#bijoux de peau
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US Vogue November 1, 1956
Joanna McCormick wears an angel skin dress: new sleeves, bare shoulder; the skirt, one step shorter than floor length. By Rosalie Macrini. Jewelry by Cartier. Makeup, Revlon.
Joanna McCormick porte une robe en peau d'ange : manches neuves, épaule dénudée ; la jupe, un pas plus court que la longueur du sol. Par Rosalie Macrini. Bijoux de Cartier. Maquillage, Revlon.
Photo Richard Rutledge vogue archive
#us vogue#november 1956#fashion 50s#fall/winter#automne/hiver#rosalie macrini#revlon#cartier#joanna mccormick#richard rutledge#vogue cover#vintage vogue#vintage fashion
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je remets des bijoux en or, comme le collier de mon baptême qui n’a jamais eu lieu avec la grosse chaîne soigneusement choisie par granny, comme celles qu’elle mettait toute le temps. elle a été une horrible mère pour ma grand-mère mais une grand-mère géniale pour ma mère à qui elle a écrit ses mémoires (traumatisantes) et une arrière grand-mère super pour celles qu’elle appelait ses miss, ses pépètes, ses petites chéries, ses stars. souvent elle faisait des trucs dégoûtants genre lécher la cuillère de la confiture et la remettre dans le pot, je grimaçais quand il n’y avait plus de nutella et que je devais en manger après elle, elle ne buvait que du vin rouge et du café au lait dans un grand bol en s’en mettant partout autour de la bouche. (ça aussi ça me dégoûtait mais je trouvais ça mignon) pour qu'elle s'hydrate on lui faisait des verres de jus d'orange dans lesquels on rajoutait de l'eau le matin et au goûter, pareil dans son vin avec le temps. j'aimais bien enfin j’adorais quand elle parlait alsacien avec grand-mère, on ne comprenait rien avec ma sœur et on parlait une langue imaginaire par dessus. elle s’étalait le gros pot de crème nivea chaque soir, sa peau collait quand j’allais lui dire bonne nuit avant de rejoindre ma chambre rose (la plus belle) elle ressemblait un peu à la reine d'angleterre (en plus souriante) car elle avait des cheveux blancs, bouclés et tellement soyeux, mais elle portait des lunettes fumées, pas comme la reine d’angleterre. et ce qui me fascinait c’est qu’elle avait toujours énormément de pendentifs, une croix immense, beaucoup de petits coeurs mais c'est un autre sujet (après sa mort j’ai hérité d’un petit cœur qu’une connasse au collège m’a volé après que je l’ai perdu, je le sais car je l’ai vu quelques jours après le drame le porter et ça ne pouvait être que le mien car un soir après les cours en pleurant devant un exercice de maths auquel je ne comprenais rien comme d’habitude je l’avais mordu de colère et j’avais fait une entaille dedans)
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Scène 6 "Aunt Catherine"
Catherine avait un air amusé en faisant glisser sa culotte sur ses fesses et ses cuisses. La lenteur de ses gestes provoquait en moi des frissons de plaisir, je sentais ma queue de plus en plus serrée dans mon boxer, réagissant par soubresauts. Mon pantalon se déformait nettement laissant apparaitre une bosse qui ne laissait plus aucun doute sur l'effet que me provoquait ma tatie en train de se dévoiler sous mes yeux. Elle ouvrait ses grands yeux en voyant l'effet qu'elle me procurait en lâchant par moments des "hum !!!" quand elle baissait son regard sur ma bosse. Elle devenait de plus en plus sensuelle, plus coquine et ses réactions rendait la situation encore plus excitante. Je savais maintenant que j'allais la découvrir nue pour la 1ère fois après avoir tant rêvé d'elle durant mes années d'adolescence.
On restait silencieux, pas un bruit dans l'appartement, je pouvais entendre le frottement de sa culotte sur le nylon de ses bas et par intermittence le déclic de mon appareil photo. Catherine rompait le silence
"C'est un vrai roman photo que tu nous fait dis-donc ?!"
"Oh oui tatie ! je serai heureux de te le donner, on sera les seuls à pouvoir le regarder" ajoutais-je en réalisant qu'elle aussi pourrait se caresser en se remémorant ce moment.
"Ah oui j'espère bien, je suis curieuse de voir ce que tu as pris"
"D'accord avec plaisir mais alors promets moi que personne d'autre ne les regardera" reprenais-je pour la taquiner
Elle se mit à rire en laissant sa culotte au niveau des cuisses. Je pouvais admirer le galbe de ses fesses. Elle prenait une posture presque provocante en cambrant sa croupe comme si elle voulait m'exciter encore plus.
"Oui c'est promis, tout ça restera entre nous, rien que nous"
Elle posa ses mains sur les rebords de l'évier, sa culotte recouvrait sa cheville. Elle avait repris une expression sérieuse, la connivence était à son comble. Je restais intimidé devant cette femme mure excitée, offrant sa nudité. Les jambes gainées dans ses bas, chaussée sur ses talons, son ventre rond et grassouillet enveloppé par la ceinture de son porte-jaretelle, ses seins nus, tombants sur son ventre, ses tétons dressés par le désir. Son corps dénudé, orné de bijoux et cette mèche terriblement excitante qui tombait jusqu'au coin de ses lèvres.
Je m'étais imaginé son sexe depuis que j'avais 13 ans, dans mes scénario elle était poilu, un large triangle brun comme pouvaient être les femmes de sa génération. Mon regard ne quittait pas son intimité, en j'en oubliais d'immortaliser ce moment. Jamais elle n'aurait imaginé combien de fois je l'ai fantasmé, combien de fois j'ai rêvé de caresser sa chatte, l'embrasser, la lécher en l'imaginant jouir et combien de fois je l'ai pénétré. Son mont de vénus était charnu et rasé, légèrement plus foncé que la blancheur de sa peau, laissant deviner une pilosité naissante. Je devais un air ahuri en restant bloqué sur son intimité.
"Tu ne prends pas de photo ?" avait-elle dit d'un air amusé comme pour me sortir de ma torpeur
"Oh que si tatie ! peux-tu garder cette pose s'il te plait ?"
Je prenais mon temps pour le cadrage en m'approchant, faisant la mise au point. Elle ne bougeait pas, elle me regardait son sourire avait laissé place à une expression sérieuse, peine d'émotions. Son excitation était palpable quand j'appuyais sur le déclencheur.
A suivre ... (Scène 7 le 9 avril à 6h00)
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LA BALADE DES OUBLIÉES [house of the dragon x oc] • SHAEREA VELARYON II
LA BALLADE DES OUBLIÉES • HOUSE OF THE DRAGON X OCs • CHAPITRE II
✩ synopsis : La princesse Shaerea Velaryon, fille unique de la princesse héritière Rhaenyra Targaryen, sœur jumelle du prince Jacaerys Targaryen arrive à un âge où elle ne peut plus ignorer la vérité.
☆ relations : oc!femvelaryon x aegon targaryen; oc!femstark x jacaerys velaryon; oc!femhightower x aemond targaryen; oc!femtargaryen x oscar tully; oc!fembaratheon x lucerysvelaryon
✧ warnings : targ!incest, sexisme typique médiéval, batards, un peu de déréalisation si on plisse les yeux, harcèlement, tromperie consentie?…
☆ mots : 7351 mots
⭐︎ note de l’auteur : /!\ ici les événements de la blague du cochon ailé faite à Aemond se passe avant l’accouchement de Rhaenyra (naissance de Joffrey). La taille de Vermax ne correspond pas au canon. Désolé pour les fautes d’orthographe ! /!\
✧ chapitres : MASTERLIST • I II III
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Des rires enfantins résonnèrent dans le Donjon Rouge, accompagnés de bruit de pas bruyant et rapide.
La princesse Shaerea Velaryon courait au côté de son frère jumeau, le prince Jacaerys, héritier du throne de fer après leur mère la princesse Rhaenyra Targaryen, et de leur frère cadet le prince Lucerys, l’héritier de Driftmark.
Les trois enfants gloussaient en se bousculant dans les couloirs rougeâtres du château royal. La princesse de huit années avait du mal à suivre la cadence de ses frères à cause de ses habits princiers. Des tissues luxueux, aussi rouge que les bons vins de Dorne étaient cousus entre eux, formant une robe longue et délicate aux broderies dorées. Elle portait autour de ses poignets, de son cou et de chacun de ses petits doigts légèrement potelés des bijoux somptueux d’or brute incrustés de rubis. La beauté de la seule fille et deuxième enfant de Rhaenyra Targaryen était reconnue de tous. Comme avant sa mère, la petite princesse Velaryon était un vrai délice pour le royaume, une splendeur royale.
…même si la princesse Shaerea ne ressemblait en rien à une Targaryen.
Sa peau n’était ni pâle comme les descendants d’Aegon le Conquérant, ni métisse comme les Velaryon. Ses cheveux n’étaient pas d’un blanc argenté et ses iris n’avaient aucune trace de violet. Non, comme ses frères, elle ne possédait aucun trait de la maison du dragon et encore moins celle d’eau et de sel. Au lieu de cela, des épaisses mèches brunes bouclées encerclaient son visage au teint bronzé et ses yeux marron prenaient une couleur semblable au miel au soleil.
Cela avait été un scandale quand les jumeaux de la couronne sont nés. Sur leur corps étaient marqués au fer rouge "bâtards", ce mot que le Roi Viserys I avait interdit de prononcer à leur égard sous peine de se faire arracher la langue.
Pourtant les regards moqueurs, impitoyables de la cour ou les murmures des servantes subsistaient encore dans le château. Peut être êtes la connaissance du dégoût de la Reine Alicent envers les petits enfants de sa majesté son époux qui leur laissaient penser qu’ils avaient le droit de manquer de respect ainsi aux princes et la princesse royaux ? Peu importe, les enfants de Rhaenyra étaient trop jeunes pour comprendre, restant dans un bonheur simple de l’enfance.
« Jace, Luce dépêchez vous ! Il faut qu’on arrive à Pit Dragon avant Oncle Aegon ! » A gloussé la jeune princesse en redoublant d’efforts pour accélérer et tirer la main de son frère jumeau en prennent la tête de leur joyeuse troupe.
« J'essaie ! C'est toi qui vas lentement avec cette robe qui te gêne les jambes ! » se plaignit le jeune prince en courant. La longue cape écarlate ondulait dans son dos tandis que lui et Luce ressemblaient davantage à de petites ombres noires fuyant derrière leur sœur. Shaerea regarda le garçon brun de huit ans avec indignation.
« Ma robe est magnifique ! » dit-elle avec la voix d'une petite fille têtue. Pour elle la beauté l’objet justifiait son manque de pratique. Elle jeta sa tête en arrière pour s'assurer que leur petit frère les suivait. « Luce court plus vite ou on te laisse avec oncle Aemond »
Une vague de terreur traversa le jeune visage de Lucerys, mais le garçon continua à faire des pas courts et rapides pour suivre son frère et sa sœur. Le prince Aemond Targaryen’s, le deuxième fils et quatrième enfant du Roi Viserys était un enfant plutôt… spéciale. Il n’avait que dix ans, bientôt onze, pourtant il ne s’amusait jamais (ou plutôt les princes et princesse ne l’invitaient jamais), toujours entrain d’étudier dans la bibliothèque ou avec les septa’s ennuyeuses ou être en compagnie de sa tante maternelle. Le fils de la reine n’était pas quelqu’un d’amusant. Et il avait quelque chose en lui, les enfants Targaryens ne pourraient pas vraiment l’expliquer mais Aemond semblait avoir un côté plutôt…sombre ? Comme s’il souffrait de la folie du dragon…
« Noooon… » supplia l’héritier de Driftmark "Ne me laisse pas avec l'oncle Aemond. Je cours plus vite, je vous le promets, regardez ! »
La princesse gloussa de nouveau, son sourire s’élargissant jusqu’à atteindre ses yeux bruns. « Si tu le fais, je suppose que nous te pardonnerons » taquina-t-elle en tirant sur le bras de Jace, le forçant à continuer à courir. « Mais tu ferais mieux de te dépêcher ! »
Les Velaryon de six et huit ans se bousculèrent avec la force et l’amusement des enfants qu’ils étaient. Dans les escaliers de pierres rouges, le prince Jacaerys eut l’audace de marcher sur la belle robe de sa jumelle. Elle poussa un cris aigue d’indignation qui fit tourner la tête de plusieurs servantes, prise de peur que les enfants royaux soient blessés. Leurs petites jambes les ont menés dans la court d’entraînement où des chevaliers s’entraînaient entre eux ou enseignaient l’art du combat à des fils de nobles. Au centre, armée d’une épée et d’une armure imposante à cape jaune, Sir Harwin Strong combattait un jeune homme, sûrement le second fils d’un des Lords de la cour. Il était un chevalier musclé à la peau halée et cheveux bruns bouclés lui arrivant sur ses épaules. Comme sa chevelure, sa barbe était d’un brun épais et ses yeux avaient une couleur semblable à l’eau des lacs du Nord. La princesse Shaerea a poussé son frère jumeau, lui manquant de le faire trébucher pour courir vers le chevalier en plein combat.
« Sir Harwin ! Sir Harwin ! Sir Harwin ! Sir Harwin ! » répéta-t-elle encore et encore, les joues rouges, ignorant le danger de se faire embrocher par une épée.
Le chevalier sourit derrière son casque en entendant la jeune voix de la princesse Shaerea. Il esquiva un coup de son adversaire et se tourna dans la direction de la jeune fille. « Je suis un peu occupé en ce moment si vous remarquez votre douce jeune majesté. »
La petite princesse ne prit même pas le temps de regard le jeune homme que Lord Strong entraînait, ignorant complètement son existence. « Je m'en fiche ! »
Elle dit d'une voix joyeuse et aiguë. Son petit frère Lucerys vint se coller contre sa robe, ses petits doigts agrippant le tissue. Il avait peur de se faire gronder par leur mère, pour l’audace de sa sœur aîné. La princesse Rhaenyra était facilement irritable, enceinte de neuf mois, sur le bord de l’accouchement, son agacement et sa colère pouvaient monter rapidement. Jacaerys a roulé les yeux en boudant derrière sa jumelle. Il devrait la pousser comme elle avait fait juste avant pour la punir de son comportement de fillette gâté.
Shaerea enroula de ses petits doigts bagués autour la cape jaune du fils de la main du roi, Lord Lyonel Strong, la tirant avec énergie. « Sir Harwin ! Sir Harwin ! Pouvez-vous nous emmener à Pit Dragon ? S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît ! »
Le chevalier rigola légèrement lorsque la princesse continua à l'appeler en boucle. « Vous peux être si agaçant quand vous le voulez, vous savez. » Il souleva la visière de son casque et soupira, « Mais bien sûr, je peux vous emmenez au PitDragon. Mais seulement pour que vous arrêtiez de crier mon nom comme ça. » la taquina-t-il.
« Merci Sir Harwin ! » Elle poussa un cri de joie en sautant, ses bijoux s'entrechoquant dans un bruit semblable à sac remplit de pièce d’or. Lucerys pressa ses mains contre ses oreilles au son aigu de sa sœur aînée, n’aimait pas quand elle faisait ça. « Je t'avais dit que ça marcherait Jace ! »
La princesse Velaryon tira la langue vers son jumeau, sa petite main remplie de bracelet et d'anneau d'or toujours accrochée à la cape du chevalier. Le chevalier gloussa et retira son casque tandis que la petite princesse s'accrochait à sa cape de toutes ses forces. Il se tourna vers elle et ébouriffa un peu ses cheveux bouclés. Peut de personne au Donjon Rouge oserait traiter un enfant royale comme ça. Mais comme beaucoup avait remarqué, surtout la Reine Alicent, Sir Harwin est proche depuis toujours de la famille de la princesse Rhaenyra, surtout la princesse. « Vous êtes vraiment gâtée princesse. » Lui dit-il avec un sourire au visage. Quand il leva les yeux, il trouva les princes Jace et Lucerys derrière leur sœur. Il haussa un sourcil avec un sourirez avant de reprendre. « Donc c'était un projet d'équipe, j’imagine ? »
« Jace et Luce savent que je suis la plus jolie et donc que tout le monde me dit toujours oui. » dit la Velaryon avec un sourire fier et arrogant. Elle prit la grande main du chevalier dans la sienne, petite, minuscule comparé à celle de l’homme proche de la quarantaine. La personnalité bruyante de la princesse et son interruption dans la cour d’entraînement avait attiré les regards des autres combattants et de leur publique les dames de la haute société. Un mélange de moquerie et de dégoût était dans leur yeux alors qu’ils observaient les enfants de la princesse Rhaenyra interagir avec Sir Strong qui leur ressemblait trop pour le nier. Pourtant le chevalier ne sembla pas s’en soucier et il gloussa en traversant la cour bondée, la petite princesse Velaryon les menant.
« Oh, je n'en doute pas un seul instant », acquiesça le jeune chevalier en regardant les trois enfants. « Je pense que tout le royaume sait que la princesse Shearea est la plus jolie princesse de toutes », ajouta-t-il, ébouriffant doucement les cheveux de la fillette une fois de plus avec sa main libre.
« Et la plus ennuyeuse aussi », grommela le prince Jace, croisant ses bras courts sur sa poitrine. Sa sœur le regarda par-dessus son épaule et lui tira sa petite langue avec défi avant de tourner la tête en arrière et d'entraîner le chevalier plus loin.
Les enfants de la princesse Rhaenyra Targaryen arrivèrent à Pit Dragon accompagné de Sir Harwin. Tout le long du chemin, la princesse Shaerea ne c’était presque pas tue une seule fois. Elle aimait être au centre de l’attention et des discussions, monopolisant la conversation. Elle racontait animent au chevalier à quelle point elle était excité par l’arrivé du nouveau bébé et qu’elle espérait avoir un petit frère encore, voulant rester la petite princesse gâtée de la famille. Le prince Jacaerys lui avait jeté plusieurs fois des regards agacés et Lucerys tenta de lui couper la parole temps bien que mal, sa petite main d'enfant de six ans dans celle du chevalier à la cape jaune.
Rentrent dans le bâtiment gigantesque, la princesse Velaryon ne prit pas la peine de saluer les gardiens des dragons, préférant courir en direction de la fausse. Ses joues n’avaient même pas eut le temps de reprendre une couleur normal de sa course précédente. Elle soulevait sa robe au dessus de ses chevilles maintenant qu’elle était sûre que sa septa ne la gronderait pas pour un manque de pudeur pareil. « Gaura ! »
Un dragon femelle aux écailles roses fut amenée hors de l’entre menant au logis des creatures ailées.
Comme son frère jumeau, la princesse Shaerea reçut un œuf de dragon sous son berceau. Et comme les deux jumeaux royales, la coquille de Vermax, le dragon de Jacaerys éclôt en premier. Mais comparé à la bête verte de l’hériter du trône, Gaura naquit difforme et faible. L’animal était minuscule et ne semblait pas grandir correctement, si bien que les gardiens des dragons avaient déclaré qu’elle ne survivrait pas un an. Mais grâce au soin et les efforts de la princesse Rhaenyra à maintenir le dragon de sa fille chérie en vie, Gaura a finalement survécu. Or, alors que Vermax le dragon vert de huit ans maintenant faisait déjà la taille de trois hommes adultes, Gaura, elle, faisait seulement la taille d’un seul humain.
Le dragon aux écailles roses petit, trop petit pour son âge, ne dépassant pas la taille d'Arax, le dragon du petit frère Lucerys de sa dragonniere, s'approcha d’elle en poussant un mélange entre sifflements et grognements. Elle se déplaçait, ses longues griffes griffant la pierre et ses ailes difformes, trop longues pour son corps trainaient sur le sol. La couleur rosée du bout des membres et du museau de la bête semblait se dégradé vers un blanc crème, le même ton que ses yeux.
« Je suis peiné pour vous princesse. » dit Sir Harwin, ses yeux bleus observaient la princesse avec son dragon. Si le simple fait que Shaerea avait une profonde connection avec son animal suffisait au chevalier, il ne pouvait pas ignorer la vérité. Un dragon était censé être fort et majestueux. Des créatures puissantes qui pouvaient réduire en cendres des royaumes entiers. Mais Gaura semblait... pathétique en comparaison des autres dragons de la fosse.
Cette différence entre son dragon et ceux du reste de sa famille ne semblait pas pour autant déranger la princesse Velaryon. Elle au moins elle en avait un, pas comme son oncle le prince Aemond Targaryen.
La princesse c’est assise par terre, se moquant de salir sa robe qui valait bien plus que tout ce qu’un sujet de basse naissance de KingsLanding pouvait gagner en une vie entière. Gaura c’est joyeusement précipitée sur les genoux de la princesse, s'installant sur les épaules de cette dernière comme elle aime tant le faire, ses ailes roses entourant le corps de la fille. Shaerea regarda le chevalier avec un sourire.
« Pourquoi ? Gaura est le plus jolie dragon. Pas comme Vermax », dit-elle moqueuse. Les deux jumeaux aiment ce chamailler, même si Jacaerys allait plus doucement avec sa sœur. Il était le plus agé des deux, l’aîné et l’héritier, pas une brute à maltraiter les filles, sa mère l’avait élevé mieux que ça. Même si parfois tout ce qu’il désirait est de frapper la brunette. Jace, se tenant près de Sir Harwin qui tenait la main de Luce, roula des yeux au commentaire de sa sœur, mais il avait toujours un petit sourire sur le visage.
« Vermax est bien plus grand que Gaura », il répliqua , une petite pointe de fierté dans la voix. « Il sera le plus grand dragon vivant quand il sera adulte. »
« C'est faux. » Shaerea lui répondit avec agacement tout en caressant la tête de son dragon légèrement plus grosse que la sienne. « Et puis est-ce que ton dragon a ça ? »
La princesse Velaryon demanda en prenant le bout de l’aile où se trouvait les griffes acérées de la bête... peintes en rose fuchsia. La créature était très docile avec sa dragonnière, acceptant facilement toutes les idées enfantines de la fillette. Mais laisser peindre ses armes de défense… c’était sûre qu’aucun autre dragon ne l’aurait accepter. Tout comme aucun Targaryen aurait même envisagé l’idée.
« Non ! Qu'est-ce que tu as fait, bon sang ? » cria Jacearys incrédule en regardant les griffes du dragon.
« Gaura a l'air ridicule. » Lucerys éclata de rire à la vue des serres de Gaura peintes en rose. C'était un spectacle horrible, c'était sûr. Il essaya de dissimuler ses gloussements en se cachant derrière Sir Harwin. L’homme souriait avec tendresse à la scène, plus qu’un simple chevalier le devrait devant des enfants qui ne sont pas sensé être les siens.
« Gaura n'est pas ridicule, elle est belle, des griffes aux crocs. Vous êtes juste jaloux parce que Vermax et Arax sont laids » Dit-elle avec agacement en caressant le cou du dragon rose.
« Ils ne sont PAS laids. » Protesta le prince héritier, un peu agacé par les paroles de sa sœur. « Vermax et Arax sont majestueux et puissants. Ce sont de vrais dragons. Gaura est... mignon. »
Le deuxième fils de Rhaenyra Targaryen laissa échapper un autre rire, « Vermax et Arax ont l'air féroces. Gaura ressemble à un gros lapin rose. »
Jacaerys rit du commentaire de son frère, bien qu'il lui lança également un regard légèrement désapprobateur. Il est peut-être d'accord avec les paroles de son frère, mais il n'était pas censé les dire à voix haute ! « Ne dis pas ça Luce. Gaura est... » Il s'arrêta en regardant à nouveau le dragon rose. « un lapin rose », acquiesça-t-il, riant encore un peu.
Les joues de la princesse sont gonflées d'indignation. Oui son dragon était petit, mais ce n'était pas un lapin difforme ! Elle se releva difficilement, sa robe étant lourde sans oublier Gaura qui était posée sur son dos, sa queux, longues remplit de petit pique à peine tranchant, était enroulé autour du bassin de la fillette de huit ans. Sir Harwin regardait la fille de la princesse Rhaenyra avec attention, prêt à agir si le poids était trop lourd sur ses épaules et qu’elle tombait. Sa bouche s’ouvrit mais avant qu’aucun son ne puisse en sortir, elle fut coupée par une voix approchante.
« Oh, qu'est-ce qu'on a là ? » demanda le prince Aegon II Targaryen avec un sourire narquois au visage, tandis que le prince Aemond Targaryen se rapetissait à côté de lui. Les deux garçons regardèrent la petite princesse et son dragon rose. Le prince Aegon, le fils aîné du roi était un adolescent de quatorze ans aux cheveux argentés ondulés, toujours négligés et peu coiffés, et aux yeux violet remplit de malice. Son petit frère, le prince Aemond de bientôt onze ans avaient les mêmes traits que son frère aîné. Ses iris violet étaient rivées sur le sol, montrant bien qu’il voulait être partout sauf ici. Le plus vieux des deux frères lança un regard moqueur au chevalier avant de ricaner, comme la simple présence de sa personne était une blague. Sir Harwin savait trop bien que rester trop longtemps avec les enfants Velaryon apporterait des ennuis à ses derniers, surtout devant les horribles enfants de la Reine Alicent. Il donna une petite tape sur l’épaule des deux princes avant de s’éclipser d’une petite révérence.
Shaerea rougit en voyant son oncle Aegon, ne remarquant même pas la disparition du chevalier Strong. Elle n'a pas prêté attention à son oncle Aemond, pourquoi faire ? Il n'avait pas de dragon et il était bizarre. Le dragonnier de Sunfire, lui, était drôle, beau et il serait sûrement son futur époux.
Plus le temps passait, plus elle entendait les nobles parler des épousailles entre elle et le premier fils du roi. C’était un stratagème politique, ou peut importe comme ils avaient appelé ça, cela renforcer la légitimité du trône de sa mère en unissant les deux familles. Beaucoup pensaient que cette possibilité était une des plus envisageable pour réduire les tensions de la maison du dragon. Cette idée n’a pas dérangé la princesse Shaerea, au contraire. Elle avait développer depuis quelques années un begin stupide et innocent envers son oncle adoré. Comme lui en vouloir ? Il était un bel adolescent, et comme toutes les petites filles de son âge, elle craquait pour lui, au plus damne de ses frères Jacaerys et Lucerys.
« Oncle Aegon ! » le salue-t-elle joyeusement en essayant de s'incliner mais avec la présence du dragon sur son dos c'était trop difficile. Gaura déploya ses grandes ailes disproportionnées alors qu'elle était encore dans le dos de la princesse, essayant de les stabiliser pour éviter qu’elles tombent à la renverse. Les membres de la créature s’étirèrent donnant l’impression que Shaerea avait des ailes de dragons, comme les fées dans les contes que les septa’s racontent au plus jeunes enfants.
Le prince adolescent le savait bien sûre. Comme tout King landing connaissait l’existence du begin enfantin de sa nièce sur lui.
Parfois les agissements maladroits de la petite fille pour attirer son attention l’agaçait. Ce n’était qu’une enfant, tout ses techniques pour montrer son affection étaient ridicule. Mais le prince Aegon aimait plus qu’il ne voudrait l’admettre l’amour erroné que la princesse Shaerea lui portait. Non que ce soit réciproque, burck. Le première fils d’Alicent avait beaucoup de vices et n’était pas parfait mais aimer un gamine ? jamais. Encore moins sa batarde de nièce.
Ce qu’appréciait le garçon de quatorze ans était les louanges maladroites et l’adoration de la Velaryon. Des qu’il faisait un accomplissait une tâche, même des plus minimes et inutiles, elle l’applaudissait et le complimentait. Son ego aimait ça plus que tout.
« Bonjour ma douce petite nièce », répondit-il avec un sourire narquois sur les lèvres regardant la petite princesse essayait de s’incliner. Ses yeux se baladèrent avec dégoût sur Gaura. Peut importe le nombre qu’il voyait l’animal, il ne pouvait s’habituer à sa présence et son apparence ridicule. « Le rose est vraiment ta couleur. »
Le prince Aemond baissa les yeux sur le sol, gêner de voir son frère aîné s’amuser de l’amour embarrassant de leur nièce, en marmonnant des mots incompréhensible. Les fils de l’héritière du trône Rhaenyra, eux aussi, ne semblaient pas apprécié le comportement de leur sœur. Dieux que Shaerea était ennuyeuse ! Pensait Jacaerys, Elle le voyait tous les jours, elle ne pouvait s'empêcher d'essayer d'être aussi courtoise avec lui ?!
« Merci mon oncle », dit-elle, ses joues dodues devenant rosées. Ce détail n’échappa au premier fils du roi. Il sourit, amusé au plus haut point par ses manières.
« De rien, ma petite princesse », répondit-il avec un clin d’œil. Le prince Jacaerys et le prince Lucerys semblaient vouloir s'enfoncer dans le sol, tout comme le prince Aemond. Ils détestaient devoir subir le béguin idiot de leur sœur pour leur oncle qu’ils trouvaient mortifiant.
Gaura, elle aussi, semblait désapprouver l’amour de sa petite maîtresse. Avec ses grandes ailes déformées, elle prit son envol. À quelques mètres du sol, abritée par le dôme de Pit Dragon, elle vola en cercle au-dessus de la princesse Velaryon, comme pour la protéger en cas de problème (si même il y en aurait un devant les gardiens des dragons). Le sourire narquois d'Aegon s'élargit, appréciant la démonstration de la créature protégeant sa petite maîtresse, même de lui. Il ne pouvait s'empêcher de trouver la vue du dragon rose volant autour de la petite princesse attachante, même si c'était idiot et ennuyeux.
La princesse Shaera rougit violemment. Elle s'approcha de ses oncles, ne regardant toujours pas Aemond, l'ignorant complètement comme s'il n’avait jamais excité ces presque onze dernière années. Ses bijoux cliquetaient au rebond de ses pas et ses boucles brunes tombèrent dans son dos alors qu’elle pencha la tête pour mieux regarder l’adolescent.
« Les gardiens de dragons ont dit qu'aujourd'hui Jace serait complètement lié avec Vermax. Quel âge tu avais quand toi et Sunfire vous avez enfin complètement partager le lien ?" demanda-t-la princesse Velaryon, tournant ses bagues entre ses petits doigts. Bien sûr qu'elle avait la réponse, elle répétait à qui voulait l'entendre que son futur mari était un jeune dragonnier accompli, mais n'importe quelle excuse était bonne pour qu'elle parle avec son oncle adoré.
Il rigola à sa question. « J'avais neuf ans quand j'ai complètement revendiqué Sunfyre », répondit-il, essayant de garder un visage impassible malgré ses éloges à son sujet. « Et ce n'est pas une mince affaire, de revendiquer complètement son dragon. » Il regarda Jace, une pointe de moquerie dans les yeux.
« Tu es tellement impressionnant, oncle Aegon », dit Shaerea avec admiration en regardant son oncle beaucoup plus grand qu’elle.
Jacaerys se tenait à côté de son petit frère, lassé du comportement de sa jumelle. C'était un jour important pour lui et pourquoi devait-elle toujours tout ramener à Aegon ? Il roula des yeux devant l'adoration continue de sa sœur pour son oncle. C'était si évident, si embarrassant. Il partagea un regard agacé avec Lucerys, tous deux lassés des tentatives constantes de leur sœur pour impressionner leur oncle. Le prince adolescent rigola à la remarque flatteuse, le sourire narquois sur ses lèvres s'élargissant. Il avait toujours aimé être le centre d'attention, mais voir sa nièce le flatter lui procurait une certaine satisfaction.
« Peut-être que lorsque tu seras assez grande, tu pourras complètement contrôler ta petit Gaura », taquina Aegon en regardant le dragon rose qui volait toujours autour de sa maîtresse.
« Oh Oui ! Oui ! Oui ! Et nous pouvons voler ensemble avec Sunfire et Gaura, comme tu me l'as promis ! » dit-elle joyeusement avec une voix aigus. Ses deux frères ne purent s'empêcher de rire à la remarque de leur oncle. C'était un peu méchant, mais honnêtement, l'idée que la bête ailée de leur sœur soit complètement apprivoisée de si tôt était absurde. Le dragon était petit et avait été décrit comme "un mignon petit lapin".
« C'est vrai, ma douce nièce », répondit Aegon. « Nous volerons ensemble un jour. Comme je l'ai promis."
Les princes Velaryon roulèrent à nouveau des yeux, incapables de croire à quel point leur sœur se laissait facilement tromper par les paroles mielleuses de leur oncle. Même si, un sourire amusé restait sur leurs visages. « Bien que », continua-t-il, une lueur malicieuse dans les yeux, « j'espère que ta petite Gaura sera capable de suivre Sunfire. C'est un dragon assez rapide, et elle n'est qu'un petit lapin, n'est-ce pas ? » Il sourit, observant sa réaction, sachant qu'il remuait le couteau dans la plaie avec ses plaisanteries.
Elle lui lança un regard légèrement agacé, croisant les bras sur sa poitrine, faisant la moue. « Un jour, Gaura sera l'un des dragons les plus majestueux, tu verras. Avec ses ailes gigantesques, elle sera surnommée la Reine Ailée »
Le prince Aegon haussa un sourcil, son sourire s'élargissant encore. C’était une idée ridicule, montrant bien l’imagination de la fillette de huit ans, « La Reine Ailée, tu dis ? » Il gloussa, amusé par sa confiance en son petit dragon. « Es-tu sûr qu'elle ne se perdra pas dans le ciel avec ses ailes « gigantesques » ? » Jacaerys et Lucerys Velaryon ont ricaner, essayant de dissimuler leur amusement avec des toussotements et leur mains.
La princesse Shaerea n’aimait pas qu’on ce moque d’elle. C’était une princesse ! Le plus beau bijoux de la couronne ! Personne ne pouvait se permettre de lui manquer de respect. Elle serra ses petits poings en se tournant vers son petit frère et son jumeau. « Taisez vous deux ou je le dirai à mère et père ! » Elle cria d’une voix aigus de fillette de huit ans. La Velaryon se retrouva vers son oncle. « Je te le dis, oncle Aegon, Gaura sera surnommée la Reine des Ailes comme Sunfire sera surnommée le Roi Soleil par nos descendants et leur royaume »
Trop petite, trop mignonne, trop fille, tout comme avec son dragon, les garçons ne la prirent pas au sérieux. Même le prince Aemond, silencieux et observateur comme à son habitude avait un petit sourire sur le coin de ses lèvres. Le frère aîné du sans dragon rigola à l’expression de colère de sa petite nièce et de sa tentative de menace de dénoncer ses frères.
Il leva les mains en signe de reddition, toujours avec un sourire narquois. "D'accord, d'accord, je te crois." Jace et Luce ricanèrent devant la défense féroce de Gaura, le petit dragon rose de leur sœur. Elles ne pouvaient toujours pas prendre tout cela au sérieux, mais c'était hilarant. Aegon essaya de réprimer son amusement. "La Reine Ailée et le Roi Soleil, hein ? Tu as beaucoup d'imagination, ma douce nièce."
Leur conversation s’arrêta là, les gardiens des dragons commencent leur enseignement. Les cinq enfants royaux se tenaient debout en ligne alors que le dragon du prince Jacaerys fut emmener pour finaliser le lien avec son dragonnier et que Gaura fut ramener dans la fausse. La langue de l’hériter du trône claqua contre son palais, prononçant l’ordre "dracarys", condamnant une chèvre au feu de Vermax. Les flemmes ont jaillis de la gueule de l’animal et Shaerea but l’opportunité de prendre serrer de son oncle, jouant la demoiselle en détresse. Dans les comptes n’est ce pas ce que les chevaliers et les princes aiment ? Mais l’adolescent souffla d’agacement en repoussant la main de sa nièce. Il aimait ses compliments pas lui donner de l’affection en retour.
Le cœur de la princesse Velaryon se resserra et ses yeux sont devenues humides. Elle renfila essayant de cacher sa tristesse et sa honte au reste des garçons de sa famille. Mais le prince Aemond remarqua la peine de sa petite nièce. Il ce sentait mal pour elle. Elle était jeune et son frère était un idiot avec les filles, peut importe leur âge. Il voulait aller la réconforter, même si ce n’était qu’une batarde. Que penserait sa tante de lui si elle savait qu’il agissait comme cela ?
Or, il fut tirer par son frère aîné et son neveu Lucerys vers la fosse. Jacaerys prit la main de sa jumelle, lui caressant ses cheveux pour la réconforter. Née le même jour ou pas, c’était son grand frère, même si c’était une vrai gamine gâté et insupportable, il devait prendre soin d’elle. La fille de Rhaenyra lui a sourit, oubliant rapidement sa peine (du moins elle avait choisit de l’ignorer) et a suivit le groupe.
« Aemond, on a une surprise pour toi » La plus âgée du groupe à commencé son discours, poussent son frère et le plus jeune a courut dans l’entre de la fausse.
« Quelque chose de vraiment spéciale » a ajouté Lucerys Velaryon, avec un sourire moqueur sur ses lèvres. Quand il y avait son oncle Aegon, et que l’attention de ce dernier n’était pas monopoliser par Shaerea, l’enfant de six ans prenait confiance en lui et ce permettait de tourmenter son oncle Aemond. Après tout il le méritait non ? Il n’avait même pas de dragon.
« Tu es le seul d’entre nous à ne pas avoir de dragon, même Shaerea en a un » continua Aegon en poussant un soupire moqueur envers sa nièce. La petite princesse baissa la tête. Il était comme ça, quand il se lassait de ses compliments, le prince Aegon Targaryen, deuxième de son nom était cruelle envers celle qui l’admirait le plus.
« C’est vrai » le prince Aemond a dit d’avec agacement et froideur. Il avait un mauvais pressentiment.
« Et on ce sentait mal pour toi » Les deux jumeaux hochèrent la tête au mot de leur oncle le plus âgé. Peut être que si elle était de son côté, le premier fils de la reine redonnera de l’attention à la petite princesse ? « Alors on en a trouvé un pour toi »
Aemond roula des yeux, ne croyant pas les mots de son frère aîné une seule seconde. Ça, ce serait si les dragons était facile à trouver. Même si leur cousine, la princesse Melegdie Targaryen a réussit à clamer l’effroyable FrostBite il y a sept ans, un dragon anciennement sauvage qui était jusqu’à la inconnue de la maison Targaryen. D’après les meastres et les gardiens des dragons qui se sont intéressés sur le sujet, la créature au couleur du froid vivait autrefois sur le continent d’Essos proche de l’ancienne Valeria. Ils ignorent son âge exacte mais l’estime âgé de plus de quatre-vingt ans. Ce qu’ils sont sûre et que la fille de Deamon Targaryen a réussit à se lié avec le troisième plus gros dragons connue, après Vermithor et Vaghar. Le petit prince espérait secrètement que la même histoire lui arrive à lui aussi. « Un dragon ? » il a demandé suspicieux. « Comment ? »
« Les dieux bénissent » a répondu son frère aîné.
Au loin, mené par Lucerys Velaryon, un porc rose déguisée avec des ailes faites de vieilles plumes trouver dans les cuisines du châteaux arriva, s’approchant des enfants royaux. Son groin reniflait le sol et il mastiquait du foin en couinant.
Le visage du prince Aemond Targaryen c’est durci les empêchant de voir sa détresse et sa peine.
Les rires, bruyant et moqueurs résonnèrent dans ses oreilles en même temps que l’unissions des voix enfantines crier "le Terreur Rose". Il n’entendait plus les rires et les mots cruelle de son frère, tout était rassemblé dans une cacophonie de gloussements. Il fixait le cochon, la honte, l’humiliation, la tristesse le renversant sans aucune pitié.
A mesures que les bruits de pas bruyants des garçons s’éloigner du petit prince Targaryen, des bruits de tintements se rapprochèrent de lui. La princesse Shaerea Velaryon sembla enfin le remarquer, depuis tout le temps qu’il était la. Elle avait un sourire méchant sur son petit visage. Elle prit entre ses doigts bagués le haut vert de son oncle et se mit sur la pointe des pieds pour atteindre son oreille.
« Peut être que mon dragon est nul, mais au moins j’en monte un et pas un cochon. » elle a ricaner à son oreille. La fillette de huit ans s’avéraient être méchante, vilaine malgré son âge et son visage d’ange. Elle observe et apprend de ses modèles et le prince Aegon n’est pas une bonne influence. Ses boucles brunes ont chatouillé le cou de son oncle et la princesse Velaryon déposa un baiser baveux sur sa joue. Un geste sensé être remplit d’affection, était tourné par la douloureuse blague de la terreur rose en acte moqueur. « Profite bien de ta monture oncle Aemond ! »
Shaerea Velaryon, première de son nom n’était pas une combattante comme Melegdie Targaryen ou une femme habile de la politique comme la Reine Alicent. Non et au fond d’elle, malgré son jeune âge elle en avait conscience.
La princesse était comme un jolie rubis : beau, lumineux, scintillant mais quand on le prend entre nos doigts, il est tranchant, coupant tout ce qui le touche.
La princesse Shaerea Velaryon était assise sur les tapis des appartements de sa mère la princesse Rhaenyra Targaryen. La Velaryon lisait un conte d’amour entre un chevalier et une princesse à voix haute alors que les princes Jacaerys et Lucerys jouaient à ses côtés avec des petites figurines en bois. Elle et ses frères avaient été rassemblés par Sir Harwin à l’annonce de la naissance de leur nouveau frère. La petite princesse était excité de pouvoir enfin le rencontrer. Un autre petit frère qu’elle pourrait habiller de ses robes somptueuses et jouer au thé avec, maintenant que Lucerys préférait s’entraîner avec Jace, plutôt qu’à ses jeux de "filles".
La fillette battaient ses petits pieds avec excitement et anticipation en essayant de se concentrer sur la lecture qu’elle faisait au chevalier à la cape jaune. Le fils de Lyonel Strong semblait toujours à la disposition de la princesse, que se soit pour l’écouter ou pour céder à ses caprices. Elle butait sur certain mot pendant sa lecture, ses yeux bruns se plissant pour lire le texte parfois dure à déchiffrer. Elle poussa un gémissement de frustration à son incapacité de prononcé une phrase. Shaerea a croisé ses bras contre sa torse en repoussant le livre sur ses genoux, boudant.
Le chevalier lui a sourit et a doucement ébouriffé les cheveux bruns de la princesse royale attachés dans un chignon de fines tresses au dessus de sa tête, la partie inférieur de sa chevelure bouclée étant laissée détacher dans son dos. « Tout vas bien vous vous débrouillez très bien » Il l’a rassuré avec une voix plus douce que le fils d’un Lord devrait avoir pour un enfant qui n’est pas le sien.
Elle l’a regardé en fronçant les sourcils, un sourire rassuré apparaissant sur son visage. Elle se débrouillait bien ? Elle n’était pas un cancre comme les septa’s lui répétaient quand elle avait du mal à lire ou écrire ? « Merci Sir Harwin » dit la petite Velaryon en enroulant ses petits bras autour des jambes du chevalier.
C’était indécent de faire un câlin à des hommes qui ne sont pas de sa famille. Mais pour la fillette, Sir Harwin Strong faisait partie de son sang.
Le cœur du chevalier fondit à l’embrasse de Shaerea Targaryen. Il connaissait la petite princesse depuis qu'elle était bébé et il l'avait vue grandir jusqu'à devenir une petite fille de huit ans. Il avait toujours été attendri par sa nature joyeuse et bruyante, comme un père le ferait avec sa fille unique.
Alors qu'elle enroulait ses petits bras autour de ses jambes, Harwin ne put s'empêcher de sourire doucement. Il était devenu une figure de confiance et de réconfort, un père de substitution pour les jeunes princes et la princesse. "De rien, petite princesse", répondit-il en lui rendant son étreinte avec un contact chaleureux et rassurant. Il était pleinement conscient de l'inconvenance du geste, mais il ne pouvait se résoudre à la repousser. Pas quand elle avait l'air si petite et vulnérable, si avide d'affection et d'approbation.
Soudain, la porte c’est ouverte sur la princesse héritière Rhaenyra Targaryen est rentrée dans la pièce. Elle se déplaçait avec difficulté, sa peau était encore luisante de sueur et ses cheveux étaient détachés. Sa robe d’un bleu gris avait été enfilée rapidement et les servantes n’avaient pas eut le temps de la lacer correctement. Derrière elle, Sir Leanor Velaryon tenait leur bébé enroulé dans une couverture, dans ses bras musclés.
Les deux princes abandonnèrent leur jouets rapidement pour rejoindre leur parents. « Mère ! » a dit joyeusement le prince Jacaerys, leur premier fils.
La princesse eut plus de difficulté de se relever a causse de sa robe aux épaisses étoffes bleu Velaryon et aux dessins de coquillages brodés au fils argentés. C’était rare qu’elle porte les couleurs de la maison de son père, préférant le rouge et le noir des Targaryens. Sir Harwin l’aida à se relever avec ses grands bras fort. Les nombreux bijoux d’argent incrustés de turquoises et saphirs s’entrechoquèrent entre eux dans une douce mélodie. Son jumeau, Jace, la tira par les poignets et Luce se fit un chemin entre ses deux aînés. « Regarde ! » continua le prince hériter en soulevant le couvercle de la boite de protection.
Un œuf de dragon y était posé à l’intérieur, réchauffé par les flammes crépitantes. « On a choisit un œuf pour le bébé » A expliqué fièrement le prince Lucerys en regardant sa mère.
Shaerea était collée à son jumeau, manquant de le pousser pour observer par dessus son épaule l’œuf d’un rouge foncé, presque noir. La princesse Rhaenyra a sourit, attendrit par ses trois premiers enfants. Elle essaya de s’assoir, essayant d’ignorer la douleur encore présente de l’accouchement. Sir Harwin est rapidement venu l’aider. « Il semble être parfait. » Elle a félicité ses fils et sa fille.
« Jace a refusé que je choisisse, il a préféré que ce soit Luce. » La petite princesse c’est plain de son jumeau.
Jacaerys tira la langue à sa sœur en réponse. Il était l'aîné et il pensait qu'il était normal qu'il décide qui choisirait l'œuf pour son nouveau frère. "De toute façon, tu n'aurais pas choisi un bon", rétorqua-t-il.
Le prince Lucerys, un air de fierté et de suffisance sur le visage, hocha la tête en signe d'accord. Il était heureux que son frère aîné l’ai laissé faire le choix à la place de leur sœur. "Et j'ai choisi le meilleur", dit-il avec un sourire.
La princesse serra ses petits poings en s’éloignant de ses frères. "Père ! Tu as vue à quel point ils sont méchants avec moi ?" dit-elle d'une voix aiguë. Ses yeux se tournèrent vers son nouveau frère endormi dans les bras de leur père Sir Leanor. "J'espère que le bébé sera plus gentil que vous deux", dit-elle en faisant face de nouveau aux petits prince, leur tirant la langue.
L’aîné des trois roula des yeux et fit la moue. "Tu te plains toujours", grommela-t-il.
Le troisième, de son côté, tira la langue en réponse à sa sœur. « Le bébé va nous aimer », a-t-il dit avec assurance. « Tout le monde nous aime. »
La cadette a rit, moqueuse. « JE suis la plus mignonne, le bébé m’aimerait MOI le plus. »
Avant que les trois enfants royales se mettent à ce chamailler une nouvelle fois, leur père, le fils de Corlys Velaryon les arrêta. Il déposa une main ferme sur l’épaule de sa seule fille en les regardant tous. « Les enfants s’il vous plais… » Il les réprimanda gentiment. Les trois Velaryon baissèrent la tête, coupable, même si la princesse mima un "c’est de ta faute" discrètement et silencieusement à son jumeau.
Sir Harwin se déplaça vers Leanor Velaryon, sa cape jaune se soulevant à chacun de ses mouvements. Ses yeux bleu se sont posés sur le petit bébé. « Ce n’est pas tout les jours qu’un œuf sort de Pit Dragon princesse, j’ai supposé que c’était le mieux si j’escortais les princes et la princesse. » Les trois adultes présent dans la pièce savaient que c’était qu’une excuse. La princesse Rhaenyra le remercia en souriant doucement.
C’était une scène presque familiale entre le chevalier et la futur reine des septs couronnes. Cela arrivait souvent devant les yeux de la princesse Shaerea qu’elle pensait, tout comme son jumeau et son petit frère, que leur proximité était normal. Ce n’était que des enfants, ils ne pouvaient pas voir ce que l’entièreté de la court voyait.
« Puis-je ? » Le chevalier a demandé en regardant le petit bébé dans les bras de son père.
Rhaenyra hocha la tête. « Sir Harwin souhaite être présenté à Joffrey » Elle a annoncé à son époux et cousin éloigné.
Shaerea a regardé son père remettre son nouveau frère au chevalier.
Ses petits sourcils se froncèrent en voyant l’expression aimante du Lord Commandant du Guet de KingsLanding. Il semblait aimé son petit frère de la même manière que Sir Leanor. Son cerveau jeune essayait de comprendre ce qu’il ce passait. Mais c’était terriblement lents, le temps semblait s’allonger sous ses iris enfantine, Pour la première fois de son existence, la princesse Velaryon remarqua la ressemblance entre elle, ses frères et Sir Harwin Strong.
Ça lui revenait maintenant, les discutions des servantes et des dames sur ses cheveux, certains chevaliers qui la félicitait sur à quelle point elle était "forte", les moqueries de ses oncles…
Ses yeux bruns ont observés les actions des trois adultes comme si elle regardait une tapisserie. Ça ne semblait pas réel, ce n’était pas possible.
Pourtant quand elle voyait le bébé Joffrey, son petit frère Lucerys, son jumeau Jacaerys et elle même, la princesse Shaerea Velaryon ne trouvait aucune traits semblable à ceux de son père Sir Leanor Velaryon.
Sa main a immédiatement prit celle du prince Jacaerys, cherchant du confort. Elle était la, observatrice, figée dans son propre corps. Tout semblait faux, irréel. Les septa’s lui ont toujours dit qu’elle avait une imagination débordante. C’était juste son esprit qui créait une fantaisie de toute pièce…
N’est ce pas ?…
La voix du prince Lucerys lui semblait lointaine quand il supplia Leanor de porter Joffrey. Tout paraissait au ralentis. Le Velaryon l’a poussé elle et ses frères dehors alors qu’elle tenait toujours la main de son jumeau.
Du point de vue de la princesse Shaerea Velaryon, le monde est devenu aussi réel qu’une broderie à cette exacte moment. Chaque mouvement qu’elle faisait lui donnait l’impression qu’elle ne les commandait pas de son plein grès, comme si quelqu’un cousait la tapisserie et qu’elle était piégée dedans.
Son petit cœur battait dans ses tempes, assourdissant le reste des sons du château. Sa gorge était sèche et ses mains moites.
La princesse abandonna le confort de son jumeau, voyageant à l’aveuglette dans un univers qu’elle semblait, à cette instant, ne plus reconnaître. Elle c’est pratiquement jetée contre Sir Leanor, enfonçant sa tête contre le torse de l’homme. Ses doigts se serraient autour des tissues bleus.
Sir Leanor Velaryon fut surpris par l'étreinte soudaine de la princesse Shaerea. Il pouvait sentir la tension dans sa petite silhouette et la façon dont son corps tremblait légèrement. Il passa rapidement un bras autour d'elle, la serrant contre lui et frottant des cercles apaisants dans son dos. « Doucement, ma fille », dit-il avec douce.
Des larmes coulaient des yeux de la petite princesse Velaryon et sa gorge lui piquait. Les mots du lord chevalier lui fit serrer son cœur d’enfant douloureusement. Elle ferma les yeux aussi fort qu'elle le pouvait, essayant de rester aussi près que possible de l'homme qui l'avait élevé. Elle n’était qu’une petite fille de huit ans après tout, elle n’était pas prête d’apprendre la vérité. Ses lèvres tremblaient et ses larmes de pure chagrin et détresse mouillaient le haut du fils de Driftmark.
Sir Leanor continua à serrer Shaerea fort, son cœur se brisant à la vue d'elle aussi déchirée par la tristesse. Il était habitué à ses caprices enfantins, à ses regards boudeurs et à sa colère enfantine, mais il ne l'avait jamais vue aussi terrifiée et triste. « Tout va bien, ma fille », murmura-t-il en caressant ses cheveux bruns. « Tu es en sécurité ici avec moi. »
Elle sanglotait contre la poitrine de son père, de grosses larmes de chagrin firent trembler son petit corps. Le mot était clair, gravé dans son esprit. Le même mot interdit par son grand père le roi Viserys.
« Papa, suis-je une bâtarde ? »
……………………………..……………………………..…………………….
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Tiens, revenons un instant au LIVRE ÉCOLE qui est devenu industrie pour inventer la chaine. « Dessine-moi un mouton » disait Saint-Exupéry. Dessine-moi un mouton qui fabrique la machine à dessiner des moutons ! Mission accomplie. Le mouton remplit le monde de moutons. Va falloir quand même faire pousser de la laine de synthèse pour satisfaire ceux qui profitent des actionnaires de propriétaires d’éleveurs de moutons. Voilà c’est fait.Faudrait inventer maintenant une machine à raser les moutons.Les goinfres de laine tondirent tant et tant que les moutons devinrent tous érythémateux. Excellent, car il se trouve que quelques temps auparavant, un laboratoire avait déjà mis au point une formule chimique pour faire la crème qui apaiserait, au cas où, la peau rougie des moutons blancs.
Moi, je peux faire pousser la laine dix fois plus vite !
Vrai ? !!!$$$$$$
Le laboratoire à faire pousser la laine plus vite fut immédiatement créé. Génial, car de ce génie il fut décidé de créer l’école de génies. Les moutons, eux, toujours aussi dociles, avait sacrément besoin de la crème. Et bing ! On augmenta le prix de la crème de 6,66% pour satisfaire les actionnaires.
Branle-bas de couilles ou de bijoux de famille… Le mouton, lui, était si soulagé d’avoir la peau pas totalement apaisée mais moins en feu. Puis vint ce fameux jour où, catastrophe, apparut un mouton mal luné, mais en revanche très très bien ensoleillé, donc Noir. Les actionnaires des actionnaires des actionnaires de propriétaires d’éleveurs de moutons le classèrent comme « outsider », sans oublier de le regarder avec dédain et envie de dégueuler. Le Noir bêla, dans un parler incompréhensible :
Un mouton n’a le droit de regarder un autre mouton d’en haut seulement pour l’aider à se mettre debout.
Va te faire te faire voir chez les hommes ! Lui fut-il répondu en choeur. Panique, mais bing. On pond l’étude à 666.666 $/€/¥ prouvant qu’il existe une solution aux éventuels moutons noirs qui déclencheraient malencontreusement une série de moutons noirs. On créa un laboratoire qui s’empressa d’envoyer des spécialistes en Afrique pour étudier ces africains albinos. ON mandata une firme qui acheta des cordons ombilicaux d’Albinos qui n’étaient pas d’Albions, au prix d’or faramineux de 0,66$.
On créa vite un autre laboratoire pour tenter d’implanter des cellules souches chez les moutons blancs… avant qu’ils ne se transforment en moutons Noirs. C’est ainsi que le vaccin MIMA vit le jour. ON s’efforça d’expliquer qu’il ne fallait surtout pas y entendre une quelconque connotation ou référence au mime acteur qui joue des rôles muets, sans masque, dont l’expression est l'attitude, la mimique, le geste. C’est vrai que ce qui Mène à l’Idiotie Mène à l’Autre ! A chacun sa vertu… En attendant il fallait revigorer l’économie et bing, accident du hasard, les moutons tombèrent malades. Soudain leur laine poussait deux fois moins vite ! Ça ne faisait uniquement plus que cinq fois plus vite qu’au tout début. Tu n’avais qu’à Suivre et compter, Mouton ! Ouf ! Un rapport de 666 pages arriva à la conclusion que dans la fameuse crème qui permet la pousse rapide de laine et sa tonte à outrance, un composant s’infiltrait dans la peau et finissait par créer une résistance.
On créa un laboratoire, et les moutons furent soulagés. Soupir. Il fallait maintenant relever les taxes sur le fourrage du mouton. C’est que ça en bouffe du fourrage le mouton ! ON s’efforça d’expliquer au mouton, preuves à l’appui, que le loup, en vérité, avait bouffé Grand-Mère, parce que Petit-Chaperon-Rouge était un agent de la CIA à capuche, empressé d’empocher l’héritage de la vieille. Entendons- nous bien, mouton. Rien de crapuleux à éliminer des dépenses ! Finalement, pour comprendre Petit Prince et son « Dessine-moi un mouton » fallait juste d’abord avoir compris que Ptite POCHE- ARN Rouge à capuche pour ne pas reconnaître le loup diversifie ses investissements.
Mort-alité ? Ne jamais mélanger deux contes au risque d’avoir trop de comptes. Et c’est génial toutes ces petites filles, ces petits garçons qui dessinent du mouton, qui lisent des contes et qui vont à l’école pour apprendre comment fabriquer des laboratoires ! Mais quel beau fessier prometteur ! Oups ! Ma manie de tout inverser, je voulais dire quel beau métier professeur !Céti pas génial de créer sa petite ONG pour s’acharner à sauver du mouton aidé par l’expert en misère à se nourrir, le seul, l’unique, l’immuable, le Santon-MO. Tu veux faire de ton gosse, quelqu’un de Bien ? Au lit et raconte-lui l’histoire du Petit Prince. Oui ! Tous les soirs…« Dessine-moi un mouton »
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LAS JOYAS
Desnuda, y sabedora de mi gusto, sus sonoros joyeles se ha dejado, cuyo rico aparato una triunfante apostura le da de esclava mora.
Cuando esparce en el baile remoquetes, tan claro mundo de metal y piedra me arrebata, y rabiosamente adoro cuanta cosa al sonido une las luces.
Tendida, lacia está mientras la aman, y en el diván sonríe satisfecha de mi amor, dulce y, como el mar, profundo, que como en su cantil, bajo ella rompe.
Fijos en mí sus ojos —tigre manso—, muda de pose, soñadora, ausente, y tal candor unido a la lascivia da a sus metamorfosis fresco hechizo.
Brazos y piernas, muslos y costados, cual ondulante cisne o lucio aceite, cruzan mi vista lúcida y serena; y su vientre y sus pechos, gajos míos,
me encalabrinan como ángeles malos con el fin de turbar la paz de mi alma, y derribarla del riscal de cuarzo donde, sola y en calma, está sentada.
Cual son el bacinete y la cintura, unidas creo ver por nuevo intento ancas de ninfa al pecho de un imberbe. ¡Qué soberbio el afeite en la piel fosca!...
Resignada la lámpara a morir, sólo el hogar la cámara ilumina, y cada vez que exhala nueva llama el ámbar de esta piel anega en sangre.
*
LES BIJOUX
La très-chère était nue, et, connaissant mon cœur, Elle n’avait gardé que ses bijoux sonores, Dont le riche attirail lui donnait l’air vainqueur Qu’ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures.
Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur, Ce monde rayonnant de métal et de pierre Me ravit en extase, et j’aime avec fureur Les choses où le son se mêle à la lumière.
Elle était donc couchée, et se laissait aimer, Et du haut du divan elle souriait d’aise À mon amour profond et doux comme la mer Qui vers elle montait comme vers sa falaise.
Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté, D’un air vague et rêveur elle essayait des poses, Et la candeur unie à la lubricité Donnait un charme neuf à ses métamorphoses.
Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins, Polis comme de l’huile, onduleux comme un cygne, Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ; Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne,
S’avançaient plus câlins que les anges du mal, Pour troubler le repos où mon âme était mise, Et pour la déranger du rocher de cristal, Où calme et solitaire elle s’était assise.
Je croyais voir unis par un nouveau dessin Les hanches de l’Antiope au buste d’un imberbe, Tant sa taille faisait ressortir son bassin. Sur ce teint fauve et brun le fard était superbe !
— Et la lampe s’étant résignée à mourir, Comme le foyer seul illuminait la chambre, Chaque fois qu’il poussait un flamboyant soupir, Il inondait de sang cette peau couleur d’ambre !
Charles Baudelaire
di-versión©ochoislas
#Charles Baudelaire#literatura francesa#poesía simbolista#desnudez#joyas#sensualidad#sonido#brillo#di-versiones©ochoislas
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Jessie Obrezati CC List
CC list complète :
Presets :
Sourcils : Twistedcat
Yeux : Obscurus eyes preset 5f (numéro 14 dans CUS)
Nez : Obscurus nose preset (numéro 15 dans CUS)
Bouche : Obscurus lip presets 7f (numéro 27 dans CUS)
Mâchoire : Merrin Honey Jaw
Oreilles : Luumia
Détails de peau :
Peau : Twistedcat Lemonade
Cils : Kijiko (version détails de peau)
Dents : Meatball
Détail de visage : Miiko Face kit N°2
Cheveux 1 : Simstrouble Randi
Cheveux 2 : Simtrouble Deimos
Maquillage :
Fards + RAL : Twistedcat
Eyeliner : Obscurus N17
Bijoux :
Boucles d'oreilles : Pralinesims earrings ultimate collection
Collier : Simplicaty Rosetta necklace
Tenue quotidienne 1 :
Haut : Black Lily Breack shirt
Pantalon : AxA Miranda Jeans
Bottes : Solistair Mina boots
Bracelet : Aretha Marija bracelet
Tenue quotidienne 2 :
Combinaison : Madlen Dasha jumpsuit
Bottines : ADA Evelyn boots
Bracelet : AxA Girlboss bracelet
Tenue habillée :
Robe : Black Lily Mavis dress
Chaussures : Jius
Sport :
Tenue : Madlen Lea outfit
Chaussures : Jius
Pyjama :
Robe : SxC Adore chemise
Fête :
Robe : Madlen Rosemary outfit
Chaussures : Jius
Maillot de bain : Black Lily Heat Wave Swimsuit
Temps chaud 1 :
Haut : AxA Tiffany Top V2
Short : AxA Isabella Shorts
Chaussures : Jius
Bracelet : AxA Girlboss bracelet
Temps chaud 2 :
Haut : AxA Rachel Top V2
Jupe : Aretha Kara skirt V2
Chaussures : Jius
Temps froid 1 :
Tenue : Madlen Abegail outfit
Bottes : Solistair Mina boots
Temps froid 2 :
Haut : AxA Elaine Top
Jupe : Aretha Kara skirt V2
Bottes : Solistair Mina boots
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Ce que cache un masque
Nul ne se souvient de ces dieux vénérés par les anciens. Peut-être leurs légendes étaient-elles les ancêtres de nos mythologies grecques, égyptiennes ou indous ? A cette époque, ils côtoyaient les géants, les monstres des abysses. Ils vivaient sur les montagnes les plus hautes ou dans les profondeurs des enfers. Ils combattaient les astres et régnaient sur l’univers.
A cette époque, l’homme n’était qu’un simple mortel méprisable, jouet soumis à ces dieux. Il les vénérait parce qu’il les craignait. Il craignait leur courroux, les cataclysmes engendrés par leur colère. Car ces dieux étaient capables de provoquer les tremblements de terre, d’inonder les récoltes, de noyer l’humanité sous des éruptions volcaniques ou juste de foudroyer n’importe quel mortel.
Ofnadwy était une de ces grandes déesses. Elle était la mère de la beauté, de l’éclat, la déesse des déesses et la mère du soleil. Elle aimait regarder les hommes la prier. Parfois, elle entrait dans ses temples et s’amusait des prêtresses invoquant son nom devant l’autel. Il n’y avait rien de plus jubilatoire que d’écouter ces petits êtres chanter ses louanges.
Il arrivait souvent qu’elle s’intéresse à un homme beau et fort. Dès lors, elle descendait de la montagne des dieux et, prenant l’apparence d’une belle femme, elle aguichait sa proie pour se délecter de lui à la tombée de la nuit. Car Ofnadwy était aussi la déesse de la luxure, la mère de toutes les putains. Et aucun homme ne lui résista.
Un matin, après avoir quitté la couche de son amant, la déesse croisa le regard d’un inconnu. Elle suivit discrètement le jeune homme parti chasser dans les bois. Elle se cacha d’arbre en arbre afin d’admirer sa musculature et son visage magnifique. Le jeune homme s’arrêta et visa de son arc un chevreuil. La flèche partit sans toucher sa cible. Dès lors, il ne put que regarder l’animal fuir.
Qui es-tu jeune et beau garçon ? demanda Ofnadwy en se présentant.
Je m’appelle Didwill, fils de Dewr.
La déesse, de plus en plus émerveillée par Didwill, tourna autour de lui en usant de ses charmes. Elle caressa son doux visage mais il ferma les yeux. Elle comprit qu’il resterait insensible à ses avances.
Si tu acceptes de passer la nuit et de t’offrir à moi, susurra-t-elle au creux de son oreille, je ferai de toi le plus grand des chasseurs. Tu sais que j’en ai le pouvoir.
Il inspira profondément avant de défier du regard Ofnadwy.
Ta proposition m’honore belle et grande Déesse. Mais je ne peux t’offrir ce qui ne m’appartient plus. Car j’ai déjà donné mon amour à Lleuada.
Surprise par ce refus inhabituel, Ofnadwy s’éloigna du chasseur. Cependant, la colère envahit son esprit et elle décida de retourner dans la cité pour rencontrer la fameuse Lleuada. Elle traversa la ville et n’entendit que du bien de sa rivale. Elle était décrite comme une très belle femme aux cheveux noirs, à la peau de lait. Son corps aux courbes parfaites, ses yeux de biche déstabiliseraient n’importe quel héros. Et effectivement, lorsque la déesse remarqua la jeune femme, elle fut stupéfaite de voir que sa beauté était comparable à celle d’une déesse. Elle remonta dans la montagne des dieux, déçue qu’un homme se soit refusé mais surtout, furieuse qu’il préféra une mortelle à sa place.
Pendant plusieurs jours, Ofnadwy ne put retirer de sa mémoire ce couple qu’elle imaginait en train de faire l’amour. La jalousie grossit en elle si bien qu’elle réfléchit à une vengeance.
Si tu t’es refusé à moi, alors tu la refuseras, Grommela-t-elle.
Elle partit rejoindre Copradur le dieu des forges. Ce dernier travaillait dans son atelier au sommet d’un volcan. Sa poigne battait le fer comme jamais. Il avait inventé des armes flamboyantes, des coffres impossibles à forcer, des ornements d’une pure beauté et les plus beaux bijoux que l’homme n’a jamais créés. Copradur était en train de forger une épée lorsque la déesse l’interpela.
Ô Copradur, mon frère ! Je souhaite que tu me construises un objet qui détruirait la beauté de mes ennemies.
Sans poser de question et sans attendre, le forgeron laissa ses domestiques finir l’arme et utilisa toute sa force pour frapper un métal magique. Il tapa constamment la matière rougie par le feu afin qu’elle reste modulable. Il frappa si fort qu’on entendait plus le volcan gronder. Il frappa pendant une semaine et un matin, il présenta son œuvre à sa sœur.
Voici un masque qui répond à tes attentes. Fais porter ce masque à ton ennemie et tu seras comblée, annonça-t-il avant de retourner à sa forge.
Dès lors, Ofnadwy redescendit parmi les hommes. Elle entra dans son temple et invita la belle Lleuada. La jeune femme ne pouvait refuser la convocation apportée par une prêtresse. Devant le lieu sacré, deux rangées de religieux formèrent un couloir. Elle embrassa Didwill qui l’accompagnait. Les amants entrèrent dans le temple. Lleuada et Didwill furent éblouis par la richesse et les trésors décorant les murs. Ils admirèrent les dessins sur les tapisseries qui racontaient l’histoire des Dieux. On proposa au couple d’approcher d’une table couvert de victuailles. Ils mangèrent les mets les plus succulents et délicats. Pour remercier la déesse, ils posèrent aux pieds de sa statue quelques feuilles de lauriers recouvertes d’un peu de leur sang, car telle était la tradition. A ce moment, à leur grande surprise, Ofnadwy se présenta.
Gardez vos pathétiques offrandes, cria-t-elle. Je ne veux que ta beauté Lleuada.
A peine avait-elle fini sa phrase, qu’un groupe de malabars agrippèrent le couple. Les uns pour empêcher Didwill d’intervenir, les autres pour retenir Lleuada. La déesse approcha de la jeune mortelle, sortit le masque de métal magique, et le posa sur la tête de la jeune femme.
Didwill ne put retenir ses larmes en entendant hurler Lleuada. Il essaya de réagir, de se débattre en vain. Cela dura une petite minute, une éternité.
Lorsqu’Ofnadwy retira le masque, elle fut ravie. Didwill pleura suppliant de la sauver, les prêtres et prêtresses demeurèrent choqués mais aussi heureux de voir que leur déesse était capable de telle prouesse. En effet, le masque avait retiré le visage de la belle femme. Il ne restait qu’une surface lisse, blanche et brillante à la place de son nez de sa bouche et de ses yeux. L’ensemble était collé au fond du masque.
La déesse partit en gardant le masque et son contenu comme trophée. On relâcha Didwill qui se précipita vers le corps inerte de Lleuada. Elle était morte, il ne pouvait rien faire. Dès lors, il s’enfuit et nul ne sait où. Certains diront qu’il chercha l’entrée de la montagne des Dieux pour se venger. D’autres, qu’il s’est saoulé avant de se jeter du haut d’une falaise.
En découvrant son acte, Copradur se sentit trahi par la demande d’Ofnadwy. Jamais il n’avait pensé qu’elle utiliserait ce masque contre une innocente mortelle. Il se sentit aussi coupable de cette tragédie. Pendant la nuit, il descendit de son volcan, entra dans le temple pour récupérer le corps de Lleuada et l’emporta avec lui.
Parce que tu as été belle, tu as subi la cruauté des dieux. Alors, je t’élève au rang de celle qui t’as tuée. Désormais, tu règneras la nuit et tout le monde pourra découvrir que tu restes encore belle.
C’est ainsi que Lleuada devint la lune. C’est ainsi que les hommes continuent d’admirer sa beauté même si son visage est caché dans un masque. On dit que la nuit, elle s’élève à la recherche de son visage. Mais chaque fois, Ofnadwy, toujours jalouse, fait apparaitre le soleil pour l’empêcher de le retrouver. Jusqu’à ce qu’elle soit dans les bras d’un de ses amants, alors, la lune réapparait pour chercher encore son visage tout en montrant aux hommes qu’elle reste belle sans.
Alex@r60 – août 2023
Photo : Barbara Steele dans le masque du Démon (1960)
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Toute ta télépathie me l’a dit
Tu n’es pas satisfaite tu n’es pas ordinaire
Tu as de quoi voler même les souvenirs des morts
Tu vois dans les miroirs des reflets infinis
Ils s’arrondissent tous quand ils font face à ta force
Le ciel s’efface d’un morceau au dessus de toi
Tu sens les ondes même à travers les téléphones
Tes appels sont des murmures qui ne sonnent même pas
Tu n’as pas grand chose à dire aux femmes Madones
Quand je ne comprends pas tu ris longtemps doucement derrière moi
Tous tes bijoux ont des symboliques tous tes passés sont clairs
Toute ta peau est réceptive tous tes yeux sont ouverts
Et ton salon c’est une église presque secrète
Il y a des saints devant toutes les fenêtres
Des anges assis sur le canapé
De l’eau bénite qui coule du robinet
Mais as-tu fait ta vaisselle
Ta mythologie personnelle ne t’a jamais menti
Heureusement tu n’as pas la mégalomanie
De Dieu ni de tous les heureux
Tu as vu le bout du chemin et tu es venu me le dire
C’est gentil
J’écoute d’une oreille quand doucement tu ris
J’écoute d’une oreille
Je sors mon paquet de cigarette mais tu ne supportes pas les odeurs de tabac
Ça me donne une excuse pour te fuir
C’est comme la mort de Dieu.
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Après des mois d'errance, de vagabondage sur les applis, de ruptures et de bijoux réconfortants, j'ai ressenti le besoin de me reposer. C'est dingue les efforts que l'on déploie quand on relation avec les hommes cis. A force de formater ma féminité afin qu'elle reste désirable et bankable, j'en arrivais à un stade où je ne me désirais plus. Il me fallait de la tranquillité pour me reconquérir. (...) Quand tu es une femme noire ou une personne minorisée, tu sais que ton corps ne correspond pas aux attentes d'un système hétéro-patriarcal. Tu dois sans cesse résister, te protéger contre des discours, des remarques, des injonctions, des normes qui fragilisent souvent ton bien-être. Cela fait partie des luttes nécessaires à ton émancipation. (...) C'est un combat de tous les jours de croire en sa féminité et lui rendre justice. Moi, je veux faire de mon intimité un lieu sécurisant, apaisant, où l'amour et l'égalité réelles sont possibles. (...) J'ai également envie de rendre hommage aux Femmes Noires, celles de ma famille, de ma communauté et à toutes les autres qui m'ont appris à m'aimer, à célébrer chaque parcelle de ma peau, de mes cheveux, de mon corps. Elles m'ont encouragée à me réapproprier mon afroféminité. Toutes les femmes minoriseés brillent par leurs résiliences et leurs flamboyances. Je pense qu'il n'y a pas d'émancipation possible si les femmes ne se réapproprient pas leur puissance pour elles-mêmes. Pendant longtemps, j'ai cru naïvement que ma féminité se révélerait dans le regard amoureux d'un homme. Carl, Seun et les autres m'ont appris une chose : n'attends rien des mecs, Sharone et deviens la femme de ta vie."
La débrouillardise pimpante, Sharone Omankoy, Nos amours radicales
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US Vogue September 1, 1952
Suzy Parker porte un turban enroulé près de la racine des cheveux. Et voici comment il est porté : avec un manteau des plus remarquables : de la soie Shantung, doublée de peau de phoque d'Alaska. Tous deux de Christian Dior-New York. Bijoux, Van Cleef & Arpels. Rouge à lèvres : "Siren" de Dorothy Gray.
Suzy Parker porte un turban enroulé près de la racine des cheveux. Et voici comment il est porté : avec un manteau des plus remarquables : de la soie Shantung, doublée de peau de phoque d'Alaska. Tous deux de Christian Dior-New York. Bijoux, Van Cleef & Arpels. Rouge à lèvres : "Siren" de Dorothy Gray.
Photo Roger Prigent vogue archive
#us vogue#september 1952#fashion 50s#beauty 50s#christian dior new york#ready to wear#prêt à porter#fall/winter#automne/hiver#suzy parker#roger prigent#dorothy gray#van cleef & arpels#vintage fashion#vintage vogue#vogue cover
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Merci énormément pour ta confiance avec ce flash en symétrie 🤍
Trop contente que vous me confiez ces zones pour des petits bijoux de peau ✨
IG : @dualism.ttt
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DONS ET SPÉCIFICITÉS MAGIQUES - Animagus
Contrairement à un loup-garou, un animagus (un animagus, des animagi) est un.e sorcier.e qui choisit de se transformer en animal. Il s'agit d'une capacité de métamorphose difficile qui doit s’apprendre sur plusieurs étapes. Une fois apprise, le sorcier ou la sorcière aura la capacité de se transformer en animal à volonté. Attention cependant ; on ne choisit pas son animal. A l'instar de la baguette, c'est l'animal qui choisit son sorcier ou sa sorcière. Les sorcier.e.s ayant acquis cette compétence doivent obligatoirement se recenser au Ministère de la Magie.
Apprendre à devenir un animagus nécessite un apprentissage et un rituel extrêmement complexe, raison pour laquelle les animagus sont si rares. De plus, cette initiation devra être suivie de près par le Ministère de la Magie.
LES ÉTAPES POUR DEVENIR ANIMAGUS
Conservez une feuille de mandragore dans la bouche pendant un mois entier (entre deux pleines lunes). Cette feuille ne doit en aucun cas être avalée ou retirée de la bouche. Si la feuille est extraite de la bouche, le processus doit être repris à zéro.
La pleine lune venue, retirez la feuille et placez-la, baignée de salive, dans une petite fiole en cristal exposée au clair de lune (si le ciel est nuageux cette nuit-là, il vous faudra trouver une nouvelle feuille de mandragore et renouveler l'expérience). Ajoutez à la fiole l’un de vos cheveux ainsi qu'une cuillère (en argent, la cuillère) de rosée recueillie en un lieu qui n'a été ni exposé au soleil ni foulé par l'homme pendant sept jours entiers. Enfin, ajoutez la chrysalide d'un Sphinx tête-de-mort au mélange et placez-le dans un endroit sombre et calme. Veillez à ne pas le regarder ni le déranger de quelque manière que ce soit jusqu'au prochain orage.
En attendant l'orage, suivez l'instruction suivante au lever et au coucher du soleil : placez l'extrémité de votre baguette magique sur votre cœur et prononcez l'incantation suivante : amato animo animato animagus.
L'arrivée de l'orage peut prendre plusieurs semaines voir plusieurs mois. Tout au long de cette période, votre fiole de cristal devra rester au calme et être tenue éloignée des rayons du soleil. Une exposition au soleil provoquera les pires mutations possibles. Résistez à la tentation d'aller voir votre mixture tant que l'orage n'aura pas éclaté. Si vous répétez consciencieusement l'incantation matins et soirs comme indiqué plus haut, vous finirez par percevoir un second battement de cœur lorsque vous pointerez votre baguette sur votre poitrine. Ce battement pourra être plus ou moins intense que le premier. Ne changez rien. Continuez à répéter l'incantation aux heures dites, et ce, quoiqu'il advienne.
Dès l’apparition du premier éclair dans le ciel, rendez-vous sur-le-champ à l'endroit où vous avez caché votre fiole de cristal. Si vous avez respecté scrupuleusement les étapes ci-dessus, vous y trouverez une potion rouge sang.
Rendez-vous aussitôt dans un endroit sûr et suffisamment grand où vous pourrez procéder à votre transformation à l'abri du danger et des regards. Placez l'extrémité de votre baguette magique sur votre cœur et prononcez l'incantation amato animo animato animagus, puis avalez la potion d’un trait.
Si tout s'est passé comme prévu, vous éprouverez alors une vive douleur et votre rythme cardiaque sera deux fois plus rapide et intense. La forme de la créature que vous êtes sur le point d'incarner se dessinera dans votre esprit. Ne tremblez pas. Il est maintenant trop tard pour échapper à la transformation que vous avez désirée.
La première transformation est généralement douloureuse et effrayante. Vos vêtements et tout ce que vous portez (bijoux, lunettes) fusionnent avec votre peau pour se transformer en fourrure, écailles ou épines. Gardez votre calme, sous peine de voir votre instinct animal prendre le dessus et de faire quelque chose de stupide (comme tenter de bondir au travers d'une fenêtre ou foncer tête baissée dans un mur, par exemple).
Une fois votre transformation terminée, vous devriez recouvrer votre aisance. Nous vous recommandons vivement de ramasser votre baguette (si vous êtes pourvu d'un membre permettant de ramasser des choses) pour la mettre en lieu sûr, dans un endroit où vous pourrez la retrouver facilement en reprenant forme humaine.
Pour retrouver forme humain, formez une image mentale aussi précise que possible de votre corps humain. Cela devrait suffire à déclencher la transformation, mais ne paniquez pas si celle-ci n'intervient pas immédiatement. Avec le temps, vous parviendrez à passer de votre forme humaine à votre forme animale à volonté, et ce, en visualisant simplement la créature en question. Les animagi les plus aguerris peuvent se transformer sans l’aide de leur baguette magique.
LES LIMITES
Les élèves apprennent ce qu’est un animagus en troisième année, cependant ils ne seront en capacité d’apprendre à le devenir qu'à partir de la cinquième année. De plus, les transformations dépendent de leur état physique ; plus un.e sorcier.e est fatigué.e et/ou blessé.e, moins il arrivera à se transformer.
Souvent un animagus aura le même animal que son patronus mais il faut prendre en compte qu’un patronus peut changer selon les différents évènements dans la vie du sorcier ou de la sorcière.
Un animagus garde ses vêtements, lunettes, etc. durant toute la métamorphose ; ils disparaissent quand l’animagus prend sa forme animale mais réapparaissent lorsqu’il reprend forme humaine.
Il semblerait que les animagi aient une certaine aptitude à communiquer avec les animaux, bien que l’on ne sache pas si un animagus doit être sous sa forme animale pour y arriver ou s'il peut y arriver sous forme humaine.
INTERACTION AVEC LES AUTRES SPÉCIFICITÉS
ANIMAGUS vs ANIMAGUS : Aucune interaction particulière. Il se peut que certains animagi puissent se reconnaître entre eux mais souvent cela passe assez inaperçu. Si deux animagi venaient à s'accoupler, l'enfant n'aurait pas la spécificité. Le don d'animagus n'est pas héréditaire.
ANIMAGUS vs MÉTAMORPHOMAGE : Aucune interaction particulière. Si un.e animagus et un.e métamorphomage venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de métamorphomage. Le don d'animagus n'est pas héréditaire.
ANIMAGUS vs LÉGILIMENS : Les légilimens de naissance ont la capacité de percevoir les pensées du sorcier ou de la sorcière lorsqu'il ou elle est sous sa forme d'animagus. Un.e légilimens de naissance expérimenté.e peut donc savoir si un.e sorcier.e est sous sa forme animale. Si un.e animagus et un.e légilimens venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du don de légilimancie si et uniquement si le parent porteur est un.e légilimens de naissance. Le don d'animagus n'est pas héréditaire.
ANIMAGUS vs OCCLUMENS : Aucune interaction particulière. Si un.e animagus et un.e occlumens venaient à s'accoupler, l'enfant n'aurait pas de spécificité. Aucun de ces dons n'est héréditaire.
ANIMAGUS vs VOYANT : Aucune interaction particulière. Si un.e animagus et un.e voyant.e venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du 3ème oeil. Le don d'animagus n'est pas héréditaire. ANIMAGUS vs DEMI-VÉLANE : Aucune interaction particulière. La personne animagus n'a pas de résistance particulière face au charme d'un demi-vélane. Si un.e animagus et un.e descendant.e de vélane venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane. Le don d'animagus n'est pas héréditaire.
ANIMAGUS vs DEMI-SIRÈNE : Aucune interaction particulière. Si un.e animagus et un.e descendant.e de sirène venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de sirène. Le don d'animagus n'est pas héréditaire.
ANIMAGUS vs LOUP-GAROU : Aucune interaction particulière. La personne atteinte de lycanthropie ayant l'odorat plus développé que la moyenne, elle peut cependant être beaucoup réceptive à l'odeur que dégage les animagus en fonction de leur animal et ressentir un trouble par rapport à cela - comme par exemple, être dérangé par une odeur de gibier ou apaisé par l'odeur d'un animal de type canin. Si un.e animagus et un.e lycanthrope venaient à s'accoupler, l'enfant ne possèderait aucune de ces caractéristiques. Aucune des deux spécificités n'est héréditaire. En revanche, si un.e animagus se fait mordre par un loup-garou, sa vie se trouve fortement en danger. Dans l'hypothèse ou cela se produirait, les gènes des deux animaux entreraient dans une lutte acharnée à l'intérieur du système immunitaire de l'animagus. Dans le meilleur des cas, l'un ou l'autre des deux ADN réussirait à prendre l'ascendant ; le sorcier ou la sorcière animagus aurait donc 50% de chance de rester un.e animagus et 50% d'être contaminé.e par le gène de lycanthropie sans aucune chance de pouvoir redevenir un animagus un jour. Dans le pire des cas, l'animagus pourrait succomber de cette morsure si aucun des ADN ne réussissait à battre l'autre.
ANIMAGUS vs VAMPIRE : Aucune interaction particulière. Tout comme les loups-garous, les vampires ayant un odorat bien plus développé, ils peuvent être beaucoup plus réceptifs à l'odeur qui se dégage de l'animagus et ressentir un trouble par rapport à cette odeur. Un.e animagus et un.e vampire ne peuvent pas s'accoupler, les vampires n'étant cliniquement et biologiquement pas vivants. Si un.e animagus venait à se faire mordre par un.e vampire dans le but d'une vampirisation, les gènes du vampire prendrait l'ascendant, tuant les gènes de l'animal. L'animagus perdrait donc son don au profit de celui de vampire. Si l'animagus se fait mordre sans entamer le processus de transformation en vampire, il ou elle reste un.e animagus.
ANIMAGUS vs FOURCHELANG : Un.e Fourchelang pourra communiquer avec un.e animagus sous forme serpent et pourra être compris du serpent également. Si un.e animagus et un.e fourchelang venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 20% de chance d'avoir la faculté du fourchelang. Le don d'animagus n'est pas héréditaire.
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Printemps 1905, Hylewood, Canada (1/5)
Cher cousin Adelphe,
J’ai lu avec une grande attention les lettres que Constantin et vous-mêmes m’avez adressés. J’ai bien conscience que ma réponse s’est faite attendre, mais comprenez, depuis que je suis rentré au Canada, ma vie est si morne, je n’ai tout simplement rien à en dire. Comment entrer en compétition avec votre félicité conjugale et les fouilles du temple d’Hâpi ? Je vous le dis, il n’arrive jamais rien à Hylewood. De toute l’île, je suis probablement le seul qui ait jamais quitté le Canada. Ici, plus grande attraction se résume aux touristes qui viennent séjourner l’été. Plus que tout, je regrette le manque d’ouverture d’esprit des insulaires, qui regardent au mieux avec un étonnement presque candide, au pire avec dédain ou frayeur, tout ce qui leur est un peu étranger. Je vois avec horreur ma propre fille adopter ce chemin, elle qui est pourtant pensionnaire à la ville…
[Transcription] Louise Le Bris : Papa, Maman dit que vous avez découvert une tombe appartenant à une pharaonne, est-ce que c’est vrai ? Jules Le Bris : Techniquement, ce n’est pas moi qui l’ait découverte, c’est… Louise Le Bris : Au pensionnat, Mme Dufour nous a montré des images de Marie-Antoinette. Comme elle était belle ! Les reines d’Egypte étaient-elles aussi jolies ? Jules Le Bris : Naturellement, elles étaient incroyablement élégantes. Elles portaient des jupes à bretelles… Louise Le Bris : … À bretelles ? Jules Le Bris : Oui, ou sans, avec des colliers faits de multiples rangées de pierres, et des vêtements de coton, de lin ou de laine, et elles se teignaient la peau d’une résine qu’on appelle le henné. Louise Le Bris : Des pierres, de la laine et de la résine… Cela semble bien barbare. Je crois que je préfère Marie-Antoinette… Jules Le Bris : Barbare ?! Les reines d'Egypte ancienne étaient élégantes et majestueuses dans leurs costumes et leurs bijoux magnifiques ! Tu diras à ta Mme Dufour qu’elles n’ont rien à envier à ses reines françaises !
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Louise Le Bris II
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Aime toi comme tu es !!!!… Aime tes blessures… Elles révèlent ce qui compte le plus pour toi, ce que le plus profond de ton âme recherche et ce que tu es venu guérir dans la communauté. C’est pour cela que nous choisissons de nous incarner dans les familles et situations dans lesquelles nous sommes, pour que nous puissions faire l’expérience de cette souffrance, nous l’approprier et la surmonter pour le bien de tous. Aime tes soi-disant défauts… Ils sont les bijoux spirituels qui pavent ton voyage et révèlent où abandonner le monde physique pour embrasser pleinement le monde spirituel. Ils te connectent au voyage le plus profond de l’âme – sagesse, maturité, profondeur et transcendance. Nous sommes programmés pour les voir comme des défauts, alors qu’ils sont des initiations aux mystères les plus profonds. Aime tes dysfonctionnements et tout ce qui cause la perte de tes amis, succès et te jette dans les leçons de la vie… Ils t’aident à trouver l’humour, la sagesse, la libération et ton enfant intérieur, et te détachent de ce que les autres pensent pour te permettre de trouver l’amour de toi-même et t’élever au dessus du jugement des autres. Aime ta douleur… Elle enseigne le pardon, la tolérance, la patience et donne l’humilité nécessaire pour nous unir dans une conscience plus élevée et dans l’intégrité. Elle nous montre notre pouvoir de guérison, comment nous transformer et être vrai avec qui nous sommes et ce que nous avons besoin de partager et exprimer. Aime tes failles… Elles font partie de ton génie et des aspects les plus élevés de ton être qui ont tout simplement été muselés ou abandonnés. Elles nous montrent nos dons et notre créativité, et nous aident à lâcher prise, prendre des risques et être bien dans notre peau avec nos propres frontières et standards. Aime ton Ego/identité quand il est en crise… Laisse le être la boussole qui t’indique ton Toi le plus élevé, afin que toutes actions, mots, décisions et attitudes reflètent la nature de ton empreinte divine. Il te montre comment retirer les masques, les programmes et les anciens schémas. Il enseigne comment utiliser abondamment de ton libre-arbitre et te rappelle comment être authentique, puissant, influent et exemplaire. Aime et honore toutes ces choses en toi et chez les autres, et demande toi où elles peuvent te mener et ce qu’elles signifient vraiment au lieu de comment elles te font paraître. Quand on voit la Vérité, on voit la perfection dans toutes choses et nous savons comment retrouver le chemin de la maison…
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Lavande Brown
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Sa matière préférée est la divination ; elle apprécie tout particulièrement la tasséomancie (divination grâce à l'interprétation des feuilles de thé dans une tasse).
Elle porte aussi de l'intérêt à la lithothérapie et le tarot. Ainsi, elle passe du temps dans le grenier de la tour nord avec Mme Trelawney pour approfondir ses connaissances et satisfaire sa curiosité.
Elle fait du crochet comme passe-temps. Elle se confectionne elle-même ses gilets et les arbore fièrement lors des week-ends à Pré-au-Lard.
C'est un réel cœur d'artichaut. Très romantique, elle adore la St Valentin, les motifs cœurs, les couleurs rose et mauve.
Elle est pansexuelle, I don't care something HAD to happen with Parvati Patil. (#theywereroommates)
Son animal préféré est le cygne.
Elle rêve de tenir une boutique sur le Chemin de Traverse.
De nature très extravertie, elle adore faire la fête, et surtout aller danser au milieu de la foule.
Lavande et ses amies adorent se raconter les potins de Poudlard le soir après le cours, devant un pot de surcreries Honeydukes. Si quelqu'un sait ce qu'il se passe dans l'école, c'est bien Lavande.
Elle conserve toutes les lettres qu'on lui envoie dans une boîte sous son lit.
Elle est le genre d'amie qui te dit "tu veux que j'aille parler de toi à ton crush discrètement?" et qui finit par faire tout l'inverse.
Elle a fait de la danse classique.
texte
Lavande Brown est un parfum fleuri dans un flacon pourpre, le printemps qui s'éveille. Elle est un après-midi ensoleillé, une balade enjouée dans les rues d'un marché. Lavande sent l'encens à la rose et les infusions aux plantes. Lavande est une barque sur le lac, un rire au fond d'une salle de classe. Elle est un stand de pommes d'amour dans une fête foraine, un carnet de notes rempli de paillettes. Elle est une coiffeuse où on entrepose du maquillage, une boule de cristal, un châle aux motifs excentriques. Lavande est un bouquet de fleurs sèches, la couleur mauve, des bijoux dorés. Elle est un bain de soleil, une salade de fruits fraîche, la passion dans les yeux. Elle est l'appréhension d'un rendez-vous amoureux, la chaleur d'un sourire, le courage d'affronter ses peurs. Lavande est la sensation d'une couverture contre la peau, les cheveux relevés en chignon, les rubans en soie.
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