#antoinette dans les cévennes critique
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-Regarder ((Antoinette dans les Cévennes)) film complet 2020 en francais...
Regarder film complet : https://bit.ly/331BwNr
16 septembre 2020 / 1h 35min / Comédie, Romance De Caroline Vignal Avec Laure Calamy, Benjamin Lavernhe, Olivia Côte Nationalité Français
SYNOPSIS ET DÉTAILS Le film fait partie de la Sélection Officielle Cannes 2020
Des mois qu’Antoinette attend l’été et la promesse d’une semaine en amoureux avec son amant, Vladimir. Alors quand celui-ci annule leurs vacances pour partir marcher dans les Cévennes avec sa femme et sa fille, Antoinette ne réfléchit pas longtemps : elle part sur ses traces ! Mais à son arrivée, point de Vladimir - seulement Patrick, un âne récalcitrant qui va l'accompagner dans son singulier périple…
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16 septembre 2020 / 1h 35min / Comédie, Romance De Caroline Vignal Avec Laure Calamy, Benjamin Lavernhe, Olivia Côte Nationalité Français
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Des mois qu’Antoinette attend l’été et la promesse d’une semaine en amoureux avec son amant, Vladimir. Alors quand celui-ci annule leurs vacances pour partir marcher dans les Cévennes avec sa femme et sa fille, Antoinette ne réfléchit pas longtemps : elle part sur ses traces ! Mais à son arrivée, point de Vladimir - seulement Patrick, un âne récalcitrant qui va l'accompagner dans son singulier périple…
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SAMEDI 17 OCTOBRE 2020 – (Billet 1 / 3)
Mardi dernier les 3 Billets, à leur façon, traitaient chacun des « mots », en cette fin de semaine, les nouveaux auront tous les 3 un rapport avec le « cinéma ».
Quant à Nathan, « héros » de notre troisième Billet de mardi, vous avez été très nombreux à nous faire part de vos commentaires. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il ne vous a pas laissés indifférents. Merci pour lui.
Mais revenons au cinéma, et plus précisément à « ANTOINETTE DANS LES CEVENNES », un film que nous avions vu à sa sortie, dont on vous avait dit le plus grand bien et dont nous avions envie de vous reparler aujourd’hui.
Vous trouverez ci-après des infos publiées sur le Site de « Allo Ciné », suivies d’une critique particulièrement pertinente et bien écrite pour vous donner envie de le découvrir au cas où vous ne l’ayez pas encore vu.
C’est notre recommandation de la semaine !
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Box-office France : « ANTOINETTE DANS LES CEVENNES » créé la surprise
Un mois après sa sortie, mais porté par un excellent bouche à oreille, c'est la comédie française "Antoinette dans les Cévennes" avec Laure Calamy qui s'impose à la tête du box-office France cette semaine, passant de la deuxième à la première place.
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Des mois qu’Antoinette attend l’été et la promesse d’une semaine en amoureux avec son amant, Vladimir. Alors quand celui-ci annule leurs vacances pour partir marcher dans les Cévennes avec sa femme et sa fille, Antoinette ne réfléchit pas longtemps : elle part sur ses traces ! Mais à son arrivée, point de Vladimir – seulement Patrick, un âne récalcitrant qui va l’accompagner dans son singulier périple…
Antoinette est une quarantenaire, professeure des écoles, pétulante et spontanée qui a une liaison avec Vladimir, le père d’une de ses élèves, un homme marié. Le faux départ de leurs vacances en commun la pousse à le suivre dans le chemin de Stevenson en plein cœur des Cévennes. On ne fait plus évident parcours initiatique : si Antoinette décide sur un coup de tête d’entreprendre ce voyage imprévu pour rejoindre son amant, c’est tout autre chose qui se présente. Robert Louis Stevenson, auteur notamment de « L’île au trésor » au XIXème siècle, avait entrepris ce voyage avec un âne comme seul compagnon, trouvant au bout du chemin l’amour de sa vie. La parabole paraît dès lors évidente, Antoinette doit avant tout « se » trouver sur la route.
Mais le premier être qu’elle rencontre est Patrick, l’âne gris avec lequel elle va marcher des heures durant à travers le désert cévenol, zone blanche où le téléphone portable n’est d’aucune utilité. Le lien entre l’animal et l’institutrice est celui d’une mise en abyme profonde : l’âne n’avance que quand Antoinette lui parle, se confie, notamment sur ses histoires d’amour. Échecs à répétition, itinéraire typique d’une adulte qui a beaucoup trébuché sur les chemins relationnels, se retrouvant coincée dans des couples dysfonctionnels et éphémères voués à l’échec. « Antoinette dans les Cévennes » est, on l’aura compris, avant tout une comédie. Si l’intrigue est simple et évidente, elle tient magnifiquement par son humour qui est présent dans chaque scène jusque dans l’attitude de l’âne Patrick qui souligne la tonalité des scènes.
Laure Calamy incarne une Antoinette belle de sensibilité et de fragilité, elle offre à ce rôle toute la générosité qu’on lui connait, elle est l’astre autour duquel toute l’attention est polarisée, occupant chaque plan, impulsant joie et tristesse jusque dans une scène déchirante où elle retrouve Patrick devenu entremetteur de la dernière heure.
Patrick et Antoinette sont les véhicules d’un profond message d’espoir et de joie qui revigore les cœurs endoloris. Si « l’essentiel n’est pas la destination mais bien le voyage », aphorisme que cite le film, les détails et le lâcher-prise contenu dans cette petite histoire SANS PRETENTION [ce sont les auteurs du Blog qui soulignent] sont autant de cadeaux faits au spectateur. Fort du label « Cannes 2020 », « Antoinette dans les Cévennes » est la comédie dont nous avions besoin et qui mérite le beau succès qu’elle rencontre dans les salles de cinéma.
(Source : « lebleudumiroir.fr »)
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[PROG CINÉ] Le Festival du film francophone d'Angoulême vient d’annoncer la programmation de sa prochaine édition qui aura lieu du vendredi 28 août au mercredi 2 septembre. Pas moins de douze films du label Cannes y seront projetés : ‘Antoinette dans les Cévennes’ (sortie 16/09) ‘Les Choses qu'on dit, les choses qu'on fait’ (sortie 16/09) ‘Garçon Chiffon’ (sortie 28/10) ‘Slalom’ (sortie 19/05/21) ‘Si le vent tombe’ (sortie 26/05/21) ‘Des hommes’ (sortie 02/06/21) ‘Le Discours’ (sortie 09/06/21) ‘Les 2 Alfred’ (sortie 16/06/21) ‘Médecin de nuit’ (sortie 16/06/21) ‘Seize printemps’ (sortie 16/06/21) ‘Ibrahim’ (sortie 23/06/21) ‘Un triomphe’ (sortie 01/09/21) Les quatre films français de la sélection de la Semaine de la Critique y seront également projetés : ‘La Nuée’ (sortie 16/06/21) ‘Sous le ciel d’Alice’ (sortie 30/06/21) ‘De l’or pour les chiens’ (sortie 30/06/21) ‘La Terre des hommes’ (sortie 25/08/21) Parmi les autres événements marquants, on notera notamment l’ouverture avec ‘Effacer l’historique’ de Gustave Kervern et Benoît Delépine (Ours d’argent à la Berlinale), l’avant-première du film ‘La Pièce rapportée’ d’Antonin Peretjatko ainsi celle que des deux premiers épisodes de la quatrième saison de la série ‘Dix pour cent���. Toute la programmation est à découvrir par ici : https://filmfrancophone.fr/ A noter que d’autres films seront annoncés dans les prochains jours. A&B
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SAMEDI 19 SEPTEMBRE 2020 – (Billet 1 / 3)
« ANTOINETTE DANS LES CEVENNES » (1h35)
Un film de Caroline Vignal, avec Laure Calamy, Benjamin Lavernhe, Olivia Côte…
Nouvelle règle dans les cinémas parisiens : avant il fallait porter un masque uniquement lorsqu’on se déplaçait dans le cinéma, pour aller aux toilettes par exemple… Maintenant il est aussi exigé durant toute la projection du film !
Vous connaissez notre amour du cinéma, mercredi nous avons voulu tester la nouvelle formule. Marina a parfaitement supporté la « chose » mais JM, très difficilement. Dès qu’il porte un masque, tout le gratte, le nez, les joues, la bouche, le menton… Lorsqu’il marche, ça va plus ou moins bien mais là, assis devant un écran, sans bouger, ça lui est devenu vite insupportable ! Du coup, profitant du fait que le nombre de spectateurs dans une salle de cinéma depuis la pandémie du Covid dépasse rarement la quinzaine, distanciés en plus par un siège vide de part et d’autre, il a retiré l’élastique d’une de ses oreilles et a mis la main devant sa bouche. Sur un plan sanitaire, c’est nul, il le sait mais il a pu respirer normalement sans se gratouiller en permanence le visage.
Comme il est écrit dans le règlement des salles Gaumont/Pathé qu’on peut retirer le masque lorsqu’on mange, il va demander s’il peut manger des pop-corn durant la projection et si oui, il mettra 1h30 à les grignoter (quitte même à venir ensuite avec un paquet vide et à faire semblant). Affaire à suivre…
Mais revenons à ce petit film TRES sympathique. Charmant même. Nous avons passé un bon moment et nous ne nous sommes pas ennuyés une seconde.
La critique d’un spectateur ci-dessous, publiée sur le Site Allo-Ciné, dit très bien tout ce que nous en avons pensé.
Nous lui donnons tous les deux ♥♥♥,5 et vous le conseillons. Dans le contexte actuel : sourire assez souvent, même rire à 2 ou 3 reprises… et passer 1h30 dans les Cévennes ne peut vous faire que le plus grand bien !
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« Tous les garçons s'appellent Patrick. C'est Godard qui le prétendait dans un court-métrage de ses débuts. Pour les ongulés, le prénom est moins fréquent mais c'est bien celui que porte l'âne de « Antoinette dans les Cévennes », véritable vedette masculine du film. Ce n'est que le deuxième long-métrage réalisé par Carole Vignal, après 20 ans de silence, et gageons qu'elle n'attendra pas autant de temps pour tourner à nouveau, étant donné que le succès devrait être au rendez-vous des aventures d'Antoinette avec son compagnon à quatre pattes (une sorte de comédie romantique entre les deux randonneurs qui, comme le genre l'affectionne, débute plutôt mal, d'autant plus que l'âne est un animal obstiné, c'est bien connu).
« Antoinette dans les Cévennes » repose en très grande partie sur les épaules de Laure Calamy qui démontre, mais on s'en doutait déjà, qu'elle a largement les capacités pour un premier rôle, se révélant assez irrésistible de drôlerie. Attention tout de même à ne pas en faire trop, cela peut être son péché mignon, et à ne pas non plus se Karine Viardiser, car elle semble parfois copier, involontairement, sans doute, les mêmes attitudes bougonnes devant l'adversité. Il est indéniable que le film est plaisant, joliment écrit, en ayant en tête que le voyage est plus important que la destination. Admirer la splendeur des Cévennes fait aussi partie du périple, sur les traces de Robert Stevenson. Dommage que les vacances d'été soient terminées, il est certain que le film ferait beaucoup pour le tourisme local. Quitte à rebaptiser certains quadrupèdes autochtones Patrick, Bernard, Kevin ou encore Lætitia ou Sylvie, puisque le droit d'ânesse existe, faut-il le rappeler ? »
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SAMEDI 8 OCTOBRE 2022 (Billet 2 / 5)
« L’ORIGINE DU MAL » (2h 05)
Un film de Sébastien Marnier, avec Laure Calamy, Doria Tillier, Dominique Blanc…
L’AVERTISSEMENT est écrit en toutes lettres sur le Site d’Allociné : « Des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs ». Il s’agit d’1 ou 2 scènes de relation saphique. Voilà, vous êtes prévenus… Elles ne sont pas « gratuites » et ont une importance dans l’intrigue du film mais elles ne sont pas, loin s’en faut, le sujet du film.
Vous trouverez ci-dessous la critique qui se rapproche le plus de ce qu’on a pensé de ce film. Les critiques « pro » sont très bonnes dans l’ensemble, celles des spectateurs aussi.
Marina lui a donné ❤️❤️❤️ et JM un peu plus, ❤️❤️❤️,5 sur 5, pour saluer la performance d’actrice de Laure Calamy que nous avions découverte et beaucoup aimée dans « Antoinette dans les Cévennes ».
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Sébastien Marnier livre un thriller en forme de jeu de massacre. Baroque, méchant et déroutant. Le mariage réjouissant et réussi entre Claude Chabrol et Brian De Palma.
Sébastien Marnier aime le genre, les histoires à tiroirs, les personnages grandiloquents, les demeures inquiétantes et les coups de théâtre. Alors, roublard, il déguise son goût du trop derrière une apparente mesure de rigueur. « L’ORIGINE DU MAL » s’ouvre comme un petit polar social. Une jeune ouvrière prend son courage à deux mains et finit par appeler ce père très riche qu’elle n’a pas connu, pour lui demander de l’aide. Une fois arrivée dans sa demeure isolée, la voilà proie d’une famille dysfonctionnelle où belle-mère, demi-sœur, nièce et même femme de chambre semblent observer d’un mauvais œil les largesses et le sourire du patriarche vieillissant.
Mais est-elle vraiment la proie ou une prédatrice ? Habilement, le cinéaste joue avec les codes, excite notre attention par des scènes pleines d’effets, d’indices et de mystères. À la manière d’un Chabrol, le film croque la laideur d’une bourgeoisie rance, momifiée par l’argent, où l’on pourrait à tout instant entrapercevoir le pire derrière les bonnes manières (un geste violent par-ci, une saillie antisémite par-là, un regard concupiscent…). Mais Marnier est un cinéaste d’aujourd’hui et plutôt que se contenter de déplorer le système, il l’invective par ses images, l’interroge, le détourne et joue, à la manière d’un De Palma, avec le ridicule. Twist rocambolesque, composition dégénérée (du grand Dominique Blanc !), mystère épais, tout est trop dans « L’ORIGINE DU MAL ».
Qui mieux que Laure Calamy, corps tremblant, pour incarner ce cinéma sur la crète ? Impressionnante, elle emporte avec elle toute une troupe où règne Jacques Weber, puissant en patriarche pathétique et inquiétant. Film de faussaires, jeu de dupes où l’image léchée mêle premier et deuxième degré, satire et empathie. Pour peu qu’on sache s’abandonner aux soubresauts d’un récit, qu’on aime se laisser malmener par un film méchant et mal élevé, romanesque et too much, « L’ORIGINE DU MAL » est un pur plaisir de cinéma.
(Source : « cinemateaser.com »)
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SAMEDI 1er OCTOBRE 2022 (Billet 3/3)
« MARIA REVE » (1h 33min)
Un film de Lauriane Escaffre et Yvo Muller, avec Karin Viard, Grégory Gadebois, Noée Abita…
Nous sommes allés le voir jeudi après-midi, guidés par quelques bonnes critiques (« pro » et aussi celles de spectateurs qui avaient assisté à l’avant-première du film) et n’avons pas été déçus, bien au contraire. Nous ne vous en disons volontairement pas grand-chose, juste qu’« il a un charme fou ! » (un qualificatif qu’on retrouve dans presque toutes les critiques, les bonnes du moins).
Mais pour que vous ayez quand même une idée de l’intrigue, lisez la petite critique du magazine « Première » ci-dessous puis regardez la bande-annonce. Nous lui avons donné tous les deux ❤️❤️❤️,8 cœurs sur 5 et vous le recommandons. Comme dab, esprits scrogneugneux s’abstenir…
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Césarisés pour leur court métrage « Pile Poil » en 2020, Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller passent pour la première fois au format long avec « Maria rêve », prix du public au dernier festival de Cabourg. Le duo conserve le même goût pour les personnages cherchant à faire exploser les murs d’un quotidien trop plan-plan ou plus largement d’une existence trop tracée devant eux.
Dans « Pile poil », une fille de bouchers se rêvait esthéticienne. Ici, une femme de ménage – mariée depuis 25 ans - et le gardien immuable de l’Ecole des Beaux-Arts vont vivre un coup de foudre inattendu qui va rester longtemps tu avant que les battements de ces cœurs qui se croyaient plongés pour toujours dans une sieste profonde ne leur ouvrent des perspectives inédites. Sorte de rencontre entre « Je ne suis pas là pour être aimé » et « Antoinette dans les Cévennes » (que nous avions BEAUCOUP aimé – NDLR du Blog), « Maria rêve » possède un charme fou. Celui d’une comédie romantique qui n’a pas peur des grands sentiments et qui, à l’inverse de tant d’autres, ne se sert pas de l’art moderne – au centre du récit – comme d’une usine à vannes faciles.
Le tout avec une douceur jamais mièvre, à l’image de l’interprétation de ses deux comédiens principaux. Karin Viard qu’on n’avait pas vu fendre à ce point l’armure depuis longtemps. Et Gregory Gadebois qui, comme toujours sans en avoir l’air, vous bouleverse d’un regard, d’un sourire, d’un déhanché à la Elvis que son personnage apprend via des tutos sur Internet. Il n’est pas un des plus grands acteurs français d’aujourd’hui par hasard. Il joue d’abord et avant tout avec les autres. Et sa générosité épouse celle du film. Karine Viard y est excellente, comme toujours.
(Source : « premiere.fr »)
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SAMEDI 26 SEPTEMBRE 2020 – (Billet 1 / 4)
« LES APPARENCES » (1h50)
Un film de Marc Fitoussi, avec Karin Viard, Benjamin Biolay, Lucas Englander…
Nous sommes allés le voir en milieu d’après-midi, mercredi, le jour de sa sortie. La salle était davantage remplie que d’habitude, ça nous a fait plaisir. Tout le monde portait son masque (JM a dû garder le sien de bout en bout).
Nous n’avons pas trouvé dans les critiques dites « professionnelles » celle qui correspondait le mieux à ce que nous en avons pensé, du coup c’est l’avis d’un spectateur que nous avons choisi. D’ailleurs, sur le Site « Allo Ciné », nous nous fions maintenant de plus en plus à l’ensemble des avis des spectateurs plutôt qu’à ceux, « spécialisés », des journaux et magazines. Les spectateurs ont un avantage sur les premiers, c’est qu’eux, ils payent leur place !
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«��Eve Monlibert (Karin Viard), la quarantaine bien entamée, est une femme heureuse. Elle vit à Vienne, en Autriche, avec son mari, célèbre chef d’orchestre (Benjamin Biolay). Le couple a remédié à son manque d’enfant en adoptant un petit Guatémaltèque baptisé Malo. Entre réceptions, cocktails, dîners mondains, Eve et Henri mènent la vie luxueuse d’un couple d’expatriés. Ce bel ordonnancement est malheureusement rompu par la découverte de la relation adultère qu’entretient Henri avec Tina, la maîtresse d’école du petit Malo. Eve est prête à tout pour sauver son mariage. "Les Apparences" va, à n’en pas douter, remporter un grand succès, public et critique, et ramener, espérons-le, sur le chemin des salles un public qui les boude. Il met en scène un duo d’acteurs populaires qui attirera les spectateurs. Il décrit un milieu original et rarement filmé : celui de la communauté des Français expatriés dans une capitale étrangère. Il raconte enfin une histoire à rebondissements qui tiendra en haleine le spectateur jusqu’à son dénouement final.
Pour autant, malgré ses qualités incontestables, il n'est pas interdit d'essayer d'imaginer ce qu'un Chabrol aurait pu tirer du sujet et surtout des situations de « Les apparences ». Sans doute aurait-il ajouté de la méchanceté et de la causticité, en particulier pour évoquer la merveilleuse vie des expatriés, avec leurs mondanités, leur existence en vase clos et leurs bonnes œuvres. Il y a de l'ironie dans le film de Marc Fitoussi mais relativement inoffensive et elle ne fâchera strictement personne, pas même ceux qui pourraient s'y reconnaître, à Vienne ou ailleurs. On trouve aussi dans « Les apparences » la chronique d'un couple qui bat de l'aile mais qui se retrouve uni quand cela est nécessaire. Les petites histoires qu'il traverse sont assez classiques (même si leur résolution ne l'est pas) et on finit par les regarder d'un œil distrait tellement la mise en scène manque de nerf. Le film se termine en outre d'une façon un peu étrange, faute d'avoir pu s'offrir un dénouement original. Karin Viard domine sans forcer l'ensemble de l'interprétation, dans une veine "vacharde" qu'on lui connait bien mais elle a le chic et le talent de savoir se renouveler dans son jeu sans tomber dans la caricature. Benjamin Biolay, lui, s’il est tout à fait crédible en chef d’orchestre, livre une prestation neutre et c'est plutôt un euphémisme. On aime ou on n’aime pas. »
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Après avoir vu la bande-annonce, nous nous attendions à mieux, à beaucoup mieux. La faute en incombe principalement au metteur en scène et au scénariste. Le film est tourné comme un téléfilm de fin d’année. Des moyens dans la production… mais « plan-plan » !
Comme nous sommes amoureux de Karin Viard - elle est parfaite comme d’habitude, on ne s’ennuie pas, et les rebondissements sont là. Nous aurions juste voulu que le film soit plus « nerveux » pour en être tout à fait satisfaits. Un défaut de musique aussi…
Mais ne crachons pas dans la soupe, dans les temps de disette que nous traversons, il n’est pas pire qu’un autre (mais nous lui avons préféré de loin « Antoinette dans les Cévennes »).
Nous ne le recommanderons qu’aux indulgents et aux inconditionnels de Karin Viard, et lui avons donné tous les deux ♥♥♥.
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[LABEL CANNES 2020] La sélection des 56 films recevant le label du Festival de Cannes a été annoncée. La Quinzaine des Réalisateurs et la Semaine de la Critique ont également annoncé leur sélection respective. LABEL CANNES Films datés : 14/07 : ‘Eté 85’ de François Ozon 16/09 : ‘Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait’ d’Emmanuel Mouret ‘Antoinette dans les Cévennes’ de Caroline Vignal 30/09 : ‘Josep’ d’Aurel 14/10 : ‘Drunk’ de Thomas Vinterberg 21/10 : ‘Last Words’ de Jonathan Nossiter ‘Peninsula’ de Sang-Ho Yeon 28/10 : ‘Garçon chiffon’ de Nicolas Maury ‘ADN’ de Maïwenn 22/11 : ‘Mangrove’ de Steve McQueen (Apple TV) 29/11 : ‘Lovers Rock’ de Steve McQueen (Apple TV) 25/12 : ‘Soul’ de Pete Docter (Disney+) 19/05/21 : ‘Slalom’ de Charlène Favier ‘Falling’ de Viggo Mortensen 26/05/21 : ‘Si le vent tombe’ de Nora Martirosyan 02/06/21 : ‘Des Hommes’ de Lucas Belvaux 09/06/21 : ‘Le Discours’ de Laurent Tirard ‘L’Oubli que nous serons’ de Fernando Trueba ‘Vaurien’ de Peter Dourountzis 16/06/21 : ‘Les 2 Alfred’ de Bruno Podalydès ‘Médecin de nuit’ d’Elie Wajeman ‘Seize Printemps’ de Suzanne Lindon 23/06/21 : ‘Gagarine’ de Fanny Liatard et Jérémy Trouilh ‘Ibrahim’ de Samir Guesmi 30/06/21 : ‘Teddy’ de Ludovic et Zoran Boukhema ‘Février’ de Kamen Kalev 07/01/21 : ‘Ammonite’ de Francis Lee (Canal+) 21/07/21 : ‘Nadia, Butterfly’ de Pascal Plante ‘Chasseurs de truffes’ de Michael Dweck et Gregory Kershaw 28/07/21 : ‘True Mothers’ de Naomi Kawase 04/08/21 : ‘La Mort du cinéma et de mon père aussi’ de Dani Rosenberg 11/08/21 : ‘Passion simple’ de Danielle Arbid ‘Rouge’ de Farid Bentoumi 01/09/21 : ‘Un triomphe’ d’Emmanuel Courcol 08/09/21 : ‘9 jours à Raqqa’ de Xavier de Lauzanne 15/09/21 : ‘L’Origine du monde’ de Vincent Lafitte 29/09/21 : ‘En route pour le milliard’ de Dieudo Hamadi 20/10/21 : ‘Pleasure’ de Ninja Thyberg 27/10/21 : ‘The French Dispatch’ de Wes Anderson 10/11/21 : ‘A Good Man’ de Marie-Castille Mention-Schaar 18/11/21 : ‘Aya et la sorcière’ de Goro Miyazaki (Netflix) 24/11/21 : ‘Au crépuscule’ de Sharunas Bartas 01/12/21 : ‘Au commencement’ de Dea Kulumbegashvili 22/12/21 : ‘My Kid’ de Nir Bergman 13/04/22 : ‘Le Dernier Piano’ de Jimmy Keyrouz 04/05/22 : ‘Limbo’ de Ben Sharrock 11/05/22 : ‘Suis-moi, je te fuis’ de Kôji Fukada 18/05/22 : ‘Fuis-moi, je te suis’ de Kôji Fukada 15/06/22 : ‘Sweat’ de Magnus Von Horn 31/08/22 : ‘Flee’ de Jonas Poher Rasmussen ‘Memory House’ de João Paulo Miranda Maria 07/04/22 : ‘Le Monde de John’ de Pascual Sisto (VOD) 10/10/22 : ‘Enfant terrible’ d’Oskar Roehler (Arte) Films non datés : ‘Septet: The Story of Hong Kong’ d’Ann Heu, Sammo Kam-Bo Hung, Ringo Lam, Patrick Tam, Johnnie To, Hark Tsui, John Woo, Woo-Ping Yuen ‘Heaven: To the Land of Happiness’ d’Im Sang-soo ‘Courir au gré du vent’ de Wei Shujun ‘Souad’ d'Ayten Amin QUINZAINE DES RÉALISATEURS 14/09 : ‘We Are Who We Are’ de Luca Guadagnino (série diffusée sur HBO) 30/09 : ‘Kajillionaire’ de Miranda July ‘Un pays qui se tient sage’ de David Dufresne SEMAINE DE LA CRITIQUE 16/06/21 : ‘La Nuée’ de Just Philippot 30/06/21 : ‘Sous le ciel d’Alice’ de Chloé Mazio ‘De l’or pour les chiens’ d’Anna Cazenave Cambet 25/08/21 : ‘La Terre des hommes’ de Noël Marandin 29/09/21 : ‘After Love’ d’Aleem Khan A&B
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