#architecture organique | Explore Tumblr Posts and Blogs

marothro · 4 months

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L'Allemagne a produit de nombreux architectes

L'Allemagne a produit de nombreux architectes de renommée mondiale qui ont eu une influence significative sur l'architecture moderne et contemporaine. Voici quelques-uns des architectes allemands les plus connus :

Walter Gropius (1883-1969) : Fondateur du Bauhaus, Gropius est une figure centrale de l'architecture moderne. Il est connu pour ses idées novatrices sur la relation entre l'art, l'architecture et la technologie. Parmi ses œuvres célèbres, on trouve le bâtiment du Bauhaus à Dessau.

Ludwig Mies van der Rohe (1886-1969) : Un des maîtres du modernisme, Mies a popularisé des concepts tels que « moins c'est plus » et « la peau et les os » de l'architecture. Ses œuvres incluent le Pavillon de Barcelone et la Neue Nationalgalerie à Berlin.

Frei Otto (1925-2015) : Connu pour ses structures légères et ses tentes architecturales, Otto a conçu le toit du Stade olympique de Munich pour les Jeux olympiques de 1972. Il a reçu le prix Pritzker en 2015.

Peter Zumthor (né en 1943) : Bien que suisse, Zumthor a travaillé et influencé l'architecture en Allemagne. Il est connu pour ses œuvres minimalistes et émotionnelles comme les Thermes de Vals en Suisse et le Musée Kolumba à Cologne.

Gottfried Böhm (1920-2021) : Premier architecte allemand à recevoir le Prix Pritzker (1986), Böhm est connu pour ses églises en béton et ses bâtiments sculpturaux, tels que l'Église de pèlerinage de Neviges.

Hans Scharoun (1893-1972) : Connu pour son architecture organique, Scharoun a conçu la Philharmonie de Berlin, célèbre pour son auditorium en forme de vignoble.

Axel Schultes (né en 1943) : Célèbre pour son design du Chancelieramt (bâtiment de la chancellerie fédérale) à Berlin, Schultes est un architecte important de la période post-réunification.

Daniel Libeskind (né en 1946) : Bien que né en Pologne, Libeskind a grandi en Allemagne et est considéré comme un architecte influent dans le pays. Il est connu pour son design du Musée juif de Berlin et du One World Trade Center à New York.

Egon Eiermann (1904-1970) : Connu pour ses bâtiments fonctionnels et modernes, Eiermann a conçu des bâtiments emblématiques comme l'Église du Souvenir Kaiser Wilhelm à Berlin et le siège social de l'entreprise Olivetti à Francfort.

Ole Scheeren (né en 1971) : Connu pour ses conceptions audacieuses et innovantes, Scheeren est l'architecte du gratte-ciel CCTV à Pékin et du projet résidentiel MahaNakhon à Bangkok.

Ces architectes ont laissé une marque indélébile sur le paysage architectural mondial et continuent d'inspirer de nouvelles générations avec leurs conceptions novatrices et leurs visions uniques.

#architecture

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omagazineparis · 9 months

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Comprendre le déconstructivisme, ce mouvement architectural

Développé à la fin du XXe siècle, le déconstructivisme repousse les limites traditionnelles de l'architecture en remettant en question les conventions et en fragmentant les formes. Ce mouvement, caractérisé par des structures angulaires, des formes déconstruites et des espaces non conformistes, a captivé l'imagination des architectes du monde entier. Dans cet article, nous explorerons les concepts fondamentaux du déconstructivisme et découvrirons comment il est apparu comme une nouvelle approche radicale de l'architecture. Nous examinerons également les réalisations emblématiques du mouvement et analyserons l'influence qu'il a eue sur l'architecture contemporaine. En comprenant le déconstructivisme, vous obtiendrez un aperçu fascinant de la créativité et de l'innovation qui peuvent exister au-delà des limites traditionnelles de la construction. Prêt à vous embarquer dans un voyage architectural extraordinaire ? Alors commençons à comprendre le déconstructivisme ensemble ! Origines et principaux architectes du déconstructivisme Le déconstructivisme a émergé à la fin du XXe siècle en réaction au modernisme et à l'architecture fonctionnaliste. Les architectes de ce mouvement ont remis en question les idées préconçues sur la forme et la fonction, et ont cherché à créer des structures qui défient les conventions architecturales traditionnelles. Parmi les principaux architectes du déconstructivisme figurent Peter Eisenman, Zaha Hadid, Frank Gehry et Rem Koolhaas. Chacun de ces architectes a apporté sa propre vision et son interprétation du déconstructivisme, mais tous partagent l'idée de repousser les limites de l'architecture et de créer des formes innovantes et souvent controversées. Le déconstructivisme est également influencé par le mouvement de l'art déconstructiviste, notamment les travaux des artistes tels que Marcel Duchamp et Kazimir Malevich. Ces artistes ont remis en question les conventions artistiques établies et ont exploré la fragmentation et la déconstruction dans leurs œuvres. Le déconstructivisme a gagné en popularité dans les années 1980 et 1990, et de nombreux bâtiments emblématiques ont été construits dans le monde entier, mettant en valeur les principes et les caractéristiques de ce mouvement architectural unique. Principe et caractéristiques de l'architecture déconstructiviste Le déconstructivisme se caractérise par des formes angulaires, des lignes brisées et des volumes fragmentés. Les architectes déconstructivistes défient les conventions de la symétrie et de l'harmonie traditionnelles, préférant créer des structures asymétriques et souvent déséquilibrées. Une caractéristique clé de l'architecture déconstructiviste est la fragmentation. Les architectes déconstructivistes déconstruisent les formes traditionnelles pour créer des éléments architecturaux distincts et souvent éclatés. Cette fragmentation permet de créer des espaces non conventionnels et d'explorer de nouvelles possibilités d'interaction avec l'environnement. Les matériaux utilisés dans l'architecture déconstructiviste sont souvent bruts et non finis, mettant en évidence la nature même du processus de construction. Les éléments structurels, tels que les poutres et les colonnes, sont souvent exposés, ce qui confère aux bâtiments déconstructivistes une esthétique brute et industrielle. Bâtiments déconstructivistes à travers le monde Le déconstructivisme a laissé une empreinte significative sur le paysage architectural mondial, avec de nombreux bâtiments emblématiques qui incarnent les principes et les caractéristiques de ce mouvement. L'un des exemples les plus célèbres de l'architecture déconstructiviste est le musée Guggenheim de Bilbao, conçu par Frank Gehry. Ce bâtiment iconique se distingue par sa forme organique et ses courbes audacieuses, qui défient les conventions architecturales traditionnelles. Le musée Guggenheim de Bilbao a été salué comme une œuvre d'art en soi et a propulsé le déconstructivisme sur la scène mondiale de l'architecture. Un autre exemple notable est la bibliothèque de l'université de technologie de Delft, conçue par Mecanoo Architects. Ce bâtiment présente une façade complexe et angulaire, qui crée une interaction dynamique avec son environnement. La bibliothèque de Delft est un exemple frappant de la manière dont le déconstructivisme peut transformer un bâtiment en une œuvre d'art visuelle. A lire également : Matrix vu par ses costumes Déconstructivisme dans d'autres formes d'art Le déconstructivisme ne se limite pas à l'architecture, il s'étend également à d'autres formes d'art, telles que la sculpture, la peinture et la photographie. Dans la sculpture, le déconstructivisme se manifeste par la fragmentation des formes traditionnelles et la création de structures qui semblent se désintégrer ou se décomposer. Les artistes déconstructivistes explorent les possibilités de la forme et de la matière, remettant en question les conventions de la sculpture traditionnelle. Dans la peinture et la photographie, le déconstructivisme se manifeste par l'utilisation de lignes brisées, de formes fragmentées et de compositions non conventionnelles. Les artistes déconstructivistes cherchent à créer des œuvres qui défient les attentes du spectateur et qui remettent en question les notions de perspective et d'équilibre. Critiques et controverses entourant le déconstructivisme Comme tout mouvement artistique radical, le déconstructivisme n'a pas échappé aux critiques et aux controverses. Certains critiques soutiennent que le déconstructivisme est plus une démonstration de virtuosité architecturale qu'un véritable mouvement artistique. D'autres critiques reprochent au déconstructivisme de manquer de fonctionnalité et de ne pas répondre aux besoins pratiques des utilisateurs des bâtiments. Certains bâtiments déconstructivistes sont critiqués pour leur manque d'accessibilité et leur complexité excessive. Cependant, les défenseurs du déconstructivisme soutiennent que ces critiques sont le résultat d'une incompréhension du mouvement et de ses objectifs. Ils soulignent que le déconstructivisme ouvre de nouvelles voies d'exploration architecturale et permet de repenser les notions traditionnelles d'espace et de forme. L'influence du déconstructivisme sur l'architecture contemporaine Le déconstructivisme a eu une influence profonde sur l'architecture contemporaine, en repoussant les limites de la créativité et de l'innovation. De nombreux architectes contemporains s'inspirent du déconstructivisme dans leurs projets, en adoptant des formes angulaires et en déconstruisant les conventions architecturales traditionnelles. Les bâtiments déconstructivistes continuent de susciter l'admiration et l'inspiration dans le monde entier. Le déconstructivisme a également influencé l'urbanisme et la conception des espaces publics. Les principes de fragmentation et de non-conformité du déconstructivisme ont été appliqués à la conception de parcs, de places et de quartiers, créant des espaces uniques et dynamiques. Dossier : L’évolution des normes de beauté à travers l’Histoire Architectes déconstructivistes célèbres et leurs œuvres remarquables Plusieurs architectes déconstructivistes ont laissé leur empreinte sur l'architecture contemporaine avec leurs œuvres remarquables. Frank Gehry, l'un des pionniers du déconstructivisme, est connu pour des bâtiments emblématiques tels que le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles et le Musée Guggenheim de Bilbao. Zaha Hadid, la première femme à remporter le prix Pritzker d'architecture, a conçu des bâtiments audacieux tels que le MAXXI, le musée national des arts du XXIe siècle à Rome, et la tour de la télévision de Guangzhou en Chine. Rem Koolhaas, fondateur de l'agence d'architecture OMA, est connu pour des projets tels que la Bibliothèque centrale de Seattle et la Casa da Música à Porto. Ces architectes ont tous repoussé les limites de l'architecture traditionnelle et ont laissé une empreinte durable sur le paysage architectural mondial. Conclusion et avenir du déconstructivisme Le déconstructivisme continue de susciter l'admiration et l'inspiration dans le monde de l'architecture et au-delà. Ce mouvement audacieux et radicalement innovant a permis de repousser les limites de la créativité et de l'innovation, ouvrant de nouvelles voies d'exploration architecturale. Alors que l'architecture contemporaine continue d'évoluer, il est certain que le déconstructivisme continuera d'influencer et d'inspirer les architectes du futur. Les principes de fragmentation, de non-conformité et de déconstruction continueront de façonner l'architecture et de repousser les limites de la créativité humaine. En comprenant le déconstructivisme, nous pouvons développer une appréciation plus profonde pour les explorations audacieuses et les formes innovantes que l'architecture peut prendre. Alors, plongez dans le monde fascinant du déconstructivisme et laissez-vous inspirer par les possibilités infinies de l'architecture contemporaine ! Read the full article

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ericcamus-archives · 1 year

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SON EXPRESSION VIOLENTE

Graduations Spectrales, l’exposition personnelle d’Eric Camus à la galerie Simon Madeleine, se situe dans une amorce de fiction qui laisse émerger des reliquats et agrégats de matière, objets hybrides en devenir.

Tenant à la fois d’une esthétique précise et quasi chirurgicale, elle allie des éléments d’une facture maladroite à d’autres plus sophistiqués, télescopage de préciosité et d’archaïsme brutaliste.

Une expérience qui témoigne d’une pratique personnelle émaillée de rituels. Graduations Spectrales, est le titre qu’ Eric Camus a choisi pour réunir un ensemble d’œuvres produites pour son exposition. L’expression fait référence à une succession de protocoles silencieux et de micro-actions qui font l’objet de créations incongrues et sans fonction précise, faisant surgir les traces d’une activité très concentrée.

Des réceptacles doivent permettre d’accueillir les esprits - plateaux chirurgicaux, boîtes blanches immaculées, des assemblages minutieux d’objets parfois sans qualités. Cet ensemble d’éléments disparates, un premier temps rassemblés et confinés dans l’atelier, devenu un espace sous observation, est transposé à celui de l’exposition. Il devient le point de départ d’une expérience mentale.

L’artiste retient tout un langage formel qui pose l’hypothèse d’un acte artistique rare et sans fioriture. Les surfaces lisses et aseptisées dominent l’ensemble de ces réalisations, qu’il dit d’ailleurs vouloir présenter comme une tentative d’officine bancale, un lieu d’expérimentation et d’analyse.

Empreint d’une forme d’affectation toute particulière, qu’il exprime à la surface de différentes pièces semblant abandonnées, dévitalisées de leurs couleurs, à la pâleur anémiée. Cet effet crée une sensation de malaise, la vision se trouble en présence de cette prolifération d’éléments. Leur mise en connexion ne constitue pas un décor, même si une part de théâtralité y est incrustée.

La résurgence d’éléments autobiographiques, dissémine les indices d’une histoire personnelle. Jalonné de collisions métalliques et organiques, l’espace d’exposition prend alors des allures de remise clinique, où se déploient des instruments travaillés comme des organismes expansifs. Une sculpture faite d’un flacon surmonté d’un tube renfermant un gaz, évoque des outils de mesures. Une série de miroirs crée des cartographies qui s’étendent au mur, des territoires incisés à même la matière réfléchissante. Souvent sans aspérités, la texture lisse et distordue d’une surface en acier froissé laisse apparaître en filigrane un résidu de texte ou une architecture subliminale.

Avec ce projet, Eric Camus appréhende indirectement la question de la définition d’une pratique. En permettant de révéler une forme atone de création artistique, au sens où elle ne produit pas d’effet spectaculaire, soumise à ses propres conditions de révélation, qui est spectrale.

Un spectre, une «chose» qui reste difficile à nommer.

Cette difficulté à la définir semble attachée à la distinction nette entre le réel et l’irréel, le vivant et le non vivant, le passé et le présent, le normal et l’anormal. Incarnation insaisissable et évanescente, elle offre ainsi la possibilité d’occuper une zone intérieure laissée vacante, puis rendue visible et mise à nue, faisant surgir dans le réel son expression violente.

Graduations Spectrales est la suite de Hypnose Club et Office des Ondes.

ERIC CAMUS

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utank · 1 year

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Parent d’élève

Bonjour Monsieur, Je viens à vous concernant l'oral blanc prévu samedi matin. Vous ignorez certainement que les élèves de cinéma ont leur bac (en dur) d'oral le vendredi matin. Or non seulement cette épreuve majeure (coef8) n'est pas sur pronote, mais aucun aménagement n'a été fait des cours pour permettre aux élèves de se préparer.

Pensez-vous que l'exercice de la philosophie, ou l'apprentissage (en temps de paix) peut se faire en circuit de peur (encéphale produisant des pensées réduites à la survie) et dans la fatigue? Pensez-vous aider les élèves en leur accordant si peu de valeur sur le plan organique? Non, nos enfants ne sont pas des machines à apprendre des lignes de cours fatigués.

Lorsque l'Ecole ne respecte pas leur chronobiologie ni leurs intentions véritables et voudrait, selon un projet bourgeois néolibéral, en faire des employés excepté les quelques "bons élèves" qui rejoindront les fabriques à dirigeants du centre; lorsque les enseignants (dont j'ai fait partie) acceptent cet ordre délétère et élitiste, cette brutalité faites à leurs élèves; quand le propre code de l'éducation n'est pas respecté, ni l'égalité des citoyens, ni la valeur d'une jeunesse reléguée dans ses quartiers, ni la nature bafouée par l'industrie comme les travailleurs, alors on construit la haine de soi et des autres. Avec une valeur anoptique, qui efface la centralité du regard omniscient de la technologie, donc le sens de cette architecture discrète qui canalise et débite les consciences (WWWEB).

Qu'il est difficile d'enseigner et d'aimer ce qu'on enseigne, quand le standard règne sur le particulier et que les talents des enfants se noient dans la rigidité des mailles du filet éducationnel, qui veut domestiquer avant d'élever.

Le règlement et le respect avant tout, mais non la logique et la valorisation. La sanction et la fatigue, non l'auto-évaluation et le plaisir, comme pourtant indiqués dans les manuels de pédagogie.Alors que font les élèves, assignés à l'obligation, à l'injonction méritocratique, en dehors de leurs compétences "naturelles", loin de leurs idéaux et de leurs centres d'intérêt? Ils mentent. A vous, à nous, à eux-même et au monde, comme l'institution le fait antérieurement.

Et sinon ils s'automutilent, se suicident, se perdent dans l'artifice d'une technologie ou d'une chimie compensatoire de leurs rêves. Et ceci est le fondement de la consommation néo-bourgeoise, de notre marché. La frustration généralisée.

Que cette réflexion soit un pivot, un levier, un cap pour toute conscience, et cela en fait un danger pour leur équilibre social et la société (bourgeoise) toute entière. Il convient donc que nous, adultes, les tenions éloignés des réalités, ou identifiées comme telles, qui sont les pièges de nos idéalités contraintes, qui montrent nos failles structurelles.

C'est la doctrine en cours pour la communication positiviste des systèmes marchands qui nous asservissent. Ce qu'on fait subir au client qui n'en attend pas moins pour le prix... Ce que j'appelle société de la com...

Concernant l'épreuve "en blanc", j'ai idée que ce sont ces idées noires qui façonneront les copies des élèves, et le blanc seing accordé à la fonction enseignante (ne serait-ce l'inspect.ric.eur) dépourvue de toute évalutation d'usage (par les utilisateurs) ramènera les conscience à la noirceur du continent de réalité déniée et occultée, dont la présente lettre entend laisser affleurer le socle fondant de pergélisol... Ce que je vois depuis fort longtemps est à la hauteur de nos institutions actuelles, et promet le pire pour nos enfants. Ce que je vois dans la scolarité de mon fils correspond à la description faite plus haut. Ses compétences ont régressées depuis 3 ans, dans les domaines le passionnant. Son rapport à la science et aux publications s'est amoindri.

L'École est donc, excepté pour les "brillants" destinés à l'élite, un moment d'ancrage mort, un temps inutile et dévalorisant pour une majorité d'élèves, et ceci du fait de sa construction et NON PAS des soit-disant "faiblesses" des élèves copiés collés sur les bulletins en plus des "il faut"...

Bien entendu, ce sont nous, les parents, qui sommes responsables du niveaux de nos enfants si, comme la prof principale nous l'avait rappelé le jour de la réunion collective, nous n'avions pas "mis des coups de pied au derrière" de nos chérubins... Blanc seing et irresponsabilité... Voilà ce qu'une pensée philosophique et politique pourrait amener un parent à exprimer en face d'un établissement, s'il n'était pas retenu par la peur d'entraver la scolarité de son enfant, en créant un dissensus frontal disruptif, et s'il avait l'espoir futile d'être écouté, lu ou juste entendu.

...En espérant vous avoir diverti à défaut du pire.

#école publique #école française #école #parent d’élève #élève #prof #professeur #enseignant

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latribune · 2 years

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inblogue · 2 years

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INFOLETTRE #3

3 ans d’Insubordination (depuis janvier 2020 -

Très chères amies, partenaires, collaboratrices, clientes et curieuses*, (* Nous continuons d’utiliser le féminin dans cette infolettre parce que nous nous adressons aux belles âmes (nom féminin) qui nous liront et que nous nous efforçons d’en être nous aussi.)

Dans le développement d’un enfant, c’est à trois ans qu’il fait un bond en matière d’autonomie. Il est capable de monter les escaliers, manger seul, et oh joie, est généralement propre. Ce dernier point nous a un peu inspiré l’image de couverture de ce message. C’est exactement comme ça qu’on se sent, après trois ans d'insubordination. Parce que si 2020 était le lancement d’IN et 2021, sa propulsion, 2022 aura été notre année organique, celle où nos efforts créatifs ont nourri le vivant, l’art comme l’humain, qui eux, nous ont nourris à leur tour.

À force de durs labeurs à tenter d'extirper uniquement le merveilleux de toutes les idées, mais aussi à force d’erreurs et d’apprentissages, nous récoltons quelque chose de pas pire pantoute. Du haut de nos trois marches, nous avons une meilleure vue sur le chemin parcouru, mais aussi sur notre horizon.

@ Photo François Maisonneuve / Trois-Pistoles

En tout, nous avons joué avec 56 partenaires de création, de production et de stratégie, collaboré avec 15 partenaires-clients et 5 agences et studios. Nous avons réalisé au total 25 projets hautement variés : contenu, identités visuelles et nominales, expériences numériques, design, documentaires, publicités, réflexions stratégiques et projets en art visuel.

@ Photos Yako / Siège social d’Hochelaga-Maisonneuve à Montréal

Sorties au grand air

En 2021, nous vous parlions de deux projets que nous avions longuement couvés jusqu’à ce qu’ils déploient tous deux leurs ailes au début de 2022. La campagne «Là, je me reconnais» de Qualifications Québec, visait à ce que l’organisme sans but lucratif apparaisse sur le radar des personnes immigrantes du Québec pour faire reconnaître leurs compétences acquises dans leur pays d’origine.

Nous avons également aidé Attitude Living à poursuivre son virage sans plastique en imaginant la campagne «Raise the bar - Élevez la barre avec ATTITUDE» pour sa nouvelle gamme de produits entièrement en barres, Leaves Bar, destinée en priorité au marché américain.

Entrée en profondeur

En 2021, on terminait le projet de longue haleine Réflexions en profondeur, grâce auquel nous nous sommes aventurées à 3,2 km sous la terre afin de récolter des propos en profondeur sur notre avenir. Un projet en or à explorer ici!

L’adolescence tatouée sur le coeur

Notre soif de nostalgie a été assouvie quand l’équipe de la corporation Secondaire en spectacle, qui illumine le regard des jeunes du secondaire depuis plus de 20 ans, nous a approchées pour réfléchir avec elle à son changement de nom visant à mieux refléter la diversité de son offre. La corporation est donc devenue Aclam, l’organisme qui chapeaute des programmes faisant vivre l’expression sans la pression, et qui forme une communauté de passionné.es dans les écoles secondaires du Québec.

Au passage, nous avons également revampé l’image de marque de son programme phare, Secondaire en spectacle, qui lui, garde son nom, et avons proposé une identité flambant neuve pour son programme tout aussi nouveau, Improvincial. La nouvelle architecture de marque vous sera dévoilée sous peu, mais en attendant, vous en voyez un aperçu.

L’éléphant rose dans la pièce

Nous n'aurons jamais autant visité le théâtre qu’en 2022. Pas n’importe lequel en plus, celui de notre quartier Hochelaga-Maisonneuve : le Théâtre Denise-Pelletier. On l’a parcouru de long en large, de haut en bas. On l’a même survolé à dos de drones de course. On en a eu plein la vue et on a voulu transmettre notre vision de ce joyau patrimonial et culturel. C’est ainsi qu’est né Pièces, une visite pièce par pièce du Théâtre Denise-Pelletier, qui se veut un outil de médiation culturelle et une façon de valoriser les métiers du théâtre, souvent méconnus du public.

À travers le point de vue unique de la sentinelle, l’âme du théâtre, le court métrage documentaire et expérimental offre une rare incursion dans les coulisses et les entrailles des lieux qui échappent au regard du public lors d’une représentation théâtrale. Le film est entrecoupé d’images d’archives qui retracent également la riche histoire du théâtre et son passé de cinéma de quartier dans les années 1930.

Vous dire la chance qu’on a eu de compter sur une équipe dévouée et talentueuse dans cette aventure épique!

Jouer sur tous les tableaux

Après avoir remporté un appel à projets de Desjardins, le studio de jeux Borealys s’est tourné vers nous, joueuses dans la vie, mais pas du tout «gamers», pour la direction artistique et le storytelling de la marque d’un jeu vidéo d’éducation financière pas plate. On ne peut pas en dire plus pour le moment, mais une chose est sûre, cette première incursion dans l’univers du jeu vidéo nous a donné envie de récidiver.

(ceci est une grossière maquette qui date, pour ne rien trop révéler...)

Un futur simple

Dans un futur simple, tous et toutes comprendraient l’impact des changements climatiques sur nos habitudes de vie. Mais le futur est plus complexe que ça, c’est pourquoi la coopérative de solidarité Futur simple doit continuer à informer la population sur les changements climatiques et l'inciter à passer à l’action.

Nous avons épaulé l’organisme pour son offensive de sensibilisation destinée aux jeunes sur TikTok pour ouvrir ce dialogue par la conception et la direction de création d’une offensive. Ainsi est née la Climatoréplique. L’idée consiste à reprendre, par le moyen de la mécanique TikTok «Stitch», le matériel des climatosceptiques et d’offrir la possibilité aux influenceur.ceuses de répliquer à la suite de leurs propos. En collaboration avec toute une équipe, nous avons également créé l’identité visuelle de la campagne.

Retour à la case départ

Après avoir eu l’aval d’un diffuseur et l’immense participation de Roméo & Fils pour le développement d’un pilote d’une courte série Web historique, le diffuseur a viré son capot de bord, ce qui fait que nous nous sommes retrouvées par terre, mais avec le volant entre les mains (la démo). Nous la regardons à l’occasion et imaginons une nouvelle fin. Parfois, l’imaginaire devient réalité. C’est ce que nous verrons.

Vous vous souvenez qu’en 2020, nous avions été prêter main-forte à un agriculteur et qu’un documentaire se profilait à l’horizon? Eh bien, on n’a pas réussi à obtenir le financement, comme la majorité des projets créatifs qui sont soumis aux grandes instances. Baisserons-nous nos bras d’insubordonnées? Non. Nous le monterons nous-mêmes ce documentaire, financé par nous, à coup d’heures volées à notre présent pour les redistribuer à notre avenir. Robin des Bois peut aller se rhabiller. L’or de nos jours, c’est le temps.

En attendant d’accoucher de notre film, on a aidé le réalisateur Gabriel Allard-Gagnon avec le design de l’affiche de son court métrage de fiction Sikiitu, qui a notamment remporté le Grand Prix canadien au festival international du court métrage REGARD. Le film, et non pas l’affiche, pour celles qui ne suivaient pas.

Quant à être dans la conception d’affiches, on a aussi imaginé celle de la pièce de théâtre 2h14, écrite par David Paquet et mise en scène par Robert Cadieux, pour la troupe de théâtre La Réplik.

Un toit pour toi

L’automne commençait à s’éparpiller partout autour de nous, mais les intervenants sociaux ne se laissaient pas berner par cette chaleur temporaire et se préparaient déjà à voir arriver les temps froids qui mordent ceux qui n’ont pas le confort d’un chez-soi.

Mission Old Brewery nous a appelées en renfort créatif pour essayer d’aller chercher des dons durant cette période difficile. L’idée nous est venue alors que nous étions bien calées dans notre divan à voir passer les annonces d’hôtes Airbnb et à s’imaginer dans un ailleurs plus confortable.

La campagne créée s’inspire des annonces d’entreprises proposant des séjours de courte durée, comme celles d’Airbnb. Nous avons ainsi emprunté de façon subversive les codes et le langage publicitaire de ces entreprises et les avons appliqués au monde de l’itinérance.

La page reloger.ca a été créée pour récolter les dons et les aider à soutenir toutes les opérations nécessaires pour reloger les personnes en situation d’itinérance. Pour donner, c’est par ici.

C’est plus écolo en vrac

D’autres mandats ont occupé notre temps d’humaines. On est tombées dans le terrier du lapin blanc pour créer l’univers visuel de l’importateur de vin Alice (à venir «avenir»).

On a joué avec Lg2, pour Fromages d’ici et les Rôtisseries St-Hubert et avec Réservoir, pour l’Ordre des experts-comptables de France. On a aussi épaulé l’équipe de production de l’ONF avec le contenu de leur site Web.

Nous terminons cette infolettre avec nos projets artistiques personnels que nous menons en parallèle, de façon insubordonnée, l’entreprise étant fondée pour nous permettre de le faire. Notre projet Acte de présence, dont les deux premières moutures n’avaient malheureusement pas reçu l’aval du centre d’art daredare, du Centre PHI et du Conseil des arts de Montréal, a réussi à se tailler une place à la Biennale en art visuel de Longueuil, avec une performance et une série de photos lors de l’événement Manifestation JEUS. Le projet abordait la commémoration, l’identité, l’occupation du territoire et la pertinence de commémorer les personnages du passé et de les ériger en statues pour tenter de fixer leur mémoire.

Simon continue son parcours d’artiste visuel et présentera prochainement son projet Résurrection, qui traite d’identité, de spiritualité et de nationalisme réinventé. Le projet sera exposé en mars à la galerie Les Trois C du Centre Henri-Lemieux, à Ville Lasalle, puis en mai sous forme de performance à la Place des Spectacles au cœur du centre-ville de Montréal, durant l’événement Cuisine ta ville, dirigé par l’ATSA.

Catherine rédige actuellement son premier roman sur le thème de la disparition et prévoit de le terminer d’ici la fin de l’année.

Le projet Maison Magloire (projet fantôme), qui explore les traces réelles d’un fantôme inspiré de la légende de la maison hantée de Trois-Pistoles, sortira à l’été 2023. Il a reçu le financement de la MRC des Basques et de la municipalité de Notre-Dame-des-Neiges.

Le mot de la fin appartient à Martin Ouellet qui nous a quittées depuis un an déjà et qui nous manque au quotidien. La mort fait chier bien plus que la vie (parfois).

Nous vous souhaitons un bon début d’année.

Insubordonnez-vous avec ou sans nous!

Simon & Catherine

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Insubordination Pour celles et ceux qui croient

Simon Beaudry et Catherine Martellini, associées insubordonnées

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Trois-Pistoles

#insubordination #art #design #pub #creation #story

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