#backpackeur
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Parfaitement d'accord, bravo. ("Vétéran" de 6 Compostela qui considérait en faire un au Québec). Muchas Gracias, tu m'as convaincu d'aller me faire voir outre-mer encore une fois : ce sera un 1er Puy-en-Velay et un 3e Francès ou une 1ère Ruta de la Lana.
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SALE BACKPACKEUR ♛🏴 #noirechimere #baroudeur #barouder #voyageursdumonde #voyageurs #seduction #séduire #letouriste #punchlines #punchline #backpackeur #pensées #pensée #écrire #ecriture #écriture #commetoutlemonde #humourfrançais #draguer #drague (à Machu Picchu) https://www.instagram.com/p/B0LB4reC6EO/?igshid=wujivacv20cf
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[ LAOS - Vientiane ]
Mercredi 26 octobre : l'arrivée de nouveaux aventuriers !
Arrivée de papa et maman, les nouveaux aventuriers backpackeurs! Baignade dans la piscine, sieste, balade en ville... Programme tranquille pour une arrivée en douceur !
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Le Parc National Los Glaciares : El Chaltén / El Calafate (Argentine)
Plus on descend dans le sud et plus le temps se gâte. A El Chaltén, petite ville construite de toute pièce dans les années 80 aux pieds des montagnes, nous avons été accueillies par le vent, la pluie et quelques flocons de neige. Notre auberge, remplie de Français, nous a permis de faire des rencontres avec d'autres backpackeurs.
Nous avons bravé le mauvais temps pour faire quelques balades. La petite randonnée pour aller au mirador des condors et des aigles nous a permis d'avoir une belle vue sur la ville et le lac. Le lendemain, malgré une journée très pluvieuse, nous sommes allées nous dégourdir les jambes en marchant une petite heure pour voir une cascade et les perroquets qui y habitent.
Notre plus grande victoire a été la randonnée de 20km (le dernier kilomètre sous la neige et avec un sacré dénivelé) pour pouvoir observer le célèbre Cerro Fitz Roy et son lac (actuellement gelé) !
Après trois heures de route, nous voici à El Calafate. Encore 1h30 de bus et nous pouvons admirer l'impressionnant et célèbre glacier Perito Moreno, on vous laisse en juger par vous-même.
En attendant, petit restaurant et nous repartons (à 3h du matin) pour plusieurs heures de voyage avant d'arriver à la ville du bout du monde.. .
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Chiang Mai
Sortie de gare on attrape au hasard un tuk-tuk électrique, ce qui annonce la couleur concernant le développement de cette ville. Guest House située dans une petite ruelle remplie de street art, de petites lanternes, de verdures et de terrasses cozy à n'en plus finir. Le tourisme n'apporte pas que des mauvaises choses. Ce soir c'est Muy Thai Boxing stadium. Grosse ambiance ici. Coup de poings, coup de genoux, deux KOs et tout ça dans le respect en relevant son adversaire dès la fin du match. Chapeau ! Ici on loue notre premier scooter pour l'ascension du mont Suthep. Là haut, un temple se dresse au dessus de chiang mai offrant un panorama incroyable où de belles et immenses statues de bouddhas se cachent dans une verdure abondante. Beaucoup de visiteurs (nous les premiers) viennent admirer cette splendeur ce qui rend le lieu un peu moins calme et apaisant mais c'est normal. La sécurité routière en Thaïlande est très mauvaise surtout pour les deux roues. Nous avons été témoins d'un accident ce jour là. Difficile d'apprécier notre journée après cela. On ne réalise pas toujours mais parfois une seconde d'inattention c'est une seconde de trop... C'est ça le voyage des belles expériences et d'autres plus dures. Aller on se change les idées et partons flâner dans la ville le reste de la journée. On profite des petites terrasses hippies, accompagnés de notre petite grosse bière ainsi que d'un bon jeu de cartes. Ici nous rencontrons des touristes d'ici et d'ailleurs. Du couple de français qui part 15jours, au backpackeur anglais lancé pour 10mois, jusqu'au retraité expatrié depuis 25ans. Toutes les histoires de vie sont bonnes à entendre. Et puis on se laisse aller avec le 1er massage thaïlandais dans un centre de réinsertion sociale pour prisonnières. Comment combiner plaisir et bonne action. Plaisir oui et non, le massage thaï est quand même assez violent. Elle n'hésitait pas à me monter dessus, s'assoir sur moi et me faire craquer dans tous les sens, mais ouf, rien de cassé. On ne cesse de grignoter dans les petits stands de bouffe de rue ou bien dans les marchés. En tant que deuxième ville de Thaïlande, Chiang Mai offre une panoplie d'activités touristiques séduisantes. Nous nous sommes renseignés sur quelques unes. Mais là où la question à été la plus difficile c'était pour les éléphants. Je vous fait un article spécial dans le prochain post. Bref, Chiang Mai aura été une belle escale de par son dynamisme, sa jeunesse, sa diversité et son esprit peace & love.
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Guatemala : volcans, lacs et temples mayas
S'il y a un pays d'Amérique Centrale qui nous attire plus que les autres, c'est bien le Guatemala. Il concentre à lui seul tout ce que nous aimons dans le voyage : une forte identité culturelle, une belle diversité des paysages et un tourisme encore modéré. Et puis, il a ce côté un peu mystique avec ses vestiges mayas qu'il nous tarde de découvrir !
Antigua et éruptions volcaniques
Antigua est probablement la plus belle ville coloniale d'Amérique Centrale. Ancienne capitale lors de la colonisation espagnole, elle est restée figée dans une époque un peu lointaine. Notre arrivée en fin de journée ne nous permet pas d'en profiter tout de suite mais notre hôtel dispose d'une terrasse avec une vue magnifique sur les trois volcans qui l'entourent : l'Agua et son cône parfait, le Fuego et ses fréquentes incroyables éruptions puis l'Acatenango, le plus haut des trois qui culmine à 3976 mètres.
Le lendemain, je me réveille un peu barbouillée. On prend notre petit-déjeuner avec le spectacle du Fuego en éruption et j'ai l'impression que moi aussi, je vais entrer en éruption bientôt. On part tout de même visiter la belle Antigua. Difficile de ne pas tomber sous le charme de ses ruines, ses pavés mal ajustés et ses maisons basses colorées aux patios fleuris. Au fur et à mesure de notre balade, je me sens de plus en plus mal et comme il n'y avait pas assez de couleurs dans cette belle ville coloniale, j'ai décidé malgré moi de repeindre les jolis pavés avec mon dîner de la veille. A peine arrivée au Guatemala et déjà contaminée.
Dans deux jours, on a prévu de faire l'ascension de l'Acatenango. Situé à seulement deux kilomètres du Fuego, il offre un point d'observation imprenable sur les multiples éruptions de ce dernier. Le trek dure deux jours avec une nuit en tente et l'arrivée au sommet au lever du soleil. On sait que ça va être un grand temps fort dans notre voyage au Guatemala. Du coup, j'ai deux jours pour éradiquer la bactérie guatémaltèque.
[Deux jours passés sous silence]
On part de bon matin en direction de l'Acatenango équipé de notre bonne vieille tenue de trekkeur des montagnes et de ma bactérie guatémaltèque résistante. L'ascension débute à 2200 mètres et le camping est à 3600 mètres, ce qui nous fait un dénivelé de 1400 mètres dans la journée, mazette ! On forme un groupe d'une dizaine de personnes aux nationalités très diverses, accompagné par trois guides. Les premières heures sont difficiles, le chemin est escarpé et on glisse sur de la roche volcanique sableuse avant d'arriver sur un sentier de terre, moins galère mais bien plus raide.
Vous vous rappelez de la scène avec Frodon en train d'escalader la montagne du destin ? Eh bien voilà. C'est moi et mon fardeau. De temps en temps, je vais me cacher dans les fourrés pour l’alléger. Il faut bien ça pour répandre la paix en Terre du Milieu.
Le chemin s’aplanit sur la fin et contourne progressivement l'Acatenango jusqu'à nous dévoiler le magnifique Fuego ! Même recouvert de nuages, on distingue la fumée qui s'échappe de son cratère. Le spectacle est déjà saisissant et on n'a encore rien vu.
On arrive enfin sur le lieu du campement. Le tentes sont alignées sur une petite terrasse de terre toute en longueur et face au Fuego. Y a pire comme endroit pour dormir, non ? On s'habille de nos tenues les plus chaudes et on se regroupe tous autour d'un feu de bois. Les guides nous préparent un délicieux repas avec des chamalow grillés en dessert ! On passe la soirée à discuter voyage lorsque soudain, le Fuego se met à gronder fortement en expulsant un nuage de fumée accompagné de coulées de lave ! C'est incroyable de voir un tel spectacle et surtout, d'aussi près.
On regagne nos tentes émerveillés par cette force de la nature. A plusieurs reprises pendant la nuit, les éruptions du Fuego nous tirent de notre sommeil. Du coup, on ne résiste pas à l'envie de jeter un coup d’œil depuis la tente. La lave qui s'écoule sur les parois du volcan est presque fluorescente dans l'obscurité de la nuit.
A 4h30, l'un des guides vient nous réveiller pour l'ultime ascension jusqu'au sommet de l'Acatenango. La nuit fut très courte et très froide mais plutôt exceptionnelle dans son genre. On s'habille chaudement et on part lampe frontale allumée pour grimper les 400 mètres restants. La vue sur la vallée encore endormie est magnifique. On distingue l'Agua un peu plus bas avec son cône parfait mais aussi le Pacaya un peu plus loin qui a la particularité d'être en activité aussi. Son cratère béant est rougeoyant de lave ! Petit à petit, les premières lueurs du jour commencent à dévoiler le monde et c'est à ce moment là que l'on arrive au sommet de l'Acatenango. Il fait extrêmement froid mais c'est extrêmement beau. Le Fuego crache, les rayons percent, les nuages se colorent, la vallée se réveille.
On a vu des choses incroyables pendant notre voyage, le Fuego en fait désormais clairement partie.
Détente au bord du lac Atitlàn
Niché au cœur du Guatemala, ce lac hors du temps fascine depuis toujours. Surplombé par trois imposants volcans, il nourrit les nombreuses croyances des communautés mayas qui vivent le long de ses rives. Mais, peut-il être plus envoûtant que le lac Titicaca ?
Après avoir emprunté une route bien mouvementée, on arrive dans le village de San Pedro La Laguna où il y règne une douce tranquillité et une bande de hippies un peu paumés. Impatient de découvrir la beauté du lac, on s'approche de la rive d'où la vue est parfaite sur le volcan San Pedro.
Le lendemain, on rejoint à pied San Juan, le village voisin. On se perd dans les ruelles et dans les boutiques d'artisanat mais en vrai, on est venu ici pour un restaurant (et pas n'importe lequel). Le chef est suisse, sa femme italienne. On y mange donc du fromage et de la charcuterie. Et ça, ça n'a pas de prix. On en aurait presque la larme à l’œil (surtout Antoine).
Le lac Atitlàn n'a pas le même visage au cours de la journée. A l'aube, le ciel est dégagé et l'eau se fait miroir. C'est là que les couleurs sont les plus pures. Dans la matinée, les nuages s'amoncellent autour des sommets des volcans. L'après-midi, un petit vent se lève et vient chahuter les flots. On décide donc de grimper jusqu'à la Nariz del Indio, un petit sommet d'environ 2500 mètres, pour admirer le lever du soleil sur le lac.
Lorsque l'on arrive, il fait encore nuit. Progressivement, la lumière jaillit. La vue sur le lac et les volcans qui l'entourent est superbe. Malheureusement, le ciel est déjà très nuageux et le jeu de couleur n'est pas celui auquel nous nous attendions. On profite quand même du panorama et d'une percée de soleil dans les nuages avant de redescendre sur le lac.
On rejoint ensuite la rive opposée à Panajachel, étape transitoire avant de continuer notre périple au Guatemala. Depuis les pontons, la vue sur le lac au petit matin est magnifique.
Sémuc Champey : des grottes et des cascades
La route est très longue jusqu'à Lanquin. 10h pour être exacte. Avec 2h sur des cailloux. On arrive donc épuisés par la vie dans notre cabane en bois au bord de la rivière. Au moins ça, ça a le mérite de nous consoler !
L'attraction du coin, ce sont les grottes et les cascades de Sémuc Champey. Le paysage est vallonné et la végétation tropicale et luxuriante. On change complètement d'ambiance. Notre journée débute par une immersion dans les grottes de Sémuc Champey, munis uniquement d'un maillot de bain et d'une bougie à la main. Les tunnels étant immergés, on nage dans une semi obscurité, on passe à travers des cascades et on saute dans des puits. C'est vraiment génial et original de mêler spéléo et canyoning !
Une fois sortis de la grotte, on attrape de grosses bouées, on jette nos fesses dedans et on se laisse dériver sur la rivière. En chemin, on croise un guatémaltèque en bouée qui tient son petit bar à bière. Il faut faire fonctionner le commerce local hein. Et on oublie pas de lever les fesses et de bien tenir sa bière dans les rapides !
Pour la dernière étape de la journée, on va voir les fameuses cascades de Sémuc Champey. On commence par grimper jusqu'au mirador pour les admirer d'en haut. C'est d'ici que le spectacle est le plus impressionnant. La rivière forme sur 100 mètres une cascade de piscines d'eau limpide couleur turquoise perdues en pleine jungle. C'est superbe.
On redescend ensuite pour aller s'y baigner ! L'eau est agréablement tiède. On passe d'un bassin à l'autre en sautant ou en glissant sur des toboggans naturels.
Tikal : cité maya perdue au cœur de la jungle
La découverte des vestiges incas au Pérou nous avait vraiment marqué. Le Machu Picchu et le Choquequirao ont de quoi impressionner le backpackeur le plus endurci. Au Guatemala, c'est la civilisation maya. Et, au milieu de la jungle, trône un site monumental : Tikal.
On effectue une nouvelle longue étape de route pour rejoindre la région de Petén, à l'extrême nord du pays pour finir en beauté notre passage au Guatemala.
Avant même d'arriver sur le site, l'entrée en matière est scénique. On s'enfonce dans la jungle, on croise des singes et un toucan. On frôle le ceiba, l'arbre national sacré. On éclate les moustiques qui nous piquent. Puis, on tombe sur la première pyramide maya. Massive. Magique. Lorsque l'on grimpe au sommet, on surplombe la jungle et on peut voir les différents vestiges disséminés dans la forêt. On entend les cris rauques des singes hurleurs qui donnent une atmosphère encore un peu plus mystique.
Les vestiges sont incroyablement préservés mais certains sont encore complètement ensevelis, la nature ayant largement repris ses droits depuis le déclin de la civilisation maya.
On finit la visite par le temple le plus emblématique.Unique. Énigmatique. magnifique !
Ça y est, c'est notre dernière soirée au Guatemala et c'est l'heure du bilan. Sache qu'on a adoré. Tes volcans, tes lacs, ton histoire. Ta surprenante et superbe diversité, finalement.
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Vang Vieng, Laos - 22 Novembre 2017
L'arrivée au Laos nous a un peu minés. Après un voyage de deux mois dans la Chine de l'Ouest plein d'accueil, de générosité et de curiosité, le Laos nous a mit une claque dans la gueule.
Peu de Lao s'arrêtaient nous prendre en stop ou, quand c'était le cas, nous demandaient de l'argent. Pas au début du trajet, non, ç'aurait été bien trop clair, mais à la fin, quand tu as plus trop le choix. Ils nous faisaient payer des prix assez exorbitants (le fameux : y'a un prix pour les Lao, un prix pour les touristes) pour des choses simples comme un plat de riz aux oeufs. Ils ne nous souriaient jamais, pas la moindre attitude qui prouve un gramme de sympathie de leur part. Vraiment pas un gramme. Enfin si, on avait peut-être droit à un sourire si on achetait quelque chose, autant pour moi ! Bref on a vite compris qu'au Laos, on ne serait plus les seuls voyageurs à passer dans le coin depuis dix ans, et que les relations humaines s'en trouveraient changées. C'est un pays beaucoup plus pauvre, on ne pourra pas avoir les même attentes qu'on a pu avoir en Chine. Les gens veulent faire des sous, on peut pas leur en vouloir pour ça. Comment faire la part des choses entre "ils n'ont pas d'argent et vivent du tourisme" et "on est pas là pour se faire pigeonner et dépouiller non plus", bref toute la question de la culpabilisation soit d'une partie soit de l'autre se pose. Et comme on est directement plongés dedans sans transition, on peine à s'en dépatouiller.
À Luang Prabang, une ville touristique connue, j'étais pas loin de la dépression. Catapultés dans un petit centre-ville (ça nous change de la démesure chinoise !) très compact et densément commercial, on réalise qu'on est bien arrivés en Asie du Sud-Est, terre paradisiaque des backpackeurs de toute l'Europe. D'ailleurs, un coup d'oeil -et d'oreille- suffit pour voir qu'il y a ici autant d'européens que de Lao, tout le monde parle français autour de nous. C'en est fini de dire des conneries dans l'indifférence totale. Les jeunes sont surreprésentés. Nulle part ailleurs dans notre voyage on avait pu voir autant de voyageurs européens qu'ici. La ville se visite très vite, et rapidement, la joie du premier "fruit-shake mangue ananas" redescend et on se rend compte.
Voilà sous nos yeux les rapports humains devenus exclusivement marchands. Tout va dans ce sens. Les bâtiments n'hébergent que des commerces, les trottoirs sont blindés de touktouks ou autres jeeps et vans faisant office de taxi, la rue est un espace exclusivement marchand. Je ne vois que des européens qui achètent leurs services à des Lao. Des européens assis aux terrasses servis par des Lao. Des européens entassés dans des jeeps conduites par des Lao. Je ravale ma salive.
Le Laos était une colonie française, et Luang Prabang une ville coloniale portuaire qui hébergeait le commissaire français. En fait, à Luang Prabang, il y a une atmosphère coloniale très dérangeante, qu'on avait pas expérimentée avant, mais quand vous la vivez, ça vous dégoûte. Moi j'avais envie de me barrer. Tout est régi par des rapports marchands, et y'a rien à faire, t'as l'impression d'exploiter les gens qui te servent. Bien que la disparition du sourire et de la sympathie ait participé au fait qu'on réalise comment était cet endroit, ce n'est pas un indicateur : une vendeuse chez Zara, même si elle sourit, elle reste exploitée, sauf qu'elle doit faire mine de ne pas l'être. Ici, au moins, on assume que ce qu'on fait c'est de la merde et qu'on en tire aucun plaisir. Bien sûr ils gagnent leur salaire, mais on sait combien ils sont bas. On nous a dit environ de 30 à 60 euros par mois.
Y'a un truc magique dans le voyage qu'est directement piétiné dans cette ville. Tout est fait pour te séduire, et le sentiment d'être coincé dans la séduction marchande n'est pas agréable. On repeint le bois en couleur pastel, on fait de jolis dessins de mandalas sur les murs, on organise une belle présentation en pyramide de produits. Ça ressemble à un quartier gentrifié, sauf que là on a réinvesti les maisons et l'architecture coloniale pour le tourisme massif. Les couleurs et les paillettes n'y changeront rien, l'esthétique confortable non plus. Ça rend que chaque élément participe de la manipulation qui n'essaie même plus de nous faire croire que ce qu'on voit est authentique. On est là pour cracher nos thunes. Alors on quitte la ville.
Noé
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Rainbow Gathering, Tasmania, Australia, February 2020.
Plusieurs mois auparavant, on me parle du Rainbow Gathering. Aucune idée de ce que cela pouvait être, je me renseigne un petit peu. Et bien je peux vous dire que c'est une expérience que jamais je n'oublierais.
Tout est basé sur le partage et le respect sans aucune électronique. Pour commencer, le lieu se trouve au milieu de la forêt, près d'une rivière. C'est calme et reposant. Certaines personnes sont habituées, viennent même chaque année. La plus part sont backpackeurs, comme moi, voulant découvrir cet événement. La musique résonne partout, de la batterie, de la guitare, du hang drum, du banjo et bien d'autres instruments. Pas d'enceinte. Les gens se rejoignent pour jouer ensemble. Je m'essaie à la batterie et au hang. Quelle merveille cet instrument !
Deux repas sont servis tous les jours. Ceux qui veulent, aident à cuisiner, à servir. Quand le repas est prêt, un "FOOD CERCLE NOW" retenti pour prévenir que la nourriture est prête. Tout le monde se met en ronde en se tenant la main et les chants commencent. C'est merveilleux ! Des chansons parlant de partage, d'amour, de bonheur et de liberté. Les journées sont rythmées par des ateliers, des missions nourriture, de la musique,... J'apprends à faire un collier avec un noyau d'avocat. Qui l'eu cru ! Tout le monde se lave dans la rivière, tout le monde est nus. Sans jugement, sans regard. La rivière forme une espèce de baignoire, comme si c'était fait exprès !D'ailleurs, certains ont construits des bains chauds avec de vieilles baignoires. Posées le long de la rivière, avec du feu en dessous et l'eau de la rivière à l'intérieur. Un p'tit bain de minuit sous la voie lactée ?
Le soir, un feu est allumé (en réalité il ne s'éteint qu'à la fin du Rainbow, soit un mois après). Tout le monde discutent autour, racontent des histoires, des poèmes. Les gens jouent de la musique et dansent. J'aime beaucoup cette liberté que chacun a, cet amour que les gens se donnent, ce partage. Cela peut s'apparenter à une colonie de vacance. Mais c'est en réalité juste un retour aux bases. Comment nous vivions au départ. Sans électricité, électronique, internet... Les gens se parlent.
Few months ago, an Australian girl spoke about a Rainbow Gathering. No idea of what it can be, I find a little bit out. What I can tell you it's that it's an experience I will never forget.
Everything is based on sharing and respect without electronic. To start, the place is in the middle of the forest, close to a river. It's calm and relaxing.Some people are use to it and even come every year. Most of them are backpackers, like me, wanted to discover this event. The music resonates everywhere, drums, guitar, hang drum, banjo and some others instruments. No speaker. The people meet to play together. I try drums and hang. What a beautiful instrument!
Two meals are served everyday. Some people help to cook, to serve. When the meal is ready, a "FOOD CERCLE NOW" sounds to tell the food is ready. Everybody in cercle, hands in hands, singing. It's wonderful! Musics speak about sharing, love, happiness and liberty.During the days you can do workshops, food mission, music... I learn to make a neckless with avocado seed. Everybody shower in the river, naked. Without jugdment and look. The river looks like a bath, as if it was create for it!Some people built hot tubes in old bathtubs. Placing along the river, with fire under and water river inside. A midnight bath with the milky way?
During the night, a fire is lit -actually, this fire stay alive during the month-. Everybody speaks around, tell stories, play music, dance. I really like the liberty of people, this love people give to each other, this sharing. It can look like a summer camp. But in reality it is just a return to the basics. As we lived at the beginning. Without electricity, electronic, internet... People talk.
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#Post 3 : Carnet de voyage NZ
Auckland
Avant notre départ nous avions prévu un starter pack qui comprenait la navette de l'aéroport à l'auberge de jeunesse, 7 nuits et petits déjeuners, une ouverture de compte bancaire, de carte SIM, une formation sur le marché du travail, des offres d’emplois...
- Arrivée à l'auberge Base backpackeurs dans l'hypercentre d'Auckland, dépôt des valises dans le dortoir (de 8 personnes), douche, et nous voilà dehors pour une petite virée dans la ville. Notre auberge est en fait à quelques mètres de la Sky Tower.
- Ayant bien mangé dans l'avion, nous avions seulement envie de sushis. Mauvaise surprise tous les restos étaient fermés et il n'était que 20h. Donc Burger King 10.95$ (soit 6.50€) le cheese & bacon only !
- Couchées 22h pour un réveil à 7h, petit déjeuner : céréales, pain de mie à toaster, thé café, les basiques quoi !
- Petit moment pause où on renoue avec le WiFi, qui se fait rare avec un accès limité ou parfois très encombré...
- 10h : nous partons sur la rue principale de Queen Street, pour aller chez Spark, un des opérateurs de la région. Nous avions déjà une carte SIM fournie avec notre pack mais le forfait pré payé était moins intéressant. que celui-ci : 19$ (soit 11,30€) avec 200 minutes d'appels, textos illimités et 750 MB d'internet.
- 13h : nos fameux sushis !
- Après-midi dans les papiers, préparation de CV, lettre de motivation, offres d’emplois...
- Petit tour dans un Count Down, l'équivalent d'un Carrefour chez nous. Avec des salades à 3$ minimum soit 1.37€ par exemple. Certains produits restent plus chers qu'en France mais ce n’est pas une généralité.
Le 02 & 03 novembre 2017
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Jakarta 4/4
Finalement, résistant à l'appel de nos ventres, nous avons continué notre balade à travers les ruelles, jusqu'à déboucher sur un marché de quartier, en bordure d'un canal. Plusieurs enfants jouaient dans la rue, des groupes de femmes et d'hommes s'étaient rassemblés autour des warung, et tous nous interpellaient. Comme c'est amusant 5 minutes d'être le touriste de service et qu'on avait déjà pas mal marché, c'est à ce moment là que nous avons décidé de rentrer à l'hôtel (et en taxi).
Nous sommes finalement ressortis pour rejoindre le Melly's Garden, un bar resto conseillé par le Lonely Planet. A Jakarta, la vie nocturne est relativement posh, il existe de nombreux rooftops branchés où la jeunesse dorée de la capitale sirote des cocktails après le boulot, mais contraints par notre sac à dos, nous n'avons pas prévu de tenue fancy pour se fondre dans la masse. La plupart de ces endroits affichent sur leur page facebook "shorts interdits". La signification est on ne peut plus clair : allez vous faire enculer, enfoirés de backpackeurs. Notre choix est plus décontracté, mais pas moins agréable : le restaurant est construit en U autour d'un jardin arboré, avec des bassins et des fontaines. Après quelques tapas de tofu et de galettes de haricots frits et un cocktail, un groupe s'installe sur la scène au fond du jardin. Ils sont cinq, et reprennent les tubes d'hier et d'aujourd'hui, de Nathalie Imbruglia à Ed Sheeran. Nous dînons donc en écoutant RTL2, et nous trouvons ça cool.
De retour à l'hostel, nous montons prendre un dernier verre sur le toit terrasse. Plusieurs voyageurs sont installés à une table, ils viennent d'Amérique du Sud, des Pays-Bas, d'Inde. Passées les banalités d'usage, les "tu viens d'où", "tu voyages depuis longtemps?", "tu vas où après?", la discussion se tarit rapidement. Le néérlandais tente des tours de magie pour choper une péruvienne, mais il n'est pas assez rapide, et on voit le truc à chaque fois. Allez, on a un avion à prendre demain matin, good night et goodbye.
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We are coming out with a brand new collection of backpacks. They will be available at our store at swagsparrow.com sometime next week. . If you dig the style, feel free to LIKE, COMMENT and SHARE. . Thank you! . . . . . . . . . . #backpackblog #backpackdesign #backpacktrip #backpackgirl #backpackarizona #backpacksrugrats #backpackbren #backpacksouthafrica #backpackgaintrain #backpackfamily #backpacksandbudgets #backpackstyle #backpackcollection #backpacke #backpackstory #backpackeur #backpackjack #backpackuk #backpackasia #backpackrapper #backpackblogger #backpackkids #backpackculture #backpacktraining #backpackbag #backpackrap #backpacksrilanka #backpacktheconcrete #backpackmini #backpackpython https://www.instagram.com/p/B7FDOC0pvRM/?igshid=1dcq1iwov0358
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Travailler en fruitpicking en Australie/ Interview
Travailler en fruitpicking en Australie/ Interview
Travailler dans le secteur du fruitpicking en Australie, c’est-à-dire, la cueillette de fruits, c’est LE travail du backpackeur par excellence. Si vous partez en PVT Australie prochainement, il est fort à parier que vous allez vouloir effectuer vos 88 jours de travail en ferme en Australie, afin de pouvoir renouveler votre droit à renouveler votre PVT. Maxime a fait tout ce parcours, lors de son…
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#cueillette de fruits#fruitpicking#PVT#pvt Australie#travail à l&039;étranger#travail en ferme#travailler en Australie#travailler en vogageant
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Chic, la fille qui tombe à pic
Neuf fois sur dix les coups d’un soir n’arrivent pas comme ça. Ici ce fut pourtant (presque) le cas…
Voyager serait-il le meilleur moyen de s’ouvrir sur soi et sur les autres ? À trop écouter blogueurs et backpackeurs de retour du front, la réponse ne ferait pas un pli.
Dans les faits, difficile toutefois de ne pas confondre les uns avec les autres tous ces centres-villes de mégalopoles tant leur population s’y révèle des plus homogènes. Colonisés par des hordes d’occidentaux bohèmes qui déambulent smartphones vissé à la main et s’expriment dans un anglais d’aéroport, ces derniers sont en effet le lieu de rencontres entre voyageurs du monde entier, bien loin de l’expérience de carte postale vantée sur les réseaux sociaux.
Après avoir plus ou moins vécu trois mois durant cette vie-là sur l’île de Phuket en Thaïlande, histoire de ne pas amalgamer voyage et idée du voyage, c’est donc avec conviction que j’ai déposé mes valises dans le district de Phú Nhuận à Saigon, Vietnam.
Si question dépaysement le décalage est total (aucun touriste ou presque en vue, personne ne parle anglais y compris dans les commerces), trois semaines plus tard question interactions c’est le calme plat, et ce quand bien même la plupart des habitants se montrent des plus sympathiques passés les premiers étonnements.
[En vrai, le fameux « contact avec les locaux » si cher à ceux qui en parlent à tort et à travers c’est quand même largement du flan passé deux, trois sourires de convenance.]
Seule possible lucarne de rencontres dans mes journées passées entre écrire sur mon ordinateur et la salle de boxe du coin, le dîner dans le seul « restaurant » (lire : des chaises et des tables de dînettes nonchalamment posées sur le trottoir) du quartier où les menus sont traduits dans la langue de Shakespeare et où il est parfois possible de taper la discussion avec des expat’ égarés.
La diversité de la cuisine vietnamienne et le nombre de gargotes au kilomètre carrés étant telle, il serait cependant criminel que j’y passe mes soirées.
Toujours est-il que ce jour-là je décide de m’y rendre non sans avoir auparavant enfilé une fois n’est pas coutume des habits dignes de ce nom – ce qui dans la ville de la canicule permanente et de la claquette pour tous correspond à un t-shirt repassé et un pantalon.
Voyageur rencontre voyageuse
« Des fois la vie c’est décevant, des fois moins, et des fois absolument pas. »
Ça c’est ce que je me suis dit en voyant arriver cette fille qui, non contente d’avoir des yeux immenses et des jambes aussi longues que j’ai la dalle que des compas, et parle en anglais à la serveuse, et vient se poser à la table voisine.
Niveau alignement des planètes, difficile de faire mieux. Et tant pis si mademoiselle ne répond que furtivement à mon signe de bienvenue pour se plonger immédiatement dans son téléphone.
Passé cinq minutes à faire semblant de ne pas faire mec qui attend qu’elle daigne lever la tête, plutôt que m’excuser de la déranger et risquer de devoir me répéter (« bicoze aïeaveu a bigue frènche aksente »), je décide d’écrire de lui écrire mon openner sur mon phone et d’aller le déposer directement sur sa table.
Comme d’hab’ rien de fou donc, mais la manœuvre l’a fait sourire, s’excuser, ranger son phone et venir s’asseoir à en face de moi une fois la conversation engagée.
Bon à partir de là le jeu se joue dans les règles de l’art : on ne se dévoile que par petites touches, on parle voyage (mademoiselle est hôtesse, elle revient de Cape Town…), on picore l’air de rien des informations logistiques (son hôtel est à deux pas, elle repart le lendemain en fin de journée…), on marque de courts silences, on évite les sujets qui fâchent surtout lorsqu’il semblerait que l’un des deux soient en couple… et quand l’intensité commence à descendre d’un cran, on sort sans plus attendre son joker : ici un resto fermant plus tard que les autres proposant des milkshakes qui à eux seuls valent le coup de faire le déplacement de Taïwan (ah oui précision, Chic est taïwanaise et foodista à ses heures perdues).
« Fille à la vanille, gars au chocolat »
S’il est généralement estimé qu’entre 4 et 10 heures sont nécessaires pour coucher avec une fille, l’une des astuces les plus efficaces pour réduire ce délai et d’accélérer le temps en changeant de lieu.
De plus cela me permet ici : 1) de marcher avec elle bras dessus bras dessous #kinoescalation 2) de saluer de la main pas mal de gens – d’où l’avantage d’être le seul caucasien perdu en terre asiatique #preuve sociale 3) de passer rapidos chez moi pour récupérer des capotes #parcequecenestjamaisuneoption
Et voilà comment quelques shakes et compliments plus tard, nous voilà tous les deux dans de beaux draps…
Ne reste ensuite qu’à lui envoyer un message le lendemain pour (sincèrement) la remercier pour ce moment aussi sucré qu’inattendu et se promettre de très hypothétiques retrouvailles en cas de visites de nos pays respectifs.
Ce qu’il faut retenir de ce field report :
Faire ou ne pas faire une rencontre ne tient souvent pas à grand-chose (ici un openner aussi pété qu’il en l’air mais que j’utilise néanmoins assez régulièrement)
Se tenir prêt (présentation correcte + bon état d’esprit) et se laisser aller à un peu d’imprévu c’est déjà faire une bonne partie du chemin
Ne pas prendre pour argent comptant le manque de signes d’intérêt avant même qu’une interaction ne débute réellement
Apprendre à connaître son quartier n’est jamais une option (bis)
Aurélien, grand amateur de milkshakes goût vanille café, d’Alain Souchon et de filles aux longues jambes.
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La suite de mon parcours : Sydney pour un moment
Dans le dernier billet je disais que ce ne serais pas facile de trouver du travail sur Sydney. Un mois apres j'en ai trouve et en effet ca n'a pas ete facile. Je travaille dans la construction et je fais quelques extras en tant que barman le weekend. Le boulot dans la construction est un full-time avec pas mal d'heures, bien paye et pas trop difficile donc c'est parfait. Pour l'instant j'espere simplement que ce chantier va avoir besoin de moi pour encore un moment.
Sydney est une ville geniale malgre un systeme de transport qui n'a pas du etre remis a neuf ni ameliore depuis les jeux olympiques en 2000. Pour le reste avec mes amis de Loxton on sort dans les bars ou on reste au backpack et c'est vraiment cool.
En ce moment c'est la revu des troupes de la marine, il y a eu un feu d'artifice samedi soir mais entre la foule et les acces limites je n'ai pas vu grand chose. Ca ne me donne pas forcement envie de rester a Sydney jusqu'au nouvel an... Il y a aussi eu le Marathon de Sydney il y a quelques semaines, c'etait assez sympa. Pour rester dans la course, aujourd'hui j'ai vu Rush au cinema, tres bon film de formule 1 realise par Ron Howard. Ca coute cher mais depuis plus de 4 ou 5 mois que je n'etais pas aller au cinema c'est plutot cool!
Je ne sais donc pas trop ce que je ferai apres ni jusqu'a quand je pourrais garde ce boulot. J'hesite a chercher une colocation plutot que le backpack. Peut etre la Tasmanie en Decembre, peut etre une descente vers Melbourne en passant ou non par Canberra?!? A priori il me sera difficile d'etendre mon Visa pour rester ne serais-ce qu'un mois et demi de plus afin d'eviter de rentrer a Paris mi-fevrier, je n'aurais que des t-shirts dans ma valise...
Je ne publie pas de photos aujourd'hui car je ne suis pas connecte depuis mon ordinateur portable mais depuis un ordinateur public dans une agence pour backpackeurs!
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