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#bernard lubat
jpbjazz · 4 months
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LÉGENDES DU JAZZ
HOMMAGE À CHRISTIAN ESCOUDÉ 1947-2024
Né le 23 septembre 1947 à Angoulême, en France, Christian Escoudé était d’origine tsigane par son père. La famille Escoudé, qui était d’origine espagnole, s’était installée en Charente lorsque les troupes nazies avaient envahi la France en juin 1940. La mère de Christian était d’origine charentaise.
Également guitariste, le père de Christian avait été très influencé par Django Reinhardt. Christian avait commencé à apprendre la guitare avec son père et son oncle à l’âge de dix ans. Après avoir joué dans différents bals de la région, Christian a été engagé en 1969, à l’âge de vingt et un ans, par l’orchestre d’Aimé Barelli à Monte-Carlo, dont il fera partie jusqu’en 1971.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Au début des années 1970, Escoudé s’installe à Paris et travaille comme musicien de studio avec des vedettes de la musique pop comme Jean Ferrat, Michel Fugain et Nicole Croisille.
Escoudé a amorcé sa carrière professionnelle en 1972 en se produisant avec le trio du batteur Aldo Romano, qui comprenait également Eddy Louis à l’orgue et Bernard Lubat à la batterie. Plus tard, Escoudé s’était joint au Swing String System de Didier Levallet et au Michel Portal Unit. Après avoir remporté le Prix Django Reinhardt décerné par l'Académie du Jazz en décembre 1975 (il est un des seuls guitaristes de jazz à avoir remporté cet honneur), Escoudé avait formé un quartet avec le pianiste Michel Graillier, le batteur Aldo Romano et le contrebassiste Alby Cullaz (qui fut bientôt remplacé par Jean-François Jenny-Clark). Escoudé avait travaillé par la suite avec Michel Portal, Slide Hampton, Martial Solal et Jean-Claude Fohrenbach.
En 1978, Escoudé s’était produit au Festival de jazz de Nice aux côtés de John Lewis, Bill Evans, Stan Getz, Freddie Hubbard, Philly Joe Jones, Elvin Jones, Lee Konitz et Shelly Manne. La même année, Escoudé avait joué pour la première fois au Festival de Samois dans le cadre d’un hommage à son idole Django Reinhardt. Il a aussi enregistré avec le contrebassiste Charlie Haden. L’année suivante, Escoudé s’était produit au Festival de Dakar avec un trio composé du pianiste René Urtreger, du contrebassiste Pierre Michelot et du batteur et compositeur d’origine suisse Daniel Humair.
À l’été 1980, Escoudé avait obtenu une des grandes chances de sa carrière lorsqu’il avait été invité à jouer en duo avec le guitariste de fusion John McLaughlin, avec qui il avait fait une tournée aux États-Unis, au Brésil et au Japon. L’année suivante, Escoudé s’était joint au big band de Martial Solal. Après avoir joué aux États-Unis avec le quartet du batteur Shelly Manne en 1982, Escoudé a formé son propre quartet avec  Olivier Hutman aux claviers, Nicolas Fitzman à la contrebasse et Jean My Truong aux percussions. Ces deux derniers avaient été remplacés par la suite par Jean-Marc Jafet et Tony Rabeson.
En 1983, Escoudé forme un duo avec le violoniste Didier Lockwood. Le groupe s’était par la suite transformé en trio après l’ajout du guitariste belge Philip Catherine. Après avoir formé un trio avec le violoncelliste Jean-Charles Capon et le contrebassiste Ron Carter en 1985, Escoudé avait formé le Trio Gitan avec Boulou Ferré (le fils de Matelo Ferret) et Babik Reinhardt, le fils de Django. En 1987, il se produit en duo avec le pianiste Michel Graillier.
En 1988, Escoudé s’était joint à un quartet composé de Jean-Michel Pilc, François Moutin et Louis Moutin. L’année suivante, Escoudé avait fondé un octet avec les guitaristes Paul Challain Ferret, Jimmy Gourley et Frédéric Sylvestre, l’accordéoniste Marcel Azzola, le violoncelliste Vincent Courtois, le contrebassiste Alby Cullaz et le batteur Billy Hart.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1990, Escoudé s’était produit au légendaire Village Vanguard de New York avec le pianiste Hank Jones, le contrebassiste Pierre Michelot et le batteur Kenny Washington. L’année suivante, Escoudé avait enregistré un album entièrement consacré à des compositions de Django Reinhardt. L’album avait été enregistré avec avec un orchestre à cordes. En 1993, Escoudé enregistre à Los Angeles avec Lou Levy, Bob Magnusson et Billy Higgins.
En 1998, Escoudé avait enchaîné avec ‘’A Suite for Gypsies’’, un album de jazz-fusion destiné à honorer les enfants gitans morts dans les camps de concentration nazis. Deux ans plus tard, Escoudé remporte le Grand Prix de la SACEM.
À l’occasion du 50e anniversaire de la mort de Django en 2003, Escoudé avait formé un big band de dix-sept musiciens dans lequel il explorait l’héritage musical de Reinhardt tout en y incorporant ses  propres idées harmoniques et rythmiques. L’année suivante, Escoudé avait créé le  New Gypsy Trio avec David Reinhardt (un autre parent de Django) et Martin Taylor (aussi connu sous le nom de Jean-Baptiste Laya). Après avoir publié l’album Ma Ya en 2005, Escoudé avait formé le Progressive Sextet avec Marcel Azzola, Jean-Baptiste Laya, Sylvain Guillaume, Jean-Marc Jafet et Yoann Serra.
En 2012, Escoudé avait rendu hommage à l’auteur-compositeur Georges Brassens dans le cadre de l’album ‘’Christian Escoudé joue Brassens: Au bois de mon cœur.’’ Participaient également à l’album le contrebassiste Pierre Boussaguet et la batteuse Anne Paceo, ainsi que des artistes invités comprenant la violoniste Fiona Monbet, le clarinettiste  Andre Villeger, le guitariste Biréli Lagrène et le guitariste manouche de onze ans Swan Berger.
En 2019, Escoudé avait surpris tout le monde en lançant à l’abbaye de Saint-Amant-de-Boixe un second album en hommage à son idole Django Reinhardt.
Christian Escoudé est mort d’un cancer le matin du 13 mai 2024 à Saint-Amant-de-Boixe (Charente), près d’Angoulême, à l’âge de soixante-seize ans. La mort d’Escoudé avait été annoncée par Max Robin, le directeur artistique de la compagnie Label Ouest qui avait publié son dernier album intitulé ‘’Ancrage.’’ Décrivant Escoudé comme un grand musicien, compositeur et improvisateur, Robin avait souligné son engagement dans la musique.
Escoudé avait été victime d’un cancer particulièrement foudroyant. Jean Ledroit, un ami et voisin d’Escoudé à Saint-Amant-de-Boix ‘’On devait jouer avec lui il y a trois semaines à Mansle mais il était déjà malade. C’est brutal {...}. On a perdu un monstre sacré du jazz, le digne successeur de Django Reinhardt ’’.
François Ducharme, l’ancien président de l'Académie du jazz et un des programmateurs de l'émission de radio "Club Jazzafip", avait ajouté: "Un musicien intuitif avec cette poésie au bout des doigts. Un enfant de la balle, comme on dit, à qui on a mis une guitare dans les mains et qui en a fait son métier très jeune, jouant dans les bals, localement, avant de monter à Paris".
Caractérisé par un style très mélodique et très chaud, Escoudé avait participé à l’enregistrement de plus de 50 albums au cours de sa carrière. Le style d’Escoudé était un mélange de bebop et de musique gypsy. Passionné par le jazz, Escoudé s’intéressait également à la musique de chambre. Comme compositeur, Escoudé avait été très influencé par Gil Evans, Claus Ogerman et Antonio Carlos Jobim. En 2022, Escoudé avait vu sa carrière être couronnée par la remise d’un prix Victoire d'honneur du Jazz.
Reconnu pour sa modestie et son sens de l’humour, Escoudé ne s’était jamais enflé la tête avec ses réalisations. Françoise Giroux-Mallot, la mairesse de Saint-Amant-de-Boixe, avait commenté: ‘’C’était quelqu’un d’accessible, modeste et bienveillant.’’ Au cours d’une de ses dernières entrevues, Escoudé était d’ailleurs demeuré très terre-à-terre. Il avait précisé: ‘’On les perd forcément {nos illusions} à un moment mais je pense avoir respecté mon intégrité. Je n’ai jamais été très loin dans les excès, ce n’est pas dans ma nature.’’
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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bamboomusiclist · 10 months
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11/29 おはようございます。 Irene Kral Herb Pomeroy / the Band and I Ual4016 等更新完了しました。
Irene Kral Herb Pomeroy / the Band and I Ual4016Teal Joy / Ted Steele Presents alp311Max Roach And Clifford Brown / In Concert VolNo5Dizzy Gillespie / Plays Johnny Richards Conducts dl3013Billy Taylor Trio / Warming Up RLP1195Warne Marsh / Music for Prancing modlp125Oscar Peterson / Put On A Happy Face v6-8660Buddy De Franco / Plays Artie Shaw MGV-2090Maurice Vander Pierre Michelot Bernard Lubat…
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jazzplusplus · 3 years
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Concert à la Maison de la Radio à Paris le 28 Mars 1971.
Chega de Saudade (Tom Jobim)
Stan Getz (saxophone ténor), René Thomas (guitare), Eddy Louiss (orgue), Bernard Lubat (batterie)
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merzbow-derek · 5 years
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POST-POST-SCRIPTUM 1127
44 - QUE POURRAIT BIEN RACONTER CE PROJET ?
Et s’il s’agissait d’un livre abordant les rapports entre jazz et rock (et vice-versa) d’une manière enfin inédite ?
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mihasznamimoza · 5 years
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Príma totoja groove, ízlésesen aláfest a megborult időjárásnak. A borítón bezzeg Woodstock, a hangfolyam a látványnál azért valamivel árnyaltabb, ez a hárompercnyi resztli meg különösen. Lehetséges, hogy annak idején Lubat sokat autózott esőben Csepelen? Magyarázat lehetne mindenre!
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Bernard Lubat dans le doute... de lesmutins.org sur Vimeo.
“L’art, c’est se qui pose problème.” - Bernard Lubat 
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jazzfunkdid · 7 years
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Bernard Lubat ‎– Aubergine Time (A)
Tele Music ‎– TM 3051 – Released in 1975. Bernard Lubat ‎– Vibrations - Volume 2.
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orteil · 7 years
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L'improvisation, c'est comme la liberté, ça s'apprend, ce n'est pas inné! Quand on a peur, on n'est pas libre; quand on est libre, ça fait peur.
Bernard Lubat
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journaljunkpage · 6 years
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« JE N’AIMERAIS FAIRE QUE DES COMMENCEMENTS »
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Benoît Hermet / La vie dans les ghettos sud-africains a bouleversé sa façon de penser l’habitat. © Christophe Hutin 
Des townships de Soweto à la rénovation récente de la salle des fêtes du Grand-Parc à Bordeaux, Christophe Hutin défend une autre vision de l’architecture. Un work in progress pour réinventer l’habitat, la ville et ses transformations.
Le micro s’allume et l’interview démarre, mais Christophe Hutin ne vous parle pas d’architecture. L’homme est direct, franc, les chemins qu’il emprunte ne sont pas tracés à l’avance. En 1994, à dix-neuf ans, il part pour l’Afrique du Sud, l’année où Mandela est élu. Christophe Hutin est embauché par un organisme qui s’occupe des radios et journaux progressistes, essentiels dans la lutte contre l’apartheid. Logé à Soweto, le township le plus dangereux du pays à l’époque, il vit au contact de la population locale.
Le week-end, il donne un coup de main aux jeunes couples qui veulent bâtir leur foyer. « On achetait des panneaux au bord de la route, puis on s’installait où il y avait un terrain libre pour construire une maison en deux heures. » Cette expérience le bouleverse et l’interroge sur ce qu’est l’habitat, le cadre de vie.
Christophe Hutin rentre en France étudier l’architecture, apprenant un savoir académique qui ne lui semble pas répondre entièrement aux questions de société contemporaines. Titulaire en 2004 de la bourse « L’Envers des villes »1, il retourne à Soweto étudier l’évolution des townships après dix ans de démocratie. Les familles ont abandonné les maisons types construites loin de tout par le gouvernement, pour squatter les immeubles de Johannesburg dans des conditions de vie critiques, mais avec un sens de l’adaptation incroyable ! Ces contextes donneront lieu à plusieurs workshops de Christophe Hutin.
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En Lot-et-Garonne, un ancien séchoir à tabac devient une habitation contemporaine économe. © Philippe Ruault 
Les situations urbaines capables
À la même époque, il crée son agence à Bordeaux et construit des maisons pour des familles modestes. Les liens entre la France et l’Afrique du Sud nourrissent ses réflexions sur l’accès au logement, la coopération, l’interculturalité… En Afrique du Sud, Christophe Hutin monte des ateliers avec Carine Smuts ou Francis Kéré, des architectes engagés, aujourd’hui reconnus pour leur action.
À Bordeaux, en 2010, il participe avec Frédéric Druot, Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal au programme des 50 000 logements2 pour élaborer des stratégies de logements abordables dans la métropole. Leur vision s’appuie sur la ville existante, sans démolir, ce que Christophe Hutin appelle « les situations urbaines capables ». « La ville constituée offre un potentiel de création remarquable et la densification n’est pas opposable à la qualité de vie. On peut s’adosser, superposer, enjamber, sans bouleverser ce qui est déjà là… »
Toujours avec Frédéric Druot, Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, Christophe Hutin réhabilite pour le bailleur aquitanis trois immenses barres du quartier du Grand Parc. Ils se servent de la rationalité un peu brutale des années 1960 pour optimiser 530 logements en ajoutant des planchers qui agrandissent les intérieurs, en créant des appartements sur les toits, en redécouvrant des points de vue sur la ville…
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La salle des fêtes du Grand-Parc a été entièrement rénovée tout en gardant sa façade familière au sein du quartier. © Philippe Ruault 
Au Grand-Parc et avec le même trio d’architectes, il a récemment réhabilité la salle des fêtes (construite en 1967). Scène de rock mythique dans les années 1980, elle a reçu Iggy Pop, The Ramones, The Cramps ou Noir Désir à leurs débuts ! « C’était le lieu de la culture alternative qui servait en même temps aux associations du quartier », rappelle Christophe Hutin. Après une très longue fermeture, la mairie lance un concours en 2015 pour redéfinir une salle polyvalente. Les architectes conservent les qualités du bâtiment original pour les intégrer à un nouvel équipement, performant sur le plan scénique et facilement accessible aux associations. Une grande baie dans le fond de scène laisse entrer la lumière pour des activités en journée, un mur amovible facilite les circulations hors concerts, l’acoustique est traitée avec soin, à l’intérieur comme à l’extérieur pour préserver les habitations environnantes… Restaurée, la grande mosaïque de la façade conserve l’image familière de cet équipement dans son quartier.
La démarche de Christophe Hutin s’illustre à travers de nombreux autres projets : salle de concerts de Bernard Lubat, à Uzeste, scénographie pour le chorégraphe Hamid Ben Mahi, ferme urbaine de La Vacherie à Blanquefort, maison minimale dans un séchoir à tabac du Lot-et-Garonne…
À Bègles, il réalise avec Domofrance les Hauts Plateaux, une résidence où chaque espace est personnalisable par ses habitants grâce à une structure libre dessinée par l’architecte. Christophe Hutin aime l’improvisation et l’idée de redonner aux gens la capacité d’agir sur leur cadre de vie. « L’architecture n’est pas toujours une démonstration formelle. C’est un work in progress et je considère qu’un bâtiment commence quand il est fini. En architecture, je n’aimerais faire que des commencements ! »
1. Attribuée par la Caisse des Dépôts et Consignations.
2. Lancé en 2010 par Vincent Feltesse, président de la Communauté urbaine de Bordeaux de 2007 à 2014.
christophehutin.com
L’Enseignement de Soweto. Construire librement, Christophe Hutin, Patrice Goulet, Actes sud.
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burlveneer-music · 6 years
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Hal Singer & Jef Gilson - Soul Of Africa (reissue, Super-Sonic Jazz Records)
Mega rare great jazz recording of the legendary US saxophonist Hal Singer and French pianist Jef Gilson from 1974, originaly released on the French Le Chant Du Monde Label. The birth act of the Afro-/Jazz-Parisian scene that fascinated so many musicians and music fans throughout the 70s and 80s.Fantasic modal soul jazz masterpiece, a pure beauty from start to end..
Musicians: Hal Singer (tenor sax), Jef Gilson (piano), Bernard Lubat (vibes, piano), Jacky Samson (bass) and the "Malagasy Rhythm" (consisting of Frank Raholison (drums), Del Rabenja & Gerard Rakotoarivony (percusssion).
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bamboomusiclist · 10 months
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11/29 おはようございます。Ramones / End of the Century srk6077 等更新完了しました。
Irene Kral Herb Pomeroy / the Band and I Ual4016 Teal Joy / Ted Steele Presents alp311 Max Roach And Clifford Brown / In Concert VolNo5 Dizzy Gillespie / Plays Johnny Richards Conducts dl3013 Billy Taylor Trio / Warming Up RLP1195 Warne Marsh / Music for Prancing modlp125 Oscar Peterson / Put On A Happy Face v6-8660 Buddy De Franco / Plays Artie Shaw MGV-2090 Maurice Vander Pierre Michelot Bernard Lubat / Vander Michelot Lubat OWL039 Roy Eldridge Bud Freeman / Saturday Night Fish Fry 883909jcy Duke Ellington / New Orleans Suite Sd1580 Bucky Pizzarelli / The Cafe Pierre Trio mes7093 Michael Jackson / Dangerous 465802 1 Andrea Centazzo / Fragmentos PldA6020 Spontaneous Music Ensemble / Birds Of A Feather BYG529023 Peter Herbolzheimer / the Catfish 2371564 Jasper Van't Hof's Pork Pie / The Door Is Open DC228754 J.B. Lenoir / Natural Man LP-410 Klaus Schulze Body Love ILPS9510 Ramones / End of the Century srk6077
~bamboo music~
530-0028 大阪市北区万歳町3-41 シロノビル104号
06-6363-270
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kevindurkiin · 4 years
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Exclusive Blend 3
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Guy Pedersen – Prétexte pour Indicatifs (1:21) Bernard Estardy – Vertigo Leitmotiv (3:40) Raymond Guiot & Guy Pedersen – Flûtes Ad Libitum (2:44) Raymond Guiot & Guy Pedersen – Indian Pop Bass (3:06) Guy Pedersen – Les Copains de la Basse (2:33) Guy Pedersen – Bass in Love (3:30) Raymond Guiot – Primitive Spirit (3:00) Andre Arpino – African King (1:55) Guy Pedersen – Bass Session (2:27) Raymond Guiot – Bass Dancing (3:47) Bernard Estardy – Emeute a Tokyo (Kitch Kat) (2:24) Bernard Estardy – Road Number 9 (2:26) Bernard Estardy – Riviera Express (4:09) Bernard Lubat – Bahia Bossa Nova (1:49) Guy Pedersen – Kermesse non Héroïque (13:16) Paul Piot – Vertueuse Rêveuse (2:43)
Exclusive Blend 3 published first on https://soundwizreview.tumblr.com/
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jazzplusplus · 4 years
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Stan Getz Quartet à Paris en 1971: "Dum ! Dum !" (Eddy Louiss)
Stan Getz (ts), Eddy Louiss (org), René Thomas (g), Bernard Lubat (dr) 
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merzbow-derek · 7 years
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POST-SCRIPTUM 845
AGITATION FRITE, le volume 3, sous-titré “chroniques de l’underground français” est en cours de rédaction. Il contiendra entre autres un TOP 320 commenté des albums les plus singuliers en la matière. Merzbo-Derek en diffusera quelques extraits avant parution en 2018 chez Lenka lente… À signaler, bien qu’annoncé partout “out of stock”, il reste encore quelques exemplaires du premier volume chez Metamkine : qu’on se le dise !
EXTRAIT…
VINCENT GÉMIGNANI, Modern Pop Percussion (1970)
JEAN-CLAUDE VANNIER, L’Enfant assassin des mouches (1972)
Quand Modern Pop Percussion, originellement sorti sur Concert Hall, a été réédité à juste titre par Musique pour l’image, référence 35 avec titre (Musique pour un voyage extraordinaire) et tracklisting différents, il a été présenté par Robert Viger comme une suite de matériaux sonores d’une grande richesse pour l’illustration musicale. Vrai ! À son écoute, le temps du splendide « Ophis le serpentaire » par exemple, on peut évoquer Airto Moreira, Les Percussions de Strasbourg, voire Miles Davis rencontrant Jean-Claude Vannier (période L’Enfant assassin des mouches, voir chronique plus loin).
PATRICE SCIORTINO, Chronoradial (1970)
BERNARD PARMEGIANI, Chants magnétiques (1974)
CHARLES BELLONZI & ROBERT VIGER, Structures percussions (1972)
MARTIAL SOLAL, Locomotion (1974)
Patrice Sciortino est un compositeur contemporain passé par le Groupe de Recherches Musicales parisien. Comme pour certains de ses confrères, l’un de ses meilleurs disques a été édité par un label consacré à la library music : l’excellent PSI, sous-label de Musique pour l’image, dirigé par le pianiste Robert Viger, spécialiste du genre. À son catalogue, à côté de jazzmen français réputés, tels les pianistes Henri Renaud et Georges Arvanitas, figure l’électroacousticien Bernard Parmegiani avec l’édition originale des Chants magnétiques – une pièce majeure !
En duo avec le batteur de jazz Charles « Lolo » Bellonzi (connu pour avoir fait partie d’un trio de Martial Solal et accompagné Maurice Vander, René Thomas, Ivan Jullien ou Claude Nougaro), Robert Viger a réalisé un disque, certes pas foudroyant comme un Cecil Taylor / Tony Oxley, mais étonnant à bien des égards, où voisinent compostions d’ambiances et improvisations bruitistes.
Sur le même label, Martial Solal délivre en Locomotion le disque de jazz funky ultime en trio piano électrique / acoustique, accompagné par Henri Texier (basse) et Bernard Lubat (batterie). Son auteur l’avait quasiment oublié, car à l’époque on prenait ce genre de disque, depuis largement réhabilité par les DJ curieux, pour de la musique au kilomètre. Les accords répétitifs d’« Un Drôle d’escalier roulant », par exemple, possèdent quelque chose de bêtement fascinant ! Certes, on est loin de la palette harmonique et des digressions virtuoses de ses solos tel Nothing But Piano.
( Bernard Lubat, par là )
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trybeards · 7 years
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From Australia - NOVEMBER 2017
Click on the photograph by Maria Huseby to listen to the show
With music by Erotic Drum Band, Ricardo Villalobos, LNS & DJ Sotofett, Max Graef, Dave Wise for Donkey Kong Country (Outs to Shags Chamberlain), Bernard Lubat, Klein, KiNK, Jacy, Grant and DJ Nature
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