#bilan énergétique
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Mon cahier de magnétiseur
Découvrez l’art de soigner avec vos mains Stéphane Langlade
La pratique du magnétisme consiste à canaliser l’énergie qui nous entoure pour aider à soulager douleurs et maladies. Elle est accessible à tous, car nous possédons naturellement un certain magnétisme, que l’on peut apprendre à développer et à maîtriser.
Ce cahier pratique a pour but de vous guider pas à pas sur ce chemin.
Vous y trouverez notamment : • Des exercices simples et efficaces pour affiner sa sensibilité à l’énergie et tester son magnétisme : créer une boule d’énergie avec ses mains, magnétiser de l’eau, un fruit, etc. • Les techniques à mettre en œuvre : réaliser un bilan énergétique précis avec un pendule ; le pouvoir de l’intention ; les passes et impositions des mains... • Des fiches pour soulager une quinzaine de maux physiques ou émotionnels du quotidien : chaque séance est expliquée étape par étape, avec le détail des passes à pratiquer, dans une présentation claire et très visuelle. • Des dessins des passes et des gestes à réaliser, ainsi que des schémas anatomiques pour comprendre et bien visualiser les pathologies. • Les précautions à prendre avant, pendant et après une séance : purifier les lieux, se protéger contre les énergies négatives et la fatigue...
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Réduction des émissions de gaz à effet de serre : les ambitions de la COP départementale de l’Essonne
https://justifiable.fr/?p=848 https://justifiable.fr/?p=848 #ambitions #COP #départementale #des #effet #émissions #gaz #les #lEssonne #Réduction #serre teal sun/AdobeStock Face aux conséquences des crises climatiques et de la biodiversité qui ont des retombées très concrètes sur le territoire essonnien, le département se mobilise. Dans le cadre de la COP départementale d’Île-de-France, le département de l’Essonne a convié les acteurs locaux pour réfléchir ensemble aux moyens concrets afin de mettre en œuvre une vraie politique de transition écologique. La première COP départementale d’Île-de-France a eu lieu en juillet 2024 en Essonne. À la présidence de cette COP91, Alain Castanier, préfet délégué à l’égalité des chances de l’Essonne et Nicolas Méary, vice-président en charge de la biodiversité et de la transition écologique du département de l’Essonne. Plus de 150 acteurs du territoire, dont le rôle est essentiel pour réussir la transition écologique (collectivités, syndicats d’énergie, agences de l’État, énergéticiens, entreprises, associations… ) ont participé à la COP91. Le rôle stratégique du département dans la transition écologique « En tant que chef de file des politiques de solidarités humaines et territoriales, le département est un acteur légitime pour porter la transition écologique », a rappelé Nicolas Méary, lors du vote d’une nouvelle stratégie de transition écologique pour la période 2023-2030. Dans la continuité de l’action volontariste du département dans ce domaine, l’Essonne a opté pour une stratégie de transition écologique ambitieuse pour la prochaine décennie, le Plan Eco-Ambition 91, « pour aller plus vite et plus fort sur ces sujets ». Le défi est « gigantesque et les objectifs extrêmement ambitieux », conclut le vice-président en charge de la biodiversité et de la transition écologique du département de l’Essonne. Rappelons qu’en termes d’émissions de gaz à effet de serre, le territoire de l’Essonne génère plus de 5 800 ktCO2, soit des émissions de gaz à effet de serre de l’ordre de 4,5 t CO2 par habitant. La séquestration carbone est, quant à elle, de l’ordre de 9185 tCO2/an. Cela représente 15 % du bilan global du territoire d’après le Rapport Développement Durable 2023, publié par le département. Une feuille de route ambitieuse À l’horizon 2030, le département s’est fixé un certain nombre d’objectifs : • 40 % d’émissions de gaz à effet de serre en moins par rapport à 1990, conformément à la stratégie nationale bas carbone • 40 % d’énergie consommée en moins au niveau du département par rapport à une année de référence entre 2010 et 2020 • Contribuer à emmener le territoire essonnien dans la stratégie des aires protégées pour atteindre les objectifs de la COP 15 de 30 % d’aires protégées • 50 % d’espaces consommés en moins en vue d’atteindre le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050, conformément aux objectifs de la loi Climat et résilience. La stratégie de transition écologique se décline sur 6 axes : • la réduction de l’empreinte carbone de l’Essonne, • la préservation de la biodiversité du territoire, • l’adaptation des politiques publiques départementales, • l’exemplarité du département, • l’accompagnement des acteurs du territoire face au changement climatique, • la mobilisation des Essonniens. 15 actions-clés ont été identifiées parmi lesquelles une augmentation de 75 % des Espaces Naturels Sensibles (ENS) aménagés, la lutte contre les passoires énergétiques, un engagement massif pour la production d’énergie renouvelable, la sensibilisation des élèves essonniens aux enjeux du changement climatique et de la biodiversité, l’adoption d’un « budget vert » chaque année ou l’ouverture quatre sites de baignade dans la Seine et de quatre autres sites dans les autres cours d’eau du département. Un contexte d’urgence Le dernier rapport du GIEC est venu rappeler que les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines réchauffent le climat à un rythme sans précédent. La température de la surface du globe terrestre a augmenté d’1,1 degré par rapport à la période préindustrielle. Quels que soient les scénarios retenus, pour le GIEC le réchauffement de la planète atteindra 1,5 °C dès le début des années 2030. Limiter ce réchauffement à 1,5 °C et 2 °C n’est possible qu’en accélérant et en approfondissant dès maintenant la baisse des émissions afin de ramener les émissions mondiales nettes de CO2 à zéro et réduire fortement les autres émissions de gaz à effet de serre. Le dernier rapport du GIEC souligne, en outre, l’augmentation des risques : vagues de chaleur, précipitations extrêmes, sécheresses, fonte de la cryosphère, changement du comportement de nombreuses espèces pour un même niveau de réchauffement par rapport à ses précédentes conclusions. Les risques climatiques et non climatiques vont s’aggraver et se multiplier, ce qui rendra leur gestion plus complexe et difficile. La convergence de plusieurs volontés Dans ce contexte d’urgence climatique, la COP 91 correspond tout à la fois à la nécessité de répondre aux exigences de l’État et la Région Île-de-France, et du calendrier fixé pour atteindre les objectifs sur lesquels la France s’est engagée : diminuer de 55 % les émissions de GES d’ici 2030 par rapport à 1990, en visant l’objectif de la neutralité carbone et à celles des principaux acteurs du département, maires, élus locaux, associations, entreprises, partenaires. Ces derniers disposent des leviers de la transition et sont nombreux à conduire des projets ambitieux sur le territoire essonnien et à avoir la volonté de changer les choses. Quels leviers pour l’amélioration énergétique des bâtiments, pour décarboner les mobilités ? Comment accélérer la production d’énergies renouvelables dans l’Essonne ? Quels leviers pour préserver la biodiversité et les ressources du département ? Autant de questions opérationnelles et concrètes pour le territoire essonniens auxquels les différents membres de la COP91 ont été invités à réfléchir. De juillet à octobre 2024, les débats se poursuivent pour recenser les nouvelles actions ou envisager de massifier les actions déjà entreprises. La feuille de route définitive est attendue prochainement.
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65 milliards d'euros c'est…le montant des obligations vertes émises par la Commission européenne entre 2021 et 2024 dans le cadre de son programme de relance post-Covid NextGenerationEU, selon le d...
C’est le montant des obligations vertes émises par la Commission européenne entre 2021 et 2024 dans le cadre de son programme de relance post-Covid NextGenerationEU, selon le dernier bilan publié. En 2020, Bruxelles s’était donné l’objectif d’émettre 30 % du financement de ce programme sous cette forme, soit 250 milliards d'euros d'ici à fin 2026. Après une première obligation verte de 12 milliards émise en octobre 2021, la Commission a poursuivi son objectif pour financer les neuf secteurs définis par le cadre régissant ces obligations, qui incluent les transports propres, les énergies propres et l'efficacité énergétique. La Commission a calculé que les obligations vertes émises pendant ces trois ans ont permis de financer des projets de décarbonation et de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 55 millions de tonnes par an au sein de l'UE.
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Atmo Bourgogne-Franche-Comté et ses homologues des autres régions s’associent pour mettre à disposition de tous des données clés sur le changement climatique. La COP 29 met de nouveau en lumière qu’il n’existe qu’une solution connue pour ralentir le réchauffement climatique : réduire les émissions de gaz à effets de serre (GES). La fameuse expression « penser globalement, agir localement » prend ici tout son sens. Pour aider à cette transition, les Associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA), fédérées au sein du réseau Atmo France, réalisent depuis des années un travail essentiel : elles mesurent et répertorient les émissions de polluants de l’air, de gaz à effet de serre et les consommations d’énergie. Ces « inventaires d’émissions » permettent de comprendre l’origine des émissions dans chaque Région et voir comment elles évoluent. Ces données fiables et impartiales, produites par plus de 700 experts que regroupent les 18 AASQA (en France métropolitaine et dans les DROM), offrent une vision complète pour soutenir les territoires dans leurs actions pour la qualité de l’air, le climat et l’énergie. Qu’est-ce qu’un inventaire d’émissions et à quoi sert-il ? Un inventaire d’émissions est une sorte de « bilan » qui recense la quantité de polluants de l’air et de gaz à effet de serre émis par les différents secteurs d’activité (industrie, transport, agriculture, etc.) sur un territoire donné. Ce bilan aide à identifier les principales sources d’émissions et permet aux collectivités territoriales de mieux planifier leurs actions pour réduire la pollution de l’air et protéger le climat. Grâce à la collaboration entre les AASQA, cet inventaire est réalisé de manière homogène selon des méthodes validées par le Ministère de la Transition Écologique, assurant ainsi une cohérence des données à l’échelle nationale. Par exemple, PRISME, une plateforme dédiée, permet aux collectivités et aux pouvoirs publics d’anticiper et de mieux planifier leurs politiques climatiques et énergétiques. Des outils accessibles pour tous Pour que chacun puisse accéder facilement à ces données, Atmo BFC, en partenariat avec l’Université de Franche-Comté, et avec le soutien financier de la Région et de l’ADEME BFC, a développé OPTEER, la plateforme des données Air Climat Energie, ouverte aux acteurs territoriaux et au public. Sur OPTEER, vous pouvez ainsi explorer les émissions de polluants de l’air et de gaz à effet de serre dans chaque département de Bourgogne-Franche-Comté, à l’échelle de chaque EPCI, secteur par secteur, et suivre l’évolution depuis 2008 des efforts locaux pour un avenir plus durable. Ces données sont accessibles sur www.opteer.org en libre accès. infos > www.opteer.org Read the full article
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En une semaine, la Russie a mené une quarantaine de frappes groupées contre des sites ukrainiens
L’armée russe a effectué 36 frappes groupées durant les sept derniers jours contre des installations énergétiques et militaires ukrainiennes, rapporte le ministère russe de la Défense dans son nouveau bilan hebdomadaire dévoilé ce 18 octobre. Les attaques ont été réalisées avec des armes de haute précision et des drones; des aérodromes et des sites de déploiement de mercenaires ont également été…
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La Chine publie un Livre blanc sur la transition énergétique
Le Bureau de l’information du Conseil des Affaires d’Etat de la Chine a publié un livre blanc intitulé “Transition énergétique de la Chine” pour faire le bilan des actions réussies et des réalisations historiques de la Chine dans ce domaine au cours de la dernière décennie. Outre la préface et la conclusion, le livre blanc est composé de six parties : “La voie de la transition énergétique de la…
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Le HoliScan est une méthode holistique conçue pour aborder les différents niveaux d'énergie et de conscience. Elle consiste en un bilan complet qui va au-delà de l'esprit conscient pour explorer et résoudre les perturbations énergétiques sur sept niveaux.
Cette méthode combine des techniques telles que la radiesthésie énergétique, le décodage symbolique et des rituels de libération émotionnelle pour aider les individus à atteindre un plus grand bien-être.
à Arras, 06 75 72 21 62
rendez-vous en ligne : https://user.clicrdv.com/cedric-colaert
le site : https://cedriccolaert-energeticien.fr/
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Pour dormir sur ses deux oreilles, il existe des solutions
Selon l’institut du sommeil et de la vigilance, les français sont particulièrement touchés par le manque de sommeil mais consultent peu de spécialistes. Les jeunes adultes, eux, sont aussi concernés par la privation de sommeil. Nous avons rencontré un médecin spécialiste du sommeil et un thérapeute en médecine traditionnelle chinoise livrent leurs conseils.
Valérie Gier est formelle. “Au cours des 50 dernières années, notre durée de sommeil a diminué d'une heure par nuit”, explique la médecin, spécialiste du sommeil. Les jeunes adultes sont particulièrement touchés par cette privation de sommeil. La cause principale : les écrans. En effet, de nombreux jeunes adultes, avant de tomber dans les bras de Morphée, consultent leur téléphone. Celui-ci éclaire le visage des concernés et arrête la production de mélatonine, l’hormone du sommeil. C’est dans l'obscurité que la mélatonine est diffusée vers le cerveau. En bref, les écrans dérèglent l’horloge biologique interne.
Un mode de vie qui tend vers la sursollicitation
Evidemment, ce n’est pas le seul facteur de manque de sommeil, même si nos mères aiment bien nous le répéter. “Il faut différencier deux types de facteurs. Les facteurs environnementaux, des facteurs comportementaux. Et à côté de ça, il y a les pathologies”, expose Valérie Gier. Les facteurs environnementaux, c’est contrôler la lumière de la pièce dans laquelle on s’apprête à dormir, veiller à ce que la température soit basse, et que la literie soit de bonne qualité. Les facteurs comportementaux sont ceux qui découlent d’un mode de vie choisi. Le manque d’activité régulière, les repas à des heures aléatoires et une irrégularité en termes de nombre d’heures de sommeil. En ce qui concerne les pathologies, la spécialiste du sommeil en cible plusieurs.
L'obésité de plus en plus présente chez les jeunes et l’orthodontie non résolue sont des facteurs à prendre en compte dans les causes d’un sommeil de mauvaise qualité. Ces pathologies favorisent des problèmes respiratoires et engendrer de l’apnée du sommeil.
Le syndrome du fomo (fear of missing out) ou la peur de manquer quelque chose, est répandu chez les jeunes. “ La sursollicitation encourage l’anxiété qui elle-même entraîne
une dette de sommeil. Il faut prendre le temps de ne rien faire ! ” conseille la spécialiste.
Outre les troubles du sommeil, certains conseils peuvent déjà être appliqués avant de rencontrer un spécialiste. Comme par exemple se coucher, se lever, manger à heure fixe et pratiquer une activité physique.
Et du côté des médecines alternatives ?
Et si la médecine traditionnelle est peu fréquentée à ce niveau-là, d’autres prennent le pas. En effet, du côté des médecines alternatives, les consultations liées aux troubles du sommeil représentent “entre 15 et 20% de la clientèle”, estime Anthony Gareggi, praticien en médecine traditionnelle chinoise dans la maison de santé alternative de Lunéville. “C’est un peu le dernier recours. Mais en tant que praticien, on remarque un retour à la médecine ‘’douce’’ ou non invasive”. Discipline, qui n’est pas à confondre avec la médecine classique, réalisée par des docteurs en médecine.
Les troubles du sommeil sont des conséquences d’un mode de vie, mais ils peuvent aussi en être la cause, selon ses adeptes. “Les troubles du sommeil peuvent venir d’un trop plein ou pas assez d’énergie. Certains organes vont être touchés par le vide (pas assez, NDLR) ou la plénitude (trop, NDLR), et forcément on n’agira pas de la même manière”, développe Anthony Gareggi.
Le TuiNa, Tui qui signifie pousser et Na saisir, est un massage chinois des points énergétiques.
Afin de résoudre ce problème, la médecine alternative opte pour le bien-être. Bilan énergétique, questionnaire sur le mode de vie, étude de la langue, tous ces signaux vont permettre d’établir un diagnostic. “On arrive à définir quel organe est touché, puis on va adapter le traitement”, estime-t-il. Le TuiNa qui est un massage chinois des points énergétiques, ou la pharmacopée, qui est l’étude des plantes chinoises, les solutions sont variables. “Il n’y a pas de protocole en médecine chinoise car c’est avant tout un travail sur la personne”, décrit alors Anthony Gareggi.
Solutions diverses et variées
Un travail sur la personne, basé sur le Yang Shen Fa, qui signifie les méthodes de préservation de la vie ou de présentation de la vie. Ce sont des principes et modes de vie qui vont agir sur l’efficacité des résultats. En effet, les problèmes personnels pourront atténuer les résultats, mais bien sûr, cela dépend de chaque personnalité. “Les résultats peuvent arriver dès la première séance, d’autres arriveront au bout de plusieurs semaines. Cela dépend aussi des antécédents, puisque le passif des troubles peut demander plus de temps à soigner.”
Il existe donc une large campagne de troubles du sommeil, et tout autant de solutions. La différence qui fait aussi la complémentarité de la médecine classique et des médecines alternatives réside dans la force des exploits, qu’ensemble, elles peuvent réaliser. Il y a des solutions adaptées, et adaptables à chacun. Dans tous les cas, la consultation avec un professionnel est conseillée. Morphée n’attend plus que vous.
Emy Savine et Léa Odasso
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Altearah, des cosmétiques bio qui font du bien
Altearah Bio est une marque de cosmétiques bio créée il y a une vingtaine d'années en France par Shahida Siddique. C'est à Bellegarde dans le Gard et au cœur d'un vignoble d'agriculture biologique que les produits sont conçus pour répondre à un concept original alliant les couleurs et les actifs naturels des huiles essentielles. Le concept des cosmétiques Bio Altearah Le concept d'Altearah est fondé sur l'association couleur-émotion. C'est à dire qu'il existe différentes synergies permettant de répondre à un besoin, ou pour rétablir l'équilibre. Il existe donc cinq couleurs majeures qui renforcent différents aspects de notre santé physique et morale. Par exemple, le blanc permet de détoxifier l'organisme tandis que l'émeraude renforce les défenses immunitaires. Ces couleurs sont accompagnées de l'argent qui a un effet réparateur. Tandis que l'or qui favorise la confiance en soi. Chacune de ces couleurs se décline en un certain nombre de produits. Le parfum de soin par exemple fonctionne de façon rapide et par olfaction. Les sels de bain permettent d'évacuer les toxines et de se détendre. Il existe également des huiles pour le corps, des crèmes pour le visage et des concentrés de soin qui peuvent s'utiliser en cure ponctuelle. Produits Altearah Pour les fêtes, Altearah vous gâte avec des coffrets de synergie pour le visage, comprenant une crème Sublime pour le visage et son sérum bio. Adaptez les coffrets en choisissant la couleur de sérum qui vous correspond le mieux. Découvrez aussi deux nouveautés. L'huile nutritive est à portée de tous, ne comprenant que des huiles végétales et aucune huile essentielle, elle s'adapte aux peaux sensibles, aux femmes enceintes et aux enfants. Le contour des yeux et le démaquillant vous permettront également de prendre soin de votre visage et de le protéger des agressions extérieures (pollution, pluie, ...). A lire : Les produits de bronzage les plus populaires : le guide ultime pour un teint hâlé parfait En savoir plus sur la Biorésonance Vous pourrez également découvrir la Biorésonance proposé par Biot Antipolis QUANTAFORM. Il s'agit d'une technique peu connue en France mais qui a fait ses preuves en Europe et aux Etats-Unis. L'utilisation des fréquences énergétiques naturelles de notre organisme permettent de se soigner (stress, addictions, cellulite, rides ...). C'est suite à un bilan énergétique qu'il est possible durant plusieurs séances (4 séances sont conseillées pour obtenir un résultat) de rétablir l'équilibre naturel de nos cellules. Il existe aujourd'hui plusieurs instituts en France. Partez à la découverte de cette marque et de ses cosmétiques bio allant des huiles corporelles, aux parfums de soin et aux crèmes pour le visage. Vous trouverez donc des produits variés via leur boutique en ligne ( http://www.altearah.com/ ). Read the full article
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Bilan environnemental de la France, édition 2023 : Fiche thématique sur les sols
See on Scoop.it - Les Colocs du jardin
"Éléments essentiels du bon fonctionnement des écosystèmes naturels et fournisseurs de ressources naturelles, les sols sont exposés à de multiples pressions pouvant compromettre les services écosystémiques qu’ils rendent. La satisfaction des besoins en logements et en infrastructures et les besoins en ressources naturelles conduisent à l’artificialisation de nouveaux espaces et à l’extraction de matières premières ayant un impact direct sur les sols souvent difficilement réversible."
Données et études statistiques
Publié le 01/03/2024
Christelle Larrieu Coordinatrice
Bilan environnemental de la France - Édition 2023 - Document édité par le service des données et études statistiques (SDES) https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/media/7200/download?inline
SOLS ET AGRICULTURE
"... En 2021, les grandes cultures (hors maïs fourrage) couvrent 43 % de la surface agricole utilisée (SAU), dont un tiers semées au printemps. Si le labour aère le sol et en améliore la fertilisation, il affecte sa structure et sa biodiversité, accélère le déstockage de carbone et le lessivage de l’azote.
Des techniques de conservation du sol, telles que le non-labour (47 % de la surface en grandes cultures), limitent ces impacts, mais favorisent le tassement du sol, la prolifération de mauvaises herbes et des insectes ravageurs, impliquant un recours éventuel aux pesticides (graphique 3).
L’implantation d’un couvert végétal hivernal, précédant 61 % des cultures de printemps, limite l’érosion et le lessivage des nitrates et peut faire l’objet de valorisations énergétiques.
POLLUTION DES SOLS
Malgré leurs interdictions depuis les années 1990, des substances issues des transports ou de l’épandage agricole polluent durablement le sol. Ainsi, plus de 90 % des contaminations diffuses par le plomb proviennent du trafic automobile. En métropole, le sol des zones de culture ou d’élevage intensifs renferme également des taux élevés de lindane (insecticide ou antiparasitaire), alors que cette substance est interdite depuis 1998. La pollution chronique du sol des bananeraies et la contamination des écosystèmes naturels par la chlordécone, insecticide interdit de vente depuis 1993 dans les Antilles françaises, affectent encore 25 % de la SAU en Guadeloupe et 40 % en Martinique, en raison de sa persistance dans le sol, exposant la population par l’ingestion d’eau ou d’aliments contaminés.
En octobre 2023, 10 440 sites et sols pollués (ou potentiellement pollués) appelant une action des pouvoirs publics sont recensés en France en raison de son passé industriel : les anciennes régions minières en concentrent la moitié. Ces pollutions résultent soit de rejets de polluants non maîtrisés, soit d’accidents ou de mauvais confinements."
(...)
[Image] Graphique 3 : part des surfaces restant nues en hiver et sans labour, en 2017 En %
Champ : surfaces de grandes cultures en France métropolitaine. Source : Agreste, Pratiques phytosanitaires en grandes cultures en 2017
Bernadette Cassel's insight:
https://www.scoop.it/topic/les-colocs-du-jardin?q=lindane
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Réduction des émissions de gaz à effet de serre : les ambitions de la COP départementale de l’Essonne
https://justifiable.fr/?p=61 https://justifiable.fr/?p=61 #ambitions #COP #départementale #des #effet #émissions #gaz #les #lEssonne #Réduction #serre teal sun/AdobeStock Face aux conséquences des crises climatiques et de la biodiversité qui ont des retombées très concrètes sur le territoire essonnien, le département se mobilise. Dans le cadre de la COP départementale d’Île-de-France, le département de l’Essonne a convié les acteurs locaux pour réfléchir ensemble aux moyens concrets afin de mettre en œuvre une vraie politique de transition écologique. La première COP départementale d’Île-de-France a eu lieu en juillet 2024 en Essonne. À la présidence de cette COP91, Alain Castanier, préfet délégué à l’égalité des chances de l’Essonne et Nicolas Méary, vice-président en charge de la biodiversité et de la transition écologique du département de l’Essonne. Plus de 150 acteurs du territoire, dont le rôle est essentiel pour réussir la transition écologique (collectivités, syndicats d’énergie, agences de l’État, énergéticiens, entreprises, associations… ) ont participé à la COP91. Le rôle stratégique du département dans la transition écologique « En tant que chef de file des politiques de solidarités humaines et territoriales, le département est un acteur légitime pour porter la transition écologique », a rappelé Nicolas Méary, lors du vote d’une nouvelle stratégie de transition écologique pour la période 2023-2030. Dans la continuité de l’action volontariste du département dans ce domaine, l’Essonne a opté pour une stratégie de transition écologique ambitieuse pour la prochaine décennie, le Plan Eco-Ambition 91, « pour aller plus vite et plus fort sur ces sujets ». Le défi est « gigantesque et les objectifs extrêmement ambitieux », conclut le vice-président en charge de la biodiversité et de la transition écologique du département de l’Essonne. Rappelons qu’en termes d’émissions de gaz à effet de serre, le territoire de l’Essonne génère plus de 5 800 ktCO2, soit des émissions de gaz à effet de serre de l’ordre de 4,5 t CO2 par habitant. La séquestration carbone est, quant à elle, de l’ordre de 9185 tCO2/an. Cela représente 15 % du bilan global du territoire d’après le Rapport Développement Durable 2023, publié par le département. Une feuille de route ambitieuse À l’horizon 2030, le département s’est fixé un certain nombre d’objectifs : • 40 % d’émissions de gaz à effet de serre en moins par rapport à 1990, conformément à la stratégie nationale bas carbone • 40 % d’énergie consommée en moins au niveau du département par rapport à une année de référence entre 2010 et 2020 • Contribuer à emmener le territoire essonnien dans la stratégie des aires protégées pour atteindre les objectifs de la COP 15 de 30 % d’aires protégées • 50 % d’espaces consommés en moins en vue d’atteindre le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050, conformément aux objectifs de la loi Climat et résilience. La stratégie de transition écologique se décline sur 6 axes : • la réduction de l’empreinte carbone de l’Essonne, • la préservation de la biodiversité du territoire, • l’adaptation des politiques publiques départementales, • l’exemplarité du département, • l’accompagnement des acteurs du territoire face au changement climatique, • la mobilisation des Essonniens. 15 actions-clés ont été identifiées parmi lesquelles une augmentation de 75 % des Espaces Naturels Sensibles (ENS) aménagés, la lutte contre les passoires énergétiques, un engagement massif pour la production d’énergie renouvelable, la sensibilisation des élèves essonniens aux enjeux du changement climatique et de la biodiversité, l’adoption d’un « budget vert » chaque année ou l’ouverture quatre sites de baignade dans la Seine et de quatre autres sites dans les autres cours d’eau du département. Un contexte d’urgence Le dernier rapport du GIEC est venu rappeler que les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines réchauffent le climat à un rythme sans précédent. La température de la surface du globe terrestre a augmenté d’1,1 degré par rapport à la période préindustrielle. Quels que soient les scénarios retenus, pour le GIEC le réchauffement de la planète atteindra 1,5 °C dès le début des années 2030. Limiter ce réchauffement à 1,5 °C et 2 °C n’est possible qu’en accélérant et en approfondissant dès maintenant la baisse des émissions afin de ramener les émissions mondiales nettes de CO2 à zéro et réduire fortement les autres émissions de gaz à effet de serre. Le dernier rapport du GIEC souligne, en outre, l’augmentation des risques : vagues de chaleur, précipitations extrêmes, sécheresses, fonte de la cryosphère, changement du comportement de nombreuses espèces pour un même niveau de réchauffement par rapport à ses précédentes conclusions. Les risques climatiques et non climatiques vont s’aggraver et se multiplier, ce qui rendra leur gestion plus complexe et difficile. La convergence de plusieurs volontés Dans ce contexte d’urgence climatique, la COP 91 correspond tout à la fois à la nécessité de répondre aux exigences de l’État et la Région Île-de-France, et du calendrier fixé pour atteindre les objectifs sur lesquels la France s’est engagée : diminuer de 55 % les émissions de GES d’ici 2030 par rapport à 1990, en visant l’objectif de la neutralité carbone et à celles des principaux acteurs du département, maires, élus locaux, associations, entreprises, partenaires. Ces derniers disposent des leviers de la transition et sont nombreux à conduire des projets ambitieux sur le territoire essonnien et à avoir la volonté de changer les choses. Quels leviers pour l’amélioration énergétique des bâtiments, pour décarboner les mobilités ? Comment accélérer la production d’énergies renouvelables dans l’Essonne ? Quels leviers pour préserver la biodiversité et les ressources du département ? Autant de questions opérationnelles et concrètes pour le territoire essonniens auxquels les différents membres de la COP91 ont été invités à réfléchir. De juillet à octobre 2024, les débats se poursuivent pour recenser les nouvelles actions ou envisager de massifier les actions déjà entreprises. La feuille de route définitive est attendue prochainement.
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230 995 c'est…le nombre de logements qui étaient en cours de rénovation énergétique, au troisième trimestre 2024, et financés par l’aide MaPrimeRénov’.
C’est le nombre de logements qui étaient en cours de rénovation énergétique, au troisième trimestre 2024, et financés par l’aide MaPrimeRénov’. Selon le dernier bilan publié, le 8 novembre 2024 par l’Agence nationale de l’habitat (Anah), 18 % de ces projets concernent des rénovations d’ampleur (soit 42 745 logements) financés via le parcours accompagné de MaPrimeRénov' et MaPrimeRénov’ Copropriétés. Les projets de rénovation d'ampleur « continuent d’être plus ambitieux qu'en 2023, avec des aides plus importantes pour tous les ménages, quels que soient leurs revenus », souligne l’Anah. En revanche, les rénovations par gestes, bénéficiant de cette aide, ont continué de ralentir par rapport à 2023, avec 188 250 logements rénovés à la fin septembre 2024. Les conditions d’accès au parcours par gestes de travaux ont néanmoins été assouplies, le 15 mai 2024, par le Gouvernement. Et l’Anah note une reprise de la dynamique des dépôts des dossiers depuis le début de l’année (avec 70 601 dossiers pour les rénovations d’ampleur et 172 878 dossiers pour les rénovations par gestes).
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Retour sur le Conseil municipal de Montbéliard : opposition "Conseil du Château"
Le groupe d'opposition "Montbéliard en Commun Ecologique et Solidaire" siégeant au Conseil municipal de Montbéliard réagit suite au Conseil municipal de Montbéliard du mardi 2 avril 2024 : "Deux points à l’ordre du jour du Conseil municipal du mardi 2 avril 2024 ont retenu notre attention. Le premier point était consacré au budget 2024. Nous nous sommes opposés à ce budget , argumentant sur le constat que les orientations budgétaires et leurs concrétisations financières proposées par la majorité étaient en décalage avec les grands défis que doivent relever toutes les collectivités. Ne soyons pas dupes, les quelques arbres plantés au centre-ville , bien qu’indispensables au rafraichissement de notre ville , restent de l’affichage destinés à cacher des investissements trop faibles. Alors que le changement climatique nous oblige à investir fortement, la municipalité consacre moins de 10% du budget d’investissement à ce chapitre. Très éloigné des discours qui se prétendent volontaristes sur l’écologie, le saupoudrage reste de mise. Hormis l’école Grosjean qui bénéficiera d’une rénovation énergétique, nous constatons un trop faible engagement dans les secteurs des déplacements doux, de l’isolation, de l’alimentation en circuit court etc….. Le Château. C’est 5 millions d’euros représentant 50 % des investissements de notre ville. A cela s’ajoutent un million d’euros répartis dans l’achat de propriété, frais de communication des services. En supplément, plus de 150 000 euros pour « château en fête » alourdissent le budget. Pour arriver à cet investissement massif de 6 millions d’Euros pour le château, Marie-Noëlle Biguinet réduit encore les subventions aux associations culturelles et sportives. Une baisse de 60 000 euros ,relevant de la mesquinerie, envoie un signal dédaigneux aux bénévoles de notre ville. En 3 ans, les recettes de fonctionnement ont augmenté de 3 millions d’euros et les subventions aux associations ont baissé de 300 000 euros. Toujours au sujet de la rigueur , c’est 5 employés titulaires qui ne seront pas remplacés, portant à 75 en 10 ans la réduction de l’effectif des personnels œuvrant pour la collectivité (15 % de moins). L’augmentation de la subvention d’équilibre pour le CCAS ne doit pas masquer la réduction de nombreuses aides , animation pour les seniors, colonies de vacances pour les enfants. La non plus, la municipalité n’est pas au rendez-vous. Le second point était consacré à l’opération cœur de ville. La présentation du bilan de ces 5 premières années et les fiches actions pour la suite du dispositif nous interrogent sur l’efficacité de ce dispositif. Au crédit de ces années, on retient surtout la réduction de la vacance commerciale. En revanche, la rénovation de l’habitat est un échec qui devient un abandon puisque dans les fiches actions, sur près de 25 millions de budgétés pour la période 2023/2030, seulement 916 000 sont consacrés à l’habitat (tranches optionnelles incluses) et cela pour la période 2020/2025. Nous découvrons au bout de 5 ans cette absence de résultats malgré des montants financiers significatifs. Jamais ce problème n’a été discuté , à notre connaissance aucune alerte ou interventions politiques n’ont été effectuées durant cette période. Développés dans ce document, l’accessibilité, les mobilités et les connexions mettent en exergue le problème du boulevard qui encercle la ville. Le nouveau tracé de transports en commun n’a rien résolu et a même accentué ce phénomène. Pour des enjeux politiciens, Marie-Noëlle Biguinet a préféré renier toute ambition de réelle transformation de notre ville au profit de sa campagne électorale de 2014. C’était l’occasion de restructurer l’ensemble des déplacements dans notre ville. Nous en payons aujourd’hui les conséquences et les « rapiéçages » actuels montrent le manque de vue prospective de Marie Noelle Biguinet. Le site du Port de plaisance est également un secteur à enjeu. Chaque année, près de 80 000 personnes le fréquentent L’aménagement d’un espace d’accueil abritant l’Office de Tourisme et un bar/restaurant n’est vraiment pas à la hauteur de notre ville centre. Le sous-dimensionnement du parking camping-car , les conditions d’exercice des restaurateurs ne conviennent pas à une dynamique touristique porteuse d’avenir. Il est intolérable que Marie Noelle Biguinet partage ce constat alors qu’elle est responsable de ces aménagements inadaptés. Pour la suite de l’opération cœur de ville , la reconversion du site du Château constitue la seule finalité . C’est 13 actions sur 15 qui concernent la reconversion du château et 22 millions pour le château sur les 25 annoncés. Après 10 ans , la municipalité a trouvé une cohérence : le château. 60% de l’investissement pour 2024 et donc serrage de ceinture pour le reste. Pour reprendre les propos de Marie Noelle Biguinet : « Le château… le château… le château ». Pour nous : pas d’opposition à des travaux pour le château, à condition de ne pas oublier de répondre aussi aux défis sociaux et environnementaux". Read the full article
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