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Les contes du Déclin (Titre provisoire)
Livre I : La poursuite
Première partie : Les fuyards
Chapitre 1 : La dispute
La dispute était maintenant presque passée. Après tout, ce n’était pas grand-chose. Des gamineries, des enfantillages. Son frère avait, encore, fait un « caprice ». Comme quand ils étaient enfants. Ils avaient beau avoir exactement le même âge, parfois, elle se disait qu’elle était quand même bien plus mature que lui. Liam disait pourtant souvent le contraire. « T’es qu’une gamine, Ellé, franchement. »
Car ils se disputaient souvent. Cela étonnait beaucoup celles et ceux qui ne les connaissaient pas bien. Toujours cette image des frères et sœurs jumeaux qui s’entendent, se comprennent, se soutiennent, s’aiment et sont inséparables. Une image contre laquelle Liam et Ellé semblaient vouloir lutter. Ils étaient nés le même jour. Ils étaient sortis du même ventre. Certes. Mais en quoi cela devait les obliger à être les mêmes ? A être toujours collés l’un à l’autre ? Ils voulaient se différencier.
Et ce n’était pas facile.
Liam marchait devant elle. Le sentier était raide et mal entretenu. Ellé le suivait quelques pas en arrière pour ne pas risquer de prendre dans la figure une des branches qu’il repoussait ou un coup du bâton qu’il employait pour s’aider. Ce chemin, qu’ils avaient arpenté si souvent était presque revenu à l’état sauvage. Des ronces menaçaient de le recouvrir et il fallait parfois jouer des coudes pour avancer entre les branches envahissantes de genêts ou de noisetiers. Il avait eu raison d’insister pour qu’elle mette un vieux jean plutôt qu’un short, malgré la chaleur. C’était énervant de constater qu’il avait eu raison pour ça, alors qu’Ellé restait persuadée qu’elle avait raison pour tout le reste :
- Mémé aurait préféré qu’ils restent avec elle,
- la journée allait être caniculaire,
- le chemin serait bouffé par la nature,
- ils n’étaient pas sûrs de la retrouver, cette grotte,
- il aurait été tellement plus agréable d’aller à la rivière tous ensemble…
Mais Liam ne voulait pas en démordre. Il voulait, coûte que coûte, retourner voir la grotte où ils passaient leurs journées, enfants, quand ils étaient en vacances chez leurs grands-parents. La grotte… Oh ! Pas grand-chose si ce n’est dans les souvenirs de ces jeunes adolescents. Souvenirs de chevaliers, de princes, d’aventures, de magies… Quand ils s’affrontaient à coup de boules de feu, d’épées en canne de noisetier, ou contre quelques ennemis imaginaires. A huit ans, Ellé était une princesse et Liam un chevalier affrontant des dinosaures. A douze ans, elle était une jeune dresseuse de loups amoureuse d’un lointain paladin mystérieux, il était son frère magicien noir ou encore un Jedi avec son sabre laser. A quatorze ans, ils étaient venus une dernière fois dans la grotte pour se raconter des secrets, des souvenirs déjà, et surtout pour pleurer après l’enterrement de Pépé. A dix-sept ans, Liam avait eu cette étrange idée d’y retourner comme en pèlerinage. La grotte n’était qu’un renfoncement dans la roche grise, surmonté de quelques gros rochers moussus. Un coin d’ombre où ils avaient cachés des trésors d’enfants : coquilles d’escargot, bouts de bois pour mimer le feu, un arc bricolé et ses flèches, des cailloux de belles couleurs, quelques bricoles en plastiques et autres talismans.
Liam avait eut gain de cause. Il avait insisté, insisté, insisté et elle avait fini par accepter de le suivre. Mais il n’en avait tiré nul satisfaction. Au contraire, il continuait à ruminer. A faire la tête. Si elle n’avait pas envie de venir, elle n’était pas obligée ! Pourquoi avoir changé d’avis si c’était pour y aller à contre cœur ? Pourquoi avait-il tant insisté s’il n’avait pas envie qu’elle vienne avec lui, aussi ? Voilà, il s’en voulait de l’avoir forcée. Ellé aurait très bien pu aller se baigner avec Mémé, puisque c’était ça dont elle avait réellement envie. Maintenant, elle le suivait, sans rien dire. Évidement. Elle lui reprochait sa décision à elle. C’était son choix, après tout. Il ne l’avait pas forcée, en fait. Et puis, elle avait eut raison sur tout la ligne :
- Mémé préférait qu’ils restent avec elle,
- la journée était caniculaire,
- le chemin était bouffé par la nature,
- ils n’arriveraient sans doute pas à la retrouver, cette grotte,
- il aurait été tellement plus agréable d’aller à la rivière tous ensemble…
En fait, la promenade n’était pas désagréable. Il faisait peut être très chaud, mais le chemin était principalement à l’ombre de vieux et grands châtaigniers abandonnés. Ellé appréciait sentir son corps dans l’effort de la marche. Ses muscles s’étaient trop reposés ces derniers temps, avec les vacances. On ne peut pas passer tout son temps à se prélasser ! Si elle voulait rester en forme, il lui fallait ne pas se laisser aller à trop d’oisiveté. A la rentrée, elle allait reprendre les compétitions. Et c’était exactement la même chose pour Liam. Lui aussi avait besoin de se bouger, de se forcer, de faire vivre ses membres, ses muscles. Il avait eu raison d’insister, se disait-elle. Alors, comme souvent, c’est Ellé qui rompit la glace, s’excusa et remercia son frère de l’avoir emmenée là.
Les excuses d’Ellé tombaient particulièrement mal pour Liam, car, juste à ce moment là, il lui fallait bien reconnaître que le chemin avait disparu. Et qu’il ne savait pas plus qu’Ellé comment atteindre cette fameuse grotte. C’était sans doute le bon moment pour faire une pause, boire un peu d’eau et dire à sa sœur que oui, il regrettait tout ce qu’il lui avait dit et qui pouvait être blessant. Surtout cette remarque sur son physique, sur les petits kilos qu’elle était en train de prendre si elle continuait à se comporter comme toutes ces « meufs superficielles », ses copines des réseaux sociaux avec qui elle parlait des garçons qui ne la regardaient même pas… Parler des garçons, ceux du lycée, avait presque fait pleurer Ellé. Liam savait qu’il lui faisait mal. Il s’en voulait. Elle, pourtant, elle ne lui en voulait pas. Il ne faisait que dire tout haut ce qu’elle se disait souvent tout bas : elle n’était pas jolie. Alors que son frère jumeau, lui, était ce que toutes ses copines appelaient un « beau gosse ». Une injustice que Liam connaissait, reconnaissait, regrettait et que, pourtant, il ne pouvait s’empêcher de lui jeter à la figure quand il voulait vraiment faire mal à sa sœur.
Chant 1 : Il était un conteur
Le Conteur s’installa, les jambes croisées, sur une banquette de roche, sans regarder rien d’autre que le feu central, en face de lui. Il savait ménager ses petits effets. Attirer les regards. Capter l’attention. Comme s’il s’échauffait avant une épreuve de force, il massait ses doigts et ses poignets. Il savait attendre le temps qu’il fallait. Le temps que chacun trouve une place confortable. Le temps de n’entendre plus que le crépitement des flammes et le ronronnement des respirations attentives.
L’assemblée d’une bonne trentaine de personnes s’était réunie comme d’elle même au cours de la soirée. Le Conteur avait mangé seul près du feu, au centre de la grande grotte. Puis, au fur et à mesure de la fin des travaux et des repas, les jeunes habitants du village troglodyte s’étaient rassemblés autour du feu, autour de lui. D’abord les adolescents mâles, les premiers à avoir fini de travailler. Ils étaient arrivés avec leurs dîners, du pain, un peu de viande séchée, quelques légumes. Rapidement, la grotte avait ressemblé à une cantine qui sentait le bœuf sec et l’oignon cru. Puis les grandes sœurs s’étaient présentées. Elles avaient le plus souvent couché les plus jeunes enfants, rangé le dîner des parents, nourri les poules… Certaines avaient quand même pris le temps de s’apprêter, coiffer leurs longs cheveux noirs, épousseter leurs robes – toutes dans les tons bleus foncés comme cela se faisait dans les villages troglodytes pour les jeunes filles à marier. Alors, seulement, prirent place quelques jeunes adultes. Les hommes sous leur capuche noir, une jatte de bière avec eux. Les femmes, certaines avec un bébé au sein, en robe grise, près d’eux, en couple ou entre amis.
Mais les plus nombreux étaient bien les adolescents. Pour eux, aller écouter le Conteur était une obligation autant qu’un plaisir. Le plaisir de se retrouver et d’entendre parler de pays et de temps lointains… surtout de quand « tout allait mieux », le temps de la Grande Maîtrise. Une obligation, aussi, car les récits des conteurs itinérants étaient pour leur parents de véritables et indispensables leçons de morale. Écouter attentivement les contes et en comprendre les sagesses étaient gage d’une vie droite et saine.
Ce Conteur-là était arrivé au village trois jours plus tôt. Les anciens, qui dirigeaient la communauté, lui avaient offert un gîte, le couvert et même une grande jarre de vin contre ses leçons. Mais avant qu’il puisse s’adresser aux adolescents et aux adultes, les anciens lui avaient demandé de ne s’adresser qu’aux plus petits enfants. Il s’agissait, bien sûr, de pouvoir surveiller cet étranger et de s’assurer de sa bonne moralité.
Cela faisait donc trois jours que les jeunes rongeaient leur frein en suivant du coin de l’œil les allers et venus du Conteur parmi leurs petits frères, sœurs ou cousins. Il leur avait raconté les histoires édifiantes des rois et des reines d’Ohnbéria. Bien normal, puisqu’ils vivaient dans les Monts d’Ohn, non loin de l’ancienne capitale du royaume déchu. Ces histoires là, les jeunes ne les connaissaient que bien trop. Mais le Conteur avait aussi raconté d’autres histoires plus… exotiques, plus… croustillantes… même si, toujours, la morale était sauve… à la fin !
Et ce soir, enfin, les jeunes presque – ou déjà – adultes, avaient droit à leur première soirée « conte » depuis bien longtemps. Car ils se faisaient rares, les conteurs itinérants, en ces temps du Déclin. Les routes étaient plus dangereuses, les villages et les bourgades de moins en moins accueillantes, les conteurs de moins en moins bien formés. Ou moins courageux ? Où moins nombreux ?
Celui là n’était pas bien vieux. Il disait venir du Jar-A’N-Lat nord, ce que sa peau noire confirmait assez, mais il parlait un ohnien sans presque d’accent. Au tout début, les petits qui n’avaient encore jamais vu de gens à la peau noire, avaient eu peur de lui et de ses longs cheveux tressés. Mais le Conteur avait un large et généreux sourire fort rassurant ainsi qu’une voix douce, chaude dont il savait tirer parti.
« L’histoire que je vais vous conter cette nuit est tout à fait extraordinaire... »
Il avait commencé à parler sans préambule, sans même élever la voix ni les yeux sur l’assistance. Il avait commencé son conte comme on commence à dormir, sans prévenir. Un frisson parcouru l’auditoire. Plusieurs hommes abaissèrent leur capuche pour entendre mieux. Les plus jeunes garçons avaient dors et déjà abandonné le reste de leur repas. Avant de reprendre, le Conteur se leva, déposa une nouvelle bûche sur le feu et reprit sa place, les jambes toujours croisées sous lui.
« Cette histoire pourrait commencer de nombreuses autres façons… tout près d’ici, dans les Monts d’Ohn, ou bien plus tard et plus loin, sur les rives de la Mer de sable – Jar-A’N-Lat – ou sur ceux de la Mer Paisible… J’aurai pu la faire commencer à l’époque de Grande Maîtrise dans la sublime ville de Lorielle aux milles tours… Mais je crois qu’il vaut mieux que je la fasse commencer le jour où je l’ai rencontrée et où je suis entré tout entier dans cette histoire. Car oui, jeunes habitants des grottes d’Ohn, je fais parti intégrante du récit que je m’en vais vous conter. »
Pour son public, que le Conteur s’intègre au conte, était un « truc » déjà bien connu. Et si certains n’étaient pas de cet avis, pour la plus part des autres, les plus beaux comptes étaient bien ceux où le conteur disait « Je... » !
« En ce temps là, j’étais un bien plus jeune homme… J’avais à peine quelques années de plus que vous. Et j’étais une toute autre personne. En ce temps là, je n’étais même pas conteur. J’étais un apprenti historien, à peine sorti de l’école de mon maître. Naïf et plein d’espoir, d’ambition. Savez-vous quelle est la différence la plus importante entre un historien et un conteur ? »
Le Conteur attendit en silence quelques secondes. Non pas dans l’espoir qu’une des personnes présentes donne une réponse : il n’est pas permis, à qui écoute un conte, d’intervenir avant la fin du récit. C’est un tabou. Non, le Conteur attendait simplement que chaque personne, surtout les plus jeunes, se formule une réponse à sa question.
« Oui… je suis sûr que vous connaissez la principale différence entre l’historien et le conteur… L’historien, dans ces écrits, doit toujours dire ce qu’il pense être la vérité, sans jamais mentir, sans jamais embellir, sans jamais cacher. Peu importe que ce qu’il raconte soit morale ou immorale. Même s’il fait l’histoire d’un roi, d’un seigneur ou de son peuple ! Nous autres, les conteurs… Nous devons respecter une autre forme de vérité, plus importante, celle de la foi, celle des Dieux, celle de la vie. Même si pour cela nous devons tordre les faits comme cela nous arrange. Mais… Mais… dans l’histoire que je vais vous raconter cette nuit, justement, nul ne m’est besoin de tordre la vérité de l’historien que je fus pour vous transmettre la vérité du Conteur – des Dieux ! – que je suis devenu. Tout est vrai, dans ce que je vais vous conter car tout a été voulu par les Dieux. Ouvrez vos oreilles et ouvrez votre cœur.
« Ce conte commence alors que je suis dans une fort mauvaise posture, pour tout vous dire. Imaginez le moment : le soleil d’été à son zénith. Une chaleur à tuer un bœuf. Je suis allongé sous un vieux chêne à me morfondre de mon malheur, me tenant une cheville que je pense brisée. Mes affaires, ou bien ce qu’il en reste, étalées sans ordre dans l’herbe jaunie autour de moi. Nous sommes quelque part au milieu de rien dans la plaine de Korandrie, alors que la canicule et la sécheresse frappent le pays de toutes leurs forces. Les quelques chênes qui parsèment la plaine dans ce coin là semblent vouer à mourir d’une saison à l’autre. Des chênes centenaires, qui furent sans aucun doute plantés là par quelques Grands Maîtres de Vie, quelques siècles plus tôt, pour borner les anciens champs de blés... Ce qui avait été considéré comme le grenier des terres à l’Est de la Vardanne, et qui n’est plus qu’un désert aujourd’hui. L’ombre, où je me suis réfugié en boitant, ne remplace pas la précieuse outre d’eau que je n’ai plus. Alors, certes, je suis au bord d’un chemin. Un sentier plus exactement, poussiéreux et caillouteux. Un sentier où, visiblement, personne ne passe en cette saison si rude. Personne sauf le jeune historien ignorant que j’étais et les vauriens qui venaient de me dépouiller, profitant de ma naïveté. J’en étais là… pensant devoir mourir de soif ou dévoré dans la nuit par quelques bêtes sauvages, avant d’avoir ne serait-ce qu’écrit une seule ligne de mon œuvre… Œuvre dont je ne connaissait même pas encore le propos. Ma vie d’adulte commençait à peine et déjà »
Il y avait eu quelques sourires dans l’assistance. Une ombre de rire. Une des plus jeunes filles avait même donné un coup de coude complice à son amie pour lui dire de ne pas rire. Pourtant le Conteur sentait bien qu’il n’avait pas encore vraiment capter l’attention des plus âgés de la troupe. Pour les grands adolescents et les jeunes homme, ces histoires d’écrivaillons le cul dans l’herbe n’étaient même pas drôle. Mais le Conteur savait que bientôt… bientôt… Ils mangeraient ses mots avec avidité. Car il allait la faire entrer en scène.
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Lecture achevée! 1ère lecture pour moi de cet auteur que je ne connaissais pas et quelle découverte! Ce livre trainait dans ma bibliothèque et je ne suis pas mécontente de m’être plongée dedans! On y suit un détraqué qui torture des chevaux. Mais quelles sont ses motivations et jusqu’où ira-t-il pour assouvir ses fantasmes? L’adjudant Gannori est sur le coup accompagné d’un couple improbable: la pulpeuse Louise et le « Viet ». L’écriture est rythmée et très contemporaine. Ça fait du bien de lire enfin un roman policier français efficace! Je pense en lire d’autres de l’auteur qui m’a convaincue. #retourlecture #romanpolicier #ravie #asuivre https://www.instagram.com/p/CVITt5mKkQ2C9QJ3iq8Iy8gwx81q0a1BjLQTXY0/?utm_medium=tumblr
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M E R C I Merci de penser à Jeanine pour vos projets pros et particuliers. Quand l’infiniment grand rencontre l’infiniment petit. #abatjour #90cm #asuivre #suspension #géante #surmesure #rabane #lavaliserouge #architecturedinterieur #jeanine #artisanat #regarderparletroudelaserrure #workinprogress (à L'Atelier de Jeanine) https://www.instagram.com/p/CHx2bnVlqsN/?igshid=1og8uxtymuo1h
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Ça me trottait dans la tête depuis un moment, j'ai commencé à poser les premières idées d'un #alphabet typographique dont les lettres seront illustrées de #textures ou #motifs naturels... #asuivre #typographie #sketchbook https://www.instagram.com/p/CHP7zI-BppG/?igshid=g2ssj4dersun
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War in Armenia, Beirut slowly recovering, Ruth Bader’s passing, so many things stirring in my head, service industry bleeped out of service in Montreal...Springsteen ‘s 71st birthday....The music industry flipped and kicked while down...scratch that ...stampeded on by a heard of Gallimimus from Jurassic Park 1. . I need a drink. . . Here’s @fsmontreal ‘s @drahoschytry telling you, in his own way, that everything is gonna be ok. . . . #herewegoagain #buckleup #oxygenmasks #masks #moremasks #covid19 #serviceindustry #confinement #worldproblems #firstworldproblems #depression #pandemic #montrealnightlife #serviceincendiemontreal #asuivre (at Montreal, Quebec) https://www.instagram.com/p/CFvDXqvHt0m/?igshid=cerjiezm92ea
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Six #CafeBertrand 's revisited songs coming before end of this month #june2020 . This #Homeband concert is for @crossroadsccfestival ! We're happy to anounce that 👊 To ya #rockers ! **** Les 6 titres revisités en mode confiné seront en ligne juste avant la fin juin, le 26 si on se trompe pas ;) rendez-vous sur le CrossroadsConfinedCountdownFestival ! Sur Facebook, YouTube etc etc ! Soyez là 🤘!! À bientôt CAFB **** #rock #festival #CafeBertrandConcert #crossroads #revisitedsongs #comingsoon #rockfrancais #cafb #26juin2020 #rockband #asuivre #extendedfestival #goodnews https://www.instagram.com/p/CBnBSX9A_u4/?igshid=1uiyox7l21hbs
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