#attentat bayonne
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antikorg · 5 years ago
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Quand l’extrême droite fait la loi Politis, 29 octobre 2019 Peu à peu, l’islamophobie devient ce marqueur résiduel de nos restes de barbarie que fut longtemps la peine de mort.
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antifainternational · 5 years ago
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[Rassemblement contre l’islamophobie mercredi 6 novembre à 18h30 - place de la mairie à Bayonne]
Nous vivons depuis une vingtaine d’années un climat de stigmatisation des musulman-e-s entretenu par les médias dominants et les gouvernements successifs. Le paroxysme de ce racisme anti-musulmans a été atteint lundi 28 octobre quand un ancien candidat du rassemblement national a tenté d’incendier la mosquée de Bayonne et a tiré sur deux fidèles, les blessant gravement.
L’attentat de Bayonne n’est pas un acte isolé d’un militant d’extrême-droite, ce n’est pas non plus l’acte d’un déséquilibré, il s’agit de l’expression d’une islamophobie structurelle alimentée par les sphères médiatiques et politiques qui montrent sans cesse les musulman-e-s du doigt et les dénoncent comme « ennemis de l’intérieur ». Ce racisme joue sur la peur d’une fantasmée « islamisation de la France ».
Cet attentat se produit dans une période d’extrême violence politique et médiatique contre les musulmans : discours extrémiste de Zemmour retransmis en direct à la télévision, appel à la délation dans les services publics et les entreprises, ministres en guerre contre la présence de tout signe islamique dans l’espace public, projet de loi sur le voile pour les accompagnantes scolaires… Partout en Occident les discours et théories de l’extrême droite sont portés dans le débat public, justifiant intellectuellement et armant moralement les terroristes comme lors de l’attentat de Christchurch en Nouvelle-Zélande.
Ces discours de haine distillent la peur pour camoufler les échecs du gouvernement en matière de justice sociale, d’égalité, de politique étrangère et cela à des fins toujours électorales.
Nous refusons de laisser ce discours gagner du terrain. Il n’y a pas de place pour l’islamophobie dans nos rues.
Afin de montrer notre solidarité contre l’islamophobie et notre lutte contre les racismes, nous appelons à un rassemblement mercredi 6 novembre à 18h30, place de la mairie à Bayonne.
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imran16829 · 5 years ago
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Tried to Burn Down a French Mosque and Killed Two Muslims: Claude Sinké Biography, Wiki, Facebook, Age, Family, Net Worth, Twitter, Instagram, Fast Facts You Need to Know
Tried to Burn Down a French Mosque and Killed Two Muslims: Claude Sinké Biography, Wiki, Facebook, Age, Family, Net Worth, Twitter, Instagram, Fast Facts You Need to Know
Claude Sinké Biography
Claude Sinké was a former National Front candidate. He is an artist, a former National Front candidate in the 2015 provincial elections. He is identified as the man who suspected of shooting two Muslims in front of the Bayonne mosque on Monday (October 28th).
Claude Sinké Age
He is 84 years old.
Claude Sinké Early Life and Career
Present on the website Copains…
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ambipolis · 5 years ago
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Lundi 4 novembre 2019
Multi cultuel, donc multiculturel ?
A chacun sa laïcité. Pour certains, ce fut le moyen de vivre en paix, ou à peu près, en laissant au César républicain ce qui appartient à César et en distinguant bien le spirituel et le temporel. Mais de nos jours des ennemis de la laïcité utilisent habilement notre «libéralisme cultuel», la défense des libertés publiques, la liberté de conscience et notre conception de l’état de droit pour détourner la liberté de culte, le droit de croire ou de ne pas croire, les signes extérieurs de la foi pour faire de la propagande auprès de populations en détresse, parfois abandonnées socialement et culturellement, fragiles psychologiquement. Et de les convaincre que la loi religieuse est au-dessus des lois de la République, ce qui est évidemment en totale contradiction avec les fondements de la loi de 1905.
Première objection: ce non-respect d’un principe fondamental de la laïcité républicaine ne serait pas l’apanage d’une minorité musulmane, mais serait partagé par les «ultra- religieux catholiques et juifs» notamment. Sans doute mais le prosélytisme actif et violent des Croisades et de la Saint-Barthélémy est très loin derrière nous, la foi catholique recule et le clergé catholique est en crise. La religion juive n’a jamais prôné le prosélytisme. Et de plus il n’a eu en France aucun attentat perpétré par des juifs. On ne saurait prendre l’exemple d’un «catholique» égaré, déclaré en partie irresponsable sur le plan psychiatrique, qui a cru à la rumeur selon laquelle l’incendie de Notre-Dame de Paris proviendrait d’un «complot musulman» et qui a voulu par esprit de vengeance incendier la mosquée de Bayonne et a commis l’irréparable, qui doit être condamné, pour considérer que les catholiques veulent tous tuer les musulmans. Seconde objection plus sérieuse : la grande majorité des musulmans respectent la laïcité et sont parfaitement intégrés. Assertion difficile à vérifier et que contredisent les déclarations du président de la République sur l’échec de notre modèle d’intégration. Selon un sondage, 27% des musulmans des musulmans interrogés considéreraient que la loi religieuse, la charia est au dessus des lois de la République. On peut se féliciter du fait que 73% des personnes interrogées pensent le contraire. Mais jusqu’à quand ? Les imams venus d’ailleurs (Afrique du Nord et Moyen Orient principalement) sévissent toujours, l’islam de France peine à juguler ce phénomène, le communautarisme progresse. Comment définir le communautarisme ? Quelle est la frontière entre sa dimension cultuelle, spirituelle et sa dimension culturelle ? Comment appréhender et interdire le droit de vivre selon des lois et coutumes ancestrales pour certaines, plus récentes pour d’autres qui ne sont pas celles qui ont forgé progressivement notre vivre ensembles et le socle des valeurs communes en France ? Certains pays, notamment anglo-saxons, ont accepté, sinon encouragé, ce multiculturalisme. Ils commencent seulement à déchanter en réalisant, mais un peu tard, que le multiculturalisme n’a rien d’égalitaire et de  tolérant, mais peut conduire au recul d’une culture par rapport à une autre. L’Union européenne qui a toujours plusieurs trains de retard en prend conscience en nommant un commissaire ayant pour mission la défense d’un modèle européen de vivre ensemble. C’est bien de tenter de vouloir conserver. Mais doit-on se résigner à ne jouer que sur la défensive ? Au nom de la liberté de conscience, il est devenu «interdit d’interdire», selon l’un des slogans de 1968. Et donc de condamner. De ce fait nous sommes condamnés sinon au grand remplacement et au grand déclassement annoncés par Eric Zemmour, du moins au climat délétère qui résulte d’une impuissance hystérisée. Comment tenter d’en sortir, de revenir au calme ? Ce sera l’objet de mon prochain message.
François BAUDILLON
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yes-bernie-stuff · 5 years ago
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news247worldpressposts · 5 years ago
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#Breaking: Attaque de la mosquée de Bayonne : peut-on parler d’«attentat» ? Source: Twitter
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gauchedecombat · 5 years ago
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l'ADN du FN (même maquillé en #RN) visiblement difficile à effacer... #Bayonne
l’ADN du FN (même maquillé en #RN) visiblement difficile à effacer… #Bayonne
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Et donc, peu de temps après avoir appris qu’un candidat du parti d’extrême-droite s’est présenté à l’élection municipale de 2020 en Alsace malgré son passé de nazillon impliqué dans plusieurs violentes agressions racistes,voilà qu’un autre candidat du même parti perpètre un attentat tout aussi violemment raciste, en s’en prenant à des innocents devant la mosquée de Bayonne, et il faudrait se…
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reseau-actu · 6 years ago
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Vincent Nouzille publie « Les Tueurs de la République », une enquête sur les guerres secrètes de la France et ceux qui les font
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Le permis de tuer n’est pas une lubie de scénariste des films d’espionnage. Au nom de la République, sur ordre de ses plus hauts dirigeants, des tueurs sont disponibles pour « neutraliser ��, c’est le terme consacré, les ennemis de la France. Mais aussi conduire des guerres secrètes et venger ses morts. Vincent Nouzille (lire par ailleurs), vient de publier « Les Tueurs de la République ». Une enquête solidement étayée qui retrace l’histoire de ce continent enfoui que sont les opérations spéciales, menées avec plus ou moins de vigueur par les gouvernements de la Ve République. L’auteur révèle en particulier l’existence d’une cellule clandestine au sein de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure), chargée des opérations « Homo », pour homicides.
« Sud Ouest ». Vous levez un coin de voile sur les secrets les mieux gardés de la République.
Vincent Nouzille. Ça fait une dizaine d’années que je travaille sur le monde du renseignement. Je me suis rendu compte qu’il y avait une vraie inconnue : les opérations clandestines. J’avais envie de connaître les guerres secrètes que la France peut mener et celles engagées par le passé. On a beaucoup parlé des pratiques de la CIA, je voulais savoir, côté français, ce qu’on faisait.
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Vincent Nouzille.
Crédit photo : Photo dr
Quelle est la nature des opérations menées ?
Ce sont de vraies guerres secrètes des opérations spéciales, et bien souvent des assassinats ciblés. Leur principal motif est la lutte contre le terrorisme.
Qui réalise ces actions ?
Sous l’autorité du chef de l’État, ces opérations sont menées par le Service Action de la DGSE. 800 agents, essentiellement des militaires, qui agissent de manière clandestine.
Au sein du Service Action a été constituée au milieu des années 1980 une minicellule : la cellule Alpha, qui regroupe une dizaine de personnes. Des tueurs, les « tueurs de la République ». Ils agissent sans que l’on puisse rattacher leur action aux services français. À ce Service Action s’est ajoutée une montée en puissance des forces spéciales, qui œuvrent dans des conflits déclarés, comme c’est le cas au Mali. Elles opèrent, au choix, en amont ou en aval, de manière clandestine. Ce fut le cas en Libye, les forces spéciales sont intervenues en civil. Elles ont joué un rôle clé pour faire tomber le régime de Kadhafi. Les forces spéciales, ce sont 3 000 soldats surentraînés (RPIMa de Bayonne, commandos de marine). Elles se sont fait la main en Afghanistan en ciblant les HVT [high value targets, cibles de grande valeur, NDLR] et ensuite en marge de l’opération Serval (1). Au sein de ces forces ont été constitués des mini-groupes de tireurs d’élite qui peuvent identifier et tuer un individu en quelques heures.
Ce personnel est-il utilisé régulièrement ?
Jamais les forces spéciales et le Service Action n’ont été employés autant qu’aujourd’hui. Pour des raisons de contexte, bien sûr. À partir de 2012, on voit apparaître une pratique beaucoup plus offensive, notamment pour les répliques. La France règle ses comptes. Il n’y a pas d’attentats ou de prises d’otages qui n’aient donné lieu à une réplique : traque d’un chef terroriste qui a enlevé des Français, envoi de commandos de forces spéciales au Sahel pour éliminer des terroristes, frappes aériennes sur des chefs talibans ayant tué des soldats français…
Vous évoquez un François Hollande qui garde sur lui une liste où figurent les noms des cibles à abattre. Vous décrivez un président plus faucon que colombe. C’est une surprise ?
J’ai démarré cette enquête il y a trois ans, et cela a en effet été une vraie surprise. De tous les présidents de la Ve République, il est celui qui assume le plus les opérations clandestines. Du fait de son tempérament plus guerrier qu’on ne le croit. C’est aussi lié à son entourage, notamment son chef d’état-major particulier. On l’a vu lors de l’opération Serval, il s’agissait de tuer les chefs terroristes : pas de prisonnier, pas de négociation. Les consignes ont été étonnamment simples et claires : « search and destroy », rechercher et détruire. La France ne fait plus de quartier. C’était un peu le cas avant. Aujourd’hui plus encore, depuis les attentats de Paris.
François Hollande va plus loin que ses prédécesseurs ?
Sous les présidences Mitterrand et Chirac, soit vingt-six ans, ça n’a pas été très assumé. Un certain nombre d’actions ont été menées sans que l’autorité politique soit aux commandes. Il est arrivé que le patron de la DGSE aille voir le président Mitterrand, lui donne des indications sur les opérations Homo et que le président ne réponde pas. Ce n’est pas normal. à cette époque, il y avait le syndrome du « Rainbow Warrior » et surtout la peur de prendre des coups. C’était aussi la crainte de Jacques Chirac après les attentats du 11 septembre 2001 : que la France soit à son tour frappée. Chirac est le plus timoré de tous.
Nicolas Sarkozy ?
Il est à cheval entre deux tendances. Les premières années de son mandat, le président Sarkozy était plutôt calme et peu offensif. Tout bascule en 2010, parce que les prises d’otages se multiplient au Sahel. Au même moment, il nomme le général Puga comme chef d’état-major particulier. Ce militaire est un faucon et va l’inciter à lancer des opérations de vive force. François Hollande l’a maintenu à ce poste.
N’y a-t-il pas un problème lié au contrôle ou plutôt au non-contrôle de ces opérations ?
Tout est à la discrétion du président. Et, on l’a vu, il peut très bien ne pas assumer. La question du contrôle par le pouvoir politique est capitale. En France, les parlementaires n’ont quasiment pas voix au chapitre. Il leur est formellement interdit de mettre leur nez dans les opérations. Contrairement aux États-Unis, où la commission du Congrès est très pointilleuse sur le budget de ces opérations secrètes.
On est pleine zone grise en termes de légalité ?
La France est un des seuls pays occidentaux à ne pas avoir de cadre juridique pour le renseignement ; c’est l’objet de la loi justement en cours d’élaboration : elle va offrir un cadre qui faisait défaut. On se situe au croisement de questions morales, éthiques, politiques. Est-on fondé à tuer quelqu’un à l’étranger ?
Ces guerres clandestines sont-elles efficaces ?
On mène des guerres secrètes de plus en plus violentes sans que l’opinion en ait conscience.
Nous sommes pris dans cette spirale de violence, et ceci bien avant les attentats de Paris du mois de janvier dernier. Un certain nombre d’actions qui nous visent sont des réponses à des choses que nous avons pu faire. Nous sommes engagés dans des engrenages où la violence répond à la violence.
La lutte contre le terrorisme ne peut pas être qu’une lutte militaire ou clandestine. Le combat politique, diplomatique, doit permettre d’endiguer le phénomène. La seule réponse militaire ne suffit pas. Car après, quand vos ennemis sont déterminés à vous détruire, la négociation s’en trouve plus que limitée. On voit bien que c’est le cas aujourd’hui avec Daesh ou Aqpa (al-Qaida dans la péninsule Arabique).
(1) L’opération Serval est une opération extérieure (Opex) menée au Mali par l’armée française. Lancée en janvier 2013 pour repousser une offensive des groupes armés islamistes, elle s’est achevée en juillet 2014. Les forces engagées ont depuis intégré un dispositif régional, intitulé opération Barkhane.
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charlesmartel732 · 5 years ago
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Bagarre au couteau à la Foire aux cochons de Champigny…
Les traditions françaises sont en grand péril et plutôt que de « protéger les musulmans », comme ils le réclament depuis le terrible attentat d’un vieillard de 84 ans, n’ayant plus toute sa tête, qui a tenté d’incendier la porte d’une mosquée à Bayonne et blessé deux personnes, il serait préférable de protéger toutes nos […]
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antikorg · 5 years ago
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A Bayonne, un véritable attentat raciste et islamophobe Lundi 28 octobre, en milieu d’après-midi, un homme âgé de 84 ans a ouvert le feu devant la mosquée de Bayonne.
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razki030775 · 5 years ago
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Mosquée de Bayonne: à partir de quand peut-on parler d'un "attentat" ? //rmc.bfmtv.com/mediaplayer/video/mosquee-de-bayonne-a-partir-de-quand-peut-on-parler-d-un-attentat-1198081.html
Mosquée de Bayonne: à partir de quand peut-on parler d'un "attentat" ? //rmc.bfmtv.com/mediaplayer/video/mosquee-de-bayonne-a-partir-de-quand-peut-on-parler-d-un-attentat-1198081.html
— razki030775 (@razki030775) October 31, 2019
via Twitter https://twitter.com/razki030775 October 31, 2019 at 08:33AM
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sakalanjahunakia · 5 years ago
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nrelaaprina · 5 years ago
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ayurawako · 5 years ago
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fantasikurni · 5 years ago
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falasinawidia · 5 years ago
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