#Headley
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Le cœur aux mille et unes couleurs
Un tourbillon d'émotions, toutes plus contradictoires les unes que les autres. Du bleu, du bleu que tu t'efforces de cacher. Le bleu de tes peurs, le bleu de ses coups contre ton corps. Un bleu de plusieurs nuances, plus ou moins clair en fonction de ta confiance, de ton assurance, de ta volonté de cacher cette couleur qui te fait honte. Le même bleu que tes yeux, Abby. Je le vois, quand tu sursautes. Quand l'un des petits fait un geste brusque près de toi, quand tu crois qu'on va te laisser, qu'on va t'abandonner. Qu'on va te jeter comme une vieille chaussette, lorsqu'on se rendra compte que tu ne nous sers à rien. Tu es beaucoup de choses, Abigail Filch, mais pour cette peur, pour penser de telles conneries, tu es surtout brisée, si tu veux mon avis. Je ne suis pas comme ma mère. Je ne lis pas tes sentiments comme elle, je ne sais pas faire ce genre de trucs. Je ne peux pas comprendre tes réactions d'un claquement de doigts, en fermant les yeux. Je suis putain d'impuissant, et ça me tue, tu ne peux pas savoir à quel point. Quand je te surprends en train de crier, prise d'un horrible cauchemar au milieu de la nuit, et que je ne sais pas quoi faire. Je panique à chaque fois, je sens mon cœur battre à tout rompre. Entrer ? Voir ce qui se passe ? Te prendre dans mes bras ? Et si ça se passait mal ? Que tu te renfermais encore plus, que tu sois gênée que je sois au courant ? Je ne veux pas que tu fugues. Alors... alors, je vais prévenir ma mère. Elle sait quoi faire. Elle entre dans ta chambre, te prend dans ses bras, te berce. Et le bleu laisse place au rouge. Un rouge d'un nombre étourdissant de teintures. Le rouge de la colère, la haine, la volonté de te venger. Tu veux le tuer, le massacrer, le détruire ! Oh oui, moi aussi, je veux le mettre hors d'état de te nuire. Mais ton rouge se mélange au bleu, et le bleu gagne en intensité, en brillance. Tu as peur de nous perdre par sa faute, aveuglée par ta vengeance. Et d'eux naît le mauve, ce mauve qui reflète tous tes secrets, tout ce que tu tiens à nous cacher. Tu en as honte, tout comme tu as honte des bleus qui parsèment ta peau pâle. Abigail Filch, tu es malheureuse, apeurée, haineuse. Tu es putain de brisée, Abby !
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Adivina quién viene a cenar. ¿Marc y Claire Headley? ¡Oh, no!
Comunicado de http://www.standleague.org — Cariño, ¿estás segura de que queremos que los Headley vengan a cenar? Sí, marc y claire. Bueno, no quiero alarmarte, pero sólo por precaución, será mejor que cubramos la piscina. ¿Por qué? Porque todavía podría intentar ahogar a la gente. Al menos intentó ahogar a su madre y a su hermanita y casi lo consiguió. Tendremos que disponer de algunos lugares…
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Welcome home.
Abigail Filch, debout dans l'escalier, observait les photos accrochées au mur. Elles étaient tantôt animées, tantôt figées, et représentaient la famille Archer. Les parents à leur mariage, leurs enfants bébés, leurs vacances... En observant ces clichés, la jeune fille ressentait un drôle de pincement au coeur. La famille de son meilleur ami était si chaleureuse, si drôle, si unie. Les liens du sang se complétaient de liens du coeur, malgré les disputes inévitables. Et Abby trouvait ça beau. Elle n'avait pas eu beaucoup l'occasion de fréquenter les Archer, mais la Serpentard était persuadée que c'étaient des gens bien, à l'instar d'Headley. Celui-ci, au salon, parlait à ses parents de sa situation et de l'aide dont elle aurait besoin pour échapper à son père et à sa violence. La jeune fille avait voulu l'accompagner, mais Headley l'avait priée de l'attendre ailleurs. Alors, Abigail stationnait dans les escaliers, à regarder des fragments de souvenirs figés dans le temps, et fixés au mur.
- Tu fais quoi ? demanda une voix d'enfant, mais très sérieuse et posée.
Abigail se retourna. Ne voyant personne, elle baissa les yeux. Devant elle se trouvait Shel, le petit frère d'Headley. Âgé de quatre ans, c'était déjà une grosse tête. Son ami de Serpentard lui avait dit qu'il avait déjà plus lu en quatre ans que lui-même en quatorze. Et Abby le croyait volontiers.
- Je regarde les photos. Et toi, petit gnome, tu fais quoi ? - J'allais à ma chambre depuis la bibliothèque.
La jeune fille fit un demi-sourire, puis ricana.
- Alors comment ça se fait que tu n'aies pas de livre en main ? Je t'ai grillé, Archer n°2, t'étais en train d'espionner tes darons et ton frangin. Je ne suis pas à Serpentard pour rien, le gnome !
Shel se renforgna.
- Bon. J'avouerais si tu arrêtes de m'appeler le gnome. - OK. - J'avoue. - C'est bien, le gnome.
Exaspéré de s'être fait avoir, le petit garçon regarda attentivement Abigail.
- Tu l'aimes bien mon frère, hein ? C'est ton meilleur ami ?
La Serpentard ne répondit pas, comme prise la main dans le sac.
- Ouais. Tu vois... Il est aussi chiant que génial. - Wow. - Comme tu dis. Allez, va lire, le gnome, avant que je te fasse faire des roulés-boulés dans les escaliers.
Shel fronça le nez, passa devant Abby et rejoignit sa chambre. La Serpentard allait recommencer la contemplation fébrile des photos, quand la voix d'Headley l'interpella.
- Abigail ?
Il ne l'appelait que par son prénom complet lorsque l'heure était grave. La nommée pivota, cachant des tremblements d'appréhension.
- Alors ? demanda-t-elle d'une voix détachée, comme si elle avait d'autres solutions.
Headley sourit.
- Ils ont accepté, Byby ! Bienvenue chez les Archer !
Des larmes de gratitude perlèrent aux yeux de la jeune fille, qui les refoula.
- Alors, comment ça se fait que je ne t'ai pas encore entendu hurler de joie ? - Peut-être parce que... je n'en ai pas envie ? - Mon oeil, tu te retiens de pleurer, ouais.
En vérité, c'était elle qui avait les larmes aux yeux. Headley le remarqua et passa une main gênée dans ses cheveux. Le duo n'était pas très doué quand il s'agissait d'exprimer ses sentiments. Le jeune homme finit par ouvrir les bras, dans lesquels Abigail se réfugia sans pouvoir articuler un mot. Leur étreinte dura longtemps, et lorsqu'ils s'écartèrent, la jeune fille lâcha :
- Head', tu... tu es vraiment le meilleur ami qu'on puisse avoir.
Un sourire fendit le visage du Serpentard, qui rétorqua :
- Je sais. J'aurais bien aimé m'avoir comme ami moi aussi.
Abby leva les yeux au ciel.
- A mon avis, tu t'adores tellement que ça dépasse le stade de l'amitié. - Tu me connais bien, Byby !
Ils échangèrent un sourire complice, puis Abigail passa aux choses sérieuses :
- Bon, qu'est-ce-qu'on mange ?
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Headley, Surrey, United Kingdom
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COMING TO AMERICA (1988) dir. John Landis
#coming to america#coming to america 1988#1980s#80s#movies#my gifs#gifs#gifset#soupy's#moviegifs#filmgifs#filmedit#fyeahmovies#junkfooddaily#eddie murphy#arsenio hall#john amos#shari headley#that door closing on soul glo's face was the funniest thing ever. the sincerity in his eyes#← yes I remember his name it's darryl 💀
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Edwin Holgate (Canadian, 1892-1977), Busy Corner, 1939-40. Oil on board, 20 x 20 in.
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he's a brooklyn birmingham baby
#lz#led zeppelin#robert plant#mine#my edit#this is the longestttttt video edit ive ever made lol. and i somehow managed to use only like two concert clips#footage from: backstage RAH70! backstage montreux71! jimmy's japan71 vlogs! headley grange! the starship! backstage MSG73!#and much much more! because im so normal
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tagged in WIP Wunday (I guess it's Wonday now?) by @dont-offend-the-bees! at the time I was in the rare position of having zero active WIPs but a few days later I was possessed by the singularly deranged idea of a BEOWULF AU hwæt up y'all it's time to Make Anglo-Saxons Gay Again
(with apologies to Maria Dahvana Headley)
Bruv, tell me we still know how to speak of heroes! In the old days, the bold days, everyone knew what real men were: a bloke could bootstrap his way out of a basement with no blazon to his blood, beat down every bench-brother who stepped up to bat, splinter-swing his way to glory till every mouth north and south of the whale-road carried his name. He rode hard, they’d say! He stayed thirsty! That was a man! That was a good man. “That’s all very well,” says the lord of the hall, “but who the hell are you?” Every head in the hall turns to look at the stranger in their midst, the lad with the borrowed sword and the burnished skin. His armour’s too big, his helm don’t fit right, yet there’s a history of violence tattooed in the scars on his knuckles. He grins like he’s got God’s candle gripped between his teeth. “The name’s Charles, son of Rowland, and the party don’t start till I walk in.” “He mocks us, my lord Simon!” comes the shout from the floor. “He makes light of our nightmare!” “Look, mate, everyone knows Hilarion Hall is cursed. They’re swapping stories up and down the swan-road about the horror that haunts you. You’ve got a monster, they say. Bit naff, innit? Bunch of strapping blokes like yourselves, cowed by some creature in the dark?” Hollering in the hall, hammering on mead-benches, hands on hilts. Lord Simon rises, raises a hand for silence. “It is true we are plagued by a fiend out of hell, a marsh-marauder, an outcast exiled from the light of Heaven. The sound of God-fearing men raising their voices in revelry drives him into a devouring rage. He is monstrous to look upon, and his skin turns any blade. The man who brings me his head shall sit at my right hand, receive from me the rarest rings.” “Brills,” says Charles. “I’ll kill your monster.”
thanks for the tag Newt! I tag (with no pressure, and apologies for any double-tagging!) @wordsinhaled (who has Enabled me horribly), @dearheartdont, @likemmmcookies, @tumblerislovetumblerislife, @c-rowland, @linearao3, @leupagus, @justplainsalty, @eisoj5, and anyone else who might find sharing a bit of writing helpful in these present times.
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34) “I love the sounds you make when you come undone.” for Robert Sawyer please. Thank you.
Tagging: @kmc1989 @kikuli12-blog @sleepyxsempiternal @wallflowers-heaven @constance-t l
Companion piece to:
Stop Thinking - Robert needs to stop thinking and start doing.
Stop thinking, and start doing, that’s what you told Robert that night at the bar and that’s exactly what he does.
You.
Over and over and over again until you’re overwrought from the pleasure, until your neighbours bang on the wall because he’s making you come for the fourth time and his palm over your mouth can’t suppress the sweet sounds that emit from your throat.
“I love the noises you make when you come undone.” He mumbles against your skin as his lips brush over that delicate little spot just underneath the curve of your jaw. “It’s like ASMR for my dick.”
You laugh then and that sound, it fucking ruins him.
He spends the night tangled up in you, his thumb chasing over the apple of your cheek as he watches you sleep. He doesn’t do much of that anymore, he’s had mad insomnia ever since his last tour, he usually survives on cat naps in between his shifts but as he lies here with you, he feels himself drifting. It’s a calming sensation, one that floods through his system as his muscles start to relax.
And it takes him a second to realise what’s happening, to understand the reason he craves you like no one else.
That feeling he gets whenever he’s with you. It’s peace and Robert, he hasn’t known peace for the long time.
Not until tonight.
Love Robert? Don’t miss any of his stories by joining the taglist here.
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Like My Work? - Why Not Buy Me A Coffee
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Remember when she was Irish? What about part-Maltese? Oh and how could we forget ADOS BLACK!
Today, thanks to Wannabe Activist & Soho House closet homosexual, Misan Harriman, who has a chip on his shoulders the size of a boulder, the Meg is also NIGERIAN.
Misan's father (Chief Hope Harriman) became a wealthy British - Nigerian businessman who amassed wives and even more children
Perhaps Misan's genealogy is the reason The Meghans feel comfortable denying the existence of any Markle "siblings" as Misan was born to an unacknowledged woman
Although Misan carries his father's last name (Harriman), Misan is never formally named amongst Hope Harriman's children and is viewd as a bastard child of the Anglo-Nigerian
Misan and his Black Activist Sistah Space friend Marlene Headley aka "Ngozi Fulani"
MEgain pays Misan back for her 'pay to play' debts w/an appearance in her Finding Freebies book. She acknowledged his fledgling website & his job as administrative support to the global BRITISH POLO DAY :
2014 Divorced, cheating on Chef Cory & making a beeline to the BRF via Sparry
MEgain rejected the help of every assigned mentor including Lady Susan Hussey
Misan became a "photographer" JUST IN TIME for MEGXIT & MegFlix. These 2 photos are unedited, doubt they were published by the fraudster, Misan Harriman
Diversity hire, Soho's Edward Enninful, receives award from NOprah for being a Diversity Hire
youtube
#misan harriman#lady susan hussey#Marlene Headley#nigeria#soho house#Eugenie#BRF#blm#Finding Freebies#polo#ngozi fulani#boris becker#chef cory vitiello#one young world#Dublin#Gina Nelthorpe Cowne#sucubus#megxit#revenge#tom bower#spare us#worldwide privacy tour#british polo day#the yorks#scammers#soho house & british vogue#rory mcilroy#John Fitzpatrick#soho & edward Enninful
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06/12/18 : Effroyable petitesse
Elle est petite. Terriblement petite, effroyablement petite. Il a peur que d'une seconde à l'autre, le vent l'emporte et l'avale dans les tréfonds de son œil de cyclone, loin, extrêmement loin de lui. Ses cheveux sont les mêmes que les siens. Leurs racines sont blondes vénitiennes, s'éclaircissant jusqu'à être presque blanches au niveau des pointes. Ses deux yeux bleus sont comme des morceaux du ciel, qu'elle semble avoir arraché pour en récolter une part dans son petit corps. Ils sont espiègles, avec cette légère lumière au fond, qui brille de malice. Elle est sagement assise sur les genoux de sa mère, un album entre les mains. Son regard est concentré sur les dessins qui bougent, elle ne le remarque pas. Elle a ses pommettes plates et ses lèvres pâles. Son nez est celui de sa mère, droit mais légèrement retroussé, ce qui change beaucoup du nez aristocratique qu'il a. Ses cheveux ont été tressés, et une multitude de nattes minuscules entourent son visage d'ange. Il sent des frissons remonter le long de son échine, quand il voit qu'elle se mord la lèvre inférieure en lisant. Il a le même tic lorsqu'il est intensément concentré sur une tâche, et elle fait pareil, avec son album pour enfants. Que faire ? S'approcher d'elle, et lui dire de but en blanc qui il est ? Comment pourrait-il seulement le faire ? Il est un Serpentard, par le caleçon de Merlin, pas un de ces intrépides Gryffondor ! Il prône le calme, la réflexion, la raison. Même lorsqu'il exécutait ses blagues avec sa jumelle, il mettait préalablement un plan au point, en veillant à avoir des replis de secours, si jamais un imprévu survenait ! Il est incapable de lui balancer comme ça qu'il est son père, qu'il n'a pris connaissance de son existence que depuis deux jours, que sa mère a gardé le secret de sa grossesse à cause d'une stupide rupture d'adolescents ! Il ne peut pas, tout simplement ! Ses paupières se closent alors que ses pensées s'acheminent. Il ne peut pas l'abandonner, pas après avoir été mis au courant. Il est un blagueur, un poison, un emmerdeur, un salaud. Il est le mal, parfois, il en a conscience, il le clame haut et fort. Il est énormément de choses, pas toujours très jolies, très souvent embêtantes. Il est lui, Headley Archer, mais il n'est pas un traître. Alors, il rouvre ses yeux emplis de ténèbres, et les braque sur celle qu'il ne connaît que depuis deux jours. Et il la revoit, mais à chaque fois que ses iris observent méticuleusement chacun de ses traits, il a l'impression de la rencontrer pour la première fois. Encore et encore, sans arrêt. Damaris, et ses cheveux tressés, son visage d'ange, sa lèvre mordillée et ses petites mains qui tiennent l'album trop grand pour elle. Damaris, cette petite qu'il a peur de voir s'envoler dans les airs, prise et emportée par les cieux qui la veulent, loin, trop loin de lui. Damaris, cette fille qu'il n'a jamais connu jusqu'à hier, qui lui apparaît du jour au lendemain, et qui pourtant, lui ressemble tellement. Damaris, son enfant aux pommettes plates et aux lèvres pâles, avec ses petites dents arrondies par l'enfance et blanchies par la candeur. Sa gorge se serre, il déglutit, passe une main nerveuse dans ses cheveux blonds – les mêmes que Damaris.
Il s'approche d'elle, et elle lève son regard de ciel vers le sien, qui est noir comme les ténèbres. Son cœur palpite, ses mains sont moites, mais un sourire attendri se dessine sur ses lèvres. Il se présente, et elle répond en acquiesçant, pas le moins du monde impressionnée. Il hausse un sourcil, penche la tête sur le côté de manière pensive, et manque de s'étrangler quand il voit qu'elle reproduit la même mimique. Il s'assit près d'elle et ils discutent. Bientôt, elle regarde avec insistance ses piercings, mais ne dit rien, reste polie. Il sourit, et se met à raconter l'histoire de ces bouts de métaux incrustés sur son visage. Elle l'écoute, attentive, curieuse puis rapidement passionnée. Sa mère les laisse tous les deux, elle doit aller voir quelque chose dans la cuisine. Elle se colle un peu plus à lui, et lui demande de lui lire son album. Il accepte, un peu avec appréhension, mais avec beaucoup de reconnaissance qu'elle lui fasse ainsi confiance. Sans qu'ils ne s'en rendent compte, elle se retrouve sur ses genoux, son petit corps lové contre son torse, et elle regarde avec fascination les images mouvantes. Elle agrippe et serre fermement sa main qui tient l'album, et il sent son cœur bondir hors de sa poitrine, alors qu'il comprend enfin. Damaris Archer, sa fille, son enfant, sa nouvelle raison de vivre. Headley Archer, son père, son protecteur, son nouvel ange gardien. Voilà ce qu'elle est. Voilà ce qu'il est. Voilà ce qu'ils sont. Une nouvelle famille.
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Just gorgeous 😍😍❤️
#peter gabriel#i wanna eat him#sexy as fuck#he’s my dreamdoll#that face#that smile#perfection#i love him#genesis#headley grange#vest#the lamb
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Epouvantard.
- Sérieux, Vorace Slughorn était encore plus lèche-cul que d'habitude. - "Ung, Miss Filch, pourriez-vous me faire l'honneur de votre présence à ma petite soirée"... Dégueulasse. - Vieux pervers. - Ce que j'ai ri quand tu as répondu "nan, j'ai des trucs à faire, genre regarder la nuit tomber"..! Les deux Serpentard éclatèrent de rire au souvenir de la réplique d'Abigail. Elle se rangea avec Headley devant la classe de Défense Contre les Forces du Mal, laissant passer tout le monde pour être les derniers à rentrer. Les troisième année de Serpentard s'assirent bruyamment, riant et discutant de tout et de rien. Headley et Abby prirent place au dernier rang, près du radiateur enchanté, comme à leur habitude. Maggie Daggen, une femme petite et svelte, aux boucles d'or soignées, entra dans la classe et salua ses élèves. - Filch, Archer, debout ! apostropha-t-elle les deux rebelles du fond, qui oubliaient la politesse au profit du confort de leurs derrières. Les deux meilleurs amis ignorèrent obstensiblement son ordre, et le professeur Daggen soupira. - Vous pouvez vous asseoir, dit-elle aux autres élèves, qui s'exécutèrent. Aujourd'hui, nous allons aborder une branche de la DCFM assez compliquée... A ces mots, Abby et Headley plongèrent la tête entre leurs bras croisés sur la table, ne voulant pas en entendre plus. - Un Épouvantard est une créature qui peut changer d'aspect à volonté et qui prend toujours la forme la plus effrayante possible.La véritable apparence d'un Épouvantard serait inconnue, car il s'agit d'une créature capable de changer d'aspect en un instant et qui privilégiera toujours la forme la plus terrifiante possible pour la personne qui lui fait face en puisant dans ses peurs les plus profondes. Toutefois, lorsqu'un Épouvantard se retrouve face à un groupe de personnes et qu'il tente de toutes les effrayer en même temps, il peut arriver qu'il prenne une forme alternative regroupant plusieurs craintes. Les changements de formes d'un Épouvantardsont instantanés et émettent un bruit semblable à un claquement de fouet - vous verrez cela tout à l'heure. Ces derniers mots inquiétèrent Abby, qui murmura à Headley : - Cette folle va nous faire affronter nos pires peurs... En direct ?! Le jeune Serpentard répondit par un haussement d'épaules. - L'Épouvantard est un non-être, continuait Maggie Daggen. C'est une créature qui, à l'instar des Détraqueurs et des esprits frappeurs, n'a jamais été vivante à proprement parler et prend racine dans les émotions humaines. L'Épouvantard se nourrit des émotions humaines, et plus particulièrement de la peur, étant capable de devenir plus grand et plus fort si il parvient à en absorber suffisamment. Les proies favorites des Épouvantards sont les personnes craintives ou angoissées. Les Moldus peuvent ressentir la présence des Épouvantards ou de les entrevoir brièvement, mais préfèrent généralement se convaincre que les étranges phénomènes dont ils sont témoins ne sont que le fruit de leur imagination. Quelques Serpentard issus de familles extrémistes ricanèrent. - Les formes prises peuvent être particulièrement dangereuses, étant donné que l'Épouvantard ne se contente pas de prendre les caractéristiques physiques de la peur qu'il choisit mais également ses capacités, ce qui fait que, par exemple, un Épouvantard choisissant de devenir un Détraqueur sera capable de produire les mêmes sensations que cette créature, bien qu'elle apparaîtront toujours plus faibles que celles provoquées par un véritable Détraqueur.
Eleanor Masen, une Gryffondor, leva la main. - Où vivent les Épouvantards ? - Fayote, sa moqua Headley à voix basse. - Les Épouvantard préfèrent vivre dans les endroits sombres et confinés, Miss Masen. Comme les armoires, les placards ou les espaces sous les lits mais il arrive d'en trouver dans des forêts obscures ou tapis dans des coins de rue mal éclairés. Ils manifestent leur présence en faisant trembler, grincer ou bouger les objets dans lesquels ils se cachent... A ces mots, l'armoire située près du bureau du professeur Daggen se mit à vibrer. Les élèves, poussant des cris de stupeur et de panique, s'agitèrent. - Du calme ! Les Épouvantards peuvent être vaincus à l'aide d'un enchantement, Riddikulus, qui exige une grande concentration mentale... Car le lanceur doit pouvoir trouver la forme la plus ridicule possible pour l'Épouvantard et ainsi vaincre sa peur. Une fois vaincu, l'Épouvantard disparaît en une volute de fumée. Maggie s'approcha de l'armoire, qui tremblait toujours. Mais moins qu'Abby, qui était secouée de frissons. Ses yeux bleus étaient écarquillés d'horreur. Headley remarqua sa détresse, et lui prit gentiment la main. - T'inquiète, Abby... Je suis là pour te protéger. - Tu ne comprends pas... bredouilla la jeune fille, alors qu'elle n'avait qu'une envie : partir en hurlant. Car elle savait très bien la forme que prendrait son Épouvantard... - Miss Masen, souhaitez-vous commencer ? Eleanor n'en avait pas la moindre envie, mais faisant honneur au courage des Gryffondor, elle se leva, armée de sa baguette magique, et se plaça face à l'armoire. L'Épouvantard fut lâché, et prit la forme d'une limace géante. La jeune fille hurla, lâchant presque sa baguette. - Allez-y ! l'encouragea Maggie. Maintenant ! Fermant les yeux à moitié, Eleanor clama : - R... Riddikulus ! Une grosse chaîne en or marquée d'un $ marqua aussitôt le cou de la limace, et des Ray-Ban noires apparurent devant ses yeux. La classe éclata de rire, y compris Headley. Mais Abby restait glacée, figée, priant pour qu'elle ne soit pas interrogée. Le professeur Daggen renvoya l'Épouvantard dans son armoire, et fixa ses yeux pâles sur la jeune Serpentard. Ses bavardages et son inattention n'étaient pas restés inaperçus, aussi voulait-elle donner une leçon d'exemple aux autres élèves. La jeune femme clama donc : - Abigail Filch ? Elle ne bougea pas. - Abigail Filch. Elle secoua la tête. - Abigail Filch, tout le monde y passera, venez ou j'enlève trente points à Serpentard ! Les Serpentard commencèrent à la huer, anxieux à l'idée de perdre des points à quelques jours de la Coupe. La petite blonde, tremblant de plus en plus, secouait la tête compulsivement. Headley pressa alors sa main. Il lui donna du courage. Les Gryffondor médisaient déjà à propos de la lâcheté de leur maison ennemie ancestrale. Abigail vit rouge, et les fusilla du regard. Elle était plus brave et forte que tous les Gryffondor présents dans cette salle. S'ils avaient vécu les mêmes horreurs qu'elle, ils seraient devenus fous, ou seraient morts, ou pleureraient tout le temps, ou sursauteraient au moindre bruit... Toutes réactions qu'Abby parvenait, depuis, à dompter. Et elle ne voulait pas paraître faible, fragile, devant toute la classe. Il fallait qu'elle contrôle sa peur... Il le fallait absolument. Alors, elle se leva. L'armoire trembla de plus belle. La peur d'Abby était si forte, si puissante, si ancrée en elle, que l'Épouvantard la sentait sans la voir... Lorsque le professeur Daggen ouvrit l'armoire pour la seconde fois, à l'aide d'un sortilège, les Gryffondor comme les Serpentard ne furent pas étonnés de reconnaître Argus Filch, leur concierge. Le bougre faisait peur à beaucoup d'élèves, avec ses longs cheveux gras, son visage émacié et ses petits yeux fourbes. Puis, ils réfléchirent : Argus était le père de leur camarade... Et l'Épouvantard avait une bouteille de vin à moitié vide dans une main, et un fouet encore taché de sang dans l'autre.
Ce n'est pas réel, se répétait Abby. - Effrayée ? ricana le faux Argus en brandissant le fouet. Ta magie ne te sauvera pas ! A ces mots, il asséna le fouet. Les élèves hurlèrent, mais moins fort qu'Abigail. Elle évita le coup. Ses jambes tremblaient si fort qu'elles cédèrent sous son poids. Son coeur battait plus vite que jamais, le sang pulsait dans ses veines. L'adrénaline la stimulait, mais la peur la clouait sur place. Baguette brandie, elle tenta de chercher une image drôle, sans succès. Elle voyait juste le cadavre mutilé de sa mère, la cave glaciale et sombre, son sang brûlant s'échappant de ses plaies à vif. Elle ressentait seulement l'enfer qu'elle vivait depuis dix ans. Alors que ses tremblements incontrôlables lui faisaient lâcher sa baguette, tout courage l'abandonnant, elle fondit en larmes, à genoux devant l'homme qui avait un jour été son géniteur.
Ce n'est pas réel. Ce n'est pas réel...
Sentant que la situation lui échappait, Maggie Daggen voulut s'interposer, mais Headley avait déjà couru jusqu'à Abigail, se plaçant entre l'Épouvantard et elle. Il prit alors la forme de cinq corps, inertes. Un homme brun, une femme brune, un garçon brun également, une fillette rousse, et Abigail elle-même. Aucun souffle ne s'échappait de leurs nez. La vie les avait quittés.
Headley, sans laisser le temps à l'Épouvantard de se nourrir de sa peur, leva sa baguette et lança le sortilège. Les cinq personnes se levèrent et se mirent à danser. Une drôle de danse, en costumes traditionnels. Quelques rares pouffèrent, et le professeur Daggen renvoya l'Épouvantard dans son armoire, où elle l'enferma. Elle se précipita vers Abigail, mais la main tendue de Headley l'arrêta. La classe était plongée dans un silence choqué. - Vous en avez assez fait comme ça, cingla le jeune homme. Il se tourna vers Abigail, et s'accroupit près d'elle. Assis par terre, à ses côtés, il la serra dans ses bras avec tout l'amour et la tendresse qu'elle n'avait jamais reçu. Il l'inonda d'émotions positives, la berçant légèrement. Abby se mit à sangloter dans son cou, des larmes incontrôlables dévalant ses joues. Headley se leva, soutenant sa meilleure amie, et cracha : - Je l'amène à l'infirmerie, professeur Daggen. Mais je vous en prie, continuez votre cours. La porte claqua. Seulement, ce n'est pas à l'infirmerie que les deux Serpentard se rendirent, mais dans la Forêt Interdite. Abigail ne disait plus rien. Elle ne bougeait plus, sa peau était aussi glacée qu'un fantôme. Le fantôme de ses souvenirs et de sa mère, qui la suivaient sans cesse.
Headley et Abby cheminaient en silence. Le jeune garçon était obligé de tenir son amie par la main pour éviter qu'elle ne s'effondre. Enfin, ils arrivèrent à une clairière, où broutaient quelques Hippogriffes. Abigail fronça les sourcils, et se tourna vers son meilleur ami, qui posa un doigt sur ses lèvres. - Chut... Les deux Serpentard s'approchèrent des créatures. - Faut s'incliner, je crois... murmura Abigail, se rappelant de leur cours optionnel de Soins aux Créatures Magiques. Rassuré - elle parlait -, Headley obéit. Les Hippogriffes inclinèrent la tête. Les deux apprentis sorciers osèrent grimper sur leurs dos. Les créatures s'agitèrent, mais ne se ruèrent pas. - Allez, ya ! s'exclama Headley. Il ne se passa rien. Abigail ne sourit pas, se contentant de le regarder avec plus de sérieux que jamais. Il accrocha son regard, yeux bleus contre yeux noirs, et quelque chose se passa entre eux. Ils devinrent frères et soeurs de coeur.
Puis, les Hippogriffes décollèrent, avec tant de brusquerie que les deux Serpentard durent s'accrocher de toutes leurs forces à leurs crinières pour ne pas tomber. L'air les soulevait, les caressait, les emportait... Leurs corps leur criaient qu'ils volaient. Qu'ils en étaient capables. Et plus rien n'avait d'importance. Les Hippogriffes passèrent au-dessus du Lac Noir, creusant un sillon immatériel dans l'eau que leurs sabots effleuraient de temps en temps. Headley et Abigail se penchèrent d'un côté, Headley à gauche et Abby à droite, pour toucher l'eau miroitante. Le rire d'Abigail retentit alors, exacerbé par l'adrénaline, différente de celle mue par la peur qu'elle avait ressenti en cours de Défense Contre les Forces du Mal. En entendant ce rire clair, d'une joie retrouvée, Headley se fit une promesse. Celle de veiller sur Abigail, la protéger envers et contre tout. Contre son père. Contre les souvenirs. Contre ses démons qui la dévoraient de l'intérieur... C'était un moment hors du temps, où plus rien ne comptait. Si ce n'est leurs doigts joints, et les deux Hippogriffes filant face au soleil, comme s'ils voulaient le rejoindre.
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And the Tony Award Goes to...
Six-Time Tony Winner Audra McDonald, reigning Queen of Broadway
In honor of the Tony nomination announcement today, it's about time I published this post I've had waiting for almost two months now. With 64 Divas in our tournament, they're practically drowning in Tonys. Collectively, 53 Divas have received one or more nominations across four eligible acting categories, and 31 have taken home the prize. And you'll never believe what tumblr's image limit is. 30.
As luck would have it, two Divas won Tonys in the same year and despite what might be the most dramatic height difference possible, Bebe Neuwirth and Janet McTeer were photographed together specifically so I could make this post work 27 years later. (Bebe in heels and Janet in flats, and still...)
Pictured (L to R): Andrea Martin (2013), Anika Noni Rose (2004), Bebe Neuwirth and Janet McTeer (1997)
Pictured (L to R): Bernadette Peters (2012), Beth Leavel (2006), Betty Buckley (1983)
Nominations: (excluding wins)
Nominations Overall: 125 Best Leading Actress in a Musical: 56 Best Featured Actress in a Musical: 36 Best Leading Actress in a Play: 13 Best Featured Actress in a Musical: 19 Producer: 1
Pictured (L to R): Cherry Jones (2004), Christine Baranski (1989), Debra Monk (1993)
Pictured (L to R): Donna Murphy (1996), Harriet Sansom Harris (2002), Heather Headley (2000)
Nominations: (including wins)
Nominations Overall: 175 Best Leading Actress in a Musical: 75 Best Featured Actress in a Musical: 50 Best Leading Actress in a Play: 18 Best Featured Actress in a Musical: 29 Producer: 3
Pictured (L to R): Jayne Houdyshell (2016), Joanna Gleason (1988), Judith Light (2012)
Pictured (L to R): Julie White (2007), Karen Ziemba (2000), Katie Finneran (2002)
Wins: (2024 pending)
Wins Overall: 50 Best Leading Actress in a Musical: 19 Best Featured Actress in a Musical: 14 Best Leading Actress in a Play: 5 Best Featured Actress in a Musical: 10 Producer: 2
Pictured (L to R): Katrina Lenk (2018), Kelli O'Hara (2015), LaChanze (2023)
Pictured (L to R): Laurie Metcalf (2018), Lea Salonga (1991), Lillias White (1997)
Special Tony Awards (non-competitive):
Special Tony Award (posthumous): Marin Mazzie (my beloved) Isabelle Stevenson Award: Bernadette Peters, Judith Light
Pictured (L to R): Patti LuPone (2008), Stephanie J. Block (2019), Tonya Pinkins (1992)
Pictured (L to R): Tyne Daly (1990), Victoria Clark (2023)
Most Frequent Nominee: (including wins)
Leading Actress in a Musical: Kelli O'Hara (7) Featured Actress in a Musical: Andrea Martin (5) Leading Actress in a Play: Cherry Jones/Laura Linney (5) Featured Actress in a Play: Jayne Houdyshell/Judith Light/Julie White (3)
No Diva has won more than twice in any performance category. This will not change with the current nominees this year.
Oldest Winners:
Leading Actress in a Musical: Victoria Clark (63) Featured Actress in a Musical: Patti LuPone (72) Leading Actress in a Play: Laurie Metcalf (62) Featured Actress in a Play: Judith Light (64)
Oldest Nominee: Mary Beth Peil (76)
#tony awards#broadway#andrea martin#anika noni rose#audra mcdonald#bebe neuwirth#bernadette peters#beth leavel#betty buckley#cherry jones#christine baranski#debra monk#donna murphy#harriet harris#heather headley#janet mcteer#jayne houdyshell#joanna gleason#judith light#julie white#karen ziemba#katie finneran#katrina lenk#kelli o'hara#lachanze#laurie metcalf#lea salonga#lillias white#patti lupone#stephanie j block
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yk, reading beowulf (in two concurrent translations, bc I'm normal) after lord of the rings is probably basically what reading homestuck after the locked tomb would feel like
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Dust, Volume 10, Number 12
Olivia Tremor Control
Another year of Dust goes into the books with this final edition. We’ve relished the chance to work in short form, covering small label releases and chart-toppers, new music and worthy reissues, across a lot of genres but leaning heavily on jazz, folk, punk and experimental music. We hope you’ve enjoyed it, too, Here’s to continuing that, at least, in 2025.
This month’s contributors include: Bill Meyer, Patrick Masterson, Tim Clarke, Ian Mathers, Alex Johnson, Jennifer Kelly, Jonathan Shaw, Christian Carey and Bryon Hayes.
Abdou / Gouband / Warelis — Hammer, Roll and Leaf (Relative Pitch)
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When applied to improvising musicians, residency usually refers to a sequence of gigs at the same club. This session, a first-time encounter for the trio but not for its component parts, takes another tack. The hour of music on Hammer, Roll and Leaf was tracked in alto and tenor saxophonist Sakina Abdou’s home over the course of four days, two of which were taken up with gigs elsewhere. So, we should we call it a residential residency? At any rate, one supposes that the shared time in close quarters contributed to the music’s charge. It has a feeling of excitement in becoming. They’re not just improvising; they’re figuring out who they are as a trio. Each musician brings both flexibility and a strong individual presence. Martha Warelis is as comfortable inside the piano as she is at the keys, and she uses that combination of hardware rumble and high-wire line-tracing to give the music shape, motion and space. Toma Gouband’s penchant for playing with stones and branches filters the conventional spectrum-filling function of his drum kit, and his astute placement of small sounds invites one to listen for the details. Abdou thrives in their company, find a complementary stance for whatever her fellows throw at her. Great stuff.
Bill Meyer
Barker / Parker / Irabagon — Bakunawa (Out of Our Heads)
Andrew Barker is a drummer, improviser and composer based in New York whose cv includes Gold Sparkle Band, Acid Birds and a host of endeavors that blur the line between solo and collaborative. Take this one, for example. Barker put the date together, but when you call on William Parker (heard here on bass, B flat pocket tuba, and a Catalan double reed instrument called a gralla) and Jon Irabagon (tenor and sopranino saxophone), you don’t do so in order to shove music stands under their noses. Each musician adds such personality and imagination to their parts that the shared compositional credits make perfect sense. Each of the LP’s four (five on the download) tracks explores a different tributary off the free jazz stream, pushing back the mapped zone of exploration just a bit.“Fly Anew,” for example, swings with burly muscularity, while “Morgan Avenue Second Line” fractures and scrambles said line into an expression of confrontationally dancing sound, like martial arts sparring match between three choreographers.
Bill Meyer
Batu & Nick León — Yiu EP (A Long Strange Dream)
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Bristol’s Batu and Miami’s Nick León are both club vets at this point — the former via numerous late UK bass singles and ownership of both the Timedance and A Long Strange Dream imprints, the latter an adventurous remix workhorse whose 2024 highlight ended up being an Erika de Casier collaboration. Closing out the year with their first EP together, Yiu thrives on the tension between Bristolian bass weight and the lighter, faster beats of Miami’s Latin scene. The eponymous track, originally heard in León’s Dekmantel mix, is the highlight, snagging a reggaeton rhythm and marrying it to swirling, dissonant (but not unpleasant) synths. Don’t miss the bubbly “Tuvan” (yes, there is throat singing incorporated) or the dashing “Palo,” either, though. For just four tracks, a great deal of ground is covered; let’s hope this just scratches the surface of their potential together.
Patrick Masterson
“Deadly” Headley Bennett—35 Years from Alpha (On-U Sound)
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If you listen to Studio One reggae, you know Headley Bennett’s playing, even if you don’t know that you know. As part of the core session crew, his spreadably rich alto saxophone is all over the label’s discography, but as a consummate sideman he managed to make it to the age of 50 without making a solo record. When he stuck around London after a tour with Prince Far I, Adrian Sherwood recognized an opportunity to right a cosmic wrong and put him in the studio with drummer Style Scott, singer Bim Sherman and a posse of creatively named On-U Sound regulars. The combination of Bennett’s fluid melodies and Sherwood’s muscularly dubby, percussion-forward production is inspired. Every boingy syndrum, ardently crooned lyric and echoing beat has a reflective surface that points attention to the saxophonist.
Bill Meyer
Blawan — BouQ EP (Temesc)
The longer South Yorkshire producer Jamie Roberts is left to his own devices, the weirder his songs get. Using his literal voice more than ever and letting in a lot more light than his typically aggro, industrial-leaning productions account for, BouQ covers considerable post-dubstep ground for him on the big room highlight “Fires” alone. Lest it be misunderstood, Blawan isn’t going James Blake singer-songwriter mode or getting confessional instead of confrontational, but the more discernibly human touches and melodies of this four-tracker are a distinctive step to the left. It suits him; more than another Persher album or even an extended hardware-only Karenn set, BouQ is the sound of an opportunity, of fresh potential from a guy who’s lived through club trends of the last decade and a half and still has something left to give.
Patrick Masterson
Bursting — Bursting EP (No Sabes)
Bursting cites Jawbox, No Knife, Drive like Jehu and Shiner as musical reference points for its debut six-song EP, but even with that and pedigrees of bands including Coliseum, Stress Positions and Thou, the thing “Trade in Time” reminded me of most immediately was early Foo Fighters. There’s a subtle multitracked quality to Kortland Chase’s higher register that recalls Dave Grohl in his first years after Nirvana and the music never feels too heavy — but far from a negative thing, this just paints Bursting as distinct from its creators’ biggest projects. There’s no question you can hear Jehu’s most driving Yank crimes on “Play It Nice,” but taken as a whole, this is a solid slab of 1990s-indebted indie-rock skirting the perimeter of knotty post-hardcore as it was then delivered. Put another way: It’s easy to imagine a 1995 where “Dark Phase Manager” is an alt-rock radio staple (complementary).
Patrick Masterson
DJ Sabrina the Teenage DJ — Sorcery (Spells on the Telly)
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It’s unnerving how prolific DJ Sabrina the Teenage DJ is. The still-anonymous London producer properly broke through with the three-hour odyssey Destiny, a mind-bending 41-track melange of sunny, psychedelic, sample-heavy house the likes of which most people hadn’t heard since the Avalanches’ Since I Left You heyday. That was August 2023. Normally, you’d take a moment after that to make a victory lap, catch your breath and see where you’re at artistically, assess what you want to do next. But that’s you, a mortal; what Sabrina did instead was release two singles and three albums, one of which (Hex) has two companion albums unto itself. The latest (though only a fool would bet on it being the last) 2024 release is the 14-track Sorcery from early December, which fails to dip in the quality we’ve come to expect. Despite oft-straightforward 4/4 rhythms, the sheer density of these productions — which have to look like a nightmare in ProTools, incidentally — boggles the mind. What does her process look like? When does she sleep? How the fuck is this possible? The answer has to be right there in the title; nothing else seems plausible.
Patrick Masterson
The Green Child — Look Familiar (Hobbies Galore / Upset the Rhythm)
The self-titled 2018 debut by the duo of Mikey Young (Eddie Current Suppression Ring, Total Control) and Raven Mahon (Grass Widow) was an uncanny gem. Its deadpan space-pop felt like the soundtrack to an odd, dated nature documentary. On album three, Look Familiar, the duo are joined by Alex Macfarlane (The Stevens, Twerps) on guitars and synths, and Shaun Gionis (Boomgates) on drums. The resulting sound is much fuller and more propulsive, with a motorik bent and a twist of glam swagger. The title feels like a nod to the fact that several of the songs have elements that are reminders of a diverse range of other songs, such as Fleetwood Mac’s “Tusk” (“Easy Window”), Boards of Canada’s “A Beautiful Place Out In the Country” (“A Long Beautiful Flowing Cape”), and even Wang Chung’s “Dance Hall Days” (opener “Wow Factor”). The eclecticism in these reference points is a good indicator of this album’s tunefulness and likeability.
Tim Clarke
Haptic — Sensitive Dependence on Initial Conditions (Line)
One could accurately characterize the entire timeline of the Chicago-identified trio Haptic as a shift between the poles of outreach and interiority. Originally formed expressly to perform live, with guests, extended episodes of geographic separation brought out their latent tendencies towards audience-free interaction. The title tips the hand of this recording, which can be considered an experiential confrontation with destiny. For while the musicians added to, subtracted from, processed and otherwise manipulated sourced from a one-day session at Chicago’s Experimental Sound Studio, they kept coming back to the original sounds. Which is not to say that it sounds like what they played; rather, what you hear was fileted from the original sound capture, dredged through field recordings and room sounds, and then shaken until only a light dusting of influence remained. There are long stretches where it sounds like a rank of long electronic tones tucked behind a cloud bank of room sound, and this immateriality makes the choice to release it only as a digital download feel like an artistic choice to make format congruent with content.
Bill Meyer
Hirsch Swell Clouse Parker — Out on a Limb (Soul City Sounds)
To spell it out, that’s Steve Hirsch on drums, Steve Swell on trombone, William Parker on bass and Jim Clouse on soprano and tenor saxophones. All of them save Minneapolitan Hirsch are New Yorkers who spend a lot of time in Clouse’s Park West Studio, and there’s a rapport between them that contributes to this music’s apparent effortlessness. The horns glide and tangle, then stop and smear textures as one; the bass and drums have a leap-frogging dynamic that keeps the music moving even when one of them temporarily plunges into space and then pops back up, gleefully gravity-defiant. Soulful and free-flying, his is free jazz that inhabits the moment and makes you want to live in it too.
Bill Meyer
Hypnodrone Ensemble — The Problem Is in the Sender—Do Not Tamper With the Receiver (WV Sorcerer Productions)
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About all you can count on with a release from this group led by Aidan Baker (Nadja) and Eric Quach (thisquietarmy) is that those two will play guitar, there will be at least three drummers (here Fiona McKenzie, Angela Martinez Muñoz, and Sara Neidorf), and that things are indeed going to drone hypnotically. On this outing, in addition to past contributor Gareth Sweeney returning on bass, there’s a first: vocals, by Lane Shi Otayonii (Dent, Elizabeth Colour Wheel). Otayonii’s wailing vocals are equally entranced and entrancing and fit surprisingly well with the roiling boil the rest of the Ensemble can whip up seemingly on command. The result is just as easy to get lost in as their other LPs, but in a whole new head spinning way.
Ian Mathers
Licklash — Big Smile (Roolette)
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Here’s hoping you have at least 12 minutes for punk rock today. Listen just one time through Big Smile, the debut EP from Melbourne duo Licklash, and you’ll have gotten a satisfying pummel from these four furious, bouncy polemics. The pleasures of the blurted but flowing last verse of “Party Line” or the pounding, angular rhythm guitar on “Battleship,” for example, are immediate. But leave Big Smile on for another round and you’ll find a carefully constructed, complex record that, despite its four-year formation, never sounds over-thought or precious.
Big Smile was entirely and admirably produced by the band — guitarist and vocalist Kahlia Parker and bassist Carsten Bruhn. The mix is clean and balanced and spotlights the subtleties: the crinkled buzz of Parker’s lead riff on “Battleship” or the high, bent notes that orchestrate the music into intervals of calm, of form meeting content, however briefly, on “Control.” Achievements in production noted and appreciated, you’ll keep coming back to Big Smile for the polemics and the pummeling; for Parker’s sharp, indignant delivery of the group’s frantic, funny-until-dead-serious lyrics and headlong, hard struck instrumentation that manages both hardcore intensity and a bumping groove.
Alex Johnson
Low Animal — Bedlam Hiss EP (Decapitator)
I’m not saying it’s Low Animal’s fault my tinnitus is beyond repair — you’re talking to a guy who saw My Bloody Valentine without earplugs in his younger, dumber years — but I’m also not saying they helped at a recent gig in support of Flint grunge staples Greet Death. The flamboyant Chicago quintet knows where their bread is buttered, and on recent three-tracker Bedlam Hiss, they put that noise-rock know-how to tape with a screeching, smashing, soaringly irrepressible pummel. There are a not-unnoticeable number of bands, led by Chat Pile, currently out there demonstrating what they’ve learned from The Jesus Lizard … but I can assure you that few of them match the sonic intensity of Low Animal. The EP doesn’t quite do the live experience justice, so take it from one who learned that too late: Do not leave those earplugs at home.
Patrick Masterson
Lunar Noon — A Circle’s Round (self-released)
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Michelle Zheng was reading works by the Vietnamese Buddhist and peace activist Thich Nhat Hanh when she started composing A Circle’s Round, and his thinkings on action, inter-being and connection to all living things permeates the expansive contours of this art-song cycle. The sounds of nature weave through sophisticated, large ensemble arrangements. Indeed, the very first sound you hear is running water. Yet this is no meditation-inducing drone. Zheng constructs shimmering, multi-layered compositions out of choral vocals, strings, piano and other instruments, and enlivens them with constant interlocking motion. Her core band includes half a chamber quartet in violinist Brian Lach and Christopher Healy, plus drummer Théo Auclair, and she herself sings and plays piano and synths. Some cuts like “Forgettable Consequences” swagger with jazzy urbanity. Others, such as the closer, “The Other Shore,” billow with lively voices at play. “A Circle’s Round” percolates and shivers, approaching Jon Hopkins electronic ambiences. Lovely and complicated.
Jennifer Kelly
Mahall / Stoffner / Griener — Die Exorzistin (Wide Ear)
Give this record’s sleeve a good look. The artists have gone to the trouble of packaging the CD in a 7” single sleeve, thereby guaranteeing two things; it won’t get lost in the same stack as the other slimline CD sleeves, and fading jazz-head eyesight stands a better chance of registering the details of the dense, irreverent collage on its sleeve. Neither the image nor the music it encases seeks to provide comfort. Drummer Michael Griener and clarinetist Rudi Mahall have a partnership that has endured since they were both teens, and they are as jointly fluent in mid-20th century swing as they are in elbows-out free improvisation. They zero in on the latter end of the spectrum through this album’s 17 spiky and generally pithy tracks. Mercurial and agile, they make music like a pair of swordsmen who are just itching for a chance to evade the rules and poke holes in each other’s favorite smoking jackets. Electric guitarist Florian Stoffner is equally nimble, but he brings a clanking sonic ballast to the proceedings.
Bill Meyer
Anne Malin — Strange Power! (Dear Life)
North Carolina poet and songwriter Anne Malin brings an extended ensemble to her fifth full-length, moving away from the ghostly tremors of 2020’s Waiting Song (“These songs have a fey, otherworldly quality,” said Dusted.) towards a surer, more communal sound. There’s nothing spectral about “North Carolina,” for instance. The tune pays tribute to the white sand beaches of Malin’s home state, trace-like percussion, pedal steel and piano flourishing around her warm, twining melodies, while “River” undulates with the warmth of Lily Honigberg’s violin. Still, “Lilac Bloom” is as delicate as the blossoms it celebrates, and wavery washes of surf guitar arise around its slow lament. And edging back into goth, “The Visionary” quotes a poem by Emily Brontë, Malin’s voice echoing the novelist’s 19th century, death-haunted romanticism. Strange Power! builds a narrow bridge between this world and the next.
Jennifer Kelly
Nate Mercereau — Sundays (How So)
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Nate Mercereau is a guitarist, sampler and composer who has worked with a long list of high profile musicians, from pop icons like Lizzo, Shawn Mendez and Andre3000, to jazz innovators like Idris Ackamoore and Kamasi Washington. For Sundays, Mercereau pairs with avant percussionist/synthesizer whiz Carlos Niño for a set of radiant, synth-heavy dreamscapes that however somewhere between prog and fusion jazz. Mercereau infuses his music with light and air and nature. When birds twitter in the interstices of “Every Moment Is the First and Last,” and you can almost feel the sunshine pouring in. “Absolute Sensitivity” sits cross-legged in a meditation garden, letting the long tones vibrate, mutate and fade without forcing them into melody. On the downside, these cuts can feel disembodied and imaginary, an unreal landscape too pretty to buy into. However, bits of organic music—alto flights from saxophonist Josh Johnson, kit drums from Jamire Williams—provide some grounding.
Jennifer Kelly
Non Bruises — II (Just Because)
Ohioan Mike Uva returns to his electrified Non Bruises project for a second round, cutting back on the lyrics-focused song structure and zooming in on guitar tone. Thus, “Silent Partner” cuts back to the words to a recorded (and uncredited) inspirational speech, building a slow bloom of post-rock guitar and drums around it. “Moto Rick” is a sharper vamp, all driving guitar/bass/drums for a long time before picking up some thready vocals. Standout “Evelyn Martin,” credited to guitarist Andy Stibora, has a bit more of the first record’s lo-fi GBV-into-Pavement grace, but most of these cuts groove rather than hook. “Taster,” a Grandaddy cover near the end, looms and hazes and resolves, a reminder that the fuzz has to have a center somewhere. We liked the first Non Bruises a lot here at Dusted (“an album that could take its place in your small rack of favorites”) and this one a bit less.
Jennifer Kelly
The Olivia Tremor Control — “Garden of Light” / “The Same Place” (Elephant 6 Recording Co.)
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Two new songs by legendary psych-pop band The Olivia Tremor Control were recently released as part of the soundtrack to the Elephant 6 Recording Co. documentary. Then, a matter of hours later, news circulated that Will Cullen Hart had died of a heart attack following a decades-long struggle with multiple sclerosis. The experience of listening to these two songs is not only colored by the news of Hart’s passing, and that of Bill Doss before him, but also the sinking realization that the long-gestating third OTC LP may never see the light of day without Hart or Doss at the helm. Having said that, the strength of the E6 musical community, so beautifully depicted in the documentary, may work miracles once the sting of Hart’s passing has begun to fade. For now, these two songs are premium, essential OTC. “Garden of Light” is classic Doss, full of bright, major-key jangle, harmonized vocals, and Beatles-esque guitar breaks, while Hart’s “The Same Place” could have come straight off the first Circulatory System LP with its mournful cellos and dreamy sway.
Tim Clarke
Ploughshare — Second Wound (I, Voidhanger)
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Angular and dissonant, Canberra-based black metal band Ploughshare makes music that seems like it would be more at home in Norway or Northern France. But black metal is global, and always has been; the Scandi bands get the most buzz for breaking the form open, but Brazil and England were likely more important sites of early articulations of the genre’s visual style and unslakable need for infernal speed. Ploughshare plays a much headier, avant-garde rendition of black metal (as the band’s current label suggests), and it’s demanding stuff. This reviewer really digs “Thorns Pressed into His Head,” which achieves a propulsion that is both dementedly downhill in its abandon and deeply dizzying; there’s a churn in your gut if you really dig in and engage. On some of the longer compositions, the desire for atmospherics and rhythmic complexity can drain the music of some of its bloody-minded heat; see “The Mockery of the Demons.” Wish this talented band would devote a little more of their intensity to keeping the music grounded, where its capacity to gouge and pummel has maximum material force. But Second Wound is a mostly satisfying record. If it cuts into you once, you’ll go back.
Jonathan Shaw
Primitive Art Group — 1981-1986 (Amish)
1981-1986 by Primitive Art Group
These New Zealand improvisers used jazz instruments in their work, with some unorthodox inclusions like bass banjo, bass drum, and guitar preparations. Their two albums are collected here. Multiple reeds in tandem create howling dissonance on “Swingin’ in the Rain.” On the live track “Cecil Likes to Dance,” the group channels raucous free jazz from the United States circa 1970, with a central section that thins out to harmonics, drum rolls, and altissimo call and response, and a return to the opening demeanor. “Lannie’s Revenge” has more organized horn charts that are periodically interrupted by spacy organ and angular drumming. Solos from saxophone and organ provide an Arkestra ambience. “Macho Groove” is rife with syncopation and juxtaposes multiple saxophones playing sustained lines and emphatic short motives. 1981-1986 is an eclectic pastiche of free play that embodies the energy of New Zealand’s fertile creative music scene in the 1980s.
Christian Carey
Maeve Schallert — The Etching (cow: music/Astral Spirits)
The Etching by Maeve Schallert
Scratched into a solid but capable of suggesting all manner of active perceptions, etchings have a lot in common with LPs. The Etching may be cut into plastic (or, if you fail to find one of its 100-small micro-pressing, coded into your favorite file format), but it certainly evokes movement. It is performed by Maeve Schallert, a violinist based in Kingston NY who is too young to have known a world without delays and canny enough to spin elusive gold from the collision of architecturally and electronically generated echoes. They created each of the album’s two pieces by feeding phrases into a ten-second delay MaxMSP whilst playing in a stairwell, which generates the impression of violin strokes circling the space like a vortex of bats, then flying up and out towards every possible horizon.
Bill Meyer
Pat Thomas / Dominic Lash /Tony Orell — Bleyschool: Where? (577 Records)
BleySchool: Where by Pat Thomas and Bleyschool
Bleyschool is another in Pat Thomas’ bulging bag of musical tricks. Like Ahmed, which had a banner year in 2024, it deals with history on the English keyboardist’s terms. Accompanied by bassist Dominic Lash and drummer Tony Orell, Thomas sticks to piano and deals mainly with material associated with (but not written by) Paul Bley. The centerpiece is a 16:40 version of Carla Bley’s “Ida Lupino” that melts the original’s melody into a churning textural mass, and then slowly reassembles it. On another Carla Bley composition, “King Korn,” an iridescent bowed bass clears space for a Thomas’ leaping clusters, and “Monk’s Mood” magnifies the tune’s chasmic gaps and springy, wandering rhythms. Mid-20th century jazz often got compared to Cubism; the way that Bleyschool magnifies and distorts their material’s angles and shapes feels very true to that model without sounding like it’s of that time.
Bill Meyer
Vernal Scuzz — Vernal Scuzz (Sweet Wreath)
Vernal Scuzz by Vernal Scuzz
Jasper Lee birthed Vernal Scuzz after Silica Gel dissolved, and this new group’s debut shows off a darker and murkier side of the Sweet Wreath ecosystem. They’re collecting mutant spores from the sooty catacombs of 1980s Manchester rather than grass clippings from medieval pastures. Tight, punchy post-punk rhythms bathe in a fizzy stew of broken circuitry and rangy structures that the band intersperse with arcane rites and translucent melodies. Album opener “La Durée” fools us into thinking we’re in for turn of the millennium post-punk revivalism, but the rest of the songs are steeped in a simmering chaos akin to Liars’ They Were Wrong, So We Drowned. The odd swatch of spoken word finds Lee looking back at the folky leanings of his previous outfit, but Vernal Scuzz would rather rock out than revisit the songs of our ancestors. Their dank, punky energy certainly tingles the eardrums.
Bryon Hayes
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