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My coffee has never tasted so good or been so fashionable. I’m also taking the pin set off the lapel! Did you hear me? #drawbertson#themetstore#metstore#fashion#mugs#pins#anewapproach#earrings#coffeecups#callmecrazy https://www.instagram.com/p/CHricdiAHaM/?igshid=1g2qz4781g93r
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A new approach (Elsa x Sam) Complete
Après sa discussion avec Ashley Stevens, Elsa décide de s'attaquer à une autre cible. Un homme. En l'occurrence, Sam Richards. Une rencontre au final beaucoup plus intéressante que prévue...
Après cette discussion exclusivement féminine à bâtons rompus, Elsa voulait nouer contact avec quelqu’un d’autre, mais de façon plus simple pour elle. En effet, cette conversation avec Ashley lui avait demandé une intense concentration et toutes ses facultés pour ne pas céder un pouce de terrain à la journaliste.
Il lui fallait donc une discussion oĂą elle tiendrait les rĂŞnes. Et quoi de mieux qu’une petite sĂ©ance de sĂ©duction pour collecter des informations Ă l’insu de l’interrogĂ©?Â
Elle se rapprocha du buffet qui ne désemplissait pas malgré l’heure qui ne cessait d’avancer. Le Généreux avait du veiller à ce que la quantité de nourriture préparée soit plus que conséquente. Car si Elsa avait compris une chose au sujet de cette réception, c’était que la nourriture et l’alcool étaient ingurgités aussi vite que s’il s’agissait de leur premier repas depuis cinq semaines.
Elle resta donc au buffet, accoudĂ©e de façon apparemment nonchalante au mur situĂ© non loin. Et elle observa, notant mentalement ce qu’elle pouvait apprendre de chacune des personnes. Oh pas des dĂ©tails insignifiants, comme le nombre de petits fours avalĂ©s ou le nombre de coupes de champagnes descendues, mais elle enregistrait la gestuelle des invitĂ©s, notant partout ou presque - il y avait toujours des exceptions - une nervositĂ© palpable. Elsa Ă©tait certaine que si Mr Lived apparaissait, ou mĂŞme si seulement Hodgkin faisait un discours, un soupir de soulagement gĂ©nĂ©ral se ferait entendre.Â
Elsa ne bougea pas, cherchant des yeux l’homme qui correspondrait le plus Ă ses critères de recherche actuels. Elle finit par le trouver. Il Ă©tait Ă moins de vingt mètres d’elle, semblant ĂŞtre lĂ©gèrement ailleurs. Parfait. C’était le moment d’attaquer, pendant qu’il n’avait pas encore tous ses esprits.Â
Elle attrapa deux coupes de champagnes et s’approcha discrètement du jeune homme. Elle toussota comme pour lui demander de se dĂ©caler et attendit qu’il se tourne vers elle.Â
- Oh excusez-moi, mais je voulais accĂ©der aux petits fours au flĂ©tan. Il sont absolument dĂ©licieux vous ne trouvez pas? Elle lui offrit un très large sourire. Non je plaisante, ils n’ont strictement aucun goĂ»t. Mais je vous ai vu tout seul et je me suis dit que nous pourrions faire connaissance tous les deux. Vous trinquez avec moi?Â
Elle vit les yeux du jeune homme pétiller et son sourire s’élargit encore - A la vôtre! Elle tendit sa main gauche. Enchantée! Elsa. Je suis au numéro 200, au vingtième étage quoi, ajouta-t-elle avec un petit rire faussement joyeux.
Sam était arrivé assez tôt à la soirée des nouveaux locataires. Il avait voulu prendre ses marques avant que la plupart des gens arrivent; Et puis ça lui permettait d’observer un à un les locataires qui arrivaient chacun à leur tour.
Le festin était grandiose et la salle sensationnelle. Il n’avait jamais vu une salle de réception aussi grande, aussi haute et aussi luxueuse que celle ci. Des serveurs en trois pièces parcouraient la salle, remplissant les mains des invites dans leur coupe était vide ou leur assiettes terminé.
ça faisait deux heure et Sam en était toujours à sa première coupe. Il buvait très lentement, comme si c’était un terrible effort pour lui, et ça n’en était pas loin, alors il mouillait ses lèvres de temps en temps pour montrer qu’il savait s’amuser lui aussi.
Il avait finit par abandonner sa coupe sur une des tables et s’attaquait plutôt à la nourriture, qui semblait fade et trop petite, insatisfaisante. Il rêvait de manger une bonne grosse pizza, la tout de suite, mais il n’était pas sur que ça ferait un bon genre.
Au bout d’un moment, une jolie jeune femme blonde se dirigea droit vers lui, avec un énorme sourire au visage et il se dit que sa soirée pouvait alors carrément s’améliorer.
Il rit légèrement au discours de la jeune femme et lui répondit.
- Je dois dire que je suis assez d’accord, je rêve d’une nourriture plus nutritive. Plus consistante surtout.
Il tendit ensuite sa main vers la coupe que la jeune femme lui tendait et tenta de maitriser son expression faciale. Il souleva légèrement sa coupe en l’air et en but une gorgée.
- Et moi c’est Sam, 3ème étage. Privilégié pour avoir tout un étage rien que pour moi.
Il rit légèrement et retrempa ses lèvres dans sa coupe et attendit que la belle Elsa lui réponde
Elsa sentait que la partie allait se jouer selon ses règles. Elle n’avait pas vu une once de mĂ©fiance dans ce regard clair et après tout fort sympathique. Mais elle devait rester sur ses gardes, et peser le moindre de ses mots. Comme d’habitude en somme.Â
- Je suis assez d’accord avec vous. Ou du moins, de la vraie bonne nourriture serait apprĂ©ciable. Malheureusement, je crois que des parts de pizzas entreposĂ©es au milieu de tous ces petits fours feraient tâches aux yeux de Mr Lived et de tout ces gens si proprets, vous ne pensez pas?Â
Trop facile, cela s’annonçait trop facile. Le sourire que lui adressait le jeune homme était trop franc pour être honnête. Il cachait forcément quelque chose. Elsa s’obligea donc à redoubler de prudence dans le choix de ses phrases.
Elle se demanda ce qu’elle pourrait faire pour s’assurer de la docilitĂ© du jeune homme lorsqu’un dĂ©tail vint la frapper en plein visage. Vu comment il buvait sa coupe de champagne, celui avec lequel elle discutait n’étai manifestement pas portĂ© sur l’alcool. Elle lui posa une main sur le bras d’une manière rĂ©confortante.Â
- Vous savez, si vous n’aimez pas le champagne, il ne faut pas vous forcer. Les cocktails aux fruits sont parfaitement buvables. D’ailleurs, ajouta-t-elle en échangeant sa coupe contre un verre à cocktail,c’est même une très bonne idée. Mieux vaut rester sobre dans des soirées comme celles-ci…
Elle vit qu’elle avait tapé dans le mille, et put voir le soulagement du jeune homme. Un point pour elle, se nota-t-elle intérieurement. Elle offrit son plus beau sourire à la pointe d’humour que venait de faire le jeune homme, présenté sous le nom de Sam.
- Vous en avez de la chance. Vous ĂŞtes au troisième? Oh vous ne devez pas bĂ©nĂ©ficier d’une vue exceptionnelle si bas, dit-elle, compatissante.Â
Pour la première fois de cette discussion, son ton s’était rĂ©vĂ©lĂ© honnĂŞte. En effet la jeune femme avait toujours apprĂ©ciĂ© avoir de la hauteur sur les choses, et ĂŞtre situĂ©e au vingtième Ă©tage se rĂ©vĂ©lait ĂŞtre parfait pour elle. Mais le troisième… Elle plaignait sincèrement le pauvre homme.Â
Elle sirota son cocktail en attendant la réponse qui ne se fit pas tarder.
Sam maitrisa son expression quand Elsa formula sa pensée au niveau des pizzas. Il était étonné de voir qu’elle aussi semblait vouloir profiter de nourriture de la basse population
- Des pizzas en petits fours, voilà la solution. On met la même chose, mais en petite quantité et en joli. Comme ça, c’est comme si on mangeait un très grand met quand en fait on mange de la mal bouffe.
Il lui adressa un grand sourire, ravi de voir qu’il avait déjà un point commun avec un locataire, il avait peur de se retrouver en marge, le jeune Sam Richards, luttant pour survivre avec deux jobs et ses études en plus.
Il perdit un peu de son sourire quand elle remarqua qu’il ne buvait pas. Il ne voulait pas qu’on le remarque, la seule chose qu’il espérait, était s’en sortir sans passer pour un coincé qui boit du jus d’orange ou un mec qui ne boit pas du tout de peur de toucher à quoi que ce soit.
Mais il était soulagé de ne pas avoir fait semblant, il adressa un sourire reconnaissant à la jeune femme. Grâce à elle, ils seraient au moins deux à boire des cocktails sans alcool, et c’était toujours mieux qu’un.
- Oh, c’est sans doute grâce à vos charmes qu’on a vous a donné le 20è étage. Et si vous avez des aptitudes particulières en plus, je comprend mieux pourquoi je n’hérites que du 3ème.
Il lui adressa un clin d’œil en espérant qu’elle ne le prenne pas pour un macho qui se base sur les apparences, car c’était loin d’être son genre, et se mis à siroter son cocktail en la regardant;
Elsa rit gentiment de l’idée du jeune homme. Il était si naturel qu’elle en était troublée. Comment faisait-il pour ne pas avoir peur d’être entendu ou vu par Mr Lived ou ce corbeau de Miss Hodgkin. A moins qu’il n’ait pas encore visité son appartement, ou pas reçu son… cadeau.
Elle embraya malgré tout sur le sujet, ne voulant pas paraître impolie aux yeux de Sam. - Certes, mais il y aurait toujours le problème de la quantité. Imaginez-le, il faudrait engloutir un nombre impressionnants de ces petits fours, ce qui nous ferait passer pour des morfales, et croyez-le, ça ternirait mon image.
Elle rit brièvement, consciente qu’elle brisait petit Ă petit la glace avec son interlocuteur et que mĂŞme sil elle marchait sur des oeufs pour le moment, elle menait la danse.Â
Elsa put voir l’inquiĂ©tude puis le soulagement se peindre sur le visage du jeune homme alors qu’il laissait tomber son champagne pour un cocktail sans alcool. Elle ne put s’empĂŞcher de noter mentalement que Sam voulait apparemment paraĂ®tre comme quelqu’un de totalement ordinaire, capable de boire, alors que ce n’était pas le cas. Surprenant, se dit-elle. Mais après tout, dans cette soirĂ©e pleine de faux-semblants, elle ne pouvait l’en blâmer.Â
Il lui parla de la façon dont elle avait pu obtenir son appartement. Elle eut un rire moqueur, rire qu’elle tenta de dissimuler sans réellement y parvenir.
- Oh je ne pense pas que ce soit grâce Ă mon physique ou quoi que ce soit d’autre. Je pense que Mr Lived a un plan dĂ©taillĂ© de nous et que s’ils nous a placĂ© lĂ oĂą nous sommes ce n’est pas pour rien. Vu le peu que j’ai vu, tout est dĂ»ment pensĂ© et rien, mĂŞme pas la couleur de la nappe, n’est laissĂ© au hasard.Â
Elle lui adressa un regard complice - Mais faites attention, vous ĂŞtes en train de me dire que vous n’avez pas de grandes habiletĂ©s. Ce n’est pas quelque chose la première fois que l’on rencontre quelqu’un normalement. Et je suis sĂ»re que c’est totalement faux.Â
Elle lui sourit et lui posa enfin la question qui lui brûlait les lèvres - Vous avez déjà intégré votre appartement vous?
Sam se détendait petit à petit à mesure qu’Elsa lui parlait, de cette manière naturelle et charmante. elle avait un rire délicat et il se sentait mieux, il se sentait moins traqué, moins anxieux et l’envie de prendre ses jambes à son cou avait disparu��: tant mieux.
- Il n’empêche que la pizza reste néanmoins meilleure, continua-t-il, et puis si ce n’est pas pour tout de suite, et montrer une version néandertalienne de nous même, on peut toujours glisser un peu de nourriture dans nos poches.
Il se mit à rire devant son commentaire bien que loin de paraître aristocrate et bourgeois comme son environnement, il donnait plutôt l’image inverse, mais pour l’instant;, il n’en avait plus rien à faire.
Il essaya de ne pas réagir au discours d’Elsa sur leur bienfaiteur, mais Sam ne pouvait s’en empêcher. Il n’était pas stupide, avant de venir ici, il avait fait des recherches, chercher à rencontrer les anciens bénéficiaires de tout ce luxe. Et Tout le monde en disait du bien, même si la physionomie de certains criaient le contraire, Sam avait voulu saisir sa chance, et maintenant il était là , alors autant s’y faire et être heureux
- Je suis sur aussi que tout est pensĂ© au millimètres près, rien qu’au voir la beautĂ© de cette pièce et le dĂ©tail impressionnants de l’architecture, on devine que ce bâtiment est le produit d’une intense rĂ©flexion et de beaucoup d’annĂ©es de travail, mais au contraire de vous, je pense que c’est un moyen pour qu’on se sente bien, en sĂ©curitĂ©, qu’on sache qu’on ne manquera jamais de rien pendant cette annĂ©e.Â
Il mentait, Ă©videment, mais il n’était pas assez proche de la jeune femme pour lui confier ses angoisses. Vallait mieux ĂŞtre discret au dĂ©but. C’est comme ça qu’il pouvait espĂ©rer survivre.Â
- Et Elsa, j’ai juste dit que vous Ă©tiez plus charmante. Car pour l’intelligence, je pense ĂŞtre Ă un très bon niveau.Â
il lui adressa un clin d’œil avant de prendre un des petits fours sur la table, il le mit en bouche et fit une grimace exagĂ©rĂ© pour appuyer les dires de la jeune femme avant de faire passer le tout avec un peu de cocktail.Â
- Je suis venu directement de chez un ami avant de venir. donc je n’ai pas eu le temps de voir l’appartement encore. Et vous ?Â
Elsa ne rĂ©pondit pas au trait d’humour de Sam sur les pizzas. Tout simplement parce qu’elle ne trouva pas cela drĂ´le. Pas du tout. Elle aurait mĂŞme Ă©tĂ© plutĂ´t gĂŞnĂ©e. Mais elle prit sur elle et sourit au jeune homme, accompagnant ce sourire d’un regard agrĂ©able.Â
Elle Ă©couta Sam expliquer comment il voyait l’obsession apparente du GĂ©nĂ©reux pour la perfection et ce souci du dĂ©tail. Elle aurait Ă©tĂ© tentĂ©e de le croire, si deux dĂ©tails ne l’empĂŞchaient pas de le faire. Premièrement, elle avait reçu le cadeau de Lived, et elle avait bien compris qu’elle n’était pas en sĂ©curitĂ©. Loin de lĂ . Deuxièmement, l’éclat dans les pupilles de Sam montrait Ă quel point elle ne croyait pas ce qu’il disait.Â
Elle fit comme si elle n’avait pas décelé le mensonge et cru aux propos de Sam. Elle s’éclaircit la gorge avant de répondre, signe inconscient qu’elle ne croyait pas du tout le jeune homme.
- Peut-être que je suis simplement méfiante… Mais bon, j’ai tout de même du quitter mon poste auprès du ministre des Finances à cause de ce logement… Cela veut bien dire à quel point Mr Lived est puissant.
Sam reprit ensuite Elsa sur ses habiletés, et son intelligence. Elle retrouva bien là le genre de personnes qu’elle s’était attendue à rencontrer. Et cela ne la dérangeait pas le moins du monde. Au contraire, quelqu’un de trop lisse était inintéressant, et on ne pouvait rien en tirer, hors c’était principalement l’objectif d’Elsa, ce soir..
- Je préfère entendre quelque chose comme ça. Ça sonne mieux à mes oreilles. Je ne parle qu’aux individus intéressants, et j’aurai été déçue d’avoir eu une mauvaise impression sur vous
Elle but une longue gorgée de son cocktail avant de répondre à la question de Sam. Ainsi lui n’était pas encore rentré. Décidément, elle ne pourrait pas savoir si elle était la seule à qui Lived lui avait joué ce sale tour… Elle attendit avant de répondre.
- Oui, je suis arrivĂ©e en fin de matinĂ©e. L’appartement est juste sublime, et il correspond Ă absolument tous mes besoins. Quand je vous dis que Mr Lived a un don pour la prĂ©cision. Et pourtant, je ne lui ai rien demandĂ© de particulier. Je ne lui ai mĂŞme jamais rien demandé…Â
Elle laissa sa phrase en suspens, attendant que Sam décide d’enchaîner à son tour.
Sam se positionna un peu plus vers Elsa et comprit parfaitement ses inquiétudes et sa méfiance. Après tout, ils étaient sans doute tous dans le même état.
Monsieur Lived était tellement connu ! Admiré et craint par tellement de monde qu’il était plus qu’intelligent de penser que c’était parce qu’il avait le bras long, très très long. D’une importance que sans doute aucun de ses nouveaux locataires pouvaient imaginer.
- Qui vivra verra n’est ce pas ? Lui dit-il posément, pour l’instant j’essaie de profiter, les désagréments arriveront surement très vite, finit-il par souffler presque à demi mots.
il jeta un coup d’œil au reste de la salle et vit plusieurs petit groupes de formés, et la plupart semblaient bien profiter de cette réception de bienvenue.
Mais est ce qu’il profitaient vraiment ? Ou faisaient-ils tous juste aussi semblant que lui ?
Il fut tirer de ses tristes pensées par le discours d’Elsa sur ses possibles aptitudes et se mit à rire.
- Qui sait ? Je pourrais peut-être même vous surprendre Madame Harrow
Et lui fit ensuite un clin d’œil des plus ringards avant de boire la fin de son cocktail.
- Croyez vous que chaque appartement ait été conçu de manière à satisfaire chacun de nous individuellement ? Dans ce cas, je suis pressé de voir ma patinoire privée, et ma salle de concert !
Il sourit largement à Elsa et allait embrayer quand son téléphone sonna dans sa poche de costume.
- Oh veuillez m’excusez.
Il jeta un rapide coup d’œil au nom affiché et sa main se contracta légèrement.
- Je suis désolé, il va falloir que je prenne cet appel, mais c’était un vrai plaisir de vous rencontrer Elsa, au plaisir de vous recroiser dans les couloirs.
Il se dépêcha ensuite de quitter le bâtiment pour prendre son appel. Loin du bruit. Loin des oreilles indiscrètes.
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