#ancien fleuron
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Science po, le désastre absolu
Voici donc un ancien fleuron de l’université française qui bascule en officine idéologique anti-Israël. Par Maxime Tandonnet Nous publions régulièrement des livres pour réinformer face à la caste politico-médiatique hors de nos réalités quotidiennes.Cliquez sur l’image. Science po, le désastre absolu La direction de Science po Paris a conclu un accord avec les manifestants anti-Israël qui…
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#ancien fleuron#anti-Israel#Maxime Tandonnet#Observatoire du MENSONGE#politique#Science Po#université française
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Science po, le désastre absolu
La direction de Science po Paris a conclu un accord avec les manifestants anti-Israël qui occupent et bloquent le fonctionnement de cette école depuis plusieurs semaines. Les termes de cet accord ne paraissent pas encore clairement connus : levée des sanctions, condamnation d’Israël, fin de certaines collaborations [à vérifier]… Voici donc un ancien fleuron de l’université française qui bascule…
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S'évader au cœur des plus belles bibliothèques du monde
Envie d’un voyage littéraire unique? Découvrez ces sanctuaires de culture qui vous transportent dans des univers différents. Voici un tour du monde des plus belles bibliothèques. Parce que rien n'égale le plaisir de lire dans un lieu sublime, ces sites vous offrent un écrin exceptionnel pour votre passion. Bibliothèque du Trinity College, Dublin Chargée d'histoire et de charme, cette bibliothèque renferme des trésors de la culture irlandaise. En visitant ce lieu, on se laisse envelopper par l'odeur du vieux papier et du bois, symboles de sa grandeur d'antan. Des joyaux littéraires Parcourir ses rayonnages, c'est découvrir une impressionnante collection de manuscrits anciens. Parmi eux, le célèbre "Book of Kells", précieuse relique de la culture celtique. Bibliothèque du Congrès, Washington D.C. Fleuron de la culture américaine, la Bibliothèque du Congrès abrite des millions de livres. Son dôme majestueux et ses fresques murales révèlent une élégance sans pareil. Une source inépuisable de savoir Plus qu'une simple bibliothèque, elle est un véritable puits de connaissances. On y trouve tout, des documents officiels aux enregistrements sonores historiques. Sujet connexe : Les meilleurs livres d’amour à offrir pour Noël Bibliothèque d'Alexandrie, Égypte L'une des plus belles bibliothèques de l'Antiquité renaît de ses cendres. Cette merveille d'architecture moderne est un hommage à la culture pharaonique et grecque. Un phare du savoir La nouvelle Bibliotheca Alexandrina s'impose comme un centre d'échange culturel, offrant des espaces d'exposition, des musées et un planétarium. Bibliothèque de l'Abbaye d'Admont, Autriche Immergée dans un décor somptueux, cette bibliothèque semble tout droit sortie d'un conte de fées. Avec son plafond peint et ses sculptures dorées, elle évoque le raffinement de l'époque baroque. Un trésor du patrimoine autrichien Outre ses œuvres d'art, elle renferme une collection précieuse de manuscrits médiévaux, témoins de la culture autrichienne. A lire aussi : Le patron de Snapchat annonce faire un don au Château de Versailles Bibliothèque Royale de Copenhague, Danemark Surnommée "le Diamant Noir", cette bibliothèque allie tradition et modernité. Son édifice de granit noir évoque le charme brut du Danemark, tandis que son intérieur lumineux accueille les lecteurs dans une atmosphère apaisante. La culture nordique à portée de main On y trouve une immense variété de livres, de périodiques et de documents sur la culture nordique, permettant à tout un chacun de plonger dans l'histoire et la culture danoises. Le voyage vous tente? Préparez-vous à parcourir le monde à travers ses plus belles bibliothèques. Chacune vous ouvre les portes d'un univers unique et captivant. Alors, quelle sera votre prochaine destination littéraire? Read the full article
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La vedette * L'escorteur d'escadre Maillé Brézé Musée Naval et Monument historique depuis 1991 et un des éléments majeur du patrimoine maritime à Nantes . Ancien Fleuron de la Marine Nationale , le Maillé Brézé fait partie d'une série de 18 escorteurs d'escadre, type Surcouf, construits dans les années 1950. D’une longueur de 132,65 mètres, pour une largeur de 12,70 mètres et un tirant d’eau de 5,80 mètres, son déplacement à pleine charge était de 3 900 tonnes. * un des navires du film Dunkerque de Christopher Nolan 2017 9 mars 2023 Dominique Dubois #bateau#nantes#nantesmaville#nantespassion#nantescity#loireatlantique#loireatlantiquetourisme #igersnantes#nantestourisme #cinema#christophernolan #dunkerque #noiretblanc#noiretblancphotographie https://www.instagram.com/p/CpuUzoPt9W_/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Le Brésil va couler le porte-avions Foch dans l'océan, un "crime environnemental" selon des ONG
Publié le : 02/02/2023 – 21:13 Le porte-avions Foch, ancien fleuron de la marine française passé sous pavillon brésilien en 2000, va être coulé dans l’Atlantique en raison de son état de délabrement avancé, a annoncé une source militaire mercredi. Des ONG dénoncent un “crime environnemental”. Le porte-avions Foch va bientôt sombrer au fond de l’océan Atlantique. Passé sous pavillon brésilien en…
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L’histoire du chantier Bavaria et ses voiliers de croisières
Le chantier allemand, Bavaria Yacht, est un des chantiers qui a le plus marqué la plaisance en Europe. Ce fabricant de bateaux a connu une histoire mouvementée depuis 1978. Le chantier s’est beaucoup développé en Europe de l’Est, devenant un des leaders européens. En France, c’est dans les années 2000 que ce spécialiste du croiseur à tout faire, à prix serré, s’est fait une place. Ses voiliers ont souvent été décriés par certains plaisanciers, et surtout ses concurrents… Pourtant les voiliers Bavaria sont de véritables opportunités pour les plaisanciers qui aiment les voiliers bien construits et marins, pour la croisière familiale. Retour sur un chantier et des bateaux qui méritent tout notre intérêt.
Bavaria Yacht, la naissance d’un chantier populaire
Le chantier Bavaria Yacht est né en 1978, en Bavière. Son créateur, Winfried Hermann , construisait jusque-là des fenêtres avant de se décider à produire des bateaux. Son objectif est alors de produire des voiliers populaires, sûrs et abordables. Des voiliers pour tout le monde. Le premier voilier à sortir du chantier est le Bavaria 850, un croiseur côtier confortable et tranquille. Les premières années, le chantier se fait connaître grâce à une production de bateaux solides et très bien finis, tout en maîtrisant les coûts de production. Les bateaux qui sortaient alors du chantier étaient généralement proposés à des prix inférieurs à la moyenne, et donc accessibles. Pourtant, ne vous y trompez pas, à l’image des chantiers polonais d’aujourd’hui, les bateaux n���avaient rien à envier aux concurrents allemands comme Dehler ou aux français Bénéteau et Jeanneau. La production monte en puissance et le chantier bavarois commence à se faire une réputation. Le plus grand succès du chantier Bavaria, pendant cette période est la Bavaria 30, produit à plus de 2000 exemplaires, à partir de 1985, jusqu’en 1989. Les Bavaria 760 et 1130 connaissent aussi un certain succès.
Les années 90, l’internationalisation du chantier
photo Bavaria: Bavaria 44 Dans les années 90, le chantier passe un cap, grâce à l’ouverture du marché des anciens pays de l’Est. Bavaria s’impose en Croatie, par exemple. La production, et la réputation du chantier allemand, s’envolent. Au début de la décennie, celui-ci propose une gamme de 6 croiseurs hauturiers de 8 à 13 mètres. Le chantier propose alors des voiliers de croisière très bien finis, marins et à prix serrés. Les bateaux sont alors dessinés par l’architecte allemand Axel Mohnaupt. Pendant les années 90, le chantier sort des voiliers comme : - Le Bavaria 320 - Le Bavaria 39 - La Bavaria 44
Bavaria 32
Les années 2000, Bavaria Yacht dans la cour des grands
Dans les années 2000, le chantier monte encore en puissance et devient un fleuron de l’industrie nautique européenne. Il se place pendant quelques années à la troisième place des fabricants de bateaux au monde et devient un concurrent sérieux du chantier Bénéteau. Son usine de production s’étend alors sur 200.000m². Bavaria se développe très fortement en France, grâce à des importateurs bien organisés. A cette période, le chantier produit plus de 3500 unités par an. Un chiffre impressionnant. Les Bavarias de cette époque sont souvent dessinés par le cabinet d’architecture que J&J Design. Les voiliers les plus vendus de cette époque sont : - Le Bavaria 32 - Le Bavaria 34 - Le Bavaria 38
2010, des années folles à la perte de contrôle.
En 2010, le chantier, alors racheté par un fond capitalistique, rachète un fleuron français, Dufour Yacht, puis le chantier italien italiens Cantiere del Pardo, qui produit la gamme Grand Soleil, puis, encore le fabricant français de catamaran, Nautitech. La marque Nautitech laissera la place à Bavaria catamarans. Enfin, c’est le lancement des premiers bateaux à moteurs. Mais voilà, l’histoire est trop belle et le chantier est endetté. L’(entreprise est revendue à un nouveau fond. Mais ce dernier n’arrive pas à sauver le bateau, et en 2018, Bavaria dépose le bilan. Depuis, le chantier a, de nouveau été repris. Bavaria a réduit la voilure, mais continue de produire des bateaux à moteurs, des voiliers et a redonné vie à la marque Nautitech, alors que Dufour a été revendu. Mais alors que reste-t-il de cette fabuleuse histoire nautique ? Et bien des bateaux qui méritent bien mieux que la réputation que certains commerciaux de chantiers français ont bien voulu nous faire croire.
2 voiliers Bavaria à retenir
Le Bavaria 30 Sorti en 1985, et produit à plus de 2300 exemplaires, le Bavaria 30 est un petit croiseur exceptionnel. Dessiné par Axel Mohnaupt, ce petit croiseur de mois de 9 mètres était alors le plus petit voilier de la gamme. Le bateau est très élégant avec ses lignes fines et son teck sur le pont. La carène du Bavaria 30 est très réussie. Le bateau est performant et très marin. La construction de l’époque est solide et soignée, jusqu’aux finitions. Pour la vie à bord, ce petit croiseur proposait un vaste cockpit et des aménagements intérieurs classiques, mais très bien pensés. Le travail ébénisterie étaient de très haute qualité sur cette génération. Caractéristiques : Longueur : 8,90m, Largeur : 3m, Tirant d’eau : 1,40/1,60m, Poids : 2800Kg Le Bavaria 320
Le bavaria 320 est un des grands succès du chantier, dans les années 90. Ce croiseur familiale, dessiné lui aussi par Axel Mohnaupt, fait partie des meilleurs voiliers de 9 mètres de sa génération. La conception du voilier est vraiment pensée pour le plaisir de naviguer et de la vie à bord. Le cockpit est bien organisé et toutes les manœuvres y reviennent pour faciliter celle-ci. L’accès à la mer est facilité grâce à une plage arrière. L’intérieur du bateau est très bien conçu. Le carré, en U sur babord permet de dégager une coursive. Ce carré est transformable en couchette double. Le bavaria 320 peut donc accueillir 6 personnes. En mer, le bateau est rassurant et supporte bien le gros temps. Deux versions seront proposées : une version « Classic » et une versions « SportLine ». Caractéristques : Longueur :9,83m, Largeur : 3,20m, Tirant d’eau : 1,65m, Poids : 3700Kg Read the full article
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Le premier Khrôma Festival de Tenay avait pour objectif de redonner des couleurs à la ville. Tenay est un ancien fleuron de l’industrie de la schappe. Centre mondial de la valorisation des chutes de soie, plus de 2000 ouvriers y peignaient ou filaient encore la schappe avant 1945. Toutes ces fresques ont été réalisées par divers street-artists, venus parfois de loin. Photo 1 : "Le Héron" par @graouzilla. Photo 2 : "Cadavres exquis" par 5 jeunes femmes : @manolakps, @m_dangeloo, @williannwln, @methyln, @origin_fresque, en collaboration avec l'association Mur 69 (@le_mur69). Photo 3 et 4 : "The forgotten secrets guardians", fresque en noir et blanc par Aéro, @creaero. Photo 5 : "Visage" par @manyoly. Photo 6 : "La truite" par Krim. Photo 7 : "Le martin-pêcheur" par Nark. Photo 8 : Immeuble bientôt démoli avec ancienne boutique relookée par Williann, @williannwln. Photo 10 : Façade par @m_dangeloo.
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La Banane de Villeneuve la Garenne 92 , cette grande barre qui débutait rue du font de la Noue pour finir rue du haut de la Noue a était rehabilitée comme ts le groupe.. De «La Banane» aux Jardins de la Noue: l’histoire d’une folle métamorphose Située rue du Haut de la Noue dans les quartiers sud de Villeneuve-la-Garenne, la résidence Les Jardins de la Noue gérée par Coopération et Famille, ses 622 logements* et son parc de 3 hectares, arborent un nouveau visage depuis juin 2017. La réhabilitation globale de cette copropriété mixte, c’est-à-dire une copropriété dont une partie des logements appartient à un bailleur social, était pourtant un pari osé. Le fruit de la ténacité Ce projet de rénovation, c’est d’abord celui d’Alain-Bernard Boulanger, maire de Villeneuve-la-Garenne et de Christian Thibault, ancien président du Directoire de Coopération et Famille. Deux hommes liés par une ambition commune d’inscrire cette résidence emblématique Au cœur de la transformation des quartiers sud de la ville. C’est ensuite celui des partenaires et des équipes qui se sont mobilisés derrière eux pour le concrétiser, au prix d’un investissement hors normes, tant financier qu’humain. Le tout en associant les résidents et leurs représentants, dans le cadre d’une concertation exemplaire. Une solution originale: le bail à réhabilitation Utilisé pour la première fois dans un tel contexte et à une telle échelle, ce dispositif innovant constitue indéniablement la clé du projet. Au fondement du montage juridique, il aura permis d’engager les travaux nécessaires, sans reste à charge pour les copropriétaires, et de mettre en œuvre une réhabilitation des plus ambitieuses. Le tout dans un même objectif: améliorer durablement La qualité de vie des habitants. Une rénovation hors normes D’une ampleur exceptionnelle, les travaux ont associé isolation des façades, réfection des parties communes et des logements, mise aux normes des équipements, résidentialisation des espaces extérieurs… sans oublier l’extension des façades du bâtiment principal, long de 340 m. Une prouesse technique, réalisée en milieu habité, qui aura nécessité une méthodologie complexe et un accompagnement quotidien des habitants. La présente monographie revient sur cette expérience unique et sur la démarche innovante qui a permis cette requalification. Aujourd’hui, une page se tourne dans l’histoire de la copropriété. Celle que l’on appelait communément «La Banane» a été rebaptisée «Les Jardins de la Noue» par les habitants eux-mêmes. Un nouveau nom pour un nouvel avenir. 1958 La Banane», fleuron des 30 glorieuses La naissance de la résidence s’inscrit dans une époque de construction massive de logements sociaux en France. Elément incontournable du paysage urbain de Villeneuve-la-Garenne, elle aura vu passer des générations de Villenogarennois. Une réponse à la crise du logement après-guerre Conséquence des destructions et du «baby-boom», les logements manquent cruellement. À l’hiver 54, Villeneuvela-Garenne est la première ville à répondre à l’appel de l’Abbé Pierre, en créant une cité d’urgence provisoire au sud de son territoire. Sous l’impulsion de l’Etat et en partenariat avec des sociétés d’HLM, elle engage la construction de logements sociaux sur des grandes parcelles privées. Après les résidences Emmaüs et Chaillon, puis Les Castors, c’est au tour de la rési - dence « La Banane » de sortir de terre. Son bâtiment principal, auquel elle doit son appellation, constitue alors l’une des plus longues barres d’Europe. Et les constructions se poursuivent au nord: en près de 10 ans, 9000 logements sociaux voient le jour, accompagnés d’équipe - ments et d’écoles. «La Banane», symbole de progrès social Commanditée par la SA d’HLM Terre et Famille (aujourd’hui Coopération et Famille), «La Banane» est construite sur un mode coopératif par Herbé et Le Couteur, archi - tectes des 30 glorieuses. Cinq bâtiments dans un grand parc arboré, des logements modernes avec salles de bain, chauffage central, ascenseurs… Les premiers résidents accèdent à un confort exceptionnel pour l’époque. Située au cœur d’un important tissu industriel, la résidence accueille durant plus d’un demi-siècle cadres et ouvriers qualifiés, populations issues de l’exode rural et de l’immigration.Vers une requalification ambitieuse 60 ans apr��s sa construction, la résidence vieillissante n’est plus adaptée à son époque et souffre de fortes déperditions énergétiques. Un projet de réhabilitation de grande ampleur voit le jour, dans le cadre du programme de rénovation urbaine des quartiers sud de la ville. 2005-2006 Diagnostic sans appel Mauvaise isolation, humidité, obsolescence des réseaux, pannes d’ascenseur, problèmes de propreté, de sécurité : les dysfonctionnements se multiplient dans tous les bâtiments. Et les travaux de maintenance courante ne suffisent plus à les enrayer. La conception même du bâtimentB, hors normes, atteint aussi ses limites: une structuration des pièces inadaptée, des halls et des coursives surdimensionnés… Le parc alentour mérite quant à lui d’être revalorisé et l’ensemble des espaces extérieurs mieux adaptés aux usages des habitants. La nécessité d’un programme de grande ampleur La réflexion s’engage alors, en lien étroit avec la Ville, pour aboutir à un programme de réhabilitation et de résidentialisation global. Il associe le ravalement et l’isolation thermique des façades, la rénovation des parties communes, une remise à neuf des pièces humides et la requalification des espaces extérieurs, des cheminements et des stationnements. Pour le bâtiment B s’ajoute un projet innovant d’extension de façades, pour agrandir et revaloriser les logements, conformément aux standards de confort actuels. Une inscription différée au projet de renouvellement urbain Le projet de renouvellement urbain des quartiers sud de Villeneuve-la-Garenne fait l’objet d’une convention initiale avec l’ANRU, signée le 25 juillet 2006. Comptetenu de la spécificité de la requalification de «La Banane», copropriété mixte, il est convenu qu’elle donnera lieu à un avenant à la convention. Une longue réflexion s’engage alors pour Coopération et Famille, afin de trouver le montage juridique et financier adéquat. http://www.logement-francais.fr/.../170927-LF-Monographie...
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Depuis un siècle et demi, la République héberge le chef de l’État au palais de l’Élysée, mais elle lui offre aussi châteaux et manoirs, dans lesquels, le temps d’un week-end, de vacances ou d’une saison, il peut, en toute discrétion, se reposer en famille et recevoir ses homologues. Promenade dans les couloirs du pouvoir, à l’abri des regards.
Samedi 6 novembre 1982. Le vent souffle fort sur la France en ce week-end d’automne. Sous les feuilles qui tombent, dans un village au milieu d’un domaine forestier à une soixantaine de kilomètres au sud de Paris, une Citroën CX de la présidence de la République escortée par des motards franchit un lourd portail, qui se referme aussitôt. François Mitterrand en sort, suivi d’une jeune femme et d’une petite fille de 8 ans. Le président, élu un an et demi plus tôt, a enfin trouvé son refuge pour abriter sa vie de famille, en toute discrétion. Fini les photos de paparazzis qui l’avaient surpris, peu après son élection, au bras d’Anne Pingeot, lors d’une promenade dans la propriété de François de Grossouvre. À Souzy-la-Briche, protégée par de hauts murs, la seconde famille du Président va pouvoir passer au calme ses week-ends, pendant treize ans, jusqu’au départ de l’Élysée.
Gilles Ménage et André Rousselet, les collaborateurs du chef de l’État, n’ont pas ménagé leur peine pour trouver ce havre secret dans le catalogue des résidences de la République.
Rambouillet et Marly, lieux des chasses présidentielles
Le président Vincent Auriol, un habitué des chasses de Rambouillet. AFP
Le château de Rambouillet, rattaché à la présidence de la République depuis 1883, aurait été parfait, mais il est trop connu et trop utilisé pour des raisons officielles. C’est, depuis un siècle, le lieu des chasses présidentielles. Tous les présidents de la IIIe et de la IVe République y ont passé la saison estivale, à la manière des rois de France qui allaient de château en château au gré des saisons - en République, les habitudes monarchiques ne sont jamais bien loin. D’un simple rendez-vous de chasse, Rambouillet est devenu la résidence de campagne des présidents, pour l’été ou pour le week-end ; à l’époque de Vincent Auriol, on y a aménagé des dizaines de chambres pour pouvoir accueillir des délégations entières. Le confort moderne y est installé, un appartement d’apparat y est décoré par Jean Pascaud dans la tour François Ier - confort qui ne suffit pas à Khrouchtchev, qui, en prenant son bain lors de son séjour en 1960, se retrouve sans eau chaude.
À lire aussi : Rambouillet, le château fantôme
Pompidou aimait y convier ses proches, dès le vendredi soir, avant une journée entière consacrée à la chasse, y compris le pique-nique dans une clairière au milieu de la forêt, préparé par la cuisine de l’Élysée. Giscard d’Estaing apprécie également Rambouillet, pour la chasse, qu’il pratique avec ses invités le samedi et seul ou en famille le dimanche, mais aussi pour recevoir. Reprenant une tradition d’avant-guerre, il y reçoit le Conseil des ministres à plusieurs reprises, et lorsqu’il a l’idée d’organiser, pour la première fois, un sommet des dirigeants des pays les plus puissants du bloc de l’Ouest, Rambouillet s’impose comme le lieu idéal des débats, avec le président américain Gerald Ford en invité d’honneur. Pendant quelques jours, la petite ville des Yvelines devient le centre du monde occidental et inaugure les sommets du G7.
Visite d’État à Rambouillet le 22 juillet 1959 pour l’empereur d’Éthiopie, Haïlé Sélassié. © Roger-Viollet
Marly était une autre possibilité. Au cœur d’un ancien domaine royal, le petit pavillon est lui aussi dévolu à la chasse. Plus rustique que Rambouillet, il a le charme de l’intimité ; c’est là que de Gaulle s’est réfugié, en 1946, pour échapper au «retour des partis» qui menaçaient la reconstruction de la France. En attendant que La Boisserie, dévastée par les Allemands, ne soit restaurée, il s’installe pendant quatre mois à Marly avec Yvonne et leur fille Anne. Au fond du jardin, un petit pavillon est transformé en bureau, où le Général reçoit ses compagnons et jette sur le papier les premiers mots de ses Mémoires de guerre. Une fois revenu au pouvoir, de Gaulle réserve Marly à la discrétion ; quelques chasses, peu de réceptions. Seul Adenauer est convié, en toute simplicité - les lieux ne permettent pas vraiment d’y déployer le faste de la République -, au point que de Gaulle s’assied pour le dîner à côté du chancelier allemand, en dépit du protocole, comme une marque de confiance et d’amitié. Le président du Dahomey et celui du Pakistan sont les seuls à venir chasser, privilège d’autant plus grand que de Gaulle n’y assiste pas, pour leur épargner sa présence.
Chez le Roi-Soleil
Mais Marly est étriqué, au milieu d’un domaine ouvert aux promeneurs. Trop risqué pour abriter une vie de famille secrète. Mitterrand ne s’y installe pas, mais il y tient, dans les premières semaines de 1988, de discrets conciliabules pour préparer sa réélection. Chaque lundi, après sa partie de golf hebdomadaire à Saint-Cloud ou à Villacoublay, le Président réunit les caciques du Parti socialiste ; autour d’un copieux buffet, Pierre Bérégovoy, Roland Dumas, Édith Cresson, Laurent Fabius, Pierre Joxe, Louis Mermaz, Jean-Louis Bianco se rassemblent pour faire réélire Mitterrand. Le 22 mars, lorsque la candidature est enfin officielle, Marly referme ses portes. Deux décennies plus tard, le domaine est rattaché à celui du château de Versailles.
À lire aussi : La salle du Congrès: une enclave républicaine dans le château de Versailles
Versailles, justement! Ni Mitterrand ni un autre président n’ont probablement eu l’idée de s’y installer durablement. Trop exposé, trop fastueux, trop lourd de symboles. L’ancienne demeure des rois de France n’a pourtant jamais été abandonnée par la République. Bien au contraire, elle y est née, avec les lois constitutionnelles de 1875 votées dans l’opéra de Louis XV. À la fin du XIXe siècle, Félix Faure y a reçu le tsar de Russie, à la manière d’un souverain d’Ancien Régime, et ses successeurs ont repris cette habitude de recevoir à Versailles leurs homologues étrangers, avec plus ou moins de faste. Mais de Gaulle va plus loin, en faisant du palais de Louis XIV une demeure officielle de la République. Il n’ignore pas la charge symbolique du lieu ni son prestige à l’étranger. Les réceptions se multiplient sous sa présidence: Khrouchtchev en 1960, Kennedy l’année suivante, le roi des Belges, le shah d’Iran, le roi du Danemark…
André Malraux, ministre de la Culture, fait visiter les jardins du château de Versailles à Nikita Khrouchtchev, le 2 avril 1960. REPORTERS ASSOCIES/Gamma-Rapho
Au milieu de l’été 1961, le Général débarque à l’improviste au château, en fin d’après-midi: il est à la recherche d’un lieu destiné à recevoir les chefs d’État étrangers. Et il ajoute devant le conservateur du musée: «Il faut admettre que le chef de l’État est mal logé à l’Élysée, qui est trop petit et est placé au milieu des automobiles. Il n’est pas impossible d’envisager que le chef de l’État vienne un jour habiter à Trianon.» Trianon, l’annexe du château, au fond du parc, est aménagé en un temps record en résidence officielle, destinée à accueillir les homologues étrangers en visite officielle. On fait fi des difficultés techniques et financières ; la loi-programme sur les monuments historiques votée en 1962, qui devait permettre la restauration de sept fleurons emblématiques de la grandeur de la France (Versailles, le Louvre, les Invalides, Vincennes, Fontainebleau, Chambord et la cathédrale de Reims), sert abondamment au chantier de Trianon.
Le président Pompidou fait à la reine d’Angleterre les faveurs du Grand Trianon en mai 1972. Michel LE TAC/PARISMATCH/SCOOP
Pour 45 millions de francs - la loi-programme prévoyait en tout 180 millions -, la République dispose d’une résidence de luxe dans le parc de Versailles. L’aile sud est dévolue aux hôtes étrangers, la partie centrale accueille les pièces de réception et l’aile de Trianon-sous-Bois, au nord, est réservée au président de la République: une quinzaine de pièces en enfilade, sur deux niveaux, meublées par le Mobilier national de manière sobre et subtile, sans ostentation, presque bourgeoise, pour que le chef de l’État soit chez lui à Trianon. De Gaulle n’y couchera pas, pas plus que Pompidou. Seul Valéry Giscard d’Estaing en profite sans sourciller. Un midi de février 1976, c’est dans la galerie des Cotelle et le salon des Jardins attenant que le président célèbre avec ses proches son cinquantième anniversaire ; le parc n’a pas été fermé au public et les quelques promeneurs peuvent apercevoir, par les fenêtres, les éclats d’une fête familiale dans le petit palais du Roi-Soleil.
Vladimir Poutine et Emmanuel Macron dans la galerie des Batailles de Versailles. STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
Piscine et tennis à la lanterne
Trianon-sous-Bois est finalement rendu au château de Versailles en 2008. À cette date, le locataire de l’Élysée a trouvé mieux que les ors de Louis XIV, à l’autre bout du grand canal: en lisière du parc de Versailles, derrière de hauts murs de pierre, Nicolas Sarkozy s’est installé au pavillon de la Lanterne.
Ironie du sort, c’est en s’attribuant la demeure habituellement dévolue au premier ministre que Nicolas Sarkozy a dévoilé son existence au grand public. Connue de quelques initiés, la Lanterne était jusque-là la résidence la plus secrète et la plus cossue de la République. Sans la grandiloquence de Rambouillet et de Trianon, loin de la rusticité de Marly, plus élégante que Souzy-la-Briche, elle est à taille humaine: un élégant corps de bâtiment du XVIIIe siècle encadré de deux ailes de communs, aménagés en bureau et en chambres pour les gardes du corps, elle a le profil d’une maison de famille, à 15 kilomètres de Paris. Les premiers ministres ne s’y sont pas trompés: tous, depuis 1959 et la mise à disposition du pavillon à l’occupant de Matignon, en ont profité avec délice. À l’abri des regards indiscrets, au cœur d’un parc privé de plusieurs hectares, on vit à la Lanterne sans que rien ne filtre à l’extérieur. Même la construction, demandée par Michel Rocard, d’une piscine et d’un terrain de tennis n’a pas eu grand écho, hormis quelques lignes dans Le Canard enchaîné. Les fonctionnaires du ministère de la Culture ont pourtant rechigné à accorder l’autorisation de travaux, au cœur du domaine protégé de Versailles, à quelques centaines de mètres du château. C’est le ministre lui-même qui a dû signer l’autorisation, pour «la réalisation d’un bassin de natation et d’un local technique».
À Versailles, Michel Rocard rénove l’ancien pavillon de chasse et y construit une piscine et un court de tennis. Daniel SIMON / Gamma-Rapho
Dans l’intimité familiale
À l’instar des précédents occupants, Nicolas Sarkozy investit les lieux en famille, avec ses amis. Il y célèbre son mariage avec Carla Bruni et profite des premiers sourires de sa fille. Il y travaille aussi ; en 2007, c’est là qu’il constitue son premier gouvernement. Il y tient fréquemment des réunions de travail avec ses collaborateurs. Une fois seulement, les portes de la Lanterne s’ouvrent aux journalistes. Le Président y reçoit, en 2008, le premier ministre britannique, Gordon Brown, pour une réunion de travail. Mais l’expérience ne sera pas renouvelée: la Lanterne est une maison de famille et n’est pas adaptée aux réunions officielles. Ses successeurs François Hollande et Emmanuel Macron conservent la Lanterne, mais pour leur usage propre.
La Lanterne, à Versailles, fut longtemps la résidence des premiers ministres. Laurent GRANDGUILLOT/REA
Une autre résidence permet de mélanger l’intimité et la diplomatie. Perché au-dessus de la mer Méditerranée, le fort de Brégançon a des airs de paradis. Pour y accéder, on doit emprunter un chemin qui traverse la propriété du voisin, le grand-duc du Luxembourg. Malgré l’opposition des services de l’Élysée, le fort est devenu résidence officielle des présidents sous le général de Gaulle, qui n’y passe pourtant qu’une nuit, dévoré par les moustiques, à l’occasion des 20 ans du débarquement de Provence. Ses successeurs profitent du fort, surtout Georges Pompidou, un amoureux de la Côte d’Azur, qui y dispute d’épiques parties de pétanque avec ses gardes du corps. Sa femme Claude remplace le lourd mobilier installé par de Gaulle par une décoration estivale et élégante.
La ronde des paparazzis
François Mitterrand au fort de Brégançon avec le chancelier Helmut Kohl, le 24 août 1985. PIERRE CIOT/AFP
À partir de Valéry Giscard d’Estaing, Brégançon passe sous les projecteurs: le lieu est exposé, la plage est visible de tous, les paparazzis rôdent ; on y invite des responsables politiques, sans discrétion possible - le week-end de Pentecôte 1976 avec son premier ministre Jacques Chirac achève de ruiner leur relation. À peine une semaine plus tard, le récit des deux jours catastrophiques sort dans la presse, affirmé par les uns, démenti par les autres: Giscard assis sur un fauteuil pendant que les autres convives ont droit à des chaises, le dîner de travail qui se transforme en conversation mondaine avec les enfants et le professeur de ski du président…
À lire aussi : Brégançon et la politique de la détente
Les réceptions diplomatiques sont mises en scène et témoignent de l’importance donnée à une relation officielle, mais conviviale: Mitterrand y convie ainsi son partenaire allemand Helmut Kohl, Chirac l’Algérien Bouteflika, Sarkozy l’Américaine Condoleezza Rice, en pleine crise ukrainienne. Depuis trois ans, Emmanuel Macron tente de retrouver de l’intimité à Brégançon ; des vacances discrètes, loin des regards, grâce à la piscine hors sol construite dans le jardin. Mais la politique n’est jamais loin: Angela Merkel est l’invitée du Président à l’été 2020, sous les flashs des journalistes.
Nicolas Sarkozy reçoit à Brégançon la secrétaire d’État américaine Condoleezza Rice, le 14 août 2008. PHILIPPE LAURENSON/AFP
En 1968, lorsque de Gaulle fait de Brégançon une résidence officielle, il a à sa disposition six lieux de villégiature: les châteaux de Rambouillet, Champs-sur-Marne (réservé aux chefs d’État africains) et Vizille (où le Général ne dort qu’une seule nuit), le pavillon de Marly-le-Roi, le fort de Brégançon et Trianon-sous-Bois, auxquels s’ajoutent la Lanterne pour le premier ministre et Chambord pour les chasses. Cinquante ans plus tard, l’État a fait des économies et abandonné la plupart d’entre eux. Le président passe ses week-ends à la Lanterne et ses vacances à Brégançon. Mais, derrière les murs du parc de Versailles et au-dessus de la Méditerranée, le silence est d’or et les secrets de la République restent bien gardés.
Le fort de Brégançon, dans le Var, lieu officiel de villégiature pour les présidents de la République. ALAIN ROBERT/SIPA
Fabien Oppermann est l’auteur de Dans les châteaux de la République. Le pouvoir à l’abri des regards, paru chez Tallandier en 2019.
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Ce n’était pas mieux avant, mais...
Une petite gare, au fond d'une vallée étroite. Une voie ferrée peu fréquentée, au sortir d'un tunnel, unique puis doublée aux approches nord et sud de la maison du chemin de fer afin que deux trains puissent se croiser. Toulouse à un bout, Brive-la-Gaillarde à l'autre. Ici, pas de village touchant, il faut aller le chercher sur les hauteurs, une crête : Najac en Aveyron.
Une ligne née il y a un siècle et demi, qui, là, persiste. Survivance alerte et utile d'un ancien maillage fait de bois, d'acier et de caillasse, tissé à la fin du XIXe siècle, outil et symbole tangible de la modernisation de l'entier pays jusque dans les micro-régions les plus éloignées des grandes cités.
Des chemins légendaires taillés dans les forêts, le roc, les plaines, enjambant rivières et lacs, chevauchant monts et vaux, se faufilant dans d'étroites gorges et sous les montagnes. Les voir aujourd'hui démontés, détournés, en deviner les tracés, en repérer les talus desquels ballast et rails ont disparu sont des crève-cœur. Les savoir encore vaillants, utiles, flatte l'intelligence et la mémoire collectives. L'ultime, l'ultra progrès les a fermés.
Alternance. Après le règne du génie humain, technique et modernisateur, républicain parce qu'aménageur du territoire, triomphe la voiture individuelle, sévissent la désertification des campagnes et l’urbanisation effrénée, s'affirme implacable le primat court-termiste de la rentabilité financière.
Ces chemins désertés, abandonnés par les belles machines et leurs longues voitures pleines de vies, font penser aux grandes usines, fleurons des industries métallurgiques, sidérurgiques, minières,... devenues friches hideuses et honteuses, où se sont douloureusement dissous l'inventivité et le travail des ingénieurs et des ouvriers grâce auxquels elles avaient été bâties et avaient produit d'utiles richesses des décennies durant. Sans ignorer que ces lieux de création connurent aussi souffrances, blessures et mort infligées à leurs héroïques acteurs. Des luttes de la dignité et de la fraternité aussi.
Dans les villes et villages où elles se trouvaient, ces fabriques formaient des communautés d'hommes et de femmes. Les trains, les voies ferrées faisaient davantage, elles reliaient les cités où se trouvaient les usines au sein desquelles une fraction de l'humanité travaillait.
Serge Lebahy
#Voies ferrées#Solidarité#Friches industrielles#Train#Ingénieurs et ouvriers#Relier les hommes et les femmes#Humanité#Travail
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Un regard à droite et Glenn Viel traverse la route. Un massif calcaire se dresse devant nous. Les pierres blanchâtres étouffent sous une garrigue dense. À la manière d’un berger qui guide son troupeau dans les pâturages estivaux, le chef grimpe. Veste de cuisine bien ajustée et tablier immaculé tombant juste en-dessous des genoux, le bonhomme fait contraste avec un environnement où la nature reprend ses droits. Quelques ronces refusent notre passage. Sabots aux pieds, Glenn s’enfonce avec assurance. Par deux fois, il manque de se faire une cheville. Enfin, il se retourne : « On va les mettre là ! ». Nous sommes sur un petit plateau et il parle des ruches. Bientôt, les abeilles surplomberont le vallon des Baux, auront vue sur l’Oustau de Baumanière et surveilleront la cavité creusée dans notre dos. D’ailleurs, cette grotte derrière nous, le chef projette d’y installer une pisciculture. Rien que ça.
Depuis qu’ils ont déposé leur mallette à couteaux dans les cuisines de Jean-André Charial, il y a cinq ans, Glenn Viel et Lowell Mesnier rivalisent d’imagination. De nouvelles techniques culinaires voient le jour et nombreux sont les projets qui sont discutés. Plantation de blés anciens, culture de champignons, système agroforestier… C’est à se demander si le restaurant doublement étoilé ne se mue pas en zone d’expérimentation agricole. Les deux compères façonnent une cuisine à la conscience écologique marquée. Le doyen de la brigade, Bernard, est impressionné. « C’est bien, ils ne manquent pas d’idées » lâche celui qui a vu défiler des dizaines de cuisiniers. Cette remarque est lourde de sens. « Je suis encore là parce que je suis jeune mais je veux qu’il y ait une relève, qu’il y ait des gens empreints d’une vraie sensibilité qui s’investissent réellement, pas du fake. Si je peux apporter une philosophie avec mon métier, c’est parfait » assène Glenn alors qu’il prépare ses petits artichauts Violets du Gapeau. À trente-neuf an, à peine, les deux chefs avancent de front et appellent à de petites révolutions.
« Notre prochain défi, c’est le plastique. Si, nous, fleuron de la gastronomie, nous ne le faisons pas alors personne ne le fera » remarque tranquillement Lowell. Placardée au mur, une pancarte passerait presque inaperçue. Elle présente un diagramme. On peut y lire le nombre d’éléphants de plastique qui ont été mis au monde au sein de l’établissement. La brigade va, vient, traverse la cuisine, court à la chambre froide mais cette petite affiche est là, indélébile, comme pour rappeler à quel point la matière synthétique occupe une place immuable dans les coulisses. Pour en réduire la consommation, à l’Oustau de Baumanière, la cuisson sous vide n’est plus privilégiée, les proportions sont correctement estimées et l’approvisionnement en cours de révision. Au sein des cuisines hexagonales, c’est tout un système qu’il faut revoir dans l’espoir qu’un jour, le plastique soit conduit au cimetière des éléphants.
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S'évader au cœur des plus belles bibliothèques du monde
Envie d’un voyage littéraire unique? Découvrez ces sanctuaires de culture qui vous transportent dans des univers différents. Voici un tour du monde des plus belles bibliothèques. Parce que rien n'égale le plaisir de lire dans un lieu sublime, ces sites vous offrent un écrin exceptionnel pour votre passion. Bibliothèque du Trinity College, Dublin Chargée d'histoire et de charme, cette bibliothèque renferme des trésors de la culture irlandaise. En visitant ce lieu, on se laisse envelopper par l'odeur du vieux papier et du bois, symboles de sa grandeur d'antan. Des joyaux littéraires Parcourir ses rayonnages, c'est découvrir une impressionnante collection de manuscrits anciens. Parmi eux, le célèbre "Book of Kells", précieuse relique de la culture celtique. Bibliothèque du Congrès, Washington D.C. Fleuron de la culture américaine, la Bibliothèque du Congrès abrite des millions de livres. Son dôme majestueux et ses fresques murales révèlent une élégance sans pareil. Une source inépuisable de savoir Plus qu'une simple bibliothèque, elle est un véritable puits de connaissances. On y trouve tout, des documents officiels aux enregistrements sonores historiques. Sujet connexe : Les meilleurs livres d’amour à offrir pour Noël Bibliothèque d'Alexandrie, Égypte L'une des plus belles bibliothèques de l'Antiquité renaît de ses cendres. Cette merveille d'architecture moderne est un hommage à la culture pharaonique et grecque. Un phare du savoir La nouvelle Bibliotheca Alexandrina s'impose comme un centre d'échange culturel, offrant des espaces d'exposition, des musées et un planétarium. Bibliothèque de l'Abbaye d'Admont, Autriche Immergée dans un décor somptueux, cette bibliothèque semble tout droit sortie d'un conte de fées. Avec son plafond peint et ses sculptures dorées, elle évoque le raffinement de l'époque baroque. Un trésor du patrimoine autrichien Outre ses œuvres d'art, elle renferme une collection précieuse de manuscrits médiévaux, témoins de la culture autrichienne. A lire aussi : Le patron de Snapchat annonce faire un don au Château de Versailles Bibliothèque Royale de Copenhague, Danemark Surnommée "le Diamant Noir", cette bibliothèque allie tradition et modernité. Son édifice de granit noir évoque le charme brut du Danemark, tandis que son intérieur lumineux accueille les lecteurs dans une atmosphère apaisante. La culture nordique à portée de main On y trouve une immense variété de livres, de périodiques et de documents sur la culture nordique, permettant à tout un chacun de plonger dans l'histoire et la culture danoises. Le voyage vous tente? Préparez-vous à parcourir le monde à travers ses plus belles bibliothèques. Chacune vous ouvre les portes d'un univers unique et captivant. Alors, quelle sera votre prochaine destination littéraire? Read the full article
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Afrique-Israël : au Cameroun, Eran Moas, un « consultant » très spécial
« Israël Connection » (2/4). Il n’apparaît sur aucun organigramme officiel, mais au Cameroun, nul n’ignore qu’il est la pierre angulaire d’un système israélien qu’il a contribué à implanter, de la colline d’Etoudi à la marina de Kribi. Portrait d’un homme aux réseaux tentaculaires.
L’alcool coule à flots. Derrière le bar qui longe le restaurant, un professionnel des cocktails manie ses shakers avec virtuosité, attirant les regards. Quelques bouteilles d’un alcool plus fort attendent leur nouveau propriétaire dans un sceau rempli de glaçons qui ne tarderont pas à fondre. Ce soir, pour les clients privilégiés (et fortunés) du Famous, le restaurant-cabaret le plus branché de Yaoundé, la nuit camerounaise tient ses promesses. Elle a la couleur ambrée du whisky et la saveur pétillante du champagne. Au cœur du quartier Bastos, l’adresse est devenue incontournable. Samuel Eto’o y a récemment passé la soirée avec le patron de la Fifa, Gianni Infantino. Les artistes Charlotte Dipanda et Lady Ponce s’y sont produites, comme Maître Gims ou Wes Madiko.
Au milieu des stars africaines et internationales, un homme y a également ses habitudes : Eran Moas. Le visage du conseiller du Bataillon d’intervention rapide (BIR, forces spéciales camerounaises) est bien connu des plus assidus. Le 3 novembre de cette année, il est même fort possible que l’Israélien vienne y célébrer son 45e anniversaire, entouré de ses plus proches amis. Son 23e fêté sur les terres camerounaises. Dans l’ambiance festive, l’homme de l’ombre des troupes d’élites de Paul Biya ne semble pas cultiver le secret. Il est comme chez lui. Et pour cause : c’est le cas. Décrit comme « le club des Israéliens » dans les hautes sphères de Yaoundé, le Famous est géré par la société Danaet. Son propriétaire n’est pas renseigné au registre du commerce, mais Moas en est l’un des principaux
De Kinshasa à Yaoundé
Selon plusieurs de ses fréquentations, le conseiller du BIR gère (ou a géré) la participation de la communauté israélienne au Cameroun dans de nombreuses autres sociétés, comme MegaHertz et Ringo (deux sociétés de communication), le café-restaurant l’Espresso House, ou le Safari Club, devenu depuis moins d’un an le Trust Club.
Comment a-t-il acquis ce rôle central ? Flashback. Fraîchement sorti d’un service militaire obligatoire en Israël, Eran Moas débarque au Cameroun en 1998. Il a à peine 22 ans. Technicien en communications, il est alors employé par la société Tadiran, l’un des fleurons israéliens des technologies de surveillance et de radars. À l’époque, les relations entre Yaoundé et Tel-Aviv sont déjà au beau fixe. Depuis 1984 et le coup d’État qui a failli le renverser, Paul Biya fait confiance aux Israéliens pour réformer son système sécuritaire. Il souhaite s’affranchir des Français, trop proches, selon lui, de son prédécesseur, Ahmadou Ahidjo. Son voisin congolais, Mobutu Sese Seko, lui présente un homme, Meir Meyuhas. Ce juif égyptien connaît parfaitement l’Afrique centrale. Ancien espion au service de l’armée israélienne (infiltré en Égypte dans les années 1950, il y sera arrêté et emprisonné), il fréquente déjà les cercles du pouvoir mobutiste à Kinshasa au début des années 1970. Lorsque le Zaïre rompt ses relations avec Israël à la suite de la guerre du Kippour en 1973, c’est lui qui en informe le premier l’ambassadeur de l’État hébreu en Égypte, un de ses proches. Et, en 1982, alors qu’il a contribué à la formation de la garde rapprochée du leader zaïrois, c’est encore lui qui est à la manœuvre pour favoriser le rétablissement des relations entre les deux pays, servant d’intermédiaire entre Mobutu, le Premier ministre Ariel Sharon et le ministre de la Défense Shimon Peres.
Meir Meyuhas saute sur l’occasion pour se rapprocher de Paul Biya. À Yaoundé, où il a ses habitudes à l’hôtel du Mont Febe – la suite 802 devenant son quartier général –, il fait venir son compatriote Avi Sivan. D’abord nommé attaché de défense à l’ambassade israélienne, ce dernier se retrouve rapidement chargé de réformer la garde présidentielle, jusqu’ici sous influence française. Sivan apporte son savoir-faire. Il est l’un des cofondateurs de l’une des unités les plus célèbres d’Israël, la 217. Corps d’élite – initialement composé de Druzes et formé en particulier à l’infiltration dans les zones palestiniennes –, celle-ci est surnommée « Duvdevan », cerise en hébreu, car elle est réputée être la seule à pouvoir s’enorgueillir de se trouver sur le gâteau.
Les années fastes La méthode Sivan bénéficie des atouts de Meyuhas. L’ancien espion dispose en effet de sociétés privées et d’une licence exclusive d’exportation d’équipements militaires délivrée par le ministère israélien de la Défense pour services rendus. Affaibli par la première guerre du Liban de 1982, Tel-Aviv a lancé une privatisation de son secteur de défense et favorise à tout va la création d’entreprises d’armement à la tête desquelles elle place des anciens de Tsahal, son armée. En d’autres termes, l’époque est florissante pour qui souhaite se lancer dans les affaires sécuritaires, notamment en Afrique centrale. Après la garde présidentielle, le colonel Avi Sivan s’attaque à la formation du Bataillon léger d’infanterie, qui deviendra par la suite le Bataillon d’intervention rapide (BIR).
Des primates et des entreprises
L’Israélien apprend rapidement le français, épouse une Camerounaise, Lucie, et trouve sa place au cœur de l’Afrique centrale, dans les collines de Yaoundé. Impliqué, selon un proche, « dans la vie sociale et associative camerounaise », il finance notamment Ape Action Africa (AAA, ONG fondée par Avi Sivan en 1996), où travaille l’un de ses anciens proches camarades de service militaire, Ofir Drori. À ses interlocuteurs, Moas ne manque d’ailleurs pas de montrer des clichés d’un chimpanzé recueilli dans le parc de la Mefou (Centre) et baptisé Eran en son honneur. Il possède en outre au moins trois ou quatre villas à Yaoundé, ainsi qu’une autre à Douala, sans compter les résidences de luxe qu’il a pu acquérir aux États-Unis, notamment dans la région de Los Angeles.
À LIRE Cameroun : Paul Biya sous protection israélienne S’il rencontre plusieurs fois par an le chef de l’État, c’est en revanche un autre Israélien, le général de brigade Baruch Mena, qui est chargé des questions militaires liées au BIR. Selon plusieurs sources, Moas garde en revanche la main sur les aspects économiques, comme les contrats de fourniture en équipements, et sur la relation stratégique avec le secrétariat général de la présidence, occupé depuis 2011 par Ferdinand Ngoh Ngoh. Les deux hommes – et leurs épouses – se connaissent très bien. Depuis des années, ils ont pris l’habitude de voyager ensemble et de se retrouver à Kribi, où Moas a conservé l’ancien bateau d’Avi Sivan, un puissant quatre moteurs idéal pour la pêche au large. De quoi discutent le décisionnaire de la présidence et l’entreprenant Israélien sur les flots de l’Atlantique ?
Selon des documents en possession de Jeune Afrique, deux entreprises liées à Eran Moas, les dénommées PortSec SA (enregistrée au Panama) et Tandyl Developement, ont bénéficié ces dernières années d’actes signés ou initiés par le secrétariat général de Ferdinand Ngoh Ngoh, en l’occurrence un décret d’expropriation forcée dans le cadre d’un projet immobilier à Yaoundé, et un contrat de sécurisation passé de gré à gré pour le port autonome de Douala. Contacté par nos soins le 6 octobre, Eran Moas n’a pas souhaité répondre à l’auteur de ces lignes. Son nom ne figurant sur aucun organigramme du BIR, il se présente aujourd’hui auprès de certains de ses interlocuteurs les moins informés comme un « consultant » et un « entrepreneur indépendant ». Une vérité bien incomplète.
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Hippocrate. Epidemies I Et III (Tome IV, 1ere Partie): Epidemies I Et III - Anargyros Anastassiou
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DESCRIPTION BOOK : Le traite, dont le titre originel est inconnu, est l'un des fleurons les plus remarquables du rationalisme hippocratique. Malheureusement il a ete victime, des la haute Antiquite, d'une dislocation accidentelle au cours de la transmission du texte. Traite unique ecrit par un seul et meme medecin, il a ete transmis en deux livres separes intitules Epidemies I et Epidemies III, alors que cette dislocation ne correspond a aucune division majeure du traite originel, les deux parties devant etre remises bout a bout pour reunir ce qui etait deja separe au temps de Galien. C'est l'uvre d'un medecin qui a ete un maitre de lobservation de la realite quotidienne du malade quil a confiee a lecriture. Cest, en effet, le traite le plus ancien ou apparaissent des fiches de malades decrits au jour le jour de la maladie. On dispose ainsi dune totalite de quarante-deux fiches de malades auxquelles il faut ajouter les noms de vingt-six malades particuliers cites en exemple au cours dun tableau
DETAIL BOOK :
Author : Anargyros Anastassiou
Pages : pages
Publisher : Les Belles Lettres
Language :
ISBN-10 : 2251006117
ISBN-13 : 9782251006116
Supporting format: PDF, EPUB, Kindle, Audio, MOBI, HTML, RTF, TXT, etc.
Supporting : PC, Android, Apple, Ipad, Iphone, etc.
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