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#bande originale de film
jeromeminiere · 7 months
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Je vous invite à jeter une oreille à mon nouvel album "Le huitième étage, jours de révolte (bande originale du film)". Il se glisse partout et peut accompagner toutes vos activités, car chaque pièce musicale fait rarement plus d'une minute. J' ai eu tellement de plaisir à faire la musique de ce film inspirant de Pedro Ruiz! Avec la participation magique de Guido Del Fabbro et Philippe Brault aux cordes et de mes deux enfants (devenus grands!) aux choeurs. Masterisé avec grâce par Marc de Le Lab Mastering.
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edsmusicblog · 3 days
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Corinne Marchand - Sans toi (Discorama 1962)
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corinne marchand - sans toi
1962
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praline1968 · 1 year
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🎤 Joe Esposito ~ Lady Lady Lady 🎧
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Un slow magnifique ☀️
Bande originale du film “Flash Dance” sorti en 1983
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plazamayorcompany · 6 months
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The Village of Shadows / Le Village des Ombres Ost
The Village of Shadows / Le Village des Ombres Directed by Fouad Benhammou Music by Stephane Le Gouvello Label Plaza Mayor Company Ltd A group of friends hit the road to spend the weekend in the village of Ruiflec. When they arrived, some of them mysteriously disappeared. The others, while trying to find their tracks, will do everything they can to stay alive and escape the grip of the…
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The dreamy psychedelic-funk soundtrack of the 1976 erotic Italian b-movie Inhibitions, composed by the prolific De Angelis brothers.
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CInéma (4/4) ; hommage à Alain Delon et à Gena Rowlands | France Musique
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edgarmoser · 7 months
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jean sablon 25/3/1906 - 24/2/1944
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jean sablon - le temps des souvenirs
1971
extrait de la bande originale du film "LE CHAT" de pierre granier deferre
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andarilho-do-amor · 7 months
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“E como último ato de amor, eu vou fazer você me odiar…”
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mldwnka · 2 months
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perdrelacellule · 10 months
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Je suis allée voir Napoléon avec un pote et c'était un super moment, mais pas un super film du tout, y'a beaucoup trop de scènes de cul (allô qui a envie d'imaginer la vie sexuelle de Napoléon Bonaparte of all people) et la musique était nulle genre à un moment ils ont juste utilisé la bande originale d'Orgueil et Préjugés?! Ça me révolte rahh oui OK c'est exactement la même époque mais c'est deux dynamiques complètement différentes avec des personnages qui n'ont rien à voir ?! En plus ils ont passé le morceau deux fois en ENTIER bref y'a rien qui va.
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soulmusicsongs · 5 months
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Sahara Soul: Soul from the Arab World
15 Sahara Soul songs
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Argos Farfish - Sharhabil Ahmed (The King Of Sudanese Jazz, 2020)
Asif Aabas - Idir (Ay Arrac Nneɣ…, 1979)
Autopsie D'un Complot - Ahmed Malek (Musique Originale de Films, 1978)
Abu Ali - Ziad Rahbani (Abu Ali / Prelude (Theme From Mais El Rim), 1979)
Afrah El Mahgreb - Abdou El Omari (Nuits D'ete, 1976)
Alech - Dalton (Soul Brother / Alech, 1968)
Badala Zamana - Zohra (Badala Zamana / Fousse N'Melissa, 1977)
Dag Dagui - Mazouni (Fariza / Dag Dagui, 1973)
Egypt Strut - Cairo Jazz Band (Egypt Strut / Kahn El-Khaleely, 197?).
El Fen - Aït Messlaïne (Yémma / El Fen, 1976)
Forssa Saeeda - The Scorpions & Saif Abu Bakr (Jazz, 1980)
Malak Ya Saly - Sharhabil Ahmed (The King Of Sudanese Jazz, 2020)
Ores Kez Hed Antzav - Adiss Harmandyan (Adiss Harmandyan, 1971)
Sid Redad - Fadaul Et Les Privilèges (Sid Redad / Tayeh, 1975)
Zina - Ouiness (Bahebek Mara / Zina, 1979)
More Soul Songs
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theviolentsweetness · 5 months
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Je ne sais quelle grâce indicible a pu toucher Wong Kar-wai quand il a réalisé "In The Mood For Love", mais chaque plan est d'une beauté inouïe.
Revoir ce film, c'est à chaque fois avoir envie de retomber amoureux et d'être accompagné dans les oreilles par la prodigieuse bande originale du film.
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5eme-fle-primaire · 7 months
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Le film est magnifique et tous les endroits sont à Paris.
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La chanson du film intitulée "La Seine" est chantée par Vanessa Paradis et le chanteur M (Matthieu Chedid).
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La Seine.
Elle sort de son lit, tellement sûre d'elle
La Seine, la Seine, la Seine.
Tellement jolie, elle m'ensorcelle
La Seine, la Seine, la Seine.
Extralucide, la lune est sur
La Seine, la Seine, la Seine
Tu n'es pas saoul, Paris est sous
La Seine, la Seine, la Seine
Je ne sais, ne sais, ne sais pas pourquoi
On s'aime comme ça, la Seine et moi.
Je ne sais, ne sais, ne sais pas pourquoi
On s'aime comme ça, la Seine et moi.
Extra-Lucille, quand tu es sur
La scène, la scène, la scène,
Extravagante, quand l'ange est sur
La scène, la scène, la scène.
Je ne sais, ne sais, ne sais pas pourquoi
On s'aime comme ça, la scène et moi.
Je ne sais, ne sais, ne sais pas pourquoi
On s'aime comme ça, la scène et moi.
Sur le Pont des Arts, mon cœur vacille.
Entre les eaux, l'air est si bon
Cet air si pur, je le respire
Nos reflets perchés sur ce pont.
On s'aime comme ça, la Seine et moi.
On s'aime comme ça, la scène et moi.
On s'aime comme ça, la Seine et moi.
On s'aime comme ça, la scène et moi.
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gai2024 · 7 months
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Un été inoubliable
La beauté de la saison la plus chaude de l'année est incomparable, et cet été-là... oh, cet été était définitivement inoubliable. Tout a commencé avec l'anticipation des mois qui se terminaient, des valises faites et des rêves se réalisant sous le ciel bleu immaculé et le soleil qui reflétait la lueur dorée dans le cœur des aventuriers.
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Le voyage a commencé avec un kaléidoscope de paysages qui passait à travers la vitre de la vieille voiture qui, malgré ses bruits et ses caprices mécaniques, était la capsule temporelle qui nous transportait dans un univers parallèle où les soucis quotidiens n'existaient tout simplement pas. Les chansons jouées étaient la bande originale d'un film d'été, où chaque chanson mélodieuse portait en elle la promesse de moments éternels.
La destinée? Un petit village côtier accueillant, dont les plages étaient des franges de pure magie baignées par l'océan. Chaque grain de sable, chaque coquillage sur le rivage, chaque vague déferlant avec une force délicate sur la plage était une invitation à recommencer, à inspirer quelque chose de nouveau. C'était comme si le temps avait son propre rythme, une sorte de cadence paisible qui apaisait l'âme.
Et c’est là, dans la douceur des après-midi langoureux et des nuits étoilées, que les amitiés se sont renforcées. Les rires partagés à l'ombre des cocotiers, les jeux et défis improvisés que seul le détachement des routines permet, les saveurs tropicales qui se marient parfaitement avec la brise marine... Tout a contribué à construire la tapisserie d'expériences que l'on en viendrait à appeler " le meilleur été de notre vie."
L'amour donnait également un air de grâce, d'une manière aussi naturelle qu'un coucher de soleil qui teinte le ciel d'une palette incroyablement vibrante. Les amours estivales sont faites de différentes matières, tissées avec la lumière dorée du soleil et la liberté du vent qui ne connaît pas de frontières. Et même si toutes ne durent pas au-delà de la saison, leur saveur est ravivée à chaque vague qui embrasse la plage dans un éternel retour.
Il y a eu aussi des moments d'introspection : les promenades solitaires le long de la plage à l'aube, quand le soleil répète ses premiers accords à l'horizon et que la brise porte encore la fraîcheur de la nuit qui s'en va. Dans ces moments-là, des conversations silencieuses avec soi-même étaient possibles et la mer devenait la meilleure auditrice des confidences et des rêves.
Alors que le mois d'août touchait à sa fin, la nostalgie commençait déjà à projeter son ombre, mais c'était une ombre douce, car chaque souvenir était déjà enregistré dans des couleurs vives, prêtes à être consultées lorsque le froid des autres saisons soufflerait à travers les feuilles mortes du futur. jours. .
Cet été inoubliable nous a appris à vivre, à aimer, à être libres. Il a montré que le bonheur est fait d'instants et que la beauté de la vie réside souvent dans la simplicité : une baignade dans la mer, un sourire partagé, la chaleur du soleil sur la peau.
Lorsque les sacs ont été refaits et que la vieille voiture nous a ramenés à la maison, nous avons compris que quelque chose en nous avait changé. Nous étions chargés non seulement de souvenirs, mais aussi d'une expérience qui nous avait transformés. Ainsi, chaque été porterait ensuite un peu de cette magie, une flamme éternelle qui nous réchaufferait avec le souvenir de jours d'un été absolument inoubliable.
Suivre sur Instagram: @mylife.usa2024
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plazamayorcompany · 1 year
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L'AIR DE LA MER REND LIBRE
YOU PROMISED ME THE SEA (Bande Originale du Film) L’AIR DE LA MER REND LIBRE YOU PROMISED ME THE SEA A film by Nadir Moknèche Music by Samy Thiébault Festival Francophone d’Angouleme 2023 – Selection French Brittany, nowadays. Still living at home, Saïd is carrying on a secret affair with Vincent. Unable to confront his family, he accepts an arranged marriage with Hadjira. She too has given…
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diceriadelluntore · 1 year
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Storia Di Musica #274 - AA.VV., Easy Rider (O.s.t.), 1969
Le storie di musica di Maggio le ho scelte pescando da un oceano immenso: le colonne sonore. Sono comparse già in passato in questa rubrica, ma non in senso organico. Nemmeno stavolta sarà possibile essere esaustivi, occorrerebbero centinaia di domeniche, ma ne ho scelte 4, particolari, dove il rapporto con la canzone rock è decisivo, anche e soprattutto come genesi dell’intero accompagnamento musicale al film. Easy Rider era uno slang un po’ sboccato per definire un playboy, ma dopo che Dennis Hopper decise di usarlo per il titolo del suo primo film, è divenuto sinonimo di motociclista, che vive la vita in libertà da antieroe. Hopper insieme a Peter Fonda firma la sceneggiatura di uno dei più grandi film degli anni ‘60, manifesto della stagione hippie americana, e nel 1969 esce nelle sale Easy Rider (che in italiano ha un sottotitolo Libertà E Paura): Wyatt e Bill, dopo avere trasportato un carico di cocaina dal Messico agli Stati Uniti, investono parte del guadagno in due motociclette nuove con l'intenzione di attraversare il paese, dalla California a New Orleans, per andare a vedere il carnevale. Le due moto, Captain America che aveva la bandiere a stelle e strisce sul serbatoio, e Billy Bike, che aveva il motivo a fiamme, sono i due nuovi carri della frontiera, in un viaggio dove i nostri sono visti sempre di cattivo occhio, vengono arrestati, incontrano altri personaggi bizzarri (come George Hanson, interpretato da un leggendario Jack Nicholson), sperimentano le droghe, un finale tragico (che lascio a chi non ha visto il film di scoprire). Hopper si dice che volesse in un primo momento usare come commento sonoro le canzoni che passava la radio mentre era in lavorazione in film. In un secondo momento, vennero contattati  Crosby, Stills, Nash & Young, ma non si fece più nulla. Peter Fonda chiese al suo amico Bob Dylan di usare It’s Alright Ma (I’m Only Bleeding) per una delle scene decisive, ma Dylan declinò (per poi cedere all’utilizzo in un secondo momento), e leggenda vuole che scrisse su un foglietto questi versi: ”The river flows, it flows to the sea/Wherever that river goes, that's where I want to be/Flow, river, flow” con questo consiglio “Portalo a Roger McGuinn”. Fonda così fece e McGuinn scrisse Ballad Of Easy Rider, partendo da quel verso, che divenne la canzone colonna portante del disco. Hopper, che in verità all’inizio aveva problemi di bugdet, cerco di limitare le canzoni. Ma il film, che ebbe successo incredibile fin da subito, spinse la ABC Dunhill a pubblicare la colonna sonora. Dato l’alone mitico della pellicola, finì che le canzoni in essa contenuta diventeranno altrettanto mitiche: caso emblematico furono i due brani scelti degli Steppenwolf, The Punisher ma soprattutto Born To Be Wild, una delle prima canzoni proto metal, uscita un anno prima (1968) nell’album d’esordio della band e che è associata ormai a qualsiasi viaggio su una autostrada un po’ libera. Hopper scelse la magia di Hendrix, nella suggestiva If 6 Was 9, da Axis: Bold As Love del 1967, dove la chitarra di Jimi sembra un uccello magico spaziale nel finale, e poi altre chicche della stagione psichedelica musicale: il folk psichedelico dei The Holy Modal Rounders con If You Want To Be A Bird (Bird Song), l’ode all’erba di Don’t Bogart That Joint dei Fraternity Of Men (che fu il nucleo primitivo da cui poi nacquero gli stupefacenti Little Feat), la musica da carnevale di Kyrie Eleison/Mardi Gras (When The Saints) degli Electric Prunes che inizia come il kyrie delle messe preconciliari. Chiudono il tutto la ripresa di McGuinn di It’s Allright Ma (I’m Only Bleeding), i Byrds, che rifaranno come singolo di successo Ballad Of Easy Rider, che riprendono con garbo Wasn't Born To Follow (del magico duo Carole King/Gerry Goffin) e uno dei brani simbolo degli anni ‘60 della stagione americana, The Weight de The Band, che nel film è nella versione originale della mitica band canadese, nel disco è cantata da un gruppo che si chiama Smith, perchè la Capitol Records che aveva i diritti non li cedette per la colonna sonora su disco. Il disco fu anch’esso un successo, arrivando al numero 6 della classifica di Billboard e diventando disco d’oro nel gennaio 1970. Il film, che vincerà due premi Oscar a Nicholson come attore non protagonista e per la sceneggiatura originale, finirà per creare due archetipi: uno dal punto di vista visivo, l’altro sullo stesso uso della musica per i film, contribuendo anche all’idea stessa di una certa America, che continua ancora oggi a suggestionare, a confondere, ad affascinare ed impaurire.
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