#bain de cannelle
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maitre-gotta · 7 days ago
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Comment briller son étoile, grand marabout serieux loyal
Comment briller son étoile, Êtes-vous à la recherche de solutions à vos problèmes ? Avez-vous besoin d’un coup de pouce pour briller dans votre vie ? Ne cherchez plus, le grand marabout sérieux loyal Gotta est là pour vous aider à briller votre étoile. Le grand marabout sérieux loyal Gotta est réputé pour ses pouvoirs occultes et sa capacité à résoudre les problèmes les plus complexes. Que ce…
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leparfumdesreves · 11 months ago
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BOUGIES ICONIQUES DIPTYQUE, l’Art d'enchanter son intérieur...
Quand il fait nuit plus tôt et que les feuilles tourbillonnent joyeusement, tout invite à se sentir bien chez soi. Iconiques, les bougies Diptyque créent la magie.
Scintillement des flammes, senteurs réconfortantes, pour un moment à soi ou un partage en famille, elles ont toujours l’Art d’enchanter l’instant présent...
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Partager la chaleur d'un feu de cheminée à la lumière des bougies scintillantes avec les parfums Tubéreuse, Myrrhe et Santal...
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Un goûter, choisissez les parfums Thé et Vanille...
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Prendre le temps de prendre soin de soi dans un bain avec des parfums, Rosé, Ambre et Jasmin...
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Partager et savourer des instants gourmands, pour la cuisine, on adore les parfums Cannelle, Orange, Coin...
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Majestueux, le Sapin s'habille de couleurs et d'étoiles. De délicieuses odeurs de pin s'en dégagent.
Parfums Feu de Bois, Pomander, Opoponax...
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Le soir du Réveillon, la table brille de mille feux, comme dans un Conte de Fées. Parfums Baies, Myŕrhe et Musc...
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omagazineparis · 6 months ago
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3 recettes originales de bûches de Noël pour les fêtes !
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En cette période de festivités, nous vous soumettons 3 recettes originales de bûches de Noël ! Dans le cadre de cette sélection savoureuse, nous avons opté pour des propositions insolites et différentes. Pour le plus grand plaisir des gourmands. Vous êtes lassé de la bûche traditionnelle au chocolat ou la vanille ? Alors découvrez sans plus attendre nos choix culinairement alléchants qui sauront ravir vos papilles ! Bûche au thé matcha Ingrédients La crème Un demi-litre de lait écrémé. 100 grammes de sucre en poudre. 50 grammes de farine de blé. Cinq grammes de thé matcha. Trois œufs. Le biscuit 125 grammes de farine de blé. Quatre œufs. 125 grammes de sucre en poudre. Cinq grammes de sucre glace. Le nappage 5 grammes de thé matcha. 15 grammes de sucre glace. 30 centilitres de crème liquide entière. Préparation  La réalisation du biscuit 1. Préchauffez le four à 200 degrés.2. Au bain-marie, fouettez dans un bol les œufs et le sucre. Ensuite, incorporez le maximum d'air pour que le mélange devienne mousseux. Puis, cuisez jusqu'à ce que la préparation devienne épaisse. Dans un même sens, continuez à fouetter en dehors du feu pour refroidir la préparation. Enfin, introduisez la farine à l'aide d'une maryse.3. Versez sur une feuille de papier sulfurisé. Puis, étalez sur cinq millimètres à l'aide d'une spatule. Ensuite, cuisez au four entre cinq et huit minutes. Une fois cuit, saupoudrez le biscuit avec du sucre glace. Pour finir, retournez le biscuit sur un torchon et enroulez dedans pour garder l'humidité. Pour confectionner la crème 1. Premièrement, pour réaliser la crème pâtissière, mettez le lait à bouillir. Blanchissez les œufs avec 100 grammes de sucre en fouettant les deux éléments pendant deux minutes.2. Ajoutez la farine et le thé vert. Par la suite, verser dessus le lait bouillant et remettez à cuire pendant trois minutes une fois à ébullition. Incorporez la crème pâtissière dans une plaque sur un film alimentaire. Filmez de nouveau. Dernièrement, laissez refroidir.3. Afin de réaliser la chantilly, insérez trente centilitres de crème liquide dans un robot et le sucre glace. Le tout, jusqu’à obtenir une crème fouettée. Pour finir, mélangez une dernière fois et réservez au frais. Recette du nappage 1. Posez votre biscuit cuit sur un torchon humide et propre. Ensuite, étalez dessus la crème au thé vert et roulez le tout à l'aide du torchon. Puis, laissez refroidir pendant une heure au réfrigérateur.2. Avec une spatule, étirez la crème chantilly sur la bûche. À l’aide d’une fourchette, confectionnez des traits pour imiter la forme du bois.3. Pour finir, saupoudrez de thé vert avant de décorer de quelques fruits rouges. Verdict Dans notre sélection de bûches, nous apprécions la touche matcha apportée au dessert. Sans dénaturer le goût du thé, les amateurs de cette boisson originaire du Japon ne pourront qu’approuver cette version gustative. Un pur moment de plaisir savoureux à partager sans modération ! Bûche au carrot cake Ingrédients 200 grammes de noix hachées. 150 grammes de carottes râpées. Cinq œufs. 50 grammes de raisins secs hachés. Une cuillère à café de cannelle. 180 grammes de sucre en poudre. 50 grammes de raisins secs hachés. Pour réaliser le sirop Cinq cuillères à soupe de jus d'orange. Une cuillère à soupe de sucre en poudre. Pour la crème Deux boîtes de fromage à tartiner. 125 grammes de sucre en poudre. Cinq cuillères à soupe de jus d'orange. Préparation  1. Premièrement, préchauffez le four à 150 °C. 2. Ensuite, séparez les blancs des jaunes. Montez les blancs en neige. Quand ils commencent à mousser, versez petit à petit 80 grammes de sucre. Continuez à battre pour qu'ils soient bien fermes. 3. Dans un autre saladier, battez durant trois minutes les jaunes et les 100 grammes de sucre. Puis, ajoutez la cannelle et les raisins secs coupés. 4. Ajoutez une grosse cuillère de sucre blanc. Mélangez activement pour rendre la préparation plus mousseuse avant d'y ajouter le reste des blancs. Par la suite, soulevez délicatement les blancs à la préparation. 5. Incorporez le mélange sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Pour finir, lissez la surface avec une spatule. Faites cuire pendant trente minutes. 6. Pour réaliser votre sirop, faites chauffer cinq cuillères à soupe de jus d'orange avec une cuillère à soupe de sucre en poudre. 7. Dans un bol, versez les boîtes de fromage, le jus d'orange et le sucre en poudre. Puis, fouettez pour obtenir une préparation homogène et mettez de côté votre sirop. 8. Sortez le gâteau du four. Retournez la préparation sur un torchon humide. Avec l'aide d'un pinceau, badigeonnez le gâteau de votre sirop. 9. Ensuite, laissez refroidir ce dernier et recouvrez de la moitié de la préparation au fromage frais. 10.  Roulez le tout délicatement. Déposez sur un plat et recouvrez le gâteau avec la préparation au fromage frais restante. Enfin, entreposez votre bûche pendant quatre heures minimum au réfrigérateur. Verdict La carotte est un légume réputé pour insuffler de la bonne humeur. En ce sens, vous ne pourrez être qu’enthousiaste face à cette proposition de bûche. Au lieu de miser sur les bûches de noël des grandes enseignes, osez accommoder l’ordinaire en apportant de la variété grâce à cette recette ! Bûche aux fraises Tagada Ingrédients La génoise Trois œufs. 100 grammes de sucre. 100 grammes de farine. Deux cuillères à café de levure chimique. La crème 200 grammes de mascarpone. 150 grammes de fraises Tagada. Deux cuillères à soupe de lait. Deux cuillères à soupe de confiture de fraises. En guise de décoration 50 grammes de fraises Tagada. Préparation 1. Pour commencer, préchauffez votre four à 180 degrés. 2. Dans un saladier, fouettez les œufs avec le sucre jusqu’à ce que le mélange double de volume. 3. Ajoutez la farine mélangée à la levure. Fouettez jusqu’à obtenir une pâte bien lisse. Étalez cette dernière (un centimètre d'épaisseur) sur une plaque de four recouverte de papier de cuisson. 4. Enfournez pendant environ dix minutes. 5. Une fois sortie du four, déposez la génoise sur un torchon humide. Roulez-la sur elle-même et laissez refroidir. 6. En parallèle, faites fondre les fraises Tagada avec le lait dans une casserole, à feu doux, en continuant à remuer. Ensuite, retirez du feu. 7. Ajoutez le mascarpone. Mélangez et laissez refroidir avant de réserver au réfrigérateur. 8. Déroulez la génoise et nappez de deux cuillères de soupe de confiture. Puis, recouvrez de ganache à la fraise Tagada. Roulez à nouveau et placez votre préparation pendant deux heures au frais. 9. Enfin, une fois votre bûche sortie, disposez les fraises Tagada restantes pour décorer votre plat et savourez ! Verdict Entre gourmandise et retour à l’enfance, cette proposition sucrée aux fraises Tagada tranche avec le reste de notre sélection de bûches ! Onctueuse et délicate, vous serez conquis par son goût enivrant. Autrement dit, une belle manière de profiter d’un moment de grâce culinaire ! Vers quelle bûche de Noël votre âme de gourmand se penche-t-elle ? Avez-vous d’autres propositions sucrées à nous soumettre ? N’hésitez pas à partager votre avis dans les commentaires. Nous vous souhaitons à tous de passer de belles fêtes. Le tout, dans la joie, la santé (encore plus cette année) et la bonne humeur ! Read the full article
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chefadriano · 1 year ago
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Cus cus à la sicilienne ( Trapanese ) Ingrédients et portions pour 4/5 personnes_ 600 gr de poisson pour la soupe-100 gr de langoustines-120 gr de palourdes-150 gr de grondin-280 gr de semoule pour le couscous-100 gr d'oignon-30 gr d'ail-1 bouquet de persil-100 gr d'amandes-30 gr de concentré de tomates-1 bâton de cannelle-3 feuilles de laurier-1 clou de girofle-1 citron-100 ml d'huile d'olive -sel. MÉTHODE - Préparer un mélange d'huile, d'amandes, de persil, d'ail et d'oignon à l'aide d'un mixeur. Mettre dans une casserole et faire revenir pendant 6 minutes. Ajouter ensuite le concentré de tomates et cuire pendant 3 minutes jusqu'à ce qu'il soit bien cuit. Enfin, ajouter le poisson nettoyé, couvrir d'eau froide et faire cuire pendant environ 30 minutes. Une fois le poisson cuit, le filtrer pour obtenir le bouillon qui servira à mouiller le couscous. couscous. Remplir un bol d'eau tiède et de sel (ou même d'eau de mer) qui servira à mouiller la semoule petit à petit et à créer des micro-granules. Du bout des doigts, tourner doucement le mélange dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à l'obtention de petites granules humides (répéter l'opération plusieurs fois et pour de petites quantités à la fois). Préparer ensuite un mélange d'oignons, d'amandes, d'ail et d'huile et le mélanger au couscous préparé précédemment. Cuire le couscous au bain-marie, en aromatisant l'eau avec des citrons, des clous de girofle, de la cannelle et des feuilles de laurier pendant 75 minutes à partir de la première cuisson à la vapeur. Une fois la cuisson terminée, placer le couscous dans un bol et l'imbiber du fumet de poisson obtenu précédemment, en le recouvrant petit à petit jusqu'à ce que le liquide ne soit plus absorbé par le couscous. Laisser reposer pendant environ 2 heures pour que le tout prenne de la saveur.Préparation du plat. Servir le couscous à l'intérieur d'une mafaradda (tajine en terre cuite) en y ajoutant le grondin, les langoustines et les palourdes préalablement blanchis. Pour terminer le plat, servir avec le bouillon de poisson obtenu précédemment.
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herbwitchery · 2 years ago
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🎄Home made treats🍫 Étant allergique au lactose, j’ai pris l’habitude de me faire mes propres chocolats de Noël, et en bonne amoureuse des truffes … tadaaaaa. Comme c’est simplisme, et comme je sais qu’on est nombreux(ses) à souffrir de ce genre d’interdits alimentaires, voilà ma recette 📖 • Ingrédients : - 250 g de chocolat noir sans lait - 20 g de beurre d’amandes - 10 cL de crème de coco - une bonne pincée de sel - (optionnel) des épices à votre goût (cannelle, cardamome, écorce d’orange …) - du cacao en poudre non sucré • Zéparti : Faites fondre le chocolat au bain-marie. Pendant ce temps, faites bouillir la crème dans une casserole. Hors feu, mélangez la crème avec le chocolat fondu, puis ajouter le beurre d’amandes et le sel (et éventuellement les épices de votre choix) jusqu’à obtenir une ganache lisse. Réservez au réfrigérateur au moins 2 heures, au mieux une nuit. Versez du cacao en poudre dans un bol, formez des boules avec la pâte et roulez chaque boule dans le cacao. Conservez au frais dans une boîte en métal. Have fun 😋 #chocolate #chocolaterecipe #chocolaterecipes #truffes #truffesauchocolat #truffles #chocolatetruffles #yummy #treatyourself #homemade #handmade #cooking #baking #cook #bake #christmastreats #christmaschocolate #christmaschocolates #sweet #vegan #veganfood #veganrecipes #veganrecipe #christmasfood #christmasvibes #christmaskitchen #homecooked #veganlife #lactosefree #milkfree https://www.instagram.com/p/CmYqz09qkkv/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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jeanmagace-sante-plantes · 2 years ago
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50 - Une trousse d’urgence à base d’huiles essentielles :
Cette trousse contient les 10 flacons qui, à mon avis, sont indispensables pour tous les petits pépins fréquents pendant un voyage (ou à la maison) : bobo, coup de soleil, piqûre d’insecte, mal des transports, stress, infections, etc.
Si vous deviez n’avoir que 10 remèdes naturels dans votre armoire à pharmacie ou dans votre trousse de voyage, ce serait ces dix-là.
Rien qu’avec eux, vous pouvez agir contre la grande majorité des maux du quotidien.
Elle vous sera très utile, que ce soit à la maison ou quand vous partez en vacances.
Voici ce que j’ai mis dans cette trousse :
Lavande vraie (ou lavande fine) : brûlures, bobos, stress (en cas de brûlure, appliquer sur la zone plusieurs fois par jour ; pour la détente, mettre une ou deux gouttes sur les poignets et sur l’oreiller le soir, ou diffuser dans l’air)
Lavande aspic : piqûres d’insecte, irritations, gerçures (appliquer sur la zone plusieurs fois par jour)
Tea tree : mycoses, abcès, aphtes et infections buccales (bain de bouche avec de l’huile végétale et recracher, ou appliquer sur les aphtes et abcès avec un coton-tige)
Cannelle de Ceylan (écorce) : gastro-entérite, tourista et autres infections intestinales (1 goutte diluée dans une cuillérée à soupe d’huile végétale, par exemple huile d’olive, à avaler matin et soir ; attention, c'est très fort ; la cannelle est dermocaustique : éviter tout contact avec la peau ; pas d’usage prolongé ; contre-indiquée en cas de problème hépatique, de diabète ou de prise fluidifiants sanguins)
Hélichryse italienne (ou immortelle) : hématomes, bleus, ecchymoses (appliquer sur la zone plusieurs fois par jour ; ne pas l’associer à des anticoagulants)
Ravintsara : infections ORL (appliquer quelques gouttes au niveau du torse, inhaler sur un mouchoir ou en diffusion dans l’air)
Gaulthérie couchée : crampes, douleurs musculaires et articulaires, fatigue musculaire (appliquer sur la zone, diluée à 10% dans une huile végétale ; ne pas utiliser sur une peau lésée ; utilisation durant 8 jours de suite max ; contre-indiquée en cas d’allergie à l’aspirine, en cas de troubles de la coagulation et avec des médicaments qui fluidifient le sang)
Menthe poivrée : migraines, mal des transports (une ou deux gouttes sur les tempes ; faire bien attention aux yeux ; cette huile est interdite chez la femme enceinte ; déconseillée en cas de calculs de la vésicule biliaire)
Ciste ladanifère : plaies, saignements, coupures (appliquer sur la zone plusieurs fois par jour ; éviter un usage prolongé)
Rescue (mélange de Fleurs de Bach) : ce n’est pas une huile essentielle, mais un mélange de Fleurs de Bach, très utile en cas de choc émotionnel, gros stress, accident, angoisse, mauvaise nouvelle, etc. (2 pshitt dans la bouche ; aucune contre-indication ; utilisation possible chez les enfants)
Précautions générales : les huiles essentielles sont globalement contre-indiquées chez la femme allaitante ou enceinte (en particulier durant le premier trimestre) et chez l’enfant.
En revanche, le ravintsara, le tea tree et la lavande vraie sont des essences sûres, qui peuvent être utilisées en cas de grossesse à partir du deuxième trimestre, ainsi que chez les enfants. Dans ce cas, je vous invite à bien vous renseigner sur les utilisations et précautions propres à chaque tranche d’âge.
Si vous utilisez une huile essentielle pour la première fois et que vous craignez une réaction allergique, je vous conseille de la tester d’abord dans le creux de votre coude et de surveiller une éventuelle réaction sur votre peau.
Quelques remèdes naturels pour aller plus loin.
Si vous souhaitez compléter cette trousse déjà bien remplie, n’hésitez pas à y ajouter tous les indispensables d’une trousse d’urgence : sparadraps, ciseaux, bandages, liquide physiologique, etc.
Et s’il vous reste encore un peu de place, je partage encore avec vous quelques remèdes naturels utiles pour le quotidien :
Macérat huileux de calendula pour tous les petits problèmes de peau en général (vous pouvez l’utiliser pour diluer vos huiles essentielles en application)
Gel d’aloe vera : excellent pour la peau, coups de soleil, brûlures, zona, peau sèche (appliquer sur la peau ; possible de mélanger avec le calendula)
Argile verte : incontournable pour les troubles digestifs, intoxications alimentaires, et infections intestinales de type tourista (diluer une cuillerée à café dans un verre d’eau, laisser décanter, mélanger et boire le mélange ; éviter tout contact entre l’argile et les métaux)
Arnica : plante anti-inflammatoire par excellence, utile sur les douleurs en tout genre (articulaires, musculaires, foulures, contusion, hématomes…), existe sous plusieurs formes : macérat huileux, gel, onguent, granules homéopathiques…
Charbon actif : anti-poison de référence, à utiliser en cas d’infections intestinales, d’intoxication alimentaire ou d’empoisonnement (diluer une cuillérée dans un verre d’eau et boire avec une paille)
Bien sûr, libre à vous d’ajouter encore d’autres remèdes (homéopathie, tisanes, pommades…).
Le but est d’adapter cette trousse en fonction de vos besoins.
Florent Cavaler. PURE SANTÉ
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alexar60 · 4 years ago
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De l’autre côté de la rue
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Bien que sa famille habitât un appartement huppé, elle vivait toujours la même rengaine depuis la naissance de son deuxième enfant. C’était le classique métro-boulot-dodo en passant par s’occuper des gosses. Elle n’avait plus de temps pour elle, plus de temps pour l’amour car son mari rentrait à des heures impossibles à cause de son job ; faut assumer lorsqu’on est cadre. Enfin, elle s’en sortait mais il manquait un petit quelque-chose de piquant à sa vie.
Ce quelque-chose arriva un mercredi après-midi. Elle venait de débarrasser la table de la cuisine et au moment de déposer les assiettes dans le lave-vaisselle, elle aperçut par la fenêtre une silhouette sur un balcon de l’immeuble en face. D’habitude, il n’était jamais dehors, il n’ouvrait jamais la fenêtre. Elle ne pouvait pas le savoir mais il venait d’emménager. Elle fut de suite attirée par son visage à la fois sérieux, angélique et candide. Son regard se perdait dans la foule qui marchait dans la rue piétonne les séparant. Il s’égayait à habiter ce deux-pièces loué. Il ne leva pas la tête, autrement il aurait croisé ces yeux intrigués. Il se retourna, étira les bras et rentra tout en laissant la porte du balcon ouvert. Elle essaya de mieux épier cet homme à l’apparence parfaite. Elle voulait qu’il ressorte mais il n’en fut rien. De plus, elle devait amener les enfants à leurs habituelles activités sportives ; la première à la danse, le second au football et le troisième au baby machinchouette avec le fils des voisins qui a le même âge.
La deuxième fois qu’elle vit cet homme arriva plus tard dans la soirée. Il venait de ranger ses affaires et buvait une bière en regardant la vie défiler sous ses yeux. Elle sentit une étrange sensation au bas-ventre en découvrant son jeune corps bien fait. Il était loin le temps où son mari avait ce même corps. Maintenant, il prend plus sur les hanches à trop manger sans faire le moindre exercice. Il est déplumé alors que celui-ci, quoi que le crane entièrement rasé, présente mieux. Cependant, elle ne profita pas longtemps de ce moment d’égarement car il rentra subitement pour discuter avec une ombre présente dans l’appartement.
Il était devenu comme une drogue. C’était impossible pour elle de vivre sans, au moins, voir sa présence. Par moment, il sortait sur le balcon afin de fumer une cigarette ou juste pour profiter du soleil. Très souvent, elle ne voyait qu’une silhouette, aspect humain défiler chez lui. Elle avait remarqué où sa chambre se trouvait ainsi que la salle de bain et le salon. Elle arrivait à le voir cuisiner car elle avait vue sur une partie de la kitchenette. Elle imaginait qu’il cuisinait pour elle, ce que son époux n’avait plus fait depuis si longtemps…Elle ne se souvenait même pas l’avoir vu cuisiner.
Quand la porte du balcon restait ouverte, il lui arrivait d’entendre de la musique. Par rapport à sa génération, c’était trop récent pour qu’elle reconnût les interprètes, mais trop ancien pour ses enfants notamment sa fille qui se passionnait pour les chanteurs du moment. Parfois, elle ouvrait la fenêtre dans le but d’essayer de sentir son parfum. Elle l’imaginait musqué avec une touche de citron et de cannelle ; quelque-chose à goûter.
Plus le temps passa, plus il envahissait son esprit. Elle ne pouvait plus oublier son visage, ni son torse qu’elle découvrit un matin. Il avait oublié de fermer les volets et se promena entièrement nu. Cependant, elle ne vit rien du reste et se contenta de deviner son ventre apparemment plat. A travers ses pantalons et ses shorts, elle avait déjà une idée de la fermeté de son fessier. Dès lors, en pensant à sa beauté, elle ressentait souvent des chaleurs comme cela arriva pendant une réunion ennuyeuse de travail. La tête posée sur le poing, elle pensa à lui. Heureusement, ses collègues ne remarquèrent pas le bouton de son chemiser défait par ses doigts car ils avaient besoin de contact ni le bout de sa langue caressant la lèvre supérieure et encore moins ses jambes se croisant et décroisant perpétuellement.
Jusqu’à ce jour, il n’avait jamais regardé dans l’immeuble d’en face. Il apercevait de temps en temps des fenêtres ouvertes, des ombres ou des lumières allumées la nuit. Mais jamais, il n’avait eu envie de regarder la vie des voisins. Pourtant ce jour, il remarqua une forme derrière la porte d’un balcon. Il plissa les yeux et découvrit une femme plus âgée d’une dizaine d’années. Au début, il ne prêta pas vraiment attention mais par la suite, il réalisa qu’elle était souvent à ses fenêtres et semblait observer dans sa direction. Dès lors, par curiosité, il s’amusa à changer certaines habitudes. Il ne ferma plus les volets, se promena souvent en petite tenue mais surtout, il accepta cet espionnage amateur.
Elle ne décela rien de son petit jeu, continuant à scruter sa vie qu’elle imaginait heureuse. Toutefois, il levait de plus en plus souvent la tête, observant la façade de son immeuble. A ce moment, elle s’éloignait d’un pas ou se cachait derrière les rideaux ouverts pour ne pas être vue. Et quand elle osait de nouveau regarder dans sa direction, il avait disparu ou s’occupait d’autre chose.
Son mari pas plus que ses enfants, ne réalisa pas son changement d’état. Elle maigrissait, se maquillait différemment. Même quand elle ne travaillait pas, elle s’habillait magnifiquement comme si elle avait prévu de sortir. Un dimanche, elle prétexta une fatigue pour ne pas aller à un repas familial. Elle resta seule chez elle, observa régulièrement chez lui et fut ébahi de le surprendre en train de faire l’amour avec une jeune femme. Alors, la chaleur des désirs enflamma son corps prenant possession de son sexe qui réclama un contact. Et naturellement ses doigts vinrent caresser son entre-jambe à la fois brûlant et humide. Elle ferma les yeux et imagina être à la place de cette fille apparemment une étudiante. Par moments, elle ouvrait les paupières cherchant à synchroniser son plaisir avec le sien. Ils étaient fougueux, ils étaient heureux. Soudain, alors qu’il était sur le dos, son regard croisa le sien. Dès lors, elle sut qu’il savait. Elle se cacha derrière le mur et continua de se masturber. Elle était honteuse mais aussi heureuse d’avoir été remarquée.
Le soir, quand il fut de nouveau seul, il attendit sa présence au balcon. Bien qu’elle n’eût pas d’horaire fixe, c’était plus fort qu’elle, elle viendra.  D’ailleurs, il n’attendit pas longtemps. Sur le coup, elle fut surprise de le voir si calme une bière à la main. Il but une gorgée comme si de rien n’était puis leva la bouteille pour la saluer. Elle rougit, mais ne se cacha pas. Son sourire répondit à son salut. Puis, il écarquilla les yeux dans le but de dire qu’il était désolé de la situation. Elle répondit en haussant les épaules. Lors, une discussion par gestes interposés suivit et ils sympathisèrent jusqu’à se rencontrer un soir. Elle rentrait du travail, il rentrait de ses cours. Elle apprit qu’il était encore étudiant, en thèse d’archéologie. Dans sa jeunesse, elle rêvait de devenir archéologue. Il apprit qu’elle était cadre dans une agence de comptabilité, mariée et trois enfants. Elle cassa un préjugé car il croyait que les femmes perdaient leur beauté après plusieurs grossesses.
C’est dans un bistrot qu’il osa faire le premier pas. Ils s’étaient croisés derrière l’université. Elle était passée pour essayer de le voir pourtant c’est lui qui l’a reconnue. Ils discutèrent de tout et rien. Ensuite, il engagea la conversation sur un objet qu’il avait vu à travers la fenêtre. C’était une assiette fabriquée par son second enfant et contenant l’empreinte de sa main. Elle était moche mais son cadeau la toucha énormément. Il rit en se souvenant qu’à son âge, il avait offert la même chose pour la fête des mères et que la sienne ornait encore le mur du salon de ses parents. En le voyant rire, elle rit aussi. Il la trouva encore plus belle, alors, il posa sa main sur la sienne. Elle rougit, ne dit rien ; elle se contenta de parler avec les yeux. Il lut qu’elle souhaitait un baiser, il s’approcha.
Leurs premières relations eurent lieu dans différents hôtels parce qu’elle ne voulait pas être vue en train d’entrer dans son immeuble. Elle connaissait trop de monde dans le quartier pour risquer de divulguer son secret. Au début, Il se montra naïf ; cela lui plut. Puis, il déploya sa fougue emportant son désir comme une tornade. Elle tomba amoureuse de lui, de son corps, de sa vigueur ainsi que de son humour. Elle retrouvait cette jeunesse perdu depuis son mariage. Elle trouvait un second souffle dans ses bras. Alors, ils continuèrent de se fréquenter.
Et le soir ou durant la journée, elle continua de l’observer. Il s’en amusa encore plus, la provoquant en se promenant nu ou avec quelques gestes obscènes. De son côté, elle n’en faisait qu’un seul, celui de montrer sa cuisse parce qu’il aimait caresser sa cuisse avant de faire l’amour. Ainsi, il savait qu’elle lui donnait rendez-vous, ou au moins, qu’il lui manquait un peu beaucoup.
Alex@r60 – mai 2021
Photo : Eva Green.
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plumeetprose · 3 years ago
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« Makrout el koucha » ou le makrout au four originel . « La vraie cuisine est une forme d’art. Un cadeau à partager. » #OprahWinfrey . Composé d’une pâte à base de semoule de blé enroulée autour d’une pâte de dattes délicatement parfumée, le makrout (المقروط) voit sa particularité dans sa présentation, dorée, en losange. . Le plus souvent frit, il est ensuite plongé dans un bain de sirop à base de miel et d’eau de fleur d’oranger afin de s’imprégner de ces saveurs esquises qui en font l’un des incontournables des tables de fête, aussi suave que gourmand. . Décliné de différentes façons, du côté du Maghreb et de certains pays d’Orient, il sera parfois fourré aux figues ou aux amandes, parfumé à la cannelle ou à l’anis vert puis, parsemé de sucre glace ou de fruits secs. . Force est d’avouer que celui qui remporte le plus grand succès, du côté de chez nous, est le Makrout originel, appelé « makroud el koucha ». . Je participe au #SundayFoodChallenge créé par @cherinebchichie et administré par @plumeetprose avec cette recette de @welcometomykitchen123 pour ce 38ème volet où la #Datte est à l'honneur. Sans plus tarder, voici la liste des participantes : @plumeetprose_officiel @healthandpleasurebyme @lechaudpatate @ohlagourmande @malel_cooking @leblogdecata @lesrecettesdeladebrouille1 @hanane_hamza_patissiere_ @quoiquonmange @plats_et_gourmandises @wassimadardour @chrystelch . Ingrédients (40 pièces) : => pour la pâte de semoule : – 3 mesures de semoule moyenne (600g), – 1 mesure de smen ou de beurre fondu (250g), – 1/2 cuillère-à-café de sel, – 1 filet d’eau de fleur d’oranger ou d’extrait de vanille liquide, – Un peu de lait. => pour la farce de dattes : – 350g de pâte de dattes, – 1 cuillère-à-soupe de beurre, – 1/2 cuillère-à-café de cannelle, – 1 pincée de poivre (facultatif). => pour le sirop : – 500g de miel, – Eau de fleur d’oranger. ___________________ La suite en commentaire ___________________ #Blogger #RecetteSimple #CuisineSimple #Citation #CitationDuJour #FeedFeed #FoodInstagram #InstaFeed #Funn #EasyRecipe #TheFeedFeed #InstaYummy #Eaaats #InstaGood #InstaFood #Foods #InMyKitchen #FoodOfTheDay #Blogueuse #RecetteFacile #Foodies #InstaPic #Ramadan (à Villeurbanne) https://www.instagram.com/p/CV_KvOeoAD4/?utm_medium=tumblr
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blkgirlsinthefuture · 4 years ago
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My BlackGirlMagicPotion (in the making)
English and French version
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My potion feels like a lie, like a fraud. She is a mix of two amazing sorcerers that forgot to give me my first grimoire.
My potion is the discomfort against the hungry looks that jackals give me, for being this fetishized creature. My potion is how pretty my hair is because it’s bigger, more alive, more fun than white girls’, but smaller, more acceptable than black women’s. It’s how everyone around me feels entitled to touch it and tell me that it would be great as a pillow. My potion is how light my skin is, while still having this honey layer come out when the sun resuscitates me. Making my white friends jealous. It’s my father’s features being slimmed down by my mother’s.
But my potion is also the sun-warm hugs that my dad wraps me in. It’s the long hours spent in bathtubs with my mom detangling my curls. It’s my grandmother’s warm apple pie undertaken by the taste of cinnamon that she only does for me. It’s the sound of my parents dancing to the rhythm of zouk. It’s the calm that my soul is, under the shining sun and breathing of the waves. It’s how the salt covers my body like a star dress. It’s how watering my plants feels like nurturing my soul. It’s how decorating my room makes me proud. It’s how my stretch marks flash like lightning. It’s how my body awakens to music by dancing. It’s how a shared fresh beer feels like a vacation. It’s how my aunt braids my hair while reminding me of my place in this world. It’s how pineapple is sweet both in my mouth but also on top of my head, no matter what that dumb child said in middle school. It’s how fictional characters feel more reachable than real people. It’s how fictional characters are so much more lovable. It’s how taking care of my appearance feels like a ceremony. It’s when my giggles forbid me to breathe. It’s the late-night bike rides. It’s my mom’s lasagna. It’s the naps with my baby brother. It’s my friend’s godly presence. It’s the rugby games on the TV. It’s the chance to debate with people and to learn from them. It’s the taste of my dad’s and aunt’s cooking. It’s my zodiac sign serving as an excuse for my love for food, my bed, and my stubbornness. It’s how addicted I have become to inked needles and shiny ones. It’s how the beads in my hair sing like bells, even if it makes too much noise sometimes. It’s how freedom feels driving my car. It’s how magical stars look in the silence. It’s how my brain is one step away from becoming the character from my stories. It’s how proud I am to be a woman. It’s the smell of spices, mostly garlic and madras on my hands. It’s how the cards feel familiar between my hands during the family afternoon. It’s the smell of lavender in my clothes, my bedsheets. It’s the shrimp beignet that my uncle makes. It’s how the rug in my living room feels like a cloud. It’s the late-night cravings that turn into a gastronomic dish. It’s my hair being frozen by coconut oil in winter. It’s the sand in the shower drain. It’s me stealing vinyl from my grandfather because he does not listen to them and they deserve to be loved. It’s being surrounded by a crowd of color, of zouk, of afro-music, and feeling like you are a part of something bigger than yourself. It’s the Vaseline that comes with you everywhere. It’s the tapping of my nails against a table, or my leg jumping up and down because I am too much alive sometimes and I want to explode.
I have my place in both worlds, but I also do not. My potion comes with privilege that others don’t have. It comes at the price of not knowing which community you belong to, it comes to being an individual. I was always reluctant to define myself. I was never the person that says, I am mixed-raced. Because of how light I am, people did not believe me. I always said that my dad was brown and my mom was white. They were definable. And that if I did not look at all like my mom and brothers it was because I was my dad’s daughter. I am aware that I will never experience what black women experience. I am not a black woman, neither am I a white woman, I am neither and both at the same time.
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Ma potion a un goût de mensonge, comme une escroquerie. Ma potion est un mélange de deux sorciers incroyables qui ont oublié de me donner mon premier grimoire.
Ma potion est-ce malaise face aux regards affamés que les chacals me lancent, étant cette créature fantasmatique. Ma potion c’est le fait que mes cheveux sont magnifiques car ils sont plus grands, plus animés que ceux des filles blanches, mais plus petit, plus acceptable que ceux des femmes noires. C’est le fait que les gens autour de moi pensent avoir le droit de les toucher et de me dire qu’ils feront un super coussin. Ma potion c’est ma peau claire, tout en ayant ce sou teinte de miel qui ressort quand le soleil me redonne vie. Rendant ainsi mes amis blancs jaloux. C’est les traits de mon père amincis par ceux de ma mère.
Mais ma potion c’est aussi les câlins doux comme le soleil dans lesquels mon papa m’enveloppe. C’est les longues heures passées dans un bain avec ma maman à me démêler les cheveux. C’est les tartes à la pomme chaude, imprégnées de Cannelle, que ma grand-mère ne prépare que pour moi. C’est le son de mes parents qui danse au rythme du zouk. C’est le calme qui envahit mon âme sous le soleil étincelant et le halètement des vagues. C’est le sel qui recouvre mon corps comme une robe d’étoiles. C’est arrosé mes plantes comme si je nourrissais mon âme. C’est le fait que décorer ma chambre me rend fière. C’est mes vergetures qui chatoient telles que les éclairs. C’est mon corps qui s’éveille en dansant au son de la musique. C’est ce sentiment de vacances qui accompagne une bière fraîche partagée. C’est ma tante me tressant les cheveux qui me rappelle ma place dans ce monde. C’est l’exister de l’ananas à la fois dans ma bouche mais aussi sur ma tête, qu’importe ce que ce gosse stupide m’a dit en grande section. C’est à quel point les personnages de fiction semblent plus accessibles que les vraies personnes. C’est combien les personnages de fiction sont beaucoup plus attrayants. C’est comment me préparer me donne l’impression de procéder à une cérémonie sacrée. C’est rire à m’en étouffer. C’est les balades en vélos au milieu de la nuit. C’est les lasagnes de ma maman. C’est les siestes avec mon petit frère. C’est la divine présence de mes amis. C’est les matchs de rugby à la télé. C’est l’opportunité de pouvoir débattre avec les gens et d’apprendre d’eux. C’est la saveur de la cuisine de mon père et de ma tante. C’est le fait d’utiliser mon signe astrologique comme excuse pour mon amour de la nourriture, mon lit et mon entêtement. C’est mon addiction grandissante des aiguilles d’encres et de bijoux. C’est les perles dans mes cheveux qui chantent comme des cloches, même si parfois elles font trop de bruit. C’est ce sentiment de liberté en conduisant ma voiture. C’est cette atmosphère magique que les étoiles ont dans le silence. C’est cette envie irrésistible de devenir un de mes personnages d’histoires. C’est la fierté que je ressens d’être une femme. C’est cette odeur d’épices, d’ail, de madras qui émanent de mes mains. C’est la familiarité des cartes dans mes mains les après-midi en famille. C’est l’odeur de lavande sur mes vêtements et mes draps. C’est les beignets à la crevette que mon oncle prépare. C’est le fait que le tapis du salon me fait penser à un nuage. C’est les fringales au beau milieu de la nuit qui se transforment en repas gastronomique. C’est mes cheveux congelés par l’huile de noix de coco en hiver. C’est le sable dans le siphon de la douche. C’est le vol de vinyle de mon grand-père parce qu’ils ne les écoutent pas et qu’ils méritent d’être aimés. C’est le fait d’être entouré par une foule de couleur, de zouk, de music afro et d’avoir l’impression de faire partie de quelque chose plus grand que toi. C’est la Vaseline qui t’accompagne partout où tu vas. C’est le tâtonnement dès mes ongles sur une table, où ma jambe sautillant parce que des fois je suis si vivante que je veux exploser.
J’appartiens à ces deux mondes, comme je n’y appartiens pas. Ma potion viens avec un privilège que d’autres n’ont pas. Elle vient avec ce prix de ne pas savoir à quel communauté tu appartiens, elle vient accompagnée de l’individualité. J’ai toujours été réticente à me définir. Je n’ai jamais vraiment été cette personne qui dit, je suis métisse. Les gens ne me croyaient pas parce que ma peau est claire. J’ai toujours dis que mon père était métisse et ma mère blanche. On pouvaient les définir. Et si je ne ressemblais pas à ma mère ni mes frères c’étaient parce que j’étais la fille de mon père. Je suis consciente que je ne vivrais jamais ce qu’une femme noire va vivre. Je ne suis pas une femme noire, ni une femme blanche, je suis une femme noire et une femme blanche, je suis à la fois les deux et rien du tout.
-Chelsy
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kawotdlo · 3 years ago
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Guadeloupe en sens, en saveurs, en introspections, en tableaux
Retranscrire un peu de ce morceau de terre, un partage, un battement d’ailes entre deux terres.
Départ d’une anémone de mer* détachée, errante, en mouvement dans l’eau. Mon regard est happé par la danse de ses tentacules et la couleur rose-orangée de son pied en mouvement. Le silence se fait quand mes oreilles plongent dans cette eau salée. Mon corps ballote, mes pensées s’étirent et laissent place aux souvenirs. La mer de mon enfance, les glaces pousse-pousse et les beignets, l’odeur de l’été, l’odeur du passé est revenue dans mon nez. Une fois inspirée, cette odeur ouvre grand ses bras et me berce.
Les couleurs de l’île papillon déroulent sa palette :
LE VERT des quenettes* couleur citron vert, couleur de la prune de cythère*, du jus de mangues vertes, captive ma curiosité. Les quenettes sont vendues au coin des rues, au bord des plages, par des jeunes qui grimpent jusqu’au cœur des quenettiers. Quenette tu te dégustes comme un lichi, suspendu avec tes sœurs aux branches longues et brunes.
Je rêve de fabriquer des bijous de graines. Petit pays, tu es un fruit et je plonge dans la multitude de tes graines.
La zeb a fé*  remonte dans mon palais son goût de coriandre, les piments végétariens à la saveur fraîche et légèrement piquante rehaussent sa saveur.
Je me sens petite fille aux pays des grands arbres, arbres à pain, cocotiers, manguiers. Je marche à leurs côtés, je lève les yeux vers les fruits suspendus.
Içi les herbes de canne sont hautes et très présentes.
Pas une route sans un stand de fruits ou de légumes racines. Les bananes plantains, les pastèques, les christophines, les patates douces et les madères emplissent l’arrière des picks-up rouillés et vieillissants.
Les voitures neuves et rutilantes côtoient des carcasses roulantes. Le sel attaque et rouille. Ces amas de rouille grignotent les carrosseries et les tôles de cases, entourées des jeunes pousses de bananier. La couleur éclatante de ces teintes vertes contraste avec la couleur grise, bois ou rouille de ces cases de fortune. Il se peut qu’une maman d’lo se cache dans le morne à l’eau, entourée de crabes touloulou* et d’arbres aux racines-griffes.
La couleur de la ROUILLE grignote tout ce qu’elle peut, comme le flot de fourmis emportent chaque miette, chaque corps en décomposition. Deux envahisseurs silencieux et omniprésents.
Heureusement, l’eau de coco adoucit l’existence et calme le sel sur mes lèvres. Toujours à l’arrière d’un pick-up, des montagnes de noix de coco jaunes dégringolent. L’homme armé de son coupe-coupe ouvre le fruit en deux, fait couler le jus dans l’entonnoir et remplit peu à peu les bouteilles. Des enfants mangent la crème de coco et des gens attendent en file, le temps que la coco se fende, le temps que l’eau s’écoule…
Içi on attend, on attend, rien ne presse. La pâte à bokit* ou à chichis n’est pas prête, on prend quand même ta commande et on attend. Des gens attendent en file, le temps que la farine se tamise, le temps qu’elle se mélange à l’eau, le temps qu’elle gonfle, le temps qu’elle frit dans l’huile, le temps que le bokit obtenu soit rempli d’ingrédients salés (morue ou jambon  fromage avec sauce créole)
Les grèves sont du même acabit, elles durent et peuvent durer très longtemps.
Et dans cette attente, la feuille de l’arbre à pain éloigne les moustiques, le gros thym apaise les démangeaisons causées par les yens yens* et la fleur d’ylang-ylang embaume notre existence.
Le raisinier longe les plages de sables clairs, ses feuilles rondes et vertes entourent les grappes de raisins vert et couleur prune. Les enfants aux mèches salées, emplissent des cornets de feuilles de raisinier de fruits mûrs, pendant que Jeanette, emplit les cornets de feuilles, d’acras fumants et savoureux .
J’aime ce lieu, un mélange entre l’ambiance du film « Bagdad café » et « Le grand bleu ».
Ces références à mon enfance rejoignent la plénitude de mes bains de mer. Nous nous baignons dans un cul de sac marin, la mangrove longe ses côtes. On peut voir des tortues à c’qui paraît. J’ai vu des œufs pondus près des palétuviers*, près de pièges à mangoustes.
J’ai vu un lambi* vivant et j’ai vu des poissons d’eau douce s’arracher la peau des mangues dans la rivière aux écrevisses. J’ai vu cette vivance, elle m’a saisie et déconcertée.
Le voisin du raisinier, l’amandier, délivre de minuscules amandes, que l’on récupère après avoir broyé les deux enveloppes épaisses du fruit, activité très prisée par les enfants à la plage du souffleur. Ils s’arment de pierres et tentent d’ouvrir leur collection d’amandes peyi !
Entre ces arbres et cette mer, vivent les crabes, les bernards-l’hermite, les mangoustes*, les oiseaux, les mal-finis*.
Je glisse mes pieds dans l’eau et je distingue la vie sous l’eau. A mes pieds s’agitent des poissons aux robes colorées, des anémones, des étoiles de mer, des poissons trompettes et d’autres crabes, BLANCS, cette fois.
Et pour les épices et les aromatiques : bois d’inde, cives, cannelle, herbe à fer, roucou, muscade…
Je n’ai pas fini de citer les fruits : mangues, papaye, ananas, pitaya*, carambole*, corossol*, pomme liane*, maracuja*, surette*, sapotille*, prune de cythère*…
J’écris des lettre le matin, des lettres que je n’envoie pas. Elles me propulse dans mon passé et j’accède à mes mondes engloutis, un squat d’Atlantide mémoriel et sensoriel.
Et l’après-midi j’écris ce que je vis, je vois et j’entends.
J’aimerais à entendre, tellement plus. Des contes, des histoires, des chants, des musiques ! Au lieu de ça, mes oreilles se confinent comme à l’extérieur. Elles sont assoiffées de sonorités, de créolité.
Les petits voisins qui aimaient venir jouer à la maison, restent dans leur cour ou leur maison. Les lieux de rencontre et de culture se ferment le temps qu’un virus passe, le temps qu’il emplisse les cellules des hommes, le temps qu’il emplisse les hôpitaux.
Ces petits d’homme nous livraient leur créolité par leur langage. Nos amis d’île de France, venus s’installer pour une année test, nous ouvrent leurs portes et leurs découvertes langagières ! Le papa travaille comme livreur et les fils sillonnent le village avec des amis guadeloupéens ! Coline a aussi fait de chouettes rencontres ! Eyrel apprend à pêcher et Cédric découvre d’autres espèces de poissons avec d’autres méthodes de pêche, pêche aux leurres, pêche des heures…
içi, je me transforme en carotte de l’eau, kawot dlo, mes imaginaires et mes sens infusent, ils s’assemblent et dansent dans mon âme... le début d’une aventure intérieure, caribéenne se tisse dans mes cellules remplies d’amitiés et de saveurs des cévennes.
A vous mes amies, mes fées, mes tendres et joyeuses compagnes d’aventures.
Petit lexique pour découvrir de nouveaux mots, un autre univers :
anémone: polype mou, de la Famille des Coelentérés, muni de tentacules colorés, fixé aux rochers littoraux.
carambole: baie jaune à côtes saillantes, à pulpe juteuse et astringente, fruit du carambolier.
corossol:
prunies de cyhère : fruits ovales à long pédoncule. Ils ont une peau verte devenant jaune à maturité. A l’intérieur, un noyau fibreux et hérissé d’épine adhère à la pulpe juteuse.
lambi: Grand mollusque gastropode des mers chaudes et des récifs, de la famille des strombidés, à la chair appréciée, appelé lambi aux Antilles. (Sa coquille, très épaisse, servait naguère à fabriquer des sortes de camées.)      
maman d’lo : un personnage issu de l’univers antillais entre une « Yemaya », déesse de l’eau et une sorcière
mangouste: petit mammifère carnivore des régions tropicales de l'Ancien Monde, ayant l'aspect d'une belette, se nourrissant parfois de serpents venimeux.
maracuja : fruit de la grenadille ou fruit de la passion.
prunes de cyhère : fruits ovales à long pédoncule. Ils ont une peau verte devenant jaune à maturité. A l’intérieur, un noyau fibreux et hérissé d’épine adhère à la pulpe juteuse.
pitaya: fruit de différentes espèces de cactus, notamment le Hylocereus undatus, qui le plus consommé, à la chair comestible, généralement blanche ou rouge et parsemée de nombreux pépins noirs.
pomme liane: fruit comestible de la passiflore à tiges grimpantes, plante des régions tropicales.
quenettes : On a donc affaire à un petit fruit à la chair juteuse, enfermée derrière une peau coriace assez rigide. 
sapotille :  fruit du sapotier, de la taille d'un citron et recouvert d'une écorce grise ou brune, dont la chair jaune orangé rappelle celle de l'abricot et qui se consomme presque blet, pelé et débarrassé de ses pépins                                                                                                        
touloulou: crabe touloulou est un petit crabe terrestre originaire des Caraïbes.
yens-yens : petit insecte piqueur, diptère hématophage, qu'on trouve dans les Antilles. Un lieu inhospitalier à fuir lorsque les yen-yens s'amusent à piquer l'épiderme
zeb à fé :  La zeb a fé en créole, ou l'herbe à fer, la coriandre longue, coriandre chinoise, ou bien encore la coriandre mexicaine. herbe amie des femmes.
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merrilyenspensieve · 4 years ago
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Depuis la fin du confinement, le père du Chéri le dépose chez moi parce ses parents ne voulaient pas qu'il prenne de risque dans les transport en commun.
Depuis que son père a eu la gentillesse de monter mon meuble salle de bain, quand il arrive je lui propose toujours un café et je prépare un goûter (avant il ne voulait pas monter).
Du coup, vendredi j'ai fait un clafoutis et j'en ai fait parvenir une part à la Régente. Il semblerait que le mien était meilleur que le sien. Et dimanche, j'ai fait des petits palmiers à la cannelle. Le chéri et son père ainsi que Bebinous ont adorés.
La séduction des hommes passent par leurs estomacs.
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omagazineparis · 6 months ago
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3 recettes originales de bûches de Noël pour les fêtes !
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En cette période de festivités, nous vous soumettons 3 recettes originales de bûches de Noël ! Dans le cadre de cette sélection savoureuse, nous avons opté pour des propositions insolites et différentes. Pour le plus grand plaisir des gourmands. Vous êtes lassé de la bûche traditionnelle au chocolat ou la vanille ? Alors découvrez sans plus attendre nos choix culinairement alléchants qui sauront ravir vos papilles ! Bûche au thé matcha Ingrédients La crème Un demi-litre de lait écrémé. 100 grammes de sucre en poudre. 50 grammes de farine de blé. Cinq grammes de thé matcha. Trois œufs. Le biscuit 125 grammes de farine de blé. Quatre œufs. 125 grammes de sucre en poudre. Cinq grammes de sucre glace. Le nappage 5 grammes de thé matcha. 15 grammes de sucre glace. 30 centilitres de crème liquide entière. Préparation  La réalisation du biscuit 1. Préchauffez le four à 200 degrés.2. Au bain-marie, fouettez dans un bol les œufs et le sucre. Ensuite, incorporez le maximum d'air pour que le mélange devienne mousseux. Puis, cuisez jusqu'à ce que la préparation devienne épaisse. Dans un même sens, continuez à fouetter en dehors du feu pour refroidir la préparation. Enfin, introduisez la farine à l'aide d'une maryse.3. Versez sur une feuille de papier sulfurisé. Puis, étalez sur cinq millimètres à l'aide d'une spatule. Ensuite, cuisez au four entre cinq et huit minutes. Une fois cuit, saupoudrez le biscuit avec du sucre glace. Pour finir, retournez le biscuit sur un torchon et enroulez dedans pour garder l'humidité. Pour confectionner la crème 1. Premièrement, pour réaliser la crème pâtissière, mettez le lait à bouillir. Blanchissez les œufs avec 100 grammes de sucre en fouettant les deux éléments pendant deux minutes.2. Ajoutez la farine et le thé vert. Par la suite, verser dessus le lait bouillant et remettez à cuire pendant trois minutes une fois à ébullition. Incorporez la crème pâtissière dans une plaque sur un film alimentaire. Filmez de nouveau. Dernièrement, laissez refroidir.3. Afin de réaliser la chantilly, insérez trente centilitres de crème liquide dans un robot et le sucre glace. Le tout, jusqu’à obtenir une crème fouettée. Pour finir, mélangez une dernière fois et réservez au frais. Recette du nappage 1. Posez votre biscuit cuit sur un torchon humide et propre. Ensuite, étalez dessus la crème au thé vert et roulez le tout à l'aide du torchon. Puis, laissez refroidir pendant une heure au réfrigérateur.2. Avec une spatule, étirez la crème chantilly sur la bûche. À l’aide d’une fourchette, confectionnez des traits pour imiter la forme du bois.3. Pour finir, saupoudrez de thé vert avant de décorer de quelques fruits rouges. Verdict Dans notre sélection de bûches, nous apprécions la touche matcha apportée au dessert. Sans dénaturer le goût du thé, les amateurs de cette boisson originaire du Japon ne pourront qu’approuver cette version gustative. Un pur moment de plaisir savoureux à partager sans modération ! Bûche au carrot cake Ingrédients 200 grammes de noix hachées. 150 grammes de carottes râpées. Cinq œufs. 50 grammes de raisins secs hachés. Une cuillère à café de cannelle. 180 grammes de sucre en poudre. 50 grammes de raisins secs hachés. Pour réaliser le sirop Cinq cuillères à soupe de jus d'orange. Une cuillère à soupe de sucre en poudre. Pour la crème Deux boîtes de fromage à tartiner. 125 grammes de sucre en poudre. Cinq cuillères à soupe de jus d'orange. Préparation  1. Premièrement, préchauffez le four à 150 °C. 2. Ensuite, séparez les blancs des jaunes. Montez les blancs en neige. Quand ils commencent à mousser, versez petit à petit 80 grammes de sucre. Continuez à battre pour qu'ils soient bien fermes. 3. Dans un autre saladier, battez durant trois minutes les jaunes et les 100 grammes de sucre. Puis, ajoutez la cannelle et les raisins secs coupés. 4. Ajoutez une grosse cuillère de sucre blanc. Mélangez activement pour rendre la préparation plus mousseuse avant d'y ajouter le reste des blancs. Par la suite, soulevez délicatement les blancs à la préparation. 5. Incorporez le mélange sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Pour finir, lissez la surface avec une spatule. Faites cuire pendant trente minutes. 6. Pour réaliser votre sirop, faites chauffer cinq cuillères à soupe de jus d'orange avec une cuillère à soupe de sucre en poudre. 7. Dans un bol, versez les boîtes de fromage, le jus d'orange et le sucre en poudre. Puis, fouettez pour obtenir une préparation homogène et mettez de côté votre sirop. 8. Sortez le gâteau du four. Retournez la préparation sur un torchon humide. Avec l'aide d'un pinceau, badigeonnez le gâteau de votre sirop. 9. Ensuite, laissez refroidir ce dernier et recouvrez de la moitié de la préparation au fromage frais. 10.  Roulez le tout délicatement. Déposez sur un plat et recouvrez le gâteau avec la préparation au fromage frais restante. Enfin, entreposez votre bûche pendant quatre heures minimum au réfrigérateur. Verdict La carotte est un légume réputé pour insuffler de la bonne humeur. En ce sens, vous ne pourrez être qu’enthousiaste face à cette proposition de bûche. Au lieu de miser sur les bûches de noël des grandes enseignes, osez accommoder l’ordinaire en apportant de la variété grâce à cette recette ! Bûche aux fraises Tagada Ingrédients La génoise Trois œufs. 100 grammes de sucre. 100 grammes de farine. Deux cuillères à café de levure chimique. La crème 200 grammes de mascarpone. 150 grammes de fraises Tagada. Deux cuillères à soupe de lait. Deux cuillères à soupe de confiture de fraises. En guise de décoration 50 grammes de fraises Tagada. Préparation 1. Pour commencer, préchauffez votre four à 180 degrés. 2. Dans un saladier, fouettez les œufs avec le sucre jusqu’à ce que le mélange double de volume. 3. Ajoutez la farine mélangée à la levure. Fouettez jusqu’à obtenir une pâte bien lisse. Étalez cette dernière (un centimètre d'épaisseur) sur une plaque de four recouverte de papier de cuisson. 4. Enfournez pendant environ dix minutes. 5. Une fois sortie du four, déposez la génoise sur un torchon humide. Roulez-la sur elle-même et laissez refroidir. 6. En parallèle, faites fondre les fraises Tagada avec le lait dans une casserole, à feu doux, en continuant à remuer. Ensuite, retirez du feu. 7. Ajoutez le mascarpone. Mélangez et laissez refroidir avant de réserver au réfrigérateur. 8. Déroulez la génoise et nappez de deux cuillères de soupe de confiture. Puis, recouvrez de ganache à la fraise Tagada. Roulez à nouveau et placez votre préparation pendant deux heures au frais. 9. Enfin, une fois votre bûche sortie, disposez les fraises Tagada restantes pour décorer votre plat et savourez ! Verdict Entre gourmandise et retour à l’enfance, cette proposition sucrée aux fraises Tagada tranche avec le reste de notre sélection de bûches ! Onctueuse et délicate, vous serez conquis par son goût enivrant. Autrement dit, une belle manière de profiter d’un moment de grâce culinaire ! Vers quelle bûche de Noël votre âme de gourmand se penche-t-elle ? Avez-vous d’autres propositions sucrées à nous soumettre ? N’hésitez pas à partager votre avis dans les commentaires. Nous vous souhaitons à tous de passer de belles fêtes. Le tout, dans la joie, la santé (encore plus cette année) et la bonne humeur ! Read the full article
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ewnor · 4 years ago
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Mes nouvelles méthodes de procrastination consistent à :
-faire des maths pour préparer des modèles de tricots (parce que bien sûr, je veux pas suivre le modèle à la lettre) ;
- faire de la chirurgie sur mon orchidée (ou d’un point de vue moins dramatique, couper une hampe florale qui se dessèche) et lui faire un petit cataplasme à a cannelle. 
Je pense que la prochaine étape sera de récurer la salle de bains.
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chjarudiluna · 5 years ago
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Travaux de Pleine Lune
L’esprit du Pissenlit m’a fait sentir le besoin d’un nouveau réceptacle. Samedi, jour de Saturne, j’ai donc déterré à mains nues une racine de pissenlit (en terre argileuse, la tâche n’était pas des plus simples). Après l’avoir rincée à l’eau claire, j’ai offert à la racine trois bains successifs de lait et de cannelle. Enveloppée dans un linge blanc, elle a séché au soleil jusqu’à hier. A la Pleine Lune, le réceptacle a été préparé, les adventices inutiles enlevées, et l’enterrement symbolique a débuté. Du romarin pour l’accompagner, dans un linge noir, noué neuf fois.  Dans l’attente de sa renaissance à la Nouvelle Lune. 
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iranondeaira · 5 years ago
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Je pense que nous sommes juste passés à côté de quelque chose de bien
Son amour pour moi avait fait ses cartons
Tout était soigneusement disposé, rangé dans les pièces et les couloirs de sa mémoire ...
Des souvenirs, des moments, des instants, des photos ...
Éparpillés partout sur le sol,
une vie , nos corps à corps , la tempête qui nous avait encore plus soudés l’un à l’autre et qui nous avait, ironie de la vie, au final séparés ... nos rêves de balades, de voyages ... nos éclats de rire, nos peurs, des chansons , nos quelques espaces tel un couple normal , nos prises de bec , nos fantasmes et nos jeux érotiques , nos quotidiens entremêlés... nos pas de deux ...
Tout notre fouillis d’amour était désormais bien rangé, empilé, répertorié, prêt à recevoir la poussière des années ...
Je restais là... seul ... à vouloir tout garder d’elle : sa force, son humanité, son romantisme, sa sincérité, sa sensibilité, son museau de petit lapin, sa chevelure , sa force érotique, sa sensualité... mes doigts gardaient en eux le contact de sa peau ... j’avais la mémoire de son corps dans mes bras... son poids sur moi ...
nous nous étions tombés dessus ... la soudaine rencontre de deux âmes et de deux corps, une cohésion inattendue qui se transforme parfois en terreur et en détresse car elle libère trop d’énergies inconnues ...
La pluie et le froid tombait sur ma vie, je contemplais l’océan où j’allais errer, la plage immense où j’allais y chercher le petit grain de sable qu’elle disait être...
Me lever le matin désormais sera avec un vide dans la poitrine, j’étais imprégné d’elle,ce n’était pas la force de gravité qui me maintenait au sol c’était elle; là où elle était je voulais être , respirer le même air , bouger si elle bougeait ...
Il me restait mes chansons, mes livres, les petits vices de la vie comme disait le colonel Lawrence dans le désert , de simples plaisirs tel le café brulant à l’odeur de cannelle, une douche brûlante pour dénouer les muscles , courir ... m’enivrer le corps pour que l’esprit ne pense pas ... plus ... au-delà des responsabilités qui étaient les miennes ...
J’avais essuyé de trop nombreuses tempêtes et traversé assez de batailles pour savoir que l'amour était presque une maladie, une notion issue des temps anciens, d'une époque où le monde était à la fois plus jeune et plus sage.
Le chemin du jardin de mon cœur en était caché, perdu pour ne plus laisser une autre me séduire, me conquérir, s’installer dans ce lieu .
Elle était mon dernier amour ... celui que je cherchais depuis ... que ce mot avait planté ses racines en moi ...
Je ne sais pas si je pourrais
De nouveau tout recommencer
Elle aurait du mal la prochaine
A comprendre ce qui m’enchaîne
Une autre peau, une autre odeur, une autre personnalité ... changer de lit changer de corps ... à quoi bon ...
Il ne me restait plus qu’à plonger en moi-même pour aller au bout de la douleur, espérer qu’avec le temps ... va ... je pourrais contenir la brûlure de l’absence .
Comment l’évacuer de ma vie ... comment lui barrer le chemin de mes pensées... Cette petite chaîne en or, ce pull, cette dernière bouteille de parfum qu’elle m’a ramené de voyage ... ces tout petits riens qui impitoyablement la faisait surgir ... elle avait façonné une part de ma vie... sans doute bien plus grande qu’elle ne pouvait l’imaginer ... je pouvais parler d’intrication assurément ... elle avait réussi ce tour de force de s’immiscer partout ... elle avait été telle l’eau qui gèle dans le rocher et le fait éclater ... elle était aller là où personne n’avait pu aller avant , elle avait même réussi à apposer une fissure tout au fond ...
J’étais tel Narcisse devant la glace de la salle de bain à chercher son image ... plus d’une fois l’idée que nous étions frère et sœur était venue aux gens... elle était non seulement mon âme sœur mais bien plus ... si j’étais née fille j’aurais aimé être elle ...
Elle avait beau tenir mordicus que nous étions différents... je ne pouvais que sourire ... à croire qu’elle essayait de se convaincre ... c’était sans doute ce qu’elle faisait d’ailleurs ... pour pouvoir se détacher de moi ... Elle ne voyait pas que nos différences se reflétaient ...
Pourquoi est-elle partie...
Elle disait qu’elle était une sale gamine ... oui je crains qu’elle n’eut été lucide envers elle-même ... bien qu’il m’en coûte de le reconnaître ...
Les vides, les espaces entre les lignes, les non-réponses, les non-dits ... éparpillés dans nos échanges épistolaires quelque soit le support ... me laissent exsangue.
Je suis comme un marin devant l’océan à qui on reprocherait la tempête qu’il a traversé ... elle n’a pas supporté ... et la voilà elle dans sa propre tempête et je sais au fond de moi que je ne peux rien faire ...
Certains chemins s’arpentent seul ... elle a fait des choix et les conséquences la submergent ... nonobstant la peur desdites conséquences, possibles ou probables , bien que ce que l’on désire ou ce à quoi on aspire se trouve juste de l’autre côté de la peur ... il y a aussi elle, elle avec elle-même ... telle une lame de fond ... mais oui hélas c’était bien une lame de fond de son passé qui remontait ... dont je ne connaissais que trop bien la force ...
Elle avait aimé celui que j’étais ...
J’aurais voulu être lui encore ... rester moi ... cet autre moi que je n’étais plus ... du moins plus complément ... j’étais sorti de ma tempête et je pouvais dire qu’elle m’enveloppait comme un manteau que j’acceptais comme une évidence ... je savais que j’allais voyager en solitaire ... mais en y réfléchissant je l’avais toujours été... quand à elle, elle était trop sauvage ... il lui fallait faire la paix avec elle-même ... On ne pouvait rien changer au cours des choses; autant jeter des pierres à la lune ...
je me sentais comme une maison qui se chercherait son fantôme et qui l’avait trouvé ... je me sentais hanté de sa présence ...
Quelle ironie , la vie redevenait supportable et se transformait en une chose qui méritait d’être vécue avec passion, énergie et un espoir dont le plaisir ne dépendait plus de la simple fatalité ... et elle me laisse ... là... presque comme si elle avait été qu’un rêve ...
Une vieille légende raconte que quand les dieux veulent vous punir ils exaucent vos prières ... je désirais trouver celle qui me ferait toucher ce qui se cachait au sein des vieilles histoires telles Tristan et Iseut, Lancelot et Guenièvre ... même malgré la morale des autres ...
Elle ne l’aime plus
C’est du passé
N’en parlons plus
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retouraffectifrapide · 5 years ago
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