Tumgik
#bain de bouche
bearbench-img · 1 month
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ウガイグスリ
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うがい薬は、のどや口腔内の衛生を保ち、のどの痛みや口腔内の感染症を予防するために使用される液体です。通常、抗菌剤や消毒剤、ハーブエキスなどの有効成分が含まれています。 うがい薬には、のどの痛みや炎症を緩和するもの、口臭を防ぐもの、歯垢や歯石の蓄積を防ぐものなど、さまざまな種類があります。また、ハーブやハチミツなどの天然成分が配合されたものもあります。
手抜きイラスト集
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deuza42 · 1 year
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900.care
Aujourd’hui je voulais vous causer d’une marque de produits de soins pour le corps dont j’utilise une grande partie de la gamme. Il s’agit de 900.care.
L’idée de base est que lorsque que l’on achète son gel douche (par ex) il contient déjà 2 choses que l’on possède chez soi : de l’eau et un flacon vide, pour lesquelles ont paient à chaque fois.
Du coup chez 900.care vous avez un abonnement (entièrement modulable) qui lors de la première livraison vous envoie un flacon vide, ainsi que votre gel douche, shampooing, savon pour les mains … à reconstituer avec de l’eau. Et pour les renouvellements vous ne recevrez que le produit choisi sous forme "sèche" (les bâtonnets ressemble à de la lessive compactée au touché).
Voici un petit unboxing :)
Le colis, directement à l’essentiel : les flacons et les recharges
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Voici le gel douche :
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Vous mettez les bâtonnets puis de l’eau jusqu’à la ligne :
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Passons au déodorant :
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L’emballage et sa recharge. A noter que la recharge contient une pièce en plastique et 900.care vous fournit une enveloppe pré affranchie pour la retourner une fois le produit utilisé !
Le bain de bouche :
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Et voici ce que je recevrais la prochaine fois :
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Pas mal non ? En plus les produits sont très agréables à utiliser (texture, odeur …)
Vous pouvez commander un kit d’essai contenant shampooing + dentifrice, ou vous faire parrainer (n’hésitez pas)
La communication est rapide et les réponses au top, le tout dans un style que l’on ne retrouve pas ailleurs et que j’adore :)
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La liste de tous les ingrédients utilisés sont disponibles dans la FAQ :
https://900.care/pages/faq
où vous trouverez toutes les explications sur les abonnements et les produits disponibles !
Voilà mon avis ainsi que la fin de ce billet ❤️
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toilette-prise · 1 year
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pompadourpink · 2 months
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Literal French expressions
À deux - at two
À la + n. - in the style of
À la carte - at the menu
À la mode - in fashion
Amateur - lover
Après-ski - after skying
À propos - about
Armoire - wardrobe
Art nouveau - new art
Au naturel - plain
Au pair - at the peer
Auteur - author
Avant-garde - before guard
Bête noire - black beast
Blasé - jaded
Bon appétit - good appetite
Bon voyage - good journey
Boutique - shop
Buffet - credenza
Bureau - office
Canapé - couch
Carte blanche - white card
C'est la vie - that's life
Chauffeur - warmer (n.)
Chef - leader
Cliché - picture
Clique - gang
Connaisseur - "knower"
Coup d'état - blow of state
Coup de grâce - blow of mercy
Coup de foudre - blow of lightning
Couture - sewing (n.)
Cul-de-sac - ass of the bag
Début - beginning
Débutante - beginner
Déjà-vu - already seen
Dénouement - untying
Dossier - file
Double entendre - double hear
... du jour - of the day
Eau de toilette - washing water
Eau de vie - life water
Encore - again
Ennui - boredom
En route - in road
Ensemble - together
Entourage - people surrounding you
Entrepreneur - starter (n.)
Essai - attempt
Esprit de l'escalier - spirit of the stairs
Étiquette - label
Exposé - exposed
Façade - frontage
Faux pas - fake step
Femme fatale - deadly woman
Film noir - black movie
Fin de siècle - end of century
Flâneur - "stroller"
Femme - woman
Folie à deux - madness at two
Foyer - fireplace, home
Gamine - female kid (casual)
Gauche - left
Gendarme - person of weapons
Je ne sais quoi - I don't know what
Laissez-faire - let (someone) do (imperative)
Laissez-passer - let (someone) pass
L'appel du vide - the call of the void
Lingerie - underwear
Maître d' - master o'
Mardi gras - fat Tuesday
Matinée - morning
Ménage à trois - household at three
Mon/ma chéri-e - my cherished
Montage - mounting
Motif - pattern
Mural - on the wall (adj.)
Né-e - born
Négligé - neglected
Nom de plume - feather name
Parole - word
Petite - small (adj.)
Pied-à-terre - foot on land
Poilu - hairy
Pot pourri - rotten pot
Pourboire - for drink
Première - first
Prêt-à-manger - ready to eat
Protégé - protected
Renaissance - rebirth
Rendez-vous - appointment
Répertoire - directory
Résumé - summary
Risqué - risked
Robe - dress
Rouge - red
RSVP - answer please
Sans-culottes - without pantaloons
Savant - "knower" (n.)
Savoir-faire - know how to do (v.)
Savoir-vivre - know how to live
Séance - session
Soirée - evening
Souvenir - memory
Suite - sequel, development
Surveillance - careful watching
Tête-à-tête - head to head
Touché - touched
Tour - circuit
Trompe-l'oeil - cheats the eye
Venue - came
Vignette - sticker, label
Vis-à-vis - face to face
Voyeur - "seer"
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Ballet vocabulary:
Allongé - laid down
Balancé - swinged
Balançoire - swing (n.)
Battu - battered
Brisé - broken
Chassé - chased
Chaînés - chained
Ciseaux - scissors
Coupé - cut
Dégagé - cleared
Développé - developed
Échappé - escaped
En cloche - in bell
En croix - in cross
Entrechat - between braid
En pointe - in tip
Failli - almost did
Fouetté - whipped
Glissade - sliding
Plié - bent
Jeté - thrown
Manège - carousel
Pas de bourrée - drunk step
Pas de chat - cat step
Pas de cheval - horse step
Pas de deux - step of two
Pas de valse - waltz step
Penché - leaned
Piqué - pricked
Port de bras - carry of arms
Relevé - lifted back up
Renversé - titled, bent backwards
Retiré - removed
Rond de jambe - leg circle
Temps de flèche - arrow time Tendu - stretched
Temps lié - linked time
Tombé - fallen
Tour en l'air - turn in the air
Kitchen vocabulary:
Amuse-bouche - mouth entertainer
Bain-Marie - Mary bath
Café au lait - milky coffee
Casserole - pot
Cordon bleu - blue ribbon
Crème brûlée - burnt cream
Crème de la crème - cream of the cream
Crème fraîche - fresh cream
Croissant - crescent
Éclair - lightning
Entrée - entrance
Filet mignon - cute net
Flambé - blazed
Foie gras - fat liver
Fondant - melting
Fondue - melted
Gourmet - foodie
Hors d'oeuvre - out of the work
Légume - vegetable
Liqueur - liquid
Mille-feuille - thousand leaf
Mousse - foam
Pâté - pasted
Roux - redhead(ed)
Sauté - jumped
Sautoir - "jumper"
Soufflé - blown
Velouté - velvety
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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sh0esuke · 4 months
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" Nothing On Me "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Jason Todd / Arkham Knight
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Une vie passée cachée de tous n'en était pas vraiment une. Plus que consciente, elle acceptait ce train de vie sans même un regard en direction de son existence passée. Tant qu'il était là, elle pouvait bien tout mettre en l'air, peu lui importait. Car après tout, sa vie c'était lui. Qu'elle s'en aille loin de tous, qu'elle abandonne ses études, qu'elle fuie sa famille, tout ça n'eut aucun impact sur elle, pas même alors qu'il lui était revenu d'entre les morts. De nouveau, sa vie ne tournait plus que autour de son existence même, son premier et dernier amour. C'était ainsi le destin qu'elle avait choisi.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟖𝟐𝟏.
Song : Nothing On Me - Kai
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Passant ma main sous le pommeau de douche, je frissonnai. L'eau était glacée.
La salle de bain était répugnante, du sol au plafond. Une odeur d'humidité flottait dans l'air, mélangée à celle d'herbes trempées, c'était pourquoi j'insistais toujours pour laisser la petite fenêtre entre la douche et le lavabo ouverte. Elle permettait d'aérer, elle apportait une certaine pointe de fraîcheur à la pièce. Elle n'effaçait pas les traces de crasse au sol, ni ne faisait disparaître les champignons qui avaient commencé à pousser sous l'évier, tout était dans le même état, rien n'avait bougé depuis ce matin. L'odeur était d'ailleurs toujours présente. Parfois je me demandais pourquoi je laissais cette fichue fenêtre ouverte ⸺celle-ci pourtant à côté d'une gare agitée. Cependant, lorsque j'oubliais de le faire et que je devais faire face à une odeur de renfermée chaude et intoxicante, je savais me montrer reconnaissante. Depuis le temps, j'avais retenu la leçon.
Malgré la condition sanitaire de la pièce, je laissais choir mes vêtements à même le sol. Ma brassière, mon boxeur et une vielle paire de socquettes blanches qui étaient à présent plus noires qu'autre chose. Tout traînait près du panier à linge qui débordait de vêtements malodorants.
Pendant que l'eau de la douche se réchauffait ⸺ce qui durait depuis déjà plus de cinq minutes⸺ je me lavais le visage. Je terminai de malaxer ma peau, évitant de faire tomber ma brosse à dents qui reposait sur le rebord du lavabo. Je venais à peine de me finir de me nettoyer la bouche, je n'avais pas pensé à la ranger immédiatement. Je n'avais aucune idée de quelle heure il était, je savais juste que nous étions bien loin de minuit, et que j'aurais dû être couchée depuis longtemps. Alors que je m'observai dans la glace brisée face à moi, cela m'importa peu.
J'essuyai mon visage d'une serviette à peu près propre et descendis jusqu'à ma nuque. Je tapotai la surface. Mes gestes furent très délicats.
Nue dans ma minuscule salle de bain, je chouchoutai mes traits autant que je le pouvais, de mes produits restants et avec les minutes de plus que j'avais à cause de la condition de ma douche.
Même après tous ces mois écoulés, je ne m'étais toujours pas faite à cette vie. Cet appartement miteux ne me revenait pas, ni le quartier violent dans lequel j'habitais. J'étais chanceuse lorsque le bruit des trains passants près de mon immeuble me réveillaient, parfois c'étaient des hurlements, le pleur de femmes battues, ou même des coups de feu.
Mais j'étais heureuse.
J'étais épanouie autant que je pouvais l'être dans une telle situation. C'était déjà ça, à mes yeux. C'était un sacrifice, il coûtait cher, mais je ne regrettais absolument rien.
Reposant ma serviette sur le petit crochet fixé au mur, j'ignorais la manière dont celui-ci se lit à trembloter pour faire volte-face. Je me chargeai rapidement de ma chevelure, parce que j'étais bien trop fatiguée pour les nettoyer ce soir, puis j'entrai dans la douche. J'aurais bien voulu refermer la porte coulissante derrière moi, cependant la porte en question était portée disparue. De l'eau éclaboussait le carrelage; c'était le cadet de mes soucis. J'étais bien trop occupée à passer mes doigts sur mon corps, partant de mes clavicules jusqu'à mes coudes. J'étais désormais trempée. De la tête aux pieds, des gouttes d'eau roulaient le long de mon  épiderme, chaudes et empestant la rouille. Autrefois, j'aurais questionné la qualité de l'eau, je serais sortie en vitesse de là, sanglotant et beuglant à l'assassin, néanmoins, ça n'était pas le cas. La moi actuelle s'en fichait éperdument.
J'étais heureuse d'être là.
Mes mains glissaient jusqu'à entrer en contact avec mes hanches, elles tombaient dans le bas de mon dos jusqu'à effleurer mon derrière. Je tâtai de ma chair, la tête renversée en arrière, le regard rivé sur le plafond doré de moisissures. Je n'étais même pas sûre de cligner des yeux. C'était délicieux. Cette chaleur s'emparant de moi, cette fumée brûlante qui envahissait la pièce et ce silence. J'en oubliai tout. Je me souvins de tout.
Mes pensées se bousculèrent, mon cœur s'emballa.
Et tandis que je remontai mes mains en direction de ma gorge, mes paupières se fermèrent. Je précipitai mes doigts entre les racines de mes cheveux, trempant mes poils et tâtant de la chaleur de mon cuir chevelu. Le flot d'eau provenant du pommeau de douche continuait à me tremper, telle une cascade, j'étais son socle, de l'eau me coulait entre les jambes, sur la pointe de mes seins, jusqu'à mes coudes, mes chevilles et orteils. Même mon dos ne put y échapper. De la tête au pied, j'étais noyée, enfouie sous ce tsunami de chaleur, il m'en brûlait la peau, il me marquait au fer rouge.
Ce ne fut que quelques minutes plus tard que je me décidais à bouger, le temps de reprendre possession de mon corps. Je me saisis d'un gel douche à la senteur fruitée, et fis usage de mes ongles et paumes afin de récurer ma chair jusqu'au sang.
Je snobai les picotements qui survinrent un peu partout sur mon corps, me mettant en garde.
J'ignorai le creux dans mon estomac me prévenant que je me situais sur une pente dangereuse.
À nouveau, j'oubliais tout.
À nouveau, je me souvenais de tout.
C'était une addition divisé, un oxymore qui me brûlait les neurones, un feu glacé qui me rendait malade. J'en avais les larmes aux yeux. Et je frottais. Mais je frottais. Je me nettoyais jusqu'à ne sentir que mes mains me toucher, j'ignorais le souvenir de ces mains violentes entre mes jambes, j'ignorais cette sensation d'être pincée et explorée un peu partout. J'ignorais ce sentiment d'humiliation, cette impression d'être réduite à l'état de proie.
Une simple brebis face au Prédateur.
Ce ne fut qu'étant pleinement satisfaite que j'acceptais de descendre en direction de mon ventre. Jugeant mes bras suffisamment purifiés, je les abandonnais à leur triste sort.
Frôlant la surface de mon nombril du bout de mes doigts, je sursautai. Une étrange réaction survint. Je levai le menton vers le pommeau et, les sourcils froncés, me mordis la lèvre inférieure. Je laissai mes bras retomber le long de mon corps. Un soupir fébrile s'échappa d'entre mes lèvres pendant que mon cœur s'emballait. Ses battements se firent plus désordonnés.
Et alors que je tentai de retrouver mon calme, une énorme secousse suivit d'un bruit assourdissant me prirent par surprise.
Je tournai la tête et vis une silhouette se dessiner devant l'entrée de la douche, quelque peu assombrie par l'absence de lumière ⸺il n'y avait qu'une vieille lampe torche sur l'évier pour faire le travail. Celle du plafond avait rendu l'âme deux mois plus tôt. Il avait laissé la porte grande ouverte, donnant sur le salon d'une obscurité angoissante, presque surnaturelle.
Une de ses mains se fraya un chemin sur la vitre de la cabine, il s'y tint.
« Je t'ai cherchée partout. »
Un sourire se dessina sur mes lèvres.
« Je suis là. »
Je me reculai de la source d'eau, ouvris mes bras et le laissai s'approcher. Jason passa ses bras autour de ma taille. Sans attendre, il me pressa contre lui, enfonçant son visage dans le creux de ma nuque.
« Il est quelle heure ? » demandai-je.
« Deux heure. »
« Mhh, tu rentres tard, ce soir. Qu'est-ce que tu faisais ? »
Il ne répondit pas.
« Jason ? »
« On s'en fiche, je suis rentré c'est le principal. »
Sa manière d'éviter ma question me contraria légèrement. J'aurais voulu en savoir plus, j'aurais voulu l'épauler, malheureusement, je n'étais plus l'oreille contre laquelle il pouvait se confier. Depuis qu'il était revenu d'entre les morts ⸺quelques mois auparavant, il était devenu méconnaissable. Jason me cachait tant de choses, j'étais d'ailleurs l'une d'entre-elles. Enfermée à double tours dans ce vieil appartement miteux, je n'étais pas mieux que le reste de ses secrets.
« Mhh, tu as raison. Bon retour à la maison, mon amour. »
Mes bras étaient passés autour de sa nuque, je les dépliai avec pour objectif de caresser ses joues. Tout en pressant la pulpe de mon pouce contre sa cicatrice, je plongeai mon regard dans le sien. Jason sursauta au contact. Il ne me repoussa cependant pas. Il conservait ses bras autour de ma taille trempée, lui toujours habillé.
Sa peau était chaude, de lui émanait une odeur métallique. Il n'était vêtu que d'un simple t-shirt vert foncé et d'un pantalon noir suivit de chaussettes. Rien ne me parut suspicieux et j'étais si comblée à l'idée de le retrouver que rien d'autre n'attira mon attention. Jason me serra contre lui. Il plaqua mes seins nus à son torse, mon bassin contre le sien et fit se toucher nos fronts. Je glissai mes doigts dans sa chevelure, soupirant un peu. Puis, je murmurai gentiment :
« Tu veux te doucher avec moi ? »
Jason hocha la tête.
Je reculai donc à l'intérieur de la douche et l'emportai avec moi. Immédiatement, nos lèvres se rencontrèrent. La cascade d'eau retomba du sommet de ma tête jusqu'à mes pieds pendant que je m'accrochais à lui si désespérément que j'en avais fermé mes paupières. Jason avait fait de même. Je le sentis se débarrasser de ses vêtements en même temps, il avait commencé par en bas, déposant de léger baisers sur mes lèvres lorsque ses mouvements nous forçâmes à nous séparer. Puis il s'était dépêché de faire pareil avec son t-shirt pour venir se presser entièrement contre ma silhouette.
Jason m'enferma dans une étreinte ardente, si chaude que la température brûlante de l'eau qui nous tombait dessus en aurait presque eu honte. La sensation de ses bras autour de moi, de nos torses se frottant l'un contre l'autre, nos lèvres se rencontrant sans une once de répit... C'était divin. À l'instar d'un festin royal dont les saveurs faisaient exploser mon cœur dans une symphonie de pulsations.
Je le sentais partout autour de moi.
Jason et moi ne faisions qu'un, nous étions à présent le socle de cette cascade humide, rongés par cette même eau, bougeant au même rythme et notre épiderme fusionnant de part cette chaleur qui nous faisait petit à petit fondre. J'en avais des vertiges. Mes poumons se fidèrent de dioxygène à la vitesse de l'éclair, je m'accrochais à lui, me cramponnais à sa chair et goûtais ses lèvres humides. Jason répondait à ma vivacité avec passion, il s'agrippait à la chair de mes hanches, frottait son corps nu au mien dans des mouvements erratiques. Ça n'avait rien de pressé ni de sexuel, c'était sensuel et séducteur. L'effort que nous faisions à nous embrasser ne signifiait pas notre empressement quant à ne faire qu'un, c'était plutôt sous l'emprise d'un fort sentiment de soulagement que nous agissions. J'étais heureuse de le retrouver, c'était de même pour lui.
Jason remonta une main en direction de ma nuque, il s'en saisit et rapprocha nos visages. Il contrôlait le tempo et l'intensité de notre baiser.
Ses lèvres se moulaient parfaitement à la forme des miennes, notre salive ne faisait qu'un, gênée à répétition par l'averse qui nous tombait dessus. Le goût métallisé provenant du pommeau de douche me fit grimacer, cependant les caresser qu'exerçait Jason sur ma nuque suffirent à me distraire. J'en venais à gémir contre lui.
Je poussais une petite plainte dans sa bouche, il répondit dans un grognement grave.
C'en était presque animal, primitif, la manière avec laquelle j'étais pressée contre lui, comme si sans lui je risquais de manquer d'air. C'était bien plus que ça en soi. Son étreinte était bien plus que deux simples mains qui me pressaient contre lui, c'était notre fusion; corps et âme, c'était une connexion qui allait au delà des mots, qui transcendait toutes les réflexions que j'avais pu avoir jusqu'à présent.
J'aurais pu mourir ainsi, les poumons écrasés par ma cage thoracique, la respiration saccadée et la gorge ravagée par des brûlures enflammées. Tout ça pour rester auprès de lui. Pour toujours et à jamais.
Toutefois, il fallut que Jason se recule.
Ses paumes de mains se posèrent sur mes épaules, il embrassa doucement mon front, puis l'arête de mon nez, et imposa quelques centimètres entre nous afin que nos regards puissent se croiser. Je papillonnai des yeux. Il nous fit sortir du dessous du pommeau, en direction de la sortie de la douche et arrangea ma chevelure avec une minutie attendrissante. Elle me fit fondre sur place, les pupilles pétillantes et le bas ventre en compote.
« Tu es encore plus belle que dans mes souvenirs. » il murmura.
« Jason... »
J'avais l'impression que mon cœur allait exploser.
« Merci d'être venue avec moi, merci de m'avoir suivi jusqu'ici. »
Jason embrassa le coin de ma bouche, puis ma mâchoire, puis ma tempe et il finit avec le milieu de mes sourcils. Il me dora de baisers, la prise de ses mains sur mon visage plus ferme que jamais.
« Je t'ai promis mondes et merveilles et j'y arriverai. » insista-t-il. « Tu mérites pas moins que ça, mon cœur. »
« Tant que tu me reviens. »
Je le pris par surprise en interceptant ses lèvres, je l'embrassai à mon tour.
« C'est tout ce que je veux. Toi. Toi et juste toi. Seulement toi. »
« Je t'aime. »
Une armée de papillons s'en allèrent chatouiller mon bas ventre. Je frémissai contre lui, incapable de réprimer le rictus qui prenait place sur mes lèvres.
« Moi aussi. »
Je l'embrassai.
« Je t'aime. Je t'aime. »
Tout était inhabituel depuis qu'il m'était revenu. J'avais appris son décès et m'étais immédiatement enfermée dans une dépression qui me fit frôler la mort du bout des doigts plus de fois que j'aurais aimé l'admettre. Malgré l'aide de ses frères, et de ses amis, il m'avait été impossible de tourner la page. Passer à autre chose après avoir aimé Jason Todd n'était pas une mince affaire. J'avais refusé tout type d'aide. Je m'étais enfermée dans ma chambre pendant des semaines entières et j'avais vécu avec pour simple compagnie le souvenir de son sourire et son odeur corporelle enduite sur ses vêtements. Lorsqu'il m'était revenu, j'avais cru devenir folle. Il était resté flou, je ne connaissais que les grandes lignes, la seule dont je me souvenais était sa proposition. Tout quitter le temps que les choses s'arrangent ou le quitter et définitivement tourner la page.
Alors oui, tout était inhabituel. De ce vieil appartement qu'il avait trouvé dans un des quartiers les plus miteux de Gotham, jusqu'à notre routine. Jason disparaissait presque tous les jours à faire je ne savais quoi. Parfois, il ramenait des tonnes de liasses d'argent qu'il cachait dans l'un des murs de notre cuisine, d'autre, il me revenait tout égratigné et m'empêchait de le questionner. Ce Jason était différent de celui que j'avais autrefois connu.
Celui que j'avais face à moi était plus sérieux, il avait perdu son éclat d'antan. Lorsque nous nous retrouvions, dans ces moments là, cette différence me dépaysait.
Cependant, une chose me restait familière : l'amour que je lui portais.
Lorsqu'il me caressait, m'embrassait, lorsqu'il me susurrait des mots doux au creux de l'oreille ou même lorsque nous ne faisions qu'un, il réveillait cette flamme de passion au sein de mon cœur, cette même flamme qui s'était embrasée la première fois que nos regards s'étaient croisés. Elle n'avait jamais disparu. Malgré tout Jason ne cessait de la raviver. À chaque toucher, parole, coup d'œil, il me faisait davantage l'aimer.
Je m'en fichais de ce qu'il me cachait.
Je me fichais de la provenance de tout cet argent.
Je me fichais de sa rancœur à l'égard de son père.
Je me fichais de tout tant qu'il me revenait vivant. Ma plus grande peur était de le perdre à nouveau, alors je refusais de le faire fuir avec toutes mes questions. J'avais juste besoin de savoir qu'il m'aimait et que jamais il ne me quitterait. Pour l'instant, Jason s'en sortait à merveille. Malgré le côté redondant de mon quotidien et mes conditions de vie inquiétantes, la pensée que je n'avais besoin que de lui pour être heureuse s'était rapidement certifiée.
Le sol à mes pieds aurait bien pu s'écrouler, il me suffisait d'entendre le son de sa voix et de sentir sa peau sur la mienne pour savoir que tout irait bien. Car tant qu'il était là, j'étais saine. J'étais complète. J'étais comblée.
Ma bouche trouva la cicatrice sur sa joue. Jason tourna la tête sur le côté, alors je le chassai et déposai un baiser sur sa mâchoire. Nous ne tardâmes pas à nous laver, l'eau de la douche ayant suffisamment coulé comme ça. Nous sortîmes de la salle de bain une dizaine de minutes plus tard. Vêtue d'un bas de jogging à lui et d'un simple soutien-gorge, je le suivis, main dans la main, jusqu'à notre lit ⸺un simple clic-clac dans le salon. Jason s'assit dessus et me guida sur ses cuisses, je pris place sans mal, ma poitrine collée à ses clavicules et mes bras passés autour de ses épaules.
L'appartement était minuscule, il n'y avait que deux pièces, un salon ⸺plus un petite cuisine, et une salle de bain. Dans un des murs était incrustée une armoire dans laquelle le peu de vêtements que nous avions étaient rangés. La qualité de l'endroit laissait à désirer, les murs, le sol et le plafonds manquaient d'isolation, les secousses provenant de la gare à côté handicapaient notre quotidien malgré les mois que nous avions déjà passé ici, nous n'avions jamais pu nous y habituer. Le frigo contenait mal nos restes de nourriture, il n'y avait pas de four et le micro-onde m'avait lâché la semaine dernière lorsque j'avais cherché à réchauffer mon bol de soupe. Sans parler du bazar qui traînait un peu partout dont nous étions responsables; entre bouts journaux, miettes de gâteaux, vêtements et sous-vêtements, objets parfois indescriptibles, CDs, cassettes, fils d'électroniques.
Nous vivions dans un chaos pur, avec au centre, juste lui et moi. Nous deux.
Je le sentais, toujours aussi proche de moi. Je le regardais dans le blanc des yeux, le corps chaud et un stupide sourire dessiné sur mes lèvres. Jason avait abandonné ses mains sur mes hanches, il jouait du bout de ses doigts avec l'élastique de mon ⸺son⸺ jogging. De cette manière, je me sentais invincible. Pas dans le sens où je me sentais forte, capable de tout surmonter, non. Je n'avais pas l'étoffe d'une héroïne. Malgré tout, je me sentais bel et bien invincible, je le devais à Jason. À ses côtés j'avais l'impression de ne rien risquer. J'étais certaine qu'il resterait à mes côtés, qu'il me protégerait : d'autrui, de mes souvenirs et traumatismes, de n'importe quoi. Tout ce qui aurait pu me blesser d'une quelconque manière.
J'aurais tout donné pour rester ainsi.
« T'as mangé ? » il me demanda.
« J'avais pas faim. »
Jason releva un sourcil.
« Tu m'as attendu, c'est ça ? Je t'ai déjà dit de pas le faire. » pesta-t-il dans un soupir. « Je t'avais laissé un peu d'argent sur le comptoir, t'y as même pas touché. »
« Je sais.. Mais m'en veux pas, j'étais persuadée que tu rentrerais tôt. »
« Je t'ai manqué ? »
« Quelle question... »
Il me pinça les hanches.
« Réponds, je sais que c'est vrai. »
« Eh ! »
Je plissai les yeux à la vue de son rictus taquin.
« Bien sûr que tu m'as manqué. Je t'ai attendu du matin jusqu'au soir. » marmonnai-je en roulant des yeux. « Tu mérites même pas que je te réponde. »
« Tu m'as manqué aussi, mon cœur. »
Je gloussai et me rapprochai de lui. Jason en profita pour lâcher mes hanches et plutôt les entourer de ses bras. Il me pressa contre lui, de nos bassins jusqu'à nos ventres et ma poitrine contre son torse. L'étreinte fut splendide, si romantique et passionnée. J'en eu des frissons. Le bout de nos nez se frôlèrent, finalement, nos fronts entrèrent en contact. Doucement, je vis ses yeux se fermer. Jason expira ensuite un doux soupir.
« Tu vas dormir ? » je l'interrogeai et passai mes doigts dans sa chevelure.
« Ouais, je suis crevé. » il répondit.
Son emprise sur mon corps me forçait à le suivre lorsqu'il me fit pivoter sur le côté et entrer en contact avec le matelas du clic-clac. Jason nous fit juste après reculer. Nous arrivâmes au niveau de nos oreillers respectifs, et il s'allongea sur moi, sans jamais lâcher mon estomac. De sa bouche, s'échappait un soupir d'aise. Sa tête se frotta à ma poitrine, il y trouva grand réconfort, sans ouvrir les yeux ne serait-ce qu'une fois. Je l'accueillais à bras ouverts. La vue de son expression détendue me sut suffisante. Ses traits étaient relâchés et les rayons lunaires provenant de la fenêtre juste à côté l'éclairait si joliment. J'en avais des papillons dans le ventre, le cœur qui pétillait. Il était magnifique, il m'était impossible de me lasser dès que mes yeux se posaient sur lui. J'étais irrésistiblement attirée par lui, charmée, envoûtée. Il m'était impossible de détourner le regard.
Jason déposa de doux baisers sur mon décolleté, il embrassa ma peau, me pressa contre lui. La manière dont il s'accrochait à moi était autant désespérée que passionnée. Je faisais de même en retour. Mes doigts se noyèrent dans sa chevelure corbeau, je l'agrippai et abaissai ma tête de manière à coller ma joue au sommet de son crâne.
C'était d'une perfection inconcevable.
Plus rien ne vint polluer mon esprit, je ne me souvenais plus de rien, n'omettais plus rien en retour. Tout ce qui comptait en cet instant se trouvait en mon sein, au creux de mon cœur. C'était lui, Jason Todd. Rien d'autre.
Je le vis s'assoupir, l'eus accompagné à l'aide de tendres caresses. Sa respiration s'était calmée, la force avec laquelle il m'eut précédemment maintenue en place disparue simultanément. Une demie heure s'écoula. Ne trouvant toujours pas le sommeil, j'étais malgré tout restée là, à ses côtés, attendrie par l'expression adorable sur son visage et tout autant intriguée par la cicatrice en forme de J incrustée dans sa joue. Je l'avais frôlé de mon pouce, j'avais ensuite embrassé sa tempe.
J'avais pris soin de lui aussi longtemps que possible. Morphée ne tarda pas à me voler, lorsque ma garde s'était baissée et que la fatigue avait commencé à me cueillir. Il m'accueillit à son tour et m'emporta dans le même monde de douceur dans lequel Jason avait déjà trouvé réconfort. Je l'y rejoignis avec hâte.
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olympic-paris · 26 days
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saga: Soumission & Domination 252
Fin des vacances de Noël 2012
Dans la soirée tous nos invités partent. Les trainards sont nos parisiens qui profitent du dernier train. Ric, avec l'autorisation paternelle, reconduit Alban avec son alfa. Il a même négocié de rester avec lui pour le reste des vacances. Je fournirai à André le " viatique " lui permettant de se vider les couilles en attendant.
A mon retour, le blockhaus est rangé à croire qu'il ne s'est rien passé pendant ces deux dernier jours, enfin le 4ème étage ! Quand je cherche PH et Ernesto, Marc en pleine discussion de travail avec Hervé, me montre l'étage du dessous. Je les retrouve avec Ammed en train de faire les chambres, tandis que Jimmy nettoie  la salle de bain. Nos invités ont été sympathiques et les " consommables " usagés ont bien été déposés dans les poubelles. Bien sûr les draps sont couverts de trainées de sperme sèches et de tâches de gel. Le tout, accompagné des draps de bain, part dans les tubes, direction la lingerie.
Avec PH et Ernesto, nous discutons un peu avant de remonter. PH est aussi content que moi de l'arrivée de Pablo chez Emma. Ernesto me dit qu'il montera plus souvent chez nous pour le voir. En Suisses ses patrons voyaient d'un mauvais oeil sa venue.
C'est tout content que nous remontons au 4ème. Hervé et Marc nous demandent ce qui nous rend si joyeux. Quand nous leur disons, Hervé tempère nous rappelant qu'il dispose d'un appartement en ville. Ernesto rétorque qu'il aura besoin d'un peu de temps pour nous quand il sera en France. J'entends bien qu'il sous entend de temps pour que nous nous retrouvions tous les trois avec Emma.
Samir nous a préparé un bon diner car si le buffet était délicieux, nous avons plutôt été raisonnables sur les quantités ingérées.
La discussion revient sur la touze. Pour Hervé aussi c'était sa première avec autant de mecs. Il nous confie, qu'après une légère appréhension vite dissipée par le champagne, avoir apprécié les bouches et culs de nos jeunes amis. Je lui demande quel cul, entre celui de Louis et celui de p'tit Théo il avait préféré. Sans hésiter il avoue avoir pris un plaisir fou à défoncer la rondelle de p'tit Théo. Je sens à mes cotés Ernesto se renfrogner. Hervé se lève et le prend dans ses bras. Il lui roule un patin et ajoute que c'était très bon mais pas autant qu'avec lui. Qu'il adorait son corps musclé et si doux. Marc leur demande, ironique, s'il faut que nous sortions ? Hervé se rassoit avec Ernesto dans les bras. Ils se roulent un nouveau patin, puis il nous dit que non, il a compris qu'aimer Ernesto ne suit pas le schéma classique de deux êtres amoureux. Il faut dire qu'à mon contact, Ernesto comme PH ont appris que l'amour n'est pas restrictif ou égoïste. Il est plutôt pluriel. Aimer un être ne stérilise pas nos capacités affectives. Je fonctionne comme cela depuis que je suis tombé amoureux de Marc puis d'Emma tout comme d'eux deux. PH m'aime ainsi qu'Ernesto. Il a pour Marc une grande affection. Ernesto, lui, m'aime tout comme PH et par-dessus tout son Hervé, pour qui il se damnerait. Ils ont, pour Emma une grande affection aussi. Tout cela est un peu touffu mais il y a entre nous au minimum beaucoup d'amitié et souvent de l'amour. C'est ce qui compte. La soirée s'achève et ils (Hervé et Ernesto) préfèrent se retrouver seuls dans leur chambre. Avec Marc et PH nous rejoignons la notre.
Premier à sortir de la douche, je zappe sur les enregistrements de la nuit du changement d'année, pour trouver une vue qui sorte de l'ordinaire. Quand mes deux amours me rejoignent, je commence une séquence où Ed se fait entreprendre par Eric, Bo-gosse, Second et Julien sous les yeux de son frère p'tit Théo dans les bras de Cédric. Mes deux compagnons sont aussi étonnés que moi de la vigueur de tous les participants, après le réveillon/touze que nous venions alors de passer. Ils se relaient à boucher les deux extrémités d'Ed. Ils tournent dans sa gorge comme dans son cul. Je comprends mieux la quantité de kpotes usagées trouvé tout à l'heure dans cette chambre ! On entend distinctement, entre deux ramonages de sa gorge par des glands gonflés de sang, PH réclamer encore de leurs queues.  De temps à autre nous apercevons p'tit Théo qui finalement s'est surement assis sur la bite de Cédric vu les mouvements qui les agitent.
Après une succession de simple sodo (quand même grand format vu les dimensions de Bo-gosse et Eric), nous le voyons se faire doublement enculer.
A ce stade, nos trois bites sont au garde à vous. PH coincé entre nous deux nous branle alors que je lui rends la pareille. Pas un de nous deux ne veux louper un moment en allant sucer une bite !
Sur l'écran géant qui fait face à notre lit, Ed se prend de plus en plus gros. S'il a commencé par une double sodo de Second et Julien, il se prend maintenant Julien et Bo-gosse en même temps. C'est à croire qu'il sait où est situé la caméra car son visage lui fait face et on peut y lire une expression extatique. La prise suivante provoque quelques grimaces. Il faut dire qu'il se prend alors dans son petit cul le black Manba d'Eric collé au 19cm de Second. Nous jutons tous les trois au moment où nous voyons le corps d'Ed s'arquer sous la jouissance. Son sexe expulse une quantité improbable de sperme qui se mélange avec ceux qu'il reçoit en douche des deux mecs qui se branlaient au dessus du trio.
Nous nous endormons nos bras (les miens et ceux de PH) emmêlés sur le buste de Marc.
Le deux janvier voit le départ de Marc et Hervé pour Tokyo. Leur patron les fait travailler maintenant en duo. L'après midi même nous retournons chez Emma. Nous devions la remercier pour ses présents ! Elle nous attend pour le café. Nous lui présentons nos mains portant ses anneaux. Elle trouve qu'ils nous vont bien et font malgré tout, assez virils. Bien qu'impatiente de sentir nos mains sur elle, nous prenons le temps hypocrite de finir nos tasses et de manger quelques chocolats.
Nous rejoignons après la piscine. Plus que sa chambre, le lieu se prête parfaitement à ce que nous allons faire. Les matelas de repos font de bons supports à nos corps emmêlés. Et l'eau chaude de la piscine accueille nos muscles courbatus. Ensemble nous dénudons Emma, toujours admiratifs de ses formes quasi parfaites. Ses seins ronds tiennent seuls, sa taille reste fine et ses hanches sans cellulite. Il ne faut que quelques secondes pour rejoindre son état. Nous plongeons et nageons quelques instants avant de revenir sur ces matelas. Nous passons le reste de l'après midi à faire l'amour. Elle aime toujours autant que nous nous emparions de son corps et que nous l'amenons plusieurs fois à exploser. Le summum est atteint lorsque je suis dans son cul, Ernesto dans sa chatte et PH dans sa bouche. Elle jouit alors pour la quatrième fois de l'après midi.
Le 3, nous déjeunons chez les parents de PH revenus d'une escapade au soleil. Ernesto encore présent est des nôtres. En moto, je suis PH et Ernesto. Je me change à l'arrivée. Le déjeuner est très agréable. Son père nous parle du projet de mariage pour tous et espère que cela passera pour nous deux. Au dessert, nous échangeons nos cadeaux. Avec PH nous avons choisis pour son père un stylo plume de chez Mont-Blanc et pour sa mère un carré Hermès pour sa collection. Nous recevons de leur part une belle montre suisse et une nouvelle pierre pour nos oreilles. Ernesto n'est pas oublié et reçoit la même montre que nous. Je ne savais pas mais PH à parlé de lui à ses parents comme le frère que nous n'avions eu étant tous les deux fils uniques ! Il est confus et ne sait comment les remercier. C'est PH qui leur annonce que son frère, Pablo, va bientôt venir comme cuisinier chez ma mère et qu'il sera à même de travailler à façon. Ils sont ravis de pouvoir trouver de la nouveauté. Les cuisinières " maisons " aussi bonnes soient elles, manquent souvent d'originalité dans leur propositions de plats.
Le 4, nous avons la surprise de voir arriver pour le café Viktor et son copain russe Nicolaï. Il m'avait dit effectivement que ce dernier devait venir pour les vacances. C'est amusant. A les voir l'un à coté de l'autre, on dirait deux frères. Aussi blonds l'un que l'autre, à 1cm près de la même taille et la peau claire caractéristique du type slave. La sympathie s'installe tout de suite entre nous. Il parle un bon français mâtiné de termes russes que nous traduit instantanément Viktor. Je suis présenté par Viktor comme son " sauveur ". Je m'en défends et corrige en " employeur ". Nicolaï sourit à cette rectification. Victor ajoute que sans moi, il serait encore un pauvre étudiant à l'horizon limité et qu'il n'aurait jamais eu la chance de croiser Nicolaï. Ça je veux bien en convenir. Nico passe son bras autour du cou de Viktor et lui roule un patin. Ils en sortent l'un et l'autre tout émus de leur baiser. Ils voient trois visages souriant en face d'eux.
Nico nous dit que chez lui, seuls ses parents sont au courant de son orientation. L'homosexualité vécue au grand jour est encore difficile en Russie. Comme nous, il s'est formé à un sport de défense auprès des collaborateurs de son père, haut placé dans le nouveau renseignement russe. C'est surtout le cas à Moscou, heureusement que les stations balnéaires de la mer noire sont plus libérales et qu'il y est plus facile de faire des " rencontres ".
En attendant, en France, il affiche son affection à Viktor avec force baisers et embrassades. Ce n'est pas nous qu'il va gêner !
Il me demande s'il pourrait travailler de temps à autre dans ma société auprès ou avec Viktor. Je lui en demande la raison. Il nous dit avoir négocié avec son père de pouvoir venir toutes les vacances en France et que ce dernier lui paye les vols. Mais pour le reste il doit se débrouiller. Comme il ne veut pas être au crochet de Viktor et que coté cul, il sait bien y faire, il voulait savoir si j'aurais une place pour lui.
Je réfléchis un moment puis lui demande de me suivre à mon bureau (au premier étage). Nous laissons les autres au salon et descendons.
J'ouvre un dossier Nicolaï : Taille : 1m85 Poids : 77 Kg Cheveux : Blonds courts Poils : Blond juste un peu au dessus du sexe, imberbe et rasé Type : Slave (peau très claire) Monté : 20 x 5,5 Couilles : ronde assez grosses Gay avec expérience des filles
A ce stade de l'interrogatoire, je lui demande de se déshabiller. Avec naturel, il retire ses jeans, polo, chaussures et chaussettes. Il est bien balancé ! Musclé sec, ses abdos en tablette sont superbes. Son slip ES laisse espérer une belle bite. Il comprend mon coup d'oeil et retire ce dernier vêtement. Se déploie alors une belle bite à moitié gonflée surmontant deux belles couilles qui descendent un peu. Je me lève et le rejoins. Ma main droite part entre ses cuisses et va soupeser tout ça. Les couilles sont lourdes et roulent bien dans leur sac. Sa bite gonfle encore et se dresse à la verticale jusqu'à son nombril, cachant le peu de poils qu'il laisse pousser. Sans être circoncis, son gland se découvre totalement quand son excitation est totale. Il ne bronche pas et reste debout regardant droit devant. Ça me fait rire et je lui dis de se détendre. En même temps ma main gauche passe entre ses fesses et je tâte sa rondelle avec mes doigts. Elle me semble bien serrée. Je lui en fais la remarque et il me confirme qu'il s'est peu fait sodomiser jusque là. Continuant à masser son anneau, je l'informe que j'ai peu de client passif et beaucoup de client actifs et TTBM. Il me dit que Viktor lui a déjà parlé des caractéristiques de ma clientèle et qu'il est prêt à faire ce qu'il faut. Je lui demande si cela ne posera pas de problème avec son père. Il m'avoue alors que ce dernier est au courant et qu'il le laisse gérer sa vie comme il veut tant que cela ne la met pas en péril. Devant tant de bonne volonté et dispositions, je lui demande de me sucer.
Il se place à genoux devant moi et défait ma ceinture et les boutons de mon jeans. Il sort ma queue et mes boulles et commence par me lécher le service trois pièces. Je le laisse faire. Il embouche mon gland et le garde un bon moment à l'exciter avec sa langue avant de le faire pénétrer plus loin, jusque dans sa gorge. Sans se presser, il m'avale en entier sans que je sente ses dents et je sens son nez s'écraser contre mon pubis. Je le laisse gérer. J'ai l'impression que mon gland reste longtemps au fond de sa gorge. Quand il se recule, pas de rougeur ni de haut le coeur. Il remet ça et il est vraiment très bon à ce jeu là ! Je l'interromps avant qu'il ne me fasse juter. Il se redresse et me demande, faussement naïf, si ça conviendra pour mes clients. Je lui dis que s'il fait pareil mais sur des bites de 24 à 27cm ce sera parfait. Il m'assure pouvoir le faire.
J'enduis mes doigts de gel et attaque la face nord. Un puis deux doigts s'enfoncent facilement. Le troisième est plus délicat à faire entrer. Je me kpote et pousse Nicolaï contre mon bureau. Il y prend appui et écarte les jambes. Je pose mon gland contre sa rondelle et lui dis de se détendre. Je lui donne une petite tape sur la tête et défonce sa rondelle en même temps. Surpris il laisse passer mon gland. Je sens sa rondelle serrer juste derrière ma couronne. Je lui fais sniffer un peu de poppers. Ça l'aide bien à s'ouvrir et ma queue très lubrifiée s'enfonce lentement mais surement jusqu'à ce que mes couilles battent contre les siennes. Il souffle mais quand je lui demande s'il a mal, il me dit que non. Je fais quand même attention lors de mon retrait et remets du lubrifiant avant de le défoncer à nouveau. Il faudra bien 10 à 15 mn avant que je puisse le limer facilement. Il bande sous ma saillie, je sais qu'il prend lui aussi du plaisir. Je le branle mais doucement. Je ne voudrais pas qu'il jute avant moi. Sa rondelle me serre bien la bite, comme me le ferait un puceau. Je m'accroche à ses épaules et le plante profond à chaque va et vient. Il gémit de plus en plus fort et je finis par le faire exploser. Au fond de son cul, mon jus rempli ma kpote ! Je me retire délicatement, je n'aime pas faire mal (sauf avec mon Ric qui aime ça !).
Nous reprenons nos esprits. Je l'emmène à la salle de bain du niveau et nous nous douchons ensemble. Sous les jets d'eau chaude, il me dit qu'il pourra se faire à la sodo, et ajoute que cela fera plaisir à Viktor qui ne demandait que cela.  Je lui demande ce qu'il y a vraiment entre eux. Il me dit qu'il a flashé sur lui et que c'était réciproque. Il comprend son besoin de travailler pour moi, vu sa condition familiale et m'assure qu'il ne sera pas un obstacle dans son taf. De son coté, son père comprend ses besoins et désirs et sait bien que sur le territoire Russe, c'est plutôt risqué. Il est donc soulagé qu'il ait trouvé un ami en occident où la situation des homos est quand même plus simple. Il ne fera donc pas de problème à ses venues en France ni à son activité pour moi. Ça me rassure, je ne voudrais pas avoir la mafia Russe sur le dos !
Jardinier
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audessusdesgens · 9 months
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Profiter de la nouvelle année
Juste à deux
Un bain bouillonnant pour se relaxer
Sortir de là echauffés
Se chercher, encore nus et le corps humide
Les baisers, les mains sur les corps
Elle est debout devant lui, son corps offert
Il l embrasse, la caresse
Se penche vers son intimité, tout en tortillant la pointe de ses seins, érigés de désir
Sa langue cherche son.clito, déjà gonflé d'envie
Elle se rapproche encore plus de lui, assis sur le canapé
Elle le Domine, sa chatte collée à sa bouche
Il lui insère un doigt pour la fouiller. Il sat ce qu elle aime
Puis un deuxième, en accélérant
Le souffle est court..elle va jouir là, debout, sur sa bouche.
Mais à peine remise de ses spasmes de plaisirs, ils changent de place ..pour qu elle puisse déguster sa queue tendue et offerte.
Elle le pompe, le brande, le leche avec ferveur
Il lui enfonce son dard dans la bouche,
A bout de souffle elle le branle, rapidement fort
Lorsqu'il lui dit qu il va jouir..elle le reprend en bouche et le suce avidement jusqu à la dernière goutte
Texte original 012024
Photo personnelle, copyright @audessusdesgens
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1981 - L’été
J’aimais les campings, leur vie grouillante, ce mélange de 4L et de Mercedes, le bruit des enfants partout. J’aimais leurs bals ringards, la cantine en self, les sardines grillées la nuit. J’aimais embrasser sur la bouche les filles en maillot de bain derrière les douches. Peut-être ai-je retrouvé dans ma résidence Bobo Mojito quelques pièces de ce puzzle nostalgique ? Mais où sont passées les filles en maillot de bain ?
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icariebzh · 6 months
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"Le bonheur c'est tout se rappeler mais plus précisément tout oublier c'est l'illusion de la neige d'un cerisier en fleur qui aime l'hiver c'est un salaud de ruisseau qui ne coule qu'à sa tête c'est la pluie sur la mer c'est la rivière qui loin des villes baise avec l'océan c'est après le dégel et avant l'avalanche se baigner nu dans la boue arroser les enfants l'été avec des tuyaux percés L'eau c'est l'eau l'eau c'est l'eau le bonheur le bonheur c'est l'eau C'est une grande ville cristalline qui ruisselle vers le ciel c'est des adolescents secs qui plongent d'une falaise dans un trou vert c'est un baigneur solitaire qui se noie sans résister un naufragé accroché  à une planche glissante des jeunes orques insolents qui attaquent un yacht de milliardaire L'eau c'est l'eau l'eau c'est l'eau le bonheur le bonheur c'est l'eau c'est des milliards de méduses ivres qui dérivent dans un flot tiède c'est un bain chaud où l'on redevient foetus de luxe dans placenta océanique c'est le liquide de ta bouche et tes larmes sur ma langue c'est l'eau quoi qu'il arrive le bonheur c'est l'eau c'est l'eau quoi qu'il arrive le bonheur le bonheur c'est l'eau  l'eau c'est l'eau l'eau c'est l'eau le bonheur le bonheur c'est l'eau" Arthur H "Le bonheur c'est l'eau"
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klarence4 · 20 days
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Je n'ai trouvé dans l'histoire qu'un seul homme qui fut plus calomnié que moi : Le Régent Philippe d'Orléans.
Parmis mes calomniateurs, il en est un qui fut particulièrement acharné, redoutablement haineux, au point qu'en bon Tolkieniste, je l'avais surnommé "La bouche de Sauron" !
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Pas seulement à cause de ses mœurs sexuelles ("Soupeur" invétéré il se delectait de la crotte des prostituée apres l'avoir faite réchauffer au bain-mari) mais a cause de toute les méchanceté qu'il a put commettre en usant du pouvoir des mots dont il était le maître.
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Il a persécuté ma femme en se faisant passer pour son Père afin de commettre de nombreuses escroqueries en son nom et surtout au mien. Il a tenté de faire périr ma Mère de désespoir en l'intoxiquant de fausses informations toutes plus abjectes et infâmes.
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Aujourd'hui encore les ignobles mensonges colportés par lui, avec patience et acharnement, sur mon compte, trouvent encore un écho ! (Bien entendu surtout dans les oreilles complaisante...)
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voletsclos · 2 months
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Décrire ce moment que vous ne connaissez pas.
Il est tard dans la nuit. Je suis sous mes draps. Je me caresse depuis un moment déjà, n’arrivant pas à trouver le sommeil. Chaque tentative de sommeil est contrariée par mes mains qui ne peuvent s’empêcher de toucher mon sexe. Ou par mon esprit qui ne peut s’empêcher d’imaginer des mains ou une bouche féminine, qui descend sur mon ventre - et alors ma main descend sur mon ventre. Et j’imagine la main féminine qui rencontre mon érection - et alors ma main rencontre mon érection. Et j’imagine comment elle soulève l’élastique - et ma main soulève l’élastique, pour trouver la chair chaude et enflée. Le sommeil ne vient pas. Il ne pourra pas venir, si je continue ainsi. Il faut que je jouisse. Que j’éjacule. La salle de bain… impossible, il faudrait que je sorte de la chaleur des draps. Non, ce moment-là, c’est un moment d’abandon : je vais jouir dans mon lit, dans les draps, sur mon ventre. J’ôte le drap de mon corps. J’ai décidé de jouir, je ne me retiens plus. Il me faut peu de temps. J’ai accumulé tant d’excitation. Quelques mouvements du poignet, la main bien serrée. L’autre main sur mes bourses. Je m’abandonne. Je ferme les yeux. Tout se contracte, tout se détend. Mon sexe pulse. Je serre le poing - quand je le relâche, les giclées sont plus belles. Je sens la chaleur du sperme sur mon ventre, dans les poils de mon ventre. Une, deux giclées, et puis des coulures. C’est tiède et humide. J’en ai un peu sur la main. Je laisse trembler un peu mon corps, je laisse les derniers frissons venir. Ma main reste sur mon sexe qui mollit. Je m’endormirai vite. Avec mon sperme sur moi. Il séchera dans la nuit. Demain je changerai les draps.
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olympic-paris · 9 days
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saga: Soumission & Domination 268
Installation à la champagne - fin d'année
Nous réintégrons notre " campagne " lors des révisions. Le bon air, le calme et l'isolement sont propices à la concentration nécessaire.
Le Blockhaus est mis en sommeil pour trois mois. Mais je maintiens jusqu'aux vacances les mardis soirs (même les semaines d'examens) de krav maga et de muscu. Nous en avons tous besoin pour nous détendre.
Notre solitude (relative) n'est troublée que par les visites de collègues venus revoir certains points particulier (et non, pas sexuels !), et les WE où Marc est en France (là c'est sexuel !).
Nous retrouvons aussi nos voisins directs Bruno et Arnaud, ce dernier en révisions aussi. Jimmy a entretenu la propriété pendant la période hivernale et nous retrouvons une maison ouverte, propre, avec les jardins fleuris comme si nous ne l'avions jamais quittée et la piscine chauffée. Avec PH, on organise nos emplois du temps. Nous alternons les heures de révisions avec les périodes de défoulement sportif, piscine et muscu en fin d'après midi. Samir et Ammed s'occupent de la logistique. Jimmy est tout content de nous servir de détente sexuelle, quand, dans la journée, la tension devient trop forte.
Nous nous sommes partagés le séjour, je m'étale coté salon alors que PH squatte la salle à manger. Du coup quand Jimmy sert de soupape de décharge (c'est le cas de le dire) à la pression de l'un d'entre nous, ça donne l'idée à l'autre ! Il fait coup double. Sa bouche est toujours aussi accueillante et sa pratique de la gorge profonde est parfaite. Pas de hoquets ni d'étranglements, nos 20cm s'enfoncent entre ses amygdales, du velours ! Certains soirs, nous usons du reste de son corps, plus particulièrement de sa rondelle. En général, après l'avoir enculé chacun à son tour, nous nous finissons ensemble, nos deux bites pressées l'une contre l'autre, par les muscles de son anus. Là aussi il est devenu une sacrée bête de sexe !
Morgan et Simon qui, comme nous, révisent ensemble sont passés nous voir. Ils nous trouvent en maillots de bain et nous demande comment nous arrivons à gérer nos pulsions sexuelles alors que nous sommes installés si proches. PH montre la piscine de l'autre coté des baies vitrées et explique qu'au sous-sol nous disposons d'une salle de sport. De mon coté, j'appelle Jimmy qui à ce moment là nettoie la piscine et le présente comme notre " soupape " d'urgence. Simon plaisante qu'il est actuellement sous pression. Jimmy me jette un oeil et, devant mon acceptation muette, s'agenouille à ses pieds. Avant que Simon n'ait eu le temps de le relever, Jimmy défaisait les boutons de son short et embouchait une bite encore un peu molle. Morgan est plié de rire. Il nous dit mieux comprendre comment nous arrivons à nous détendre. Comme je vois qu'il ne peut s'empêcher de bander à voir son mec se faire sucer, je lui dis d'en profiter aussi. Sans fausses pudeurs (nous connaissons leurs corps dans les moindres détails) il tombe son bermuda et présente un gland bien gonflé aux lèvres de Jimmy. Nous le voyons alterner entre les deux queues jusqu'à les amener au bord de la jouissance. C'est Simon qui le premier prend le relais. Il pompe Morgan et deux secondes nous le voyons déglutir la production de son mec. Puis c'est l'inverse. Dans une pelle très chaude, ils s'échangent les derniers spermatozoïdes encore coincés entre leurs dents. Avec PH nous n'avons pu nous retenir de bander devant ce spectacle. Pour nous remercier et s'excuser de nous avoir mis dans cet état, ils viennent tous les deux nous sucer. A leurs cotés, Jimmy apporte quelques corrections à leurs façons de faire les pipes, histoire que le plaisir soit plus intense des deux cotés. Ils assimilent vite et nous notons une réelle amélioration, même si celles qu'ils nous faisaient sortaient déjà de l'ordinaire. Nous nous échangeons leurs bouches. Je préfère celle de Morgan. Mon gland s'enfile mieux dans sa gorge et il a bien capté l'intérêt de déglutir au moment crucial pour augmenter le plaisir du sucé.
Nous les repoussons et nous terminons en 69. Rien ne vaut la bouche gourmande de son mec ! Contrairement à eux, nous gardons en bouche le plus de sperme possible pour faire un mélange alors qu'on se roule une pelle. Passage à la douche et nous travaillons ensemble (Simon avec PH et Morgan avec moi) le reste de l'après midi. Comme nous n'en avons pas fini avec les chapitres, Morgan et moi, nous leur proposons de rester dormir ici et de repartir en fin de matinée le lendemain. Ils acceptent même s'ils n'ont pas prévu de rechange. Ils savent que nous ne les laisserons pas repartir tous nus !
Nous bossons tous jusqu'à 19 h puis nous nous défoulons dans la salle de muscu avant de diner. Ils apprécient la cuisine. Nous parlons des vacances. Ils sont ok pour les passer séparés vu les plans que je leur organise et les pécules qu'ils vont en retirer. Faut dire que des vacances dans des lieux de rêve et payés de surcroit, il y a pire !  Pour la nuit, nous investissons le baisodrome du premier accompagnés de Jimmy. Ils n'étaient jamais venus mais sont à peine surpris des installations. Le blockhaus les a rendus blasés !
Nous passons un bon moment tous les 5. Ils hallucinent devant les performances de Jimmy. Sa capacité à l'auto-fellation, sa souplesse folle et de nous voir l'investir ensemble (double sodo). Ils n'en reviennent pas même s'ils savaient la chose possible. Tous fous, ils nous demandent la place. Deux gamins à qui on a offert des glaces ! Avec PH, j'attends qu'ils prennent leurs pieds. Alors seulement nous les attrapons et les plaçons côte à côte en levrette avec les épaules plaquées au matelas. Là, on se kpote et les défonçons grave. Ils sont bien resserrés par leurs jouissances récentes et ils peinent un peu jusqu'à ce que Jimmy leur glisse je ne sais quel conseil à l'oreille. Après, si leurs rondelles sont toujours dures à limer, eux semblent plus l'apprécier. Nous arrivons même à les faire bander à nouveau et à les faire juter en même temps que nous.
Les couples se reforment pour la nuit et je renvoi Jimmy pour que nous soyons sûr de récupérer. Connaissant le p'tit mec, il nous aurait tous réveillé au moins une fois pour se faire tirer à nouveau !
Ils nous quittent après le déjeuner du lendemain.
En ce qui concerne l'activité de ma société, comme tous les ans à la même époque, c'est le calme plat. Tous les clients ont été prévenus et comprennent que s'ils veulent ce type d'Escorte (mecs jeunes, beaux et surtout cultivés), c'est le corolaire. Par contre la première semaine après les examens, mes p'tits gars vont frôler l'overdose ! Avec leurs accords ils auront  tous une prestation par jour.
Je trouve quand même le temps, entre les matières à réviser, d'organiser leurs vacances. Tous sont intéressés à passer des vacances rémunérées. D'autant plus que ces dernières sont bien mieux payées que les stages qu'ils sont obligés de faire dans le cadre de leurs études.
Cette année encore ils vont revenir tout bronzés. Leurs destinations s'étalent de Chypre à San Francisco en remontant par Odessa (pour nos deux jeunes Russes), puis Mykonos où André compte emmener Maxou et Ric pour la deuxième année consécutive. La cote d'azur accueillera un de mes " protégés " et Malaga un autre. Les derniers iront passer leurs 4 semaines de libre aux USA, deux en Floride et les autres à San Francisco et Los Angeles. J'ai étendu les contrats de leurs portables professionnels pour pouvoir les joindre et réciproquement. Même Clément dont les parents sont suffisamment aisés pour ne pas avoir à " travailler " a insisté pour faire parti du " programme " estival.
Les deux Escorts que je partage, Jonathan et François, ont un stage commando de 3 semaines en plus de leur mois de stage. Ils n'auront donc que 15 jours pour se faire un peu d'argent. J'ai choisi le plus " aisé " de mes clients et lui ai proposé de les avoir ensemble. Je lui ai avancé cela comme un privilège exceptionnel, ça a fait passer mes exigences elles aussi exceptionnelles ! D'après ce que m'a dit leur commandant, ça va être très physique. Ils vont être intégrés avec leurs collègues à différents stages. Ils vont s'initier au parachutisme et à la survie en milieu hostile. Ils auront bien besoin de 15 jours de repos après tout ça ! Le client en question, tel que je le connais, va autant les utiliser comme déco de sa villa estivale que pour ses besoins sexuels relativement modestes.
Louis, lui, retourne aider son oncle dans le village à coté de chez nous. Du coup avec Marc nous avons proposé à Franck de s'installer à la maison pour qu'ils puissent vivre un peu ensemble. Louis, de son coté, m'a dit avoir négocié de crécher aussi à la maison plutôt que chez l'oncle en question. En attendant Samir et Ammed nous bichonnent de bon petits plats destiné à soutenir nos efforts. La piscine aussi est d'un grand secours quand avec PH, nous saturons coté révisions et ce, même si le temps reste un peu pourri !
Même nos nuits sont sages ! Je ne me reconnais pas. Nous profitons du WE où Marc est à la maison pour nous lâcher de ce coté là et il bénéficie alors de toute la retenue que nous avons eue durant la semaine. C'est les couilles asséchées qu'il repart en voyage la semaine suivante. Nous sommes dans le même état, ce qui favorise la concentration sur nos pages de notes !
Je garde aussi un oeil sur mes " protégés ". Ils sont prévenus qu'ils ne resteront chez moi (ma société) qu'à condition de passer dans l'année supérieure. Ils sont tous en révision quand je les appelle et m'assurent, quand on s'entraine le mardi qu'ils bossent comme des oufs.
Les écrits se passent bien du coté de PH comme du mien. Moi j'attends avec impatience les oraux. J'ai toujours été meilleur dans ce domaine là ! Même sans aller jusqu'à utiliser mon organe sur les parties " privées " de mes examinateurs.
Fin juin, le plus gros est fait et j'attends les résultats de tous. Je suis surtout impatient pour ceux de Maxou et Kamal. Le premier doit se faire la preuve qu'il a pu raccrocher après son année " sabbatique ", et le second que le bachotage des dernières semaines a été efficace et que la récompense que constitue ses cours de pilotage moto n'est pas usurpée.
Debut juillet.
Les résultats arrivent groupés et tous, nous passons dans l'année supérieure. Kamal passe même nous voir de retour du lycée pour nous annoncer sa réussite avec mention bien ! Cela va lui permettre d'intégrer sans soucis l'école de kiné de Clément. Maxou a bien raccroché le cursus normal. Il intègre sa seconde année avec brio et Louis aussi !
Ernesto arrive dès la fin de ses propres examens. Pablo prend deux jours de vacances et le rejoint chez nous. C'est la détente totale. Nous les passons entre baise, bains, muscu, rebaise, re-rebaise, le tout entrecoupé de moments passés à nous raconter nos semaines de séparation. Nous apprécions particulièrement de nous faire enculer par les deux frères alors qu'on se fait un 69, PH et moi. On a beau dire, les bites de 24cm font quand même plus d'effet que les petits zizis ! Si Pablo n'encule pas son frère, ils se roulent des pelles sans complexe. C'est ce qu'ils font alors que nous hébergeons leurs magnifiques bites dans nos culs.
Ernesto me fait un compte rendu précis de l'activité de ma filiale espagnole. Elle ne subit pas les contrecoups de la crise. Mes Escort Ibères ont taffé un maximum avant leurs exams et bien repris depuis. Mes deux préférés, les lutteurs, sont parmi ceux qui ont le plus de prestations. Cela correspond bien au retour que j'en ai du cabinet comptable.
Nous profitons d'être réunis tous les trois pour faire plaisir à Emma.
Jardinier
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solinette-ytb · 11 months
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Jessie Obrezati CC List
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CC list complète :
Presets :
Sourcils : Twistedcat
Yeux : Obscurus eyes preset 5f (numéro 14 dans CUS)
Nez : Obscurus nose preset (numéro 15 dans CUS)
Bouche : Obscurus lip presets 7f (numéro 27 dans CUS)
Mâchoire : Merrin Honey Jaw
Oreilles : Luumia
Détails de peau :
Peau : Twistedcat Lemonade
Cils : Kijiko (version détails de peau)
Dents : Meatball
Détail de visage : Miiko Face kit N°2
Cheveux 1 : Simstrouble Randi
Cheveux 2 : Simtrouble Deimos
Maquillage :
Fards + RAL : Twistedcat
Eyeliner : Obscurus N17
Bijoux :
Boucles d'oreilles : Pralinesims earrings ultimate collection
Collier : Simplicaty Rosetta necklace
Tenue quotidienne 1 :
Haut : Black Lily Breack shirt
Pantalon : AxA Miranda Jeans
Bottes : Solistair Mina boots
Bracelet : Aretha Marija bracelet
Tenue quotidienne 2 :
Combinaison : Madlen Dasha jumpsuit
Bottines : ADA Evelyn boots
Bracelet : AxA Girlboss bracelet
Tenue habillée :
Robe : Black Lily Mavis dress
Chaussures : Jius
Sport :
Tenue : Madlen Lea outfit
Chaussures : Jius
Pyjama :
Robe : SxC Adore chemise
Fête :
Robe : Madlen Rosemary outfit
Chaussures : Jius
Maillot de bain : Black Lily Heat Wave Swimsuit
Temps chaud 1 :
Haut : AxA Tiffany Top V2
Short : AxA Isabella Shorts
Chaussures : Jius
Bracelet : AxA Girlboss bracelet
Temps chaud 2 :
Haut : AxA Rachel Top V2
Jupe : Aretha Kara skirt V2
Chaussures : Jius
Temps froid 1 :
Tenue : Madlen Abegail outfit
Bottes : Solistair Mina boots
Temps froid 2 :
Haut : AxA Elaine Top
Jupe : Aretha Kara skirt V2
Bottes : Solistair Mina boots
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alexar60 · 1 year
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Avis de tempête
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La météo avait prédit qu’il y aurait des orages localisés. En effet, je voyais le ciel se noircir brusquement. Cette noirceur assombrit rapidement la rue. Il faisait affreusement chaud. Je restai sur le seuil de la porte à observer cet orage qui, logiquement, devait refroidir l’atmosphère.
Mais l’horreur arriva très vite. Une forme sombre se propagea dans la rue provoquant un vacarme strident. Des centaines, des milliers de rats abandonnaient les égouts et couraient dans la même direction. Je fermais la porte pour les empêcher d’entrer. Puis, j’observais cette horde de rongeurs envahir la route. Certains passaient sous les portiques afin de fuir par les jardins. En face, mes voisins regardaient la scène avec des regards ébahis remplis de terreur.
Le calme revint jusqu’au premier grondement. Je compris qu’ils voulaient échapper à l’orage. Ils sentaient certainement qu’il se changeait en tempête ou en tornade. Le silence régnait entre deux éclairs. Le ciel devint tout-à-coup noir. La pluie commença de tomber en averse avant de se transformer en grêle.
Des grêlons de la taille d’une boule de pétanque fracassaient les pare-brise ainsi que les toits des voitures garées dans la rue. Un orage ? Non, je n’avais jamais vu une pareille pluie ! J’entendais les vitres exploser, les tuiles des toits éclater au choc des boules de glace. Moi qui me plaignais de cette chaleur, j’eus subitement froid. Je montais prendre un pull tout en vérifiant les dégâts sur le vasistas de la salle de bain. Il n’était que fêlé en plusieurs endroits. La grêle ne dura que cinq longues minutes. Cinq longues et terrifiantes minutes. Je pensais que cela se finirait bientôt.
L’orage grondait de plus en plus. Les éclairs allumaient un ciel si noir qu’on crut être en pleine nuit. Il n’était pas encore dix-sept heures quand soudain, des flocons tombèrent à profusion. La poudre blanche recouvrit rapidement la rue, les toitures ainsi que les carcasses de voitures sur les trottoirs. Nous étions le vingt août et il neigeait. L’orage tonnait encore et il neigeait en même temps. Je n’en croyais pas les yeux, pas plus que certains voisins qui sortirent regarder cette étrange tempête de neige. De plus, un froid glacial apparut rapidement, envahissant la rue. Je pouvais voir la buée sortir de leur bouche et de leurs narines avant qu’ils ne rentrent.
L’orage grondait toujours. On avait l’impression d’être au milieu d’un concert de déchainement de la nature. La poudreuse tombait tellement que je ne voyais plus les maisons en face. Je commençais à greloter alors que j’étais protégé chez moi. Je fus heureux que ma femme et les enfants soient en vacances chez mes beaux-parents.  Je pris mon portable pour les prévenir du temps dérèglé dont j’étais témoin. Seulement, le réseau était coupé. Alors, je me contentais de quelques photos.
La neige arrêta de tomber comme elle était arrivée. Par contre, le tonnerre continuait de hurler dans le ciel. Il était de plus en plus fort, de plus en plus proche. Je regardais les éclairs continuer d’illuminer le ciel. Et c’est là que j’ai vu ce que je n’aurais jamais cru voir. J’avais lu des articles à son sujet. J’ai écouté des podcasts. Je me suis intéressé à son histoire, à sa légende. Mais jamais, je pensais la voir en personne.
Cela commença par des silhouettes lointaines encore plus noires que la nuit. Elles avançaient à un rythme effréné. Grâce aux éclairs, j’aperçus d’abord la forme des chevaux, puis celle des cavaliers. Mais c’était bien elle, la chasse sauvage ! Elle fendait l’air déjà abimé par l’orage qui persistait. Elle passa au-dessus des premières maisons de la rue. Je compris que les sabots des chevaux noirs provoquaient ce bruit de tonnerre. Je vis les yeux des cavaliers sans percevoir leur visage. Ils étaient jaunes tels des étoiles dans le ciel. La forme de leur corps ne ressemblait à rien de comparable. C’était une fumée scintillante et opaque. Elle laissait une trainée de poudre derrière le passage des chevaliers.
Je fus saisi de terreur en entendant le hennissement des montures. Ils me glacèrent le sang. Mais ce n’était rien à côté du haro crié par chef de la horde. La chasse passait et je n’avais pas vu le gibier. Ce ne pouvait être les rats ! Non, cette troupe macabre chasse le maudit ou le criminel mais pas un animal si méprisable qu’un rongeur. Je regardais passer cette chasse volante, me demandant si je risquais ma vie en sortant pour la contempler. L’orage passa aussi vite que le groupe de chasseurs. Déjà, il s’éloignait, me laissant abasourdi. Un voisin ouvrit sa porte. Il marcha dans la neige qui commençait à fondre. Il regarda l’état de sa voiture. J’allais le rejoindre lorsqu’un bruit de neige écrasé résonna dans la rue.
Un homme courait d’un pas fatigué. Il gardait la bouche ouverte cherchant à reprendre son souffle. Comme vêtements, il portait des haillons. Il courait au milieu de la route cherchant à fuir. Ses yeux contenaient énormément de tristesse, et on ressentait l’épuisement sur ses épaules. Il courait pieds nus sans s’arrêter, sans parler. Tout-à-coup, le tonnerre revint.
La chasse était derrière ce pauvre homme. Elle le traquait sans merci, sans se reposer. C’était son calvaire, sa punition. Et d’après les légendes, cela ne s’arrêtera jamais. L’orage résonna en même temps que le galop des chevaux. Je remarquai leur aspect squelettique. J’espérais qu’ils n’aperçoivent pas mon voisin. Ce dernier leva la tête pour les regarder passer au-dessus de lui. Mais un chasseur descendit et le transperça d’un coup de lance le thorax. Il s’effondra net. La chasse s’éloigna, le grondement aussi. Puis, le silence arriva en même temps que le soleil.
Nous sortîmes en même temps, sans comprendre ce qui venait d’arriver. Nous nous précipitâmes pour aider notre voisin. Mais c’était trop tard. Il n’avait aucune trace de perforation, seulement des marques noires sur les vêtements. Plus tard, nous apprenions qu’il avait officiellement été touché par la foudre.
Personne n’oublia cette tempête extraordinaire. Toutefois, personne n’en parla par peur des superstitions....par peur que la chasse réapparaisse et nous traque en représailles…jusqu’à la nuit des temps.
Alex@r60 – août 2023
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c01n · 1 year
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Ouvrez le prétendu corps et déployez toutes ses surfaces : non seulement la peau avec chacun de ses plis, rides, cicatrices, avec ses grands plans veloutés, et contigus à elle le cuir et sa toison de cheveux, la tendre fourrure pubienne, les mamelons, les ongles, les cornes transparentes sous le talon, la légère friperie, entée de cils, des paupières, mais ouvrez et étalez, explicitez les grandes lèvres, les petites lèvres avec leur réseau bleu et baignées de mucus, dilatez le diaphragme du sphincter anal, coupez longitudinalement et mettez à plat le noir conduit du rectum, puis du côlon, puis du caecum, désormais bandeau à surface toute striée et polluée de merde, avec vos ciseaux de couturière ouvrant la jambe d'un vieux pantalon, allez, donnez jour au prétendu intérieur de l'intestin grêle, au jéjunum, à l'iléon, au duodénum, ou bien à l'autre bout, débridez la bouche aux commissures, déplantez la langue jusqu'à sa lointaine racine et fendez-la, étalez les ailes de chauves-souris du palais et de ses sous-sols humides, ouvrez la trachée et faites-en la membrure d'une coque en construction; armé des bistouris et des pinces les plus fins, démantelez et déposez les faisceaux et les corps de l'encéphale; et puis tout le réseau sanguin intact à plat sur une immense paillasse, et le réseau lymphatique, et les fines pièces osseuses du poignet, de la cheville, démontez et mettez-les bout à bout avec toutes les nappes de tissu nerveux qui enveloppe l'humeur aqueuse et avec le corps caverneux de la verge, et extrayez les grands muscles, les grands filets dorsaux, étendez-les comme des dauphins lisses qui dorment. Faites le travail qu'accomplit le soleil quand votre corps en prend un bain, ou l'herbe.
Jean-François Lyotard, Économie libidinale, Les Éditions de Minuit, coll. "Critique", 1974
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swedesinstockholm · 1 year
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27 février
m. est rentrée de louvain, elle m’a raconté qu’elle avait touché la main de son dj préféré et elle m’a montré ses bleus monstrueux d’avoir dansé accrochée à la grille toute la nuit mais elle sentait rien parce qu’elle était sous mdma et maintenant qu’elle est là, même si on en parle pas, je sens l’humiliation plus fort, la honte d’avoir pu un instant imaginer que laura a. était en train de flirter avec moi. en fait c’était ça le pire samedi soir, devoir avouer à m. que je m’étais fourrée le doigt dans l’oeil bien au-delà du coude. la honte.
béa nous a envoyé la vidéo de la perf et je suis absolument horrifiée par ma posture. on dirait christophe willem. je suis une tortue. je comprends le “côté geeky” maintenant. c’est pas que mes lunettes. j’oublie tout le temps que je me tiens pas droite. je sais pas ce que je dois faire pour y penser. pour me redresser. parfois je me demande si j’ai le dos voûté parce que je suis pas assez aimée. parce que j’ai pas assez de nourriture ni de chaleur, parce que j’ai faim et j’ai froid et que je m’affaisse sur moi-même comme un volcan en fin de vie. je vais vers le sol au lieu d’aller vers le ciel, je suis géotropique comme les racines, attirée par le dessous, le royaume du sous-sol, le royaume des morts. la mort encore. c’est mon centre de gravité, elle fait partie de moi.
28 février
dernier jour de février et ça continue d’être aussi bien que le mois de janvier , malgré mes amour solitaires pour des danseuses hétéros, ça reste bien, ça me laisse un bon goût dans la bouche, j’adore mes petites histoires pathétiques. c’est mes trésors. en promenant loki ce matin je pensais à permafrost d’eva baltasar, à la narratrice qui enchaîne les filles et le sexe qui pourrait être mon alter ego dans une réalité alternative où j’aurais pas eu le même passé, et j’imaginais ce qu’aurait fait cette alter ego à ma place dans le studio de danse avec laura. elle aurait dit sure i want a beer et elle aurait usé de tous ses charmes pour essayer de la séduire. est-ce que je peux devenir cette personne? je veux pas devenir la narratrice de permafrost parce qu’elle est suicidaire et que son coeur est gelé, mais est-ce que je peux devenir un peu moins voûtée et un peu plus entreprenante? un peu moins molle et dégoulinante et un peu plus fière et ambitieuse?
1er mars
je crois que je suis prête pour le sexe. tout à l’heure j’ai pas senti la mort dans ma bouche comme d’habitude quand je m’imagine que ça pourrait m’arriver. ou à défaut de la mort, une angoisse profonde et si, un peu morbide quand même. peut être que ma fiction avec laura a. m’aura au moins apporté ça. parce que samedi dans la salle de bain de m., même si je savais pas trop à quoi m’attendre, une toute petite partie de moi s’attendait à du sexe. et puis l’autre partie de moi, la raisonnable, me répétait it’s not gonna happen à voix haute, pour me faire redescendre de mon volcan. it’s not gonna haaappen. and it didn’t. mais en me regardant dans la glace, nue, puis en culotte, puis en culotte et soutien-gorge, avec mes cheveux relevés en chignon, je crois que j’étais prête. peut être que rien que ça, d’avoir fait l’expérience de ce moment, même si c’était de la fiction, a fait basculer quelque chose, et que l’énergie que je dégage maintenant est plus ouverte, plus favorable à ce que quelque chose se passe, etc.
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