, sous certaines conditions, passer dans les mains des travailleurs et communistes de l’Orient, c’est-à-dire des pays coloniaux et semi-coloniaux ? Dans cette formulation de la question nationale-coloniale, j’ai perçu le reflet des pensées et perspectives qui ont guidé mon travail lors de révolution.
b/ À partir d’une analyse approfondie des fondements sociaux du système actuel de l’économie capitaliste, du système économique colonial et des potentielles mutations révolutionnaires à l’échelle internationale qui sont susceptibles de se produire très prochainement sur ces bases, j’en suis arrivé à la conclusion évidente que la question de la révolution de classe, ayant pour but final l’instauration du régime communiste sur toute la surface de la terre, gardera inévitablement son entière acuité même après les révolutions coloniales, lesquelles ont pour premier objectif l’émancipation économique et politique des colonies et semi-colonies. Même si les révolutions coloniales parviennent à poser les fondements d’une organisation rationnelle de l’économie mondiale (les moyens de production seront alors rapprochés des ressources naturelles ainsi que des centaines de millions de bras des travailleurs indigènes des colonies) comme conséquence de la libération des forces productives des colonies et semi-colonies de l’influence de l’impérialisme des métropoles qui freine leur développement, même dans ce cas, la question de la révolution communiste – comme ordre supérieur, comme réelle nécessité vitale de l’humanité et comme nécessité juridique actuelle de la collectivisation du travail et des moyens de production – restera présente et exigera une réponse. Autrement dit, j’ai fait ce qu’on appelle une « réévaluation des valeurs » à la lumière des intérêts des travailleurs des colonies et semi-colonies tels que je me les représentais. Je me suis aperçu que le communisme, dans sa forme la plus aboutie, le léninisme, n’était pas seulement une science révolutionnaire née des besoins et pour les besoins des masses laborieuses des métropoles, mais était en train de se transformer, historiquement, en une école radicale-révolutionnaire, en un idéal révolutionnaire ultime, en un outil révolutionnaire primordial et en un levier révolutionnaire de libération sociale des centaines de millions d’esclaves coloniaux, hommes et femmes. Dans cette perspective, le communisme et le léninisme se présentent à mes yeux comme historiquement inéluctables et comme appelés à sauver de l’arbitraire de l’anarchie capitaliste et de l’oligarchie impérialiste non seulement les travailleurs d’Europe qui sont pris dans leur étau, mais aussi tout le reste du monde exploité.
Pour ces raisons, lors de ma visite au Secrétaire général du Parti, le camarade Staline, il y a déjà un an, je lui ai demandé quelles étaient mes chances de pouvoir réintégrer le Parti. Le camarade Staline m’a alors répondu que cette question pourrait être débattue, mais seulement un an plus tard.
Un an est passé et je me suis donc adressé pour la deuxième fois au camarade Staline, non seulement parce qu’il est le Secrétaire du Comité Central, mais aussi parce que, parmi les principaux travailleurs, il est l’un de ceux qui me connaissent le mieux. Il m’a alors proposé de m’adresser à la Comission de contrôle du Parti.
Par la présente, je demande à la Commission de contrôle de bien vouloir réétudier la décision de mon exclusion, en considérant les facteurs suivants :
1/ J’aimerais être entièrement réintégré dans le Parti, c’est-à-dire que soit pris en compte mon ancienneté au sein du Parti et que me soit octroyé le droit de solliciter plus tard la Commission afin qu’elle considère mon expérience révolutionnaire depuis 1913, comme étant celle de l’un des rares socialistes tatars qui ont osé, dès cet époque, mener un travail souterrain contre le tsarisme malgré notre isolement par rapport au reste du monde révolutionnaire. En ce qui concerne mon expérience à partir de 1917, je prie la Commission de ne pas refuser de reconnaître celle-ci, car j’ai sincèrement donné à cette période de la révolution, de 1917 à 1923, les meilleures années de ma vie, lesquelles n’ont pas été inutiles.
2/ Je voudrais également attirer l’attention de la Commission sur une circonstance très importante, parmi d’autres, à savoir la nature particulière des conditions du développement de la révolution dans les régions économiquement et politiquement arriérées de population turco-tatare. De mon expérience personnelle de travail pendant la révolution parmi les nationalités arriérées, j’ai conclu que le développement de la révolution sur nos marges orientales aura certainement lieu de manière non linéaire, non pas selon un « projet préétabli » mais par soubresauts ; pas même suivant des lignes courbes, mais suivant des lignes brisées. Ceci s’explique par le fait que ces régions ont vécu sous le joug écrasant du tsarisme. L’importance et l’ampleur des atrocités commises dans ces régions par les tsars russes et leurs satrapes n’apparaissent au grand jour, dans tout leur relief et leur « magnificence », qu’aujourd’hui, après la révolution d’Octobre, qui a rendu posssible une analyse réellement objective de l’histoire des Turco-Tatars et des autres nationalités autrefois opprimées. On apprend que les historiens russes ont scrupuleusement caché, à qui il fallait, le caractère inhumain, et sans précédent dans l’histoire, des actes de cruauté infligés par les gouverneurs russes à ces peuples. L’étude objective du Khanat de Kazan et, plus généralement, de l’histoire de la colonisation des marges orientales par les grands propriétaires nobles et la bourgeoisie russe, ainsi que de l’histoire des mouvements révolutionnaires des peuples de la Volga et de l’Oural, démontre que toute cette histoire de conquête, d’oppression et de colonisation des peuples turco-tatars et des autres peuples orientaux de Russie, n’a été rien d’autre que l’histoire « du fer et du sang ». Pour avancer en Orient, vers des ressources naturelles et des débouchés commerciaux à bon marché, la bourgeoisie féodale et commerciale devait anéantir des villes et bourgades florissantes, et exterminer des centaines de milliers, des millions même, de paysans, ouvriers et membres de l’intelligentsia indigènes. De grandes régions toutes entières, des dizaines de districts ruraux ont été rasées et des centaines de milliers de personnes éliminées. Ces actes de cruauté ont provoqué soulèvement après soulèvement (soulèvements armés des Tchouvaches, Maris, Votiaks et Tatars durant les quinze-vingt années qui ont suivi la conquête du Khanat de Kazan ; participation des Bachkirs et Tatars au mouvement de Pougatchev 3 ; soulèvements en Bachkirie, au Turkestan, en Crimée et dans le Caucase), lesquels, à leur tour, ont fauché des dizaines et centaines de milliers de vies d’adultes indigènes en bonne santé et capables, ce qui a eu des effets délétères sur le développement ultérieur de ces régions. Les conséquences de cette politique « du fer et du sang », conduite durant des centaines d’années, ont été très néfastes pour ces peuples. On peut affirmer que vers le début du XXe siècle ces peuples n’existaient plus en tant que nations. C’était littéralement des esclaves et des parias. L’année 1905 les a légèrement réveillés, mais seulement légèrement. L’émergence d’une force politique indigène, représentée par la bourgeoisie commerciale et par une fine couche de l’intelligentsia indigène petite-bourgeoise, ayant lancé le slogan de la « renaissance nationale », a constitué l’un des résultats positifs de 1905 pour les peuples turco-tatars de Russie. Il n’y avait pas de prolétariat, au sens ouest-européen du terme, c’est-à-dire comme force ouvrière qualifiée, organisée en tant que force politique de classe à l’échelle nationale. Les nombreux ouvriers tatars employés dans les mines et les carrières, dans les chemins de fer et, en petit nombre, dans les fabriques et usines, constituaient une force ouvrière non-qualifiée ; en outre, ils étaient partout minoritaires et étaient incorporés au prolétariat russe.
Tout cela, par la force des choses, devait se répercuter et s’est répercuté sur le développement du mouvement communiste et révolutionnaire parmi les Turco-Tatars. Si la partie russe du Parti communiste s’est formée au sein des fabriques et des usines, dans les dures conditions d’une existence souterraine, les communistes turco-tatars quant à eux ne se sont réveillés qu’au cours de la révolution. Dans leur majorité, ils étaient, de manière fortuite, issus de la petite intelligentsia ouvrière qui a suivi le Parti communiste non pas tant pour ses slogans sur la lutte des classes et la révolution que pour ceux relatifs à l’autodétermination nationale. Bien que, parmi ces communistes, il y en ait eu qui ont rejoint le Parti pour mener la lutte des classes, ils étaient tellement minoritaires qu’ils ne pouvaient en aucune façon être représentatifs des véritables rapports de force au sein de l’organisation des communistes indigènes. Ajoutons également que le carriérisme et l’esprit mercantile étaient plus développés parmi les communistes turco-tatars que parmi les camarades russes.
Un exemple caractéristique, tiré de l’histoire de l’organisation des communistes tatars de Kazan, démontre je crois à quel point étaient difficiles et tragiques les conditions dans lesquelles ont évolué les quelques communistes tatars qui ont dû, pendant et après la révolution d’Octobre, prendre l’initiative et avoir le courage de s’opposer aux passions du nationalisme exalté et du chauvinisme indigène armé. Au printemps 1918, peu de temps après le désarmement de la « Zabulačnaja respublika » 4 et à la requête du camarade Cheinkman, aujourd’hui défunt, une contribution financière de la part de la bourgeoisie tatare a été collectée. La question soulevée par la frange la plus dynamique des communistes tatars fut celle du partage de 50 000 roubles en or, en prévision des « mauvais jours ». Cette sation a donné lieu à un grave conflit, d’une part, entre une partie des camarades tatars et russes et, d’autre part, entre les communistes tatars eux-mêmes. Quand je suis rentré à Kazan en 1918 après ma mission à Moscou (tout ceci a eu lieu en mon absence), j’ai trouvé un parti local en plein délabrement. Je suis profondément convaincu que le soulèvement de la garnison au mois de juin à Kazan s’est produit, sinon entièrement du moins en grande partie, à cause de la démoralisation de l’organisation locale du Parti.
On peut prendre l’exemple du cas, début 1919, de deux travailleurs d’Oufa : membres du Comité révolutionnaire de la province et membres du Présidium du bureau provincial des communistes tataro-bachkirs, ces deux camarades étaient littéralement des pillards. Ils extorquaient de l’argent à la population de manière systématique et organisée en la menaçant de solliciter les organes de la lutte contre la contre-révolution ; tout ceci avait lieu alors qu’à quelque 20-30 verstes de Oufa, les troupes de Koltchak stationnaient (le camarade Pavlounovski, qui travaillait à ce moment là pour le service spécial de la 5ème armée et qui travaille aujourd’hui pour la République d’Extrême-Orient, peut présenter des documents détaillés à ce sujet) et que mettre la population indigène locale au service de la révolution demandait des efforts héroïques.
Il n’est pas sans intérêt de noter qu’aujourd’hui le groupe dirigeant des communistes tatars est composé à 70-80% de fils de commerçants et de mollahs dont certains, dans les années précédant la révolution et à la veille de celle-ci, jouaient dans la vie des Tatars le rôle le plus réactionnaire.
Je pense qu’il n’est pas nécessaire d’expliquer quelle était alors la situation des communistes tatars auxquels l’histoire a imposé la tâche fondamentale et extrêmement difficile à cette période d’attirer les travailleurs des nationalités orientales dans l’orbite de la révolution sociale et d’en faire une force active.
Cette situation a été aggravée par le fait que nous, communistes appartenant aux nationalités turco-tatares, n’avions non seulement pas l’expérience requise de lutte révolutionnaire souterraine, mais pas même l’éducation et la formation élémentaires. Enfants, nous avons été mutilés par les « sagesses » arabes moyen-âgeuses, pour ensuite voir nos esprits exposés aux « sagesses » des missionnaires russes, comme tous ces Ilminsky, Pobiedonostsev, etc. De plus, nous n’avons pas eu d’école de développement révolutionnaire. Les écoles révolutionnaires du prolétariat russe, c’est-à-dire à nos yeux celles des sociaux-démocrates (bolcheviks) et, pour une part, des anarchistes et des socialistes révolutionnaires, ne nous étaient pas accessibles en raison du secret dont elles s’entouraient. Nous n’avons pu juger de leur travail qu’à travers les rares brochures qui parvenaient jusqu’à nous, les discours accidentels des orateurs de la Douma et quelques autres proclamations. Leurs journaux n’arrivaient pas jusqu’à chez nous en province, et d’autant moins dans les villages, car le pouvoir tsariste les confisquait invariablement. D’un point de vue personnel, je n’ai pas réussi à entrer en contact avec les sociaux-démocrates (bolcheviks), même à Bakou où j’ai travaillé environ 6 mois en tant qu’adjoint d’un employé de leur imprimerie. Pour autant, le parti social-démocrate (bolchevik) a toujours été à nos yeux le plus révolutionnaire. Nous avons toujours été à ses côtés dans nos meilleurs sentiments et aspirations. Bref, nous constituions une énergie révolutionnaire brut et élémentaire qui, sous réserve d’un traitement attentif et d’une formation révolutionnaire adéquate, pouvait former un bon noyau révolutionnaire et être le ferment du développement de la révolution en Orient. Mais qui pouvait s’en occuper convenablement, alors que nous n’avions même pas le temps de réfléchir à cela et que chacun de nous devait agir à ses risques et périls ?
C’est mon premier point.
Deuxièmement, le travail que j’ai dû accomplir pendant la révolution, à savoir l’enrôlement massif des Turco-Tatars et des petites nationalités dans la révolution nationale à l’aide du slogan de la détermination nationale, a été extrêmement dur et protéiforme, et m’a demandé énormément d’efforts et d’énergie. Tout cela était évidemment naturel et il ne pouvait en aller autrement. De toutes les révolutions qu’a connues l’humanité, la révolution d’Octobre en Russie a été la première à avoir à s’occuper, outre du problème de la réorganisation de la société, de la résolution de la question nationale dans les conditions de la dictature du prolétariat. Il faut souligner que la partie la plus difficile de ce travail, la moins noble, a reposé sur les épaules des communistes indigènes de nos périphéries. Il ne serait pas raisonnable d’exiger que ce travail se fasse sans accroc, sans lutte interne, sans bévue et sans erreur. Nous n’exigeons même pas ces choses là de la partie principale de la révolution, alors qu’il y avait là l’expérience et une littérature suffisamment riche au sujet de la révolution sociale, ainsi qu’un travail de préparation de la classe ouvrière. Aucune de ces conditions n’était réunie pour la question nationale. D’un point de vue théorique, la question nationale n’avait pas suffisamment été travaillée. On a été obligé de la résoudre sur le tas, tout particulièrement pendant les premières années de la révolution. Le fait que, pendant la révolution, le Parti ait dû soulever cette question à trois reprises lors de ses Congrès, et par deux fois lors des Congrès du Komintern, en témoigne explicitement. La majorité des travailleurs du Parti n’avait par conséquent pas d’idée claire des méthodes de travail dans le domaine de la politique nationale. De nombreux camarades ne comprenaient pas du tout l’importance de la question nationale ; ils la considéraient négativement, ou de manière légère et avec ironie, en contaminant de leur nihilisme non seulement les communistes russes, mais aussi les indigènes eux-mêmes.
De ce point de vue, toute l’histoire de la formation des républiques et régions (oblasti) autonomes a été, à de rares exceptions près, l’histoire de la lutte entre, d’un côté, un petit groupe de travailleurs indigènes du Parti qui s’appuyaient sur les masses laborieuses indigènes et sur l’autorité des figures centrales du Parti (les camarades Lénine et Staline, qui étaient favorables à la mise en œuvre inconditionnelle des slogans de la politique nationale des travailleurs indigènes) et, de l’autre, des camarades russes locaux auxquels se joignaient des indigènes à l’esprit nihiliste, et qui niaient la question nationale en la considérant davantage comme une question de contre-révolution que de révolution. Je pense que les archives du Comité Central du Parti contiennent suffisamment de documents retraçant certains des épisodes de l’histoire de la formation et de l’existence des entités nationales, pour démontrer que non seulement la formation, mais l’existence même des unités nationales autonomes provoquaient la résistance acharnée de ces groupes de camarades russes et, en partie, indigènes.
J’enjoins encore une fois la Commission du Parti à ne pas omettre ces circonstances car celles-ci ont généré une atmosphère dans laquelle il était extrêmement difficile de mener un travail normal et sans erreur.
Pour résumer ma demande à la Commission :
1) Je considère mon exclusion du Parti comme un acte juste de châtiment de la part du Parti suite à ma faute.
2) Néanmoins, je n’ai pas perdu et ai encore l’espoir d’être réintégré en qualité de membre du Parti. Je continue de croire qu’étant donné toutes ces circonstances objectives et subjectives, lesquelles ne peuvent pas ne pas être prises en compte dans l’étude de mon cas, le Parti peut me pardonner cette erreur.
3) Avec cet espoir, je m’adresse à la Commission pour demander que soit réexaminée la question de ma réintégration, que soit pris en compte mon ancienneté au sein du Parti, à partir de 1917, et que me soit octroyé le droit de solliciter la Commission pour qu’elle considère mon expérience révolutionnaire depuis 1913.
4) Après ma réintégration au sein du Parti, je promets d’être un membre discipliné et de me rendre là où le Parti me l’ordonnera.
Moscou, le 8 septembre 1924.
M. Sultan-Galiev
Notes
1 Le mouvement des Basmatchis, né au lendemain de la révolution d’Octobre, était un mouvement nationaliste, dont l’idéologie était fondée sur le panturquisme et le panislamisme, composé de rebelles musulmans d’Asie Centrale en lutte contre le pouvoir soviétique et se donnant pour objectif l’expulsion des bolcheviks de ces territoires. Le mouvement entre dans une phase de déclin à partir de la fin des années 1920.
2 Ahmed Zeki Validov 1890-1967) était un des principaux dirigeants du mouvement nationaliste bachkir. Arrêté par les forces soviétiques en février 1918, il s’allie un an plus tard aux Bolcheviks en échange de la promesse de l’autonomie de la république bachkire. Profondément déçu par cette collaboration, il rejoint en juin 1920 le mouvement des Basmatchis et s’attache alors à inscrire le nationalisme bachkir dans un mouvement de plus large ampleur pour l’indépendance turque à l’égard de la domination coloniale russe. Il quitte le Turkestan en 1923 et poursuit une carrière universitaire qui le conduit de la Turquie à l’Autriche et l’Allemagne. Il retourne en Turquie en 1939 pour enseigner à l’Université d’Istanbul.
3 Emelian Pougatchev (1742-1775), Cosaque du Don, se faisant passer pour le tsar Pierre III (assassiné en 1762), il a dirigé des soulèvements cosaques auxquels se sont joints des Tatars, Bachkirs, Tchouvaches, Kalmouks et Kazakhs. Ces soulèvements, réunis sous le nom de « révolte de Pougatchev », se sont déroulés entre 1773 et 1775 sur de larges territoires autour de la Volga et de l’Oural et dans une partie de la Sibérie occidentale.
4 « Zabulačnaja respublika », dénomination péjorative utilisée par les bolcheviks pour désigner l’État d’Idel-Ural, dont l’indépendance fut d’abord proclamée par les Tatars, Bachkirs et Tchouvaches au lendemain de la révolution d’Octobre. Après l’arrestation par les bolcheviks de plusieurs des participants au IIe Conseil militaire musulman (Kharbi Churo) de février 1918, ce Conseil décide de poursuivre ses réunions dans la partie tatare de Kazan, de l’autre côté du fleuve Boulak et réaffirme la fondation de l’État d’Idel-Ural, sous la forme à présent d’une république autonome au sein de la Russie soviétique. Dans l’historiographie soviétique, cet « État » a été péjorativement qualifié de « zabulachij », qui signifie littéralement « derrière le fleuve Boulak ».
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29 Ocak 2023
Müslüman Milli Komünizm Fikri: Mirsaid Sultan Galiyev Üzerine
Giriş: Marksizm ve Milliyetçilik
1961 tarihli Yeryüzünün Lanetlileri kitabında Frantz Fanon, “Marksist analizin kapsamı, sömürge sorunuyla yüzleşmek zorunda kaldığımız her durumda, az da olsa genişletilmek zorundadır” diyordu.[1]
Fanon’un dile getirdiği bu görüş, Dipeş Çakrabarti’nin Avrupa’nın “taşralaştırılması” dediği, sömürgecilik sonrası döneme ait sorunsala dair yeni bir inceleme için bize mükemmel bir çıkış noktası sunuyor.
Madunluk, sömürgecilik sonrası dönem ve sömürgelikten kurtulma meselelerini ele alan çalışmalarda karşımıza, çapraşık niteliği sebebiyle anlam belirsizliklerine sebep olan bu Avrupa’nın taşralaştırılması ile ilgili iki bir birbirine benzemez ve rakip anlayış çıkıyor.
Bu çalışmalarda, bir yanda bu taşralaştırma meselesini tikelleştirme ile aynı anlamda kullanan, dolayısıyla aslında genelde “Avrupamerkezci Avrupa düşüncesi”nin, özelde ise Marksist düşüncenin görecelikçi bir düşünce haline getirilmesinden bahseden anlayış, diğer yanda ise hakiki evrenselleşme imkânı için gerekli koşul olarak, teorinin sınırlarını Avrupa’nın ötesine taşımanın şart olduğundan dem vuran ve taşralaşmayı kapsamı genişletmek olarak anlayan anlayış duruyor.
Postkolonyal eleştirinin muarrızları, bugüne dek iki biçime sahip olan taşralaştırma işleminin görecelikleştirmeyle ilgili biçimine karşı çıktılar ve bu biçimi, sömürgecilik karşıtı düşünceden ve özgürlük mücadelelerinden kopulduğuna dair bir emare olarak gördüler. Ama öte yandan söz konusu isimler, kapsamın genişletilmesi veya sınırların Avrupa’nın ötesine çekilmesi meselesine pek eğilmediler. Oysa bu biçim de genelde sömürgecilik karşıtı düşüncede, özelde sömürgecilik karşıtı Marksizmde derin köklere sahip bir fikri esas almaktaydı.
Sömürgecilik karşıtlığından postkolonyal eleştiriye yönelik tarihsel-epistemolojik geçişe ve aradaki ayrıma temel teşkil eden süreklilikleri ve kopuşları izah ederken bu soykütüğü, geriye doğru farklı şekillerde takip edilebilir. Ben, burada Marksizmin millileşmesi sorunu ele alacağım.
Bu mesele, genelde Marksizmi belirli özel koşullara uyarlama meselesi olarak ele alınıyor. Ama bu yaklaşım, Gramsci ve C. L. R. James’in ortaya koyduğu biçimiyle, bu türden bir millileştirme girişiminin teorik ve pratik çeviri süreci ile ilişkili olduğu yolun o karmaşıklığını açıklamıyor. Bu konuda verilebilecek en ünlü örnek, hâlen daha Mao Zedong’un Marksizmi “Çinlileştirmesi”dir. Bu konuda Arif Dirlik’in şu tespiti, postkolonyal çalışmalara yöneltilmiş en sert eleştiridir:
“Bir lider olarak Mao’nun en güçlü yanlarından biri, onun Marksist kavramları Çinceye tercüme edebilme becerisidir. Başka bir ifadeyle, Mao, ‘Marksizmi halkın diline tercüme etmiştir’.”[2]
Burada bahsi edilen, Marksizmin millileşmesi sürecinin, Stalin’in “biçimde milli, içerikte sosyalist” formülüne indirgenemeyeceğini söylemek gerekmektedir.[3]
Ben, burada önce Sovyet Rusya’da, sonra SSCB’de 1917’de başlayıp yirmili yılların sonunda sona eren dönemde gelişen, pek fazla bilinmeyen “Müslüman milli komünizm” tecrübesiyle ilgileniyorum. Bu tecrübeye ışık tutmak, üç sebepten ötürü önem arz ediyor:
1. İsimden de anlaşılacağı üzere, “Müslüman komünizmi”nin, Sovyet örneğinde karşımıza çıkan “beyaz Avrupai kökler”e sahip özgürlükçü hareketlerle bu fikri kendi politik iddialarıyla farklı şekilde ilişkilendiren gruplar ve İslam arasındaki ilişkiler meselesini gündeme getiriyor oluşu.
2. Rus imparatorluğunun merkezinde gelişen devrimci süreçle uyumlu ilerleyen antiemperyalist ve özgürlükçü hareketle tanışma imkânı sunması. Bu, herkesin bildiği, bir başka örneğini on sekizinci ve on dokuzuncu yüzyılda yaşanan geçiş süreci dâhilinde Fransa ve Haiti’deki devrimler arasında varolan bağda gördüğümüz önemli bir tarihsel durum aslında.
3. “Metropol”ün, büyük emperyalist ülkelerin çektiği sınırlar dâhilinde gelişen “sömürge devrimi” meselesini ele alması. Burada bir istisnai olma meselesi değil, bir sınır meselesi söz konusu. Öyle ki küresel emperyalizm bağlamında Avrupa dışı milliyetçilik, hiçbir zaman imparatorluğa “dışsal” bir şey değil, bilâkis bu milliyetçilik, imparatorluğun çektiği kalıcı sınıra tabi.
Dolayısıyla, Avrupa’nın taşralaştırılması, merkezden çıkartılması meselesini, genelde Marksizmin özelde Bolşevizmin millileştirilmesi olarak düşündüğümüzde, Marksizm-Leninizmin karşısında hayal âleminde onu değiştirmesi veya göreceli kılması mümkün olmayan bir radikal ötekiyi çıkartmış olmuyoruz. Bu tür bir düşüncede mesele, Bolşevizmin teorik ve pratik alanda yüzleştiği sınırları idrak edip, onun Marksizmin Rusya’ya tercüme edilmesiyle ilgili pratiğin, başka bir ifadeyle, Marksizmin kapsama alanının genişletilmesi çabasının bir ürünü olduğunu görmek. Bu genişletme çabası, doğalında Bolşevizmin imparatorluğun sınırlarından başlayarak yeniden düşünüldüğü açıklama tarzlarını şart koşuyor.
Burada Müslüman milli komünizmi bütünüyle değerlendirmeye tabi tuttuğum iddiasında değilim. Bu çalışmada ben, daha çok önemli bir sima olarak, Tatar Bolşevik, aydın ve militan Mirsaid Sultangaliyev’le ilgileniyorum. O, ilk tutuklandığında Trotskiy’nin 1923’te “Sultangaliyev’in tutuklanışını hatırlıyor musun? […] O, partinin Stalin’in girişimiyle tutuklanan ilk önde gelen üyesiydi. […] İşte Stalin’in dişine kan o an değdi”[4] dediği, Kamenev’in bize aktardığı sözde ismi belirli bir vurguyla anılan kişi.
Burada her şeyi ta başından aktarmak gerekiyor.[5]
Sultangaliyev ve Müslüman Milli Komünizmin Gelişimi
Sultangaliyev, 1892’de Başkurdistan’da yoksul bir ailenin içine doğdu. 1907’de milliyetçi ve devrimci fikirlerin buluşma noktası olan Kazan öğretmen okuluna girdi. Sonraki yıllarda gazetecilik faaliyetlerinde bulunan Galiyev, Müslüman milliyetçi harekete katıldı. Şubat Devrimi’nden birkaç ay sonra Moskova’da düzenlenen Tüm Müslümanlar Konferansına katıldı ve Tüm Rusya Müslümanları Şurası Sekreteri seçildi. Haziran 1917’de Bolşevik Parti’ye girdi. Ekim ayı içerisinde Kazan askeri devrim komitesine giren Galiyev, başka sorumluluklar üstlenmenin yanında, Müslüman Askeri Koleji’nin başına getirildi. Ardından, Halkın Milliyetler Komiserliği içerisinde bir süre Stalin’le birlikte çalıştı. Bu yıllarda Galiyev’in çalışmalarında üç ana stratejik yönelim veya eğilim ortaya çıktı:
1. Müslüman Kızıl Ordusu’nun, kendi ifadesiyle, “Doğulu Proleterlerin Kızıl Ordusu”nun kurulması.[6] Bennigsen ve Quelquejay’nin de ifade ettiği biçimiyle, Sultangaliyev, Mao’dan yıllar önce bu türden bir ordunun itici devrimci güç, proletaryanın bulunmadığı yerlerde onun yerini alacak, gerçek manada örgütlü, hiyerarşik ve alabildiğine politize olmuş bir ‘toplumsal sınıf’ olarak tahayyül etmişti.”[7]
2. Rus şovenizminin o köklü geçmişi dikkate alındığında, Müslüman devrimci hareketin Rusların öncülük ettikleri örgütlere katılması durumunda riske girecek olan, bu harekete ait özerkliği koruyabilecek bir Müslüman Komünist Partisi’nin kurulup geliştirilmesi.
3. Sovyet Rusya sınırları içerisinde büyük bir Tatar-Başkurt Cumhuriyeti kurulmasına yönelik olarak ortaya konulan, geçmişi Sovyet Devrimi’nden çok daha önceye dayanan çabalar.
Aynı dönemde Galiyev, ayrıca Müslüman komünizminin teorik ve ideolojik temellerini şu üç başlık üzerinden dile getiriyordu:
1. Toplumsal sınıflar arasındaki ilişkiler, bu ilişkilere bağlı olarak, toplumsal devrimle milli devrim arasındaki ilişkiler. Galiyev, Tatar proletaryasının bulunmadığı koşullarda Müslümanların toplumsal yapısının homojen olduğunu ısrarla dile getiriyordu. Ona göre, devrimin ilk aşamalarında hareketin liderleri, küçük burjuva geçmişe sahip devrimciler arasından seçilmeliydi. Lenin’in ezen milletler-ezilen milletler ayrımını anımsatan Galiyev, “ezilenlerin ezenlerden intikam alması çağrısı”nda bulunuyor, “tüm sömürgeleştirilmiş Müslüman halkların proleter halklar olduklarını” söylüyordu.[8]
2. Sosyalist devrimle İslam arasındaki ilişkiler. Galiyev’e göre, “dünyadaki diğer tüm dinler gibi İslam da yok olmaya mahkûmdu.”[9] Ama aynı zamanda o, dünyadaki büyük dinler içerisinde en genci olması sebebiyle, İslam’ın sahip olduğu nüfuz bakımından en dayanıklı ve en güçlü din olduğunu söylüyordu. Galiyev, ayrıca İslam şeriatının çalışma ve ticaret konusunda eğitimi zorunlu kılmak, toprak, orman ve su üzerinde özel mülkiyet haklarını redde tabi tutmak gibi kimi olumlu yönleri barındırdığı iddiasındaydı. Buna ek olarak, İslam’ın özgün ve ayrıksı olmasını son yüzyıl içerisinde tüm Müslüman dünyasının Batı Avrupa emperyalizmi eliyle sömürülmüş olmasına bağlıyordu. Dolayısıyla İslam, “hâlen daha savunulması gereken bir ezilen dindi.”[10] Süreklilik arz eden bu türden bir zulüm, Müslümanlar arasında köklü dayanışma duygularına ayrıca güçlü bir özgürleşme arzusuna yol açmaktaydı. Galiyev’e göre, komünistler, “İslam’ı ortadan kaldırma gayreti içerisinde olmamalı, bunun yerine, bu dinin manevi boyutundan kurtulup Marksistleşmesi için çalışmalıydı.”
3. Bolşevik Devrim’in ihraç edilmesi ya da Galiyev’in ifadesiyle, “devrimci enerjinin Rusya sınırlarının ötesine aktarılması.” Galiyev’e göre, devrimin kapsama alanı genişletilmeli, hem içteki muhtevası hem de dıştaki tezahürleri derinleştirilmeli.”[11]
Bu noktada genişlemenin yönü meselesi gündeme geliyor. Hindistanlı M. N. Roy gibi diğer Avrupalı olmayan Marksistler gibi Galiyev de devrimin öncelikleri sıralamasının terse çevrilmesini ve önceliğin Doğu’da gerçekleştirilecek devrime verilmesini öneriyor. Bu fikri dillendirenler, Batı’da devrimin başarısının, Doğu’da yaşanacak devrime bağlı olduğu görüşünde değiller, Doğu’daki devrimin Batı Avrupa’da devrimci enerjinin azaldığı koşulları aşabileceği üzerinde duruyorlar.
Galiyev’e göre, Doğu’da gerçekleştirilecek bir sömürgecilik karşıtı devrim, Avrupa devrimi ve dünya devrimi için önkoşul olarak görülmeli, dolayısıyla, “Doğu’nun devrimi için önce bu iki devrim gerçekleşmeli” koşulu öne sürülmemeli.
“Doğu’dan mahrum kalıp Hindistan’ı, Afganistan’ı, İran’ı, Asya ve Afrika’daki diğer sömürgeleri yitirince Batı emperyalizmi silinip gidecek, doğal ölümüyle yüzleşecek.”[12]
Galiyev, Rusya’daki Müslüman komünistlerin Doğu’da Sovyet devriminin propagandasını en iyi şekilde yapacak vasıflara sahip oldukları düşüncesinde. Bu düzlemde Galiyev, devrimci faaliyetlerin merkezsiz kılınmasını istiyor, Bolşevik liderlerden Rusya’nın sınır boylarında yer alan topraklarda yaşayan halkları Doğu’da gerçekleşecek devrimin asli kaynağı olarak belirlemelerini talep ediyor. Başka bir ifadeyle, Galiyev, imparatorluğun periferisinde gelişen milliyetçiliğin, enternasyonalizmin küresel ölçekte ihtiyaç duyduğu yenilenme sürecinin önemli bir koşulu olduğunu söylüyor.
Fakat Müslüman komünistlerle Sovyet liderleri arasında, iç savaşın dayattığı taleplerle yakından bağlantılı bir gelişme olarak kurulan ittifak, hızla bozuluyor. 1918 sonrası Müslüman Komünist Partisi, Bolşevik Partisi’ne bağlı Müslüman seksiyonu hâline getiriliyor. Tatar-Başkurt cumhuriyetini kurma vaadi, zamanla unutuluyor. Galiyev, istenmeyen adam hâline geliyor. 1920’de Bakû’de düzenlenen, kendisinin örgütlenme sürecine bizzat katkıda bulunduğu Doğu Halkları Kurultayı’na katılmıyor. Genelde ifade edildiği biçimiyle, bu kurultay, Sovyet iktidarı ile Doğu’da özgürlük için mücadele eden antiemperyalist hareketler arasında kısa süreliğine açığa çıkan yakınlığın tezahürü. Ama Zinovyev’in “İngiliz ve Fransız kapitalistlerine karşı yaptığı cihad çağrısı”nda simgeleşen bu umut kapısı, uzun süre açık kalamıyor.[13]
Umudunu devrimin Doğu’da yayılmasına bağlamış olan Müslüman komünistler, toplumsal devrimin milli devrimle eşzamanlı olarak gerçekleşmesi, hareketin liderlerinin radikal burjuvazi yerine yoksul köylülük içerisinden seçilmesi, ayrıca Batı’da gerçekleşecek proleter devrimin sömürge devrimi karşısında mutlak öncelikli kabul edilmesi gerektiğini söyleyenlerce kenara itildiler.[14]
Galiyev’e göre, bu itirazlar, dünya devrimi anlayışının zaferine giden yolu göstermek şöyle dursun, esasında o, her zaman güvensizlikle ve korkuyla yaklaştığı, zihniyetini ve uygulamalarını Çarlık imparatorluğundan miras almış olan Rus komünistleri içerisinde su başlarını tutmak için mücadele eden Büyük Rus şovenizminin zafere ulaştığının deliliydi. Bu Çarlık döneminden miras kalmış olan zihniyeti ve uygulamaları, 1921 tarihli Sömürge Devrimi isimli kitabında Giorgi Safarov da eleştirmekteydi.[15]
Komplolar ve Yeniden Dillendirilen Düşünceler
Galiyev’in itibarsızlaştırılması süreci 1923’te başladı. Partinin 25 Nisan 1923’te düzenlediği 12. kongresini takip eden birkaç hafta içerisinde (4 Mayıs’ta) Galiyev, Moskova’da tutuklandı ve partiden atıldı. Rusya içinde ve dışında komünistlerle ve komünist olmayan çevrelerle yürüttüğü yeraltı faaliyeti üzerinden Doğu’da devrim sürecini örgütleme çabası içerisinde olduğu için “komplo kurmak”la suçlanıyordu. Bu dönemde Galiyev, Ahmed Zeki Velidov’la, Orta Asya’da ise Basmacı hareketiyle çalışma yürütmüştü.[16] Bu suçlama ile birlikte “Sultan Galiyevcilik”le bağlantılı olan herkesin baskılarla yüzleştiği kapsamlı bir harekât başlatıldı.
Mayıs 1923’ten başlayıp 1924 yılının sonuna dek devam eden süreçte partiye bağladığı umudun suya düştüğünü gören Galiyev, marjinalleştirildi. Ama hâlen daha Sovyetler içindeki devrimci faaliyetler dâhilinde önemli görülen bir isimdi. Bu dönemde birkaç ay kaldığı hapishanede kendi hayat hikâyesini içeren bir mektup yazıp bunu Stalin ve Trotskiy’e gönderdi. Mektup, Galiyev’in dünya devrimiyle ilgili tezlerini içeriyordu:
“Düşünceme göre, sömürgelerde ve yarı-sömürgelerde kurtuluş hareketi ile emperyalist merkezlerdeki devrimci işçi hareketi arasında kopartılması mümkün olmayan, güçlü bağlar mevcut, dolayısıyla, beynelmilel bir sosyalist devrimin elde edeceği gerçek başarının teminatının, bu ikisi arasındaki uyumu esas alan bileşim olduğuna inanıyorum.”[17]
Galiyev’e göre, dünya devriminin gerçekleşebilmesinin yegâne koşulu, Doğu’daki sömürge karşıtı devrimlerle Avrupa’daki toplumsal devrimlerin birleşmesi, kaynaşması, dolaşıma girmesi, birbirlerini karşılıklı olarak yoğunlaştırması, ama buna karşın, her iki tarafın özerkliğini bir biçimde korumasıydı. Ona göre, böylesi bir durum, Rusya sınırları içerisinde oluşmuştu:
“Rus Devrimi’nin başarısı, haklı olarak, bir yandan Rus proletaryasının çıkarları ile diğer yandan sınır boylarındaki sömürge halkların milli ve sınıfsal kurtuluş hareketleri arasında tesis edilecek, uyumu esas alan ittifak üzerinden izah ediliyor. Bu anlamda, Rusya, dünya devriminin deneyimleneceği o büyük sahanın sahip olduğu tüm vasıfları bağrında taşıyor.”[18]
Bu, oldukça çarpıcı ve özgün bir tez. Bu tezi, Edward Said’in alıntıladığı, Fransa ve Haiti’de cereyan olayları birlikte ele alan Siyahi Jakobenler kitabında C. L. R. James de dillendiriyor.[19]
8 Eylül 1924’te partinin Merkezi Komisyon’una gönderdiği mektupta Galiyev, partiye yeniden alınmasına ilişkin isteğini aktardı. “Suç”unu itiraf eden Galiyev, kendisinin aslında Büyük Rus şovenizmi denilen olguya karşı tepkisini dile getirdiğini söyledi. Devamında Galiyev, devrimden önce komünist fikirlerin hiç bilinmediği bölgelerde bulunan “geri kalmış milliyetler” arasında yürütülecek devrimci çalışmanın yüzleştiği engeller üzerinde durdu. Mektubun sonunda ise Galiyev, Doğu’da gerçekleştirilecek devrimle ilgili tarihselci anlayışları karşıya atan özgün yaklaşımını aktarıyordu:
“Devrim süresince geri kalmış milliyetler arasında şahsen yürüttüğüm çalışmalardan edindiğim tecrübe ışığında ulaştığım sonuç şudur: ülkenin Doğu sınırları boyunca uzanan topraklarda devrim, düz bir çizgiyi takip ederek gelişmeyecek, hatta zigzaglar dahi çizerek ilerlemeyecek, bu devrim, kopuk kopuk ilerleme kaydedecektir.”[20]
İmparatorluğun bu sınır boylarında devrim, zamansal boyutta ancak kopuk kopuk ilerleyebilir. Bu devrim, sıçramalarla ve kopuşlarla maluldür. Bazen toprağın altında sessizce ilerler ve aniden ortaya çıkar. Bu devrim anlayışı, akla C. L. R. James’in Antiller’deki tarihsel sürece ilişkin tarifini getiriyor. James bu süreci, atılımların, yükselişlerin ve felâketlerin damgasını vurduğu, koordinatlarının belirlenmesinin güç olduğu bir dizi akıntıya tanık olunan bir süreç” olarak tarif etmektedir.[21]
Galiyev’in Ölümü ve Sömürgecilik Sonrası Döneme Bıraktığı Miras
Galiyev’in ricasına olumsuz cevap verildi. Partiye bir daha alınmadı. Sonrasında tümüyle yeni bir strateji benimseyerek Sovyet iktidarından koptu. Bu anlamda, belirli bir açıdan bakıldığında, o, “karşı-devrimci bir strateji” benimsemişti. Artık düşman, sadece emperyalist ülkelerdeki burjuvalar değil, bir bütün olarak “sanayi toplumu”ydu ve Sovyetler Birliği de bu toplumun parçasıydı.
1923-1928 arası dönemde yaşadıkları ve yaptıkları konusunda çok az bilgiye sahibiz. Bu döneme ilişkin olarak sadece Türk Halkının Gelişiminin Sosyolojik, Politik, Ekonomik ve Kültürel Temellerine Dair Düşünceler başlıklı, Tatar dilinde kaleme alınmış bir program yazdığını biliyoruz.[22] Program kayıp, ama bazı Sovyet çalışmalarında ondan yapılan alıntılara rastlanıyor.
Galiyev’in Sovyet iktidarından ve Bolşevizmden kopuşu, diyalektik materyalizmi Avrupalı köklerinden kopartma girişiminde karşılık buldu. Doğulu köklerden, bilhassa Moğollardan beslenen bu yeni geliştirdiği anlayışı “enerjik materyalizm” olarak adlandırdı. Bilgi ve teori düzleminde Avrupa’yı merkezden çıkartma girişimi, daha genel bir ideolojik ve stratejik kopuşun parçası olabildiği ölçüde anlamlı hâle gelebiliyordu.
Galiyev, “ezilenlerin müşterek cephesi” anlayışını geliştirdi. Bu anlayış, esasen “Müslüman toplumundaki tüm sınıfları bir araya getiriyor, büyük burjuvaziyi ve feodal toprak ağalarını dışlıyor, ayrıca söz konusu cephenin “geleneksel ümmet fikri”yle birleşmesini öngörüyordu.[23]
Nispeten daha radikal bir tarz dâhilinde Galiyev, “sömürülen kapitalist” anlayışı yerine “azgelişmiş sanayi” üzerinde duruyor, düşmanın sadece emperyalist ülkelerdeki burjuvaziden ibaret olmadığını, Sovyetler Birliği dâhil tüm sanayileşmiş toplumu içerdiğini söylüyordu.[24]
“Rusya’da sosyalist devrimin tasfiye olacağı sürecin devasının bulunmadığını” düşünen Galiyev, bu tasfiye sürecine Büyük Rus şovenizminin yoğunlaştığı, genelde Müslüman halklara Batı’nın zulmettiği sürecin eşlik edeceğini söylüyordu. Bu durumdan kaçınmanın tek bir yolu vardı, o da Avrupalı güçler üzerinde azgelişmiş sömürgeler dünyasının hegemonyasını tesis etmek[25], onun ifadesiyle, “sanayileşmiş metropoller karşısında yarı sömürge ve sömürge ülkelerin diktatörlüğünü kurmak”tı.[26] Sömürgeler Enternasyonali, tam da bu sebeple kurulmalıydı. Ona göre bu enternasyonal, “komünist olacak, ama Üçüncü Enternasyonal’den bağımsız hareket edecek, hatta ona karşı çıkacak”tı. Bu enternasyonalin merkezinde ise Doğu Sosyalist Partisi’nin öncülük ettiği, Rusya toprakları üzerinde kurulacak, Turan Cumhuriyeti adını alacak olan o büyük Türk devleti duracaktı.[27]
Galiyev, bu belirlediği görevler doğrultusunda gizli yürüttüğü çalışmalara 1928’de ikinci kez tutuklanana dek devam etti. 28 Temmuz 1930 günü idam cezasına çarptırıldı, fakat 1931 yılının başlarında bu ceza on yıl sürecek sürgün cezası olarak hafifletildi. 1934’te serbest kalan Galiyev, 1937’de yeniden tutuklandı, 1939’da tekrar idam cezasına çarptırıldı. En nihayetinde, 28 Ocak 1940 günü kurşuna dizildi.[28] Böylelikle emperyalist merkezlerde sosyalist devrimin, imparatorluğun sınır boylarında sömürgecilik karşıtı devrimin aynı süreç dâhilinde gerçekleşeceğini söyleyen görüşün ortaya koyduğu o muazzam deneyim son buldu. Fakat Sultangaliyev geride, izleri genelde Müslüman âleminde özelde Cezayir’de sömürgelikten kurtuluş süreci ile sosyalizm arasında bağ kurmaya çalışan bir dizi devrimci üzerinden takip edilebilecek önemli bir miras bıraktı. Bu miras, bugün sadece sömürgelerde ve eski sömürgelerde değil, ayrıca sömürgecilik sonrası dönemde eskinin emperyalist merkezlerinde de dikkatle incelenmeyi ve yeniden yapılandırılmayı bekliyor.[29]
Matthieu Renault
23 Mart 2015
Kaynak
Dipnotlar:
[1] Frantz Fanon, The Wretched of the Earth, Çev. Constance Farrington (New York: Grove Press, 1968), s. 40, çeviri değiştirildi.
[2] Arif Dirlik, “Mao Zedong and ‘Chinese Marxism,’” Marxism Beyond Marxism, Yayına Hz.: Saree Makdisi, Cesare Cesarino ve Rebecca E. Karl (New York: Routledge, 1996), 144.
[3] “Proletarya diktatörlüğünün tek bir ülkede kurulduğu koşullarda kültürler biçimde milli ve içerikte sosyalist yapılar olarak öne çıkacak, bu sebeple, proletaryanın tüm dünyada zafer kazandığı, sosyalizmin sıradan hayatın parçası hâline geldiği koşullarda bu kültürler ortak bir dille birlikte hem içerikte hem de biçimde sosyalist olan tek bir kültür içerisinde kaynaşacaklar.” J.V. Stalin, Marksizm i natsional’no-kolonial’nyi vopros, (Moskova, 1934), s. 195. Aktaran: Marina Frolova-Walker, “‘National in Form, Socialist in Content’: Musical Nation-Building in the Soviet Republics” Journal of the American Musicological Society 51.2 (1998), s. 334.
[4] Leon Trotsky, Stalin: An Appraisal of the Man and His Influence (New York: Harper and Brothers Publishers, 1946), s. 417.
[5] Burada ben, esas olarak Fransızcaya şu çalışmada tercüme edilmiş olan, Galiyev’e ait makalelerden istifade ediyorum: Alexandre Bennigsen ve Chantal Quelquejay, Les mouvements nationaux chez les musulmans de Russie: Le « sultangaliévisme » au Tatarstan. (Paris ve Lahey, Mouton & Co, 1960). Ayrıca başka çalışmalardan da yararlanıyorum. Bennigsen ve Quelquejay’nin yukarıda bahsini ettiğim kitabına ek olarak bir şu çalışmaları var: Sultan Galiev, le père de la révolution tiers-mondiste: « Les inconnus de l’histoire » (Paris: Fayard, 1986); Bennigsen ayrıca Galiyev’in eserleri içerisinde yer alan üç çalışmanın çevirisini içeren İngilizce yayımlanmış kitabın yazarlarından birisi: Alexandre Bennigsen ve S. Enders Wimbush, Muslim National Communism in the Soviet Union (Şikago: University of Chicago Press, 1979); ayrıca bkz.: Maxime Rodinson, “Sultan-Galiev: A Forgotten Precursor,” Marxism and the Muslim World içinde, çev. Jean Matthews (Londra: Zed Press, 1979). Son olarak, bir de benim nadiren atıfta bulunduğum, Rusça, belli ölçüde Tatarca yayımlanmış yazılarından olan çalışma var. 1989 tarihli bu kitap dikkatli bir yorumlama ve inceleme çabasını talep ediyor: Mirsaid Sultan-Galiev, Izbrannyje troudy (Kazan: Gasyr, 1998).
[6] “Deuxième Congrès des Organisations Communiste des Peuples d’Orient : Résolution sur la Question d’Orient,” Mirsaid Sultan Galiyev’in sunumu, Žizn’ nacional’nostej (“Milliyetlerin Hayatı”) Sayı 46 (54), 7 (20) Aralık 1919, Sayı 47 (55), 14 (27) Aralık 1919, şu çalışmada yeniden paylaşıldı: Alexandre Bennigsen ve Chantal Quelquejay, Le « sultangaliévisme » au Tatarstan, a.g.e., s. 214.
[7] Alexandre Bennigsen ve Chantal Lemercier-Quelquejay, Sultan Galiev, le père de la révolution tiers-mondiste, a.g.e., s. 123. Ayrıca bkz.: Mir
SULTAN GALIEV
Sultan Galiev est le père de la révolution tiers-mondiste et il a joué un rôle clé dans l’émergence des idées révolutionnaires chez les musulmans d’Union soviétique. De cet homme qui, depuis plus de soixante ans, est dénoncé par les dirigeants soviétiques comme un « Trotsky musulman », nous ne savons que bien peu de choses, suffisamment cependant pour comprendre les motivations à la base du combat qu’il a mené contre toutes les oppressions. Quand il naît vers 1880 dans un petit village des contreforts de l’Oural dans l’actuelle république autonome de Bachkirie, les indigènes musulmans ne sont déjà plus qu’une minorité, la colonisation russe étant passée par là. Ils ne représentent plus en 1990 que 24 % des 4 millions d’habitants qui peuplent ses 143 000 kilomètres carrés. Plus importante peut-être encore que l’accès de la Russie à la Baltique sous Pierre le Grand, fut la prise de Kazan (1552) sous Ivan le Terrible qui marquait le début de sa formidable expansion à l’Est et au Sud-Est, c’est-à-dire en Sibérie jusqu’au Pacifique et vers l’Asie centrale (Kazakhstan, etc.).
En partie exterminés, expulsés de leurs terres ou spoliés de leurs biens, les Tatares de Bachkirie étaient, lorsqu’éclate la révolution de 1917, « un peuple oublié ». La dernière fois qu’ils avaient fait parler d’eux, c’était sous Catherine vers 1774 en prenant une part active à la révolte de Pougatchev. C’est au moment de la révolution de 1905 que naît le premier parti socialiste musulman, qui représente dans l’histoire du mouvement socialiste de Russie une exception et un paradoxe, car en autorisant sa création les Bolcheviks (auxquels il s’était rattaché) acceptaient pour la première et dernière fois une organisation marxiste à base nationale et même confessionnelle. Dès cette époque, on assista à Bakou au dilemme jamais résolu, qui depuis 60 ans continue à déchirer le mouvement communiste international quand le marxisme et le nationalisme coopèrent : « Qui noyaute qui ? ».
Sous couleur de s’en prendre au « nationalisme démocratique bourgeois qui, en Orient, prend parfois la forme du panislamisme et du panturquisme, le Xe Congrès du Parti communiste de l’Union soviétique (PCUS, mars 1921) ouvrait la voie au monolithisme du Parti et lançait ses premières attaques contre les « déviations nationalistes ». Dès lors, Sultan Galiev, qui a élaboré la doctrine du « socialisme national musulman », un socialisme réalisé par les travailleurs musulmans et non imposé par le prolétariat russe, se retrouve en désaccord avec la politique des nationalités de Staline et n’a plus pour seul recours que l’action clandestine. Mais c’est en avril 1923, au XIIe Congrès du PCUS, qu’éclata au grand jour le premier conflit sérieux entre Staline et les communistes nationaux. Quelques jours plus tard, Galiev fut arrêté par le GPU [NDLR 2020 : ou Guépéou, « Direction politique d’État »]. Chassé du Parti, il fut rendu à la liberté puis à nouveau arrêté en novembre 1928 et déporté aux Solovkis pour dix ans, ces îles de la mer Blanche où fut en 1923 établi le 1er camp, et dont Marina Goldovskaya a tiré un film qui nous a été présenté sur la 3e chaîne de télévision le 3 janvier 1990, dans la série « Océaniques », sous le titre : La naissance du goulag ». De là, on perd sa trace. Avait-il fini par comprendre qu’en devenant russe le communisme était déjà celui d’une grande puissance impérialiste chargée de plusieurs siècles de traditions antimusulmanes, et que les années d’internationalisme prolétarien du début ne pouvaient oblitérer un passé multiséculaire de haines raciales et religieuses ?
En 1926, au nombre de 17 millions, les musulmans d’URSS représentaient 11,5 % de la population totale. Avec 50 millions d’âmes, ils en représentent aujourd’hui de 17 à 20 %. L’explosion démographique de leurs populations, écrit Alexandre Bennigsen, permet aux élites musulmanes d’espérer se libérer un jour du contrôle russe par le simple poids de leur nombre, sans avoir besoin de l’apport numérique des musulmans étrangers. ♦
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aurevoirmonty · 8 months ago
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« Pendant mille ans, les Ungern ont commandé aux autres, sans jamais recevoir d'ordres de quiconque. Je refuse de reconnaître la domination de la classe ouvrière. Comment un homme qui n'a jamais même eu un simple serviteur peut-il parler de gouverner ? Il est incapable de donner des ordres. »
Baron Roman von Ungern-Sternberg aux juges bolcheviks lors de son procès en 1921.
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lepartidelamort · 1 month ago
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Le péril du judéo-christianisme : le précédent de Stalingrad.
Le yahvisme a plusieurs formes.
CNews surchauffe de rage.
Jusqu’au bout Bolloré-Goldschmidt a tenté d’intimider le RN pour sauver la clique de droite alliée aux macronistes dont Barnier et Retailleau sont les ignobles représentants.
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Ça n’a pas marché.
Pour une fois, Marine Le Pen aura été utile à quelque chose.
Entre deux interventions de Jakubowicz, l’avocat juif de la LICRA, la chaîne du judéo-christianisme a invité un tonsuré pour divaguer. L’homosexualité pointait tellement que l’effet n’en a été que plus grotesque.
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C’est l’occasion de rappeler qu’à l’exception de quelques uns de leurs membres, les églises chrétiennes sont fondamentalement liées à la juiverie.
Protestants ou catholiques, c’est indifférent.
Leur rôle dans la défaite cataclysmique de l’Allemagne nationale-socialiste, dont nous payons aujourd’hui le prix exorbitant, doit rester pour toujours un acte d’accusation contre ces organisations ennemies de la race blanche.
Le rôle des chrétiens dans la défaite allemande à Stalingrad est édifiante à cet égard.
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Alors que l’Atlas germanique tend ses muscles au maximum de l’effort pour sauver le continent de l’abîme, dans l’ombre la racaille chrétienne espionne, trahit, informe les hordes barbares commandées par les juifs qui se ruent sur le vieux continent.
Johann von Leers dans « Der Weg » (1957, numéro 5/6) explique comment les cercles chrétiens informaient l’Armée rouge à ce moment critique :
« On s’est toujours demandé où l’ennemi avait appris tant de secrets allemands pendant la guerre. Friedrich Lenz s’est penché sur cette question. Il écrit : « Lucy (l’une des organisations d’espionnage soviétique en Allemagne) fournissait quotidiennement à Moscou les derniers rapports sur la situation des troupes allemandes sur le front de l’Est. Ces informations ne pouvaient provenir que du haut commandement de l’armée lui-même. Ces informations n’étaient pas disponibles quotidiennement auprès d’autres bureaux en Allemagne ». Mais qui était le traître ? Le louable auteur exhume le témoignage du prêtre lucernois Karrer qui, interrogé lors d’un procès en Suisse sur la source de ces informations, a déclaré ouvertement : « Je sais que l’information est venue du camp chrétien et qu’elle a été transmise par des personnalités qui collaboraient avec le Conseil œcuménique de Genève, qui lui-même était en contact avec l’amiral Canaris (le chef des services secrets allemands) ».
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Le traître Canaris
On s’est toujours demandé d’où l’ennemi tenait cette somme pendant la guerre. Nous savons aujourd’hui, grâce au livre de l’Anglais Ian Colvin « Chief of Intelligence », que Canaris était un traître à la patrie et un agent britannique ; le pasteur Dietrich Bonhoeffer, exécuté pour sa trahison envers la patrie et qui a prié Dieu pour la défaite de l’Allemagne pendant la guerre dans un cercle d’ecclésiastiques non allemands, était en contact avec le Conseil œcuménique… Lenz prouve également que le premier plan d’avance allemand sur Stalingrad, la « directive du Führer » du 11 novembre 1941, avait déjà été transmis à Moscou le 14 novembre par un télégramme de la Chapelle rouge, qui avait été fourni par des « cercles chrétiens ». Il n’est donc pas étonnant que les Russes aient pu se préparer – et que l’armée allemande avançant sur Stalingrad n’ait pas pu surprendre l’ennemi… L’agent Pünter déclare « qu’en septembre 1942, il avait reçu d’une de ses lignes catholiques, dont le terminal se trouvait dans un monastère catholique près de Fribourg, un document complet contenant des données sur l’imminence de l’offensive allemande à Stalingrad… »
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Le traître Dietrich Bonhoeffer
Tout a été trahi, le plan d’avance allemand a été mis entre les mains des bolcheviks, des centaines de milliers de soldats allemands courageux et loyaux ont été livrés à la mort et à la captivité russe – par des « cercles chrétiens » qui se vantaient bruyamment de leur « activité de résistance » après la défaite – et ont été immédiatement récompensés par l’école confessionnelle, c’est-à-dire le droit de former spirituellement la jeunesse de notre peuple pour eux-mêmes. »
Si les juifs poignardent dans le dos, il n’y a rien de surprenant là-dedans.
Il n’en va de même pour ceux qui sont spirituellement des sémites, invoquent et prient Yahveh, et naviguent dans le monde blanc pour l’empêcher de retrouver sa vitalité raciale originelle en invoquant cette idole impie issue du désert proche-oriental.
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Le cadavre chrétien continue de tout contaminer de sa putréfaction.
Ce corniaud de Bergoglio, dernier salopard d’une longue lignée de saboteurs, entend venir fourrer son nez en Corse d’où il appellera à l’engloutissement complet de l’Europe sous les flots de nègres et de mahométans.
Cet oiseau-là doit contempler secrètement le projet de faire de l’île un nouveau Lampedusa.
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Gardons un oeil sur les séides du papisme négrolâtre.
Ce n’est pas parce que leur religion est morte qu’ils comptent cesser de prêcher le communisme racial et de prêter leur concours à l’action mortelle des juifs.
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Démocratie Participative
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