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#andrewadamson
stellina-4ever · 5 years
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Reunion ❤❤❤
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spacerangerprince · 3 years
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Shrek 💚 • • • • • • #timehop #abethedino #andrewadamson #vickyjenson #dreamworkspictures #dreamworksanimation #mikemyers #eddiemurphy #camerondiaz #johnlithgow #shrek #computeranimated #comedyfilm (at Glendale, California) https://www.instagram.com/p/CPCkD75r6MS/?utm_medium=tumblr
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ieatmovies · 6 years
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SHREK 2 (2004) L’ogre des marais revient, lui qui avait su à la fois se moquer de DISNEY et de ses codes neuneus, et se forger sa propre identité à travers ce foisonnement de productions animées en CGI “tout public”: c’était il y a quinze ans que le second souffle de la licence de fantasy parodique se devait de donner suite au premier et très sympathique opus. On retrouve à la réalisation l’équipe d’origine, à savoir Andrew Adamson cette fois entouré e deux compères pour mener à bien ce second film: qu’est-ce que SHREK 2 peut apporter à SHREK (2001), ambassadeur de la parodie de conte de fées? Malgré sa synchro labiale vieillissante, l’animation de SHREK 2 est forcément plus belle que celle de son aîné, et même si le temps passé se ressent, on note quelques jolies prouesses visuelles, notamment en ce qui concerne le Chat Potté -Puss In Boots en V.O.-, doublé de surcroît par un Antonio Banderas au taquet: quant à l’histoire, on remarque que le scénario tourne au prétexte, pour enchaîner reprises de Ricky Martin et autres tubes pop de l’époque, ainsi que de sur-exagérer la parodie, au point de ressembler beaucoup au matériau visé. Et c’est dommage, car le “noyau” des protagonistes de SHREK est toujours aussi bon: tous les nouveaux personnages sont hélas la cible d’un amusement programmé, prisme qui efface le cœur de la saga. Toutefois, SHREK 2 n’est pas un ratage pour autant: l’appréciable développement de la condition de “monstre” de l’ogre vert et de ses déviances -devenir humain par amour pour sa belle... ou pas?- est un excellent moyen d’étoffer la comédie avec un ton plus sérieux en arrière-plan. Ce volet nous amène donc dans le royaume de Far Far Away -un Hollywood version médiéval-fatastique-, où Shrek et sa femme Fiona sont conviés par les parents de cette dernière, non informés du changement physique de leur fille: étant pourtant le prince sauveur de la princesse -SHREK-, SHREK 2 s’attaque aux machinations autour de la couronne, tandis que l’ogre traverse un passage à vide, en froid avec sa belle, et prêt à trouver un moyen de se faire accepter quoi qu’il en coûte. SHREK 2 est l’archétype de la suite “suffisante”, entre le recyclage et une nouveauté sans grande prise de risque: érodée, la franchise prend un tournant presque romantique -même si décalée-, parfois sérieuse -les versions embellies de Shrek et de l’Âne, au rendu efficace- mais pas assez pour se démarquer comme à ses débuts. Alors oui, Mike Myers et les autres assurent leur part de doublage, tout comme les gags plus ou moins bons qui tentent de nous décrocher un sourire: SHREK 2 a en son temps explosé le box-office, et demeure aujourd’hui encore un des plus gros succès de tous les temps. Une surhype certaine lorsqu’on visionne SHREK 2 en 2019, forte d’un Chat Potté taillé pour plaire à tous -malgré un manque absolu de background- et d’une attente évidente de la part d’un public fédéré par SHREK: l’ogre s’est assagi, et la saveur de ses aventures est souvent insipide... Il ne faut pas non plus évincer SHREK 2, car les deux films qui suivront s’engouffreront dans un excès dont nous reparlerons très prochainement: allez, on se tape l’intégrale avant la sortie du 5? Hmmm, on verra, hein. Souffrant du syndrome du “le 1 était mieux”, SHREK 2 se laisse regarder, jouant perpétuellement sur l’empathie du premier épisode: un coup de vieux, qui recale l’ogre vert dans la catégorie faiblarde de la “soft-fantasy”. Et non, on n’abordera pas les placements produits certes subtils mais bien réels, car on maintient que Versace, Starbucks ou encore Burger King n’ont RIEN A FAIRE là-dedans... GET OUT OF MY SHREK /20
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jamest541975 · 3 years
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I'm about to watch SHREK 2. #shrek2 #shrek #pussinboots #princessfiona #fairygodmother #donkey #princecharming #queenlillian #kingharold #gingerbreadman #bigbadwolf #pinocchio #joanrivers #magicmirror #captainhook #mikemyers #antniobanderas #camerondiaz #jennifersaunders #eddiemurphy #ruperteverett #julieandrews #johncleese #conradvernon #andrewadamson #kellyasbury #aronwarner #codycameron #larryking #christopherknights https://www.instagram.com/p/CQ4MZf3MXxo/?utm_medium=tumblr
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ieatmovies · 6 years
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SHREK (2001) Générateur infini de memes, SHREK est avant tout un film produit par Dreamworks Animation, une des filiales de la boîte de production Dreamworks SKG de Spielberg -studio qui avait entre autres signé AMISTAD (1997) et GLADIATOR (2000)-: succès international et critique, cette parodie en images de synthèse des contes de fées du réalisateur Andrew Adamson. Rejoint par l’animatrice Vicky Jenson, l’homme a plus tard réalisé la suite de SHREK, SHREK 2 (2004) ainsi que les deux premiers longs-métrages NARNIA (2005-2008): ayant acquis une certaine réputation avec son travail sur les effets visuels de l’adaptation live-action du jeu vidéo éponyme DOUBLE DRAGON (1984) après son entrée chez Dreamworks en 1991, Adamson collabore ici avec la future “mère” de l’inégal GANG DE REQUINS (2004) -ou SHARK TALE en V.O.- pour le résultat que l’on connaît. Déviant de par sa forme qui va à l’encontre de la formule gnan-gnan typique des gros succès DISNEY, SHREK met en scène l’ogre verdâtre bedonnant et moche qui incarne l’anti-héros parfait pour ce genre de film: nihiliste, misanthrope et sale, cet individu solitaire vivant heureux dans son marais n’a que faire des chansonnettes et autres problèmes du “monde extérieur”, car satisfait de son train de vie d’ermite “différent”. Loin du prince charmant habituel, Shrek fait des bougies avec ses bouchons de cérumen fraîchement retirés, pète dans son bain de boue: créant une certaine empathie de par sa cool-attitude opposée aux standards stupides de la “normalisation” inhérente au mode de pensée humain, force est de constater qu’on le préfère à tous les bellâtres mince et imberbes que l’on a pu croiser par le passé sur les écrans. En accord avec sa thématique pastichant les acquis, Shrek est laid et gras, mais va devoir sortir de sa zone de confort marécageuse, suite à l’irruption d’insupportables protagonistes pour la plupart issus des fables des frères Grimm: fuyant les foudres du dictateur local, Lord Farquaad de Duloc -une sorte de Nicolas Sarkozy ridicule écœuré par les créatures magiques-, ces êtres vont rapidement l’énerver. Insupportables de par leurs gimmicks/patterns invasifs, Shrek ne va avoir qu’une option pour chasser les indésirables squatters de son domaine: rendre visite à Farquaad pour réclamer réparation. Mais voilà, SHREK nous a déjà montré le quotidien de l’ogre, qui entre deux vautrages dans la crasse, effraie le peu d’humains armés de fouches et de torches, et part dans la direction de la Quête pure et simple, ici motivée pour d’autres raisons que “sauver la jolie princesse”: non pas que le film écarte cette étape, mais la traite -encore une fois autrement-. Shrek fait un compromis avec le Seigneur de petite taille, et part accompagné par l’Âne parlant du conte “Le Petit Âne” -si l’on en déduit son âge et sa condition tels qu’ils sont présentés dans SHREK- délivrer la princesse Fiona -inédite-. Si l’ogre délivre la belle et la lui livre, Farquaad pourra prétendre à la couronne et donc au trône: promettant à Shrek de déloger Pinocchio, Les Sept Nains, et compagnie s’il revient victorieux, Farquaad laisse partir l’improbable duo vers la tour où la princesse est enfermée, gardée par un dragon. Si SHREK a tant marqué les esprits, c’est bien sûr par sa démarche et son humour, sans zone d’âge; l’exemple le plus limpide est certainement cette punchline lâchée par l’Âne, lorsque ce dernier et Shrek se rendent pour la première fois devant l’immense château de Farquaad, je cite “Tu penses que Farquaad cherche a quelque chose à compenser, comme sa petite taille?” avant de se marrer bêtement: une lecture à double sens, se référant au presque nanisme du Lord -un gag “innocent” pour les petits-, et évidemment aux proportions de ses heu, attributs intra-slip, que l’on devine équivalents à son physique -ça, c’est pour les grands-... Cassant les codes pour mieux se les approprier, SHREK écarte le baiser romantique qui réveillera Fiona, préférant qu son ogre l’embarque comme un sac afin de fuir la tour, ou encore que la love-storry annexe du sidekick soit une impossible amourette dragonne/âne: ces différences notables font toute la force du film, qui parfois s’égare un peu -la parodie de MATRIX (1999) quand la princesse met une raclée à Robin Des Bois et ses compères, ou Shrek qui abat un arbre pour traverser une rivière réduite à un ruisseau quelques mètres plus loin...- mais demeure largement pardonnable. Car malgré son âge, SHREK a vieilli mais reste parfaitement regardable, ce qui n’est pas le cas de tous les longs-métrages en CGI: certes, on dénote des animations “rigides” qui ressemblent plus à des animations-clé datées, mais la synchro labiale est encore belle, et on ne peut ignorer la qualité des détails apportés aux textures -la transition blu-ray met joliment en lumière les tissus, rochers, et autres effets magnifiques pour l’époque -c’était il y a 17 ans, quand même!-. Des scènes encore amusantes font mouche, à l’exemple de ce gonflage de grenouille transformée pour l’occasion en ballon, et de serpent modelé en chien que Shrek et Fiona abandonneront au ciel sans s’inquiéter du destin des deux pauvres bêtes, ou bien celle de ce concours de rôts en pleine forêt: clairement, c’est “va te faire foutre, DISNEY” sur toute la ligne, et ça fait du bien. On peut mentionner SHREK comme un film culte, sa popularité transparaissant au travers de son succès commercial: 60 millions de dollars, qui en ont rapporté presque 485 (!), et un visage toujours utilisé de nos jours pour illustrer des memes internet, et au-delà. Arrivant à la quatrième place du box-office international de l’an 2001 après HARRY POTTER AND THE PHILOSOPHER’S STONE, THE LORD OF THE RINGS - THE FELLOWSHIP OF THE RING, et MONSTERS INC., SHREK est tout simplement un classique, incontrable. Parce que -allez voir sur YouTube- “Shrek is love, Shrek is life”. GET OUT OF MY SWAMP /20
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spacerangerprince · 7 years
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In 2005, the film adaptation of C.S. Lewis’s fantasy series made its way across the pond with the debut of The Chronicles of Narnia: The Lion, the Witch and the Wardrobe. 12 years ago. (12/09/17) Posted: 12/25/17 #timehop #saturdayspecial #mondaymemories #abe #peterpevensie #williammoseley #susanpevensie #annapopplewell #edmundpevensie #skandarkeynes #lucypevensie #georgiehenley #waltdisneypictures #cslewis #andrewadamson #thechroniclesofnarniathelionthewitchandthewardrobe #british #american #highfantasyfilm #november9 #12yearsago #fall2005 (at Toronto, Ontario)
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