#blagueur
Explore tagged Tumblr posts
Text
just found out the Batman Unburied podcast has official versions in different languages so i guess I'm going to listen to french Bruce Wayne today- oh my god i was going to post this as is but i just looked at the description and they translated the word Batman in the blurb to l'homme chauve-souris?? BATMAN? L'HOMME CHAUVE-FUCKING-SOURIS?!
#batman unburied#benny babble#that's fucking hilarious honestly sdfgfds... L'homme chauve-souris asdfdssdfghg is the joker in this world Le Blagueur?? asdfgfdsa#WAIT WAIT I WAS KIDDING WITH THE BLAGUEUR BUT THE RIDDLER IS CALLED LE SPHINX IN THERE?? WHAT? WHAT IS GOING ON#oh my god this description is a total shitshow they really plugged that shit in the worst translator website known to man what the hell
9 notes
·
View notes
Text
I wonder if English-speaking people are aware of this comedic bit French-speaking people do which is using English-language memes by translating them literally instead of semantically
Eg "I'm going to become the joker" -> "je vais devenir le blagueur"
695 notes
·
View notes
Note
thats my way politely of saying DRAW THE ITALIAN MAN AGAIN PLS
(Sorry if this sounds so demanding 💀)
An Italian man is good, but what about an Italian woman?
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/9052d875f4ae49e0ee9ab53cfecfc09d/3ce1d3eade170af6-7e/s540x810/3c77bb7ac64b2ad64253c81f1d86f6a0ce3668d1.webp)
70 notes
·
View notes
Text
t'as qu'à pas être à torrent alors !!! hihihi hohoho
BIEN-SÛR QU'IL PLEUT A TORRENT PILE QUAND JE SORS DE MON RDV AVEC TOUT MES RECENTS SKETCHBOOKS DANS MON SAC 💀💀💀💀 jvoulais de la pluie depuis des jours tho ig c'est cool
8 notes
·
View notes
Photo
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/80783fd9a098fca69efb7b73ec43b56c/0bb34433705bb780-1e/s400x600/e22f37c3a6a2068bad1a5f9e8ab4fbdff2299ca2.jpg)
Mascotverse Academia (on Wattpad)
Dans l'Académie Mascotverse Academia, où mascottes olympiques, paralympiques et de football cohabitent, Vinicius, l'espiègle et blagueur, est au centre de toutes les attentions. Chaque jour, de nouvelles épreuves sont annoncées, mais... quelles farces Vinicius a-t-il préparées cette fois-ci? Qui arrivera à surmonter ses pièges et résoudre les mystères de l'académie? Et surtout, pourquoi toutes ces épreuves semblent-elles cacher un secret plus profond encore? 🌟🤔
Don’t worry, I will translate this in english 😉😉😉
#academie#amiti#amour#epreuves#espoir#fanmade#franais#humour#mascottes#mascotverse#parodie#tristesse#books#wattpad#amwriting
11 notes
·
View notes
Text
Lymbostale / Un univers alternative d'Undertale de Toby fox
-Contexte -
Connaissez-vous les limbes ?
Cet endroit entre la vie et la mort qui juge si vous êtes apte à monter ou descendre.
Dans cet univers alternative, Frisk est arriv�� dans cet endroit où les mort et les vivants n'existe pas. Au fur et à mesure de son voyage sans but, iel commence à ressembler de plus en plus à un monstre et
de moins en moins à un humain. Comprenant qu'iel est coincé ici, Frisk suit les conseils de Sans, un squelette blagueur, et s'y fait finalement à la situation.
Dans cet Au, les personnages n'ont pas le même désir de remonter à la surface, puisqu'elle n'existe pas pour eux. Ce qu'ils veulent, c'est être tranquille même si cette façon de vivre et assez monotone. Déjà huit humain sont arrivés là, tous des enfants, le premier est introuvable et le secret de son emplacement est gardé par le roi et l'ex reine. Les sept autres avant Frisk vivent tous dans l'outremonde et peuvent être aperçu dans les différents espace que compose celui-ci. Quant à Frisk, il déambule d'un endroit à l'autre.
Dans ces limbes, il existe deux grands types de créatures :
- Les Damnés, que sont les enfants qui ont une âmes en couleur. Ce sont ceux qui possèdent une âmes qui leur permettent d'atteindre les limbes.
- Les Natifs, les monstres qui n'ont jamais été humain. Cette population est spécifique au limbes, ils n'ont jamais quitté celui-ci et ne le quitterons jamais.
Pour en découvrir plus il faudra attendre les fiches d'information des personnages de cet univers.
Merci d'avoir lu ( si c'est ce que vous avez fait ).
#undertale français#undertale#undertale au#undertale frisk#undertale toriel#undertale asgore#undertale sans#undertale papyrus#undertale undyne#undertale alphys#undertale universe#undertale alternate universe
13 notes
·
View notes
Text
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/7fa80478a8a1a941df790d9a9d252515/7439184302ceb112-06/s540x810/b4f2f4308e0934e230f78fdc48f6e0ceeea5ded4.jpg)
comme on dit par ici : je vais devenir le blagueur
6 notes
·
View notes
Text
🇨🇵:Voici enfin le grand père de Maya ! Il est malheureusement mort quand Maya a eu 17 ans.. Mais il était de sont vivant un homme doux, blagueur et amusant !
🇬🇧:Here is finally Maya's grandfather! He sadly died when Maya turned 17. But he was a gentle, joking and amusing man!
4 notes
·
View notes
Note
✨Pour l'askgame ✨
Quels sont tes headcanon sur Donatien ? 👀
Ohohohoho he 🫴 Beaucoup de choses à dire sur lui mais je vais essayer de ne pas trop répéter ce que j'ai déjà pu dire~
Sexuality Headcanon : Aroace <3 Parce que franchement. Franchement. Oui j'HC qu'il s'intéresse en rien à la romance et aux relations. Oui je le shippe avec plusieurs autres persos. Je suis une personne flexible aux multiples facettes <3
Gender Headcanon : Homme cis, se pose pas vraiment plus de questions ?
A ship I have with said character : Hmm, je suis sûre que nos MPs ne révèlent rien de particulier à ce sujet... Par Talos–
Sans surprise, le Donalenny dans mon cœur <3 Je peux pas croire que j'ai lu ta fic sur eux et qu'il m'a fallu plusieurs mois pour réaliser à quel point je l'aimais,, le ship, je veux dire, parce que la fic j'ai réalisé très vite 😭 Mais ugh, y a tellement de choses à dire sur ces deux-là et tellement de choses déjà dites sur ces deux-là, tousse tousse <3
Mais j'ai beaucoup d'affection pour le Donamaison aussi !! En tant que QPR, entre deux aros qui se comprennent mieux que quiconque, la tendresse, la complicité, vraiment <;3 D'ailleurs fun fact, c'est à cause d'eux que j'ai rejoint le serveur, parce que j'avais VRAIMENT envie de parler d'eux avec quelqu'un et j'en ai au final très peu parlé mais shhh
Et puis,, le Dona/Gérard sur un ton semi-blagueur ? X') Disons que j'ai une certaine... affection pour le trope enemies to lovers, ce qui joue 😔 Après tout, quoi de plus érotique romantique qu'une élection municipale, les flirts/insultes en plein débat, tout ça /hj
Sinon j'aime bien le Donacox mais uniquement poussé à l'un des extrêmes sur l'échelle du fucked up-comique. Genre, au hasard, Les Raisins de la Passion me fait hurler, et à côté j'ai un jour envisagé de faire un animatic ou une fic basés sur la chanson Amnesia was her name et un hypothétique enlèvement et séquestration de Dona par Cox. Par contre en relation normale ? Non merci <3
Oh, et je considère parfois le concept d'un Dona/Roy à sens unique de la part de Roy, qui struggle avec des sentiments très contradictoires envers son boss,,
Bref, beaucoup de paragraphes sur des ships pour un perso que je ne vois pas autrement qu'aroace 😭
A BROTP I have with said character : Fab le sang~ Mais j'aime aussi beaucoup la relation Dona-Michael ! Ça se sent qu'AD et Rivenzi aiment jouer ensemble, et là encore un ptit crush à sens unique de Michael... ?
A NOTP I have with said character : Err,, Dona-Guy, pour des raisons. Évidentes. À part ça, Dona-Kiddy, parce que je vois Dona en figure paternelle/mentor de Kiddy ? Et, euh, toutes les femmes de RPZ. Je le vois pas avec une seule d'entre elles, désolé Joséphine X)
A random headcanon : Je suis très fan de ton headcanon de la canne, et du coup, à ça, j'aimerais ajouter : post-RPZ, au début, Dona ne se sert pas bien de sa canne, surtout qu'il a insisté pour sortir de l'hôpital trop tôt et n'a pas écouté les conseils de Maison. Il galère avec, trouve qu'il marche presque mieux sans, il aime pas ça. Et puis un jour, Bernard le contacte, se rend au Domaine pour lui acheter des boissons pour le Unicorn, faute d'autres fournisseurs à Los Santos ; or, il se trouve que Bernard, lui aussi, a une canne, depuis l'accident Lucy. Bernard remarque que Dona galère, essaie de lui donner des conseils, et certes, Dona aime pas recevoir des conseils d'un Pichon, mais il lui faut bien admettre que c'est mieux comme ça. C'est cet événement qui marquera le début d'une lente réconciliation Pichon (enfin, ce qu'il en reste...)-Domaine :) (Moi ? Recycler mes idées de fics en headcanons ? Jamais.....)
General Opinion over said character : Mon premier fav de RPZ, et toujours probablement dans mon top 10, si ce n'est 5 <3 Il tape pile dans ce trope très précis du "businessman sournois, avide et un peu connard, mais qui cache peut-être un bon fond, si on cherche bien" que j'aime de tout mon cœur et il a un haut-de-forme, que demander de plus 🥰
#si tu m'envoies un perso par jour on peut avoir fait tout le cast d'ici fin mai 🤔 /j#rpz#donatien de montazac#ask game#thanks for the ask <3#lb originals
12 notes
·
View notes
Text
Les Valseuses
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/52c81cf259eae6e4c79bdde3c4004167/162504ef5d0f4929-0a/s540x810/0816c2af4b36a8388f582e56e39f2b2039ca3085.jpg)
Jean-Claude et Pierrot, deux loubards blagueurs, féroces et désœuvrés, passent leur temps à bousculer et à chahuter leurs contemporains. Ils prennent un malin plaisir à commettre toutes sortes de petits délits, qui vont du vol à la tire sur un parking de supermarché à celui de voitures. Ce soir-là, c’est précisément celle du coiffeur qui est l’objet de leurs soins malhonnêtes. Le propriétaire surgissant, les voilà en fuite, emmenant avec eux sa shampouineuse et maîtresse, la charmante et un peu naïve Marie-Ange, dont ils font rapidement leur compagne commune. Une longue cavale commence à travers la France, alternant vols de voitures, scènes cocasses, iconoclastes et parfois tragiques… Les Valseuses (1974) sur le meilleur site de streaming gratuit Stream pour vous – film streaming. Read the full article
3 notes
·
View notes
Text
Voilà, j'ai créé un coloc' à Tai (à gauche).
Je ne suis pas encore sûre de comment appeler son coloc mais j'ai pensé à Shota. Je les prépare pour découvrir "à louer" avec eux.
Ce sont deux étudiants qui sont devenus très amis puisqu'ils partagent plusieurs passions communes.
Ils étudient pour obtenir un diplôme en informatique. Ce sont deux geek. Mais ce qui les lie le plus c'est leur projet de créer un robot ensemble.
Au delà de leur points communs, vivre ensemble est parfois difficile car Shota est très immature, fainéant et ne fait jamais le ménage.
Shota est un blagueur, et n'a aucune gène.
Tai est beaucoup plus discret, il aime s'enfermer dans sa bulle en mettant son casque sur la tête et écouter sa musique. Il plaît aux filles, mais il est trop timide avec elles pour faire le premier pas, et puis son ami Shota prend beaucoup trop de place pour en laisser à une potentielle copine.
Leur amitié passe avant tout et ils n'ont besoin de rien d'autre.
5 notes
·
View notes
Text
06/12/18 : Effroyable petitesse
Elle est petite. Terriblement petite, effroyablement petite. Il a peur que d'une seconde à l'autre, le vent l'emporte et l'avale dans les tréfonds de son œil de cyclone, loin, extrêmement loin de lui. Ses cheveux sont les mêmes que les siens. Leurs racines sont blondes vénitiennes, s'éclaircissant jusqu'à être presque blanches au niveau des pointes. Ses deux yeux bleus sont comme des morceaux du ciel, qu'elle semble avoir arraché pour en récolter une part dans son petit corps. Ils sont espiègles, avec cette légère lumière au fond, qui brille de malice. Elle est sagement assise sur les genoux de sa mère, un album entre les mains. Son regard est concentré sur les dessins qui bougent, elle ne le remarque pas. Elle a ses pommettes plates et ses lèvres pâles. Son nez est celui de sa mère, droit mais légèrement retroussé, ce qui change beaucoup du nez aristocratique qu'il a. Ses cheveux ont été tressés, et une multitude de nattes minuscules entourent son visage d'ange. Il sent des frissons remonter le long de son échine, quand il voit qu'elle se mord la lèvre inférieure en lisant. Il a le même tic lorsqu'il est intensément concentré sur une tâche, et elle fait pareil, avec son album pour enfants. Que faire ? S'approcher d'elle, et lui dire de but en blanc qui il est ? Comment pourrait-il seulement le faire ? Il est un Serpentard, par le caleçon de Merlin, pas un de ces intrépides Gryffondor ! Il prône le calme, la réflexion, la raison. Même lorsqu'il exécutait ses blagues avec sa jumelle, il mettait préalablement un plan au point, en veillant à avoir des replis de secours, si jamais un imprévu survenait ! Il est incapable de lui balancer comme ça qu'il est son père, qu'il n'a pris connaissance de son existence que depuis deux jours, que sa mère a gardé le secret de sa grossesse à cause d'une stupide rupture d'adolescents ! Il ne peut pas, tout simplement ! Ses paupières se closent alors que ses pensées s'acheminent. Il ne peut pas l'abandonner, pas après avoir été mis au courant. Il est un blagueur, un poison, un emmerdeur, un salaud. Il est le mal, parfois, il en a conscience, il le clame haut et fort. Il est énormément de choses, pas toujours très jolies, très souvent embêtantes. Il est lui, Headley Archer, mais il n'est pas un traître. Alors, il rouvre ses yeux emplis de ténèbres, et les braque sur celle qu'il ne connaît que depuis deux jours. Et il la revoit, mais à chaque fois que ses iris observent méticuleusement chacun de ses traits, il a l'impression de la rencontrer pour la première fois. Encore et encore, sans arrêt. Damaris, et ses cheveux tressés, son visage d'ange, sa lèvre mordillée et ses petites mains qui tiennent l'album trop grand pour elle. Damaris, cette petite qu'il a peur de voir s'envoler dans les airs, prise et emportée par les cieux qui la veulent, loin, trop loin de lui. Damaris, cette fille qu'il n'a jamais connu jusqu'à hier, qui lui apparaît du jour au lendemain, et qui pourtant, lui ressemble tellement. Damaris, son enfant aux pommettes plates et aux lèvres pâles, avec ses petites dents arrondies par l'enfance et blanchies par la candeur. Sa gorge se serre, il déglutit, passe une main nerveuse dans ses cheveux blonds – les mêmes que Damaris.
Il s'approche d'elle, et elle lève son regard de ciel vers le sien, qui est noir comme les ténèbres. Son cœur palpite, ses mains sont moites, mais un sourire attendri se dessine sur ses lèvres. Il se présente, et elle répond en acquiesçant, pas le moins du monde impressionnée. Il hausse un sourcil, penche la tête sur le côté de manière pensive, et manque de s'étrangler quand il voit qu'elle reproduit la même mimique. Il s'assit près d'elle et ils discutent. Bientôt, elle regarde avec insistance ses piercings, mais ne dit rien, reste polie. Il sourit, et se met à raconter l'histoire de ces bouts de métaux incrustés sur son visage. Elle l'écoute, attentive, curieuse puis rapidement passionnée. Sa mère les laisse tous les deux, elle doit aller voir quelque chose dans la cuisine. Elle se colle un peu plus à lui, et lui demande de lui lire son album. Il accepte, un peu avec appréhension, mais avec beaucoup de reconnaissance qu'elle lui fasse ainsi confiance. Sans qu'ils ne s'en rendent compte, elle se retrouve sur ses genoux, son petit corps lové contre son torse, et elle regarde avec fascination les images mouvantes. Elle agrippe et serre fermement sa main qui tient l'album, et il sent son cœur bondir hors de sa poitrine, alors qu'il comprend enfin. Damaris Archer, sa fille, son enfant, sa nouvelle raison de vivre. Headley Archer, son père, son protecteur, son nouvel ange gardien. Voilà ce qu'elle est. Voilà ce qu'il est. Voilà ce qu'ils sont. Une nouvelle famille.
5 notes
·
View notes
Note
merci j’adore ton blog merci de poster, tes tags et posts en français me font chialer de rire merci
DE RIENNNNNN ÇA ME FAIT PLAISIR !!! je suis un poti blagueur 🤡 non pour de vrai ceci dit ravi de te faire rire.......... à ton service
#la réponse d#je me dis les rares personnes qui vont lire mes tags en français méritent qu'ils soient au moins drôles asfdaqfs
6 notes
·
View notes
Text
Saigon 1902
CỘT CỜ THỦ NGỮ (MÂT DES SIGNAUX)
báo hiệu cho tàu bè đến cảng Sài Gòn biết được địa điểm thành phố và tín hiệu, ngày (cờ) và đêm (đèn). Cạnh cột cờ thủ ngữ sau này là nơi có quán cà phê, nước uống mà người Pháp thường ra hóng gió giải khuây và tán chuyện vui giải trí nên cũng được gọi là Pointe des Blagueurs
0 notes
Text
Trigger Warning : violences physiques.
Ne pas lire si vous êtes sensible à ce genre de récit. Je demande à toute personne qui lira ce post, de ne pas partager mes écrits à quiconque, merci beaucoup.
J’écris cela pour me libérer d’un poids, pour espérer être en paix avec cet événement, et aussi pour montrer que les violences physiques ne seront jamais normales, ni acceptables.
Aujourd’hui, je suis enfin prête à mettre des mots, et raconter les violences physiques que j’ai subie, de la part de Frédéric, mon père adoptif.
Je me suis toujours promis de raconter cet événement, et aujourd’hui, je sais qu’il est temps pour moi de le faire, afin de pouvoir être en paix avec tout ça, même si je ne pourrai jamais l’oublier, tellement il fut violent.
Pour se mettre dans le contexte, en juin 2011, je suis partie, avec mes parents et mon petit frère, vivre en Malaisie, plus précisément à Kuching, la ville où je suis née.
Les premiers mois furent agréables et sans problèmes.
Nous étions heureux de pouvoir régulièrement voir nos cousins et cousines, et ils venaient régulièrement nous rendre visite, dans la grande maison qu’on louait.
Je me souviens très bien de cette maison : le salon était très grand, il y avait un étage, trois chambres, une petite cuisine, et les murs étaient peints en blanc dans chaque pièce.
J’ai toujours ressentie une sorte de vide en y vivant, car je trouvais qu’il n’y avait pas assez de meubles, il y avait beaucoup d’espace vide.
C’est vers la fin d’année que Frédéric a commencé à être de mauvaise humeur, et plus colérique que d’habitude. Il avait toujours eu un tempérament similaire auparavant, il avait horreur d’avoir tort, et s’énervait pour la moindre petite chose.
Cela contrastait beaucoup avec l’homme joyeux, blagueur et souriant qu’il était quand il était en présence de ses amis.
Quand il était en famille, avec moi, mon frère et ma mère, il devenait plus froid, moins joyeux, plus discret.
Et depuis que nous vivions en Malaisie, je remarquais qu’il devenait encore plus lunatique.
Le 31 octobre 2011 (je connais la date exacte, car j’ai envoyée un e-mail à un membre de ma famille, quelques jour plus tard, pour raconter ce qu’il m’a fait subir), c’est ce jour-là que mon père s’est permis d’être violent physiquement, envers moi.
C’était le soir.
Moi, mon petit frère, ainsi que ma cousine étions dans le salon. Mon frère et ma petite cousine étaient en train de jouer à des jeux sur l’ordinateur portable.
Frédéric a commencé s’énerver contre moi, car il remarquait que je ne jouais pas avec eux.
Il m’a demandée pourquoi, et je lui ai répondue que je n’en avais pas envie.
Après plusieurs minutes, j’en ai eu marre de ses réflexions, et je suis donc montée dans ma chambre, au premier étage.
Au moment de monter, je l’ai entendu dire « t’inquiètes pas, j’arrive ».
Je me souviens que ses mots m’avaient glacé, à cet instant précis.
Une fois montée dans ma chambre, les minutes me sont parues si longues.
J’étais dans une angoisse terrible, car je savais qu’il allait monter d’une minute à l’autre, pour soit m’engueuler, soit faire quelque chose de bien pire. Je priais pour que ce ne soit qu’une simple engueulade de sa part. J’étais loin de m’imaginer ce qu’il allait être capable de me faire.
À ce moment-là, ma porte était fermée.
Quand je l’ai entendue arriver, il ouvrit la porte de manière violente, m’a pris mon téléphone, m’a regardée droit dans les yeux, et m’a poussée violemment sur mon lit.
Il s’est permis de me frapper à plusieurs reprises.
J’ai essayée tant bien que mal de me défendre, mais il avait plus de force que moi.
Après tout, je n’avais que 14 ans, à l’époque.
Frédéric m’a ensuite clouée au sol, il s’est assis sur moi avec force, en m’attrapant mes deux bras, pour que je ne puisse plus rien faire.
J’essayais de bouger, en vain. Il était en train de me crier au visage, avec toute la haine qu’il avait en lui.
Au bout d’un moment, j’ai finie par ne plus pouvoir respirer correctement, et j’ai alors criée la phrase suivante : « Je te déteste ».
À cet instant, sa colère est devenue encore plus forte.
Il me disait que je devais dégager de la maison.
Il m’a alors poussée et traînée dans les escaliers, pour descendre, en me tirant les cheveux.
Il ouvrit la porte d’entrée, et me jeta à l’extérieur, comme si je n’étais qu’une merde à ses yeux.
Je me souviens lui avoir dit « je dirai à tout le monde ce que tu m’as fait », et il a répondu « oh mais je m’en fiche de ça ».
Il a ensuite fermé la porte, et est retourné dans le salon avec mon petit frère et ma cousine.
Je suis donc restée à l’extérieur en pleine nuit, en espérant qu’il me réouvre.
Pendant plusieurs heures, je suis restée dehors, à pleurer, en me demandant ce que j’avais bien pu faire pour mériter de me faire frapper, crier dessus, et traîner dans les escaliers de la sorte.
Je pouvais les apercevoir par la fenêtre, et je pouvais voir Frédéric, qui était en train de faire une sieste sur le canapé, juste après m’avoir fait subir ces violences.
J’étais choquée de voir qu’il s’en fichait à ce point, d’avoir été violent physiquement et verbalement, envers moi.
Je me souviens avoir songée à ouvrir le portail, prendre la fuite, et ne jamais revenir.
Mais j’ai pensée à mon petit frère. Je me suis dit que je devais rester pour lui, car si Frédéric était capable de violences envers moi, j’avais peur qu’il lève la main sur mon petit frère également.
Alors je suis restée, pour mon frère.
Je pourrais également vous raconter ses violences physiques envers ma mère, la gifle qu’il m’a donnée quand il a su qu’on allait plus vivre avec lui, son refus de payer une pension alimentaire pour moi et mon frère, ainsi que toutes les violences verbales, au fil des ans… mais ça serait trop long.
J’espère qu’il aura eu le temps de regretter ses actes.
Un père est censé nous protéger, nous aimer, créer un environment de vie agréable pour ses enfants.
Maintenant, avec mon regard d’adulte, je réalise à quel point ce qu’il m’a fait est inacceptable, inadmissible, injustifiable.
Je fais encore des cauchemars la nuit, où je suis replongée dans cette nuit de violences.
Tout parent qui ose lever la main sur ses enfants n’est pas quelqu’un de bien, et n’aurait jamais du en avoir, à mon avis.
Pour finir, j’aimerais dire que s’il y a des victimes de violences physiques qui ont lu mon récit, j’espère que vous trouverez vous aussi, le chemin vers l’acceptation, la guérison.
Absolument rien ne justifie des violences.
Osez portez plainte contre vos agresseurs, osez en parler à des gens en qui vous avez confiance, osez raconter votre histoire, afin de libérer la parole pour les autres.
Merci à tous ceux qui m’ont lu, prenez soin de vous.
– Marcousse
0 notes