#autopsie d'une vie
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“Le coeur enclavé dans le jazz des nuits folles et les baisers humides troqués, je cherche l'amour disparu dans les rues brumeuses de la cité. Mais le silence de mon âme errante demeure captif d'une mélancolie inachevée.„
~•~
“With my heart locked in the jazz of wild nights and wet kisses exchanged, i search for lost love in the foggy streets of the city. But the silence of my wandering soul remains captive to an unfinished melancholy.„
~•~
— Fred Leforgeur-Baudelaire
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Applied Visual Art : Yulia Luchkina “Full Moon"
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ernestinee · 3 months ago
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J'ai terminé "Autopsy" de Sophie Buyse. L'autrice s'autopsie presque littéralement, cherche au fin fond d'elle-même des réponses et des interprétations pour différents événements de sa vie.
Onze nouvelles -cadres fictionnels avec des références réelles- dans lesquelles on frôle régulièrement la psychanalyse.
J'ai aimé certaines nouvelles, d'autres moins. J'ai aimé celle où elle raconte sa dépendance affective pour une personne cancéreuse en fin de vie, son analyse de la mort, de la vie, de l'amour, son texte jamais complaisant. Certaines nouvelles sont un peu lourdes parfois, avec la sensation que l'autrice écrit pour elle-même, mais cette sensation est peut-être voulue, liée à l'autopsie/auto-psy à laquelle on assiste.
⭐⭐⭐ , seulement trois, la psychologie m'intéresse mais j'ai une aversion pour la psychanalyse et le texte m'a parfois semblé lourd de trop de références à l'enfance, au sexe, à la mort et à tout ça mélangé.
Je reste quand même dans le contexte de la psychologie/psychiatrie, avec "Morphine" de Mikhaïl Boulgakov, "le journal halluciné d'une descente aux enfers, dans les affres du manque, aux limites de la folie"
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manue-ringo · 2 years ago
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Chapitre 59 : Détour
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J'ai l'air d'aller si mal que ça ? Écoutez-vous deux, cessez de vous faire du mouron pour moi. Je maîtrise la situation. Déclara-t-elle d'une voix assurée, mais son ton trahissait une fragilité sous-jacente. Elle se tenait droite, essayant de cacher l'incertitude qui l'habitait.
Si vous le dites. Qu'est-ce que vous comptez faire à présent ? Demanda Mulder, son regard scrutateur se posant sur elle, cherchant à déceler ce qui se cachait derrière ce masque de bravade.
Je vous avoue que je ne sais pas. À part tourner en rond dans mon salon à ressasser tout ce qui ne va pas dans ma misérable vie. Répondit-elle d'un air blasé, laissant échapper un soupir exaspéré. La mention de son salon, lieu de solitude, révélait une part de sa détresse, mais elle se refusait à le montrer.
Pourquoi ne reviendriez-vous pas travailler ici ? Skinner peut vous proposer des postes plus adaptés qui pourraient sûrement vous intéresser. Intervint Scully, avec un regard encourageant, espérant lui redonner un peu d'entrain. Elle savait que le travail pouvait être un refuge, mais elle craignait aussi que cela ne soit qu'une fuite.
Parker eut un rire narquois, son ton devenant cynique. Je ne suis pas certaine que ce soit une bonne idée. Même si je reconnais que ça m'occuperait un peu l'esprit. J'ai besoin de changer d'air. Il y a trop de souvenirs ici. Je vais y réfléchir. Elle jeta un coup d’œil discret vers Mulder, dont le regard la fixait longuement, une intensité dans ses yeux qui la déstabilisait.
Arrêtez avec ce regard de chien battu, vous me faites pitié. Lui lança-t-elle, essayant de masquer le léger tremblement dans sa voix. Son irritation était un bouclier, mais elle savait au fond d'elle que Mulder n'était pas dupe.
Skinner refit surface, son autorité naturelle apportant un peu de structure à la situation.
Agent Scully ? Navré de vous interrompre, mais vous êtes attendu à Quantico. Cela concerne la dernière autopsie qui a été faite la semaine dernière. Ils ont besoin de vous pour éclaircir certains points.
Entendu. J'arrive tout de suite. Scully se leva, impatiente de se rendre utile.
Bon, eh bien, à une prochaine, Parker. Je t'appelle dès que je serai sur les lieux, Mulder.
Merci, agent Scully. Répondit Skinner, reconnaissant de son engagement.
Parker sentit un vide se créer avec le départ de Scully. Elle se leva à son tour, décidée à quitter la pièce.
Je crois qu'il est temps de vous laisser les gars. Vous avez du boulot à ce que je vois. Dit-elle avec empressement, une tentative de paraître indifférente alors que son cœur s'alourdissait.
Oui, hélas. Merci d'être venue, en tout cas. N'hésitez pas si jamais vous changez d'avis. Dit Skinner en lui serrant la main, ses yeux cherchant à transmettre de la compréhension.
J'y réfléchirai. Elle s'éloigna lentement, mais une part d'elle souhaitait rester, faire face à Mulder, répondre à cette tension non dite qui les entourait. Elle se retourna une dernière fois, ses yeux croisant ceux de Mulder, une étincelle de quelque chose de plus profond passant entre eux. Mais elle ne trouva pas les mots, ne savait pas comment briser la glace entre eux.
Bon, je vous laisse, messieurs. Déclara-t-elle, sa voix teintée d'une tristesse qu'elle espérait masquer. Elle quitta la pièce, son esprit embrumé par des pensées contradictoires, consciente que la lutte qu'elle menait avec elle-même n'était pas encore terminée.
Parker partit d'un pas vif et décidé, la tête remplie de pensées tourbillonnantes. Elle était déterminée à mettre cette matinée frustrante derrière elle. Mais à peine montée dans son véhicule, son assurance s'effrita. Elle tourna la clé dans le contact, espérant entendre le ronronnement familier du moteur, mais rien ne se passa. Le silence s'installa, lourd et inquiétant. Un sentiment de panique la saisit, une boule se formant dans son estomac. Sa voiture venait de tomber en panne. Elle sortit du véhicule en claquant la portière, son visage exprimant une colère grandissante. Les nerfs à vif, elle sentait l'impatience monter en elle comme une tempête. Ne sachant que faire, elle retourna sur ses pas, cherchant de l'aide dans la précipitation, ses pensées tournant en boucle. Avec une pointe de désespoir, elle appela Skinner, espérant qu'il puisse la sortir de cette situation embarrassante.
Désolée de vous déranger, monsieur, mais ma voiture vient de me lâcher, et je n'ai pas la patience d'attendre l'arrivée d'un dépanneur. Si vous pouviez me prêter un véhicule, ce serait parfait, dit-elle, sa voix tremblante d'une anxiété qu'elle ne parvenait pas à dissimuler.
Skinner répondit calmement, ce qui eut le don d'agacer Parker.
L'agent Mulder propose de vous ramener pour vous dépanner. Ça vous va ?
Quoi, mais… ce n'est pas à lui que j'ai… Allô ? Sa voix se perdit dans le vide, et son téléphone s'ajouta à sa frustration en semblant lui aussi défaillant. Parker se sentit submergée par une vague de désespoir et de frustration, regrettant amèrement d'être venue.
Elle laissa échapper un juron à voix basse, son regard se durcissant alors qu'elle apercevait l'agent Mulder s'approcher. Elle devait maintenant affronter une situation qu'elle avait espéré éviter.
Alors, vous semblez ne plus vouloir nous quitter, Parker, dit-il avec un sarcasme mal dissimulé, un sourire en coin.
Taisez-vous, j'en ai eu assez pour ce matin. Je veux sortir d'ici. À croire que ce bâtiment me porte malheur, répliqua-t-elle, le dépit l'envahissant, tandis qu'elle ressentait une lassitude nouvelle.
Mulder hocha la tête avec une indifférence feinte.
Ce sont des choses qui arrivent. Allez, je vous raccompagne. Skinner va vous arranger ça.
Elle soupira, résignée.
Je ne vous ai rien demandé, mais bon. Puisque c'est mon jour de chance, ajouta-t-elle avec une ironie amère, se sentant coincée dans une situation absurde.
Ils montèrent dans sa Ford grise, et un silence tendu s'installa entre eux, rempli de non-dits et de regards furtifs. Chaque minute de silence accentuait la tension entre les deux ex-partenaires, et Parker, sentant sa patience s'effriter, finit par rompre le silence.
Qu'est-ce que vous avez à me regarder ? Vous voulez ma photo ?lança-t-elle brusquement, piquée par l'irritation.
Mulder la regarda, surpris, avant de sourire légèrement.
Pardon, mais je vous retourne la question. Écoutez, je…
Il s'interrompit, une grimace de douleur traversant son visage, et Parker, toujours aux aguets, sentit son inquiétude se transformer en curiosité.
Hé, ça n'a pas l'air d'aller fort, vous aussi. Vous êtes blessé ? Demanda-t-elle, adoucissant un peu son ton en le voyant souffrir.
Ce n'est rien. J'ai eu un petit incident de terrain la semaine dernière. Rien de grave, répondit-il, tentant de minimiser la situation tout en se massant le côté de l'abdomen.
Elle le regarda, sceptique.
Je vois. C'est ça de jouer au gros dur cow-boy. Vous avez de quoi vous soigner chez vous ?
Oui, sauf que je n'ai pas eu le temps de m'y atteler ce matin. Je m'occuperai de ça après le boulot, dit-il avec empressement, essayant de dissimuler sa douleur derrière une façade de désinvolture.
Ah oui, vraiment ? À ce rythme-là, vous ne tiendrez pas, chéri. Vous devriez appeler votre jolie infirmière pour qu'elle vous arrange ça rapidement, répliqua-t-elle, un brin moqueuse, tentant de cacher sa préoccupation derrière son ton acerbe.
Mulder ria nerveusement, mais son amusement fut de courte durée. Laissez tomber, Parker… Et merde !
Il réalisa que son pansement avait bougé, une tache de sang s'étendant sur sa chemise. Parker l'avait remarqué et ne put s'empêcher de commenter, le ton teinté de sarcasme :
Vous disiez ? Regardez-vous, trésor, vous saignez maintenant. Changement de plan. Allons nous occuper de tout ça. Vous habitez loin ? Demanda-t-elle, décidée à prendre les choses en main malgré elle.
Non, c'est sur le chemin, mais… Hésita-t-il, surpris par son empressement.
Pas de discussion. Allons-y ! Ordonna-t-elle, exaspérée par la tournure de la situation mais déterminée à l'aider.
Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent enfin à destination. Parker accompagna Mulder jusqu'à son appartement, sa détermination mêlée d'une étrange inquiétude. En entrant, elle scruta l'intérieur avec un mélange de curiosité et de dédain, cherchant la salle de bain.
Où est-ce que vous rangez tout votre bordel ? Demanda-t-elle, sa frustration transparaissant dans sa voix.
Du calme, attendez une minute. Je vais vous trouver ça, répondit-il dans un soupir, gêné par le désordre environnant.
Parker l'attendait impatiemment dans le salon, scrutant les environs d'un air dépité. Elle se sentait déplacée dans cet endroit austère, une étrangère dans la vie de Mulder.
C'est déprimant comme endroit. Bon sang, mais qu'est-ce que je fous ici ? Se murmura-t-elle, luttant contre l'envie de repartir en laissant tout derrière elle.
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cogitontos · 1 year ago
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"Je n'ai pas plus fait mon livre que mon livre m'a fait, livre consubstantiel à son auteur, d'une occupation propre, membre de ma vie" - Essais II, 18.
Recentrant l'essayiste sur l'expérience, l'enquête philosophique détermine une conjointure indissoluble entre le livre et le corps de celui qui l'écrit. Se détachant des abstractions, l'esprit est convié à trouver dans la matérialité corporelle le terrain d'une connaissance intime, la seule qui découle d'une attention passive au flux des phénomènes qui constituent le tissu de l'existence.
Se saisir dans sa singularité, affiner les traits de sa propre peinture et se connaître passe donc non seulement par un discours affectif, par une pathologie où le verbe est singularisé dans une perception sensible du monde - discours "commémoratif", seul aux yeux des sceptiques à rendre compte d'une expérience intérieure, et à échapper aux prétentions abstraites d'un discours "indicatif" : mais aussi par un discours sur le corps, terrain mis à l'abris de la juridiction de la philosophie, de la médecine et de leur ascétisme dogmatique.
La peinture du corps permet d'esquisser une complexion et surtout délimiter une forme, idiosyncrasie à la fois sédimentée et mise en branle par la multiplication des expériences singulières. Cet équilibre qui infléchit chaque moment de l'existence, est pour Montaigne un objet d'etude fondamental en ce qu'il conditionne la vie de l'esprit tout entière. Particulièrement étudiée dans de "De L'expérience", la "forme" singulière de l'auteur est décrite dans ses moindres détails, au mépris des conventions qui régissent le "commerce de soi" en littérature. Montaigne observe ainsi l'autorégulation naturelle d'un corps touché par la maladie, sagesse instinctive qui rend la vie à son cours naturel et qu'il s'agit de ne pas rompre par un interventionnalisme inconsidéré et souvent dogmatique.
Par le jeu des désirs, des appétits et du plaisir, jeu dont les orientations ont été fixées par l'accoutumance, le corps imprime sa marque sur l'expérience en se faisant l'indicateur de "l'utile", mirroir de la santé et de "l'aisance", critère central de l'action chez notre auteur.
L'écriture de l'essai permet justement de prendre conscience, par une "autopsie" attentive, de cette norme sanitaure liée à une forme singulière et personnelle, dont le plaisir et la douleur rendent les contours sensibles.
Le corps est aussi pour Montaigne les lieux de rébellions, de mouvements incontrôlés et autonomes qui échappent à toute modélisation : "le corps a ses mouvements et humeurs que l'esprit ne peut contrôler", souligne-t-il dans "L'Apologie". Montaigne décrit alors une dialectique d'influences où la volonté n'a qu'une place tout à fait partielle. On voit alors naître l'émergence de l'essai de soi et la prise de conscience de ces influences diverses.
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pdj-france · 1 year ago
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MARSEILLE – Cinq policiers français ont été arrêtés mardi pour le décès d'un homme de 27 ans dans la ville méridionale de Marseille début juillet lors d'émeutes nationales, ont annoncé les procureurs. La France a été secouée fin juin et début juillet par de violentes émeutes à la suite de l'assassinat le 27 juin en dehors de Paris d'un adolescent par un policier lors d'un contrôle routier. Les émeutes ont été accueillies par une réponse policière énergique. Des centaines de personnes ont été arrêtées et des centaines de policiers ont été blessés. Mais il n'y a jamais eu de confirmation qu'un membre des forces de sécurité ou un manifestant ait perdu la vie pendant les événements. Les cinq policiers, tous membres de l'unité d'élite du Raid, ont été détenus à Marseille pour interrogatoire dans le cadre de l'enquête sur le décès de M. Mohamed Bendriss, ont indiqué les procureurs. Plusieurs civils et policiers déposent aussi en qualité de témoins, ont ajouté les procureurs. L'incident s'est produit dans la nuit du 1er au 2 juillet durant violentes protestations dans le centre de Marseille déclenchées par le décès de Nahel M., 17 ans, abattue par un policier le 27 juin lors d'un contrôle routier. M. Bendriss, un père marié d'un enfant, dont la veuve attend désormais un deuxième enfant, a perdu la vie après s'être senti mal en conduisant un scooter. Son autopsie a montré des traces sur sa poitrine de ce qui serait peut-être l'impact d'un tir d'une balle explosive – connue en français sous le nom de LBD et couramment utilisée par la police du pays. L'enquête est la dernière polémique visant la police de Marseille. Plus tôt cet été, un homme de 22 ans appelé Hedi a dû être amputé d'une partie de son crâne après avoir été battu et tiré avec un LBD le 21 juillet par un groupe d'hommes soupçonnés d'être des policiers. Quatre policiers marseillais ont été inculpés pour cet incident. Trois ont été libérés sous contrôle judiciaire. Le quatrième a été placé en garde à vue pour la durée de l'enquête. Sa détention a provoqué une gigantesque polémique au sein de la police française.
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jlmrtn · 1 year ago
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Florilège, vol 2 / Socheata Aing, Laurence Cathala, Margot Criseo, Lison Noël (collectif La Lecture-artiste), la revue Phylactère (Roxane Maillet, Auriane Preud'homme, Camille Videcoq), Axel Raingeard, Julie Saclier, et Caroline Sebilleau
16 et 17 juin 2023
Une publication vivante déployant dans le temps et dans l'espace divers rapports aux livres, au texte et à la parole.
Au sommaire, pas de blabla ni d'exercices dactylographiques, mais des performances, des lectures en mouvement et mouvementées, des paroles collectives, des imprimés disséminés... avec Socheata Aing, Laurence Cathala, Margot Criseo, Lison Noël (collectif La Lecture-artiste), la revue Phylactère (Roxane Maillet, Auriane Preud'homme, Camille Videcoq), Axel Raingeard, Julie Saclier, et Caroline Sebilleau.
16/06/2023
19h — Laurence Cathala, "En parlant avec des sous-titres" Depuis 2014, Laurence Cathala déploie sous diverses formes "Les Versions", des textes d'anticipation composés de multiples strates, à voir autant qu’à lire. "La Quatrième Version" est actuellement exposée au BBB à Toulouse dans l’exposition "Bad Poetry / Vilaine poésie". Un livre se prépare, avec les éditions Sombres Torrents. À Trois‿a, les Versions se manifesteront sous la forme d'une lecture-performée, à tendance collective.
19h30 — Margot Criseo, "Une mnémotechnie des mnémotechnies" Une brève histoire et tentative d’application de diverses méthodes de mnémotechnie à travers (mais aussi sans) une collection d’ouvrages mnémotechniques du dix-neuvième siècle. Réutilisable pour retenir l(es)’ histoire(s), les dates, les livres, les poèmes, les listes, les itinéraires, la géopolitique, les calculs des cotisations sociales, les recettes de cuisine, les mots de passe, etc.
20h — Phylactère (Roxane Maillet, Auriane Preud'homme, Camille Videcoq), "pushed apart . pushed down . and then reshaped by distorsion" Phylactère est un projet éditorial et multiforme. Dans son format imprimé, la revue retranscrit des performances à travers des visions plurielles et subjectives. Les retranscriptions, l'écriture, les signes, la typographie ― en soi, tout ce qui constitue la mise en forme — deviennent des corps permettant de multiplier les sens et les identités des contributions. La lecture performée "pushed apart . pushed down . and then reshaped by distorsion*" propose une lecture samplée, mastiquée, et digérée des deux premiers numéros de la revue. *Titre emprunté de la contribution "Swallowing Surfaces", de Laure Vigna.
17/06/2023
14h30 — Julie Saclier, "Autopsie Domestique, Variation A" Écrite et mise en voix par Julie Saclier, mise en scène par Sophie Briffaut, "Autopsie Domestique, Variation A" est une proposition de lecture en mouvement qui s’intéresse à des figures de femmes dans l’espace privé, en faisant se re​​joindre mémoire individuelle et histoire collective.
15h30 — Socheata Aing, "Hot dudes reading" "Hot dudes reading" est un ensemble d'anecdotes* qui lie intimement Socheata Aing et ses proches aux livres qui ont traversé leur vie. Collection de sensations, d'affects, de réflexions et d'images, ces récits singuliers révèlent les attitudes et les usages que nous font faire les livres. Ils permettent de dessiner un monde commun avec honnêteté, humour et générosité. * cf. Claire de Ribaupierre (éd.), Anecdote, 2007
16h — Lison Noël (collectif La Lecture-artiste), "Lectures mouvementées" Atelier d’improvisation de lecture dansée pour explorer les potentialités de la lecture à produire des mouvements dansés et de la matière chorégraphique, depuis le mouvement des yeux sur la page jusqu'à ce que peut l’ensemble du corps en lisant.
Goûter / tea-time
17h30 — Caroline Sebilleau, "France au revoir" "France au revoir" est la revue en FLE de la famille Rester. Étranger. Sa saison éditoriale se meut hors scène, hors livre. L’écriture manuscrite semble être le motif principal, la langue française le lieu à habiter avec chacun·e ses langues maternelles, ses histoires de trajectoire, ses histoires de papiers, ses histoires chantées, imprimées, racontées.
18h — Axel Raingeard, "Pao" La démarche d'Axel Raingeard se développe entre scène littéraire et performative queer, théâtre et recherche. "Pao" est une parenthèse intime et politique abordant crûment l'importance vitale des mots quand on craint ne plus rien avoir d'autre.
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suis-nous · 2 years ago
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ouyander · 2 years ago
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Tristesse et consternation à Pikine Icotaf. Un étudiant de l'Uvs retrouvé pendu dans la cour d'une école. Le corps sans vie de M. Wade a été découvert dans l’enceinte de l’école 3. Portant un sac à dos, l’homme âgé de 25 ans a été retrouvé pendu à un arbre à l’aide d’une corde. Etudiant de l'Uvs, âgé de 25 ans, retrouvé mort à Pikine, pendu à un arbre Le corps sans vie d'un homme âgé de 25 ans a été retrouvé mort pendu à l'aide d'une corde dans l'enceinte de l'école 3, située à Pikine Icotaf, dans la banlieue dakaroise. La victime, originaire de Kédougou (sud-est), ne présente aucune trace de violence. Alertés de ce drame dans la nuit du samedi au dimanche vers minuit, les policiers du commissariat de Pikine ont rappliqué dare-dare sur les lieux indiqués, relaie nos journalistes. Après avoir effectué leur constat, les éléments du commissaire Arona Bâ ont réquisitionné les services d’un médecin légiste pour les besoins d’une autopsie. Ainsi le corps sans vie a été déposé dans une structure hospitalière par les sapeurs-pompiers. Sélectionné pour vous : Mbaye Wade mouille son père avant de se suicider : « Si je décide de mettre fin à ma vie.. » Les premiers éléments de l’enquête Etudiant de l'Uvs, âgé de 25 ans, retrouvé mort à Pikine, pendu à un arbre En effet, M. Wade (originaire de Kédougou) ne présente aucune trace de lutte, ni de violence sur son corps. Et ce jeune homme aurait mis fin à ses jours d’après les premiers éléments de l’enquête. La police a pu M. Wade grâce à sa carte d’identité de nationalité sénégalaise retrouvée dans son sac à dos. Il s’agit d’un étudiant à l’université virtuelle du Sénégal (Uvs). Le gardien de l’école 3, dit avoir aperçu le corps pendu à un arbre au moment où il faisait une ronde dans l’enceinte de cet établissement scolaire. Grâce à sa carte d'identité nationale Ainsi, il s’en est ouvert au Directeur qui a saisi le délégué du quartier, à son tour. L’enquête ouverte par la police de Pikine suit son cours normal ! L'enquête ouverte par la police a permis de l'identifier ce, grâce à sa carte d'identité nationale, retrouvée dans son sac à dos. Il s'agit, selon nos sources, d'un étudiant à l'Université virtuelle du Sénégal (Uvs). Autres articles ​Forum mondial de l'eau : L' OMVS remporte le Grand Prix Mondial Hassan II de l'eauLe dernier des 21 caissons du projet Grand Tortue Ahmeyim achevé et mis à l'eau (communiqué)​9e Forum mondial de l'eau : "2 milliards de personnes sont contraintes de consommer de l'eau polluée", selon Macky SallCovid-19Sn : 04 nouveaux cas enregistrés ce lundi​Mbacké : une fille de 17 ans vole la tontine de sa mère pour faire voyager son copain en France
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naantokhi · 2 years ago
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Tristesse et consternation à Pikine Icotaf. Un étudiant de l'Uvs retrouvé pendu dans la cour d'une école. Le corps sans vie de M. Wade a été découvert dans l’enceinte de l’école 3. Portant un sac à dos, l’homme âgé de 25 ans a été retrouvé pendu à un arbre à l’aide d���une corde. Etudiant de l'Uvs, âgé de 25 ans, retrouvé mort à Pikine, pendu à un arbre Le corps sans vie d'un homme âgé de 25 ans a été retrouvé mort pendu à l'aide d'une corde dans l'enceinte de l'école 3, située à Pikine Icotaf, dans la banlieue dakaroise. La victime, originaire de Kédougou (sud-est), ne présente aucune trace de violence. Alertés de ce drame dans la nuit du samedi au dimanche vers minuit, les policiers du commissariat de Pikine ont rappliqué dare-dare sur les lieux indiqués, relaie nos journalistes. Après avoir effectué leur constat, les éléments du commissaire Arona Bâ ont réquisitionné les services d’un médecin légiste pour les besoins d’une autopsie. Ainsi le corps sans vie a été déposé dans une structure hospitalière par les sapeurs-pompiers. Sélectionné pour vous : Mbaye Wade mouille son père avant de se suicider : « Si je décide de mettre fin à ma vie.. » Les premiers éléments de l’enquête Etudiant de l'Uvs, âgé de 25 ans, retrouvé mort à Pikine, pendu à un arbre En effet, M. Wade (originaire de Kédougou) ne présente aucune trace de lutte, ni de violence sur son corps. Et ce jeune homme aurait mis fin à ses jours d’après les premiers éléments de l’enquête. La police a pu M. Wade grâce à sa carte d’identité de nationalité sénégalaise retrouvée dans son sac à dos. Il s’agit d’un étudiant à l’université virtuelle du Sénégal (Uvs). Le gardien de l’école 3, dit avoir aperçu le corps pendu à un arbre au moment où il faisait une ronde dans l’enceinte de cet établissement scolaire. Grâce à sa carte d'identité nationale Ainsi, il s’en est ouvert au Directeur qui a saisi le délégué du quartier, à son tour. L’enquête ouverte par la police de Pikine suit son cours normal ! L'enquête ouverte par la police a permis de l'identifier ce, grâce à sa carte d'identité nationale, retrouvée dans son sac à dos. Il s'agit, selon nos sources, d'un étudiant à l'Université virtuelle du Sénégal (Uvs). Autres articles ​Forum mondial de l'eau : L' OMVS remporte le Grand Prix Mondial Hassan II de l'eauLe dernier des 21 caissons du projet Grand Tortue Ahmeyim achevé et mis à l'eau (communiqué)​9e Forum mondial de l'eau : "2 milliards de personnes sont contraintes de consommer de l'eau polluée", selon Macky SallCovid-19Sn : 04 nouveaux cas enregistrés ce lundi​Mbacké : une fille de 17 ans vole la tontine de sa mère pour faire voyager son copain en France
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buzzkafunel · 2 years ago
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Tristesse et consternation à Pikine Icotaf. Un étudiant de l'Uvs retrouvé pendu dans la cour d'une école. Le corps sans vie de M. Wade a été découvert dans l’enceinte de l’école 3. Portant un sac à dos, l’homme âgé de 25 ans a été retrouvé pendu à un arbre à l’aide d’une corde. Etudiant de l'Uvs, âgé de 25 ans, retrouvé mort à Pikine, pendu à un arbre Le corps sans vie d'un homme âgé de 25 ans a été retrouvé mort pendu à l'aide d'une corde dans l'enceinte de l'école 3, située à Pikine Icotaf, dans la banlieue dakaroise. La victime, originaire de Kédougou (sud-est), ne présente aucune trace de violence. Alertés de ce drame dans la nuit du samedi au dimanche vers minuit, les policiers du commissariat de Pikine ont rappliqué dare-dare sur les lieux indiqués, relaie nos journalistes. Après avoir effectué leur constat, les éléments du commissaire Arona Bâ ont réquisitionné les services d’un médecin légiste pour les besoins d’une autopsie. Ainsi le corps sans vie a été déposé dans une structure hospitalière par les sapeurs-pompiers. Sélectionné pour vous : Mbaye Wade mouille son père avant de se suicider : « Si je décide de mettre fin à ma vie.. » Les premiers éléments de l’enquête Etudiant de l'Uvs, âgé de 25 ans, retrouvé mort à Pikine, pendu à un arbre En effet, M. Wade (originaire de Kédougou) ne présente aucune trace de lutte, ni de violence sur son corps. Et ce jeune homme aurait mis fin à ses jours d’après les premiers éléments de l’enquête. La police a pu M. Wade grâce à sa carte d’identité de nationalité sénégalaise retrouvée dans son sac à dos. Il s’agit d’un étudiant à l’université virtuelle du Sénégal (Uvs). Le gardien de l’école 3, dit avoir aperçu le corps pendu à un arbre au moment où il faisait une ronde dans l’enceinte de cet établissement scolaire. Grâce à sa carte d'identité nationale Ainsi, il s’en est ouvert au Directeur qui a saisi le délégué du quartier, à son tour. L’enquête ouverte par la police de Pikine suit son cours normal ! L'enquête ouverte par la police a permis de l'identifier ce, grâce à sa carte d'identité nationale, retrouvée dans son sac à dos. Il s'agit, selon nos sources, d'un étudiant à l'Université virtuelle du Sénégal (Uvs). Autres articles ​Forum mondial de l'eau : L' OMVS remporte le Grand Prix Mondial Hassan II de l'eauLe dernier des 21 caissons du projet Grand Tortue Ahmeyim achevé et mis à l'eau (communiqué)​9e Forum mondial de l'eau : "2 milliards de personnes sont contraintes de consommer de l'eau polluée", selon Macky SallCovid-19Sn : 04 nouveaux cas enregistrés ce lundi​Mbacké : une fille de 17 ans vole la tontine de sa mère pour faire voyager son copain en France
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kafunel · 2 years ago
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Tristesse et consternation à Pikine Icotaf. Un étudiant de l'Uvs retrouvé pendu dans la cour d'une école. Le corps sans vie de M. Wade a été découvert dans l’enceinte de l’école 3. Portant un sac à dos, l’homme âgé de 25 ans a été retrouvé pendu à un arbre à l’aide d’une corde. Etudiant de l'Uvs, âgé de 25 ans, retrouvé mort à Pikine, pendu à un arbre Le corps sans vie d'un homme âgé de 25 ans a été retrouvé mort pendu à l'aide d'une corde dans l'enceinte de l'école 3, située à Pikine Icotaf, dans la banlieue dakaroise. La victime, originaire de Kédougou (sud-est), ne présente aucune trace de violence. Alertés de ce drame dans la nuit du samedi au dimanche vers minuit, les policiers du commissariat de Pikine ont rappliqué dare-dare sur les lieux indiqués, relaie nos journalistes. Après avoir effectué leur constat, les éléments du commissaire Arona Bâ ont réquisitionné les services d’un médecin légiste pour les besoins d’une autopsie. Ainsi le corps sans vie a été déposé dans une structure hospitalière par les sapeurs-pompiers. Sélectionné pour vous : Mbaye Wade mouille son père avant de se suicider : « Si je décide de mettre fin à ma vie.. » Les premiers éléments de l’enquête Etudiant de l'Uvs, âgé de 25 ans, retrouvé mort à Pikine, pendu à un arbre En effet, M. Wade (originaire de Kédougou) ne présente aucune trace de lutte, ni de violence sur son corps. Et ce jeune homme aurait mis fin à ses jours d’après les premiers éléments de l’enquête. La police a pu M. Wade grâce à sa carte d’identité de nationalité sénégalaise retrouvée dans son sac à dos. Il s’agit d’un étudiant à l’université virtuelle du Sénégal (Uvs). Le gardien de l’école 3, dit avoir aperçu le corps pendu à un arbre au moment où il faisait une ronde dans l’enceinte de cet établissement scolaire. Grâce à sa carte d'identité nationale Ainsi, il s’en est ouvert au Directeur qui a saisi le délégué du quartier, à son tour. L’enquête ouverte par la police de Pikine suit son cours normal ! L'enquête ouverte par la police a permis de l'identifier ce, grâce à sa carte d'identité nationale, retrouvée dans son sac à dos. Il s'agit, selon nos sources, d'un étudiant à l'Université virtuelle du Sénégal (Uvs). Autres articles ​Forum mondial de l'eau : L' OMVS remporte le Grand Prix Mondial Hassan II de l'eauLe dernier des 21 caissons du projet Grand Tortue Ahmeyim achevé et mis à l'eau (communiqué)​9e Forum mondial de l'eau : "2 milliards de personnes sont contraintes de consommer de l'eau polluée", selon Macky SallCovid-19Sn : 04 nouveaux cas enregistrés ce lundi​Mbacké : une fille de 17 ans vole la tontine de sa mère pour faire voyager son copain en France
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“Dans l'antre du club de jazz, où l'obscurité se marie à l'ivresse, je m'enfonce dans l'ombre, isolé dans ma détresse. Le serveur, parfois messager discret des prémices concubines, me transmet, sur un voile, une écriture divine.
"Bonjour, Monsieur", alors, commence l'histoire de cette nouvelle vie ; une femme élégante, envoûtante mélodie. Elle désire être le chemin où nos pas se confondent, où nos empreintes tracent ensemble une autre ronde.
Dans l'attente fébrile, je pose ma plume sur le papier. "Bonjour, Madame," ma réponse, fragile pensée - peut-être, sur le chemin où je me suis égaré, nous croiserons-nous - vouée à découvrir nos affinités.
Le serveur, tel un oiseau portant mon émoi, la serviette en main, vers elle se déploie. Et ainsi, entre les harmonies et les murmures ensorcelants, s'ouvre l'étrange bal de deux amants au destin voluptueux et troublant.„
~•~
“In the den of the jazz club, where darkness blends with intoxication, i sink into the shadows, isolated in my distress. The waiter, sometimes the discreet messenger of concubine premices, transmits divine writing to me on a veil.
"Bonjour, Monsieur", then, begins the story of this new life ; an elegant woman, bewitching melody. She wants to be the path where our footsteps merge, where our footprints trace together another round.
In feverish anticipation, i put pen to paper. "Bonjour, Madame," my reply, a fragile thought - perhaps, on the path where i've lost my way, we'll cross paths - destined to discover our affinities.
The waiter, like a bird carrying my emotion, napkin in hand, towards her, unfurls. And so, between bewitching harmonies and murmurs, the strange dance of two lovers with a voluptuous and troubling destiny begins.„
~•~
— Fred Leforgeur-Baudelaire
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Visual art applied : Watercolor, felt-tip pens and oil : FLB (Fred Leforgeur-Baudelaire)
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basilepesso · 4 years ago
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"Samedi matin, des automobilistes ont signalé la présence d'un véhicule en feu sur la quatre voies entre Rennes et Saint-Malo, à hauteur de Pleugueneuc, en Ille-et-Vilaine. Les pompiers, arrivés sur les lieux vers 10H00, sont venus à bout de l'incendie de la voiture qui se trouvait sur le bas-côté de la route. Dans la carcasse calcinée, les secours ont découvert le corps sans vie d'une femme.Une autopsie sera pratiquée pour connaître les causes de la mort. La piste du suicide n'est pas exclue."
Article d’Ouest-France : “Ille-et-Vilaine. Le corps d’une femme retrouvé dans une voiture en feu entre Saint-Malo et Rennes“
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claudehenrion · 5 years ago
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La vraie pandémie ? Le covid ou l'Etat-cannibale ?
  La crise dite ''du covid 19'' a entraîné un énorme transfert de pouvoirs. L'Etat, (dont le poids était déjà si lourd depuis que la fonction ''administrative'' s’est imposée au ''politique''), s'est infiltré partout. Sans que nous les lui ayons accordés, il a pris les pleins pouvoirs et règne sur tout, en maître incapable. Il nous a foutu une trouille noire (très injustifiée) et a créé des conditions où tout dépendait de lui. Mais il n'a pas géré -au sens propre- cette crise, qui était plus ''politique'' que ''sanitaire'' : incompétent, doctrinaire et prétentieux, notre personnel politique est bien incapable de gérer quoi que ce soit, d'ailleurs ! Le pire ? Une fois le chaos installé, l’Etat devient incontournable, ne serait-ce que pour rattraper ses erreurs !
  Le ''covid 19'', n'a pas été, et il s'en faut de beaucoup, le dévastateur de l'humanité qu'on a essayé de nous présenter. Mais il a entraîné souffrances, angoisses et trop de morts, hélas. Il a surtout permis le triomphe de cet autre virus, typiquement français : notre boulimique Etat-Léviathan. Il est beaucoup trop tôt pour évaluer, même ''en gros'', le nombre de milliards d'euros que va coûter la suite de notre précipitation à (mal) endiguer ce qui, tout bien pesé, n'aura été qu'une très grosse ''fausse alerte''. En revanche, on peut déjà affirmer que ''c'est pas demain la veille qu'on va voir le bout du tunnel'', comme dirait ma vieille amie Madame Michu,
  En quelques petites semaines, l'Etat s'est substitué au Droit, à la Morale, aux us et coutumes, au Bien et au Mal, à la Liberté et à la médecine, entre autres. Il s'est fait Loi, norme, principe, règle, interdits... et s'est proclamé le maître de la mort, donc de la vie, ce qui est tout de même très en dehors de ses attributions normales, même pour les plus fidèles légitimistes qui nous expliquent que ''c'est la faute du virus'', et récitent le mantra absurde : ''il n'y avait pas moyen de faire autrement''. Balivernes ! Non seulement d'autres ont fait autrement et s'en sont portés mieux que nous, mais on sait maintenant qu'il eût mieux valu ne pas faire ce qu’on a fait.    Ce n'est pas un virus, qui est responsable de la série de catastrophes qui va bientôt nous tomber sur la tronche, c'est une façon de penser qui confond direction et directive, commission d'Experts et compétence, procédure et intelligence, acceptation et soumission, centralisation pathologique et efficacité, arrogance et empathie ou politiquement correct et démocratie...
  Dans ce temps anxiogène de post ''pandémie'' (un mot inventé par l'OMS, qui s'est vautrée dans les fausses analyses et qui, imitant en cela le Gouvernement français, a réussi à se tromper même lorsqu'elle faisait machine arrière, ce qui est un comble !), on se demande qui va oser aller dire à nos ministricules ''pas au niveau'' que lorsqu'on a tout faux, on se fait tout petit (un exemple : comme il ne se peut pas que le premier ministre n'ait pas été informé des résultats des autopsies italiennes, et même si tout n'était pas encore absolument vérifié, il aurait dû mettre plein de ''bémols'' à son humiliant discours sur le ''déconfinement-mais-un-peu'' !).      Cette crise a indiscutablement démontré que les français étaient dignes qu'on leur fasse confiance : sans l'intelligence et le dévouement de tous les ''citoyens lambda'' que Castaner arrosait depuis deux ans sous des m3 de gaz lacrymogènes, aucune des décisions, normes, lois, règles, discours, coups de menton, interdictions et contre-vérités dont la France a été abreuvée pendant trois mois n'aurait eu d’effet !
  Car enfin...  vous souvenez-vous de tout ce par quoi on nous a fait passer? En moins d'une semaine, il nous a fallu passer du ''allez donc au théâtre : il n'y  rien à craindre'' présidentiel et du ''il y aura au maximum un cas ou deux, en France'' des Experts (?) choisis par Macron pour prendre les décisions à sa place... au ''allez voter en paix : la démocratie avant tout'' du Gouvernement... et de là à un hyper- confinement vétilleux, sourcilleux, impitoyable, qui se fout comme de l'an quarante de la démocratie et des vieux qui mouraient tous seuls... errements erratiques soutenus par des Experts (parmi lesquels le responsable-en-chef du drame de nos manques de réserves stratégiques) qui se déjugeaient d'un jour sur l'autre sur tous les sujets fondamentaux (Pourra-t-on un jour leur pardonner leurs allers-retours sur et autour des masques ? Peut-être, par charité chrétienne. Mais alors... dans très longtemps !), sans parler de l'attitude inqualifiable d'Agnès Buzyn, disqualifiée à jamais. Mais nous avons été de bons petits soldats, fait semblant d'adhérer, dit qu'on comprenait... jusqu'au moment où le ridicule ''déconfinement-mais... et par étapes'' a provoqué un message clair : ''ou vous arrêtez.. ou... on continue !''.
  A la fin de cette crise largement fabriquée, en tout cas très surdimensionnée, le bilan est clair : ou l'Etat se réforme, vite, très vite, pour de vrai, et dans des proportions énormes (il suffit de le demander à l'IFRAP : ils regorgent de bonnes idées !)... ou la France disparaît en tant que ''ce qu'elle est et a été’’...                                                                                                                                  Mais j'y pense, tout-à-coup : si un nouveau ''corona-autre-chose'' se pointe, l'an prochain ou l'année d'après... jurez-moi qu'on ne va pas, en plein milieu de la crise économique la plus grave de notre histoire, retomber dans les mêmes conneries insupportables et inutiles (j'allais écrire ''condamnables'', mais je me retiens !) ? On s'est laissé piéger une fois... et les conséquences vont en être dramatiques. Il faut absolument que ça nous serve de leçon !
H-Cl.
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marinacarrieu · 5 years ago
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Merci d avoir placé Il y a des silences dans ton top 3!! Hihi!!#Repost @elliesiaroff • • • • • • "Le petit 🐌🐌🐌 que je suis en lecture voulait faire un petit retour sur 3 livres que j'ai lus en cette année 2019 qui ont été de véritables découvertes littéraires mais aussi d'échanges avec les auteures via Instagram et dans la vraie vie. Deux sont en auto édition que vous pouvez découvrir et acheter chez Amazon. Le premier est celui de @marinacarrieu_roman "Il y a des silences". Avec celui-ci j'ai pris une claque aussi bien par l'écriture et l'histoire dramatique. Il est magnifique. A lire lire lire❤️❤️ le titre est très bien trouvé. Il n'y a pas que le silence de Nina dans cette histoire. Marina a sorti un deuxième livre " le regarder en face" que je me suis dépêchée d'acheter. Je le lirai en 2020 car je le rappelle je suis un 🐌🐌. Mais hâte de me plonger dedans. ❤️ Le second est celui de @vab_books "Innocente" qui est un polar. Je ne suis pas polar et j'ai adoré ce roman. L'histoire est très bien construite. On suit une enquête, une autopsie, la traque d'un serial killer qui sévit dans Strasbourg et on vit un procès. J'ai beaucoup aimé les chapitres dans la tête du serial killer . J'en redemande.😅 @vab_books a écrit un nouveau roman qui ne va pas tarder à sortir. Hâte de l'acheter. 😍 Le dernier est une découverte via Instagram, un petit concours carte postale cet été 😜, des échanges TGV et enfin, une très très belle rencontre dans la vraie vie. Une auteure adorable. C'est celui de @virginie_lasserre "jusqu'à ce que le divorce nous sépare" aux @editions_seramis qui est très drôle mais aussi très émouvant. L'histoire d'une reconstruction après un divorce et la vie de maman solo. Je vous le conseille. Vous passerez un super moment. ❤️❤️Le petit 🐌 s'est dopé pendant les vacances d'été et l'a terminé en quelques jours. Donc il a adoré. 😉❤️❤️❤️ " #retourdelecture #servicepresse #roman #autoedition #autoédition #instabook #instalivre #bookaddict #auteurenherbe #auteursindépendants #bookstagram #booklovers #Islande #amazonkindle #amazonkdp #livrestagram #lecture #romans #bookaddicts #fierte #bilan #bookstagramfrance #ebook #livrealire https://www.instagram.com/p/B6s0cKvKMB7/?igshid=u28wlf1lgp6m
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ultradollarsstuff · 5 years ago
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This has been a serious wake up call
0 in orlando after late nani goal (2) And Naselsky, P. OTTAWA Justin Trudeau says he abandoned a proposed meeting with Donald Trump in Washington this week after the White House insisted that the prime minister first agree to a five year clause in a renegotiated North American Free Trade Agreement. En revanche, les politiques sont entendus frquemment. Woolley emerged from the Oct. "This has been a serious wake up call," she said. Despite the fact that the population trend appears to be decreasing, the decline is not believed to be sufficiently rapid to approach the thresholds for Vulnerable under the population trend criterion (>30% decline over ten years or three generations). However, with the number one objective of conservation, environmental issues should be considered with priority when serious conflicts generate between environment and tourism.. Over 15 days, Manitoba RCMP, military aircraft and dive crews scoured the forests and rivers looking for the two. Certes ce n'est vraiment pas donn (un produit pour bobos ?) mais c'est le prix d'un travail artisanal, avec la parfaite traabilit d'ingrdients locaux de qualit. Otherwise I would have found them two and a half years ago. Was an emotional game, admitted Oystrick. 1 after posting its highest regular season win total since 1977. Ur sonj vat eo rak al lavaro se a zo c'hoazh gwir hiriv an deiz. I sit cross legged on a white mat spread on the bathroom floor and examine the rows of medication lined up on the shelf of the vanity neat piles of green and white boxes of blood thinners, a rainbow of pill bottles, painkillers worth thousands of dollars. But it isn necessary to take a spreadsheet approach to vintage information. All eligible entries from all three Rounds in this Sweepstakes will be combined into a single pool, and from that pool one winner will be selected in a random drawing on or about September 3, 2019. 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