#bijoux exotiques
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timelessfineries · 3 months ago
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Bijoux africains Massai : Longues boucles d'oreilles africaines aux couleurs et motifs ethniques Massai composées de perles de rocaille rouges et multicolores et de pastilles métalliques - Timeless fineries
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sanstatouage · 1 year ago
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Jeux Érotiques
Le jeu avait simplement commencé par quelques regards, négligemment échangés lors des cours magistraux. Au début, Lila avait cru à un hasard, elle fixait naturellement les professeurs et les professeurs, eux, promenaient leurs yeux dans toute la salle, lorsqu'ils parlaient. Ces échanges subtiles se faisant de plus en plus nombreux, la jeune femme fini par croire à un intérêt purement professionnel de la part de sa professeure. Elle excellait en lettres modernes et avait déjà été de nombreuses fois félicitée, grâce à ça. Les yeux noirs de Madame Francés n'étaient donc qu'un encouragement à l'écouter un peu plus, ou encore un compliment pour son assiduité ? Naïve et encore jeune, Lila y croyait. Jusqu'à ce soir-là.
Comme beaucoup de jeunes adultes, Lila aime sortir, danser, boire. Le tout jusqu'à en oublier la vie, jusqu'à en perdre le souffle, jusqu'à en perdre la tête. Chaque vendredi soir, elle sort avec ses amis, chaque samedi matin elle dit « plus jamais ça » et chaque samedi soir, elle recommence. Ce samedi-là ne fait pas exception. La jeune femme fait face une dernière fois au miroir, le minois ravi. Il fait chaud, déjà, alors elle porte un short ridiculement court, un petit crop-top au crochet blanc. Ses longs cheveux sont lâchés dans son dos, de longues boucles rousses roulant contre ses reins. Un petit perfecto en simili-cuir, quelques bijoux et elle prend sa voiture, récupère quelques uns de ses amis.
C'est une petite troupe déjà bien échauffée qui arrive dans un des bars les plus branchés de la ville, situé sur un bateau et flottant dans l'immense cours d'eau qui traverse la ville. Sur le pont, des tables et des serveurs et serveuses qui voguent entre elles, des cocktails très colorés sur leurs plateaux. Dans la cale est aménagée une pièce immense où viennent danser les gens fatigués de boire. Un endroit dépaysant, où Lila vient s'évader tous les week-end... sans se douter que ce voyage-là sera sans doute d'autant plus exotique.
Sur place, ils retrouvent encore quelques potes de fac, un petit groupe déjà attablé autour d'une bonne bière fraîche ou d'un mojito alléchant. Lila s'assied parmi eux, commande à son tour un Blue Lagoon. Les conversations débutent, les esprits s'échauffent... Lila, elle, reste pleinement maîtresse d'elle-même. Force est de constater que ses petites soirées lui ont donné une certaine résistance et heureusement. A une table non loin, viennent de s'installer deux femmes. Et la présence de l'une d'elle... vient de déposer un sacré poids dans l'estomac de Lila. Madame Francés, Celene de son prénom, est installée juste à côté de la fenêtre, les coudes posés sur la table. C'est la première fois que Lila la voit... hors de la fac. La professeure a laissé tomber son chignon pour rassembler son incroyable chevelure noire sur l'une de ses épaules. Oubliée la sage tenue chemisier-jupe fourreau-chaussures à petits talons, la belle et tranquille femme est désormais vêtue d'une robe d'un rouge provoquant, moulante, fendue sur sa cuisse. Sa poitrine généreuse est pleinement offerte au regard, un collier doré roulant sur le moelleux de la chair bronzée. Machinalement, elle repousse une mèche de cheveux ébène, échange quelques paroles avec son amie, rit... Lila déglutit. Madame Francés est belle, libérée des carcans scolaires, femme parmi les femmes... Une nouvelle gorgée de son cocktail et elle tente d'en revenir à la conversation, s'empêchant de regarder à nouveau sa professeure. Perdue, elle ne remarque pas que c'est à son tour d'être regardée... désirée.
« Et voilà pour vous un autre Blue Lagoon, de la part de la dame en rouge, près de la fenêtre. » Lila fixe un instant le serveur, stupéfaite. Il a posé le verre devant elle, chuchotant quelques mots juste à côté d'elle pour qu'elle soit seule à les entendre. La dame en rouge... Lila relève la tête. Madame Francès est là, le menton appuyé sur son poing, observant son élève avec un sourire doux aux lèvres. Son amie parle au téléphone, lancée dans une discussion visiblement passionnante, laissant la liberté à la belle espagnole de séduire qui elle veut. Elle semble si assurée, c'en est presque provoquant. Lila l'observe un instant sans sourire, histoire de bien lui faire comprendre qu'elle n'est pas amusée par la situation... Quand la professeure se lève, lui jette un dernier regard en coin, une invitation on ne peut plus clair. Lila repousse le verre, sourcil froncé. Alors c'est comme ça ? Elle s'imagine gagner avec cette technique si simple ? La jeune femme se lève aussitôt, traversant la foule pour pousser la porte précédemment traversée par sa professeure. Elle mène à des escaliers qui descendent dans la cale, direction... les toilettes. Tellement, tellement prévisible...
Lila les descend rapidement, le battement de la musique la faisant vibrer, son pas rendu plus léger par l'alcool. A peine assez, elle a encore toute sa tête, et toute sa volonté. Ce n'est que pour faire payer à cette femme qui ose tout qu'elle est venue et elle le sait. La porte s'ouvre à la volée, Madame Francés est appuyée sur le lavabo, visiblement amusée.
« Je peux savoir ce que vous me voulez ?! »
Le ton de Lila est sec, son visage sérieux. On dirait une fillette qui joue mal la comédie. Celene s'approche, riant discrètement.
« Ces vêtements te mettent en valeur, Lila. »
Lila fait la moue.
« Vous pouvez parler, vous avez vu votre robe ? »
Un pas et Celene brise la distance entre elles. Lila regarde en haut, à droite, à gauche... tout, pour ne pas voir l'arrogante poitrine de sa professeure.
« J'en déduis qu'elle te plaît ? Regarde moi, Lila... c'est pour toi que je l'ai mise. »
La professeure prend doucement la main de son élève et la pose sur ses propres hanches, où l'on sent le tissu délicat de son vêtement et... rien d'autre. Ici, on aurait dû sentir la couture de son string, de sa culotte... peu importe, mais on aurait dû sentir quelque chose.
« Et ça aussi, c'est pour toi. »
Lila a les joues rouges et le cœur battant la chamade. Sa professeure... l'invite explicitement à partager un moment, là tout de suite. Un moment intime. Ses doigts se referment sur le tissu, elle sent la peau chaude au travers. Elle pourrait l'enlever, la repousser, foutre le camp de ces toilettes où elles sont seules, loin de la réalité. Elle pourrait... elle pourrait. Celene noue ses bras autour de sa taille, se rapproche, petit à petit. Ne se voyant pas repoussée, la professeure se fait de plus en plus téméraire. Une seconde et elle est blottie contre elle. Une seconde de plus et elle embrasse son cou, y laissant de petites traces rouges, sensuelles. Encore une seconde et leurs respirations s'accélèrent, leurs mains hâtives cherchent les limites de leurs vêtements. Le petit top en crochet est repoussé pour laisser les seins de Lila nus. La robe rouge si provocante est remontée sur les fesses de Celene, désormais offertes aux caresses, aux griffures... et même à une petite fessée qui fait couiner de surprise la femme. C'est à deux mains que Lila prend son fessier superbe, l'agrippant fermement. Leurs lèvres se joignent dans un baiser furieux, la jeune étudiante repousse sa professeure contre les lavabos. Ses doigts se baladent, s'enfoncent dans la chair souple, s'en vont même jusqu'à caresser ses cuisses, puis entre elles, là où poussent quelques petits poils aussi noirs que ses cheveux.
« Depuis combien de temps... ? »
Celene ricane, saisit une poignée de cheveux roux vifs.
« Depuis la première fois où mes yeux ont croisé les tiens. »
Alors c'est ça... ? Ça a toujours été plus que ça, plus qu'un regard venu d'une professeure fière d'une de ses élèves ?! Presque trahie, Lila la repousse encore, la soulève brutalement pour l'asseoir sur le dessus du lavabo, les fesses nues sur le marbre glacial. Madame Francés la voulait depuis le début, n'attendant visiblement que la bonne occasion pour lui faire part de son attirance. Le moment est là, enfin, intense et brutal... enivrant. La colère ne s'attarde pas, chassée par l'envie charnelle, si difficile à contrôler, à repousser. Les yeux dans les yeux, les deux femmes mènent une danse rythmée par la musique, pourtant si lointaine. Lila met un genou à terre, puis l'autre. L'une des mains de Celene se perd dans ses boucles, l'autre tient le tissu de sa robe relevé, s'offrant au regard de sa jeune élève. Lila n'a jamais embrassé entre les cuisses d'une femme et ses amants étaient toujours médiocres dans ce même acte. Mais entre femmes... elle ressent instinctivement là où embrasser, là où mordre... ses paupières se ferment, elle inspire profondément son parfum, ses lèvres courant sur la peau douce de ses cuisses. La poigne de la professeure se referme sur ses cheveux, l'incitant à venir un peu plus près, un peu plus intimement. Pour la forme, Lila y résiste, faisant soupirer Celene de dépit.
« Viens, s'il te plaît... Lila... »
Jugeant le ton assez suppliant, la jeune femme lui accorde un baiser sur le pubis, puis un autre, encore un, sa bouche caressant les petits poils drus, puis son clitoris, ses lèvres gonflées par l'excitation. Un soupir plus fort au-dessus d'elle et elle s'autorise à glisser sa langue le long de la fente trempée, les plaisirs féminins gouttant sur le marbre du lavabo. La belle robe rouge risque d'être souillée... Ses doigts qui crissent contre le vêtement, qui le repoussent, qui découvrent le ventre de Madame Francès... Et la femme qui gémit, les cuisses grandes ouvertes, la tête renversée en arrière, une cascade de cheveux noirs lui tombant contre les reins. Lila entend son prénom une fois, deux fois, cinq fois... puis cesse de compter alors qu'elle l'embrasse à pleine bouche, qu'elle dévore son intimité, qu'elle boit ses sucs à même la source. C'est délicieux, un nectar bien plus sucré, bien plus doux que la semence masculine, que Lila a toujours si peu aimé. Encouragée par les mouvements de sa désormais amante, elle la déguste jusqu'à la conduire royalement sur le chemin d'un orgasme bruyant, violent. Lila relève la tête, les yeux luisants, le menton trempé. C'était pour elle... c'était par elle.
Madame Francès remet pied à terre, tremblante sur ses talons hauts. Elle attire sa jeune élève dans une étreinte, échange avec elle un baiser encore mouillé de ses plaisirs. Lila l'enlace, presse ses fesses, la dévore de baisers... elle aussi en veut, sa culotte lui colle à la peau, son ventre la brûle terriblement.
« A toi, ma Lil... »
Des bruits de pas dans le couloir et la jeune femme cache sa poitrine découverte, sa professeure redescend tant bien que mal sa robe avant de l'attirer dans l'une des cabines. Les deux amantes se cachent en riant, comme deux adolescentes découvrant les plaisirs de la chair, ainsi que tous ses secrets. L'une intime à l'autre le silence, alors que la cabine d'à côté se fait occuper. Les jeux reprendront quand elles seront à nouveau seules... et en attendant, pourquoi ne pas se couvrir de baisers ?
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xian-moriarty · 1 year ago
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Mary la Rousse, femme pirate.
1961.
Réalisation : Umberto Lenzi
Scénario : Luciano Martino et Ernesto Gastaldi
Casting :
Lisa Gastoni, Jerome Courtland, Walter Barnes, Germano Longo, Agostino Salvietti, Gisella Arden, Dina De Santis, Anna Arena, Edoardo Toniolo
Synopsis :
Mary s’habille en homme pour voler les bijoux d’une comtesse. Arrêtée, elle s’évade et profite de la rencontre avec le capitaine Poof, un corsaire, pour s’enrôler comme mousse…
Plaisir de visionnage :
Mary, elle est audacieuse et a de la gouaille !
Et le film est très bien ! On s’attristerait presque de la happy end un peu convenue !
Note : 4 iguanes
Disponibilité :
Existe en DVD.
Disponible sur YT.
VOD et plateforme de streaming.
Point Bonus Animaux exotiques :
Note : 1 iguane
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oviri7 · 2 years ago
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« Les Fleurs du mal ont été lues par tout le monde. Il convient de ranger le livre au nombre de ces recueils prédestinés qui accompagnent les voyageurs inquiets jusqu'au terme de leur existence. Jamais personne n'a fait monter, dans une amère solitude, tant d'évocations nostalgiques. La nuit, la douce nuit s'approche. A côté des saisons blafardes, des fins d'automne, des hivers et des printemps boueux, surgissent les images du luxe et du puissant bonheur. Les chevelures grisantes et somptueuses, les parfums exotiques venus de lointains rivages sont des pièges voluptueux où la douleur elle-même se prend et s'endort. La contemplation des femmes détraquées aux yeux longs, les bijoux étincelant sur la chair nue, les regards noirs et verts où se marque une heure immobile versent au poète une anesthésie dont la fause plénitude laisse prévoir les sueurs du réveil. Frère de ces grands oiseaux souverains égarés sur la terre, Baudelaire subit la hantise des lieux inaccessibles, situés n'importe où hors du monde. Nul n'avait ressenti comme lui l'appel lancinant du voyage. Les ports remplis de beaux navires impatients, les tresses où se construit un hémisphère sous les tropiques, les esclave nus, le soleil sur la mer et les richesses luxuriantes de la nature le font rêver de paradis où rien ne viendrait plus le séparer des chères indolentes. Mais il reste là, perdu dans la foule, seul avec sa sombre détresse, assailli par l'horreur d'un sommeil traqué de mauvais rêves, enterrant de jeunes et belles mortes dans des cercueils parfumés de toutes les senteurs de l'Inde. Alors, il prête l'oreille au langage muet des étoffes, des fleurs, du ciel et du soleil couchant. Il appelle l'ivresse et le vertige qui lui feront oublier la terrible, constante et fugitive présence du temps; il appelle aussi la poésie. »
Kléber Haedens - Une histoire de la littérature française
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omagazineparis · 9 months ago
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Les bracelets bouddhistes : ils ont la côte, oui, mais pourquoi ?
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Vous l’avez très certainement remarqué, car il est difficile de passer à côté, les bracelets bouddhistes sont partout ! Publicité sur les réseaux sociaux, aux poignets des célébrités les plus influentes, dans les magazines de mode et aux vitrines des bijouteries. Mais comment expliquer cet engouement fou pour ces bijoux sacrés qui nous viennent du bout du monde et auxquels on attribue, au-delà de l’aspect esthétique, de nombreux bienfaits sur le corps et l’esprit ? Nous vous donnons quelques pistes d’explications afin de mieux comprendre… Le charme de l’authenticité sacrée Fini les babioles et les bijoux fantaisie vendus au rabais et fabriqués on ne sait où. Aujourd’hui, les entreprises comme les clients se sentent beaucoup plus sensibles à la provenance et à l’éthique du produit qu’ils vendent ou achètent. C’est pourquoi les magasins, les bijouteries et les sites internet qui commercialisent des bracelets bouddhistes et autres bijoux sacrés le font dans le plus grand respect du produit, de son origine, de son histoire et de sa signification. À l’image de DailyLama, ces entreprises mettent un point d’honneur à proposer des bijoux fabriqués à partir des pierres qui proviennent majoritairement de l’Himalaya ou d’Inde, réalisés et tissés à la main dans les pays asiatiques, d’où ils sont originaires, et dans le respect du savoir-faire ancestral. Certains sont même bénis par les moines lors d’un rituel au cours duquel le bijou est purifié. Ainsi, le produit vendu a donc une véritable histoire, une âme et devient plus qu’un accessoire de mode. Le compagnon de méditation Les bracelets et les colliers bouddhistes, aussi appelés Mâlâ, jouent un rôle important dans la pratique de la méditation, dont on ne prend plus la peine de citer les effets bénéfiques sur le corps et l’esprit. En effet, depuis quelques années, la méditation connaît un énorme succès auprès de toutes les générations et l’impact positif qu’elle a sur la vie quotidienne ne cesse d’augmenter sa notoriété. Traditionnellement, pour favoriser la concentration lors de la méditation, il est nécessaire d’utiliser le Mâlâ, chapelet de perles de la religion bouddhiste et tibétaine. Cette pratique a donc favorisé l’attrait et l’intérêt pour ces objets religieux et spirituels qui survivent à travers les générations et qui voyagent à travers les pays. Le bracelet bouddhiste est un partenaire spirituel. Les personnes qui s’intéressent aux bracelets ou aux bijoux bouddhistes sont forcément sensibles à ce qu’ils représentent, aux pouvoirs qu’ils peuvent nous transmettre et à l’histoire qu’ils détiennent. Chaque bijou étant composé de pierres de lithothérapie ayant des vertus propres, ils ont tous un rôle différent et répondent aux besoins et aux attentes de celui qui le porte. Aujourd’hui plus que jamais, nous accordons une grande place à la spiritualité dans nos vies, porter un bracelet bouddhiste au quotidien permet de perpétuer et de faire valoir ces croyances partout, quel que soit le contexte dans lequel nous nous trouvons. De plus, nous avons tous besoins de nous sentir protégés et rassurés et grâce à leur symbolique forte, les bracelets bouddhistes accomplissent parfaitement ce rôle de porte-bonheur ou de bouclier protecteur si important. L’accessoire de mode à la mode Grâce à sa beauté et son style, le précieux accessoire de méditation est sorti petit à petit de son contexte pour se faire une place de choix dans la mode, tout en gardant son esprit sacré. En effet, le bracelet bouddhiste est certes composé de nombreuses perles, mais ne procure pas un effet bling-bling. Bien au contraire, c’est un accessoire sobre, élégant et complètement intemporel au style vintage qui s’associe facilement avec tous les styles vestimentaires. Étant fabriqué à partir de produits naturels, il apporte à la tenue la touche écolo, exotique et brute totalement dans l’air du temps. Il existe de nombreux modèles de Mâlâ, fabriqués avec des perles différentes et de tailles différentes, plus ou moins grands, que ce soit des colliers ou bracelets, agrémentés de pendentifs ou non, discrets ou très voyants… Il y en a donc pour tous les goûts et tous les styles ! A lire également : Des bijoux pour équilibrer vos chakras Une aubaine pour les business ? Les bracelets bouddhistes que tout le monde s’empresse de se procurer et qui est devenu le bijou indispensable à avoir dans sa réserve. Si bien que de plus en plus de business se lancent dans leur vente. Une aubaine pour lancer son commerce en ligne ? Peut-être, mais encore faudra-t-il accomplir le souhait des clients d’avoir des pierres authentiques, des bracelets faits main, une entreprise locale et engagée, mais aussi des modèles à prix raisonnables. Read the full article
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entomoblog · 1 year ago
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Deyrolle de père en fils, entre science et commerce, une vitrine parisienne de l’Histoire naturelle au XIXe siècle - Publications scientifiques du Muséum national d'Histoire naturelle, Paris
See on Scoop.it - Insect Archive
Deyrolle est le nom d’une grande famille de naturalistes du XIXe siècle qui nous est familier, mais n’a jamais fait l’objet d’une étude sur ses activités et ses apports aux sciences de la nature. Et pourtant, sur trois générations, les membres de cette famille nous donnent une large vision du milieu des naturalistes au XIXe siècle. En premier lieu nous parlerons de Jean-Baptiste Deyrolle et de trois de ses fils : Achille, Narcisse et Henri, puis des trois enfants d’Achille : Hortense, Émile et Théophile. Il est parfois difficile de distinguer les activités de chacun tant ils sont complémentaires. Tour à tour explorateurs, marchands naturalistes, collectionneurs, savants, éditeurs, illustrateurs, vulgarisateurs, ils ont été des acteurs influents du milieu naturaliste à Paris au XIXe siècle. Quatre d’entre eux sont partis explorer des régions lointaines (Brésil méridional, Gabon, Caucase et Anatolie orientale) encore très mal connues des européens, dans le but d’inventorier le monde vivant et d’en rapporter des spécimens de la faune et de la flore. Ils ont été actifs dans diverses sociétés savantes naturalistes et ont contribué aux tentatives d’acclimatation en France de nouvelles espèces végétales et animales. Par leurs activités de taxidermie et de préparation d’animaux exotiques, ils ont fait découvrir la faune du monde entier au grand public des musées européens. Ils ont été des entomologistes reconnus, certains ont chassé, d’autres ont collectionné, vendu, échangé, expertisé, étudié, illustré, colorisé des milliers d’Insectes. Ils ont joué un rôle majeur dans la constitution de collections entomologiques patrimoniales et ont laissé une empreinte forte dans la taxonomie entomologique. Ils se sont aussi intéressés à l’entomologie appliquée et se sont impliqués dans de grandes causes nationales comme la lutte contre la destruction des cultures par le Doryphore et l’introduction de nouvelles espèces de vers à soie pour sauver la sériciculture. Ils ont dominé le marché parisien pour tout ce qui concernait l’Histoire naturelle, ils ont œuvré pour fournir les établissements scientifiques en spécimens divers et rares, élaborer des outils et des produits afin de répondre aux besoins des collectionneurs amateurs et professionnels. Ils se sont même investis dans la mode de leur temps en confectionnant des parures en plumes pour chapeaux et des bijoux en Insectes. Ils ont été lauréats de grandes manifestations internationales, notamment des Expositions universelles qui ont marqué leur siècle. En éditant des revues et des ouvrages de vulgarisation, en créant des tableaux pédagogiques pour les établissements scolaires, ils ont initié des générations d’écoliers à la connaissance de la nature. Au service de la science et de l’enseignement de la nature, ils ont occupé une place centrale dans l’édition naturaliste et la diffusion des connaissances.
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moocportedoree · 2 years ago
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Visite de l’Exposition coloniale de 1931
Chère Brigitte,
J'espère que cette lettre te trouve en bonne santé et de bonne humeur. J'ai récemment eu l'occasion de visiter une exposition vraiment fascinante ici à Paris, et je voulais absolument te raconter mon expérience.
Il s'agit de l'exposition coloniale de 1931, qui se tient dans un vaste complexe situé dans le Bois de Vincennes. Dès mon arrivée, j'ai été impressionnée par l'ampleur de l'événement. Les bâtiments majestueux et les jardins magnifiques qui l'entourent ajoutaient une touche de grandeur à cette exposition.
Lorsque j'ai franchi les portes, j'ai été instantanément transportée dans un monde complètement différent. Les pavillons des différentes colonies françaises étaient dispersés tout autour, offrant aux visiteurs un aperçu des cultures et des traditions des pays lointains. J'ai pu me promener à travers des reproductions fidèles de villages africains, asiatiques et océaniens. C'était incroyable de voir comment les gens vivaient dans ces régions éloignées, et d'apprendre davantage sur leur mode de vie.
L'exposition proposait également une multitude d'objets d'art et d'artisanat provenant des colonies françaises. Les textiles colorés, les sculptures exquises et les bijoux étincelants étaient vraiment magnifiques. J'ai été émerveillée par la diversité et la richesse culturelle qui se dégageaient de ces créations.
Mais ce qui m'a le plus marquée, ce sont les spectacles et les démonstrations qui étaient organisés. J'ai assisté à des danses traditionnelles envoûtantes, à des concerts de musique exotique et même à des combats de lutte africaine. Chaque spectacle était une immersion totale dans la culture des colonies françaises, et je me sentais privilégiée de pouvoir les découvrir de cette manière.
Bien sûr, je ne peux pas ignorer le débat entourant cette exposition coloniale. Certains critiques affirment que l'événement ne faisait que glorifier la colonisation française et ignorer les aspects négatifs de cette période de l'histoire. Je comprends totalement leurs préoccupations, car il est essentiel de reconnaître les erreurs et les injustices commises pendant la période coloniale. Cependant, en tant que visiteur, je me suis efforcée d'apprécier les aspects culturels et artistiques de l'exposition, tout en gardant à l'esprit les implications historiques plus larges.
Dans l'ensemble, la visite de l'exposition coloniale de 1931 a été une expérience captivante et enrichissante. Elle m'a permis de voyager à travers le monde sans quitter Paris, et de découvrir des cultures et des traditions différentes. J'espère que tu auras aussi l'occasion de la visiter un jour, car je suis certaine que tu apprécierais autant que moi cette plongée dans l'histoire et la diversité culturelle.
Prends soin de toi, chère Brigitte, et à bientôt !
Bien amicalement,
Laetitia
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koalacrea · 2 years ago
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Pendentif en bois exotiques, platane et cuivre, réversible deux styles différents
100% fait mains 100% made in Vaucluse et surtout éco responsable 🌍
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villy-woodturning · 5 years ago
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Stretch 26 mm Wood species : Lignum Vitea #woodturning_best #jewelry #woodjewelry #stretch #hearing #woodturningjewelry #lignumvitea #woodspecies #exotiquewood #exotique #boucledoreille #bijoux (à Bois-des-Filion, Quebec) https://www.instagram.com/p/CCAU5rFJysd/?igshid=14ce3jmr3tz7w
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thehappyegg · 3 years ago
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OK, je vous vois avec vos Guenièvre a pas 15 ans quand elle se marie à Arthur.
Je vous propose un AU.
Aconia accepte de suivre Arthur. Elle a beaucoup imaginé l’épouse d’Arthur. Elle l’a imaginé plus jeune, plus belle qu’elle. Fougueuse, cheffe de clan. Plus puissante qu’elle ne le sera jamais, exilée dans sa villa. Elle a peur de cette Bretonne inconnue qui partage tellement plus avec Arthur qu’elle. Qui partage avec lui cette terre secrète dont elle ne sait rien. Qui partage avec lui un passé et un futur. Qui partage cette langue exotique, qu’elle ne connait pas et qui l’isole chaque jour un peu plus. Non, Aconia ne veut pas rencontrer Guenièvre. Et Arthur, qui ne fait pas trop trop le malin, cache sa première épouse.
Un jour une jeune fille pénètre dans la chambre où Aconia passe la majorité de ses journée. Elle pense à une domestique. Elle lui dit quelque chose qu’elle ne comprend pas. Évidemment. Ici, personne ne parle le latin, et qu’on lui coupe la langue plutôt qu’elle apprenne cette langue barbare. Elle répond en latin à la domestique. Mais là domestique lui rend son salue en latin.
Un latin un peu malhabile et mal accordé, mais en latin néanmoins. Il y a tellement longtemps qu’elle n’a pas entendu sa langue dans une autre bouche que celle d’Arthur. Aconia a envie de se retourner vers elle et de la serrer dans ses bras. Est ce que Arthur lui a fait trouver une dame de compagnie ? Aconia regarde la nouvelle venue d’un oeil critique.
Ce n’est pas une domestique. C’est une jeune fille. Très jeune. Elle est habillée richement, une fille de chevalier ou de noble du coin.
“Alors c’est vous, la vraie épouse de mon mari“
Aconia tombe des nues. C’est sa, l’épouse d’Arthur ? Celle dont il ne fait que se plaindre. Sotte et capricieuse. Mais c’est... C’est une enfant ! Pourquoi ne lui a t il rien dit ?
à partir de là, plusieurs choses :
- Comme Aconia s’emmerde comme un rat mort à Kaamelott, elle prend Guenièvre sous son aile. Comme une maman.
- Elle fait jurer Arthur a nouveau de ne pas toucher son épouse. Arthur lui dit qu’ils ont déjà eu cette discussion et que vraiment, ça ne risque pas.
- Elle ne comprend pas pourquoi Arthur est pas plus horrifié par l’age de son épouse. Et si elle, voit une enfant en Guenièvre, Arthur ne voit qu’une jeune femme qui n’a que trois ans de moins que lui. Elle prend conscience de combien son amant est jeune. A cet age, on se croit déjà être des adultes. Elle est triste.
- Aconia comprend pas pourquoi Arthur lui dit que son épouse est sotte. Malgré la barrière de la langue, elle lui semble au contraire très cultivée, cette gamine. Elle vient tous les jours dans sa chambre pour dévorer l’immense bibliothèque que Arthur lui a fait offrir. Arthur il sait pas quoi faire avec elle, il a peur que lui offrir des bijoux ou des robes attirerait l’attention sur sa première épouse, et comme il sait qu’elle s’emmerde, il lui offre des bouquins. Il sait pas très bien exprimer son affection. Toujours est il que la gamine est très curieuse. On ne lit pas Ovide en pleurant quand on est une idiote. Elle se dit qu’elle va mener l’enquete.
- Elle se rend compte qu’à Kaamelott, tout le monde parle des langues différentes. Elle interroge Guenièvre. Elle lui dit que sa langue maternelle, c’est le picte. Au quotidien, ses parents utilisent un patois de Carmélide pour régner. Elle lit aussi le vieux celte. Et elle parle et lit le latin, même si moins bien. Et le Breton vernaculaire pour parler avec les autres chevaliers. Mais Arthur, ce n’est pas le Breton vernaculaire qu’il utilise avec les autres chevaliers ou avec elle. Il n’utilise qu’un patois de tintagel avec ses conjugaisons bizarres et son vocabulaire alambiqué. Comme c’est le roi, tout le monde fait l’effort de se plier à sa langue. Mais c’est dur pour Guenièvre. Parfois, des mots communs lui échappent. Arthur la prend pour une idiote mais c’est simplement qu’elle galère avec sa langue. Si il lui laissait le temps de lui expliquer.
- Aconia interroge Arthur. Il n’a aucune idée qu’il parle une langue différente des autres et l’a imposé à toute sa noblesse. C’est vrai qu’il les trouvait un peu cons, ces chevaliers, à mélanger leurs mots tout le temps. Mais lui, c’est le seul Breton qu’il connaisse. Celui qu’il parlait quand il était petit. Il décide d’apprendre les langues qui lui manquent.
- Aconia s’occupe de Guenièvre. Elle l’éduque comme elle éduquerai sa fille, si elle en avait eu une. A la romaine. Elle lui apprend à se tresser les cheveux en d’élégantes coiffures sophistiquées. A ne jamais élever la voix pour commander les hommes autour d’elle. A exiger mais ne jamais geindre. Toujours s’attendre à être obéit. Elle lui enseigne les choses de l’amour, tout en lui faisant promettre de ne les reserver qu’à un homme qui en serait digne. D’attendre cent jours lorsqu’un homme attire son attention, puis cent autres avant d’être sur que son coeur est pur.
- Seli est jalouse de l’attention que cette étrangère donne à sa fille. Elle se magne les fesses pour lui enseigner toutes ces choses qu’elle a négligé en refusant de voir grandir sa fille.
- Je sais pas où ça va ensuite, mais Aconia finit par retourner en Macédoine auprès de son mari. Elle n’a jamais réussi à se faire à la Bretagne. Elle libère Arthur de sa promesse envers elle.
- Arthur est déchiré par son départ. Guenièvre aussi. C’était sa meilleure alliée au chateau, Aconia. Sa confidente, son amie, sa préceptrice. Ils pleurent beaucoup son départ. Ils se sentent soudain comme deux enfants abandonnés dans un monde trop grand pour eux. Des enfants qu’ils sont, à bien des égards.
- Aconia a dit un jour à Guenièvre qu’elle serait un jour le grand amour d’Arthur, elle ne sait pas trop ce que ça veut dire. Elle a des doutes quand même. Leur histoire n’a pas si bien commencé.
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whencyclopedfr · 3 years ago
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Les Sept Voyages de Zheng He
L'amiral Zheng He (alias Cheng Ho, c. 1371-1433) était un explorateur chinois musulman eunuque qui fut envoyé par l'empereur de la dynastie Ming Yongle (r. 1403-1424) dans le cadre de sept missions diplomatiques visant à accroître le commerce et à obtenir un tribut des puissances étrangères. Entre 1405 et 1433, Zheng He commanda d'énormes flottes chargées de marchandises et de cadeaux de grande valeur dans des endroits aussi éloignés que Hormuz, dans le golfe Persique, et Mogadiscio, en Afrique de l'Est. Suivant les routes maritimes établies, mais se retrouvant souvent le premier Chinois à débarquer à bon nombre de ses destinations, Zheng He est largement considéré comme le plus grand explorateur chinois de tous les temps. Ses voyages n'apportèrent peut-être pas beaucoup de succès en termes de nouveaux échanges commerciaux ou de tribut durable à la cour impériale, mais les connaissances, les idées et les biens exotiques qu'il ramena chez lui - des bijoux aux girafes - suscitèrent un vif ntérêt pour les pays étrangers et une prise de conscience de leurs richesses qui contribuèrent au rôle accru de la Chine dans le commerce mondial au cours des siècles suivants. Même si son sillage ne fut pas immédiatement suivi, Zheng He avait montré la voie à suivre.
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timelessfineries · 2 years ago
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Boucles d’oreilles ethniques à motifs Massai ::: Timeless Fineries
https://www.timeless-fineries.com/collections/boucles-doreilles-africaines-massai
timelessfineries.etsy.com
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garancequatorze · 3 years ago
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# 8
Je ferme le dossier comptable devant moi et je le transmets depuis le centre au bâtiment des archives, en bordure de la ville. Et tous les jours, je passe mes heures à refermer des dossiers allégés de leurs pièces inutiles et à les reléguer vers la bordure. Au-delà du bâtiment des archives s’étend la pleine campagne, avec son réseau de villes-nouvelles défraîchies, figées dans l’époque de leur construction aux avant-postes de la forêt domaniale, quand elles protégeaient celle-ci des territoires exotiques, plus loin. Tout là-bas, il y a des paysages qui semblent remonter à l’éternité même. Les cèdres qui s’élèvent au-dessus de ces lieux y ont une longévité aberrante. Leur forêt aurait grandi au rythme ultra-lent des saisons médiévales, leur mémoire remonte aux ténèbres, avant l’Histoire. J’y suis allée jeune fille. Aujourd’hui je ne pourrais plus m’acquitter du voyage : par décret, le traitement des secrétaires aux administrations est gelé depuis longtemps. Chaque année, de nouveaux biens et services me deviennent inaccessibles. Je ne sais plus quitter la ville. Le soir, je contemple les riches étalages depuis les ascenseurs vitrés du Grand-magasin. J’en ressens les parfums pendant que je monte et redescends les escalators, mais, tandis que j’avance, les bijoux et les fards et les soieries imprimées au japon s’écartent de moi. Le tapis ne me conduit jamais qu’au dehors, les mains vides, dans les rues du centre-ville qui sont encore un labyrinthe de boutiques trop luxueuses, extension monstrueuse du Grand-magasin en un mall à ciel ouvert où toutes les vapeurs et les opiums se mélangent. Plaisirs partagés. Et partout où j’avance, je sens des ombres qui me répètent la même scène, le même film : je sens derrière moi le reflet d’Audrey Hepburn dans la vitrine de Tyffany’s, glissant à l’aube sur les diamants. Chaque année qui passe, je sens l’ombre d’Audrey se rapprocher de moi. Et plus je m’appauvris, plus son fantôme me tient et m’enserre, au point qu’un matin il m’ingère toute entière. Alors j’accepte, je lui prête ce corps nu. Et Audrey me rend sa jeunesse contre mes années passées, jeunesse aux couleurs d’un cinématographe déjà perdu avant que je sois née. Je reprends ses mouvements. Déliée du présent, je parcours les rues sans plus les toucher. Désormais je les survole, hantée. Je suis le pollen ancien qui s’accroche à la ville et va fleurir même les quartiers neufs. Je deviens l’archive de ces lieux flottants et gratuits qui se transmettent d’image en image, et où se superposent tous les instants. Je suis la mémoire, sobre et noire, qui redonne aux déclassées la grâce des passantes en robes d’élégantes ― la grâce instantanée de celles que la ville a défaites, et que nous reversons en obole aux mendiantes, volontiers, tant qu’il reste en nos mains un peu d’argent à nous vieillir encore.
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trendlittleshop · 5 years ago
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Bracelet double tour. Perles Apatites véritables et perles bois foncé exotique. Perles intercalaires dorées brillantes et mates, motif mandala dorée, petite fleur or swarovski. ᴡᴡᴡ.ᴛʀᴇɴᴅʟɪᴛᴛʟᴇsʜᴏᴘ.ᴄᴏᴍ 👇🏻👇🏻👇🏻 #trendlittleshop #tls #bracelet #creatricedebijoux #madeinfrance #annecy #lakeannecy #banditas #chill #instamood #talloires #stayathome #restecheztoi #addict #sunshine #apatite (à Trendlittleshop, Atelier Création De Bijoux) https://www.instagram.com/p/B_6_7N_olrG/?igshid=5y73mma5o7w
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omagazineparis · 9 months ago
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Les bracelets bouddhistes : ils ont la côte, oui, mais pourquoi ?
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Vous l’avez très certainement remarqué, car il est difficile de passer à côté, les bracelets bouddhistes sont partout ! Publicité sur les réseaux sociaux, aux poignets des célébrités les plus influentes, dans les magazines de mode et aux vitrines des bijouteries. Mais comment expliquer cet engouement fou pour ces bijoux sacrés qui nous viennent du bout du monde et auxquels on attribue, au-delà de l’aspect esthétique, de nombreux bienfaits sur le corps et l’esprit ? Nous vous donnons quelques pistes d’explications afin de mieux comprendre… Le charme de l’authenticité sacrée Fini les babioles et les bijoux fantaisie vendus au rabais et fabriqués on ne sait où. Aujourd’hui, les entreprises comme les clients se sentent beaucoup plus sensibles à la provenance et à l’éthique du produit qu’ils vendent ou achètent. C’est pourquoi les magasins, les bijouteries et les sites internet qui commercialisent des bracelets bouddhistes et autres bijoux sacrés le font dans le plus grand respect du produit, de son origine, de son histoire et de sa signification. À l’image de DailyLama, ces entreprises mettent un point d’honneur à proposer des bijoux fabriqués à partir des pierres qui proviennent majoritairement de l’Himalaya ou d’Inde, réalisés et tissés à la main dans les pays asiatiques, d’où ils sont originaires, et dans le respect du savoir-faire ancestral. Certains sont même bénis par les moines lors d’un rituel au cours duquel le bijou est purifié. Ainsi, le produit vendu a donc une véritable histoire, une âme et devient plus qu’un accessoire de mode. Le compagnon de méditation Les bracelets et les colliers bouddhistes, aussi appelés Mâlâ, jouent un rôle important dans la pratique de la méditation, dont on ne prend plus la peine de citer les effets bénéfiques sur le corps et l’esprit. En effet, depuis quelques années, la méditation connaît un énorme succès auprès de toutes les générations et l’impact positif qu’elle a sur la vie quotidienne ne cesse d’augmenter sa notoriété. Traditionnellement, pour favoriser la concentration lors de la méditation, il est nécessaire d’utiliser le Mâlâ, chapelet de perles de la religion bouddhiste et tibétaine. Cette pratique a donc favorisé l’attrait et l’intérêt pour ces objets religieux et spirituels qui survivent à travers les générations et qui voyagent à travers les pays. Le bracelet bouddhiste est un partenaire spirituel. Les personnes qui s’intéressent aux bracelets ou aux bijoux bouddhistes sont forcément sensibles à ce qu’ils représentent, aux pouvoirs qu’ils peuvent nous transmettre et à l’histoire qu’ils détiennent. Chaque bijou étant composé de pierres de lithothérapie ayant des vertus propres, ils ont tous un rôle différent et répondent aux besoins et aux attentes de celui qui le porte. Aujourd’hui plus que jamais, nous accordons une grande place à la spiritualité dans nos vies, porter un bracelet bouddhiste au quotidien permet de perpétuer et de faire valoir ces croyances partout, quel que soit le contexte dans lequel nous nous trouvons. De plus, nous avons tous besoins de nous sentir protégés et rassurés et grâce à leur symbolique forte, les bracelets bouddhistes accomplissent parfaitement ce rôle de porte-bonheur ou de bouclier protecteur si important. L’accessoire de mode à la mode Grâce à sa beauté et son style, le précieux accessoire de méditation est sorti petit à petit de son contexte pour se faire une place de choix dans la mode, tout en gardant son esprit sacré. En effet, le bracelet bouddhiste est certes composé de nombreuses perles, mais ne procure pas un effet bling-bling. Bien au contraire, c’est un accessoire sobre, élégant et complètement intemporel au style vintage qui s’associe facilement avec tous les styles vestimentaires. Étant fabriqué à partir de produits naturels, il apporte à la tenue la touche écolo, exotique et brute totalement dans l’air du temps. Il existe de nombreux modèles de Mâlâ, fabriqués avec des perles différentes et de tailles différentes, plus ou moins grands, que ce soit des colliers ou bracelets, agrémentés de pendentifs ou non, discrets ou très voyants… Il y en a donc pour tous les goûts et tous les styles ! A lire également : Des bijoux pour équilibrer vos chakras Une aubaine pour les business ? Les bracelets bouddhistes que tout le monde s’empresse de se procurer et qui est devenu le bijou indispensable à avoir dans sa réserve. Si bien que de plus en plus de business se lancent dans leur vente. Une aubaine pour lancer son commerce en ligne ? Peut-être, mais encore faudra-t-il accomplir le souhait des clients d’avoir des pierres authentiques, des bracelets faits main, une entreprise locale et engagée, mais aussi des modèles à prix raisonnables. Read the full article
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ludivinedesaintleger · 5 years ago
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Mardi 24 mars 2020
Au réveil, il était midi.
Aujourd’hui, Morphée m’a gardée dans ses bras jusqu’à l’heure du déjeuner. C’est sûrement cela, qu’on appelle le sommeil du juste. Je prends le temps de savourer cette douce somnolence du retour à la conscience, car la journée va être difficile : il nous faut aller faire les commissions. Il nous manque un certain nombre de produits de première nécessité.
Les grands supermarchés de province sont un loisir que je goûte peu. L’été, il m’arrive de venir y faire quelques courses pour le dépaysement, pour me frotter aux gens du cru, mais le gros ravitaillement, cela ne m’intéresse pas beaucoup, alors c’est Dolores ou mes parents qui s’en chargent. Quant à Victor, il a beaucoup mieux à faire.
Nous nous sommes longuement demandé ce que nous allions faire des enfants pendant cette sortie. Victor n’a absolument pas le temps de s’occuper d’eux, et moi je ne me vois pas aller faire les courses sans Dolores.
Elle est très douée, pour ça. Tout va beaucoup plus vite, quand elle est là. Elle donne l’impression de parvenir à sentir, à l’instinct, où seront les produits dont nous avons besoin. Elle se promène dans tous les supermarchés comme un animal sauvage sur son propre territoire. C’est fascinant à observer d’ailleurs.
Il m’arrive parfois de me laisser aller à la contempler lorsqu’elle virevolte entre les surgelés et les yoghourts, entre le saumon bon marché et les pizze immangeables, débusquant en un coup de patte la proie qu’elle convoitait au rayon ménage. Tout cela lui vient parfaitement naturellement. Il doit y avoir un gène de l’hypermarché.
J’ai le gène des langues étrangères, celui du violon, celui de l’architecture et – oserai-je ? – celui de l’écriture, mais la Nature m’a refusé ce gène propre à notre époque. Je ne m’en plains pas. On ne peut pas tout avoir, et puis c’est une bonne chose, pour l’équilibre de la société, que nous n’ayons pas tous les mêmes talents.
Nous avons hésité à commander sur ce qu'on appelle aujourd’hui le “drive”. Afin de couper court à toute tergiversation, j’ai appelé un hypermarché de Touques dont le nom m’échappe (je n’ai pas la mémoire de ces choses-là, les noms des grandes enseignes de la grande distribution) afin de savoir s’il fonctionnait aujourd’hui. La personne qui m’a répondu au téléphone a été d’une immense impolitesse. Elle n’a pas caché son agacement.
Elle m’a dit, je cite : “Ben vous avez qu’à vous connecter et regarder”.
J’ai immédiatement pensé à Michelle Obama. Quand ils donnent dans la bassesse, il faut aller dans le sens inverse, vers le haut. Alors j’ai remercié cette femme vulgaire avec beaucoup de tact et d’élégance, lui ai souhaité une belle journée, bien du courage, et j’ai raccroché.
Donc exit le “drive”. De toute façon, je n’aime pas ce mot. Pourquoi diable laisser l’anglais s’insinuer partout dans notre belle langue française ?! Ne pourrait-on pas trouver un mot pour cette notion ? Nous pourrions parler d’auto-marché, de retrait-minute, ou d’amplettomobile. Je penserai à déposer ces mots à l’INPI demain par Internet. Sait-on jamais.
Nous avons finalement décidé que les enfants viendraient faire les courses avec Dolores et moi. Je sais que nous sommes censés garder les petits confinés, mais nous leur mettrons des masques et ils savent parfaitement respecter les gestes barrières. Je ne me fais aucun souci de ce côté-là.
Pour eux c’est une chance. Leur niveau de vie est bien plus élevé que celui de tous ces gens qui vivent ici à l’année – et même que celui de quelques resquilleurs qui sont venus “squatter”, comme on dit, alors qu’ils n’ont aucun attachement particulier à ces terres – et je trouve que c’est important qu’ils voient ce qu’il se passe dans d’autres milieux que le nôtre. Il est important de préserver ses enfants, mais aussi, à doses homéopathiques bien sûr, de les confronter à la misère du monde. De leur montrer les autres êtres humain dans leur milieu naturel à eux.
Je gare la voiture ancienne immatriculée 14 sur l’immense parking de l’hyper, mais je crois que les gens ne sont pas dupes. Ils nous regardent tous d’un mauvais œil. Heureusement que nous ne sommes pas une famille juive en 1940, sans quoi nous aurions déjà la Gestapo sur le dos. Le spectacle est glaçant. J’ignore si c’est le chahut des enfants qui les agace ou la pauvre Dolores avec son teint hâlé (il y a beaucoup de gens très racistes en province, paraît-il), mais je vois bien que notre présence dérange.
Après avoir fait passer une toux d’irritation (mes allergies sont en train de me donner une pharyngite) je demande à Dolores de faire nos achats au pas de course, pendant que les enfants et moi choisissons de nouveaux livres au rayon librairie. Comme c’est exotique, d’acheter des livres au supermarché ! Pourquoi pas du caviar chez un garagiste ?! Cette incongruité ne manque jamais de dessiner un sourire sur mes lèvres. Je me demande bien qui est en rayon pour conseiller les lecteurs les moins avertis dont, heureusement, nous ne faisons pas partie. Édouard, huit ans, a voulu de lui-même commencer à lire du Jules Verne.
Coup de fil de Dolores. Elle est à la caisse. Je m’empresse de la rejoindre pour poser nos livres sur le tapis roulant, mes enfants masqués courant derrière moi entre les chariots remplis de Coca-cola et d'aliments premier prix. J’arrive essoufflée, je laisse passer une nouvelle quinte de toux, et immédiatement je dégaine ma carte bleue, que je tends à l’hôtesse de caisse.
Je trouve touchant qu’elles aient voulu qu’on cesse de dire caissière, et qu’on emploie plutôt le mot “hôtesse”. Elles ont raison ! “Caissière”, ça m’évoque de gros bras velus et un tiroir bruyant débordant d’argent mal rangé. La plupart de ces femmes n’ont pas eu beaucoup de chance dans la vie. Elles font un métier physiquement difficile, et doivent pourtant soigner l’accueil du client – mais celle sur laquelle nous sommes tombés aujourd’hui n’a pas dû avoir connaissance de cet aspect de son travail.
Elle me dit, en montrant ma carte d’un geste du menton : “Faut met’ dans la machine.”
Je m’exécute, je tape mon code, je récupère ma carte, et je la passe, ainsi que mes mains, au gel hydroalcoolique – grâce à Victor, qui en avait en réserve dans sa clinique, j’en ai toujours dans ma poche.
À notre retour, il fait très chaud dans la berline, qui était en plein soleil. Je pose nonchalamment ma capeline sur le siège passager, j’ôte mon étole en pashmina couleur crème, et je pousse la clim à fond en attendant que Dolores ait fini de ranger ses courses dans le coffre.
Sur le chemin du retour, nous sommes arrêtés par les gendarmes qui demandent à voir notre autorisation de sortie. Dolores l’avait recopiée et pris dans sa poche comme je lui avais demandé. Somme toute, cette sortie culturelle s’est bien très passée pour les enfants. Quelle aventure !
Quelle aventure, pour eux, de voir tout ça !
C’est important, de savoir trouver le merveilleux dans les choses les plus triviales.
Les gendarmes, c’est la première chose qu’ils racontent à leur père en rentrant. “Papa, papa, on a vu des cowboys !” “Ils étaient très forts, les cowboys, Papa !” “Ils vont nous protéger contre le coronavirus, papa !” “Oui, ils vont tuer les méchants coronavirus – piou, piou piou !”
Ces enfants sont d’une tendresse...
Je suis heureuse qu’ils sachent voir dans nos forces de l’ordre toute la noblesse de cette profession. Je suis heureuse que pour eux, un uniforme soit une source de sérénité, et qu’en présence de la police, ils se sachent protégés. Surtout dans le climat actuel.
Je vois passer beaucoup de fausses informations sur de présupposées violences policières commises ces derniers temps, et je dois dire que je suis atterrée de découvrir mes compatriotes aussi crédules. Ces montages que je n’ai même pas regardés sont, à n’en pas douter, l’œuvre des Russes ou des Chinois qui nous veulent du mal.
Mais comment leur en vouloir ? Comment leur en vouloir de tout ignorer de l’actualité et de la géopolitique ? Comment leur en vouloir alors que le niveau a baissé et que n’importe qui aujourd’hui peut devenir enseignant ?
Je m’interdis de leur en vouloir. Je m’oblige, même, à leur pardonner. Mais aujourd’hui, tout le monde doit agir pour le bien du pays. J’entends dire çà et là que le monde agricole est en manque de main d’œuvre à cause du confinement. Mais comment faisait-ils avant ? Les gens venaient ramasser les pommes de l’étranger ? Allons bon. Les glaneurs profitent du coronavirus pour rester chez eux – comme beaucoup !
Beaucoup trop de gens accueillent cette crise sanitaire comme une aubaine, comme un prétexte pour s’auto-signer un arrêt maladie. Ce ne sont pas des vacances. Il faut continuer à travailler, coûte que coûte.
Pourquoi les chômeurs de France qui veulent vraiment travailler (il y en a peu, mais je sais au fond de mon cœur qu’il y en a), pourquoi ceux-là n’iraient-ils pas retrouver le goût de l’effort dans nos belles prairies françaises ? Peut-être naîtrait en eux la vocation qui manquait à leur épanouissement.
Il n’y a pas de métier dégradant. Il n’y a pas de sot métier. Tout travail est bon pour les autres et pour soi. Tout travail, surtout, est bon pour l’estime de soi. Je l’ai toujours dit. Et dans la littérature classique, j’ai toujours eu beaucoup d’affection pour les personnages de femmes effacées, serviables, et dignes.
Souvent, je me plais à m’imaginer dans une robe de soubrette à prendre soin d’une vieille comtesse dans un grand château de la Renaissance. Je lui dirais “oui Madame”, et au fil des ans, j’aurais affûté mon ouïe pour l’entendre de loin et reconnaître son pas, afin d’être aussi présente et serviable que possible. Je tenterais en vain de dissimuler mes charmes à l’aide d’une coiffure austère et ne porterais ni bijoux ni maquillage. Subjugués par ma beauté, par ma bonté et par ma patience avec leur tante, ses neveux et nièces (elle n’aurait pas d’enfants) me traiteraient comme leur sœur lorsqu’ils lui rendraient visite, mais je refuserais poliment de m’asseoir à leur table malgré leurs invitations répétées. Je les regarderais rire et faire bombance de loin, fière d’accomplir ma besogne chaque jour et d’être appréciée de ma patronne et de sa famille. Et lorsqu’à sa mort, Madame me laisserait quelque argent pour mon bas de laine, je demanderais à ses héritiers légitimes l’autorisation de l’accepter. Avec leur accord seulement et sous leur bon conseil, j’investirais ces deniers dans une modeste demeure qui me mettrait à l’abri pour mes vieux jours, mais je continuerais de travailler aussi longtemps que possible. Et tout au long de ma bienheureuse vie de labeur honnête, en dépit des avances dignes et sincères de François, l’aîné des neveux de Madame, et l’insistance de tous mes maîtres pour me traiter en égale, j’aurai su rester à ma place.
—Ludivine de Saint Léger
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