#benat achiary
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unaturalhistory · 6 months ago
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My musical selection for the next week:
Jesu – Everyday I Get Closer To The Light From Which I Came
Kadaitcha - Tramontane
Lönndom – Fälen Från Norr
ТОРЕАДОРИ З ВАСЮКІВКИ - З​Л​О​Д​І​Й У Л​І​С​І
H.Flora - Densing Naivete
Harutaka Mochizuki, Kawashima Makoto,Michel Henritzi - Chinmoku Wa Ishikure Ni Yadoru Bouryoku
Beñat Achiary, Kent Carter, David Holmes – AchiaryCarterHolmes
Dale Cooper Quartet And The Dictaphones – Ramsès Redoute
Coume Ouarnéde - Hi​é​rogamia
Smegma and L'Autopsie A Révélé Que La Mort Etait Due A L'Autopsie - Transmissions des fluides
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burlveneer-music · 10 months ago
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NOUT - Live Album - probably the skronkiest flute-harp-drums trio ever; Mats Gustaffson guests on baritone sax for 3 tracks (Trost Records)
Delphine Joussein - flute, voice, drums Rafaelle Rinaudo - electric harp, drums Blanche Lafuente - drums Mats Gustafsson - baritone sax on 10,11,12 Benat Achiary - voice on 6
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orpheusz · 2 months ago
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Les Basa Ahaide, calligraphies sonores des hautes terres de Soule (Xiberoa) en Pays Basque
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michaelparque · 7 years ago
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PAUL ROGERS + BENAT ACHIARY @ Europa Jazz Festival, Le Mans 02/05/2018
Soundcheck - Collégiale St Pierre-la-Cour
Paul Rogers (7string b)
Beñat Achiary (voc)
Copyright Michael Parque 2018 All rights reserved
Œuvres exposées : Nicolas Alquin
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merzbow-derek · 8 years ago
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POST-SCRIPTUM 774
AGITATION FRITE 2 : SI C’EST ICI, C’EST DÉJÀ OUBLIÉ
Agitation Frite 1, Témoignages de l’underground français est donc sorti chez Lenka lente. Un second volume est en préparation. La forme en est la même : un peu moins d’une quarantaine d’entretiens dont la plupart, cette fois, sont inédits. On en trouvera ici des extraits, régulièrement. Par exemple, Michel Doneda…
EXTRAIT…
Qu'est-ce que l'écoute, selon toi, possède de méditatif ?
L’écoute comme la méditation sont des pratiques relatives à des décisions prises dans un contexte culturel particulier. L’une et l’autre n’ont rien à voir avec une quelconque « nature des choses », mais bien avec une logique ou une discipline pleinement choisies et orientées. Dans l’une comme l’autre, on rencontre inévitablement nos corps de références. Mais les paramètres qui font la particularité de l'instant présent viennent se superposer à nos mémoires et nous donnent la  sensation de découvrir que cela se passe dans un présent. Même si c’est ici, c’est déjà oublié.
Pour moi, le lien essentiel entre ces deux pratiques semble être le mouvement. Aussi l’effacement entre intérieur et extérieur, ainsi que la rencontre avec « la chose », qu’elle soit son ou pensée – et, notre présence à celle-ci. Enfin : accueillir ; s’en détacher afin de se laisser traverser.
Quelles sont, justement, les premières musiques à t'avoir traversé ? Sur disque d'abord, dans le cadre de l'écoute domestique ? Puis sur scène ?
Mon premier souvenir d’écoute : le chant des martinets noirs, cet oiseau qui ne se pose jamais. Puis le premier son que je produis avec un saxophone alto, sans avoir alors la moindre idée de la musique. J’ai 14 ans, et je n’aurai de cesse d’en souffler encore et toujours. Après cet épisode, je fais progressivement le lien entre son et musique, même si cette dernière est plus difficile d’accès… À Monoprix, je tombe « comme cela » sur deux disques : Jimmy Witherspoon et John Coltrane. Un ami me fait écouter Steve Lacy, Peter Brötzmann, Derek Bailey : cela me semble proche, comme familier. J’aide à l’organisation de concerts à Brive : on accueille Henry Cow, et je découvre ainsi Soft Machine, Hatfield And The North… Les chansons ne sont pas trop mon truc, mais c’est pas mal, même si je suis moins convaincu par le rapport au public : trop de postures (connivences ?) qui interfèrent dans ma liberté d’écoute. J’aime bien Can car ils improvisent vraiment sur scène. En 1973, je vais au festival d’Angoulême et découvre le quartette d’Evan Parker (je me souviens encore de l’impact de ce concert), et puis ce trio de free-rock mené par Trevor Watts (alors que la salle se vide, eux remplissent mon corps et mon cœur). À Toulouse au début des années 1980, on monte Jazzimut (organisation de concerts), et là je découvre les jazzmen d’un peu plus près : Don Cherry, Art Ensemble Of Chicago, Julius Hemphill, Jimmy Lyons, Anthony Braxton, Paul Motian, etc. Intéressant de se confronter à une culture si différente, et ce, en échangeant directement avec les protagonistes. Ils me donnent des clefs pour écouter cette musique et penser celle-ci dans son rapport politique et social. Et puis, les musiques traditionnelles dans  l’émission Les Chants de la terre.
Que t'amène le free jazz afro-américain d'un point de vue politique et social ? Qu'est-ce que tu en retiens, toi qui est apparemment déjà en quête de ton propre folklore imaginaire ?
Où l’on se trouve (point fixe) et l ‘engagement (valeur aérienne). Deux perspectives de réflexions qui se sont ouvertes à moi lors des échanges avec ces musiciens. Eux revendiquant leurs actes sonores et politiques dans la continuation de l’histoire culturelle et sociale de « leur communauté » ; moi, face à mes engagements plutôt individuels. Eux s’attachant à leurs idiomes et moi me sentant proche d’un « non-idiomatique » (selon Derek Bailey).
Vite, il fut clair que je ne pouvais en aucun cas m’identifier à eux, ni musicalement ni à leurs stratégies de luttes, mais simplement écouter et étudier leurs propositions. J’étais (et reste) un « extraterritorial », et mes engagements seront non pas reliés à une communauté mais bien à un ensemble fluide fait des énergies éprouvées au travers de chaque rencontre dans des temps et des lieux particuliers. Ma musique ne pouvait pas devenir la sono de mon engagement. Mes propositions pouvaient-elles contenir une promesse d’émancipation face à un pouvoir toujours plus globalisant ? Question toujours ouverte. Je retiendrai que l’engagement s’invente au jour le jour, mais que celui-ci ne passera pas par la revendication dans un milieu quelconque… Faire et défaire, dans le mouvement. J’ai toujours vécu ma pratique sur un mode transversal, dans une forme de nomadisme relatif.
Très clairement, il n’y aura, et il n’y a pas de quête ni d’attachement à un « milieu » et encore moins de folklore imaginaire (cela appartient à l’A.R.F.I. avec laquelle je n’ai jamais collaboré ; j’ai par ailleurs rencontré ces artistes et toujours respecté leur démarche). Dans un mouvement constant, je traverse des actes, et ce, sans hiérarchie, et interroge sans cesse comment se détermine la perception, et quels sont les outils qui façonnent celle-ci. Dans ma logique, le sujet est plus important que l’objet.
Quels saxophonistes, plus précisément, ont pu t'avoir influencé ?
Aucun en particulier. Je ne suis jamais passé par l’imitation, ce qui m’a donné la liberté d’écouter tous les saxophonistes (pas qu’eux, heureusement) et d’apprécier leurs particularités respectives. Plus tard (fin 1990), c’est la découverte de Watatsumi-Do (shakuachi) qui m’ouvrira un tout autre champs aérophonique.
Tes premières apparitions phonographiques en 1985 témoignent de ces découvertes : Terra, avec entre autres Beñat Achiary ; et les Rencontres du Havre, où tu figures en trio avec Jean-Marc Montera et Yves Robert. Le premier fait le lien avec les chants de la terre...
...Ma collaboration avec Beñat Achiary commence fin 1970. Notre intérêt commun pour la poésie fut une conduite pour nous porter chacun et ensemble hors de nos cultures respectives. Début 1980, je rencontre le saxophoniste Argentin Eduardo M. Kohan, qui me fait découvrir les « Choros ». Nous jouerons beaucoup dans la rue (la manche) en France, en Italie et en Suisse, alternant des pièces de ce répertoire et des improvisations libres. En 1986, Daunik Lazro..., ..., ...
( Hatfield And The North, par là )
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udomatthias-blog · 4 years ago
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brog-melimelo · 5 years ago
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現代を生きる吟遊詩人の如く、街から街へ、森から森へ 愛を歌い、ポエジー(詩)を歌い、 様々な世界を交差する、旅人のシャンソン。 ***********  フランス・ブルゴーニュ地方を拠点に活動するシンガー・ソング・ライター @[Ludovic B.A] (リュドヴィック・ベー・アー)と、ヴァイオリニスト @[YÖKO TAKEDA]の共演によるオリジナル・シャンソン・デュオ。フランス人店主が本場の味と素材にこだわり焼き上げる、山の中のガレット屋「Méli-Mélo /メリ・メロ」にてライヴ。  曲作りのインスピレーションやエピソードを語った日本語トークも交え、フランスの、様々な世界の、風景・情景を思い描きつつ、音楽と旅する一夜をお楽しみ下さい。  詳細はこちら↓↓ 3/7(土) 奈良宇陀「Meli-Melo」  奈良県宇陀市室生下田口1761   お車はお隣のふるさと元気村の🅿へ  https://brog-melimelo.tumblr.com/ 【時間】開場16:30/開演17:00/お食事 18:30頃~ 【料金】¥2,000 + 1 drink ★ライブ限定メニュー(前菜+大和牛の赤ワイン煮込み、自家製石窯パン付) 別途¥2、000 (ご予約制) ★当日オーダーできるキッシュやスイーツなどもございます。 【予約】080-5291-7529 又は [email protected] (武田) ************* @[311487822244977:274:Ludovic B.A]/リュドヴィック・ベー・アー:  作詞作曲、ヴォーカル、ギター 1978年、仏・ブルゴーニュ生れ。10代の頃、独学でギターと作詞作曲を始め、クラッシックのヴォーカル・レッスンやFree Jazz界で著名なBenat Achiaryのワークショップを受ける。シャンソン、ロック、ジャズ・マヌッシュ、即興など様々なグループでの音楽活動を経てソロ活動を開始。2009年よりヴァイオリニスト武田洋子と共演し、1stアルバム「le sentier et l'estuaire/小道と河口」(2015)、2ndアルバム「Les Mains Tisserandes/織り成す手」(2018/日仏で収録)をリリースしている。 @[360799477348058:274:YÖKO TAKEDA]/武田洋子:  ヴァイオリン、コーラス、ウデュ(陶製パーカッション) 1981年、群馬県太田市生れ。6歳から約10年間、耳で学ぶ「スズキ・メソード」でヴァイオリンを習う。学生時代はゴスペル・R&Bサークルに所属しライブ活動を開始。渡仏後には日本民話・民謡のショーを開く。2009年より本格的に音楽活動を始め、ヴァイオリン、ウデュ(陶製パーカッション)、ヴィオラ等、様々な音楽アレンジメントを試みている。 公式ウェブサイト:https://ludovicba.com/ Youtube:https://www.youtube.com/user/soleil1704/videos (à Meli-Melo) https://www.instagram.com/p/B8tMTM5lR3t/?igshid=16rjfmqtl5e2z
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romini · 11 years ago
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michaelparque · 7 years ago
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PAUL ROGERS + BENAT ACHIARY @ Europa Jazz Festival, Le Mans 02/05/2018
Concert - Collégiale St Pierre-la-Cour
Paul Rogers (7string b)
Beñat Achiary (voc)
Copyright Michael Parque 2018 All rights reserved
Œuvres exposées : Nicolas Alquin
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merzbow-derek · 8 years ago
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POST-SCRIPTUM 664
PENSER LA PERCUSSION AUTREMENT
Ci-après, un extrait d’un entretien avec Lê Quan Ninh qui fera bientôt partie d’un ouvrage autour de l’underground musical en France ; ouvrage d’ailleurs quasi exclusivement constitué d’interviews, entre autres avec Christian Vander, Jac Berrocal, Dominique Grimaud, Yann Goudon, Dominique Répécaud, Jean-Marc Foussat, Bruno Meillier, Richard Pinhas, Michel Bulteau, Romain Perrot… Une quarantaine à peu près, à paraître chez Lenka lente en mars 2017. Soit un peu de l’histoire de Catalogue, Magma, Vidéo-Aventures, Soixante Étages, Étage 34, M.I.M.E.O., Vomir, Etron Fou Leloublan, entre autres…
EXTRAIT…
Tu joues avec le Quatuor Hêlios dont le répertoire inclut des interprétations d'œuvres de John Cage et Toru Takemitsu. Ta formation musicale est-elle celle d'un musicien classique ?
J'ai commencé la musique des l'âge de 5 ans en entrant dans une école de musique de la région parisienne, puis j'ai été l'élève de Sylvio Gualda au conservatoire de Versailles de 1979 à 1982. C'est donc une scolarité musicale classique que j'ai suivie jusqu'à l'âge de 20 ans. Sylvio Gualda étant à la fois timbalier à l'orchestre de l'Opéra de Paris et soliste interprétant des œuvres spécialement écrites pour lui, son enseignement reposait sur deux axes : la percussion d'orchestre et le répertoire contemporain. Une chose essentielle unissait ces deux aspects de son enseignement : l'importance de la vibration sonore, la vibration optimum des instruments obtenue par un ensemble de techniques éprouvées ou inventées par lui. Pour reprendre un certain vocabulaire, c'est à une approche du corps sonore - de ses profondeurs, épaisseurs et surfaces - que j‘ai été confronté, même si cette approche ne s'exprimait que par la transmission des notions de poids du geste, d'équilibres et d'appuis intérieurs. En tout cas, c'est sans doute ce que je continue de retenir de son enseignement même si cela appartient bien plus aujourd'hui à une mémoire corporelle, à une assimilation, qu'à un ensemble de préceptes. Le. Quatuor Hêlios existe depuis cette période. Isabelle Berteletti, Florent Haladjian, Jean-Christophe Feldhandler et moi nous sommes rencontrés à ce moment-là, avec une intuition de travail nourrie par les œuvres de John Cage qui constituaient notre premier répertoire. Nous avons tenté de rendre cette intuition plus précise en sollicitant des compositeurs pour l'écriture d'œuvres nouvelles. Cependant, après toutes ces années, nous faisons un constat amer concernant la capacité des compositeurs à penser la percussion autrement que par les clichés habituellement attachés à elle. Et la lutherie standardisée d'aujourd'hui n'est pas là pour pousser à plus d'imagination ! Aussi avons-nous resserré notre répertoire actuel autour d'œuvres de Cage, Takemitsu, Vinko Globokar, Daniel Koskowitz, qui toutes obligent à une créativité, tant sur le du plan du choix des timbres que sur celui du déroulement temporel, et qui bouleversent également le rapport à l'instrument que nous avons de plus en plus de mal à appeler la percussion, tant les corps sonores utilisés ne nous apparaissent plus appartenir à une quelconque catégorie. Jean-Christophe Feldhander et moi-même avons écrit des pièces pour le quatuor, ce que nous continuerons sans doute de faire dans l‘avenir.
Comment se fait-il que tu t'intéresses aussi à la musique improvisée ?
C'est un copain de lycée qui m'a fait entendre pour la première fois des musiciens comme Cecil Taylor, Eric Dolphy et Joe McPhee, ce dernier venant juste de sortir ses tous premiers disques sur le label Hat Hut à ce moment-là. Dans mon lycée, j'avais comme professeur de musique le saxophoniste Pierre-Louis Garcia qui m'a d'ailleurs soutenu quand le désir pressant de me consacrer totalement à la musique plutôt qu'à mes études au lycée est apparu. Un peu plus tard, je suivais deux écoles : l'école du jour (le conservatoire) et l’école de la nuit, celle des nombreux concerts de free jazz que je pouvais entendre au Dreher, à la Chapelle des Lombards, au Théâtre Dunois ou à Jazz Unité que Gérard Terronès avait ouvert à La Défense. J‘ai usé mes fonds de culotte au Dunois où jouait une grande partie des improvisateurs et improvisatrices d'Europe, cela dans des formes d'ailleurs très diverses, passant parfois par la dérision et le théâtre burlesque improvisé. Au Dunois, on pouvait voir les vidéos des concerts précédents, et c'est comme ça que j'ai découvert deux personnes qui allaient devenir des amis très proches : Michel Doneda et Benat Achiary. Bien sûr, tous ces concerts indiquaient des directions diverses et différentes de ce qui m'avait été enseigné au conservatoire. Le goût pour la liberté, dans ce qu'elle contient à la fois de joyeux, de grave et d'exigeant, m'a été transmis dans cette école de la nuit, sachant que j'éprouvais déjà une attirance particulière pour toutes formes de manifestations libertaires, qu'elles soient politiques, sociales ou artistiques. D'ailleurs, dès l'ouverture de la bande FM, j'ai animé pendant cinq ans, avec deux amis, une émission sur Radio Libertaire (Paris) consacrée au free jazz, puis à toutes les musiques improvisées, lors de laquelle j'ai pu rencontrer beaucoup de musiciens et musiciennes que nous invitions pour des entretiens. J'ai commencé à pratiquer l'improvisation libre pour les besoins d'un cours de danse que donnait une amie, et j'ai ensuite rencontré le clarinettiste Misha Lobko et le guitariste Jean-Christophe Aveline avec qui j'ai donné mes premiers concerts.
Chemin faisant, tu fais une rencontre déterminante, celle du saxophoniste Daunik Lazro.
J'avais été frappé par l'énergie expressive de Daunik lors d'un débat sur Charlie Parker autour d'un diaporama créé par le photographe Horace. Il avait été présenté comme celui qui allait nous faire, à nous public de 1980, l'effet que produisait Charlie Parker sur le public de 1940. Après avoir fustigé le public et les intervenants à propos du fait qu'au lieu de parler des morts, nous devrions parler des vivants et d'un autre Parker portant le prénom d'Evan qui était en train de révolutionner la pratique du saxophone, Daunik joua vingt minutes d‘une musique d'une urgence extrême qui m’a laissé totalement étourdi. Ce choc artistique a eu pour effet de me faire sentir que la pratique de l'improvisation libre contient un ensemble de relations complexes permettant d'établir des points de vue critiques sur le monde, c'est-à-dire une poétique. Cependant, je considère que toutes les rencontres, même si elles ne sont pas aussi intenses que celle-ci, ont une grande importance, si tant est qu'on soit attiré par le fait de vivre et de découvrir ce qu'un groupe de personnes peut créer collectivement, et sans hiérarchie, plutôt que d'imposer des certitudes ou des doutes avec un soi-disant savoir-faire.
Tu as également joué avec des musiciens issus d'une scène plus « noise », bruitiste. Je pense au guitariste new-yorkais Elliott Sharp, ou au..., ..., ...
( Daunik Lazro, par là )
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