#aurore menthe
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My favorite spots in the house🌼
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Hameau de Bourg-Garenne, région de Cragcroft.
Calme et paisible pourraient être les deux adjectifs qui définissent Bourg-Garenne en apparence. Le hameau, situé en pleine campagne est le plus à est de la région. Les habitations y sont assez denses et on y retrouve plusieurs commerces ainsi qu’un petit bar dans lequel il est habituel d’y rencontrer ses voisins en plus de nombreux touristes venus se recueillir sur les lieux de personnages célèbres. Parce que c’est ce qui fait la réputation de Bourg-Garenne au-delà des plaines : d’illustres aurors, auteurs ou herboristes y ont vécu une vie de paix. Les rues pavées sont longées par une toute petite rivière qui déborde par temps de pluie, et le hameau est fait tel qu’il existe ce qui pourrait ressembler à une place entourée de maisons qui se dressent jusqu’à l’horizon. Au bout de la rue principale, le vieux moulin n’est plus qu’un tas de pierres à la recherche d’un courageux pour s’en occuper.
Mais les trésors de Bourg-Garenne sont bien au-delà des pancartes annonçant les commerçant, bien au-delà des mémoriaux et du cimetière où sont gravés sur la pierre des noms désormais célèbres. Il vous suffira de trouver la bonne petite ruelle sombre entre deux habitations pour rejoindre une rue secondaire connue de quelques chanceux. Alors, vous pourrez pousser le portillon de bois qui vous ouvrira les portes d’une nature fantastique. Une immense plaine dans laquelle vous pourrez trouver de nombreuses plantes, ingrédients indispensables de potions, enchantements ou autres décoctions. De la menthe poivrée dès que vous arrivez, de l’aconit un peu plus loin et si vous avez la patience, peut être même pourriez vous trouver des feuilles de mauves douces ou des mandragores à l’état sauvage qu’il ne vaut mieux pas déranger si vous tenez à vos oreilles.
Les merveilles de Bourg-Garenne ne s’arrêtent pas là et au-delà du piaillement des volailles et des aboiements des croups, vous pourriez peut-être tomber sur un nid bien particulier : celui de Boursouf bien trop rapides pour être aperçus à l’œil nu. Prenez garde si vous approchez le félin qui dort au pied de cette roulotte magique : les Fléreurs ne sont pas des chats comme les autres.
https://discord.gg/XKycdMPu3Y
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"AURORE VENUE" - NIALA 2021 - ACRYLIQUE SOUS/VERRE 40X50
“AURORE VENUE” – NIALA 2021 – ACRYLIQUE SOUS/VERRE 40X50
« AURORE VENUE » NIALA 2021 ACRYLIQUE SOUS/VERRE 40X50 Venue du bois que l’herminette initie et du presse-étoupe qui colmate le passage des larmes nocives Au plus sombre de l’heur Bord à bord au naufrage Dans un bouquet lumineux mêlé d’échafaudages, fenêtres, perrons, échelles de cordes, terres d’ocres et gués de nénuphars, anémones, marguerites, menthes et lins au coeur de l’herbe folle,…
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Good morning beautiful
Good morning beautiful
Coursives sous l’eau
The The aux poudres.
Maison-bateau à quai. Transat bouclée.
Maison-zoo à quai
Yeux éclairs sur nos vies pas pareilles, la barbaque à caouètes jauge sec.
Transat bouclée.
Rétro, Funchal
Césure,
Béance profonde
Et large
Flots de lumière pour tunnels à venir.
Funchal, les yeux. The The, les oreilles.
Souvenirs pas encore advenus.
Plus tard, tu te souviendras.
Du bleu par quintaux et du gris même poids.
Plus tard tu te souviendras.
Voici venir plus tard.
Pas de ris, au portant.
Génois en mouchoir. Spi choqué. Zéro gite.
Après tempêtes et murs latteurs de bateaux,
Crêtes crachantes et déferlantes lamées,
L’allure du suspens.
Pinaillages de focs,
Le bras de terre pour la surprise
Derrière le moucharabieh crépuscule, ça ondule.
Attente. Clapotis.
Sur le roof, hauts les cœurs.
Adossée au mât.
Peloton exécutif de visions incarnées
Cap pas cap ?
Puis, bras ouvert.
Miles trompette à tue-tête. Ça hurle beau.
J’ai vu.
Vu les images des fenêtres du crâne. Lumières de la ville vues d’avion du bateau. J’étais partout : adossée au mât, flottant par dessus le sommet de la ville en contemplant le jazz, survolant les années compactées de l’instant, temps dense et étiré.
La vie plus haut que le rêve. La musique plus haut que les mots.
Funchal à qui que quoi
Bas-fonds, le portos de table en table, et la femme, jalouse, claqueuse de poêles, ce tintamarre !
1 kg de bigorneaux et les aiguilles jetées sur la table
Les bouteilles de rhum bues à l’écope, autant dire écopées, ça tanguait plus à quai que sur Atlantique en gros grains
Funchal.
Fissure.
Les yeux.
The The.
Transat bouclée.
Verrous sautés, le reste peut commencer.
Voici venu plus tard.
5 heures du matin.
Oubli en chambre, photos et portraits en miroir. Dentelle noire,
Va et vient du thorax au repos, la mort snipe sans nous voir.
La main revient chercher.
Réveille-toi, écoute.
Fini bateau à quai.
C’est l’authentique, chérie.
Minarets, première pression à froid.
5 heures du matin. Transe à l’apogée.
Bateau coulé,
Skipper ressuscité.
Autre temps, autre lieu.
Istanbul, prends moi
Je cherche les anges d’Islam.
J’ai scruté tes rues, après travail, aube, crépuscule, aurore, Sainte-Sophie, souks-labyrinthes, vitrines où tu vois tout, fumeurs de haschich, regards dérobés
Ballades en auto défoncée, taxis sous pluie
Gouttes shootées grand angle et 50,
Reluquais nettetés premiers seconds plans
Pose lente, gros grain
Jeunesse à rasibus de vie insolente, anges frêles tremblants de faim de vie
Istanbul, blanche, de neige aussi, froid aux après midi matin, sommeil à la rue, portes voix à l’unisson, réverb’,
Les ondes – distances empilent les appels
Calques sonores
Plaisir feuilleté,
Chants ricochets
Des visages, des figures,
Dévisage, défigure,
Les minarets chantent « plus bas, encore plus bas ».
Voici venu plus tard.
Nil.
Haut, bas.
Jusqu’à Assouan, souk par souk, minaret par minaret, roseau par roseau
Mains grasses, becqueter à même le trottoir, pieds sales mais pas nus.
Puis. Bars à chicha,
Pour hommes,
Sous les voiles, cachée, debout obscurité surnaturelle à fumer la rose et la menthe
Sonorités de l’enfer crachées des commerces,
Les bouchers, vendeurs de mouches,
Plus tu descends, plus tu es nu,
Villages décharnés, esquisses d’humains, ombres écho
Corps de morse, un point un trait un point
Les peaux plus noires mais bleues,
Bleu irisé pire que blanc aveugle, mais doux, doux, doux,
La vie,
Comme racler la chair
Gagner l’os.
Jusqu’aux maisons de glaise
Felouque, oiseau frêle et fragile
Luge au souffle absent,
Je sais m’orienter, tu vas voir tu vas voir,
Je sais le dédale du village de glaise, et ses murs plus hauts que la tête
Les rues si pareilles, de quoi devenir fou,
Mais je sais tu vas voir tu vas voir,
Voilà.
Les tapis, la fraicheur, la carpe et ces plats que je n’aime pas,
Rassasiée de tout le reste,
Le muezzin, boucle hypnotique, facteur de réel,
Je cherche les anges d’Islam.
Et puis,
Koutoubia et consort
Souks et riads
Luxe en tube
Bains, rues, yeux des insultes à la peau blanche
J’ai entendu
5 fois jour
5 transes en cas d’oubli majeur
J’ai vu
Anges offerts, sourires place Vendôme
Du beau pour tous
Tendresse made in,
Du vrai, du pur,
T’as combien
Bifton authentique
Tout le monde d’accord
Marchands du sexe marchand
En bagnole, Marrakech trop de chech
Casa, Fez, Rabat,
Tanger Danger
Rodéo des pognonnés du bled
Keep the vampires from your door
Puis,
L’Interzone à deviner
Tes rues Tanger,
Imbues de bleu
Dans tes pas
Tanger,
Tanger,
Tanger,
Mendiants et orgueilleux
Nous sommes tous des
mendiants et orgueilleux.
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100 Happy Days (3)
20 : Rugir. S’endormir dans les bras du Lion et s’y réveiller. Passer toute la journée prélassée à ses côtés. Garder en mémoire tout ça et puis devoir rentrer, devoir quitter ses bras, mais retrouver son odeur sur les draps malgré tout. 21 : Ses messages à chaque réveil. Passer la journée dans le quartier de mon enfance et se réjouir malgré la difficulté. Le frère en uniforme, un sourire grand de joie qui réchauffe le coeur. Puis retrouver le lion pour un café, s'échapper pour rejoindre l'ancienne colocataire. Rire à en pleurer comme au bon vieux temps, dormir avec un chat. 22 : Réveil matinal, thé sur le pouce. Rejoindre la matriarche à la Campagne et s'évader vers la prison pour voir le Lion avant qu'il ne regagne sa cage. Puis la journée à enseigner à de petits êtres, les mathématiques en vieille passion retrouvée. Un appel téléphonique d'adulte et la fierté de faire enfin cela sans plus la moindre hésitation. Se préparer enfin à quitter la forêt et la famille pour rejoindre une nouvelle fois la savane. (Une journée remplie, de sourire et de quiétude. Je ne veux plus rien oublier alors mes mots s'allongent et s'étirent autant que mes phrases) 23 : Nuit difficile. Ses bras tout de même. Réveil à ses côtés, encore cinq minutes. Long trajet en sa compagnie, petit-déjeuner dans la voiture. Au soir, le revoir, craquer dans le train, fatigue physique et morale, goutte d'eau dans un vase plein qui se vide. Retrouver une certaine quiétude intérieure ensuite. 24 : Du mieux. Chaque jour a ses raisons de sourire. Travailler avec le Coach, s'améliorer, l'entendre réconforter. Journée de travail salvatrice et puis pouvoir enfin jouer un peu, prendre du temps pour soi. 25 : Toujours bosser, croiser des connaissances et exprimer sa passion. Puis rejoindre les amis, cinéma avec eux et le Lion. Rentrer chez lui, dormir avec lui. Longues discussions à chaque trajet, sa main sur la cuisse, la mienne dans ses cheveux. 26 : Journée en sa compagnie. Marcher autour du lac, découvrir sa savane dans son intégralité. Cuisiner, geeker, encore avaler de l'asphalte pour ne pas avoir à le quitter pour cette nuit. 27 : Hilarité dans la rue, se sentir davantage entourée d'amis que de collègues. Et bien sûr, un autre réveil à ses côtés, le retrouver au soir, cela ne fait que trois semaines mais. Le petit mot dans mon sac, les pastilles et médicaments pour la gorge, ses attentions comme mortier pour mes failures. Et puis ses mots, ces mots. Discuter avec ses amis, petit verre autour d'un billard. Rentrer et geeker. S'habituer l'un à l'autre sans se lasser. 28 : Réveil aux aurores. Traîner dans son lit, l'accompagner à la porte, laisser le Lion s'en aller et passer la matinée seule chez lui. Trouver de petits papiers à disséminer partout, un certain nombre, s'en amuser et puis filer retrouver ma forêt. Retrouver la sensation d'un crayon entre les doigts. 29 : Enfin travailler avec une collègue. Journée tranquille, coach présent, thé à la menthe pour réchauffer (souvenir d'enfance sur la langue). En fin de journée, retrouver le Lion pour une petite demi-heure, encore une attention de sa part. Agir en femme forte et défendre la matriarche. Rentrer après un dernier baiser sur ses lèvres. Réaliser que le défis avance à petits pas, marcher vers les cent jours de bonheur qui auront commencé à sa rencontre.
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Jour 2 : “ça va, on est seulement mardi”.
On se retrouve dans la véranda-QG à 8h du matin pour un petit bilan, le dos de Lucien ne s’est pas amélioré mais Aurore a rencontré lors de sa promenade matinale, aux aurores, dix biches et un lapin. Bilan plutôt positif.
Ceci étant fait, c’est la valse des ordinateurs, des mails et des points météos, avec la toile comme meilleur outil. Et puis, comme les ateliers du soir ne sont pas encore complets, on décide de créer des affiches pour aller les mettre dans la capitale de la communauté de commune : Chaumont-en-Vexin. Pendant que Lucien réceptionne le papier imprimé, Aurore lance une machine de torchons, à 60, en mode express. On peut y aller.
On commence par le Carrefour, parce qu’on a pas pris de scotch, alors on achète du scotch et on demande où l’on peut mettre une affiche : l’abri à caddies accueille ce premier collage. Puis direction la pharmacie, il y a toujours des bonnes promos à cette pharmacie, on profite des bonnes promos et puis on nous dit qu’on peut mettre notre affiche sur le tableau d’information. On a bien choisi les couleurs : le rose rappelle Octobre Rose et le bleu-vert, le cours de tai-chi. Puis on va à la poste, ça fait deux semaine qu’on doit aller à La Poste pour envoyer des contrats signés mais à Denain on a pas trouvé le temps, alors on achète timbres et enveloppes, on met le tout dans la bannette et on apprend que l’on ne pourra pas mettre d’affiche, La Poste ne fait pas de pub. Pause au bar-tabac, Aurore fait découvrir à Lucien un long couloir qui donne sur une très belle cour extérieur. Elle boit l’allongé de Lucien, alors Lucien boit son café serré. C’est parce que ce n’est pas une vraie pause, tous les appels passés nous empêchent de nous concentrer sur quel café est à qui. Alors on repart, au Centre Social où l’on voit les sourires dans les yeux à notre arrivé, puis à la boulangerie dont on ressort avec une gourmandine au chèvre et un pain au maïs. Voilà, il est enfin l’heure pour Lucien de rejoindre un ostéopathe, pour lequel il a pris rendez-vous depuis la véranda ce matin, à Trie-Chateau, qui possède une impressionnant église du 12e siècle qu’Aurore visite et dans laquelle elle a dit qu’elle allumerait un cierge. Lucien ne sait pas si c’est vrai mais il suffit d’y croire.
Sur le retour, on fait un bref rendez-vous avec Alice, la documentaliste du collège Guy de Maupassant, à l’entrée du collège, pour échanger quelques mots, se réjouir de se revoir et puis laisser trois affiches, pour les trois endroits stratégiques du collège.
On rentre préparer une salade de légumes locaux et à peine avons nous inséré les graines de tournesol, on voit arriver notre chère Rébecca. On est tellement content.e.s de la voir : ça fait depuis début juillet qu’on n’échange que par messages, écrits ou vocaux, ou par appels, visio ou pas. Alors se retrouver en vrai et faire un point dans tous les sens, les hauts et les bas mélangés, dans un flot sonore continu, eh ben ça fait du bien. On en a des choses à se dire, beaucoup beaucoup, alors les deux heures passées ensemble ne serons pas suffisantes, mais c’est pas grave, parce qu’on se retrouve déjà samedi, et surtout, toute la semaine prochaine elle a tout déplacé, tout bloqué, pour être là tout le temps, à courir avec nous, et à se réjouir chaque jour de voir la fête approcher. On a envie, très envie.
Hop, on va au Marché Bio, là où travaille Cécile, la voisine de haie qu’on a rencontré hier. On arrive à 16h15, elle ne pensait plus nous voir, elle termine dans 15 minutes. On est surtout venu pour dire qu’en fait on en saura plus samedi. Mais comme ça on a rencontré les personnes avec qui elle travaille, et puis on l’a revu, et on s’est donné une marche à suivre, alors c’est déjà ça. Et on a trois objectifs à accomplir : moustique-tigre-se laver. On étudie les différentes solutions pour que les moustiques nous laissent tranquilles la nuit, portant notre choix sur les senteurs citronnelle-géranium plutôt que menthe-lavande, on prend du baume du tigre, le rouge, celui qui chauffe, pour le dos, et un savon d’Alep, pour les mains.
A la maison, on fait un appel rapide à François, qui viendra nous filer un grand coup de main technique les derniers jours, mais rapide parce que c’est la permanence de la mairie d’Hardi et on doit avec Renée et Jean-Jacques avancer sur la déclaration en préfecture. On a parlé de plein d’autres choses et un peu du dossier, mais ça vous pouvez l’entendre juste en dessous.
Et puis, à 18h30, l’atelier du soir, le groupe 2. Comme son nom l’indique, il est pour le moment composé de deux personnes : Margaux en CM1 et Gislaine, une copine de Rébecca (son double mort dans la dernière pièce qu’elles ont fait ensemble). On se dit que 2 c’est pas tout à fait un groupe encore, alors on décide qu’on va faire deux soli, en ce moment les soli c’est un peu notre truc. Et puis, comme dans Je suis un Saumon, chacune des deux pourra être un personnage que le banc de saumons croisera sur sa route, ce qui leur laisse carte blanche : elles peuvent être l’animal aquatique de leur choix. Elles ont chacune un.e metteur.se en scène, un très large choix de formes, idées, envies, on va travailler main dans la main, on va (se) raconter des histoires. Si la soirée devait se mesurer aux sourires qu’il y a eu en se quittant ce soir, alors ce fut une soirée réussie.
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6h02 heure de la tentation
l’amour grenadine le ciel menthe à l’eau les myosotis ne fanent plus les étoiles douces s’entretuent l’âme brulante la fille du bar élégante la mort succulente et le drapeau noyé de larmes la pluie battante sur le carreau le soleil tapant sur les persiennes l’odeur de rose sur tes draps le réveil ne sonne plus la passion dure et tendre pleine de couteux en papier à t’en faire pleurer symbiose overdose osmose rayonnante et lunaire contradiction l’amour ça fout en l’air tu sais, et t’es belle
ton regard qui voit, qui ressent, qui sait et moi nue dans tes bras
l’amour dure trois ans et deux jours et tu mourra un jour dans le labyrinthe l’odeur de l’eau de vie m’embellit à chaque souffle et moi tu crois quoi ? je passerai mes journées avec toi tu crois quoi ? la buée sur la fenêtre esquisse de ton corps ensommeillé t’es plus là et t’es là à la fois sourire rire à en crever d’amour froid et perfide 666 le sheitan, le Vilain, le diable me berce les fleurs du mal paradis artificiels goût de sang sur tes lèvres te mordre jusqu’à perdre haleine le fil de ma pensée jamais ne se brise pas comme ton corps sous le poids de la culpabilité tu t’évades à travers champs, à travers les gens, à travers les voix, chaque soir, chaque fois t’es mieux je le sais j’ai écris ton nom sur ma constellation préférée vacillement de la fille sur le quai un moment elle plane feu ardent de l’amitié lotus douceur survoltée et armée Columbine mon amour, tirs, cris, détresse Lean voit la vie engourdie sauve moi, jolie
grain de beauté entre tes seins respire embrasse ses courbes ou non je te dirai pas que je t’aime mais serre moi pensées filées sur une toile d’araignée, emmêlées la nuit noire glisse sur ton dos tu dégoulines d’étoiles d’astres de comètes de clartés mensongères embrase le ciel souffle sur les fleurs rousses et blondes qu’elles cassent, plient et crient jusqu’à l’infinité du temps sois ici loin nul part jamais là ou sur le toit avec le soleil rasant crépuscule entre chiens et loups pleure jolie fleur le firmament enferme la mer les vagues chassent le noir de ton esprit les mots douloureux galaxie et frissons brulures fraiches récentes tensions brillantes lien d’amour d’argent décalé copines sombres et ténébreuses envoutantes sont là, à moitié tu danses ivre dans la rue mal éclairée, vacillante tu es et je te tiens ta main touche l’immensité lunaire pendant que mes pieds quittent le sol un genre d’amulette fleurie oiseau solaire brise la glace moonlight aurore vivante courant magnétique le coeur léger décollage Om jour et nuit perdue dans le temple s’amouracher du paradis, du fruit interdit renaissance changements mystiques relations intenses t’es parti sans le vouloir je crois tu voulais rester amours violents caresses brutales qui jettent sur les murs des mots mots qui frappent qui apaisent lilas fabriqué par un tourbillon d’automne fauve doux joie féline et habile reviens moi canicule amère sous tes draps voleuses d’âmes, la mort est annulée éternité vivante existence intemporelle brume qui me soulève au dessus des océans noyée par les sirènes voluptueuses enchanteresses
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Progress report ! Approaching the end of this generation.🐄
Traits: Animal Enthusiast
Aspiration: Country Caretaker
Career: Gardener (Botanist branch)
Objectives:
Have “Simple Living” and “Wild Foxes” as the lot challenges for your home.
Have at minimum 1 llama, 1 cow, and 1 chicken coop.
Get the “Green Thumb” reward trait.
Complete the plants collection. (I don't know if the all the packs count or just the base game plants + maybe the country living plants 🤔)
Win at least 3 times at the Finchwick fair in Henford.
Befriend wild birds and bunnies.
All children must complete the Mental aspiration.
Optional Goals:
Get nosy! Matchmake or break up 2 sims in Henford.
There will be consequences! If you matchmake 2 sims, you will have to pay for their wedding (1,000 simoleons). If you break up 2 sims, you must marry one of them.
Run at least 1 errand everyday for the townies in Henford.
Acquire the “Outdoorsy” lifestyle for both your sim and their spouse.
Master these skills: Cross-stitching, Gardening
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There is still one first place to win to completed one objective...
Aurore showed to the fair with her giant eggplant but won the second place.🥈
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Fable appreciation post ~ Look how sweet she is !🌼
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First participations at the Finchwick garden fair.🥧
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Aurore Menthe ~🌱
Raised first in San Myshuno then San Sequoia, Aurore has always dreamed of moving far from the city to live a humble countryside life filled with love and pets. After saving enough money for months by working at a desk job and thanks to her grandmother who gave her inheritance sooner, Aurore could finally quit her job and move to Henford on Bagley to start her new life.
Today, everything needs to be done : Finding a job, arranging and decorating the house, adopting tons of animals, meeting new people and maybe… finding love ?
I’ve randomized her traits and since she got the animal enthusiast trait, I found that great to start with the farmer gen.
family tree . pinterest board . blog navigation
#ts4#the sims 4#ts4 challenge#postcard legacy#the farmer#Aurore Menthe#Menthe Legacy#Menthe gen11#postcard legacy challenge
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"AURORE VENUE" - NIALA 2021 - ACRYLIQUE SOUS/VERRE 40X50
“AURORE VENUE” – NIALA 2021 – ACRYLIQUE SOUS/VERRE 40X50
“AURORE VENUE” NIALA 2021 ACRYLIQUE SOUS/VERRE 40X50 Venue du bois que l’herminette initie et du presse-étoupe qui colmate le passage des larmes nocives Au plus sombre de l’heur Bord à bord au naufrage Dans un bouquet lumineux mêlé d’échafaudages, fenêtres, perrons, échelles de cordes, terres d’ocres et gués de nénuphars, anémones, marguerites, menthes et lins au coeur de l’herbe folle,…
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Good morning beautiful
Good morning beautiful Coursives sous l’eau The The aux poudres. Maison-bateau à quai. Transat bouclée. Maison-zoo à quai Yeux éclairs sur nos vies pas pareilles, la barbaque à caouètes jauge sec. Transat bouclée. Rétro, Funchal Césure, Béance profonde Et large Flots de lumière pour tunnels à venir. Funchal, les yeux. The The, les oreilles. Souvenirs pas encore advenus. Plus tard, tu te souviendras. Du bleu par quintaux et du gris même poids. Plus tard tu te souviendras. Voici venir plus tard. Pas de ris, au portant. Génois en mouchoir. Spi choqué. Zéro gite. Après tempêtes et murs latteurs de bateaux, Crêtes crachantes et déferlantes lamées, L’allure du suspens. Pinaillages de focs, Le bras de terre pour la surprise Derrière le moucharabieh crépuscule, ça ondule. Attente. Clapotis. Sur le roof, hauts les cœurs. Adossée au mât. Peloton exécutif de visions incarnées Cap pas cap ? Puis, bras ouvert. Miles trompette à tue-tête. Ça hurle beau. J’ai vu. Vu les images des fenêtres du crâne. Lumières de la ville vues d’avion du bateau. J’étais partout : adossée au mât, flottant par dessus le sommet de la ville en contemplant le jazz, survolant les années compactées de l’instant, temps dense et étiré. La vie plus haut que le rêve. La musique plus haut que les mots. Funchal à qui que quoi Bas-fonds, le portos de table en table, et la femme, jalouse, claqueuse de poêles, ce tintamarre ! 1 kg de bigorneaux et les aiguilles jetées sur la table Les bouteilles de rhum bues à l’écope, autant dire écopées, ça tanguait plus à quai que sur Atlantique en gros grains Funchal. Fissure. Les yeux. The The. Transat bouclée. Verrous sautés, le reste peut commencer. Voici venu plus tard. 5 heures du matin. Oubli en chambre, photos et portraits en miroir. Dentelle noire, Va et vient du thorax au repos, la mort snipe sans nous voir. La main revient chercher. Réveille-toi, écoute. Fini bateau à quai. C’est l’authentique, chérie. Minarets, première pression à froid. 5 heures du matin. Transe à l’apogée. Bateau coulé, Skipper ressuscité. Autre temps, autre lieu. Istanbul, prends moi Je cherche les anges d’Islam. J’ai scruté tes rues, après travail, aube, crépuscule, aurore, Sainte-Sophie, souks-labyrinthes, vitrines où tu vois tout, fumeurs de haschich, regards dérobés Ballades en auto défoncée, taxis sous pluie Gouttes shootées grand angle et 50, Reluquais nettetés premiers seconds plans Pose lente, gros grain Jeunesse à rasibus de vie insolente, anges frêles tremblants de faim de vie Istanbul, blanche, de neige aussi, froid aux après midi matin, sommeil à la rue, portes voix à l’unisson, réverb’, Les ondes – distances empilent les appels Calques sonores Plaisir feuilleté, Chants ricochets Des visages, des figures, Dévisage, défigure, Les minarets chantent « plus bas, encore plus bas ». Voici venu plus tard. Nil. Haut, bas. Jusqu’à Assouan, souk par souk, minaret par minaret, roseau par roseau Mains grasses, becqueter à même le trottoir, pieds sales mais pas nus. Puis. Bars à chicha, Pour hommes, Sous les voiles, cachée, debout obscurité surnaturelle à fumer la rose et la menthe Sonorités de l’enfer crachées des commerces, Les bouchers, vendeurs de mouches, Plus tu descends, plus tu es nu, Villages décharnés, esquisses d’humains, ombres écho Corps de morse, un point un trait un point Les peaux plus noires mais bleues, Bleu irisé pire que blanc aveugle, mais doux, doux, doux, La vie, Comme racler la chair Gagner l’os. Jusqu’aux maisons de glaise Felouque, oiseau frêle et fragile Luge au souffle absent, Je sais m’orienter, tu vas voir tu vas voir, Je sais le dédale du village de glaise, et ses murs plus hauts que la tête Les rues si pareilles, de quoi devenir fou, Mais je sais tu vas voir tu vas voir, Voilà. Les tapis, la fraicheur, la carpe et ces plats que je n’aime pas, Rassasiée de tout le reste, Le muezzin, boucle hypnotique, facteur de réel, Je cherche les anges d’Islam. Et puis, Koutoubia et consort Souks et riads Luxe en tube Bains, rues, yeux des insultes à la peau blanche J’ai entendu 5 fois jour 5 transes en cas d’oubli majeur J’ai vu Anges offerts, sourires place Vendôme Du beau pour tous Tendresse made in, Du vrai, du pur, T’as combien Bifton authentique Tout le monde d’accord Marchands du sexe marchand En bagnole, Marrakech trop de chech Casa, Fez, Rabat, Tanger Danger Rodéo des pognonnés du bled Keep the vampires from your door Puis, L’Interzone à deviner Tes rues Tanger, Imbues de bleu Dans tes pas Tanger, Tanger, Tanger, Mendiants et orgueilleux Nous sommes tous des mendiants et orgueilleux.
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